Luc 2 v. 21.35
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pf014
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Luc 2:21.35
Description
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…
J'ai entendu que ce soir, allez bonjour tout le monde.
Nous verrons quelques versets au chapitre 2,
à partir du verset 25e.
Et voici.
Il y avait à Jérusalem un homme dont le nom était Simeon,
et cet homme était juste et pieux.
Il attendait la consolation d'Israël.
L'Esprit Saint était sur lui.
Il avait été averti dignement par l'Esprit Saint qu'il ne verrait pas la mort,
que premièrement, il ne vue le Christ du Seigneur.
Et il rint par l'Esprit dans le temple,
et comme les parents portaient le petit-enfant Jésus,
pour faire à son égard ce non-usage de la loi,
il le prit entre ses bras et bénit Dieu,
et dit maintenant Seigneur,
tu laisses aller ton esclave en paix selon ta parole,
car mes yeux ont vu ton salut,
lequel tu as préparé devant la face de tous les peuples,
et tu n'as plus de lumière pour la révélation des nations
et la gloire de ton peuple Israël.
Et son père et sa mère s'étonnaient des choses qui étaient dites de lui.
Et Simeon les bénit, et dit à Marie sa mère,
voici celui-ci émis pour la chute et le relèvement de plusieurs en Israël,
et pour un signe que l'on contredira,
et même une épée transpercera ta propre âme,
en sorte que les pensées de plusieurs coeurs soient révélées.
Et il y avait âme et la prophétesse, fille de Phanuel, de la tribu d'Azère,
elle était forte à l'ancien âge,
ayant vécu avec un mari sept ans depuis sa virginité,
et veuve d'environ quatre-vingt-quatre ans,
qui ne quittait pas de temple,
servant Dieu en jeûne et en prière, nuit et jour.
Celle-ci survenant en ce même moment louait le Seigneur,
et parlait de lui à tous ceux qui, à Jérusalem,
attendaient la délivrance.
Nous attendons la délivrance ou la rédemption.
On sait bien que bien des essais ont été entrepris
afin de présenter ce que l'on va appeler les quatre évangiles en un seul.
Est-ce une mesure intelligente ?
Elle procède sans doute d'un bon désir,
mais elle est en opposition complète avec la pensée de Dieu,
qui a voulu nous donner tout ce qu'il désirait nous faire connaître de son Fils
en quatre tableaux bien distincts.
Déjà annoncé dans l'Ancien Testament,
lorsque nous l'avons quelquefois rappelé,
l'avons entendu dans le voile de tabernacle,
notamment pour ne citer que celui-là, pour ne citer que cet exemple,
ne parlons pas des quatre parfums qui constituent,
des quatre drosses odoriférentes qui constituent l'huile de l'omption.
C'est le même principe dans le voile,
les quatre étoffes des chars à l'avance pour la foi,
pour l'intelligence spirituelle.
Rien que le nom d'une étoffe nous indique
ce que le Seigneur serait dans chacun des Évangiles
présenté sous un éclairage différent,
sous un éclairage particulier.
On a dit, nous ne serons pas longs quant à ces particularités,
quoi qu'elles soient très belles,
on a dit que Matthieu démontre
que Jésus est bien le Christ ou le Messie, c'est le même terme.
Matthieu écrit pour les Juifs,
et c'est lui qui va nous donner le plus grand nombre de citations de l'Ancien Testament
pour prouver que ce qu'il présente est bien la vérité de Dieu,
réalisé pleinement dans la venue de Christ,
le Messie, le Roi d'Israël.
La généalogie qui commence par Abraham et par David.
Nous avons donc dans l'Évangile selon Matthieu,
le fils d'Abraham, le fils de David,
comme il était annoncé depuis le commencement.
Marc, il dépeint, lui, la vie du serviteur parfait.
Matthieu démontre, Marc, il dépeint la vie du serviteur parfait.
Le mot clé de cet Évangile, c'est « aussitôt ».
Pas de généalogie, nous n'attendons pas une généalogie d'un serviteur.
Ce que nous requérons, c'est l'aptitude au service et les qualités dans celui-ci.
Marc présente le fils de Dieu,
le commencement de l'Évangile de Jésus, le fils de Dieu.
Matthieu, fils d'Abraham, fils de David, nous retenons cela.
Marc, le fils de Dieu.
Luc va nous décrire, lui, va nous décrire la vie, l'œuvre du fils de l'homme.
Nous y venons tout de suite.
Jean a un caractère tout particulier, il l'écrit beaucoup plus tard.
Son Évangile se distingue des trois synoptiques
en ce qu'il place devant nous la gloire divine de notre Seigneur Jésus-Christ
qui, en ces jours-là, était déjà battu en Grèche.
Lui, il déclare, c'est ce qu'il dit dans son Épitre.
Matthieu démontre.
Marc, il dépeint.
Luc, il décrit et Jean, il déclare.
Quatre évangiles, quatre récits bien distincts
que l'Esprit de Dieu nous fait de la glorieuse personne de Christ.
Nous montrons tout ce que nous pouvons savoir de lui
depuis sa naissance dans les tables jusqu'à sa glorification.
Déjà dans l'Ancien Testament, Dieu avait donné le résumé
si nous pouvons ainsi parler de ce que seraient les évangiles.
Voici votre roi pour Matthieu.
Voici mon serviteur pour l'évangile selon Marc.
Voici un homme dont le nom sera germe pour l'évangile selon Luc.
Et voici votre Dieu.
Dieu n'en sait déjà par les prophètes.
Celui qui sera à la fois le Christ, le Messie, le Serviteur,
le Fils de l'homme et le Fils du Père.
Nous parlons de la part du Père pour révéler le Père.
Luc est un étranger, c'est un grec, il n'y a pas de doute.
L'Épître aux Colossiens nous donne un détail qui est significatif.
Il ne fait pas partie des serviteurs de la circoncision
ou de ceux qui étaient en relation liée à l'enceinte juive.
Luc est un grec, un médecin bien aimé
et un compagnon fidèle de l'apôtre Paul.
Il écrit son évangile à un autre grec,
un homme qui occupait un rang élevé dans la hiérarchie romaine.
Il écrit à un homme qui s'appelle Théophile,
mais l'honneur acquis d'honneur.
Il écrit le premier traité en lui disant,
j'ai composé, en lui disant,
puisque plusieurs ont entrepris de rédiger un récit,
je veux aussi te rappeler, te relater,
très excellent Théophile,
tout ce qui doit être écrit par ordre et par l'inspiration.
Luc ne revendique pas le fait qu'il ait écrit par l'inspiration.
Mais il n'y a pas de doute que les écrits qui étaient antérieurs à Luc,
que plusieurs avaient entrepris de rédiger,
étaient sans doute des récits sérieux,
mais non inspirés de la vie, de la mort, de crise,
de tout ce que nous devions savoir.
