Etude sur Esdras
ID
aeb013
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FR
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Bible references
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Description
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…
Le nom Esdras veut dire aide ou secours, et j'aimerais que je puisse être une aide pour vous,
puis aussi qu'on puisse s'entraider, parce qu'on est tous des serviteurs de Dieu, ça veut dire
tous les croyants sont des serviteurs de Dieu, ils peuvent être une aide, une aide, un secours.
Nous avons exprimé dans notre cantique, c'est notre désir de vivre pour Lui, mais entre temps,
il forme nos coeurs, et nous avons besoin d'être soutenus par Lui, d'être gardés par Lui.
On a beaucoup de leçons pour nous dans le livre d'Esdras, et vous avez reçu un aperçu, je pense,
ça, parce que le premier soir, c'est l'introduction, c'est le plus dur, donc j'espère que vous ayez la
patience, parce que plus tard ça va être plus facile, si j'ai une fois expliqué les principes de base là,
sur cette feuille là, vous pouvez encore reviser ça chez vous, puis on peut utiliser ce principe pour
l'étude de ce livre. Esdras 1. Et la première année de Cyrus, roi de Perse, afin que fût accomplie
la parole de l'Eternel, dite par la bouche de Jérémie, l'Eternel réveilla l'esprit de Cyrus,
roi de Perse, et fit une proclamation dans tout son royaume, et la publia aussi par écrit, disant,
ainsi dit Cyrus, roi de Perse, l'Eternel, le Dieu des cieux, m'a donné tous les royaumes de la terre,
il m'a chargé de lui bâtir une maison à Jérusalem, qui est en Juda. Qui d'entre vous,
quel qu'il soit, est de son peuple, que son Dieu soit avec lui, et qu'il monte à Jérusalem,
qui est en Juda, et qu'il bâtisse la maison de l'Eternel, le Dieu d'Israël, lui est Dieu,
à Jérusalem. Et celui qui est de reste, dans tous les lieux où chacun séjourne, que les hommes du
lieu lui viennent en aide, avec de l'argent, et avec de l'or, avec des biens, et avec du bétail,
outre les offrandes volontaires pour la maison de Dieu qui est à Jérusalem. Alors se lèverent les
chefs des pères de Juda et de Benjamin, et les sacrificateurs et les Lévis, tous ceux dont Dieu
avait réveillé l'esprit, afin de monter pour bâtir la maison de l'Eternel qui est à Jérusalem. Et
tous ceux qui les entouraient, les aidèrent avec des objets d'argent, avec de l'or, avec des biens,
avec du bétail, avec des choses précieuses, outre tout ce qu'on offrit volontairement. Et le roi
Cyrus fit sortir les ustensiles de la maison de l'Eternel que Nébuchadnezzar avait fait sortir
de Jérusalem, et qu'il avait mis dans la maison de son Dieu. Et Cyrus, roi de Perse, les fit sortir
par Mithridate, le trésorier, qui les compta à Shesh-Batsar, prince de Juda. Et en voici le
nombre, 30 bassins d'or, 1000 bassins d'argent, 29 couteaux, 30 coupes d'or, 410 coupes d'argent,
de second ordre, et 1000 autres ustensiles. Tous les ustensiles d'or et d'argent étaient au nombre
de 5400. Shesh-Batsar apporta le tout lorsqu'on fit monter de Babylone à Jérusalem, ceux de la
transportation. Jusqu'ici la lecture de la parole. Une prochaine fois, on aimerait couvrir
un peu plus, peut-être chapitre 2, 3, ensemble, pour aller un peu plus vite. Mais ce soir,
j'ai lu seulement ce premier chapitre, parce qu'on aura besoin d'un peu de temps pour parler
de quelques principes. Comme vous voyez sur la feuille. D'abord, c'est important pour nous
comprendre que la Bible peut être lue dans des sens différents. Ça ne veut pas dire que ces sens
se contredisent, mais ce sont des niveaux différents, pour ainsi dire. Le premier sens est très important,
le sens littéral. Et c'est l'Esprit de Dieu qui a inspiré ce texte. Ce sont des hommes de Dieu qui
ont écrit aussi. Donc dans un sens, la Bible c'est 100% l'heure de l'homme, mais en même temps c'est
100% l'heure de Dieu. C'est déjà un mystère. Mais l'Esprit de Dieu se sert de certains mots, et chaque
mot est important. On doit lire la Bible avec le doigt, vraiment. Chaque mot est important. Ce sont des mots
que l'Esprit de Dieu a donné à ces hommes de Dieu qui ont écrit. Et c'est pour ça qu'on respecte le
sens littéral. On ne va pas paraphraser la Bible, on respecte le sens littéral. C'est très important
à connaître le texte littéral. Ainsi c'est bon aussi de mémoriser les versets de la Bible. Et c'est
aussi important connaître le sens littéral parce que souvent dans la Bible on voit que les autres
sens qu'on va maintenant mentionner sont très importants. Et puis si le sens littéral change,
ça va affecter aussi le sens spirituel et prophétique. Si on lit la Bible, on va voir que des histoires,
des types, même des objets sont des illustrations pour des doctrines dans le Nouveau Testament. C'est
très important donc à connaître le sens littéral d'abord. Et ensuite, dirigé par l'Esprit, par la
parole de Dieu, on va voir ce que ça signifie aussi pour nous dans notre temps. Mais avant de parler de
cet aspect-là, j'aimerais mentionner le sens prophétique. La Bible nous parle beaucoup du
peuple d'Israël et aussi des plans que Dieu a pour ce monde. Et dans ce sens-là, j'utilise cette
expression, le sens prophétique. Et même ce livre-là, Dezras, a un sens prophétique. Vous savez que le
peuple d'Israël, maintenant en Israël, n'est pas encore l'accomplissement des prophéties de Dieu.
Un jour, Dieu va intervenir pour que le Seigneur Jésus lui-même va régner. Il sera le grand Cyrus,
le roi empereur, le grand empereur. Et c'est lui qui va ainsi bénir son peuple terrestre Israël.
Dans ce sens-là, ce livre Dezras a aussi un sens prophétique. Mais on ne veut pas étudier ce sens-là,
parce que notre exercice c'est d'étudier plutôt le sens spirituel ou moral. Qu'est-ce que ces
passages veulent nous dire? Et vous connaissez sans doute des versets comme Luc 24, où le Seigneur
Jésus a pris les passages de l'Ancien Testament, de Moïse, des prophètes, des psaumes, des écrits.
Qu'est-ce qu'il a dit? Il a expliqué à ses deux disciples d'Aimaeus les choses qui leur regardent,
qui le concernent. Donc, on trouve dans Moïse, dans les prophètes, dans les psaumes, dans les
écrits comme Dezras, les choses qui le concernent. Et si ces choses concernent le Seigneur Jésus,
ces choses nous concernent, vous comprenez ce que je veux dire? Ça veut dire nous qui appartiennent
au Seigneur Jésus. Et j'espère que tous ici peuvent dire qu'ils appartiennent au Seigneur Jésus.
Vrai? Si ce n'est pas vrai, il faut crier au Seigneur d'être sauvé. Donc, pour ceux qui sont
sauvés, ces choses deviennent importantes. Pourquoi? Parce que ces choses nous parlent du
Seigneur Jésus, de notre Seigneur Jésus, de notre bien-aimé. Le Seigneur Jésus est le grand
interprète dans Luc 24. Et ce sont les choses qui le concernent. Nous l'aimons et ainsi ces choses
nous concernent maintenant aussi. Nous sommes liés à la personne du Seigneur Jésus. C'est pour ça que
ces choses nous concernent maintenant. Et on peut voir ça dans 2 Timothée 3 par exemple. Toutes les
écritures ont été écrites, inspirées par l'Esprit du Dieu, ont été écrites pour notre instruction,
pour nous corriger aussi, pour nous faire des progrès à l'école de Dieu. C'est pour ça que
chaque page de la Bible est importante pour le chrétien. Et ainsi on peut dire que le texte
biblique a un sens spirituel. Parce que vous pourriez dire, mais qu'est-ce que ça veut dire
cette histoire-là? J'ai rien à faire avec ça. Mais vous voyez, on espère voir tantôt des principes
qui sont trouvés là. Par exemple, la délivrance de la captivité. C'est quoi ça? On va voir ça.
Qu'est-ce que ça veut dire pour nous? Donc il y a des choses qui nous concernent tout de suite.
Ensuite, il y a aussi un sens allégorique. Et ce n'est pas toujours le cas. Mais je prends par
exemple, j'ai mentionné l'exemple de Ruth, le livre de Ruth. On voit aussi des leçons qu'on peut
appliquer à une phase dans l'histoire de l'église. Je parle maintenant pour ceux qui connaissent un peu
l'histoire de l'église et aussi les sept églises d'Apocalypse 2 et 3 de Philadelphie. On voit que
le livre de Ruth, c'est un peu une allégorie de Philadelphie. Ça arrive aussi dans d'autres écrits
comme Galate 4 où Paul parle d'un sens allégorique. Donc je répète, ce n'est pas dans chaque livre de
la Bible qu'on trouve des allégories. Mais il y a des passages qui sont vraiment allégoriques. Et
dans ce sens là aussi, Esdras et Néhémie sont allégoriques. On peut dire que ça concerne l'histoire
d'Israël. Vraiment, c'est vrai. Mais ça concerne aussi une partie spéciale de l'histoire de l'église
qu'on va voir tantôt, qu'on appelle la réformation et le réveil. Donc, vous gardez ces quatre
principes en mémoire, quatre sens pour interpréter la Bible. Et on va surtout poursuivre le sens
spirituel, moral, les applications spirituelles pour nous. Le deuxième point que j'ai marqué,
c'est les quatre exils d'Israël. On ne peut pas parler de cela en détail maintenant. Mais vous
connaissez probablement un peu l'histoire d'Israël. Israël en Égypte, c'était une captivité. C'était
un exil. Exil veut dire être banni de ton pays, être loin de ton pays. Ainsi, ils étaient loin du
pays de la promesse en Égypte, dans l'esclavage, opprimé par Pharaon. Puis là, Dieu a donné un
libérateur, Moïse. Le deuxième exil est dans les jours de Samuel. C'est plus difficile à comprendre.
Là, l'arche de Dieu était en exil. L'arche parle du trône de Dieu. On va revenir à l'arche aussi
dans le livre d'Esdras. Mais l'arche de Dieu était en exil, pris par les philistins. La gloire était
ôtée. Icabod. La gloire est partie. Et puis Dieu a intervenu par la sa grâce souveraine. Il a ramené
l'arche et ensuite il a donné Samuel pour toute une réformation et David le roi. Et là, Dieu a
envoyé un libérateur. Le troisième exil est dans les jours de Daniel. Nebuchadnezzar est venu pour
prendre des captifs, des otages. Il les a transportés en Babylone. La captivité babylonienne. Pourquoi?
On va voir ça tantôt. Je vais juste mentionner ces quatre exils dans l'histoire d'Israël. Puis le
libérateur est venu. Cyrus ici, dans un sens. Et aussi, c'est un sereste fidèle qui a répondu à
cet appel de Dieu pour rentrer à Jérusalem. Quatrième exil, à cause du rejet du Messie. Le peuple d'Israël
est en dispersion. Même encore aujourd'hui, les dix tribus sont encore dispersées à cause de l'idolâtrie.
Mais les deux tribus sont encore dispersées à cause du rejet du Messie. Mais on voit déjà que Dieu a ramené
une partie des juifs en Israël. Mais c'est encore la dispersion présente. Et on voit que Dieu va
avoir aussi un témoignage après l'enlèvement de l'église. Et un libérateur aussi pour ramener le
peuple et accomplir les prophéties. Donc c'est un sujet en soi. Mais on va voir que le livre des
races est en rapport avec ce troisième exil, cette troisième captivité dans les jours de
Daniel, ou après les jours de Daniel, où Dieu a restauré un reste. C'est ça juste pour placer un peu le
contexte, voir le contexte où on est dans ces quatre exils. Maintenant, j'aimerais suggérer le
thème général de ce livre-là. C'est la maison de Dieu. Et j'aimerais suggérer que le sujet, la
maison de Dieu, prend beaucoup de place dans la Bible. Donc je ne veux pas dire que l'évangile n'est
pas important. Si vous faites ces conclusions-là, ce n'est pas ce que j'ai dit. L'évangile est très
important parce que Dieu va recruter par l'évangile des gens qui doivent être sauvés pour les
introduire dans son église. Tous les croyants appartiennent à l'église de Dieu. Et l'église
de Dieu dans le Nouveau Testament est appelée la maison de Dieu. Donc, si vous comprenez ce que je
veux dire là maintenant, la maison de Dieu dans le Nouveau Testament, c'est une vérité qui est bien
connue. Plusieurs passages, un chrétien, un timotée, un éphésien, parlent de la maison de Dieu. On va
trouver des illustrations de cette vérité-là dans l'Ancien Testament. On trouve là la maison de Dieu,
la maison de l'Éternel. On va trouver des vases qui appartiennent à la maison de Dieu. Et à cause
de l'infidélité du peuple, la maison de Dieu était en ruine, détruite par le roi de Babylone. OK,
mais juste pour vous donner une idée de comment ce sujet est important, ça commence dans le livre
de Genève et ça continue jusqu'à la fin de l'Apocalypse. C'est donc un thème très important
Juste pour toucher, Bethel veut dire maison de Dieu. On trouve ça déjà dans Genèse 12. Dans
l'histoire d'Abraham, et c'est très intéressant, Abraham était sorti d'où? Sorti d'Urdès, des
Chaldéens. Sorti de Babel, parce que Babel était très proche, c'était dans la même
contrée. Dans Josuée 24, nous lisons qu'Abraham et ses pères, ses ancêtres étaient des idolâtres et
Dieu a appelé Abraham pour sortir de là, sortir de l'idolâtrie. Vous voyez le parallèle avec
Esdras? Ils sont sortis de Babylone, par la grâce de Dieu. On va voir les détails tantôt. Ensuite,
dans le livre de Genèse, on voit que Jacob a dû apprendre beaucoup de leçons en rapport avec la
maison de Dieu, dans Genèse 28 et 35. Et dans chapitre 35, il a réalisé que Dieu est le Dieu
de la maison de Dieu. Donc je répète, aujourd'hui, tous les croyants ensemble ne forment qu'une seule
maison où Dieu habite. L'Esprit de Dieu habite dans chaque croyant individuellement. Si vous êtes
un croyant, l'Esprit de Dieu habite en vous. Votre corps est une maison, un temple de l'Esprit de
Dieu. Mais l'Esprit de Dieu habite aussi dans chaque groupe de croyants. Ça veut dire, tous les
croyants de Charminigan ne forment qu'une seule église. Et dans cette église, malgré toutes les
divisions, c'est une maison où Dieu habite. Et c'est donc important pour nous reconnaître les pensées
de Dieu qu'il n'y a qu'une seule maison ici à Charminigan. On aimerait exprimer cette vérité-là.
C'est pour ça qu'on a besoin de ces illustrations. Et il y a aussi ce contexte global que tous les
croyants sur le plan mondial ne forment qu'une seule maison où l'Esprit de Dieu habite aussi.
Donc la maison de Dieu, c'est vraiment un sujet très important. Et nous voyons dans l'Ancien
Testament beaucoup d'illustrations. J'ai marqué ici le tabernacle dans le désert. C'était la maison
de Dieu, l'habitation de Dieu dans le désert. Le désert, c'est pas pour habiter. C'est, on traverse
le désert. Et ainsi dans le jour d'Aaron et Moïse, ils ont traversé le désert avec l'arche, avec le
tabernacle. L'arche, le trône de Dieu, le tabernacle, la maison de Dieu. C'était toujours un voyage.
Ainsi, dans un sens, les croyants aussi aujourd'hui sont en route, sont en voyage. Il n'y a pas de
permanence encore. On est dans le désert, mais pour être un témoignage. Puis vous pouvez relire
ça parce qu'on n'a pas le temps pour le faire ce soir. Mais exode 15, lorsque le peuple d'Israël
était délivré du pharaon, de la puissance du pharaon, il parle déjà d'une maison. Exode 15,
verset 4, je le glorifierai ou je construirai, bâtirai une maison, une tente, une habitation.
Et dans chapitre 25 à 40, on voit comment ce plan a été réalisé. D'un côté, c'était le plan du Dieu.
Mais de l'autre côté, c'était le désir du peuple de préparer un lieu d'habitation pour Dieu. Est-ce
que c'est notre désir à répandre aux pensées du Dieu? Dieu veut habiter avec les croyants. Est-ce
que nous voulons préparer une place pour lui? Ça c'est l'exercice d'exode. Et c'est un exercice
collectif. Ce n'est pas seulement individuel comme avec les patriarches, mais c'est maintenant un
exercice collectif pour tout le peuple, pour préparer une place pour l'éternel. Et j'aimerais
lire un passage dans exode 29 qui est un passage clé pour nous faire comprendre l'importance de
ces pensées-là. Dans exode 29, verset 38, nous lisons de l'autel. Dans le verset 39 et 40, le
sacrifice. 41 aussi, le matin et le soir. Un sacrifice par feu à l'éternel. Verset 42,
ce sera l'holocauste continuel en vos générations à l'entrée de la tente d'assignation devant
l'éternel où je me rencontrerai avec vous pour y parler avec toi. Et je me rencontrerai là avec
les fils d'Israël et la tente sera sanctifiée par ma gloire et je sanctifierai la tente d'assignation
et l'autel et je sanctifierai Aaron et ses fils afin qu'ils exercent la sacricature devant moi.
Et j'habiterai au milieu des fils d'Israël. Je serai leur dieu. Ils sauront que moi l'éternel je
suis leur dieu qui les ai fait sortir du pays d'Egypte pour habiter au milieu d'eux. Je suis
l'éternel leur dieu. Donc d'abord, la délivrance, ça c'est la condition numéro 1. Il faut avoir un
peuple délivré, délivré d'Egypte. Lorsqu'on est sous l'esclavage du pharaon, on ne peut pas
faire une habitation pour Dieu. C'est impossible. On appartient au pharaon. Si on est délivré de
cette puissance du pharaon, la puissance du péché, la puissance du monde, la puissance de Satan,
on peut être libre pour préparer une place d'habitation pour l'éternel. Et c'est l'éternel
qui veut habiter au milieu de son peuple même s'ils sont dans le désert. Et puis on voit aussi
que ce lieu est indiqué par Dieu. Et ce lieu devient un lieu de rencontre. Dieu veut habiter
avec son peuple. Mais il veut être aussi le centre de la rencontre, de leur rencontre. Et
c'est indiqué par Dieu, comme on le voit ici, à l'entrée de l'attente d'assignation. L'attente
d'assignation veut dire l'attente de la rencontre, où on se rencontre. Le peuple se rencontre avec
Dieu. Et c'est là aussi où ils peuvent amener leur sacrifice. Ça nous parle de l'adoration. On
va voir ce sujet un peu plus tard dans Esdras. L'adoration, le service de Dieu est très important.
Mais c'est tout lié à cette pensée-là que Dieu veut habiter avec son peuple. Il veut rencontrer
son peuple pour les bénir. On va revenir à cette pensée-là aussi. Dieu veut bénir son peuple. On
a vu l'autel. On va revenir dans Esdras 3, à l'autel, l'importance de l'autel. On voit déjà dans
l'Ancien Testament que l'autel est appelé la table du Seigneur. Donc, ce sont beaucoup de détails
que je mentionne maintenant. Et j'espère que vous ne serez pas découragés à cause de l'abondance
de points. Mais ce que je mentionne maintenant, on va essayer de les connecter. Connecter tous ces
détails-là pour que vous voyez l'ensemble. Donc, l'habitation de Dieu, un témoignage dans le désert,
comme j'ai marqué ici, lieu de rencontre, indiqué par Dieu. Ce n'est pas inventé par l'homme, mais
indiqué par Dieu. Ensuite, pour bénir son peuple, l'autel, la table du Seigneur. On va revenir à ça.
L'Holocauste, l'importance de l'Holocauste. On a lu ça. À cause de l'Holocauste, Dieu pouvait
habiter avec son peuple et sanctifier les sacrificateurs. Et il pouvait y révéler ses pensées.
Le peuple venait là pour adorer, pour amener le sacrifice à l'entrée de l'attente. Et Dieu était
là aussi pour parler avec Moïse et révéler ses pensées. On a les mêmes pensées aujourd'hui. Demain
matin, Dieu voulant, si on reste ici, on aura la table du Seigneur, on aura les sacrifices de nos
lèvres, de nos cœurs, pour amener ce sacrifice. Et puis c'est là aussi où Dieu parle. On a le
ministère de la parole de Dieu. Dieu révèle ses pensées par le Seigneur Jésus qui est maintenant
dans la gloire, par son esprit. On a déjà tous ces éléments-là ici, dans cette illustration.
Maintenant, je fais un grand pas dans le pays. Quelle est la différence entre le tabernacle
dans le désert et le temple dans le pays? Dans le pays, tout était en repos. Tout était établi
d'une façon permanente. Et lorsqu'on parle du pays, nous pensons, nous les croyants, au propos de
Dieu qui est inchangeable. Selon le propos de Dieu, il fallait que le peuple soit dans le pays. Selon
le propos de Dieu, nous avons des bénédictions du pays, ce qui était le pays littéral, géographique
pour Israël, et pour nous, le ciel. Pour nous, le pays, c'est le ciel où Christ est maintenant
assis à côté de Dieu. Puis là, il y a le repos. Le Seigneur Jésus s'est assis à la droite de Dieu.
Le pays est caractérisé par le repos. Et là, il y avait le temple. J'ai marqué un psaume important,
le psaume 132, et j'aimerais vraiment vous encourager à lire ce psaume-là. Et là,
vous allez découvrir trois choses importantes. Je les mentionne simplement. D'abord, l'autorité du
roi. Dieu avait préparé un roi, c'est David, son bien-aimé. Ensuite, Dieu voulait habiter au milieu
de son peuple, et David prépare une habitation. C'est de nouveau, comme on a vu dans l'Exode,
le peuple prépare une habitation. Mais dans le psaume 132, c'est un seul homme qui prépare
une place pour l'éternel. Puis là, Dieu va habiter, il va venir pour habiter là, à Jérusalem,
selon ses pensées, pour quoi? Pour faire quoi? Pour bénir son peuple. Ces trois éléments sont là.
L'autorité du roi, et là on pense pour nous, l'autorité du Seigneur Jésus, le vrai roi,
le vrai bien-aimé, l'habitation de Dieu avec son peuple pour ensuite les bénir. Ces trois pensées
de base sont là. Et puis, c'est là où on trouve aussi un nouvel élément, les chants. Et c'est là,
dans la présence de Dieu, où nous pouvons chanter. C'est David qui a institué ce service des chants.
Et dans la Convention 3, Ephésiens 4 ou 5, on est appelé à chanter de chœur, des cantiques
spirituelles, des hymnes, des cantiques et des psaumes spirituels. Ce sont donc des choses que
David a instituées dans l'Ancien Testament, ce sont des illustrations de ce que nous avons dans
le Nouveau Testament. Mais, un point important à comprendre, tout selon les pensées de Dieu.
Tout était institué selon les pensées de Dieu. D'abord par Moïse, dans le désert, dans Exode 40,
il est mentionné sept fois selon ce que Dieu avait commandé. Dans les jours de David, c'était
exactement selon les pensées de Dieu. Tout était là, prêt. Et c'est pour ça que nous devons aussi
appliquer les principes de Dieu avec soin, que ce soit exactement selon les pensées de Dieu,
pas selon les pensées de l'homme. Mais vous voyez, c'est exactement là où le peuple a manqué. Il y a
eu l'idolâtrie, au lieu de servir le vrai Dieu. Même dans le désert, Étienne le dit dans Acte 7,
ils ont porté avec eux les idoles. Dans le pays, les dix tribus ont introduit l'idolâtrie. Tout de
suite, même à la fin de la vie de Salomon, c'est Salomon lui-même qui a introduit l'idolâtrie.
Et ensuite, après la dispersion des dix tribus, il y a les deux tribus qui ont introduit l'idolâtrie,
même en rapport avec le temple. Dans Ézéchiel 8, on voit que les sacrificateurs et les chefs du
peuple étaient impliqués dans l'idolâtrie. Et c'est pour ça que Dieu a dit, si vous voulez
servir les idoles, moi je vais vous renvoyer à l'origine des idoles. Quelle est l'origine de
l'idolâtrie? C'est Babylone. C'est pour ça la captivité babylonienne. Dieu a dit, vous voulez
servir les dieux de Babylone? Ok, je vais vous transporter là. C'est aussi simple que ça. C'est
ça que Dieu a fait pour les discipliner, pour les châtier. Et pas seulement pour ça, pour les
purifier. Et c'est pour ça que j'ai mentionné maintenant ce sujet-là, cette pensée. La maison
de la maison de Dieu est réalisée ensuite par un petit reste. C'est ça qu'on trouve dans Ezra. Un
petit reste. Après la captivité, j'aimerais vous suggérer aussi de lire les psaumes 137 à 139.
Parce que dans les psaumes 137, on voit qu'ils sont en Babylone, dans la captivité. Ils ne peuvent
pas même chanter les cantiques de l'éternel. Ils sont incapables. Ils disent, on ne peut pas.
Comment servir Dieu dans le lieu de l'idolâtrie? Ils ont appris une leçon. Ils ont introduit les
idoles là où Dieu habitait, à Jérusalem. Maintenant Dieu les a transportées en Babylone. Et là,
ils ont appris leur leçon. Ils disent, on ne peut pas chanter les cantiques de l'éternel ici à
Babel, dans le centre de l'idolâtrie. Et dans le psaume 138, on voit qu'ils sont de retour à
Jérusalem. Et dans le psaume 139, on voit la condition qui est nécessaire pour rester à
Jérusalem, dans le jugement de soi-même. Donc, c'est un châtiment de la part de Dieu à cause
de l'idolâtrie. Et maintenant, l'application pour nous, parce que vous dites, mais qu'est-ce que j'ai
à faire avec Babylone? Je n'ai rien à faire avec Babylone. Le nom Babel veut dire porte vers Dieu.
C'était déjà réalisé par Némrod et son épouse, dans Genèse 10 et 11. Là, on voit comment
l'idolâtrie a été introduite dans la vie des hommes. Et c'était vraiment une invention de
Satan. Et à cause de ça, Dieu les a dispersés. On le voit dans Genèse 11. Mais ça, c'est l'origine
de l'idolâtrie. Et je ne peux pas donner les détails. Mais plus tard, on voit aussi que dans
l'histoire d'Israël, l'influence de Babel, ou de Babylone, a été très grande. Même lorsqu'ils
sont dans le pays promis, dans Jésus et Seth, déjà là, on voit un vêtement babylonien qui était la
cause de la chute d'Aquin. Et pour nous, on voit dans nos jours, dans l'apocalypse 17 et 18, on voit
le grand Babylone, la prostituée, la grande prostituée. C'est là un système d'idolâtrie.
Et c'est là, dans l'apocalypse 17-18, nous avons une image de l'ensemble de la chrétienté, de la
profession chrétienne. Après l'enlèvement de l'église, on voit là, l'ensemble de la profession
chrétienne, comme une grande prostituée. Et là, on voit l'idolâtrie. L'idolâtrie, la coupe qu'elle a,
avec les choses abominables, ça parle de l'idolâtrie. Et puis, j'aimerais suggérer que cet aspect là,
on voit dans nos jours, déjà dans le romanisme, dans le système catholique romain. Je ne parle
pas contre les croyants qui sont là. On parle contre un système entre les jours d'Ezraas, où les
gens étaient délivrés de la captivité, et nos jours, où il y a aussi la possibilité d'être délivré
de cette captivité. Aussi longtemps qu'on est sous le contrôle d'un tel système, on ne peut pas
vraiment adorer Dieu en liberté, selon ses pensées. C'est pour ça que, dans l'apocalypse 18, on lit,
« sors d'elle, sors du milieu de ce système-là ». Et on voit cet appel souvent dans la Bible,
de sortir d'un système d'idolâtrie. Donc, vous pouvez penser là-dessus. Et deuxièmement, Babel
nous parle aussi d'un système de confusion, parce que c'est là où Dieu a confondu les langues. Et
ainsi, on voit là aussi une image de l'ensemble de la profession chrétienne qui est en confusion.
Aussi, les dénominations, tout cela, ce n'est pas vraiment la pensée de Dieu, c'est la confusion.
Et Dieu veut donc délivrer son peuple de cette influence-là, d'une influence idolâtre. Je ne
peux pas entrer dans les détails, mais on voit dans l'histoire de l'Église que, dès le début,
l'idolâtrie a été introduite, comme dans l'histoire d'Israël. Et aussi, la confusion,
mais surtout après la réformation, on voit comment les Églises se sont divisées, divisées, divisées,
beaucoup de confusion. Ce n'est pas la pensée de Dieu. Dieu veut nous délivrer de cela, pour avoir
ce lieu, pour être à ce lieu où il habite. Donc, à la fin, j'ai mentionné illustration. Le retour
de l'exil, c'est une illustration de la réformation, d'un côté, ce qu'on voit dans Sardes, dans
Apocalypse 2, 3, mais aussi, surtout, du réveil, parce que c'est seulement dans le réveil que les
croyants ont compris la vérité de la maison de Dieu. Dans les jours de la réformation, l'emphase
était mise sur la justification par la foi. Tandis que dans les jours du réveil, on a mieux compris
l'unité de tous les chrétiens, l'unité de la maison de Dieu. Après la réformation, ils se sont
divisés dans toutes sortes de groupes, une Église nationale ici, en Angleterre, en Hollande, en
France. C'est une division, c'est une confusion. Tandis que dans les jours du réveil, les croyants
ont vu que l'unité dépasse les frontières faites par l'homme. Et on va voir aussi comment Dieu,
dans sa souveraineté, dans sa grâce souveraine, a protégé les croyants. Comme dans les jours des
grâces, il a protégé les croyants qui ont fait le même pas dans les jours du réveil. Donc là,
on voit le contexte de l'assemblée du Dieu vivant, comme on le voit dans Philippe Delphi dans
l'Apocalypse 3. Donc je mentionne maintenant quelques points et puis on va revenir à ces
points-là. C'est juste pour vous dire ça, que le contexte général et aussi la deuxième feuille,
en phase, sur quelques points, on va revenir à ces points-là. Mais je les mentionne brièvement
maintenant. D'abord l'arrière-plan de l'exil. On voit trois transportations, Daniel et ses amis,
la première transportation. Ensuite on voit que d'autres vases du Temple étaient pris avec la
transportation de Daniel. Il y avait aussi des vases pris du Temple. La deuxième transportation,
il y avait plus de personnes, des notables qui étaient pris de Jérusalem et de Judée. Et la
troisième transportation, encore d'autres, au moins trois transportations. Et on trouve aussi
dans Esdras et Nehemi trois exodes. Le chapitre qu'on a lu ce soir, c'est la première exode.
A peu près 80 ans après, sous Esdras, il y avait une deuxième exode, une petite groupe. Et ensuite,
15 ans après, à peu près, encore une exode sous Nehemi. C'est important de voir les liens avec les
autres livres. Deux chroniques par exemple. Le livre des chroniques nous parle aussi d'un résidu
qui voulait servir Dieu. On va retrouver cette pensée-là d'un reste dans Esdras et Nehemi. Donc
il y a des liens avec deux chroniques. Il y a aussi des liens avec deux chroniques à cause du
sujet. Parce que dans la chronique on voit la maison de Dieu. Les deux livres des chroniques
ont été écrits pour nous aider à réaliser les pensées de Dieu concernant la maison de Dieu,
même dans un temps de ruine, de déclin. Le livre d'Esdras se lit aussi au livre de Daniel. Parce
que dans Daniel on voit pourquoi Dieu avait transféré l'autorité entre les mains du roi de
Babel. Pourquoi il avait ôté donc l'autorité de Judas, des rois de Judas, et transféré l'autorité
entre les mains du roi de Babel. C'est Dieu qui l'a fait. Et Daniel explique ça. Dans Nehemi,
on voit la continuation du récit qu'on a dans Esdras. Dans Esdras, on va voir la restauration
initiale. Et puis la prochaine fois, on espère parler du chapitre 3, comment l'hôtel était
rétabli. Et on va parler de ce que ça veut dire, l'hôtel rétabli. Ensuite on va voir qu'ils ont
mis le fondement du temple. On va parler de l'importance de ça. Ensuite on va voir qu'ils
vont reconstruire le temple. On va parler de ça. Mais dans Nehemi, on voit qu'ils vont encore un
pas plus loin. Ils vont reconstruire la ville. Aussi dans les jours d'Esdras, ils ont reconstruit
la ville. Mais dans les jours de Nehemi, ils ont accompli cette heure-là et aussi bâti la murelle.
C'est un nouvel élément qui s'ajoute. Donc ça va tout ensemble. Et puis ensemble avec ces trois
livres, on a Agée, Zacharie et Malachie. Ce sont les prophètes de Dieu. On va voir dans Esdras 5,
que Agée et Zacharie ont parlé pour encourager le peuple à construire le temple. Mais dans
Malachie, on voit que le prophète blâme le peuple plus tard, après les jours de Nehemi ou même dans
les jours de Nehemi, pour leur état moral qui n'était pas selon les pensées de Dieu. C'est juste
pour mentionner qu'il y a donc des liens entre tous ces livres-là et qu'on devrait les considérer
dans son ensemble pour comprendre le sens de chaque livre et surtout maintenant ce livre
qu'on étudie, Esdras. Un autre point que j'aimerais mentionner, je l'ai déjà mentionné
brièvement, mais c'est la question de la discipline. Le peuple était désobéissant et nous savons ce
que ça veut dire. Si quelqu'un est désobéissant, il y aura la discipline. C'est dans nos foyers,
la discipline à cause de la désobéissance, c'est dans le contexte des croyants, c'était aussi dans
ce temps-là où Dieu a discipliné son peuple. Dieu a dit pour ainsi dire, vous êtes des idolâtres
maintenant, je vais vous transporter à l'origine de l'idolâtrie, à Babel. C'était un jugement de
Dieu. Et dans Jérémie 24 et 25, nous voyons, d'abord dans Jérémie 24, nous voyons deux corbeilles.
Peut-être que vous connaissez cette histoire-là. Une corbeille avec des figues très bonnes et une
corbeille avec des figues très mauvaises. Puis là, Dieu explique ce que ça veut dire. La corbeille avec
les bonnes figues étaient les croyants ou les gens qui habitaient à Jérusalem et en Judaïque, qui
voulaient se soumettre à la discipline de Dieu, qui ont accepté les voies de Dieu, que Dieu voulait
les transporter, que Dieu voulait les mettre entre les mains du roi de Babel. C'était une humiliation
que l'autorité du roi de Juda était prise, que le temple serait dérobé, les vases précieux du
temple étaient ôtés par Nabuchadnezzar et ensuite le temple était détruit, la troisième
transportation. C'était humiliant. Mais ce reste, comme on le voit dans Jérémie, ont accepté ce
jugement de Dieu. Ils savaient que c'était pour leur bien, c'était à cause de leur désobéissance,
c'était pour leur bien. Une leçon morale pour nous, si on accepte le jugement de Dieu, ça va
nous aider. Si nous acceptons la discipline, ça va nous aider. Mais il y avait aussi la corbeille avec
les figues méchantes, mauvaises. C'était les gens qui se rebellaient contre les voies de Dieu. Ils
ne voulaient pas se soumettre aux juges du roi de Babel. Je ne veux pas dire que c'est le plan de
Dieu d'avoir son peuple sous le juge du roi de Babel tout le temps. Parce qu'exactement dans ce
livre Esdras, on va voir que c'était seulement pour un temps. Dieu voulait les délivrer de ce juge-là,
après qu'il ait appris leur leçon. Donc ça nous parle de l'importance de la discipline. D'autres
choses à considérer. Dans Esdras, nous ne voyons pas l'arche comme dans les juges de David, de
Salomon. On voit comme l'arche a une place centrale. Mais pourquoi on ne voit pas l'arche dans Esdras
et dans Néni? Parce que vous le savez, l'arche nous parle du trône de Dieu. Le trône de Dieu n'était
plus sur la terre. Dieu a transféré l'autorité donnée au roi de Babel. Et Dieu était le Dieu du
ciel, le Dieu des cieux. Même dans Daniel 2 et d'autres passages, on a lu ça ce soir, le Dieu
des cieux, Esdras 1, verset 2. Donc Dieu n'avait plus son trône sur la terre. Dans une chronique
29, nous lisons que Salomon était assis sur le trône de l'éternel à Jérusalem. Il était le
représentant visible de Dieu, de l'autorité de Dieu. A cause de la désobéissance du peuple, Dieu a
dit, j'ai honte de cette autorité-là, je donne ça entre les mains des nations. Et c'est encore
aujourd'hui le temps des nations. Et Dieu est le Dieu des cieux. Donc ça veut dire, l'arche n'est
plus là, le trône de Dieu n'est plus là. Et c'est le mépris pour le peuple de Dieu. Comme on va
voir dans le livre Esdras, et si vous voulez étudier Néhémie aussi. 100 rois d'Israël ou de
Juda, ils étaient placés sous les rois des empires mondiaux. Babylone, le roi des Medes et des Perses,
ensuite Alexandre le Grand et ses successeurs, ensuite l'Empire Romain. C'est pour ça que j'ai
mentionné l'importance de Daniel. Vous étudiez le livre de Daniel pour comprendre tout cela. Donc
le trône de Dieu n'était plus là. Et puis une autre chose à mentionner, Dieu parle ici seulement
d'un reste des deux tribus. C'est seulement un petit reste des deux tribus qu'on trouve ici.
Ce n'est pas vraiment tout le peuple qui est là. Mais on va voir dans le chapitre 6 qu'il pense
quand même à tout le peuple de Dieu. Et on va voir que c'est important pour nous aussi, si nous
sommes seulement un petit reste qui veut suivre les pensées de Dieu. Il faut quand même, dans nos
pensées, dans nos cœurs, embrasser tout le peuple de Dieu. C'est une des leçons qu'on va voir dans
le livre d'Estrace. Et aussi une faiblesse apparente. Dans l'heure, dans ces jours-là, il y avait
beaucoup de faiblesse. C'était un jour de petites choses, peu de force. Et c'est pour nous la même
chose. Maintenant si on tourne la page, juste rapidement, mentionner ces points-là, on va
trouver, et déjà dans Estrace 1 c'est très évident, une œuvre de l'Esprit de Dieu. Il y a là une œuvre
de Dieu. On a vu la désobéissance de l'homme. Ça c'est l'œuvre de l'homme. L'homme gâte tout. Vous le
savez? L'homme gâte tout. Adam a gâté le plan de Dieu. Je peux donner toute une liste d'exemples
où on voit que l'homme a gâté ce que Dieu lui avait confié. Mais là il y a encore l'œuvre de Dieu.
Dieu n'abandonne jamais ses plans. Et ainsi aussi l'importance de la parole de Dieu. Il fait référence
à la parole de l'Éternel. La parole de Dieu sera accomplie. Deuxième point, la providence de Dieu.
Dieu est en contrôle. Son trône n'est plus sur la terre d'une façon visible, mais Dieu est dans le
ciel. Il est en contrôle. C'est ça qu'on trouve aussi dans l'histoire de l'Église. Beaucoup de
confusion, beaucoup de corruption, mais Dieu est quand même en contrôle. Troisième, en face,
on va voir la séparation d'humains. Il fallait que ce petit reste se sépare de l'idolâtrie. Qu'il
soit vraiment libre pour servir Dieu. On va revenir à ça aussi plus tard. Le nom et la maison de
l'Éternel. C'est une pensée très importante. On a déjà mentionné l'importance de la maison de
l'Éternel. Mais ici, dans le premier chapitre qu'on a lu, on voit souvent une maison ou la
maison de Dieu ou de l'Éternel à Jérusalem. Jérusalem, le centre divin pour le service de
Dieu. Je l'ai marqué un peu plus loin. Jérusalem est mentionné sept fois dans le premier chapitre.
Jérusalem était pour Israël le centre divin pour le service de Dieu. Vous pouvez voir ça dans
Deuteronome 12. J'ai mentionné le psaume 132. Mais aussi Deuteronome 12 serait très utile à
étudier un rapport avec cela. Et là, on voit que Jérusalem est le centre selon les pensées de Dieu.
Aujourd'hui, on n'a pas un centre comme ça. Jérusalem terrestre n'est pas notre centre divin.
Notre centre divin, c'est un rapport avec Christ dans le ciel, mais aussi sur la terre. Christ a
dit, moi je suis avec vous tous les jours. Et dans Matthieu 18, nous avons que ceux qui sont associés par le Seigneur, où il habite,
il est au milieu d'eux, où il est le centre, où il donne aussi son autorité, le nom est associé.
Et c'est pour ça que j'ai dit, ces illustrations de Esdras 1, les chapitres suivants, sont tellement
importants pour nous, parce qu'on peut transférer ces choses tout de suite dans le Nouveau Testament.
Ce sont des illustrations de nos jours. La pensée de la maison, la pensée du centre, les sacrifices qu'on va voir,
la table du Seigneur, ce sont toutes des illustrations qu'on a présentement dans nos jours. Mais pas d'une
façon concrète, physique, comme Jérusalem géographique, ou un hôtel concret comme ça. Pour nous, ce sont
des choses spirituelles. Ce qui était là, littéralement, d'une façon concrète, à toucher, sont pour nous des vérités
réelles, spirituelles. Le centre divin, le nom de Dieu, l'hôtel, c'est pas quelque chose de visible, une table ou quelque chose
comme ça, mais l'hôtel de Dieu, c'est la table du Seigneur, on va revenir à ça, ce sont des choses très importantes.
