Le tabernacle dressé
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Nous avons, en étant des siècles, nous amené devant Lui, comme sa famille,
jouissant du privilège insurpassable de procéder sa nature,
de telle manière que nous sommes maintenant à l'aise, chez nous, dans la maison de Dieu,
devant Dieu, rendu saint, irréprochable et irrépréhensible.
Tout cela fondé sur l'œuvre de Christ, sur la valeur infinie du sang qui a été répandue à la croix.
Il n'y a pas de pensée plus douce que celle de l'application de Dieu avec l'homme.
Elle traverse toute l'écriture.
On peut dire, dans un certain sens, que Dieu accomplira toutes ses pensées, et le septème de l'Apocalypse,
quand l'invitation de Dieu sera avec les hommes, correspond au sept accomplis prononcés sur la croix.
Et lorsque Dieu sera tout en tous, et que son invitation sera avec les hommes, par l'Église, à travers l'Église,
base de la gloire pour l'éternité, lorsqu'elle sera accueillie au ciel, bien entendu, ce sera la demeure définitive.
Et on sent que, sans se tromper, on peut dire qu'il y aura eu sept maisons de Dieu sur la terre.
A commencer par le tabernacle, les deux temples de l'Ancien Testament, celui de Salomon,
celui reconstruit, comme le disent les asmes de rapport, l'habitation centrale, car en toutes choses il tient la première place, c'est Christ.
La gloire de Dieu a tabernaclé, comme Jean nous le dit dans son premier chapitre,
car, en l'expression, le tabernacle n'est pas quelque chose de provisoire.
La tente qui couvre le tabernacle, oui, mais le tabernacle lui-même, c'est Christ, c'est l'habitation de Dieu était en Christ,
la plénitude de la déité habitée en lui corporellement, et le Seigneur ne quittera plus jamais l'humanité qu'il a revêtue.
Dieu était en Christ. Christ est la parfaite expression du tabernacle.
Et dans le tabernacle de l'Ancien Testament, nous avons en figure toutes les gloires de sa personne,
toutes les gloires de son d'or, tout ce qu'il a été, toute sa plénitude nous est annoncée dans des textes infiniment précieux.
Dieu habite maintenant en vertu de l'œuvre de Christ par son esprit dans l'assemblée.
L'éternel habitera dans le nouveau temps, dans le déséquel, et enfin la dernière habitation.
Voici, le propos de Dieu est accompli, l'habitation de Dieu est avec les hommes.
Dieu se reposera dans son amour, dans l'accomplissement de ses pensées.
Nous venons de dire, chers amis, ce que vous savez bien, que ces cinq livres de Moïse sont une mine négligeable de richesse pour nous parler de Christ.
Depuis la première ligne jusqu'à la dernière, de la parole de Dieu, l'Esprit nous parle de Dieu,
nous parle de ce qui est cher au cœur de Dieu, de son Fils et de l'Église, de son Épouse qu'il voulait nous donner.
Car la première page de la Bible, les premières pages de la Bible sont remplies d'une noce,
les noces que Dieu fait à Adam, et la parole de Dieu, la révélation se termine par les noces de l'agneau.
Que ces cinq livres soient infiniment précieux, nul ne peut, ne saurait, ne saurait l'oublier, nul ne peut l'oublier.
Nous avons souvent entendu rappeler que Dieu a caché le Nouveau Testament dans l'Ancien, et l'Ancien est révélé dans le Nouveau.
Dieu nous parle par des figures, par des images, adaptant la vérité à notre vulgarité,
mais, comme le dit un chercheur de l'Ancien, avec une actitude divine. Cela est digne de Dieu.
Que les cinq livres de Moïse nous parlent de Christ, on peut dire aussi, c'est tellement vrai qu'il y a un chapitre central dans chaque livre,
où Christ est particulièrement placé devant nous.
Si nous demandions à nos jeunes amis de nous dire quels sont les chapitres où Christ est particulièrement devant nous dans les cinq livres de Moïse,
ils n'hésiteraient pas d'un instant, ils nous rappelleraient que Genèse 22 est au cœur de la Genèse pour nous parler du sacrifice du Seigneur.
De l'amour du Père qui...
L'amour que le Père éprouve pour son Fils, et l'amour que le Père éprouve pour nous.
Ton Fils, ton unique, celui que tu aimes. Genèse 22.
Le sacrifice en vertu duquel alors Abraham peut recevoir les promesses les plus hautes que Dieu lui donne,
en raison du sacrifice en figure qui vient d'être accompli.
Toutes les promesses de Dieu sont présentées à Abraham, sont confirmées à Abraham, à partir du sacrifice d'Isaac.
Dieu n'ayant personne de plus grand par qui jurer, jure par lui-même, et il nous montre que toutes les bénédictions à la fois pour la terre et pour le ciel reposent sur Christ, la vraisemence d'Abraham.
Livre de l'Exode, nous pensons chacun aux serviteurs hébreux.
J'aime, ce n'est plus seulement l'amour du Père pour le Fils, et l'amour du Père pour ses enfants.
Car le Seigneur dira en parlant de nous, au Père, tu les as aimés comme tu m'as aimé.
Nous avons au milieu de livre de l'Exode, l'amour du Fils pour le Père, et l'amour du Fils pour nous.
Car le Seigneur n'a pas seulement dit en parlant de son Père, tu les as aimés comme tu m'as aimé, et qu'il pourrait sonder cette mesure de l'amour,
mais il ajoute aussi, je vous aime comme le Père m'a aimé.
Genèse, nous l'avons vue.
Exode, c'est le serviteur hébreu.
J'aime mon Maître, ma femme et mes enfants.
Si nous passons au livre de l'Héritie, pour avancer un peu, nous avons le chapitre central,
que chacun a lu avec intérêt, c'est le chapitre 16, c'est le sacrifice du Seigneur.
C'est le grand jour des propitiations.
Le sacrifice du Seigneur qui répond pleinement à toutes les exigences de la gloire de Dieu,
dans le premier bouc offert, pour la gloire de Dieu, le sang est porté sur le propitiatoire,
et dans le deuxième bouc offert, ce sont les péchés du peuple qui sont confessés.
Notre salut, notre pardon, notre acceptation devant Dieu, après tout, n'est que subsidiaire.
Mais le grand fait, le fait important par-dessus tout, c'est que Dieu a été glorifié.
Dieu a été infiniment plus glorifié par l'oeuvre, par la mort de son président, nos chers frères,
plutôt que par l'humanité demeurée en innocence.