Tandis que Luc, lui, il va nous donner ce traité,
ce premier traité, il va nous le donner conduit directement,
entièrement par l'Esprit Saint.
Il m'adresse donc à un homme qui occupe une place
de très excellent dans la société romaine.
Cela veut dire un homme qui avait un grade assez élevé,
peut-être à l'égal de Félix, le gouverneur,
et cet homme va lire l'Évangile selon Luc.
Il va le lire de bout en bout.
Que va-t-il découvrir ?
Il va découvrir évidemment que celui qui était si grand
s'est anéanti, s'est abaissé jusqu'à naître dans une étable,
petit enfant couché dans une crèche.
Plus loin, il va entendre de la part de Luc
les discours prononcés par le Seigneur.
Et que va-t-il lire ?
En chapitre 17, et notre mémoire est fidèle,
il va lire que ce qui est haut estimé parmi les hommes,
ce que les hommes recherchent avec tant d'ardeur,
le rayonnement de leur personnalité, leur savoir,
leur pouvoir, leur richesse,
tout ce que l'homme estime dans ce monde
comme étant une chose digne d'acquisition,
pour Dieu, qu'est-ce que c'est ?
Théophile va lire cela.
Ce qui est haut estimé parmi les hommes,
encore aujourd'hui, j'imagine,
c'est une abomination pour Dieu.
Cet homme n'a pas manqué d'être interpellé,
d'être choqué par cette déclaration.
Sans doute, il aura fait à Luc
certaines déclarations
dont nous pouvons avoir la certitude
en lisant le deuxième traité,
c'est-à-dire le Livre des Actes des Apôtres,
que le même Luc va écrire.
J'ai écrit le premier traité
au très excellent Théophile,
mais nous ne lisons plus le très excellent Théophile.
Le très excellent est laissé de côté.
Nous lisons seulement, j'ai composé
le premier traité au Théophile.
Sauf que nous pouvons dire
qu'en lisant l'Évangile,
cet homme a réalisé
ce qu'il était devant Dieu.
Finissons-en avec l'homme
dont le souffle dans ses larmes
n'a compris la nécessité de la conversion,
d'une vie nouvelle,
ayant réalisé que l'homme en Adam
est une histoire
qui est terminée à la croix
et sur laquelle Dieu ne revient jamais.
C'est une question
résolue définitivement.
Sans ce qu'il aura à dire Luc,
désormais Luc, je suis seulement théophile.
Comment pourrais-je requérir
un titre quelconque
pour m'élever dans ce monde
en présence de celui qui s'est abaissé
jusqu'à la mort
et à la mort de la croix.
On en est aussi
plusieurs choses intéressantes sur l'Évangile,
mais nous ne pouvons pas
trop nous attarder.
Les deux premiers sont écrits
par un apôtre et un serviteur
qui n'avaient rien de commun
avec les douze.
Marc n'est pas parmi les douze.
Or, chose assez étonnante,
si nous voulons connaître
quand et où
un fait ou un discours
ont été présentés,
c'est à Marc que nous devons en faire appel.
C'est lui qui écrit
le plus chronologique, le plus précis,
à part une exception ou deux tout au plus.
Alors que
Matthieu a été présent
à tout ce qui s'est déroulé dans la vie du Seigneur,
Matthieu ne relate pas
des choses par ordre.
Il les présente de façon,
on dit, dispensationnelle.
Il les présente de façon à montrer
par l'ensemble de son récit
que Jésus est bien le Messie,
celui qui devait inaugurer le royaume annoncé.
Marc, lui,
n'ayant pas suivi le Seigneur,
n'étant pas là,
ayant été par le surplus,
vous le savez bien, un serviteur défaillant,
car il est le neveu de Barnabas
qui était le compagnon de l'apôtre,
et le Seigneur n'avait pas dit
à la Sainte des Antioches
mettez-moi à part Barnabas,
Saul et le neveu de Barnabas.
L'Esprit-Saint va seulement citer
Barnabas et Saul,
ou autrement dit l'apôtre Paul.
Mais Barnabas,
lors d'une certaine inclination vers Marc,
son neveu, qui était un homme
sans doute ne manquant pas de qualité,
il a pris Marc avec lui.
Lors de ce premier voyage,
ce fut un échec pour Marc,
perdant pied et étant décontenancé
en présence de toutes les difficultés
que ces voyages présentaient à l'époque,
et d'autant plus que Marc était à l'œuvre
pour enrayer l'œuvre de Dieu
à laquelle Paul était attelé de façon si fidèle,
Marc a redouté chemin et est retourné chez lui.
Lors du deuxième voyage,
il a commencé l'expérience.
Paul a dit non, nous n'allons pas prendre avec nous
un homme qui a été défaillant,
nous lui rendions un mauvais service.
Est-ce qu'il y avait de l'animosité
dans le cœur de l'apôtre ? Aucunement.
Plus tard, il dira à Timothée, prends Marc
et amène-le car il m'est utile pour le service.
Mais Paul aimait mieux Marc
que Barnabas
qui était son oncle.
Mais remarquez, chers amis,
comment la grâce de Dieu
est précieuse entre toutes.
Défaillant, quand il sera relevé,
le Seigneur
va l'envoyer
pour écrire
l'évangile, le récit
de la bonne nouvelle
touchant le serviteur parfait.
N'est-ce pas merveilleux ?
Pourrions-nous jamais choisir Marc qui avait été un serviteur
défaillant pour écrire
la vie du serviteur ?
Nous avons ensuite Luc et Jean.
Jean est un apôtre,
Luc ne l'est pas.
Luc va nous donner un récit
tout à fait particulier
car l'intention
de Luc, par l'Esprit de Dieu,
c'est de parler à tous les hommes.
C'est pourquoi il est un grec et il s'adresse
à un grec pour montrer que Dieu
n'est pas le Dieu des juifs seulement
mais que la grâce s'étend à tous les hommes.
L'universalité de la grâce
est affirmée dans l'évangile selon Luc
et nous avons des
paraboles dans Luc 15
par exemple qui ne se trouvent que
dans l'évangile selon Luc.
L'évangile selon Jean
aura un autre caractère, nous le savons bien.
Nous l'avons dit tout à l'heure,
Jean déclare que
celui qu'il présente est bien
le fils du Père.
Encore une petite remarque.
Nous allons trouver
de la part de ceux
qui étaient présents
dans des scènes
de très haute valeur,
de très haute importance, nous allons trouver
par exemple Jean,
Pierre et Jacques.
Et Jean, par exemple, ne va nous donner
aucune relation des scènes qu'il a vécues
de façon privilégiée.
