Le Monde
ID
pr001
Idioma
FR
Duración
02:22:12
Cantidad
2
Pasajes de la biblia
Exode 33; Hebr 2:9-12
Descripción
Exode 33
Hebr. 2:9-12
Transcripción automática:
…
Nous avons lu, chers amis, une série de passages,
qui n'ont pas, semble-t-il, un lien très direct entre eux.
Mais le Seigneur met devant moi ce soir, d'une manière très particulière,
d'une part, l'immense privilège qu'il nous a accordé,
à nous qui connaissons le Seigneur Jésus comme notre Sauveur et notre Seigneur,
d'être retirés de ce présent siècle mauvais, par sa mort,
de nous avoir donné une espérance bienheureuse et glorieuse.
Il vient pour nous prendre avec lui, pour toujours, plus loin du monde.
Et en attendant, il nous laisse dans ce monde,
afin que, comme l'apôtre Paul l'écrivait aux Philippiens,
nous présentions, réussant comme des luminaires,
nous présentions la parole de vie, la parole de la vérité,
le plein évangile de la grâce et du salut de Dieu.
L'origine du chrétien, c'est la grâce de Dieu qu'il a tirée du monde.
Ce monde, il le traverse avec le Seigneur et pour lui.
Et puis, le but, c'est le ciel, c'est la présence éternelle du Seigneur autour de lui.
En considérant ces choses, nous aimerions que notre attention soit attirée
sur quelques enseignements très pratiques que nous donnent les Jésus,
qui ne sont pas des commandements, au sens où les commandements de Dieu
étaient donnés au peuple d'Israël.
L'avant-chantée des poudres de la loi s'est émis la menace,
car la loi disait, fais ces choses et tu vivras.
J'ai mis devant toi la vie et la mort.
Choisis la vie afin que tu vives.
Mais il fallait faire ce que Dieu a dit.
Nous avons été démontrés au cours de l'histoire de l'homme sur la terre
que nous étions complètement incapables de faire quoi que ce soit
qui nous ouvre le plus petit coin du ciel.
Rien en nous, rien par nous ne pouvait nous ouvrir l'accès de Dieu.
Et tout autant, le bonheur est là.
Nous savons bien, nous qui croyons, puisque nous possédons le vrai bonheur
de la jouissance, de l'amour de Dieu, de l'amour de Jésus,
et puisque nous avons devant nous ce bonheur ineffable, inexprimable, éternel
qui sera notre portion avec Jésus pour toujours.
Nous le savons, nous le disons.
La question se pose, est-ce que nous le montrons ?
Est-ce que nous manifestons dans ce monde que le Seigneur y tient une telle place,
que le ciel remplit tellement nos cœurs dès maintenant que le reste ne compte plus
et que les choses visibles ont perdu de leur importance ?
Vous êtes nombreux, enfants de Chrétien, ici,
à avoir entendu parler de l'amour du Seigneur et de l'œuvre de la croix.
Dimanche après dimanche, vous avez sans doute tous une Bible.
Je pense que vous la lisez.
Mais est-ce que cette Bible, cette parole de Dieu,
a sur vos cœurs et dans vos vies une puissance sanctifiante
telle qu'elle vous sépare moralement du monde dont nous sortons, à la grâce de Dieu,
du monde au milieu duquel nous vivons
et au milieu duquel nous avons à rendre témoignage aux chefs de notre salle ?
Eh bien, considérons quelques-unes des vérités qui ont été évoquées devant nous par ces divers passagers.
Il y en aurait beaucoup d'autres qu'on pourrait lire
et nous ne pouvons qu'engager les cœurs à se pencher toujours davantage sur l'écriture,
sur la parole de Dieu pour la connaître, pour la sonder,
pour y découvrir les voies merveilleuses de Dieu envers de pauvres pécheurs perdus,
pour jouir davantage de ce qui est à nous pour toujours
et pour ne pas nous arrêter et nous traîner dans ce monde.
Il y a bien des façons de marcher.
Il y a la façon qui consiste à regarder le but et à persévérer dans la marche jusqu'au bout.
Il y en a une autre qui consiste à regarder tout autour de soi,
à glaner un peu ici, à glaner un peu là, à s'arrêter un moment pour profiter de ceci en passant.
Et puis les années passent, on n'a profité de rien et l'âme s'est appauvrie.
Et vous verrez un jour si le Seigneur vous laisse jusqu'à 70 ans, ça semble bien loin, n'est-ce pas ?
Vous verrez comment les 50, 45, 50, même peut-être 60 années qui vous séparent de cela,
vous verrez comme elles se sont engolées, laissant, si vous n'avez pas connu, goûté l'amour de Jésus,
si vous n'avez pas eu vos cœurs remplis de Lui, vous verrez comme le cœur reste vide, vous n'aurez vraiment rien.
Eh bien, c'est précisément afin que nous connaissions mieux le Seigneur qui nous a engagés dans son chemin
et que nous comprenions de quelle manière nous pouvons le suivre que ce soir vous nous donne ces quelques passages.
Nous commencerons pas dans l'ordre dont nous avons lu, je pense que chacun les retrouvera,
mais nous avons lu dans les Galates au commencement de cet épitre qui s'adresse à des chrétiens qui retournaient au foudre de la loi
en croyant qu'ils pouvaient garder dans la main droite la grâce et dans la main gauche la loi.
Eh bien, chers amis, c'était pas possible. Ou bien Christ a tout fait ou bien il n'a rien fait.
Et s'il n'a rien fait, je ne peux rien faire. Et s'il a tout fait, je n'ai plus rien à faire pour mon salut.
Mais j'ai à m'attacher à Lui pour le suivre.
Ces Galates oubliaient, comme nous l'oublions souvent, que le Seigneur a été envoyé, qu'il est mort sur la croix
pour nous retirer du présent siècle moble.
Voyez-vous, il y a trois mots, quatre mots là, d'une grande importance.
Retirer. Quand on retire quelque chose de l'autre, il n'y est plus.
Quand on retire quelque chose d'une maison, le meuble n'y est plus.
Nous sommes retirés. Par conséquent, nous ne sommes plus où nous étions.
Les croyants.
Retirer du présent siècle, le siècle actuel.
Remarquez bien, il y a 2000 ans, ça a été écrit ça, presque, 1800 ans, 1900 ans, 1900 ans,
et le présent siècle n'a pas changé.
Pas plus que le monde dont le Seigneur Jésus parlait dans le XV de Jean.
Nous avons lu ses passages.
Ce que le monde est, ce que le monde fait, ce que le monde donne.
Nous aurions pu lire encore un verset.
Je ne vous donne pas à moi comme le monde donne.
Oui, nous sommes retirés de ce monde-là.
Le présent siècle.
Attrayant, par bien des égards, ce siècle qui dure depuis que l'on est sur la terre,
dans ses caractères moraux, mais qui est caractérisé bien plus spécialement,
dans cette expression, par le caractère qu'il a pris en rejetant le Saint-Fils de Dieu.
Lisez-vous, le monde a maintenant les mains tachées du sang, du saint et du juste.