Et Dieu, ainsi glorifié, a acquis ce droit maintenant de nous bénir,
et de déployer envers nous, de déployer à l'égard de l'homme,
ses plans d'amour et de grâce qui datent de toute éternité.
La croix lui donne ce droit de déployer toute sa grâce.
Nous sommes justifiés maintenant par sa grâce,
nous sommes justifiés par le sang de la croix.
David XVI est le chapitre sur lequel s'articule d'ailleurs le début de l'oseille bleue,
comme nous le savons.
Dans le livre des nombres, nous pensons à la génisse rose, le nombre 19,
nous ne pouvons pas nous y attarder pour entendre notre grand homme
nous porter nos regards sur la génisse qui descend dans la vallée.
Elle n'a jamais porté le jour.
Mais il s'agit de répondre aux nécessités d'un crime qui a été commis,
et il s'agit de faire face à la responsabilité de ceux qui sont engagés d'être liés.
La ville la plus coupable.
Il fallait mesurer, donc à partir de l'endroit où l'on trouvait un homme tué dans les champs,
il fallait mesurer quelle était la ville la plus coupable.
Quelle est la ville la plus coupable au monde ?
Quel est le peuple le plus méchant de la terre ?
C'est le peuple qui a été le plus privilégié.
C'est la ville qui a été portée au ciel.
C'est Jérusalem.
Et il fallait mesurer, à partir de celui qui était trouvé tué dans les champs,
quelle était la ville la plus proche.
C'est Jérusalem.
Mais la grâce de Dieu est telle, chers amis,
qu'au premier soleil du champ, c'est par Jérusalem
qu'il fallait commencer à annoncer l'évangile de la grâce de Dieu.
Le Seigneur commissionne dans ce monde à vos disciples
et leur dit de commencer par Jérusalem
afin que là où le péché est abondé, la grâce soit abondée.
Satan veut mobiliser toutes ses forces.
Le peuple juif, les romains, tous les hommes sont ligués ensemble à la suite de Satan.
Les puissances spirituelles de méchanceté sont toutes là autour de la croix
et apparemment Satan remporte la victoire la plus complète.
Mais dans cette victoire apparente,
il essuie une défaite dont il ne se relèvera jamais
car sa tête a été brisée, son pouvoir a été détruit.
Et maintenant la grâce de Dieu peut se débrouiller envers Jérusalem.
Et selon le propos de Dieu, car les dons et l'appel de Dieu sont sans fond dire,
cette ville dans un jour à venir sera élevée par un effet de la puissance de Dieu
et sera la métropole de toute la terre.
Bien que, prenez en passant, nous ne l'oublions pas,
à côté de la grâce de Dieu, un déraille du chemin de terre,
l'autre raille le gouvernement de Dieu.
Et selon le gouvernement de Dieu, ce pauvre peuple va devoir passer dans les jours à venir
par une tribulation sans précédent.
Mais pour nous montrer, chers amis, pour essayer de nous montrer
que tout l'Ancien Testament est rempli de Christ,
et en particulier des 5 livres de Moïse.
Le livre de l'Exode nous donne dans le chapitre 40
le résumé et le résultat de tout ce qui précède.
C'est l'arrangement que Dieu a prévu et qui est maintenant mis en œuvre par Moïse.
Il y a à peu près 9 mois que le tabernacle a été commencé
et qu'il s'agit maintenant de le dresser le 1er mois,
le 1er jour du mois, la 2ème année, à l'heure sortie des jus.
Remarquons qu'il s'agit d'un anniversaire extraordinaire.
Au 1er mois, l'année précédente, la Pâque a été offerte.
Et au 1er mois de l'année qui suit, maintenant le tabernacle est constitué,
le tabernacle est construit.
Dieu ne peut habiter avec l'homme qu'en vertu de la rédemption.
Car, en effet, Dieu n'a pas habité ni avec Adam, ni même avec Abraham.
Il visitait Abraham, il a prêté Abraham comme son ami,
le terme est dans l'écriture, et il lui a donné des communications du plus haut prix,
mais jamais Dieu n'a habité avec Abraham.
Dieu n'habite avec l'homme qu'à partir du moment où, en figure, la rédemption est accomplie.
C'est après le sang qui a été aspergé sur les poteaux et sur le linteau de la porte de l'Israélite,
c'est après que le sang a répondu à toutes les exigences de la justice de Dieu,
que Dieu peut dire maintenant qu'il habiterait au milieu de l'homme.
Et le tabernacle est une image de ce qui se trouve dans les lieux célestes,
c'est l'ombre, c'est la figure de ce qui se trouve dans les lieux célestes,
c'est aussi une image de l'Église, c'est l'ombreux, c'est aussi et surtout,
nous l'avons dit tout à l'heure, un type précieux dans tous ses détails,
les gloires de Christ, de ce qu'il a été dans sa personne, de ce qu'il a été dans son corps.
On a dit que dans le livre de l'Exode, après la rédemption,
Dieu énonce à Moïse des choses bien précieuses.
Il commence d'abord par les symboles que l'on appelait du déploiement,
c'est-à-dire comment Dieu se révèle, comment Dieu se manifeste.
Il y a ensuite les symboles d'approche, comment on s'approche de Dieu.
Quand Dieu commence avec Moïse, il parle d'abord de ces symboles de déploiement
et il va placer devant nous l'objet qui est suprême pour son cœur.
Comment en parle-t-il dans le livre de l'Éritique ?
Il y a toute une série de sacrifices.
Dieu ne commence pas par ce qui est nécessaire à l'homme.
Nous, nous avons besoin de sacrifices pour le péché.
Nous avons besoin d'avoir nos péchés pardonnés.
C'est le premier pas dans la vie de Dieu.
La vie de Dieu, quand l'homme reçoit, commence à la croix,
au pied de la croix, lorsqu'il a l'assurance d'avoir reçu le pardon de ses péchés.
Mais Dieu ne commence pas par le sacrifice pour le péché,
Dieu commence par le recours.
Dans les symboles du déploiement, il en est pareil, il en est ainsi.
Il commence par ce qui répond aux pensées de son cœur.
Mais de quoi va-t-il parler à Moïse, en premier lieu ?
De quoi parle-t-il ?
Du lieu très saint, car le chapitre se divise en sept parties,
sinon on devient compté du chapitre 40.
Et la première chose qui est placée devant nous,
c'est le lieu très saint dans lequel il y a l'arche.