Nous parlons de la résurrection de la fille de Jairus,
nous parlons de la transfiguration
et nous parlons de la scène
à laquelle il a assisté
à un jet de pierre sans doute
de Gethsemane. Comment se fait-il
que Jean ne nous rappelle pas
ces choses si extraordinaires
alors qu'il en a été témoin oculaire ?
Elles sont rappelées par Luc,
elles sont rappelées par d'autres
et avec des conditions tout à fait
particulières. Est-ce que nous pouvons déduire
que Jean, étant atteint
par un grand âge,
a perdu un peu la mémoire des choses ?
Ce serait nous tromper lourdement.
Jean est doué d'une excellente
mémoire. Si nous voulons savoir
quelle est
l'oreille de l'esclave
qui a été coupée,
quel est le nom de l'esclave ?
C'est Jean qui va nous le dire. Il s'est bien souvenu
de cette scène. La nuit
où le Seigneur a été livré,
cette nuit lubive au cours
de laquelle il compare devant
ce tribunal unique, il y a eu feu allumé.
Pourquoi y a-t-il eu feu ?
Et avec quoi ce feu brûle-t-il ?
Jean nous donne des détails extraordinaires
et il ne dit rien de scène
de scène grandiose
auxquelles il a assisté
comme témoin privilégié.
Pour nous dire quoi cette nuit ?
Que toute écriture est divinement inspirée.
Les évangélistes ne se sont pas concertés
pour dire, eh bien,
toi tu vas écrire sous cet angle,
moi je vais présenter ce caractère.
Aucune concertation
ne pourrait nous supposer
une telle chose en un instant. Mais chacun
écrit, conduit par l'Esprit de Dieu
pour que nous ayons quatre portraits,
quatre tableaux distincts
de la même et adorable personne.
Menons-en maintenant à Luc
et encore au début de son évangile
quelque chose qui doit nous frapper.
Nous avons donc dit,
et c'est tout à fait fondé,
c'est un étranger
au peuple de Dieu
et il écrit à un étranger,
il écrit à un étranger,
à un autre grec.
Et c'est dans ce livre,
dans son traité que nous allons
admirer la grâce de Dieu,
la fidélité de Dieu à ses promesses.
C'est dans cet évangile,
selon Luc, que nous avons le récit
et l'histoire
d'un petit résidu
des temps troublés de l'Ancien Testament
et que nous retrouvons sur la scène
au jour de Luc. Le petit résidu
en présence duquel nous sommes placés
dans le livre de Malachie,
un petit résidu qui se distingue
d'une masse devenue
insolente,
devenue incrédule,
devenue marquée par la
dureté de cœur. Mais au milieu
de cet état de chaune, Dieu a
toujours su distinguer,
a su
produire dans le cœur
d'un certain nombre, petit sans doute,
petit nombre sans doute, Dieu a toujours
pu produire des sentiments
qui l'agraient et qui constituent ces personnes.
Au milieu de la masse générale
qui est frappée
par la déchéance,
Dieu a toujours pu produire quelques personnes
qui maintiennent ses croix. C'est le caractère
d'un petit résidu. Et comment
s'exprime-t-il aujourd'hui comme autrefois ?
C'est ce que nous trouvons
dans la Philadelphie, le respect
de sa parole et le maintien
de son nom. Tu n'as pas renié
mon nom, le nom du Saint et du
véritable, et tu as gardé ma parole.
C'est vrai dans tous les temps. Et ce petit résidu
de Malachie, nous le retrouvons en scène
dans les deux premiers chapitres
de l'Évangile selon Dieu. C'est de toute beauté.
Et nous allons avoir, chers amis,
chez ces personnes, dans un temps
difficile, dans des conditions
qui ne rappellent en rien
la gloire du passé. Nous allons
trouver des caractères extraordinaires.
Et que pouvons-nous dire ?
Que pouvons-nous déduire en lisant attentivement
leur histoire dans ces deux premiers chapitres ?
C'est que ces personnes de conditions modestes,
n'attirant pas l'attention sur elles
et rencontrant sans doute beaucoup
de difficultés, ces personnes sont
parfaitement heureuses.
Car nous avons cette tableau de ce résidu
nous essayons d'en dire
deux mots. Cet tableau
de ce petit résidu est
dans chaque tableau nous entendons,
dans chaque tableau constitué
par quelques-uns d'entre eux, nous entendons
chanter un cantique.
Un cantique de toute beauté.
Et qui manifeste
l'intelligence spirituelle
dont ils sont
privilégiés,
qu'ils sont privilégiés de posséder car
la piété, l'attachement au Seigneur,
chers amis, rend intelligent.
Il n'y a pas d'intelligence spirituelle
sans l'attachement au Seigneur.
L'intelligence spirituelle
ne découle pas d'une intelligence naturelle,
elle découle
des affections de notre cœur.
Si vous voulez, nous allons
on ne peut pas ouvrir la bouteille.
Merci beaucoup.
Si vous voulez, nous allons citer rapidement
ces cantiques. Ils sont
montés dans tous les détails, mais vous les
vous les méditerez
chacun pour vous-même. Dans le chapitre
premier, au verset
39,
le premier cantique qui est chanté,
c'est celui d'Élisabeth.
Il est chanté par une femme. Retenons cela.
Ne pensons pas que Dieu
méconnaît les sentiments d'une femme.
Ils lui sont aussi
précieux que ceux qu'il trouve dans le cœur
d'un homme. Disons,
pour étayer cela,
le message de la plus haute valeur,
le message le plus
prestigieux, le plus prodigieux
qui a jamais été entendu dans ce monde,
il a été prononcé par qui ?
Par le chef des apôtres,
comme on peut le dire par Pierre,
par une femme.
Y a-t-il une déclaration plus élevée,
plus glorieuse,
plus riche que celle-là ?
Va, disant mes frères,
je monte vers mon Père et votre Père,
vers mon Dieu
et votre Dieu,
exprimer en deux propositions
la relation si douce
que nous allions connaître avec le Père
et la position d'élévation
incomparable que nous allions soutenir devant lui,
connaître Dieu
comme le Père
et le connaître comme notre Dieu,
dans une position si élevée
et dans une relation si douce.
Pourrons-nous
trouver quelque chose de supérieur à cela ?
Eh bien, c'est une femme qui a été
l'instrument pour nous communiquer
cette révélation.
1ère quantique, chapitre 1er,
verset 39, c'est Elisabeth
qui va le chanter. Elisabeth fut
remplie de l'Esprit-Saint au verset 41
et elle s'est écriée aux droits
et dit « Tu es bénie entre les femmes, bénie
le fruit de ton vente ». Elle s'adresse donc à Marie
dans le sein duquel
l'Esprit de Dieu a opéré
pour produire, pour amener sur la scène
le sauveur du monde.
