Les cantiques du résidu de Luc 1 et 2
ID
pf006
Idioma
FR
Duración
01:50:25
Cantidad
2
Pasajes de la biblia
Luc 1 et 2
Descripción
Les cantiques du résidu de Luc 1 et 2
Transcripción automática:
…
Elle entra dans la maison de Zacharie et salua Élisabeth.
Elle arriva comme Élisabeth entendait la salutation de Marie que le petit enfant pressaillit dans son ventre.
Et Élisabeth fut remplie de l'Esprit Saint.
Et elle s'écria à haute voix et dit « Tu es bénie entre les femmes et béni est l'Esprit de ton ventre.
Et d'où me vient ceci, que la mère de mon Seigneur vienne vers moi.
Car voici, dès que la voix de ta salutation est parvenue à mes oreilles, le petit enfant a pressaillit de joie dans mon ventre.
Et bienheureuse est celle qui a cru, car il y aura l'accomplissement des choses qui ont été dites de la part du Seigneur.
Et Marie dit « Mon âme magnifie le Seigneur.
Et mon esprit s'est réjoui en Dieu mon Sauveur, car il a regardé l'état de son esclave.
Car voici, désormais, toutes les générations me diront bienheureuse.
Car le Puissant m'a fait de grandes choses.
Son nom est Saint et sa miséricorde est de génération en génération sur ceux qui le craignent.
Il a agi puissamment par son bras.
Il a dispersé les obligés dans la pensée de leur cœur.
Il a fait descendre les puissants de leur frôle.
Il a élevé les petits.
Il a rempli de biens ceux qui avaient faim.
Et il a renvoyé les riches amis.
Il a pris la cause d'Israël et son serviteur pour se souvenir de sa miséricorde,
ce dont il avait parlé à nos pères.
Envers Abraham et envers sa semence a échlamé.
Et Marie demeura avec elle environ trois mois.
Et elle s'en retourna en sa maison.
Nous essayons, à l'intention de nos amis qui n'étaient pas là hier,
de résumer aussi succinctement que possible ce que nous avions devant nous hier soir.
Nous disions tout d'abord que l'occupation excellente entre toutes,
c'est de nous occuper du Seigneur.
Dans un temps mauvais, où, comme le disent les fils des prophètes,
dans la mort et dans la marmite, un souffle de mort qui passe partout,
l'homme de Dieu avait une ressource.
Une ressource que nous possédons maintenant,
qui se trouve précisément devant nous lorsque nos maisons étaient rangées.
Cet homme de Dieu fait déposer dans la marmite de la farine.
Et tout le contenu de cette farine, qui était mauvaise,
est entièrement transformé et chacun peut en absorber selon ses besoins.
Telle est la valeur de Christ quand nous l'introduisons dans nos difficultés,
quelles qu'elles soient,
comme le bois qui autrefois était jeté dans les eaux,
le caractère de celle-ci est tout à fait transformé.
Nous avons essayé hier de voir ensemble le caractère des quatre évangiles
que les hommes ont essayé de fondre en un profond d'erreur, nous l'avons vu.
Nous rappelons que le Seigneur est présenté sous quatre aspects différents,
sous quatre éclairages différents,
l'Esprit de Dieu mettant en valeur, en évidence,
sous la plume de chaque œuvre des évangiles, des évangélistes,
une voix particulière du Seigneur.
Nous la trouvions déjà, avons-nous vu, annoncée dans l'Ancien Testament,
par exemple dans les parfums du sanctuaire
ou dans les étapes qui constituent le bois du tabernacle,
le bleu, la peau, le décalage, le fin coton-retour,
pour la foi, Dieu nous dit déjà, voilà les gloires essentielles de mon Fils
qui un jour paraîtra sur la scène.
Alors nous avons vu que Matthieu écrit spécialement pour les juifs,
que c'est lui qui donne le plus de citations de l'Ancien Testament
pour bien établir que Jésus qui est présent
est bien le Messie promis par les prophètes depuis le commencement.
Matthieu, nous avons vu, c'était important,
introduit le Seigneur par trois passages fondamentaux.
Au moment de sa naissance par Michael, qui cite Bethléem,
au moment de son ministère,
le prophète Esaïe qui montre qu'elle sera la sphère de son ministère
et enfin, au bout de son chemin,
quand il entre à Jérusalem, sur le petit d'un an,
pour être présenté à la ville de Sion,
le prophète Zacharie, donc Michael, Esaïe,
Zacharie présente le Seigneur à trois moments bien distincts
en relation avec son ministère sur la terre depuis le commencement.
Matthieu, a-t-on dit, démontre,
fait la démonstration que Jésus est bien le Christ.
Marc, au contraire, lui, il dépeint la vie du parfait Serviteur.
Luc décrit le caractère du Seigneur dans cet évangile
souligné de façon toute particulière comme étant le Fils de l'Homme,
écrit par un grec, à l'intention d'un grec,
pour montrer l'universalité de la grâce de Dieu
à travers le Fils de l'Homme, celui qui a pris notre nature,
sans péché, sans doute,
afin d'être celui par lequel toute la grâce de Dieu va se défoyer,
non pas seulement envers Israël, mais en faveur de tous les hommes.
Quel est le psaume le plus bref, le plus court de l'Ancien Testament ?
Chacun sait que c'est le psaume 117.
Et il suffit de voir comment l'Apôtre va le citer.
De toute façon, pour intéresser nos jeunes amis à chercher des détails,
à s'arrêter quand il y a des détails,
il y a bien des usines en faveur de Dieu.
Et bien, Paul va citer ce cours-ci de deux versets,
de façon toute différente que celui qui était écrit,
que ce qui était écrit dans l'Ancien Testament.
Or, personne ne serait jamais arrogé le droit
de modifier le texte de l'Ancien Testament
qui était considéré comme sacré par les Juifs.
Si une citation diffère d'un Ancien Testament
d'un Nouveau Testament à partir de l'Ancien,
nous avons donc une des preuves, entre beaucoup d'autres,
de la divine inspiration de l'Écrit-Dieu.
Car jamais aucun exégète,
après le Nouveau Testament,
ne se serait permis de changer même une syllabe
du texte appelé des Septembre.
Nous lisons le psaume 115,
c'est tout à fait pour les nations,
il n'y a plus rien pour les Juifs.
Le psaume 115,
et encore, dit-il au verset 10,
il dit « Nations,
réjouissez-vous avec son peuple,
c'est le Dieu de l'homme qui est cité,
et encore, louez le Seigneur,
vous, toutes les nations,
et que tous les peuples te célèbrent. »
Juste un peu pour l'Israël,
l'apôtre montre dans ce passage
que la grâce de Dieu est bien semblable à Joseph,
à la branche qui porte du fruit,
par-dessus l'argument.
Donc, Luc a un caractère tout particulier,
celui de fils de l'homme,
écrit par un Grec, pour un Grec,
pour montrer l'universalité de la grâce de Dieu.
On veut qu'il ait adressé un homme
qui occupait un rang élevé
dans la société romaine,
puisque Festus et Félix, qui sont gouverneurs,
sont appelés eux-mêmes très excellents.
Ce personnage théophile
est donc quelqu'un
qui occupe un rang élevé dans la société.
Mais quand Luc écrit son deuxième traité,
le Livre des Actes,
nous ne trouvons plus qu'il écrit
aux très excellents théophiles.
Nous avons essayé de le voir ensemble,
dans la lecture de cet évangile selon Luc,
quand cet homme considérait
l'anéantissement volontaire,
l'abaissement du fils de Dieu,
naissant dans une étape.
Mais il n'y avait pas de place pour eux dans l'autherie.
Il n'est pas dit qu'il n'y avait pas de place dans l'autherie,
mais il n'y avait pas de place pour eux,
parce qu'ils étaient tellement pauvres,
ses parents tellement pauvres,
qu'ils ne pouvaient pas payer
ce qui était nécessaire pour avoir une place dans l'autherie.
La preuve, c'est que,
pieux comme ils étaient,
ils ont recours à la miséricorde,
à la meurdure miséricordieuse
de la loi, lorsque,
présentant le Seigneur au Temple,
à l'âge de 40 jours,
pour l'établir,
il n'offre pas
l'agneau qui est requis
histoire de se contenter
d'offrir deux tourterelles.
Il n'y avait rien de plus commun.
Donc, pour montrer qu'il a vécu dans la pauvreté,
mais afin de nous enrichir,
sauf le théophile,
et on lut aussi que tout ce qui est
haut estimé par mesdames est une abomination devant Dieu,
ça a certainement
dérouté par mesdames, je ne suis plus un excellent.
Comment pourrions-nous
requérir,
revendiquer à un roi
quelconque pour le moi naturel ?
Qui est en vous
cette pensée, dit Paul,
qui a été dans celui qui s'est
abaissé lui-même,
anéanti lui-même,
prenant la dernière place,
dans la forme d'esclaves,
alors qu'il était en forme de Dieu.
Que pourrions-nous revendiquer
pour nous-mêmes ? N'est-ce pas que nous avons oublié
la source de bien
des débats au milieu de nous ?
Nous voulons affirmer notre volonté,
notre point de vue,
au mépris parfois des enseignements
les plus clairs de la parole de Dieu.
Si nous étions tous,
mais nous le disons d'abord pour nous-mêmes,
croyez-le bien, si nous étions tous
caractérisés par cette humilité
et par cette obéissance
dont le Seigneur a été le parfait modèle,
la majeure partie, c'est pas toute,
nos difficultés disparaîtraient.
Cela vous y trouvez pas,
nous ne pouvons pas le dire.
Alors nous avons vu que Jean
est le disciple qui présente
le Fils du Père.
Alors nous avons dans les humains,
Matthieu,
c'est l'exposé
d'une déclaration
du prophète, voici
ton roi.
Prophète Zacharie, chapitre 3,
voici
ton roi.
Prophète Zacharie, chapitre 9,
pardon, voici ton roi.
Chapitre 3 de ce même prophète
Zacharie, voici
mon serviteur, l'évangile selon Marc.
Même prophète,
chapitre 6, voici un homme
dont le nom est Germes.
Germera de son propre Dieu
et nous avons vu
nous avons vu à quoi correspondait
le terme Germes, en même temps
à l'humilité dans laquelle
il a voulu naître, en prenant
notre humanité sans tâche, racine
qui sort d'une terre aride
et en même temps l'Orient d'en haut
qui vient nous visiter.
Les deux termes, l'Orient d'en haut
et la racine qui sort
d'une terre aride sont réunis
dans ce terme, le Germes,
celui qui a la vie
en l'humain, venant de la part
du Père, pleine
de grâce et de vérité.
Alors, voici ton roi,
voici mon serviteur,
voici un homme
et pour Jean, les alliés
carrément, voici votre
Dieu.
On peut ensemble, bien, pour rapporter un peu
maintenant ce que nous avons devant nous, que
Luc
s'adresse à Théophile
et
exprime bien mon terme un peu voilé
qu'il est écrit par inspiration
à côté d'autres récits
car je suis avec une certaine
autorité, mais qu'il n'était pas
inspiré. On sait que beaucoup
d'écrits de ces temps-là ont été
présentés, mais qu'ils ne sont
pas inspirés. Ce sont des choses
apocryphes comme on les appelle.
Mais Luc est écrit, mais par inspiration.
Seigneur nous conduit
à nous donner l'histoire
du Seigneur Jésus présenté comme le Fils
de l'Homme, de Théronien Grand, et il
commence par un commencement, et il
débute par un commencement.
Avant d'essayer de voir les divers commencements, nous
rappelons qu'ils sont plusieurs, qu'il ne faut pas
les confondre, car le commencement
de la Création, partir d'un
certain moment, ce qui n'était pas
à exister, le Seigneur a parlé,
la chose a été. La puissance
de Dieu est à l'œuvre, elle est attribuée à
Dieu, au Seigneur, aussi bien qu'à
l'Esprit-Saint. Nous ne pouvons pas établir
à mon goût une espèce de hiérarchie
entre les personnes divines.
Le Seigneur est celui
par qui Dieu a été créé,
les choses ont été créées par Dieu,
et elles sont aussi le fruit
de l'opération du Saint-Esprit.
Commencement, jeunesse 1,
à partir du moment où les mondes
sont sortis du néant.
Commencement de l'Évangile selon Jean,
un commencement indéfinissable
qui surpasse infiniment
toute capacité humaine, nous ne pouvons
pas embrasser l'éternité,
ni ce que Dieu est en lui-même.
Ce que la parole est à Dieu,
le Fils est au Père.
Au commencement de l'Évangile selon Jean,
aussi loin que nous puissions reculer,
la parole était déjà là.
Elle était Dieu, elle était auprès de Dieu,
et nous avons vu qu'il y a la divinité,
il y a l'identité de la parole de Dieu,
et l'éternité.
Trois termes essentiels,
dont une simple proposition.
Nous avons donc
ce commencement
répété dans la première Évite
de Jean. Ce n'est plus le même commencement,
c'est le commencement du ministère du Seigneur.
C'est ici, pour arriver à notre sujet,
pour ne pas nous attarder, le commencement
c'est dans les tables.
Nous donnons le récit
de la vie du Seigneur
dans l'humanité qui l'a revécue,
commence dans les tables
avec Dieu, puis le commencement
que l'on a vu ce petit enfant
emmailloté, couché dans les deux frères.
Quel sujet d'admiration ça.
Que pourrons-nous dire,
que pourrons-nous penser,
ne pourrons-nous pas envoyer des paroles
de folle dans l'Évite à Timothée ?
Le mystère de la piété est grand.
Dieu
a été manifesté
en chair.
Les anges, pour la première fois,
ont pu voir le Créateur,
car nous savons bien
qu'il se voilait la face
des serviteurs empressés pour accomplir
sa parole, qui ne sont pas tombés
dans le péché, mais en paraissant
devant le trône de Dieu. Ils se voilent la face,
secourent les pieds
et ils proclament
Saint, Saint, Saint et éternel
des armées.
