Le Tabernacle
ID
aeb010
Langue
FR
Durée totale
06:04:51
Nombre
5
Références bibliques
inconnu
Description
inconnu
Transcription automatique:
…
Exode 25, depuis le premier verset, Et l'Éternel parla à Moïse, disant, Parle au Fils d'Israël, et qu'il prenne pour moi une offrande élevée.
Vous prendrez mon offrande élevée de tout homme qui aura un esprit libéral, et c'est ici l'offrande élevée que vous prendrez de l'or et de l'argent et de l'airain,
et du bleu, et de l'art pourpre, et de l'écarlate, et du coton blanc, et du poil de chèvre, et des peaux de billets teintes en rouge, et des peaux de thé sang, et du bois de citrine,
et de l'huile pour le luminaire, des aromates pour l'huile de l'onction et pour l'incense, des drogues odoriférentes, des pierres d'onyx, et des pierres enchassées pour l'éphode et pour le pectoral,
et ils feront pour moi un sanctuaire, et j'habiterai au milieu d'eux, selon tout ce que je te montre, le modèle du tabarnak, le modèle de tous ces ustensiles, ainsi vous ferez.
Et ils feront une arche de bois de citrine, sa longueur sera de deux coudées et demie, et sa largeur d'une coudée et demie, et sa hauteur d'une coudée et demie,
et tu la plaqueras d'or pur, tu la plaqueras dedans et dehors, et tu y feras un couronnement d'or tout autour, et tu fonderas pour elle quatre anneaux d'or, et tu les mettras à ces quatre coins, deux anneaux à l'un de ses côtés, et deux anneaux à l'autre de ses côtés,
et tu feras des barres de bois de citrine, et tu les plaqueras d'or, et tu feras entrer les barres dans les anneaux aux côtés de l'arche, pour porter l'arche par elle, les barres seront dans les anneaux de l'arche, on ne les en retirera point, et tu mettras dans l'arche le témoignage que je te donnerai.
Et tu feras un propitiatoire d'or pur, sa longueur sera de deux coudées et demie, et sa largeur d'une coudée et demie, et tu feras deux chérubins d'or, tu les feras d'or battu aux deux bouts du propitiatoire, fais un chérubin au bout de ça, et un chérubin au bout de là,
tu feras les chérubins tirés du propitiatoire à ces deux bouts, et les chérubins étendront les ailes en haut, couvrant de leurs ailes le propitiatoire, et leurs faces seront l'une vie à vie de l'autre.
Les faces des chérubins seront tournées vers le propitiatoire, et tu mettras le propitiatoire sur l'arche, par-dessus, et tu mettras dans l'arche le témoignage que je te donnerai.
Et je me rencontrerai là avec toi, et je parlerai avec toi de-dessus le propitiatoire d'entre les deux chérubins qui seront sur l'arche du témoignage, et tu dirais tout ce que je te commanderai pour les fils d'Israël.
C'est un passage très riche que nous avons lu. Il est bien de se rappeler du contexte. Dans Exode 15, nous voyons que Dieu les a rachetés de l'esclavage de l'Égypte.
Au premier verset, nous lisons « Alors Moïse et les fils d'Israël chantèrent ce cantique à l'éternel, et parlèrent, disant, Je chanterai à l'éternel, car il s'est hautement élevé, il a précipité dans la mer le cheval et celui qui le montait.
J'ai ma force et mon cantique, et il a été mon salut, il est mon Dieu, et je lui préparerai une habitation. »
Voilà, c'est ce point-là que j'aimerais souligner. Un peuple racheté qui donne une réponse. Je lui préparerai une habitation.
C'est ça qu'on voit dans le tabarnacle. Le tabarnacle est une réponse du cœur d'un peuple racheté, mais en même temps, si cette réponse est donnée, il faut que ce soit selon les pensées de Dieu.
Un peu comme Jean 4, le Père cherche des adorateurs, ceux qui l'adorent, l'adoreront en esprit et en vérité, selon les critères que Dieu a établis.
Ce serait beau de réaliser aussi que c'est la proximité qui est soulignée.
Exode 19, verset 4, « Vous avez vu ce que j'ai fait à l'Égypte, et comment je vous ai portés sur des ailes d'aigle et vous ai amenés à moi. »
Ainsi, un peuple dans la proximité de Dieu est instruit par rapport à ce sujet de l'adoration.
Et comme nous savons du Nouveau Testament, ces choses ont été écrites pour notre instruction, pour notre encouragement.
Donc, brièvement, d'abord quelques points d'introduction.
L'Éternel parla à Moïse. Nous voyons sept fois dans cette section où Dieu donne les instructions à Moïse, qu'il est dit « L'Éternel parla à Moïse ».
Il serait bon de voir encore la fin du chapitre 24, verset 15, « Moïse monta sur la montagne, et la nuée couvrit la montagne.
Et la gloire de l'Éternel demeura sur la montagne de Sinaï, et la nuée la couvrit pendant six jours.
Et le septième jour, il appela Moïse du milieu de la nuée.
Et l'apparence de la gloire de l'Éternel était comme un feu dévorant sur le sommet de la montagne aux yeux des fils d'Israël.
Et Moïse entra au milieu de la nuée, et monta sur la montagne.
Et Moïse fut sur la montagne quarante jours et quarante nuits.
Ainsi, Moïse est un exemple, une illustration du Seigneur Jésus qui est maintenant dans la gloire, monté au ciel.
Et là, Dieu lui communique ses pensées.
Et par son esprit, il communique ses pensées à nous aussi.
Un chapitre comme l'Exode 25 contient beaucoup d'instructions pour nous.
Ce chapitre ne donne pas les principes de l'Assemblée, comme la doctrine du Nouveau Testament,
mais ces illustrations nous aident à saisir les pensées de Dieu quant à son Fils bien-aimé, et quant à un peuple pour lui-même.
Lorsqu'on parle du tabernacle, c'est toujours bien de se rappeler que le Seigneur Jésus, lorsqu'il est venu dans ce monde,
il est appelé la parole qui est devenue chair, et qui habita au milieu de nous.
Et ce verbe habita pouvait être traduit littéralement.
Littéralement, il tabernacle au milieu de nous.
Donc, dans la personne du Seigneur Jésus, nous voyons vraiment la pensée de Dieu à l'égard du tabernacle.
Le tabernacle est donc d'abord l'habitation de Dieu, en grâce, au milieu des siens.
Ensuite, c'est le moyen par lequel la gloire de Dieu est révélée.
Dieu révèle sa gloire en Christ.
Et la première section des instructions du tabernacle, chapitres 25, 26 et 27, Dieu sort.
Il montre dans tous ses détails sa gloire.
Après l'introduction de la sacrificature, chapitres 28 et 29, nous voyons que Dieu prend le racheté pour l'amener dans sa présence.
Le tabernacle est aussi une figure des cieux.
Nous voyons cela dans Hébreu 4, verset 14, où nous lisons que notre grand souverain sacrificateur, le Seigneur Jésus, a traversé les cieux.
Jésus, le Fils de Dieu.
Et ainsi, le tabernacle nous parle donc de cette habitation de Dieu, mais montre aussi cette figure des cieux.
Le parvis, la terre où la croix a été placée.
Ensuite, le lieu saint, c'est les cieux, les lieux célestes.
Et le lieu très saint, où le trône de Dieu se trouve.
Voilà, c'est là où l'arche était placée, comme on verra tantôt, dans le lieu très saint.
Et ainsi, le tabernacle dans son ensemble est une figure des cieux.
On pourrait aussi souligner le fait que ces choses sont l'image des choses qui sont dans les cieux.
Donc, tout ce que Dieu avait montré à Moïse, il fallait qu'il le fasse selon le modèle que l'Éternel avait montré, car c'était l'image des choses qui sont dans les cieux.
Il y a deux versets aussi dans Hébreu qui pourraient nous aider à comprendre cela.
D'abord, Hébreu 9, verset 23.
Il était donc nécessaire que les images des choses qui sont dans les cieux fussent purifiées par de telles choses,
mais que les choses célestes elles-mêmes le fussent par de meilleurs sacrifices que ceux-là.
Ce chapitre nous parle du sacrifice de Christ qui était nécessaire pour purifier les choses dans les cieux.
Ce sacrifice était donc d'un ordre plus élevé que le sacrifice donné une fois par année, le Vitex XVI, par lequel les choses sur la terre étaient purifiées.
Et dans Hébreu 8, verset 1.
Or, la somme de ce que nous disons, c'est que nous avons un tel souverain sacrificateur qui s'est assis à la droite du trône de la majesté dans les cieux, ministre des lieux saints et du vrai tabernacle que le Seigneur a dressé, non pas l'homme.
Donc, on voit ici la pensée d'un tabernacle que le ciel, les lieux saints sont appelés le vrai tabernacle.
Et c'est là où le Seigneur Jésus, glorifié maintenant, est le souverain sacrificateur qui est assis à la droite du trône de la majesté.
Il est ministre des lieux saints.
Donc, il s'occupe des entrées de Dieu là dans la gloire.
Et ainsi, le tabernacle, le chapitre qu'on a devant nous, exode 25, 26, 27, sont des images qui reflètent les choses du ciel.
Et ces détails nous aident donc à entrer dans les pensées de Dieu comme on les trouve en réalité maintenant par rapport à un Christ glorifié dans le ciel.
Ces choses ont donc une signification symbolique qui est très exacte et très importante.
Notons au verset 2, parle au fils d'Israël qu'il prenne pour moi.
Il s'agit donc des entrées de Dieu, des choses qui sont pour lui-même, qui ont une valeur spéciale pour lui.
Ensuite, cette expression, une offrande élevée.
Une offrande peut dire quelque chose qu'il nous a donné d'abord, mais que nous pouvons lui offrir.
C'est la pensée en général par rapport à l'offrande.
On voit avec Cain qu'il a produit quelque chose de lui-même, d'une terre maudite, et Dieu n'a pas pu accepter cela.
Tandis que Abel a pris quelque chose que Dieu lui avait donné, du bétail, et il a consacré cela comme une offrande à Dieu.
Et ainsi, nous pouvons prendre quelque chose de ce que Dieu nous a donné, et pour vraiment apprécier cela, nous devons payer un prix, nous devons nous occuper de ces choses,
prendre du temps pour connaître les pensées de Dieu.
Mais ce qu'on comprend des pensées de Dieu, nous pouvons lui offrir comme une offrande élevée.
Cette expression souligne l'énergie spirituelle qui est nécessaire, et aussi pour montrer cette chose comme quelque chose de très précieuse,
précieuse d'abord pour le cœur de Dieu, précieuse aussi pour nos corps.
A la fin du verset 2, il dit, vous prendrez mon offrande.
Donc cela souligne encore les droits de Dieu, un Dieu rédempteur.
Le Dieu créateur a des droits, et comme rédempteur, il a des droits dans la rédemption.
Et ainsi, nous pouvons lui offrir ce qui lui appartient.
Vous prendrez mon offrande élevée, mais cela vient de tout homme qui aura un esprit libéral.
Dieu ne s'impose pas simplement, il atteint une réponse.
Comme nous l'avons vu dans l'Exode 15, Dieu aime la personne qui donne volontairement.
Et ainsi, un esprit libéral qui est le résultat de cette grâce de Dieu, un esprit libéral est précieux pour Dieu.
Est-ce que nous avons aussi cet esprit libéral pour offrir à Dieu nos actions de grâce, avec amour, avec une réponse de notre cœur?
Verset 3, c'est ici l'offrande élevée que vous prendrez d'eux.
Maintenant, on a quatre catégories qui sont données de cette offrande élevée, qui étaient donc nécessaires pour le service du tabernacle, et qui viennent d'un esprit libéral.
Et ces quatre catégories commencent d'abord par les choses qui nous parlent de Dieu, de ce que Dieu est en lui-même, notamment l'or, l'argent et les reins.
L'or nous parle de la gloire de Dieu, l'argent nous parle de la rédemption, et les reins nous parlent de la capacité à subir le jugement.
Le Seigneur était testé par la sainteté et par la justice de Dieu, et il était capable de subir tout cela.
Les reins nous parlent de cette capacité-là, comme on voit aussi dans ses pieds, dans Apocalypse 1, les pieds des reins.
Ces trois choses, ces trois métaux, nous parlent donc des aspects par rapport à Dieu.
Dieu qui est en lui-même, Dieu le Rédempteur, Dieu qui maintient ses droits.
Ensuite, nous avons huit choses par rapport aux étoffes et par rapport au bois qui est mentionné à la fin.
Et ces huit choses nous parlent du Seigneur Jésus, de son humanité.
Le nombre huit, dans la parole de Dieu, représente un nouvel ordre de choses.
Et c'est remarquable que le nom du Seigneur Jésus a une valeur numérique de 888, trois fois huit.
Donc, même dans son nom, il représente ce nouvel ordre de choses, sans péché.
Et dans ces huit choses, nous voyons des aspects différents de la perfection du Seigneur Jésus dans son humanité.
Une perfection qu'il a maintenant aussi dans la gloire.
Parce qu'il faut se rappeler que les choses du tabernacle nous parlent d'un système, selon le cœur de Dieu, qui est lié au ciel.
On a vu cela dans l'Hébreu, et on voit cela même par le fait que Moïse était sur la montagne.
Maintenant, ces huit choses, brièvement, d'abord le bleu, qui nous parle de l'homme céleste, l'homme qui est venu du ciel.
La pourpre nous parle du Seigneur Jésus dans ses droits, comme le roi des rois.
Tandis que l'écarlate nous parle de la gloire du Seigneur Jésus par rapport à ses souffrances.
L'écarlate, le verre qui passe à travers les souffrances, sont vingt-deux.
Et le coton blanc souligne sa perfection morale dans son humanité, sa pureté.
Le poil de chèvre souligne la séparation, d'être l'homme séparé.
Cela nous parle aussi du fait qu'il était le prophète de Dieu.
Les peaux de bélier teintes en rouge.
Bélier, dans la parole, nous parle de la consécration, du dévouement.
Et teintes en rouge, veut dire jusqu'à la mort.
Comme le Seigneur Jésus a montré sa consécration, son dévouement à Dieu, jusqu'à la mort.
Un peu comme le bélier dans Genèse 22, qui était attaché avec ses cornes dans le petit bois où Abraham l'a pris.
Le dévouement.
Et les peaux de tessin, c'était pour couvrir le tabernacle, comme on va voir plus tard.
Cela nous parle de la capacité qu'on voit dans le Seigneur Jésus de garder les choses pour Dieu.
Dans une parfaite séparation, dans une vigilance parfaite.
Et maintenant, la huitième chose, le bois de citine.
Dans la version grecque de l'Ancien Testament, c'est appelé le bois incorruptible.
Cela souligne donc cette nouvelle nature qu'on voit dans le Seigneur Jésus.
Le Seigneur Jésus était sans péché, à part le péché, il ne pouvait pécher, il n'a pas connu le péché.
Ville pour luminaire, là nous voyons un aspect par rapport à l'esprit.
D'abord, il faut se rappeler que le Seigneur Jésus était conçu par l'esprit.
Il était dirigé par l'esprit dans sa vie, et surtout dans son ministère public.
Et pour cela, il était aussi vin de l'esprit.
Voilà ce que nous présente Ville pour le luminaire.
Et on peut penser aussi à l'Esprit Saint, maintenant, pour nous.
Parce que nous sommes sous le contrôle du Saint-Esprit, comme on voit dans la vie du Seigneur Jésus.
Et les autres éléments par rapport au ministère de l'Esprit,
les aromates, ou l'huile de l'Ancien, comme on voit par exemple dans l'Option 45,
et pour l'Ancien, des drogues autres différentes,
l'Ancien qui est quelque chose qui est offert à Dieu, dans l'adoration et aussi dans la supplication.
Et les pierres d'Onyx nous parlent encore de la perfection du Seigneur Jésus,
et comment il était sous le contrôle de l'Esprit, dans tous les détails de sa vie.
La pierre d'Onyx se trouve dans Genèse 2, pour la première fois dans la Bible.
Et il y a aussi une référence aux pierres à enchasser pour l'Ephode,
où nous pouvons souligner le service que le Seigneur Jésus a maintenant comme Souverain Sacrificateur.
Ces pierres étaient pour le pectoral.
Donc, ces pierres nous parlent encore de Christ, ses gloires différentes,
mais vues maintenant par rapport au peuple,
parce que les pierres étaient portées sur les épaules du Souverain Sacrificateur,
et aussi sur son cœur, dans le pectoral.
Donc, tous ces éléments étaient des pierres de base,
des matériaux qui étaient nécessaires pour la construction du tabernacle.
Et tous ces éléments sont utilisés dans les chapitres suivants.
C'est beau de voir le but de tout cela,
Ils feront pour moi, donc encore une fois, pour moi, les droits de Dieu, un sanctuaire.
Donc, c'est pour souligner une place d'habitation.
Et j'habiterai au milieu d'eux.
Donc, Dieu veut avoir une place au milieu de son peuple.
Pour nous, dans le Nouveau Testament, il est vrai aussi que Dieu habite en nous.
L'Esprit de Dieu habite en nous.
On peut penser aussi à Matthieu 18, verset 20,
où le Seigneur vient au milieu des deux ou trois.
Il a pensé que Dieu habitera au milieu de son peuple,
et continue dans l'Apocalypse aussi, et même dans le monde à venir,
et quant à l'Église, pour toute l'éternité.
L'Esprit de Dieu sera avec nous pour toute l'éternité.
Dans le verset 9, nous voyons Dieu comme le grand architecte,
selon tout ce que je te montre, le modèle du tabernacle,
et le modèle de tous ses ustensiles, ainsi vous ferez.
Dieu a fait les plans, Dieu a présenté les plans à Moïse,
et maintenant, ils peuvent faire ces choses selon les pensées de Dieu.
Qu'est-ce que la première chose que Dieu mentionne?
C'est quelque chose qui est très précieuse pour son cœur.
C'est l'arche de Bois-de-Sythine, verset 10.
C'est la première chose qu'il mentionne.
Et ainsi, on peut comprendre, Dieu nous parle de ce tabernacle,
et tous les détails, plus ou moins, nous parlent du Seigneur Jésus,
d'une façon ou d'une autre.
Dieu prend la chose la plus importante, la plus précieuse pour son cœur,
et c'est l'arche.
L'arche de Dieu.
J'aimerais mentionner quelques expressions que nous trouvons dans la Bible quant à l'arche,
et puis ces passages nous aident à comprendre l'importance de l'arche.
L'arche est compris avec le trône de Dieu.
Et ainsi, il est dit dans le psaume 80 que Dieu habite au milieu des chérubins.
L'arche est vraiment le trône de Dieu.
On voit cette même pensée dans Ézéchiel 10,
où nous voyons Dieu sur ce trône,
qui est aussi comparé avec un char.
Et ainsi, l'arche fonctionne dans ces deux sens,
comme trône où Dieu habite,
où Dieu est assis,
mais aussi comme un char,
le psaume 45 aussi,
où nous voyons Dieu en mouvement.
Il y a plusieurs expressions qui sont utilisées par rapport à l'arche.
D'abord, l'arche de l'Éternel,
aussi l'arche de l'Alliance,
ou l'arche de l'Alliance de l'Éternel.
C'est par rapport à l'Alliance que Dieu a établie avec son peuple,
et c'est vraiment par la nouvelle Alliance que les pensées de Dieu sont accomplies,
quant à Israël.
L'arche est appelée aussi l'arche de Dieu,
dans 1 Chronique 13, verset 6.
Appelée aussi souvent l'arche du témoignage,
parce que dans l'arche,
deux tables de la loi ou du témoignage étaient mises.
Il y a plusieurs noms pour l'arche,
et un chapitre qui nous aide, c'est Josué 3,
juste avant qu'Israël entre au Pays Promis.
Nous lisons dans Josué 3, verset 11,
« Voici l'arche de l'Alliance du Seigneur de toute la terre,
qui va passer devant vous dans le Jourdain. »
On voit ici que l'arche représente Dieu dans tous ses droits,
mais aussi dans son engagement envers Israël, l'Alliance du Seigneur.
Il a vraiment tous les droits sur toute la terre.
C'est l'arche du témoignage aussi,
l'arche de l'Alliance,
l'arche de l'Éternel,
l'arche de Dieu,
appelée aussi l'arche de ta force, dans le psaume 132,
et l'arche sainte, dans 2 chroniques 35-3,
qui souligne que tout va ensemble avec la sainteté de Dieu.
On voit dans Isaïe 6, par exemple, l'arche n'est pas mentionnée,
mais là, nous voyons le trône élevé, où Dieu est assis.
Les mesures sont données, et ces mesures sont très petites.
Sa longueur sera de deux coudées et demie,
et sa largeur d'une coudée et demie,
et sa hauteur d'une coudée et demie.
Pourquoi les demies dans les trois dimensions ?
Parce que ce n'est pas pour indiquer que nous ne pouvons pas vraiment sonder
toute la grandeur de la personne du Seigneur Jésus.
Parce que dans l'arche, il est présenté de deux façons.
Il est présenté comme Dieu, l'or pur, du verset 11,
« Tu la plaqueras d'or pur, et tu la plaqueras de dents et d'or ».
Donc, si on voit le Seigneur Jésus du dort,
ou dans son être intérieur, on voit Dieu.
Et on se rappelle, l'arche était faite du bois de cité,
qui souligne son humanité, l'incorruptibilité de cette nature sans péché.
Et ainsi, l'arche est vraiment le centre du tabernacle,
comme on comprend déjà par le fait que l'arche est comparée avec le trône.
Parce que dans les jours de Samuel et Élie, l'arche était prise par les Philistins.
Nous voyons que c'était vraiment le centre de tout le service.
Sans l'arche, tout ce service n'a pas vraiment de valeur.
Il y a aussi un couronnement d'or tout autour.
Ce couronnement souligne maintenant que le Seigneur Jésus est couronné de gloire et d'honneur.
Il est l'arche dans la gloire.
Il est un homme qui est Dieu béni sur toutes choses,
mais il est couronné de gloire et d'honneur.
Hébreu 2, verset 9.
Encore quelques pensées sur le bois.
Le bois souligne l'humanité du Seigneur Jésus, comme nous l'avons vu.
Et on peut penser à Isaïe 53, le premier verset,
où il est appelé le rejeton à la racine sortant d'une terre aride.
Et dans Luc 2, nous voyons le Seigneur Jésus dans son abaissement,
et en même temps, il était ceprit précieux pour Dieu.
On peut penser aux psaumes 16, où nous le voyons dans son humanité,
mais sans corruption.
Il n'a pas connu la corruption.
Même dans la mort, il n'a pas connu la corruption.
Et c'est ainsi que Dieu l'a élevé, et il est maintenant dans la gloire,
assis sur le trône de Dieu.
Le couronnement, nous avons mentionné déjà,
nous parlons de l'honneur que Dieu lui a donné.
Et on peut penser maintenant à ce que l'arche contenait,
c'est le témoignage, les deux tales du témoignage.
Mais il ne faut pas oublier le fait que l'arche était pour être portée.
Et l'arche devait aller en avant, comme on voit dans l'ombre 10,
où le peuple a commencé son voyage à travers le désert.
Avec le tabernacle, l'arche est allée en avant.
Donc l'arche, nous parlons du Seigneur Jésus comme le grand conducteur.
Mais ce que l'arche contenait, c'est les deux tables de la loi.
On pense au psaume 40, où le Seigneur dit,
« C'est mes délices, oh mon Dieu, de faire ce qui est en bon plaisir.
Et ta loi est au-dedans de mes entrailles. »
Quelle perfection dans le Seigneur Jésus.
L'arche contenait aussi, on va plus tard,
dans l'ombre, la verge d'Aaron qui avait bourgeonné.
Où nous voyons la pensée de la résurrection.
Mais d'abord, dans l'exode 16, nous avons une instruction quant à cette cruche d'or,
contenant un homère de manne,
qui nous parle encore du Seigneur Jésus dans son humanité,
comment il était toujours dépendant de Dieu, toujours obéissant.
Et il était le pain de Dieu.
Quelle perfection nous voyons en lui, comme la manne.
Et cette manne était gardée dans une cruche d'or.
Encore la perfection, une personne divine s'était gardée dans l'arche.
Au verset 13, « Tu feras des barres de bois de cithyme,
et tu les plaqueras d'or.
Et tu feras entrer les barres dans les anneaux,
aux côtés de l'arche, pour porter l'arche par elles.
Les barres seront dans les anneaux de l'arche, on ne les en retirera point. »
Les barres étaient donc pour transporter l'arche.
Et comme nous avons vu déjà dans l'ombre 10,
l'arche allait donner la direction pour tout le peuple.
Et c'est par rapport à notre marche à travers ce désert.
Lorsqu'on voit l'arche dans le pays, dans le temple de Salomon,
là, les barres étaient ôtées.
Parce que lorsque nous voyons le Seigneur Jésus dans la gloire,
la pensée de voyager n'est plus là.
Lorsque nous serons avec lui dans la gloire, on n'aura plus besoin de ces barres.
Aussi longtemps que nous sommes dans le désert,
c'est notre privilège, comme des sacricateurs,
de pouvoir porter l'arche en témoignage.
C'est vraiment une pensée touchante, comme on voit plus loin dans les livres de Moïse,
que les sacricateurs étaient là pour porter l'arche.
Et ainsi, nous comme croyants, nous avons le privilège de pouvoir porter l'arche sur nos épaules.
De pouvoir montrer la beauté du Seigneur Jésus comme un témoignage dans ce monde.
En même temps, il est vrai que l'arche contenait ces deux tables, les deux tables de la loi,
mais on peut penser là aussi au peuple de Dieu dans son ensemble.
Les deux tables représentent d'un côté, comme j'ai dit, le Seigneur Jésus,
dans sa perfection, qu'il a accompli le bon plaisir de Dieu.
Et maintenant, lorsqu'il est dans la gloire, il est vrai aussi que nous, le peuple de Dieu,
nous sommes représentés par ces deux tables.
Et c'est l'arche qui nous porte, pour ainsi dire.
C'est une pensée qui est développée dans Deuteronome 10.
Verset 17, tu verras un propitiatoire d'or pur.
Le propitiatoire était un élément très important.
Et là, tout était d'or pur.
Le propitiatoire était pour couvrir.
On pourrait traduire, c'était le couvercle.
Le couvercle pour couvrir l'arche.
Si le couvercle était ôté, il n'avait plus de protection du peuple.
Et toutes les exigences de Dieu, comme exprimées dans la loi, les deux tables de la loi,
seraient tout de suite maintenues en jugement.
On voit cela dans Exode 32, lorsque Moïse est descendu avec les deux tables de la loi,
et le peuple était tombé dans l'idolâtrie, on lit que Moïse a brisé ces deux tables tout de suite.
Autrement, Dieu aurait dû détruire ce peuple vivant dans la débauche.
Donc, c'est une pensée très solennelle.
Pour l'arche, il fallait une protection, afin que ces deux tables soient préservées intactes,
selon les pensées de Dieu, comme c'était le cas avec le Seigneur Jésus.
Mais par la pensée de la propitiation, nous avons aussi l'aspect propitiatoire du Seigneur Jésus.
Le mot couvercle implique aussi la pensée de couvrir,
et c'est un mot qui est utilisé souvent par rapport au sacrifice pour le péché.
Ainsi, dans l'Ancien Testament, on voit que le sang a couvert le péché.
Dans le Nouveau Testament, nous voyons que le sang de Christ a ôté le péché.
Dans Jean 1, verset 29, l'agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.
C'est la puissance efficace du sang de Christ.
Mais la pensée de la propitiation est donc là déjà dans le mot propitiatoire.
Si les deux tables de la Loi nous parlent de Christ dans sa vie,
dans son obéissance, dans sa perfection, soumis à la volonté de Dieu,
nous pouvons suggérer que le couvercle, le propitiatoire, nous parle de Christ dans sa mort.
Et là aussi, il a accompli toute la volonté de Dieu.
Et ces deux pensées vont ensemble.
Une vie de perfection pour faire la volonté de Dieu,
comme il est dit si souvent dans Jean, qu'il était venu pour.
Sa viande était pour faire la volonté de celui qui l'avait envoyé et d'accomplir son œuvre.
Ainsi, sa mort était l'expression parfaite de la volonté de Dieu.
Et ainsi, il a établi la base de tout.
Maintenant, le propitiatoire est intimement lié au chérubin d'or.
Les chérubins étaient toujours là pour maintenir les droits de Dieu.
Et dans la mort du Seigneur Jésus, les droits de Dieu étaient maintenus d'une façon merveilleuse et excellente.
Dans Hébreu 9, verset 5, nous lisons que le propitiatoire était embrasé par les chérubins de gloire.
Hébreu 9, verset 5.
Ainsi, les chérubins représentent la justice et le jugement qui sont les bases du trône de Dieu.
Ils protègent de leurs ailes le propitiatoire et contemplent ce qui est placé dessus, le sang de sacrifice pour le péché.
Ainsi, le propitiatoire est aussi un type de Christ, comme l'apôtre Paul l'exprime dans Romains 3,
étant justifié gratuitement par la grâce de Dieu, par la rédemption qui est dans le Christ Jésus,
lequel Dieu a présenté pour propitiatoire par la foi en son sang.
Là, nous voyons donc vraiment la pensée de Dieu quant au propitiatoire.
Romains 3, versets 24 et 25.
Et ce passage fait allusion aux cérémonies du jour des propitiations,
où le souverain sacricateur, sous la nuvée de l'enceinte,
entrait au-dedans du vent avec le sang de sacrifice pour le péché,
afin d'en faire aspersion devant et sur le propitiatoire.
Devant le propitiatoire, cette fois, en témoignage pour nous,
et une fois sur le propitiatoire, une fois était suffisant pour Dieu.
Cela nous montre l'importance et la valeur du sang de Christ, pour Dieu et pour nous.
Et c'est par ce sang que nous avons maintenant un libre accès dans la présence de Dieu.
Hébreux 9 et 10.
Quant aux chérubins, j'aimerais encore donner quelques références.
Et nous voyons que ces chérubins sont toujours là pour maintenir les droits de Dieu,
la justice de Dieu, la sainteté de Dieu.
Dans Genèse 3, après la chute de l'homme, nous voyons que Dieu a envoyé les deux chérubins
avec une épée pour garder l'entrée vers l'arbre de connaissance du bien et du mal.
Ainsi, l'entrée du jardin d'Edin était bloquée par les chérubins,
par les chérubins qui maintenaient la gloire de Dieu et la justice de Dieu.
Plus tard, nous parlerons aussi des deux chérubins où Moïse était dans la présence de Dieu.
Je vais garder ça pour quelques moments encore.
Et on retrouve cette pensée dans l'ombre 7, verset 89.
Je vais maintenant donner quelques références qui nous parlent des chérubins.
Dans Genèse 3, verset 24, nous lisons,
« Il chassa l'homme et plaça à l'orient du jardin d'Edin les chérubins et la lame de l'épée
qui tournaient ça et là pour garder le chemin de l'arbre de vie. »
Plus loin dans l'ombre 7, verset 89,
quand Moïse entrait dans la tente d'assignation pour parler avec Dieu,
il entendait la voix qui lui parlait de dessous le propitiatoire
qui était sur l'arche du témoignage d'entre les deux chérubins.
Et il lui parlait.
C'est une communication entre l'Éternel et Moïse.
Dans Samuel 4, verset 4, le peuple envoya à Silo
et en apporta de là l'arche de l'alliance de l'Éternel des armées qui siège entre les chérubins.
Et les deux fils d'Élie, Ophnie et Phinée, étaient là avec l'arche de l'alliance de Dieu.
Là, nous voyons que l'Éternel des armées siège entre les chérubins.
Maintenant, j'aimerais encore mentionner cette référence par rapport au temple de Salomon
où nous voyons encore l'importance des chérubins.
On a déjà fait référence au somme 80
où nous voyons Dieu qui habite au milieu des chérubins.
On peut penser aussi au somme 99, verset 1.
Mais dans le temple de Salomon, nous voyons les chérubins de cette façon.
D'abord sur l'arche, comme dans Exode 25, les deux chérubins.
Ensuite, les chérubins étaient aussi impliqués dans la construction des murailles
et même aussi dans les portes, troisième point.
Il y avait deux statues des chérubins dans le lieu très sain, faites de bois d'olive
et couverts d'or pur. C'est le quatrième point.
Ensuite, on voit les chérubins dans le voile, le voile qui séparait le lieu sain du lieu très sain.
Et nous voyons aussi les chérubins dans la couverture qui était placée sur le tabernacle
pour protéger tous ses trésors. Là encore, les chérubins.
Et dans Ézéchiel 10, nous voyons comment les chérubins sont là aussi en réalité
pour porter le trône de Dieu.
Donc il y a cette référence encore par rapport aux chérubins.
Lorsqu'on pense au trône de Dieu dans Apocalypse 4, nous voyons les êtres vivants, les quatre êtres vivants.
Et là, nous voyons les caractéristiques des chérubins, mais aussi les caractéristiques des séraphins,
comme on voit dans Isaïe 6, qui soulignent la sainteté d'un Dieu trois fois sain.
Saint, saint, saint.
Vous pensez à la Trinité, le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Et le fait qu'ils sont quatre êtres vivants nous fait penser aussi aux quatre coins du tabernacle,
excusez-moi, aux quatre coins de l'arche.
Le nombre quatre dans la parole souligne l'aspect universel.
Et ainsi les vérités exprimées dans l'arche ont une valeur universelle.
La grandeur de la personne de Christ, représentée par l'arche,
est trouvée, par exemple, dans Colossien 1.
J'ai déjà mentionné Jean 1 tantôt, la parole devenue chère.
Dans Colossien 1, verset 19, nous lisons,
Car en Lui, toute la plénitude sait plus à habiter,
et par Lui, à réconcilier toutes choses avec elles-mêmes.
Là, nous voyons la perfection de Christ, comme l'arche de Dieu,
et toute la plénitude, la dignité, la divinité,
Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit, sait plus à habiter en Lui.
Mais aussi, par Lui, à réconcilier toutes choses avec elles-mêmes,
là nous voyons cette heure de la propitiation que le Seigneur Jésus accomplit,
là nous voyons cet aspect que nous avons vu dans le propitiatoire,
et ainsi la vie du Seigneur Jésus ensemble avec sa mort,
et cette heure expiatoire.