En entendant sa
apparente, Marie,
Elisabeth, est remplie de l'Esprit-Saint
et elle dit
« Bénie est le fruit de ton
vente ». Arrêtons-nous sur cette simple
expression. Où nous emmène-t-elle ?
« Bénie est le fruit de ton
vente ».
N'entendons-nous pas, chers amis,
l'étude de Dieu nous dire, dans le livre de
la Genèse déjà,
« La sement de la femme
te brise à la tête ».
Voilà la sement de la femme.
Elle est sur le point de paraitre sur la scène.
Rien en relation avec l'homme.
C'est l'opération toute puissante de l'Esprit
de Dieu qui a été alors dans le
sein virginal de Marie
et la sement de la femme
est sur le point de paraitre sur la scène.
« Bénie est le fruit de ton vente ».
Autrement, voilà la première
déclaration, le premier cantique relatif
à la sement de la femme. Trouvez-vous pas
que c'est une marque d'intelligence
extraordinaire. Le deuxième cantique,
il est chanté par Marie parce que nous ne
allons pas nous attarder
puisque nous voulons parler un peu de Simeon.
Où va-t-elle nous amener ?
Eh bien, au verset 55,
pour faire court, elle dira,
« Pour se souvenir de sa miséricorde qui
n'avait parlé à nos pères, envers Abraham ».
Nous faisons tout le coup
dans la Révélation et cette
jeune femme, Marie,
nous amène à Abraham, le
dépositaire de toutes les promesses.
Et en toi, toutes les famines de la
terre seront bénies parce que tu as fait
cette chose. C'est-à-dire parce que
dans le principe,
et j'ai vu dans ton cœur
qu'il y a cette détermination,
parce que tu as offert ton fils.
Eh bien, ta semence,
toutes les famines de la terre seront bénies parce que
tu as fait cette chose nacelle que je
vais accomplir en perfection. Et ta
semence, qui est Christ,
on nous le dit, la voici citée
par Marie.
Il a parlé à nos pères, envers Abraham
et envers sa semence
à jamais. Ce monde
de la femme, promesse Abraham.
Nous continuons, c'est Zacharie, le père de
Jean-Baptiste, au verset 67,
qui est remplie de l'Esprit-Saint,
va nous donner la note de ce
troisième cantique. Et où va-t-il
nous amener ?
Au verset 68,
au milieu du verset, « Il a visité et
sauvé son peuple, pour lui la chose est
déjà prête. Bien que rien n'ait encore
accompli, la foi envisage les choses
qu'ils ont déjà accomplies. Il a
visité et sauvé son peuple. Il nous a
suscité une corne de délivrance
dans la maison de David. »
Ce monde de la femme, livre de la Genèse.
Ce monde
d'Abraham, dépositaire de toutes
les promesses, livre de la Genèse.
Maintenant, nous faisons un grand pas d'en avant
dans l'histoire des fils d'Israël.
Et Dieu introduit sur la scène,
après la sombre histoire des Juifs,
Dieu va introduire sur la scène, par Samuel,
quand Jean-Baptiste sera le
Précurseur du Seigneur, Dieu va introduire sur la scène
le Roi, selon la grâce auxquelles
il va répéter les promesses faites à
Abraham, et lui disant que ce sera
un de ses fils, bien au-delà
de Salomon, et bien plus élevé
de Salomon, que ce sera un de
ses fils qui obtiendra la couronne,
la couronne du royaume,
la couronne de la
domination, non seulement sur Israël,
mais sur toutes les nations. Vous voyez ?
Ce monde d'Abraham, ce monde de la
femme, Abraham, David, et nous
pouvons continuer. Mais nous ne pouvons pas.
Nous ne pouvons pas aller de l'avant.
Vous chercherez, vous verrez que
dans chacune des catégories, des sept catégories
de personnes qui se trouvent là en scène,
nous avons un merveilleux cantique
chanté.
Le dernier, c'est celui que nous avons
dans cette
femme, Anne,
qui ne quitte pas le temple,
qui loue le Seigneur et parle de
lui. D'abord, ce qui est dû au Seigneur,
et ensuite, le témoignage rendu.
Elle loue le Seigneur.
C'est ce que nous avons à faire aujourd'hui. Le cantique
de Anne, le dernier des sept cantiques,
correspond exactement à ce que
nous pouvons connaître aujourd'hui.
Revenons maintenant, si vous voulez bien,
à ce vieillard
Siméon. Nous disons toujours un vieillard,
mais nous n'avons pas la certitude que ce soit
un vieillard après tout.
La parole de Dieu ne semble pas
l'affirmer. Mais nous revenons
à Siméon. C'est un homme qui vit dans ces jours-là
et cet homme était juste et pire.
Nous devons
nous poser la première question.
Pourquoi l'appelle-t-on Siméon?
Nous savons bien que
dans les familles israélites,
on aimait donner le nom d'un ancêtre
qui avait eu du relief,
qui avait eu des qualités particulières.
On aimait rappeler
un nom prestigieux
des ancêtres. Saul de Tarth, par exemple,
qui rappelait Saûl,
le premier roi, fils de Benjamin.
Mais si nous lisons
l'histoire de Siméon,
elle est loin d'être réjouissante,
elle est loin d'être édifiante. Pourquoi
les parents de cet homme
juste et pieux qui est
probablement, très probablement, né dans une famille
pieuse, pourquoi l'a-t-on appelé de ce nom?
Car quand on lit l'histoire
de Siméon dans l'Ancien Testament, nous en avons
dit que de monrière, je crois,
c'est un homme qui a laissé un très,
très, très misérable souvenir.
D'abord avec son frère Lévi,
il a été un homme violent, un homme cruel.
Et quand
nous arrivons à la scène
qui se situe
dans la présence de Joseph,
nous apprenons quelque chose de Siméon.
Quand ils
se rencontrent, les frères de Joseph,
vingt ans après leur forfait,
quand il en sera
des Juifs et des Nations, vingt siècles
après leur forfait, il faudra
comparaître devant le vrai Joseph.
Contraint par lui,
il faudra que tout l'on confesse que Jésus
est Seigneur, à la gloire
de Dieu le Père, et tout
genou se croira devant lui.
Nous, les frères de Joseph, sont là.
Maintenant, ils sont en train de se dire
un amour. Eh bien, Dieu, maintenant, nous a trouvés.
Ce péché abominable
que nous avons commis, il nous est redemandé.
Et il y a une voix célèbre au milieu
d'eux, c'est celle de Ruben,
l'aider. Il leur dit, ne vous l'avais-je
pas dit? Ah, il aurait voulu épargner
son jeune frère. Il n'a pas été
là sans doute lors de la conclusion de cet
abominable marché, lorsqu'ils l'ont vendu
pour 20 pièces d'argent. Il ne semble pas qu'il
se soit trouvé là. Mais il avait essayé
de sauver son frère.