Autrement dit, Christ est tout dessous, placé devant nous.
C'est la première pensée de Dieu, c'est l'objet le plus précieux de son cœur.
Christ devant lui, l'œuvre de Christ toujours devant lui.
Et on a dit, pour Dieu, l'œuvre de Christ est toujours présente,
comme celle avait eu lieu ce matin.
Si on était ainsi pour nous, chers amis,
notre vie serait entièrement transformée.
Pour Dieu, c'est comme si la croix avait été dressée ce matin.
La croix de notre Seigneur Jésus-Christ est toujours là devant lui.
Alors nous avons le tabernacle dressé,
tu placeras l'arche du témoignage et tu la couperas avec le voile.
La première chose dont Dieu nous parle, c'est l'arche.
Autrement dit, la personne de Christ.
Car en effet, l'arche était constituée de deux matériaux,
le bois de citine, bois imputrécible, bois d'acacia,
mais plaquée d'or, recouverte d'or pur, à l'intérieur comme à l'extérieur.
Autrement dit, nous avons là la gloire de la personne de Christ,
c'est-à-dire sa divinité toute puissante, unie à l'humanité dépendante.
Le bois de citine, la racine qui sort du tronc des ailes,
l'Orient d'en haut et en même temps le germe,
et l'or nous parle de sa gloire divine.
Cet assemblage, cette combinaison harmonieuse que nul ne peut sonder.
Le Père seul connaît cette gloire.
Seul le Père connaît le Fils.
Personne ne connaît le Fils si ce n'est le Père.
Et Dieu n'a confié à personne, n'a donné à personne la révélation de ce secret.
C'est-à-dire l'union de la divinité avec l'humanité.
C'est un secret inscrutable pour l'homme.
Si nous pouvions l'aborder, nous ne serions plus des hommes.
Dieu seul, pour s'aider, connaît ce secret et il ne l'a mis vers personne.
Le sens que dans l'Ancien Testament, il était défendu de regarder dans l'arche.
Voir venir l'arche quand elle était absente de la terre d'Israël et qu'elle rentrait dans le pays,
c'était un sujet de jour incomparable.
Mais lorsque les mêmes hommes ont voulu regarder dans l'arche avec ses mèches,
Dieu les a frappés.
Nous ne pouvons pas sonder l'arche.
Nous ne pouvons pas connaître les limites de la divinité et de la sainte humanité du Sauveur.
C'est un secret.
Dieu l'a caché dans l'inscrutabilité de sa personne.
Personne ne connaît le Fils si ce n'est le Père.
Et aujourd'hui, où l'ennemi s'acharne contre les vérités fondamentales,
il n'a pas manqué de porter à deint, d'essayer, de mettre tout en œuvre pour porter à deint à cette vérité capitale.
Sans le maintien de laquelle, il n'y a pas de christianisme.
Car c'est le surfondement.
Christ est la pierre angulaire.
Christ est le fondement.
Et sinon, tout à ce fondement, il n'y a pas d'édifice possible.
Première chose, l'arche, Christ dans toute la gloire de sa personne.
Qu'y avait-il sur l'arche ?
Non seulement il y avait l'arche, il y avait le corps,
mais il y avait le propitiatoire d'or pur.
Sur l'arche, couverte de l'arche,
avec les deux chérubins qui ont bragé le propitiatoire.
Non seulement Christ dans la gloire de sa personne,
mais aussi Christ dans toute l'efficace de son œuvre.
Le propitiatoire nous parle de la valeur de son œuvre.
C'est ce que Paul nous dit dans les termes même en revue 3.
Maintenant, sans loi, sans que la loi intervienne,
la loi n'a rien pu faire pour l'homme,
la loi n'a rien pu donner à l'homme,
maintenant sans loi, la justice de Dieu est manifestée.
La justice vive de Dieu envers tous et sur tous ceux qui croient,
étant justifiée gratuitement par sa grâce,
par la rédemption qui est dans le Christ Jésus,
lequel Dieu a présenté pour propitiatoire,
par la gloire de son sein.
Non seulement sa personne, mais l'œuvre accomplie,
le sang répandu, la vie donnée,
qui répond à toutes les exigences de Dieu
et qui me permet de me tenir maintenant
saint, irréprochable, irrépréhensible devant Dieu.
Qu'est-ce que c'est cela, chers amis ?
Saint, c'est à dire qu'un croyant lavé dans le sang de Christ
répond entièrement à la nature de Dieu.
Car en venant à la croix et en recevant cette vie nouvelle,
c'est la vie de Dieu qui répond à sa nature dans son caractère.
Saint, je suis saint, je réponds à la nature de Dieu,
lavé dans le sang de Christ, possédant la vie de Christ,
sans association avec lui au-delà de la mort,
et ensuite irréprochable,
aucun reproche ne peut être fait en croyant.
Dieu m'a tout pardonné,
l'œuvre de Christ a répondu pleinement
tout ce qui était nécessaire pour cela.
Irrépréhensible, c'est à dire rien ne peut mettre mie en charge.
Je réponds à la nature de Dieu,
aucun reproche ne peut mettre paix maintenant
quant à ma position en Christ,
et rien ne peut mettre mie en charge.
Saint, irréprochable, irrépréhensible,
nous le devons à l'arche, nous le devons propitiatoire.
C'est la première chose que Dieu a devant nous,
et nous entrons dans le tabernacle
par l'endroit le plus fermé, le plus saint,
c'est à dire le saint des saints lui-même,
dans lequel il y avait l'arche,
qui était transportée alors
lorsque le voile était placé sur elle,
et maintenant la couverture qui est question vers ses foies
serait donc le fait qu'elle est cachée par le rideau
qui descend devant elle.
On pense, en disant attentivement à l'écriture,
que les sacrificateurs défendaient donc le rideau
et puis le laissaient tomber sur l'arche
sans regarder l'arche, la transportaient,
sur le rideau il y avait le voile de bleu en plus,
et quand l'arche était entrée dans le tabernacle
après un transfert dans le désert,
la même opération en sens inverse s'accomplissait.
On prenait le rideau, on le reprendait
de telle manière que le rideau cachait l'arche.
C'est à dire que toute la gloire de la personne de Christ
était cachée dans son humanité.
Car le rideau, il y en a trois,
vous avez tous remarqué cela,
il y a le rideau qui cache l'entrée du saint des saints,
il y a le rideau qui est à l'entrée du vieux saint,
et il y a le rideau qui est à l'entrée du parui.