Le monde.
Vous vous demandez alors qu'est-ce que c'est que ce monde ?
Nous allons le dire.
Mais retirés de ce présent siècle, de toute son agitation, de toute son organisation,
de tout ce qu'il prépare, de tout ce qu'il prévoit, de tout ce qu'il entend établir,
nous sommes retirés de ce monde.
Du passé, du présent, de son passé, de son présent, de son avenir.
Nous en sommes retirés.
Et ce présent siècle est caractérisé d'un mot très court qu'il va réciter.
Le présent siècle mauvais.
Voyez-vous, Dieu ne cherche pas des mots qui font beaucoup de bruit,
mais qui atteignent la racine même du cratère de ce monde.
Il est mauvais.
Quand un de vos parents vous dit ne va pas avec ce camarade-là, c'est un mauvais camarade.
On n'a fait personne, mais il exerce une mauvaise influence.
Eh bien, le monde est mauvais parce qu'il ne connaît pas celui qui est bon, Dieu.
Parce qu'il ne connaît pas celui qui est venu manifester l'amour de Dieu.
Il ne peut pas le connaître.
Ce n'est pas possible.
Il l'a crucifié, il l'a rejeté.
Et alors, il porte son propre caractère.
Ce présent siècle mauvais.
Et il le garde.
Il l'accentue, peut-on dire, de plus en plus, jusqu'au moment où il n'y aura plus qu'une chose
que Dieu puisse faire sur ce monde, c'est exercer un jugement sans miséricorde
afin d'ôter les méchants, les rebelles, pour établir le règne de paix.
Et encore après cela, nous le toucherons tout à l'heure, ce point, le monde n'aura pas été amélioré.
C'est un monde qui n'est pas améliorable.
Dieu a tout fait pour ce monde.
Tout.
Il a donné son physique.
Après avoir parlé de tant de manières au cours des âges, il a donné son physique.
Et quand il est venu, on lui a donné une crèche.
En entrant, il ne croit qu'au sortir.
Il n'a rien eu pour lui ici.
Voilà le monde dans lequel nous sommes.
De quand date-t-il ?
De qu'à un.
De qu'à un.
Le monde date de qu'à un, l'organisation du monde.
Mais le monde est apparu immédiatement après la faute d'Adam.
Le péché d'Adam.
Ce péché qui a consisté à faire sa propre volonté au lieu de faire celle de Dieu.
A ce moment-là, le principe du monde est là.
Une volonté assujettie à celle de Satan.
Quoi ? Dieu a dit, vous ne toucherez pas à l'arbre.
Dieu n'avait pas dit, vous ne touchez pas, il avait dit, vous n'en mangerez pas.
Alors voilà le mensonge, le menteur d'un commencement,
qui insuffle à l'homme, innocent alors,
et qui n'avait qu'à se louer des biens, des bienfaits, des bénédictions de son Créateur.
Voilà l'homme qui prête une oreille à tantir au menteur.
Le péché entre dans le monde.
Le péché est entré dans le monde, disons-nous dans Romain.
Et par le péché, la mort.
Un seul homme, c'est Adam, qui a des obéis,
et nous l'avons tous suivi dans ce chemin-là.
Et nous portons tous une nature, en Adam, une nature de pécheur.
Et c'est cela qui remplit le monde, des pécheurs.
C'est de cela qu'est composé le monde.
Et Cain, lorsqu'il a mis à mort son frère Abel, le juste,
parce que ses œuvres étaient bonnes, selon Dieu,
et que les siennes étaient mauvaises,
voilà déjà le mot qui apparaît là.
Eh bien, à partir de là, Cain veut s'organiser.
Une malédiction pèse sur lui.
Jusque-là, la malédiction était sur le monde.
Elle était sur le monde.
C'est ce que nous lisons dans le chapitre 3 de la Genèse,
où il est écrit, l'homme dit à Adam,
Maudit est le sol à cause de toi.
Tu en mangeras en travaillant péniblement tous les jours de ta vie.
Tandis que, lorsque Dieu parle à Cain,
tu es au verset 11 du chapitre 4,
et maintenant tu es maudit de la terre qui a ouvert sa bouche.
Il n'est pas maudit de Dieu.
S'il était maudit de Dieu, il serait condamné à une damnation éternelle.
Satan est maudit de Dieu,
mais pas à l'homme qui l'a entraîné,
mais il est maudit de la terre.
Il porte maintenant les conséquences de son péché,
et au lieu d'écouter la voix de Dieu,
qui le laissait rendre sur la terre,
il organise le monde, vous verrez bien dans le chapitre 4,
comment il a cherché, et les arts, et la musique,
et les instruments, et l'industrie.
Voilà l'homme qui s'installe,
comme s'il disait à Dieu,
Dieu, tu me maudis,
tu me laisses maintenant sans ressources,
je n'ai d'espoir que de ton côté, je m'en passerai.
Je veux bien me débrouiller, je suis assez fort,
assez intelligent,
et voilà le monde, voilà le caractère du monde,
et c'est en cela qu'il est mauvais,
non pas seulement parce qu'il fait du mal,
c'est parce qu'il est mauvais qu'il fait du mal,
mais parce qu'il ne veut pas de Dieu.
Le monde est ennemi de Dieu,
ennemi de Dieu,
et nous, nous étions aussi du monde,
et des ennemis dans nos mauvaises oeuvres,
et dans notre entendement, dans l'homme intérieur.
Ah, dans quel état nous étions !
Voilà le monde.
Eh bien, c'est dans tel monde
que le Seigneur est venu tirer les signes,
pour créer les mondes, il a parlé,
que la lumière soit de la lumière.
Pour retirer de ce monde
de pauvres pécheurs perdus, misérables,
sans espoir de secours,
le Seigneur est descendu dans ce monde.
Il vint du ciel, sorti en sacrifice.
Et quand il est venu, il n'y avait eu,
et il n'y a eu depuis, sur la terre,
qu'un seul injuste,
qui porta la justice en lui-même,
qui a glorifié Dieu dans toute sa vie,
et jusqu'à la fin, et jusqu'à la croix,
c'est le Seigneur Jésus-Christ.
Lui, voilà l'homme parfait,
il est appelé le second homme qui est venu du ciel.
Le dernier Adam.
Le premier Adam, c'est Adam,
et tous ses descendants vous aimant.
Voilà le premier Adam.
Une race perverse, une race perdue,
une race sur laquelle le jugement de Dieu pesait,
mais envers laquelle Dieu a voulu puiser de grâce.
Et pour cela, le dernier Adam est venu.
Quiconque croit en lui a la vie éternelle.
Et du moment où vous croyez, si nous croyons ici tous,
nous avons la vie éternelle,
nous sommes retirés de ce monde.
Mais c'est tellement vrai, chers amis.
Vous avez entendu, dans les Corinthiens,
en un instant, à la dernière trompette,
car la trompette sonnera,
les morts seront ressuscitées,
les vivants seront changés,
et nous s'unirons avec le Seigneur,
en un instant.