Et il l'avait
fait déposer dans une citerne, espérant
le sauver à l'insu
de ses frères. Hélas, cher ami,
petite parenthèse, Dieu ne se contente
jamais de compromis. On ne peut
pas, on ne peut pas
traiter un compromis avec le
mal. Ruben, l'aîné, aurait dû
résolument prendre la défense
de son jeune frère et
imposer à ses frères de
laisser retourner ce jeune
homme vers son père. Et
soulignant l'abominable conduite
qu'il voulait tenir envers lui.
Hélas, Joseph s'en est allé.
Joseph a été vendu. Le voilà parti.
Et Ruben, quand il revient que le
jeune homme n'est plus là, il en
est profondément affecté. Et il rappelle
cette scène. Et il nous
dit dans ce qu'il raconte,
dans ce qu'il
dit à ses frères, il nous fait connaître
dans ce qu'il dit à ses frères, combien la scène
a été déchirante. Parce que
Joseph a supplié ses frères de l'épargner.
Mais vous n'avez pas
écouté la détresse de son âme.
Son âme entra dans les frères. Ils ont
été d'une dureté envers lui
extraordinaire. Mais
Joseph comprend ce qu'ils disent.
Il l'ignore. Il ne
réalise pas qu'il comprend leur langue,
sa langue maternelle.
Alors Joseph a compris le rôle de
de Ruben,
l'aidé. Et il a à la fois compris
le rôle de Siméon. C'est pourquoi
il dira, il aurait
dû faire rester l'aidé,
le plus responsable
dans la famille. Non, mais c'est Siméon
qu'il fait rester en Égypte. Il a
vu, il a senti et il le sait maintenant
par Ruben que cet homme en effet
est d'un caractère dur,
un caractère trempé,
insensible. Et il veut
briser le caractère de cet homme.
Nous savons que, et là cher nos
aimistes qui est cher et cher, nous ne trouvons pas
pour Simon la moindre
bénédiction dans, le chapitre 33
du livre de Deutéonome, nous ne
trouverons pas le nom de Simon
Pour nous dire, bien que plus tard
il aura sa part, avec les douze fils distincts
Nous ne trouverons pas
pour Simon la moindre bénédiction
dans le chapitre 33 du
livre de Deutéonome, nous ne trouverons pas
le nom de Simon. Pour nous dire
bien que plus tard il aura sa part
avec les douze fils distincts. Dans les douze
fils distincts. Pour nous dire, dans ce
dans ce contexte que
la chair ne peut plaire à Dieu
Ceux qui sont dans la chair
ne peuvent plaire à Dieu. Et Moïse n'a pas
un nom de bénédiction pour Siméon
Alors nous pouvons nous demander, mais pourquoi
les parents n'ont-ils appris Siméon
Ils n'ont appris Siméon pour la bonne raison
que son nom signifie entendu
Et la mère de
de Siméon est une pauvre
femme qui doit
supplier Dieu
Elle est critiquée
Elle est mal aimée
de son mari et c'est une pauvre femme
Alors son recours, il est auprès
de Dieu. Et en vue d'amener
sur la scène un fils
elle va supplier Dieu
et elle va l'appeler alors
Siméon, Dieu entendu
Voilà donc certainement la raison
pour laquelle les parents ont appelé
Siméon, car ils ont dit
dans un temps de ruine, quel qu'il soit
Dieu entend. Dieu n'est jamais
dépassé, chers, mais par nos circonstances
soit individuel, soit
local, soit collectif, Dieu n'est
jamais dépassé par nos besoins
N'oublions pas cela
Alors Dieu entendu. Voilà la signification
de ce nom. Et voilà la raison
pour laquelle il apporte, ses
parents lui ont donné ce
prénom, ce nom. Le nom était
Siméon et il était juste et pieux
Qu'est-ce que cela veut dire ? Nous pourrions
trouver un certain étonnement
à dire qu'il était juste
Or la parole de Dieu, Dieu nous dit qu'il n'y a pas de juste
Pas même un seul. Comment sait-il
qu'il est juste ? Il est juste
de la même manière que Dieu a tenu
Abraham pour juste. Car en nous-mêmes
au fond de nous-mêmes, il n'y a
personne qui soit juste devant Dieu
Il n'y a personne qui répond à la pensée
de Dieu, qui puisse se tenir devant
Dieu sur le pied de ses mérites. Il n'y a pas de juste
Il n'y en a pas même un seul
Mais chers amis, la justice que Dieu donne
c'est une justice légale
une justice formelle
une justice fondée non pas sur des droits
et des mérites que j'aurais acquis
mais sur la foi. Et la foi en la
parole de Dieu qui nous conduit jusqu'à
Christ et à son sacrifice. Bien cet
homme était juste comme Abraham l'avait
été, c'est-à-dire c'est un homme
dont le cœur est
habité par la foi des élus
de Dieu. Et en même temps
il montre qu'il est juste
par le fait qu'il est pieux
Autrement dit
il soutient des rapports
de confiance et
de crainte avec Dieu. Deux
éléments qui sont consécutifs
de la piété. Pas
la crainte d'un esclave devant son
maître mais la crainte de déplaire
à quelqu'un que l'on aime. Si j'ai
une réelle affection pour quelqu'un
je veillerai à ne rien faire, à ne rien
produire, qu'il soit de nature à
trouver une relation. Il était
juste, il était pieux, il
entretenait des rapports de crainte
à l'égard de Dieu et tout à la fois
de confiance.
Voilà les deux caractères
essentiels de cet homme. Juste
quant à sa foi
et pieux quant à ses relations
avec Dieu et avec qui
que ce soit. La piété
est utile à toutes choses, dire la faute,
car elle a des promesses de la vie
présente et de celle qui est à venir.
Alors, devant plusieurs caractères
de nos démons, sur lesquels
nous allons nous arrêter un instant, il attendait
la consolation d'Israël. C'est
injuste, il est pieux
et il possède une espérance.
Il y a beaucoup d'analogies avec ce que nous sommes
maintenant. Nous avons
aussi été
constitués justes,
justifiés par la foi, justifiés
par le sang. C'est Dieu qui justifie
et la justice trouve son origine en lui
et en même temps
nous attendons
l'espérance, l'épithogalaphe,
l'espérance de la justice.
Il était juste,
il était Dieu, nous avons aussi à marcher
dans la piété, j'ai demandé qu'il traite.
La piété
qui nous enseigne comment nous avons à marcher
avec Dieu, avec nos semblables
ainsi que dit, nous le rappelle,
nous pouvons citer le verset qui est très
important, qui est
la ligne de conduite
dont nous voyons aujourd'hui.