Et ces anges désirent de regarder
de près dans ce mystère pour eux,
incompréhensible
vu qu'ils n'étaient pas sur toute conception
comment Dieu
a-t-il dénié, voulu
envoyer son bien-aimé,
celui qui était si grand,
pour s'occuper d'être tel que vous, tel que moi.
Qu'est-ce que
que tu te sois saoulé de vie ?
Bien, le commencement
dans les films de Jean,
c'est donc le début du ministère du Seigneur.
Ici, c'est dans l'État.
Alors, nous revenons à notre sujet essentiel.
Nous avions devant nous, avons-nous dit,
de présenter
les caractères d'un résidu
fidèle au début de cet évangile.
Parce que,
bien que
cet évangile soit écrit
par un grec,
qui n'a rien de commun avec le peuple juif,
et à l'adresse d'un grec,
un homme des nations, c'est pourtant
dans cet évangile que nous allons trouver
des tableaux très beaux,
très saisissants,
des tableaux très émouvants
de l'existence d'un petit résidu
faible sans doute,
mais fidèle
dans un temps extrêmement pénible.
La Judée,
l'apôtre homène,
sont aussi dépavorables
que possibles, mais Dieu ne s'est
jamais laissé en aucun temps,
ni n'importe où ne s'est jamais
laissé sans témoignage.
Évidemment,
il y a un témoignage aujourd'hui.
La question n'est pas de dire
nous sommes le témoignage, parce que
si nous l'avions, nous serions
tout à fait, tout à fait
caractérisés par
une prétention inouïe, sans
aucune réalité.
Le témoignage,
aujourd'hui, nous le savons,
dans les églises d'Asie, c'est fidèle et fille,
qui se caractérisent par deux essentiels.
J'ai gardé ma parole,
pas une partie de la parole,
mais toute ma parole
et tu n'as pas relié mon nom,
le nom du Saint et du Véritable.
Deux choses essentielles,
deux piliers sur lesquels le témoignage
est articulé.
Nous pouvons dire,
avant de fermer la parenthèse,
l'année dernière,
en 1825 environ,
on peut dire que les Saints qui ont été
réveillés par l'Esprit de Dieu, c'était
un résidu
qu'on pourrait appeler
Philadelphie.
Une preuve, c'est que vous pouvez
reculer dans l'histoire, dans l'histoire
de l'église desiastique, vous ne trouverez jamais
un groupement chrétien
établi sur le pied de Philadelphie,
à moins de retourner jusqu'à Philadelphie
historique, mais vous ne trouverez pas
de renoncement jusqu'en 1825
un témoignage
chrétien établi sur le pied de
Philadelphie. Mais ce témoignage
est d'une telle importance pour Dieu,
bien qu'il soit faible extérieurement,
qu'il envoie une église d'Asie
fidèle pour qualifier ce petit
témoignage du siècle dernier.
Et vous savez bien,
dans la parenthèse dont on m'a fermé,
qu'un témoignage n'a jamais duré plus de 100 ans,
en général.
Je ne sais plus avec qui nous parlions de cela,
mais c'est peut-être même entre le
moment où la gloire est descendue dans
le temple de Salomon. C'est la
prothéose de l'histoire d'Israël.
La gloire descend du ciel, vient remplir
le sein des saints lorsque l'arche
y est entrée. C'est une histoire,
c'est un épisode extraordinaire
de l'histoire d'Israël.
Combien de temps après
le prophète Émile
doit-il poser la question
qui est Dieu ? Qui est Éloïe ?
C'est l'éternel ou c'est pas ? Ils ne le
savent plus. Combien de siècles
se sont écoulés depuis que la gloire
est descendue dans le temple, depuis le jour
où on ne sait plus en Israël si c'est
l'éternel ou si c'est pas
l'éternel ou Dieu
dans sa majesté ?
Combien de siècles ? 100 ans.
Il y a 100 ans que la gloire
est descendue quand
on a déjà oublié qu'il y a l'éternel.
Et l'histoire de Jérémie,
cher ami, n'a pas manqué de suivre la main
dans tout ce qui a été confié dans les
mains de l'homme. Tout a toujours été
gâté, tout a été perdu. Et s'il y a
un petit témoignage maintenu,
à condition que nous
réveillions ces caractères,
parce que nous n'oserions pas dire que
les assemblées sont
philadelphies dans leur entité,
bien entendu, mais il y aura
un caractère philadelphien jusqu'à
la fin. A nous de savoir
si nous en faisons partie.
Et à nous de désirer heureusement d'être
compté par lui seul. Le Seigneur
nous dira, voilà, quelqu'un
qui représentait
philadelphie, c'est-à-dire ce qui
était agréable à mon cœur
dans des temps mauvais, dans des temps difficiles.
Plus nous avançons, plus les choses
seront difficiles, mais cela,
la fidélité aura d'autant plus d'aptes
de prix pour le Seigneur. Dans l'Évangile
selon Luc,
les choses extraordinaires pour nous montrer
le prix que le Seigneur attache à
un petit résidu, c'est un étranger
qui va nous parler du petit résidu juif.
Dans les premières paroles
de son Évangile, avant d'aborder
la question, avant d'aborder
le sujet
dans sa véritable dimension,
va d'abord nous montrer
comment vivaient ce résidu,
ce qui remplissait leur cœur,
quelle était leur activité.
Et il va nous faire entendre, c'est à dire,
c'est de toute beauté, c'est un encoragement,
eh bien, pourquoi nous avions fait ceci devant nous.
Il va nous faire entendre,
dans un temps où nous serions peut-être
tentés
de nous décourager, ou amenés
à nous lasser, nous décourager,
eh bien, Luc va nous faire entendre
sept quantiques
qui a un tableau
du résidu en sept
parties, et chacun
de ces parties, chacun de ces
petits noyaux qui constituent
ce résidu, chante un magnifique
canticle. En commençant
cet Évangile, hier encore, nous avons vu
que Zacharie
et Elisabeth seront donc les parents
du plus grand homme de la Terre,
qui seront donc
ceux qui vont amener
sur la Terre Jean-Baptiste,
celui dont le Seigneur dira, c'est le plus grand
des hommes que la Terre ait porté.
Mais, semblables à Abraham
et Sarah, Isaach, Rebekah,
Elkanah et Ammon,
ils sont impuissants, sont
trop âgés, il n'est plus possible
pour eux, selon
la nature, d'être les
organes pour amener sur la scène
celui qui était annoncé
par deux prophètes. Chose extraordinaire,
le prophète
Jean-Baptiste, Jean-Baptiste
Guerre. En fait, le dernier prophète
qui est le témoin du Seigneur,
qui est l'ami de l'Époux,
il est annoncé, chose
exceptionnelle, par deux prophètes. Nous ne
trouverons jamais cela dans l'Ancien Testament.
Mais son ministère est tel,
a une telle valeur que
Évangile le présente et Malachie le présente.
Et le voici maintenant,
il va bientôt entrer en scène, il va bientôt
naître. Mais Dieu va nous montrer
que, en raison de ce que
sont les parents, chers amis, de leur
état de mort,
qui ne peuvent plus
rien produire, Dieu va nous montrer
qu'il ne donne pas sa gloire à un autre,
qui n'a pas besoin de vous, ni de moi, ni de personne
pour faire jaillir
ce qui est nécessaire pour sa gloire.
Et ces parents,
il y a longtemps qu'ils n'ont plus
sans doute, pour avoir un enfant,
Elisabeth est stérile,
on comprend bien qu'il n'a plus
d'actualité à leur prière
aujourd'hui, et pourtant l'ange vient
tout à coup, à l'heure
où Zacharie remplit son office pour
le parfum, il était sept jours dans le temps
de sabbat en sabbat
dans sa classe, et quelle
surprise pour lui de voir un ange dans le temps.
Alors l'ange vient
lui dire, eh bien écoute Zacharie,
prends un encouragement pour nous
et pour venir à l'arrivée de prières
sur nous, tes prières ont
été exaucées, il y avait peut-être bien
des dizaines d'années qu'ils ne priaient plus
pour avoir cet enfant, c'était trop tard.
Bien que cela
soit triste pour nous, le Seigneur ne nous a
pas favorisé pour avoir
un enfant, nous devons
accepter la chose.
Et voilà l'ange vient dire, Zacharie,
tes prières n'ont pas été
oubliées.
Bien que tout semble
impossible selon
la nature réalisée, vous voyez.
Mais
celui qui va naître sur la scène, on va
convaincre, c'est une
créature.
Tandis que celui qui va sortir
du Saint Virginal de Paris
par l'opération tout puissant
du Saint-Esprit, c'est le Créateur.
Jean-Baptiste
est un sanctifié,
un homme mis à part.
Mais celui qui va sortir du Saint de Paris
est celui qui sanctifie.
Quelle différence !
Nous allons voir comment, si nous allons jusque-là,
comment l'Esprit de Dieu prend
soin de souligner la gloire
du petit enfant. Jamais
la mère n'est citée la première. Le petit
enfant est sa mère. Nous, dans le
langage normal, nous parlerions d'une mère
sous son petit enfant. Mais jamais
l'Esprit de Dieu n'envoie cette forme d'expression.
C'est toujours le petit
enfant, ensuite sa mère.
Et nous verrons dans le cas de
dans le cas de Siméon,
si nous allons jusque-là, si le Seigneur nous raconte
la grâce, comment cet
homme intelligent parle
du petit enfant.
Alors Siméon,
pardon, Zacharie et Elisabeth
sont donc en scène dans
ce premier chapitre.
Et maintenant,
l'ange, après avoir
parlé à Zacharie, va parler
à Marie. Nous n'en avons pas
nous attardé. Nous avons déjà vu cela hier,
bien que ce soit un sujet
inépuisable et d'une très grande
richesse. C'est insurpassable.
Et le
Seigneur, l'ange va dire
que tu concevras dans ton ange qu'il rencontre un
fils, tu atterras son nom, Jésus.
Peut-être qu'il y a un moment perdu de temps.
Prenons une minute pour essayer
de l'expliquer aujourd'hui. Jésus,
qu'est-ce que cela veut dire ?
Quelle est la signification
réelle de Jésus ?
Eh bien, si vous lisez par exemple
l'introduction de l'Évangile selon Matthieu
par JSD, vous verrez quelques explications
intéressantes. Jésus,
c'est Josué,
ou Joshua,
ou Joshua, c'est la même chose.
Voyez la note au bas de la page
du prophète Agé.
Voyez d'autres notes, vous verrez que
Joshua,
Joshua,
Josué,
Jésus, c'est le même nom.
La première livraison du Nouveau Testament français
de JSD,
en 1956, ceux qui le possèdent,
possèdent une petite richesse.
Quant aux notes qui sont données,
les mythos hébreux disent ceci.
Chez nous,
et si Josué leur avait donné le repos,
n'eût pas été question d'un autre jour.
JSD a traduit,
et si Jésus leur avait donné le repos,
parce que Josué et Jésus, c'est le même nom.
L'un en grec, l'autre en hébreu.
Donc, absolument,
l'identification
entre Jésus, nous répétons,
Josué, Joshua, Jéhoshua.
Mais nous n'avons pas fini.
Qu'est-ce que cela veut dire ?
Jéhoshua, Josué, Jésus.
Cela veut dire
comme la note
à laquelle j'ai parlé tout à l'heure,
Jab, Oséa.
Autrement dit, le diminutif
de Jéhovah,
qui est appelé Jab
dans le prophétie saïd,
en exode 15 déjà,
l'antique est célébré à Jab,
diminutif de Jéhovah,
et en même temps,
Oséa qui veut dire délivrance.
Les prophètes, Osé, veut dire délivrance.
Josué, avant qu'il ne s'appelle Josué,
ça pouvait être Osé
ou délivrance.
Mais l'éternel, en raison de la capacité de cet homme,
change son nom.
Tu ne t'appelleras plus Osé, mais Josué.
Donc, Osé veut dire délivrance.
Alors,
le nom de Jésus,
de Jéhovah Sauveur,
c'est Jab, Oséa.
Autrement dit,
Jab, Jéhovah Sauveur.
Tu appelleras son nom Jésus, vous voyez,
en cherchant bien, nous avons
toute la signification
de ce nom incomparable
dans toutes les langues.
Jésus, c'est Jéhovah Sauveur.
Et Jéhovah, évidemment,
c'est le nom que Dieu se donne
à lui-même lorsqu'il veut affirmer
qu'il est immuable
et qu'il garde les promesses qu'il a faites.
Ce n'est pas Jéhovah qui est dans le premier verset du livre de Lachnaise.
C'est évoquable.
Mais lorsque l'homme est en scène,
c'est l'éternel Dieu.
Et il n'y a que dans notre langue que nous avons l'éternel.
C'est Olivier Tant, cousin de Calvin,
qui est le premier à introduire
ce terme prestigieux pour parler de Jéhovah
dans toutes les autres langues.
Peut-être y aura-t-il une exception,
mais en général, dans toutes les autres langues,
vous avez Jéhovah.
C'est en français que nous avons l'éternel.
C'est Olivier Tant qui a trouvé l'équivalent
d'éternel de Jéhovah
dans ce terme éternel. Pourquoi ?
Parce qu'il l'a trouvé dans le livre de Lexos,
dans lequel la première part de la Bible
fait allusion.
On ne savait plus, après la captivité,
comment prononcer Jéhovah.
C'est un nom composé
de quatre consonnes.
On ne pouvait pas prononcer les consonnes.
Autrement dit, nous ne pourrons pas
enfermer Dieu dans les limites de l'esprit humain.
Alors, c'était le souverain
sacrificateur en sortant
du temple qui
prononçait la bénédiction, qui le seul
une fois l'an citait le nom
de Jéhovah, ce nom n'ombre
l'éternel te bénisse et te garde, etc.
Mais personne n'osait prononcer ce nom.
C'est pourquoi on appelait
l'éternel Jéhovah
le béni. Es-tu le fils
du béni ? Ils ne disent pas.
Es-tu le fils de Dieu ? Ils craignaient bien trop.