Les trois rideaux sont faits de la même matière,
le bleu, la porte, les cadavres, le fin coton, le tord.
Les gloires du Seigneur sont présentées
par chacun des églises.
Mais une chose extraordinaire
et qui ne peut manquer de frapper un lecteur authentique,
dans le voile du parui,
le Seigneur a dit, nous n'oublions pas,
« Je suis la porte » car nous commençons par l'arche.
Et vous voyez, nous allons terminer ou l'insérer
par le rideau de la porte du parui,
nous avons parlé des symboles et des commandes,
les voilà, nous commençons par l'arche
et nous terminons par le rideau du parui.
Autrement dit, par la porte
par laquelle nous entrons
dans la connaissance et la jouissance de Dieu lui-même.
Alors, cette porte du parui,
ce rideau, est différent des deux autres rideaux,
quoique constituent des mêmes matériaux,
en ce sens qu'il ne comporte pas de chérubin.
Chérubin, expression du jugement de Dieu.
Il se trouve sur le rideau,
qui est l'entrée du lieu très saint,
comme il se trouve sur les tentures
qui descendent, qui constituent le lieu très saint.
Partout dans le lieu très saint,
lorsque l'on regarde, on trouve des chérubins.
Et sur le voile, et sur les tentures,
qui forment l'enceinte du lieu très saint.
Les chérubins vont nous parler
des saines exigences de Dieu
qui toutes ont été satisfaites.
Il y a un homme maintenant au ciel
qui a passé par le jugement de Dieu,
qui l'a supporté.
Et celui qui a pu supporter ce jugement de Dieu,
nous ne l'oublions pas non plus,
est celui que Dieu a éclaté,
juge des vivants et des morts.
Cet homme qui est au ciel, qui a souffert,
qui a été maîtrisé, qui a été rejeté,
qui a été humilié, jugé à quoi ?
D'une part par l'ombre, et qui a supporté
tout le poids du jugement de Dieu.
D'autre part, c'est lui qui demain va juger
tous les hommes, les vivants et les morts.
Les chérubins rappellent cela,
comme dans le lieu saint.
Mais, sur la porte du baril,
bien que le rideau,
qui est donc la porte du baril,
bien qu'il soit fait aussi de fleux,
de potes, des canards et de pimpoteaux,
nous n'avons pas de chérubins.
Les juifs, à un moment donné,
vous vous rappelez toute cette scène,
ils ont surpris une femme dans la condition
que chacun se rappelle.
Et ils se disent maintenant,
il ne peut plus échapper,
il ne peut pas être en contradiction
avec ce qu'il a dit.
Il a dit qu'il était venu accomplir la loi.
Or, la loi nous dit, nous enseigne,
sans équivoque, qu'une telle femme
doit être napidée.
Il nous a dit qu'en même temps,
il veut miséricorde et non pas sacrifice.
Mais dans ce cas, il doit prononcer le jugement.
Eh bien, chers amis, il n'y avait pas de chérubins
sur le baril. Comment le sait-il avoir pu le faire ?
Quand les invités ont été la première pierre,
ils vont commencer à sortir
par celui, les uns après les autres,
le plus âgé d'abord que lui.
Le Seigneur dira,
Où sont ceux-là,
les accusateurs ?
Nul ne s'est-il condamné ?
Pas de chérubins sur le voile.
Moi non plus, je ne te condamne pas.
Voyez comme l'effectue un parfait don,
même dans le type.
Pas de chérubins sur le voile du rideau,
car nous avons là une image de Christ
qui nous invite à entrer dans la présence de Dieu.
Et ce que les chérubins requièrent,
contre nous,
lui allait le porter,
allait le supporter en son corps sur le voile.
Car il a porté nos péchés
en son corps sur le voile.
Donc nous avons le lieu sain,
le lieu très sain.
Nous entrons ensuite dans le lieu sain
à partir du verset 4.
Tu apporteras la cave,
il y a le chandelier et l'autel d'or.
Trois objets,
trois ustensiles importants dans le lieu sain.
Donc commencer dans le lieu très sain,
où il n'y a, pour comment parler,
que l'arche, Christ,
qui est là devant Dieu.
Le trône de Dieu, la gloire de Dieu,
enfermé dans le cavernable,
dans le lieu très sain,
par le rideau.
Sauf que pour nous aujourd'hui,
ce rideau, ce voile a été déchiré.
Car pour les juifs,
le rideau marquait bien
que Dieu était caché dans le cavernable
et qu'il n'y avait pas d'accès.
Il n'y avait pas de chemin ouvert.
Il n'y avait pas de chemin ouvert jusqu'à Dieu.
Tandis que pour nous,
il y a aujourd'hui un chemin nouveau,
un chemin vivant,
ouvert jusqu'à Dieu.
Car, après l'heure de Christ,
le voile a été déchiré de plus haut jusqu'en bas.
Dieu montrant ainsi
que c'en était fini de cet ordre de choses ancien,
qu'un ordre de choses nouveau
lui succédait et que l'entrée
était établie
en justice devant lui.
Et qui est entrée le premier.
Dans l'Évangile, selon lui, c'est elle,
ma femme.
Aujourd'hui, tu seras avec moi dans ton paradis.
C'est un pauvre brigand que le Seigneur
dit cela, et c'est à ce moment-là
que nous avons la mention du voile déchiré
d'un lieu très sain, ouvert,
en faveur d'un brigand
tel que cet homme,
mais lavé dans le sang de Christ.
Il entre avec le Seigneur
dans ton paradis, à travers un nouveau,
par un nouveau, par un chemin
nouveau et vivant.
Le voile est donc déchiré pour nous.
Maintenant, dans le lieu sain,
dans la première partie du tabernacle,
les deux n'en font plus qu'un maintenant,
nous avons donc trois ustensiles
importants. Nous avons le chandelier,
nous avons la table,
et nous avons l'autel d'or.
Le chandelier nous parle toujours de lui.
Il s'agit de lui dans tous les ustensiles.
Le chandelier nous parle de lui.
C'est un bloc d'or
d'un talent
qui ne comporte pas de pièces rapportées,
il était battu au marteau
pour former ce bloc d'or
d'un talent qui est battu au marteau
pour former, après avoir
été l'objet du travail
de cet artisan, pour former
cette pièce admirable
où il y a une tige centrale
et puis trois d'un côté,
trois de l'autre côté,
trois tiges pour former sept tiges
qui sont issues,
sorties de lui, qui font corps avec lui.