Dans Colossien 2, verset 9, nous voyons Christ dans la gloire,
et dans la gloire, il est dit, car en Lui habite toute la plénitude de la déité corporellement.
Il est donc maintenant dans la gloire, il est encore l'arche parfaite de Dieu,
et Dieu se manifeste par Lui, parce que Dieu habite en Lui,
et si Dieu se manifeste, c'est toujours par la personne du Seigneur Jésus.
Et quant au croyant, il est dit dans Colossien 2, verset 10,
vous êtes accompli en Lui, qui est le chef de toute principauté et autorité.
Dans quelle position merveilleuse nous avons maintenant en Christ.
Pour finir, j'aimerais revenir aux versets que nous avons lus vers la fin,
Dans Exode 25, verset 20, les chérubins étendront les ailes en haut, couvrant de leurs ailes le propitiatoire.
Ainsi, nous avons cette pensée des deux chérubins qui ont couvert le propitiatoire.
Et ça me fait penser à une expression qu'on trouve dans Luc 9,
où la nuée est venue pour couvrir le Seigneur Jésus.
Dans Luc 9, nous lisons cela, parce que le Seigneur Jésus était sur la montagne de la transfiguration,
et après qu'il avait prié, l'apparence de son visage devint toute autre.
Et voici deux hommes qui étaient Moïse et Élie, qui parlaient avec lui,
lesquels apparaissaient en gloire, qui parlaient de sa mort qu'il allait accomplir à Jérusalem.
Et Pierre dit, au verset 33,
Maître, il est bon que nous soyons ici, faisons trois tentes, une pour toi, une pour Moïse, une pour Élie, ne sachant ce qu'ils disaient.
Verset 34, et comme il disait ces choses, une nuée vint et les couvrit.
Là, nous voyons Christ couvert par cette nuée, mais aussi les disciples qui étaient avec lui.
C'est une pensée par rapport aux chérubins.
Les chérubins sont intimement identifiés avec la gloire de Dieu.
Et cette nuée qui a couvert le Seigneur Jésus et les disciples nous parle de la gloire de Dieu,
comme dans le Shekinah.
Le mot Shekinah vient d'un mot qui est très proche au mot tabernacle, dans l'original, dans l'hébreu.
Ainsi, il y a un lien intime entre le tabernacle, Mishkan, et la nuée, Shekinah.
Et cette Shekinah a couvert le Seigneur Jésus.
La pensée du Shekinah est trouvée aussi dans 2 Corinthiens 12, dans l'avis de Paul, l'apôtre.
Nous lisons verset 9, après qu'il avait supplié 3 fois le Seigneur, afin que cet ange de Satan se retire de moi.
Il dit au verset 9, il m'a dit, ma grâce te suffit, car ma puissance s'accomplit dans l'infirmité.
Je me glorifierai donc, dit l'apôtre, très volontiers, plutôt dans mes infirmités, afin que la puissance du Christ demeure sur moi.
Ce mot demeure est le même verbe que dans Luc 9.
Et ainsi, on peut traduire, afin que la puissance du Christ tabernacle sur moi.
Donc là, dans la faiblesse de Paul, la pensée de la gloire du Shekinah, par l'expression la puissance du Christ, serait sur lui, pour l'embrager, pour le protéger.
Nous trouvons aussi la nuée dans l'ascension du Seigneur Jésus, lorsqu'il a été ôté de cette terre, dans l'acte 1.
Les disciples l'ont vu partir dans cette nuée.
Par la grâce de Dieu, nous avons maintenant une idée de cette gloire, parce que nous avons, par le ministère de Paul, une impression de cette gloire du Seigneur Jésus dans le ciel.
Nous pouvons ainsi voir dans la nuée, pour ainsi dire, ou l'autre côté de la nuée.
Et cette nuée, qui nous parle donc de la présence de Dieu, est aussi avec nous, parce que l'Esprit Saint habite en nous maintenant.
La Shekinah, qui a couvert le tabernacle, nous parle de l'Esprit Saint, qui représente un Christ glorifié, et qui remplit maintenant la maison de Dieu.
Où il n'y a pas de place pour quoi que ce soit autre que la personne de Christ.
Ainsi, dans la vie de Paul, il a appris qu'il n'y avait pas de place pour quoi que ce soit à côté du Seigneur Jésus.
Et dans sa propre faiblesse, il a réalisé cela, et la puissance de Christ a demeuré sur lui.
Dans le monde à venir, nous verrons cette gloire publiquement.
Cette gloire va revenir au temple qui sera reconstruit.
Ce n'est pas le temple de l'Antichrist, parce que ce temple sera détruit en 1927, et de Thessaloniciens II.
Mais ce sera un nouveau temple, selon les instructions d'Ézéchiel 40 à 48.
Et là, cette gloire va revenir d'une façon publique.
Et j'aimerais lier cela à ce qu'on a lu dans Exode 25, par rapport aux chérubins.
On a vu déjà que les chérubins ont couvert avec leurs ailes le propitiatoire.
Donc la gloire de Dieu et l'oeuvre de la propitiation vont ensemble, parce que toutes les exigences de Dieu ont été satisfaites par l'oeuvre expiatoire de Christ.
Mais le point que je souligne maintenant, au milieu du verset 20,
leur face, donc les faces des chérubins, seront l'une vis-à-vis de l'autre.
Les faces des chérubins seront tournées vers le propitiatoire.
Donc, en voyant le propitiatoire, ils voient le saint qui était mis sur le propitiatoire,
et ils doivent constater que toutes les exigences de la sainteté de Dieu, de la justice de Dieu,
ont été satisfaites par le saint du sacrifice pour le péché.
Et Hébreu 13 nous explique cela en détail, aussi Hébreu 9 et 10,
où on voit que le saint des animaux qui étaient brûlés en dehors du cain, le sacrifice du péché, ou le péché,
leur saint était appliqué dans le lieu très saint, sur le propitiatoire.
Ainsi, la valeur de Christ est reconnue par Dieu, et l'accès devant Dieu, devant le tronc de Dieu, est ouvert maintenant.
Et les chérubins voient cela et sont satisfaits.
Il est remarquable que dans 2 Chroniques 3, verset 13,
les chérubins voient avec leur face vers la maison.
Si les chérubins voient maintenant autour d'eux, ce serait la destruction.
Dieu voit toute cette injustice dans ce monde, et le jugement est sur ce monde.
Mais Dieu atteint, c'est sa patience, 2 Pierre 3.
Les chérubins sont encore concentrés sur le propitiatoire.
Ils ne voient rien d'autre.
Mais dans le Millennium, leur face se rend vers la maison.
Là, ils seront capables de voir tout ce qui se passe en dehors.
Et on voit dans le Millennium que la justice règnera.
La justice est satisfaite maintenant par rapport à l'heure du Christ.
Et nous lisons dans Romains que la grâce règne en justice.
Mais dans le Millennium, c'est la justice qui va régner.
Ainsi, les faces des chérubins peuvent voir autour d'eux.
Quant à l'état éternel, nous avons encore une autre expression dans 2 Pierre 3.
Là, nous voyons que la justice va habiter.
Tout sera en accord avec Dieu.
Et là, il n'y a plus besoin d'enforcer des choses par le règne de la justice, comme dans le Millennium.
Mais tout sera en accord avec Dieu.
Dieu sera tout et en tous.
Et les chérubins seront encore satisfaits, entièrement satisfaits.
Ensuite, j'avais encore une pensée sur les versets vers la fin du passage que nous avons lu.
Au verset 22, je me rencontrerai là.
Avec toi.
Moïse avait ce privilège de pouvoir rencontrer Dieu devant le propitiatoire.
Et ainsi, Moïse avait un accès direct à Dieu.
Moïse représente ici les croyants d'aujourd'hui.
Les israélites n'avaient pas ce droit.
Ils étaient toujours dehors.
Et même les sacrificateurs ne pouvaient pas venir dans la présence immédiate de Dieu.
Sauf le souverain sacrificateur, selon l'Evitique 16.
Même là, seulement une fois par année, avec l'encens, avec le sang du sacrifice, il pouvait entrer.
Mais Moïse avait ce privilège toujours, comme nous aussi aujourd'hui.
Selon Hébreux 10, par exemple, nous pouvons nous approcher de Dieu avec une conscience libre.
Nous avons cette liberté, cette confiance, comme on voit aussi dans un saint.
Et là, nous avons cette communion avec Dieu.
Pour avoir une rencontre avec Dieu, il faut que ce soit sur la base de l'œuvre accomplie de Christ.
Sans cette œuvre, il n'y a pas de point de rencontre.
Mais cette communion est souliée par ces paroles, et je parlerai avec toi.
C'est une communion intime et personnelle, et il a dit, de dessus le propitiatoire.
Donc, le vrai caractère de Dieu a été révélé en grâce, par rapport au propitiatoire.
C'est la base sur laquelle Dieu s'adresse maintenant à Moïse, et au Nouveau Testament, à nous aussi.
Donc, malgré les limitations de l'Ancien Testament, nous voyons en Moïse quand même une illustration de ce que nous avons aujourd'hui comme croyants.
Il est dit que Dieu parlerait avec lui d'entre les deux chérubins.
Dieu est identifié avec les deux chérubins, comme on voit souvent dans la Bible, surtout dans Ézéchiel.
Ézéchiel était un sacricateur, et il avait un intérêt intense aux choses de Dieu, à la sainteté de Dieu.
Il décrit cela en détail dans Ézéchiel.
Il y a aussi cette gloire qui devait partir de la ville, une chose très solennelle, à cause de l'infidélité du peuple, comme on voit dans Ézéchiel 9, 10 et 11.
Mais personnellement, Ézéchiel avait ce contact avec Dieu comme Moïse l'avait, et Dieu a communiqué à lui ses pensées intimes.
Il est dit aussi au verset 22 qu'ils seront sur l'arche du témoignage.
Nous sommes ensemble avec la pensée que nous avons vue déjà, que l'arche est l'arche du témoignage, aussi longtemps qu'il y a un peuple dans ce monde.
L'arche du témoignage.
Aujourd'hui, le témoignage est par rapport à l'assemblée, comme on voit dans 1 et 2.
Le témoignage de Dieu, le témoignage de Christ, et dans l'apocalypse 1, nous voyons que Jean, l'apôtre, a souffert à cause du témoignage.
Il s'est identifié avec le témoignage de Dieu.
Dieu veut nous communiquer aussi maintenant ses pensées.
Nous avons le Nouveau Testament qui complète les pensées de Dieu.
Donc nous ne sommes pas sous la loi de Moïse, mais nous avons ici quand même la même pensée, que Dieu peut communiquer librement à nous ses pensées.
On voit dans Moïse aussi une image du Seigneur Jésus comme le grand apôtre.
L'apôtre, tantôt j'ai dit, Moïse représente les croyants qui ont maintenant ce libre accès.
Mais Moïse est aussi une image du Seigneur Jésus.
Selon Hebreu 3, il est l'apôtre de tout ce système pour communiquer aux autres les pensées de Dieu.
Ainsi, Dieu a donné tout au Seigneur Jésus comme homme dans la gloire maintenant pour qu'il puisse communiquer les pensées de Dieu par son esprit maintenant à nous.
Nous avons donc aussi cette proximité.
Nous sommes richement bénis.
On lit dans Luc 2, verset 14, lorsque les anges ont vu Christ bébé dans la crèche, ils l'ont loué Dieu.
Ils l'ont dit dans Luc 2, verset 14, gloire à Dieu.
C'est le premier élément.
Le deuxième élément, paix sur la terre.
Et le troisième élément, bon plaisir dans les hommes.
Ces trois éléments vont toujours ensemble.
Gloire à Dieu, c'est ce qu'on voit dans les chérubins.
Ils cherchent d'abord la gloire de Dieu.
Ils maintiennent la gloire de Dieu.
Mais Dieu a établi la paix à cause de leur accompli de Christ.
Et la troisième pensée, bon plaisir dans les hommes.
Dieu a trouvé son bon plaisir dans Christ, l'homme parfait.
Et maintenant, il peut aussi avoir son bon plaisir en nous, nous qui sommes identifiés avec lui.
La pensée d'Exode 25, verset 22.
Je me rencontrais là avec toi, et je parlais avec toi.
J'aimerais lier, parce qu'on lit dans Nombre 7, verset 89.
Après l'inauguration du tabernacle, nous lisons qu'un Moïse entrait dans la tente d'assignation
pour parler avec lui.
Il entendait la voix qui lui parlait de dessus le propitiatoire qui était sur l'arche du témoignage
d'entre les deux chérubins.
Et il lui parlait.
Là nous voyons donc une communication de deux côtés.
Dieu révèle ses pensées à Moïse.
Il entendait la voix.
Quel privilège de pouvoir entendre la voix de Dieu qui lui parlait de dessus le propitiatoire.
Donc encore, sur la base de leur accompli de Christ.
Par rapport au témoignage de Dieu, en accord avec le témoignage de Dieu,
soutenu par l'arche et sous le regard des deux chérubins.
Mais là le point que j'aimerais souligner à la fin du verset, il lui parlait.
Moïse a eu le privilège d'avoir la communion avec Dieu.
Il pouvait lui parler.
C'est une pensée encourageante pour nous aussi,
comme nous avons le privilège de pouvoir nous approcher de Dieu.
Il communique nos pensées par son esprit, par sa parole.
Et nous pouvons donner une réponse dans l'adoration.
Et c'est ce qu'on trouve dans Genèse 35 avec Jacob.
Lorsqu'il est revenu à la maison de Dieu, Bethel.
Parce qu'il avait été discipliné et restauré.
Nous lisons que Dieu lui apparut après son retour de Padanara.
Dieu l'a béni.
Et dans Genèse 35, verset 13,
après que Dieu avait parlé à Jacob, nous lisons
Dieu monta d'auprès de lui dans le lieu où il avait parlé avec lui.
Le tabernacle, avec cette place que nous avons vue dans Exode 25,
dans le temple de Salomon,
ce lieu très saint est appelé l'oracle.
C'est la place où Dieu parle.
Et la pensée est déjà ici dans Genèse 35, verset 13.
Dans le lieu où il avait parlé avec lui.
Donc par rapport à la maison de Dieu, où Dieu habite,
et où nous pouvons avoir cet accès libre,
nous avons ce privilège de la communion.
Dieu nous parle.
Verset 14, Jacob érigea une stèle au lieu où il avait parlé avec lui.
Une stèle de pierre.
Et il répandit dessus une libation.
Il versa de l'huile.
C'est la réponse du coeur de Jacob.
Et au verset 15, Jacob appela le nom du lieu où Dieu avait parlé avec lui.
Bethel.
Bethel veut dire maison de Dieu.
Dieu avait parlé avec Jacob.
Dieu avait communiqué ses pensées à lui.
Mais il est beau de voir au verset 14, où il avait parlé avec lui.
Là c'est Jacob qui avait parlé avec l'Éternel.
Et nous avons ici déjà la pensée de la communion intime.
Dans la présence de Dieu, dans la maison de Dieu.
Et c'est notre privilège aussi.
Et toutes ces pensées vont ensemble.
Les chérubins qui maintiennent la gloire de Dieu.
Sur la base du propitiatoire.
L'œuvre de Christ.
Basée sur sa personne en arche.
Sans la personne du Seigneur Jésus.
Sans sa vie en perfection.
Il n'y aurait pas de propitiation.
Et ainsi la vie et la mort du Seigneur Jésus vont ensemble.
Et ensemble, ils sont nécessaires pour notre salut.
Et là nous avons cet accès à la présence de Dieu.
Pour jouir de cette communion avec lui.
Pour pouvoir entendre sa voix.
Et aussi pour pouvoir donner une réponse.
Que le Seigneur nous aide à lui donner cette réponse.
Et que nous puissions entrer dans ses pensées.
Comme il les a montrées dans ses illustrations du tabernacle.
Et comme on verra aussi dans les autres ustensiles.
La table, le chandelier, les autres détails du tabernacle.
J'ai fait cette cassette longtemps après que ça a été enregistré.
Parce que cette cassette a été perdue.
Mais c'était l'introduction pour quelques messages qui suivent maintenant.
Sur les autres détails du tabernacle.
Que le Seigneur bénisse sa parole.
Et qu'il bénisse tous les auditeurs. …
Transcription automatique:
…
Si il y a des questions, j'aimerais bien avoir, après la réunion, avoir la possibilité d'en parler, parce que le sujet est immense.
Et puis, ce sont seulement quelques versets, mais quand même.
Exode 25, verset 23 jusqu'au verset 30.
Exode 25, verset 23.
Exode 25, verset 23.
Exode 25, verset 23.
Et dans Lévitique 24, quelques versets qui donnent une addition ou supprimant.
Lévitique 24.
Là, on trouve aussi le sujet de ces deux soirées, Dieu voulant.
Ce soir, on parle de cette table, la table, et puis demain soir, Dieu voulant, le chandelier.
Et puis, ces deux sujets, on les lit dans Lévitique 24, aussi quelques instructions bien importantes.
Lévitique 24, verset 5 jusqu'au verset 9.
Verset 9, je ne sais pas si on aura le temps d'en parler, mais je voulais quand même lire ces versets.
Et tu prendras, donc verset 5, et tu prendras de la fleur de farine et tu en cuiras douze gâteaux.
Chaque gâteau sera de deux dizaines et tu les placeras en deux rangées, six par rangée, sur la table pure, devant l'éternel.
Et tu mettras de l'incense pur sur chaque rangée.
Et ce sera un pain de mémorial, un sacrifice par feu à l'éternel.
Chaque jour du sabbat, on les arrangera devant l'éternel, continuellement, de la part des fils d'Israël.
C'est une alliance perpétuelle.
Et cela appartiendra à Aaron et à ses fils, et ils le mangeront dans un lieu saint, car celui sera une chose très sainte d'entre les sacrifices de l'éternel fait par feu.
C'est un statut perpétuel.
Donc si on lit ces instructions, on n'a pas l'impression que ça parle tellement du Seigneur Jésus.
On a chanté dans notre cantique du bon berger, mais aussi dans le dernier cantique, comment il est la joie pour nous, la source de nos joies.
Puis c'est vraiment la source de nos joies.
Mais on va voir ce soir, Dieu voulant, qu'il est la source de la joie du coeur de Dieu.
A cause de ça, il peut aussi être la source de notre joie.
Je ne peux pas répéter tout ce qu'on a vu la dernière fois, mais pour donner un petit résumé,
on a commencé il y a quelques mois avec chapitre 15, où on a vu la rédemption, comment Dieu a délivré le peuple d'Israël, et maintenant pourra voir ce peuple pour lui-même.
Dans Genèse, on a vu comment Dieu a appelé Abraham, un seul homme, pour l'avoir comme son témoin.
Maintenant, dans l'Exode, on voit que Dieu veut avoir tout un peuple pour l'avoir pour ses témoins.
Un peuple pour la gloire de son nom, ici, dans ce monde.
Donc, tiré de ce monde, et puis de nouveau placé dans ce monde comme son peuple à lui, comme ses témoins.
Et c'est seulement une image de notre situation.
On a vu aussi que le principe du Nouveau Testament nous montre que toutes ces choses ont été écrites pour nous.
Donc, pour le peuple de Dieu, maintenant, dans ce temps, dans cette dispensation,
il y a tant de leçons, tant d'illustrations dans l'Ancien Testament pour nous.
C'est vraiment très riche.
Puis, on a vu que le peuple, comme réponse à Dieu, donc une réponse d'amour envers Dieu,
parce qu'il les avait délivrés, il les avait rachetés du juge de Pharaon,
de leur part, une réponse.
Ils ont dit, maintenant, nous voulons faire une place d'habitation pour notre Dieu.
Exode 15, on l'a vu.
Puis Dieu a dit, c'est bon, maintenant, je vais vous indiquer comment faire.
Et c'est ce qu'on trouve dans chapitre 25 et les chapitres qui suivent.
C'est bon de voir comment cette réponse se continue dans l'attitude du peuple
qui ont amené, apporté toutes sortes de choses.
On a vu que ces choses parlent d'une façon ou d'une autre du Seigneur Jésus,
comme homme ici-bas, comme homme dans la gloire, comme Youssif, son ministère par l'esprit.
Tous ces détails du verset 1 jusqu'à 9, on les trouvera plus tard,
mais ce sont les éléments qui étaient nécessaires pour bâtir.
Donc, on voit d'abord ces éléments qui parlent du Seigneur Jésus,
puis on voit les instructions que Dieu donne, comment bâtir,
et puis plus tard, on voit comment ils ont réalisé cela.
On a vu une des dernières fois, exode 35, comment la réalisation des pensées de Dieu
est liée à l'attente, on a vu cela, à l'attente d'assignation.
Donc, pour réaliser les pensées de Dieu, il faut qu'on soit lié à l'assemblée de Dieu.
On a vu cela.
Et puis, dans le chapitre 35, c'est remarquable de voir,
quand ils ont commencé à bâtir, c'était la première pensée
que c'était en rapport avec l'attente d'assignation.
Pour nous, c'est une instruction très importante.
Si nous voulons réaliser les pensées de Dieu, on ne peut pas les séparer de l'assemblée de Dieu,
tellement l'assemblée de Dieu est précieuse dans ses yeux.
Et puis plus tard, si on continue la lecture de l'exode,
on voit comment, sous la direction de Moïse,
tous ces ustensiles ont été mis ensemble.
Donc, on voit l'assemblage, pour ainsi dire,
comment on a mis ensemble tout cela dans un grand système.
Comme, pas seulement l'autel, mais chaque ustensile,
chaque vase avait une place ordonnée par Dieu.
Et sous la main de Moïse, tout a été placé ensemble.
On ne peut pas aller si loin afin que ce soit pour la gloire de Dieu.
Maintenant, on a lu simplement quelques instructions de la part de Dieu concernant la table.
Avant qu'on commence par ce verset-là,
j'aimerais bien vous rappeler, du verset 10 jusqu'à 22,
on a vu une présentation du Seigneur Jésus dans deux aspects.
Comme l'arche de bois, le sitting, ou l'arche du témoignage,
ou plus tard mentionné comme l'arche d'alliance.
Et puis, comme le verset 17 le dit, le propitiatoire.
Donc, le Seigneur Jésus, on l'a vu, il est le trône de Dieu.
Le trône de Dieu où toutes les exigences de Dieu ont été satisfaites.
Et Dieu peut habiter là. Il peut régner là.
Maintenant, on peut dire, on ne peut pas le voir, mais c'était ici, dans le lieu très sain.
Et puis, c'était le trône de Dieu, mais on peut dire aussi le centre.
Le centre qui a caractérisé tout le système.
C'est vraiment essentiel.
Je pense que l'arche parle de la gloire du Seigneur Jésus.
On en a parlé déjà, je ne peux pas répéter maintenant.
Mais comme il est venu, comme homme dans ce monde, il est venu pour révéler la gloire de Dieu.
Donc, toute la gloire de Dieu était manifestée dans un seul homme.
Et puis, c'est dans le Seigneur Jésus.
Et puis, on a vu aussi comment il a maintenu la gloire de Dieu.
Il est venu pour faire la volonté de Dieu.
Ça c'est, en autres mots, il est venu pour maintenir les droits de Dieu et la gloire de Dieu.
Mais tout autour de lui était en contraste avec la gloire de Dieu.
Mais nous aussi, on a vu le besoin que nous avons de propitiatoire.
Là, on voit comment le Seigneur Jésus a pris notre place.
Il a subi le jugement de la part de Dieu.
Son sang expiatoire a coulé.
Et puis, sur la base de ce sang, Dieu peut nous accepter maintenant.
Dieu peut nous avoir dans sa présence.
Ça c'est la grande pensée qu'on a ici.
Dieu peut nous avoir dans sa présence.
Maintenant, ce trône est un trône de grâce.
Romain III l'a dit, ce trône c'est la propitiation et c'est un trône de grâce.
Nous pouvons maintenant entrer, nous pouvons maintenant, selon Hébreu 10, entrer dans le lieu très saint.
On a vu, je pense que le système révèle, avec les diapositives, on a vu ça un peu.
Ça commence du trône de Dieu et le trône de Dieu caractérise tout le système.
Dieu est sorti. Dans la personne du Seigneur Jésus, Dieu est venu ici-bas.
Et puis, jusqu'à l'homme. L'homme était là. L'homme est venu ici.
Et puis, là, à l'autel, l'homme et Dieu se rencontrent.
Sur la base de la mort du Seigneur Jésus.
Et puis, on a vu un peu aussi, avec les diapositives, comment le Seigneur Jésus est notre grand sacrificateur
qui nous prend et qui nous introduit maintenant dans les lieux saints.
Et maintenant, l'objet duquel nous avons lu, la table, était placée dans le lieu saint.
Dans ce temps-là, il y avait encore une séparation entre le lieu très saint et le lieu saint.
Pour nous, le lieu saint parle des lieux célestes, où nous sommes placés déjà.
Mais pour nous, d'un certain sens, il n'y a plus de voile.
D'un sens, selon l'épître aux Hébreux, il y a encore un voile.
Mais nous avons libre accès au trône de Dieu.
Nous pouvons nous approcher du trône de Dieu, juste dans sa présence.
Quel privilège nous avons.
Maintenant, je pense, le grand principe que nous avons trouvé dans la portion que nous avons lue,
c'est que Dieu veut avoir une réponse de cette révélation.
Donc, Dieu s'est révélé en Christ.
Christ est ce trône de grâce.
Christ est le propitiatoire.
Christ est cet arche.
Et puis, c'était toute la manifestation de la gloire de Dieu.
Maintenant, Dieu veut avoir une réponse de notre part.
Et pour cela, nous avons besoin de cette table, de laquelle nous avons lu.
Je pense que c'est bien simplement de suivre les versets, mot pour mot, pour comprendre un peu le sens.
Il y avait dans le désert une question.
Le peuple a posé une question.
Je vais simplement lire ça.
C'est dans le psaume 78, verset 19.
Là, c'était une question d'incrédulité.
Le peuple, en général, ne connaissait pas les pensées de Dieu.
Et puis, c'était le peuple incrédule qui a demandé, qui a posé cette question.
Psaume 78, verset 19.
Ils parlèrent contre Dieu et dirent, Dieu pourrait-il dresser une table dans le désert?
Donc ici, on voit, on a lu, d'une table que Dieu a dressée dans le désert.
On peut lire cette table, dans un certain sens aussi, dans le psaume 23.
Cette table qui parle de la communion que nous avons avec Dieu maintenant.
Parce que, d'un côté, on a vu, Dieu était seul.
Dieu avait ce trône, il était seul.
Mais Dieu ne veut pas rester seul.
Dieu veut avoir nous, comme ses enfants, avec lui.
Et puis, il veut nous introduire dans sa présence, mais aussi jouir avec nous de toutes ses bénédictions qu'il a manifestées dans la personne du Seigneur Jésus.
La table nous parle de cette place de communion que nous avons.
D'un côté, une réponse, une réponse à la révélation de la gloire de Dieu.
Et puis, basée sur cette révélation, basée sur l'heure accomplie du Seigneur Jésus, nous pouvons avoir cette communion.
Les instructions, on a lu verse 23.
Tu feras une table de bois de cité.
Pour avoir cette communion, pour donner, pour pouvoir donner cette réponse, nous avons besoin du Seigneur Jésus.
Je pense que cette tabernacle parle, dans chaque partie, d'une façon ou d'une autre, du Seigneur Jésus.
C'est remarquable.
On a vu cet arbre qui parle du Seigneur Jésus, comment il est venu pour maintenir la gloire de Dieu.
Mais cette table, comme nous la voyons ici, parle de nouveau du Seigneur Jésus.
Mais, maintenant, dans ce sens-là, pour nous soutenir.
Si nous pouvons maintenant avoir cette communion avec Dieu, il faut que, parce que nous sommes dans le désert, il faut que quelqu'un nous soutienne dans cette communion.
Et c'est le Seigneur Jésus qui ouvre la table.
La table qui nous soutient, qui nous supporte, qui nous présente devant Dieu.
Parce que, spécialement dans Lévitique 24, on a lu que c'était dans la présence de Dieu, devant Dieu.
Ça veut dire que cette communion que nous avons maintenant, c'est devant Dieu, dans sa présence.
Et sans le Seigneur Jésus, on ne peut pas être dans la présence de Dieu.
Et pour maintenir les pensées de Dieu dans le désert, parce que tout cela s'est réalisé dans ce monde, dans le désert, on a besoin du Seigneur Jésus.
Je pense qu'on va voir particulièrement d'un côté la table et puis les pains.
Ce sont les deux grands sujets de ce soir.
La table, d'un côté, et puis les pains, les douze pains, de l'autre côté.
Et les deux parlent du Seigneur Jésus.
La table pour soutenir, pour nous soutenir, et les pains parlent de nous-mêmes, mais Christ vu en nous.
Donc, sur la table étaient placés ces pains, qui parlent de nouveau du Seigneur Jésus, mais aussi de nous.
Nous, mais Dieu nous voit en Christ, et Dieu va Christ en nous.
On va voir cela Dieu voulant.
D'abord quelques détails en rapport avec la table.
J'ai dit que le tronc de Dieu caractérise tout le système.
On a vu le bois déjà, le bois de Sittim, en rapport avec l'arche.
Maintenant, cette table est formée aussi du bois de Sittim.
Je pense qu'il faut que Dieu nous montre cela.
Une fois donné dans l'histoire du peuple d'Israël, Dieu a montré à Moïse le bois.
C'est vraiment nécessaire que Dieu nous montre ce bois.
L'homme naturel n'a aucune idée de la qualité de ce bois.
L'homme naturel n'a aucune idée de la qualité du Seigneur Jésus, comme homme, comme il est venu ici.
Il était un homme comme nous, alors extérieurement il n'y avait pas de différence.
Mais quand même, il était un homme selon un autre ordre.
Et puis, ce bois de Sittim parle de sa qualité.
C'était dans la traduction grecque de l'Ancien Testament, on a traduit ce mot comme bois incorruptible.
Donc, quelle différence avec nous qui sommes corruptibles.
Là, le Seigneur Jésus est venu, un homme comme nous, mais quand même incorruptible.
Et puis, on peut comprendre comment la divinité et l'humanité étaient mises ensemble.
On a vu dans l'Arche, et maintenant on voit les deux aspects de nouveau ensemble.
Le bois, et puis plus tard, verset 24, tu la plaqueras d'or pur.
Et tu lui feras un couronnement d'or, on verra cela.
En relation avec ce bois, j'aimerais mentionner que Dieu veut maintenant voir les mêmes caractéristiques en nous.
Nombre 33, verset 49.
Donc, on a vu le Seigneur Jésus comme cet homme incorruptible.
Maintenant, Dieu veut voir en nous les mêmes caractéristiques.
Nombre 33, verset 49.
Là, on voit comment le peuple d'Israël a campé près du Jourdain, depuis Beth-Jeshimoth jusqu'à Abel-Sittim, dans les plaines de Moab.
Là, ils sont venus sur un point où ils étaient caractérisés par ce bois de Sittim, pour ainsi dire.
Donc, je répète la pensée.
Dieu nous montre ce bois.
Il nous montre la qualité supérieure du Seigneur Jésus.
Mais maintenant, il veut aussi que Christ soit vu en nous.
Ça, c'est la grande pensée.
Que ces caractéristiques de cet homme incorruptible soient vues en nous.
Et si on étudie les Écritures, on voit beaucoup de fois que Dieu présente cette pensée, d'une façon ou d'une autre.
Que Christ soit vu en nous.
Donc, la table nous parle de Christ, mais ce bois nous parle aussi du fait que Dieu veut maintenant avoir cette communion avec nous.
Mais il peut avoir communion avec nous, parce que Christ est en nous.
Nous représentons Christ maintenant sur cette terre.
Les dimensions de cette table sont données.
Verset 23.
Sa longueur sera de deux coudées.
Et puis sa largeur, d'une coudée.
Ça veut dire que la surface de la table était plus petite que la surface de l'arche.
On a vu dans l'arche et le propitiatoire, c'est Dieu qui se rêvait envers les hommes.
Donc, là on voit l'heure du Seigneur Jésus envers les hommes.
L'heure expiatoire aussi, il est mort pour tous les hommes.
Ça ne veut pas dire qu'il a porté tous les péchés de tous les hommes.
Mais l'Écriture dit qu'il est mort pour tous les hommes.
Donc, la grâce de Dieu s'adresse à tous les hommes.
Et Dieu a trouvé une base parfaite, une fondation parfaite dans l'heure du Seigneur Jésus.
Donc, la dimension, la surface de l'arche était plus grande que la table.
Parce que dans la table, on voit la réponse.
Et nous savons que la réponse est plus petite, pour ainsi dire, que ce que Dieu a donné.
Ce que Dieu a donné est plus grand que la réponse.
Et on le sait aussi, la somme de tous les croyants est plus petite que la somme de tous les hommes.
Donc, la communion, cette table, a une dimension plus petite que l'arche de Dieu.
Mais une chose est très importante.
J'ai mentionné ça avec les diapositives, je pense.
La hauteur de la table était exactement la même que la hauteur de l'arche.
Et que la hauteur de la grille dans l'hôtel des reins.
Ça veut dire, pour avoir cette communion avec Dieu dans la table,
nous devons être sur le niveau de sa gloire et de ses droits, comme révélé dans l'arche.
Mais nous devons être aussi sur le niveau des souffrances du Seigneur Jésus.
Parce que l'arche parle de sa gloire, de la gloire de Dieu.
Mais l'hôtel parle du Seigneur Jésus, comment il a souffert pour maintenir la gloire de Dieu.
Et puis, la grille était sur la même hauteur que la table.
Donc, si nous avons maintenant la communion avec Dieu,
c'est sur la base de l'heure accomplie du Seigneur Jésus à la croix,
et aussi en accord avec la gloire de Dieu.
Dieu ne peut pas diminuer sa gloire pour avoir communion avec nous.
Dieu maintient sa gloire pour avoir la communion avec nous.
C'est sur le même niveau.
Et c'est pour cela que j'ai dit, c'est dans la présence de Dieu.
Mais quel privilège nous avons.
Puis, verset 24 nous parle de cet aspect que la table était plaquée d'or.
Donc, d'or pur.
Ça veut dire tout en accord avec la gloire de Dieu.
Parce que l'or parle de la gloire de Dieu.