Si le Seigneur venait pendant que nous parlons,
à l'instant précis où nous parlons,
et bien en un instant,
tous ceux ici, et toutes celles qui ont la vie de Dieu,
s'uniraient avec lui pour toujours.
Et s'il y en a un,
s'il y en a une qui n'est pas sauvée,
il resterait sur son banc, sur sa chaise,
allant devant des jugements,
avec le monde auquel il est venu d'attacher.
Quelle pensée sérieuse.
Ah, chers amis, je ne pourrais pas fermer l'œil cette nuit,
si je n'étais pas converti.
Je ne pourrais pas m'endormir tranquille,
si j'avais encore sur moi,
le poids de mes péchés.
Le poids de mes péchés est tombé sur Christ,
sur le Sauveur, mon Sauveur,
et tous ceux qui l'appartiennent peuvent le dire.
Et voilà, l'assurance du salut.
Voilà sur quoi repose le salut d'une âme,
pas sur autre chose.
Ni sur vos heures, ni sur vos mots de disposition,
ni sur le fait que vous avez eu des parents chrétiens,
ni sur le fait que vous êtes là ce soir.
Non, vous êtes là, devant Dieu.
Écoutez-le.
Écoutez-le.
Tournez-vous vers moi, vous dit Dieu.
Tourne-toi vers moi, âme perdue,
et sois sauvée.
Moi, je te sauverai.
Moi, je te donnerai.
Par Jésus Christ.
Retiré d'un tel monde, le Seigneur nous y laisse.
Il nous y laisse.
Il nous donne dans ce monde la paix.
La paix, c'est-à-dire,
cette paix qui vient du pardon de nos péchés.
Nous sommes assurés.
Plus de crainte, plus de terreur.
Et puis, il nous donne sa paix.
Donc nous traversons ce monde avec lui,
en jouissant du repos qu'il avait dans la communion avec lui.
Mais dans ce monde, le chrétien est dans un monde hostile.
Il faut aller à contre-courant dans ce monde.
C'est évident.
Le monde court vers sa ruine.
Il rejette toujours davantage Dieu.
On n'en veut plus regarder dans les pays totalitaires.
L'homme est établi à la place de Dieu.
Et dans nos pays christianisés,
un jour, le caractère sera le même.
La parole nous le dit.
Ne croyons pas que nos pays,
où l'on voit des croix,
où l'on voit des crucifix,
où l'on voit des services religieux,
où l'on voit des temples et des églises,
ne croyons pas que tout cela
a changé le monde de ces pays.
Le monde chrétien reste,
à part les précroyants,
le monde christianisé reste le monde.
Il y a deux caractères du monde.
Le monde sans Dieu
et le monde qui prétend pratiquer pour Dieu,
mais qui n'a pas la foi au Sauveur
comme au Seigneur Jésus mort pour lui.
Il y a des âmes dans ce monde,
il pourrait y en avoir au milieu de nous.
Il peut y en avoir.
Alors, que ce soit l'un ou l'autre de ces caractères,
c'est le monde.
Le monde religieux,
j'entends par là,
le monde professant,
mais qui n'a pas la foi au Fils de Dieu
comme au Sauveur personnel mort pour lui,
et bien ce monde-là,
c'est un arrangement du diable le plus magnifique.
Il a fait une contrefaçon extraordinaire
du vrai christianisme
et ceci s'est vu au début de l'Église.
Nous en avons l'annonce dans le Vingt-et-Cinq.
Nous ne disons rien qui vienne de l'Écriture.
Ça peut être contrôlé.
Dans l'Écriture,
les prophéties concernent
le cheminement que prendra
l'Assemblée d'Églises de Dieu sur la Terre
et nous savons très bien
que c'est un affreux mélange,
affreux pour Dieu,
que ces croyants
mêlés à des inconvertis.
Et il y en a.
Il y en a.
Vous n'avez qu'à assister à un service religieux,
vous verrez des athées connus
et reconnaissant et proclamant qu'ils sont athées
s'associer aux pratiquants
pour faire les mêmes gestes.
Quelle ironie !
Quel défi lancer à Dieu !
Tout cela est une religion du monde.
Et bien que ce soit la religion du monde,
que ce soit le monde qui la rejette,
c'est le monde de Satan.
Le prince de ce monde
vient par une Seigneur.
Pourquoi est-il le prince de ce monde ?
Parce qu'il le mène
maintenant reconnu comme prince par Jésus lui-même,
alors que lui est le roi des rois et le seigneur des seigneurs.
Il le mène à sa guise
après avoir amené le monde à rejeter le Messie
qui lui était envoyé.
Il y a un temps de patience de Dieu remarquable.
Dieu garde le silence
jusqu'au moment où les nations vont conspirer
contre l'éternel et contre son loin somme d'eux.
Mais Dieu les exterminera et interviendra
car il aura le dernier bout.
Mais jusque-là, sa patience dure.
Elle dure 60 ans.
Et alors, dans ce monde,
le chrétien a un chemin.
Il est laissé par le Seigneur lui-même.
Je les envoie dans ce monde
comme tu m'as envoyé.
Voyez-vous, nous sommes laissés dans le monde
pas pour être les sauveurs du monde,
non pas pour être des apôtres
qui pourraient être appelés apôtres par Dieu lui-même,
mais pour être des témoins,
pour être les porteurs de la lumière divine,
les porteurs de la vie divine
qui fait un contraste
aussi éclatant que la lumière le fait avec les ténèbres.
Pas si à l'instant il y avait une panne de lumière,
nous serions plongés dans des ténèbres profondes.
Nous ne nous verrions plus, nous ne verrions rien.
Que quelqu'un vienne avec une toute petite lampe,
une lampe pigeon, et il y aura de la lumière.
Elle ne sera pas éblouissante, mais il y aura de la lumière.
Les ténèbres s'en vont.
La vraie lumière était celle qui venait dans le monde
à éclairer les tombes.
Elle éclaire toujours, c'est le Seigneur Jésus.
Voilà la vraie lumière.
Mais la lumière est, lui, dans les ténèbres.
Et lui dans les ténèbres.
Mais les ténèbres ne l'ont pas compris.
On n'a pas voulu de cette lumière.
Et vous vous étonneriez maintenant,
on s'étonnerait que le monde
soit perdu et tâtonne
dans un lieu obscur,
sans savoir que faire,
sans savoir où trouver sécurité,
sans avoir d'avenir précis devant lui.
Vous vous étonnez d'entendre des gens du monde
dire, mais qu'est-ce qui va arriver ?
Au-devant de quoi allons-nous ?
Au-devant de quoi ?
Au-devant de ce que Dieu a écrit il y a bien longtemps.
Ce que Dieu a révélé.
Mais le monde ne veut rien entendre de ça.
On croira
tous les prophètes
de ce monde.
On consultera tous les dix heures
de Bonaventure.
On consultera tous les
propos de ceux qui prétendent
dévoiler l'avenir.
Mais le seul propos
de Dieu concernant l'avenir
de ce monde, comme l'avenir des
croyants, on le laisse de côté.
On n'y met pas attention.
Y a-t-il un règlement plus grand ?