Mais on voit aussi, entre ces deux points, l'humilité et la repentance. Pour réaliser les choses, les pensées de Dieu, il faut
s'humilier, parce qu'on a manqué. Nous avons manqué. L'Église a manqué. Donc, il faut prendre une place d'humilité, de repentance.
Et c'est pour ça qu'on voit aussi beaucoup de prières dans ces livres d'Ezra et Némi, et même dans Daniel 9. Et l'unité du peuple,
on va voir que la pensée de l'unité du peuple est gardée, et ça nous aide aussi contre l'indépendance et le sectarisme. C'est un autre sujet
très important qui va ressortir dans ce livre-là. L'unité du peuple, malgré le déclin, et c'est dur à réaliser ça, si vous voyez, la plupart du
peuple d'Israël, la multitude sont restées à Babel. Seulement un petit reste à écouter la voix de Dieu et aller à Jérusalem. Et quand même, ils ont gardé
dans leur cœur les principes de Dieu concernant l'unité du peuple. Donc, quelques principes divins qu'on va trouver. La responsabilité de l'homme, je l'ai manqué.
L'homme manque et gâte tout. C'est la faillite. Mais là, on voit la grâce souveraine de Dieu. A cause de leur manque, Israël était, ou les deux tribus étaient en Babylone
maintenant. La grâce de Dieu intervient pour les ramener à Jérusalem. Et le troisième point que j'ai mentionné, le propos immuable de Dieu. Les pensées de Dieu ne changent pas.
La faillite de l'homme ne peut pas changer la vérité de Dieu. C'est une autre chose qu'on trouve ici. Et selon le plan de Dieu, ils vont établir l'hôtel, le temple ensuite, et les murailles après, selon le propos de Dieu.
C'est pour nous donc très important, dans nos jours, à connaître le propos de Dieu. Comme dans l'Ephésien, le Colossien, d'autres passages dans la Bible.
L'habitation de Dieu, je l'ai mentionné, en rapport avec son règne, son autorité, et là il peut bénir. Aussi le principe d'un résidu. Seulement un résidu va réaliser le plan de Dieu.
Il y avait des centaines de milliers de juifs en Babylone. Il y avait seulement 42. On va le voir la prochaine fois, Dieu vous l'a, chapitre 2. Seulement 42 000, un peu plus, sont rentrés à Jérusalem.
Donc seulement un résidu. Mais pour Dieu, c'était son vrai peuple. Dieu s'est identifié avec ce petit reste à Jérusalem. Il a dit, c'est mon peuple.
Et puis, le sixième point, un exercice profond. Ça prend un exercice profond. C'est pas facile sortir de la prospérité pour réaliser que là à Babel, il y avait la deuxième, la troisième génération.
Ils étaient à l'aise là. Ils avaient des entreprises. Les choses allaient bien. C'était très bien là. Donc, pour abandonner tout ça, pour aller à Jérusalem, ça prenait un grand exercice de cœur.
Ça prenait la foi. Ça prenait des prières. Et pour nos jours, c'est la même chose. La plupart des chrétiens sont bien confortables où ils sont, dans la division, dans la corruption même, dans l'idolâtrie, ils sont bien confortables.
Même des vrais croyants. Il faut payer un prix pour sortir de là. Sortir de Babylone. C'est ça qu'on voit ici. Ça prend un exercice profond.
C'est pas parce que mon père a quitté l'église, ou mes parents, ou vos parents. Non, ça prend vraiment un exercice de cœur, personnellement. La foi et la prière. Et aussi, l'obéissance à la parole de Dieu.
La parole de Dieu reste toujours la même. La parole de Dieu ne change pas. Et vous voyez, c'est tellement consolant. Dans l'acte 20, Paul dit, il y aura de la confusion, il y aura de l'idolâtrie,
il y aura de faux hommes qui vont conduire le peuple de Dieu dans la mauvaise direction. Mais il dit, je vous recommande à la parole de Dieu, à Dieu et à la parole de sa grâce.
La parole de Dieu et sa grâce nous suffit. C'était le cas dans les jours des grâces, c'est aussi le cas dans nos jours.
Et on va voir aussi une leçon importante, la séparation de l'idolâtrie et du mélange. Ça c'est une leçon qu'on va élaborer un peu la prochaine fois peut-être, puis les fois à venir.
Donc, on a juste quelques minutes encore pour parcourir un peu ce chapitre. Donc j'aimerais suggérer que vous gardiez ces points et que vous étudiez ces points-là pour vous-même.
Et puis, si vous avez des questions, ce soir ou même la prochaine fois, vous pouvez prendre ces feuilles, mettre des notes, puis sentez-vous libre d'avoir des questions.
Donc, ce chapitre 1, j'ai trois points. La proclamation de Cyrus, verset 1 à 4. Ensuite, la réponse des chefs de Judas, verset 5 à 6. Et ensuite, l'évasion de la maison ramenée à Jérusalem, verset 7 à 11.
Donc, comme vous le voyez, ce sont des choses littérales, c'est donc le sens littéral. Ces choses ont aussi une signification prophétique dans le futur. Dieu va avoir un temple sur la terre, le temple d'Ézéchiel, Ézéchiel 40 à 48.
Mais nous parlons maintenant du sens allégorique et aussi l'application spirituelle pour nous.
Donc, on voit dans verset 1 à 4, cette proclamation, cette idée de Cyrus. C'est très remarquable que 200 avant que ça arrive, le prophète Ésaïe, 200 ans avant ça, le prophète d'Ésaïe avait déjà parlé de Cyrus.
Cette fois, vous pouvez voir dans Ésaïe 41 jusqu'à 48, cette référence à Cyrus. Pas toujours le nom, mais quelques fois il est mentionné, mon serviteur, Cyrus, Dieu dit, mon bien-aimé même, mon berger.
Donc, Cyrus était un instrument dans les mains de Dieu. Et dans ce sens-là, Cyrus est même une image du Seigneur Jésus, comme le Seigneur Jésus va rayer comme le grand empereur de la terre.
Son nom veut dire soleil. Là aussi, un parallèle avec le Seigneur Jésus.
Donc, le roi de Perse, il va maintenant faire ce que Dieu avait dit. C'est remarquable. Vous voyez, ces empereurs comme le roi de Babel et aussi les rois de Perse pensaient qu'il était roi et maître de tout.
Mais ici, nous voyons qu'il reconnaît quand même l'autorité de Dieu. Et puis, l'auteur Esdras ici dit, afin que fût accomplie la parole de l'Éternel.
Dans Jérémie 25, vous pouvez lire, et aussi dans Jérémie 29, comment Dieu avait prophétisé que les jours de Babylone seraient terminés après 70 ans et que Dieu transférait l'autorité entre les mains de notre roi, le roi de Médie.
Jérémie 25, verset 25, et aussi verset 11, il mentionne, ces nations serviront le roi de Babylone 70 ans. Jérémie 25 est très important. Verset 12 aussi, il arrivera quand les 70 ans seront accomplis, que je visiterai sur le roi de Babylone et sur cette nation là, leur iniquité.
Donc Dieu allait maintenant châtier les rois de Babylone à cause de leur iniquité, comme on voit dans Daniel 5, leur iniquité. Et Dieu intervenu même dans Daniel 5, il a permis que le général de Cyrus occupe la ville.
Et aussi dans Jérémie 29, il y a une référence, verset 11, car moi je connais les pensées que je pense à votre égard, dit l'Éternel, pensées de paix et non de mal. Il parle ici d'une bonne parole, verset 10, car ainsi dit l'Éternel, lorsque 70 ans seront accomplis pour Babylone, je vous visiterai et j'accomplirai envers vous ma bonne parole pour vous faire revenir en ce lieu.
J'aimerais souligner aussi le verset 13, vous me trouverez car vous me recherchez de tout votre coeur. Donc c'était important dans ce temps là, ce sera important dans les jours à venir pour le reste d'Israël, qu'il revienne de tout coeur.
Et c'était aussi dans les jours d'Esdras, parce que la multitude ne cherchait pas vraiment de tout coeur. Et ils n'étaient pas vraiment intéressés à connaître la bonne parole de Dieu. Seulement un petit reste, comme on voit dans Esdras 1 et 2, avec de l'intérêt. Est-ce que vous avez de l'intérêt pour connaître la parole de Dieu? Est-ce que vous cherchez, est-ce que moi je cherche de tout mon coeur, connaître les pensées de Dieu?
C'est ça la condition, la repentance aussi. Mais ici donc le côté de Dieu, la parole de Dieu, Dieu avait prédit ça, Dieu va accomplir sa parole. Et on voit encore un beau point là au milieu, l'éternel réveilla l'esprit de Cyrus.
Ça nous montre donc que Dieu est en contrôle. Apparemment c'était ces rois là, Cyrus et Avançal, le roi de Babel, qui étaient en contrôle. Non, en arrière de tout ça c'est Dieu qui est en contrôle.
Et dans Daniel 10, de nouveau je réfère à Daniel, dans Daniel 10 vous voyez que Dieu contrôle le monde invisible. Il y a Satan et ses démons qui travaillent. Dieu est là aussi en contrôle. Ce serait intéressant à étudier Daniel 10.
Et Dieu réveilla l'esprit de Cyrus. Et un peu plus loin on voit aussi que Dieu a réveillé certains hommes pour aller. C'est l'heure de Dieu. Ici la providence de Dieu pour conduire Cyrus.
Et de nouveau on voit la même chose dans l'histoire de l'église. Vous voyez qu'au Moyen-Âge, personne en Europe pouvait faire quelque chose sans reconnaître l'autorité du pape.
Dans ces jours là ce serait impossible de se réunir selon les pensées de Dieu en toute liberté comme nous pouvons le faire aujourd'hui. Au Moyen-Âge c'était impossible de le faire comme ça. Il fallait se soumettre à l'autorité de l'église et seulement faire ça.
Ça c'était dans ces jours là pas belle. Et encore dans nos jours ça existe. Et puis ici on voit donc une intervention de Dieu. Et c'est dans l'histoire de l'église aussi comment Dieu est intervenu pour changer cela.
Pour que les gens aient la liberté de le servir. Un peu comme on le voit dans les jours de la réformation mais aussi surtout dans les jours du réveil. Dieu a réveillé les esprits des rois dans ce temps là.
Vous voyez que même le roi d'Allemagne a voulu rompre le pain avec les frères à Berlin. En Hollande la reine est venue pour rompre le pain. Mais elle ne pouvait pas le faire parce que ces deux dames de campagne n'étaient pas des croyantes.
Donc c'est pour ça qu'elles ne pouvaient pas venir mais elles voulaient venir pour rompre le pain avec les frères. Donc là on voit un changement de situation. C'est juste un exemple que je donne.
Où Dieu contrôle même les rois pour qu'ils soient en faveur avec ce mouvement de l'esprit de Dieu. Verset 2 il donne cette proclamation et j'aimerais mentionner 3 points maintenant dans verset 2 et 3.
D'abord c'est une charge que le roi Cyrus avait et on va revenir à ça dans chapitre 6. Là on voit beaucoup plus de détails concernant la maison. Mais ici il mentionne la charge qu'il a reçue de la part de l'éternel Dieu des cieux qui m'a chargé de lui bâtir une maison à Jérusalem.
Donc notons bien une maison, on va revenir aux détails dans chapitre 6, à Jérusalem, le centre divin selon les pensées de Dieu, psaume 132, Deuteronome 12, c'est là où il avait choisi à mettre son nom et pour nous c'est dans Matthieu 18, c'est là où le Seigneur met son nom.
Étant Judas, Judas veut dire louer la louange de l'éternel. Donc ça va tout ensemble.
Qui d'entre vous, ça c'est le deuxième point, il donne maintenant la permission, donc d'abord la charge qu'il avait de la part de Dieu. Deuxièmement dans son édit il mentionne la permission que tous d'entre les juifs qui voulaient aller pouvaient aller.
Donc, en autres mots, la porte était ouverte pour tous les juifs. Aujourd'hui, par la grâce de Dieu, la porte est ouverte pour tous les croyants à se réunir selon les pensées de Dieu. Dans sa maison où il est le centre, où il est le chef, c'est ouvert pour tous.
Mais est-ce que tous viennent? Est-ce que tous répondent à cet appel? Qui d'entre vous, quel qu'il soit, c'est pas nécessaire d'être une personne honorable ou érudite, tous les croyants peuvent venir, tous les membres de son peuple.
Ici, dans ces jours-là, c'était littéralement les juifs. Aujourd'hui, ce sont les membres du peuple de Dieu. Mais c'est la même pensée, le peuple de Dieu. Que son Dieu soit avec lui et qu'il monte à Jérusalem. Comme Abraham est monté de Babel pour habiter dans le pays promis.
Troisième point, verset 4, celui qui est de reste, c'est une invitation pour donner. Donc, on voit que même là, le roi a réalisé qu'il n'allait pas tous, mais que ceux qui restent en Babylone puissent supporter cette oeuvre-là.
C'est le verset 4. Mais j'aimerais encore souligner, verset 3 à la fin, qu'il baptise la maison de l'Éternel, le Dieu d'Israël, lui est Dieu à Jérusalem. Donc, il reconnaît ici le vrai Dieu. Dans ces temps-là, les dieux étaient reconnus en rapport avec les contrées où ils avaient le contrôle.
Mais Cyrus reconnaît le vrai Dieu à Jérusalem. Et souvent, on voit cette expression-là, la maison à Jérusalem ou Dieu à Jérusalem. Donc, le verset 4, l'invitation pour d'autres qui n'allaient pas, pour quand même supporter cette oeuvre-là.
Verset 5, on voit la réponse, les chefs se lèverent. Les chefs nous parlent de la responsabilité, l'élément responsable. Eux prennent l'initiative et d'autres vont suivre. De Judas et de Benjamin. Et pour nous, c'est la même chose. Il y a d'autres croyants qui ont pris l'initiative le siècle passé et nous suivons dans leur sentier, dans le même sentier. Mais il faut quand même avoir l'exercice, comme nous avons vu. Il faut répondre. …
Automatic transcript:
…
C'est très actuel. Esdras, chapitre 2.
Esdras 2.
Ensuite, nous avons toute une liste des noms des Pères et aussi de leur ville.
Ensuite, les sacrificateurs, etc. On va revenir à ça, la division de ce chapitre.
Et à la fin du chapitre, nous lisons verset 68.
Les chefs des Pères, quand ils arrivèrent à la maison de l'Éternel, qui est à Jérusalem,
donnèrent volontairement pour la maison de Dieu, pour la relever sur son emplacement.
Ils donnèrent au trésor de l'œuvre, selon leur pouvoir, 61 000 d'arigues d'or et 5 000 mines d'argent et 100 tuniques de sacricateurs.
Et les sacricateurs, et les lévites, et ceux du peuple, et les chantres, et les portiers, et les nétiniens,
habitaient dans leur ville. Toute Israël se trouva dans ces villes.
Chapitre 3.
Et quand arriva le septième mois, les fils d'Israël étant dans leur ville, le peuple s'assembla comme un seul homme à Jérusalem.
Et Jésua, fils de Yotsadak, et ses frères, les sacricateurs, et Zorobabel, fils de Shéaltiel, et ses frères,
se levèrent et bâtirent l'hôtel du Dieu d'Israël, pour y offrir des holocaustes, selon ce qui est écrit dans la loi de Moïse.
Hommes de Dieu. Ils établirent l'hôtel sur son emplacement, car la terreur des peuples de ces contrées était sur eux.
Ils offrirent dessus des holocaustes à l'éternel. Les holocaustes du matin et du soir.
Ils firent la fête des tabarnacles, selon ce qui est écrit.
Et les holocaustes, jour par jour, selon leur nombre, selon l'ordonnance, le service de chaque jour en son jour.
Et après cela, l'holocauste continuel, et celui des nouvelles lunes, et de tous les jours, solennels, de l'éternel, qui était sanctifié.
Et les holocaustes de tous ceux qui offraient une offrande volontaire à l'éternel.
Depuis le premier jour du septième mois, ils commencèrent à offrir des holocaustes à l'éternel.
Mais les fondements du temple de l'éternel n'étaient pas encore posés.
Ils donnèrent de l'argent aux tailleurs de pierres et aux charpentiers, et des vivres et des boissons et de l'huile aux Sidoniens et aux Tyriens,
pour amener du Liban des bois de cèdre à la mer de Jaffo, suivant l'autorisation qu'ils avaient de Cyrus, roi de Perse.
Et la seconde année de leur arrivée à la maison de Dieu, à Jérusalem, au second mois, Zorobabel, fils de Shéaltiel, et Jéchoua, fils de Yotsadak,
et le reste de leurs frères, les sacrificateurs et les lévites, et tous ceux qui étaient venus de la captivité à Jérusalem, commencèrent.
Ils établirent les lévites, depuis l'âge de vingt ans et au-dessus, pour surveiller l'œuvre de la maison de l'éternel.
Alors, Jéchoua et ses fils et ses frères, Kadmiel et ses fils, les fils de Judas, se tinrent là comme un seul homme pour surveiller ceux qui faisaient l'ouvrage dans la maison de Dieu,
et aussi les fils de Hénadad, leurs fils et leurs frères, les lévites.
Et lorsque ceux qui bâtissaient posèrent les fondements du temple et de l'éternel,
on fit assister les sacrificateurs, revêtus de leurs robes, avec des trompettes, et les lévites, fils d'Azaf, avec des cymbales, pour louer l'éternel selon les directions de David, roi d'Israël.
Et ils s'entrépendaient en louant et en célébrant l'éternel, car il est bon, car sa bonté envers Israël demeure à toujours.
Et tout le peuple poussa de grands cris en louant l'éternel parce qu'on posait les fondements de la maison de l'éternel.
Et beaucoup d'entre les sacrificateurs et d'entre les lévites et d'entre les chefs des pères, les vieillards qui avaient vu la première maison, pleuraient à haute voix lorsque les fondements de cette maison furent posés devant leurs yeux.
Et beaucoup poussaient des cris de joie en élevant leur voix.
Et le peuple ne pouvait distinguer entre le bruit des cris de joie et la voix du peuple qui pleurait.
Car le peuple poussa de grands cris et le bruit s'entendait au loin.
Jusqu'ici la lecture de la parole.
Vous avez reçu cet aperçu.
Puis, si vous voulez faire des notes en arrière, sur la page 4, il y a encore de la place pour écrire des notes et aussi pour écrire vos questions.
Si vous avez des questions, on pourrait peut-être avoir quelques minutes à la fin pour les discuter.
Voilà, le peuple d'Israël.
Ce que j'aimerais souligner de ce qu'on a vu la dernière fois, c'est que Dieu veut habiter avec son peuple.
On l'a vu avec Abraham.
Dieu a fait sortir Abraham d'un système d'idolâtrie, Babel, d'un système de corruption.
Pour qu'il puisse adorer le vrai, le seul vrai Dieu.
Genèse 12.
Et puis là, on voit déjà Bethel.
Abraham avait un hôtel près de Bethel, la maison de Dieu.
Et si vous étudiez la Genèse, vous allez voir Jacob, le petit-fils d'Abraham.
Jacob a eu toutes sortes d'exercices dans sa vie, toutes sortes d'expériences aussi.
Mais finalement, il est arrivé là, à Bethel, le lieu où Dieu habitait.
Il a construit un hôtel et l'a appelé le Dieu d'Israël et de Dieu.
Et là, il a goûté vraiment la bonté de Dieu, la présence de Dieu.
Mais c'étaient des individus.
Et dans l'Exode, nous avons vu que Dieu veut habiter avec tout un peuple.
La condition, c'est la rédemption.
Ça prend la délivrance.
Israël était sous la puissance du Pharaon.
Et puis ça nous parle de la puissance de Satan.
La puissance du péché.
Et vous voyez, cette histoire-là est une illustration de la puissance du péché.
La puissance du péché.
Et vous voyez, cette histoire-là est une illustration de ce qui se passe dans nos jours.
Dieu a libéré un peuple pour l'avoir pour lui-même.
Vous et moi, si on appartient au Seigneur Jésus, par la grâce de Dieu,
on appartient à un peuple racheté par le Saint de Christ.
Un peuple délivré.
Délivré de quoi?
Délivré de la puissance de Satan.
Délivré de quoi?
Délivré de la puissance de Satan.
Délivré de la puissance du péché.
Délivré de la puissance de la mort.
Avec un tel peuple, Dieu veut habiter.
Il ne peut pas habiter avec les Égyptiens.
Ils n'avaient pas besoin de Dieu.
Dieu ne peut pas habiter avec les Babyloniens.
Ils avaient leur propre Dieu.
En excluant le vrai Dieu.
Satan est très rusé.
Satan avait introduit graduellement cette idée d'idolâtrie.
On peut le voir dans Romain 1.
On ne peut pas parler des célipailles maintenant.
Mais vous allez voir que Dieu veut habiter avec son peuple sur la terre.
Là où Satan est encore prince et maître,
Dieu veut avoir son peuple à lui.
Pour que ce peuple soit un témoignage pour lui.
Et vous voyez, plus tard,
Dieu a donné des instructions à Moïse
pour que Moïse puisse construire le tabernacle.
Dans le désert, Dieu était avec son peuple.
Le peuple était dans le désert.
Dieu était avec eux dans le désert.
Plus tard, le peuple était dans le pays.
Le livre de Josué.
Juge.
Les rois ont un roi.
Et finalement, ils ont trouvé la place que Dieu avait choisie.
Selon Deuteronome 12,
il y avait une place où Dieu voulait habiter avec son peuple.
Et là, David a préparé les choses pour la construction du temple.
Et Salomon a construit le temple.
C'était des jours merveilleux.
Dieu pouvait habiter avec son peuple.
Il pouvait bénir son peuple.
Et c'est très intéressant que là,
lorsque le temple avait été construit,
ils ont chanté ce cantique qu'on a lu ce soir aussi.
Que Dieu est bon.
Et que sa bonté est éternelle.
Je vais revenir à ça parce que c'est merveilleux de voir
comment Dieu avait béni son peuple.
Qu'est-ce qui s'est passé?
Cinquante ans après, c'était l'idolâtrie.
Le peuple était divisé.
Divisé.
Dix tribus ont suivi l'idolâtrie.
Ensuite, les deux tribus qui sont restées fidèles,
un peu plus tard,
ils se sont jetés aussi dans l'idolâtrie.
Et on a vu la dernière fois qu'à cause de ça,
Dieu les a expédiés du pays.
Vous voulez servir les idoles?
Voilà, je vous envoie à l'origine des idoles, à Babylone.
On a parlé de la captivité babylonienne.
Pourquoi est-ce que je vous donne tous ces détails-là?
Est-ce que c'est juste parce que c'est une histoire intéressante?
Vous voyez, ces choses ont été écrites pour vous et moi, dans la Bible.
Et dans l'histoire de l'Église, on voit exactement la même chose.
Dieu voulait habiter avec son peuple, racheter.
Acte 2, l'Esprit de Dieu est venu pour habiter dans l'Église, dans les croyants.
Qu'est-ce que l'Église a fait plus tard?
Ils ont introduit l'idolâtrie.
Acte 5, on voit déjà le principe, l'amour de l'argent.
Mais plus tard, on voit que l'idolâtrie a pénétré dans l'Église.
Dans l'Apocalypse 2 et 3, on le voit en détail.
Et dans nos jours, il y a beaucoup d'idolâtrie au milieu du peuple de Dieu.
Puis là, Dieu veut libérer un résidu.
Ça, c'est un mot-clé à comprendre.
On parle ici d'un petit résidu qui sont montés de la captivité babylonienne.
Ça a pris deux choses.
Ça a pris un roi, Cyrus, qui était préparé par Dieu pour les faire monter à Jérusalem.
Et puis, si vous voulez, vous pouvez lire dans Esaïe, cette passage qui nous parle de Cyrus.
Comment Cyrus était vraiment un instrument dans les mains de Dieu pour changer la situation du peuple de Dieu.
Tous auraient pu retourner à Jérusalem.
Et aujourd'hui, les pensées de Dieu sont les mêmes pour tout le peuple de Dieu, tous les croyants.
Est-ce que tous les juifs sont allés à Jérusalem?
Chapitre 2, on voit seulement 42 000 à peu près qui sont rentrés à Jérusalem.
Aujourd'hui, on voit un peu la même chose.
Dieu donne la possibilité aux croyants de retourner au lieu qu'il avait préparé.
Et on a parlé de ça un peu la dernière fois aussi, en rapport avec Matthieu 18, verset 20.
Et verset 2, on voit l'église comme un temple, une bâtisse où Dieu habite.
On voit dans un chrétien aussi le principe que l'assemblée locale, où tous les croyants, dans une localité, ne forment qu'une seule église.
Mais est-ce que tous réalisent ces principes-là?
C'est ça la question.
On voit que seulement un reste, un reste, réalise ces pensées-là.
Et puis, ce que j'aimerais souligner maintenant, dans le chapitre 1er, pour avoir le lien maintenant avec le chapitre 2.
Donc, d'abord, la providence de Dieu. Je l'ai aussi marqué sur la feuille.
Dieu a préparé Cyrus dans sa providence.
Et puis, c'est en soi une image du Seigneur Jésus, comment le Seigneur va régner aussi sur les nations au millennium.
Je ne peux pas élaborer ce point-là.
Mais c'est vraiment un instrument de Dieu.
Ça ne veut pas dire qu'il était né de nouveau, par contre.
Il était un instrument, entre les mains de Dieu, pour ouvrir la porte pour que ce résidu rentre.
Deuxième chose, Dieu a réveillé aussi leur esprit.
Verset 5, au premier chapitre.
Si Dieu n'avait pas réveillé leur esprit, personne ne serait monté.
Et je peux l'appliquer à vous et moi.
Si Dieu n'avait pas réveillé, par sa grâce souveraine, notre esprit, supposons qu'on était né de nouveau,
on serait encore pris dans un système de l'homme,
comme beaucoup sont pris dans un système d'idolâtrie,
où les gens ne peuvent pas vraiment adorer Dieu selon les pensées de Dieu.
En tout cas, on voit ici une œuvre de Dieu, verset 5.
C'est Dieu qui a réveillé l'esprit de ses chefs, de ses sacricateurs, de ses lévites.
Et aujourd'hui aussi, ça prend une œuvre de Dieu en vous et moi,
pour que nous soyons exercés à monter, pas littéralement à Jérusalem,
mais pour réaliser les pensées de Dieu, pour aujourd'hui, que Dieu veut habiter avec son peuple.
Et la troisième chose que j'aimerais souligner là, ce sont les vases.
Parce que les vases, les ustensiles qu'ils ont pris, c'est vraiment une illustration très claire.
Les vases étaient dans le temple de Dieu auparavant.
Ensuite, Nebuchadnezzar est venu, il a pris tous ces vases, tous ces ustensiles,
il les a placés dans son temple, dans le temple de son Dieu.
Donc, il a pris ces vases de Dieu pour les mettre dans le temple de Nebuchadnezzar, de l'idolâtrie.
Et maintenant on voit, par l'intervention de Cyrus, que ces vases sont maintenant transportés à Jérusalem.
Et ça c'est de nouveau une illustration des croyants d'aujourd'hui.
Parce que vous savez peut-être que les croyants sont comparés avec des vases dans la Bible, des ustensiles.
Dieu veut que nous comme croyants, chacun de nous, les enfants inclus, chaque croyant,
est préparé pour être un vase pour le maître.
Un vase c'est un ustensile ici, un rapport avec le service de Dieu.
On voit qu'un vase est préparé par le maître, dans Jérémie.
On voit que le vase est aussi responsable pour soi-même, dans Dieu Timothée.
Mais ici on voit ce principe-là, que Dieu intervient dans sa grâce pour faire monter ces ustensiles.
Et ainsi, c'est une illustration de vous et moi.
Si nous étions sous l'influence de l'idolâtrie, Dieu dans sa grâce est intervenu pour nous délivrer de cette idolâtrie-là.
Et pour nous mettre en contact avec lui-même.
Et aussi pour nous rendre prêts et disponibles.
C'est pour ça qu'on a chanté, j'ai pensé à ça.
Prends ma vie, elle doit être à toi seul.
C'est ici un vase, ou des vases, qui sont pour le vrai Dieu.
Ainsi on prie, prends ma vie, elle doit être à toi seul, divin maître.
Et ainsi ces vases sont une illustration donc des croyants,
qui montent à Jérusalem pour être placés dans le temple de Dieu.
Le temple n'était pas encore bâti, on va parler de ça.
Ça c'est aussi ici le côté de la responsabilité du peuple pour rebâtir le temple.
Mais on voit ici un principe important.
Ces vases devraient maintenant être utilisés pour la gloire de Dieu.
Et ainsi Dieu veut utiliser vous et moi pour sa gloire.
Au lieu d'être pour nous-mêmes, il y a beaucoup de croyants qui ne vivent que pour eux-mêmes, pour leur propre gloire, pour leurs propres intérêts.
Là ils ne sont pas vraiment prêts pour la gloire de Dieu.
Ou bien, c'est ce qui est encore pire, ils sont vraiment sous l'esclavage,
ou pour la gloire de Satan, ça arrive aussi.
Mais Dieu veut nous délivrer de ça.
Dieu veut nous rendre libres pour que nous soyons disponibles pour son service.
Donc ça c'est le point en rapport avec les vases.
Maintenant j'aimerais suggérer dans le chapitre 2, nous voyons d'autres illustrations des croyants.
Comme nous avons vu, ça parle d'Israël dans le passé, juste un petit résidu.
Mais selon l'enseignement du Nouveau Testament, ces choses nous parlent aussi de ce qui se passe dans nos jours.
Dieu veut que vous et moi, on réalise qu'on appartient au peuple de Dieu.
Qu'on soit libre pour servir le vrai Dieu.
On voit dans le chapitre 2 qu'ils mentèrent de la province.
Donc ils reconnaissent l'autorité de Cyrus.
Et nous aussi dans nos jours, on doit reconnaître l'autorité des autorités que Dieu a placées au-dessus de nous.
Mais Dieu a quand même donné cette liberté qu'ils puissent monter et retourner à Jérusalem et en Juda.
Chacun à sa ville.
Et puis ils vinrent avec Zorobabel, Yeshua, Nehemiah, etc.
C'était le chef du peuple.
A la fin du verset 2, nombre des hommes du peuple d'Israël.
Ça c'est une première illustration que j'aimerais souligner.
Vous et moi, on appartient au peuple de Dieu.
Comme le peuple d'Israël dans ces jours là était le peuple de Dieu.
L'Église aujourd'hui, les vrais croyants, juifs et gentils, les vrais croyants forment le peuple de Dieu.
Et Dieu veut qu'on réalise ce grand privilège.
Beaucoup de gens sont restés à Babylone.
Et puis là, ils avaient oublié leur vraie identité.
Ils avaient oublié leur lien avec Jérusalem, la place que Dieu avait choisie.
Et puis ils étaient dans l'esclavage, comme nous avons vu.
Par rapport avec cela, j'aimerais souligner aussi qu'ils sont montés chacun à sa ville.
Vous et moi, on habite dans une certaine localité.
Et puis Dieu veut qu'on soit là comme membre de son peuple.
Mais on voit ici, au chapitre 3, qu'ils sont montés après à Jérusalem.
Ça représente deux vérités.
Nous sommes aussi, comme le peuple de Dieu, chacun dans notre propre localité, dans notre propre ville.
Et on est responsable de briller, comme nous avons chanté dans l'autre cantique,
de briller pour lui, d'être disponible pour lui.
Mais Dieu veut aussi que nous réalisons que nous avons quelque chose en commun avec tous les croyants.
On va revenir à ça dans le chapitre 3.
Deuxième chose, si vous voulez suivre, je vais juste remarquer quelques points saillants là.
Avec les hommes du peuple d'Israël, ça c'est le passage verset 3 au verset 35,
nous voyons l'emphase sur leur lien familial et aussi sur les lieux où ils habitaient, où ils venaient.
Ensuite on a un deuxième groupe, verset 36, les sacrificateurs.
Maintenant, selon l'enseignement de la parole de Dieu, vous et moi, on est des sacrificateurs.
On n'a pas besoin d'aller au prêtre dans l'église quelque part, puis dire ça c'est un sacrificateur.
Selon la Bible, tous les croyants sont des sacrificateurs.
Donc, Dieu nous a préparés pour être des sacrificateurs.
Mais comme nous avons vu, ces sacrificateurs étaient en Babylone.
Les sacrificateurs n'étaient pas disponibles pour le service de Dieu, sauf ceux qui sont mentés.
Les sacrificateurs qui sont mentés, qui sont quittés donc de Babylone,
eux étaient prêts maintenant pour servir le seul et vrai Dieu, comme sacrificateur, comme adorateur.
C'est un autre mot qu'on trouve dans le Nouveau Testament, un rapport avec les croyants.
Sacrificateur, adorateur.
Et je répète donc, le lien c'est qu'ils étaient en Babylone, dans l'esclavage,
au moins exposés à l'idolâtrie, sous l'influence de l'idolâtrie, souillés par ça.
L'Epsom le montre, d'autres passages le montrent.
Et ainsi beaucoup de croyants, aussi dans nos jours, sont sous l'influence de l'idolâtrie.
Et Dieu voulait les délivrer de cette influence-là, pour qu'ils puissent réaliser ce qu'ils sont vraiment,
selon les pensées de Dieu.
Ce petit résidu qu'on a ici, dans toute faiblesse, avec beaucoup de manque,
parce que plus tard dans ce livre on va voir des manques aussi.
Malgré ces manques, malgré leur faiblesse, ils voulaient être disponibles pour Dieu.
Il y en avait beaucoup qui étaient à l'aise à Babylone, qui avaient de bonnes revenus là,
qui avaient bâti des maisons.
Il n'y avait rien contre ça, parce que même Jérémie leur avait écrit une lettre,
dans les jours de Nebuchadnezzar, de le faire.
Mais maintenant le moment était venu, dans l'intervention de Dieu,
de laisser ça et de monter à Jérusalem.
Ils ne voulaient pas.
Sauf ces sacrificateurs-là, dans le verset 36.
Ils sont allés.
Et maintenant la question pour vous et moi,
est-ce que moi, je suis disponible pour être un sacrificateur?
Les sœurs sont aussi des sacrificateurs.
Un, Pierre, deux.
Ce n'est pas seulement les frères, les sœurs aussi.
Tous les croyants.
Et Dieu veut qu'on soit disponible pour lui.
Ensuite, un troisième groupe.
Les Lévites, verset 40.
Les Lévites étaient des assistants des sacrificateurs.
Vous voyez, juste pour donner une illustration,
ce que je fais ce soir, c'est un service de Lévites.
Mais ce n'est pas le seul service de Lévites qui sont là.
C'est juste un exemple.
Mais les Lévites étaient donnés au peuple et aux sacrificateurs
pour aider aux sacrificateurs.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Un service comme ce soir, un ministère comme ce soir, une étude.
Le but est pour fortifier les sacrificateurs.
Donc pour fortifier cet élément d'adorateur, d'adoration.
Ainsi, les Lévites sont nécessaires.
Mais je veux aller un peu plus loin.
Vous et moi, on est tous des Lévites.
Parce qu'on a des charges.
Chacun de nous a quelque chose à faire.
Et Dieu veut ainsi que les Lévites soient là.
Libérés de l'influence de Babylone.
Libérés de l'influence de l'idolâtrie.
Pour être disponibles pour Dieu.
Voilà.
Vous et moi, on est aussi des Lévites.
Et Dieu veut se servir de nous.
Je pense au Seigneur Jésus.
Il était aussi un Lévite.
Dans l'évangile, selon Luc, on le voit comme un Lévite.
On le voit aussi comme un sacrificateur, moralement.
Mais aussi comme un Lévite, un serviteur.
Il a dit, je suis comme quelqu'un qui sert au milieu de vous.
Le vrai Lévite.
Est-ce qu'on veut être des Lévites pour la gloire de Dieu?
Ensuite, il y avait des Chintres.
Les Chintres étaient ici classés sous les Lévites.
C'était un élément que David avait introduit.
Vous voyez, les sacrificateurs et les Lévites, c'était par Moïse.
Selon les pensées du Dieu.
Mais David, plus tard, en rapport avec le Temple,
même avant que le Temple soit construit,
c'est lui qui avait institué ce service des Chintres.
Et c'est très beau, c'était vraiment sous la direction de Dieu
et aussi de Samuel qui l'a fait.
Les Chintres, c'est aussi un service spécial.
Un rapport avec le sanctuaire.
Un rapport avec le service de Dieu dans le Temple.
Vous et moi, nous pouvons être des Chintres.
Aussi littéralement, comme nous avons chanté,
mais aussi des cantiques dans nos coeurs.
Est-ce qu'il y a des cantiques dans nos coeurs?
C'est Dieu qui donne des cantiques.
Même à ceux qui sont accablés, même ceux qui souffrent,
Dieu donne des cantiques.
Et nous pouvons chanter.
Dieu veut qu'on chante.
Mais vous voyez, ceux qui étaient en Babylone,
qu'est-ce qu'ils pouvaient faire?
Est-ce qu'ils pouvaient chanter vraiment pour la gloire de Dieu?
Le psaume 137 le dit.
C'était impossible.
Ceux à Babylone avaient dit,
chante-nous un des cantiques de Jérusalem, de Sion.
Puis là, le résidu a dû dire,
nous ne pouvons pas chanter ici des cantiques de Sion.
Il fallait qu'il soit délivré de Babylone
pour pouvoir chanter les cantiques de l'éternel.
Ensuite, nous avons les portiers, verset 42.
Les portiers étaient nécessaires pourquoi?
Pour veiller que les choses de Dieu soient protégées
contre le mal.
On voit les portiers dans les jours de David,
c'était pour protéger l'arche.
Plus tard, dans le temple de Salomon,
il y avait des portiers qui veillaient les portes
pour qu'aucun mal entre au milieu du peuple du Dieu.
Maintenant, j'aimerais l'appliquer de nouveau à vous et moi.
Nous avons aussi une responsabilité d'être des portiers.
Est-ce que vous le réalisez?
Nous tous, comme croyants,
tous les croyants sont responsables
de laisser entrer, pas seulement au milieu de nous,
mais dans la maison de Dieu, ce qui est bon.
Nous sommes responsables d'être ouverts pour ce qui est bon.
Aussi, ce que Dieu donne à travers d'autres croyants.
On est responsable de discerner ce qui est bon, ce qui est mal.
Dieu nous a donné le discernement,
Hébreu 5 et d'autres passages.
Chaque croyant, en principe, a ce discernement par le Saint-Esprit.
Mais c'est notre responsabilité d'être des portiers.
Ça veut dire veiller pour que seulement le bien,
ce qui est bien, entre dans ma vie aussi.
Premièrement, dans ma famille, au milieu des chrétiens,
que seulement le bien, ce qui est bon, entre.
Je suis responsable.
Si je vois un livre qui est méchant, vraiment,
il faut que je le jette.
C'est ma responsabilité.
Ça, c'est le portier.
D'être ouverts pour ce qui est bon et exclure ce qui est mal.
On est tous responsables.
Ensuite, il y a des nétiniens qui sont montés aussi vers ces 43.
Et ces nétiniens, le mot veut dire gens donnés.
Ces nétiniens étaient encore donnés pour aider aux lévites.
Vous vous dites peut-être, ça c'est très humble,
un service très humble.
Les lévites aidaient aux sacricateurs.
Maintenant, on a des nétiniens qui aidaient aux lévites.
Dans ce sens-là, nous aussi, nous avons été donnés l'un à l'autre.
C'est très beau de voir ça.
Les nétiniens sont des gens donnés.
Et ainsi, Dieu vous a donnés les uns aux autres pour servir.
Est-ce qu'on réalise ça?
Chaque royaume, et aussi les enfants, peuvent être utiles
et ont été donnés pour être utiles les uns pour les autres.
Les nétiniens.
Ici, ok, l'emphase est sur le service de Dieu dans le Temple.
Mais je peux l'appliquer aussi généralement.
Et verset 55, on a les fils des serviteurs de Salomon.
C'était un groupe spécial qui était recruté pour la construction du Temple.
Et les descendants de ces gens-là sont montés aussi.
Ils étaient peut-être utiles aussi pour la reconstruction du Temple,
plus tard dans ce livre.
Maintenant, un aspect négatif, et je ne peux pas le sauter,
c'est marqué ici, verset 59, jusqu'à verset 63.
Il y a encore deux choses que j'aimerais souligner maintenant.
Donc, on a vu les groupes différents là,
puis on peut appliquer ces éléments différents à nous-mêmes,
comme je l'ai essayé de le faire.
Mais maintenant, on a deux aspects négatifs, ou une mise en garde.
Premier point, verset 59.
Il y avait des sacrificateurs qui ne pouvaient pas montrer leur maison de père et leurs descendants,
s'ils étaient d'Israël.
Ça, c'est le premier point.
Ces gens-là, ce n'était pas seulement des sacrificateurs, mais en général,
des serviteurs ou des lévites, ou quoi que ce soit.
Mais ces gens-là ne pouvaient pas même montrer qu'ils appartenaient à Israël.
Vous avez vu, au verset 2, à la fin,
nombre des hommes du peuple d'Israël.
Ces gens-là pouvaient montrer par leur registre qu'ils appartenaient à Israël.
Par contre, verset 59, nous parle des gens qui ne pouvaient pas montrer leurs descendants,
s'ils étaient vraiment des Israélites.
Qu'est-ce que ça veut dire pour nous aujourd'hui?