Et on a vu, dans le Seigneur Jésus, on voit les deux aspects,
comme homme et comme Dieu dans une même personne.
Et pour avoir cette communion avec Dieu, il faut que nous connaissions le Seigneur Jésus dans ces deux aspects-là.
Comme homme, parce qu'autrement on ne pouvait rien connaître des pensées de Dieu.
Mais aussi comme Dieu, parce que c'est une question des droits et de la gloire de Dieu.
Donc, la table est plaquée de cet or.
Et ça nous montre de nouveau que tout est en accord avec la gloire de Dieu.
Même cette communion.
C'est dans un verset, 1 Jean 1, vous connaissez ça sans doute.
Notre communion est avec le Père et le Fils.
Donc, cette communion de laquelle parle cette table est dans la présence de Dieu, pas seulement.
Mais en accord avec la gloire de Dieu.
Si Dieu nous embrasse, pour ainsi dire, il ne diminue pas sa gloire.
Absolument pas.
Il nous introduit dans sa présence et dans sa gloire.
Maintenant, il y a trois points que j'aimerais bien souligner.
Verset 24, tu y feras un couronnement d'or tout autour.
Il y a trois choses qu'on trouve.
Ce n'est pas tellement bien mentionné ici, mais les Écritures le mentionnent.
Le couronnement d'or tout autour, puis un rebord, verset 25, et puis autour de ce rebord, de nouveau un couronnement.
Donc, trois choses.
On peut se demander, mais qu'est-ce que c'est ce couronnement d'or?
Pour avoir cette communion avec Dieu, je pense qu'il faut que nous connaissions vraiment le Seigneur Jésus dans sa gloire.
Comme l'Épitre aux Colossiens nous montre.
C'est remarquable que nous trouvons ce couronnement d'une façon particulière dans l'Épitre aux Colossiens.
Dans l'Épitre aux Colossiens, on voit le Seigneur Jésus dans toute sa gloire, comme le Créateur et comme homme qui nous a réconciliés avec Dieu.
On le voit aussi, mais je mentionne un verset.
Je pense que j'ai mentionné ça déjà en rapport avec la grande pensée que Dieu habite maintenant au milieu des hommes.
Là, on voit de nouveau la gloire du Seigneur Jésus.
Colossiens 1, verset 19.
En lui, toute la plénitude ne sait plus habiter.
Donc, ça c'est le couronnement du Seigneur Jésus.
Un homme en qui Dieu ne sait plus habiter.
Quel couronnement pour un homme?
Un homme!
Et puis Dieu habite en lui.
Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit.
Toute la plénitude ne sait plus habiter.
Quel couronnement?
Nous avons affaire avec une telle personne.
Je pense que je ne peux pas maintenant mentionner tous les aspects.
On voit beaucoup d'aspects dans cet Épitre-là de la gloire, de ce couronnement du Seigneur Jésus comme homme.
Et sans son incarnation, sans le fait qu'il est venu ici-bas et a vécu comme homme ici-bas, on ne peut pas avoir cette communion avec Dieu.
C'est impossible.
Donc, ça c'est une suggestion pour comprendre un peu le premier couronnement.
Sans l'humanité parfaite du Seigneur Jésus, sans son incarnation, on ne peut pas avoir cette communion avec Dieu.
Mais il y a une autre chose.
Maintenant, Dieu nous a introduit dans cette communion.
On a lu une fois, je pense, 1 Corinthiens 1, verset 9.
Dieu est fidèle qui nous a appelé dans la communion de son Fils Jésus-Christ, notre Seigneur.
Ça c'est la communion pour laquelle Dieu nous a appelé.
Tous les chrétiens sont appelés pour cette communion.
Et du point de vue de Dieu, tous les chrétiens y sont.
Mais pour y être pratiquement, de notre part, il faut que nous reconnaissions le Seigneur Jésus comme Seigneur, que nous nous soumissions à ses droits.
Donc là on voit que la communion, Dieu nous a introduit dans cette communion.
Mais cette communion doit être défendue.
Et je pense que verset 25 nous parle de cet aspect-là.
Tu y feras un rebord d'une paume tout autour.
Donc le mot rebord est traduit ailleurs comme château fort.
Et la pensée d'un château nous parle de cette défense.
Donc je répète verset 25, tu y feras un rebord, on pourrait traduire un château fort.
Mais c'est clair, en rapport avec une table on ne peut pas traduire château fort.
Mais la pensée est ce rebord, c'est une protection et aussi une défense de cette communion.
Et on voit dans les Épitres comment l'apôtre Paul a défendu les droits de Dieu et aussi la gloire du Seigneur Jésus en relation avec cette communion.
Mais aussi défendu les privilèges des saints.
Parce que Satan est toujours là pour nous empêcher d'avoir cette communion.
Satan veut toujours attaquer cette position.
Il ne veut pas ça.
Parce qu'il voit que là Dieu a une réponse pour son corps.
Et Satan ne veut pas ça.
Donc Satan va attaquer cette communion.
Et pour cela Dieu a donné ce rebord, cette protection.
C'est de nouveau Christ je pense.
Christ est notre château fort.
Si nous nous retirons en Lui comme notre château fort, on est bien protégé.
Satan ne peut rien faire.
Mais si nous sommes là, si nous maintenons cette position dans notre propre force ou par nos propres idées, on va tomber devant les attaques de l'ennemi.
Puis encore un petit détail, cette protection, ce rebord est d'une paume tout autour.
Ça parle de la main du Seigneur.
Et ce serait bien intéressant d'étudier tous les passages qui parlent de la main du Seigneur.
La main qui a souffert pour nous, qui était percée pour nous, mais c'est aussi la main qui parle maintenant de sa force.
Dans la résurrection, on le voit dans Ésaïe 53, par sa main tout le plaisir de Dieu serait continué.
Donc par sa main, Dieu a mis toute chose dans la main du Seigneur Jésus.
Le Seigneur Jésus est le parfait administrateur.
Comme Joseph, dans 100 ans, sur toute l'Égypte, il était le parfait administrateur.
Donc cette main nous protège, la main du parfait administrateur.
Mais aussi la main qui est très forte.
Une main, comme on lit dans Acte 11, comment les saints ont expérimenté la main du Seigneur.
La main du Seigneur était avec eux.
Donc la main du Seigneur nous protège et nous fait jouir de cette communion.
Il nous protège contre les attaques de l'ennemi.
Donc avec cette main du Seigneur, on est bien protégé.
Et puis autour de ce rebord, autour de cette protection, était encore un couronnement.
Donc on peut bien comprendre que ce rebord était nécessaire pour tenir l'épin.
J'ai ici un... Je pense que ça c'est correct comme ça.
L'image comme ça, je pense, n'est pas correct.
Parce que pour transporter ça à travers le désert, c'était pas tellement stable.
Mais si on voit l'épin comme ça, il s'était bien protégé par ce rebord.
Et le deuxième rebord était là aussi pour contenir, pour protéger les vases, les ustensiles qu'on a lus à la fin.
Les gobelets, les coupes, etc. avaient aussi une place sur cette table-là.
On va voir ça encore.
Et puis ils étaient protégés pour la traversée du désert.
Puis il ne faut pas oublier que nous sommes là pour être transportés à travers le désert.
Si nous sommes maintenant précieux pour Dieu, ça c'est une autre pensée.
Les douze pins sont précieux pour Dieu.
C'est nous.
Ces pins parlent de nous-mêmes.
Et puis Dieu veut nous protéger pour son propre coeur, pour le passage à travers le désert.
Donc ce rebord était très nécessaire.
Et ce deuxième couronnement, à la fin du verset 25, je pense, parle du Seigneur Jésus comme homme dans la gloire.
On le connaît comme homme ici-bas.
Sans son incarnation, on n'a pas de communion.
Mais on le connaît aussi comme homme dans la gloire.
Et je voudrais dire, sans le connaître comme l'homme couronné de gloire et d'honneur, on n'a pas de communion avec Dieu.
C'est essentiel pour le christianisme de connaître le Seigneur Jésus comme l'homme ressuscité, mort, ressuscité, mais aussi glorifié.
Et notre communion est avec Dieu dans cette lumière-là, qu'il y a un homme dans la gloire maintenant, couronné de gloire et d'honneur.
Et de nouveau, Colossiens 2 nous parle de ça, verset 9, que tout le plaisir de Dieu maintenant, et toute la plénitude habite en lui-même.
En lui, cet homme dans la gloire.
Et nous sommes maintenant complets.
On peut lire cela dans l'Épître aux Colossiens, chapitre 2, verset 9.
Mais je dois continuer.
Verset 26, on voit les provisions pour le passage à travers le désert.
Ce n'était pas simplement pour être placé dans le tabernacle.
La table était là aussi pour être portée à travers le désert.
On a vu cela sur les diapositives aussi, comment la table était couverte de quelques couvertures, et puis pour être transportée à travers le désert.
Les quatre anneaux et les deux barres étaient là pour pouvoir porter la table.
Et c'était un service pour les lévites, pour porter, les sacrificateurs, pour porter la table.
Ça c'est aussi une fonction que nous avons, mais on ne peut pas parler de tous ces détails maintenant.
Verset 26 nous parle aussi des quatre pieds.
Donc, ça parle de cette stabilité.
La communion, cette communion que nous avons, a un fondement très stable.
Peut-être qu'on peut penser en relation avec cette communion aussi à ces quatre dents que Dieu a données, qui sont là jusqu'à la fin de la dispensation.
Mais en tout cas, ces quatre pieds sont là.
De notre côté, on peut penser aussi à la nécessité d'avoir une communion régulière avec Dieu, mais aussi les uns avec les autres.
On a parlé de cette communion que nous avons avec Dieu, mais en même temps nous avons en communion les uns avec les autres, c'est la même communion.
Et 1 Jean 1 nous montre ça aussi.
Nous avons communion avec Dieu, le Père et le Fils, mais aussi communion les uns avec les autres.
Et pour soutenir cette communion, nous avons cette table, et cette table a quatre pieds.
On peut penser aussi à Acte 2, verset 42, où on a vu ces quatre aspects de cette communion.
La doctrine des apôtres, puis la fraction du pain, la communion d'abord, et puis les prières, les quatre pieds pour ainsi dire.
Ça c'est très pratique de notre part, très pratique.
Pour réaliser cette communion, il faut que nous prions, il faut que nous ayons communion les uns avec les autres,
que nous acceptions la doctrine des apôtres, que nous continuons dans la fraction du pain.
Souvent ces quatre aspects sont mentionnés.
On peut aussi penser à l'aspect universel, parce que quatre souvent parle de l'universalité.
Cette communion que nous avons, c'est aussi une communion universelle.
Ce n'est pas limité à un petit groupe de chrétiens, c'est, dans les vues de Dieu, une communion universelle, mais très stable.
Verset 27, on voit que les bords, verset 28, étaient plaqués d'or.
Même pour porter la table comme un témoignage maintenant, à travers le désert, il faut que tout soit en accord avec la gloire de Dieu.
En autres mots, si nous sommes des témoins maintenant de ces vérités précieuses, si nous parlons avec d'autres chrétiens, nous présentons un peu les pensées de Dieu,
il faut que nous fassions cela selon Dieu, selon la gloire de Dieu.
Donc, même ces barres étaient plaquées d'or.
Le fait que cette table est portée comme un témoignage à travers le monde, c'est aussi pour la gloire de Dieu.
Et on ne va pas diminuer la gloire de Dieu.
Donc, il y a toujours cet aspect du témoignage.
Mais cet aspect-là est plus élaboré dans le livre du nombre.
Ici, on a l'exposition des pensées de Dieu, le modèle selon lequel Moïse a dû faire tout cela.
Tandis que dans le livre du nombre, on voit comment tout était mis en ordre et porté à travers le désert comme un témoignage pour Dieu.
Mais, comme j'ai dit, ça doit être en accord avec la gloire de Dieu.
Comme on voit ici dans ces barres qui étaient couvertes d'or pur.
Puis verset 29.
Maintenant, un autre aspect.
29.
Et tu feras ces plats, ces coupes, ces gobelets et ces vases avec lesquels on fera les libations.
Tu les feras d'or pur.
Et verset 30.
Et tu mettras sur la table le pain de proposition devant moi, continuellement.
Donc, en rapport avec le pain, on va voir encore dans le livre du 24 un peu les détails.
Je pense le pain, les douze pains.
Ici, c'est seulement le pain de proposition ou le pain des faces littéralement.
Dieu nous voit et Dieu voit Christ en nous.
On va voir ça.
Les pains parlent de nous-mêmes, mais aussi Christ vu en nous.
Mais en relation avec cette réponse que j'ai mentionnée au début,
je pense que ces coupes et ces gobelets et ces vases sont mentionnés.
Dieu veut avoir une réponse dans l'adoration.
Il ne veut pas seulement voir Christ en nous.
Ça, c'est déjà une sorte de réponse dans notre vie.
Mais il veut voir aussi l'adoration.
Je pense que verset 29 parle de cette joie que nous pouvons maintenant présenter à Dieu.
Parce que qui sont ces coupes?
Qui sont ces vases?
Ce sont vous et moi.
Les chrétiens sont ces vases.
Sous des aspects différents,
comme ces plats étaient les ustensiles sur lesquels les pains étaient présentés
afin que les sacrificateurs pouvaient manger.
Mais ces coupes, c'est le deuxième mot,
c'est comme d'une grandeur d'une main.
Et ces coupes, normalement, étaient remplies d'incense.
On a vu dans l'Évitique 24 l'incense.
Donc ces coupes étaient pour contenir l'incense.
L'incense parle de la prière,
mais aussi Christ en relation avec la prière,
comme l'intercesseur.
Donc les coupes étaient nécessaires en rapport avec l'incense,
en rapport avec les prières.
Et on est sûr, la communion ou une réponse à Dieu,
on ne peut pas donner sans le service de notre intercesseur,
sans les prières de la part de nous.
On ne peut pas avoir cette communion.
Donc ces coupes parlent de l'incense,
de service du Seigneur Jésus comme l'intercesseur,
et aussi de nos prières.
Mais ces gobelets étaient des vases pour contenir du vin.
Et puis verset 29 parle aussi de ces vases, très général,
où il y avait toutes sortes de libations.
Il y avait des libations de vin,
il y avait des libations de bassins forts.
Donc tous ces aspects-là sont liés avec cette communion.
Les bassins forts étaient seulement versés devant Dieu
dans le lieu saint, donc ici auprès de la table.
Je ne peux pas mentionner maintenant tous les versets,
mais je mentionne ça simplement.
Et puis les libations qu'on trouve ici,
c'était un rapport avec la table.
Il y a aussi des libations en rapport avec l'autel,
mais on ne parle pas de ça.
Les libations, verset 29, desquelles on parle maintenant,
étaient en rapport avec la table,
donc en rapport avec cette communion.
On voit que le peuple d'Israël a manqué à maintenir ça.
Et c'est remarquable, dans la restauration,
dans le jour d'Esdras,
que ces vases ont été ramenés à Jérusalem.
Donc ils avaient tant de valeur pour Dieu.
Maintenant, comme j'ai dit, nous sommes ces vases.
Nous sommes les vases pour Dieu,
pour donner cette libation, pour donner cette adoration.
Et une libation parle du fait qu'on se donne entièrement.
Si on verse un verre de vin comme ça,
c'est tout donné, il ne reste rien.
Et cette libation, donc, parle d'une réponse,
mais d'un sens sans réserve.
Comme Marie l'a fait,
elle avait une bouteille d'un parfum très précieux,
puis elle a versé, elle a brisé la bouteille,
puis versé tout cela sur la tête du Seigneur Jésus,
comme une libation principale.
La libation parle que nous n'avons pas de réserve,
que nous donnons volontairement tout,
comme une réponse dans l'adoration.
Mais tous ces instruments étaient d'or pur.
Si nous donnons cette réponse,
ça doit être selon les pensées de Dieu,
comme Marie l'a fait.
Si nous lisons Jean 12, par exemple,
on voit comment Marie a donné cette réponse
selon les pensées du Seigneur.
Mais pour cela, elle était assise à ses pieds.
Elle a reçu beaucoup d'instructions
de la part du Seigneur Jésus.
Et puis, elle peut donner maintenant cette réponse.
Verset 30.
Tu mettras sur la table le pain de proposition
devant moi, continuellement.
Donc ici, devant moi,
c'est dans la présence de Dieu,
pour son plaisir.
Et on va voir ça encore un peu dans Lévitique 24.
Dieu ne suppose pas que nous péchons.
1 Jean 1 ne suppose pas que nous péchons,
mais parle du service de notre Seigneur Jésus
comme l'avocat au cas où nous avons péché.
Mais les Écritures ne supposent pas
que nous péchons.
Donc Dieu veut avoir une communion continuelle.
Et surtout, Christ veut en nous continuellement
pour la satisfaction du cœur de Dieu.
Nous pouvons comprendre ça un peu.
Si nous voyons la valeur de la personne du Seigneur Jésus
quand il était ici-bas,
pour le cœur de Dieu,
c'était une valeur immense.
Et maintenant, Dieu est tellement content,
pour ainsi dire,
qu'il veut voir Christ en nous.
C'est pour la satisfaction de son cœur.
Et Dieu a besoin de tous les croyants
pour avoir Christ représenté ou exprimé
dans tous les croyants ensemble.
Donc si Dieu du Ciel voit tous les croyants ensemble,
dès le début de l'assemblée jusqu'à l'enlèvement,
qu'est-ce qu'il voit? Il voit Christ.
Il voit Christ exprimé dans tous les croyants.
Dans chaque croyant, Dieu voit un petit peu de Christ.
Mais il veut que Christ croise en nous,
pour ainsi dire,
que nous soyons vraiment caractérisés par Christ.
Et c'est de cet aspect-là, je pense, que Lépin parle.
On va voir ça dans l'Évitique 24.
Parce que comment Lépin était formé,
dans l'Évitique 24, verset 5,
c'était de la fleur de farine.
Et si on lit l'Évitique 2,
on va voir comment le Seigneur Jésus
était l'offrande du gâteau,
faite de cette fleur de farine.
Ça parle de son humanité parfaite.
Comment il avait un homme dépendant de Dieu, toujours.
Je ne peux pas maintenant...
Je mentionne simplement quelques points maintenant.
Ça parle de sa dépendance, un homme dépendant.
Ça parle de sa soumission, son obéissance.
Mais surtout, ça parle du fait
qu'il y avait un homme qui est venu pour faire la volonté de Dieu.
C'était pour le plaisir de Dieu.
Un homme qui a vécu pour le plaisir de Dieu.
Et cette fois, dans l'Évangile selon Jean,
on lit que le Seigneur Jésus est venu pour faire la volonté de Dieu.
Cette fois.
Et puis, à la fin, il dit,
il a accompli l'heure que Dieu l'avait donnée,
pour la gloire de Dieu.
Quelle fin c'est!
Donc cet homme-là est présenté dans la fleur de farine.
Mais maintenant, comme j'ai dit,
Dieu veut voir ses mêmes attributs,
ses mêmes caractéristiques en nous.
Maintenant, un petit détail, verset 5.
Tu en cuiras douze gâteaux.
Cuire, ça parle de l'épreuve.
Comment cette fleur de farine a été formée pour être un pain.
Pour nous, Dieu se sert de nos épreuves,
de nos difficultés,
de nos détresses même,
pour nous cuire, pour ainsi dire.
Il se sert de tout cela pour nous former,
afin que nous soyons comme ces gâteaux.
Pour nous, c'est à cause du fait que nous manquons grandement à Dieu
d'intervenir dans la discipline pour nous former.
Pour le Seigneur Jésus, il était parfait.
Donc il y a toujours une différence entre le Seigneur Jésus et nous.
Mais je pense que ce procès, c'était à travers le feu.
Comme le verset le dit aussi, c'était un pain de mémorial,
un sacrifice par feu à l'éternel.
Donc cette farine était formée comme un pain.
Donc le pain a passé par le feu.
Et pour nous, ça parle de nos épreuves.
Dieu veut nous faire passer à travers ce feu pour nous former,
ou en autres mots, pour former Christ en nous.
Maintenant, on voit que c'était douze gâteaux.
Mais les douze gâteaux étaient...
Chaque gâteau sera de deux dizaines.
Ça veut dire que tous les douze gâteaux étaient pareils.
On sait qu'il y a tant de différences entre les chrétiens.
On connaît le mot pluralité.
Mais ce n'est pas cet aspect-là qu'on trouve ici.
C'est que chaque pain est formé selon la même nature.
C'est Christ qui est vu dans chaque pain.
Les douze pains nous présentent Christ comme identifié avec les saints
et aussi comme il les caractérise.
On a vu au début déjà le trône de Dieu.
Il caractérise tout le système.
Et dans les pains, on voit comment Christ est vu en nous,
comment Christ nous caractérise maintenant pour le plaisir de Dieu.
Donc, cette uniformité, c'est une uniformité dans le sens que nous avons tous Christ comme notre vie.
De nouveau, l'épître aux Colossiens, chapitre 3, verset 3, nous dit Christ est notre vie.
Et l'apôtre Paul a dit de lui-même, l'épître aux Galates, chapitre 2, verset 20,
Christ vit en moi.
Ça, c'était son expérience.
Donc, les douze pains, c'est Christ notre vie.
Et douze, c'est quand même un pain, parce qu'on voit en même temps l'unité.
Verset 7, au milieu du verset, nous dit, ce sera un pain de mémorial.
Donc, même cette pluralité ou ce nombre, douze, c'était quand même un pain devant Dieu, cette unité.
Mais douze parle de l'administration.
Douze, on le verra plus tard en relation avec l'Église, dans le Millennium et même dans l'État éternel,
Apocalypse 21 et 22, on voit souvent douze.
Et puis, douze a un rapport avec l'administration.
Donc, Dieu veut voir Christ en nous maintenant.
C'est maintenant l'administration ou la dispensation de la grâce de Dieu.
Une administration, c'est une dispensation.
Maintenant, dans nos jours, nous vivons dans la dispensation ou dans l'administration de la grâce de Dieu.
Dans ces douze pains, mais qui forment quand même, comme on a vu, un pain ensemble, comme un mémorial.
On va voir ça.
Verset 6, tu les placeras en deux rangées.
Là, on voit l'aspect de mutualité.
Souvent, dans la même épître aux Colossiens, on voit notre attitude les uns envers les autres.
C'est souvent le cas.
On prie les uns pour les autres.
On va ensemble pour traverser le chemin à travers le désert.
C'est ensemble.
La communion, ça souligne cette pensée de la mutualité.
Donc, les deux rangées parlent de cette mutualité.
Mais en même temps, les rangées parlent de l'ordre.
Cette communion est dans un ordre selon Dieu.
Un ordre spirituel.
Et de nouveau, dans l'épître aux Colossiens, on voit comment l'apôtre Paul était content de l'ordre qu'il voyait au milieu d'eux.
Un ordre selon les pensées de Dieu.
Pas un ordre humain.
L'homme a introduit un ordre selon ses pensées dans l'Église.
Et tout était en désordre.
Mais si nous suivons l'ordre de Dieu, tout est en ordre.
Un ordre spirituel.
Et Dieu peut avoir une réponse.
On a vu, dans l'exode 25, les moyens que Dieu a donnés pour maintenir cet ordre, pour protéger cet ordre.
Plus tard, on voit aussi comment Moïse a rangé les douze pins.
Donc, rangé en ordre.
Et ici, verset 6, nous parle de ces deux rangés.
Si, pas rangé.
Et puis, sur la table pure.
Donc, la communion avec Dieu, ce n'est pas seulement un accord avec sa gloire et ses droits, mais aussi c'est une communion pure.
On le voit souvent, l'incense pur, verset 7.
Et on le verra demain soir, Dieu voulant, en relation avec le chandelier pur aussi, et l'huile pure.
Donc, quatre fois dans l'Egyptique 24, on voit la pensée de la pureté.
Pourquoi?
Nous vivons dans un temps où tout est, pas seulement en ruine, mais souillé.
Souillé par les manquements de l'homme.
Et on voit que l'association avec le mal nous souille.
Et c'est un principe qui est très important dans les yeux de Dieu.
Et il pense ici, la pensée est soulignée, la table pure nous parle que chaque pensée de souillure est éloignée.
Il ne peut pas avoir une souillure, quoi que ce soit du mal, en rapport avec cette table.
Donc, cette communion avec Dieu, c'est une sainte communion, pure.
Et de nouveau, devant l'éternel, verset 7, si vous me suivez dans le texte, devant l'éternel, c'est dans la présence de Dieu.
Mais aussi, ça nous donne une très grande responsabilité de maintenir cette communion dans la présence de Dieu.
Dans ce temps-là, c'était devant l'éternel.
Mais nous savons, dans la révélation que nous avons, nous sommes maintenant devant Dieu et devant le Père.
Donc, dans la présence du Père.
Mais c'est le même Dieu qui parle ici.
Et tu mettras de l'encens pur sur chaque rangée.
Donc, comme on a vu ces pains, sur ces pains-là était répandu l'encens.
Et cela était très agréable devant Dieu.
Parce qu'on a vu les douze pains pâles de Christ vus en nous.
Mais il y a un élément qui est ajouté.
Et c'est, de nouveau, l'intercession de Christ.
Parce que l'encens nous parle de l'intercession de Christ.
Mais aussi de la grâce de Christ qui est vue maintenant en nous.
Toutes les caractéristiques que Dieu a vues en Christ, Dieu veut les voir maintenant en vous et moi.
Donc, cet encens pur est très précieux devant Dieu.
Et cela augmente la valeur de ces pains.
Dieu ajoute, pour ainsi dire, à la valeur de ces pains.
Il ajoute cet encens.
Et à cause de cet encens, la valeur de ces pains est encore plus grande pour Dieu.
L'encens, on peut lire dans quelques passages.
Dans Exode 30, par exemple, et aussi dans Cantiques des Cantiques.
Mais aussi, si nous lisons dans Apocalypse 8,
on va voir comment Christ maintenant ajoute.
Ce sera dans le futur, en rapport avec le reste fidèle.
Comment Dieu, le Seigneur, va ajouter l'encens.
Cela veut dire augmenter la valeur de leur prière.
Maintenant, l'encens est ajouté à ces pains pour augmenter la valeur que nous avons dans les yeux de Dieu.
Il parle de l'intercession de Christ.
Sans son intercession, on est bien loin.
Sur chaque rangée.
Et puis, cela souligne cette pensée.
Comment il est précieux devant Dieu.
Ce sera un pain de mémorial.
Dieu veut toujours voir Christ.
Il se rappelle comment Christ a vécu sur cette terre.
Maintenant, Dieu voit Christ en nous.
C'est donc un mémorial pour lui.
Dieu veut seulement voir Christ.
Et un frère a dit une fois, si vous dites, vous êtes en Christ, notre position est en Christ.
Ce frère a dit, dans ce cas-là, je veux voir seulement Christ en vous.
Je veux seulement voir Christ en vous.
C'est la même chose qu'on trouve ici.
Dieu veut voir Christ en nous, comme un mémorial.
Il se rappelle toujours de Christ.
Maintenant, nous sommes ce mémorial devant Dieu.
Quelle valeur nous avons maintenant pour Dieu.
Et cela dans un monde, je voulais mentionner ça, dans un monde qui vit dans le mal.
Dans un monde où il y a presque l'apostasie.
Comme dans ce chapitre-là, il y avait une femme israélite qui a marié un homme égyptien.
Et puis, son fils a maudit le nom de Dieu.
Dans ces jours, nous vivons aussi.
Même dans la chrétienté, où on blasphème Dieu.
Et plus tard, dans l'apocalypse, on voit comment le monde occidental est caractérisé par la blasphémie.
Donc, c'est vraiment une nuit sombre.
Mais dans ce temps, nous vivons et nous sommes précieux devant Dieu à cause de ce fait qu'il voit Christ en nous.
Maintenant, une autre pensée.
Ces pains, ou ce pain, on a vu cette unité, un pain de mémorial, est un sacrifice par feu à l'éternel.
Donc, c'est en même temps un sacrifice à l'éternel.
Et voilà cette réponse, comme nous avons vu.
La table donne une réponse à Dieu.
Dieu s'est révélé en Christ.
Maintenant, la table et les douze pains sont comme une réponse pour Dieu.
Un sacrifice à l'éternel.
C'est précieux pour Dieu.
Verset 8.
Chaque jour du sabbat, on les arrangera devant l'éternel.
Le sabbat parle du repos.
Mais là encore, c'est en rapport avec l'ancienne alliance.
Nous sommes entrés dans ce repos déjà.
On voit comment l'homme a manqué à maintenir les droits de Dieu.
Même quand le Seigneur Jésus était ici-bas, il était le fils de l'homme et aussi le seigneur du sabbat.
Mais les pharisiens ont méprisé son autorité, ont méprisé ses droits.
Ils n'ont pas vu la valeur du sabbat.
Le sabbat, c'était le jour où Dieu s'est reposé.
Mais en même temps, c'était le jour où l'homme a fait que Dieu doit travailler.
Comme le Seigneur Jésus l'a dit dans Jean 5, verset 17.
Cet homme, incapable, il a guéri.
C'était un jour du sabbat.
Et même ce jour-là, le Seigneur Jésus a dit, mon père travaille et moi je travaille.
Jusqu'à maintenant.
Mais ici, le sabbat parle de ce repos de Dieu.
Dieu veut... les voies de Dieu résultent dans un repos.
Et puis, c'était ce jour-là où ses pains étaient changés.
Verset 8.
On les arrangera devant l'Éternel.
De nouveau, cette expression, devant l'Éternel.
Et puis, continuellement.
Donc, je souligne de nouveau cette expression.
Christ vu en nous.
C'est remarquable, dans 1 Corinthiens 10, l'apôtre Paul parle du pain, parle de Christ.
Et puis, il parle du pain et il parle de tous les chrétiens comme Christ.
Donc, s'il parle de Christ maintenant, c'est Christ vu en nous.
Comme ce pain qui a beaucoup de valeur pour le cœur de Dieu.
Cette pensée est soulignée par cette expression, verset 8, de la part des fils d'Israël.
Donc, voilà cette réponse de la part des fils d'Israël.
Et dans nos jours maintenant, de notre part, de la part de tout le peuple de Dieu.
Dieu veut avoir cette réponse, ce sacrifice, continuellement, de la part de tous les fils, de tous ses fils.
Donc, de tout le peuple de Dieu.
Et il ne faut jamais sous-estimer la valeur que tout le peuple de Dieu a pour Dieu.
Et c'est à cause de ça que nous, par la grâce de Dieu, nous sommes réunis sur cette base de l'unité du corps.
Et puis, c'est une alliance perpétuelle.
Donc, une alliance parle d'une relation entre Dieu et le peuple.
Mais une alliance, en général, parle de ce que Dieu fait.
Parce que nous avons toujours manqué, l'homme a toujours manqué.
Et puis, dans l'alliance, on voit la fidélité de Dieu.
Une alliance parle de la fidélité de Dieu.
Comment il maintient les choses devant lui-même et comment il se lie avec nous.
Dans la nouvelle alliance, on voit comment Dieu s'est révélé en Christ.
Donc, une alliance est une pensée très précieuse dans les Écritures.
Donc ici, ces peintres sont comme une alliance, un lien entre Dieu et le peuple.
Et dans ce lien, Dieu est vu. Dans ce lien, Christ lui-même est vu.
Et puis, verset 9 souligne de nouveau cette pensée de la réponse.
Mais, je m'excuse, je me trompe.
Verset 9 introduit une autre pensée.
Verset 9 nous montre que ces choses-là ont une grande valeur pour les sacrificateurs.
Ça veut dire, tout le peuple est mentionné dans verset 8.
Tout le peuple a une part dans ce sacrifice.
Tout le peuple est vu dans ces douze peintres.
Mais tout le peuple n'est pas que sacrificateur.
Au début, c'était la pensée de Dieu.
Exode 19, Dieu a appelé le peuple comme une sainte sacrificature.
Donc, tout le peuple était des sacrificateurs dans les yeux de Dieu.
Mais, dans la pratique, on voit que seulement une tribu et seulement une maison d'une tribu étaient des sacrificateurs.
Et aujourd'hui, c'est malheureusement la même chose.
Tous les chrétiens sont des sacrificateurs, mais qui réalisent ces choses?
Et on voit ici dans Aaron, Christ et ses fils, donc ceux qui pratiquent ces choses-là, les sacrificateurs qui jouissent de ces peintres.
Il y a beaucoup de chrétiens qui appartiennent à ce corps de Christ, mais ils ne jouissent pas de ça.
Ils ne connaissent pas les pensées de Dieu.
Ils ne connaissent pas cette valeur de cette réponse.
Donc, ils ne peuvent pas jouir de ces douze peintres.
Mais les sacrificateurs qui réalisent, selon la mesure de la lumière qu'ils ont reçue, la valeur de ces peintres, ils peuvent manger de ces peintres.
Et c'est notre privilège.
Si nous comprenons un peu la valeur de ces choses-là devant Dieu, on peut manger dans un lieu sain de ces peintres.
On se réjouit avec Dieu dans l'unité des enfants de Dieu.
On se réjouit dans toutes ces vérités-là, et on le fait dans un lieu sain.
Pas selon nos pensées, mais dans la présence de Dieu, comme on a vu, dans un lieu sain, selon ses pensées.
Et puis, ils mangeront dans un lieu sain.
Ça veut dire, si on mange, on est fortifié.
La pensée de l'unité des enfants de Dieu, c'est une grande pensée.
La pensée que Christ a vue dans tous les chrétiens.
Ça, c'est très précieux.
Et puis, nous mangeons de cela.
Et selon la mesure que nous mangeons, nous sommes formés, nous sommes fortifiés.
Donc, les sacrificateurs avaient beaucoup de choses à manger.
Si on va étudier ça, ce serait bien ébifiant.
Ils avaient la main, mais tout le peuple avait la main.
Tout le peuple avait la main.
Ils avaient beaucoup de sacrifices, ou ils avaient une portion.
Et ici, c'est un sacrifice très spécial, où les sacrificateurs avaient une portion.
Et la question pour nous, qui se pose pour vous et pour moi,
est-ce que j'ai vraiment part dans ce sacrifice, dans cette nourriture?
C'était une chose très sainte, d'entre les sacrifices de l'éternel fait par feu.
C'est un statut perpétuel.
Donc, Dieu veut avoir cette réponse.