Ce ne sont donc pas des pièces rapportées,
mais le marteau
de l'artisan a formé
cet ensemble,
Christ la tige et les croyants
en association avec lui
pour refléter,
pour porter dans ce monde
cette lumière
qui a brillé de tout son éclat.
Nous sommes lumières
dans le Seigneur. Nous sommes,
comme Paul le dit dans l'Épée toponique,
des luminaires dans ce monde.
En association avec lui,
la vraie lumière qui a
brillé dans ce monde,
en association avec lui,
cette vie que nous possédons maintenant,
cette vie nouvelle, elle se caractérise
dans la lumière. Nous sommes lumières
dans le Seigneur. Sauf que,
ce ne sont pas des pièces rapportées,
mais tout est issu de lui,
tout vient de lui. Lui, la tige centrale
du Jean de Lis.
La première chose que le Jean de Lis faisait,
c'était de s'éclairer lui-même.
Car le Saint-Esprit rend témoignage
de la gloire de Christ. L'huile
qui alimente le chandelier
qui marge du Saint-Esprit
et qui alimente les lampes, c'était d'abord
pour éclairer sur le devant du chandelier.
Il prendra de ce qui est
à moi pour vous l'annoncer.
Le Saint-Esprit passe devant nous
toutes les gloires de Christ. Le chandelier
qui éclaire dans le lieu saint.
Le chandelier qui éclaire
la table sur laquelle il y avait
les pains de proposition,
les douze pains sur la table.
Vous avez remarqué l'expression
nous avons donc au verset 4
tu y arrangeras ce qui
doit être arrangé.
Il y avait donc un arrangement
à prévoir, à observer
à l'égard des pains
que l'on plaçait sur la table.
Au verset 23,
et il ranja sur elle en ordre
le pain
devant l'éternel, comme l'éternel
l'avait commandé à Moïse.
Il n'y a donc pas d'arrangement humain,
c'est un arrangement ordonné par
Dieu, en ordre
tu arrangeras ce qui
doit être arrangé.
Quel enseignement, chers amis, pour nous,
important ? Qu'est-ce que cela
signifie pour nous ? Ce qui doit être
arrangé ? Ce qui doit être maintenu
en ordre ? De quoi nous parle
la table ? Avec les pains ?
Avec cet arrangement, ce qui doit
être ordonné ? Cela donne un enseignement
du plus haut prix pour nous, un enseignement
très pratique, car Christ est en effet
la table, avec son couronnement
d'or et les douze pains,
en association
vivant avec ceux
dont il a fait des
enfants de Dieu, à l'égard
desquels il n'a pas honte de dire
ce sont mes frères, et qui sont devenus
membres de lui-même.
Car l'œuvre de Christ
est telle que nous sommes devenus
des membres du corps de Christ.
Christ est présenté comme le chef de la famille,
comme le berger du troupeau.
Christ est présenté comme le
souverain sacrificateur de notre confession,
mais aussi comme l'écoute
de l'église, et
comme la tête du corps.
Et il n'y a pas de figure plus
saisissante, plus touchante
pour nous parler de l'association
de Christ avec les siens,
avec son église,
qui est son corps formé de
tous les croyants, à un moment donné
sur la terre. C'est
l'aspect que nous
trouvons dans l'Épître aux Corinthiens,
tandis que dans l'Épître aux Éphésiens, nous avons
l'église vue comme le corps de Christ,
mais selon la pensée de Dieu,
dans son ensemble, telle que
l'église sera ce soir peut-être
au ciel avec le Seigneur,
elle sera alors vue selon la pensée
de Dieu révélée dans l'Éphésien.
Mais dans l'Épître aux Corinthiens, nous avons
le corps, à un moment donné,
ce soir, à l'heure qu'il est, il y a
maintenant sur la terre, le corps de Christ.
Formé de tous les vrais
croyants, cette unité du corps
de Christ, elle n'est plus visible.
Hélas, la dispersion
des croyants est telle,
la ruine intervenue fait que
cette unité extérieure n'est pas
visible, mais elle existe.
Et aussi bien aujourd'hui qu'au
plus beau jour du livre des actes,
la parole de Dieu ne peut être
anéantie, l'infidélité de l'homme
ne peut pas cultiver la parole
de Dieu, les déclarations divines,
il y a un seul corps.
Aujourd'hui, comme au plus beau jour
de l'Église, il y a un seul corps, car
ce corps est formé
par le Saint-Esprit,
ce corps est formé de tous les vrais
croyants qui ont reçu l'Avis de Dieu,
qui ont reçu le Saint-Esprit, consos
de leur croix, et qui sont ainsi
unis d'une manière vitale,
indestructible avec Christ
qui est la Fête glorifiée au Ciel.
C'est la vérité que l'apôtre Paul
a déjà prise, le jour de sa
conversion sur le terrain de Damas.
J'ai persécuté, dit-il,
outre mesure l'Assemblée de Dieu.
Comment le Seigneur lui parle-t-il ?
J'ai persécuté, dit-il, l'Assemblée de Dieu.
Comment le Seigneur lui
parle-t-il ? Seul,
seul pour croire, me
persécutes-tu ?
De sorte que, pour la France, sur le chemin de
Damas, déjà la substance
des vérités qui nous seront révélées plus tard,
qu'en persécutant Jésus,
il persécutait
l'Assemblée de Dieu formée de tous les
croyants sur la terre contre lesquels
dans son aveuglement,
contre lesquels dans son aveuglement, il
se ruait sans aucun sentiment
quelconque de
pitié ou de ménagement
aucun. C'était un véritable,
comme on l'a dit, un véritable
benjaminite dont le nom
veut dire un loup qui déchire.
Mais ce loup qui déchire
allait devenir, par la grâce de Dieu,
une brise, un homme
qui aurait donné sa vie pour les faire,
aussitôt que l'âme a demandé,
il aurait été fait.
Eh bien, chers amis, il y a
l'arrangement convenable, car
quelle que soit la ruine intervenue
dans l'Église, dans la Création,
quelle que soit la forme revêtue
par l'Église qui est devenue
cette immense crétinité, il y a
ce qui est vital, le corps de Christ.
Comment devons-nous voir l'Église aujourd'hui ?
Dans les enseignements si précieux
que nous avons reçus, il y a deux
manières de voir l'Église.
Si nous la voyons seulement comme elle est
aujourd'hui, défigurée, dans la ruine,
dans la faiblesse,
marchant à grands pas vers
l'apostasie, il y a bien de quoi être affligé
et être peut-être découragé.