Parce qu'on ne parle pas maintenant du fait qu'on appartient au peuple d'Israël,
on parle maintenant de la signification, de l'application spirituelle.
La question qui se pose ici...
Il y a des gens qui disent, mais j'espère appartenir au peuple de Dieu.
Ou il y a des gens qui disent, mais si je dois apparaître devant Dieu, il sera bon avec moi.
Moi, je suis toujours bon, j'ai fait mon mieux pour tout le monde,
donc Dieu sera bon envers moi.
Non.
Là, on ne peut pas vraiment dire que vous pouvez montrer que vous appartenez au peuple de Dieu.
Il y a des gens qui disent, mais j'espère appartenir au peuple de Dieu.
Non.
Là, on ne peut pas vraiment dire que vous pouvez montrer que vous appartenez au peuple de Dieu.
Dans l'Épître aux Romains, nous avons les preuves.
C'est la repentance et la confession.
Si vous croyez dans votre cœur que le Seigneur Jésus est ressuscité,
et que vous confessez que le Seigneur Jésus est Seigneur,
voilà, ce sont les deux preuves.
Ce qui se passe dans votre cœur, la foi, qu'il est ressuscité,
et que vous êtes placé sur cette base de la mort et de la résurrection du Seigneur Jésus.
Et ensuite, vous confessez, oui, ce Jésus de Nazareth, méprisé dans ce monde,
il est mon Seigneur.
Voilà, c'est la preuve que vous donnez, dans ce cas-là, que vous appartenez au peuple de Dieu.
C'est très important.
Le deuxième point, un peu plus loin, verset 62,
il y avait aussi des sacrificateurs qui ne pouvaient pas montrer qu'ils avaient une généalogie,
qu'ils étaient inscrits dans la généalogie.
Qu'est-ce que ça veut dire pour nous maintenant?
Juste pour expliquer le point-là, il y avait une famille, le fils de Barzillahi,
et puis ce Barzillahi, dans le temps de David, lorsque Absalom a rebellé contre son père,
David est parti de Jérusalem, et puis Barzillahi a aidé David beaucoup.
Et puis le fils de Barzillahi a eu un poste très élevé, plus tard, dans le gouvernement de David.
Et puis, il y avait une fille, excusez-moi maintenant,
une fille de cette maison de Barzillahi qui a épousé un prêtre ou un sacrificateur plus tard.
Et ce sacrificateur a pris le nom de la famille de la femme, le nom de la famille de Barzillahi.
Donc, il a perdu son nom de famille comme sacrificateur.
On ne connaît pas les motifs pourquoi.
On ne connaît pas les motifs pourquoi, mais cela a causé ici ce trouble,
parce que maintenant les descendants de ce prêtre, de ce sacrificateur,
ne pouvaient plus montrer qu'ils étaient vraiment des descendants d'une famille de sacrificateurs.
Qu'est-ce que ça veut dire pour nous maintenant, pour l'appliquer?
Dieu veut aussi que nous puissions montrer par la parole de Dieu que nous sommes des sacrificateurs.
Donc, il y a deux éléments.
D'abord, il faut être sûr d'appartenir au peuple de Dieu.
Mais deuxièmement, si on est sûr qu'on appartient au peuple de Dieu,
Dieu veut aussi que nous soyons des sacrificateurs.
Et puis, on exprime cela dans la fraction du pain.
Lorsqu'on rompt le pain ensemble le dimanche matin, on le fait comme sacrificateur.
Et Dieu veut que nous soyons clairs là-dessus,
que nous pouvons montrer que nous sommes des sacrificateurs,
que nous voulons donner une réponse à Dieu,
que nous voulons servir Dieu vraiment comme sacrificateur.
Donc, si vous avez encore des questions là-dessus, à la fin vous pouvez les poser.
Ensuite, nous voyons aussi des serviteurs et des chanteurs et des chanteuses dans les maisons des Israélites.
On peut l'appliquer aussi dans nos relations familiales.
Là, il faut aussi être des serviteurs, il faut aussi être des chanteurs.
Et aussi tous nos biens, verset 66-67 parle des biens qu'il avait.
Tous ces biens que nous avons doivent aussi être placés sous l'influence de cet exercice,
que tout soit disponible pour le Maître, pour Dieu.
Ensuite, si vous voulez tourner la page, à la fin du chapitre 2, nous voyons quelque chose de très beau.
Ils sont montés à Jérusalem, ils sont arrivés là.
Puis là, il y avait des chefs des pères qui ont contribué quelque chose.
Ils l'ont donné volontairement pour la maison de Dieu.
Les choses que j'ai dit ce soir, ok, tous les croyants sont des sacrificateurs.
Tous les croyants sont des membres du peuple de Dieu.
Tous les croyants sont des Levites et des serviteurs, etc.
Mais est-ce qu'on a aussi un cœur volontaire?
Est-ce que mon cœur est disponible pour donner quelque chose à Dieu?
Est-ce que je veux contribuer?
Pas pour dire à Dieu, j'ai fait mon mieux, j'ai fait ça, j'ai fait ça, j'ai fait ça, maintenant tu dois m'accepter.
Non.
Un don comme ça, une contribution comme ça d'un cœur volontaire, c'est une réponse d'amour.
C'est pour dire Dieu, tu as fait tant de choses pour moi.
Tu m'as béni tellement, maintenant je veux te donner quelque chose en retour.
Comme si, comme preuve de ma reconnaissance.
C'est ça.
Mais deuxièmement, ça nous parle aussi du dévouement.
Donc, je répète, un cœur volontaire pour donner une réponse à l'amour de Dieu.
Pour donner aussi une réponse à l'intervention de Dieu, parce que c'était vraiment une intervention miraculeuse
de pouvoir aller monter de Babylone à Jérusalem.
Selon leurs responsabilités, il avait gâté tout.
Les ancêtres avaient gâté tout.
Ils n'avaient aucun droit.
C'est la grâce de Dieu qui les ramène à Jérusalem.
Là, ils sont reconnaissants pour ça.
Mais deuxièmement, on voit aussi le dévouement, parce qu'ils donnent ces choses pour la maison de Dieu.
Est-ce que vous l'avez vu verset 68?
Ils donnèrent volontairement pour la maison de Dieu.
Est-ce que nous sommes disponibles pour la maison de Dieu?
Est-ce que nous sommes dévoués aux intérêts de Dieu pour que les intérêts de la maison de Dieu soient avancés dans ce monde?
Donc, Dieu les a ramenés, mais ici on voit leur réponse, leur gratitude, leur reconnaissance.
Pour la relever, ok, maintenant j'aimerais souligner un point là.
C'est très beau de voir ça.
Ils arrivèrent à la maison de l'Éternel, verset 68, qui est à Jérusalem.
Est-ce qu'ils sont allés à la place où le temple de Salomon était auparavant?
Peut-être qu'ils sont allés là.
Est-ce que le temple était là?
Est-ce qu'ils voyaient une bâtisse?
Ils ne voyaient rien.
Quand même, la parole de Dieu dit, ils arrivèrent à la maison de l'Éternel.
Parce que c'est là où Dieu avait indiqué qu'il habitait.
Et aujourd'hui, comme j'ai dit dans Matthieu 18 et d'autres passages de la parole, nous voyons que Dieu habite sur la terre.
Il a une place où il habite.
C'est maintenant à nous de trouver, de chercher cette place.
Il l'a trouvée.
Et être là où Dieu veut habiter.
Ça c'est le côté de Dieu.
Il a toujours sa maison, même si personne ne répond à ça.
Il a sa maison.
Mais c'est maintenant notre responsabilité pour donner une réponse, pour venir.
Et aussi pour la relever sur son emplacement.
Ça c'est maintenant le côté de la responsabilité du peuple.
Il fallait que le peuple mette cet emplacement, que le peuple mette ce fondement.
Ça c'est notre responsabilité.
Donc il faut voir les deux côtés.
Du côté de Dieu, la maison est toujours là.
De notre côté, il faut faire des efforts pour la connaître.
Mais aussi pour la placer en témoignage.
Dans ce monde, Dieu veut avoir un témoignage.
Et dans ce sens-là, nous pouvons relever le fondement et bâtir.
Pour, de notre côté, être un témoignage pour la gloire de Dieu.
Ensuite, verset 69 à la fin, on voit ce qu'ils lui ont donné.
De l'or, ça nous parle de la gloire de Dieu.
L'argent, il avait une impression du prix de la rédemption.
On a parlé de la rédemption.
Donc il faut qu'on mette d'abord la gloire de Dieu, l'or et la justice de Dieu.
Ensuite, qu'on réalise les droits de Dieu en rapport avec la rédemption.
Et ensuite, les tuniques des sacrificateurs.
Dieu veut que les sacrificateurs soient vêtus dans ces tuniques.
Je donne un exemple.
Dans Zacharie 3, nous voyons le grand souverain sacrificateur, Jéshua.
Il avait des vêtements sables.
Il fallait que ses vêtements soient changés.
Ici, on voit ce principe-là.
Les tuniques étaient données pour que ces sacrificateurs puissent fonctionner dans la sainteté, dans la gloire, selon les pensées de Dieu.
A Babylone, il y avait d'autres tuniques, d'autres vêtements.
Mais ici, il fallait que tout soit selon les pensées de Dieu.
Ça nous parle donc du témoignage extérieur qui était en accord avec leur position de sacrificateur.
Ensuite, à la fin du chapitre, verset 70, ils habitaient dans leur ville.
C'est marqué déjà. C'est important.
Nous, chacun des croyants, nous habitons dans nos villes, dans nos localités.
Mais il faut réaliser en même temps que nous faisons part de tout le peuple.
Toute Israël se trouva dans ces villes.
On voit là le résidu.
Parce que littéralement, la plupart du peuple était en Babylone.
Et quand même, ici, il est dit toute Israël.
Parce qu'il se plaçait maintenant sur la base des pensées de Dieu.
On va revenir à ça en rapport avec l'autel et aussi en rapport avec les douze pierres, les douze sacrifices plus tard.
Ils ont gardé cette pensée de l'unité du peuple.
Et surtout dans un jour de déclin où nous vivons, un jour de ruine,
il est tellement important de garder dans nos coeurs cette pensée de l'unité du peuple.
Que tout le peuple de Dieu est vu par Dieu.
Et nous devons nous placer donc dans cette lumière-là en ayant tout le peuple dans nos coeurs.
Et en étant sur ce fondement-là.
Maintenant, on arrive à un chapitre très, très important.
Chapitre 3.
J'ai utilisé un mot tantôt.
Résidu.
Un résidu, un reste qui maintient les pensées de Dieu dans un temps de ruine.
On a vu la grâce de Dieu pour les ramener.
On a vu leur responsabilité.
Et on a parlé aussi de notre responsabilité et de notre réponse.
On a vu la grâce de Dieu.
Et l'intervention, la providence de Dieu, tout cela.
Maintenant, je vais utiliser un autre mot.
Aussi avec un R.
Restauration.
Donc, si vous voulez garder ça en mémoire.
Résidu, ça représente ce qu'on a vu dans le chapitre 2, mais aussi dans le chapitre 3.
Et ensuite, il y a ce deuxième mot.
Restauration.
Dieu veut restaurer, là où il y a la ruine, où il y a le déclin,
Dieu veut restaurer les pensées qu'il avait au début.
Et c'est très important de voir ça, parce que dans leurs actions,
ils sont revenus au jour de Moïse, au jour de David.
Les instructions que Dieu avait données par Moïse, par David,
ce sont ces instructions-là qui l'ont mise en pratique.
Pour nous, c'est la même chose.
Dieu veut qu'on restaure les principes qu'il a donnés dans le Nouveau Testament.
Dieu veut qu'on maintienne les principes de la parole de Dieu qu'il nous a donnés et laissés dans le Nouveau Testament.
C'est là notre charte, pour ainsi dire.
L'ensemble des instructions que nous avons pour les mettre en pratique.
Juste rapidement, pour parcourir ce chapitre, je vais commenter sur quelques points.
Au premier verset, l'emphase sur l'unité.
On a vu à la fin du chapitre 2, chacun dans sa ville.
Mais ici, on voit que malgré tout cela, malgré le fait qu'ils étaient dispersés dans ces villes-là,
ils ne formaient qu'un seul corps, un seul homme.
Ils se sont assemblés comme un seul homme.
Donc là, on voit le principe de l'unité.
Maintenant, juste pour donner un exemple, pour vous et moi.
Dans Ephésiens 4, nous lisons que nous devons être digelins pour garder l'unité de l'esprit.
L'unité du corps de Christ sera toujours là.
Mais il faut maintenant mettre en pratique les pensées de Dieu concernant l'unité.
L'unité qu'il a formée, on doit la garder selon l'esprit.
Donc c'est l'unité de l'esprit.
C'est une image ici qu'on a dans le Nouveau Testament, cette unité de l'esprit.
On voit qu'un seul homme a réalisé les pensées de Dieu concernant l'unité.
Ça c'est le premier point.
Le deuxième point maintenant, verset 2.
On voit les sacrificateurs ensemble avec le gouverneur.
Parce que Yeshua, c'est beau de voir ça, Yeshua, c'est comme les juifs le disent aujourd'hui.
Les juifs chrétiens parlent du Seigneur Jésus comme Yeshua.
C'est le même nom vraiment qu'on voit ici, Yeshua.
Ça veut dire Jéhovah, l'éternel sauve.
C'est très beau ce nom pour le sacrificateur.
Et ensuite on a Zerubbabel.
Zerubbabel était de la semence royale, donc de la ligne de David.
Donc on voit ici ces deux hommes, ces deux chefs du peuple, le sacrificateur et le descendant du roi.
Vous voyez ça? Sacrificateur et roi.
Ça nous fait penser au Seigneur Jésus.
Il est le vrai sacrificateur et le vrai roi.
Et on voit ici que les intérêts de Dieu, en rapport avec le temple où il habite,
on a là ces deux éléments-là.
On a l'élément sacerdotal, c'est un mot difficile.
Ça veut dire ce qui est en rapport avec la sacrificature.
Donc le sacrificateur est là.
Et l'élément royal, ce qui est en rapport avec le roi.
Et maintenant, ce qui est tellement merveilleux,
dans le Nouveau Testament, dans 1 Pierre 2,
nous voyons que les croyants sont des sacrificateurs.
Je l'ai dit déjà.
Mais les croyants sont aussi des rois.
Et selon ces pensées de Dieu, on a ces deux côtés du témoignage.
Pour être un sacrificateur dans la présence de Dieu
et pour être un roi comme témoignage, comme représentant de Dieu dans le monde.
Ces deux éléments sont unis ici.
Parce que c'est d'un côté le service de Dieu,
le côté du sacrificateur, la louange, l'adoration comme j'ai mentionné.
Mais de l'autre côté, il y a aussi ce témoignage pour la gloire de Dieu.
Zerobabbel représente ce côté-là, un témoignage public pour la gloire de Dieu.
Ce témoignage est soumis au roi Cyrus dans la providence de Dieu, il est vrai.
Mais c'est quand même un témoignage des droits de Dieu.
Et c'est ça que Dieu veut aussi,
que nous soyons un témoignage des droits de Dieu dans ce monde.
Ça c'est donc mon deuxième point.
Puis à la fin du verset 2, nous lisons,
Ils se levèrent et bâtirent l'autel du Dieu d'Israël.
L'autel.
Pourquoi ils n'ont pas commencé en bâtissant le temple ?
Ou encore mieux, pourquoi ils n'ont pas bâti d'abord leur maison et la muraille ?
Ou peut-être d'abord la muraille ?
Parce que la terreur des peuples de ces contrées-là était sur eux.
Donc humainement parlant, ils auraient pu dire,
on va construire la muraille d'abord pour nous protéger contre les ennemis.
Non, ils n'ont pas fait ça.
Pourquoi ils n'ont pas fait ça ?
C'est le même principe.
Ils ont cherché la gloire de Dieu d'abord.
Est-ce que moi je cherche vraiment la gloire de Dieu d'abord ?
Souvent, je dois dire non.
Je cherche mes propres intérêts souvent.
Ici nous voyons que le peuple a cherché la gloire de Dieu en premier.
Parce que l'autel a affaire au sacrifice qui était pour Dieu.
Donc ils ont cherché ce qui était pour Dieu premièrement.
Ça c'est une leçon importante.
Puis en bâtissant l'autel, ils ont réclamé tout cela pour Dieu.
On peut voir dans Noé, après le déluge, il a bâti un autel.
Il a réclamé toute la terre pour Dieu.
Josué, lorsqu'il a bâti un autel dans le pays promis, dans Josué,
il a réclamé ce pays pour Dieu.
Donc l'autel représente vraiment les droits de Dieu,
mais aussi l'adoration.
Parce qu'en rapport avec l'autel, il y avait donc l'adoration.
Je l'ai mentionné la dernière fois dans Exode 29, l'importance de l'autel,
parce que c'est là aussi une place de rencontre.
C'est là où Dieu se rencontre avec son peuple.
Donc sans l'autel, on n'a rien vraiment.
L'autel est le point de départ, l'autel est la base de tout.
Ils l'ont bien compris, ils l'ont très bien compris.
Maintenant, une question pour vous noirs.
L'autel, dans la Bible, c'est quoi?
Dans Malachie, l'autel est appelé la table du Seigneur.
L'autel donnait de la nourriture à Dieu.
Les sacrifices qui étaient offerts à l'autel étaient pour Dieu.
Je l'ai mentionné déjà.
Pour être nourriture pour Dieu, pour rafraîchir le cœur de Dieu.
Et l'autel est appelé la table du Seigneur.
Et dans 1 Chrétien 10, nous voyons la table du Seigneur.
Dans Hébreu 13, il est dit que nous avons un autel, nous aussi, nous avons un autel,
mais nous n'avons pas l'autel des juifs ou du judaïsme.
Notre autel, c'est Christ.
Notre autel est en rapport avec la réalité.
Il faut réaliser que toutes ces illustrations du passé, il y a un voile là-dessus.
Il n'y a quand même pas vraiment le cœur de Dieu qui est montré pleinement.
Il fallait que le Christ vienne.
Il fallait l'incarnation du Fils vraiment pour montrer le cœur de Dieu.
Donc ici, on a seulement des illustrations.
La réalité spirituelle est dans le Nouveau Testament.
Mais Dieu connaît le cœur.
Et on parle maintenant de ces gens-là qui ont servi Dieu de leur cœur
selon la lumière que Dieu leur avait donnée dans ce temps-là.
Donc l'autel est très important.
Mais j'aimerais maintenant souligner un autre point, verset 3.
Ils établirent l'autel sur son emplacement.
Il n'est pas dit qu'ils ont reconstruit l'autel.
Selon les pensées de Dieu, l'autel était toujours là.
Mais ils ont donné la place convenable à cet autel.
C'est aussi important pour nous.
Un chrétien nous parle de la table du Seigneur.
Mais les croyants à Corinth avaient négligé la place de l'autel.
Ils avaient négligé la vraie valeur de la table du Seigneur.
Donc ils l'ont placé sur son emplacement.
Ça veut dire qu'ils ont reconnu la vraie valeur de l'autel
en le plaçant sur son emplacement.
Est-ce que nous reconnaissons aussi devant Dieu la vraie valeur de l'autel?
Dans un jour de ruines, c'est très important.
Dans les jours d'Elie, on voit qu'il a aussi rebâti l'autel de Dieu,
là sur la montagne de Carmel.
Et là on voit aussi l'emphase sur l'unité du peuple.
C'est de nouveau un élément que j'aimerais souligner.
C'est en rapport avec l'unité du peuple de Dieu.
On ne peut pas avoir un autel juste dans notre jardin,
juste pour nos propres intérêts.
L'autel est pour Dieu et ainsi en rapport avec tout le peuple de Dieu.
Vous avez vu à la fin du verset 2 aussi,
selon ce qui est écrit dans la loi de Moïse.
Ce n'est pas selon leur pensée qu'ils l'ont fait.
Maintenant, juste pour éviter une confusion,
je ne dis pas qu'on doit maintenant tout faire selon la loi de Moïse.
Non, ce qu'on a ici, c'est une illustration
qu'ils ont fait les choses selon les instructions de Dieu.
Nous, nous avons d'autres instructions,
comme j'ai dit tantôt dans 1 Chrétien par exemple.
Et nous devons agir selon ces instructions-là que Dieu nous a laissées.
Et ainsi, par ses apôtres, il nous a donné des instructions
qui sont encore valables pour nos jours.
Pas les pensées de l'homme, mais les pensées de Dieu.
C'est donc une autre leçon pour nous.
Ensuite verset 3, à la fin du verset 3,
ils offrirent dessus des holocaustes à l'éternel.
Ça me tente vraiment de parler beaucoup de l'holocauste,
mais je ne peux pas le faire maintenant.
Mais juste deux mots là, deux pensées.
L'holocauste, ça nous parle de la grandeur de Christ
parce qu'il est pour Dieu.
Le Seigneur Jésus s'est donné aussi pour vous et moi,
pour ôter nos péchés.
C'était aussi pour la gloire de Dieu.
Mais dans l'holocauste, on voit surtout l'emphase sur cet aspect-là,
ce que Dieu a reçu.
Pas seulement ce que nous avons reçu,
parce que nos péchés ont été lavés par le Saint de Christ,
mais ce que Dieu a reçu par l'holocauste.
Et l'holocauste était agréable pour Dieu.
C'était une odeur agréable qui montait vers Dieu tout le temps.
L'holocauste veut dire littéralement ce qui monte.
Donc ce qui monte à Dieu.
De nouveau, ils mettent les intérêts de Dieu en premier.
L'autel en premier, ensuite l'holocauste.
La deuxième chose que j'aimerais souligner,
c'est aussi la base.
Dans Exode 29, on voit que c'est pour Dieu la base vraiment
de ses relations avec son peuple.
Donc pour ces deux raisons, d'abord les intérêts de Dieu,
ensuite aussi, c'était pour eux-mêmes la base
pour leur relation avec Dieu.
Et dans Ephésiens 1, verset 6, il nous est dit
que Dieu nous a acceptés dans le bien-aimé.
C'est la même pensée.
Le bien-aimé qui s'est offert,
Dieu nous a acceptés en lui.
Il nous a rendus agréables devant lui-même, en Christ.
Donc Dieu nous voit maintenant en Christ.
Il nous voit dans cet holocauste.
C'est là la base de nos relations avec Dieu pour aujourd'hui.
Maintenant un autre point, verset 4.
Ils firent la fête des tabernacles.
Ce temps-là où ils se sont réunis, c'était le septième mois.
Selon le calendrier juif, c'était aussi le début du nouvel an.
Ça va un peu ensemble.
Le septième mois, c'est selon le calendrier civique.
Et selon le calendrier religieux, c'était aussi le début du nouvel an.
Dans Lévitique 23, nous voyons sept fêtes de l'éternel.
Et ces fêtes nous parlent des voix de Dieu avec son peuple.
Ce serait une étude très intéressante d'étudier ce livre-là.
Mais ce qui nous frappe maintenant,
ici on voit la dernière fête de cette liste-là.
Lévitique 23 nous parle des fêtes des tabernacles.
On a remarqué que le peuple était dans le désert.
Après la sortie de l'Egypte, Dieu était avec eux dans les tabernacles.
Et dans le pays, ils pouvaient construire maintenant ou faire ces tabernacles
pendant sept jours pour se rappeler ce moment où ils étaient dans le désert.
Et puis Dieu les a bénis.
Puis cette fête était vraiment l'apogée de toutes les fêtes.
Donc ce qui est beau de voir ici, ils ont la pensée de l'unité,
ils ont la pensée de l'hôtel qui est pour Dieu,
l'anglocauste qui est pour Dieu,
et ensuite ils ont l'apogée de toutes les fêtes.
Ici, ils ont vraiment une position très élevée.
Ce résidu était vraiment exercé à réaliser les pensées de Dieu.
Selon l'auteur des pensées de Dieu,
est-ce que nous sommes prêts à sonder les Écritures,
à s'embarquer dans les choses qui sont vraiment pour le cœur de Dieu.
On voit ici aussi un élément de la grâce de Dieu, la fête des tabernacles,
c'est la fin où nous voyons que Dieu amène tout à bonne fin.
C'est l'autre côté de la médaille.
C'est Dieu par sa grâce qui a amené tout à bonne fin, ici, dans cette dernière fête.
Ensuite, nous voyons verset 5,
ils ont aussi gardé les nouvelles lunes,
tous les jours solennels et éternels.
Donc, ils ont vraiment gardé toutes les instructions.
C'est important pour nous.
Et aussi cet élément-là des sacrifices volontaires.
Je l'ai remarqué déjà en rapport avec le chapitre 2.
Si de nouveau, les offrandes volontaires,
ça parle d'un cœur qui bouillonne de joie.
Est-ce que nous avons un cœur qui bouillonne de joie,
qui déborde d'amour pour le Seigneur?
C'est ça, un cœur qui produit des sacrifices volontaires.
Ensuite, verset 6,
depuis le premier jour du septième mois,
ils commençèrent à offrir des holocaustes à l'éternel.
Donc, ça c'est le point de départ, un nouveau début.
C'est important pour nous aussi,
lorsqu'on entre dans ces exercices-là,
réaliser que c'est un nouveau départ,
un nouveau début selon notre responsabilité pour la gloire de Dieu.
Maintenant, il y a un autre élément qui entre,
c'est la question du Temple.
Ils vont maintenant mettre le fondement du Temple.
On va revenir aux éléments-là,
le bois de cèdre, verset 7.
On va discuter de ça dans le chapitre 6.
Les pierres, on va discuter de ça aussi dans le chapitre 6.
Donc, je ne veux pas discuter de ça maintenant.
Mais c'est vraiment très beau de voir comment ils ont à cœur les intérêts de Dieu.
Ils vont maintenant fonder,
ils vont mettre le fondement du Temple.
Quand même, l'esprit remarque,
il y a peut-être une petite faiblesse là, verset 6,
mais le fondement du Temple éternel n'était pas encore posé.
Peut-être l'esprit veut dire,
il aurait peut-être dû à cœur cela tout de suite.
Je ne sais pas, c'est juste une suggestion.
Peut-être.
Et plus tard, on voit qu'ils l'ont manqué à cet égard-là.
Mais après un petit ralentissement, on voit comme verset 8,
la seconde année de leur arrivée à la maison de Dieu à Jérusalem.
C'est beau de nouveau.
Leur arrivée à la maison de Dieu à Jérusalem.
La maison n'était pas là.
On ne le voyait pas.
Mais selon les pensées de Dieu, c'est là où il habitait.
C'est là le lieu qu'il avait choisi pour habiter.
Et c'est là, selon leurs responsabilités, qu'ils mettent maintenant le fondement.
Et c'est beau de voir qu'il avait des lévites pour surveiller l'œuvre.
Il faut que l'œuvre soit faite selon les pensées de Dieu.
Et cet élément-là est souligné de nouveau.
Ensuite, verset 9,
Comme un seul homme, vous voyez,
ce n'est pas seulement à un frère ou une sœur d'avoir cet exercice-là.
Dieu veut impliquer tout le peuple dans cet exercice.
Moi, j'ai honte vraiment.
Si je vois moi-même, mon influence au milieu du peuple de Dieu,
et peut-être vous pouvez le dire de vous-même aussi,
quel effet nous avons pour pouvoir créer cet exercice,
que nous puissions ensemble avoir cet exercice,
pour mettre le fondement selon les pensées de Dieu.
C'est très beau de voir cet exercice collectif.
Verset 10,
Je ne dis pas qu'on doit avoir ça littéralement aujourd'hui,
mais Dieu veut que nous ayons la chose réelle.
Pas une liturgie, mais Dieu veut que nous ayons ce qui correspond à ça.
Un témoignage vibrant pour lui.
Et maintenant cet élément que j'aimerais souligner, verset 11,
Saint répandant et louant et célébrant l'éternel car il est bon.
Il réalise ici la bonté de Dieu en rapport avec ses voies.
Et c'est pour ça que j'ai dit, on trouve ça lorsque David a monté l'arche à Jérusalem.
On trouve la première fois cette expression.
Et après ça, lorsque le temple était construit par Salomon,
on retrouve le même chant, le même cantique.
Et maintenant, dans les jours de restauration,
c'est un petit groupe, un tout petit résidu,
mais il y avait la restauration et de nouveau on a ce chant.
Et ce qui est très beau, dans le futur, lorsqu'Israël... …
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…
Nos privilèges, mais aussi le besoin de pouvoir garder ce que le Seigneur nous a confié.
Gardons le bon dépôt.
Et dans ce livre d'Ezra, on voit vraiment un bon dépôt que le Seigneur nous a confié.
Pour ceux qui ont gardé leurs feuilles de la dernière fois, j'ai rien ajouté.
Peut-être à la fin, je vais encore écrire une nouvelle édition.
En tout cas, vous pouvez prendre des notes, parce que beaucoup de choses que je vais présenter ce soir ne sont pas sur la feuille.
Mais on a fait la feuille juste pour avoir un aperçu global.
Lisons quelques versets d'un chapitre 4.
Esdras 4.
Et les ennemis de Judas et de Benjamin entendirent que les fils de la transportation bâtissaient le temple de l'éternel Dieu d'Israël.
Ils s'approchèrent de Zorobabel et des chefs des pères et leur dirent, nous bâtirons avec vous, car nous recherchons votre Dieu comme vous.
Et nous lui offrons des sacrifices depuis les jours d'Ezra, Adam, roi d'Assyrie, qui nous a fait monter ici.
Et Zorobabel et Jésua et le reste des chefs des pères d'Israël leur dirent, vous n'avez pas à faire avec nous pour bâtir une maison à notre Dieu,
mais nous seuls nous bâtirons à l'éternel le Dieu d'Israël comme nous l'a commandé le roi Cyrus, roi de Perse.
Alors le peuple du pays rendit lâches les mains du peuple de Judas et ils leur firent peur de bâtir.
Et ils se doyèrent contre eux des conseillers pour faire échouer leur plan durant tous les jours de Cyrus, roi de Perse, et jusqu'au rein de Darius, roi de Perse.
Et sous le rein d'Assyrius, au commencement de son rein, ils écrivirent une accusation contre les habitants de Judas et de Jérusalem.
Et ensuite on a des détails, d'autres lettres, et nous lisons à la fin du chapitre.
Verset 23. Alors aussitôt que la copie de la lettre du roi Artaxerxes eût été lue devant Réhume et Chimchaï,
le secrétaire et leurs collègues, ils allèrent en hâte à Jérusalem vers les Juifs et les firent cesser par force et par puissance.
Alors le travail de la maison de Dieu qui est à Jérusalem cessa.
Il fut arrêté jusqu'à la seconde année du rein de Darius, roi de Perse.
Chapitre 5. Et les prophètes âgés, le prophète et Zacharie, fils d'Ido, prophétisèrent aux Juifs qui étaient en Judas et à Jérusalem, au nom du Dieu d'Israël.
Alors Zorobabel, fils de Shéaltiel, et Jéchoua, fils de Jotsadak, se levèrent et commencèrent à bâtir la maison de Dieu qui est à Jérusalem, et avec eux les prophètes de Dieu qui les assistaient.
Là on voit donc que le gouverneur est intervenu, il donne une réponse, mais avant qu'on lise cette réponse, on a verset 4.
Alors nous leur dîmes quels étaient les noms des hommes qui bâtissaient cet édifice.
Et l'œil de leur Dieu était sur les anciens, des Juifs, et ils ne les firent pas cesser jusqu'à ce que l'affaire parvint à Darius.
Et alors ils répondirent par lettre à ce sujet.
On voit maintenant une copie de la lettre que ce gouverneur a envoyée.
Il parle avec beaucoup de respect, verset 8.
Ensuite, verset 11, nous voyons comment il parle avec respect des Juifs aussi.
Et il mentionne la confession qu'ils ont faite, verset 12, mais quand nos pères provoquèrent le Dieu des cieux, il les livra en la main de Nebuchadnezzar.
Donc il y a beaucoup de détails dans cette lettre qu'il a apprise donc des Juifs.
Verset 16.
Alors ce chef bâtissard est venu et a posé les fondements de la maison de Dieu.
Donc il parle aussi du changement, l'ordre ou le décret de Cyrus.
Donc il donne un aperçu de tout le développement jusqu'au début de la construction du temple, là où il avait lâché et puis recommencé.
Maintenant on lit dans chapitre 6, au premier verset.
La lettre donc est parvenue au roi Darius.
Alors le roi Darius donna ordre et on chercha dans la maison des archives où étaient déposés les trésors à Babylone.
Et on trouva à Achmeta, dans la capitale, qui est dans la province de Médie, un rouleau.
Et dedans, un mémoire ainsi écrit.
La première année du roi Cyrus.
Le roi Cyrus donna l'ordre, touchant la maison de Dieu à Jérusalem,
que la maison soit bâtie pour être un lieu où l'on offre des sacrifices et que ses fondements soient solides.
Sa hauteur sera de 60 coudées, sa largeur de 60 coudées avec trois rangées de grandes pierres, une rangée de bois neuf.
Et que les dépenses soient payées par la maison du roi.
Et aussi que les ustensiles d'or et d'argent de la maison de Dieu, que Nébuchadnezzar a sorti du temple de Jérusalem et a emporté à Babylone,
soient rendus et qu'on les porte au temple de Jérusalem en leur lieu.
Et tu les placeras dans la maison de Dieu.
Ainsi Tatnaï, gouverneur de l'autre côté du fleuve, Jtarboznaï et leurs collègues, les Afarsakites, qui étaient de l'autre côté du fleuve,
tenez-vous loin de là. Laissez se faire le travail de cette maison de Dieu.
Que le gouverneur des juifs et les anciens des juifs bâtissent cette maison de Dieu sur son emplacement.
Et de par moi, ordre est donné, touchant ce que vous ferez à l'égard de ces anciens des juifs, pour la construction de cette maison de Dieu.
Que des biens du roi provenant du tribut de l'autre côté du fleuve, les dépenses soient promptement payées à ces hommes, pour qu'ils ne soient pas intrompus.
Et que ce qui leur est nécessaire, jeûnes taureaux et béliers et agneaux, pour les holocaustes aux dieux des cieux, fromins, sel, vin et huile, selon l'ordre des sacricateurs qui sont à Jérusalem,
leur soit donné jour par jour, sans manquer, afin qu'ils offrent de l'encens aux dieux des cieux, et qu'ils prient pour la vie du roi et de ses fils.
Et puis il donne encore quelques détails de cet ordre.
Ensuite, verset 14.
Les anciens des juifs bâtirent et prospéraient par la prophétie d'Agé, le prophète, et de Zacharie, fils d'Ido.
Et ils bâtirent et achevèrent, selon l'ordre du Dieu d'Israël, et selon l'ordre de Cyrus, et de Darius, et d'Artaxerxes, roi de Perse.
Et cette maison fut achevée le troisième jour du mois d'Adar. C'était la sixième année du règne du roi Darius.
Et les fils d'Israël, les sacricateurs, et les lévites, et le reste des fils de la transportation, célébrèrent la dédicace de cette maison des dieux avec joie.
Ils offrirent pour la dédicace de cette maison des dieux 100 taureaux, 200 billets, 400 aignaux, et comme sacrifice pour le péché, pour toute Israël, 12 boucs, selon le nombre des tribus d'Israël.
Ils établirent les sacricateurs dans leur classe, et les lévites dans leur division, pour le service de Dieu à Jérusalem, selon ce qui est écrit au livre de Moïse.
Ensuite nous avons la célébration de la Pâque. On va lire ça peut-être à la fin de notre étude.
Voilà, il y a beaucoup de matériel à couvrir ce soir. On ne peut pas entrer dans tous les détails.
Mais ça aiderait si vous avez gardé en mémoire un peu les points qu'on a discutés au début, et la deuxième étude qu'on a eue.
On aime pas seulement parler des détails historiques, mais on aime aussi voir l'application pour nous, aujourd'hui.
Et on a parlé dans notre quantique de ce bon dépôt, le bon dépôt qu'on devrait garder.
Puis c'est ça qu'on voit dans chapitres 3 et 4, que ces juifs fidèles ont gardé le bon dépôt que Dieu leur avait confié dans leurs jours.
On a vu aussi dans l'introduction que même ces choses nous parlent d'un développement futur, prophétique.
Les juifs vont reconstruire le Temple. Ils vont avoir un service, selon le livre d'Ézéchiel, dans le pays à Jérusalem, dans ce Temple.
D'abord un Temple reconstruit pour l'Antéchrist. Ce sera pour Dieu, mais finalement l'Antéchrist va occuper ce Temple.
Après le jugement de Dieu, il y aura le Temple d'Ézéchiel.
Donc il y a aussi cet élément-là, que même ce livre-là nous donne des détails, comment Dieu va arranger les choses dans le futur pour les juifs.
Mais on a vu aussi que ces choses sont comme une allégorie pour les jours de la réformation, où les croyants sont sortis de l'Église catholique.
Dans ce temps-là, c'était vraiment un système idolâtre comme Babylone.
Comme les juifs sont sortis de Babylone, ainsi les croyants sont sortis de l'idolâtrie.
Et encore aujourd'hui, il y a des gens qui partent d'un système idolâtre.
Ou bien plus tard, on voit aussi que même le protestantisme est devenu comme un grand système, plein de confusion, un peu comme Babel.
Puis là, le siècle passé, il y a eu des croyants qui sont sortis de là.
On voit aussi que ce livre d'Esdras et Nihimi donne comme une allégorie, beaucoup de détails des choses qui sont passées, le siècle passé.
J'aimerais rappeler que Dieu s'est servi du roi Cyrus, donc le roi du Deuxième Empire dans ce temps-là, Babylone, ensuite les Medes et les Perses.
Ce roi était l'instrument dans la main de Dieu pour faire rentrer un résidu des juifs à Jérusalem.
On voit son nom déjà prédit par Isaïe. Cette fois, dans le livre d'Isaïe, on trouve son nom ou une allusion à son nom.
C'est très intéressant comment Dieu a prévu ces choses.
On a vu aussi que les vases dans le temple de Jérusalem étaient transportés par Nebuchadnezzar et placés dans le temple de son Dieu.
Donc, en rapport avec l'idolâtrie, maintenant ces vases sont repris et retransportés à Jérusalem.
Et on a vu que ces vases aussi sont un exemple ou une illustration des croyants.
Nous sommes aussi des vases pour être prêts pour le service de Dieu.
Donc, le même principe s'applique à nous aussi.
On était sous l'influence de l'idolâtrie, par la grâce de Dieu, on a été délivrés de ça et placés dans le temple de Dieu.
Pas littéralement, comme dans ce temps-là, mais moralement, dans le temple de Dieu, qui est la maison de Dieu.
On a vu la dernière fois, dans le chapitre 2, beaucoup de fonction parmi les juifs.
On a vu que nous appartenons aussi, par la grâce de Dieu, au peuple de Dieu.
Par la foi, on a vu que c'était des Israélites, des Saccucateurs, des Lévites, des Chantres, des Nétiniens.
On ne peut pas parler de ça maintenant, on a discuté de ça la dernière fois.
Maintenant, je voulais juste demander votre attention, encore, pour le chapitre 3, pour ensuite continuer dans le chapitre 4.
On a vu dans le chapitre 3, comment ce résidu fidèle a restauré les choses de Dieu.
Le mot «restauration» est un mot-clé pour ce livre.
Et cette restauration, on voit un rapport avec trois choses.
Ces trois choses, j'aimerais vraiment souligner.
On a vu, au début du chapitre 3, l'hôtel.
L'hôtel placé sur son emplacement, verset 3.
Ils établirent l'hôtel sur son emplacement.
C'est la première chose.
Lorsqu'on parle de l'hôtel, on pense tout de suite, pour nous, à la table du Seigneur.
L'hôtel, dans l'Ancien Testament, est une illustration de la table du Seigneur.
Ce n'est pas ma fantaisie.
Dans Malachie 1, l'hôtel est appelé la table du Seigneur.
Dans Ézéchiel 41 et 44 aussi, l'hôtel est appelé la table du Seigneur.
Et ainsi, nous voyons dans le Nouveau Testament, dans 1 Corinthien 10, la table du Seigneur.
Puis, un rapport avec l'hôtel, 1 Corinthien 8, parle de l'hôtel des idolatries, des idoles.
Ensuite, le chapitre 8 nous parle de l'hôtel de Dieu, la table du Seigneur, avec ses droits.
Puis, ils l'ont placé sur son emplacement.
Ça, c'est important à comprendre.
Ils n'ont pas introduit un nouveau système.
Ils ont fait les choses que Moïse avait données au peuple, selon les instructions de Dieu.
Quatre fois, on voit ça dans ce chapitre, verset 2, selon ce qui est écrit dans la loi de Moïse.
Il faut faire attention, ce n'est pas mon intention de nous placer sous la loi de Moïse,
mais c'est une illustration de l'autorité de la parole de Dieu.
Nous sommes sous l'autorité de la parole de Dieu.
Pas sous la loi de Moïse, mais sous l'autorité de la parole de Dieu.
Et ainsi, ces choses sont une illustration pour nous.
Verset 4, ils firent la fête des tabernacles, selon ce qui est écrit.
Verset 4 à la fin, selon l'ordonnance.
Ensuite, verset 10, à la fin verset 10.
Azaf avec des cymbales pour louer l'éternel, selon les directions de David, roi d'Israël.
Donc, en autres mots, c'est ça la restauration.
Ils ont réparé les choses qui étaient gâchées et gâtées.
Ils ont réinstitué les choses que Dieu avait données dans le passé.