Y a-t-il une ténèbre
morale plus profonde que celle
dans tel monde ? Eh bien,
chers chrétiens, au milieu de ce monde,
vous êtes des lampes.
Vous êtes des lumières.
Et la lampe qui brille en vous,
c'est la lumière de l'Esprit-Saint.
La lumière de la vie.
Celui qui croit en moi aura la lumière
de la vie avec le Seigneur.
Mais cette lumière qui va croissant
et qui se présente et qui éclaire
le chemin. La parole
est aussi une lampe. C'est lié
tout cela. Christ est la lumière
du monde. La parole est
la lumière pour le croyant. Elle est
une lampe à mon pied, une lumière à mon
sanctuaire, dit le salmiste, de sorte
que nous avons dans la parole
la vraie lumière. Lisez-la
beaucoup parce qu'elle projette sa lumière
sur tout ce qui nous concerne.
D'abord, sur ce qui
concerne Dieu lui-même,
quant aux propos de son Cœur.
Quant aux propos
concernant son
propre Fils.
C'est lui qui a cherché une épouse
pour son fils. Elle
éclaire tout quant à l'état
réel du monde. Elle éclaire
tout quant à la question du péché.
Un mot qu'on n'ose plus prononcer
dans certains temples ou dans certaines
églises. Le péché. Mais
c'est révolu cela. L'homme nous
parle du but péché.
Nous l'avons entendu de nos propres
oreilles. Non, quand même, écoutez, ça
s'est tout passé. Le par le but
avec les progrès de la morale,
avec tout ce que nous pouvons
faire maintenant, tout le social
que nous déployons, ne nous parlez plus
de péché. Non, chers amis,
le péché, là, c'est un mot
en lettres de sang, écrit
sur ce monde, péché.
Péché, mort.
Ce sont deux mots liés.
Et quand le péché est là,
et que la mort est liée au péché,
on est dans les ténèbres les plus profondes
sans force pour en s'enfuir.
Et alors nous avons
la lumière de la parole.
Et nous avons à marcher dans ce monde.
Mais alors,
si pour le
Seigneur, il était
facile de marcher, non pas
qu'il n'ait pas eu à souffrir du monde.
N'oublions pas qu'il nous a dit
qu'il endurait la contradiction
des pécheurs contre lui-même.
Il n'avait rien en lui.
Rien en lui,
il dit. Le prince de ce monde
vient, mais il n'a rien en moi.
Il n'avait pas une nature pécheresse.
Il était semblable à nous en
toutes choses, à part le péché.
De sorte que, venu
pour faire la volonté de Dieu,
il s'est soumis à cette volonté
qu'il connaissait, et il l'a
accompli jusqu'au bout
à la gloire de Dieu.
Nous, nous avons notre vieille nature
avec nous. Et notre vieille nature
fait partie de nos corps
chemins.
Nous avons la vie divine
en nous. Nous avons en nous
Dieu qui habite par son esprit,
le croyant
à une nouvelle nature.
Une nouvelle nature
qui aime Dieu, qui
recherche la pensée
de Dieu. Mais il a toujours
sa vieille nature. Et cette vieille nature,
voyez-vous, elle ne trouve
de satisfaction que dans le monde.
Que dans les choses qu'elle
voit. Que dans les choses
que le cœur naturel aime.
Et c'est là pour nous la lutte,
le sujet, la cause
profonde d'une lutte
constante. Et nous pensons beaucoup
à vous, jeunes chrétiens.
Parce que vous avez devant vous, si le Seigneur
vous laisse, des années où il vous faudra
apprendre à connaître
les subtilités,
toutes les ruses de cette vieille
nature, de ce corps,
cœur, qui est désespérément
malin et difficile.
On en peut désespérer,
il n'y a rien à faire. Il ne
s'améliore pas. La vieille
nature ne s'améliore pas.
Un pommier sauvage,
on peut lui donner tous les soins qu'on
veut. On peut lui prodiguer
tous les traitements voulus.
Il donnera des petites pommes amères
jusqu'à la fin.
On a beau
le tailler, ce sont des
pommes amères. C'est sa nature.
Ce qu'il faut faire,
c'est le couper et greffer un bon
pommier, et là on a 30 pommes.
Il ne faut pas laisser les racines
du bas, les figes
en dessous de la grève poussées, parce
qu'alors elles redonnent le mieux de fruit.
Et c'est pourquoi nous avons constamment
à veiller sur nos cœurs, à
réaliser une marche par
l'Esprit, sous la direction de
Saint-Esprit qui habite en nous, afin
de pouvoir
glorifier le Seigneur et nous détourner
du monde. Alors nous avons
ces injonctions. Nous avons d'abord
la prière du Seigneur.
C'est la première, adressée à son père.
Je ne te demande pas
que les autres du monde, oh,
se seraient si heureux.
Si un jeune chrétien savait
le jour de sa conversion,
à quelle lutte, à quelle
tentation, à quel danger,
à quel faux pas,
peut-être à quelle chute il sera
exposé, je crois qu'il
demanderait au Seigneur, Seigneur prends-moi dessus.
Prends-moi tout dessus.
Dans la pureté et la simplicité
de ma foi, mon cœur est rempli
de toi, je voudrais être avec toi.
Seulement, nous ne nous connaissons
pas à ce moment-là. Il faut apprendre
à se connaître. Et que
de fois alors, nous apprenons cela
avec beaucoup d'humiliation,
qu'il n'y a en nous point de bien.
Je sais, dit Paul,
qu'en moi, c'est-à-dire en ma chair, il n'y habite
point de bien. Voilà
une découverte, on le sait.
Voilà une découverte, mais il faut la faire.
Il faut la faire et l'expérimenter.
Alors,
le croyant a donc devant
lui toutes ces luttes. Elles sont
dans l'écriture, on le sait.
Nous sommes enseignés
et le monde,
nous ne pouvons en être gardés
que par la puissance de Dieu.
Gardé de ce monde,
de tous ses affrets.
Ce qui nous amène à cette première
présentation très pratique,
si nous aimons le Seigneur,
rions-le sans cesse
pour qu'il nous garde
attachés à nous,
qu'il remplisse notre cœur,
qu'il soit tout pour nous.
Tous les jours davantage,
il apprendra
à le mieux connaître, pour mieux l'aimer
et pour le suivre au quotidien.
Et puis,
le Seigneur
nous gardera, Dieu nous gardera.
Il a pu dire,
j'ai gardé ce que tu m'as donné,
mais maintenant, je vais m'en aller.
Le Seigneur est parti au ciel,
mais il a envoyé le Saint-Esprit
et il demande au Père de nous garder.
Et nous sommes donc gardés par Dieu
lui-même, au milieu de tous les dangers
qui nous menacent. Si nous n'avions pas
cette assurance bénie,
alors il y aurait de quoi se décourager.
Mais je suis gardé par quelqu'un de plus fort que moi,
par quelqu'un qui m'aime,
par quelqu'un qui me dit, confie-moi
ta vie, confie-moi
ta vie, repose-toi sur moi,
abandonne-toi à mes seins,
laisse-moi te former.