Dans le chapitre 2 de l'épithétique,
la grâce de Dieu qui apporte le salut
est apparue de tous les hommes, nous enseignons
que, reniant l'impiété
et les convertissements d'elle, nous vivions
dans le présent siècle sombrement,
justement et
pieusement, attendant la bienheureuse
espérance et l'apparition
de la gloire de notre grand Dieu
et sauveur Jésus Christ. Donc, il est juste,
il est pieux et il possède
une espérance, il attend la consolation d'Israël.
Quelle est cette consolation pour eux ?
C'est la venue du Messie.
Chapitre 40 du prophète
Ésaïe, après la sombre histoire
de ce pauvre peuple, comment
le Dieu va-t-il commencer dans ce
chapitre 40 où il y a une coupure
très significative entre ces deux parties
d'Ésaïe. Chapitre 39
se termine par l'histoire
d'Israël illustrée par Ézéchias,
il ne reste rien de ce que Dieu
a confié à ce peuple.
Tout ce que tu possèdes, Ézéchias,
tout ce privilège que je t'ai donné,
il n'en restera rien.
Comment se termine l'Ancien Testament ?
Sur le pied de la loi,
sur le pied de la responsabilité de l'homme,
quel est le dernier mot de l'Ancien Testament ?
C'est
malédiction. C'est un mot terrible.
Malédiction.
Chapitre 39 du prophète
Ésaïe termine l'histoire d'Israël
moralement. Malédiction.
Mais comment va s'ouvrir le chapitre
40 où il y a un changement de sujet
qu'un enfant peut distinguer,
peut discerner ? Eh bien, c'est
le ministère de Jean-Baptiste.
Premier verset du chapitre 40, c'est le Nouveau Testament.
C'est la grâce de Dieu.
Quelle différence avec la loi ? La loi
n'a rien amené à la perfection. C'est un
ministère de mort et de condamnation.
Mais la grâce de Dieu,
qui intervient dans
la misère la plus profonde
pour sortir quelqu'un
de la poussière, du fumier
sur lequel il est
sans ressources pour l'élever
et le faire asseoir avec les doigts
de son peuple. Premier verset
du chapitre 40. Consolez.
Consolez mon peuple.
Dites-lui que son iniquité
est acquittée. J'ai trouvé le moyen
tout en maintenant les droits de ma justice
d'acquitter le coupable.
Consolez. Consolez mon peuple.
Et la consolation, elle nous
est éteinte tout de suite. C'est
Jean-Baptiste, le ministère de Jean-Baptiste
étant tout honnête et il annonce celui
qui doit venir. Celui dont il est
le précurseur, dont il n'est que la voix.
Il attendait la consolation
d'Israël. Il attendait le Seigneur.
L'Esprit Saint était sur
lui. Quelle différence avec nous ?
L'Esprit
Saint n'est pas aujourd'hui sur nous.
Il est en nous. Ayant cru
à l'évangile de votre salut,
vous avez été scellé
du Saint-Esprit
de la promesse.
Ayant cru à l'évangile de votre
salut, éphésiens 1, vous avez
été scellé du Saint-Esprit
de la promesse. C'est l'ordre que Dieu établit.
Dès que nous avons cru
à la personne et à l'œuvre de Christ,
Dieu met son sceau sur le croyant.
Le sceau, c'est
la réalité
que Dieu, dans laquelle
Dieu nous trouve, par rapport à
Lui, dans la position que nous
occupons en Christ. C'est une question
de sceau d'intelligence.
Question plutôt d'assurance.
Nous avons été
scellés et nous avons
été rendus participants
des arts de l'Esprit.
Donc, le sceau, c'est une question
d'assurance. Quand le sceau de Dieu
est mis sur quelqu'un, c'est que
l'heure en Lui est accomplie
et il sait, avec toute assurance,
que le Seigneur est venu dans ce monde
pour sauver des pécheurs
au prix de sa mortsemblance sur la croix.
L'onction que nous avons reçue,
c'est l'intelligence des pensées de Dieu
et les arts, c'est une question de
jouissance anticipée de l'héritage
dont nous avons déjà reçu
un accompte. Il attendait la
consolation, l'Esprit Saint était sur lui. Pour nous,
c'est différent. Il est maintenant
en nous. Il avait été
averti divinement par l'Esprit
Saint qu'il ne verrait pas la mort que
premièrement, l'illusion de Christ du
Seigneur. Ici, nous devons nous
arrêter un instant et nous demander
quelle est l'analogie ou la
différence avec nous. Donc, cet homme
dans l'égalité que nous venons
d'essayer de souligner ensemble,
il savait qu'avant
sa mort, il allait être
témoin d'une chose extraordinaire.
L'Esprit Saint lui avait dit
qu'il était enseigné par l'Esprit Saint,
averti divinement, comme nous sommes
enseignés par l'Esprit Saint, mais pas en dehors
de la parole de Dieu. Nous retenons cela.
Ou sinon, c'est du mysticisme
que Dieu ne reconnaît en aucune
manière. L'Esprit Saint nous
enseigne sans doute, mais au moyen
par la parole de Dieu.
Lui, il était averti, comme dans
l'Ancien Testament, par l'Esprit Saint.
Et l'Esprit lui avait dit, eh bien,
tu ne verras pas la mort.
Mais, tu ne verras
pas la mort avant
d'avoir vu le Christ du Seigneur.
Autrement dit,
cet homme pouvait dire, moi je sais que je vais
mourir. Mais avant de
mourir, je vais voir
le Christ du Seigneur.
Avec l'astérite, c'est-à-dire le
récit venant de la part de l'éternel,
de la part de Jéhovah.
Donc, vous voyez, comment cet
homme pouvait parler. L'Esprit Saint m'a
informé, m'a averti, que je vais
mourir un jour. Mais avant de mourir,
je vais voir le Christ,
je vais voir celui dont tous les prophètes ont parlé.
Y a-t-il
une analogie ou un contraste
avec nous ?
Quand on a lu pour la
première fois dans l'Assemblée à Corinthe,
cette lettre de l'apôtre,
le lecteur dans l'Assemblée
s'est levé et a dit, voilà,
notamment dans des lectures,
en une ou plusieurs fois,
plusieurs fois sans doute,
la lecture de la lettre que Paul nous écrit,
la part de Dieu, lettre inspirée.
Dans l'édo chapitre 15,
le lecteur
lui-même aura été
détenu surpris. Voici,
je vous révèle un secret,
je vous dis un mystère.
Autrement dit,
le mystère maintenant, c'est une chose révélée,
je vous dis ce qui
était un mystère jusque-là. Je vous
éclaire, je vous ouvre
le secret relatif
à ce mystère qui
était
tout à fait, tout à fait
dans l'Ancien Testament impénétrable.
Voici,
je vous dis un mystère ou je vous révèle
un secret. Nous ne nous
endormirons pas tous.