Dieu veut que nous en jouissions avec lui.
Que nous partageons avec lui toutes ces choses précieuses,
afin que son nom soit loué et honoré.
Que nous puissions aussi donner ce sacrifice de libation, comme nous l'avons vu dans Exode 25.
Mais, je répète, c'était tout dans un jour de déclin, de ruine.
Et on va voir cela demain, Dieu voulant.
C'est dans la nuit, pendant la nuit, que ces choses se réalisent.
Une pensée encore, en relation avec l'administration.
J'ai dit, nous vivons dans l'administration, la dispensation de la grâce de Dieu.
Mais, cette administration sera vue, d'une façon parfaite,
publiquement, dans le Millennium, et aussi dans l'état éternel.
Maintenant, cette administration est cachée pour les jeux du monde.
Mais, dans ce jour-là, l'administration sera vue dans tout le monde,
et tout le monde en aura le profit, publiquement.
Donc, le Seigneur bénisse ces pensées.
C'est vraiment une portion très riche.
Et, s'il y a des questions, j'aimerais bien les avoir après la réunion. …
Transcription automatique:
…
Le Chandelier d'Or
Donc, Exode 25, verset 31
Et tu feras un chandelier d'or pur.
Le chandelier sera fait d'or battu.
Son pied et sa tige et ses calices, ses pommes et ses fleurs seront tirées de lui.
Et six branches sortiront de ses côtés.
Trois branches du chandelier d'un côté et trois branches du chandelier de l'autre côté.
Il y aura, sur une branche, trois calices en forme de fleurs d'amandiers, une pomme et une fleur.
Et sur une autre branche, trois calices en forme de fleurs d'amandiers, une pomme et une fleur.
Ainsi pour les six branches sortant du chandelier.
Il y aura au chandelier quatre calices en forme de fleurs d'amandiers, ses pommes et ses fleurs.
Et une pomme sous deux branches sortant de lui.
Et une pomme sous deux branches sortant de lui.
Et une pomme sous deux branches sortant de lui.
Pour les six branches sortant du chandelier.
Leurs pommes et leurs branches seront tirées de lui,
le tout battu d'une pièce d'or pur.
Et tu feras ces sept lampes et on allumera ces lampes afin qu'elles éclairent vis-à-vis de lui.
Et ses mouchettes et ses vases à cendres seront d'or pur.
On le fera avec tous ses ustensiles d'un talent d'or pur.
Regarde et fais selon le modèle qui t'en est montré sur la montagne.
Maintenant, chapitre 26.
Verset 35.
Dans le chapitre 26, on voit comment Moïse a reçu des instructions pour faire le tabernacle.
Donc, les quatre couvertures, la tente, la couverture et puis les aisées, les colonnes, etc. ensemble
pour former l'habitation dans laquelle tous ses ustensiles étaient placés.
On voit maintenant comment le chandelier était placé.
Exode 26, verset 35.
Et tu placeras la table en dehors du voile.
Ça veut dire en dehors du voile qui séparait le lieu saint avec le lieu très saint.
Et puis, dehors du voile, ça veut dire pas ici où était le trône de Dieu, l'arche, mais dans l'autre partie.
Et le chandelier vis-à-vis de la table, vis-à-vis de la table.
Sur le côté du tabernacle qui est vers le sud.
Et tu mettras la table sur le côté nord.
Puis on continue, chapitre 27, verset 20.
De nouveau une instruction là.
C'est remarquable parce que chapitre 27 nous parle du parvis.
Mais à la fin de ce chapitre là, le Seigneur donne des instructions en rapport avec le chandelier.
Verset 20.
Et toi, tu commanderas aux fils d'Israël et ils t'apporteront de l'huile d'olive pure, broyée pour le luminaire.
Pour faire luire les limbes continuellement.
Ou littéralement ça dit, pour faire luire la limbe continuellement.
Aaron et ses fils les arrangeront devant l'Éternel.
Depuis le soir jusqu'au matin dans la tente d'assignation en dehors du voile qui est devant le témoignage.
Ce sera de la part des fils d'Israël un statut perpétuel en leur génération.
Maintenant chapitre 30.
On va continuer tranquillement à travers le livre d'Exode.
Exode 30.
Verset 7.
Là on trouve des instructions concernant l'autel pour faire fumer l'incense.
Mais c'est remarquable.
On trouve dans le verset 7 une instruction qui se rapporte au chandelier.
Verset 7.
Et Aaron y fera fumer l'incense des drogues odoriférantes.
Chaque matin il le fera fumer quand il arrangera les limbes.
Verset 8.
Et quand Aaron allumera les limbes, entre les deux soirs, il le fera fumer une incense continuelle devant l'Éternel dans vos générations.
Puis chapitre 35.
Là on trouve comment les instructions que Dieu avait données du chapitre 25 jusqu'à 31 étaient réalisées.
Ces instructions étaient réalisées.
Verset 10.
Chapitre 35 verset 10.
Que tous les hommes intelligents parmi vous viennent et fassent tout ce que l'Éternel a commandé.
Verset 14.
Et le chandelier du luminaire, et ses ustensiles, et ses limbes, et l'huile du luminaire.
Donc l'huile était préparée par ces hommes intelligents.
Puis verset 28.
Et les aromates et l'huile pour le luminaire.
Maintenant chapitre 37.
Chapitre 37 verset 17.
Et il fit le chandelier d'or pur, il fit le chandelier d'or battu, son pied et sa tige, ses calices et ses pommes, ses fleurs étaient tirées de lui.
Donc ici on voit comment les instructions étaient réalisées.
Et à la fin de ce passage on lit d'une pièce d'or pur, verset 22.
Et verset 24 nous montre aussi qu'il fit avec tous ses ustensiles d'un talent d'or pur.
Donc une unité même entre le chandelier et les vases qui étaient nécessaires pour le service.
Puis on tourne vers chapitre 40.
Là on voit comment Moïse a mis ensemble toutes les parties du tabernacle.
Et on lit dans chapitre 40, verset 24.
Il plaça le chandelier dans la tente d'assignation, vis-à-vis de la table, sur le côté du tabernacle, vers le midi.
Et il alluma les lampes devant l'éternel, comme l'éternel l'avait commandé à Moïse.
Maintenant chapitre, Levitique 24.
Comme on a vu hier soir, quelques versets dans Levitique 24 qui nous aident mieux comprendre Levitique 24.
Chapitre 24, verset 1.
Et l'éternel parla à Moïse, disant, Commande au fils d'Israël qu'il t'apporte de l'huile d'olive pure, broyée pour le luminaire, afin de faire brûler la lampe continuellement.
A Aaron, l'arrangera devant l'éternel, continuellement, du soir au matin, en dehors du voile du témoignage, dans la tente d'assignation.
C'est un statut perpétuel en vos générations.
Il arrangera les lampes sur le chandelier pur devant l'éternel, continuellement.
Maintenant, ça c'est donc le service du grand sacrificateur dans le tabernacle.
Maintenant, le transport.
Nombre 4.
Là on voit des instructions en relation avec le transport à travers le désert.
Nombre 4, verset 9.
Et ils prendront un drap de bleu, et en couvriront le chandelier du luminaire, et ses lampes, et ses mouchettes, et ses vases à cendres, et tous ses vases à huile.
Donc ici est ajoutée une pensée qu'on n'a pas encore lue encore.
Les vases à huile qui appartenaient au chandelier.
Ces vases à huile dont on fait usage pour son service.
Verset 10.
Et ils le mettront, avec tous ses ustensiles, dans une couverture de peau de tesson, et le mettront sur une perche.
Donc c'est en rapport avec le transport à travers le désert, ou le voyage à travers le désert.
Maintenant, chapitre 8, je pense.
Nombre 8.
Verset 2.
Disons aussi le premier verset.
Et l'éternel parla à Moïse, disant, parle à Aaron, et dis-lui, quand tu allumeras les lampes, les sept lampes éclaireront sur le devant, vis-à-vis du chandelier.
Sur le devant, vis-à-vis du chandelier.
En autres mots, ils mettent de la lumière sur le chandelier.
Verset 3.
Et Aaron fit ainsi, il alluma les lampes pour éclairer sur le devant, vis-à-vis du chandelier, comme l'éternel avait commandé à Moïse.
Le chandelier était fait ainsi, il était d'or battu.
Depuis son pied jusqu'à ses fleurs, il était d'or battu.
Selon la forme que l'éternel avait montrée à Moïse, ainsi il avait fait le chandelier.
Donc, deux fois, en rapport avec les instructions sur le chandelier, on lit qu'il devrait faire et qu'il le fait selon la forme que l'éternel avait montrée.
Donc, ça donne déjà une indication que le chandelier était d'une importance, avait une très grande importance dans les jeux de Dieu.
Donc, je m'excuse pour tous ces passages, c'est un peu beaucoup.
Mais, avec l'aide du Seigneur, on va voir un peu d'instructions, d'édifications, j'espère aussi, pour nos coeurs.
Est-ce qu'on trouve une fenêtre dans le tabernacle?
Non, il n'y avait pas de fenêtre, il n'y avait pas de lumière qui existe dans ce monde là, pour pénétrer là, dedans.
Il y avait une lumière selon Dieu.
Donc, ça indique déjà l'importance du chandelier.
Maintenant, si nous voyons que le tabernacle comme tel parle aussi de l'assemblée, on a vu une fois que Dieu habite dans la création, comme le Créateur.
Que Dieu a habité aussi dans le Seigneur Jésus, le Seigneur Jésus.
Et Colossiens 1, on a vu que la plénitude de Dieu, c'est plus à habiter en lui.
Mais maintenant, on le sait aussi, Dieu habite dans le rassemblement.
C'est-à-dire qu'il n'y a plus que la plénitude de Dieu.
C'est-à-dire qu'il n'y a plus que la plénitude de Dieu.
C'est-à-dire qu'il n'y a plus que la plénitude de Dieu.
Mais maintenant, on le sait aussi, Dieu habite dans le rassemblement local, dans l'assemblée universelle et aussi dans les croyants.
Notre corps est un temple pour Dieu, l'Esprit Saint.
Donc, si Dieu habite dans le rassemblement, dans l'assemblée, il donne aussi la lumière dans cette habitation.
On n'a pas besoin de la lumière de l'homme, que l'homme a faite, de lumière artificielle ou quoi que ce soit.
On a seulement besoin de la lumière divine pour discerner la pensée de Dieu.
C'est peut-être bon seulement de suivre le texte et puis on va voir quelques détails, Dieu voulant.
Quelquefois, il faut que je réfère au texte hébreu parce qu'il y a quelques pensées très intéressantes en rapport avec ce texte.
D'abord, j'aimerais donner une pensée générale sur ce chapitre-là. Je n'ai pas encore mentionné, je pense.
On voit donc trois grands sujets dans ce chapitre.
Un rapport avec le tabernacle. Dans le chapitre 26, on voit la place, une description de l'habitation comme telle.
Mais dans le chapitre 25, on voit ces trois ustensiles.
Et plus tard, on a vu avec les diapositives, seulement dans le chapitre 30, l'hôtel pour faire fumer l'encens est mentionné.
Parce que cet hôtel-là est en rapport avec notre approche, notre accès à Dieu.
Donc ici, dans le chapitre 25, seulement trois instruments, trois ustensiles étaient mentionnés.
On a vu l'arche et le propitiatoire, les deux ensemble, comme présentant la Person du Seigneur et le tronc de Dieu.
Je pense que c'était une révélation de Dieu lui-même, une révélation comme Dieu est.
Maintenant, dans la lumière du Nouveau Testament, on connaît Dieu comme amour.
Dieu s'est révélé en Christ, comme le Dieu d'amour.
Donc on peut penser, en rapport avec versets 10 jusqu'à 22, à Dieu qui est amour, qui s'est révélé.
Hier, on a vu la vie, que Christ est notre vie, que Christ vit en nous et que Christ est notre vie.
Donc ça, c'est une seconde pensée.
D'abord, Dieu comme amour, puis Christ comme notre vie.
Maintenant, cette soirée, on a vu des passages concernant la lumière.
Donc ici déjà, en principe, on a les trois grands sujets dans le ministère de l'apôtre Jean.
Dieu d'amour, le Dieu d'amour, et puis la vie, puis la lumière.
Les trois vont toujours ensemble.
On ne peut pas avoir la lumière sans l'amour.
On ne peut pas avoir la vie sans la lumière.
Et on ne peut pas avoir l'amour sans la vie et la lumière.
Donc, ces trois appartiennent ensemble.
Et c'est beau de voir que l'Esprit Saint a veillé sur cela.
Il les a mis ensemble dans un seul chapitre.
Si on commence maintenant par le verset 31,
« Et tu feras un chandelier d'or pur. »
Nous vivons dans la nuit maintenant.
On a vu quelques fois dans les passages qu'on a lus que c'était,
que les lampes étaient préparées juste avant la nuit, puis ont brillé pendant la nuit.
Je pense aussi qu'ils ont brillé durant le jour,
mais le fait que c'est mentionné pour la nuit, préparé pour la nuit,
la nuit pour briller dans la nuit, ça nous donne déjà une pensée très importante,
parce que nous vivons dans la nuit.
Il y a un passage qui m'a frappé beaucoup dans Jean 13,
où on voit d'un côté cette communion douce avec le Seigneur Jésus.
Le Seigneur Jésus avait lavé les pieds des disciples.
Et puis, on voit comment Judas est sorti dans le même chapitre, verset 30,
et ayant donc reçu le morceau, il sortit aussitôt.
Or, il était nuit.
Et on voit que la nuit a vraiment commencé.
Avec cet acte-là, on voit comment le monde était dans la nuit.
Judas était dans la nuit, mais aussi la nuit était sur toute la terre.
On le voit en rapport avec la mort du Seigneur Jésus, qu'il était nuit.
Et puis, on voit que nous vivons maintenant dans la nuit.
En même temps, Satan est le prince de ce monde,
mais aussi le dieu de ce siècle qui aveugle l'essence de l'homme.
Donc, c'est vraiment la nuit.
Puis, dans un autre passage, on lit que c'était l'heure de l'homme.
Et que c'était les ténèbres.
Le Seigneur Jésus parle aussi beaucoup des ténèbres.
Donc, lui était la vraie lumière.
On le dit déjà dans Jean, premier chapitre,
comment le Seigneur Jésus est venu comme la vraie lumière.
Puis, dans Jean 8 et jusqu'à Jean 12, on le voit comme la lumière.
Et maintenant, il y a encore une autre pensée.
D'un côté, on voit le Seigneur Jésus comme la lumière.
Et dans la lumière était la vie.
Jean 1, dans l'introduction, on peut dire ça.
Mais il y a une autre pensée encore.
Le Seigneur Jésus était la lumière du monde.
Jean 8.
Mais qu'est-ce qu'il dit dans Jean 12?
Il parle des fils de lumière.
Verset 36.
Pendant que vous avez la lumière, croyez en la lumière,
afin que vous soyez fils de lumière.
Donc maintenant, les disciples avaient vu le Seigneur Jésus
comme étant la vraie lumière.
Ils ont cru en la lumière.
Maintenant, ils étaient des fils de lumière.
Nous avons le même privilège.
Nous avons vu le Seigneur Jésus.
Si on a lu cet évangile, on l'a vu spirituellement.
On a cru en lui et on continue à croire en lui.
Maintenant, nous sommes aussi des fils de lumière.
Cela nous aide déjà à comprendre l'importance du chandelier,
mais aussi sa signification maintenant pour Dieu.
Parce que c'est d'une immense valeur pour Dieu
d'avoir dans ce monde quelqu'un qui est la vraie lumière.
C'était quelque chose d'une importance extrême pour Dieu.
Maintenant, nous continuons ce témoignage.
Nous sommes maintenant des fils de lumière.
Donc, comme nous avons vu hier soir,
Christ est vu en nous comme notre vie.
Dans le chandelier, Christ est vu en nous comme la lumière.
Et en même temps, nous répandons cette lumière-là.
Nous répandons, nous brillons comme des lumières en rapport avec lui.
Donc, je pense que la pensée qui est placée devant nous maintenant,
aussi en rapport avec l'Exode 35,
est la suivante, que Dieu veut avoir une continuation de cette lumière en nous.
Comme on a vu hier soir, une continuation de la vie du Seigneur Jésus en nous,
en rapport avec les douze pains.
Maintenant, une continuation de la lumière en nous,
en rapport avec ces sept lampes.
Un témoignage complet.
Revenons maintenant à l'Exode 25.
Un mot encore.
Dans le temple de Salomon, on voit dix chandeliers.
Et dans le temple futur d'Ézéchiel, on ne lit pas les chandeliers.
Parce que dans ce temps-là, le soleil sera venu comme Malachie le dit,
et Malachie 4 le dit que le Seigneur Jésus viendra comme le soleil.
Malachie 4 le dit, verset 2.
Et pour vous qui craignez mon nom, se lèvera le soleil de justice,
et la guérison sera dans ses airs.
Pour nous, spirituellement, nous connaissons déjà ce soleil.
Pour nous, nous avons la lumière du jour, déjà.
Mais là, se lèvera le soleil de justice,
afin que tout le monde voit cette lumière-là,
et puisse se jouir dans cette lumière-là.
Nous vivons dans un jour où il y a un témoignage pour cette lumière.
Un témoignage pour...
Comme Dieu donne toujours d'abord un témoignage.
Dans cette nuit-là où nous vivons, il y a un témoignage de cette lumière,
de cette vraie lumière, qui brillera publiquement,
selon Malachie 4 et d'autres passages.
Donc, on peut comprendre comment dans le temple d'Ézéchiel,
il n'y a pas de chandelier.
Parce que dans ce jour-là, le chandelier, le Seigneur Jésus lui-même,
va briller publiquement.
La même pensée on trouve aussi dans l'Apocalypse 21-22.
Là, on voit que le Seigneur Jésus sera la vraie lumière.
Lui est là, dans cette ville-là.
Donc, nous devons l'assembler, et lui sera notre lumière.
On n'a pas besoin d'un chandelier.
Lui est notre langue.
Mais ici, on est encore dans ce désert, dans la nuit de ce monde,
et puis on a besoin d'un chandelier.
Et puis le chandelier est d'or pur.
Ça nous parle, comme on a vu déjà une fois,
de la gloire de Dieu, comme vue dans le Seigneur Jésus.
Le Seigneur Jésus était Dieu lui-même.
On a vu ces deux aspects, son humanité et sa divinité.
C'était la même personne.
Mais, on peut aussi penser maintenant à l'Esprit Saint.
L'Esprit Saint est une personne divine.
Et je pense que le chandelier parle de ce ministère du Saint-Esprit.
Donc, en rapport avec le chandelier, on ne voit pas le bois,
parce que le Saint-Esprit n'est pas venu en chair, comme le Seigneur Jésus.
Le chandelier, qui présente le ministère du Saint-Esprit,
un esprit envoyé par le Seigneur Jésus, comme l'homme glorifié,
là, on voit seulement l'or.
Mais aussi, dans le Seigneur Jésus lui-même,
on voit comment l'Esprit Saint a habité en lui,
et comment il était dirigé par l'Esprit Saint.
Donc, là, on voit aussi cet aspect d'or pur dans la vie du Seigneur Jésus,
qu'il était dirigé par l'Esprit Saint,
100% dirigé par le Saint-Esprit,
rempli du Saint-Esprit.
Donc, là, dans la vie du Seigneur Jésus,
on voit comment il était identifié avec l'Esprit Saint.
Maintenant, Dieu veut aussi que nous soyons identifiés avec l'Esprit de Dieu maintenant,
que cet or pur soit vu dans notre vie.
Le chandelier sera fait d'or battu, maintenant, une seconde pensée.
Ce n'est pas seulement cet or pur, d'une pureté intrinsèque,
mais aussi battu.
Et on voit plus tard comment ce chandelier était formé d'un seul bout d'or,
un talon d'or pur,
et un talon pesait environ 60 kg.
Et puis, de ce bout d'or, tout ce chandelier était formé.
Donc, battu.
Je pense que ça parle de la discipline, des exercices qu'on a.
Afin que le ministère du Saint-Esprit soit vu en nous,
il y a beaucoup d'exercices, beaucoup de souffrances, même.
Dans le Seigneur Jésus, on ne voit pas cet aspect de la discipline,
parce qu'il était parfait, il n'avait pas besoin de discipline.
Mais on voit les souffrances.
Donc, même si on applique ceci au Seigneur Jésus comme le vrai chandelier,
là, on voit beaucoup de souffrances.
Et à travers ces souffrances, Dieu a brillé.
La lumière divine a brillé à travers ces souffrances.
Et puis, tout ce chandelier est formé à travers ces exercices, ces souffrances.
Le résultat est vraiment pour la gloire de Dieu.
Si nous appliquons cela à nous, on peut penser à l'habileté,
parce que c'était un processus très long pour former ce chandelier.
Si nous pensons à la patience que Dieu a avec nous autres pour former cette lumière en nous,
pour former Christ comme notre lumière,
il a beaucoup de patience pour nous former.
Et puis, on peut penser au contraste avec le veau d'or.
Le veau d'or était vite fait, facilement fait.
On avait une moule et puis on a mis l'or dedans et puis chauffé ça,
et puis le veau d'or était là.
Tandis que le chandelier, ça c'est un travail très long.
Ça prend beaucoup de sagesse.
On voit ici, c'était un plan de Dieu, un plan de maître, vraiment.
Et cela a pris beaucoup de travail pour former ce chandelier.
Et c'est la même chose, afin que Christ soit formé comme la vraie lumière en nous,
ça prend beaucoup de formation, beaucoup de travail.
Donc, on peut penser à l'habileté, à la sagesse du maître qui forme ce chandelier.
Mais en même temps, on peut penser à la patience qu'il a, la patience pour former tout ça.
Maintenant, je pense qu'il y a sept expressions en relation avec le chandelier.
La première expression était le chandelier.
Le chandelier veut dire, simplement, un instrument qui porte la lumière ou qui porte des lumières.
C'est, dans l'hébreu, c'est en relation avec lumière.
Donc, un instrument qui porte la lumière ou un instrument qui est lumière.
Ça, c'est la première expression.
Souvent, on voit dans les écritures, je donne un autre exemple, que l'instrument est identifié avec ce qu'il fait ou ce qu'il forme.
Comme l'autel, par exemple.
L'autel, c'est un mot, dans l'original, qui est lié au sacrifice.
Donc, la place où sont les sacrifices, où sont sacrifiés les offrandes.
Donc, le mot indique déjà une place où il y a des sacrifices.
Dans le même sens, ce mot pour le chandelier indique que c'est la place de la lumière, pour ainsi dire.
La place où est la lumière.
Donc, ça, c'est la première expression.
Puis, la seconde expression se traduit dans le verset 31, sans pied.
C'est remarquable de voir que tout se lie au chandelier.
C'est toujours sans pied.
S'attire, s'écalise, etc.
C'est tout lié au chandelier.
On a vu cette importance de ces pensées.
C'est tout une unité.
C'était formé d'un talent d'or pur.
Donc, tout appartient ensemble.
Même les vases qui étaient avec le chandelier.
Tout était ensemble.
Donc, sans pied est la deuxième expression.
Et littéralement, on pourrait traduire ça comme serein.
C'est remarquable, ça.
Parce que serein, ça parle qu'il produit quelque chose.
Il y a un produit.
Il y a de la semence, pour ainsi dire.
En rapport avec les hommes, on voit qu'ils ont produit de la semence pour avoir de la postérité.
Maintenant, en rapport avec le chandelier, on voit que le Seigneur Jésus,
qui a vu en cela, est l'origine de tout ce système, de tout ce chandelier.
Il est l'origine.
Tout vient de Lui.
Et on peut l'appliquer aussi au Saint-Esprit.
Tout vient de Lui.
Donc, la traduction sans pied, mais on peut penser à ce mot.
Les reins, ça veut dire l'origine.
Maintenant, sa tige, je pense que c'est le même mot que les branches.
Donc, il y a une branche, sa tige.
Et dans cette image-là, on peut le voir un peu.
Comme ça, c'est la tige.
Mais dans l'original, c'est simplement sa branche.
Et souvent, dans l'Ancien Testament, on voit que le Seigneur Jésus est mentionné comme la branche.
Maintenant, la branche produit d'autres branches.
Il est la vraie branche, et la vraie branche avait six autres branches.
On va voir ça.
La quatrième expression, c'est ses calices.
On voit les provisions qu'il y avait.
On peut peut-être aussi traduire ce mot par des branches.
On a par coupe, comme un instrument qui contient quelque chose, une coupe.
Donc, pour contenir les provisions.
Et puis, il y avait ses pommes et ses fleurs tirées de lui.
Tout vient de lui.
J'aimerais bien mentionner deux passages qui nous parlent de cela,
comment nous sommes identifiés par l'Esprit Saint avec le Seigneur Jésus dans sa résurrection.
Parce que sans sa résurrection, on n'a rien.
On n'a rien, absolument rien.
Ici, ce chandelier nous donne une impression qu'il y a des comparaisons avec un arbre.
Un arbre comme un arbre qui a des branches, des fruits, etc.
Et on voit de la même façon que l'apôtre Paul nous présente comme étant identifié comme une plante avec Christ dans sa résurrection.
Romains 6, on le voit.
Romains 6, verset 5.
Il parle du fait que nous sommes identifiés avec lui.
Verset 5.
Car si nous avons été identifiés avec lui dans la ressemblance à sa mort, nous le serons donc aussi dans la ressemblance à sa résurrection.
Là, on voit cette identification.
Et puis, chapitre 7.
Là, on voit le fruit de cette identification.
Verset 4, Romains 7, verset 4.
C'est lui qui est ressuscité d'entre les morts afin que nous portions du fruit pour Dieu.
Là, cette pensée du fruit pour Dieu.
Et dans Hébreu 2, verset 11, on a cette expression que tous sommes d'un.
Nous sommes d'un seul et puis nous avons tous la même origine.
Donc, on voit le Seigneur Jésus comme la vraie branche qui produit d'autres branches.
Dans la résurrection, je mentionne simplement Hébreu 2, verset 11.
C'est lui qui sanctifie et ceux qui sont sanctifiés sont tous d'un.
Là, on voit cette pensée d'unité.
Lui est la branche, nous sommes de lui.
Donc, mis à part pour Dieu, sanctifiés pour Dieu et tous d'un, de même origine.
Puis, un rapport avec la résurrection du Seigneur Jésus.
On voit comment nous sommes identifiés avec lui et il y a du fruit pour Dieu en rapport avec ça.
On voit qu'il est le premier-né d'entre les morts.
Donc, ici, dans cette image du Saint-Louis, on voit qu'il est le premier, vraiment.
Et puis, nous sommes de lui.
Si lui est le premier-né, il est le premier-né entre beaucoup de frères.
Et il y a un autre verset qui nous dit que nous sommes maintenant des membres de l'assemblée des premiers-nés.
Donc, nous sommes extrêmement proches liés à lui.
Dans 1 Chrétien 15, on le trouve aussi que lui est le premier-né d'entre les morts et puis nous sommes de lui.
Donc, il y a une identification avec lui, une identification très, très proche et puis il y a des fruits pour Dieu.
Maintenant, verset 32, on voit ces six branches.
Ça parle de l'étendue de ce témoignage, l'étendue de ce système, on pourrait dire.
Les six branches sortiront de ces côtés.
Trois branches du chandelier d'un côté et trois branches du chandelier de l'autre côté.
Il y a une balance, une parfaite balance.
Souvent, dans notre pensée, on n'est pas balancé vraiment, on n'a pas un vrai équilibre.
On pourrait faire un chandelier comme si ces branches étaient tout là ou ces branches seraient plus grandes que l'autre côté.
Mais dans ce système de Dieu, tout est en équilibre.
C'est beau de voir ça aussi dans les dons que le Seigneur donne, il y a une balance, il y a vraiment un équilibre entre tout ça.
Selon les pensées de Dieu, selon les pensées d'homme, on voit beaucoup, si l'homme introduit ses pensées, il n'y a pas de balance, pas d'équilibre, tout est en désordre.
Verset 33 maintenant.
Il y aura sur une branche trois calices en forme de fleurs d'amandiers.
Maintenant, un détail en rapport avec ces calices.
On peut dire que ces calices, c'était les provisions divines.
Et puis, ces fleurs d'amandiers parlent de nouveau de la résurrection.
Parce que l'amande, on peut lire dans Jérémie 1, on voit comment l'amande ou l'amandier était lié à la parole de Dieu.
Et on le voit très clairement, c'est peut-être bon de lire ça dans Nombre 17, comment cet amandier parle de la résurrection, de la puissance de la résurrection.
Donc, cela souligne de nouveau l'importance de la résurrection.
Sans la résurrection du Seigneur Jésus, on ne peut pas briller comme des lumières.
Mais dans sa résurrection, nous sommes identifiés avec lui et on peut briller maintenant comme des lumières pour lui.
Mais c'est très important ce verset-là dans Nombre 17 parce que ça explique les trois choses qu'on trouve dans Exode 25 aussi.
Nombre 17, on voit la verge d'Aaron, et puis il y avait une révolte, et puis on ne peut pas lire tout le chapitre,
mais Dieu montre maintenant que la sacrificature d'Aaron était selon ses pensées donnée par lui.
Et la preuve par laquelle Dieu montre cela, c'est par l'image de la résurrection.
Donc, c'est pour le Seigneur Jésus aussi, la peur pour nous qu'il est le vrai sacrificateur, c'est sa résurrection.
Et la résurrection, on la trouve dans verset 8, la puissance de la résurrection.
Cette verge avait poussé des boutons, des fleurs et mûrit des amandes, les fruits.
Donc, les trois choses, les boutons, on peut comparer les calices un peu avec les boutons, les fleurs et les amandes, les fruits mûrent.
Donc, c'est beau de voir ça, parce que cela nous aide à mieux comprendre ce que la lumière fait, parce que sans la lumière, on n'a pas de vie.
Et la lumière forme cette vie et donne ses fruits.
On peut le voir dans Jean 15, on n'a pas le temps maintenant de lire ça, mais dans Jean 15, on voit comment la lumière donne cette vie, ses fruits pour Dieu.
Puis, on voit ici verset 33, que ces calices étaient en forme de fleurs d'amandiers, et puis une pomme et une fleur.
Donc, les trois choses, on trouve ici, comme on a vu un peu, le beau et les fruits mûrent et aussi la fleur.
La fleur qui parle de la beauté, la calice qui parle de l'origine, je pense, la germe, et puis la pomme qui est le fruit mûr, mais qui ici est aussi une sorte d'ornement, pour donner un ornement.
Parure.
Oui, c'est ça, parure, oui.
Ça donne une extrême beauté à tout cela.
On peut le voir ici dans, je l'ai vu une fois, je l'ai montré une fois sur la diapositive, mais on voit ici l'extrême beauté de tout cela.
Le bouton ou la calice, et puis la fleur, et en même temps, on voit aussi le fruit.
Donc, la force de la résurrection se montre maintenant dans ce cendrier.
Ça, c'est la même chose pour nous.
Dans cette lumière-là, qui brille maintenant, la force, la puissance du Seigneur Jésus est montrée.
Même dans un temps de déclin, de Timothée 1, il parle beaucoup de cette puissance de la résurrection.
Il présente Christ devant nous comme ressuscité.
Cette fleur parle aussi de ce renouvellement continuel.
Parce que Dieu nous n'a pas seulement donné une position liée à lui, mais Dieu nous renouvelle aussi.
On voit cela par la puissance du Saint-Esprit, par l'accent du Saint-Esprit.
Tout est fraîche, comme nouveau, toujours nouveau.
Ça, c'est vraiment une caractéristique du cendrier.
Et du ministère maintenant, du Saint-Esprit, c'est toujours d'une façon fraîche et nouvelle.
Et là, il peut y avoir du fruit pour Dieu qui embellisse la maison de Dieu.
Embellisse, on dit, embellisse la maison de Dieu.
C'était pour les six branches le cas.
Donc, ces six différentes formes de ministères, ou quoi que ce soit, avaient le même caractère, cette fraîcheur, cette vie nouvelle, et puis le fruit pour Dieu.
Verset 34, « Et il y aura aux chandeliers quatre calices. »
Là, on voit le chandelier au milieu, comme on voit ici, avec les quatre calices.
Et ça parle, je pense, parce que c'est la branche au milieu, ça parle du Christ d'une façon particulière.
On a vu hier soir les quatre pieds.
Ça donne la stabilité.
Maintenant, on voit les quatre calices, je pense, en rapport avec Christ.
Le ministère de Christ, par l'Esprit, est d'un caractère universel.
Nous, ici, localement, nous jouissons de ce ministère par l'Esprit, envoyé par le Seigneur Jésus.
Mais c'est partout ce ministère universel qui vient de lui.
Et ce verset souligne aussi le fait qu'il est le premier, vraiment.
Si nous sommes des branches, il est la vraie branche.
Il est le premier.
Le total de ses fruits et de ses calices et de ses pommes était vingt-deux.
Deux fois onze.
Ça parle du fait que ce ministère du Seigneur Jésus dépasse la mesure de la responsabilité.
Comme un témoignage, deux et onze, ça dépasse la mesure de la responsabilité.
Parce que la responsabilité est en rapport avec dix.
Mais onze, ça surpasse la responsabilité.
Ça, c'est une caractéristique du ministère du Seigneur Jésus qu'il donne plus que nous avons besoin en rapport avec notre responsabilité.
Il donne plus.
Les ressources dans le Seigneur Jésus sont plus grandes.
Il y a toujours un surplus, une abondance dans la grâce de Dieu.
Nous vivons dans le temps de cette surabondance.
C'est beau de voir ça et de réaliser ça.
Maintenant, on continue.
Les lampes.
Donc ici, sur cette image, on le trouve d'une façon très belle.
Il y a sept lampes.
Sept, sept lampes.
Et les lampes étaient remplies d'huile.
Les lampes étaient remplies d'huile.
Et pour ce service, il y avait des vases d'huile.
On a lu ça dans un autre passage.
Tu verras, c'est sept lampes.
On peut penser aussi à la diversité du Saint-Esprit.
C'est beau de voir l'unité.
C'était formé d'un talent d'or pur.
Mais en même temps, on voit ces sept lumières.
On peut penser à Ésaïe 11.
Là, on voit dans la vie du Seigneur Jésus,
ces sept aspects de l'Esprit de Dieu dans le Seigneur Jésus.