Et fidèlement,
chaque jour un peu,
le lendemain un peu,
nous nous sommes formés pour être
attachés au Seigneur et pour être
détachés des choses qui sont.
La deuxième chose,
c'est la parole.
Nous l'avons sanctifiée
par la vérité, ta parole
est la vérité. De là l'importance de la vie.
Avec prière,
la parole.
Qui seul peut m'éclairer sur ma vie
immaculée, me dire
ce qu'elle est ? Qui seul peut
me montrer les ressources
qui sont à ma disposition
en raison du fait que
je suis né du bon, et que
le Seigneur a tout fait pour moi.
Il va même beaucoup plus loin,
il me dit non seulement, j'ai fait cela
pour toi, je suis mort pour toi,
mais dans ma mort, tu es entré avec moi.
Tu es entré avec moi dans la mort,
c'est Romain VI.
C'est Romain VI. Tu es mort avec moi.
Alors le jour où je saisis
cette chose avec la puissance de l'esprit,
lorsque je réalise enfin
que je suis mort, j'ai une réponse
à faire au diable de tous les jours.
Quand Satan me tend,
quand Satan me dit, mais il y a telle chose
dans le monde intéressant, dimanche après-midi,
il dit, il y a tel match,
ce sera intéressant de voir,
j'ai une réponse à faire Satan,
le nouvel homme n'y trouve pas de plaisir
quant à la lumière nature, elle est morte.
Elle est morte.
Tu ne peux plus la toucher.
Voilà, je cherchais la croix.
Voilà, j'ai joué dans le tombeau avec Christ.
Et oui, il y a là une base
très solide de l'affranchissement
que nous sommes libérés
d'une partie, nous luttions
toujours, mais libérés de ce sentiment
que nous sommes vaincus à l'avance.
Nous ne partons pas à la guerre vaincue,
nous sommes partis à la guerre
derrière le grand vainqueur,
qui est sûr d'une victoire définitive,
d'abord en faisant nom
aux enfants de Dieu, par la croix en son sang,
nous l'avant de nos péchés,
et qui ensuite nous associe
à lui dans sa mort et dans sa vie
de résurrection.
Méditez beaucoup au 26,
c'est un sujet capital pour les jeunes
croyants. Et puis,
nous avons la parole,
alors je me nourris de la parole.
Voilà le crédit, c'est à l'écoute
de la voix de Dieu, à l'écoute
du Seigneur. Nous avons
dans l'écriture
quatre sujets qui sont étroitement
liés. Premièrement,
libre vie, écoute ma voix,
voilà la parole,
elle me suit,
elle me suit,
voilà le chemin,
et puis, en l'attendant,
elle le sent.
Servir en attendant. Écoutez,
suivre,
servir, attendre.
Voilà quatre étapes de la vie chrétienne,
non pas successives, mais qui sont
devant nous toujours.
Le Seigneur nous encourage de
le réaliser, en écoutant
la voix qui nous parle dans la parole.
Ils ne sont pas du monde.
Vous avez remarqué qu'il n'est pas dit,
ils ne doivent pas être du monde. Ils ne sont
pas du monde. Ceci rejoint
notre pensée que nous exprimions
au commencement, la pensée,
c'est celle-ci, nous sommes arrachés au monde.
Nous n'avons plus de monde.
Nous n'avons pas à sortir du monde.
Nous en sommes
arrachés, mais nous avons à rester
en dehors où Dieu nous a mis.
C'est là que les mythes sont difficiles,
parce que le cœur va y retourner.
Vous savez que le cœur des fils d'Israël
est retourné en Égypte,
avec le souvenir des melons,
des concombres, des oignons,
de tout ce qu'il y avait en Égypte.
Ils avaient oublié simplement
qu'il y avait des coups,
qu'il y avait de la dureté de service.
Tout cela, ils l'avaient oublié.
Ils n'avaient gardé du monde,
l'Égypte c'est le monde, que le souvenir
de ce qu'on y trouvait
qui satisfaisait la chaîne.
Mais toute la dureté du Pharaon,
de cet oppresseur du peuple de Dieu,
tout cela était oublié.
Nous ne faisons pas comme eux.
N'oublions pas ce que
le Seigneur a fait pour nous.
N'oublions pas qu'on nous arrache au monde.
Il a dû livrer un combat
avec Satan, et que c'est à la croix
qu'il a triomphé de toutes les puissances
de méchanceté, à la croix,
en mourant pour nous.
Et par conséquent, il nous a délivrés
pour jamais. Il est le vainqueur.
Il est le vainqueur.
Nous chantons dans nos cantiques
« Je suis mort avec toi ».
Et alors,
ayant ces ressources, la prière,
la parole, l'intercession
du Seigneur,
qui dit « Je ne fais pas de monde pour le monde.
Oh non, le Seigneur ne s'occupe pas du monde.
Il s'en occupe en ce sens
qu'il est le grand souverain,
et que rien ne se fait sans qu'il le veuille.
Si les événements
doivent avoir tel cours,
il les oriente.
Mais il ne s'occupe pas du monde,
sauf pour lui faire connaître
la parole de sa grâce,
et sauver les âmes.
Et dans ce service, il nous y associe.
Ne le perdons jamais de vue.
Nous sommes là, pensons donc
à ces âmes qui sont dans le monde.
Parlons-leur de l'amour de Dieu.
Parlons-leur de leur état
de perdition, dont elles ont
parfois conscience, mais non parfois
ne se rendent pas compte. Montrons-leur
qu'il n'y a pour elles aucune lumière,
mais que la grâce, le salut
sont du côté de Dieu.
Annonçons-leur Jésus. Parlons-leur
du Sauveur. Parlons-leur du Seigneur.
Et alors, il se fera.
Le Dieu se servira de cela
pour faire son œuvre dans le cœur.
Voilà ce que nous avons à faire
dans ce monde. A y présenter
la parole de Dieu. A y rendre
un témoignage positif pour le Seigneur.
Alors nous avons ensuite
des exhortations qui
viennent nous stimuler
dans tout cela. Nous leur avançons,
nous allons nous arrêter. Nous avons des
exhortations, et très solennelles.
Nous dirons d'abord, nous rappellerons
d'abord, ce que nous avons
en jeu.
Je dirai un mot avant, rapidement,
à propos des persécutions
que le monde fait supporter
aux chrétiens. On pourrait dire,
mais le Seigneur a disparu. Mais il n'y en a plus.
Oh, il n'y en a plus. Dans nos pays,
c'est une grande grâce.
C'est peut-être pour ça que nous nous endormons.
Mais,
il y en a à l'autre côté.
Il y a eu d'autres faits.
Il y en a dans notre pays.
De chers âmes, de chers
enfants de Dieu, qui voulaient parler
du Seigneur, qui se font mettre en prison,
et qui sont déportés dans des camps.
Il y en a des persécutions.
Et il y en a eu dans le passé. Et il peut y en avoir
demain.
Si c'est nécessaire pour nous réveiller notre sommeil,
eh bien, le Seigneur le permettra.