Et nous devons avoir ce sentiment.
Mais nous ne devons pas, il n'est pas possible
que nous nous limitions à cette vue
de l'Église. Car, comme je viens
de le dire quelque part, nous regardons l'Église
comme elle était
au commencement et comme elle sera
à son point d'arrivée.
Et cela nous donne du courage en
voyant comment elle est sortie
au beau jour
du livre des actes.
Lorsqu'elle est sortie, dans toute
sa beauté, pour être présentée au Seigneur.
Et comme elle sera demain
lorsqu'il va se la présenter à lui-même,
glorieuse,
sans tâche, ni rite, ni rien de semblable.
Nous considérons l'Église
comme elle est sortie
des mains du Seigneur dans le livre des actes
et nous la regardons
telle qu'il va l'avoir peut-être ce soir.
Se la présenter à lui-même
parée de toutes ses gloires.
Aujourd'hui, si nous la regardons,
c'est un sentiment de tristesse,
de honte
qui doit nous remplir.
Mais sans oublier ce sentiment
de joie, de triomphe
qui s'appuie sur la vérité de Dieu
car le sur fondement de Dieu
demeure ne peut être ébranlé.
Dans nos éphorons,
c'est un sentiment tout à la fois.
C'est ce qu'il faisait dire mon cher Laurentien.
Notre témoignage aujourd'hui,
et ne serions-nous que quelques-uns à le réaliser,
notre témoignage aujourd'hui,
nous que le Seigneur a éclairé,
à qui le Seigneur a confié un dépôt
aussi précieux,
notre témoignage est à l'unité du corps de Christ,
mais aussi
nous ne pouvons l'oublier
à la ruine de l'Église.
Comment avons-nous cet arrangement ?
Où trouvons-nous cet arrangement ?
Ici, chaque dimanche matin.
Car à quelques-uns seulement,
nous n'aurions jamais dit
que nous sommes l'Assemblée ou que nous sommes les frères,
nous sommes seulement des frères.
Nous ne sommes que des biens,
fait l'expression de l'Assemblée.
Mais nous tenons sur le terrain du seul corps de Christ.
Ne reconnaissons que
ce terrain sur lequel
la table du Seigneur est dressée.
La table du Seigneur ne peut être dressée
sur un autre terrain.
Qu'est-il encore ? Celui adopté par les croyants
ou mis en œuvre
par les croyants, si fidèle soit-il,
nous ne pourrions dire qu'il y a
la table du Seigneur. Dieu ne reconnaît
sur la terre qu'un seul corps.
Celui qui est formé par tous les croyants.
Et la qualité,
le mot de membre,
la qualité de membre,
ne se rapporte qu'au corps de Christ.
Jamais dans l'Écriture, nous ne sommes vus
comme faisant partie d'une Église.
Nous ne pouvons jamais dire que nous sommes
membres de l'Église de Benville.
Par accommodation, peut-être,
pour nous faire comprendre, mais en réalité,
la qualité de membre
ne se rapporte qu'au corps de Christ.
Nous sommes membres du corps de Christ,
pas membres d'une Église locale.
Une assemblée locale
n'est qu'une expression de cette assemblée tout entière.
Et ce qui établit
la communion entre les diverses assemblées
réunies sur ce terrain, c'est la table du Seigneur.
Et la table du Seigneur
n'est donc dressée que sur le terrain
du seul corps de Christ, le seul que Dieu reconnaisse.
Et nous nous tenons là
comme des membres du corps de Christ,
nous prenons la scène ensemble,
c'est le mémorial selon la Corinthienne 11,
mais dans la fraction du pain,
à quelques-uns seulement,
comme en qualité de membre du corps de Christ,
nous exprimons l'unité de l'Église
tout entière.
Nous en sommes une faible expression,
mais le principe est le principe
divin du rassemblement,
et il n'y en a pas d'autre.
Ce principe est le principe divin du rassemblement,
et il n'y en a pas d'autre.
Ce sont, vous voyez, déjà dans l'Ancien Testament,
nous avons rassuré
en ordre le pain devant Dieu,
verset 23,
le pain en ordre devant Dieu.
Non seulement nous nous souvenons d'un mort du Seigneur,
mais nous proclamons
à la table du Seigneur que nous formons
avec tous les croyants,
les embrassons dans nos cœurs et dans nos pensées,
les embrassons tous sans en oublier aucun,
nous proclamons
qu'il y a un seul corps,
le plus beau jour de l'église.
J'ai le bonheur d'avouer que cette
unité du corps de Christ
ne défend en aucune manière de nous.
La manifestation est sérieuse,
elle est terminée, nous avons nous emmené
à mener deuil, mais
la vérité de Dieu demeure,
et nous rendons témoignage à ce qui
ne peut être ruiné.
Et puissons-nous le faire
avec les sentiments qui conviennent,
en réalisant la ruine et en pleurant
sur la ruine comme tous les hommes de Dieu l'ont fait,
mais en proclamant qu'il y a,
comme au plus beau jour, comme au plus mauvais jour
de l'histoire d'Israël, qu'il y a douze
fins sur la table. Et il y reconstitue
un autel de douze pierres.
Ces hommes de Dieu ont toujours réalisé
la pensée de Dieu que pour lui,
quels que soient les temps dans lesquels Israël
s'est trouvé, le schisme intervenu,
pour la foi, il y avait douze
fins sur la table, il y avait
l'arrangement convenable,
et le fin en ordre.
Devant l'éternel, c'est-à-dire
deux rangées de six fins,
les douze tribus d'Israël rappelées devant
Dieu pendant toute la nuit
de l'existence d'Israël, et malgré sa
dispersion et les circonstances
si tragiques que ce peuple a connues
au cours de son existence. Pour Dieu,
il y a toujours douze fins sur la table.
Et la foi peut triompher en disant
« Et ainsi, tout Israël sera sauvé,
car un jour, les douze tribus seront
là sur la scène. » Comment les trouver
aujourd'hui ? Comment nous penser
à cela ? Comment retrouver
tous les croyants ? Si nous voulions
chercher tous les croyants des environs
ici pour nous réunir,
ce serait une tâche impossible. Mais Dieu
connaît ceux qui sont ici.
Et Dieu n'en oubliera aucun.