Et c'est ça l'exercice des frères du siècle passé,
et ça devrait être notre exercice aussi,
de maintenir les mêmes principes que le Seigneur a donnés au début de l'histoire de la chrétienté.
Actes. Dans les actes, on voit l'histoire.
Dans les épîtres du Nouveau Testament, on voit les principes, les doctrines.
Et on a placé, dans nos jours, on doit placer l'autel, la table du Seigneur,
sur son emplacement. C'est quoi?
Sur les mêmes principes que Dieu a donnés au début.
Donc, c'est sans le sectarisme, on va revenir à ça,
c'est sans l'indépendance, c'est sans la souillure, sans l'idolâtrie,
c'est selon les pensées vieilles.
Donc, ça c'est le premier point qu'on a souligné dans le chapitre 3.
Le deuxième point, c'est le Temple.
On voit dans le chapitre 3 qu'ils ont placé le fondement, ou la fondation du Temple.
Le Temple, c'est un rapport avec l'habitation de Dieu.
Donc, l'autel, c'est pour l'adoration.
L'autel, c'est pour offrir.
Donc, ça parle de l'adoration, l'appréciation du sacrifice,
tout cela en rapport avec l'autel.
Le Temple, c'est l'habitation.
Puis, en rapport avec le Temple, on a tout un ordre.
Tout est bien réglé.
Dans 1 Corinthiens 14, on voit que Paul donne des prescriptions,
il donne aussi des suggestions,
mais on voit que la maison de Dieu doit être mise en ordre.
Dieu est un Dieu de paix.
C'est remarquable.
1 Corinthiens 14, c'est un ordre selon le cœur de Dieu.
Dieu, le Dieu de la paix.
Donc, la reconstruction du Temple commence ici,
selon les pensées de Dieu.
Maintenant, j'aimerais faire le lien avec Néhémie.
Il y a une troisième pensée.
C'est la ville de Dieu.
Donc, on a l'autel de Dieu.
Il faut vraiment garder ces trois points.
L'autel de Dieu, en rapport avec l'adoration,
le libre accès, le sacrifice, la table du Seigneur,
c'est la première chose.
La deuxième chose, le Temple, la maison de Dieu.
La feuille que je vous ai donnée au début,
nous avons étudié un peu la pensée, le thème général,
la maison de Dieu à travers la Bible.
Donc, la maison de Dieu, c'est un sujet très important dans la Bible.
Pourquoi ? Parce que Dieu habite là.
Et nous devons lui donner toute la place, toute autérité.
Mais aussi réaliser que nous pouvons habiter avec lui dans la maison de Dieu.
C'est un grand privilège.
Il y a aussi de grandes responsabilités qui viennent avec ça.
Et le troisième point, c'est la ville de Dieu.
Dans Néhémie, on voit la mureille, la construction de la mureille.
Pourquoi ? Et c'était tellement important.
Parce qu'il faut protéger ces choses-là.
Il faut administrer.
La ville a un rapport avec l'administration.
Maintenant, vous dites peut-être, mais ça c'est loin cherché.
Comment est-ce qu'on peut voir ces choses dans le Nouveau Testament ?
C'est bien simple.
Parce que ces mêmes principes sont expliqués dans le Nouveau Testament.
Comme j'ai dit, l'hôtel, la table du Seigneur.
Le Temple, la maison de Dieu.
On trouve plusieurs références dans le Nouveau Testament
sur comment nous comporter dans la maison de Dieu.
Timothée 3.
1 Corinthiens 3 nous parle de la maison de Dieu.
Éphésiens 2 nous parle de la maison de Dieu
où nous sommes habitants.
Nous sommes habitants de la maison de Dieu.
Donc ensemble avec Dieu.
C'est pour ça que ce sujet du Temple et de la maison de Dieu est tellement important.
Et puis la ville de Dieu.
Apocalypse 21.
On voit l'épouse de Christ et la ville.
C'est la même groupe de personnes.
L'épouse de Christ ou l'épouse de l'agneau
est exactement le même nombre que ceux qui forment la ville de Dieu.
La ville céleste.
La nouvelle Jérusalem.
Ou Jérusalem céleste pendant le millenium.
Donc là on voit la pensée de l'administration.
L'administration pour administrer les choses selon Dieu.
Mais cette pensée là est développée dans Néhémie.
Tandis que l'hôtel et le Temple sont plutôt le sujet d'Esdras.
Esdras était aussi un sacrificateur.
Donc là l'emphase est sur le Temple et l'hôtel.
Tandis que Néhémie était gouverneur.
Donc là l'emphase est sur l'administration.
Vous comprenez la différence?
Donc maintenant pour faire le lien avec Esdras 4.
On voit que dans chapitre 3 tout allait bien.
Et aussi si on veut le retracer dans l'histoire des chrétiens.
On voit de tels réveils que le Seigneur a donné.
Surtout dans le siècle passé et répété dans d'autres pays.
Et dans nos vies aussi.
On a eu, plusieurs au milieu de nous, on a eu un réveil dans nos vies.
Mais après quelques temps, qu'est-ce qui s'est passé?
L'opposition.
L'ennemi ne reste pas calme.
S'il y a une œuvre de Dieu, l'ennemi est là pour attaquer cette œuvre.
Maintenant on voit donc l'opposition.
Chapitre 4.
Le premier point, l'offre des samaritains est refusée.
Pourquoi?
Pourquoi est-ce que c'est l'opposition?
Verset 2.
Ils s'approchèrent de Zerobabbel et des chefs des pères et leur dire.
Nous bâtirons avec vous.
Car nous recherchons votre Dieu comme nous, comme vous.
Et nous lui offrons des sacrifices.
Depuis les jours d'Adam, roi de Syrie.
Mais c'est très bon.
Ces gens sont sincères.
Ils veulent coopérer.
Ils veulent servir Dieu.
Pourquoi c'est une forme d'opposition?
Parce qu'il faut réaliser que les juifs qui sortaient de Babylone se sont séparés de l'idolâtrie.
Ils se sont purifiés de l'idolâtrie.
Puis on va revenir à ça dans le chapitre 6.
L'enfant sur la pureté.
Tandis que ces gens-là, qui habitaient là, étaient mélangés avec l'idolâtrie.
Vous pouvez vérifier ça dans 2 Rois 17.
Il avait le service de Dieu.
Mélangé avec le service de plusieurs idoles.
Selon les régions des gens.
Il venait de plusieurs régions.
Et ces gens avaient gardé leur propre idole.
Et avaient mélangé ça avec le service de Dieu.
Et ce mélange n'est pas selon les pensées de Dieu.
C'est ça le point.
Les juifs qui sortaient de Babylone avaient compris ça.
Parce que leur ancêtre avait permis l'idolâtrie.
A cause de cette idolâtrie, Dieu les avait châtiés.
Dieu les avait livrés dans les mains du roi de Babylone.
On a vu ça le premier soir.
Donc, maintenant, il avait appris leur leçon.
Maintenant, l'ennemi, de nouveau, il veut les mélanger avec l'idolâtrie.
Non? Ils étaient bien alertes.
Donc c'est une ruse de Satan ici.
Pour attaquer l'œuvre par le mélange.
On voit le même principe dans l'Exode.
Le peuple de Dieu est sorti de l'Égypte.
Puis il y avait une multitude mélangée avec eux.
Qui avait gardé leurs racines égyptiennes.
Pas jugé ça.
Puis on voit les conséquences d'un ombre.
Où il y a eu cette révolte.
C'était sous cette influence là.
De ce mélange.
Donc, il faut garder.
Il faut être sur nos gardes.
Contre ces dangers du mélange.
Ça ne veut pas dire qu'on doit devenir pharisaïque.
Ou qu'on doit sous son nez tout le temps.
C'est pas ça.
C'est pas ça.
Ils savaient.
Ils connaissaient la position de ces gens là.
Qu'ils ne voulaient pas se séparer de cette idolâtrie.
C'est pour ça qu'ils n'ont pas accepté leur offre.
Deuxième point maintenant.
Verset 3.
C'est le discernement.
Ça prend donc le discernement.
Pour voir cette attaque.
On serait bien content.
Si quelqu'un venait comme ça.
On serait bien content.
Coopérer avec lui.
Dans le monde aujourd'hui.
Dans le monde évangélique.
Les gens veulent coopérer avec tout le monde.
Tout le monde.
Sans condition.
Pourvu que l'évangile soit prêché.
Mais là, ils ne mettent pas ce test.
Ils n'appliquent pas ce test là.
Des associations.
Comme on voit qu'ils ont appliqué ce test là.
Dans ce jour là.
Donc c'est pas une question de sectarisme.
Ils ne voulaient pas introduire du sectarisme.
C'était ici la fidélité.
Envers Dieu.
Envers Dieu.
Et envers sa parole.
C'est ça le point.
Verset 3 au milieu.
Vous n'avez pas affaire avec nous.
Pour bâtir une maison à notre Dieu.
Mais nous seuls.
Donc comme j'ai dit.
Dans la séparation du mal.
Dans la séparation de l'idolâtrie.
Ils voulaient bâtir à l'éternel.
Le Dieu d'Israël.
Comme nous l'a commandé le roi Cyrus.
Roi de Perse.
C'était encore un autre argument.
C'était selon le décret de Cyrus.
Que eux devraient bâtir.
Pas les samaritains.
Ou ces nations là qui habitaient là.
Seulement eux.
Maintenant la deuxième attaque.
Verset 4.
Alors le peuple du pays rendit lâche.
Les mains du peuple de Juda.
Donc c'est maintenant une autre forme d'opposition.
Ce peuple a dit ok.
Si vous ne voulez pas coopérer avec nous.
On va contrarier.
Et ils ont essayé à intimider.
Intimider le peuple de Juda.
Ça c'est la deuxième forme d'attaque.
Ça peut nous arriver aussi.
Si vous êtes fidèle à l'école, à l'ouvrage.
Ou n'importe quelle situation.
Ça peut que l'ennemi va essayer de vous intimider.
Intimider.
Pour vous arrêter.
C'est une autre ruse de l'ennemi.
L'intimidation.
Ensuite la troisième attaque.
C'est l'accusation.
Et maintenant il faut voir que.
Le verset 6 à 23.
C'est un résumé de beaucoup d'actions.
Que l'ennemi a entreprise.
Pour contrarier l'heure de Dieu.
Maintenant il y a de la confusion.
Et je ne peux pas entrer dans tous les détails.
Il y a au moins deux façons de l'interpréter.
Ça dépend comment on interprète les noms des rois.
Il y a des interprétateurs qui disent.
Assyrus et aussi l'autre roi.
Dans le verset 7.
Artaxerxes.
Artaxerxes a vécu beaucoup plus tard.
Artaxerxes.
On retrouve le nom d'Artaxerxes dans Némi 2.
Donc il y a des commentateurs qui pensent.
C'est ici un résumé de toutes les attaques qui ont eu lieu.
Donc toutes les accusations qui ont eu lieu.
Pendant ce temps là.
Même jusqu'au jour de Némi.
Ça c'est une façon de l'interpréter.
Puis il y a bien des raisons pour le faire comme ça.
L'autre interprétation c'est que.
Ces quatre rois qui sont mentionnés ici.
Donc Syrus verset 5.
Darius.
Ce serait donc en réalité Cambyses.
Ensuite il y avait un usurpateur.
Et ensuite il y avait le Darius.
Qu'on retrouve dans le chapitre 6.
Quatre rois donc.
Qui ont vécu dans cette période.
Où la construction du temple avait commencé.
Ensuite arrêté.
Ensuite recommencé.
C'est une autre façon de l'interpréter.
Puis là on voit à la fin du chapitre 4 donc.
Comme à la suite de cette lettre là.
L'ennemi avait encore un autre moyen.
Un autre moyen.
Pour faire cesser par force.
Et par puissance.
Et l'interprétation serait que ce roi Artaxerxes.
Verset 23.
Serait un usurpateur.
Il y a eu un roi pendant sept mois.
Qui était donc très sous son noeud.
Chaque révolte était sous son noeud dans ses jeux.
Parce qu'il était un usurpateur lui-même.
Donc là on pourrait voir que c'est lui qui a imposé.
Que les juifs arrêtent ce travail là.
Sous la main de Dieu.
C'est une possibilité que c'était comme ça.
Mais mon point c'est maintenant.
Que ce travail a été arrêté par force.
Par violence.
Donc l'ennemi utilise ces moyens.
Dans Nihimi on voit les mêmes sortes de moyens.
Encore d'autres moyens.
Ces quatre moyens pour faire arrêter l'oeuvre de Dieu.
Parce qu'il faut bien réaliser que c'était l'oeuvre de Dieu.
Si vous avez encore des questions sur ce chapitre 4.
On peut peut-être discuter.
Je ne voulais pas prendre trop de temps pour ça.
Mais juste le dernier verset maintenant.
Verset 24.
Alors le travail de la maison de Dieu qui est à Jérusalem.
C'est ça.
Donc c'était à peu près 3 ans après le retour.
Le décret dans 538.
La fondation du temple 536.
L'oeuvre arrêtée 535 à peu près.
Donc 3 ans, 4 ans maximum.
Mais la réalité pour laquelle l'oeuvre était arrêtée.
Est découverte dans le livre d'Ager.
On n'a pas le temps de lire le livre d'Ager maintenant.
Mais Ager son nom c'est très intéressant.
C'est un rapport avec la fête.
Vous connaissez cette fête de l'éternel dans Lévitique 23.
Puis le nom Ager c'est un nom.
La signification c'est un rapport avec la fête.
Et puis lui il voulait donc promouvoir les intérêts de Dieu.
Il aimerait que ce temple soit reconstruit.
Afin que tout service soit réinstitué.
Et puis Dieu se sert de ce prophète là pour encourager le peuple.
Mais dans son livre comme j'ai dit.
Il montre la manque de réalité.
Il montre l'égoïsme de ces gens là.
Il montre bien des raisons pourquoi l'oeuvre était arrêtée.
C'est pas seulement l'attaque de l'ennemi.
C'est aussi là-bas.
C'est en dedans de nous.
Puis là nous sommes responsables.
C'est bien facile de dire oui c'est le démon.
Ou c'est le diable.
Non.
Moi je suis responsable.
Et on voit que ce petit reste là.
Qui avait gardé le bon dépôt.
avait manqué quand même.
Donc ce relâchement dans leur vie causait cet arrêt.
Maintenant on voit donc l'intervention de Dieu.
C'est de nouveau la grâce souveraine de Dieu.
Je voulais souligner ça.
On a vu l'intervention de la grâce souveraine de Dieu au premier chapitre.
Si Dieu n'avait pas réveillé l'esprit de Cyrus.
Si Dieu n'avait pas réveillé l'esprit de Zorobabel et de Saltiel.
Et le peuple ne serait pas rentré à Jérusalem.
Ici c'est Dieu qui utilise ses prophètes pour revivifier l'esprit de ses chefs du peuple.
Les prophètes de Dieu étaient là.
Puis on voit deux éléments.
Agé était vieux ou plus âgé.
Son nom serait presque un indicate.
On n'a pas seulement besoin d'être repris.
On a aussi besoin d'être encouragé.
On voit aussi dans nos jours ce même principe.
Le ministère prophétique.
Ce serait une étude spéciale.
Dans un chrétien 14 par exemple.
L'importance d'un ministère prophétique dans nos jours est aussi nécessaire.
C'est nécessaire d'avoir cet élément là pour encourager le peuple de Dieu.
C'est vraiment pour ramener.
Un prophète ramène le peuple.
Un prophète parle lorsqu'il y a une déviation.
C'est pour ça qu'on a besoin d'un ministère prophétique aussi.
Parce qu'on a toujours besoin d'être ramené.
Donc un prophète parle pour ramener.
Un prophète parle à la conscience surtout.
Et nous voyons ici donc la parole de Dieu.
Je voulais juste mentionner ces points là pour que vous puissiez voir la relation.
La parole de Dieu.
La parole de Dieu.
Les prophètes de Dieu et la parole de Dieu va ensemble.
Aussi avec le nom de Dieu à la fin du verset 1.
Vous avez vu ça?
Donc c'est une intervention de Dieu.
La grâce souveraine de Dieu.
C'est les prophètes de Dieu.
C'est la parole de Dieu.
C'est l'autorité de Dieu.
Le nom de Dieu.
Et ça va ensemble avec quoi?
Verset 2.
La maison de Dieu.
C'était un rapport avec la maison de Dieu.
Il avait lâché la reconstruction du temple.
C'est pour ça qu'il a besoin maintenant de recommencer ce travail.
Ce qui est beau, ils l'ont recommencé malgré le fait que cette lettre du roi était là.
Parce qu'ils savaient que la loi des Medes et des Perses ne peut pas être revoquée.
Donc la loi que Cyrus avait donnée ne peut pas être revoquée.
Parce que ce faux roi, cet usurpateur, si notre théorie est bonne,
c'est lui qui avait changé cette loi là.
Mais ce n'était pas selon les pensées de Dieu.
Puis c'est pour ça que seulement, encouragés par les prophètes,
ils peuvent reprendre ce travail.
Malgré ce deuxième décret.
Donc là on voit vraiment la foi.
Ils ont agi par la foi.
Et puis les prophètes ont assisté.
Verset 2 à la fin.
On voit de nouveau qu'un gouverneur vient.
C'est peut-être le gouverneur de l'autre côté.
Oui c'est mentionné, de ce côté du fleuve.
Donc c'est probablement l'autre côté du Jourdain.
Et puis il donne un résumé.
Mais j'aimerais souligner encore une expression.
Verset 5.
C'est beau de voir ça.
Dieu est en contrôle.
C'est Dieu qui a envoyé les prophètes.
C'est Dieu qui les avait ramenés à Jérusalem.
C'est Dieu qui s'occupe de la maison de Dieu.
Ça c'est aussi une pensée.
On doit avoir la foi en Dieu.
On peut faire beaucoup d'efforts.
Mais si Dieu n'est pas là-dedans, ça ne vaut pas la peine.
On doit coopérer avec Dieu, comme on voit ici.
Coopérer avec Dieu.
Mais il faut que ce soit l'œuvre de Dieu.
Et Dieu est là pour surveiller.
L'œil de Dieu.
Ça ne veut pas dire que tout peut être laissé.
Je veux dire, l'œil de Dieu est une chose.
C'est le côté de Dieu.
Mais on voit aussi que les Lévites ont surveillé.
Comme on l'a vu même dans le chapitre 3.
Ça c'est la responsabilité de l'homme.
Et les deux vont ensemble.
On ne doit jamais dire, ok, c'est l'œuvre de Dieu.
Donc moi je n'ai rien à faire.
Ou l'autre côté, c'est seulement mon côté.
Moi je dois travailler.
Puis j'oublie le côté de Dieu.
Non, on doit toujours garder les deux côtés de la médaille, pour ainsi dire.
On le voit aussi dans Philippiens 2.
C'est Dieu qui donne la foi.
C'est Dieu qui opère.
Et ensuite nous pouvons travailler.
C'est un peu ça qu'on voit ici aussi.
Donc on a mentionné, parce que moi je voulais garder un peu de temps pour le chapitre 6.
Parce qu'il y a beaucoup de détails là qui sont très intéressants.
On a vu déjà que le gouverneur parle avec respect de Dieu.
Verset 8.
À la maison du grand Dieu.
Et elle se bâtit avec de grandes pierres.
Et le bois se pose dans les murs.
Puis les anciens ont été interrogés.
Ils donnent une réponse.
Verset 11.
Ils répondirent ainsi en disant, nous sommes les serviteurs du Dieu des cieux et de la terre.
C'est la foi.
Vous voyez dans le livre de Daniel, dans le livre d'Esdras-Nehemi.
Dieu est appelé le Dieu des cieux.
Parce que Dieu avait donné l'autorité entre les mains des rois des nations.
C'est pour ça que Dieu s'était retiré.
Vous savez, la nuée, la gloire du Shekinah, s'est retirée du temple.
Puis ensuite on voit dans Ézéchiel que la nuée montait dans les cieux.
Donc Dieu s'était retiré dans le ciel.
C'est pour ça que Dieu est appelé le Dieu des cieux.
Mais les croyants ici ont réalisé aussi que Dieu a tous les droits.
C'est pour ça qu'ils disent le Dieu des cieux et de la terre.
Malgré le fait que les rois étaient considérés comme des dieux aussi dans ce temps-là.
Un roi, un empereur était vu comme un dieu aussi dans ce temps-là.
Mais les juifs ont réalisé l'autorité et la puissance, la toute puissance de leur dieu.
Qui est pas seulement le Dieu des cieux mais aussi le Dieu de la terre.
Même si ça semble qu'il n'a rien à faire avec ça.
Il s'était retiré.
Il était quand même le Dieu de la terre.
C'est la foi ici qui parle.
Maintenant, un autre élément que je voulais souligner.
Dans le verset 11 aussi.
Et nous bâtissons la maison qui fut bâtie anciennement.
Il y a presque 500 ans.
Le temple de Salomon avait été construit il y a presque 500 ans avant ce moment-là.
Et un grand roi d'Israël l'a bâti et achevé.
C'est beau de voir ça.
Il l'avait bâti et achevé.
On va revenir à l'achèvement aussi dans chapitre 6.
Maintenant ils ont fait leur confession verset 12.
Quand nos pères provoquèrent le Dieu des cieux.
Il est livré en la main de Nebuchadnezzar.
Là on voit le gouvernement du Dieu.
On a beaucoup de choses de Dieu.
On a mentionné quelques points ici.
Vous pouvez noter le gouvernement du Dieu.
La discipline du Dieu.
Et pour nous c'est la même chose.
Si nous sommes infidèles, Dieu va s'occuper de nous.
Il nous aime trop de nous laisser aller sur nos propres chemins.
C'est pour ça qu'il intervient dans la discipline.
Et on a parlé des détails en rapport avec le chapitre 1.
Mais de nouveau une intervention de Dieu.
Verset 13.
Mais la première année de Cyrus, roi de Babylone.
Le roi Cyrus donne un ordre de bâtir cette maison de Dieu.
C'est beau de voir.
C'est le roi Cyrus qui donnait l'ordre.
Mais c'était Dieu qui avait réveillé l'esprit de Cyrus.
Donc c'est Dieu qui a arrangé toutes ces choses là.
Pour que sa maison soit reconstruite.
Cette maison de Dieu.
C'est beau de voir ça aussi.
Parce qu'il n'y a qu'une seule maison.
Même si la maison n'était pas là.
Il parlait par la foi de cette maison.
On a vu ça aussi au premier chapitre déjà.
Verset 14.
Il y a aussi les ustensiles d'or et d'argent de la maison de Dieu.
Que Nébuchadnezzar a sorti du temple qui était à Jérusalem.
Et a emporté dans le temple de Babylone.
Le roi Cyrus les sortit du temple de Babylone.
On a parlé de l'importance de ce principe là.
Les vases par la discipline de Dieu.
Des sorties du temple.
Placées entre les mains du roi de Babylone.
Maintenant ramenées.
C'est donc en rapport avec cette restauration.
Ce réveil.
Cette réformation.
Que Dieu ramène les vases.
Et on a vu l'application sur nous aussi.
Dans nos jours.
Verset 15.
Il lui dit.
Prends ces ustensiles.
Va.
Place-les dans le temple qui est à Jérusalem.
Donc de nouveau je répète.
Pour nous Jérusalem ce n'est pas Jérusalem.
En Israël.
Ce n'est pas un lieu géographique.
Pour nous Jérusalem nous parle du lieu que Dieu a choisi.
Et c'est quel lieu que Dieu a choisi aujourd'hui ?
Matthieu 18.
C'est là où le Seigneur a dit.
Où deux ou trois sont réunis en mon nom.
C'est là où je suis au milieu d'eux.
C'est là où il habite.
Donc c'est là où on voit l'hôtel.
C'est là où on voit le temple.
C'est là où on voit la maison de Dieu.
C'est là où Dieu veut avoir ses ustensiles.
Vous et moi on est des ustensiles.
Quelquefois un couteau pour analyser.
Ou un gardien comme on a vu la dernière fois.
On a plusieurs fonctions dans cette maison-là.
Ou on est tous des bassins aussi.
Pour avoir des choses.
Pour apporter notre adoration à Dieu.
Comme Marie.
Elle a eu cette bouteille de parfum.
Pour vendre les pieds du Seigneur.
Donc c'est le service en rapport avec la maison pour nous.
Maintenant pour revenir verset 16.
Cette œuvre n'avait pas été achevée.
Et ils veulent donc continuer.
Donc le gouverneur demande maintenant un conseil du roi.
Maintenant on va continuer dans le chapitre 6.
Le roi donne des ordres pour examiner.
C'est ici le roi Darius.
Darius voulait exactement répéter le même principe que Cyrus avait institué.
On le sait par l'histoire.
Après ce faux roi.
Cet usurpateur qui était avant lui.
Darius a voulu réinstituer exactement les mêmes principes que Cyrus avait.
Donc on voit aussi que Dieu s'est servi de ce nouveau roi.
Pour confirmer ce que Dieu avait fait par Cyrus.
Donc les archives sont examinées.
Et par la providence de Dieu il trouve donc ce rouleau.
De nouveau la main de Dieu est là.
Comme on voit dans Esther aussi.
Le rouleau qui a été lu pendant la nuit que le roi ne pouvait pas dormir.
C'est vraiment la providence de Dieu.
On voit ici la providence de Dieu aussi.
C'était une multitude de rouleaux qui l'ont trouvé le rouleau.
Verset 3.
La première année du roi.
Donc il répète ici le décret.
On n'a pas vu ces détails-là dans le chapitre 1.
C'est pour ça que j'aimerais demander votre attention pour ces détails.
On a donc trois sujets dans le chapitre 6.
Les détails du décret.
Ensuite l'achèvement du temple et la dédicace.
Et à la fin du chapitre la Pâque.
Donc on voulait juste avoir quelques minutes pour chaque portion.
Le décret donc d'abord.
Que la maison soit bâtie pour être un lieu où l'on offre des sacrifices.
Moi je trouve ça très bon.
Il aurait pu dire verset 10 qu'il prie pour la vie du roi et de ses fils.
Non.
Il met Dieu en avant.
Dieu en premier.
Quelle est notre priorité?
Est-ce qu'on met Dieu en premier aussi?
Le roi Cyrus est ici un exemple pour nous.
Il met Dieu en premier.
Ça me fait penser à Matthieu 6 verset 33.
Cherchez d'abord le royaume de Dieu.
Et sa justice.
Et toutes ces choses vous seront données.
Donc la priorité c'est que ce soit un lieu où l'on offre des sacrifices.
C'est beau aussi.
C'est un lieu où l'on offre des sacrifices.
Est-ce qu'on offre des sacrifices vraiment?
Moi souvent je dois dire, souvent c'est des routines.
Souvent on utilise certaines phrases.
Mais est-ce que c'est vraiment encore un sacrifice?
Et j'aimerais aussi mentionner, c'est pas seulement un credo.
Les croyants dans le temps de la réformation ont agi par la foi.
Ensuite ils ont écrit des credos.
Et puis ils ont marché selon les credos.
Ça ne marche pas non plus.
Il faut vraiment avoir la foi pour produire ces sacrifices, pour les offrir à Dieu.
Donc, premier point, un lieu où l'on offre des sacrifices.
Deuxième point, que ces fondements soient solides.
Est-ce que les fondements du Temple de Dieu, où nous travaillons, sont solides?
Souvent les gens amènent leurs propres idées.
Ils veulent amener des fondements selon leurs pensées.
Dans le Nouveau Testament, nous trouvons que Christ est le fondement.
On a vu dans le chapitre 3, Christ est l'autel.
Christ est le sacrifice.
Christ est le sacrificateur.
Christ est tout.
Mais Dieu sert de ces détails-là pour nous faire réaliser que Christ est aussi le fondement.
On le voit dans l'Epsaud.
Il est la pierre du fondement.
Il est aussi la pierre du coin pour mettre les choses ensemble.
Il est aussi la pierre qui va finir la construction.
Christ est tout.
Même en rapport avec la maison, il est tout.
Le fondement.
La pierre qui tient tout ensemble.
Et puis aussi la finition.
Donc, ce deuxième point, le fondement.
On trouve un rapport avec la résurrection du Seigneur.
Il a mis ce fondement dans sa résurrection.
Mais 1 Corinthiens 3 nous dit que Christ lui-même est le fondement.
Donc, ce n'est pas un crédo.
De nouveau, je répète, ce n'est pas un crédo qui est le fondement.
Ce n'est pas parce que nous avons ce livre de ces frères-là.
Non, c'est Christ qui est le fondement.
C'est bon d'avoir des livres pour étudier, ça c'est évident.
Mais ça ne peut pas remplacer Christ.
Donc, est-ce que notre fondement est solide?
Si Christ est notre fondement, le fondement est-il solide?
Troisième point, sa hauteur.
J'aimerais suggérer ici, c'est la fonction de la maison.
Un rapport avec Dieu.
Un rapport avec la communication avec Dieu.
C'est envers Dieu.
C'est ça le mot que je cherche, envers Dieu.
La hauteur était le double ici, la hauteur du temple de Salomon.
Je ne dis pas que les juifs ont vraiment mis ça en pratique.
Ça ne veut pas dire que leur temple, qu'ils ont achevé, avait aussi 60 coudées.
Mais la pensée originale est très belle.
Que même dans un jour de ruine, où ils vivaient là,
qu'ils allaient encore plus haut que le temple de Salomon.
Et ce serait un encouragement, même pour nous.
Nous vivons dans un temps de ruine.
Mais ça ne veut pas dire que nous ne pouvons pas aller aussi haut que les apôtres sont allés.
Dans leur pensée, dans leur communion avec Dieu.
Dieu veut toujours qu'il y ait des progrès.
Donc, qu'on puisse réaliser la pensée de Dieu pour la hauteur du temple.
Peut-être un rapport avec la hauteur, j'aimerais aussi soumier le fait que nous sommes maintenant liés à Christ.
Christ qui est dans la gloire.
Christ qui est assis à la droite de Dieu.
Dans les hauts lieux.
Donc la pensée de la hauteur est très importante.
C'est un rapport avec Christ qui est dans la gloire.
Même au-dessus des cieux, comme il le dit dans Ephésiens 4.
Quatrième point, la largeur.
Ça c'est envers l'homme.
Ça c'est envers l'homme.
La hauteur envers Dieu, la largeur envers l'homme.
Et là je reviens à ma pensée du sectarisme.
Là on ne peut pas avoir du sectarisme.
Donc ça exclut le sectarisme, ça exclut l'indépendance ou former des petits groupes.
On est un petit groupe ce soir.
Mais ce n'est pas parce qu'on veut être un petit groupe.
C'est parce qu'on est là pour mettre en pratique les pensées de Dieu.
C'est tout ce qu'on veut.
Si on est avec un petit groupe, on ne peut pas.
On regrette.
Mais ce n'est pas parce qu'on veut nous isoler.
On veut être isolé de tous les autres chrétiens.
On veut seulement maintenir les pensées de Dieu.
Verset 4, le cinquième point.
Trois rangées de grandes pierres.
Les trois rangées on trouve aussi dans le temple de Salomon.
Le nombre 3 parle de la résurrection.
Mais peut-être je peux suggérer aussi que le nombre 3 parle de la Trinité.
Nous sommes le résultat de l'œuvre du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Aussi en rapport avec les dons, dans le Nouveau Testament on voit que le Père donne,
le Fils donne, même comme homme il donne,
et aussi l'Esprit donne et opère.
Donc les pierres nous parlent de l'œuvre de Dieu.
Ce que Dieu a préparé.
Un pierre deux nous parle des pierres vivantes.
Nous sommes des pierres vivantes.
Jean 1 nous dit que Pierre, son nom était Cephas, le Seigneur l'a changé en Pierre.
Nous sommes ainsi tous.
Tous les croyants sont aussi appelés Pierre dans ce sens-là.
Nous sommes des pierres vivantes.
En rapport avec Christ qui est la base.
Le Fils de Dieu, le Fils du Dieu vivant, Matthieu 16, j'ai oublié ça tantôt.
C'est aussi en rapport avec le fondement, mais aussi en rapport avec toute la maison.
Que nous sommes liés à Christ par une œuvre divine.
Basée sur sa résurrection, trois jours, en rapport avec l'œuvre du Dieu.
Trois rangées.
Et une rangée, c'est le sixième point, de bois neuf.
Le bois nous parle de la nature de Christ.
Le bois neuf, c'est donc un nouvel ordre.
On est le produit de la terre.
Comme Christ aussi est vu dans la parole de Dieu comme le produit de la terre.
Par contre, il est du bois neuf.
Un nouvel ordre de choses.
Dieu veut nous impliquer dans la construction du temple.
Mais lorsque nous sommes maintenant en Christ.
Une formation aussi.
Le bois nous parle aussi de la formation.
Dieu veut que nous soyons transformés pour être conformes à Christ, moralement.
Ensuite, il mentionne les dépenses.
C'est donc dans ce contexte-là que Dieu était en contrôle.
Qu'il pouvait se servir même du roi des nations.
Pour payer les dépenses.
Quel contraste avec David et Salomon.
Mais on ne peut pas entrer dans ces détails-là.
Verset 5.
Un point important.
Aussi que les ustensiles d'or et d'argent de la maison du Dieu.
Que Nebuchadnezzar a sorti du temple de Jérusalem.
Et a emporté à Babylone.
Soit rendu.
On a mis l'emphase là-dessus déjà.
En rapport avec la restauration pour le service du Dieu.
Et tu les placeras dans la maison du Dieu.
Voilà donc la responsabilité du gouverneur.
Verset 7.
Au milieu du verset 7.
Que le gouverneur des juifs et les anciens des juifs bâtissent cette maison de Dieu.
Et là on a encore un autre point.
Sur son emplacement.
On a vu l'hôtel placé sur son emplacement.
Maintenant la maison doit être placée sur son emplacement.
Si nous voulons construire maintenant une maison de Dieu.
Ici à Chaminigan.
Selon nos idées.
Ce n'est pas sur son emplacement.
Sur son emplacement veut dire le lieu que Dieu avait indiqué.
Chronique 22.
L'ère d'Araona.
On voit que là David a bâti un hôtel.
Et là il a dit c'est le fondement du temple.
Dieu avait indiqué cette place sur la base du sacrifice.
Donc il faut maintenir ce plan de Dieu.
Ça doit être notre exercice.
Pas introduire des choses nouvelles.
Mais maintenir les mêmes principes que Dieu a donné au début.
On a vu ça au chapitre 3 aussi.
Verset 8.
Au milieu du verset 8.
Que des biens du roi provenant du tribut de l'autre côté du fleuve.
Les dépenses soient promptement payées à ces hommes.
Pour qu'ils ne soient pas intrompus.
Et le roi continue encore à donner des instructions.
Que ce qu'il leur est nécessaire.
Jeune taureau, bélier, un yaourt.
Pour les holocaustes au Dieu des cieux.
Fromain.
Il y a beaucoup de détails qu'on ne peut pas discuter maintenant.
Qu'on trouve dans les écrits de Moïse.
Le fromain.
Référence au sacrifice de gâteau.
Le sel aussi dans Levitique 2.
Mais qui était utilisé avec tous les sacrifices.
Le vin était utilisé avec beaucoup de sacrifices.
Comme l'hibation.
L'huile en rapport avec les gâteaux.
Ce sont des éléments importants.
Et on pourrait prendre beaucoup de temps.
Pour étudier ces éléments là.
Parce que ça parle de nouveau de Christ aussi.
De différentes façons.
Selon l'ordre des sacrificateurs.
Voilà.
Esdras, c'est un sacrificateur.
Il maintient les intérêts du Dieu.
Et il met beaucoup d'emphase sur ce côté sacerdotal.
Et encore un élément à souligner.
Jour par jour.
Moi je voulais remarquer ça déjà.
En rapport avec la construction qui était intrompue.
On lâche facilement.
On est enthousiaste.
Je dis ça moi-même.
Moi j'ai lâché beaucoup de projets.
J'avais commencé avec beaucoup d'enthousiasme.
Puis c'est fini.
On a vu ça en rapport avec le Temple.
Maintenant ce verset là.
Jour par jour.
Nous aide à maintenir les pensées du Dieu.
Ça peut avoir l'air d'être plate.
Jour par jour.
On parlait tantôt de lire la Bible.
Jour par jour.
Ça semble être plate.
Non.
Plus qu'on lit, plus qu'on a le goût.
Plus qu'on est occupé des sacrifices de Dieu.
Plus qu'on entre dans les pensées du Dieu.
C'est ça que Dieu veut.
Ça va de bout à bout.
On ne peut pas avoir toute la Bible dans notre cœur.
Dans nos pensées.
Tout à la fois.
Ça prend du temps.
Ça prend ce développement.
Cette croissance.
Ça prend aussi cette persistance.
Cette persévérance.
C'est juste une application que je voulais faire.
Verset 10.
Afin qu'il offre de l'encens.
De nouveau.
Le cercle est fermé ici.
Il a commencé verset 3.
Pour être un lieu où l'on offre des sacrifices.
Ici il termine.
Afin qu'il offre de l'encens.
L'encens c'est Christ dans ses qualités pour Dieu.
Donc Christ dans son excellence.
Ce qu'il est pour le cœur de Dieu.
L'excellence de Christ qui est pour le cœur de Dieu.
Voilà.
C'est pour Dieu.
Et nous pouvons avoir une part dans ce service.
Encore aujourd'hui.
Ici il appelle Dieu des cieux.
Et puis il parle aussi de l'importance qu'il prie pour la vie du roi et de ses fils.
On peut le faire.
Timothée 2 nous parle de la maison de Dieu qui est maintenant une maison de prière.
Isaïe 57 parle du même temple pour le millenium.
Ce sera une maison de prière pour toutes les nations.
Donc pour nous aujourd'hui la maison de Dieu c'est une place pour prier.
Pour tous les hommes.
Est-ce qu'on prie pour tous les hommes ?
Moi je dois dire souvent qu'on est tellement faible.
On est tellement.
On néglige beaucoup.
Est-ce que c'est une maison pour tous les hommes ?
Aussi pour les rois.
Pour ceux qui sont hauts placés.
Verset 12.
Verset 12.
Que le Dieu qui a fait demeurer son nom.
C'est beau là.
C'est Dieu qui a fait demeurer son nom là.
Dans ce temple.
Donc ici on voit le nom de Dieu lié au temple.
C'est la même chose qu'on a dans Deuteronome 12.
Le nom de Dieu, un rapport avec le lieu qu'il avait choisi.
Ici c'est aussi un rapport avec le temple qu'il voulait avoir là pour y demeurer avec son peuple.
Verset 13.
Excusez-moi.
Verset 14.
Les anciens des juifs bâtirent et prospéraient.
De nouveau par la prophétie d'Ager.
Ce n'est pas dit par le décret du roi.
Non, il savait ce décret déjà.
C'était par la prophétie qu'il était encouragé de recommencer et finir.
Puis dans Zacharie on voit aussi que la main de Zérobabel qui avait commencé le fondement allait accomplir ça.
Dans Zacharie.
Donc ces deux prophètes ont encouragé pour finir ce travail.
Ils bâtirent et achevèrent.
Il se trouve ça tellement beau.
Comme je dis tantôt, on commence et on lâche.
Ils l'ont recommencé.
Ils l'ont même remis le fondement comme on voit dans Ager.
Refait le fondement pour ainsi dire qu'il avait lâché au début.
Et souvent on doit refaire les choses qu'on avait lâchées.
Mais là ils l'ont achevé.
Donc ça c'est une dernière pensée en rapport avec la maison.
C'est la complète.
Rendre les choses complètes.
Achever les choses que Dieu nous a confiées.
Ça c'est très important.
Mais aussi selon les ordres des rois qu'il a mentionné au verset 14.
Verset 15.
Cette maison fut achevée le troisième jour du mois d'Adar.
Le mois Adar c'est le dernier mois de l'année.
De l'année religieuse des juifs.
Et ce nom veut dire glorieux.
Adar veut dire gloire ou glorieux.
C'est beau de voir ici comment c'est terminé.
Maintenant la dédicace de la maison.
On a vu des détails.
On a vu l'achèvement.
Et en rapport avec ça maintenant une dédicace.
Ça veut dire c'est maintenant dédié à Dieu.
C'est vraiment consacré à Dieu.
Toute la maison.
On le voit aussi en rapport avec le tabernacle dans Exode 40.
Comme Moïse a fait ça.
Dans le temple de Salomon on voit la même pensée.
C'est ici la dédicace.
Donc quelle chose merveilleuse pour Dieu.
Avoir un petit résidu là.
Sorti de l'idolâtrie.
Et ce résidu est là pour les intérêts de Dieu.
Pour les droits de Dieu.
Et c'est pour nous la même chose bien aimé.
Aujourd'hui est-ce qu'on est ici pour garder le bon dépôt.
Pour être ici pour promouvoir les droits de Dieu.
Si c'est le cas on sera remplis de joie aussi.
Verset 16 le dit.
Avec joie.
Ça va ensemble.
Dans Jean 15 on voit garder les commandements.
Et la joie va ensemble.
Un Jean 5 et beaucoup d'autres passages nous parlent du même principe.
Obéissance et joie vont ensemble.
Donc la dédicace c'est vraiment pour consacrer tout maintenant à Dieu.
Verset 17 en rapport avec cette dédicace il y avait un sacrifice.
D'abord j'aimerais remarquer.
Juste on doit le faire vite.
Le sacrifice pour le péché c'est l'humiliation.
Ils ont réalisé qu'ils l'avaient manqué.
Ils l'ont confessé.
Ils ont réalisé aussi leur besoin d'avoir un sacrifice pour le péché.