Dans leur
superstition
religieuse, ils n'osaient pas
prononcer le nom de Dieu. Ils disaient le béni
ou le Seigneur Adonaï.
Vous avez la note Adonaï.
Alors, en 1518, par là,
c'est un certain Galatinus Arman,
juif converti, qui a
introduit les voyelles de
Adonaï entre les consonnes
de J-H-V-H, comme vous l'avez
au bas de la page de Genèse 1,
pour reformer ce nom de Jéhovah.
Mais on ne pouvait pas le prononcer autrefois.
Alors, qu'est-ce que veut dire Jéhovah ?
Là, on ne fait aucune erreur.
Moïse est à l'éternel, mais
je vais aller chez les fils des salauds, tu m'envoies.
Ils vont me dire, mais quel est le nom de celui
qui t'envoie ? Que vais-je leur dire ?
Qu'est-ce que mes dernières raisons ?
Tu leur diras, je suis
m'envoyé vers vous.
Et là, il insiste en disant,
je suis celui qui suis.
Et quand le Seigneur, dans l'Évangile,
le Jean, c'est au milieu des Juifs,
avant qu'Abraham fût,
remarquons, avant
qu'Abraham fût, dans le
passé, dans le livre
de l'Agnèse,
non pas j'étais, mais je suis.
Non pas j'étais,
je suis.
Je suis, personne ne peut le dire parmi nous.
Vous ne pouvez pas dire je suis.
Ni moi non plus.
Parce que quand j'ai dit je suis, à un moment,
je ne suis déjà plus.
Le temps nous poursuit, nous nous envolons.
Mais Dieu peut dire, oui,
je suis. C'est le présent
perpétuel.
C'est l'existence éternelle de Dieu.
Indépendamment
de quoi que ce soit,
de qui que ce soit, je suis.
Je suis celui qui suis.
J'étais hier, je suis.
Demain, je serai, je suis.
Hier,
j'étais ce que je serai,
je serai ce que j'étais.
C'est-à-dire, je suis.
Il n'y a que Dieu qui peut dire, je suis.
Eh bien, avec Jésus, vous avez
tous ces titres, toutes ces gloires
fondues dans ce nom.
Jéhovah Sauveur. Je suis celui
qui suis. Ja, Jéhovah
Sauveur. Ja, Oséa.
Autrement dit, Josué, Jésus.
Tu appelleras son nom
Jésus. Il n'y avait personne qui s'appelait
Jésus au ciel
avant qu'il vienne sur la terre.
Et il y a un homme maintenant qui est au ciel
et qui s'appelle Jésus.
Il n'y avait personne
qui était appelé du nom de Jésus au ciel.
Mais Jésus est monté au ciel
à travers tous les cieux.
Ressuscité dans la puissance d'une vie
impensable.
Saluté par Dieu, celui qui est descendu
dans les parties inférieures de la terre
est le même, le même Jésus
qui est monté au-dessus de tous les yeux.
Qui es-tu, Seigneur, qui me jette
par terre, sans que
je puisse ne proposer la moindre émission.
Je suis Jésus.
Le Seigneur répond depuis la gloire.
Ce qu'il est, Jésus,
ce qu'il demeure, est terminé.
Voilà, chers amis,
quelques mots
pour situer un peu
la valeur de ce message
à Marie. Elle en a bien compris
la portée. Humble fille,
elle est privilégiée entre toutes.
Toutes les femmes en Israël souhaitaient
devenir la mère de celui
qui était annoncé par le prophète
avec qui la guerre s'entendait.
Ah, dit-elle.
Et donc, je lui dis, tu es bénie entre les femmes.
Cette faveur qui était promise dans l'Ancien Testament,
la voilà réalisée pour toi.
Nous arrivons maintenant à notre
premier canticle que nous voulons essayer de voir
dans un des aspects de ce
petit résidu dont nous avons parlé.
C'est à partir du verset 30.
Donc,
nous avons déjà dit quelque chose de Jean.
Jean est un homme extraordinaire
qui va faire penser
à Christ, vous m'avez dit, mais qui n'est plus pas le Christ.
Mais il faisait des choses extrêmement
Il était tellement extraordinaire
dans sa manière d'être, dans ses dévêtements
qu'il portait, dans
les déclarations
qu'il faisait avec une netteté
et un percutant auquel
personne ne pouvait résister, ne craignant
ni l'un ni l'autre, disant ta erreur
de ce que tu fais, c'est une abomination.
Personne n'aurait osé dire cela
sinon Jean-Baptiste.
Jean-Baptiste est mort
à la moitié de ses jours.
C'est bien que sa tête a été enlevée
en raison
d'une femme abominable,
d'une femme cruelle
qui a voulu voir la tête de Jean-Baptiste
séparée de son corps.
Peut-on imaginer
une femme aussi
vile que celle-là, cruelle,
sanguinaire.
Nous dirions, quelle malheur
qu'un tel homme, à cet âge,
soit retranché.
Quelle triste circonstance nous lamenterions
là-dessus. Mais comment la parole
de Dieu parle-t-elle, chers amis ?
Pas comme nous pensons. Dans le livre des Actes,
il y a un commentaire sur la mort
de Jean-Baptiste avant d'avancer
ce que nous avons détenu.
Nous avons, dans le chapitre 13,
dans le chapitre 24, pour un faux
parcours, Jean,
ayant déjà immédiatement
dans son arrivée, fraiché
et le baptême de repentance
a pris le peuple d'Israël.
Et,
comme Jean achevait sa course,
il dit, qui pensez-vous
que je suis ? Vous voyez comment
la suite des étapes, pour Jean,
sa course était achevée, si brève
qu'elle soit. Et si lamentable
que soit sa fin,
dans les conditions où elle s'est déroulée,
dans la prison, pour Dieu,
la fin
de la cause de Jean
était une chose
à conclure.
Et comme Jean achevait sa course,
pour nous montrer, nous n'avons
pas de chance, ni de malchance,
ni de hasard, dans la parole
de Dieu.
Si regrettable pour nous que soit
la fin d'un homme de cette valeur,
sa course, elle était achevée.
C'est un encouragement pour nous.
Quelles que soient
les circonstances par lesquelles nous l'avons la passé,
nous savons bien qu'elles sont
dans la main de Dieu. Nous ne sommes pas
réjouis de circonstances fortuites,
jetées comme un fœtus sur les eaux,
sans aucun contrôle.
Dieu est au-dessus
des grosses eaux, si grosses qu'elles soient.
C'est dans le prophète Daniel
qu'il y a Antoine Rameau
qui nous rassure à ce sujet-là,
sans que les eaux n'ont tout emporté.
Mais il y a un homme bêtu de l'Inde, au-dessus
des eaux du fleuve.
Vous savez bien comment.
Les eaux sont envoyées dans la parole de Dieu pour montrer
ce qu'est l'épreuve
dans son intensité,
dans ce qu'est de ravager tout
dans nos vies. Dans notre tombe,
faites un enfer
pour verser toi.
Les fleuves
ont élevé au éternel
des fleuves, ont élevé leurs flocs.
Les fleuves ont élevé leurs flocs puissants.
Fleuves
qui ne tout encore parlent de l'épreuve
dans son intensité. Mais l'éternel
dans les lieux hauts
est plus puissant que la voie
des grosses eaux,
que les puissants vagues de la mer.
Au-dessus des eaux,
quelle que soit leur tumulte,
quelle que soit l'ampleur
de leur mouvement,
Dieu est au-dessus de toutes les eaux.
Les prophètes d'Aliens, les derniers papytes, nous montrent
l'homme au-dessus des eaux du fleuve pour les contrôler
et il y a un personnage de ça,
un personnage de là
qui canalise
le fleuve. Et alors,
il y a encore
la rassurante réponse.
Le prophète est intéressé de voir
cet homme au-dessus des eaux
qui les contrôle,
qui les engendre d'un côté et de l'autre
pour montrer que ce fleuve ne peut pas
déborder la limite que Dieu lui a donnée.
Et d'autre part, le prophète
dit mais jusqu'à quand ?
C'est une épreuve terrible
que le peuple va passer. Mais
jusqu'à quand, Seigneur ? Et qu'est-ce que le Seigneur
répond ? Jusqu'à ce que
non seulement il contrôle
l'intensité de l'épreuve
dans les eaux où il semble que tout
en peut tirer, mais il en a mesuré
aussi le temps. Jusqu'à ce
que le fleuve délire. Il y aura un temps,
c'est une moitié de temps. Et pour rassurer
le résidu,
à qui la parole est adressée
directement, il dira
1262 jours.
Pas un jour de plus, pas un jour
de moins.
Alors dans le cas de Jean
qui a ensuite été annoncé,
sa mère est là maintenant
et ce sera donc
le plus grand des hommes de la terre, nous le savons bien.
Alors Marie,
après avoir reçu ce message
de l'an 1279,
nous allons essayer de voir ces deux quantiques
ce soir avant de nous séparer,
elle va au pays des montagnes
trouver sa parente Zacharie,
sa parente
Elisabeth, femme de Zacharie.
Alors comme elle entrait,
on peut parler de petit enfant
très saillie de joie dans son temps.
Ça dit donc, ça dit donc
de Jean-Baptiste. Et en entendant
Marie
qui est la mère
de son maître,
ce petit enfant déjà dans le ventre
de sa mère très saillie de joie.
Alors c'est un nouvel élément
que nous ajoutons, ce que nous avons pu dire,
des liens.
C'est un homme qui a reconnu beaucoup de
peine sans doute, mais c'est un homme
qui a été heureux. Et déjà
dans le ventre de sa mère,
il est très saillie de joie. Et il pourra
dire cette joie qui est la mienne, d'être
le précurseur du sauveur. Parce que
lui l'a vu, les prophètes en ont parlé
de lui. Jean l'a vu,
il a vu de près celui dont il
était le précurseur. Voix de celui
qui crie dans le désert. Moi je ne suis rien
je ne suis qu'une voix. Mais le voilà
celui dont il était parlé dans l'épidémie.
Je ne le connaissais pas, mais j'ai vu l'Esprit
de Dieu descendre sur lui comme Dieu me l'a
expliqué. Et cette joie de
m'abaisser, de lui donner
toute la place. Et moi de prendre
la dernière, c'était ainsi dans chaque
assemblée, j'en ai pour tous les frères et toutes les sœurs.
Vous savez nous répétons,
mais nous le disons pour nous. Croyez-le bien.
Mais toute mon difficulté
s'est évanouirée.
Alors Jean dit,
cette joie qui est la mienne, de m'abaisser.
Et il s'abaisse tellement
qu'il dit, je ne suis pas digne de délier
même en me baissant la courroie
de sa sandale.
Le plus grand des hommes
de la terre parlait ainsi de son
mère. Parce que le Seigneur
l'a dit, il n'y a personne qui est né de
femme, qui soit né de femme, qui soit plus grand
que Jean. Et il dit, je ne suis pas digne
même en me baissant
de délier la courroie de sa sandale.
Mais cette joie de m'abaisser
ainsi, parce qu'elle est la mienne,
elle est accomplie. Et elle commence déjà
ici, dans le ventre de sa mère.
C'est extraordinaire ça.
Alors c'est l'occasion d'entendre
deux premiers quantiques.
Et vous allez voir qu'il y a une suite extraordinaire
quand on lit attentivement
chacun de ces quantiques. On peut les
placer dans un écrin
de son véritable
joyau que l'on peut mettre
côte à côte.
Élisabeth, verset 41,
fin du verset, fut remplie de l'Esprit
Saint. Et elle s'écria aux
trois, et dit, tu es bénie entre les femmes,
bénie est le fruit de ton
âme. Élisabeth,
c'est la première qui chante entendue.
Femme simple,
effacée, méfidèle,
dangereuse. Le drame a été
joué vers les péchés.
Dieu indique que c'est par la femme
que la
sement de la femme sera amenée
sur la scène pour
briser la tête du serpent.
Si elle a été l'instrument pour amener
le man sur la scène, elle sera aussi
le canal par lequel celui
qui va détruire les œuvres
du diable et briser la tête
de celui qui a introduit le mal dans le monde,
c'est par elle
celle qui sera la mère de
la semence de la femme.
Quel titre glorieux du Seigneur !
Eh bien, de quoi suis-je amené ? Tu es bénie entre
les femmes, tu es celle dont on est
terminé à parler dès que le mal
est introduit dans le monde, qui devait
t'amener sur la scène, la sement
de la femme, et la sement de la femme,
tu es celle, en
t'adressant ta Marie, tu es celle
qui la porte dans ton cercle.
Donc, ce premier cantique nous ramène
à la première page de la Bible
pour ça, pour célébrer,
pour souligner l'accomplissement
des promesses que Dieu a faites
dès le commencement, à l'égard de la
femme et à l'égard de la semente de la
femme qui devait venir un jour sur
la terre pour briser
tout le pouvoir du diable.
Sans doute auraient-ils le talon brisé,
mais par la mort et une brise
a jamais le pouvoir de la mort.
En se soumettant volontairement
à la mort, il a néanti,
en enchantant la mort le pouvoir
de celui qui l'a détenu.
Par la mort, Dieu nous a délivrés
de la mort.
L'Israël n'était pas délivré
par le sang
de l'agneau pascal.
Sans doute, le jugement de Dieu
était arrêté. Je verrai le sang,
je passerai par-dessus vous, mais Israël
n'est pas sauvé pour autant.
Ils sont tous en Égypte, incapables
de se libérer de leur chaîne.
Que faut-il encore ?
Il nous faut la rédemption par le sang,
l'agneau, et il nous faut la rédemption
– nos frères ont écrit tout cela –
il nous faut la rédemption par puissance.
Et c'est à travers la mer Rouge
qu'ils vont connaître la délivrance
et pouvoir chanter sur l'autre livre
ce qu'ils n'ont pas pu faire
en Égypte, bien qu'épargnés
du jugement.
Mais en entrant dans la mort,
de la mort de Christ à laquelle
ils ont part, ils sont délivrés
de l'Égypte, délivrés du monde,
et de la puissance de celui qui est le chef du monde
qui sera englouti dans les eaux de la mer.