Et dans le prophète des Égales,
en parlant des dix tribus qui sont
perdues aujourd'hui, le Seigneur dit
« Je n'en laisserai aucun
de reste parmi les nations. »
C'est un miracle extraordinaire. Qui pourrait
le trouver des dix tribus aujourd'hui ?
C'est au-delà de... Cela dépasse
l'entendement humain. Et bien Dieu dit
« Je ne laisserai aucun de reste
» Ézéchiel 39
« Je ne laisserai aucun des fils
d'Israël de reste parmi les nations. Ils seront
tous dans leur terre. Et ainsi,
selon sa promesse, tout Israël sera
sauvé, les douze pains en rang
de témoignage. » Il y avait
ensuite l'hôtel d'or, l'hôtel
du culte, l'hôtel
sur lequel brûlaient l'encens,
l'encens pur,
qui était salé, qui était pur,
qui était saint, pour attester
les trois qualités essentielles,
fondamentales
que les apôtres
affirment quand
ils disent l'un Paul,
l'autre Pierre et le troisième
Jean, qu'il n'a pas connu de péché,
qu'il n'a pas commis de péché
et qu'il n'y avait pas de péché en lui.
L'encens que l'on brûlait sur l'hôtel
salé, pur, saint, c'est-à-dire
faire monter devant Dieu
toutes les grâces de Christ, rappeler
devant Dieu tout ce que son Fils
a été dans sa carrière
sur la terre, la parfaite offrande
de gâteaux, sur laquelle
on plaçait d'ailleurs
l'encens pour le faire brûler
toutes les gloires de la personne de Christ.
L'hôtel
de l'encens, l'hôtel d'or,
pour finir alors par le parvis
à partir de la cécise,
où il y avait l'hôtel de l'Holocauste et la cuse
des reins, entre
l'hôtel et
le tabernacle, et nous terminons
par le rideau, comme nous l'avons vu au verset 8.
L'hôtel
dans le parvis, la cuse
des reins. Nous avons dans
le verset 9 à 11
la mention de l'huile de l'ancien
avec laquelle il fallait rendre tout
le tabernacle. Quelle
vérité importante, Jérémie.
Selon le nom de Dieu, tout fut
rendu, Christ a été
de même consacré
et roi d'Esprit Saint et de puissance.
Comme il devait réconcilier
toutes choses par son sang,
nous avons ici
la mention du Saint-Esprit
qui porte partout dans le tabernacle
qui avait été aspergé de sang,
le Saint-Esprit,
l'huile avec laquelle on roint
tous les ustensiles, le Saint-Esprit
porte partout
le témoignage de l'efficace
de la valeur de ce sang en vertu
duquel Dieu était glorifié,
les croyants sauvés, Israël
restauré et les nations
amenées à la bénédiction sur la terre
dans un jour à venir et l'Église
unie à son chef
pour l'éternité. Le Saint-Esprit
en témoignage de toutes ses gloires.
Et que dit-il ?
Tu sanctifieras l'autel,
verset 10, et l'autel sera
une chose très sainte.
Le Saint-Esprit
nous ramène à l'autel
une chose très sainte, c'est-à-dire
il nous ramène à la croix.
Et c'est une journée très sainte.
L'autel, l'autel de l'Holocauste,
là où
Christ a été offert,
où Christ a souffert,
où tout a été brûlé sur l'autel,
non pas à demi-cuit,
mais roté au feu.
L'intérieur, la tête, les jambes,
le sacrifice qui est brûlé tout entier
sur l'autel, il faut nous rappeler,
il faut nous annoncer qu'il a souffert,
qu'il a été l'objet
de tout le jugement de Dieu.
Lorsque l'homme a mis le point final
à tout ce qu'il avait dans son cœur
d'immunité contre Dieu,
alors Dieu entre en scène.
Dans Matthieu 27, il y a un met
de la plus haute importance.
Le Seigneur a été provoqué,
Dieu a été provoqué de toute manière.
Le Seigneur a été insulté par l'homme
comme roi d'Israël,
comme fils de Dieu,
comme sa gloire personnelle, sa gloire islamique,
sa gloire officielle,
tout est jeté par terre.
C'est le fils de Dieu.
C'est le roi d'Israël, c'est le fils de Dieu.
Qu'est-ce que Dieu va faire devant cette meute ?
Une assemblée de méchants
va enfourner les taureaux de bas en fond.
C'est le psaume 22.
Remarquons que le Seigneur n'a pas un mot
provoquant de ses ennemis.
Tout ce qu'il dit, il nous ouvre son cœur
dans le psaume 22, c'est un écrin
qui s'ouvre devant nous pour nous faire admirer
le plus admirable des joyeux.
Tout est pour Dieu, pas un mot,
pas un geste de défense.
C'est le psaume 22.
Et dans le moment de son tourment suprême,
il s'élève au niveau
des louanges les plus hautes
de l'histoire. Il s'élève la sainteté
de Dieu. Qu'est-ce que Dieu va faire
au moment où son fils
est ainsi
est ainsi
admis par l'homme ?
Eh bien, il y a ce nez
que nous devons laisser, mais
depuis la sixième heure
jusqu'à la neuvième heure, il y a des ténèbres
au moment où l'homme termine
l'histoire de son cœur
d'une manière
concilieuse, Dieu entre en scène.
Dieu commence et Dieu
s'entoure, entoure la croix
dans la voile de ténèbres, sort son épée.
Épée, voilà la réponse
de Dieu.
Épée, réveille-toi
contre l'homme qui est mon
compagnon. Et toi éternel,
Dieu est saint, ne te tiens pas loin.
Ma force, attends-toi de me secourir.
L'autel est une chose
très simple, qui pourrait ressembler
les heures de ténèbres,
ce qui s'est passé lorsque
le Seigneur portait comme nos chants dans les boucles
l'éternité de notre châtiment.
Les souffrances que l'homme lui a
impligées ne sont qu'une entrée en matière
pour
connaître
les affreux abîmes,
le fond des mers,
descendre jusqu'au fond du chéros
lui-même. Je ne sais d'où j'en suis,
c'est un parc d'autres
encombres. L'autel,
vous voyez, dans toute cette liste du
stanzil, l'Esprit de Dieu nous souligne
que l'autel est une chose très simple.
L'autel dans le parvis.
Et moi, si je suis élevé de la terre,
l'autel dans le parvis
nous parle de la croix sur laquelle
le Seigneur est élevé. Il n'a plus un
pouce de terrain sur la terre. C'est comme si
l'homme lui disait, retourne au ciel
où tu es venu. Nous n'avons pas besoin de toi
sur la terre.