Satan reste
le serpent ancien,
qui par ses ruses et ses astuces
cherche à tromper les croyants.
Mais il reste aussi le lion rugissant.
Et l'apôtre Pierre dit,
le diable,
comme un lion rugissant,
il rôde autour de vous.
Ne l'oubliez pas, chers amis. Il rôde.
Sans but. Il ne réagit pas en rôdant.
S'il réagissait, tout le monde s'en dirait triste.
Il rôde tranquillement.
Il attend une petite fissure.
Il attend
qu'un jeune homme se tourne
vers une jeune fille du monde.
Il attend qu'un jeune
homme choisisse une profession dans laquelle
il sera pris le dimanche.
Il attend qu'un jeune homme cherche
à être de grandes ambitions et cherche à s'élever
dans ce monde et d'autres circonstances
encore. Et à ce moment-là,
il commence à détourner,
à détourner une poursuite en l'oeuvre
manifeste. Veillez.
Veillez. C'est pourquoi veillez,
mon apôtre. Nous avons à veiller
tous les jours. Si on dort, ça ne va pas.
C'est quand on dort que l'ennui entre.
Les sentinelles, ça va pour veiller.
C'est d'abord leur propre sécurité
et celle du camp d'autantiers
de faire la même chose.
Alors, nous avons donc
les persécutions
qui sont une marque efficace,
prévisible
de l'opposition du monde contre les
croyants. Dites-vous,
mes amis, que le monde ne vous aime pas plus
qu'il a aimé Jésus. Et si
vous êtes fidèles, vous le verrez.
Vous le verrez
que le monde est toujours le même.
Oh, on ne va pas vous mettre sur une croix
dans ces pays-ci.
Ailleurs, ça s'est fait. Mais
on va vous tenir à l'écart.
On va vous nuire dans votre avancement.
On va se moquer de vous.
Ce n'est pas le moins douloureux
quand on est un objet de mépris.
Et d'autres choses encore. Le monde
n'aime pas les chrétiens.
Quand les chrétiens sont fidèles
et quand ils les aiment, quand le monde nous aime,
demandons-nous pourquoi ils nous aiment.
Est-ce que ce n'est pas parce que nous lui ressemblons un peu?
Est-ce que ce n'est pas parce que
notre drapeau
est caché? Est-ce que ce n'est pas
parce que nous nous conformons à ce monde?
Nous disons dans Romain XII
ne vous conformez pas à ce siècle.
Ne vous conformez pas.
Voyez-vous, même les apparences que le monde
prend, elles portent un caractère
mauvais.
On va dire mais vous êtes sévère
pour le monde. Mais je ne suis pas sévère pour
les pauvres âmes qui sont dans ce monde.
Je les plains de tout cœur.
Et on nous dirait maintenant
venez, il y a une âme qui meurt là
à côté. Arrêtez la réunion.
Il faut lui parler de l'amour du Seigneur.
Elle demande. Mais nous irions tout de suite
chez vous. Tout de suite.
Mais le monde, alors c'est autre chose que ça.
Ce ne sont pas les âmes. C'est cette organisation
bien faite. C'est tout.
Tous ces caractères qu'ils montrent.
Et c'est de cela que nous devons avoir
peur autour de nous-mêmes. Car le monde a tout.
Le monde a tout.
Alors,
après cette remarque,
nous arrivons aux deux exhortations que nous avons
lues dans Jacques
et dans Jean.
Jacques nous a dit
une parole extrêmement
sévère. Quiconque
est ami
du monde
adultère
ne savez-vous pas
que l'amitié du monde est l'amitié
contre Dieu. Pourquoi adultère?
Qu'est-ce que c'est qu'un adultère?
C'est quelqu'un qui cherche d'autres relations.
Un autre amour que l'amour légitime.
C'est ça un adultère. Et bien un chrétien
qui aime le monde,
qui s'y trouve à l'aise, qui s'y plaît,
il est adultère à l'égard du Seigneur.
Lié au Seigneur
pour l'éternité, faisant
partie de son corps, voilà
qu'il aime le monde. C'est un adultère.
Ne savez-vous pas,
la parole est positive,
ne savez-vous pas, quitte pas nous,
que l'amitié du monde est
une imitié contre Dieu.
On dirait non, on peut être ami du monde.
La parole est là. Amitié du monde,
c'est lumière, ténèbre.
Obéissance, vous obéissante.
Vérité, mensonge.
Il n'y a pas de termes intermédiaires.
Il n'y en a pas dans l'écriture.
Vous en chercherez des termes moyens. Il n'y en a pas.
Et puis, il est ajouté
quiconque
donc voudra être
ami du monde
se constitue
ennemi de Dieu.
Pensez-vous que les cultures parlant là
se constituent.
Nous ne voudrions pas
être ennemis de Dieu, nous, chrétiens.
Nous ne voudrions pas être ennemis de Christ.
C'est-à-dire, si nous aimons le monde,
si nous aimons
quelqu'un du monde, pour nous unir
à lui. Je prends cet exemple très simple.
Il faut quelquefois aller dans les détails
de la vie. Prenons un jeune chrétien
ou une jeune chrétienne. Elle aime
quelqu'un du monde.
Elle veut se lier à lui, s'unir à lui.
Mais regarde.
D'abord, elle se constitue ennemi de Dieu.
La parole est là. Elle aime le monde.
Elle aime quelqu'un du monde.
Elle va se lier au monde. Premier point.
Elle se place sur un
terrain de opposition et d'inimité
avec Dieu. Mais bien plus encore.
Voilà.
Disons une jeune fille
qui prend un jeune homme du monde.
Voilà une jeune fille qui appartient au Seigneur.
Si le Seigneur venait, deux heures
après son mariage,
avec cet homme qu'elle aime,
elle serait dans le ciel et lui resterait pour être
avec le chanteur.
Y a-t-il
accord entre la lumière et les ténèbres ?
Deux peuvent-ils marcher
ensemble s'ils ne sont pas d'accord ?
Est-ce qu'avec quelqu'un du monde
je peux élever mes enfants pour le Seigneur ?
Dans le Seigneur ?
Est-ce que c'est
possible ? Est-ce que je peux
dire à mon conjoint
« Mais moi je veux commander » ?
Et surtout si c'est une soeur, si c'est une femme.
Voyez comment l'écriture
prend l'exemple typique parce que
nous sommes souvent légers à cet égard.
On croit que ce ne peut pas.
On dit mais le Seigneur peut la sauver.
Mais oui, mais bien sûr.
Le Seigneur peut tout.
Alors puisque le Seigneur peut tout, je vais désobéir
pour qu'il montre un peu ce qu'il peut.
Pour qu'il me montre ce qu'il peut, je vais donc désobéir.
Je vais donc pécher avec la grâce abonde.
Le Seigneur me dit
de ne pas aller ici, je vais y aller
pour voir ce qu'il peut faire.
Parfois il est plein de grâce, mais
c'est quand même pas de grâce, c'est quand même
une trage au Seigneur, alors que nous prenons
bien de la grâce.
Et puis dans Jean, nous avons
là les jeunes gens.