Dieu prend contre lui
la mer Rouge, tous nos ennemis
et les a néantis pour toujours.
C'est pour cela que l'on peut chanter
sur l'autre livre.
Eh bien, nous avons cela
dans une seule proposition
de cette femme, elle nous amène
devant ce qui est incommensurable,
devant ce qui va remplir toute l'éternité.
Dieu bénit entre les femmes,
Dieu a accompli sa promesse
par la femme qui a introduit le mal,
voici maintenant que tu es sur la scène
choisie pour amener celui
dont il a parlé
en disant la sement de la femme
te brise la tête, toi tu vas lui briser le talon.
Premier cantique,
chanté par les désabêtes
à l'égard de la sement de la femme.
Quel est le deuxième cantique ?
Eh bien, nous avons un peu plus loin
nous ne pouvons pas
nous arrêter parce que sinon
nous n'arriverons jamais au bout d'un autre sujet, chers amis.
Mais remarquons que
maintenant Marie, à partir du verset 46
va nous dire des choses
extraordinaires et vous pouvez
souligner sept choses
différentes qu'elle va nous dire
après l'introduction, le chant
qu'elle va faire, mon âme magnifie le Seigneur
etc. dans les versets 46 et 18.
Mais à partir du verset 51
elle nous montre déjà
elle, dans sa foi que tout
est accompli. Il n'y a rien d'accompli
dans ce moment-là.
Les puissants sont sur leur trône
les romains sont
ceux qui dominent
sur Israël et qui écrasent ce pauvre peuple.
Il n'y a rien d'accompli
dans ce que cette femme nous dit. Mais sa foi
est telle qu'elle anticipe en raison
de celui qui va naître, montré
la mère, en raison de celui
qui va naître, elle anticipe tout ce qui aura
lieu au jour de la délivrance
car ses droits n'ont pas été abrogés.
Il était venu pour faire cela
mais hélas
rejeté, méprisé,
crucifié, ses droits ont été
poulés aux pieds. Mais ils n'ont pas été abrogés
car il faut qu'il règne et
quand il entrera dans son règne, tout
ce que nous avons là, sept points
essentiels, seront accomplis.
Ceci dit,
soulignons maintenant quel est le
cantique de cette
femme. Il a pris
verset 54,
c'est la dernière chose qu'elle dit des
sept points que nous avons essayé
de mentionner. Il a pris
la cour d'Israël, son serviteur,
pour se souvenir de sa miséricorde
selon qu'il avait parlé à nos
pères envers Abraham
et envers sa semence
à jamais.
Un pas de plus
dans l'histoire de la révélation
dans ces cantiques,
chanté par de pauvres gens,
affligé, sans relief,
méprisé sans doute,
au milieu d'un état de chose
religieux que vous n'avez vu que dans l'histoire
de Zacharie. Tout le peuple est là
autant que pendant qu'on offre le parfum.
Il y a une activité religieuse.
Mais,
chers amis, ce peuple de mon ordre
élève, il est éternel, mais leur cœur est loin de moi.
Mais ceux-ci ont leur cœur près du Seigneur.
Mais ils ne sont pas nombreux.
Ils ne sont pas nombreux.
Cette femme, Marie, après avoir énoncé
cette foi que le Seigneur va faire,
elle nous amène,
elle nous amène devant
ce cantique particulièrement
précieux pour nous et qui a
comme objet
les promesses que Dieu
a fait à Abraham.
Ce nom de la femme, Elisabeth,
maintenant, promesse
que Dieu a faite à Abraham,
deuxième cantique chantée par Marie
et promesse
qu'ils nous sont
donnés à nous, qu'ils sont étendus
jusqu'à nous parce que
Abraham l'éternel a dit
déjà au chapitre 12,
il ne cite même pas son peuple,
il dit, en toi
toutes les familles de la terre
seront bénies.
Et si vous voulez bien chercher
dans ce que J.M.D. demande
au Galate, lorsqu'il est
question de ces passages
de l'île de la Genèse, c'est très important.
Alors, il nous faut venir jusqu'au chapitre 22,
lorsqu'Isaac
a été en figure mis en mort et qu'il est
ressuscité, pour que Dieu reparle
de la semence
d'Abraham, non pas seulement de
sa descendance, mais de Christ
et à ta semence
qui est Christ, la voici.
Alors, la semence d'Abraham, chapitre 22,
Dieu dit, parce que tu as
fait cette chose là, Abraham,
parce que tu m'as offert ton fils,
que tu es allé jusque là, et bien je n'ai
personne de plus grand par qui jurer.
Je lève ma main aux cieux.
Je dis, je vis éternellement
et je jure par moi-même que je vais
te bénir. Et ta bénédiction,
elle est dans le chapitre 22
de l'île de la Genèse. Vous pouvez voir, elle a
deux sens. Je vais bénir ta semence.
Elle sera semblable aux étoiles des
yeux, elle sera semblable
au sable qui est sur la mer. Et
toutes les familles de la terre seront
bénies. Qu'est-ce que ça veut dire, chère?
Bien, déjà, d'une manière voilée,
l'esprit de Dieu introduit la pensée
de l'Église. Une semence
qui est au ciel, ce sont tous les descendants
d'Abraham qui sont morts dans la poêle.
Et puis, tous les peuples nous parlent des esprits
des justes consommés. Il y a une
semence d'Abraham qui est au ciel. Il y en aura
une demain qui sera sur la Seine, c'est
aussi nombreuses que le sable
qui est au bord de la mer. Mais en toi
seront bénies toutes les familles de la terre,
c'est-à-dire que tu as tiré de toutes les
familles de la terre, d'Afrique,
d'Asie, d'Europe, d'Amérique,
de partout, une épouse pour
son fils. Mais
c'est parce que tu as fait cette
chose-là, de sorte que cette femme,
avec l'intelligence que Dieu lui donnait
par le Saint-Esprit, elle nous
amène à Abraham et à la
semence d'Abraham qui,
ici, il n'y a pas de doute, est
Christ, en association
avec tous ceux qui lui sont donnés
en vertu de l'œuvre qu'il va
accomplir. Vous voyez qu'à l'échelle
de l'enseignement et de
cohésion
et de suite, nous venons de
l'assement de la femme et nous passons
ensuite envers Abraham et
envers sa semence à jamais. Un petit détail,
au verset 40, elle a dit
« Car le Puissant m'a fait de
grandes choses ». Car le
Puissant m'a fait de combien de fois tout le monde
le verbe « Puissant » adressé
à Dieu. Il faut la peine de chercher.
Maintenant, nous avons une concordance qui nous permet
de chercher parce que c'est un grand
bienfait. C'est peut-être aussi dommage
parce que ça nous rend un peu
paresseux car quand on lit la page,
nous avons tous les passages. D'autre part,
il fallait quand même lire et chercher.
Enfin, ne disons pas ça. Mais combien de fois
trouvons-nous le Puissant ?
Dieu Puissant, mais comme substantif,
comme nous l'avons ici.
Nous avons cette fois le Puissant
de Jacob.
Vous pouvez chercher, vous verrez.
Cette fois dans la parole de Dieu,
nous avons le Puissant de Jacob
pour montrer que Dieu
s'est révélé comme le Dieu tout-puissant
mais en faveur de son peuple,
en faveur de Jacob. Mais cette
femme, étant donnée que
celui qui va naître
pour déployer la grâce d'Odion vers
toutes les nations, elle ne m'appelle plus
le Puissant de Jacob.
Elle laisse tomber Jacob.
C'est le seul passage où vous ne trouvez
pas le Puissant de Jacob. Il y en a six
avec le Puissant de Jacob
dans le Nouveau Testament ici.
C'est le Puissant. Plus de Jacob.
Pourquoi ? Parce que Dieu
n'est pas seulement le Dieu des Juifs
mais le Dieu de toutes les nations.
Et Dieu voulait se révéler comme le Père,
non pas seulement comme l'Éternel
mais comme le Dieu Père
de notre Seigneur Jésus-Christ
aux gens les plus éloignés qui soient.
Nous étions morts dans nos fautes
et dans nos péchés, gens des nations
sans droit de citer en Israël
et voilà que
le Puissant Jacob
est tombé pour montrer que la puissance
de Dieu est à l'œuvre envers nous.
Et qui est cette puissance ? Christ.
La puissance de Dieu
et la sagesse de Dieu.
Nous avons donc deux quantiques.
Nous devons maintenant nous arrêter.
Envers Abraham et envers
la Semence à jamais.
Demain, si le Seigneur nous le permet,
nous aurons encore
d'autres quantiques.
Je ne sais pas si nous irons jusqu'au bout
parce que c'est un sujet d'une très grande richesse.
Ce que nous retenons
c'est que
les sept points de cette femme
seront accomplis demain
lorsqu'au verset 54
pour elle, non pas qu'il prendra
mais pour elle c'est déjà une chose faite
il a pris la cause d'Israël
son serviteur pour
se souvenir de sa miséricorde
selon qu'il avait parlé envers Abraham
et envers
sa Semence à jamais.
Elle n'oublie pas Israël son nom
et elle introduit
la Semence d'Abraham, c'est-à-dire
Christ en association avec elle.
Il y a ta Semence qui est Christ.
Et dans l'Épithéogramme
dans l'Épithéogramme Paul va montrer
que ceux qui sont de la foi
ceux qui ont la foi
sont associés
avec Abraham. Parce que
les Juifs auraient voulu dire
oui mais c'est à nous que les promesses appartiennent.
Dernier mot.
Bon, vous dites que les promesses vous appartiennent
sur le pied de la descendance
naturelle. Alors,
vous devez accepter les fils
d'Israël, vous devez accepter les
arabes, les Israéliens.
Ah non, disent-ils.
Nous n'avons rien de commun
avec le fils d'Israël. En effet,
Dieu est Souverain et il a dit à Abraham
et en Isaac
de se rappeler une Semence.
Il n'a pas choisi Israël, il a choisi Isaac.
Donc, sur le pied des
promesses là, ils avaient raison.
Donc, sur le pied des promesses selon la chair, ils avaient raison.
Dieu avait écarté
Israël.
Mais, d'un autre côté, Paul l'ordait.
Mais, que faites-vous alors des hommes, des
Aïus ? Vous ne pouvez que dire
qu'il y a une différence entre vous.
Vous avez le même père, vous avez la même mère.
Vous devenez, au même moment,
les deux frères jumeaux.
Pourquoi Dieu dit-il
le plus grand sera
servi au plus petit ? Il ne dit pas ton âge nez,
chéri.
Il faut bien faire attention à cela.
Paul leur montre que c'est bien sur
le pied de l'élection et de la
grâce que quelqu'un est introduit
devant Dieu.
C'est à la fin
de l'Ancien Testament qu'il dira
j'ai haïs les Aïus. Mais, au commencement
dans le livre partenaire, ça fait le 28,
Dieu ne parle jamais de haïr les Aïus.
Mais, il dit souverainement
j'ai choisi Jacob
le plus grand
et Aïus sera servi au plus petit.
Voyez bien, chers amis,
voilà quelques-unes des promesses de Dieu
que cette femme a devant nous
avec Abraham et Paul dira
étant que nous sommes possesseurs
de la foi, nous sommes des enfants
d'Abraham avec qui nous allons hériter
tout ce que Dieu a conçu
en lui-même pour sa gloire et pour
notre bonheur. …
Transcripción automática:
…
Poursuivons notre lecture au chapitre 2.
Verset 25, et voici
« Il y avait à Jérusalem un homme dont le nom était Siméon,
et cet homme était juste épieux.
Il attendait la consolation d'Israël,
et l'Esprit Saint était sur lui.
Il avait été averti divinement par l'Esprit Saint
qu'il ne verrait pas la mort que premièrement.
Il a vu le Christ du Seigneur,
et il vint par l'Esprit dans le temple.
Et comme les parents portaient le petit enfant
pour faire son égard selon l'usage de la loi,
il le prit entre ses bras et bénit Dieu,
et dit, Maintenant, Seigneur,
tu laisses aller ton esclave en paix,
selon ta parole.
Mes yeux ont vu ton salut,
lequel tu as préparé devant la face de tous les peuples,
une lumière pour la révélation des nations
et la gloire de ton peuple Israël.
Et son père et sa mère s'étonnaient des choses
qui étaient dites de lui.
Et Siméon les bénit,
et dit à Marie sa mère,
Voici, celui-ci t'est mis pour la chute
et pour l'enlèvement de plusieurs en Israël,
et pour un signe que l'encontre dira.
Et même une épée transpercera ta propre âme,
en sorte que les pensées de plusieurs coeurs soient révélées.
Et il y avait âme d'une prophétesse,
fille de Phanuel de la tribu d'Azère.
Elle était forte, avancée en âge,
ayant vécu avec un mari sept ans depuis sa virginité,
un peuve d'environ quatre-vingt-quatre ans,
qui ne quittait pas le temple, servant Dieu,
en jeûne et en prière, nuit et jour.
Celle-ci, survenant dans ce même moment,
louait le Seigneur
et parlait de Lui à tous ceux qui à Jérusalem
attendaient la délivrance.
Nous arrêtons là.
Sans revenir bien longtemps sur ce que nous avons vu,
à l'intention de nos amis qui sont là ce soir,
nous pourrions dire quel était le but poursuivi
en ouvrant l'Évangile selon Luc au début de celui-ci.
Nous avions à cœur de nous placer devant un petit résidu fidèle
qui porte des caractères vraiment intéressants,
dont les circonstances, la vie,
ce qu'ils disent, ce qu'ils font,
présentent un réel intérêt, un encouragement et un exemple pour nous.
Pour faire apparaître le caractère distinctif de l'Évangile selon Luc,
nous avons rappelé que Matthieu écrivait pour les Juifs,
c'est lui qui nous donne le but de citation de l'Ancien Testament.
Son Évangile a un caractère tout particulier.