Ésaïe 11, verset 2, on peut le lire.
Donc, si on applique le chandelier à la vie du Seigneur Jésus,
on le voit très clairement dans sa vie.
Il y avait cette diversité et en même temps,
cette perfection qui le caractérise.
11, verset 2.
L'Esprit de l'Éternel reposera sur lui,
l'Esprit de sagesse et d'intelligence,
l'Esprit de conseil et de force,
l'Esprit de connaissance et de crainte de l'Éternel.
Donc, cette foi est une expression de l'Esprit.
Maintenant, on peut le retrouver aussi dans Apocalypse 4.
Donc, d'un côté, il y a cette diversité,
mais en même temps, cette unité.
L'unité, la pluralité.
Et puis, devant le trône, on voit aussi ces lampes qui brillent.
Et souvent, on trouve cette expression des sept esprits
qui sont sortis devant l'Éternel.
C'est un témoignage parfait.
Et même dans un temps de déclin, on trouve ce témoignage parfait.
Si on lit, par exemple, 1 Samuel 3,
on voit que la lampe de Dieu brillait encore.
Dans un temps de déclin, Dieu pourvoit que la lampe brille encore.
On va voir cela dans Lévitique 24.
On va continuer un peu rapidement, Jimmy.
Oui, on va continuer un peu rapidement maintenant.
Et on allumera ces lampes.
Ici, ce n'est pas mentionné qui va faire ça.
Mais dans les autres passages, on a vu qu'Aaron l'a fait.
Au début, initialement, Moïse l'a fait,
comme celui qui a institué tout ce système.
Et plus tard, on voit qu'Aaron a soutenu son fils pour Dieu.
Maintenant, un aspect très important, je pense.
Verset 37 à la fin.
Afin qu'elles éclairent vis-à-vis de lui.
Donc, ce chandelier donne la lumière,
mais d'une telle façon que le chandelier lui-même était éclairci.
Donc, la lumière tombait sur le chandelier lui-même.
Dans un autre passage, on a vu aussi que le chandelier a brillé et éclairci la table.
On peut aussi penser aux ailes, ici.
Le chandelier donne de la lumière pour discerner la valeur de l'assemblée.
Si on est vraiment dans l'assemblée de Dieu,
on va voir par cette lumière divine la valeur de toute l'assemblée devant Dieu.
On va discerner la valeur de la table, comme on a vu un peu hier soir.
On va voir aussi la valeur du chandelier.
Donc, le chandelier donne lui-même la lumière pour discerner la valeur de ce chandelier.
Maintenant, on peut penser au Seigneur Jésus.
Il a envoyé cet esprit-là.
Et qu'est-ce que l'esprit fait?
Il part de lui.
Il part du Seigneur Jésus comme cet homme qui était le vrai chandelier, ici-bas.
Il part du Seigneur Jésus comme le chandelier dans la gloire.
Et même si l'esprit opère en nous, il nous forme pour être un chandelier localement,
comme dans l'Apocalypse 2 et 3.
Ce chandelier est là pour la gloire du Seigneur Jésus.
Donc, l'esprit montre toujours le Seigneur Jésus.
Et la lumière tombe pour ainsi dire sur lui.
Donc, le ministère du Saint-Esprit montre toujours la gloire du Seigneur Jésus,
qui était le vrai chandelier.
Quant à nos besoins, verset 38,
on voit qu'il y avait des mouchettes et des vases à cendre.
On peut voir que le Seigneur Jésus n'avait pas besoin de ça.
Il n'avait pas besoin de discipline.
On a vu ça.
Et sa lumière brillait toujours clairement pour Dieu.
Quant à nous, pour continuer ce service,
parce que maintenant la pensée est, le Seigneur Jésus est dans la gloire,
et il brille par nous.
Comme on a vu, il vit en nous, il brille par nous.
Mais afin que cette lumière brille clairement pour Dieu,
le Seigneur se sert des instruments afin que cette lumière brille clairement.
Ces mouchettes, on pourrait traduire par pincettes.
Plus tard, on trouve ce même mot comme pincettes.
Qu'est-ce qu'on faisait avec des pincettes ?
On se servait aussi de ces pincettes en rapport avec l'autel pour faire fumer l'ensemble.
Les pincettes étaient utilisées pour prendre des...
Excusez-moi, je dois trouver l'expression en français.
Cela m'échappe.
Mais on le trouve par exemple dans Isaïe 6,
où l'ange de Séraphin a pris un charbon.
C'est ça.
Un charbon ardent de l'autel.
L'autel n'était pas là,
afin que des offrandes sanglantes étaient présentées là,
mais seulement d'un sens.
Mais maintenant, je demande votre attention pour le fait
comment ces instruments étaient liés ensemble.
Parce que les charbons,
les pincettes,
les pincettes,
les pincettes,
les pincettes,
les pincettes,
les pincettes,
les pincettes,
les pincettes,
les pincettes,
les pincettes,
les pincettes,
les pincettes,
parce que le charbon était pris de l'autel,
qui était allumé par un feu qui était venu du ciel,
et puis le charbon était mis par ces pincettes.
C'est le même mot qu'on trouve ici,
comme on a lu vers 38,
ces mouchettes.
C'est le même mot, pincettes.
Donc, ces instruments qui appartenaient aux chandeliers,
les grands sacrificateurs se servaient de ça aussi
pour mettre l'incense sur l'autel,
pour faire fumer l'incense.
Hier soir, on a vu,
en rapport avec la table, verset 29,
il y avait les coupes de la table.
Il y avait les plats sur lesquels le pain était mis
afin que les sacrificateurs puissent manger.
Mais il y avait aussi ces coupes qui étaient d'une grandeur d'une main,
et dans ces coupes, il y avait cet incense.
Là, on voit comment la table est aussi liée avec ce service.
Sur la table était l'instrument pour contenir l'incense.
En rapport avec le chandelier, il y avait ces pincettes,
et les deux étaient en rapport avec l'incense.
S'il y a, de notre côté, un accès,
si nous nous approchons de Dieu,
ça c'est l'autel, pour faire fumer l'incense,
on ne peut pas séparer ça de la table et du chandelier.
Tout était ensemble.
Et c'était basé, comme on l'a vu hier soir aussi un peu,
sur l'autel, parce que l'autel était,
la grille avait la même hauteur que la table et que l'arche.
Donc tout était vraiment lié ensemble,
aussi dans un sens pratique, comment le service se déroulait.
L'autre mot qui parle de ces vases à cendre,
ce mot on trouve aussi comme incenseur.
De nouveau, ça souligne le lien avec l'autel d'incense.
On peut dire que cet incenseur pouvait contenir des choses.
Ici, pour vases à cendre, mais ça c'est une traduction humaine,
c'est seulement un instrument qui contenait quelque chose.
Donc, en soi, c'était des vases,
comme un incenseur était un vase.
Et plus tard, on a vu qu'il y avait des vases pour remplir l'huile.
On pourrait dire, dans le ministère de l'apôtre Paul, par exemple,
par la puissance du Saint-Esprit,
il se servit de ces mouchettes ou de ces pincettes,
dans la première épître, je donne maintenant seulement un exemple,
dans la première épître aux Corinthiens,
il se servit de ces mouchettes pour corriger les croyants.
Même les pincettes desquelles le sérafin se servait,
en rapport avec Esaïe VI,
c'était pour le corriger.
Parce qu'après ça, Esaïe a dit,
d'abord il était impur,
et après ça, il était capable de recevoir une tasse de la part de Dieu.
Donc, ce service est pour corriger.
Les pincettes ou les mouchettes étaient pour corriger.
Les mouchettes étaient d'or pur,
ça veut dire, tout était en rapport avec la gloire de Dieu,
et aussi en accord avec la gloire, en rapport et en accord.
Et si on pense maintenant à nos relations fraternelles,
c'est important de voir,
s'il y a des corrections nécessaires,
ce sont des corrections qui sont faites dans la lumière du sanctuaire,
ça c'est très important.
Pas des corrections selon nos idées humaines,
mais des corrections selon la lumière du sanctuaire,
et selon la valeur de l'autel,
donc cet ange avait pris ses pincettes
pour apporter ce charbon de l'autel,
pour nettoyer, pour purifier Esaïe.
Donc de telle façon, nous sommes corrigés et purifiés
par le ministère du Saint-Esprit maintenant.
Et puis ces vases sont pour contenir quelque chose,
on peut penser aussi d'un sens positif,
les vases contenaient de l'huile,
afin que la lampe brille.
Et on peut dire, dans la seconde épître aux Corinthiens,
Paul a rempli les seins, les vases,
il les a remplis d'huile afin qu'ils brillent.
Dans la seconde épître on voit une présentation de la gloire de Christ,
d'une façon remarquable.
Donc verset 39 souligne l'importance de cette unité,
c'était pas seulement le chandelier
qui formait cette unité magnifique et merveilleuse,
selon un plan magnifique de Dieu,
mais il y avait aussi une unité entre les instruments
desquels on faisait le service pour faire fonctionner le chandelier.
Il y avait une unité entre ces instruments et le chandelier même.
Donc s'il y a ces corrections,
s'il y a ces approvisionnements des seins,
c'est en accord et en pleine unité avec ce chandelier.
Et l'importance du chandelier est soulignée par le dernier verset
qu'il fasse selon le modèle qui est montré sur la montagne.
Le modèle de Dieu ne change jamais.
On pourrait étudier cette expression
et on voit que le modèle de Dieu ne change jamais.
Et par ce chandelier, on peut recevoir une impression des pensées de Dieu
concernant son plan en rapport avec tout le tabernacle,
en rapport avec tous ses détails.
Dans le chapitre 26, on a vu la place du chandelier.
C'était donc face à la table, vis-à-vis de la table.
Ça donne aussi cette pensée de l'unité ou de mutualité de cette table et ce chandelier.
Ça appartenait ensemble.
Comme on a vu un peu, la vie et la lumière vont ensemble.
Christ vu en nous, vu en nous comme la vie,
et Christ par le ministère du Saint-Esprit vu en nous comme la vraie lumière.
On a vu aussi que les lumières ont brillé sur le chandelier,
mais ici on voit que la lumière a éclairci aussi la table.
Un autre détail, le chandelier, verset 35, était vers le sud, si c'était le côté du sud.
Le sud parle de la bénédiction.
On reçoit beaucoup de bénédictions par le ministère du Saint-Esprit.
Tandis que la table était vers le nord.
La table était capable et résistible, pour ainsi dire, contre le jugement de Dieu.
Le nord est toujours en rapport avec le jugement.
Les animaux étaient préparés, donc tués, égorgés et préparés au côté du nord de l'hôtel.
Le nord parle toujours de l'exécution du jugement.
Donc la table, ça parle du fait que nous sommes placés dans un monde qui gît dans le mal,
où le jugement de Dieu doit être exécuté.
Mais quand même, la table est là.
Et la table est là pour le plaisir de Dieu.
Ça c'est notre privilège.
Donc il y a d'un côté ces provisions dans la grâce de Dieu, dans le chandelier,
pour nous maintenir pour lui-même dans un monde qui gît dans le mal, qui est sous le jugement de Dieu.
Dans l'autre chapitre, on a vu le chapitre 27,
le chapitre 27 qui parle du parvis,
et c'est beau de voir que là, à la fin de ce chapitre,
l'étonnel donne des instructions afin que tous les peuples d'Israël apporteront cette huile d'olive.
Donc c'était un exercice de tout le peuple.
Ce n'était pas seulement un exercice du sacrificateur,
mais l'importance qu'on voit ce soir, c'est que Dieu veut engager, pour ainsi dire, tout le peuple.
Il veut engager tous les croyants dans ce système, dans ce service.
Et puis plus tard, on a vu que les princes ont apporté l'huile,
mais comme les représentants de tout le peuple.
Donc, chapitre 27, verset 20,
Ils t'apporteront de l'huile d'olive.
Moïse est ici, celui qui est le maître, le chef de tout ce système, comme le Seigneur Jésus,
est maintenant notre chef, qui en même temps est le vrai prophète,
qui explique toutes les pensées de Dieu,
et nous apportons ce que nous avons trouvé,
nous apportons et nous le présentons devant lui.
Donc, lui s'était tout apporté à Moïse.
Et lui pouvait donner les directives, comme le Seigneur Jésus le fait maintenant,
comme le vrai chef dans le ciel, il donne les instructions.
Maintenant, en rapport avec l'huile, on n'a pas encore parlé de ça,
maintenant on voit comment la lumière était produite.
On a vu le chandelier dans tous ses détails, dans le chapitre 25,
maintenant Dieu parle de la lumière, de la façon de la lumière.
C'était de l'huile d'olive pure.
De nouveau, cette pensée de la pureté, ça implique aussi que c'était clair.
Le mot pur implique ici aussi cette pensée qu'il était transparent, pur, clair.
Mais c'était l'huile d'olive.
Et l'olive, on le sait, parle toujours du Saint-Esprit.
Donc, le ministère, par l'Esprit, soutenu par l'Esprit,
dans quelques temps, quelques périodes, nous vivons, c'est lui qui produit cette lumière.
Mais c'est à travers beaucoup d'exercices, on voit que cette huile était broyée,
dans un mortier, non pressé, oppressoire, mais broyée dans un mortier.
Il y avait donc aussi dans le sanctuaire des instruments comme des mortiers
avec lesquels l'huile était préparée, selon les pensées de Dieu.
Et plus tard, je voulais mentionner aussi cet aspect-là,
que le chandelier maintient la lumière quand il y a un déclin.
On l'a vu dans 1 Samuel 3, il y avait deux déclins, la lampe brillait quand même.
On le voit dans Zacharie 4, beaucoup de déclins, mais il y a un petit reste.
Et puis, eux sont des témoins pour Dieu.
Et là, on voit de nouveau comment cette lumière a brillé.
On peut lire ça, on n'a pas le temps maintenant, mais je mentionne ça simplement.
Vous pouvez lire ça dans Zacharie 4, comment Dieu a maintenu ce témoignage devant lui.
Là, on voit l'huile et l'or de nouveau ensemble, comme ici, l'huile et l'or ensemble, l'huile d'olive.
Et puis, c'est pour la satisfaction du corps de Dieu.
Tout cela est pour la satisfaction du corps de Dieu.
Ce n'est pas seulement pour nous donner de la lumière ou afin que nous soyons des témoins,
mais c'est vraiment pour la satisfaction du corps de Dieu, pour faire virer la lampe continuellement.
Même s'il y a cette diversité, on voit de nouveau ici que c'était la lampe.
On a vu le chandelier d'un talent pur, d'or pur.
Maintenant, aussi, la lumière montre cette unité, c'est une lampe, littéralement.
Et pas seulement cela, continuellement.
Comme on a vu en rapport avec l'épin, c'était continuellement là, pour la satisfaction du corps de Dieu.
La lumière est là aussi, afin qu'il voit Christ en nous, continuellement.
Et puis, verset 21, « Aaron et ses fils les arrangeront devant l'Éternel. »
Cela veut dire, Christ est vu comme le vrai Aaron, et maintenant, nous sommes les fils d'Aaron qui pratiquent cela par la grâce de Dieu.
Comme on a vu hier soir, les fils d'Aaron qui ont pratiqué les pensées de Dieu,
ils ont pu manger d'épin pour être formés dans les pensées de Dieu.
Maintenant, Aaron et ses fils, donc Christ dans la gloire, identifiés avec nous, ici-bas, sont occupés de ce service du chandelier.
Les arrangeront, de nouveau, cette pensée de l'ordre, c'est un ordre divin, un ordre spirituel.
Les arrangeront devant l'Éternel, dans sa présence.
On a vu cela aussi hier soir, c'est dans sa présence.
Et c'est dans la nuit de ce monde, qu'on le voit aussi plus tard.
Depuis le soir jusqu'au matin, c'est remarquable.
Jusqu'au matin, on a vu ça, le matin viendra, mais maintenant, dans la nuit, brille ce chandelier.
Et c'est nous ici, ensemble avec le Seigneur Jésus dans la gloire, qui sommes occupés pour faire briller cette lumière devant Dieu.
On voit cela clairement dans le psaume 134, on n'a pas le temps pour lire ça maintenant,
mais où il y a les sacrificateurs qui continuent et maintiennent ce service d'adoration pour Dieu,
mais d'un même sens, dans la nuit, pendant la nuit, on continue ce témoignage pour la satisfaction du cœur de Dieu.
Et ici, c'est mentionné dans l'attente d'assignation.
Je pense que c'est la première fois que c'est ajouté, en rapport avec le chandelier au moins, dans l'attente d'assignation.
On ne peut pas séparer cette lumière de l'assemblée.
Ça, c'est aussi important. On a vu ça hier soir, en relation avec la construction du tabernacle, la construction des éléments, comme la table.
C'est en rapport avec l'attente d'assignation, chapitre 35.
Ici aussi, le chandelier est mentionné en rapport avec l'attente d'assignation,
où le peuple de Dieu se réunissait, était réuni devant sa présence, et puis là était placé le chandelier.
En dehors du voile, qui est devant le témoignage, là on voit que c'était à cause de la faiblesse de tout système encore,
parce que le Seigneur Jésus n'est pas révélé encore, il y avait cette indication.
Maintenant, on le sait, c'est tout en unité.
Nous sommes dans la présence de Dieu, immédiatement devant le trône de Dieu.
Dans ce sens-là, le voile n'existe plus.
De notre sens, ça existe, comme on le voit dans l'Épître aux Hébreux.
Maintenant, à la fin de ce verset, ce sera de la part des fils d'Israël, un statut pépétuel.
On voit ici que Dieu engage tout le peuple dans ce service.
En effet, ce n'était pas Aaron et ses fils, mais Dieu voit ce service en rapport avec tout Israël.
Donc, même s'il y a pratiquement seulement quelques sacrificateurs qui s'occupent de ça,
eux représentent tout le peuple et c'est un statut pépétuel dans leur génération.
Dieu veut qu'aussi dans nos générations, ces choses continuent.
C'est important de voir que chaque génération doit apprendre ces choses.
Mon père a dû apprendre ça.
Si on recule dans l'histoire, on voit que chaque génération a dû apprendre ces choses.
Dieu veut que chaque génération maintienne ces choses pour son plaisir.
Même si nous vivons dans un temps presque de l'apostasie, Dieu veut que nous maintenions ça pour sa gloire.
Maintenant, dans le chapitre 30, on a lu un verset, c'est très beau ça,
parce que là, de nouveau, on voit comment ce service était lié, là, en rapport avec l'accès à Dieu.
Verset 7, on a lu, 30, verset 7,
et Aaron, il fera fumer l'enceinte et des drogues odoriférantes chaque matin, chaque matin.
Là, on voit l'importance de la continuation de ce service.
Et aussi pour nous, c'est beau de voir, si nous nous réveillons le matin,
commencer à penser au Seigneur Jésus.
Je dois confesser que j'oublie quelques fois, penser au Seigneur Jésus comme l'Holocauste,
qui était donné chaque matin, l'Holocauste continuelle, chapitre 29.
Ici, on voit le service du Seigneur Jésus en rapport avec l'accès.
Il prie, il est notre intercesseur, il nous représente devant Dieu,
et il nous aide à maintenir cette tâche que nous avons eue.
Et il place tout cela dans...
Il place devant Dieu tout cela dans ce sens qu'il est agréable devant Dieu.
Parce que l'enceinte parle aussi de cet aspect qu'il était agréable devant Dieu.
Ce n'est pas seulement la lumière qu'on peut voir, la vie qu'on peut goûter et manger,
mais c'est aussi quelque chose que Dieu a senti.
C'est beau? Dieu a senti.
Et on voit dans un autre passage que l'enceinte était mise sous son nez.
Donc Dieu voulait jouir de la beauté du Seigneur Jésus, dans ce sens-là.
Et en rapport avec ce service du Seigneur Jésus, on voit que les lampes étaient arrangées,
afin que ce soit pour le plaisir de Dieu.
Et ici, on trouve un autre détail verset 8,
et quand Aaron allumera les lampes entre les deux soirs.
Ça, c'est une expression technique un peu,
mais ça parle du moment où on a égorgé,
c'était la première fois qu'on trouve cette expression, égorgé l'aïeau de Pâques.
C'était entre les deux soirs.
Donc c'était dans l'après-midi, environ 3 heures l'après-midi,
c'était l'expression technique de ces deux soirs,
où on a égorgé l'aïeau de Pâques.
Et plus tard aussi, on voit que l'Holocauste était égorgé 3 heures l'après-midi.
C'était entre les deux soirs.
Donc là, on voit que les souffrances du Christ,
comme le vrai aïeau, comme l'Holocauste, mais aussi comme l'aïeau de Pâques,
et maintenant on peut penser de nouveau à l'autel,
tout est basé sur sa mort expiatoire.
Sans sa mort expiatoire, on ne peut pas jouir de ces choses qu'on a médité.
Et quand Aaron allumera les lampes entre les deux soirs,
donc le même moment, il était égorgé l'Holocauste.
C'est solennel de penser à ça.
Il fera fumer une incense continuelle devant Nathaniel.
Donc de nouveau on voit ici le lien entre le chandelier et l'incense,
mais basé sur la mort expiratoire du Seigneur Jésus.
Le même moment.
Maintenant, chapitre 35, je pense, on était.
35 verset 10.
Oui, c'est ça, 35 verset 10.
Là on voit que c'est un exercice des hommes intelligents.
On a vu dans le chapitre 25 des coeurs volontaires,
l'importance que nous donnions une réponse à Dieu, n'est-ce pas?
Mais maintenant on voit aussi cet élément sage de coeur.
Notre coeur n'est pas seulement volontaire,
mais aussi sage, formé par Dieu, par sa grâce.
On peut être sage pour donner maintenant ces éléments.
Et ici, souligner cette pensée-là,
que Dieu veut que nous réalisions ces pensées.
Ce n'est pas seulement une révélation des pensées de Dieu.
Ça c'est un côté, chapitre 25.
Mais maintenant, nous commençons par la direction de Moïse
à réaliser ces pensées, pratiquement.
Pour cela, on a besoin d'un coeur sage et d'un coeur intelligent.
Donc, pour apporter les éléments, verset 5,
c'était d'un esprit libéral, et on a vu, chapitre 25,
d'un coeur volontaire pour apporter ces éléments.
Maintenant, ces éléments sont mis ensemble et on fait les choses.
On fait le chandelier, on fait l'hôtel, on fait la table, etc.
Donc, ça c'est verset 10, qu'on vienne et on fasse cela.
Verset 14, on a vu le chandelier du luminaire et ses ustensiles,
et ses lampes et l'huile du luminaire.
Donc maintenant, on voit l'importance que nous fassions cela,
que nous ayons un coeur sage pour réaliser ces choses devant Dieu.
Même l'huile.
Donc, l'action du Saint-Esprit est vue comme un élément que nous fassions.
C'est beau de voir ça.
Donc, Dieu a confié tout cela dans nos mains pour réaliser cela pour lui,
mais sous l'instruction et sous la direction du vrai Moïse.
On doit continuer, parce que le temps passe vite.
Verset 27,
« Et les princes apportèrent les pierres d'onyx et les pierres anchoissées pour les frottes et pour le pectoral. »
Verset 28,
« Et les aromates et l'huile pour le luminaire. »
Ici, on voit les princes comme les représentants de tout le peuple.
Et puis, que Dieu nous donne cet esprit d'être des princes
qui maintiennent les pensées de Dieu au milieu du peuple de Dieu.
Donc, ça c'est aussi un exercice.
Maintenant, chapitre 37.
Verset 17,
on peut lire dans le verset 16 des instructions en relation avec la table.
Et verset 17 nous parle comment ce chandelier était formé.
Donc, on l'a fait exactement selon les instructions qu'on a lues dans le chapitre 25.
Et verset 24 nous donne de nouveau cette pensée que tout était d'un or pur.
Donc, même les ustensiles étaient faits de ce même talent d'or.
Tout allait ensemble.
Et puis plus tard, chapitre 40, on a vu comme Moïse a installé tout.
Il a assemblé, mis ensemble tous ces détails qui étaient faits, qui étaient préparés.
Maintenant, sous la main de Moïse, tout est assemblé, mis ensemble et institué pour la gloire de Dieu.
Verset 24, 25, chapitre 40.
C'est lui qui a allumé les lampes devant l'éternel.
Donc, d'un côté, on voit le Seigneur Jésus comme le vrai prophète, l'apôtre de notre confession,
qui maintient cela pour la gloire de Dieu.
Et comme le grand sacrificateur, il continue ce service en nous et par nous-mêmes.
Tout était pour la gloire de Dieu.
Donc, on voit dans ce chapitre-là comment la gloire de Dieu a couvert l'attente d'assignation.
Maintenant, Levitique 24.
Là, on a vu que dans un jour de déclin, Dieu veut que ce service soit continué.
J'ai mentionné hier soir, je pense déjà, verset 10, que dans ce chapitre, on trouve cet homme,
le fils d'une femme israélite et d'un homme égyptien qui a maudit le nom de l'éternel, blasphémé le nom et maudit.
Donc là, on voit l'apostasie, le peuple caractérisé par l'apostasie.
En même temps, on voit que Dieu veut que ce service soit maintenu.
Nous vivons dans un même monde, une chrétienté qui se rébelle contre Dieu,
qui est sous le jugement de Dieu, où on voit Satan qui fait que les gens vraiment blasphèment Dieu.
Et en même temps, on voit que ce service continue pour la gloire de Dieu.
Levitique 24, verset 1.
De nouveau, le lien avec tout le peuple commande au fils d'Israël qu'il t'apporte de l'huile d'olive pure.
Les fils d'Israël, ça veut dire aussi le peuple de Dieu, mais vu selon le conseil de Dieu, comme des fils d'un vrai prince.
Israël veut dire prince de Dieu.
Donc dans ce sens là, nous sommes des fils du vrai prince.
Et nous pouvons produire maintenant par sa grâce cette huile que nous avons vue dans l'exode 35,
comment ils ont fait ça, et maintenant ils apportent ça à Moïse.
On a vu cela d'huile d'olive pure broyée.
Donc ça parle aussi d'un exercice particulier et intense.
J'ai oublié de mentionner ça, c'est vraiment d'une façon particulière que cette huile était préparée.
C'est un processus intense, très intense, dans le mortier, pour le luminaire, afin qu'on fasse brûler cette lampe continuellement.
Mais ici on voit que la continuation de ce service est un service sacerdotal.
Aaron l'arrangera devant l'éternel.
L'apôtre Paul a réalisé cela aussi dans sa vie, comment il était dépendant de ce service du grand sacrificateur.
Et souvent on voit comment il s'identifie avec le Seigneur Jésus dans la gloire.
Comment il était dépendant aussi de lui, dans son service.
De nouveau on voit ici cette expression, du soir au matin.
On a vu cela déjà.
Et on peut penser aussi à cette expression d'un Romain XIII, que la nuit est avancée.
L'apôtre Paul dit dans Romain XIII que la nuit est avancée.
Donc ça nous donne du courage que nous sommes presque à la fin de la nuit.
Mais juste à la fin de la nuit, la nuit est plus sombre que jamais auparavant.
Ça c'est une caractéristique.
Et on le sait, dans la parole on le trouve souvent, à la fin de la nuit, les ténèbres sont plus sombres qu'auparavant.
Nous vivons dans ce temps-là.
Mais Dieu veut par sa grâce maintenir ce service pour sa gloire.
De nouveau on voit ici que c'était le chandelier pur de ces quatre.
Maintenant pour finir avec le nombre quatre.
Là on voit, qu'on a vu en rapport avec la table aussi, que tout cela était porté à travers le désert.
Dieu veut, en même temps que ces choses sont là pour le plaisir de son cœur, il veut avoir un témoignage.
Et on voit comment ce chandelier était porté sur une perche à travers le désert.
Donc là on voit aussi l'importance de ce service, que nous soyons vraiment de vrais témoins.
Dans le livre de nombre on voit que nous sommes des soldats pour protéger les pensées de Dieu.
Tout le peuple était là pour la gloire de Dieu, mais au milieu d'eux il y avait des soldats pour défendre le témoignage.
Il y avait des lévites pour porter les choses, ça va plus loin encore.
On n'est pas seulement des soldats pour défendre, on n'est pas seulement des membres du peuple de Dieu, mais aussi des lévites pour porter.
Donc ça demande beaucoup d'exercice pour porter ces choses devant Dieu à travers le monde.
Et puis Dieu pourvoit dans ce service, c'est un témoignage en rapport avec l'homme céleste.
On a vu verset 9, ils prendront un drap de bleu.
Ça parle du fait que le Seigneur Jésus, même comme homme dans la gloire, il est l'homme céleste.
Le bleu parle de ça.
Et puis verset 9 nous dit à la fin, tout s'évase à l'huile.
Ça c'est une addition donc, souvent on trouve dans les écritures, Dieu commence à réguler ses pensées,
et chaque fois quand il mentionne ou donne un résumé, il donne un supplément pour ainsi dire, il ajoute quelque chose.
Maintenant les vases à l'huile sont ajoutés.
Donc pour le voyage, pour la traversée à travers le désert, il ajoute ces pensées là qu'il y avait des vases à l'huile.
On peut penser à ces filles qui se sont endormies dans Matthieu 25.
Les filles, cinq filles étaient sages, ils avaient de l'huile dans leurs vases.
Donc c'est pour la gloire du Seigneur.
Et puis c'est dans la séparation, verset 10 nous parle de ces couvertures de peau de tesson, où les ustensiles étaient mis.
Ça parle de cette séparation qu'il y a entre les saints et le monde.
On ne peut pas vivre pour le monde et en même temps pour le monde de Dieu.
Et tout cela était mis sur une perche et les Lévites ont porté cela.
Et le dernier passage qu'on a lu dans Nombre 8, on voit comment les Lévites étaient préparés pour le service de Dieu, purifiés pour le service de Dieu.
Mais avant tout cela, on voit que le service du changelier doit être en ordre.
Nombre 8, verset 2.
Quand tu allumeras les lampes, les sept lampes éclaireront sur le devant vis-à-vis du chandelier.
Donc de nouveau, l'importance que ces lampes brillent sur le chandelier même.
Si nous avons un service comme des Lévites, il faut que ce service soit, pour la gloire du Seigneur Jésus, que notre service soit dirigé vers lui.
On n'a pas un don pour remplir les besoins ou pour servir nos proches ou pour servir les frères et soeurs même.
En première ligne, le Seigneur donne ses dons pour sa propre gloire.
On le voit comme le Seigneur Jésus était le vrai prophète dans l'Évangile selon Marc.
Il a servi Dieu pour la gloire de Dieu. En même temps, il a servi ses prochains, ses voisins, etc.
Mais en première ligne, c'était pour la gloire de Dieu.
De telle façon maintenant, nous brillons comme des lampes, comme un témoignage, mais d'abord pour la gloire du Seigneur Jésus.
Tout service doit être réglé en accord et puis en la lumière de cette lampe.
Donc, d'abord la lampe et puis nous pouvons servir.
Et même si nous servons, c'est d'abord pour lui.
Verset 4, on voit de nouveau cette expression que c'était selon la forme que l'Éternel avait montrée à Moïse.
Donc, même si nous sommes dans le désert, il y a tant de besoins qui nous entourent.
On est près d'oublier la forme que Dieu a donnée.
Mais de nouveau, Dieu nous rappelle cette forme, que tout ce système, tout ce service doit être selon la forme que lui a donnée.
Donc, ça c'est un encouragement pour notre service.
Chacun de nous a un service à faire, mais c'est dans cette lumière-là que ce service s'accomplit pour la gloire de Dieu.
Dieu maintient ce service et le Seigneur va nous apporter à travers ce désert pour nous introduire dans la gloire.
Et Dieu, le Seigneur veut que ce service continue jusqu'à l'enlèvement.
Donc, le Seigneur nous aide pour fonctionner le chandelier, comme chandelier, mais aussi pour répandre cette lumière pour la gloire de Dieu,
pour la satisfaction de son cœur et pour la gloire du Seigneur Jésus qui est le vrai chandelier.
Le Seigneur nous aide donc de réaliser ces choses dans sa grâce. …
Transcription automatique:
…
Chapitre 26, du premier verset jusqu'au verset 30.
Exode 26, et tu feras le tabernacle de dix tapis de fin coton retort et de bleu et de
pourpre et d'écarlate.
Tu les feras avec des chérubins d'ouvrage d'art.
La longueur d'un tapis sera de 28 coudées et la largeur d'un tapis de 4 coudées.
Une même mesure pour tous les tapis.
Cinq tapis seront joints l'un à l'autre et cinq tapis seront joints l'un à l'autre.
Et tu feras des gazes de bleu sur le bord d'un tapis à l'extrémité de l'assemblage
et tu feras de même au bord du tapis qui sera à l'extrémité dans le second assemblage.
Tu feras 50 gazes à un tapis et tu feras 50 gazes à l'extrémité du tapis qui est
dans le second assemblage.
Les gazes seront vis-à-vis l'une de l'autre et tu feras 50 agrafes d'or et tu joindras
les tapis l'un à l'autre par les agrafes et ce sera un seul tabernacle.
Et tu feras des tapis de poils de chèvre pour une tente qui sera par-dessus le tabernacle.
Tu feras 11 de ces tapis.
La longueur d'un tapis sera de 30 coudées et la largeur d'un tapis de 4 coudées.
Une même mesure pour tous les 11 tapis.
Et tu joindras cinq tapis à part et six tapis à part.
Et tu replieras le sixième tapis sur le devant de la tente.
Et tu feras 50 gazes sur le bord du tapis qui sera à l'extrémité de l'assemblage
et 50 gazes sur le bord du tapis du second assemblage.
Et tu feras 50 agrafes d'airain et tu feras entrer les agrafes dans les gazes.
Et tu assembleras la tente et elle sera une.
Et ce qui peint le surplus des tapis de la tente, la moitié du tapis,
savoir le surplus, peindra sur le derrière du tabernacle.
La coudée de ça et la coudée de là, qui est le surplus dans la longueur du tapis de la tente,
peindront sur les côtés du tabernacle de ça et de là pour le couvrir.
Et tu feras pour la tente une couverture de peau de bédier teinte en rouge
et une couverture de peau de tesson par-dessus.
Verset 15
Et tu feras les aies pour le tabernacle.
Ils seront de boites citines placées debout.