Parce qu'ils étaient désobéissants.
Ensuite ils étaient à Babel.
Ensuite sous l'influence de beaucoup de choses négatives.
On voit ça dans AG.
L'importance de se purifier.
Donc il amène ce sacrifice en rapport avec ce besoin de l'humiliation et de la purification.
C'est pour nous la même chose.
Souvent on est affecté par des choses négatives.
On doit être purifié.
On doit s'identifier avec le sacrifice pour le péché.
Deuxième chose en rapport avec ça.
J'aimerais encore souligner.
Pour tout Israël.
Donc ils ne perdent jamais de vue qu'ils font partie de tout le peuple de Dieu.
Même si tout le peuple est parti dans l'idolâtrie.
Ou dispersé par le roi Dassur.
Ou en Babylone.
Ils maintiennent les pincées d'yeux pour l'unité du peuple.
Selon le propos de Dieu.
Donc ça c'est quelque chose pour nous aussi.
De nouveau on voit à la fin du verset 18.
Selon ce qui est écrit au livre de Moïse.
Donc on a souligné ça déjà.
Ici la section en Aramaïque se termine aussi.
Il faut remarquer que ce livre a été écrit dans deux langues.
L'hébreu mais aussi une partie du chapitre 4 jusqu'à ce verset là est en Aramaïque.
Aussi la lettre d'un chapitre 7 qu'on va garder pour une autre fois est dans cette langue.
Ça nous parle aussi du fait comment il était sous le contrôle d'un roi des nations.
Verset 19.
On a maintenant la Pâque.
Ça c'est le début de l'année.
On a vu la dédicace et l'achèvement du temple à la fin de l'année religieuse.
Ici il recommence une nouvelle année avec Dieu.
La base pour ça c'est la Pâque.
Et en rapport avec la Pâque on a vraiment beaucoup de choses que j'aimerais souligner.
Mais on n'a pas le temps pour ça.
Vous pouvez étudier les Pâques que Moïse a institué.
Qu'ils ont célébré dans le désert, dans le pays.
Ou dans les jours de restauration sous Ézéchias et Josias.
Ici un petit reste maintient les mêmes pensées de la Pâque.
Et puis j'aimerais souligner maintenant les 4 passages qui font référence à la pureté.
La Pâque était célébrée mais il fallait qu'il soit pur.
Donc ils étaient purifiés.
Verset 20.
Ils étaient tous purs.
Deuxième référence.
Verset 21.
Avec eux, tous ceux qui s'étaient séparés de l'impureté des nations du pays.
Merci. …
Automatic transcript:
…
On a distribué quelques aperçus.
J'en ai peut-être encore un avec moi, mais on peut toujours faire des photocopies.
Avant de lire, j'aimerais dire juste quelque chose aux enfants.
Je vais donner quelques exemples qui vont toucher les enfants.
Je vais aussi donner quelques exemples par la parole de Dieu qui vont peut-être toucher les frères et sœurs plus avancés au milieu de nous.
Il y aura aussi des leçons pour ceux qui commencent sur le chemin de la foi.
Donc je dis ça afin que vous ne vous découragez pas si vous ne comprenez pas tout ce que je dis.
Il y a toujours quelque chose pour chacun de nous.
Et si vous recevez ce que vous devez recevoir ce soir, vous avez eu la portion que le Seigneur vous a donnée, que le Seigneur vous veut donner.
Donc il y a une portion pour moi et pour chacun de nous, sans doute.
Si on ouvre la parole de Dieu, il y aura une bénédiction pour tout le monde.
Esdras 7.
Je ne peux pas donner le numéro de la page parce que ma pagination est différente.
Mais pour ceux qui ont besoin peut-être de l'aide, quelqu'un peut mentionner le numéro.
Dans Esdras 7, nous avons d'abord la généalogie d'Esdras.
On va juste lire le premier verset.
Et après ces choses, sous le règne d'Artaxerxes, roi de Perse.
Esdras, fils de Saraia, fils d'Azaria, fils d'Ilkia.
Et un peu plus loin, verset 5, on voit qu'il était aussi un fils de Phinée, fils d'Eliazar, fils d'Aaron, le chef des sacricateurs.
7 Esdras, verset 6.
Verset 7.
Et un certain nombre de fils d'Israël, et des sacrificateurs, et des lévites, et des chantres, et des portiers, et des nitiniens, monterent à Jérusalem.
La septième année du roi Artaxerxes.
Il arriva à Jérusalem le cinquième mois. C'était la septième année du roi.
Car le premier jour du premier mois, le projet de partir de Babylone fut arrêté.
Et le premier jour du cinquième mois, il arriva à Jérusalem.
Selon que la bonne main de son Dieu était sur lui.
Car Esdras avait disposé son cœur à rechercher la loi de l'éternel.
Et à la faire.
Et à enseigner en Israël les statuts et les ordonnances.
Et c'est ici la copie de la lettre que le roi Artaxerxes donna à Esdras.
Le sacrificateur, le scribe, scribe des paroles des commandements de l'éternel.
Et de ces statuts donnés à Israël.
Puis le roi donne ici des instructions.
Verset 13.
De par moi, ordre est donné que tous ceux du peuple d'Israël et de ses sacrificateurs, des Lévites,
qui dans mon royaume sont disposés à aller à Jérusalem, avec toi y ailles.
Puisque tu es envoyé par le roi et ses sept conseillers pour t'enquérir au sujet de Judas et de Jérusalem,
selon la loi de ton Dieu qui est dans ta main,
et pour porter l'argent et l'or que le roi et ses conseillers ont librement offert au Dieu d'Israël,
dont la demeure est à Jérusalem.
Verset 16.
Ainsi que tout l'argent et l'or que tu trouveras dans toute la province de Babylone avec l'offrande volontaire du peuple et des sacrificateurs
qui offrent volontairement pour la maison de leur Dieu qui est à Jérusalem.
Tu achèteras donc promptement avec cet argent des bœufs, des béliers, des agneaux,
et leurs offrandes de gâteaux et leurs libations,
et tu les offriras sur l'autel de la maison de votre Dieu qui est à Jérusalem.
Et ce qu'il vous paraîtra bon à toi et à tes frères de faire avec le reste de l'argent et de l'or,
faites-le selon la volonté de votre Dieu.
Et les ustensiles qui te sont donnés pour le service de la maison de ton Dieu,
remets-les devant le Dieu de Jérusalem.
Et le reste des choses nécessaires pour la maison de ton Dieu que tu pourras avoir à donner,
tu les donneras de la maison des trésors du roi.
Et de par moi, Artaxerxes, le roi, ordre est donné à tous les trésoriers de l'autre côté du fleuve
de faire promptement tout ce qu'Israël, sacrificateur, scribe de la loi du Dieu des cieux,
vous demandera, jusqu'à 100 talents d'argent, et jusqu'à 100 corps de fromage,
et jusqu'à 100 battes de vin, et jusqu'à 100 battes d'huile et du sel,
sans prescription de quantité, que tout ce qui est ordonné par le Dieu des cieux
soit fait exactement pour la maison du Dieu des cieux.
Car pourquoi y aurait-il colère contre le royaume du roi et de ses fils ?
Et nous vous faisons savoir que la maison du Dieu des cieux
Et nous vous faisons savoir que sur tous les sacrificateurs et les lévites, chantres, portiers, nétiniens,
et serviteurs de cette maison du Dieu, il ne peut être levé aucun tribut, ni impôt, ni péage.
Et toi, Esdras, selon la sagesse de ton Dieu, laquelle est en ta main,
établis des magistrats et des juges qui jugeront tout le peuple de l'autre côté du fleuve,
tous ceux qui connaissent les lois de ton Dieu.
Et à celui qui ne les connaît pas, faites les connaître.
Et quiconque ne pratique pas la loi de ton Dieu et la loi du roi, qu'il en soit fait justice promptement,
ou par la mort, ou par l'exil, ou par la confiscation de ses biens, ou par l'emprisonnement.
Béni soit l'Éternel de Dieu de nos pères, qui a mis de telles pensées dans le cœur du roi,
d'orner la maison de l'Éternel qui est à Jérusalem,
et qui a étendu sur moi sa bonté devant le roi, et ses conseillers, et tous les puissants princes du roi.
Et moi, je fus fortifié, selon que la main de l'Éternel, mon Dieu, était sur moi,
et je rassemblais d'Israël des chefs pour monter avec moi.
Jusqu'ici la lecture de la parole de Dieu.
Si vous avez des questions pendant l'étude de ce soir, écrivez-les s'il vous plaît,
puis à la fin on peut essayer de répondre à ces questions-là.
Deuxièmement, si vous avez besoin d'un aperçu, on peut faire des faux de copie, je peux laisser un exemple.
Mais je ne peux pas revenir à tous les détails que j'ai donnés dans l'introduction,
lorsqu'on a étudié le premier chapitre, mais je mentionne juste pour faire le lien, trois choses.
Puis là, vous allez voir aussi que ces choses sont très utiles pour nous, dans la lumière du Nouveau Testament.
Vous voyez, l'Ancien Testament, c'est comme un livre d'illustration, c'est comme un livre qui donne beaucoup d'images,
et qui nous aide à réaliser les pensées de Dieu comme on les trouve dans le Nouveau Testament.
Donc ce n'est pas notre intention ce soir de vous mettre sous le joug de la loi de l'Ancien Testament.
Si on prend l'Ancien Testament, on le fait comme Paul le fait dans 1 Corinthiens 10, ce serait un chapitre pour vous à étudier.
Dans 1 Corinthiens 10, Paul montre que les choses du passé, de l'Ancien Testament, ont été écrites pour vous et moi.
Pas pour les gens qui ont vécu dans ce temps-là. Ces choses ont été écrites pour vous et moi.
Donc ça c'est un point important. Donc avec cette instruction du Nouveau Testament, on peut avoir des leçons de ces histoires de l'Ancien Testament.
Donc ça c'est un point général. Deuxième chose, puis je vais le diviser en trois points là.
La deuxième chose c'est le contexte du livre d'Estrace. C'est un temps de restauration.
On a vu que le petit reste est revenu de la captivité babylonienne.
Puis ils ont à coeur trois choses. D'abord l'autel. L'autel on a vu dans Estrace 3.
Et l'autel nous parle de la table du Seigneur.
Lorsqu'on se réunit le dimanche, autour du Seigneur, c'est autour de la table du Seigneur.
Et on trouve cette table donc présentée par cette image de l'autel.
L'autel est la table de l'Éternel, dans l'Ancien Testament, est la table du Seigneur, dans le Nouveau Testament.
Malachie 1 et 1 Chrétien 10 le confirment.
Puis c'est beau de voir qu'ils ont eu à coeur premièrement les intérêts de Dieu.
Ils auraient pu dire, ok on va d'abord construire des maisons pour nous, pour nos familles.
Non, ils n'ont pas fait ça. Ils ont mis l'autel sur sa place à Jérusalem.
Donc on peut tirer une leçon de cela pour nous.
Est-ce qu'on a à coeur les intérêts de Dieu?
Avant mes propres intérêts. C'est ça le point.
Deuxième chose, ensuite ils ont construit une maison pour Dieu, le Temple.
Puis ils ont eu des épreuves, ils l'ont manqué.
À un moment donné, ils ont donné plus de poids à leurs intérêts qu'au lieu des intérêts de Dieu, au lieu aux intérêts de Dieu.
Mais là, les prophètes sont venus, on a vu ça dans le chapitre 5, Agé et Zacharie.
Puis l'œuvre a recommencé, puis le Temple a été complété.
Le Temple, pour nous, c'est une illustration de quoi?
De la maison de Dieu.
Puis j'ai dit aussi dans l'introduction que Esdras nous présente un thème général, c'est le thème de la maison de Dieu.
Vous et moi, les croyants, on fait partie de la maison de Dieu.
Dans le Nouveau Testament, Éphésiens 2, on voit que tous les enfants de Dieu ensemble croissent comme un Temple Saint dans le Seigneur.
Et ils sont aussi comme une maison.
Dans cette maison-là, Dieu habite, et nous habitons là aussi.
On est des pierres de cette maison-là, mais on habite aussi dans cette maison-là.
C'est donc le langage figuratif du Nouveau Testament.
Puis avec ces instructions de l'Ancien Testament, on peut avoir beaucoup de profit de ces illustrations.
La troisième chose qu'ils ont réalisée, plus tard sous Néhémie, c'est pour ça qu'Esdras et Néhémie vont ensemble.
Néhémie a eu accord de rebâtir la ville, mais d'abord la mureille, pour protéger les choses de Dieu, pour protéger l'hôtel, pour protéger le Temple de Dieu.
Donc ça c'est une pensée additionnelle.
Ça parle de l'administration, la cité de Dieu, c'est l'administration.
Il y a aussi une question d'administration, un rapport avec l'Assemblée de Dieu.
Donc l'Assemblée, on voit un rapport avec la table du Seigneur.
L'Assemblée, on voit comme la maison de Dieu, le Temple ici, et on voit l'Assemblée comme la cité de Dieu.
C'est pour ça que j'ai dit, c'est important de voir le lien entre ces choses, qui sont comme des illustrations des vérités qu'on trouve dans le Nouveau Testament.
Mais maintenant vous vous dites peut-être, mais pourquoi lire toutes ces choses-là?
Parce que le Nouveau Testament donne les principes de base, tandis que l'Ancien Testament, par ses illustrations, nous donne des leçons pratiques à apprendre comment marcher dans ces vérités-là.
C'est ça le point de l'Ancien Testament.
Maintenant, pour revenir à chapitre 7, je voulais juste encore marquer quelques points importants en rapport avec un réveil.
On vit ici dans le temps d'un réveil.
Puis vous pouvez avoir quelques détails sur les feuilles que j'ai données, mais peut-être, je peux juste résumer quelques points importants.
Connaître les pensées de Dieu en rapport avec la maison de Dieu.
Donc, est-ce qu'on connaît les pensées de Dieu en rapport avec la maison de Dieu?
L'ordre de la maison, la sainteté de la maison, la lumière qui est dans la maison, en rapport avec la connaissance de Dieu.
La deuxième question, on s'est posé quelques fois aussi au début du livre, est-ce qu'on serait disponible?
Comme ces gens-là étaient disponibles, l'appel de Dieu est venu, ils ont dit, oui, je suis prêt.
Est-ce qu'on est prêt pour donner suite à cet appel de Dieu?
Est-ce qu'on est disponible?
Troisième chose, ce sont des questions que moi je me pose aussi, est-ce qu'on a quelque chose à contribuer?
Est-ce qu'on a quelque chose à contribuer?
Ces gens-là avaient certaines contributions.
L'effort physique, des trésors quelquefois, ou des offrandes, ils avaient quelque chose à contribuer.
Si vous venez ici, attiré au Seigneur Jésus, ça c'est le point de base.
On vient ici parce qu'on est attiré par la personne du Seigneur Jésus.
Mais là, la question se pose, est-ce que je viens aussi pour contribuer quelque chose?
Parce que souvent, on est comme des consommateurs, on veut recevoir, recevoir, recevoir, recevoir.
Ça ne finit pas.
Est-ce qu'on a aussi quelque chose à contribuer?
Peut-être par des prières à la maison, on prie pour les frères et les soeurs, pour les enfants.
Donc, il y a des choses à contribuer aussi pour le bien de la maison de Dieu.
Dans l'Exode 25, lorsque le peuple a eu à cœur de construire le tabernacle,
il y avait un esprit libéral et un cœur qui étaient prêts pour faire la volonté de Dieu.
C'est la question de contribuer.
Puis ça va ensemble avec la question de notre état spirituel.
Est-ce que je suis dans un bon état spirituel?
Ça c'est important.
Si je vis dans le péché, ou si je suis dissatisfait, ou mécontent,
quel empêchement que ce soit, je ne peux pas contribuer pour la maison de Dieu.
Une autre chose que j'aimerais aussi souligner,
on voit ici dans Esdras des détails qu'on ne voit pas avant la captivité babylonienne.
Ça c'est peut-être un peu, pour ceux qui sont un peu plus avancés,
mais il y a une richesse dans ce livre-là, aussi dans Nihimi,
une richesse, certaines choses qu'on ne voit pas dans cette richesse-là avant ce jour-là.
Qu'est-ce que ça veut dire pour nous?
On a toujours des raisons pour apprendre quelque chose et pour être surpris par la richesse de Dieu.
Même si nous vivons dans un temps aujourd'hui où tout est en ruine, où tout s'écroule,
où on dit mais ça ne vaut plus la peine, non!
Il ne faut jamais oublier que nous avons affaire avec un Dieu qui est très riche,
qui est très grand.
Puis on voit cette grandeur de Dieu dans ces livres d'Esdras, Nihimi,
même dans ces livres comme Agée, Zacharie et Malachie.
Et ce ministère prophétique qui allait ensemble avec tout cela.
Donc Dieu contribue aussi.
Si moi je contribue, Dieu dit mais moi j'ai quelque chose à vous donner.
Beaucoup. Dieu a beaucoup de richesse à nous donner.
Et puis on voit cela aussi dans la providence, dans la main de Dieu.
Je vais revenir à cela. La main de Dieu en providence, en bénédiction.
Et tout cela nous amène aussi à l'adoration.
Vous avez vu là à la fin du chapitre 7?
On voit là un serviteur de Dieu qui adore son Dieu.
Et puis si vous tournez encore une page à la fin d'Esdras 8, qu'est-ce qu'on voit là?
Là on voit tout le résidu qui était revenu de Babylone.
Et en fait ils ont présenté des holocaustes et des sacrifices pour le péché.
L'adoration.
Donc je voulais juste souligner ces quelques points.
Et sans doute vous allez voir d'autres points aussi si vous prenez ces feuilles là pour étudier.
Maintenant chapitre 7.
Est-ce que vous savez que c'était à peu près 79 ou 80 années après le décret du roi Cyrus
que cette histoire commence?
C'était presque 60 ans après que le temple soit rebâti.
60 ans.
Il y a au moins un frère ici qui a 60 ans.
Mais supposons que 60 ans après notre conversion, après notre premier départ,
quelle serait notre condition? Quelle serait notre situation 60 ans après?
Je dis ça pour souligner une chose.
Il y avait de nouveau un besoin pour un réveil.
Mais Dieu ne répète jamais les choses.
Le réveil au début d'Esdras avait un autre caractère que le réveil d'Esdras.
Ça ne veut pas dire que les deux étaient opposés, non.
Le réveil sous Esdras a ajouté quelque chose à ce que Dieu a donné au premier réveil.
C'est toujours là avec Dieu.
Dieu ajoute toujours.
Puis la chose qu'il ajoute ici, c'est ça le point pour nous à comprendre vraiment.
Si vous voulez lire Esdras 7 verset 27 de nouveau.
Là Esdras a béni Dieu.
Que Dieu avait mis donc de telles choses, de telles pensées dans le cœur du roi.
Et qu'est-ce qu'il dit là?
Dormez la maison de l'éternel qui est à Jérusalem.
Il y a une pensée additionnelle.
Ornez la maison de l'éternel.
Donc vous voyez, le premier réveil a causé un reste à partir de Babylone.
Être libéré de l'influence de Babel.
Être libre maintenant pour servir Dieu selon les pensées de Dieu.
Ils ont placé l'hôtel.
Ils ont rebâti le temple.
Et maintenant il y a un besoin.
Tout était prêt.
On dirait mais maintenant tout est fini.
Il y a toujours ce besoin là.
Dormez la maison de l'éternel.
Et ça c'est pour chaque génération.
Si vous avez appris quelque chose de vos parents, comme moi, c'est beau.
Mais qu'est-ce que je fais maintenant?
Qu'est-ce que je fais moi-même?
C'est là l'exercice d'Esdras.
Il n'a pas dit ok mes parents ont fait ça.
C'est bon.
Donc on continue juste comme ça?
Oui.
Mais il ajoute quelque chose.
Il a quelque chose à contribuer pour orner la maison de Dieu.
La raison pour laquelle vous êtes ici ce soir.
C'est pour que vous puissiez ensemble avec moi orner la maison de Dieu.
C'est ça l'exercice d'Esdras.
Maintenant pour revenir au début du chapitre.
On a beaucoup de leçons pratiques.
C'est une autre raison pour laquelle on a de tels chapitres.
Pas seulement pour comprendre où on est dans l'histoire de l'église.
Mais aussi pour avoir des leçons bien pratiques.
Chaque page nous donne des leçons pratiques.
Mais j'ajoute tout de suite.
Chaque page nous présente quelque chose du Seigneur Jésus.
C'est pour ça qu'on veut lire chaque page.
Si vous avez ce goût pour lire la parole de Dieu.
Si vous avez le goût pour méditer la parole de Dieu.
Par l'esprit saint.
Juste en lisant les pages de la parole de Dieu.
Vous allez trouver quelque chose du Seigneur Jésus sur chaque page.
Mon père m'a raconté une fois une histoire.
Il a visité un homme qui s'est converti.
Ils ont eu des réunions d'évangélisation.
Cet homme était socialiste.
Il ne connaissait rien de Dieu.
Puis là, il s'est converti.
Mon père l'a visité.
Il avait reçu une Bible.
Il avait commencé à lire dans la Bible.
Il était tellement découragé.
Il disait, j'en comprends rien.
Pas du tout. Rien du tout.
Puis là, ils ont prié.
Mon père a donné quelques suggestions.
Il a commencé dans l'évangiliste Longin.
Encore souvent, les gens commençaient là.
Quelques années après, mon père l'a revu.
Il avait marqué sa Bible.
Il était malade.
Mon père a demandé s'il pouvait avoir sa Bible.
Juste pour lire une portion de la parole de Dieu.
Il avait vu toutes sortes de passages, soulignés.
Puis là, il a dit, oui, j'ai appris à lire.
Oui, j'ai appris à lire la parole de Dieu.
Et puis, j'ai appris à apprécier la parole de Dieu.
Donc, on commence jeune.
Parce qu'il y a beaucoup de jeunes enfants au milieu de nous.
Ils racontent une autre histoire maintenant.
Qu'est-ce qu'on voit ici?
Esdras était un scribe.
Le mot scribe, surtout au latin, mais aussi dans l'hébreu,
est intimement lié au mot livre.
Puis le mot livre est souvent utilisé pour la Bible.
Donc, qu'est-ce qu'un scribe veut dire dans ce contexte-là?
Souvent, un scribe était aussi un homme haut placé pour écrire pour le roi.
Mais ici, dans ce contexte-là, le scribe a cette signification-là,
qu'il était familier avec le livre de Dieu.
Est-ce qu'on est familier avec le livre de Dieu?
Parmi les juifs orthodoxes, comme Esdras,
il a été élevé parmi les juifs qu'on appelle aujourd'hui les juifs orthodoxes.
Puis il y a encore des sectes parmi les juifs orthodoxes
où les jeunes garçons qui veulent devenir des rabbins plus tard,
ils doivent connaître par cœur tous les livres de Moïse à l'âge de 12 ans.
Pas dans la langue qu'ils parlent, en français ou en anglais ou en allemand,
dans l'hébreu, en hébreu.
En plus de ça, lorsqu'ils ont 18 ans,
ils doivent connaître par cœur tout l'Ancien Testament.
Évidemment, parce que les juifs orthodoxes rejettent le Nouveau Testament.
Donc, ils ne lisent que l'Ancien Testament.
Puis à l'âge de 21 ans, avant qu'ils commencent leurs études comme rabbins,
ils doivent passer un test.
Puis selon ce test-là, l'exéminateur prend une Bible,
puis il a un clou, puis il pénètre le clou là-dedans.
C'était la coutume dans le passé.
Je ne sais pas s'ils le font encore aujourd'hui,
mais au début de ce siècle, ils l'ont fait comme ça.
Ils ont mis le clou quelque part.
Puis l'exéminateur a dit page 123,
troisième ligne d'en bas,
troisième mot.
Puis le garçon a dû donner le mot.
Puis là, l'exéminateur a dit la page suivante,
la même place, quel mot ?
Il a donné le mot.
Ou en arrière.
Donc ça veut dire qu'il connaissait la Bible par cœur,
mais il connaissait chaque mot et la place où le mot se trouvait.
Malheureusement, après cette examination,
il allait étudier les écrits des rabbins.
Ils n'ont pas continué dans la Bible malheureusement.
Mais c'est juste pour donner un exemple
de comment il était formé pour lire la Bible.
Maintenant, nous avons beaucoup plus de raisons pour lire la Bible,
pour lire l'Ancien Testament.
Comme j'ai dit, on trouve sur chaque page le Seigneur Jésus.
Mais avec la lumière du Nouveau Testament.
Ces juifs-là n'avaient pas la lumière du Nouveau Testament,
ils n'avaient pas l'Esprit.
Vous et moi, par la grâce de Dieu,
ceux qui sommes sauvés, nous avons l'Esprit de Dieu.
Et nous avons la connaissance du Seigneur Jésus
qui est maintenant glorifiée.
Donc, avec cette aide-là, ces ressources que Dieu nous donne,
on peut lire avec beaucoup plus de zèle,
avec beaucoup plus d'intérêt l'Ancien Testament et toute la Bible.
Mais Ezra est maintenant pour nous un exemple.
Comme j'ai dit, ces jeunes garçons-là dans le judaïsme
étaient dans ce sens-là un exemple pour nous aussi.
Mais Ezra était un exemple à plusieurs égards.
Pas seulement par la ligne de descendance,
qu'il descendait d'Aaron, c'est bon,
qu'il réalisait cette descendance, qu'il l'appréciait aussi.
Est-ce qu'on apprécie ce que d'autres,
dans la famille de Dieu, nous ont confié dans le passé?
Est-ce qu'on apprécie celui qui nous a présenté l'Évangile
et qui nous a instruit, est-ce qu'on apprécie
ce que ce frère ou cette sœur nous a donné?
Puis cette descendance mentionne aussi des noms très fameux
comme Phinée, c'était un sacrificateur très fidèle
dans les jours où il y avait des tests au milieu du peuple de Dieu.
Et Elieazar aussi, un autre sacrificateur fidèle.
Donc, il était dans une ligne de sacrificateurs fidèles.
Aussi, les autres noms qui sont mentionnés,
Séraïa et Ilkia étaient des sacrificateurs fidèles
qui étaient connus, qu'on retrouve dans la parole de Dieu.
En contraste avec d'autres descendants,
comme Moïse, il avait aussi des enfants et des petits-enfants.
Le petit-fils de Moïse a introduit l'idolâtrie au milieu du peuple de Dieu.
On a vu ça lorsqu'on a étudié les juges.
Ou David, ses enfants, ou même ses petits-enfants,
souvent ils sont allés dans la mauvaise direction.
Donc, pour nous, c'est un encouragement.
Si on est fidèle, comme les fils d'Aaron,
ça peut arriver que nous ayons aussi des descendants spirituels,
physiques aussi, qui seront fidèles.
La deuxième chose, c'est pas la deuxième chose,
c'est pas quelque chose maintenant,
mais l'autre point que j'aimerais souligner,
c'est maintenant dans le verset 6.
Esdras était donc versé dans la loi de Moïse,
qu'avait donné l'éternel Dieu d'Israël.
Je répète, c'est pas parce qu'on veut se placer sous la loi,
mais l'exemple qu'on a ici,
est-ce qu'on apprécie la parole de Dieu ?
La loi du Dieu d'Israël parle ici de la parole de Dieu.
C'est tout l'Ancien Testament, pour nous aussi, toute la Bible.
Est-ce qu'on est versé ?
Est-ce qu'on est bien familier ?
Est-ce qu'on connaît la Bible ?
L'autre point que j'aimerais souligner,
et ça va ensemble,
il est dit ici,
« Le roi lui accorda toute sa requête,
selon que la main de l'éternel, son Dieu, était sur lui. »
En d'autres mots, on voit ici un homme fidèle.
Puis dans 1 Samuel, il y a un verset,
1 Samuel 2, je pense que c'est verset 35,
il faut apprendre ça par cœur.
Dieu dit là à Élie,
« Ceux qui m'honorent, moi je les honorerai. »
Donc si nous honorons Dieu,
dans notre marche, dans notre attitude,
Dieu va nous honorer.
Ça c'est le gouvernement moral de Dieu.
Puis on voit ici comment Dieu intervient ici,
pour Esdras,
« Selon que la main de l'éternel, son Dieu, était sur lui. »
On voit ici la provision de la main de Dieu.
Quelle provision merveilleuse,
de la main de Dieu.
Ce serait un sujet à part,
mais je voulais quand même souligner quelques versets,
parce que ça revient souvent.
On voit ici comment Dieu s'identifie avec un homme fidèle.
C'est ici le Dieu des cieux.
À cause de l'infidélité du peuple de Dieu,
Dieu s'est retiré de la terre.
Il habite dans les cieux.
Mais il s'identifie publiquement ici,
avec un serviteur qui est fidèle.
Et Dieu veut encore aujourd'hui,
s'identifier avec vous et moi,
si nous voulons marcher avec lui.
Le Seigneur a dit,
« Moi je suis avec vous, tous les jours. »
En outre aussi,
« Vous êtes les disciples du Seigneur Jésus. »
Le Seigneur Jésus dit à Jamie,
ou n'importe quelle personne ici,
« Je suis avec vous, tous les jours. »
On le voit ici.
Puis la main du Dieu,
c'est très beau de voir ça.
Je vais juste marquer ce point-là, verset 9.
« Il arriva à Jérusalem,
selon que la bonne main de son Dieu était sur lui. »
Vous voyez la conduite.
La main du Dieu nous conduit.
Il nous dirige dans la bonne direction.
Ensuite, un peu plus loin,
dans le verset 28.
Au milieu du verset 28,
« Et moi je fus fortifié,
selon que la main de l'Éternel, mon Dieu, était sur moi. »
Ça c'est une chose merveilleuse.
Être fortifié,
on pourrait traduire aussi,
encouragé,
fortifié,
par la main de l'Éternel.
On voit comment l'Éternel s'identifie avec son serviteur.
Et dans le chapitre 8,
verset 22,
verset 22,
il dit,
« La main de notre Dieu est en bien
sur tous ceux qui le cherchent. »
Ça c'est la confession d'Esdras devant le roi.
La main de notre Dieu.
Donc Dieu s'identifie avec tout le reste.
Pas seulement avec une personne,
avec tout le reste.
Mais vous voyez, la fidélité d'Esdras a affecté d'autres.
Ils ont suivi Dieu avec Esdras.
Donc c'est encore un encouragement pour nous.
Être fidèle,
ça va affecter d'autres aussi.
Mais Dieu s'identifie avec sa bonne main,
sur tous.
Et encore un peu plus loin,
nous lisons,
je pense,
le verset 31,
« Et la main de notre Dieu fut sur nous
et nous délivra
de la main de l'ennemi. »
Donc la main de Dieu était là pour les protéger,
pour les délivrer
d'une autre main,
de la main de l'ennemi,
de la puissance de l'ennemi.
Et je pense,
c'est vraiment une main qui nous dirige,
une main qui pourvoit dans nos besoins,
qui nous protège,
qui nous encourage,
qui nous fortifie.
Puis ça va ensemble
avec la main d'Esdras.
Qu'est-ce qu'Esdras avait dans sa main?
On va voir ça tantôt.
La parole de Dieu.
Esdras avait dans sa main les choses de Dieu.
Puis on va voir aussi le peuple qui était avec lui.
Leur fidélité.
Dieu leur a donné des trésors
pour transporter.
Des trésors.
Et aussi notre main.
Ce que nous faisons avec notre main,
ça parle de notre responsabilité.
Nous avons tous une main pour faire quelque chose.
Qu'est-ce qu'on fait avec notre main?
On est rendu au verset 6 à la fin.
Son Dieu.
Donc ça parle de la relation aussi qu'il avait avec Dieu.
Maintenant on voit dans le verset 7.
Esdras 7, verset 7.
Tous ceux qui sont venus avec lui.
Donc j'ai dit, un réveil souvent commence par une seule personne.
Esdras ici, il était exercé après 60 ans,
monté à Jérusalem
pour les entraînements de Dieu.
Puis maintenant il y en a d'autres qui sont avec lui.
Pas seulement ça.
Le roi, dans la main de Dieu,
donne ce qui est nécessaire pour qu'il puisse y aller.
On voit donc la provision de Dieu.
Maintenant, ceux qui sont venus.
Du nombre des fils d'Israël.
On a vu dans Esdras 2 déjà,
la question du fils d'Israël parle d'une relation avec Dieu.
Est-ce qu'on a cette relation avec Dieu?
On s'est posé cette question-là dans Esdras 2.
Deuxième question.
Des sacrificateurs.
Est-ce qu'on veut fonctionner comme des sacrificateurs?
Tous les croyants aujourd'hui,
selon les pensées de Dieu,
sont des sacrificateurs.
Mais la plupart restent en Babylone.
Ici, il y en avait qui sont sortis de Babylone
pour aller à Jérusalem.
Pour être là où Dieu voulait habiter avec son peuple.
Dieu ne pouvait pas habiter parmi les idoles de Babylone.
C'est encore aujourd'hui la même question.
Dieu n'habite pas au milieu des idoles.
Dieu est séparé de l'idolâtrie.
Il veut que nous soyons séparés de l'idolâtrie.
Et ainsi, il y avait des lévites.
Les lévites avaient la charge d'aider aux sacrificateurs.
Et ensuite, des chantres et des portiers.
On en a parlé dans Esdras 2.
Est-ce qu'on fonctionne comme des portiers?
Parce que les portiers doivent faire entrer ce qui est bon.
Ils doivent exclure ce qui est mal.
Donc, les portiers doivent être là toujours aussi.
Les chantres doivent être là pour chanter.
Est-ce qu'on est des chantres vraiment?
Pour chanter à la gloire de Dieu.
Il y a aussi des nitiniens.
Ce sont probablement les descendants des gibionites.
Dans Josué 9, on voit une race des cananéens qui étaient maudites vraiment.
Mais par la grâce de Dieu, ils ont été incorporés au milieu du peuple de Dieu.
Par l'infidélité de Josué d'ailleurs.
Mais en tout cas, ils étaient là.
Plus tard, ils sont devenus des gens qui étaient impliqués dans le service de Dieu.
Pour chercher de l'eau ou du bois et de tels services.
Donc, les nitiniens étaient aussi, le mot veut dire ceux qui ont été donnés.
Littéralement traduit, ça veut dire ceux qui ont été donnés.
Pourquoi? Pour le service de Dieu.
C'est beau!
Plus tard, on va voir que dans le chapitre 8, que les livides manquaient.
Les nitiniens étaient là en masse.
C'est un peu aujourd'hui qu'il nous manque de docteurs.
J'étais une fois dans un rassemblement.
Quelques frères disaient, on n'a pas de docteur, on n'a pas d'évangéliste, on n'a pas de pasteur, on n'a rien.
Mais chaque croyant est là pour contribuer comme nous avons vu au début.
Et chaque croyant peut être un nitinien, peut être donné au service.
Est-ce qu'on est donné au service?
C'est souvent humiliant parce que ça implique des choses qui ne nous rendent pas très fameux.
Ou que tout le monde voit ce qu'on a fait.
Mais Dieu le voit.
Dieu voyait la fidélité des nitiniens.
Les livides n'étaient plus au public.
C'était un service public.
Ce que les nitiniens faisaient, c'était en arrière.
C'était en arrière des coulisses pour ainsi dire.
Mais c'était des services indispensables.
Ainsi, pour chaque croyant, il y a des services.
Ils montèrent à Jérusalem.
C'est beau de voir ça.
On a vu Jérusalem sur la montagne de Dieu.
C'est là où Dieu habite.
Babylone était dans la plaine.
C'était en bas pour ainsi dire.
Il y a donc ici un changement de position.
Au milieu des idoles, sous l'esclavage.
Ou bien attiré.
La montagne attirée à Dieu pour être là où il habite.
Maintenant on pourrait se poser cette question là aussi.
Pourquoi ce roi avait cette disposition du cœur pour laisser aller Ezra et son peuple ?
Vous voyez, les rois des Medes et des Perses avaient une autre stratégie que Nebuchadnezzar.
Nebuchadnezzar voulait l'uniformité de son royaume.
Tous les peuples devaient être uniformes.
Pareil, servir le même Dieu ou l'idole du roi de Babel.
Tandis que la loi des Medes et des Perses était différente.
Leur stratégie était de laisser les peuples qu'ils avaient conquéris dans leur religion à eux.
Ainsi ils voulaient aussi stimuler l'exercice de ces gens là de servir leur propre Dieu.
Je ne suis pas sûr si le roi de Perse a vraiment réalisé qu'il avait affaire avec le seul et vrai Dieu.
En rapport avec Ezra, on ne sait pas.
En tout cas, il était un outil dans les mains de Dieu pour ouvrir la porte pour Ezra.
Mais avant qu'on parle de ça, voyez encore le verset 10.
Si vous apprenez par cœur ce verset là, ce soir là, et puis si vous allez mettre ces choses en pratique, vous avez gagné beaucoup.
Trois points que j'aimerais souligner.
Verset 10 dit, car Ezra avait disposé son cœur à rechercher la loi de l'éternel.
C'est le premier point.
Le verset 10.
Deuxième point, à l'affaire.
Troisième point, à enseigner en Israël les statuts et les ordonnances.
Trois choses.
J'aimerais juste parler de ce verset, de ces quelques points.
D'abord la question de notre cœur.
Ezra avait disposé son cœur.
Donc c'était un acte volontaire.
Il avait décidé de mettre son cœur dans ces choses.
On voit dans Daniel 1, Daniel et ses amis ne voulaient pas se souiller dans l'idolâtrie du roi de Babylone.
Ils avaient décidé dans leur cœur de ne pas se souiller de l'idolâtrie du roi de Babylone.
Ici on voit un autre exemple.
Quelqu'un qui avait disposé son cœur.
Maintenant c'est positif, pas seulement pour ne pas être souillé, ce qui est correct.
Mais maintenant pour chercher, rechercher, ça veut dire un effort spécial, rechercher la loi de l'éternel.
Ou lisons pour nous, la parole de Dieu.
Est-ce qu'on a à cœur, vraiment, est-ce qu'on dispose de nos cœurs pour rechercher, ça veut dire examiner, étudier, lire avec soin, la parole de Dieu.
Ça peut commencer jeune, on peut commencer jeune à lire la parole de Dieu.
À un moment donné j'avais, je pense, 8 ou 9 ans, j'ai commencé la parole de Dieu mais je ne suis pas rendu à la fin.
À un moment donné j'étais un peu découragé puis j'ai lâché.
Ça peut arriver.
Mais plus tard j'ai repris.
On peut commencer jeune.
Et puis je pense qu'on doit commencer jeune.
Si vous n'avez pas à cœur, comme les jeunes parmi nous, à lire la parole de Dieu, maintenant, ça ne va jamais venir.
Il faut commencer maintenant.
Et si on est jeune dans la foi, nouvellement converti, il faut commencer maintenant.
Si vous dites, je vais attendre jusqu'à ma retraite là, ça ne viendra jamais.
Donc il faut commencer à lire la parole de Dieu.
À lire la parole de Dieu.
Avec ce zèle qu'on voit ici dans Esdras.
Il a disposé son cœur.
Puis le cœur c'est très important parce qu'il nous parle de là où sont les issues de la vie.
Si mon cœur est sous le contrôle de la parole de Dieu, il y aura de bons résultats, de bonnes conséquences.
On voit beaucoup de versets dans la Bible qui nous parlent de l'état de notre cœur.
Il y avait un serviteur dans Matthieu 24, le Seigneur parle de ce serviteur, qui est devenu infidèle.
Pourquoi? Parce qu'il a dit dans son cœur, mon maître tarde à venir.
Son cœur n'était pas bon pour le Seigneur.
Il y a beaucoup de choses en rapport avec le cœur.
Libre 10 nous parle de libre accès que nous avons avec un cœur pur et vrai.
On peut servir Dieu, on peut être dans la présence de Dieu, mais il faut avoir un cœur pur et vrai.
Ça veut dire, il faut se juger, il faut mettre de côté, s'il y a un péché dans ma vie, il faut que je juge et que je lâche ça.
Absolument. Autrement, je n'ai pas un cœur pur et vrai.
Donc, Dieu cherche un cœur pur et vrai.
Puis, si on a cette condition-là, on va rechercher la parole de Dieu.
Peut-être que vous connaissez à un moment donné la parole de Dieu par cœur.
C'est bon, mais ça ne finit pas là.
Il y a maintenant une deuxième chose.
On voit ici comment Dieu a préparé Esdras à l'école de Dieu.
Lorsqu'Esdras était à la maison, ou là à Babylone avec ses parents, il a étudié beaucoup la Bible.
Mais il a fait aussi quelque chose.
Il a fait.
Ça veut dire qu'il l'a mis en pratique.
Un autre verset qui me revient là, dans Ephésiens 1, verset 18, nous parle des yeux de nos cœurs.
Dieu veut nous donner cette intelligence spirituelle, qu'on puisse connaître les pensées de Dieu.
Ça va ensemble avec la condition de nos cœurs.
Mais c'est une chose.
La deuxième chose, c'est mettre en pratique la parole de Dieu.
C'est là où on manque encore plus.
On manque pour lire la parole de Dieu.
Mais est-ce qu'on ne manque pas à cet égard-là, de la mettre en pratique?
Pour le Seigneur Jésus, nous lisons de ce qu'il a fait et ce qu'il a enseigné.
On va revenir à l'enseignement tantôt.
Il a fait certaines choses.
Le Seigneur a dit aux disciples, vous êtes bien heureux parce que vous connaissez toutes ces choses-là.
Est-ce qu'il a dit ça?