Il groupe les faits, les discours en vue de celui qu'il poursuit,
montrer que Jésus est bien le Messie,
Marc dépeint le Serviteur parfait,
Luc nous montre le Fils de l'Homme,
et Jean établit devant nous de la façon la plus décisive la divinité du Fils de Dieu.
Sur ce qu'on a résumé, si l'on peut ainsi parler,
ces quatre Évangiles en disant,
Matthieu démontre,
Marc dépeint,
Luc décrit,
et Jean déclare.
Quand nous ouvrons l'Évangile selon Luc,
nous ouvrons l'Évangile écrite par un Grec,
à l'intention d'un autre grec, un homme des nations,
pour nous montrer l'universalité de la grâce de Dieu
à travers celui qui vient dans ce monde
et qui prend ce titre de Fils de l'Homme.
Nous sommes bien permettés, sur ce nom que le Seigneur prend,
c'est un nom caractéristique très important.
Nous avons remarqué qu'il se trouve, à une unité près,
quatre-vingt fois dans les Évangiles,
et seulement trois ou quatre fois tout au plus dans le reste du Nouveau Testament,
c'est-à-dire,
« Etienne le verra, je vois les cieux ouverts et le Fils de l'Homme debout ».
Nous le voyons aussi dans l'Épiteaux Hébreux, chapitre 2,
en relation avec le sujet que l'apôtre traite,
insistant à la fois sur la divinité et sur l'humanité du Seigneur,
les deux piliers sur lesquels son œuvre est appuyée,
en vue d'y poser la sainte sacrificature qu'il exerce maintenant pour nous.
Dans l'Apocalypse, nous avons deux fois la mention du Fils de l'Homme.
Nous avons vu que la première fois que le Seigneur parle de lui
comme étant le Fils de l'Homme,
c'est en rapport avec sa situation déjà de rejet au milieu de son peuple.
Quelqu'un s'approche et dit,
« Maître, je voudrais te suivre. »
Et le Seigneur répond, « Oui, mais il faut bien faire ton compte,
parce que les renards ont des tanières, les oiseaux dessions des demeures,
mais le Fils de l'Homme n'a pas un lieu reposé sa terre. »
Mathieu, c'est la première fois que le Seigneur parle de lui comme étant le Fils de l'Homme.
Qu'est-ce que cela veut dire, rapidement ?
Présenté dans le psaume 2, comme le Messie et comme le Fils de Dieu,
savons bien que dans ce psaume très important,
les trois personnes divines tiennent chacune un discours.
Dieu parle, Seigneur parle et le Saint-Esprit parle.
Dieu, en opposition avec la folie des autres qui vont rejeter son Fils,
une chose est annoncée et elle sera réalisée.
Pierre, dans son discours à Jérusalem,
dans la mention du psaume 2, les nations se sont déchaînées contre Christ.
Vous savez bien que les Crudeaux de la Croix étaient en trois langues.
Personne ne peut se soustraire.
Les Crudeaux étaient en hébreu, en grec et en latin,
c'est-à-dire les trois grandes familles humaines d'accord pour rejeter le Fils de Dieu.
Dieu dit, « Mais moi j'ai sacré mon Fils-Roi sur Sion. »
C'est la déclaration divine.
Et le Seigneur, lui, parle à son tour.
« Dis-moi, je vais raconter le décret, le décret qui date de toute éternité.
L'Éternel m'a dit, tu es mon Fils.
Aujourd'hui, je t'ai engendré.
Tu es mon Fils, c'est-à-dire il souligne ce qu'il est de toute éternité pour le Père
et montre, dans le restant du verset,
sa position prise comme homme dans le temps vis-à-vis de Dieu.
Tu es mon Fils de toute éternité.
Aujourd'hui, c'est sa position dans le temps
comme homme qu'il prend pour accomplir l'œuvre que Dieu lui a donnée à faire.
Vous voyez ?
Et moi, je racontais le décret.
Ensuite, l'Esprit s'indique.
« Baisez le Fils de peur qu'il ne s'érite pendant que c'est encore le temps de la grâce.
Comployez-vous, dépêchez-vous, ne perdez pas le moindre instant de vous réconcilier avec lui.
Rejetez mon Fils de Dieu et comme le Messie, il prend un titre nouveau dans le chapitre 8,
dans le chapitre 8 de l'Epsom, comme le Fils de l'homme.
Il faudrait toute une réunion pour que nous nous étendions sur tous les détails,
mais nous essayons de donner la pensée principale.
Quand le Seigneur dit qu'il est le Fils de l'homme,
nous avons déjà Daniel qui est appelé Fils d'homme, nous avons déjà Isaac qui est...
C'est-à-dire que ce sont deux hommes qui vont parler de la part de Dieu,
mais que Dieu retire du cœur en quelque sorte, Fils d'homme.
Fils de l'homme veut dire qui est en relation avec l'homme,
sans qu'il y ait la moindre paternité humaine, mais cela veut dire qu'il a pris
notre nature sans péché pour devenir un homme
et en fait pouvoir souffrir et mourir pour l'homme
afin de faire hériter l'homme au-delà de la mort,
au-delà du jugement exercé, afin de pouvoir faire hériter l'homme
de tout ce que Dieu avait conçu en Lui-même pour le bonheur de l'homme.
Comment l'homme aurait-il dû hériter de tout ce que Dieu avait conçu pour lui
dans son état de péché ? Impossible !
Finissons-en avec l'homme dont le Jésus-Passant s'est narré.
L'homme a été mis à l'épreuve de toutes manières
et Dieu n'en fera que deux morts, pesés, comptés, divisés, manquant de poids.
Personne n'atteint à la gloire de Dieu, sauf le pauvre.
L'accomplissement de son dessein, formé de toute établité, se raconte et le décrit.
Il vient Dieu envoyer son Fils en ressemblance de chair de péché
et pour le péché, pour régler la question du péché,
et c'est comme fils de l'homme qu'il va souffrir, qu'il va mourir, hébreux d'eux,
mais que Dieu va exalter, il va traverser tous les cieux
et alors, au-delà de la mort qu'il a subie pour nous,
du jugement qu'il a traversé, nous allons être identifiés avec lui,
comme ses compagnons, et plus encore, c'est comme fils de l'homme qu'il reçoit une épouse.
Luc a donc devant lui d'établir l'humanité réelle du Seigneur Jésus
venant dans ce monde comme fils de l'homme.
Mais parce qu'il est le fils de l'homme,
il doit aussi hériter de tout ce que Dieu avait dans ses pensées pour l'homme.
Et c'est au fils de l'homme que toute autorité est donnée,
au ciel comme sur la terre,
il dominera d'une mer à l'autre, d'un bout du pays à l'autre,
on entendra des chants, gloire au juste,
sa domination au ciel et sur la terre sera demain pleinement établie.
Nous ne voyons pas encore aujourd'hui que toute chose doit être assujettie,
des apôtres aux épreuves,
mais nous voyons par les yeux du cœur Jésus couronné de gloire et d'honneur.
Et demain nous verrons cette couronne que Dieu a mise sur sa tête
et cette couronne sera toujours plus belle.
Luc nous amène donc en présence du Seigneur vu qu'on est fils de l'homme,
c'est pourquoi la généalogie remonte jusqu'à Adam.
Vous voyez, c'est très important cela.
Tandis que Matthieu vient remonter comme Messie,
la généalogie du Seigneur jusqu'à Abraham.
Alors nous avons dans l'Évangile selon Matthieu,
fils d'Abraham, fils de David, c'est la première ligne.
Dans l'Évangile selon Marc, commencement de l'Évangile de Jésus-Christ,
le fils de Dieu, fils de l'homme dans l'Évangile selon Marc,
selon Luc, pardon, et fils du Père.
Le fils du Père qui vient de la part du Père pour révéler le Père
et pour nous introduire avec lui dans la famille du Père,
dans la jouissance de l'amour du Père.
Fils d'Abraham, fils de David, fils de Dieu, fils de l'homme, fils du Père.
Matthieu démontre, Marc dépeint, Luc décrit,
et Jean affirme, déclare que celui qui le présente
vient plus tard que les trois synoptiques et vient le fils de Dieu.
Alors, notre but était, chers amis, de congénérer,
avant que Luc ouvre devant nous le champ si large
de la grâce de Dieu envers tous les hommes,
la fidélité de Dieu aux promesses qu'il a faites envers son peuple.
Et c'est dans Luc, précisément, un étranger,
que nous allons trouver au début de son Évangile un tableau,
un récit en sept tableaux de ce petit récit du fidèle
que Dieu s'est toujours maintenu sur la scène,
que nous trouvons dans le prophète Malachie des personnes qui ne sont pas
remarquables pour le monde, ils ne possèdent pas de titre imposant,
ce sont des gens sans doute jeunes, qui sont de classe tout à fait ordinaire.
Et ce qui les caractérise n'est pas bien difficile,
il ne faut pas avoir fait des études supérieures pour cela.
Mais la première chose, c'est qu'ils craignent son nom,
et on a crainte de Dieu, et on a crainte de déobéir à la parole de Dieu.
Ensuite, ils pensent à son nom et ils parlent de lui.
Oui, à travers des occupations ordinaires nous pouvons faire cela,
penser à lui et parler de lui, ce ne sont pas des choses difficiles.
Mais pour cela, le Seigneur dit, eh bien, ces quelques-uns me sont tellement précieux
que j'ai écrit un livre pour eux, un livre de souvenirs.
Et pour chacun d'eux, j'ai écrit son nom dans ce livre de souvenirs,
que voici ouvert devant nous, dans l'Évangile selon Luc.
C'est le tableau de ce petit résidu composé de personnes tout ordinaires
et d'un très grand âge en général.
Vous avez remarqué l'âge de la dernière personne qui est en scène devant nous
et qui va chanter le dernier cantique, et c'est une veuve qui chante.
Il n'est pas courant qu'une veuve de cet âge chante,
mais l'Esprit de Dieu nous montre ce qu'il produit dans une âme qui aime le Seigneur.
Et la première personne qui chante, qui nous dit par l'Esprit Saint ce si beau cantique,
c'est Elisabeth qui est aussi très, très âgée.
Mais remplie de l'Esprit Saint, elle présente devant nous un chant d'une suprême beauté.
Et la dernière personne qui constitue ce résidu, c'est Amou,
une femme très âgée, peut-être près de 100 ans,
si elle ne les a pas dépassées, et nous entendons chanter.
Donc un encouragement pour nous à suivre ce petit résidu
depuis le commencement jusqu'à la fin
et à nous pénétrer de ce qu'il est concernant.
Nous avons vu hier et les jours précédents,
donc Elisabeth, nous avons vu Marie, nous avons vu Zacharie,
c'est notre mémoire épidèle dans le chapitre 1er verset 67.
La première mention de ce cantique, c'est en relation avec la semence de la femme,
et dire le fruit de ton ventre.
La deuxième strophe de ce cantique, c'est à l'égard d'Abraham et à sa semence,
c'est que Marie parle d'Abraham et de toutes les promesses que Dieu a fait.
Donc vous voyez, semence de la femme, Abraham,
ensuite nous faisons encore une étape de plus dans le verset 67 et suivant.
Zacharie, le père de Jean-Baptiste, dira, au verset 68, Dieu nous a visités,
il a sauvé son peuple pour lui, la chose est déjà faite,
et il nous a suscité une corne de délivrance dans la maison de David.
Semence de la femme, semence d'Abraham,
semence de la femme, semence d'Abraham, semence de David.
Et c'est en David qu'en 1er verset 67 que Dieu va dire,
et bien ce sera un de tes fils, qui sera celui sur lequel
et à travers lequel toutes les promesses que j'ai faites vont s'accomplir.
Ce n'est pas Salomon, si brillant, si élevé que soit Salomon.
Ce n'est pas ton fils, mais un de tes fils qui sera assis sur mon trône.
Il y a deux choses dans ce chapitre, c'est le trône et l'autel,
les deux pivots sur lesquels s'articulent les relations que Dieu va soutenir avec son peuple.
Mais en raison de la semence de David.
Né de la semence de David selon la chair, dira Paul.
Le Seigneur est donc un fils de David selon la chair.
Déterminé fils de Dieu en puissance selon l'Esprit de sainteté,
mais né comme fils de David selon la chair.
Romain, introduction de l'Église.
La voici devant nous.
Qu'est-ce qu'une corne ? Une corne de délivrance.
La corne, dans la parole de Dieu, est toujours synonyme de puissance, de force.
Et bien demain, chers amis, avec des cornes, comme des cornes de bœufs,
on va pousser tous ses adversaires jusqu'aux extrémités du désert.
La corne est le synonyme, le symbole de la puissance de Dieu.
Les prophètes agarides nous parlent des quatre cornes
qui étaient à l'heure, qui avaient été à l'heure pour disperser Israël.
C'est-à-dire les quatre grandes monarchies gentilles,
où tout le monde dit l'Empire calvéen, l'Empire ménoperce,
l'Empire grec et puis l'Empire romain.
Quatre cornes, quatre grandes puissances que Dieu a établies dans ce monde.
Pas cinq, ils ne parlent pas des Russes, ils ne parlent pas des Etats-Unis.
Ils nous parlent seulement de quatre empires.
Et le quatrième est en train de se reformer.
Nous ne voulons pas dire qu'il n'y a pas de relation avec les deux grandes nations que nous venons de citer.
Mais bien parler de quatre cornes, de quatre empires, pas de cinq ou de six.
Alors la corne, c'est donc la délivrance qui sera demain déployée,
accordée à ce pauvre peuple qui va traverser une tribulation sans précédent.
Mais le prophète dit, il en sera sauvé.
Et si le Seigneur n'eût abrégé ses jours, nulle chair n'eût été sauvée.
Nous ne pouvons pas imaginer, chers amis, ce que seront les souffrances du Résidu demain sur la Seine.
Autant de pogroms, de persécutions sanglantes, de tourments qui leur ont été invigés,
et bien le Seigneur dit, il n'y aura jamais eu une journée telle que celle-là.
Il n'y aura jamais eu un temps de détresse tel que celui par lequel ils vont passer.