La longueur d'un aie sera de dix coudées et la largeur d'un aie d'une coudée et demie.
Il y aura deux tenons à un aie en façon d'échelon, l'un répondant à l'autre.
Tu feras de même pour tous les aies du tabernacle.
Et tu feras les aies pour le tabernacle, vingt aies pour le côté du midi vers le sud
et tu feras quarante bases d'argent sous les vingt aies,
deux bases sous un aie pour ces deux tenons et deux bases sous un aie pour ces deux tenons.
Et pour l'autre côté du tabernacle, du côté du nord,
vingt aies et leurs quarante bases d'argent, deux bases sous un aie et deux bases sous un aie.
Et pour le fond du tabernacle vers l'occident, tu feras six aies.
Et tu feras deux aies pour les angles du tabernacle au fond.
Ils seront joints par le bas et parfaitement unis ensemble par le haut dans un anneau.
Il en sera de même pour les deux.
Ils seront aux deux angles.
Et il y aura huit aies et leurs bases d'argent, seize bases, deux bases sous un aie et deux bases sous un aie.
Verset 26.
Et tu feras des traverses de bois de sitting, cinq pour les aies d'un côté du tabernacle
et cinq traverses pour les aies de l'autre côté du tabernacle
et cinq traverses pour les aies du côté du tabernacle pour le fond vers l'occident.
Et la traverse du milieu sera au milieu des aies courant d'un bout à l'autre.
Et tu plaqueras dehors les aies et tu feras dehors leurs anneaux qui recevront les traverses
et tu plaqueras dehors les traverses.
Et tu dresseras le tabernacle selon son ordonnance qui t'a été montrée sur la montagne.
Jusqu'ici la lecture de la parole.
Bien aimé, ce soir, ce n'est pas une réunion prophétique, c'est plutôt une étude.
C'est plutôt pour essayer, avec l'aide du Seigneur, pénétrer un peu dans ce passage qu'on a lu.
Je voulais juste mentionner un peu pour rafraîchir notre mémoire ce qui était avant nous, auparavant, devant nous, auparavant.
Dans le chapitre 25, on a vu comment le peuple, un peuple délivré d'Egypte, avait un corps libre et un esprit libéral,
un corps volontaire, pour ainsi dire, plein d'amour pour le Seigneur pour donner des contributions afin que ce tabernacle puisse être construit.
On a vu que Dieu a beaucoup apprécié ça, mais il a en même temps donné le modèle selon lequel ce tabernacle devrait être construit.
On a vu dans le chapitre 15, le cantique de la délivrance, comment cette réponse dans le cœur du peuple était présente,
donc pour construire une maison pour la gloire de Dieu.
Dieu voulait habiter au milieu de son peuple. On voit ici comment le peuple a habité dans les tentes.
Et Dieu a dit, pour ainsi dire, mon peuple est maintenant un peuple de pèlerins, moi je veux habiter au milieu d'eux aussi dans une tente.
Mais en même temps c'est Dieu qui donne des détails.
Et puis on a vu que Dieu commence par le centre. Le centre c'est l'arche avec le propriétoire.
Et ça parle de Christ.
On a vu que la maison, donc le tabernacle comme système, parle de l'habitation de Dieu.
Dieu habite au milieu de son peuple, un peuple délivré.
Dieu ne pouvait pas habiter au milieu d'eux en Egypte, mais dans le désert et plus tard dans le temple, dans le pays.
Donc c'est l'habitation de Dieu.
On a vu que ça parlait d'une façon générale de l'habitation de Dieu dans la création, les cieux, les lieux célestes et la terre.
Puis on a vu que Dieu a habité, et habite encore, dans un homme, le Seigneur Jésus.
En lui, Dieu, toute la plénitude a habité.
Colossiens 1, verset 19 et 2, verset 9.
Mais maintenant aussi, Dieu habite dans l'église, dans l'assemblée, ici-bas, sur cette terre.
Comme une fois dans un homme, le Seigneur Jésus, un homme parfait où Dieu habitait, maintenant Dieu, l'Esprit, habite dans l'église.
Et en même temps, on peut dire, dans la gloire, dans une personne, donc le Seigneur Jésus, glorifiée, Dieu habite encore.
Mais surtout, c'est l'Esprit qui habite dans l'assemblée, dans l'église.
Maintenant, si on applique donc ces images, on le fait selon les instructions du Nouveau Testament, Galate 4, 1 Corinthien 10, etc.
On peut voir que ces choses ont une signification spirituelle pour nous, aujourd'hui.
Mais d'abord, il est important de voir que l'Esprit essaye à montrer toujours des attributs du Seigneur Jésus.
C'est le but, la mission de l'Esprit, pour nous présenter la gloire de Christ.
Et dans ces chapitres même, on trouve des gloires de Christ.
Dans l'arche et le propitiatoire, on voit un homme qui a maintenu les droits de Dieu, qui est venu pour manifester, pour révéler la gloire de Dieu.
Et en même temps, il a aussi satisfait les exigences de Dieu.
Le propitiatoire, c'est un rapport avec l'heure de propitiation qu'il a.
Mais il n'y en a même personne.
Celui qui est venu pour révéler Dieu, a aussi pourvu dans ses droits et dans ses exigences, dans son œuvre sur la croix.
Deuxièmement, on a vu la table.
Maintenant, il y a une table avec ses douze pains de proposition.
Et puis, la table parle de nouveau de Christ.
Christ qui nous porte, qui nous maintient dans la présence de Dieu.
Parce que ce sont des choses célestes qu'on voit ici.
L'arche, c'est le trône.
Mais où est-ce que c'est le trône ? Dans la gloire.
Mais ce sont des choses célestes qu'on réalise maintenant dans nos affections, qu'on voit comme étant des réalités spirituelles.
Et cela, dans un monde où le Seigneur est rejeté, où Dieu est rejeté.
Mais pour nous, ce sont des réalités précieuses.
Maintenant, on voit dans la table que le Seigneur Jésus, ayant accompli cette œuvre et étant glorifié dans la gloire, il a envoyé l'Esprit.
Il a maintenant un peuple sur la terre qui le représente, pour ainsi dire.
Les douze pins représentent Christ.
Donc, Christ est celui qui nous supporte, qui nous fortifie, et en même temps, les douze pins montrent des attributs de Christ.
Donc, dans tous les croyants, on voit des attributs de Christ.
C'est les douze pins.
Je ne peux pas répéter tous les détails.
Et puis, dans le chandelier, on a vu aussi une lumière céleste.
La lumière est dirigée d'abord vers Christ.
La lumière éclaire aussi la table.
Et avec la lumière céleste, une lumière divine, nous pouvons maintenant discerner les pensées de Dieu.
On va voir plus tard que le tabernacle est aussi un système d'accès pour nous approcher de Dieu.
Et on va voir, Dieu voulant, le grand sacrificateur qui nous prend avec lui pour nous introduire dans les lieux célestes et même dans le ciel où est le trône de Dieu.
Et c'est notre place maintenant d'avoir ce privilège, donc, d'être dans la présence de Dieu, même.
Dans la présence de Dieu où est le trône de Dieu.
Donc, quel privilège!
Et pour cela, Dieu nous a donné cette lumière céleste par le chandelier pour voir d'abord Christ comme homme dans la gloire.
Deuxièmement, ce chandelier qui porte, c'est cette langue.
Ça parle aussi de nous.
Nous sommes un témoignage et nous sommes supportés par le Seigneur Jésus, ce vrai chandelier.
Mais c'est par l'Esprit en même temps.
Lui, il parle du ministère de l'Esprit.
Donc, toutes ces choses qui sont très importantes, d'abord pour le cœur de Dieu et maintenant aussi pour nous, n'étaient pas seulement placées dans le désert.
D'un côté, on a vu, c'était le privilège du peuple et des sacrificateurs, des lévites, de porter ces choses sous leurs épaules.
On va voir ça dans le livre de Normes.
Là, on voit comment ce peuple était un peuple qui était un témoignage public dans ce monde pour Dieu.
Mais ce n'est pas ça qu'on trouve dans le livre d'Exode.
Dans le livre d'Exode, on voit donc la présentation des pensées de Dieu basée sur la délivrance, puis la présentation de cette pensée que Dieu veut habiter au milieu de son peuple.
Et Dieu commence par le centre, l'arche, le tronc de Dieu.
L'arche caractérise tout ce système.
On peut dire, si l'arche est prise, tout le système s'en va.
Comme dans les jours de Samuel, où l'arche était prise, la gloire était partie.
Et puis, l'arche donc est le centre de tout ce système.
Sans l'arche, on n'a rien.
Mais par contre, l'arche caractérise tout ce système.
Donne la valeur à la table, au chandelier, etc.
Et montre aussi quel privilège c'est maintenant pour nous que nous avons l'accès jusqu'à le tronc de Dieu.
Mais ces choses étaient placées dans un bâtiment ou dans une tente.
Et notre chapitre, donc, présente les instructions en relation avec ce bâtiment, cette tente.
Donc, d'un côté, on a vu les trois ustensiles, on peut dire, du tabernacle.
Les fonctions, dans le chapitre 25.
Mais maintenant, Dieu donne des indications comment ces choses devraient être placées et comment il devrait maintenant construire le tabernacle.
Maintenant, je demande votre attention parce que je pense que dans nos jours, c'est important de voir que ce tabernacle n'est pas seulement une image de Christ.
C'est vrai, c'est une image de Christ.
Mais Christ est maintenant dans la gloire.
Christ n'est plus sur cette terre, dans ce sens-là.
Dans Jean 1, verset 14, on lit que le Seigneur Jésus, donc, la parole, est devenue chère et a habité au milieu de nous.
Littéralement, la parole dit, il a tabernaclé au milieu de nous.
Donc, on voit vraiment qu'on peut appliquer toutes ces instructions à la personne bénie de notre Seigneur Jésus.
Mais, il y a aussi une autre application.
Parce que le Seigneur Jésus est maintenant dans la gloire.
Et il y a maintenant une place d'habitation pour Dieu dans ce monde, sur cette terre, et c'est l'église qu'on a.
Et l'église est donc présentée aussi dans ce tabernacle.
Et je pense qu'on doit souligner cet aspect-là, parce que c'est notre privilège maintenant de fonctionner comme église ici-bas.
Et bien sûr, si nous fonctionnons comme église ici-bas, Christ sera vu dans nous.
C'est ça qu'on va voir, et je prie avec l'aide du Seigneur un peu, ce soir, dans tous ces détails, on va voir Christ.
Mais, Christ a un rapport avec nous.
Nous, donc l'église est maintenant la place d'habitation de l'esprit.
Donc l'église est aussi la place où ces choses sont gardées et préservées, et aussi chéries.
Nous pouvons apprécier ces choses.
Donc, ce que signifie l'arche comme le tronc de Dieu.
On apprécie vraiment qu'une personne, comme on le chante dans un cantique, homme Dieu, a présenté, a révélé la gloire de Dieu.
Et puis, les autres choses qu'on a vues dans le chapitre 25, c'est tout un rapport de Christ.
Mais l'église a maintenant le privilège, le grand privilège, d'apprécier ces choses et de les garder dans nos affections.
Et on a vu aussi dans le livre Nombre, en même temps, de porter ces choses à travers ce monde comme un témoignage.
Mais ce n'est pas le sujet ici.
Ici, c'est vraiment la pensée que maintenant, il y a un tabernacle dans lequel ces choses sont placées.
A la fin de ce chapitre 26, on ne l'a pas lu, mais Dieu voulant, demain soir, on va voir ça.
Il y a des indications de comment ces choses étaient placées dans le lieu saint.
Si on commence maintenant par le premier verset, on voit, donc, quatre choses, quatre couvertures, on peut dire, pour couvrir ces choses.
Donc, ces choses précieuses étaient couvertes.
C'était pour les préserver.
Parce que dans ce monde, il y a beaucoup d'influence qui attaquerait ces choses précieuses.
C'est la même chose encore aujourd'hui.
Il y a beaucoup de tendances autour de nous, beaucoup d'attaques de l'ennemi pour enlever vraiment la valeur de l'arche, du chandelier et de la table.
Et puis, il faut donc une protection, pour ainsi dire.
Une protection, on le voit dans ce chapitre de deux façons.
Une protection pour couvrir.
Et cela en quatre phases.
Le tabernacle, c'est le premier verset jusqu'au verset 6.
Et puis, la tente, verset 7 jusqu'au verset 13.
Un poêle de chèvre.
Et troisièmement, une tente, au-dessus de la tente, une couverture de peau de bélier.
Troisième.
Et quatrièmement, une couverture de peau de tesson par-dessus, verset 14.
Donc, ça c'est un aspect, pour couvrir ces choses précieuses.
Deuxièmement, ce tabernacle, ce rideau qu'on voit ici, ce tabernacle,
et aussi la tente et les couvertures, devraient être supportés par les aies.
Et plus tard, on va voir aussi, pour l'entrée, les piliers.
Donc, tout cela était aussi supporté par les aies.
Donc, on voit ici le tabernacle, deux façons pour préserver ces trésors précieux,
et aussi pour supporter le tabernacle et les couvertures.
On a vu déjà, une fois, que Dieu commence, dans cette présentation,
toujours avec les choses les plus précieuses.
Il a commencé par l'arche.
L'arche était vraiment l'ustensile le plus précieux.
De la même façon, maintenant, dans notre chapitre 26,
Dieu commence par les choses qui sont les plus précieuses.
Et c'est vraiment dans ce verset 1 jusqu'à 6 qu'on voit des choses bien précieuses.
D'abord, ce mot « tabernacle » est ici donc lié à ces drapeaux,
comme il le dit dans le verset 2, des tapis qui étaient mis ensemble.
Je vais montrer dans ce livre-là un peu.
On a vu aussi sur la diapositive comment c'était mis ensemble, ces dix tapis.
Si on va examiner les détails de ces tapis, on va voir qu'il y a une ressemblance avec le voile.
Demain soir, Dieu voulant, on va voir un peu le voile dans le verset 31.
Le voile parle de la personne même de Christ, de sa chair,
donc comment il a révélé la gloire de Dieu en lui-même, en sa personne.
Tandis que ces dix tapis parlaient de l'assemblée,
de tous les croyants mis ensemble dans une unité.
L'unité du corps de Christ n'était pas révélée encore dans ce temps-là.
Mais dans ces images, la pensée de l'unité est là quand même.
On va voir cela.
Et puis, ces tapis étaient mis ensemble et on va voir que c'était le même matériel que le voile.
Donc il y a une ressemblance avec Christ.
Ça veut dire que maintenant dans l'assemblée, Christ est présenté, Christ est vu en nous.
Et en même temps, on voit une distinction.
On voit que tous ces tapis étaient mis ensemble.
Il y avait beaucoup d'instruments pour les mettre ensemble.
Tandis que le voile, présentant le Seigneur Jésus comme tel, était un.
Il n'y avait pas d'agrafe, pas de ganse, pas toutes sortes de choses pour les mettre ensemble.
Le voile était un.
Ça c'est la différence donc.
Mais on voit le même matériel dans ces tapis qu'on voit dans le voile.
Donc, Christ vu en nous maintenant.
On voit aussi une différence dans l'ordre des choses qui sont mentionnées dans le premier verset.
Les tapis étaient de fin coton retort.
Si on lit le voile sur le voile, on voit que ça commence par le bleu.
Dans le verset 31, tu feras un voile de bleu et de pourpre et d'écarlate et de fin coton retort.
Là, on voit que ça commence par le bleu.
Donc, il y a une petite différence.
Ici, ça commence par le coton, donc le tapis de fin coton retort.
Le coton, ça parle donc de la pureté, de la justice pratique.
Et cela est la base de tout.
Si nous ne sommes pas devant Dieu dans une justice pratique, si nous n'avons pas cette pureté, on ne peut pas réaliser les pensées de Dieu.
On ne peut pas vraiment apprécier ce que c'est l'arche ou le chant de Dieu ou la table.
Si nous ne sommes pas purs devant Dieu, on ne peut pas apprécier ces choses-là.
Donc, le coton qui parle de la pureté pratique, de la justice pratique est la base.
Plus tard, on voit aussi dans l'Apocalypse 19, où on voit que l'épouse sera vêtue de ce fin lin.
Et peut-être qu'on se rappelle aussi de Joseph, le jour où le parent l'a exalté.
Il était aussi vêtu de ce fin coton ou pissus.
Ça parle donc d'une pureté, d'une justice pratique.
Mais c'est retort, coton retort, parce que là, on voit de nouveau quelque chose de Christ.
La régularité qu'on voit dans sa personne.
Ce tapis de fin coton était donc mis ensemble.
C'était une œuvre parfaite.
Dans la vie d'un croyant, ça ne commence pas par là.
Ça commence dans le cas de Rahab.
Je ne vais pas élaborer là-dessus, mais c'est beau de voir ça.
Dans la vie de Rahab, à un moment donné, Dieu a opéré et il a eu la foi.
Dans sa vie, on voit qu'il y avait, dans sa maison, où elle a caché les deux serviteurs de Dieu,
elle avait des tiges de lin.
Vous voyez, dans Josué 2, verset 6, Rahab avait des tiges de lin.
C'est ça où on voit déjà une préparation pour ce fin lin.
Ça commence par là.
Donc dans notre vie, le moment où on a cru, ça commence en même temps d'avoir des tiges de lin.
C'est juste au début, cette justice pratique.
Mais il faut que cet aspect-là soit développé,
que nous croissions, pour ainsi dire, dans cette justice pratique, dans cette pureté pratique.
Donc Josué 2, verset 6, dans la vie de Rahab, on voit comment cela a commencé avec elle, avec ce lin, cette pratique de justice.
Elle a encore fait des mensonges dans ce temps-là, mais plus tard non plus, je pense,
parce qu'il y a toujours une croissance spirituelle aussi dans ces choses-là.
Donc ici, dans Exode 26, on voit le plein résultat de ce développement.
C'était du coton retort, je veux dire.
Donc cette pureté était stable, régularisée, pour ainsi dire.
Il n'y avait pas de choses qui étaient contraires, tout était égal.
Et sur cette base-là, Dieu peut donner aussi quelque chose de Christ.
Il peut nous donner des impressions de Christ comme l'homme céleste.
Le bleu, c'est le deuxième point, commençons ici dans le verset premier.
Le bleu parle d'un homme céleste.
On le voit dans Exode 24, mentionné aussi, comment ce bleu, Dieu s'est révélé aussi en rapport avec ce bleu.
On le voit dans Ezekiel 1 et d'autres passages dans la parole.
On peut dire aussi dans le ministère de Jean, l'Évangile selon Jean, on voit ce bleu de nouveau.
Un homme céleste.
Eh bien, maintenant, nous sommes privilégiés, bien privilégiés,
parce que quelques attributs, quelques traits moraux de cette personne divine sont maintenant montrés, présentés en nous.
Ça, c'est vraiment notre privilège, de présenter maintenant des attributs de cet homme céleste.
Le Seigneur Jésus était l'homme céleste, en Chrétien 15,
mais nous sommes maintenant aussi des hommes et des femmes célestes dans ce temps-là, dans ce sang-là.
On le lit dans 1 Chrétien 15, verset 48,
« Tel qu'est celui qui est poussière, tels aussi sont ceux qui sont poussières. »
C'est en Adam.
Deuxièmement, verset 48,
« Tel qu'est le Céleste, tels aussi sont les Célestes. »
Donc, c'est notre privilège, déjà maintenant, d'avoir ces attributs, ces mêmes attributs qu'on a vus déjà,
ces mêmes attributs qu'on voit en Christ, cet homme céleste, sont vus maintenant en nous.
Mais ce chapitre montre aussi qu'il y aura encore un changement dans notre vie.
À un moment donné, on va porter aussi l'image du Céleste, ce sera où notre corps sera transformé.
Donc maintenant, on est transformé moralement et on est déjà céleste.
Mais à un moment donné, on va aussi porter l'image du Céleste, où nos corps sont transformés.
Donc on voit ici que l'Assemblée est maintenant composée par des personnes qui sont célestes.
C'est selon 1 Corinthians 15, qui montre donc les mêmes attributs que Christ a montrés.
Christ, l'homme pur et juste, le fin cotant, retour, mais aussi l'homme céleste.
Et puis on voit, le pauvre, le pauvre parlait de la gloire royale du Seigneur Jésus, une gloire comme homme.
Tandis que l'écarlate, ou peut-être c'est mieux de dire une gloire royale vraiment,
tandis que l'écarlate parle de la gloire de l'homme en général.
La gloire de l'homme, il y a beaucoup de choses à dire là-dessus, mais l'écarlate parle vraiment de la gloire de l'homme.
Mais l'homme, comme il est corrompu, tombé dans le péché, c'est une vaine gloire.
Tandis que dans l'écarlate ici, on voit une vraie gloire.
On pourrait étudier beaucoup de passages là-dessus qui nous montrent cette différence.
Et c'est notre privilège donc maintenant de chérir le Seigneur Jésus, comme présenté dans ses ustensiles,
et en même temps pour reproduire les caractéristiques, les attributs de cet homme parfait.
Homme parfait, comme ce coton noir parle, homme céleste, homme royal, homme de gloire.
Pour réaliser cette chose, le Seigneur Jésus a dû souffrir.
On lit dans le psaume 22, par exemple, qu'il était comme un vert.
Et puis c'est le même mot dans l'hébreu que l'écarlate.
Donc on voit, pour avoir cette gloire, le Seigneur Jésus a dû souffrir.
C'est la leçon de Luc 24, vous vous rappelez peut-être, où le Seigneur Jésus a dit aux disciples qu'il fallait que le Fils de l'homme souffre,
et puis, ou ainsi, soit glorifié.
Donc c'est basé sur la souffrance de Christ.
On ne peut pas avoir cette gloire sans cette souffrance.
Mais j'aimerais souligner donc cette pensée que maintenant Christ est vu en nous.
Et cette pensée on trouve dans le Nouveau Testament, dans les livres, dans les Épitres, aux Éphésiens, aux Colossiens.
Là, la parole nous parle d'un nouvel homme.
Ce nouvel homme, ce n'est pas Christ, parce que ce nouvel homme est créé.
Ce n'est donc pas Christ comme personne, mais le nouvel homme c'est l'expression de Christ comme il est dans la gloire maintenant, mais vu en nous.
Ce nouvel homme donc, c'est Christ reproduit en nous.
Il faut lire les Éphésiens et les Colossiens pour comprendre cela.
Et tous ces attributs qu'on trouve ici, ce sont des attributs, ce sont des attraits qu'on voit en Christ, mais maintenant reproduit en nous.
Il y a un autre verset dans le Nouveau Testament qui dit, 1 Jean 2, ce qui est vrai en lui est en vous.
Donc là on voit ce que Dieu veut.
Dieu a vu un homme parfait, où tous ses attributs étaient parfaitement représentés.
Maintenant Dieu veut avoir ces mêmes choses en nous.
Il veut donc par l'esprit reproduire ces mêmes attributs, ces mêmes caractéristiques, afin que ce qui est vrai en lui soit vrai en nous.
1 Jean 2, verset 8.
Donc nous sommes vraiment privilégiés.
Il y a un cinquième point, et tu les feras avec des chérubins d'ouvrage d'art.
Les chérubins étaient là pour maintenir les droits de Dieu, maintenir les pensées de Dieu.
Et nous avons maintenant un discernement spirituel pour connaître les droits de Dieu.
S'il y a quelque chose dans ma vie qui n'est pas en accord avec les droits de Dieu, on a maintenant l'esprit de Dieu,
on a maintenant, pour ainsi dire, ces chérubins qui maintiennent la gloire de Dieu, qui maintiennent les droits de Dieu,
et qui nous font discerner ce qui est selon Dieu et ce qui n'est pas selon Dieu.
Et puis tout cela était d'ouvrage d'art, donc d'une façon divine.
Parce qu'on ne peut pas mettre ensemble tout cela selon les pensées humaines.
C'est vraiment d'ouvrage d'art, c'est vraiment d'une façon miraculeuse où Dieu opère cela maintenant par l'esprit.
Mais il faut donc rappeler que ces choses étaient données pour préserver les trésors dans le tabernacle.
Et on pourrait dire, pour vraiment apprécier ces choses que Dieu donne dans la table et le chandelier et l'arche,
il faut donc avoir ces mêmes attributs, il faut avoir les mêmes intérêts que Christ avait et que Christ a encore.
Maintenant il y a quelques détails sur la longueur et la largeur, etc., de ce tapis.
On ne va pas élaborer sur tous les détails, mais j'aimerais mentionner un point là-dedans.
Et c'est vraiment très intéressant.
Si on va mettre ensemble les dix tapis d'une rangée, on va avoir la même longueur que le tapis du parvis, sauf la porte.
Donc sans la porte, la longueur de tous les tapis ici est juste la même longueur que ces dix tapis.
Ces dix tapis étaient cachés, seulement Dieu a pu les voir et puis le sacrificateur étant dans le sanctuaire a pu voir ces dix tapis.
Personne d'autre.
Dieu, il voit tout.
Et puis le sacrificateur dans la présence de Dieu, il le voit aussi.
Rien d'autre.
Mais c'est frappant de voir que la même longueur est donc vue ici.
Ça nous donne aussi une leçon.
Pour réaliser les choses dans la présence de Dieu, il faut que notre marche extérieurement, notre témoignage dans le monde soit en accord avec ça.
Puis c'est une leçon qu'on trouve tellement dans la parole.
Je donne un autre exemple.
Si quelqu'un est venu avec une offrande et puis le sacrificateur a présenté cette offrande, il y avait toujours du sel avec ça.
Le sel parle de ce même principe.
Si on offre quelque chose devant Dieu, ça doit être réel.
Ce n'est pas seulement une confession ou des sentiments, mais ce qu'on apporte doit être réel.
Ça doit être en même temps en accord avec ma vie pratique.
Donc ça veut dire, si on va chérir les choses divines, il faut en même temps que notre témoignage public soit en accord avec cela.
C'est une leçon bien solennelle.
Et puis on voit aussi notre responsabilité, parce que c'était dix tapis, deux fois cinq.
Ça parle de notre responsabilité.
Cinq, c'est aussi pour indiquer notre dépendance de Dieu, mais dix parlent surtout de notre responsabilité.
Et les dix tapis, donc, étaient mis ensemble.
C'est notre responsabilité vraiment, comme on va voir ça, d'être mis ensemble avec les chrétiens, selon les principes de Dieu,
et en même temps pour préserver les trésors divins que Dieu nous a confiés.
C'est notre responsabilité.
Et en même temps on voit, excusez-moi, la largeur d'un tapis était quatre coudées.
Quatre, c'est un nombre en rapport avec l'univers.
C'est un nombre qui indique l'universalité.
Et ces principes qu'on trouve dans la parole, sur le rassemblement par exemple, ce sont des principes universels.
Ce que Dieu a donné à Corinthe est valable encore aujourd'hui pour Chaminigan.
Ce que Dieu a donné dans ce jour-là, comme ses principes divins ont un caractère, ses principes divins ont un caractère universel.
C'est en accord avec l'Église universelle.
Et ici on voit dans ce tapis mis ensemble, une image aussi de cette unité universelle.
Et cette unité doit être maintenue donc, et puis ça demande beaucoup d'efforts.
On a vu la différence avec le voile.
Le voile n'était pas mis ensemble d'une telle façon, mais nous comme chrétiens sommes mis ensemble d'une telle façon.
On peut voir qu'il y avait beaucoup d'efforts pour mettre ensemble tout cela.
Verset 3, cinq tapis seront joints l'un à l'autre.
Cinq tapis seront joints l'un à l'autre.
Répétez.
Verset 4, tu feras des gants de bleu.
Ça c'est intéressant.
C'est le même caractère qu'on voit au début de ce tapis.
Des gants de bleu.
Ça veut dire nos relations les uns avec les autres pour fonctionner dans cette unité, ça doit être des relations célestes.
Ce n'est pas à cause du fait que j'aime tel ou tel frère, que je le trouve sympathique, pour cela je me réunis avec lui autour du Seigneur, pas du tout.
C'est selon des principes divins et célestes, ce genre de lien céleste que Dieu a donné.
Ce n'est pas l'homme qui a inventé ça, c'est Dieu qui a donné ces liens.
Et plus tard dans le verset 6, on voit que c'était des agrafes d'or.
L'or parle de la gloire de Dieu.
Donc pour être mis ensemble, nous tous comme des chrétiens, c'est bien pratique ça aussi, il faut que nous acceptions les droits de Dieu et que ces liens soient aussi divins, qui sont en accord avec la gloire de Dieu, l'or.
Pas seulement des contacts sociaux, ça peut aider beaucoup, mais si notre contact comme frères et sœurs est seulement sur la base sociale, ce n'est pas la réalisation de ces principes.
Ces principes, donc, sont mis en pratique, réalisés sur cette base-là.
Ce sont des liens célestes et aussi des liens en accord avec la gloire de Dieu.
Mais ce qu'on aime souligner, c'est cet aspect de l'unité.
On voit aussi dans le verset 5, d'ailleurs le nombre 50 parle de ces 5 fois 10.
Donc 5 parle de notre dépendance.
Pour éliter l'unité, il faut être dépendant de Dieu, toujours dépendant de Dieu.
Mais en même temps, c'est 10, ça parle de notre responsabilité.
Mais 50 a encore une autre pensée, ce n'est pas seulement la dépendance et la responsabilité, c'est aussi la pensée d'unité.
Et c'est remarquable, le cinquième jour, après la résurrection du Seigneur Jésus, c'était le jour Pentecôte.
Et ce jour-là, cette unité a été réalisée.
Le baptême de l'Esprit, c'était là, ce jour-là, le cinquième jour, excusez, le cinquantième jour.
C'est beau ça, parce que ça souligne cette pensée de l'unité.
Et puis on voit aussi dans le verset 5 à la fin, il parle de l'assemblage et puis les grandes seront vis-à-vis l'une de l'autre.
Donc on voit ce fonctionnement pratique dans l'unité, qu'on a des relations l'un vers l'autre.
Et en rapport avec les agrafes d'or, verset 6, tu feras 50 agrafes d'or et tu joindras les tapis l'un à l'autre.
On peut dire, ce sont aussi les principes dans 2 Timothée 2, on voit comment on peut réaliser, même dans les jours de déclin, de ruine, les principes du Dieu en rapport avec l'unité.
Et ce sera un seul tabernacle.
C'est vraiment beau de voir comment l'Esprit termine ce passage avec cette pensée-là.
Ce sera un seul tabernacle.
Donc, 10 tapis, beaucoup d'efforts pour mettre ensemble, mais le résultat est un seul tabernacle.
Donc ce seul tabernacle montre les mêmes caractéristiques qu'on trouve dans le voile, dans la personne bénie de notre Seigneur Jésus.
Donc on voit ici des attributs, une plénitude vraiment de caractéristiques qui doivent être montrées maintenant à nous, les croyants de cette période.
Et pour répéter, on peut dire que toutes ces caractéristiques sont tirées de Christ.
On n'a rien de nous-même.
Nous, en nous-mêmes, ne sommes pas célestes.
En nous-mêmes, nous n'avons pas cette pureté, cette justice.
On tire ça tout de Christ, pour ainsi dire.
En lui sont toutes ses ressources et de lui viennent toutes ses caractéristiques.
Mais ces caractéristiques sont maintenant reproduites en nous.
C'est ça le nouvel homme que nous sommes maintenant par la grâce.
Il faut cultiver ces choses-là.
Il faut vraiment faire des efforts spirituels pour maintenir ces principes-là.
Si quelqu'un vient au milieu de nous, il aime rompre le pain, ce n'est pas parce que nous le trouvons sympathique, c'est selon des principes divins qu'on peut le recevoir.
Cela exclut aussi, pour ainsi dire, la pensée de sectes.
Souvent, on trouve au milieu des chrétiens beaucoup de sectes et il y a toujours la tendance d'avoir des sectes.
Mais les sectes sont incompatibles.
On ne peut pas les mettre ensemble avec ces principes divins qu'on a vus un peu ce soir.
Maintenant, ce tapis précieux était couvert par la teinte.
C'est remarquable que le deuxième prophète, selon Dieu, a toujours maintenu les droits de Dieu.
Le prophète a maintenu les droits de Dieu même si la conséquence était qu'il devrait se mettre à l'écart du peuple.
De Timothée II, on voit ce principe-là.
Mais on le voit aussi dans l'exemple de Moïse, où tout le peuple avait introduit l'idolâtrie.
Moïse a pris cette teinte de poils de chair, vous pouvez le lire dans le chapitre 33 de notre livre.
Il a dressé cette teinte dehors du camp.
Pour réaliser les pensées de Dieu, il faut être séparé du mal.
La séparation du mal n'est pas en contradiction avec l'unité.
Souvent, on pense qu'il y a des chrétiens qui disent qu'il faut rester où on est, dans l'église romain-catholique ou dans quel groupe que ce soit.
Mais là, on n'est pas.
Mais pas selon des principes divins.
Le principe divin, c'est la séparation du mal.
Le frère Darwin, au début du siècle passé, a écrit un article en disant que la séparation du mal est le principe de l'unité.
Ça semble se contredire.
Mais selon les pensées de Dieu, c'est vrai.
La vraie séparation du mal, c'est en même temps le principe divin de l'unité.
Donc l'unité, comme on l'a vu, et comme on le voit aussi dans cette teinte, parce qu'aussi dans cette teinte, on voit cette pensée de l'unité soulignée souvent.
Mais d'abord, cette pensée, on doit saisir un peu que c'est en rapport avec les droits de Dieu.
Pour maintenir les droits de Dieu, le prophète a été vêtu dans cette couverture.
Et pour maintenir les droits de Dieu, Moïse a placé cette teinte hors du camp.
On voit aussi le sacrifice pour le péché, le chair donc, souvent le sacrifice pour le péché.
Si on voit que dans l'œuvre de Christ, le péché a été jugé, est-ce qu'on peut réintroduire dans notre vie ou dans le rassemblement des mêmes principes que Dieu a jugés dans la mort de son fils?
Donc ce poil de chair montre vraiment que la séparation du mal, c'est un principe divin.
Et puis c'est ça qu'on voit un peu, parce que c'est remarquable, c'était onze tapis maintenant, onze tapis.
Et si on a lu tout ce passage, on voit qu'une petite partie de ces tapis, de cette teinte était vue.
Et on peut dire, généralement, une onzième de cela était vue.