Il a dit, vous êtes bien heureux parce que vous connaissez ces choses.
Non, parce que vous faites ces choses.
Donc, il faut connaître les pensées de Dieu d'abord.
Mais pourquoi les connaître?
Pour les mettre en pratique.
Dans Jacques, il dit, Jacques 1, il dit, il ne faut pas nous décevoir.
Il ne faut pas que vous vous déceviez.
Il ne faut pas que vous vous déceviez.
Si vous connaissez ces choses, il faut les mettre en pratique.
C'est ça l'enseignement de Jacques.
Donc, quel encouragement ici pour nous de voir un tel homme de Dieu qui voulait faire les choses que Dieu lui donnait.
Puis, pensons au Nouveau Testament.
Paul était avec des jeunes croyants, thessaloniques.
Peut-être vous avez étudié la première épitre aux thessaloniciens.
On voit là des jeunes croyants, trois mois, trois semaines.
Puis Paul, imaginons, Paul, l'apôtre Paul était avec eux.
Ils étaient bien à l'aise avec l'apôtre Paul.
Il était comme un frère pour eux, mais il était aussi comme une mère pour eux.
Il a pris soin d'eux.
Il était aussi comme un père pour les exhorter, peut-être pour donner une réprimande s'il était nécessaire.
Mais il était là avec eux.
Il était là avec eux.
Puis, Ezra, instruit à l'école de Dieu, pourrait être comme l'apôtre Paul.
Est-ce que nous pouvons aider l'un l'autre de telle façon?
Puis ça nous amène au troisième point.
Parce que là, il y a l'enseignement.
Il y a quelques jours, je lisais un article dans le Salut du Dieu.
Puis le frère là disait, on doit lire la Parole jeune parce que lorsqu'on aura 25 ans,
il y aura peut-être des amis qui ne connaissent pas la Parole de Dieu.
Puis on doit répondre à leurs questions.
Lorsqu'on aura 30, on aura peut-être des petits-enfants comme ici, Valérie, Esther et les autres.
Ils ont des questions.
Est-ce qu'on peut répondre à ces questions-là?
Il faut connaître la Parole de Dieu pour pouvoir répondre aux questions.
Puis un peu plus loin, il y a des jeunes qui vont venir.
On aura peut-être une réunion de jeunes.
Ils auront des questions eux aussi.
Donc, il faut qu'on lise la Parole de Dieu lorsqu'on est jeune.
C'est là où Dieu nous a instruits et nous prépare pour un service.
C'est là le service d'Estrace maintenant.
Pour enseigner en Israël.
Maintenant, il était prêt.
Formé dans le secret.
Il a mis en pratique les pensées de Dieu.
Maintenant, il pouvait enseigner en Israël.
C'est beau de voir ça.
Il ne dit pas enseigner à Israël.
Ce serait vrai aussi.
Mais il faisait partie du peuple de Dieu.
Il pouvait enseigner en Israël.
Parce que vous voyez, si on enseigne en Israël,
on reçoit aussi l'enseignement soi-même.
Si le Seigneur parle par un frère ici,
dimanche soir, par exemple, ou dimanche matin,
ce frère-là est enseigné lui-même aussi.
C'est ça le point.
Donc, il a enseigné en Israël.
Il était l'outil que Dieu a utilisé.
Et puis, il était aussi instruit par la grâce de Dieu.
Et on voit que c'était aussi la tâche des Lévites.
Ou les sacrificateurs.
Mais aussi les Lévites étaient établis pour enseigner.
Les deux étaient établis pour enseigner en Israël.
Les statues, c'était les choses que Dieu avait gravées.
Ça, c'est le mot original.
Donc, gravées dans les tables de la loi.
Et aussi, les ordonnances.
Les ordonnances sont les obligations ou les droits du peuple de Dieu.
On voit beaucoup de détails dans le psaume 119, par exemple, à cet égard-là.
Donc, mon point, c'est maintenant la formation à l'école de Dieu.
Si vous avez tiré cette leçon ce soir,
comment Dieu nous prépare,
comment Dieu prépare un petit enfant,
les jeunes qui sont avec nous,
en lisant la parole de Dieu,
en disposant nos cœurs pour rechercher la pensée de Dieu,
ensuite, pour mettre en pratique,
pas les traditions des langues,
mais pour mettre en pratique les pensées de Dieu.
Ensuite, pour être un modèle.
Parce qu'enseigner, là, ça veut dire être un modèle.
En titre, il est dit que les sœurs peuvent enseigner.
Les sœurs qui sont plus âgées peuvent enseigner.
Les jeunes sœurs, qu'est-ce que ça veut dire ?
Les sœurs, là, sont supposées d'être des modèles.
C'est ça que ça veut dire.
On enseigne par nos actions,
par notre exemple,
pas seulement par nos paroles.
On n'arrive pas là.
On va juste prendre encore quelques minutes pour le restant du chapitre 7.
On voit ici le roi Artaxerxes.
Il était un descendant de Corès,
ou de cette ligne des rois des Mèdes.
Et puis, c'était même le fils d'Artaxerxes,
le roi qu'on trouve dans le livre d'Esther.
Et puis, ce roi était le même roi qui a donné l'ordre à Némi.
Dans le livre de Némi, on voit le même roi qui a donné l'ordre à Némi
pour reconstruire la muraille,
donc la ville de Jérusalem.
Il est ici dans la main de Dieu.
Dans les Proverbes, il y a un verset qui dit que Dieu dispose les cœurs des rois comme des ruisseaux.
Donc, Dieu a disposé le cœur.
Ça, c'est l'autre côté de la médaille.
On a vu qu'Ezras a disposé son cœur pour rechercher la loi de l'Éternel.
Ça, c'est notre responsabilité.
Mais Dieu fait aussi certaines choses.
Dieu peut même disposer le cœur d'un roi.
Mais là, vous vous dites peut-être,
il faut que j'attende jusqu'à ce que Dieu dispose mon cœur.
Non!
Ça, c'est une grande erreur.
Nous devons disposer nos cœurs pour connaître la pensée de Dieu,
pour faire la pensée de Dieu.
Ce que Dieu fait dans sa souveraineté,
ça, c'est une autre chose.
Ça, c'est le côté de Dieu.
Dieu peut disposer les cœurs du roi,
malgré leur désobéissance,
ou malgré leur endurcissement,
ou manque de compréhension.
Mais ça, c'est le côté de Dieu.
Ça, c'est la souveraineté de Dieu.
Et la souveraineté de Dieu, on voit ici.
Mais, est-ce que ça ne va pas ensemble avec les prières d'Ezras?
Avec nos prières que Dieu peut diriger,
même les autorités d'un pays.
Il y avait un frère au Maroc,
dernièrement, il a visité quelques croyants là.
Puis, il y avait plusieurs jeunes croyants ensemble.
Puis, il avait besoin d'avoir encore une autre journée.
Mais, d'habitude, il travaillait le lundi.
Mais là, le roi du Maroc était en visite dans cette région-là.
Puis, tout le monde avait une journée off.
C'est juste un exemple.
Le Seigneur a dirigé que ce roi soit dans la région,
puis les croyants pouvaient avoir une journée off
pour étudier la parole encore ensemble.
Donc, Dieu est en contrôle.
Dieu dirige les circonstances.
Puis, de notre côté, on voit aussi que les rois des Medes,
comme on a vu dans Cyrus,
nous donnent une illustration du Seigneur Jésus.
Pourquoi est-ce que je dis ça?
On voit cette fois Cyrus dans le livre d'Ésaïe.
Puis, il a une image de Christ,
comment il va rayer dans le millenium.
C'est peut-être aussi quelque chose pour ceux qui sont plus avancés.
Mais, c'est juste pour parler aussi de cet aspect-là,
que Christ est préfugueré ici par ces rois-là.
Parce que Christ a toute autorité.
Dieu lui a donné toute autorité dans les cieux et sur la terre.
Donc, ce roi suprême est en contrôle.
Et puis, il peut diriger les circonstances de telle façon
que nous, sur la terre, dans notre faiblesse,
que nous puissions faire exactement ce que Dieu veut qu'on fasse.
Donc, ce côté-là, je voulais juste souligner brièvement.
Verset 11 dit aussi qu'Ezras était un sacricateur et un scribe.
Donc, il était sacricateur et scribe.
Ces deux vont ensemble.
Le service de Dieu, comme sacricateur,
va ensemble avec la connaissance de la parole.
Scribe des paroles, des commandements de l'Éternel.
Ici, on voit l'emphase sur l'inspiration.
On a affaire avec la parole de Dieu qui a été inspirée mot par mot.
Ce n'est pas pensée par pensée, comme il y a des gens qui pensent de même.
Donc, mot par mot, il a été inspiré par Dieu.
Ensuite, il y a des commandements.
Dans Jean 7, le Seigneur dit,
si vous voulez faire les choses de Dieu, là vous allez comprendre,
je le dis avec mes propres mots,
mais vous pouvez vérifier dans Jean 7, verset 17,
si notre cœur est disposé pour faire la volonté de Dieu.
C'est là où on va comprendre les pensées de Dieu.
Mais si moi je ne veux pas faire la parole de Dieu,
si je ne me soumets pas à sa parole,
comme des commandements,
ce n'est pas parce que Dieu aime faire toutes sortes de commandements,
ce n'est pas la pensée.
Sa parole devient comme un commandement pour nous.
On veut plaire à Dieu, on veut soumettre à la parole de Dieu.
C'est ça la pensée.
Et c'est l'éternel.
Ici, c'est l'éternel dans sa relation avec son peuple.
Nous avons affaire avec Dieu, qui s'est révélé comme père dans son Fils.
Nous avons l'Esprit de Dieu qui habite en nous.
On a tant de privilèges que Esdras n'a pas eu.
Mais quand même, Esdras est un exemple pour nous dans sa fidélité.
Il est dit aussi de ses statuts donnés à Israël.
De nouveau, cette relation entre Dieu et son peuple.
Donc, Artaxerxes nous parle de cela, de cette position d'Esdras,
qu'il était aussi un scribe accompli.
On a vu qu'il était un scribe versé dans la parole de Dieu,
mais aussi ici, un scribe accompli.
Il connaissait la parole de Dieu,
puis il pouvait l'enseigner, comme nous l'avons vu dans verset 10.
La loi du Dieu des cieux.
On reconnaît encore que Dieu s'est retiré dans les cieux.
Ça, c'est le contexte du livre d'Esdras.
On l'a mentionné dans notre introduction.
Maintenant, ce roi, sous la main de Dieu donc, donne ses ordres.
Je voulais juste souligner quelques points.
Verset 13 à la fin.
Cet appel pour ceux qui sont disposés.
Vous l'avez vu?
Ceux qui sont disposés.
On voit dans le Nouveau Testament que le cœur de Dieu est disposé en bien.
Disposé pour montrer la grâce.
Disposé pour montrer la grâce.
Ici, ce sont des membres du peuple de Dieu qui sont disposés.
Pourquoi?
Pour aller à Jérusalem.
C'était un lieu de reproche.
On a vu ça déjà dans notre première étude.
Le lieu du rassemblement.
Selon les pensées de Dieu, un lieu de reproche.
Là, Jérusalem, c'est encore aujourd'hui une petite ville.
Dans ces jours-là, c'était encore beaucoup pire.
C'était une ville en reproche.
Puis on voit ça dans Nihimi encore mieux.
Ça ne tente pas d'y aller.
Selon la chair.
La plupart des juifs restaient là, à Babylone.
Ils étaient à l'aise là.
Ils ont commencé des entreprises, des commerces, toutes sortes de choses.
Ils étaient à l'aise.
Ils avaient aussi la parole de Dieu.
Dieu les a bénis aussi.
Le livre d'Esther le montre.
Mais ils n'avaient pas cette relation avec Dieu comme à Jérusalem.
Ça prend beaucoup d'énergie.
Ça prend beaucoup d'énergie spirituelle.
Mais il était disposé.
Le Seigneur était disposé de rester avec les disciples lorsqu'il était dans la barque.
Mais nous devons aussi être disposés de faire quelque chose pour lui, pour sa gloire.
Verset 14.
« Puisque tu es envoyé par le Roi et ses sept conseillers pour t'inquiérir au sujet de Juda et de Jérusalem selon la loi de ton Dieu. »
Donc, le Roi encourage que le service de Dieu soit rétabli ou encouragé.
Comme j'ai expliqué, c'était la stratégie des rois des Medes et des Perses.
Et un peu plus loin, on voit aussi, c'était pour son propre intérêt aussi.
Parce qu'il savait que le peuple priait pour le Roi.
Comme aujourd'hui, 1 Timothée 2, on prie pour les autorités.
Verset 14, à la fin, nous dit.
Dieu, ton Dieu qui est dans ta main.
Donc, la loi de ton Dieu qui est dans ta main.
On en a parlé parce qu'il voulait faire la parole de Dieu.
Et c'était approprié de la loi pour la faire.
C'est pour ça que la parole de Dieu ici est identifiée avec sa main.
Mais aussi, maintenant, un autre élément.
Verset 15.
« Pour porter l'argent et l'or. »
J'ai dit, Dieu est grand.
Dieu veut enrichir son peuple.
Même dans un temps de ruines où Esdras vivait.
Il y avait de l'argent et de l'or.
Moi, j'ai lu un verset cette semaine dans le psaume 105.
Verset 37, il dit que Dieu les a fait sortir de l'Égypte, de l'esclavage.
Il les a enrichis avec l'argent et l'or.
Et ensuite, il n'y avait pas d'infirme au milieu d'eux.
Donc, c'est l'œuvre de Dieu qu'on voit ici.
C'est Dieu qui donne l'argent et l'or.
Maintenant, est-ce qu'il donne, pour nous aujourd'hui, de l'argent et de l'or dans un sens physique?
Peut-être ça aussi.
Ça dépend de nos besoins.
Mais la leçon qu'on peut tirer de ça aussi, Dieu donne de l'argent d'une façon spirituelle.
L'argent nous parle de la rédemption.
Dieu veut ajouter à notre connaissance de la rédemption.
Si on est jeune converti, on ne comprend pas encore tous les aspects de la rédemption.
Toute la grandeur de Dieu comme rédempteur.
Et même si on est plus avancé, on ne va jamais arriver au bout.
On peut dire, maintenant je comprends tout de la rédemption, tout du prix que le Seigneur Jésus a dû payer.
Parce que l'argent nous parle du prix qu'il a payé pour notre salut.
C'est un prix immense qui peut sonder l'immensité du prix que le Seigneur Jésus a payé.
Puis justement, ce qu'on a appris de cela, ce que Dieu nous donne aussi comme argent, notre connaissance de la rédemption,
on va ajouter ça aux trésors qui sont à Jérusalem.
Pourquoi ? Pour enrichir le peuple de Dieu.
Si vous avez appris quelque chose du prix de l'œuvre de Christ, vous pouvez venir avec des cœurs remplis le dimanche matin.
Vous pouvez contribuer quelque chose.
Même comme sœur, vous avez des choses à contribuer.
L'esprit de Dieu connaît exactement ce qui est dans votre cœur.
Et puis ça va enrichir tout le rassemblement.
Puis l'or nous parle de la gloire de Dieu.
Est-ce que nous avons une impression de la gloire de Dieu ?
La maison à Jérusalem nous parle de la gloire de Dieu.
Aujourd'hui, dans notre société, c'est la gloire de l'homme, c'est la gloire de moi.
On ne cherche pas la gloire de Dieu.
Mais si nous cherchons la gloire de Dieu, si nous avons appris quelque chose de la gloire de Dieu, ça va enrichir tout le rassemblement.
Donc, ça va enrichir le temple, ça va amener aussi l'adoration.
Un peu plus loin, on a encore cette pensée-là.
Le Dieu d'Israël, verset 15 au milieu, dont la demeure est à Jérusalem.
Je souligne ça parce que Dieu habitait là.
On a affaire avec le lieu où Dieu habite.
Selon ses pensées, pas selon nos pensées, selon les pensées de l'homme.
Selon ses pensées, il était là.
C'était le lieu qu'il avait destiné pour ça et indiqué.
Indiqué, c'est là où il habitait.
On peut lire au début, le premier chapitre, j'ai donné quelques exemples, mais on en a encore beaucoup d'autres qui confirment cette pensée-là.
Verset 16, il parle aussi de l'offrande volontaire.
C'est de nouveau la question du cœur.
Dieu ne cherche pas, il n'est pas comme quelqu'un qui exige.
Dieu attend la réponse d'un cœur volontaire.
C'est ça qu'on peut apprendre de ces passages-là.
Mais aussi verset 17, tout achète donc promptement.
Il y a cet empressement dans le service de Dieu.
Et dans le verset 17, un peu plus loin, il parle de beaucoup de détails du service de Dieu.
J'ai parlé de la maison de Dieu.
Et dans la maison de Dieu, il y a un service.
Puis toutes ces choses ont une place.
Les béliers nous parlent du sacrifice du Seigneur Jésus.
Les boeufs nous parlent d'un autre aspect du Seigneur Jésus.
Les agneaux, de nouveau, d'un autre aspect du Seigneur Jésus et de son sacrifice.
Les offrandes de gâteau nous parlent de la vie du Seigneur Jésus.
Les libations aussi de son dévouement à Dieu.
Donc il y a beaucoup de détails qu'on ne peut pas vraiment pénétrer ce soir, mais juste toucher.
Et on voit ici comment Dieu a dirigé le cœur du roi pour que ce service soit soutenu et continué.
Une fois commencé, il faut que ce soit continu.
C'est là l'exercice d'Estrace.
Pour nous aussi, est-ce que le service de Dieu continue jusqu'à ce que le Seigneur Jésus vienne ?
On a l'hôtel à la fin du verset 17, la maison et Jérusalem, de nouveau.
Verset 18, selon la volonté de votre Dieu.
Je souligne simplement cette expression-là.
On voit comment c'est important la volonté de Dieu.
Verset 19, les ustensiles.
On a vu dans le premier chapitre que les ustensiles parlent aussi des croyants.
Nous sommes des vases pour le service de Dieu.
Et ainsi les ustensiles étaient sous le contrôle de Babel.
Maintenant ils sont placés, transportés pour être sous le contrôle de Dieu qui habite à Jérusalem.
Est-ce qu'on est sous le contrôle du Seigneur Jésus qui habite au milieu de nous ?
Comme des vases pour sa volonté.
Dieu Timothée II par exemple.
De nouveau à la fin du verset 19, devant le Dieu de Jérusalem.
Dieu s'identifie avec ce lieu-là.
Puis le roi reconnaît ça.
Dans le verset 21, il donne des ordres pour les gouverneurs dans cette région-là.
Pour donner tout ce qui est nécessaire pour le service de Dieu.
Donc on voit ici comment ça va loin.
Que le roi donne des instructions aux gouverneurs de cette région-là.
Pour donner tout ce dont Esdras avait besoin pour le service de Dieu.
Il fait mention là de talent d'argent.
Ça c'est la base, la rédemption comme on a dit.
Et puis il faut toujours que des éléments soient ajoutés.
Pour continuer ça.
Les 100 corps de Fromain.
Pour continuer ce service des cadeaux et tout ça.
Les 100 battes de vin.
Pour la libation, pour tout ce service.
Ville aussi.
Pour nous c'est l'heure de l'esprit.
La joie que l'esprit donne.
Tout cela est nécessaire pour le service de Dieu.
Tous ces éléments sont nécessaires.
Et Dieu est là pour nous donner tout ça.
Le sel, c'est un autre élément qui est nécessaire.
Tout le sacrifice devait être offert avec du sel.
Tous les sacrifices. Pourquoi?
Ça nous parle de la séparation du mal.
Ça nous parle aussi du principe du jugement de soi-même.
Comme on voit dans Colossien 4 par exemple.
Ça nous parle vraiment qu'on est dans une condition selon les pensées de Dieu.
Le sel était nécessaire.
Tout est ordonné par le Dieu des cieux.
Soit fait exactement pour la maison de Dieu.
Si nous pouvons voir une chose dans Esdras, c'est le mot exact.
Il a fait exactement.
Et puis aujourd'hui ça ne va pas moins que ça.
Il faut faire exactement selon les pensées de Dieu.
Pas juste 20% ou peut-être 90%.
Non 100%. C'est ça le standard de Dieu.
Et 100%. On ne peut pas diminuer le standard de Dieu.
Ça ne veut pas dire que Dieu n'a pas de patience avec nous.
Il a beaucoup de patience.
Mais le standard est le standard. …
Automatic transcript:
…
Aide de la part de l'Éternel.
On a tous besoin de l'aide, n'est-ce pas?
Puis surtout, en rapport avec les sujets qui sont présentés dans ce livre merveilleux.
Mais on va lire d'abord le chapitre 8.
Esdras 8
Voici les chefs des pères et la généalogie de ceux qui montèrent avec moi de Babylone, sous le règne du roi Artaxerxes,
des fils de Phineus, Gershon, des fils d'Itamar, Daniel, des fils de David, Attus.
Puis je lis aussi la fin du verset 3, enregistré par généalogie.
Ensuite, verset 13, il fait mention d'une famille, le fils d'Adonicam, les Derniers.
On voit le nombre à la fin du verset 14, ici on compte tout ensemble, c'est à peu près 1500 personnes.
Verset 15 maintenant.
Et je l'ai rassemblée vers le fleuve, qui s'en va vers Hava, et nous campâmes là trois jours.
Et je considérais le peuple et les sacrificateurs, et je n'y trouvais aucun des fils de Lévi.
Alors j'envoyais chercher Eliezer, Ariel, Shemaiah, Elnatan, Elnatan, Zachary et Meshulam, qui étaient des chefs,
et Joarim, Elnatan, homme intelligent.
Et je les envoyais à Ido, qui était chef dans la localité appelée Cassifia.
Et je mis dans leur bouche des paroles pour les dire à Ido et à ses frères, les Nikiniens, dans la localité appelée Cassifia
pour nous amener des serviteurs pour la maison de notre Dieu.
Verset 18.
Et ils nous emmenèrent, selon que la bonne main de notre Dieu était sur nous, un homme intelligent d'entre les fils de Machli, fils de Lévi, fils d'Israël,
et Shérébia, et ses fils et ses frères, au nombre de dix-huit, et Achabia, et avec lui Esaïe, d'entre les fils de Mérari, ses frères et leurs fils, au nombre de vingt,
et des Nikiniens que David et les princes avaient donnés pour le service des Lévites.
Deux-cent-vingt Nikiniens, tous dessinés par leur nom.
Et là, près du fleuve Hava, je publiai un jeune pour nous humilier devant notre Dieu, pour lui demander le vrai chemin, pour nous et pour nos enfants, et pour tout notre avoir.
Car j'avais honte de demander au roi des forces et de la cavalerie pour nous aider en chemin contre l'ennemi.
Car nous avions parlé au roi en disant, la main de notre Dieu est en bien sur tous ceux qui le cherchent.
Et sa force et sa colère sont contre tous ceux qui l'abandonnent.
Il nous honnâme, il nous demandâme cela à notre Dieu, et il nous exauça.
Verset 24.
Je séparais tous des chefs des sacrificateurs, Chérébia, Achabia et dix de leurs frères avec eux, et je leur pesais l'argent, et l'or, et les ustensiles, l'offrande élevée pour la maison de notre Dieu, qu'avait offerte le roi, et ses conseillers, et ses princes, et tout Israël qui se trouvait là.
Et je pesais en leurs mains six cents cinquante talents d'argent, et un ustensile d'argent cent talents, et un or cent talents, et vingt coupes d'or valant mille darics, et deux vases d'airain d'un beau brillant, précieux comme l'or.
Et je leur dis, vous êtes sains, consacrés à l'éternel, et les ustensiles sont sains, et l'argent et l'or sont une offrande volontaire à l'éternel, le Dieu de vos pères.
Veillez et gardez-les jusqu'à ce que vous les faisiez devant les chefs des sacrificateurs et les lévites, et devant les chefs des pères d'Israël à Jérusalem dans les chambres de la maison de l'éternel.
Et les sacrificateurs et les lévites reçurent au poids l'argent et l'or, et les ustensiles pour les porter à Jérusalem, à la maison de notre Dieu.
Nous partîmes du fleuve Hava le douzième jour du premier mois pour aller à Jérusalem.
Et la main de notre Dieu fut sur nous, et il nous délivra de la main de l'ennemi et de tout embûche sur le chemin.
Et nous arrivâmes à Jérusalem, et nous demeurâmes là trois jours.
Et le quatrième jour, l'argent et l'or et les ustensiles furent pesés dans la maison de notre Dieu entre la main de Mérémode fils du riz, le sacrificateur,
et avec lui était Éliazar fils de Phinée, et avec eux Josabath fils de Jésua, et Noadia fils de Binu lévite.
Selon le nombre et selon le poids du tout.
Et en même temps tout le poids en fut inscrit.
Les fils de la transportation qui étaient revenus de la captivité présentèrent les holocaustes aux dieux d'Israël,
douze taureaux pour tout Israël, quatre-vingt-seize bébés, soixante-dix sept agneaux, douze boucs en sacrifice pour le péché,
le tout en holocauste à l'éternel.
Et ils remirent les édits du roi, ou satrapes du roi, et aux gouverneurs de ce côté du fleuve,
et ceux-ci donnèrent leur appui au peuple et à la maison du Dieu.
Lorsqu'on a commencé notre étude de ce livre-là, j'avais peut-être la pensée de le faire quatre fois,
mais je suis arrivé à la conclusion qu'on devrait prendre un peu plus de temps pour ces chapitres sept, huit, neuf et dix.
Donc ce que je me propose, la dernière fois on a étudié ensemble le chapitre sept,
qui commence donc une nouvelle division de ce livre, on ne peut pas répéter tout ce qu'on a mentionné à ce moment-là,
mais la cassette est disponible, et ensuite il y a aussi encore cet aperçu que j'ai fait,
donc pour ceux qui veulent avoir une copie pour me contacter après la réunion.
On a donc des sujets très importants dans ces quatre chapitres,
et puis j'aurai accord qu'on puisse prendre chapitres huit ce soir, et puis la prochaine fois chapitres neuf et dix qui sont aussi très importants.
On rappelle que l'Ancien Testament nous a été donné pour notre instruction, pour notre encouragement, pour notre exhortation.
Selon Deut. 3 par exemple, selon 1 Cor. 10, ces choses sont arrivées à Israël comme guide pour nous.
Puis les choses sont assez faciles à suivre dans ce livre-là, parce que les sujets on retrouve immédiatement dans le Nouveau Testament.
Je vais expliquer ça.
On a déjà vu dans le chapitre 3 la question de l'autel, et on a dit l'autel dans nos jours parle donc de la table du Seigneur,
parce que même l'Ancien Testament dit que l'autel est la table du Seigneur.
Puis dans 1 Cor. 10 on retrouve l'enseignement concernant la table du Seigneur.
Donc on a des illustrations dans l'Ancien Testament qui nous facilitent, pas seulement pour comprendre la doctrine,
parce que pour la doctrine on doit étudier le Nouveau Testament évidemment,
parce que la doctrine de la table du Seigneur, comme on le connait dans 1 Cor. 10, n'est pas dans ce livre-là.
Mais ce livre-là nous donne des instructions, ou des illustrations plutôt, des illustrations des côtés pratiques.
Puis ces aspects pratiques nous aident beaucoup à mettre en pratique nous-mêmes les vérités de Dieu.
Deuxième sujet qu'on a étudié, c'est la maison de Dieu, le temple.
Puis on a vu que les croyants ensemble dans le Nouveau Testament ne forment qu'une seule maison,
qui est appelée la maison de Dieu, 1 Timotée 3, verset 15, comme à nous comporter dans la maison de Dieu.
Donc les choses qu'on a ici nous aident pratiquement à marcher dans cette lumière, cette vérité-là de la maison de Dieu.
Ensuite on a lu Esdras 8, on est dans Esdras 8.
Puis le troisième sujet qu'on voit dans l'autre livre, Néhémie, c'est la cité de Dieu, c'est la ville.
Il y a aussi une question d'administration et de protection.
Les choses précieuses dans le temple doivent être protégées, mais doivent aussi avoir un impact pratique dans la vie de tous les jours.
Si on se réunit le dimanche autour de l'autel de Dieu, autour de la table du Seigneur, c'est une chose.
Mais ce privilège-là a un impact sur toute notre vie de tous les jours.
C'est ça qu'on trouve dans le livre de Néhémie.
Peut-être un jour on va peut-être étudier Néhémie, le Seigneur va le montrer.
Mais dans Néhémie on voit ce côté-là, l'implication pratique des choses qu'on trouve dans Esdras.
Donc dans ce cas-là, dans ce sens-là, ces deux livres vont ensemble, sont intimement liés ensemble.
Il y a même des suggestions de la part des juifs que Esdras Néhémie a été écrit par la même personne.
Quoi qu'il en soit, ces deux livres vont ensemble, mais sont quand même différents.
Et ensuite on a encore les prophètes.
Il y a aussi le côté-là des prophètes qui sont revenus, qui ont vécu dans ce temps-là.
Zacharie est âgé, plutôt âgé, il était plus âgé.
Ensuite, parce qu'il est revenu, il est âgé.
Zacharie qui nous parle du fait que Dieu rappelle les choses.
Il se souvient des choses, il se souvient des promesses envers son peuple.
Ensuite Malachie parle de l'état moral du peuple dans les jours de Néhémie et plus tard.
On va parler de l'état moral aussi la prochaine fois du Roulin, en rapport avec Esdras 9 et 10.
Donc ces trois grands sujets sont évidents.
L'hôtel, la maison de Dieu et la cité de Dieu.
La cité de Dieu, ça ne veut pas dire la ville où on habite ici à Shangri-La,
mais c'est une pensée générale en rapport avec l'administration que Dieu nous a confiée des choses,
que Dieu donne à notre vie pratique de tous les jours.
Mais je dois laisser ça pour une autre fois du Roulin.
Une chose que j'aimerais souligner, déjà répéter, on a vu ça dans Esdras 7 à la fin.
Le temple a été reconstruit, on a vu ça dans chapitres 4 et 5 dans des jours très difficiles.
On a vu aussi le plein du roi concernant la maison dans Esdras 6.
Il y a beaucoup de détails là concernant la maison de Dieu.
Très intéressant.
Mais la maison a été construite, reconstruite.
Qu'est-ce que Esdras a dû faire?
Voilà, Esdras 7 verset 27 le dit.
Esdras avait accord que la maison de Dieu soit ornée.
Béni soit l'éternel Dieu de nos pères qui a mis de telles pensées dans le cœur du roi
d'orner la maison de l'éternel qui est à Jérusalem.
Donc, pour l'appliquer pratiquement, pour nous, on pourrait dire,
ok, Dieu nous a redonné la vérité de la maison de Dieu, la vérité de la table du Seigneur,
ok, donc tout est correct, on sait tout.
Il y a toujours de la place pour des exercices.
Dieu veut que chaque génération entre dans ces vérités là, pratiquement.
Donc, la vérité de la table du Seigneur, la vérité de la maison de Dieu,
il faut vraiment faire un effort pour entrer dans ces pensées là.
Et ensuite, pour orner la maison de l'éternel, c'est très beau,
ça crée donc, si on comprend ça, ça crée un exercice.
Qu'est-ce que moi je peux contribuer?
C'est ça la pensée.
Dans la lumière du Nouveau Testament, on voit que chaque membre du corps de Christ a une fonction.
Un chrétien d'os, par exemple.
Chaque croyance a un don, puis est utile pour le fonctionnement de cette maison.
Je vais encore un pas plus loin.
Chaque membre devrait être utile pour orner la maison de l'éternel.
Est-ce que vous comprenez ça?
Que chaque croyant peut fonctionner d'une telle façon que la maison de Dieu soit ornée,
soit embellie, devienne plus belle, plus attractive pour un séduit.
C'est ça que Dieu veut.
C'est ça l'exercice des races.
Puis on a vu que c'était un exercice très profond.
Je ne devrais pas répéter ce qu'on a tout vu,
d'abord une question de son corps, dans le verset 2,
pour connaître les pensées de Dieu,
ensuite pour faire les pensées de Dieu,
ensuite pour enseigner les pensées de Dieu.
C'est une tâche très spéciale qu'Ezra savait.
Mais vous pouvez dire, moi je ne peux pas enseigner.
Mais vous pouvez orner la maison de Dieu.
Vous pouvez fonctionner pour orner la maison de Dieu.
Puis on va revenir à ça, parce que dans le chapitre 8, on va voir des serviteurs.
On peut tous être des serviteurs.
Est-ce que vous vous rappelez ce qu'on a vu dans le chapitre 2 ?
Je ne vais pas tout répéter évidemment.
Mais on a vu qu'il y a des aspects différents.
Il y a des sacrificateurs comme le peuple.
Il y a des lévites, on va revenir à ça ce soir.
Il y avait des chancres, il y avait des portiers, il y avait des nitiniens,
c'était des gens donnés pour le service.
Il y avait des serviteurs de Salomon.
Donc il y avait toutes sortes de services.
C'est ça mon point maintenant.
Dans la maison de Dieu et en rapport avec la maison de Dieu,
il y a quelque chose à faire pour chaque croyant.
Qu'on accepte ce défi simplement.
C'est ça.
Si on prend un livre comme ça, et qu'on dit mais c'est historique,
il y a bien des jours, il y a bien des années que ces choses sont passées,
ce n'est pas intéressant pour moi.
Là vous manquez vraiment la leçon.
La leçon c'est pour nous exercer.
La leçon, on a vu aussi, le contexte est vraiment pour nous exercer,
mettre en pratique le principe de Dieu concernant sa maison dans un temps de ruine.
Dans un temps où la plupart des croyants disent ça ne m'intéresse pas.
Moi je me sens à l'aise là, en Babylone, moi je ne veux pas monter à Jérusalem.
Ça c'est le contexte.
Puis il y a bien des croyants aujourd'hui aussi, ils sont des croyants,
ils sont bien à l'aise là où ils se trouvent dans des systèmes,
dans la confusion de Babylone, même dans l'idolâtrie de Babylone.
Ils sont bien à l'aise là.
Je ne veux pas monter à Jérusalem.
Donc ça prend tout un exercice, on a vu ça, je ne peux pas répéter tout ça dans le livre d'Ezra.
Mais l'exercice qu'on voit ce soir, je vais revenir quantique,
c'est un sentier sûr qui est nécessaire.
Dieu nous donne un sentier pour monter à Jérusalem.
Même si d'autres sont déjà allés.
Vous voyez avant Ezra, il y avait d'autres frères qui sont montés.
Maintenant on peut dire mais dans ce temps là ils sont montés,
donc laissons faire les choses maintenant.
Non, aujourd'hui c'est à moi de monter, c'est à vous de monter.
C'est à vous et à moi d'avoir cet exercice,
d'avoir cette énergie spirituelle qui est nécessaire
pour être là où Dieu veut qu'on habite avec lui.
Ça prend beaucoup d'énergie spirituelle.
Ce n'est pas simple.
Puis on va voir que Dieu donne un sentier pour ça.
Un sentier sûr à travers le désert.
Deuxièmement, tu nous conduis.
Dieu ne nous laisse pas seul.
Il veut nous conduire, il veut nous incendier,
il veut nous avoir pour lui-même dans ce monde.
D'ailleurs c'est une des raisons pour lesquelles on est encore dans ce monde.
Dieu veut nous avoir comme un témoignage pour lui-même.
Dans ce monde où vous et moi on habite,
Dieu veut nous avoir comme des témoins pour lui-même.
Et puis ici dans ce livre-là on a donc une illustration
comment on peut être un témoin de Dieu,
comment on peut être un serviteur de Dieu,
selon les dons que Dieu nous a donnés.
Donc on a vu les raisons pour la captivité babylonienne,
cause de l'idolâtrie en Israël,
cause de leur désobéissance.
On voit aussi les fruits maintenant.
Il y a un zèle renouvelé,
au moins avec un restant qui reste,
pour mettre en pratique les pensées de Dieu,
pour avoir une maison de Dieu dans ce monde.
Puis ce sujet, la maison de Dieu,
j'ai mentionné ça,
pour la première soirée je l'ai mentionné,
c'est un sujet de Genève à l'apocalypse.
C'est un très vaste sujet, la maison de Dieu.
Puis ici on a donc quelques éléments concernant la maison de Dieu.
Chapitre 8 maintenant,
on voit donc ici comment Esdras était fidèle.
Dans le chapitre 7 on a vu sa généalogie,
on a vu l'exercice de son cœur,
mais maintenant on voit sa fidélité,
comme homme de Dieu.
Il a appelé d'autres pour aller avec lui.
Vous voyez, une des choses qu'on a vues dans le chapitre 7,
Esdras était seul dans son exercice.
Mais il peut encourager d'autres pour aller avec lui.
Puis on verra une même chose dans le chapitre 9.
Je ne vais pas parler trop longtemps de ça maintenant,
parce que je vais garder ça pour la prochaine fois.
Mais là il est le seul pour s'humilier.
Mais il y a plusieurs qui se retrouvent avec lui.
Donc mon point c'est que s'il y a un exercice qui vient de Dieu,
même si vous êtes le seul, ça ne fait rien.
Il y en a d'autres qui vont suivre absolument.
Ici on voit Esdras,
puis toute cette liste-là des gens.
Je veux juste remarquer que des sacricateurs étaient là, versets 2,
des fils de Phineh et du Tamar.
Il y avait aussi d'autres gens, mais pas de lévites.
On va revenir à ça.
Mais une chose que j'aimerais remarquer, verset 3,
ils étaient enregistrés par généalogie.
Et on a vu dans le chapitre 2 comment c'est important.
Dans un temps de ruine, qu'on sache vraiment notre généalogie.
Et on a vu ce que ça veut dire.
Qu'on puisse montrer, qu'on puisse connaître les pensées de Dieu
concernant notre conversion par exemple.
Qu'on sait, oui, je suis sauvé.
Qu'on connaisse aussi l'assurance du salut.
Qu'on soit clair quant à notre généalogie.
Ce n'est pas qui était votre père physique.
Mais ici ça veut dire qu'on réalise qu'on est un enfant de Dieu,
qu'on est un fils de Dieu.
C'est l'application pour nous.
On a mentionné ça dans le chapitre 2.
L'autre chose que j'aimerais juste souligner, c'est dans le verset 13.
Donc on saute tous ces noms-là.
D'ailleurs c'est très intéressant d'étudier la signification de ces noms-là.
Mais on ne peut pas vraiment entrer dans ces détails-là ce soir.
Verset 13.
Des fils d'Adonicam.
Les derniers.
Ça m'a frappé.
Ça m'a frappé parce que vous voyez,
il y a donc Adonicam qui est monté lui-même dans chapitre 2.
Et puis maintenant, il est allé là aussi avec toute une famille.
Les fils d'Adonicam.
666 dans chapitre 2 verset 13.
Maintenant il y en a encore d'autres qui viennent.
Les derniers.
Donc toute cette famille-là est montée à Jérusalem.
C'était très rare.
Aujourd'hui aussi, qu'une famille entière connaisse les principes du rassemblement
selon les pensées de Dieu, la maison de Dieu, l'auteur de Dieu.
C'est très rare que toute une famille mette ça en pratique.
Mais ici on a quand même un exemple de cela.
Maintenant j'aimerais continuer dans le verset 15.
On voit donc l'exercice d'Ezraas.
Il aurait pu monter seul à Jérusalem.
Mais il a réalisé que Dieu lui avait confié quand même une tâche
de rassembler aussi d'autres.
C'est très beau.
On voit dans acte 13 aussi un exemple commun.
Dans les jours de Paul et de Barnabas,
les frères et sœurs étaient rassemblés.
Puis là il y avait un exercice que Paul et Barnabas puissent sortir,
puissent partir pour l'œuvre de l'évangile,
pour être des missionnaires.
Donc le fait que le peuple qui est exercé ici se retrouve ensemble est très beau.
Je répète ce que je dis là.
Si on est seul dans un exercice,
si on est fidèle,
le Seigneur va placer d'autres hommes sur notre chemin
qui veulent aller le même chemin.
Ça peut durer quelque temps,
parce que notre patience est mise à l'épreuve quelquefois.
Mais à un moment donné,
le Seigneur va placer d'autres hommes sur ce chemin-là
pour aller ensemble avec nous.
Maintenant un détail concernant le nom Ahava.
Je ne veux pas entrer dans tous les détails de ces noms-là.
Ce serait très intéressant,
mais on n'a pas le temps pour ça.
Mais juste ce point-là.
Le fleuve qui s'en va vers Ahava
est aussi appelé le fleuve Ahava, un peu plus loin.
Et puis ce fleuve, verset 21,
ce fleuve Ahava a deux significations,
autant que je sache.
Je subsiste ou je vais subsister,
ça veut dire continuer.
Et puis deuxièmement,
quelque chose qui coule continuellement.
Maintenant je vais faire l'application de cette signification-là.
Mon application serait celle-ci.
Dieu veut qu'on soit aussi exercé
pour que le témoignage de Dieu puisse continuer,
continuer, continuer,
comme un fleuve qui coule.
Puis je mentionne cela
parce que nous avons des enfants,
nous avons des jeunes au milieu de nous.
Puis on connaît aussi des jeunes croyants.
Je pense à Timothée.
Timothée était jeune lorsque Paul était âgé,
presque à la fin de sa vie.
Puis l'exercice de Paul était que
le témoignage de Dieu puisse continuer,
continuer comme un fleuve qui coule,
qui coule continuellement
et qui restera,
qui subsistera,
qui va continuer.
C'est juste une application.
Si vous voulez le rejeter,
je n'ai pas de preuves,
mais c'est juste une suggestion.