Et il n'y en aura plus jamais.
Mais le Seigneur, nous en avons parlé hier, le Seigneur a compté les jours au Résidu.
Un temps, des temps, une moitié de temps.
On voit que Dieu est fidèle aux promesses qu'il a faites,
et elles seront accomplies par le vrai David, une corne de délivrance,
une puissance agescente en délivrance, issue de la maison de David.
Pour nous, c'est quelque chose de plus grand encore, chers amis.
La délivrance dont il est question ici, c'est une délivrance en relation avec la Terre,
délivrance du jour de l'Antéchrist, délivrance de toutes les nations qui vont les assaillir demain,
délivrance du feu ardent dans lequel ils seront plongés.
Mais c'est en relation avec la Terre, et pour des bénédictions terrestres,
impunément précieuses sans doute,
mais qui ne sont pas comparables aux bénédictions que Dieu nous a données,
déjà maintenant vénées de toutes les bénédictions spirituelles dans les lieux célestes en Christ.
Ces bénédictions sont en rapport avec le temps et avec la Terre.
Pour nous, nous en avons fini avec le temps et avec la Terre.
Quand quelqu'un est sauvé, quand quelqu'un est converti,
s'il n'y a pas encore ici une âme qui n'a pas donné son cœur au Seigneur,
dès qu'elle se tourne vers le Seigneur et qu'elle l'accepte pour son sauveur,
elle est sortie d'Egypte, elle est sortie du temps, elle est sortie du monde,
elle appartient au Ciel.
Son nom est écrit dans le livre de vie, mais elle en a pris avec le monde,
elle en a pris avec le temps.
Ce qui reste maintenant, c'est, quant à nos pauvres corps mortels qui doivent être changés
pour qu'avec notre âme, nous formions ce que la parole de Dieu appelle la perfection.
Afin qu'ils ne parvincent pas à la perfection sans nous.
Ceux qui sont au Ciel maintenant, les saints de l'Ancien Testament,
ne sont pas encore dans la perfection.
La perfection, c'est quand nous serons tous ensemble en possession d'un corps de gloire,
transmué, nous les vivons, ressuscité, ceux qui se sont endormis.
Alors, ce sera la perfection.
Nous serons tous ensemble autour du Seigneur et nous le verrons.
Les bien-aimés qui sont auprès du Seigneur ne jouissent pas encore maintenant de voir le Seigneur
et ne possèdent pas encore la jouissance collective d'être autour du Seigneur.
Mais le bonheur qu'ils éprouvent est incomparable,
parce que pour être avec Christ, cela est de beaucoup meilleur.
Car ce qu'il est, ce qu'un croyant est en lui-même quant à son moi intelligent,
il est déjà dans la présence du Seigneur.
Mais la corne de délivrant dans la mélodie de David est donc chantée par Zacharie.
C'était le troisième cantique.
Avançons un peu.
Nous les citons en passant.
Le quatrième cantique, il y aura le Ciel et l'Océan.
Le Ciel ne peut pas rester insensible au fait que Dieu se manifeste,
s'abaisse, s'anéantit lui-même.
Et nous avons un ange qui vient ouvert ses lèvres.
Un ange du Seigneur se trouve avec de pauvres bergers,
des gens qui aussi accomplissent une tâche pas bien difficile, sans doute pénible,
car dans des troupeaux, dans la montagne, pendant la nuit,
et tout à coup, ce ne sont pas des gens habitués au temple, au sanctuaire, au monastère religieux,
mais tout à coup, c'est à eux que l'ange vient parler.
Pourquoi pas autour d'un sacrificateur ? Pourquoi pas dans le temple ?
Vous voyez, le Seigneur se souvient de ceux qui étaient pauvres du troupeau,
comme M. Lowe les appelle.
Et le Seigneur justifiera son ministère en faisant dire à Jean
et l'évangile est annoncée autour des bergers.
C'est à eux que l'ange vient dire, écoutez, j'ai un grand jeu de joie à vous annoncer.
Quel est l'ange qui vient dire cela ? Nous ne le savons pas.
Mais vous avez remarqué, dans l'Ancien Testament,
il y a souvent, pour une communication exceptionnellement importante,
l'ange avec un A majuscule.
Il n'y a pas de majuscule dans l'original,
mais le cher traducteur a introduit le majuscule lorsqu'il est bien certain
qu'il s'agit de l'ange qui représente le Seigneur dans, comme on a dit, sa préincarnation.
Par exemple, dans Genèse 22, l'ange à l'éternel, il s'agit bien de l'éternel lui-même.
Par exemple, pour l'autorité de dire ce qu'il a dit à Abraham,
dans le Huisson ardent, vous avez l'ange à l'éternel avec A majuscule,
et vous avez l'éternel et vous avez Dieu.
Dans l'histoire de Manoah, c'est un homme, c'est l'ange à l'éternel avec A majuscule,
c'est l'éternel lui-même et c'est Dieu.
C'est une seule et même personne.
Mais l'ange à l'éternel se présente de façon mystérieuse de la part de Dieu.
Mais il sait pourquoi Maman nous parle de l'ange à l'éternel avec A majuscule.
Dans certaines occasions, pour détruire toute une armée de cent quatre-vingt mille hommes
dans l'armée des Assyriens, Dieu a envoyé un ange.
Quel ange ? Avec A majuscule.
Le traducteur a bien compris qu'il n'était pas nécessaire que ce soit l'ange avec A majuscule.
Il a simplement écrit A minuscule.
Pourquoi il ne peut pas mettre le A majuscule ?
Pour une déclaration de cette importance.
Mais vous l'avez bien compris, parce que l'ange avec un A majuscule,
c'est celui qui est dans la grève de Bénédict.
Dieu était en Christ.
Le mystère de la piété est grand.
Dieu était manifesté en chair et c'est un ange qui vient dire aux bergers
que nous avons un grand sujet de joie.
Aujourd'hui, dans la cité de David, Bethléem, la maison du pain,
nous est né un sauveur, le Christ, le Seigneur.
Et en voilà le signe.
Vous allez vous rendre dans les tables où, hélas,
il n'y avait pas d'autre place pour les parents du Seigneur,
étant donné leur pauvreté.
Nous avons cela dans le verset, je le dis en passant,
verset 24 de ce chapitre 2,
ils ont présenté le Seigneur, les parents.
Quel âge avait le Seigneur à ce moment-là ?
Quel âge avait le Seigneur lorsque les parents lui ont présenté ?
Il y a exactement 41 jours.
33 plus 8, comme la loi le disait.
Et ils n'ont pas eu le temps, ils n'ont pas eu les moyens,
pendant ces 41 jours, d'acquérir l'agneau qui était nécessaire.
Pour offrir, en relation avec les exigences de la loi,
ils ont dû se limiter à offrir deux trucs.
Voilà, la richesse du Seigneur, de ses parents.
Les mages ne sont pas encore venus à ce moment-ci.
Vous voyez, les mages ont apporté de l'or, de l'encens, de la myrrhe.
Les mages ont apporté toute la provision nécessaire
pour que les parents puissent aller avec le petit enfant déjà vite.
Mais ici, nous sommes tout au début, au commencement,
comme nous l'avons dit hier dans l'Évangile selon lui,
c'est-à-dire à partir de l'étape.
Alors, les anges viennent dire aux bergers,
et tout à coup, il y a, nous partons nous attarder,
il y a une multitude, au verset 13, de l'armée céleste,
non pas chantant, mais louant Dieu.
Les anges ne chantent pas.
Nous ne trouvons jamais que les anges chantent.
Le chant est le propre de Dieu racheté.
Nous n'entendons jamais chanter.
Nous ne pouvons pas confondre le chant que l'âme.
Que la vie nouvelle conduit dans nous avec les chantons du monde,
il n'y a pas de comparaison.
Mais le chant est toujours la fonction du croyant
qui s'empare de son corps, de son esprit, de son âme.
Les œuvres chantées.
Mais tout notre être est sollicité.
Le corps, l'âme et l'esprit.
Dans le chant, mieux nous chanterons,
plus le niveau de notre manifestation spirituelle sera élevé.
Nous devions chanter comme personne ne chante.
Mais nous ne chantons qu'au-delà de la mer Rouge,
qu'en possession des fruits de la rédemption.
Alors les anges n'ont pas connu la rédemption.
Les anges qui sont là n'ont pas péché,
n'ont pas été écartés, jetés dans la vie,
de sorte que les anges peuvent louer Dieu,
mais ne chantent pas.
C'est nous, chers amis.
C'est à nous que ce privilège extraordinaire
est réservé de chanter.
Chanter à l'éternel.
Exode 15.
Comme nous chantons maintenant les louanges de Dieu
en présentant Christ, l'essence du culte,
c'est évidemment présenter Christ à Dieu
dans ce qu'il est et dans ce qu'il a fait.
Parce que c'est l'essence du culte.
Présenter à Dieu Christ
dans ce qu'il est dans sa personne
et dans ce qu'il est accompli.
Ça c'est le résumé du culte.
Alors, qu'est-ce que les anges vont dire ?
Ils louent Dieu en disant
« Gloire à Dieu dans les lieux très hauts,
sur la terre de paix,
et bon plaisir dans les hommes. »
Le moment est venu où Dieu peut manifester
son bon plaisir dans les hommes.
« Faire éclater la gloire dans les cieux
et établir la paix sur la terre. »
Je marque que dans le chapitre 17,
si nous avons bien retenu,
les mêmes expressions sont dites,
mais il y a une phrase qui est supprimée.
Qui l'a supprimée ?
« Et sur la terre de paix. »
L'homme a supprimé cela.
En rejetant le prince de paix,
l'homme a ôté,
a servi l'adversaire,
a ôté la paix de la terre.
Et jusqu'à la fin,
il y aura,
quand le Messie sera retranché,
il n'y aura rien du prophète d'ailleurs.
En anticipant ce que nous avons maintenant devant nous,
il y aura,
jusqu'à la fin,
un décret de désolation.
Le sang n'a pas cessé de couler
depuis la mort de Christ.
L'homme a supprimé la partie centrale
de cette loue en faisant
la gloire à Dieu dans les lieux très hauts,
sur la terre de paix.
Il l'a supprimée.
Mais Dieu conserve, selon son dessein,
ce qu'il a conçu,
d'exercer son bon plaisir
dans les hommes et de les attirer
à travers l'heure de Christ,
à travers ce qu'il manifeste.
La méchanceté de l'homme
dans ce qu'il a de plus abominable,
dans la mort de Christ.
Dieu se sert de cette porte même
pour en faire la porte de la grâce.
Ô profondeur
des richesses de la sagesse de Dieu
qui a pu mettre de telles pensées
dans le cœur de Dieu,
se servir du crime le plus abominable
commis par l'homme,
pour en faire la porte par laquelle
reçoit le pécheur,
laver dans le sang précieux
le pécheur passé par l'homme.
Là où le pécheur bondait,
la grâce, elle a surabondé.
C'est donc le cantique central, le quatrième.
Nous en avons un autre
émergé, un autre verset l'un,
et ils sont bons,
glorifiants, et nous, mon Dieu,
ayant entendu
des choses semblables,
vous avez vu ce qu'il a écrit au verset l'un,
des choses qu'ils avaient
entendues et vues.
Mais c'est ce qui nous concerne,
dans le premier épisode de Jean,
ce que nous avons vu, ce que nous avons entendu,
ce que nous avons vu,
tout ce qui est relatif à Christ,
tout ce qu'ils ont vu,
tout ce qu'ils ont entendu,
c'est-à-dire l'essence même
de la foi chrétienne pour nous.
Et c'est un mot dit pour eux,
pour glorifier et louer Dieu.
C'est donc le cinquième cantique.
Ils glorifient
et ils louent Dieu pour les choses
qu'ils ont entendues et les choses
qu'ils ont vues, c'est-à-dire
le contenu
de la foi chrétienne, comme
Jean le dit, en commençant sa première écrite.
Pour lui, c'est un souvenir
extraordinaire, ce que nous avons vu,
ce que nous avons contemplé, touché.
Jean ne se lasse pas de
parler du Seigneur tel qu'il l'a pu le voir,
penchant sa tête
sur le sein du sourdeur.
Quel souvenir pour lui !
Pouvait-il y avoir quelque chose de plus doux
pour quelqu'un ?
D'avoir le Seigneur
au milieu de lui,
de le voir,
de l'entendre,
d'examiner
tous les détails
de son activité.
Pouvait-il y avoir quelque chose de plus
précieux que cela ?
Nous pourrions dire non, mais pourtant, oui,
le Seigneur dit, écoutez, il vous est
avantageux que je m'en aille,
parce que si je ne m'en vais pas,
le Saint-Esprit ne viendra pas.
Alors la possession du Saint-Esprit,
nous y venons tout de suite avec
Simeon, la possession
du Saint-Esprit surpasse toutes
les bénédictions les plus sensibles,
les plus désirables
qu'ils soient, qu'ils se soient trouvés sur la terre,
même avoir le Seigneur au milieu d'eux.
C'était un avantage
pour eux que le Seigneur s'en aille,
qu'il remonte au ciel,
comment glorifier ?
Conscience,
l'intelligence,
et les arts, c'est l'espérance
chrétienne dont nous avons
déjà quelque chose en nous,
comme gage,
comme Paul le dit dans le chapitre 1
de l'épisode 3.
Alors, nous avançons encore un peu,
nous arrivons maintenant
de ce sixième cantique chanté par un homme
qui a toujours ému
par son récit
ce qu'il était,
c'est ce qu'il faisait.
On dit le pieux vieillard,
peut-être que c'est un vieillard,
mais nous n'en savons rien, c'est tout.
Je ne pense pas que la parole dit que c'est un vieillard,
mais peut-être quand même certainement âgé.
Alors, commençons par le commencement,
il y avait à Jérusalem un homme
dont le nom était Siméon.
Qu'est-ce que cela rappelle pour nous, Siméon ?
Ou Simon, c'est le même mot
qu'en anglais que l'autre en hébreu.