On peut penser à la vie du Seigneur Jésus.
Trente années étaient cachées. Seulement trois années étaient publiques.
Et c'est aussi un principe pour nous, la plupart de notre vie est dans le caché.
Et comment nous nous comportons dans le caché?
Si nous vivons avec Dieu, dans une vraie séparation, dévouée à Lui, on peut aussi montrer une onzième, dans le sens public, comme le Seigneur Jésus l'a fait.
Une onzième était vue.
Mais la pensée générale, c'est ici que cette teinte a couvert donc le tabernacle précieux avec les dix tapis qu'on a vus dans le premier verset.
Tout cela était couvert par la teinte.
Il faut vraiment saisir l'idée de cette teinte, donc la séparation du mal.
Et c'était aussi nécessaire, cette séparation était nécessaire aussi pour couvrir ces choses précieuses qu'on a vues dans ce tabernacle.
Et on voit aussi que chacun est responsable d'agir selon ses principes de la séparation.
Ces onze tapis étaient mis ensemble.
Ce n'est pas suffisant qu'un frère au milieu de nous maintienne ses principes de la séparation du mal.
Il faut que nous tous maintiennons ces mêmes principes.
Verset 9
Et tu joindras cinq tapis à part et six tapis à part, et tu replieras le sixième tapis sur le devant de la teinte.
Donc, comme j'ai dit, une onzième était visible.
De nouveau, on voit aussi dans cette portion-là la pensée de l'unité.
Mais maintenant, verset 11, on voit que cette unité était réalisée maintenant par agrafe d'airain.
On a vu verset 6 des agrafes d'or, mais maintenant ce sont des agrafes d'airain.
Parce que, on va voir ça demain soir, Dieu voulant, en rapport avec l'autel d'airain.
L'airain est une capacité pour maintenir les droits de Dieu.
L'airain parle donc d'une capacité qui peut supporter le jugement de Dieu.
Et le prophète, donc, qui a maintenu les pensées de Dieu, avait donc aussi la capacité d'être en accord avec Dieu,
et même supporter le jugement de Dieu.
On le voit dans Elie, on le voit dans Jean le Baptiseur, et Dieu voulant, on va le voir demain,
si le Seigneur n'est pas encore venu, dans l'autel d'airain, plus en détail.
Donc, ici, l'airain est nécessaire, en rapport avec la séparation du mal, pour réaliser pratiquement ce principe.
De nouveau, on voit verset 11, à la fin, elle sera une.
Donc, cette pensée de l'unité est beaucoup soulignée dans ce chapitre-là.
Et cela nous encourage beaucoup, parce que ce sont vraiment des principes divins,
de l'unité qui nous place hors du camp, qui nous place, comme le Seigneur l'a fait, ensemble.
Donc, dans verset 13, il est souligné que cette teinte, qui parle de la séparation, était pour couvrir le tabernacle, le vrai tabernacle.
Et on peut dire, donc, les attributs décrits par le Seigneur,
c'est qu'il n'y avait pas d'attribut, il n'y avait pas d'attribut,
La séparation était pour couvrir le tabernacle, le vrai tabernacle.
Et on peut dire, donc, les attributs de Christ, l'homme céleste, et tout cela qu'on a vu, est couvert.
L'homme naturel ne voit rien de ça.
On va voir ça aussi dans le verset 14, plus loin,
que toutes ces couvertures étaient invisibles pour l'homme à l'extérieur.
La seule chose qui était visible, donc, c'était cette onzième partie de cette teinte qu'on a vue.
Deuxièmement, verset 14, une couverture de peau de teissant était visible.
Les peaux de teissant parlent, je pense, de cette capacité que le Seigneur Jésus avait pour résister aux attaques qui sont venues.
Et en même temps, il avait montré une sainteté.
Il était vigilant. Il n'a jamais dormi, pour ainsi dire.
Il a vraiment discerné ce qui est selon les pensées du Dieu. Il a maintenu les pensées du Dieu.
Mais c'est la seule chose que les hommes ont vue.
Ils ont vu un homme vivant en sainteté, maintenant les droits de Dieu, qui a pu résister aux attaques de l'ennemi.
C'est la seule chose que les hommes ont vue.
Maintenant, c'est touchant pour mon cœur, je pense, de voir que ces quatre traits qu'on a vu, un peu,
donc le premier, le tabarnak, puis la teinte, puis la couverture de peau de bélier,
et aussi la couverture de peau de teissant, on le voit dans Ésaïe 53.
Je vais mentionner ça plus tard.
Mais maintenant, un peu sur la troisième couverture, qui est mentionnée au début du verset 14,
tu feras pour la teinte une couverture de peau de bélier.
Le bélier, ce n'est pas, comme on a vu, avec le chèvre, pour le péché.
Le bélier était en rapport avec la consécration.
Dans Lévitique 8, on voit comment les prêtres, les sacrificateurs étaient consacrés à Dieu.
Et avec cette consécration, un bélier ou des béliers étaient offerts.
Un autre cas, on le voit dans Genèse 22.
Tu te rappelles l'histoire d'Isaac et Abraham.
Isaac était offert, puis le Seigneur est intervenu.
Il a vu donc l'obéissance d'Abraham et sa foi,
et puis Abraham s'est tourné et il a vu un bélier.
Le bélier qui était attaché avec ses cornes dans le buisson.
Là, on voit le dévouement aussi, parce que ça parle du Seigneur Jésus.
Avec la force de ses cornes, il s'est abaissé dans son amour, même au niveau du buisson.
En principe, c'est sous le jugement du Dieu, le buisson.
Mais le Seigneur Jésus s'est abaissé jusqu'à ce niveau-là, tellement loin est allé son amour.
Et cela est souligné ici, parce que ses peaux de bélier étaient teintes en rouge.
Ce n'était pas simplement des peaux de bélier, mais teintes en rouge.
Cela veut dire que ce dévouement du Seigneur Jésus allait jusqu'à la mort.
Parce que le rouge parle du saint.
Et donc ce bélier typifie vraiment le dévouement du Seigneur Jésus, Philippiens 2.
Un dévouement, une obéissance, mais aussi un dévouement jusqu'à la mort.
Mais c'est exactement cela qui doit nous caractériser.
Parce qu'on peut dire, pour réaliser ces choses qu'on a vues dans le tabarnak et dans la teinte de poils de chèvre,
il faut que nous ayons aussi un dévouement.
Et puis, on peut penser à Romains 12.
Romains 12, on voit que nos corps sont maintenant des sacrifices vivants pour Dieu.
Cela parle donc d'un dévouement parfait, sans réserve.
Ici aussi, c'est un dévouement sans réserve.
Cela parle aussi de l'énergie spirituelle.
Quelle énergie le Seigneur Jésus a montrée dans sa consécration.
Et puis, pour maintenir ces choses qu'on a vues, il faut ce dévouement.
Mais en même temps, ce que le monde doit voir, c'est cette vigilance, cette sainteté, qui en soi n'attire pas.
Et maintenant, il y a un dévouement.
Ce que le monde doit voir, c'est cette vigilance, cette sainteté, qui en soi n'attire pas.
Et maintenant, peut-être quelques versets dans Ésaïe 53, pour souligner cela,
parce que ces mêmes attributs qu'on voit dans le Seigneur Jésus, dans Ésaïe 53, peuvent nous caractériser maintenant.
Dans Ésaïe 53, verset 2, on voit, pour ainsi dire, cette peau de Thesson,
Ésaïe 53, verset 2, au milieu, il n'a ni forme, ni éclat.
Ce n'était pas attirant, on voit ça.
Ça attire, mais le monde n'a pas vu ça.
Jean 1 le dit, que les apôtres ont vu sa gloire, la gloire d'un premier-né, d'un unique, d'un Père.
Mais le monde a vu ça.
Ni forme, ni éclat.
Quand nous le voyons, il n'y a point d'apparence en lui, pour nous le faire désirer.
C'est ça que le monde a vu.
Dans le verset 7, on voit un peu les peaux de Bélier, Tintin-Rouze, verset 7, au milieu.
Il a été amené comme un aïau, un aïau, ça peut être aussi un bélier, c'est la même sorte,
un aïau à la boucherie, et a été comme une brebis muette devant ceux qui l'attendent.
Il n'a pas ouvert sa bouche.
L'envoi aussi, le dévouement du Seigneur Jésus, l'obéissance jusqu'à la mort.
Verset 9, nous parle un peu de cette tente de poils de chèvre.
À la fin, il n'y avait pas de fraude dans sa bouche.
Un vrai prophète, pas de fraude dans sa bouche.
Un vrai prophète.
Et puis quatrièmement, on voit un peu les caractéristiques de ce tabernacle,
qu'on a vu au début dans verset 10.
Mais il plut à l'éternel le meurtrir, il a soumis à la souffrance.
S'il livre son âme en sacrifice pour le péché, il verra une semence.
Il prolongera ses jours, et le plaisir de l'éternel prospérera en sa main.
Ici on voit le Seigneur, mais aussi une semence.
Et c'est ça qu'on a vu un peu.
Le Seigneur était seul, le voile est seul.
Mais les mêmes caractéristiques sont vues maintenant dans ce tabernacle, ce tapis.
Et puis aussi verset 11, sa connaissance, le juste.
Le juste, on a vu le fin coton retort.
Le juste enseignera la justice à plusieurs.
Donc ce sont quelques caractéristiques de ce tabernacle qu'on trouve aussi.
C'est beau de voir dans un chapitre comme Isaïe 53,
on voit les mêmes attributs qu'on trouve dans ces quatre couvertures,
le tabernacle, la tente et les deux couvertures ici dans notre chapitre.
Il faut donc rappeler que tous ces attributs,
toutes ces caractéristiques étaient nécessaires pour préserver ces choses précieuses. …
Transcription automatique:
…
On est arrêtés hier soir, et j'aimerais lire jusqu'au chapitre 27, verset 19.
C'est dans ma Bible juste en bas.
Exode 26, verset 31.
Et tu feras un voile de bleu, et de pourpre, et d'écarlate, et de fin coton retort.
On le fera d'ouvrage d'art, avec des kérubins.
Et tu le mettras sur quatre piliers de boîtes citines plaquées d'or, et leurs crochets seront d'or.
Ils seront sur quatre bases d'argent.
Et tu mettras le voile au-dessous des agrafes.
Et tu mettras là, au-dedans du voile, l'arche du témoignage.
Et le voile fera séparation pour vous entre le lieu saint et le lieu très saint.
Et tu mettras le propitiatoire sur l'arche du témoignage dans le lieu très saint.
Et tu placeras la table en dehors du voile, et le chandelier vis-à-vis de la table, sur le côté du tabernacle qui est vers le sud.
Et tu mettras la table sur le côté nord.
Et tu feras pour l'entrée de la tente un rideau de bleu, et de pourpre, et d'écarlate, et de fin coton retort.
Un ouvrage de bois d'or.
Et tu feras pour le rideau cinq piliers de bois de cithyme.
Et tu les placeras d'or, et leurs crochets seront d'or.
Et tu fonderas pour eux cinq bases d'airain.
Chapitre 27
Et tu feras l'autel de bois de cithyme.
Il aura cinq coudées de long, et cinq coudées de large.
L'autel sera carré, et sa hauteur sera de trois coudées.
Et tu feras ses cornes à ses quatre coins.
Ses cornes seront tirées de lui.
Et tu le placeras d'airain.
Et tu feras ses vases à cendres, et ses pelles, et ses bassins, et ses fourchettes, et ses brasiers.
Tous ses ustensiles, tu les feras d'airain.
Et tu lui feras une grille en ouvrage de treillis d'airain.
Et tu feras au treillis quatre anneaux d'airain, à ses quatre bouts.
Et tu le mettras au-dessous du contour de l'autel, en bas.
Et le treillis ira jusqu'au milieu de l'autel.
Et tu feras des barres pour l'autel, des barres de bois de cithyme.
Et tu les placeras d'airain.
Et on fera entrer ces barres dans les anneaux.
Et les barres seront aux deux côtés de l'autel, pour le porter.
Tu le feras creux, avec des planches, comme il t'a été montré sur la montagne.
On le fera ainsi.
Et tu feras le parvis du tabernacle, vers ses neufs.
Pour le côté du midi, vers le sud, des tentures de fin coton, autour.
Pour le parvis, de cinq coudées en longueur, pour un côté.
Et ses vingt piliers, et leurs vingt bases d'airain.
Les crochets des piliers, leurs baguettes d'attache, seront en argent.
Et pour la largeur du parvis, du côté de l'occident,
tu feras cinquante coudées de tentures, leurs dix piliers, et leurs dix bases.
Et la largeur du parvis du côté de l'orient, vers le levant, sera de cinquante coudées.
Tu feras pour l'un des côtés, de cinq coudées en longueur.
Et pour l'autre côté, de cinq coudées en longueur.
Et pour le côté du sud, de cinq coudées en longueur.
La largeur du parvis sera de cinquante coudées.
Tu feras pour l'un des côtés, quinze coudées de tentures, leurs trois piliers, et leurs trois bases.
Et pour l'autre côté, quinze coudées de tentures, leurs trois piliers, et leurs trois bases.
Et, pour la porte du parvis, un rideau de vingt coudées,
de bleu, et de peauvre, et d'écarlate, et de fin coton à tort, un ouvrage de brodeur,
ses quatre piliers, et leurs quatre bases.
Tous les piliers du parvis, alentour, auront des baguettes d'attache en argent,
leurs crochets d'argent, et leurs bases d'airain.
La longueur du parvis sera de cinq coudées, et la largeur de cinquante tout le long.
Et la hauteur de cinq coudées, en fin coton à tort.
Et les bases des piliers seront d'airain.
Tous les ustensiles du tabernacle, pour tout son service, et tous ses pieux,
et tous les pieux du parvis seront d'airain.
Jusqu'ici, la lecture de la parole.
Donc, on a vu un peu hier soir, que Dieu aime habiter au milieu de son peuple.
Il a délivré son peuple d'Egypte, où ils étaient en esclavage.
Et c'est pour nous la même chose, on était en esclavage, Dieu nous a donné cette nouvelle vie.
Mais on était encore sous la puissance, ou dans la puissance du péché de Satan.
Et Dieu, par sa grâce, nous a délivré par le Seigneur Jésus de ses puissances,
pour nous avoir en liberté, afin que nous le servions.
C'était le but. On peut le lire dans Exode 4, verset 23,
où Dieu a dit qu'il appelle son fils, afin que son fils puisse sortir d'Egypte, pour le servir dans le désert.
Ça c'est le conseil de Dieu, le plan de Dieu.
Dans Exode 15, on voit comment ce peuple a été délivré, et sous la direction de Moïse, ils ont chanté ce cantique.
Et dans ce cantique, ils ont offert, c'était la réponse de leur amour, pour construire cette place d'habitation.
Ils étaient dans des tentes, ils habitaient dans des tentes, et Dieu a dit, moi je veux habiter aussi au milieu de vous, dans une tente.
Et cette tente était donc la place d'habitation de Dieu.
Ce n'était pas la place d'habitation pour le peuple, eux avaient leur tente.
Ils sont venus ici pour se réunir avec Dieu.
Mais ils n'habitaient pas là.
Plus tard, dans le temple, on ne peut pas élaborer là-dessus, mais dans le temple, on va voir,
on peut le lire dans 1 roi et aussi dans 2 chroniques, il y avait dans le temple des habitations pour les serviteurs, pour les prêtres, pour les sacrificateurs.
Donc là on voit que là où Dieu habitait, dans le temple, il y avait aussi une place d'habitation pour les membres de son peuple, les membres bien privilégiés.
C'est la pensée que Dieu a, il veut nous avoir avec lui, pas seulement pour être réunis une fois par semaine, mais pour habiter avec lui.
Mais cette pensée là, on ne la trouve pas encore dans le tabernacle, on trouve seulement cette pensée que Dieu habite au milieu de son peuple, et il les invite pour être avec lui dans la tente d'assignation.
On a vu hier soir que ce tabernacle parle des beautés du Seigneur Jésus, et en même temps on peut dire que ces beautés du Seigneur Jésus sont réproduites maintenant dans l'Assemblée.
Et l'Assemblée, qui est maintenant le peuple de Dieu, délivrée de ce monde, l'Assemblée chérit dans ses affections et garde aussi les ustensiles précieuses qu'on trouve dans l'Exode 25.
L'arche, le trône de Dieu, le centre de tout système, la table et le chandelier.
Plus tard on va voir, en rapport avec notre accès, aussi l'autel d'incense, pour brûler l'incense.
Juste pour répéter, on voit donc, c'est l'habitation de Dieu.
L'habitation de Dieu, on peut le voir, l'avoir en rapport avec Christ, Dieu habite en Christ.
Mais l'habitation de Dieu maintenant sur cette terre, c'est l'Assemblée.
Dieu habite dans l'Assemblée.
On voit aussi dans le tabernacle un système où Dieu se révèle.
Dieu sort du sanctuaire et rencontre le pécheur auprès de l'autel.
On va voir ça un peu ce soir, Dieu voulant.
Et de sa part, l'homme s'approche de Dieu et rencontre Dieu ici.
L'autel est le point où Dieu et le pécheur se rencontrent.
Dieu et le pécheur se rencontrent.
Et le grand sacrificateur, ou le sacrificateur, dans l'Exode 28 et 29, est introduit là pour nous prendre avec lui dans le lieu sain.
Et même le lieu très sain.
Donc, en quelques mots, c'est un peu le sujet dans ce chapitre.
Maintenant, on veut continuer un peu le sujet d'hier soir, parce qu'on n'a pas fini le chapitre 26.
Parce qu'on a vu d'un côté ces tapis qui représentent des attributs du Seigneur Jésus,
et en même temps des attributs des traits moraux qui sont vus maintenant dans le rassemblement, dans l'Assemblée.
Mais il y a une chose qu'on voit ici, ou deux choses, le voile et le rideau, en rapport avec l'entrée.
Et ces choses-là parlent d'une façon particulière du Seigneur Jésus.
On a lu ce soir, de ce rideau, l'entrée, la porte, dans cette maquette, c'est pas correct, c'était quatre parties.
C'était une porte, on l'a lu dans le 27 verset 16, un rideau de 20 coudées, ça veut dire donc 10 mètres.
Et puis ça c'est l'entrée pour le parvis.
Ça parle du Christ.
On va le voir, Dieu voulant.
Puis pour, juste pour continuer le chemin de notre accès, on passe à travers le rideau, et puis on passe à travers le voile.
Et c'est le voile qu'on voit d'abord, parce qu'il faut se rappeler, Dieu parle d'abord des choses qui sont les plus précieuses.
Dieu a commencé par les, de l'arche, dans le chapitre 25.
Il n'a pas commencé par ici, l'autel ou la porte.
Dieu commence par le centre de tout système.
Donc Dieu se révèle de ce point-là, de son centre, Dieu va descendre, pour ainsi dire, pour nous rencontrer sur le niveau où nous sommes.
Et Dieu parle ici, de son centre, de l'arche.
Et puis Dieu parle donc, en rapport avec ce chemin d'accès, il faut le voir de son côté, pas de notre côté.
De notre côté, on verrait ici la porte, et puis le rideau, et puis le voile.
Mais de la part de Dieu, et c'est ça qu'on voit ici, de la part de Dieu c'est d'abord le voile, et puis le rideau, et puis la porte.
Donc on a d'abord le voile dans Exode 26, verset 31, et tu feras un voile de bleu.
Donc attention maintenant, on a vu hier soir que le coton, fin, était mentionné d'abord.
Et on a vu ce coton parle de la pureté, de la justice pratique.
Mais ici, le bleu est mentionné d'abord, parce que le Seigneur Jésus est d'abord l'homme venu du ciel, l'homme céleste.
Il a pu dire, le fils de l'homme qui est au ciel.
Jean 3, verset 13, dans sa conversation avec Nicolas, le Seigneur a dit, le fils de l'homme qui est au ciel.
Donc imaginons cela, un homme, en même temps, dans le ciel.
Donc ça c'est la personne bénie de notre Seigneur Jésus.
Une personne tellement grande qu'on ne peut pas comprendre cela.
Un homme en même temps Dieu.
Et cela est indiqué dans ce symbole ici.
Le bleu parle donc de sa déité, et aussi du fait que c'est un homme céleste.
Parce que ce n'est pas seulement comme Dieu qu'il se révèle, il se révèle étant Dieu, mais en rapport avec son humanité.
Dieu s'est révélé en chair, Dieu est devenu chair, et il s'est révélé dans un homme.
C'est ça qu'on voit un peu aussi dans le tabernacle, Dieu s'est révélé dans un homme.
Si Dieu se révèle comme Dieu, il ne pouvait pas communiquer avec nous, on ne pourrait pas comprendre.
Dieu s'est révélé dans un homme, un homme très précieux.
Donc le bleu parle de l'homme céleste, comme on a vu un peu hier soir.
Et puis le pauvre parle de ses droits royaux.
Et puis l'écarlate, on a vu, parle de sa gloire humaine.
Et maintenant le quatrième point, c'est le coton retour.
Et je voulais maintenant mentionner un point qu'on a oublié hier soir.
Le coton, on voit ici aussi, c'est le fin lin, mais on a vu aussi retour,
c'est-à-dire c'est mis ensemble d'une façon, c'est comme quelque chose qui a été fabriqué, vraiment mis ensemble.
Quand ça parle de la régularité aussi dans la vie du Seigneur Jésus, il n'y avait pas de ups and downs.
C'est vraiment stable, régularisé.
Mais surtout ça parle de la justice pratique dans le Seigneur Jésus.
Il était juste, mais il était aussi pur, une pureté selon les pensées de Dieu.
Et on lit, ce principe est très important devant Dieu.
Dans l'Option 24, on lit, ceux qui s'approchent de Dieu doivent être purs, ils doivent avoir des mains pures.
Si nous nous approchons de Dieu maintenant, aujourd'hui, il faut que les frères élèvent leurs mains, spirituellement bien sûr, dans l'intimité d'eux, mais il faut que ce soit des mains pures.
Donc cette pureté pratique, on la voit, je pense, dans ce coton retour.
On le voit aussi dans l'Apocalypse 19, l'épouse plus tard sera ornée dans ce vêtement de fin lin.
Ce fin lin parle aussi de nos actes justes, par la grâce bien sûr.
Un détail, j'aimerais mentionner encore, ce mot pour fin coton, dans l'hébreu, est le même mot qu'on peut traduire par six.
Et six c'est le nombre de l'homme.
L'homme a été créé le sixième jour.
Et on voit souvent le nombre six en rapport avec l'homme.
Donc on peut voir ici, cet aspect, le coton retour parle de l'humanité parfaite du Seigneur Jésus.
Sa pureté, on l'a vu, sa justice pratique, mais aussi sa souligne, c'était un homme parfait.
L'homme a gâté tout.
On peut voir aussi dans les écritures, le nombre six en rapport avec l'homme qui a gâté tout.
On sait peut-être, Nebuchadnezzar, il a construit une image pour lui-même.
C'était le livre de Latrie, cette image avait 66 coudées longueurs et 6 coudées largeurs.
Puis plus tard, l'antichrist sera caractérisé par le nombre 666.
Donc on voit que l'homme, dans son indépendance de Dieu, il gâte tout.
Mais le nombre six dans les pensées de Dieu est lié à l'homme.
L'homme qui a été créé le sixième jour.
Et puis, je voulais maintenant comparer un peu ce voile avec le rideau.
D'abord, peut-être une pensée encore.
Le voile parle d'une façon particulière du Seigneur Jésus des jours de sa chair, donc son séjour ici-bas.
Le voile parle de sa personne, mais pas seulement en rapport avec son séjour ici-bas.
Maintenant, dans Hébreu 10, on peut lire que le voile, dans le ciel, c'est aussi la chair du Seigneur Jésus.
Donc, comme en, dans la gloire, le Seigneur Jésus est maintenant encore le voile.
Et on passe à travers le voile pour voir la gloire de Dieu.
Tandis qu'en rapport avec le premier tabernacle qu'on voit dans Hébreu 9, ce voile a été déchiré.
Parce que là, ça symbolise un système où Dieu était caché.
Et ce système a été mis de côté. Ce premier tabernacle, dans ce sens-là, a été mis de côté.
Et ce voile a été déchiré.
Mais on peut l'appliquer aussi, dans ce sens-là, au Seigneur Jésus lui-même, parce que sa vie a été déchirée, pour ainsi dire, juste au milieu.
Et il y a beaucoup de pensées là-dessus pour voir comment le Seigneur Jésus a été déchiré littéralement à la croix.
Maintenant, avant qu'on compare ce voile avec le rideau, un point à mentionner.
Sur le rideau, on ne voit pas des chérubins. Sur le voile, il y a des chérubins.
On a vu hier soir aussi un peu sur les tapis, avec les quatre couleurs, il y avait aussi des chérubins.
Qui parlent du discernement, qui parlent aussi de cet aspect-là, qu'ils veillent sur les droits de Dieu.
Et le Seigneur Jésus, comme homme, il a toujours maintenu les droits de Dieu. Il a toujours discerné ce qui était selon les pensées de Dieu.
Il n'a jamais oublié les droits de Dieu.
Les chérubins, on les rencontre pour la première fois dans l'Écriture, le moment où Adam et Ève avaient péché et étaient chassés du jardin.
Là, on voit pour la première fois les chérubins. On les trouve beaucoup dans la Parole. Dans l'Epsaume, dans Ézéchiel, dans Apocalypse 4 et 5, on les voit comme ceux qui maintiennent les droits de Dieu.
Donc les chérubins, dans la vie du Seigneur Jésus, parlent de ce discernement et aussi de cet aspect-là, qu'il a toujours maintenu les droits de Dieu, comme un vrai chérubin.
Mais ces chérubins, on ne les trouve pas dans le rideau, parce que le rideau attire les gens pour entrer.
Une fois qu'on est entré, on se réalise que là, dans la présence de Dieu, Dieu veut avoir la réalité.
On se rappelle peut-être ce verset dans Jean 4, que Dieu, que le Père cherche des adorateurs, mais le Seigneur Jésus dit de vrais adorateurs.
Et aussi, David a appris, dans l'Epsaume 51, que Dieu veut la réalité au-dedans de nous, la vérité.
Donc, dans la présence de Dieu, on peut dire, devant ce voile, on se réalise qu'on est dans la présence de Dieu qui veut la vérité.
C'est la même chose pour nous, si nous nous réunissons autour du Seigneur Jésus, une confession seulement n'est pas suffisante.
Il faut que ce soit réel.
Que nous réalisions aussi la présence de Dieu.
Un chrétien, verset 14, verset 25, dit, Dieu au milieu de vous.
Il faut réaliser ça.
Que nous sommes dans la sainte présence de Dieu.
Et cela fait aussi que nous sommes réels dans nos relations.
Il ne faut pas mentir les uns contre les autres, mais parler la vérité.
Parce que nous réalisons, avec notre faiblesse bien sûr, mais nous réalisons dans notre mesure la présence de Dieu.
Pour cela aussi, dans l'autre dessin, ce frère, il a indiqué sur le rideau l'œil.
L'œil de Dieu qui voit tout.
Il a exprimé dans ce sens-là, on ne peut pas voir dans la Bible que c'était vrai,
mais pour indiquer, si quelqu'un entre ici, il faut réaliser d'une façon particulière que Dieu voit tout.
Mais, où on est dans notre vie, soit ici ou là, il faut toujours réaliser que Dieu voit tout.
Donc, la première différence entre le voile et le rideau, c'est le cérubin.
Le rideau parle aussi du Seigneur Jésus.
C'était le même format, même la porte était le même format, exprimé en pied carré.
Et puis, on voit dans le rideau et dans la porte aussi les quatre attributs qui sont mentionnés toujours, sauf le cérubin.
Donc, le cérubin, c'est un rapport avec la présence de Dieu, où on réalise vraiment la présence de Dieu.
Là, on voit le cérubin.
Il y a encore une autre différence entre le voile et le rideau.
Le voile était accroché à quatre piliers.
Le rideau, cinq piliers.
Verset 32.
Dans ce verset-là, on voit donc ces quatre piliers.
Et souvent, on a pensé aux quatre évangélistes, ces quatre piliers qui nous présentent la vie du Seigneur Jésus.
Mais on peut voir, ces quatre piliers étaient fondés sur des bases d'argent.
Et l'argent parle, on a vu hier soir un peu, ces quatre bases d'argent parlent de la mort du Seigneur Jésus, la valeur de sa mort dans la rédemption.
Et aussi, on le voit maintenant, surtout la base que le Seigneur Jésus a mise dans sa mort devant Dieu.
Afin que, sur cette base, Dieu puisse révéler la valeur de la personne du Seigneur Jésus.
Autre mot, avant la mort du Seigneur Jésus, les disciples n'ont pas compris la vraie valeur du trône, de l'arche.
Le Seigneur Jésus était l'arche. Il est encore l'arche.
Les disciples n'ont pas réalisé la valeur de ça.
Même s'il était dans sa présence, ils n'ont pas compris ça.
Mais après la mort du Seigneur Jésus, après sa résurrection, après qu'ils aient reçu l'Esprit, ils ont compris.
Et c'est pour nous la même chose.
Maintenant, même sans avoir vu le Seigneur Jésus comme homme dans la chair, nous connaissons ces choses.
Parce que, sur la base de sa mort et de sa résurrection, Dieu a pu révéler la vraie valeur de ces choses.
La vraie valeur de ces choses.
Donc, ces quatre bases, chaque pilier, une base.
Cette base, la mort du Seigneur Jésus, la rédemption était suffisante pour Dieu pour révéler ces choses maintenant.
On a vu hier soir que le Vat Sitim parle de l'humanité du Seigneur Jésus et l'or parle de la gloire de Dieu.
Donc on voit ces deux aspects.
De nouveau, aussi dans les évangiles, on voit un homme, un homme parfait.
En même temps, Dieu, la même personne.
Mais ce témoignage a été donné en quatre, par quatre évangélistes.
Parce que seulement Dieu peut voir ces quatre aspects différents d'une fois, pour ainsi dire.
Mais Dieu a donné quatre évangélistes pour nous révéler maintenant ces aspects différents.
On ne peut pas comprendre tout cela d'une fois.
Nous avons besoin de ces quatre évangélistes pour comprendre maintenant ce que cela signifie.
Et on a vu hier soir aussi que ce nom quatre a le sens d'être universel.
L'évangile se dirige maintenant en quatre directions.
Une autre pensée encore dans ce verset.
Non, c'est verset trente-trois.
Et tu mettras le voile au-dessous des agrares.
On a vu hier soir que ces rideaux, ce tapis qui était unis ensemble, parle de l'unité de l'Église maintenant, de l'unité de l'Assemblée.
Ici dans ce verset trente-trois, on voit que la place où ces deux parties sont mises ensemble était juste au-dessus du voile.
Et on répète simplement que cela indique que cette unité pratique ne peut jamais être séparée de la valeur de la personne du Seigneur Jésus.
Soit dans son humanité ici-bas, soit comme homme dans la gloire maintenant.
Parce qu'il est encore le voile parfait dans la gloire.
Mais notre unité comme chrétien est en rapport avec sa personne.
Donc c'est indiqué dans ce verset trente-trois.
Et puis au-dedans, il ajoute dans verset trente-trois, au-dedans du voile, l'arche du témaillage.
Il faut voir que l'arche du témaillage qui était le centre de ce système donc était cachée.
Le moment où ce voile a été déchiré, Dieu est sorti pour révéler, sur la base de la mort du Seigneur Jésus, pour révéler tous ses trésors.
Dans ce jour-là, verset trente-trois, à la fin, le voile fera séparation pour vous entre le lieu saint et le lieu très saint.
Parce que dans ce jour-là, le Seigneur Jésus n'était pas encore venu.
Dieu n'a pas pu révéler le vrai sens de ces choses.
Il faut bien réaliser ça.
Les israélites avaient tout ce système, mais ils n'ont pas compris le vrai sens de ces choses.
Mais nous avons le privilège de comprendre le vrai sens de ces choses.
Donc, on est plus privilégié que le peuple d'Israël qui avait tout ce service.
Ils n'ont pas compris ça.
Le peuple d'Israël qui avait tout ce service, ils n'ont pas compris ça.
Mais nous, par l'Esprit, donc basé sur la mort, la résurrection du Seigneur Jésus, nous pouvons comprendre avec l'aide du Saint-Esprit.
Verset trente-quatre, et tu mettra le propitiatoire sur l'axe du témoignage dans le lieu très saint.
Ici, l'Esprit Saint indique maintenant la place de ces ustensiles dans le tabernacle.
Le tabernacle, on l'a vu, parle maintenant de l'habitation de l'Esprit, l'Église.
En autres mots, qu'est-ce que l'Église a reçu de la part de Dieu?
L'Église a reçu l'Arche pour porter sur nos épaules comme témoignage dans le désert, mais aussi dans l'Assemblée, dans nos affections.
Dans nos affections, Dieu a donné l'Arche afin que nous apprécions l'Arche, apprécions la personne du Seigneur Jésus.
Et un peu plus loin, on voit aussi que Dieu donne une place à la table et au chandelier, dans le verset trente-cinq.
Oui, dans le verset trente-cinq.
Donc, ce sont des places que Dieu, des instruments que Dieu donne, qui parlent du Seigneur Jésus,
et que nous pouvons maintenant apprécier, mieux comprendre, réaliser la valeur de ces choses.
La table parle des saints, je répète simplement quelques mots, des saints dans un ordre saint et pur devant Dieu.
Le chandelier présente d'abord Christ dans sa gloire et donne la lumière sur lui pendant la nuit de sa résurrection,
parce que le Seigneur Jésus est rejeté dans ce monde.
Nous vivons dans la nuit, mais nous avons la lumière par l'Esprit, nous voyons la beauté du Seigneur Jésus dans la gloire,
et nous pouvons comprendre ces choses.
Verset trente-six.
Donc maintenant, une deuxième différence.
On a vu la différence en rapport avec le chérubin, maintenant on voit aussi une différence en rapport avec le nombre de piliers.
Il y avait cinq piliers.
On peut penser, en rapport avec les cinq piliers, aux cinq écrivains des Épitres dans le Nouveau Testament.
Il y avait cinq écrivains des Épitres.
Paul, Pierre, Jean, Jacques et Jude.
Et ces cinq ont parlé donc de la valeur de la personne du Seigneur Jésus.