Les jeunes gens qui n'ont pas forcément tous 20 ans.
On peut être un jeune homme,
je sens de la parole, à 50 ans
si
on n'a pas
mûri spirituellement.
Si on n'a pas cru dans la connaissance
du Fils de Dieu
il est possible
que l'on reste à un niveau jeune.
Mais, quoi qu'il en soit,
les jeunes gens sont intéressés
par trois
titres divers ici.
Les jeunes gens, je vous écris jeunes gens,
parce que vous êtes forts.
Il y a de la vigueur,
peut-être de la vigueur
spirituelle, cela peut arriver.
La vigueur spirituelle,
cela est considéré ici
une énergie, une sainte,
c'est une bonne énergie.
Vous l'ajoutez parce que la parole
de Dieu demeure en vous.
Parce que
la parole de Dieu demeure en vous.
Voilà la source de la force.
Il n'est pas dit parce que vous lisez
la parole, elle demeure en vous.
L'apôtre Colossien,
lorsque la parole du Christ habite en vous,
richement, elle doit habiter
dans nos cœurs. Il faut
les cacher. Il faut la garder
là, dans son cœur. Garde ton cœur
plus que tout ce que l'on garde.
Comment allons-nous le garder ? De cette manière-là,
en aimant la parole,
en la gardant dans notre cœur,
en nous y soumettant, en nous y attachant.
Vous êtes forts,
la parole demeure en vous
et vous avez vaincu le méchant.
Vous voyez, la victoire du méchant,
ce qui a vaincu le monde, nous lisons
le chapitre 5 de cet écrit,
c'est ici ce qui a vaincu le monde,
à savoir notre victoire.
Pourquoi ? Parce que moi je ne peux pas vaincre le monde.
Je n'ai aucune force en moi
pour le vaincre,
même si je suis bien disposé.
Mais je suis lié par la foi à celui qui l'a vaincu.
Et si je m'appuie sur lui,
si je compte sur lui,
si je fais appel à lui, alors
la victoire sera remportée.
Ce ne sera pas la mienne,
c'est la victoire de la foi qui est en nous.
Vous êtes forts,
la parole devient vite en vous et que vous avez
vaincu le méchant. Mais,
comme l'ennemi ne se tirera mais tranquille
ni battu, alors
la parole vient préciser
n'aimez pas le monde.
N'aimez pas le monde.
Vous avez vaincu le méchant qui règne
dans ce monde, mais n'aimez pas le monde.
En quelque sorte,
n'aimez pas
tout ce qui est autour de vous qui peut vous attirer.
Ni les choses, ici c'est le détail,
le monde c'est l'ensemble,
mais il y a les détails.
Ni les choses qui sont dans le monde.
Il y a des choses qui sont dans le monde
pour le monde, du monde,
et il y a des choses qui ne sont pas
du monde, qui n'ont rien à voir
avec vous, que le monde ne peut pas comprendre.
Ce sont les choses du domaine de la foi.
La foi ne s'attache pas au monde.
Et vous voyez, ne croyez pas
qu'on peut décider une fois
pour toutes de cela.
Il nous faut des luttes continuelles. Regardez
l'homme qui a subi son nom d'Abraham.
Il l'a subi
jusqu'à un moment où une petite querelle
est survenue entre les bergers.
Pas même entre les deux, mais l'oncle et le neveu
entre les bergers.
Alors, Abraham
se dit qu'il n'est pas convenable
que les frères se querelles.
Alors il est mis, il a choisi
on va à droite, moi je prendrai à gauche,
on va à gauche, moi je prendrai à droite.
Il a fait le choix.
Si l'autre avait répondu bien,
je te laisse faire le choix.
D'abord, tu es plus âgé que moi, premièrement,
puis deuxièmement, Dieu t'a appris.
Je suis avec toi parce que j'ai profité
de ta bénédiction.
C'était un chemin parfait, mais qu'est-ce qu'il dit ?
Et Abraham, et l'autre, le va saisir.
Le va saisir.
S'il les avait levés assez haut,
ils l'auraient vu comme Abraham, ils l'auraient vu autre chose.
Mais il les a levés juste assez
pour se détacher de la terre
où il était, et voir la plaine arrosée
de l'un et l'huile, la plaine arrosée
de l'autre. Et il est rappelé,
il est rappelé dans ce passage
une expression
assez saisissante,
c'est dans le chapitre 13 de la Genèse,
il est rappelé,
il vit la plaine du Jourdain,
toute la plaine du Jourdain,
qui était arrosée
partout, avant
que l'éternel ne détruise, il se donnait
au mort, comme le jardin de l'éternel,
comme le Pays des Vieux.
Voyez-vous ?
Les deux caractères, arrosés comme
le jardin de l'éternel, on pourrait dire
qu'il y avait de la bénédiction,
en Eden, c'était la bénédiction de Dieu,
mais il est ajouté comme le
Pays d'Égypte. Les deux choses
se confondent l'une à l'autre,
elles attirent toutes deux ensemble,
mais au fond, ce n'est pas parce que c'est
comme le jardin de l'éternel, c'est parce qu'elle est arrosée,
parce qu'elle est arrosée,
parce qu'elle a prospérité. Et le Pays d'Égypte,
c'est ça qu'il a dit, et il descend,
et il s'en va de ce côté,
et il laisse ses tentes jusqu'à Sodome,
jusqu'aux portes
de Sodome, mais après,
nous nous trouvons dans Sodome,
et après, nous nous trouvons assis à la porte de Sodome
avec les notables, exerçant,
pensait-il, une bonne
influence, qui d'ailleurs n'a rien
changé au cours des choses, le jugement
est venu. Vous voyez comment il progresse,
il n'a pas pensé à ça. Quand il a
vu cette scène, il a dit, voilà, des espaces pour les
troupeaux, Abraham va monter là-haut,
c'est un peu harri, c'est difficile,
le pâturage
en montagne, ce n'est pas merveilleux,
moi j'ai des pâturages bien mers, avec
des rivières qui l'arrosent, des jardins,
et bien, je vais rester là.
Seulement, il est allé
à la porte de Sodome, dans Sodome,
et il a pris une place dans Sodome.
En passant, voyez-vous, quand on veut
s'occuper du monde,
ce qui arrive, il a failli tout faire
pour ce pauvre l'autre, même la vie.
Il a fallu que l'éternel,
que les anges, le saisissent
par la main, lui, il s'appare et
ses deux, ses jambes sont
restées, il se moquait de lui.
Pas une conversion à son acquis,
pas un habitant de Sodome qui a dit l'autre,
je veux partir avec toi.
Je crois que ce qui a été au digement maintenant,
tout est resté. Il n'a rien changé,
ni au caractère de Sodome et Gomorre,
ni au jugement qu'il a.
Et il a été sauvé, comme
à travers le feu. Et même sa
femme a été changée en statue de sel,
parce que son coeur est en peau par Sodome,
et c'est tout.
Ah, que de leçons ! Il vaut la peine de méditer
sur tout cela, parce que ce sont des enseignements pratiques
et de détails.