Quel effet, chers amis,
dans cette assemblée, lorsqu'on a lu pour la première
fois, nous ne nous endormirons
pas tous. Quel effet au siècle dernier
quand nos chers devanciers
dans des grandes réunions où on lisait
la parole ont découvert comme tout à nouveau
cette vérité qui était tout à fait
perdue du retour du Seigneur,
de la résurrection des saints,
préalable à notre enlèvement,
de la venue du Seigneur comme l'on
pouvait attendre, que l'on peut attendre d'un moment à l'autre.
Voici,
je vous révèle un secret, nous n'allons
pas tous nous endormir. Mais nous serons
tous changés, en un instant, en un
clin d'oeil, le temps d'avaler, et nous sommes
avec le Seigneur.
Quand on a lu cela pour la première fois,
vous pouvez vous imaginer l'effet produit
comme au siècle dernier, les larmes
coulaient abondamment, émus que l'on
était, étreints que l'on était, en réalisant
cette vérité du retour du Seigneur.
Hélas, chers amis, nous
y sommes accoutumés. Et quel
est l'effet produit aujourd'hui par
la connaissance que le Seigneur
vient ? C'est une question que nous
pouvons nous poser, que celui
qui parle doit se poser à lui-même, bien
entendu. Mais vous voyez pour Siméon,
lui, il savait
qu'il allait mourir, mais qu'il allait
voir le Seigneur auparavant. Pour nous,
nous allons voir le Seigneur,
mais nous ne mourrons plus. Voilà la
grande différence. Dès que le Seigneur
vient, sans définir de la mort,
et en nous en allant, nous allons nous écrire
mort, où est ta victoire ?
Te voilà vaincu définitivement,
englouti que tu seras.
Satan va briser,
sera brisé sous nos pieds.
La grande différence avec Siméon,
croyant dans l'Ancien Testament,
c'est que nous, nous allons partir au ciel
sans passer par la mort.
Ce n'est pas la mort que nous attendons.
Un croyant qui s'en va,
qui déloge, il a une espérance. Il y a une
espérance dans la mort, mais la mort n'est pas
notre espérance. C'est la venue du
Seigneur. Un cher serviteur de Dieu
qui a visité votre pays beaucoup de fois,
comme le nôtre disait,
avant de s'en aller, alors qu'il était
si fatigué, que sa famille était autour de lui,
et ses derniers moments étaient comptés,
on s'en rendait bien compte,
et lui aussi, il pouvait dire,
mais remarquez, je n'attends pas
la mort, j'attends
le Seigneur. Jusqu'au
dernier souffle de sa vie, il
attendait le Seigneur. Voilà
l'espérance chrétienne.
Il avait averti qu'il ne verrait pas la mort
que premièrement, il ne
avait vu le Christ du Seigneur.
Pour nous, chers amis, peut-être
ce soir, nous allons voir le Seigneur,
et la mort ne sera plus.
Sera engloutie à tout jamais.
Nous allons partir,
et sans se raffiner des choses présentes,
toutes choses seront faites nouvelles.
Alors, il vient
par l'Esprit dans le Temps,
encore quelques mots sur ce
magnifique sujet.
Il vient par l'Esprit dans le Temps,
et comme les parents portaient
le petit enfant Jésus,
pour faire à son égard selon l'usage de la loi,
il le prend entre ses bras et bénit Dieu.
On peut voir cette
scène admirable, admettons
que ce soit un vieillard, comme on le dit souvent,
et qu'il prend ce petit enfant dans ses bras.
Que va-t-il faire, chers amis ?
En présence de ce petit enfant,
savons bien
qu'un vieillard en Israël
remplissait le rôle de patriarche,
le rôle du prophète,
le rôle du père,
et il pourrait bénir
ceux avec lesquels il était en contact,
comme Jacob bénissant ses fils.
Et il semblerait
qu'il est saillant que ce vieillard
ayant ce petit enfant s'y réjouit
de voir ce petit enfant
et il dira maintenant
que j'ai vu le Seigneur
apparaître, venir dans ce monde.
Je ne désire plus vivre, Seigneur, reprends-moi.
Pour moi, ma joie,
elle est complète, je n'ai plus
rien à attendre dans ce monde.
J'ai vu le Seigneur.
Et il prend le petit enfant dans ses bras
et il va le bénir, chers amis.
Vous voyez, l'intelligence de cet homme,
il se garde bien de bénir le petit enfant.
Pourquoi ?
Parce que le moindre est béni
par celui qui est le plus excellent.
Or, qui est le plus excellent ici ?
Cet homme pieux, cet homme juste
qui a tant de qualité, ou le petit enfant ?
Il bénit les parents.
Il a bien le droit de bénir les parents
car c'est grâce que Dieu leur a fait
et fait reposer sur eux les souhaits
les plus précieux de son cœur.
Il bénit les parents mais il ne bénit pas
le petit enfant.
Vous voyez la différence ? Il bénit Dieu.
Il rend grâce à Dieu
pour le don qu'il fait de son fils
mais il ne bénit pas le petit enfant.
Mais au contraire, il bénit les parents
tout en bénissant Dieu
et il dit maintenant, verset 29
Seigneur, tu laisses aller ton esclave
en paix selon ta parole
car mes yeux ont vu ton salut
et exactement
celui qui opère le salut
celui qui est l'auteur du salut.
J'ai vu ton salut
lequel tu as préparé
remarquons l'expression
dans la manière de présenter
les choses par Simeon
nous découvrons là une marque
d'intelligence extraordinaire
car mes yeux ont vu ton salut
lequel tu as préparé
pour la gloire de ton peuple Israël.
Est-ce cela que nous lisons ?
Nous lisons bien au contraire
lequel tu as préparé devant la face
de tous les peuples. Et jamais
un juif, lorsqu'il parlait
des nations ne les aurait
mises sur le même pied qu'Israël
et encore moins les placer
avant Israël. On sait
en quel haine l'apôtre
était tenu de par ces
religionnaires juifs, hôtes de la
terre, pareil homme, ils n'auraient pas dû vivre
qu'ils nous annoncent l'évangile
à nous juifs, nous l'admettions
encore dans une certaine mesure. Mais
qu'ils parlent que Dieu a visité les nations
et que Dieu maintenant va étendre sa
faveur sur les nations, comme sur nous
mais c'est impensable, c'est intolérable
c'est un renegat, il faut
qu'il meure.