Mais il y a encore une autre différence.
Cela aide un peu à comprendre ce que ces cinq piliers sont.
Parce que ces cinq piliers étaient basés sur des socles, des bases d'airain.
Verset trente-sept à la fin.
Donc ces bases d'airain, sur ces bases d'airain, ces piliers étaient placés.
Maintenant on va voir le rapport avec l'autel d'airain.
On va étudier un peu l'autel d'airain plus tard.
Parce que l'airain parle d'une capacité pour endurer des souffrances.
Qu'est-ce que ces cinq écrivains ont fait?
Ils ont rendu témoignage du Seigneur Jésus, mais ils ont dû souffrir.
Ces cinq écrivains ont dû souffrir à cause de leur témoignage.
Il y a beaucoup de chrétiens encore aujourd'hui qui souffrent à cause de leur témoignage.
Et si nous sommes fidèles devant le Seigneur, si nous sommes fidèles pour témoigner de ces choses, on va souffrir.
Donc c'est aussi une différence entre ces quatre piliers, les cinq piliers.
Je ne dis pas que les quatre évangélistes n'ont pas souffert, mais ce n'est pas présenté ici.
Les quatre évangélistes sont présentés en rapport avec la mort du Seigneur Jésus, la valeur de la mort du Seigneur Jésus.
Tandis que les cinq piliers sont présentés en rapport avec leur témoignage dans le monde, le parvis.
Toutes les choses qui étaient dans le parvis étaient basées sur l'airain.
On va voir ça un peu plus loin.
Donc maintenant pour continuer avec notre chapitre 27, on voit que l'ustensile centrale dans le parvis était l'autel.
Et de l'autre côté on peut dire aussi que l'autel était un centre de tout ce système.
De la part de Dieu, l'arche était le centre.
L'arche parle du Seigneur Jésus comme celui qui a manifesté la gloire de Dieu, qui a maintenu les droits de Dieu.
Dans l'Évangile selon Jean, on lit sept fois qu'il a fait ou qu'il est venu pour faire la volonté de Dieu.
Quelle personne qui est venue ici-bas pour maintenir les pensées de Dieu, la gloire de Dieu.
Mais maintenant ce deuxième point.
Pour cela, le Seigneur Jésus a dû souffrir.
On peut dire que chaque fois que le Seigneur Jésus a maintenu les pensées de Dieu, maintenu la gloire de Dieu, il a dû souffrir.
Et surtout en rapport avec sa mort à la croix, on voit ses souffrances.
Mais le Seigneur Jésus, j'aimerais dire un verset pour comprendre ça un peu, dans l'Option 45.
On voit donc d'un côté que le Seigneur Jésus, comme étant le vrai arche, est venu pour révéler la gloire de Dieu.
Mais c'est dans un monde qui gît dans le mal, et cela implique donc la souffrance.
Parce que tout ce monde comme système était opposé contre lui.
Et dans l'Option 45, on voit d'un côté comment il a manifesté la gloire de Dieu.
Verset 7, l'Option 45, verset 7.
Tu as aimé la justice.
C'est l'arche, parce que l'arche, on se rappelle, avait la loi, les deux tables de la loi.
J'aime.
Tu as aimé la justice.
Il a pu dire dans l'Option 40 qu'il était venu pour faire la volonté de Dieu.
Et il avait un plaisir, c'est d'éliciter dans la loi de l'éternel.
Donc on voit ici l'arche.
Mais il continue.
Et tu as haï la méchanceté.
Verset 7, tu as haï la méchanceté.
Mais cela signifie que le Seigneur Jésus a dû souffrir.
Et on voit jusqu'à quelle mesure, dans quelle mesure le Seigneur Jésus a haï la méchanceté.
Cela a impliqué pour lui la mort à la croix.
Dans une telle mesure, le Seigneur Jésus a aimé la justice, qu'il était en même temps préparé pour souffrir.
Pas seulement pour révéler la gloire de Dieu.
Il aurait pu aller au ciel tout de suite.
Dans Jean 13, il explique.
Mais il a dû souffrir pour maintenir les droits de Dieu complètement.
Pour revenir maintenant à notre chapitre exode 27.
Qui fera l'autel de Bois-de-Cité ?
Si on va étudier dans les écritures ce que l'autel signifie, on pourrait commencer par Genèse 8.
On ne peut pas lire maintenant tous ces passages-là, mais j'indique ça maintenant.
Parce que dans Genèse 8, on voit la première fois qu'un autel est mentionné.
Et la première fois dans la Bible où quelque chose est mentionné, pour la première fois, cela nous indique déjà notre signification.
Et on voit dans Genèse 8, sur la base de l'autel et le sacrifice sur l'autel, Dieu a pu bénir.
Donc, la valeur de l'autel et le sacrifice étaient tellement grands devant Dieu, que Dieu a pu bénir Noé et toute la création.
Sur la base de cet odeur agréable.
C'est ça que l'autel produit.
L'autel, on va voir, est en rapport avec la souffrance du Seigneur Jésus.
Mais en même temps, ça produit une odeur agréable.
Maintenant, avant de parler un peu sur ces détails de l'autel, une pensée que j'aimerais souligner.
Si le Seigneur Jésus était seulement le sacrifice, on pourrait se demander, mais pourquoi est-ce qu'il était possible que le Seigneur Jésus a dû subir la colère de Dieu seulement pendant trois heures, les trois heures sont, puis c'était fini.
Si nous étions sous le jugement de Dieu, cela signifierait la perdition éternelle.
On serait chassés devant la présence de Dieu, on serait perdus éternellement.
Comment ça se fait que le Seigneur Jésus a subi le jugement de Dieu pour le péché pendant ces trois heures sombres et puis c'était fini.
On peut dire, d'un côté, dans ces trois heures sombres, il avait toute l'éternité mise ensemble, c'est vrai.
Mais, je pense, si on comprend la valeur de l'autel, on peut comprendre cela.
Parce que le Seigneur Jésus n'était pas seulement le sacrifice pour le péché, le sacrifice pour le péché n'était pas mis sur l'autel, c'était brûlé d'or.
Seulement la graisse du sacrifice pour le péché était mise sur l'autel.
Mais ça indique déjà la valeur de ce sacrifice, que Dieu voulait avoir la graisse de ce sacrifice pour le péché sur l'autel.
Parce que l'autel nous parle de la personne du Seigneur Jésus d'une autre façon.
Pas seulement comme le sacrifice, mais une personne, on aime cette expression homme-Dieu, une personne qui pouvait subir le jugement de Dieu.
Il était capable de subir le jugement de Dieu.
Parce que c'est ça qu'on va voir dans l'airain.
Dans l'autel, de nouveau, on voit le bodysitting, ça parle de son humanité.
Le Seigneur Jésus n'est pas venu du ciel pour être mis à mort et puis retourner au ciel.
Le Seigneur Jésus est devenu chair, Dieu est devenu chair.
Il a vécu comme homme ici-bas, 33 ans environ.
Il a mort comme homme.
Mais en même temps, il avait cette capacité qui est exprimée dans l'airain.
Une capacité qui indique qu'il était capable de subir le jugement de Dieu.
Nous serions incapables de le faire.
On se rappelle peut-être ces hommes qui se sont rebellés contre Moïse.
Ils avaient donc, on peut le lire dans l'ombre 16, ils avaient leurs instruments pour offrir l'incense.
C'était des instruments d'airain.
Et à un moment donné, le feu de l'éternel est venu, il a consommé ses 250 hommes.
Donc, il n'était pas capable de résister le feu de Dieu.
Mais l'airain, donc, cette capacité qu'on voit dans la personne du Seigneur Jésus,
cet airain était capable de subir le jugement de Dieu et quand même survivre, pour ainsi dire.
Le Seigneur Jésus, après ces trois heures sombres où il a passé par, à travers ce jugement,
il a vécu encore, il n'était pas mort.
Il a, pour ainsi dire, consommé la colère de Dieu au lieu d'être consommé.
Il a consommé la colère de Dieu.
Et après ces trois heures sombres, il a vécu encore, mais il est mort pour d'autres raisons aussi.
Parce que sans sa mort, on ne serait jamais lié au Seigneur Jésus.
Mais il n'était pas mort à cause de ce jugement de Dieu.
Il était capable de subir le jugement de Dieu.
Et c'est ça qu'on trouve dans l'airain.
Comme dans l'exemple que j'ai donné, ces hommes n'étaient pas capables, mais lui, le Seigneur Jésus était capable.
Donc, maintenant, quelques détails.
Je voulais mentionner simplement, pour ceux qui veulent étudier ça,
dans le Nouveau Testament, dans l'Épître aux Corinthiens, on voit la mort du Seigneur Jésus,
dans la première Épître aux Corinthiens, d'abord en relation avec la croix.
Mais l'autel, ce n'est pas la croix.
C'était le même moment, le même moment où le Seigneur Jésus était la croix.
Mais la croix présente l'aspect du jugement de la part des hommes.
Les hommes ont mis de côté le Seigneur Jésus.
Mais en même temps, Dieu a jugé le Seigneur Jésus.
Dans sa personne bénie, il a jugé notre chair et nous.
C'est la croix.
Une affaire judiciaire.
Mais l'autel n'est plus que ça.
Ce n'est non plus seulement le sacrifice qu'on a...
On tient cinq, on voit le sacrifice de Pâques.
Ça va beaucoup plus loin.
L'autel est la place où le sacrifice était mis.
Et pas seulement la Grèce du sacrifice pour le péché qu'on a vu.
Sur l'autel étaient mis d'autres sacrifices.
Surtout l'holocauste.
L'autel est souvent indiqué comme étant l'autel de l'holocauste.
Et l'holocauste parle de l'heure du Seigneur Jésus dans sa valeur pour Dieu.
J'aimerais juste mentionner ça.
Le mot autel signifie littéralement dans l'hébreu place du sacrifice.
Ou place de l'égorgé, on peut dire.
Il n'y a pas un mot en français ni en anglais pour ça.
Mais littéralement c'est donc la place du sacrifice.
Ou la place de ce qui était égorgé.
Mais l'autel de l'holocauste indique aussi un autre aspect.
L'autel de l'holocauste indique que de cette place a monté une odeur agréable.
Donc une odeur agréable est montée vers Dieu.
Et ça c'est l'autel de l'holocauste. C'est le même autel.
On peut voir aussi dans l'histoire comment Abraham a construit des autels.
Mais cet autel a une fonction très spéciale.
Parce qu'on a vu Dieu sort du ciel, pour ainsi dire.
Et sur la terre il rencontre le pêcheur là.
À la place de l'autel.
Donc cet autel ici a une place spéciale.
Ce n'est pas seulement une terre de l'adoration comme dans la vie d'Abraham.
C'est ici le centre de ce système vu comme dans le monde.
Le centre du ciel, c'est l'arche ou le tronc de Dieu.
Mais le centre de ce système où on peut s'approcher de Dieu, sur cette terre, est l'autel.
Et on trouve l'autel aussi dans le Nouveau Testament.
Donc c'est un grand sujet, vraiment.
Si on va étudier vraiment l'autel dans les Écritures, on va voir que cela a une grande place.
Maintenant quelques détails qu'on trouve ici dans l'Exode 27.
Il aura cinq coudées de long et cinq coudées de large.
Le nombre cinq qu'on a vu hier soir parle de la dépendance.
Donc le Seigneur Jésus, comme le vrai autel, était en même temps l'homme dépendant.
Cette fois dans l'Évangile selon Luc on lit que le Seigneur Jésus a prié.
Il a prié toute une nuit.
Il a prié lorsqu'il était baptisé.
Il a prié où il a dû choisir les disciples, etc.
Il a prié d'une façon particulière dans le jardin de Gethsemane.
L'homme dépendant.
Dans l'Option 22 on lit que le Seigneur Jésus était toujours dépendant de Dieu.
Même comme petit bébé.
On a quelques petits bébés au milieu de nous.
Mais même le Seigneur Jésus comme petit bébé, dans l'Option 22 on peut le lire,
il était dépendant de Dieu.
Il a réalisé sa dépendance de Dieu.
Quelle personnalité.
Ce sang a une valeur extraordinaire.
Mais il faut aussi se rappeler que le Seigneur Jésus, qui était le vrai autel,
avait une puissance extraordinaire.
Il était le vrai vainqueur.
Parce que imaginons-nous une personne qui est venue pour maintenir les droits de Dieu,
où tout était contraire, tout était adversaire, tout était opposé contre lui.
Et le Seigneur Jésus a vaincu.
Donc quelle personne vraiment.
Et ces cornes, je pense, parlent aussi de cet attribut du Seigneur Jésus,
qu'il était le vrai vainqueur.
On continue un peu dans le verset 2.
Et puis le placard d'Hérin.
J'ai parlé déjà de l'Hérin.
Donc la capacité que le Seigneur Jésus avait pour résister au feu, au jugement de Dieu.
Peut-être un verset pour nous aider un peu, pour comprendre
ce que le Seigneur Jésus encore aujourd'hui est vu en rapport avec l'Hérin.
C'est dans Apocalypse 1, où on le voit comme juge.
Parce que cette personne qui a maintenu les droits de Dieu,
qui a souffert pour Dieu,
est la seule personne qui est capable maintenant de juger.
C'est une pensée très importante.
Comprendre que Dieu s'est révélé par un homme.
Dieu a jugé le péché dans un homme.
Mais Dieu va aussi juger tout l'univers par un homme.
Et on voit le Seigneur Jésus dans Apocalypse 1,
dans le verset 15.
Et ses pieds semblables à de l'Hérin brillant, comme embrasés dans une fournaire.
Ici on voit de nouveau le Seigneur Jésus comme celui qui était capable pour subir le jugement de Dieu.
Et cette personne qui était capable pour subir le jugement de Dieu,
est aussi capable pour prononcer le jugement, comme dans l'Apocalypse,
et pour exécuter le jugement.
C'est deux choses.
Il prononce comme le vrai juge le jugement,
et il va aussi exécuter le jugement.
Il est capable.
Donc on voit un peu la signification de l'Hérin.
L'Hérin était aussi le métal qui avait le point le plus haut,
la résistance la plus haute contre le feu.
On sait peut-être que l'or et aussi l'argent fondent plus tôt que l'Hérin.
L'Hérin avait donc une résistance spéciale contre le feu.
Maintenant verset 3.
Et tu feras ces vases à cendres.
Il y a cinq choses qui sont mentionnées dans le verset 3.
On va passer là-dessus un peu vite.
Tu feras ces vases à cendres.
C'était un rapport avec la Grèce.
On a vu donc que les sacrifices étaient mis sur l'autel, sur la grille.
On va voir dans un verset plus loin.
Et il y avait des instruments nécessaires pour enlever la cendre
qui était le résultat aussi que la Grèce était consommée par le feu.
Le restant était la cendre.
Aussi en rapport avec le bois bien sûr.
Mais il y avait donc des instruments spéciaux pour enlever cette cendre.
Parce que cette cendre avait une valeur très spéciale dans les yeux de Dieu.
On le voit aussi comment le Seigneur Jésus, son corps a été mis dans une place pure.
Et cette cendre avait donc une valeur spéciale pour Dieu.
Dieu donne des instruments, des vases spéciaux pour enlever cette cendre.
On peut penser aussi à ce que les disciples ont fait, les deux disciples,
pour enlever le corps du Seigneur Jésus et le mettre dans le tombeau.
Et puis le deuxième point c'est ces pelles.
Donc les pelles étaient nécessaires pour enlever la cendre.
Il y avait donc ces vases à cendre et aussi ces pelles pour enlever la cendre.
Le troisième point c'est les bassins.
Les bassins, pas du sang.
Les bassins ont contenu le sang.
Et le sang donc est vraiment le centre de ce système.
Le sang on le trouve toujours mentionné.
On ne peut jamais surestimer la valeur du sang.
Le sang donc, on peut penser au sang en rapport avec les bassins.
Et puis les fourchettes.
Les fourchettes étaient pour mettre la viande
et aussi pour changer peut-être de place la viande dans l'hôtel.
On voit dans les Fils d'Élie que ces sacrificateurs ont abusé leurs droits
pour travailler avec ces fourchettes.
Ils ont opéré avec ces fourchettes pour leurs propres intérêts.
Mais ces fourchettes donc étaient nécessaires
afin que le sacrifice était là sur l'hôtel,
selon les pensées du Dieu, pas pour leurs propres intérêts.
Puis le cinquième point ce sont les brasiers.
Je pense que les brasiers étaient aussi mentionnés dans l'ombre 16
où ces hommes sont venus avec leur enceinte.
Et les brasiers terrains étaient donc nécessaires pour enlever des charbons de l'hôtel
pour mettre dans le sanctuaire.
Et dans le sanctuaire, on l'a vu une fois,
il y avait des instruments d'or pour mettre ces choses-là,
pour les mettre en contact avec l'hôtel d'enceinte.
L'enceinte était aussi sur la table des pains de proposition.
Donc on voit vraiment dans tout le système,
tous ces instruments étaient ensemble.
Et puis le sang était aussi mis sur le trône.
Donc on voit tous ces instruments qui sont mentionnés ici
étaient vraiment mis ensemble dans les pensées du Dieu.
Donc ces cinq instruments étaient aussi de terrain.
Tout était selon les pensées du Dieu.
Verset 4 maintenant.
Et tu lui feras une grille, un ouvrage, un trahi, un terrain,
et tu feras au trahi quatre anneaux de terrain à ses quatre bouts.
Je pense que ça vaut la peine de voir un peu ce tableau
parce qu'ici on voit comment on avait la grille, le trahi donc, et l'hôtel.
L'hôtel avait une hauteur de 3 coudées,
et donc la grille était mise juste au milieu.
Ça veut dire qu'on n'a pas vu le feu dehors.
Seulement Dieu a pu voir le feu.
Et d'un autre côté, le sacrificateur qui était proche de l'hôtel
a pu voir le feu sur la grille.
Maintenant, on voit donc que le Seigneur Jésus
était capable de subir le jugement du Dieu,
et aussi de contenir ce feu.
Et si on lit dans Lévitique 6,
on voit que Dieu a voulu maintenir la valeur du feu,
et on voit dans Lévitique 6 que ce feu a brûlé toujours, continuellement.
Là, on voit le feu en rapport avec l'Holocauste.
Dans Lévitique 6, on voit que le feu devrait brûler sur l'Holocauste,
ou sur l'hôtel, toute la nuit.
Et puis, on voit aussi dans versets 5 et 6
que cela a été répété, que le feu brûlait continuellement.
Donc là, on voit la valeur que ce feu avait pour Dieu.
C'était donc juste sur cette grille qu'on a vu un peu.
Mais c'était caché.
L'homme ne connaît pas la valeur des souffrances du Seigneur Jésus.
C'était caché. C'était au milieu.
Mais Dieu l'a vu.
Dieu a pu sonder et comprendre la vraie valeur de ce feu.
Et puis, on peut penser aux psaumes 102.
À Roxbury, le décembre passé, on a étudié un peu le psaume 102.
Et on voit là comment le Seigneur Jésus se comparait avec un foyer où il y avait le feu dedans.
C'était caché pour les hommes. C'était dans ce foyer.
Et aussi, dans cet hôtel, au milieu, il y avait ce feu.
Ce feu qui a brûlé là, dans le centre de l'hôtel principal.
Et on peut penser, en rapport avec ce feu, on peut lire beaucoup de psaumes où on voit les souffrances du Seigneur Jésus.
Mais on a vu aussi que Lui seul était capable de subir le feu.
Et on peut dire encore aujourd'hui, le Seigneur Jésus est le vrai hôtel.
De Lui monte pour toujours cette odeur agréable de l'Holocauste.
L'Holocauste veut dire ce qui monte. Ce qui monte devant Dieu.
Donc de cet hôtel monte, pendant toute la nuit, mais on peut dire aussi pour toute l'éternité,
monte la valeur de cette offrance pour Dieu.
Une odeur agréable. C'est vraiment merveilleux si on comprend cela.
Une autre pensée encore, je ne vais pas l'oublier.
La hauteur donc de cette grille, c'était juste la même hauteur que le niveau de la table
et le niveau où l'arche était couverte par le propitiatoire.
Donc ça c'est beau, parce que ça nous donne de nouveau un lien entre ces instruments.
La table qui parle de la communion et aussi que nous sommes présentés devant Dieu,
c'est basé sur cette œuvre-là.
Sans cette œuvre-là du Seigneur Jésus, comme le vrai sacrifice, on n'a pas de communion.
Sans cette œuvre-là, on ne peut pas mettre le sang sur le propitiatoire.
Donc tout est vu en rapport et c'est indiqué donc par la même hauteur.
On voit que ces petits détails nous donnent beaucoup d'aide pour comprendre
comment ces instruments, ces ustensiles étaient dits ensemble dans la pensée du Dieu.
On peut dire, si on n'a pas l'idée de la valeur de l'autel,
on ne peut pas comprendre la valeur de la communion des saints,
on ne peut pas comprendre la valeur de l'expiation,
on ne peut pas comprendre la valeur de l'expiation, de la propitiation,
on ne peut pas comprendre ça.
Tout va ensemble.
Maintenant, on continue un peu verset 6.
Dans le verset 6, on voit que l'autel n'était pas seulement placé ici dans ce parvis,
mais Dieu avait donné aussi des provisions que cet autel pouvait être porté à travers le désert,
comme un témoignage.
On peut le lire dans le nombre 4.
Là, on voit comment cet autel était porté par les lévites
pour être un vrai témoignage dans le monde.
Donc nous avons maintenant ce témoignage.
On a vu ces ustensiles qui sont placés dans l'assemblée.
Nous pouvons apprécier ça,
mais il faut aussi porter ces choses sur nos épaules
comme un témoignage dans ce monde où nous traversons maintenant.
Et on lit dans l'ombre aussi que cet autel était couvert par une couverture de pauvres.
La pauvre parle de la royauté du Seigneur Jésus, de ses droits royaux.
Et puis, on voit aussi ce principe-là.
D'abord les souffrances, puis la gloire.
Dans Luc 24, aussi dans 1 Pierre 1, on voit les souffrances, puis la gloire.
Le pauvre donc parle de sa gloire royale.
Et nous avons déjà ce témoignage.
Nous avons dans ce monde ce témoignage.
Nous rendons témoignage que le Seigneur Jésus a dû souffrir.
Mais nous rendons en même temps témoignage que celui qui a souffert va régner.
Il va avoir cette gloire royale, comme dans l'Apocalypse et d'autres passages.
Donc les barres étaient nécessaires pour ce transport à travers le Niger, pour ce témoignage.
Et on peut dire aussi que cela nous rappelle toujours de la mort du Seigneur Jésus.
Même si nous prenons l'autel sur nos épaules avec ses barres,
on est toujours rappelé de la signification de la mort du Seigneur Jésus.
D'un côté, la mort du Seigneur Jésus il y a deux ans.
Mais nous devons appliquer la valeur de cette mort présentement, dans notre vie individuellement,
mais je pense aussi que dans le Colossien 3 on lit que nous devons tuer maintenant nos membres qui sont sur cette terre.
Cela implique donc l'application de la mort du Seigneur Jésus.
Si le Seigneur Jésus est mort pour le péché, on ne peut pas maintenir quelque chose qui résulte du péché.
On ne peut pas accepter ça.
Parce que la mort du Seigneur Jésus implique le jugement de toutes ces choses.
Mais nous avons maintenant le privilège de porter l'autel,
et aussi comme Paul le dit dans 2 Corinthiens 4, il a porté continuellement la mort du Seigneur Jésus.
Dans 2 Corinthiens 4 on peut le lire.
Cela veut dire que dans notre vie personnelle il faut réaliser la mort du Seigneur Jésus, ce que cela signifie pratiquement.
Puis verset 7,
Et on fera entrer ce bar dans des anneaux, donc c'est aussi en rapport avec le transport.
Verset 8,
Tu le feras creux avec des planches, comme il t'a été montré sur la montagne.
On le fera ainsi.
Plus tard, dans les jours du roi Achaz par exemple,
il a mis un autre autel.
Il a remplacé cet autel par un autre autel.
Et c'est ça qu'on a fait dans la chrétienté aussi, dans l'église romaine catholique spécialement.
On a remplacé cet autel.
On a introduit un autre autel.
Ce n'est pas correct.
Il faut maintenir les pensées que Dieu a montrées sur la montagne.
Et Moïse a fait ainsi.
Le Seigneur Jésus, dans le roi maintenant, il est notre grand Moïse.
Il peut nous instruire par l'esprit, par la parole, de la vraie signification de cet autel et de toutes ces choses.
Maintenant encore quelques pensées sur le dernier passage de notre chapitre.
Tout cela était placé, donc cet autel était placé dans le parvis.
Et on va voir maintenant que le parvis était donné pour protéger ces trésors-là.
Et ça parle d'une sainte séparation.
On a vu le fin qu'au temps retour parle de cette capacité, de cette justice et de cette pureté pratique.
Maintenant, en relation avec nous, parce que nous avons maintenant le privilège de maintenir comme témoignage public cette justice pratique.
Ce n'est pas seulement que nous devons être juste à nous-mêmes devant Dieu, mais comme un témoignage public.
On a vu hier soir déjà que la longueur de tout ce tapis ensemble, sauf la porte,
était juste la même longueur que les dix tapis qui ont couvert le talon d'Apice.
Donc, ce qui était vu intérieurement, parce que seulement les sacrificateurs ont vu ces dix tapis et Dieu vient dessus,
ce qui est intérieur a aussi une responsabilité en rapport avec l'extérieur.
Ce que nous sommes intérieurement doit être en accord avec ce que nous sommes extérieur.
Donc, ce que nous sommes devant Dieu, on voit de nouveau ce principe de la réalité,
ça doit être réel aussi en nos relations dans nos foyers, dans notre relation avec notre épouse, avec nos enfants,
dans nos relations avec les frères et sœurs, dans nos relations dans notre emploi.
Tout cela doit être en accord avec ce que nous sommes intérieurement.
Et puis, c'était une hauteur de cinq coudées.
Donc, on voit ici cinq coudées par cinq coudées.
Ça donne aussi une pensée.
Parce que l'hôtel était cinq coudées carrées et notre témoignage, notre témoignage individuel, est aussi cinq coudées carrées.
Parce que chaque pilier avait donc une partie de fin lin de cinq par cinq coudées.
C'est remarquable ça.
Notre témoignage public, les cinq coudées carrées, parlent donc, représentent donc ces pensées de la pureté, de la justice pratique,
mais en même temps, on peut le faire seulement dans la dépendance de Dieu.
On a vu le nombre cinq par cette dépendance.
Dépendance de Dieu pour être pur envers Dieu.
Aussi dépendance de Dieu pour être pur dans nos relations mutuelles.
Donc, ce fin coton lin parle de notre témoignage public, de notre responsabilité en rapport avec cela.
Mais, il y avait cette porte.
On a lu dans le verset 16, pour la porte du parvis, un rideau de vingt coudées.
Cette porte était à l'Orient.
A l'Orient.
On a vu une fois déjà que l'Orient est la place où le soleil se lève.
L'Orient, donc de l'Orient, il va avoir de la lumière.
C'est là où le pécheur reçoit pour la première fois la lumière de la part de Dieu, à l'Orient.
Et Dieu lui indique le chemin pour entrer.
C'est ici, la porte.
Il est attiré vers la porte.
C'est un grand privilège que si le soleil va briller dans notre vie, pour avoir une impression que Christ est la porte.
Christ est la porte pour rencontrer Dieu avec l'autel.
Mais aussi, plus loin, pour être introduit dans le sanctuaire, Christ est toujours la porte.
Christ est même la porte pour voir le Père.
Ça va encore plus loin que le sanctuaire, le trône ici.
Jean XIV le dit, qui m'a vu, a vu le Père.
Le Seigneur Jésus est l'accès maintenant pour Dieu.
Éphésiens 2 et Romains 5 aussi, il est l'accès.
Donc quelle pensée ?
Le Seigneur Jésus nous attire là où nous sommes dans le monde.
Nous rencontrons Dieu sur la base de l'œuvre expiatoire du Seigneur Jésus.
Et le grand sacrificateur nous prend avec lui pour nous introduire dans le sanctuaire.
Comment nous sommes vraiment bénis ?
Quelques mots encore verset 10, on n'a pas vu encore.
Ces 20 piliers n'ont pas d'indication quelle grandeur.
On sait seulement si c'était à la hauteur de 5 ou 10.
Ce n'est pas important.
Chaque croyant peut être un pilier.
Et le Seigneur veut que nous soyons des piliers.
Dans quelque situation où nous soyons, Dieu veut nous préparer pour être des piliers.
Pour être des témoins pour lui.
Et je pense que la fonction vis-à-vis de l'extérieur est seulement de montrer le lin.
C'est peut-être mieux de placer le lin à l'autre côté.
Parce que le monde doit voir, c'est le lin.
Ce n'est pas nous-mêmes.
C'est le lin d'un coton fin.
Il y a un aspect intéressant aussi verset 10.
Les bases étaient des reins.
On a vu donc, les reins c'est la capacité pour subir le jugement de Dieu.
Et par conséquent aussi pour être en accord avec les pensées de Dieu.
Et nous sommes placés ici sur ces bases des reins.
Ça veut dire que dans notre témoignage public, on est en accord avec les pensées de Dieu.
On l'a vu déjà ici avec les cinq piliers.
Mais ça implique donc, pour être en accord avec les pensées de Dieu, ça implique la capacité pour souffrir.
Et aussi que nous soyons préparés pour souffrir.
Comme j'ai dit, les cinq écrivains des Épitres ont dû souffrir littéralement.
Ils étaient mis à mort pour le témoignage.
Et ces piliers sont donc pour le témoignage.
Pour le témoignage de Dieu.
Pas pour notre gloire.
Pas pour nos intérêts.
Mais pour le témoignage de Dieu.
Et ces piliers étaient donc placés sur les bases des reins.
Ils étaient capables d'être en accord avec Dieu.
Mais, ici c'était l'argent.
On le voit dans le verset 10.
Les crochets des piliers et leurs baguettes d'attache seront en argent.
Ici on voit les relations des uns avec les autres.
C'est l'argent.
L'argent on l'a vu par la mort du Seigneur Jésus.
Le prix qu'il a payé pour nous délivrer la valeur rédemptrice de l'œuvre du Seigneur Jésus.
Mais le Seigneur Jésus n'a pas seulement racheté nos âmes, même nos corps.
Il a un droit sur nos corps.
Mais il nous a mis ensemble.
Chaque pilier était mis ensemble avec l'autre par ses baguettes d'attache.
C'est important ça.
Parce que ça indique que l'œuvre du Seigneur Jésus pour la rédemption nous met ensemble.
On est mis ensemble dans la famille de Dieu.
On a vu ça un peu comme ayant reçu la même vie.
On est mis ensemble en acceptant le Seigneur Jésus comme notre Seigneur.
En chrétien 1 verset 9 il dit le Seigneur Jésus notre Seigneur.
Le fait que nous appartenons à un même Seigneur nous met ensemble.
Mais aussi cet aspect-là, nous avons un même Sauveur, un même Rédempteur et cela nous met ensemble.
Il y a une tendance parmi les croyants d'être très individuels.
Mais même l'œuvre pour la rédemption nous met ensemble.
On le voit dans ses baguettes d'attache d'argent.
On peut penser aussi que si Dieu nous voit, il voit d'abord l'argent.
Dieu se rappelle toujours le prix que le Seigneur Jésus a payé pour nous avoir, pour Dieu.
Donc l'argent est très précieux pour nos relations les unes envers les autres, mais aussi comme Dieu nous voit.
Encore un détail.
On a vu un peu la porte.
La porte était aussi très large.
Exprimée en pied carré, c'était exactement la même quantité que le rideau et le voile.
Mais ici c'est deux fois plus large.
C'est pour inviter les gens à venir.
Il y a encore des enfants ici au milieu de nous.
On ne sait pas si tous les enfants ont déjà accepté le Seigneur Jésus comme leur Sauveur.
Mais la porte invite tout le monde pour venir.
Le Seigneur Jésus attire tout le monde, chacun pour venir à lui.
Ça c'est la porte.
Il ne nous attire pas comme juge, il nous attire comme Sauveur, comme homme béni à lequel nous trouvons tellement de beauté.
Le Seigneur Jésus est vraiment le plus bel homme pour ainsi dire.
Pas dans le sens mondain, mais un homme qui attire.
Et on le voit exprimé déjà dans la porte.
Le Seigneur Jésus a attiré beaucoup d'hommes.
Il a attiré les pêcheurs pour venir à lui.
Il a attiré Pierre.
Pierre est tombé au genou devant le Seigneur Jésus.
Quelle force le Seigneur Jésus avait pour attirer les gens.
C'est encore aujourd'hui la même chose.
Le Seigneur, comme étant la vraie porte, attire les gens.
Si les gens voyaient seulement le lait, le fait coton, ils auraient peur peut-être.
Mais ils voient la porte.
Et le soleil se lève pour ainsi dire ici au levant, montre la porte.
Et le pêcheur vient ici.
Il rencontre Dieu ici à l'hôtel et puis il est introduit dans le sanctuaire.
On va finir maintenant dans le verset 19 où on lit
Tous les ustensiles du tabernacle pour tous en service et tous les pieux du pari sont en terrain.
Donc même les pieux ici, où les piliers étaient attachés par terre, étaient terrain.
Donc on peut dire tout ce qui était en rapport avec le monde, en rapport avec le désert qui nous entoure, est terrain.
Cette capacité donc qu'on a vue pour résister le jugement,
en même temps être en accord avec la pensée de Dieu,
et cela nous donne la capacité d'être des témoins dans ce monde.
Si on n'est pas en accord avec la pensée de Dieu, on ne peut pas être des témoins dans ce monde-là.
Donc on arrête ici. Il y a beaucoup de choses à réfléchir,
mais ce sont vraiment des chapitres qui nous donnent beaucoup de matériel à réfléchir.
Mais le Seigneur nous donne cela aussi pour nous former pour être des vrais adorateurs.
C'est ça la raison pour laquelle Dieu nous donne ces choses,
afin que nous soyons des vrais adorateurs, pour nous instruire dans les pensées de Dieu.
Dieu veut avoir une réponse dans notre vie, dans nos coeurs, une réponse dans l'adoration.
Et pour cela, Dieu veut nous instruire. …