Puis Dieu veut,
c'est pour ça qu'on suit l'application d'Evras.
Evras avait un exercice concernant la maison de Dieu.
Puis Dieu veut que ce témoignage
de la maison de Dieu continue
dans chaque génération,
que ça subsiste,
que ça continue à exister
et puis que ça puisse continuer
à couler comme de l'eau.
Ensuite,
une pensée
concernant le verset 15 à la fin.
« Et je considérais le peuple
et les sacrificateurs,
et je n'y trouvais aucun des fils de Lévite. »
Ça, c'est très douloureux.
Les Lévites étaient des gens
qui étaient même des enseignants.
Pas dans le désert,
plutôt dans le désert,
les Lévites étaient là
pour porter les choses de Dieu,
pour porter les ustensiles à travers le désert.
Mais plus tard dans le pays,
on voit que les Lévites étaient là aussi pour enseigner.
Même Moïse avait donné ses instructions
à un autre homme,
qu'il soit là pour enseigner.
Maintenant, ils ne sont pas là.
Donc Evras, comme sacrificateur,
il pouvait aussi enseigner,
comme nous avons vu dans le chapitre 7.
Mais il avait besoin d'autres aussi,
que d'autres Lévites.
Des Lévites soient là,
qui avaient cette fonction,
qui avaient aussi d'autres fonctions,
comme Lévites.
Parce que les sacrificateurs ne peuvent rien faire
sans l'aide des Lévites.
On a mentionné ça dans le chapitre 2.
Je le répète brièvement.
C'est pour ça que Evras ne continue pas ici.
Il constate que les Lévites ne sont pas là.
On ne peut pas continuer.
Parce qu'un témoin de Dieu,
dans la maison de Dieu,
c'est bien beau d'avoir des sacrificateurs
qui sont là dans la présence de Dieu
pour offrir des sacrifices.
Mais s'il n'y a pas des serviteurs,
qu'il n'y a pas de Lévites
pour aider les sacrificateurs,
c'est fini.
On ne peut pas continuer.
Donc on a besoin l'un de l'autre.
Puis Evras a réalisé ça.
On a besoin l'un de l'autre.
C'est une leçon pratique, bien pratique.
On a besoin des autres.
On ne doit pas penser que,
d'un côté, on doit avoir un exercice,
même si on est seul.
C'est un côté de la médaille.
Mais de l'autre côté,
pour dire qu'on n'a pas besoin des autres,
ce serait absolument faux.
On a besoin des autres,
comme on voit ici.
Ensuite, on a...
C'est quand même décourageant,
parce que, selon leurs fonctions,
il aurait dû être le premier pour monter.
Selon leurs fonctions dans la maison de Dieu.
Ce qui est beau maintenant,
il y a des hommes intelligents qui sont envoyés.
Ensuite, on voit aussi les Nétiniens,
les serviteurs.
On a vu que les Nétiniens
étaient probablement des descendants des Gideonites.
Mais ils étaient donnés pour le service,
pour aider aux Lévites.
Puisqu'il est beau de voir, finalement,
selon la bonne main de notre Dieu,
on voit qu'il y a 38 Lévites,
verset 18-19.
On continue maintenant verset 18-19.
Et puis, il y avait beaucoup plus de Nétiniens.
Les Nétiniens étaient donc aussi indispensables
en rapport avec le service de la maison de Dieu.
Puis, il y avait à peu près six fois plus de Nétiniens
qui étaient donc des serviteurs des Lévites.
Ils avaient une fonction plus humble, plus basse peut-être,
mais ils étaient disponibles.
Donc, vous voyez, c'est ça qui compte.
Peut-être vous vous dites,
mais moi je ne peux pas faire grand chose.
Mais si vous êtes disponibles,
c'est ça qui compte.
Les Nétiniens étaient disponibles,
tandis que les Lévites,
on les a dû appeler.
Maintenant, verset 21.
Et là, près du fleuve Hava, je publie un jeûne.
J'ai déjà mentionné acte 13.
Le peuple réunit ensemble, rassemblés ensemble,
avec un exercice spécial.
Qu'est-ce qu'ils ont fait?
Ils ont jeûné.
C'est pour exclure des éléments de la chair,
qui seraient peut-être là.
Puis le jeûne exclut ces éléments-là.
Ce serait toute une étude,
mais pour étudier dans le Nouveau Testament,
les instructions concernant le jeûne,
ça serait très intéressant.
Parce que Dieu veut qu'on soit exercés
selon ces pensées-là.
Puis le jeûne exclut donc les éléments de la chair.
Et puis il le dit aussi dans le verset 21.
Pour nous humilier devant notre Dieu,
vous voyez, Édras, il avait tout un exercice.
Il avait aussi toute une fonction.
On a vu ça dans le chapitre 7.
Il avait beaucoup de qualité.
Il n'est pas devenu fier.
Il a réalisé ici l'état du peuple de Dieu,
qui manquait même beaucoup de lévite,
qui s'est humilié.
Puis tout le peuple s'est humilié devant notre Dieu.
Vous voyez, c'est quelque chose qui nous convient toujours.
Prendre une place d'humilité devant Dieu,
dans la présence de Dieu.
Dans Ephésiens 4, nous lisons beaucoup
concernant l'unité du corps,
l'unité selon les pensées de Dieu,
l'unité de l'esprit.
Qu'est-ce que Paul dit?
Qu'on devrait d'abord prendre une place d'humilité,
de débonaireté,
ne pas promouvoir nos droits,
ou soi-disant droits.
Prendre cette place humble devant notre Dieu.
C'est ça qui convient tout le temps.
Donc là aussi, une leçon très pratique.
Puis où est-ce qu'on apprend ça?
A l'école de Dieu.
Dans Matthieu 11, le Seigneur Jésus dit
Prenez mon jug sur vous et apprenez de moi.
Le Seigneur Jésus a donné l'exemple d'humilité.
Il n'avait pas de péché, loin, cette pensée-là.
Il n'avait pas de tendance qui n'était pas selon les pensées de Dieu.
Pas du tout.
Quand même, il a pris une place d'humilité.
Donc voilà notre exemple.
Puis Paul aussi, dans Philippiens 3 et d'autres passages,
il parle de cette humilité pratique.
Une place d'humilité qu'il a prise devant Dieu.
Maintenant, je vais parler un peu,
puis si vous permettez,
je vais prendre une petite excursion
pour parler de ce chemin.
Vous voyez verse 21,
pourquoi est-ce qu'ils se sont humiliés?
Pour demander le vrai chemin,
ou le bon chemin,
ou le droit chemin.
Ça c'est très important.
Et dans notre cantique, on l'a mentionné.
C'est notre Dieu qui lui-même nous trace
un sentier sûr à travers le désert.
C'est ça.
Nous avons besoin de cela.
Puis Édras l'a réalisé aussi.
Édras a réalisé qu'il avait besoin
de ce chemin-là.
À cause des dangers.
Parce que verse 22-23 nous parle de cela.
Puis il revient aussi sur la main de notre Dieu.
On a vu la main de notre Dieu
pour diriger dans sa provision.
Aussi pour protéger.
Ici verse 22, c'est la main de Dieu en protection.
Verse 31, la main de notre Dieu fut sur nous
et il nous délivra de la main de l'ennemi.
Donc on voit beaucoup d'aspects de la main de Dieu,
de la main de l'éternel.
Je pense qu'on l'a mentionné la dernière fois
lorsqu'on a étudié le chapitre 7.
Comment Dieu pourvoit, comment Dieu protège,
comment Dieu encourage.
À la fin du chapitre 7,
moi je fus fortifié selon que la main de l'éternel,
mon Dieu, était sur moi.
Donc Dieu fortifie, Dieu encourage.
Mais on a aussi vu la main d'Édras.
Édras avait la loi de Dieu dans sa main.
Ainsi, les deux vont ensemble.
La main de Dieu pour nous diriger, pour nous protéger.
Mais aussi notre main.
Notre main parle de quoi?
De notre responsabilité, de ce qu'on fait.
Puis il y avait des gens aussi
qui devaient porter l'argent dans leur main.
C'était leur responsabilité.
Je voulais juste souligner ça.
La main de Dieu d'un côté, notre main,
dans l'intégrité, dans la fidélité,
comme une réponse aussi, d'amour envers Dieu.
Ça va ensemble avec la main de Dieu.
Mais je voulais parler maintenant un peu
de ce vrai chemin.
Vous voyez, lorsque le serviteur d'Abraham
est allé chercher une épouse pour Isaac,
Dieu lui a donné ce vrai chemin.
Puis dans les jours de,
vous pouvez vérifier ça dans Genèse 24,
on va lire peut-être quelques versets,
mais je vais juste mentionner aussi quelques passages.
Dans 1 Samuel 6,
lorsque l'arche était prise par les philistins,
l'arche a été ramenée par les philistins communs
par un chemin droit.
Les deux vaches allaient un chemin droit.
Ça c'est très intéressant.
Abraham a dit une fois
que Dieu a un chemin droit pour chaque dispensation.
C'est très intéressant de voir ça.
Dans chaque dispensation,
il y a un chemin droit que Dieu a pour son peuple.
Ici, dans Évras, on voit ce chemin droit.
Un peu plus loin,
lorsque l'arche était restaurée,
donc ramenée en Israël,
il y avait un autre lévite.
Ce lévite, c'est Samuel.
Il était un enseignant.
Il parlait de ce bon chemin.
Il voulait enseigner le peuple
que le peuple puisse aller le bon et droit chemin.
Dans 1 Samuel 12.
Puis Salomon, dans sa longue prière,
lorsqu'il a inauguré le temple,
dédié le temple à Dieu,
là il a parlé aussi de ce bon chemin.
Lorsque le peuple serait discipliné par Dieu,
il prie que Dieu puisse leur donner un droit chemin.
Donc vous voyez, on le trouve partout.
Dans les jours à venir,
pour le reste fidèle,
ils vont aussi avoir un chemin droit.
Dans le psaume 107,
je vais juste lire ça.
Le psaume 107.
Puis là on voit comment ces deux strophes
qu'on a chantées, où ils y vont ensemble,
un sentier sûr à travers le désert,
et tu nous conduis.
Le verset 4.
Ils errèrent dans le désert.
Verset 6.
Alors ils prièrent à l'éternel dans leur détresse.
Verset 7.
Il les conduisit,
notons bien, dans un chemin droit
pour aller dans une ville habitable.
Dieu veut nous avoir avec lui
pour qu'on puisse habiter avec lui.
Il nous conduit dans un chemin droit
pour arriver là.
Ce sera l'expérience aussi
du reste fidèle
dans les jours à venir,
que Dieu va les ramener dans le pays.
Promis.
Ainsi dans les proverbes,
il y a beaucoup de références à cette voie là.
Mais j'aimerais lire un verset d'un Ésaïe.
Il y a aussi des références comme
dans l'Ésaïe 30, dans l'Ésaïe 35,
concernant le droit chemin.
Je ne peux pas lire tous ces versets là.
Mais je voulais lire l'Ésaïe 58.
Donc vous pouvez prendre une concordance
et vous allez voir que c'est un vaste sujet
dans les Écritures.
Ce sentier ou ce chemin qui est droit,
qui est sûr,
qui est le bon chemin.
Mais dans l'Ésaïe 58, verset 12,
il parle là de Jérusalem,
des jours à venir,
et j'aimerais l'appliquer à nos jours maintenant.
Ésaïe 58, verset 12,
et ceux qui seront issus de toi bâtiront
ce qui était ruiné dès longtemps.
On peut penser aussi aux jours des âges,
lorsqu'ils ont rebâti le temple
et Néhémie a rebâti la muraille.
Tu relèveras les fondements
qui étaient restés de génération en génération
et on t'appellera réparateur des brèches,
restaurateur des sentiers fréquentés.
Dieu veut qu'on retrouve les sentiers
qu'il a donnés dans le passé,
les sentiers qui étaient fréquentés dans le passé,
et Dieu veut que ces sentiers soient restaurés.
Dieu ne donne pas un chemin différent.
Les principes qu'il a donnés dans le Nouveau Testament
au début de la chrétienté
sont les mêmes principes que nous avons encore dans nos jours,
mais il faut restaurer ces sentiers fréquentés.
Il y a d'autres passages,
mais je m'excuse, on ne peut pas lire tout là,
mais je passe à beaucoup de versets.
Je vais juste lire le prophète Jérémie,
qu'elle passe plus loin.
Verset 16, Jérémie 6, verset 16.
Ainsi, dit l'Éternel,
tenez-vous sur le chemin et regardez
et enquérez-vous touchant les sentiers anciens.
Quelle est la bonne voie?
Donc, on a dit, Samuel a parlé de cette bonne voie,
déjà dans ce temps-là.
Marchez-y et vous trouverez du repos pour vos âmes.
Donc, si on marche dans les voies,
même si les voies sont anciennes,
même si les voies sont anciennes,
mais sont les voies de Dieu,
dans ce temps-là, on est dans la bonne voie,
et Dieu dit, marchez-y et vous trouverez du repos pour vos âmes.
Mais le peuple avait dit, nous n'y marcherons pas.
C'est ça qui arrive facilement.
Là, c'est un élément de propre volonté qui entre,
puis notre volonté, notre chair,
va toujours rejeter les pensées de Dieu.
J'avais aussi une référence,
que je veux quand même lire, dans le psaume 139,
verset 24.
Parce que là, c'est une prière.
Là, vous voyez comment c'est pratique.
Ce n'est pas juste une question qu'on s'intéresse aux choses du passé,
comment le peuple a marché à travers ce sentier,
sur nos ancêtres spirituels dans le siècle passé,
ou dans n'importe quel temps.
Non, dans le psaume 139,
nous voyons que c'est à vous et moi,
de nous humilier,
comme le psaume indique,
verset 23,
Sonde-moi au Dieu.
Ce sera une place d'humilité devant Dieu.
Excusez-moi, 139, verset 23,
donc à la fin du psaume,
Sonde-moi au Dieu et connais mon cœur,
éprouve-moi et connais mes pensées,
et regarde s'il y a en moi quelques voix de chagrin.
Vous voyez, une voix de chagrin,
c'est une voix de ma propre volonté,
de mes idées, de mes pensées.
Mais quelle est la prière?
Conduis-moi dans la voie éternelle.
Ça m'a frappé beaucoup.
Dans Jean 14, nous lisons
que le Seigneur Jésus a dit,
Moi, je suis le chemin,
et la vérité est la vie.
Donc il faut suivre le chemin,
le bon chemin.
Puis là, on est en communion avec le Seigneur.
Lui-même, il est même le chemin.
Donc c'est la voie éternelle.
Maintenant, je veux faire un saut.
Vous pouvez aussi étudier Ézéchiel,
vous pouvez étudier d'autres passages,
vous allez voir que c'est toujours le même principe.
Maintenant, je veux juste faire un petit saut là,
un nouveau testament.
Lorsque le Seigneur Jésus est venu dans ce monde,
il est allé ce chemin droit,
évidemment,
parce que le chemin droit, c'est le chemin de l'obéissance.
Le chemin droit, c'est le chemin de Dieu,
comme nous avons vu.
Le chemin éternel,
puis le Seigneur Jésus
a écouté la voix
de Jean le Baptiseur,
Marc 1 par exemple,
préparer le chemin de Dieu.
Puis le Seigneur Jésus
est allé
le même chemin. Le peuple
s'est fait baptiser,
ils ont confessé leurs péchés,
puis là, le Seigneur Jésus voulait être
avec ses résidus. Il n'avait pas de péchés.
Quand même, il s'est laissé
baptiser parce qu'il voulait aller
le même chemin d'obéissance.
Il voulait être avec ce petit reste-là
pour être avec eux.
Puis là, le Seigneur Jésus est allé le même chemin
droit.
Mais ça va encore plus loin.
Dans Marc,
si vous étudiez là,
le mot immédiatement,
ce mot immédiatement
vient du même racine
que le mot
le chemin droit.
Donc, un autre mot, le Seigneur Jésus est allé
le chemin droit. Toujours,
40 fois ou 42 fois dans Marc,
on voit immédiatement. Il a fait
immédiatement ceci, il a fait immédiatement
cela. Pourquoi? Parce qu'il allait
le chemin droit. Il allait le chemin
d'obéissance dans les voies du Dieu,
dans les pensées du Dieu.
Donc, on a l'exemple maintenant. Il est le chemin,
Jean XIV, mais il nous donne aussi
l'exemple de ce droit chemin
pour nous. Ensuite,
on voit dans les actes
que les chrétiens, ils allaient
le chemin droit, cette voie.
Les chrétiens ensemble, la vérité
qu'ils ont acceptée
est appelée la voie.
Parce que Dieu veut qu'on mette
en pratique les pensées. On a vu ça
dans Esdras. Ce n'est pas seulement une connaissance
intellectuelle, mais c'est quelque chose
à mettre en pratique. Esdras l'avait fait.
Hier soir,
avant-hier, on avait une étude biblique où on parlait
de ce qui passe dans notre tête,
par nos oreilles, par notre intellect.
C'est une chose, mais il faut
que ça puisse avoir
une place dans notre cœur.
Mais il ne faut pas que ça reste là. Il faut que ça
descend, pour ainsi dire, jusqu'au pied
et qu'on mette cette vérité en pratique.
C'est ça la voie. C'est ça
la voie du Seigneur. C'est ça le sentier
sûr, le sentier vrai que le Seigneur Jésus
est allé. Il a mis en pratique
les pensées de Dieu. C'est ça qu'on a vu la dernière
fois avec Esdras. Il voulait mettre
en pratique les pensées de Dieu. C'est ça la voie.
C'est ça le bon chemin.
Maintenant, ce qui est très curieux,
très intéressant. Lorsque l'apôtre
Paul, lorsqu'il était encore seul de
Thars, le rebelle, l'ennemi de Dieu,
lorsqu'il a vu le Seigneur
Jésus, lorsqu'il s'est converti,
il était trois jours
dans les ténèbres,
mais Dieu, souverainement,
l'a mis dans une maison
de ciment. Puis,
dans quelle rue est-ce que cette maison
se trouvait? Vous savez? Dans quelle rue?
Dans la rue
appelée la droite. C'est la même pensée.
Puis, aussi dans
l'hébreu, le mot
droit, ça vient d'un mot
juste. Yachar, on a
quelques fois la référence,
cela a été écrit dans le livre Yachar
ou Yachar, ça veut dire le livre
du juste, ou celui qui est
sincère. Puis le mot chemin
droit, ça va ensemble avec
ce mot-là. Donc, ça a
à faire avec cette droiture,
cette sincérité,
cette justice
pratique, un autre mot, une justice pratique.
Donc, voilà,
c'est pour ce chemin-là
qu'il voulait s'humilier
et c'est pour ce chemin-là que nous,
ensemble, on doit s'humilier pour
avoir la conduite de notre Seigneur
sur ce chemin-là.
On peut aller n'importe quel chemin,
il y a des milliers de chemins.
Il y a
un seul chemin où Dieu veut
nous accompagner, où Dieu
veut nous diriger. Et pour cela,
on doit s'humilier, parce que
avec cette humiliation, avec ce jeûne,
on reconnaît, on confesse
Dieu, on n'a aucune
ressource en nous-mêmes, on n'a aucune sagesse.
Conduis-nous,
enseigne-nous,
accompagne-nous, c'est ça,
cette requête. Puis, qu'est-ce qu'on lit dans le verset
23? Et nous
jeûnâmes et nous demandâmes cela
à notre Dieu, et il nous
exauça, Dieu aime
exaucer de telles prières.
Il ne peut pas exaucer une prière de notre
propre volonté. Il arrive quelquefois qu'on
dit, mais j'ai prié aussi longtemps,
j'ai souvent prié pour ça, puis Dieu ne le donne pas.
Pourquoi pas? Peut-être pour
nous tester, mettre à l'épreuve,
pour nous enseigner un peu de patience,
ça se peut. Mais ça se peut aussi que mes
prières étaient vraiment par la chair.
Puis si Dieu répond à cette
prière-là, quelquefois il le fait aussi,
mais c'est encore pire.
Si Dieu répond à de telles prières,
et puis il nous donne ce qu'on demande à notre
propre volonté,
c'est un jugement, vraiment,
de la parole de Dieu. Donc ici, on voit
une compagnie qui était vraiment en harmonie
avec les pensées de Dieu. Elles étaient tout
près de Dieu, et Dieu a aimé
exaucer une telle prière. Il voulait
les accompagner. Maintenant
j'aimerais encore dire un petit mot là,
verset 22-23.
Pourquoi Asdras avait
honte de demander au roi des forces et de la
cavalerie pour aider? Parce que
quelquefois les gens disent, mais vous voyez, ni plus
ni plus tard, il a eu
des soldats, il a eu de la cavalerie
pour l'accompagner. Donc Nihimi était
moins spirituel qu'Asdras.
Pas nécessairement. Vous voyez,
Asdras, il est allé comme
sacrificateur de Dieu.
Donc dans cette position-là, il a dit,
moi je vais comme sacrificateur de Dieu,
donc il faut que Dieu me protège.
Qu'il allait
dans cette position
officielle, comme serviteur
du roi. C'est ça la différence.
On peut dire que Nihimi avait moins de foi qu'Asdras.
Ça nous montre aussi comment
on doit être prudent, ne pas
juger juste
à première vue, parce que
chaque cas est différent.
Donc ça prend vraiment du discernement
pour voir les choses
comme elles sont vraiment.
Maintenant,
quelques pensées encore
concernant la fin du chapitre,
verset 24.
Je séparais douze des chefs
des sacrificateurs. Il y avait donc ici
douze sacrificateurs, douze chefs
qui étaient mis à part.
Le mot ici, séparer, veut dire
que ces chefs étaient mis à part.
Pourquoi?
Pour une tâche,
pour un service très spécial.
C'est quoi leur service?
Verset 25. Je leur pesais
l'argent et l'or et les justentiles.
L'offrande,
c'était une offrande élevée.
Je vais juste m'intrompre ici avant que je l'oublie.
Cette offrande élevée parlait
déjà d'un exercice.
Parce que le mot élevé
implique cette pensée-là d'une énergie.
Parce qu'un sacrifice qui est élevé
ça prend de l'énergie.
Donc c'est cette pensée-là.
En rapport avec la maison de Dieu, il y avait donc un exercice
fort pour donner des
contributions.
Et puis maintenant,
pour garder
ce trésor, cette offrande,
ces douze chefs étaient séparés.
Ils étaient mis à part pour cette tâche-là.
Verset 26.
Je pesais en leur
main. Vous voyez, on revient
à cette pensée-là.
On a vu la main
du Dieu. Maintenant,
c'est la main
des sacrificateurs.
On a vu la main des races aussi dans le chapitre 7.
Ici, il y a
les mains des serviteurs
fidèles.
Honnêtes.
Intègres.
On va voir ça à la fin du chapitre
comment ils étaient loyaux
aux intérêts de Dieu.
Donc leurs mains parlent de leur
responsabilité
en rapport avec cette tâche
spéciale qui leur avait
été confiée.
Verset 28.
Je leur dis, vous êtes saints.
Puis je répète ça. Pourquoi
est-ce qu'ils étaient saints? Parce que
Esdras les avait séparés.
Il y a beaucoup de confusion concernant
le mot saint.
Quand on a notre position en Christ,
on est tous des saints.
Mais ce
mot saint ici veut dire
qu'ils étaient mis à part pour
un service spécial. C'est ça que
ça veut dire ici dans ce contexte-là.
Donc ça peut aider
lorsqu'on parle des saints.
Ça veut dire ceux qui sont mis à part
pour Dieu, dans le Nouveau Testament.
Mais ici, c'est dans ce contexte-là
qu'ils étaient saints parce qu'ils avaient
un service spécial pour Dieu.
C'est simplement tout ça.
Mais j'ajoute une autre pensée.
Dans Isaïe 52, il est dit
que ceux qui portent
les ustensiles de la
maison de Dieu doivent être saints.
J'aimerais quand même mentionner ça.
Donc le mot saint veut dire
mis à part, ici, pour un service spécial.
Mais si on compare ça avec
Isaïe 52, verset 11 par exemple,
ça veut quand même dire
qu'il y avait là aussi une sainteté
pratique, une justice pratique
dans leur vie. C'est pour ça qu'on
met beaucoup d'emphase sur leur fidélité,
sur leur honnêteté, sincérité
et tout cela. Dans ce sens-là,
ils étaient aussi saints.
Verset 28,
on voit qu'ils étaient consacrés à l'Éternel.
Les ustensiles sont saints.
Donc leur tâche était très importante
parce qu'ils allaient veiller sur
des ustensiles qui allaient
contribuer à la gloire
de la maison de Dieu.
Maintenant, dans un sens,
je vais faire une application là.
On a quelques
croyants, des enfants qui ont accepté le Seigneur.
Ce sont des vases
saints. Ce sont des vases mis à part
pour le Seigneur. Et dans ce sens-là,
nous comme parents, on porte ces vases-là
aussi pour un bout de temps. Est-ce qu'on
est fidèles dans ce service-là? C'est juste
une libre application. Mais vous pouvez
faire des applications
comme ça aussi.
Nous devons être
consacrés aux intérêts de Dieu. Puis là, Dieu nous
confie certains trésors pour les porter
sur ce chemin
à travers le désert.
Maintenant, verset
28, à la fin,
une offrande volontaire.
J'aimerais souligner ça aussi.
Pourquoi est-ce que je souligne ça? Parce que
j'ai oublié tantôt quelque chose.
On a vu, mais on n'a
pas discuté ça, verset 21.
Ils ont demandé le vrai chemin
pour nous
et pour nos enfants
et pour tout notre avoir.
Pour tout notre avoir.
Donc ça c'est important pour nous.
Que nous et nos enfants, et aussi
tout ce que nous avons, puissent
être pour
Dieu. Et qu'on puisse aller ce
vrai chemin, ce droit chemin, en rapport
avec cela.
C'est la première pensée. La deuxième pensée, j'avais
un rapport avec cette question volontaire.
On voit
qu'il y avait un exercice profond dans le
coeur d'Esdras.
Il y a un effet
sur d'autres. Il n'y a
aucune force qui était exercée
là. Même le roi,
dans Esdras 1, il n'a pas dit, maintenant
vous devez tous aller à Jérusalem.
Non, il a simplement dit, dans
Esdras 1, on a vu ça, je voulais juste
rappeler à votre mémoire.
Qui d'entre
vous, quel qu'il soit, et de son peuple,
que son Dieu soit avec lui,
qu'il monte à Jérusalem.
Donc c'était libre.
Ils étaient tous libres d'aller.
Ils ne sont pas tous allés.
C'est un point important. Dieu veut qu'on
puisse
répondre à ces pensées là.
Mais il n'exerce aucune
force.
Vous voyez dans le millenium, le Seigneur Jésus
va régner par force. Tout genou
va se plier devant lui. Mais aujourd'hui,
le Seigneur cherche une réponse
volontaire. Il ne veut pas
manipuler les gens.
Il ne veut pas forcer les gens.
Il veut avoir une réponse d'amour.
C'est ça.
C'est un point important qu'on voit dans le livre d'Esdras.
Il y avait peu de monde.
Aujourd'hui aussi, il y a peu de gens qui veulent
vraiment mettre en pratique l'enseignement de Dieu
concernant la table du Seigneur, la maison de Dieu.
Mais c'est ouvert à tous les
croyants. Mais il n'y a pas de force.
Il n'y a pas
de manipulation. Pas
de telle chose.
C'est volontairement. Ce n'est pas amour.
C'est une réponse du coeur. C'est ça que Dieu cherche.
Ensuite, verset 29
Veillez et gardez-les
jusqu'à ce que vous pesiez devant les chefs
des sacrificateurs. Donc, ils avaient
cette responsabilité. Et pour
s'acquitter de cette charge,
il fallait qu'ils veillent.
Nous avons déjà vu
la question du jeûne.
C'était un exercice
pour un bon bout de temps, mais
pour un temps limité. Par contre,
veillez. On doit toujours veiller.
On ne peut pas dire, on ne peut pas
toujours jeûner parce qu'on doit manger aussi.
Mais on peut toujours
veiller. Et on doit toujours
veiller. Deuxièmement,
on doit garder, préserver
ces trésors que Dieu nous a confiés.
Troisièmement,
ces gens-là ont dû
peser les choses.
Ça veut dire, ils ont dû
donner un compte rendu.
Ils ont dû rendre
compte de leur
marche, de leur tâche.
C'est donc un principe important.
En anglais, on dit accountability.
On doit rendre compte
des choses que Dieu nous a
confiées. Ici, on voit ce principe-là.
Ils ont dû peser devant les chefs.
Est-ce qu'on garde les choses qu'on a apprises?
Ça me fracasse vraiment.
Parce que je me demande, les choses que
j'ai apprises là, comme jeune croyant,
est-ce que je les garde dans cette fraîcheur,
dans cette valeur?
Ou est-ce que ces choses
diminuent dans ma vie,
perdent leur valeur?
C'est ça la tendance naturelle.
Non! Dieu veut que ces choses
gardent leur poids, gardent leur valeur
et qu'on les garde dans notre
main, dans nos mains, jusqu'à
ce qu'on arrive, pour l'appliquer
jusqu'à l'enlèvement.
Dieu veut que ces vérités-là gardent
leur valeur tous les temps.
Maintenant, verset 29,
ils sont montés
donc dans les chambres
de la maison de l'Éternel. Là, ils ont
posé les trésors que
Dieu leur avait confiés. Puis ça, c'est
un autre point que j'aimerais
souligner. Est-ce que le Seigneur
place un croyant sur notre chemin?
Ou non? Une personne, disons.
Puis cette personne accepte le Seigneur
parce que nous disons,
par notre témoignage, c'est bien beau.
Mais ça ne finit pas là.
Là, Dieu veut qu'on prenne ces personnes
et puis qu'on voit ces personnes
comme un trésor pour les chambres
de la maison de l'Éternel. Pour qu'on puisse
aussi présenter ces personnes
dans la présence de Dieu, dans la maison
de Dieu. C'est juste une application
mais vous pouvez penser là-dessus.
Verset 30,
les ustensiles pour les porter,
on a parlé de cela.
Non, mais je voulais souligner quand même,
les lévites reçurent au poids
l'argent et l'or.
Tout était mesuré et pesé.
Ensuite ils sont partis, verset 31,
et de nouveau
on trouve là la main de notre Dieu.
Puis il les a délivrés
même de la main de l'ennemi
et de tout embus sur le chemin.
Quelle chose précieuse,
avoir cette protection, cette main du Dieu.
On prie pour cette main
de Dieu aussi pour nous.
Ensuite, le verset 32,
en arrivant à Jérusalem,
nous demeurâmes là trois jours.
Et le quatrième jour,
l'argent et l'or, les ustensiles,
furent pesés dans la maison de notre Dieu
entre la main de Mérémonte.
C'est là où ils l'ont rendu compte
de leurs affaires.
Là ils se sont acquittés de leurs charges.
Puis tout était correct. Là, ça montre
leur fidélité, leur intégrité.
Puis verset 34,
selon le nombre
et selon le poids du tout.
Les choses ont été dénombrées donc.
Tout était correct, le nombre était là.
Deuxièmement, les choses ont été pesées.
Parce que pour l'or et l'argent,
c'est très important.
Parce qu'ils auraient pu
changer certaines choses,
garder l'extérieur,
l'or et l'argent,
mais enlever
une bonne substance de cela.
Mais le poids
était mesuré. Puis tout était là.
Vous voyez? C'est pour ça que j'ai mis
l'emphase là-dessus qu'on garde
ces choses dans leur valeur
comme Dieu nous les a confiées
au début.
Verset 34
Et en même temps,
tout le poids en fut inscrit.
Donc ça nous montre aussi comment
les choses gardent
leur valeur pour Dieu.
Dieu ne change pas les deux. Nous pouvons changer
les deux, mais Dieu ne change pas les deux.
Dieu veut que ces choses soient
gardées dans leur propre
valeur, selon ses pensées.
Verset 35
Le fils de la transportation qui était revenu
de la captivité présentaire des
holocaustes. Il veut finir avec ces pensées-là.
Il y a maintenant
une réunion pour rendre grâce.
Donc on a vu une réunion
pour jeûner, pour
s'humilier, pour prier.
Mais il y a maintenant aussi un moment pour
rendre grâce à Dieu.
On oublie ça facilement.
On prie pour la bonne main de Dieu.
Le Seigneur nous protège. Puis là, on oublie
à rendre grâce. Non, ils l'ont rendu grâce.
Mais il y a
pour finir là, quelques éléments
que j'aimerais juste souligner.
D'abord, c'était les fils de la
transportation.
Ils étaient là en Babylone
sous la discipline de Dieu.
Puis même ce mot-là, les fils de la transportation
fait nous penser à ça.
Pourquoi ils étaient là à Babylone?
Pourquoi? A cause
du péché du peuple.
Donc, il y a des éléments
qu'on garde
des éléments de discipline de Dieu.
Mais Dieu restaure. C'est ça qu'on voit.
C'est la restauration de Dieu maintenant.
Ensuite, ils étaient revenus de la captivité.
Ils étaient maintenant en liberté
dans la présence de Dieu
à Jérusalem. C'est là où Dieu voulait habiter.
Pas à Babylone, mais à Jérusalem.
Ils étaient en captivité, mais ils étaient
maintenant revenus dans la liberté
sous la main de Dieu. Ils ont présenté
quoi? Des holocaustes à Dieu.
C'était des sacrifices qui montaient
vers Dieu. On ne peut pas
parler maintenant de la valeur de l'holocauste,
mais ces sacrifices-là nous parlent vraiment de la valeur
que Christ a pour Dieu.
Il y avait un holocauste le matin,
il y avait un holocauste le soir, et Dieu
a senti, a
a vraiment vu
la valeur de ces sacrifices-là.
Il présentait ça d'abord.
Ensuite, on voit aussi
douze taureaux pour tout Israël
pour le péché. Parce qu'Israël
avait été empêché.
Israël était discipliné par Dieu.
Leur résidu reconnaît ça.
Il confesse ça. C'est pour ça
le sacrifice pour le péché.
En réalisant leur état pratique devant
Dieu. Mais
un autre point que j'aimerais souligner, douze
taureaux pour tout Israël.
Malgré le fait que c'était un très petit reste.
Seulement
quarante-deux mille personnes
au début, il y a
quatre-vingt ans avant ça.
Maintenant, quinze-cents personnes.
Mais dans leur cœur, ils s'identifiaient
avec tout le peuple juif. C'est très important.
Tout le temps. Pour garder
cette pensée d'unité.
Donc, ce petit reste-là,
il n'était pas indépendant de Dieu.
On a vu ça. Il n'était pas sectaire
non plus. Ils étaient là
selon les pensées de Dieu.
Ils ont sacrifié
tout cela
en se plaçant sur l'unité.
Sur cette pensée-là de l'unité du peuple.
Ensuite, ils ont
remis aussi les édits du roi.
C'est très beau pour finir avec ça.
D'abord, les entrailles de Dieu. Cherchez d'abord
le royaume de Dieu. Et toutes ces choses
vous seront ajoutées.
Ensuite, ils ont aussi
remis les édits du roi.
Romain XII envoie
nous comme sacrifice vivant. …
Automatic transcript:
…
Peut-être vous savez que le nom Esdras veut dire « aide » de l'Éternel.
Puis on voit ici que Dieu veut aider ceux qui veulent suivre sa pensée, qui veulent obéir.
Et puis, on ne peut pas répéter tout ce qu'on a vu dès le début, là.
Si vous voulez avoir un aperçu, il y en a, on peut les photocopier, ou même les cassettes si vous voulez.
Mais on est arrivé ici à un point très important dans cette histoire du réveil.
Puis il y a beaucoup de leçons pratiques pour nous, comme nous allons voir du voulant.
Esdras 9.
« Et quand ces choses furent terminées, les chefs s'approchèrent de moi en disant,
« Le peuple d'Israël et les sacrificateurs et les Lévites ne se sont pas séparés des peuples des pays quant à leurs abominations,
« savoir celles des Cananéens, des Hétiens, des Phérésiens, des Ébusiens, des Ammonites, des Moabites, des Égyptiens et des Amoréens,
« car ils ont pris de leurs filles pour eux et pour leurs fils et ont mêlé la semence sainte avec les peuples des pays.
« Et la main des chefs et des gouverneurs a été la première dans ce péché.
« Et quand j'entendis cela, je déchirai mon manteau et ma robe et j'arrachai les cheveux de ma tête et ma barbe et je m'assis désolé.
« Et vers moi s'assemblèrent tous ceux qui tremblaient aux paroles du Dieu d'Israël à cause du péché de ceux qui avaient été transportés.
« Et je restai assis désolé jusqu'à l'offrande du soir.
« Et lors de l'offrande du soir, je me levai de mon humiliation et mon manteau et ma robe déchirés.
« Je m'agenouillai et j'étendis mes mains vers l'éternel mon Dieu et je dis, mon Dieu, je suis confus.
« Et j'ai honte de lever ma face vers toi, mon Dieu, car nos iniquités se sont multipliées par-dessus nos têtes et notre couple a grandi jusqu'au ciel.
« Dès le jour de nos pères jusqu'à ce jour, nous avons été grandement coupables.
« Et à cause de nos iniquités, nous, nos rois, nos sacrificateurs, nous avons été livrés en la main des rois des pays à l'épée, à la captivité et au pillage et à la confusion de face comme il paraît aujourd'hui.
« Et maintenant, pour un moment, nous est arrivée une faveur de la part de l'éternel notre Dieu pour nous laisser réchapper et pour nous donner un clôt dans son Saint-Dieu,
« afin que notre Dieu éclaire nos yeux et nous redonne un peu de vie dans notre servitude car nous sommes serviteurs.
« Mais dans notre servitude, notre Dieu ne nous a pas abandonnés et il a étendu sa bonté sur nous devant les rois de Perse afin de nous redonner de la vie pour élever la maison de notre Dieu et pour restaurer ses ruines et pour nous donner des murs en Juda et à Jérusalem.
« Et maintenant, ô notre Dieu, que dirons-nous après cela? Car nous avons abandonné tes commandements que tu as commandés par tes serviteurs les prophètes en disant,
« Le pays dans lequel vous entrez pour le posséder est un pays rendu impur par l'impureté des peuples des pays, par les abominations dont ils l'ont rempli d'un bout à l'autre par leur souillure.
« Et maintenant, ne donnez pas vos filles à leurs fils et ne prenez pas leurs filles pour vos fils et ne cherchez pas leur paix ou leurs biens à jamais afin que vous soyez forts et que vous mangez les biens du pays et que vous les laissiez en possession à vos fils à toujours.
« Et après tout ce qui nous est arrivé à cause de nos mauvaises œuvres et à cause de notre grand péché, mais toi, notre Dieu, tu nous as moins punis que nos iniquités et tu nous as donné une délivrance comme celle-ci.
« Est-ce que nous retournerions à enfreindre tes commandements et à nous allier par mariage avec les peuples qui font ces abominations? Ne serais-tu pas courroussé contre nous jusqu'à nous consumer en sorte qu'il n'y aurait ni reste ni réchappé?
« Éternel Dieu d'Israël, tu es juste, car nous sommes un reste de réchappés comme il paraît aujourd'hui. Nous voici devant toi dans notre culpabilité, car à cause de cela on ne peut se tenir devant toi. »
Chapitre 10. « Et comme Esdras priait et faisait sa confession, pleurant et se prosternant devant la maison de Dieu, il se rassembla vers lui d'Israël une très grande congrégation d'hommes et de femmes et d'enfants, car le peuple pleurait beaucoup.
« Et Sheqania, fils de Yequiel, des fils d'Elam, prit la parole et dit à Esdras, « Nous avons été infidèles à notre Dieu et nous avons pris des femmes étrangères d'entre les peuples du pays. »
« Mais maintenant il y a espérance pour Israël à cet égard et maintenant faisons alliance avec notre Dieu pour renvoyer toutes les femmes et ceux qui sont nées d'elles selon le conseil de mon Seigneur et de ceux qui tremblent au commandement de notre Dieu et qu'il soit fait selon la loi.
« Lève-toi car la chose repose sur toi et nous serons avec toi. Sois fort et agis. »
« Et Esdras se leva, il fit jurer au chef des sacrificateurs des Lévites et de tout Israël d'agir selon cette parole. Ils jurèrent et Esdras se leva de devant la maison de Dieu et alla dans la chambre de Yohanan, fils d'Eliashib et il entra là, il ne mangea point de pain et ne but point d'eau car il menait deuil sur le péché de ceux qui avaient été transportés.
« Et on fit passer en Juda et à Jérusalem un appel à tous les fils de la transportation de se rassembler à Jérusalem et pour que quiconque ne viendrait pas dans les trois jours selon le conseil des chefs et des anciens, tous ces biens fussent confisqués et que lui-même fut séparé de la congrégation de ceux qui avaient été transportés.
« Et tous les hommes de Juda et de Benjamin se rassemblèrent à Jérusalem dans les trois jours, c'était le neuvième mois, le vingtième jour du mois et tout le peuple était assis dans la place de la maison de Dieu, tremblant à cause de cette affaire et à cause des pluies.
« Et Esdras le sacrificateur se leva et leur dit, vous avez été infidèles et vous avez pris des femmes étrangères pour ajouter à la coupe d'Israël et maintenant faites confession à l'Éternel, le Dieu de vos pères et faites ce qui lui est agréable et séparez-vous des peuples du pays et des femmes étrangères.