L'orgueil national des juifs
était tel qu'il ne peut pas
supporter qu'un homme des nations
reçoive une quelconque
faveur de la part de Dieu. Il y a dans notre
introduction une phrase
intéressante écrite par notre traducteur
sur Jonas
et nous le
lisons
à la page, ça vaut la peine de lire
cette phrase, à la page 21
en chiffre romain de notre introduction
vers le
tiers de la page
en remontant depuis le bas
vous voyez au bout d'une ligne à droite
vous avez Jonas, à peu près
au tiers de la page
et nous lisons ce petit paragraphe
Jonas a un caractère spécial
si l'éternel avait choisi Israël
pour être un peuple à part
afin de conserver la connaissance
de son nom sur la terre, il n'en est
pas moins le dieu des nations
et un dieu
de bonté et de miséricorde
alors nous avons une
phrase importante, lorsque les privilèges
que Dieu accorde
obscurcissent la connaissance
de ce qu'il est en lui-même
la possession de ces privilèges
ces privilèges donnent naissance
à un dur esprit de parti
cela c'est vu clairement chez les juifs
un dur esprit de parti
n'accordant rien aux nations
disons Goïm
ces chiens de nations, ils n'ont droit
à rien, nous, nous sommes le peuple de Dieu
mais que
Dieu puisse faire grâce
aux nations, c'est
inacceptable
un dur esprit de parti, cela c'est vu
clairement chez les juifs, et voilà
contrairement à tout ce que les juifs
pensaient dans leur recueil naturel
vous voyez qu'on parle de Dieu transforme le coeur de quelqu'un
que dit-il ?
le salut, lequel
en parlant du salut, lequel, tu as préparé
devant la face de tous les peuples
verset 32
une lumière pour la révélation des nations
révélation des nations qui étaient dans
les ténèbres du don, et la gloire
de ton peuple Israël, peuple abaissé
mais que Dieu, à qui Dieu va donner la gloire
demain, vous ne pouvez pas
trouver un résumé plus précis
tout en étant succinct
de toutes les voies de Dieu
c'est ce que Jacques dirait déjà dans le concile de
Jérusalem, anticipant
les révélations que Paul allait nous donner
je ne veux pas faire que vous soyez
ignorants à l'égard de ce mystère, c'est qu'un endurcissement
partiel est arrivé à Israël
mais afin que la plénitude des nations puissent
entrer, voilà déjà cet homme, c'est un bien
avant l'apôtre Paul, qui nous introduit
dans la connaissance, dans l'essence
même de ce grand mystère, la révélation
des nations, et la gloire de son
peuple Israël, et ici nous nous permettons
d'ajouter une petite anecdote
nous l'avons déjà quelques fois
dite, mais elle est bien en rapport
avec ce que nous avons ici
en Afrique, lorsqu'on visite
ces années, on va
d'un village à un autre, où ils ont
construit ce qu'on appelle
des locaux, un local, mais
c'est une hutte, une hutte assez grande, suivant
les besoins, une hutte misérable
il y a ce qu'il appelle une porte
avec des pieux
malécarés, mais enfin il y a une porte
et on lit dans un endroit
à droite de la porte
ils ont un petit
écriteau, et on lit
un nom, et 316
on se dit, il n'y a pas de doute
c'est Jean 316, il a tant aimé le monde
qu'il a donné son fils unique
afin que quiconque croit en lui ne périsse pas
mais qu'il ait la vie éternelle, et de l'autre
côté de la porte, on voit un nom encore
et deux chiffres, un chapitre et un verset
un chapitre et un verset
et cela, qu'est-ce que vous avez
voulu écrire sur ce
sur ce petit panonceau, et bien
chers amis, on est émerveillés
on est touchés profondément
on nous dit, voilà
le salut est venu
de la part de Dieu
qui avait
préparé pour tous les peuples
une lumière pour la révélation
des nations, ces gens qui vivent dans des
conditions si misérables, ils ont compris
la position que Dieu leur donne
lumière, venu
dans ce monde pour la révélation des nations
au banc desquels ils se trouvent
placés, mais ils savent qu'un jour
l'accomplissement de ce que
Cylléon nous a dit sera réalisé
car il y en aura autour du trône
vous avez remarqué, de
toutes nations, de tout peuple
de toutes tribus, peuples et
nations, d'abord Dieu commence par les
plus défavorisés, ceux qui ont été
vendus comme du bétail, ceux qui vivent encore
dans un état si misérable, ce sont
ceux-là qui sont cités des premiers pour être
autour du trône, et ils le savent
d'où la grande joie de leur coeur
et le courage qu'ils puissent porter de l'avant
dans les circonstances les plus misérables
que l'on puisse imaginer, une
lumière
messieurs ont vu ton salut lequel tu as préparé
devant la face de tous les peuples
quel qu'il soit, quelle que soit la
couleur de leur peau, devant
devant la face
de tous les peuples, une lumière pour
la révélation des nations, n'est-ce pas
un merveilleux cantique
c'est donc le sixième
cantique que nous trouvons dans la série
et il est relatif aux voix de Dieu envers
les nations et envers son peuple
et enfin Séméon bénit
Marie et
bénit les parents et il
dit à Marie celui-ci
aimé pour la chute et le relèvement de plusieurs
et nous savons bien comment les choses
se sont passées et comment le Seigneur
les avait annoncées, il se présente
comme étant une pierre
contre laquelle les juifs allaient être ébuchés
mais une pierre qui tombera sur eux plus tard
sont tombés sur la pierre
et la pierre elle-même tombera sur eux
dans un jour à venir, c'est donc
ce que nous avons là
la chute et le relèvement de
plusieurs en Israël est un seul
que l'on contredira
est-ce que les choses ont changé malgré
le monde christianisé
malgré l'amélioration des conditions
matérielles, malgré la découverte
de tant de choses
extraordinaires du génie de l'homme
est-ce que
le fond du coeur est-il changé
Christ est tout aussi bien
aujourd'hui méprisé par
le monde qu'il était dans ces jours-là
il est mis pour la chute
le relèvement de plusieurs en Israël
c'est un signe que l'on contredira
et même une épée va transpercer
ta propre âme et quelqu'un
dit nous avons cette réalisation
annoncée par le
prophète Jérémie car ce n'est pas le Seigneur
qui dit cela
c'est dans la boule de Marie
qui est une image de résidu que nous
pouvons placer ces mots
voyez s'il est une douleur comme ma douleur
à moins que l'éternel
afflige au jour de ma
détresse je crois
voyez s'il est une douleur comme ma douleur
le Seigneur n'a pas sollicité la pitié
de qui que ce soit, pleurez sur vous
dites-le, mais non pas sur moi, mais Marie
veut dire voyez s'il est une douleur
et au pied de la croix
le Seigneur
va réaliser avec une tendresse
digne de lui
l'épée qui transperce ton âme
pour lui dire avec une grâce
qui s'adresse à tous
qui se dépend vers tous
aussi pleine de ressources
il va dire à cette
pauvre femme, voilà ton fils
la confiance aux disciples bien aimés
et aux disciples bien aimés
voilà ta mère
Sous-titres par Jean LaFlute …