Nous parlons souvent du monde en général,
de façon à croire qu'il suffit
de ne pas aller ici, aller là, faire ceci,
faire cela. Non.
Le monde, il y a aussi les choses
qui sont. Or, n'aimez pas le monde,
ni les choses du monde,
car si quelqu'un aime
le monde,
l'amour du Père n'est pas un monde.
Voyez-vous, encore ici,
amour du Père,
l'amour du monde, opposé,
l'un ou l'autre.
Vous ne pouvez pas aimer le Père, vous ne pouvez pas
jouir de l'amour du Père. L'expression est
très belle. Ce n'est pas seulement l'amour de Dieu,
mais de votre relation comme enfant
avec le Père. Vous ne pouvez pas
en jouir quand votre Père est dans les cieux,
quand vous pensez que vous allez être avec lui
pour l'éternité, et vous aimez le monde
sur la Terre, et vous l'aimeriez,
on le sait l'un de l'autre.
L'amour du Père n'est pas en lui.
Et puis, il est ajouté. Pourquoi ?
Parce que tout ce qui est dans le monde,
et nous trouvons les trois caractères du monde
au commencement. La convoitise
de la chair,
la convoitise des yeux,
l'orgueil de la vie.
Ève vit que l'arbre
était
bon à manger,
agréable pour les yeux,
et qu'il était
pour rendre intelligent.
Il y avait dans les trois convoitises
la convoitise de la chair,
la convoitise des yeux, l'orgueil de la vie.
Ce sont les mêmes tentations que nous trouvons
en Luc devant le Seigneur
mis par Satan au désert.
Les mêmes tentations
où le Seigneur a répondu
par la parole.
Et par une parole chaque fois tirée du Deutéronome,
c'est-à-dire du livre
qui présente à l'israélite pilleux
aux fidèles israéliens
qui lui présentent les conditions
de la possession et de la jouissance
du pays, l'obéissance
à la parole.
Il a tiré ces trois réponses de là.
En y ajoutant une autre
que Satan avait cité,
car il connaît aussi l'écriture,
aussi bien que vous et que moi.
Il sait la citer, mais alors il la coupe.
Il la coupe en partie.
Et bien que vous résistiez à tout cela,
il est écrit.
Il est encore écrit.
Et la dernière fois, il dit, il est aussi écrit.
Tu as cité une partie,
mais il y a encore ceci que tu as oublié.
Je ne l'oublie pas.
Alors vous voyez comment l'importance de la parole
est là pour que nous comprenions
que la seule façon de résister
aux tentations du Diable,
c'est de nous soumettre à la parole
et de la laisser agir dans le cœur.
Mais elle demeurait en lui cette parole.
Aïe, habitez richement.
Et alors, d'ailleurs,
pourquoi les Colossiens entendent cette exhortation ?
Parce que tout ce qui est dans le monde
n'est pas du père,
mais est du monde.
Et le monde s'en va,
et ça convainc tout le monde.
Et celui qui fait la volonté de Dieu
devra rétablir. Le monde s'en va.
Pensez-y.
Quand vous regardez du côté du monde
et que vous y trouvez quelqu'un de très
dites-nous ce qu'il y a dans le monde.
Ça s'en va. Ça va passer.
Ça s'en va pour bien des raisons.
La première, c'est que
nous ne devrons pas dans le monde toujours.
Nous passons par la mort
si le Seigneur ne vient pas.
Le monde s'en va à son propre chemin,
vers la condamnation, vers le jugement.
Mais avec ses promesses.
Et puis, le monde s'en va
parce que moi, je n'en veux pas.
Le Seigneur va dire.
C'est pourquoi nous avons été poussés à lire ces paroles.
Voici, j'y ai bien tôt, et ma récompense
est avec vous.
Il y aura un jour de récompense.
Ne croyons pas que rien n'est oublié.
Ne pensons pas qu'il n'y a que des grandes choses,
qu'il n'y a que les frères
qu'il n'y a que les assemblées ou les évangélistes
qui partent aux missions. Non, non. Ne croyons pas ça.
Un jeune enfant
qui aurait été fidèle au Seigneur.
Une jeune fille qui, dans son cœur,
a été fidèle au Seigneur.
Sans que personne ne le sache.
Elle a pleuré sous son oreille la nuit.
Elle a crié au Seigneur.
Elle sentait que c'était difficile de renoncer.
Le Seigneur, donne-moi la force
de le faire pour toi.
Elle l'a fait. La foi a vaincu.
Eh bien, chers amis, il y aura une récompense
qui vous viendra peine
de perdre quelque chose pour quelques années
ici-bas, afin d'avoir une récompense
dans le ciel pour rien passer.
Récompense qui sera
pour votre joie, mais aussi
avant tout pour la joie de Christ.
Qu'est-ce que le Seigneur dit
aux esclaves auxquels il a confié
des talents ? C'est bien
qu'on est fidèles esclaves.
J'en ai été fidèle en peu de choses.
Au lieu de rémunérer en ce qui est très peu de choses.
Entre dans la joie de ton vie.
Dans la joie de ton vie.
Je t'avais ce que tu prends pour la joie de ton vie.
Goûtez un jour
la joie,
la source de joie
qu'un enfant de Dieu a été
pour le Seigneur, pour celui qui est mort
pour lui, et dire Seigneur
je ne peux pas te rendre beaucoup.
Je ne peux rien faire pour toi.
Je ne suis peut-être pas qualifié.
Je sens ma faiblesse, mais vois-tu
au moins cela, j'ai dit non
pour toi.
Donnez la force de vivre Seigneur.
Il souhaitera cela.
Dieu a sa récompense un jour.
N'aura-t-il pas la peine
de le faire pour le Seigneur, par amour
pour lui ? N'aura-t-il pas
de dire à celui qui nous attend
d'aider, Seigneur
je t'aime en tout, et sans le dire
faire quelque chose
qu'il allait dire à lui
ce que l'on a fait.
Ce que l'on a fait.
C'est quelqu'un même
qui appellera à ma parole
sanctifié par la vérité.
Ta parole est la vérité.
Nous avons un sauveur de la gloire.
Un Seigneur glorieux.
Il est là, je me sanctifie moi-même
pour eux. Qu'est-ce que mon coeur cherche ?
Autour de moi ? Ou là-haut ?
Quel est l'objet
dans ma vie ? Mes chers amis
si j'avais eu dans ma vie, je dis moi
mais les frères, les chrétiens
si j'avais eu dans ma vie des choses sur la terre
maintenant que pourrais-je faire ?
Quand tout cela échappe ?
Quand il faut tout laisser cela ?
Alors que quand on arrive au bout de la course
on est tellement heureux
en pensant que jamais
on n'a pas été si près du moment
où nous avons le Seigneur, où nous sommes avec lui
en attendant de voir face à face.
Que le Seigneur bénisse
et nous bénisse tous par sa parole
en liant nos coeurs à lui
de façon toujours plus étroite
pour que le monde
n'ait pas d'attrait sur nos coeurs
et que nous laissions ce monde
qu'il a crucifié pour être un lieu pour tous. …