Il n'y a pas beaucoup de Simons
dans le Nouveau Testament,
il y a un Simon dans l'Assemblée à Jérusalem,
il y en a un acte 8,
il y a un Simon qui est acte 13
dans l'Assemblée Antioche, pardon.
Il n'y en a pas beaucoup de Simons,
de Siméons.
Mais pourquoi les parents ont-ils appelé ?
Vous savez bien que les parents
ont joué pour appeler leurs enfants
avec une certaine précondition,
ne le faisons pas la légère,
donnant un nom
en rapport avec l'état
de leurs affections,
de leurs affections,
de leur rapport avec Dieu.
Alors pour des parents,
appeler quelqu'un Siméon,
c'était donc quelque chose de très sérieux,
parce que Siméon n'a rien d'enviable.
Quelle est l'histoire de cet homme ?
L'histoire d'un homme redoutable,
d'un homme au caractère trempé,
dont la chair,
dont la chair est
dure comme le fer.
L'exemple que nous devons
vous dire, c'est à votre esprit,
c'est bien celui de Joseph,
quand ses frères sont revenus,
ils ne savaient pas que Joseph
les comprenait.
Je vous l'avais bien dit,
il ne fallait pas
mettre votre main sur l'enfant.
Et maintenant,
qu'est-ce qu'on fait avec nous
de vos deux pièces d'argent ?
Vous avez reçu chacun deux pièces d'argent,
20 pièces à partager en 10,
quel profit avez-vous
des deux pièces d'argent que vous avez reçues
pour vendre notre frère ?
Ah, si vous m'aviez écouté,
j'aurais voulu le sauver,
simplement le mettre dans la citerne
et puis le délivrer à l'insu de ses frères.
Mais Dieu ne se consente pas
de compromettre.
Il faut bien noter cela.
La conduite de Ruben,
l'aîné,
sans doute est un compromis,
mais Joseph a entendu cela,
parce qu'il se rend bien compte maintenant
de la responsabilité de chacun.
Alors, il dit bien maintenant,
l'un d'entre vous va rester ici
pendant que vous allez remonter vers votre père
pour voir si vous avez bien dit la vérité
pour me ramener votre jeune frère Benjamin.
Qui va-t-il faire rester ?
L'aîné, le plus responsable.
Ce n'est pas Ruben qui va le faire rester,
c'est le second, Simeon.
Il a Simeon, c'est Simeon qui va rester.
Ils ont les regards dans tous.
Il a vu dans les traits de cet homme,
dans le regard de cet homme,
il a vu quelque chose d'inflexible,
il a vu ce qui était la chair dans cet homme.
Il le montra bien, il l'a bien montré.
En coupant les charrettes des taureaux
avec son frère Lévi, c'était un homme redoutable,
le Simeon.
La tribu des Siméonites a une histoire aussi particulière.
Mais pourquoi alors des parents
perdent-ils leur enfant Simeon ?
Simeon ne rappelle pas quelque chose
de beau, d'appréciable.
Mais, chers amis, il y a un petit secret.
Simeon,
quand il est venu au monde, sa mère
l'éternellement entendue,
elle avait souhaité, elle avait prié
pour avoir un enfant,
et l'éternel avait prié.
De sorte que nous ne devons pas se dire à ce moment
que c'est bien cela qui émerge
dans le nom de Simeon.
Les parents de Simeon ont appris ainsi pour rappeler
que Dieu, dans des temps les plus sombres,
les plus difficiles,
au jour de Zacharie,
qui est devenue un guéliard avec son épouse,
va recevoir cet enfant pour lequel ils ont prié
pendant des années et il y a bien longtemps.
De la même manière, ici, les parents
de Simeon disent l'éternel entend.
Tu n'es pas sourd,
mon frère.
Oh, toi qui écoutes la prière.
On dit 1987
comme au début du siècle,
comme au début du témoignage.
Il n'y a pas de différence. Y a-t-il un changement en Dieu ?
Y a-t-il une ombre de changement ?
Une variation quelconque ?
Dieu est le père.
Avant la prière, Dieu dit
Je suis.
Le temps ne compte pas pour Dieu.
Et il dit avec les derniers, ce que nous sommes,
comme avec les premiers, je suis le père.
Bien ces personnes,
pieux, ont dit l'éternel entend.
Et ils ont appris leur enfant,
Simeon, pour rappeler précisément
cette fidélité de Dieu.
Alors, ceci dit, nous avançons
et nous avons le caractère de cet homme.
Il était juste, il était pieux.
C'est donc lui qui va nous chanter le sixième cantique.
On va essayer de ne pas se
nous attarder au détail pour considérer
la question.
Il était juste et pieux. Y a-t-il une contradiction
dans la parole de Dieu, lorsque
nous disons que la plume de la peau
il n'y a pas de juste. Il n'y a pas même un seul.
Alors ici,
nous disons que cet homme était juste.
Et Paul dit, il n'y en a pas un seul.
Comment concilier
cette apparente contradiction ?
Eh bien, il n'y a personne
qui est juste en lui-même, par lui-même,
qui peut acquérir
un état tel qu'il est
considéré comme juste devant Dieu.
Il faut que ce soit Dieu
qui nous justifie,
qui nous tienne commun,
étant quitte de
toutes conséquences de nos fautes
et de nos péchés, parce que
Christ les a portées en son corps sur le point.
Et je suis justifié
non par vertu de mes heures,
ni en vertu de ma foi, comme c'est
avec une valeur en elle-même.
Je suis justifié par la grâce
et par le sang du Christ.
La justice de Dieu
est une justice légale,
une justice sans appel,
une justice qui ne laisse rien à l'homme,
mais qui provient de la grâce
de Dieu et qui, pour pouvoir
l'exercer, a sacrifié
son fils. Vous vous souvenez bien que
dans le temps, les chérubins ont leurs ailes
étendues à un côté,
comme le lieu très sain, pour nous montrer
que rien n'a été atténué,
que rien n'a été amoigné dans les exigences
de la sainteté et de la justice
inflexibles de Dieu Christ.
A dû payer tout ce
qui était relatif,
tout ce qui a été exigé
par la justice et par la sainteté.
Et la preuve
dans ce tableau que
Salomon nous donne,
il en est bien ainsi, c'est que l'autel
a les mêmes dimensions que
les chérubins dans le temps.
L'autel a 20 côtés de largeur,
20 côtés de longueur,
10 côtés de hauteur. Les chérubins
ont 20 côtés, leurs ailes étendues
sont 10 côtés de hauteur.
Les chérubins sont les agents qui requièrent
l'application de la justice
de Dieu par loi judiciaire.
Christ a payé, rien ne
lui a été atténué. Mais l'autel
a les mêmes dimensions, il a pu
épuiser la colère de Dieu
de telle manière que
Dieu maintenant peut planter tous nos péchés,
les jeter loin derrière son dos,
les engloutir dans les profondeurs de la mer.
Cet homme était juste, non pas
en lui-même, il n'y en a pas un seul,
mais il était juste dans ses voies,
c'est-à-dire qu'il était conséquent
avec le privilège de connaître Dieu.
La justice dans ce cadre,
c'est le somme d'un toit,
il me conduit dans un sentier de justice
à cause de son nom,
étant donné parce que Dieu
qui sauve est toujours le Dieu Saint,
ne l'oublions pas, sauf que comme ça,
mais il me conduit dans un sentier de justice
pratique, c'est-à-dire un sentier
dans lequel le mal est écarté.
Mais que faut-il faire ?
Nous nous sommes laissés sur le plan
par quelqu'un, il n'y a pas d'eux qui sont péchés.
Là, nous avons des ressources,
mais ce n'est pas dans l'état.
Et là, s'accédant tellement
qu'un mal peut survenir dans la vie,
nous ne le croyons pas, mais Jean nous montre
que sinon, il en est ainsi, si cet accident
est survenu, nous avons un
abricot préliminaire
qui intercède pour nous.
Alors Dieu, le Père, nous pardonne
et ôte de notre conscience
le poids de la culpabilité
qui relève
du péché que nous avons.
Seigneur, comme avocat,
intercède au préliminaire
et quelqu'un disait,
vous voyez, il met une main
sur les pieds de ses saints
qui sont souillés dans le chemin
et l'autre main sur le trône du Père.
C'est un beau tableau cela.
Sa main sur les pieds
que j'ai souillées dans le chemin
et son autre main sur le trône du Père.
Il était juste,
marchant dans un chemin de justice pratique.
Il était pieux,
ça veut dire des rapports de
confiance et de crainte
avec Dieu. La crainte, non pas
d'un esclave devant son maître,
mais la crainte de déclarer
à quelqu'un que l'on aime.
Si nous aimons quelqu'un, notre épouse,
nos parents, nous craignons
de leur déclarer. C'est cela la crainte ici.
La crainte de déclarer à Dieu.
Non pas la crainte servile,
non, la crainte de déclarer à Dieu
dans son chemin. C'était donc deux qualités
essentielles de cet homme.
Et comme tel, il était agréable à Dieu
et un jour il a reçu une révélation.
Il nous a dit qu'en plus
il attendait la consolation d'Israël.
Il y avait une espérance. Il attendait
la consolation d'Israël. Quelle était la
consolation d'Israël ? Eh bien
c'est Jean Baptiste qui allait
la faire connaître et c'est le prophète
d'Isaïe qui l'a met et qui l'a
placé dans la bouche de Jean Baptiste.
Vous vous rappelez bien
ce que nous voulons dire
lorsque l'homme a fait
tout, a fait son temps, a monté
ce qu'il était. Eh bien
une voix décrit
le pirège. Eh bien toute chaire
de l'herbe, l'eau est sans valeur
pour Dieu. Tout a été mis,
tout a été essayé.
L'herbe est desséchée, la fleur est
fanée, mais la parole de Dieu
demeure éternellement.
Alors, la consolation
la voici. Consolé,
consolé mon
peuple. Après la sombre
histoire de l'homme, Dieu dit
consolé, consolé mon peuple.
Parlez au coeur de Jérusalem,
criez lui que son temps de détresse
est accompli, que son
délit quitté, n'a quitté et ce sera prêt pour
demain. Mais cet homme attendait
dans ce jour-là, ce qui était
déjà écrit par le prophète Édouard,
la consolation de Dieu.
La consolation de Dieu qu'il allait envoyer
lorsque l'histoire de l'homme serait terminée
comme la fleur des champs qui serait
pochée ne reste rien, mais la parole
de notre Dieu dont il était l'expression
vivante entre dans scène
pour produire,
pour produire une vie nouvelle
et une vie nouvelle qui nous
intrône dans la présence de Dieu en communant
avec Dieu pour jouir de la
consolation de Dieu.
Alors, Paul nous dira dans la deuxième
épître aux Thessaloniciens, nous avons
reçu une bonne espérance
par grâce et une
consolation éternelle.
De quelle manière,
il y a des mères ici parmi nous,
et bien le prophète dit, comme une mère
console son enfant,
caresser sur les bras,
caresser sur les genoux, porter sur les bras,
il n'y a pas de tableau plus saisissant
de la consolation d'une mère
avec son petit enfant.
Caresser sur les genoux, porter
dans les bras, comme une mère console son enfant.
C'est ainsi que je vais vous consoler.
C'est ainsi que Dieu va essayer toute l'âme
de son hôpital demain. Et cet homme
attendait, lui, dans sa sphère,
la consolation d'Israël. Il marchait
donc de manière à être agréable à Dieu
et il attendait la consolation d'Israël.
Ce que nous avons évoqué dans
les Aït 40. Ensuite,
l'Esprit Saint était sur lui.
Ici, nous commençons à voir des différences
qui nous poussent l'idée. L'Esprit Saint
était sur lui. Il n'a pas dit que l'Esprit Saint
était en lui. Pourquoi ? Parce que
l'Esprit Saint n'était pas encore descendu
sur la terre comme le
sceau, nous l'avons dit tout à l'heure, de la foi
du croyant. Mais l'Esprit Saint le conduisait.
Comme il conduisait les saints
de l'Ancien Testament, de saints hommes de Dieu,
par exemple, les prophètes ont parlé
et ont poussé par l'Esprit Saint.
L'Esprit Saint était sur lui. Pas en lui.
Mais l'Esprit Saint était sur lui.
Pour le conduire, pour lui donner
l'intelligence des choses qu'il devait accomplir.
L'Esprit Saint était sur lui
et il avait été averti divinement
par l'Esprit Saint qu'il ne verrait pas
la mort avant d'avoir vu
le Christ du Seigneur.
Ici, il faut nous arrêter un petit instant.
J'avais donc reçu une révélation
de la part du Seigneur.
Le Seigneur lui avait dit
en l'avertissant divinement
Simeon,
tu vas mourir.
Je vais te recueillir un jour.
Mais avant de mourir,
tu vas voir le Sauveur.
Pas seulement le salut, mais celui qui sauve.
Donc,
remettons-nous à la place du Simeon
il pourrait dire, moi je vais mourir un jour.
Mais je sais qu'avant de mourir,
je vais voir le Sauveur.
Quelle est la différence avec le Seigneur ?
Nous ne pouvons pas dire,
nous, je vais mourir.
Parce que la mort n'est pas notre espérance.
Ou sinon, nous ne comprendions pas
ce que Paul nous a dit. Voici, je vous révèle un secret.
Je vous révèle un mystère.
Nous ne nous endormirons pas tous.
Parce qu'il n'y a pas la mort que nous attendons.
Nous sommes bien fixés sur ce point.
Cher Frère Benita,
nous l'avons souvent dit,
mais ça nous avait frappé de l'avoir entendu nous-mêmes.
Le dernier jour de sa vie,
alors qu'il était bien près de s'en aller,
et je le réalisais bien,
il disait à sa famille réunie autour de lui,
autour de son lit, mais vous savez,
je n'attends pas la mort.
J'attends le Seigneur.
Mais cet homme vit contrairement à nous.
Le Seigneur lui a dit,
tu vas passer par la mort, mon chéri,
mais avant de t'en aller,
tu vas voir le Sauveur.