L'autel est une chose très simple.
Évidemment, par le fait
maintenant, mon Dieu, merci de nous
remercier de cette échelle,
de la chose très simple que nous
exéduions. Quel enchaînement
merveilleux de pensées,
si douce à nos cœurs,
comme nos cœurs brûlent de joie
en lisant ce que nous avons là,
comme cela est digne de Dieu,
comme cela annonce cette grâce
merveilleuse de Dieu.
La grâce est douce et tu seras
approché à Aaron et ses fils.
Voilà les symboles d'approche.
C'est le résumé de ce que nous avons dans les chapitres
25 à 29.
Ici, ce sont les symboles d'approche.
En vertu de ce qui s'est passé, nous sommes
partis de l'arche jusqu'à la porte
vue par lui, par laquelle nous sommes entrés
pour contempler la croix
au pied de laquelle nous avons tué le pardon
de nos péchés. Et maintenant, nous
commençons à approcher. Et toi, fais approcher
à Aaron et ses fils. Nous sommes
associés avec lui sur un terrain
nouveau, celui de la rédemption accomplie.
Il a établi mes pas.
Il m'a placé sur un roc.
Il a mis dans ma bouche un cantique nouveau,
la louange de notre Dieu.
Nous sommes maintenant
des pierres vivantes, une sainte
sacrificature, et nous pouvons
avec lui en donner déjà
le cantique nouveau. Nous chantons
déjà maintenant par la foi
ce que nous allons chanter en bénitude
lorsque nous le verrons, et que
tout ensemble, on nous le vend.
À quel moment ce sera, car
autour du front, quand nous allons le voir,
nous allons tous nous lever
et nous jeter sur nos faces devant lui.
Je vais lui dire, en chantant
ce cantique toujours nouveau,
tu es digne de trembler
dans ronfle et saut, car
tu as été immolé. L'autel est
une chose très simple. Fais approcher
à Aaron et ses fils. C'est en vertu de
ce sacrifice que nous approchons
et que nous sommes un, au verset
13, Aaron est un,
nous nous sommes un aussi. Lui a été
un avant que du sang soit répandu.
Il a été un de l'Esprit Saint et de puissance
en vertu de la gloire de sa personne.
Et maintenant, en vertu de l'excellence
de l'œuvre qu'il a accomplie, nous-mêmes
nous sommes un, au verset 15.
Parce que le sang a été répandu,
parce que l'autel,
parce qu'à l'autel,
le sang a été perdu,
le sang a été versé au quai de l'autel,
l'autel, la chose très simple
du verset 10. Tu n'es
pas un, comme tu auras moins de vert,
nous sommes moins d'un Esprit Saint.
Nous sommes unis avec lui
pour l'éternité par le
Saint-Esprit, l'IA indestructible
qui nous unit pour l'éternité à Christ
et pour faire confiance,
pour chanter à toujours,
comme nous l'exprimons dans un canticle,
vous voyez que la notre sacrificature,
verset 15,
est une sacrificature
perpétuelle,
une sacrificature perpétuelle.
A toujours, nous serons rois
et sacrificateurs.
A toujours, autour de lui,
nous exalterons
les gloires de l'agneau,
la valeur infinie du sang qui a été
répandue en accord, tous ensemble,
avec tous nos biens aimés qui nous ont devancés,
tous autour de lui,
quel moment ce sera, lorsque nous allons nous dire
maintenant, nous allons nous dire
l'un à l'autre, maintenant c'est pour toujours,
plus rien ne viendra troubler
le bonheur des aînés, il n'y aura plus
de rimes, ni peines, ni larmes,
toutes les premières choses seront passées,
tout ce qui nous arrive aujourd'hui,
tout sera selon la pensée de Dieu,
tout sera rendu triomphant
et digne de l'œuvre qui a été accomplie.
Et en terminant,
vous voyez la gloire
dans la gloire de l'assignation,
remplie d'attente d'assignation,
et Moïse doit sortir, même Moïse doit sortir
de l'attente, impossible de demeurer
dans la présence de Dieu.
Et pour vous, chers amis,
nous allons paraître,
quelle différence,
rendu sain et agréable
dans le bien-aimé, nous allons paraître devant Dieu,
devant sa gloire,
et avec amont dans ce joieux.
Nous ne devons pas sortir
parce que la gloire remplit notre maison,
mais nous sommes associés
à cette gloire,
qui est en lui, qui l'acquise,
et les gloires nouvelles qu'il s'est acquises,
au prix de sa mort et de ses fuites,
la gloire que tu m'as donnée, je la leur ai donnée.
Et ces gloires personnelles,
nous allons les contempler, afin qu'ils croient
la gloire. Contempler sa gloire personnelle,
contempler sa gloire divine,
et partager
ces gloires de fils de l'homme.
Et jusque-là, ce sera peut-être ce soir,
nous avons la nuit,
et nous avons la,
non seulement la nuit,
mais nous avons la colonne de feu,
c'est-à-dire, nous sommes
les oncles et de ces soins jusqu'à la fin,
nuit et jour. La colonne de feu,
de la nuit, la nuit et le jour.
Pour nous mettre à l'abri du soleil,
pour nous faire connaître la fraîcheur,
il y a un homme qui est à l'abri
contre le soleil, c'est lui-même,
et un homme qui nous conduit dans le chemin,
dans, à travers la ténèbre,
il est la lumière, et il le fera
jusqu'au moment où il va nous introduire
dans la maison de son Père.
C'est ça, c'est ce que j'allais dire.
Bien, on reprend.
La croix
La Croix
Le poivre
Le poivre
rosé
rosé
dans ce vieux
dans ce vieux château
dans ce vieux château
Où
Où
Où
La
La
La
La
La
La
La
La
La
La
La
La
La
La
Jésus
qui t'es au cœur
sur la croix
sur la croix
Jésus
qui t'es au cœur
sur la croix
sur la croix
sur la croix
Compte-nous
les lieux
de la troupe amère
sur la croix
sur la croix
Ton amour
ton âme
je t'aime
dans ton âme
je t'aime
Jésus
qui t'es au cœur
sur la croix
sur la croix
Ton amour
ton âme
je t'aime
dans ton âme
sur la croix
Jésus
qui t'es au cœur
sur la croix
sur la croix
La soirée
la soirée d'éternité
la soirée d'éternité
pour le triomphe
pour le triomphe en beauté
sur la croix
sur la croix …