Eh bien, nous, nous attendons le Sauveur.
Et après,
la mort ne sera plus.
Dès que le Seigneur est là,
nous allons nous écrier, mort,
vous êtes à victoire.
Elle sera engloutie, sera vaincue.
Satan sera brisé sous nos pieds.
Lui n'attendait la mort,
mais avant, il allait voir le Seigneur.
Mais nous, dès que nous allons voir le Seigneur,
nous n'avons plus rien à faire avec la mort.
Elle n'exercera plus
jamais aucun droit sur nous.
Après, la différence entre
Simeon, cet homme pieux
et les privilèges qu'il possédait,
et ceux du croyant glorieux.
Voici, je vous révèle un secret,
nous ne nous endormirons pas tous.
Nous allons voir le Seigneur,
peut-être aujourd'hui,
parce qu'il n'y a jamais qu'un instant
qu'on parle de la venue du Seigneur.
Mais les personnes endormies,
même ceux qui sont morts depuis
que la promesse a été faite,
ils n'ont attendu en vain pas du tout.
Pauline se place au milieu de ceux qui attendent
ou de ceux qui seront endormis.
Il ne peut pas dire
quelle sera sa position.
Mais ce que nous pouvons dire,
c'est qu'aucun croyant n'a été frustré,
quelle que soit la longueur de sa vie.
Parce que dès qu'un croyant est sur ses yeux,
il est avec le Seigneur.
L'éternité bienheureuse
a commencé pour lui.
Donc un croyant qui s'en va,
qui a attendu le Seigneur,
sa matin de sa vie, n'est pas frustré
parce que le Seigneur le revend.
Il entre dans la joie
de son maître.
Il entre dans le repos
près du Seigneur.
Il n'a pas été frustré.
Mais ce bonheur d'être avec le Seigneur
est celui
qui termine sa vie sur la terre.
Et nous ne pouvons rien faire,
de plus que,
comme le soulignait quelqu'un,
que d'accompagner la sortie
de nos bien-aimés.
Et le Seigneur dit, je garderai ta sortie
et ton entrée.
Nous, on ne peut pas aller plus loin
que la sortie de nos bien-aimés.
Nous les accompagnons de nos soins
et puis on ne peut rien faire.
Mais le Seigneur, alors, qui pourra
qui pourrait dire l'accueil ?
Quel est l'accueil ?
C'est par le Seigneur
ou bien-aimés qu'il recueille.
Quel moment, tout à coup,
d'être sous stress,
à la scène environnante,
un corps de souffrance,
tout ce qui peut nous éprouver, nous dépouiller,
tout à coup. Être avec le Seigneur.
Quelqu'un peut-il expliquer cela ?
Bien, cet homme, il entendait la consolation d'Israël
et il savait
qu'il verrait la mort,
mais comment il verrait le Seigneur ?
Nous n'avons plus d'indépendance pour Dieu.
Alors, il vient dans le temple,
les parents portaient le petit enfant vers ses 27,
et il le prie dans tous ses bras,
vers ses 28, et il bénit Dieu.
Et il dit, maintenant Seigneur,
ce que tu as dit,
tu peux le réaliser,
tu me laisses aller.
J'ai vu, j'ai vu le Seigneur, j'ai vu le Sauveur.
Laisse-moi aller maintenant.
Je n'ai plus rien qui me rattache à la terre.
Alors, il prend le petit enfant
de ses bras. Vous voyez quel tableau c'est,
disons. Et que va-t-il faire ?
C'est un gréard pieux.
Il est juste pieux.
Il a beaucoup d'autorité.
Il va bénir le petit enfant.
Il se garde bien de le faire.
Vous ne trouvez pas qu'il bénit le petit enfant.
Mais il bénit Dieu.
Et bénir a deux sens. Nous le savons bien,
bénir ici, c'est dans le sens de rendre
des louanges à Dieu.
Donc, maintenant, le petit enfant,
dans le regard blanc,
il bénit Dieu.
Il élève son cœur en louant jusqu'à Dieu.
Il ne bénit pas le petit enfant.
Pourquoi ?
Parce qu'il a un verset qui nous dit que le moindre
est béni par celui qui est le plus
excellent. Or, on peut se vieillir
puisqu'on nous dit que c'est un gréard
juste, pieux, qui a tant de qualité
que le petit enfant qui est le plus
excellent.
C'est bien le petit enfant.
Cet homme ne sait pas sonter, Simeon.
Il bénit Dieu à l'occasion
du bonheur qu'il est prouvé
de tenir le petit enfant. Mais alors,
il rend l'enfant sa mère.
Et puis, il peut, étant de ses mains, bénir les parents.
Parce que là, il a le droit.
Voyez quelle précision dans
la parole de Dieu, dans l'égard
de la gloire du Seigneur. Il ne bénit pas
le petit enfant. Il loue.
Il élève son cœur en louant
jusqu'à Dieu. Mais dès qu'il a remis
le petit enfant, alors il peut, étant de ses mains,
il peut bénir les parents.
Verset 34.
Simeon les bénit.
Il va exercer ce rôle
de prophète. Il va dire, voici,
celui-ci est mis pour la chute
et le relèvement de plusieurs en Israël.
Mis pour la chute
et le relèvement de plusieurs en Israël.
Cet homme anticipe, chers amis,
ce que Paul va nous dire
dans l'Épée aux Romains et ailleurs aussi.
Comment la pierre
qui est placée par Dieu
sera... Je vais peut-être
finir le verset de Matthieu 21,
nous sommes déjà en terminant bientôt.
Verset 44. Le Seigneur
parle de la pierre,
verset 42, la pierre
que ceux qui bâtissaient
ont rejetée. Celle-là est devenue
la maîtresse pierre du coin.
Et ceci est de par le Seigneur
et elle est merveilleuse
devant nos yeux. C'est pourquoi je vous dis,
verset 43,
que le royaume de Dieu vous sera ôté
et sera donné à une nation qui en rapportera les fruits.
Le Seigneur anticipe donc
le rejet d'Israël et montre
que le royaume leur sera ôté,
le royaume qui leur était promis
en raison de ce qu'ils vont faire
à cette pierre
méprisée par eux,
élue, choisie pour Dieu,
mais méprisée par eux, rejetée.
Alors le Seigneur leur dit,
le royaume vous sera ôté
et sera donné à une nation qui en rapportera les fruits.
La grâce, en effet,
c'est une représentation, c'est-à-dire de recueillir
beaucoup de fruits au sein des nations.
Et le Seigneur ajoute,
et celui qui tombera sur cette pierre sera brisé.
Mais il parle aux juifs,
anticipant le rejet
qu'ils vont faire de sa personne.
Celui qui tombera sur cette pierre
sera brisé. C'est le cas de la nation.
Ils sont tombés sur cette pierre
et ils ont été brisés.
Les armées romaines ont réalisé cela point pour point.
Et alors il est ajouté
et celui sur lequel
elle tombera, elle le croira,
ça c'est pour demain, seront broyés
demain par cette pierre qui va descendre de la montagne,
une pierre sans main, et qui va venir
tout anéantir, tout ce qui reste de la statue
et anéantir tous les apostats
de son peuple.
Il y a deux choses dans Matthieu 21.
Et bien cet homme nous introduit déjà
dans cette pensée. Voyez, ce siméon
il nous dit, celui-ci
il est mis pour l'achemise et le raiement
de plusieurs en Israël.
Et là, il entrevoit,
il prévoit
le rejet du Seigneur de sorte
que c'est pour la chute
de ceux qui vont rejeter le Seigneur
qu'il le présente.
Et le raiement de plusieurs,
c'est-à-dire de ceux qui
après
l'économie actuelle,
c'est une application que l'on peut faire certainement,
seront relevés, puisque
le tabernacle de David sera relevé
lorsque la plénitude des nations sera entrée.
Mais cet homme ne parle pas
d'une pierre de salut. Il dit
celui-ci, il est mis
pour signe que l'on continuera
et
c'est pour la chute
et le relèvement
de plusieurs. Ceux qui allaient
ceux qui allaient le rejeter,
partie religieuse
de son peuple en particulier,
allaient tomber sur cette pierre,
ne se relèveraient pas. Mais d'autres
alors allaient suivre.
Et le relèvement de plusieurs, ceux des nations
notamment de l'autre économie, après le
rejet de Christ, après
la descente du Saint-Esprit,
pierre, pour aller surgir sur la scène
et montrer l'attention de Dieu
et de tous les hommes.
Et enfin cet homme ici, mais on est béni
et il dit à sa mère ce que nous venons de voir,
il sera pour un signe
que l'on contredira en 1974.
Cela restera
jusqu'à nos jours. Nous sommes dans une compagnie,
c'est bien, tout va bien,
mais si quelqu'un prononce le nom du Seigneur,
les cœurs se manifestent.
Ce n'est pas possible que
le cœur de l'homme ne soit pas manifesté
devant le Seigneur. C'est un signe
que l'on contredira.
Et une épée même
transpercera ta profane
qu'elle est professive
dans la bouche de cet homme.
Un signe que l'on contredira.
Il est contredit encore
aujourd'hui, de la même manière
qu'au commencement, et pour
que l'épée aille transpercer ta profane.
Quelquefois, au culte,
on dit, et bien,
on sait que le prophète
Jérémie, vous le savez,
on dit, y a-t-il
une douleur telle que ma douleur,
au moins que l'éternel a affligé.
Mais ce n'est pas une pensée juste, au fond.
On le dit avec beaucoup
d'amour pour le Seigneur. Voyez, si c'est
une douleur comme ma douleur.
Mais le Seigneur n'a jamais imploré la pitié de personne.
Il a dit aux femmes,
pleurez sur vous, et sur vos enfants,
et pas sur moi.
Mais c'est le résidu qui dit cela.
Et en fait, il est illustré dans Marie.
Et si c'est elle qui allait avoir
au pied de la croix son âme transpercée
pour le femme quand elle l'avait,
Jésus, son fils
selon la chair, cloué
sur cette croix,
sauf que le Seigneur, son fils, va la soustraire
à ce spectacle insoutenable.
Il va dire à Jean, Jean,
voilà ta mère.
Et femme, voilà ton fils. Et nous, nous
revendiquons ce nom. Jean, et dès cette heure-là,
Jean l'a briché.
Jean va soustraire
cette pauvre mère
à ce spectacle
affreux, insoutenable
de la croix. Une épée transperçante
à ta croix.
Dernier mot, chers amis, c'est ceci.
Est-ce qu'un juif n'aurait jamais parlé
comme Sibéon s'il n'était pas conduit
par l'Esprit Saint ? Vous avez vu ce qu'il a dit
plus tôt. Nous terminons avec cela.
Et nous allons rappeler une courte
anécdote. Quand il dit
Mesdames et Messieurs, on veut ton salut
au verset 30, lequel tu as préparé.
En fait, si on avait le temps, on pourrait parler
de beaucoup de choses que tu as préparées.
Devant la face de tous les
peuples,
remarquez une lumière
pour la révélation des nations
et la gloire de ton père Israël.
Est-ce que un juif n'aurait jamais parlé
de la révélation des nations,
du bonheur que les
nations allaient connaître en relation
avec Christ, avec le don de Christ,
et ensuite de la gloire d'Israël ? Jamais !
Si on est un prophète des
Aïds, je te donnerai pour être une alliance
du peuple d'abord,
du peuple d'Israël, et pour être
une lumière des nations. Ça c'était l'ordre
que le prophète
indiquait avant que le Seigneur vienne.
Être
une alliance du peuple
et une lumière pour les nations.
Mais d'abord le peuple et ensuite les nations.
Et Sibéon, lui, il renverse
l'ordre
et il dit, mais il fallait vraiment
le Saint-Esprit pour dire cela,
parce qu'un juif jamais ne se serait
... n'aurait pensé
que les nations pouvaient être
avant Dieu. Vous savez bien
comment ils diront à Paul quand
ils ont entendu, et bien maintenant
nous nous tournons vers les nations,
quand Paul leur a dit que désormais la grâce de Dieu
était pour les nations, haute de la terre,
un pareil homme, il n'aurait pas dû vivre,
il l'aurait mise en pièce.
Quand on parle de l'Évangile pour eux, pour la nation,
cela l'est encore.
Mais dès qu'il a ouvert la porte des nations,
dès qu'il a montré que Dieu ouvrait la porte aux nations,
cet homme, il ne pouvait plus.
Jusqu'à ce jour, il l'avait
écouté, mais dès qu'il a parlé des nations,
ils l'ont interrompu, ils l'auraient mis en pièce.
Et bien, voilà Sibéon, lui,
il parle déjà au moment
éternel.
Il peut déjà dire, quel bonheur pour nos chers amis.
Il peut déjà dire,
et bien, en raison
du rejet de Christ,
tous les peuples
seront au bénéfice de ce salut,
la lumière va se lever pour eux
et plus tard, la gloire
de son peuple Israël.
Et ainsi, toute Israël sera sauvée.
La courte anecdote,
la voici, ça dure seulement
30 secondes. En Afrique, j'ai un ami,
il y a des locaux, des indigènes,
ils cherchent tous
ce qu'il y a de plus médiocre.
Alors, on voit du côté
d'une porte,
un mot, et 316.
Là, on comprend bien que c'est Jean 316.
Puis de l'autre côté, il y a
des chiffres et un mot,
mais on ne comprend pas, bien sûr, c'est un indigène.
Alors, on demande, qu'avez-vous écrit ?
Ah, chers amis, c'est émouvant
qu'au fond de l'Afrique,
les croyants aient réalisé
dans leur misère, dans leur
abaissement, dans tout ce qui
peut les caractériser de
pénibles quant à la vie,
et je le répète,
dans des conditions si incroyables,
ils ont écrit
Jésus,
c'est une lumière
pour la révélation des nations.
Au sein de l'obscurité
et du paradis,
ces gens qui ont trompé le salut,
ils ont dû attenter le monde, Jean 316,
et puis,
Dieu nous a donné Jésus pour être
la lumière des nations. …