« Et toute la congrégation répondit et dit à haute voix, oui à nous de faire selon tes paroles, mais le peuple est nombreux et c'est la saison des pluies, il n'y a pas moyen de se tenir dehors et ce n'est pas l'heure d'un jour ni de deux car nous avons grandement péché dans cette affaire.
« Que nos chefs donc pendant cette affaire se tiennent là pour toute la congrégation et que tous ceux qui dans nos villes ont pris des femmes étrangères viennent à des époques déterminées et avec eux les anciens de chaque ville et s'ajugent jusqu'à ce que l'ardeur, la colère de notre Dieu soit détournée de nous.
« Seul Jonathan, fils d'Assaël et Zaxia, fils de Tygva, s'opposèrent à cela et Mûchelame et Chabtal-Livit les appuyèrent. Verset 16 « Et les fils de la transportation firent ainsi et Esdras le sacrificateur et des hommes qui étaient chefs des pères furent séparés selon leur maison de père et tous par leur nom.
« Ils s'assirent le premier jour du dixième mois pour examiner l'affaire et le premier jour du premier mois ils en eurent fini avec tous les hommes qui avaient pris des femmes étrangères. Et parmi les fils des sacrificateurs il s'en trouva qui avaient pris des femmes étrangères. Verset 19 « Ils s'engagèrent à renvoyer leurs femmes et offrirent pour leur faute un bélier du poupon comme offrande pour le délit.
« Verset 23 « Et des Lévites. Verset 24 « Des chantres, des portiers. Verset 25 « Et de ceux d'Israël. Ensuite le dernier verset 44 « Tous ceux-ci avaient pris des femmes étrangères. Il y en avait parmi eux dont les femmes avaient eu des enfants. »
Donc on dirait que ce livre termine sur une note très négative dans un sens. Mais j'aimerais le présenter d'une autre façon. Je pense que le livre termine avec une note positive. Il y a ici des gens qui sont restaurés.
Et la restauration dans les pensées de Dieu, dans les voies de Dieu est toujours une question qui prend du temps, qui est pénible mais qui est très positive dans ses fruits, dans ses résultats.
Vous réalisez qu'il y a ici une génération devant nous, dans ce livre, où les grands-pères étaient partis de Babylone. On a parlé de cela dans Esdras 1.
Où les grands-pères avaient reconstruit le temple. Puis on a vu qu'il y avait un laps de temps, presque 60 ans, entre la construction du temple, c'est le deuxième temple donc, soit fini et l'exode, le retour plutôt sous Esdras qu'on a vu dans chapitres 7 et 8.
Maintenant, donc j'ai dit, je ne peux pas rentrer dans tous les détails. Il faut prendre pour acquis que tout le monde sait encore où on est dans ce livre-là. Sinon vous pouvez vérifier et relire les autres chapitres.
Mais juste pour résumer les grandes lignes, on a vu donc que la pensée de la maison de Dieu prend une grande place dans ce livre d'Esdras. Dans le temps des ruines où la plupart du peuple était encore sous la discipline de Dieu à Babylone.
Et même là, sous la providence de Dieu, protégée par Dieu, comme on le voit dans le livre d'Esther, il y avait une foyer qui est rentrée. On a vu ça dans chapitre 1. Encore un groupe beaucoup plus petit dans les jours d'Esdras.
Et on a vu les qualités morales et spirituelles dans Esdras. C'est tellement encourageant. Mais je ne peux pas répéter tout ça. On a vu donc le principe de la séparation, on va revenir à ça, séparée de Babylone.
On a vu l'importance de l'autel, la maison de Dieu et aussi en rapport avec Néhémie, on peut dire la cité de Dieu, en rapport avec l'administration des choses pour Dieu.
Maintenant, une chose que j'aimerais souligner beaucoup. Les gens ici avec Esdras étaient donc dans un bon lieu. Ils étaient là où Dieu voulait les avoir à Jérusalem.
La position, on pourrait dire, était bonne. Mais la condition n'était pas bonne. Leur condition n'était pas bonne. Et nous voyons maintenant dans chapitre 9, verset 1, que les chefs s'approchèrent d'Esdras.
Ils étaient exercés. Les chefs ici sont comme les anciens d'un hébreu 13 qui ont senti la responsabilité du peuple de Dieu. Puis on a vu, on applique souvent les leçons morales de ces jours-là.
On peut les appliquer dans nos jours comme on voit dans 1 Corinthians 10 et d'autres passages. Ils sont venus donc à Esdras, verset 1. C'est un peu comme la maison de Chloé.
Pour Chloé, il y avait toutes sortes de choses à Corinth. Ces croyants sont allés voir Paul. Ils pensent qu'il était à Ephès à ce moment-là. Ils sont allés voir la vôtre Paul. Ils étaient exercés.
Ainsi, ces chefs qui sont venus étaient aussi exercés pour connaître les pensées du Dieu et pour partager leur exercice avec Esdras. C'était quelques mois après qu'ils soient retournés de Babylone et là rentrés à Jérusalem. Juste quelques mois, quelques temps après, ils sont venus.
Ils ont dit que le peuple d'Israël, les sacrificateurs et les Lévites, trois groupes qui sont mentionnés ici parmi ce petit reste qui était là à Jérusalem, ne se sont pas séparés des peuples des pays.
Peut-être ils sont rentrés avec leur grand-père dans ce retour dans Esdras 1 et 2. Peut-être c'était eux qui ont commis ces choses. Mais le fait était là. On doit donc parler un peu de la signification de cela pour nous.
Le premier verset nous dit, ils ne se sont pas séparés des peuples des pays quant à leurs abominations. C'est juste cela que Moïse avait dit auparavant. On peut lire cela dans Deuteronome 7.
Je vais référer à beaucoup de passages. On ne peut pas lire tous ces passages. On n'a pas le temps pour cela. Mais vous pouvez prendre cela en note et relire chez vous.
Mais dans Deuteronome 7, Moïse a averti beaucoup qu'il ne devrait pas prendre des femmes de ces pays-là.
Je pense à Abraham, jeunesse 24, lorsqu'il a envoyé son serviteur pour aller chercher une femme pour son fils. Il a dit, prends soin que tu ne prennes pas une des femmes de ces nations canadiennes qui sont autour de nous.
Parce que ces nations étaient impliquées dans l'idolâtrie. Ils ont servi les idoles. Selon Deuteronome 32, le service des idoles, c'est le service des diables.
Aussi à Babylone, ils avaient les idoles. On a vu que les vases du Temple éternel étaient placés même dans les temples des idoles.
Donc, ils étaient rentrés de la sortie de l'idolâtrie comme Abraham dans le passé, jeunesse 12, a quitté ce lieu d'idolâtrie. Maintenant, ils sont dans le pays promis de Dieu. Ils se plongent encore dans l'idolâtrie par leur relation avec ces nations qui étaient encore là.
Maintenant, on pourrait référer à Deuteronome 6, par exemple, où Paul dit que nous, on l'applique maintenant à nous, on ne devrait pas être sous un joug mal assorti avec le monde.
Le monde a plusieurs caractères. Comme ces femmes ici, des Cananéens, des Hétiens, des Phérésiens, des Ébusiens, des Ammonides, des Moabites, des Égyptiens et des Amoriens représentent quelque chose.
Je ne peux pas toujours pointer, cette nation représente ça, cette nation représente ça, mais je peux donner quelques suggestions pour nous. Dieu ne veut pas qu'on soit sous un joug avec ceux qui commettent l'idolâtrie.
Comme dans le Nouveau Testament, Ephésiens 5, par exemple, le désir pour avoir beaucoup d'argent, c'est une forme d'idolâtrie. La convatise est une forme d'idolâtrie. C'est là où Satan va avoir quelque chose pour nous contrôler.
Si c'est une convatise de quelque sorte que ce soit. Maintenant, j'aimerais suggérer donc que ces femmes ici pour nous représentent des principes par lesquels on peut être lié ou contrôlé.
C'était par amour pour ces femmes que ces hommes juifs ont pris ces femmes. C'est évident. Puis, on peut se placer sous des influences qui ne sont pas selon Dieu. Donne un exemple.
On peut se placer sous l'influence du sectarisme. C'est comme une femme étrangère. Puis, ça va avoir de graves conséquences pour nous. Ainsi, Satan peut se servir de ses associations ou d'un joug mal assorti pour nous contrôler et même pour nous amener à une forme d'idolâtrie, quoi que ce soit.
Ça va toujours graduel, c'est évident. Ou je peux mentionner un autre exemple, le légalisme. Le légalisme, c'est une autre forme d'une femme étrangère. Ou, par exemple, le cléricalisme, ça veut dire que le clergé va diriger tout. C'est une forme, c'est une femme étrangère pour ainsi dire.
Ce n'est pas vraiment la pensée de Dieu. Puis, on voit que par amour, on va s'associer avec de tels systèmes et puis, ça va nous dévier du bon sentier. Ainsi, l'orthodoxie. Il y a des gens qui sont très orthodoxes, mais il n'y a rien dans leur cœur pour Dieu.
Dieu veut la réalité dans nos cœurs. Il veut une réalité spirituelle dans nos cœurs. Il ne veut pas qu'on se cache sous des formes qui sont belles peut-être, mais qui ne sont pas réelles, qui ne sont pas de Dieu.
Ou le traditionnalisme, les gens qui disent, les frères ont toujours fait comme ça, on a toujours fait comme ça. C'est comme une forme, on peut se cacher, se vêtir avec ça, mais il n'y a aucune garantie que Dieu est là-dedans.
Donc, ces femmes étrangères représentent pour nous des choses qui ne sont pas de Dieu vraiment, mais qui peuvent nous influencer graduellement et c'est comme des ruses de l'ennemi.
L'idolâtrie, j'ai mentionné l'idolâtrie déjà. Puis, il venait de sortir de l'idolâtrie. Maintenant, il plonge de nouveau dans un piège. C'est une nouvelle génération.
Puis, ça s'amène à un autre point. Chaque génération doit apprendre ses leçons. Le fait que mon père a appris ces leçons-là, je ne veux pas dire que moi je les ai appris.
On doit réaliser que chaque génération doit apprendre ses choses pour elle-même. Le ritualisme. Dans le Nouveau Testament, on voit beaucoup d'exemples de ces femmes étrangères.
Dans Colossien 2, par exemple, on mentionne le danger du ritualisme. Les gens voient que les choses se font d'une telle façon, puis ils mettent leur confiance là-dedans.
Il faut le faire comme ça, le ritualisme, puis ça va plus loin que ça. Dans bien des églises, autour de nous, aujourd'hui, on voit ça.
Puis souvent, ces femmes sont liées à d'autres femmes, pour ainsi dire. Ça va tout ensemble souvent. L'idolâtrie, le ritualisme, souvent lié à l'orthodoxie, ou même le sectarisme.
Je pourrais aussi mentionner des philosophies de l'homme qui ont une belle façade souvent, très attrayante. Colossien 2 nous montre que ces philosophies païennes ont une origine qui n'est pas bonne.
Mais on voit que dans l'histoire de l'église, ces philosophies sont entrées et adoptées par l'église. Maintenant on peut dire, oui, mais nos pères, nos ancêtres, surtout dans certains pays où la réformation a eu lieu, comme en Allemagne, en Hollande, en France, un peu, en Suisse.
On peut dire, oui, mais nos ancêtres, dans la réformation, ils se sont séparés de ces choses, de cette idolâtrie, de Babylone, dans ce sens-là. Oui, mais où est-ce qu'ils sont?
Souvent on voit qu'ils se sont mêlés avec les incrédules. On voit souvent dans telles églises que les croyants rompent le pain avec les incrédules ensemble. C'est une juge mal assortie. C'est une femme étrangère.
Ce n'est pas la pensée de Dieu. Ou dans nos jours on peut dire, oui, mais on est un groupe qui est correct, on est selon la parole de Dieu, on n'est pas libéraliste, on n'a pas ces femmes étrangères.
Mais, peut-être, on s'associe avec des systèmes qui ne sont pas selon la pensée de Dieu. Vous voyez, il y a des applications en abondance pour nous pour réaliser que ces pièges sont encore là pour nous aujourd'hui.
Il ne faut pas penser que c'est juste dans ces jours-là que ces pièges étaient là. Nous sommes aussi exposés à de tels pièges et puis on doit veiller tout le temps pour ne pas tomber dans de tels pièges.
L'humanisme place l'homme au centre et met le Seigneur vraiment de côté. C'est un mouvement très fort présentement.
Le panthéisme, comme on le voit dans le Nouvel Âge, ça pénètre pas mal les églises et le monde évangélique aussi de différentes façons.
Ou le mysticisme, où il y a des gens qui se pensent être Dieu ou presque Dieu. Colossiens 2 mentionne aussi ce danger du mysticisme.
L'indépendance, on veut juste faire notre chose. Ce sont toutes des femmes étrangères. On voit donc que là on doit être radical. On va voir au cours de ces chapitres-là ce qu'on doit faire dans de telles situations.
On ne doit pas dire qu'on est intouchable. Ces choses ne peuvent jamais nous arriver. On ne doit jamais dire ça. Parce que si on pense ça, on est déjà fier et puis on va tomber dans ce cas-là.
Donc on doit être tout proche du Seigneur, comme Esdras ici et comme ces quelques chefs qui sont venus le voir.
Puis qu'est-ce qu'ils constatent dans le verset 2? Ils ont pris de leurs filles. Si vous voulez, vous pouvez lire aussi d'autres passages dans Nombre, dans Exode, même dans Jérémie.
Il y avait un verset que j'aimerais quand même lire. Jérémie 2, c'était avant la captivité babylonienne, où Jérémie le prophète avait constaté ce mal.
Il dit là, dans Jérémie 2, verset 13, car mon peuple a fait deux maux, ils m'ont abandonné, moi, la source des eaux vives, pour se creuser des citernes, des citernes crevassées qui ne retiennent pas l'eau.
Donc c'est juste un exemple. On voit que les prophètes ont parlé. Ils ont averti le peuple de Dieu. Mais ils ont réussi, avant la captivité et maintenant, après la captivité babylonienne, ils ont réussi à mêler la semence sainte.
C'est quoi la semence sainte? C'est le peuple de Dieu vu du point de vue de Dieu. C'est le peuple de Dieu vu comme une œuvre de Dieu, ce que Dieu a produit.
Dans Malachie 2, il y a un très beau verset qui va ensemble avec ce passage-là. Peut-être on va revenir à Malachie 2 dans d'autres contextes aussi.
Dans Malachie 2, il parle que Dieu a cherché une semence de Dieu. Dieu cherche une semence. Ça veut dire qu'il cherche du fruit. Donc une semence qui vient de lui, mais qui représente quelque chose de Dieu.
C'est pour ça que j'ai dit que c'est l'œuvre de Dieu. C'est ce que Dieu a préparé. Et c'est tellement beau.
Dans Isaïe 6, où Isaïe a vu la gloire de Dieu, on voit que Dieu l'envoie pour endurcir le peuple de Dieu. Ils se sont endurcis aussi.
Et puis là, on dirait que tout est perdu. Dieu a même bloqué les oreilles, fermé les yeux, les a endurcis encore dans sa voie gouvernementale. Donc, c'est tout perdu.
Mais là Dieu dit, à la fin d'Isaïe 6, que la semence sainte va encore avoir du fruit. Dieu, dans sa grâce souveraine, va produire quelque chose pour lui-même.
Là c'est 10%, dans Isaïe 6, il mentionne 10% de cette semence sainte. Dieu va avoir toujours quelque chose pour lui-même. Mais c'est comme un petit résidu.
Ici, dans ces jours d'Ezra, c'était aussi un petit résidu. Et même là, l'ennemi veut encore attaquer Dieu en mêlant cette semence sainte.
On voit que la nation comme telle était sainte, exode 19. Mais la nation est plongée dans l'idolâtrie. Ensuite, Dieu a expédié 10 tribus dans la captivité des rois d'Assyrie.
On peut lire ça dans 2 rois, 17 par exemple. Ensuite, les deux tribus édémiques qui sont restées avec une partie de Lévis, à Jérusalem, ils encore se sont plongés dans l'idolâtrie.
Puis à cause de ça, Dieu les a dû châtier. On a vu ça au début d'Ezra. Maintenant, Dieu dans sa grâce les a restaurés. Et encore, on voit le même danger.
Ils ont mêlé la semence sainte avec le peuple des pays.
Puis on voit le danger, j'ai mentionné des dangers dans nos jours. On voit qu'au début de l'histoire de l'Église, l'ennemi a essayé de mettre un joug sur les croyants.
Soit le joug du légalisme, acte 15, galate 5, ou d'autres jougs. Donc, on doit être alerte pour ces dangers. L'ennemi va toujours essayer de corrompre cette semence sainte.
Si Dieu a produit quelque chose, si Dieu a sauvé quelqu'un, l'ennemi va essayer de l'arrêter. Ou l'ennemi va essayer de le corrompre, de l'influencer d'une façon qui n'est plus vraiment prête pour servir Dieu, selon les pensées de Dieu.
Donc, le verset 2, à la fin, constate encore un point que j'aimerais juste mentionner. Vous allez voir, on ne peut pas parler de tous les détails de ce chapitre, juste quelques points, quelques grandes lignes.
A la fin du verset 2, la main des chefs et des gouverneurs a été la première dans ce péché. Les chefs sont plus responsables. Je pense que les chefs du premier verset étaient plus proches de Dieu.
Ils ont été préservés pour ce mal. Mais à la fin du verset 2, c'était d'autres chefs. On voit ça dans les jours de Josué, lorsque Josué a reçu les espions de Gabaon, Josué 9.
Les chefs ont accepté cette ruse. On voit dans l'acte 20 que Paul a averti que ce seraient des gens parmi les anciens, parmi les chefs, qui seraient les premiers pour dévier le peuple de Dieu du bon chemin.
Ou soit pour entrer de l'extérieur, ou bien pour les diriger d'une mauvaise façon. On voit ça souvent dans la parole de Dieu. L'influence qu'une seule personne peut avoir est très grande.
Dans le livre d'Ecclésiastes, on voit qu'un pécheur peut faire beaucoup de mal. Un chef peut faire beaucoup de mal pour dévier le peuple de Dieu. Mais on peut dire aussi qu'une personne peut faire beaucoup de bien.
Comme Esdras ici. Il était le seul vraiment pour agir. Puis les résultats ont été pour la gloire de Dieu. Dans l'ombre 25, on voit cette ruse de l'ennemi pour mêler cette semence sainte. Il a réussi par l'idolâtrie, par la fornication.
Puis on voit que les chefs étaient impliqués là-dedans. Les chefs ont donné le mauvais exemple. Verset 3. Et quand j'entendis cela, je déchirais mon manteau. Comment Esdras va réagir?
On peut comparer Esdras un peu avec le Seigneur Jésus. Le Seigneur Jésus a dit, le zèle pour ta maison m'a dévoré, ou consommé. C'était les disciples qui ont vu ça dans Jean 2. Ils l'ont cité, psaume 69.
Donc le zèle pour Dieu, pour la maison de Dieu l'a dévoré ou la consommé. Et puis ici on voit une même attitude dans Esdras. Un peu aussi dans l'apôtre Paul. L'apôtre Paul a beaucoup maintenu les droits de Dieu, les droits de la maison de Dieu. Il était vraiment très ailé d'une façon spirituelle.
Ici, le zèle d'Esdras. Comment ce zèle se montre? Est-ce qu'on pourrait l'imiter par la foi? Quand j'entendis cela, je déchirais mon manteau. Cela ne veut pas dire qu'on devrait agir d'une façon extérieure comme Esdras l'a fait. C'est comme une coutume de l'Orient.
Donc le fait, si moi je suis désolé à cause de certaines choses, puis je vais déchirer mon manteau, cela ne veut pas dire que je me suis humilié. Ici c'était vraiment des signes d'humiliation. Des signes extérieurs de son humiliation. Donc il a déchiré son manteau. Le souverain sacricateur ne pouvait pas déchirer son manteau.
Ex. 28 le montre. Ici dans ce deuil, Esdras, peut-être ce n'était pas le même manteau, mais il a déchiré son manteau. Son témoignage était pur, était propre. Esdras 7, on a vu cela. Mais ici il se voit comme associé au peuple de Dieu. Et puis il s'humilie à cause de cela.
Aussi dans ces signes extérieurs. Il y a une énergie spirituelle qu'on voit ici dans Esdras. Une compassion aussi du peuple de Dieu. Oui il était pur, mais il a eu la compassion du peuple de Dieu. Et puis il s'est humilié à cause de son association avec le peuple de Dieu.
Et j'ai arraché les cheveux de ma tête. C'est de nouveau un signe extérieur. Mais quelle différence avec Nehemi. Nehemi il avait une autre tâche. Mais dans Nehemi 13, lorsque Nehemi constate le grand déclin, il a même déchiré les cheveux de la barbe des hommes.
Ici Esdras il a arraché les cheveux de sa propre tête. Dans cette humiliation de sa barbe. Et je m'assis désolé. Cela me fait penser à Jérémie. On voit vraiment une attitude semblable dans Jérémie. Et aussi dans les lamentations. Il parle de cela.
Il compare aussi Jérusalem avec une veuve désolée. Donc on voit vraiment quelqu'un qui entre dans les pensées de Dieu. Qui s'associe au peuple de Dieu. Et puis réalise le mal. Et puis s'humilie à cause de cela.
Quelle leçon pour nous. Je pense que c'est là où on manque. Au moins moi je dois le dire. On manque dans cette attitude que Esdras montre ici. Verset 4. Remarquons ici. Vers moi s'assemblèrent tous ceux qui tremblaient aux paroles du Dieu d'Israël.
Je compare ça avec Nombre 10. On n'a pas le temps d'y tourner là. Mais juste cette pensée là. Nombre 10 parle des trompettes. Pour mettre le peuple en mouvement. Si les sacrificateurs ont poussé deux fois dans les trompettes. Tout le monde devrait se réunir.
Si les sacrificateurs ont poussé juste une fois. Seulement les chefs du peuple se sont réunis. Nombre 10. Ici on voit comme ces gens qui étaient alertes, qui étaient exercés. Ils sont venus. Vers moi s'assemblèrent tous ceux qui tremblaient aux paroles du Dieu d'Israël.
Seulement les chefs. Ici c'était ouvert pour tous ceux qui voulaient s'humilier. Pour tous ceux qui tremblaient aux paroles de Dieu. Il y a un très beau verset dans Isaïe 66 que je vais juste lire là.
Isaïe 66, verset 1, dit ainsi, dit l'Eternel, les cieux sont mon trône et la terre le marche-pied de mes pieds. Quelle est la maison que vous me bâtirez et quel est le lieu de mon repos?
Toutes ces choses ma main les a faites et toutes ces choses ont été, dit l'Eternel, mais c'est à celui-ci que je regarderai, à l'affligé et à celui qui a l'esprit contrit et qui tremble à ma parole.
Voilà une attitude convenable, ce que Dieu cherche. Il veut que nous soyons exercés en rapport avec la maison de Dieu, comme Esdras. Mais il veut que nous ayons cette attitude d'affliction, qu'on soit affligé, ça veut dire humilié, qu'on s'humilie sous la main de Dieu.
Il y a aussi l'esprit contrit. Dans le chapitre 57, Dieu dit, j'habite avec ceux qui ont l'esprit contrit. Dieu veut s'associer à nous. Si nous nous humilions, si nous ont l'esprit contrit, Dieu s'associe à nous. Quelle victoire!
C'est pour ça que Esdras a eu cet impact, parce que Dieu a pu s'associer à lui lorsqu'il s'est humilié. Dieu a pu agir lorsque Esdras s'est humilié, selon ses paroles. Et on voit aussi que ceux qui ont à coeur la parole de Dieu, qui tremblent à sa parole, c'est eux qui se sont identifiés avec Esdras.
Donc, on peut être un exemple dans ce sens-là, un encouragement les uns pour les autres, pour que nous soyons ensemble exercés, pour qu'ensemble nous tremblions aux paroles du Dieu d'Israël.
Cela veut dire un respect, vraiment. Malachie 3 nous parle aussi de ce respect pour la parole de Dieu. Un petit reste qui était au milieu du peuple, qui a eu à coeur la parole de Dieu.
A cause du péché de ceux qui avaient été transportés. J'ai dit ça déjà, c'était déjà un petit reste. Et parmi ce petit reste, l'ennemi avait encore réussi à pénétrer et introduire des choses comme ces femmes étrangères.
On ne sait pas vraiment si ces juifs avaient pris cette femme comme deuxième femme ou troisième femme. Il y a des indications pour cela, selon Malachie 2, mais on ne peut pas être trop sûr là-dessus.
Mais c'est une possibilité, si on lit Malachie 2, où qu'ils avaient renvoyé leur première femme et puis avaient pris maintenant une femme des nations.
Verset 4 à la fin. Je restais assis, désolé, jusqu'à l'offrande du soir. J'aimerais parler un peu de l'offrande du soir.
Juste l'attitude d'Ezra, il restait assis, désolé, il n'a rien fait. On dirait qu'il est passif, il ne fait rien. Non, il a patienté, il a attendu jusqu'au bon moment, jusqu'à l'offrande du soir.
L'offrande du soir, si le mot réfère au sacrifice du gâteau. Le sacrifice du gâteau, je ne peux pas entrer dans tous les détails, mais nous parle de la vie du Seigneur Jésus.
La vie de perfection. Le gâteau, le sacrifice du gâteau était un gâteau sans levain, donc sans l'influence du péché.
Le gâteau, on peut le voir dans Lévitique 2 par exemple, et d'autres passages, parle vraiment de la perfection du Seigneur Jésus.
Mais ce sacrifice du soir était l'Holocauste. Avec l'Holocauste, il était donc offert ce gâteau. Le mot ici réfère à ce gâteau.
Mais il y a d'autres passages dans Daniel 9, d'autres qui réfèrent à cet Holocauste.
Puis les deux vont ensemble. La vie de perfection du Seigneur Jésus l'a amené là, à ce point là, qu'il s'est offert un sacrifice comme Holocauste.
Et comme Holocauste, le Seigneur Jésus était là pour la gloire de Dieu. Là, il n'était pas le substitut pour nos péchés ou pour nous-mêmes.
Là, il n'était pas vu dans son expiation, dans l'aspect de propitiation. Il était vu là, ce qu'il était pour satisfaire le coeur de Dieu.
Maintenant, c'est important, parce que ici, dans cette situation pénible, notre coeur, nos yeux sont dirigés vers Christ.
Puis j'aimerais juste mentionner ce point là.
Si vous allez voir dans l'histoire du peuple de Dieu, les moments où cette offrande a joué un rôle important.
Dans Daniel 8, par exemple, un roi méchant a ôté cette offrande.
Puis dans le futur, l'antéchrist va ôter cette offrande, va arrêter cette offrande là.
Mais dans les jours où c'était encore offert selon les pensées de Dieu, Exode 29, si vous voulez avoir plus de détails, donne les instructions pour cette offrande.
C'était donc toujours présenté le matin et le soir.
Mais c'est beau, nous vivons dans le soir.
Ici c'était aussi soir, moralement, c'était sombre.
Puis dans le soir de ce monde, dans les ténèbres de ce monde, il y a ici cette offrande.
Le feu brille toute la nuit.
Lévitique 6 nous dit que ce feu a brûlé toute la nuit.
Dieu voit l'offrande du Seigneur Jésus.
Il voit sa perfection.
Il voit ça pendant toute la nuit.
Notre attention est dirigée vers ça dans les jours d'Élie.
Lorsqu'Élie avait ramassé le peuple à Carmel, le moment où il a commencé à offrir, après que les faux sacrificateurs étaient exposés, c'était le moment de l'offrande du soir.
Lorsqu'à Jérusalem, les sacrificateurs ont présenté cette offrande, Élie a présenté son offrande à Carmel.
Vous pouvez lire dans 1 roi 18.
Dans Luc 1, ce moment-là est appelé l'heure du parfum.
Je trouve ça tellement beau parce que le parfum nous parle de l'incense qui monte vers Dieu.
Puis là on voit que dans Luc, c'est souvent lié à l'heure de la prière.
Dans Acte 3, cette neuvième heure, c'était l'heure de la prière.
On peut seulement prier sur la base de l'œuvre accomplie du Seigneur Jésus, sur la base de ses sacrifices.
C'est là où nos prières peuvent monter vers Dieu.
Corneille a prié et à cette heure-là, Dieu a envoyé un ange pour lui montrer ce qu'il allait faire pour lui dans Acte 10.
Donc ce moment-là était très important.
Mais dans Psaume 22, à cette heure-là où le Seigneur Jésus est mort à la croix, neuvième heure,
où dans le temple les sacrificateurs ont offert l'offrande du soir, l'holocauste du soir,
le Seigneur Jésus a pris la place du sacrifice pour le péché.
Là il n'y avait pas d'intervention, il était abandonné de Dieu.
Ici, sur la base de ses sacrifices, il y a une intervention de Dieu.
Les portes, pour ainsi dire, du ciel s'ouvrent.
La grâce de Dieu peut se montrer parce que Dieu pense à cette offrande.
Il pense à la perfection du Seigneur Jésus dans sa vie et dans sa mort.
Donc c'est un moment très important.
Ce n'est pas pour rien que c'est mentionné ici.
Souvent on se demande pourquoi c'est mentionné ce point-là.
C'est pour une raison très spéciale, vous comprenez.
Maintenant dans verset 5,
Et lors de l'offrande du soir, je me levais de mon humiliation et mon manteau.
Maintenant l'heure est venue pour faire quelque chose.
Qu'est-ce qu'il va faire?
Une grande campagne?
Je m'agenouillais.
Donc il s'est prosterné, il s'est mis sur ses genoux.
C'est une petite remarque là, c'est aucune loi, on ne peut pas faire des lois là.
Mais c'est comme un exemple comme Daniel.
Daniel a prié sur ses genoux trois fois par deux jours.
Ici il s'est agenouillé dans la présence de Dieu.
C'est comme le roi Salomon.
Il s'est prosterné devant Dieu, devant tout le peuple.
Un roi vite, lorsqu'il a prié pour la dédicace du temple, pour inaugurer le temple,
il s'est agenouillé devant tout le peuple.
Et encore un autre détail,
un autre détail,
c'est pour exprimer notre attitude que nous jetons sur Dieu,
que nous exprimons, nous sommes sans remède, nous ne pouvons rien faire.
On n'a aucune ressource.
On veut recevoir les ressources qui viennent de Dieu, qui viennent d'en haut.
Qu'est-ce qu'il dit maintenant verset 6?
Mon Dieu, c'est beau.
Il a une relation très personnelle avec ce Dieu là.
Il ne parle pas seulement de Dieu dans un sens général.
Non, il parle, mon Dieu.
Mais je répète, c'est basé sur ce sacrifice.
Où le Seigneur Jésus a dû dire, mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné?
Maintenant, nous, comme Esdras, nous pouvons nous adresser à ce même Dieu en disant, mon Dieu.
Mais qu'est-ce qu'il dit maintenant dans cette prière?
Je suis confus.
Il était en détresse à cause de l'état du peuple.
Il était vraiment en détresse.
Il dit, j'ai honte de lever ma face.
Plus tard, dans Jérémie, mais c'était avant ce moment-là,
Jérémie parle des gens qui n'avaient jamais de honte.
C'était les gens qui se sont endurcis.
Ici, Esdras, il a honte devant Dieu.
Il cache sa face pour ainsi dire.
Il a honte de lever sa face devant Dieu.
Je pense un peu à Moïse lorsqu'il a vu le buisson qui a brûlé.
Il s'est prosterné, tête sur terre pour ainsi dire, dans la présence de Dieu.
Il avait honte de lever sa face pour ainsi dire.
Mais ici, Esdras l'exprime aussi, verbalement.
Il dit, car nos iniquités se sont multipliées.
Est-ce que c'est vrai?
Qu'est-ce qu'on avait vu dans Esdras?
Il avait la parole de Dieu dans sa main.
Il a connu la parole de Dieu, on l'a vu dans chapitre 7.
Il était exercé pour faire la parole de Dieu, pour l'enseigner.
On a vu tous ces détails-là dans Esdras 7.
Maintenant, est-ce qu'on pense qu'Esdras avait péché?
Est-ce qu'il avait pris une femme ou des femmes étrangères?
Pas du tout.
Quand même, il dit, nos iniquités se sont multipliées.
Il s'identifie avec le peuple de Dieu.
Il ne se voit pas meilleur.
Il voit qu'il est une partie de ce peuple.
Et ainsi, nous, bien-aimés,
même, supposons qu'on n'avait jamais péché, c'est impossible,
mais depuis notre conversion,
on devrait quand même nous humilier devant Dieu
à cause de l'état du peuple de Dieu.
On n'a aucune raison pour nous glorifier.
Mais malheureusement, nous-mêmes, on manque aussi.
Donc, on a une double raison pour s'humilier,
à cause de nos manquements,
mais aussi à cause des manquements du peuple de Dieu.
Donc, on voit ici, dans Esdras, une très belle attitude.
Il n'y avait pas le pharisaïsme dans son cœur.
Comme le pharisien, dans le temple, dans Luc 17, l'a dit,
« Moi, Dieu, moi, je suis content que je ne sois pas comme ce publicain-là. »
Il se sentait beaucoup meilleur que cet homme-là.
Par contre, cet homme-là s'est humilié devant Dieu.
Il était justifié.
Dieu a exaucé sa prière.
Donc, Esdras a vraiment la bonne attitude ici.
Pas d'un pharisien.
Dans Josué 7, on voit aussi une telle leçon.
Dans Josué 7, il y avait un seul homme qui avait péché.
Mais on voit qu'à cause de ce péché-là,
tout le peuple était coupable.
Géléon et d'autres, ils se sont humiliés.
Ils ont confessé ce péché-là.
Mais on doit vraiment mettre beaucoup d'emphase sur cela.
Dieu ne peut pas être avec son peuple s'il y a des péchés non jugés.
Si c'est révélé, il faut qu'on le juge.
C'est pour ça que Esdras s'est humilié.
Il n'avait pas péché personnellement.
Et ses chefs qui sont venus dans le premier verset, ils n'avaient pas péché.
Mais ils ont vu que le peuple avait péché.
Et puis, la statistique nous montre que c'était juste une poignée,
même entre ces quelques milliers de personnes qui étaient là.
Si on va calculer l'ensemble, je l'ai marqué quelque part,
je pense que c'était 17 prêtres ou sacrificateurs,
c'était 10 lévites et c'était 86 israélites.
Donc, 113 personnes seulement.
Mais si vous comprenez cette leçon de Josué 7,
même si c'est une personne,
ça va causer que tout le peuple est coupable.
Ici, c'était 113 personnes.
Quand même relativement, un petit groupe,
comparé avec l'ensemble du peuple qui était retourné à Jérusalem.
Mais vous comprenez, selon ce principe de Josué 7,
Esdras s'est humilié.
Il s'est identifié avec l'état du peuple.
Et puis, il a compris que si Dieu révèle un péché, il faut agir.
On ne peut pas laisser un péché non jugé.
Il faut agir, avec grâce, avec le Daï, comme on voit ici.
Mais il faut agir.
On voit maintenant qu'il dit que nos iniquités se sont multipliées.
Donc, ce n'est pas juste une personne, comme dans Josué 7.
Ici, c'était 113 personnes.
Donc, les iniquités se sont multipliées.
Il dit encore, c'est un langage, en anglais on dit graphic language,
il dit que ces iniquités se sont multipliées par-dessus nos têtes.
C'est comme un océan où ils étaient plongés.
Ils ne pouvaient plus rien faire.
Ils ne savaient pas quoi faire.
C'était au-dessus de sa tête.
Notre couple a grandi jusqu'au cieux.
C'est une autre façon d'exprimer la grandeur de leurs péchés.
Verset 7.
Dès les jours de nos pères jusqu'à ce jour.
Donc, il s'identifie de nouveau avec l'histoire du peuple.
Donc, il parle aussi du passé.
Comme Moïse avait averti déjà dans Deuteronome 7,
ces choses sont arrivées dans Josué et dans le livre des juges,
comme nous avons vu dans le passé.
Et cela a continué jusqu'à la captivité, comme j'ai mentionné.
Et ensuite, après la captivité, comme on voit aussi dans Malachie 2,
ça a continué à cause de nos iniquités.
Nous, nos rois, donc même il s'identifie avec le peuple du passé,
à cause de nos iniquités, nous, nos rois, nos sacrificateurs,
nous avons été livrés en la main des rois des pays.
C'est le gouvernement de Dieu.
On respecte le gouvernement de Dieu.
Et vous vous rappelez, une fois j'ai mentionné cette corbeille avec les figues,
dans Jérémie 24, qui étaient bonnes,
qui se sont humiliées devant Dieu,
qui ont accepté la discipline pour être envoyées, expédiées à Babylone.
C'étaient les bonnes figues,
qui se sont humiliées devant Dieu,
devant le jugement de Dieu.
Et ainsi, Esdras, maintenant rentré,
il s'humilie, il est comme une bonne figue.
C'est la justice pratique qu'on voit ici dans Esdras.
Il s'humilie sous le jugement de Dieu.
Nous avons été livrés, c'est le gouvernement de Dieu,
à l'épée, à la captivité, au pillage,
et à la confusion de face,
comme il paraît aujourd'hui.
Donc le passé, c'était comme ça,
Dieu a dû intervenir, maintenant il constate la situation.
Mais vous voyez, si vous allez lire maintenant Daniel 9,
vous allez voir une même sorte de langage.
C'est très frappant.
Je me rappelle, dans un rassemblement en Hollande,
il y avait un frère qui est venu pour le ministère,
il est venu de l'extérieur,
il a parlé de Daniel 9.
La semaine après, un autre frère d'un autre rassemblement est venu,
qui ne savait pas que ce frère-là était là la semaine avant.
Il a parlé d'Esdras 9.
Et la semaine après, un autre frère est venu,
il a parlé de Nihimi 9.
Puis là, les frères, ils l'ont réalisé,
mais il y a quelque chose.
Si le Seigneur envoie trois frères qui ne savent absolument rien,
qui parlent de ces choses, il faut qu'il y ait quelque chose.
Puis ici, c'était évident qu'il y avait quelque chose.
Il le savait.
Puis, il l'exprime, il le confesse.
Mais ces prières, comme on voit dans Nihimi 9 et Daniel 9,
nous aident beaucoup pour voir la bonne attitude
qu'on devrait avoir devant Dieu,
en nous identifiant avec tout le peuple de Dieu,
mais dans un état d'humiliation et de jugement de soi-même aussi.
Verset 8.
« Maintenant, pour un moment, nous est arrivée une faveur de la part de l'Éternel. »
Donc, il parle maintenant de l'intervention de Dieu.
Comment Dieu avait restauré ce petit résidu dans Esdras 1 et 2,
et encore un résidu beaucoup plus petit sous les jours d'Esdas.
Il réfère à ça, je pense, ici dans le verset 8.
« Maintenant, pour un moment. »
C'était quand même 80 ans, si on compte depuis Esdras 1.
Mais Dieu était intervenu pour aider dans sa grâce souveraine.
C'est ça le point maintenant.
Le gouvernement de Dieu, c'est verset 7.
Il les avait livrés pour discipliner, pour châtier.
Mais dans le verset 8, on voit la grâce souveraine de Dieu,
comme j'ai mentionné dans Isaïe 6.
La grâce souveraine de Dieu qui va produire du fruit.
Pour nous laisser, au milieu du verset 8, pour nous laisser des réchappés.
Donc, c'était des gens qui ont été délivrés de Babylone, réchappés.
Mais aussi pour nous donner un clos.
C'était donc un témoignage, un petit résidu, un témoignage pour Dieu.
Et même ce témoignage était donc affecté par le mal, comme nous l'avons vu.
Mais Dieu les avait laissés jusqu'à ce moment-là,
parce qu'il avait donné un clou.
OK. C'est quoi ça?
Maintenant, j'aimerais souligner le clou.
J'ai souligné l'offrande du soir, ça parle du Seigneur Jésus,
dans sa vie et dans sa mort, comme la base de tout.
Une base sur laquelle Dieu peut nous accepter,
peut avoir des relations avec nous sur cette base-là.
Mais nous voyons dans ce clou, pour l'appliquer à nous, Christ d'une autre façon.
Le peuple de Dieu a manqué.
Mais Dieu voit Christ.
Et Dieu voit Christ comme ce clou.
On n'a pas le temps de lire tous ces passages-là,
mais si vous voulez noter, dans 1 Chronique 22, verset 3,
il y a une référence, un clou en rapport avec le Temple,
aussi dans 2 Chroniques, je pense c'est 2 Chroniques 3, verset 9.
Et puis il y a un verset que j'aimerais lire dans Esaïe.
D'abord dans Ecclésiastes 12, verset 11, juste pour suivre la pensée.
Le clou nous parle de la stabilité, de la fermeté.
Et dans Prédicateur, ou Ecclésiastes 12, nous avons une autre référence.
Verset 11.
Les paroles des sages sont comme des aiguillons,
et les recueillent comme des clous enfoncés.
Ici il parle de la sagesse pratique.
C'est comme des clous enfoncés.
C'est pour ça que j'ai parlé de la fermeté,
de quelque chose qui est solide.
Puis il continue, ils sont donnés par un seul pasteur.
Donc ces clous, ici c'est au pluriel, sont donnés par un seul pasteur.
Ici on voit que tout dépend de lui, tout vient de lui, ce seul pasteur.
Mais il y a un autre passage qui donne encore un peu plus de lumière sur cela,
dans Esaïe 22.
Dans Esaïe 22, nous voyons un homme infidèle,
qui a été remplacé par mon serviteur, Dieu dit dans Esaïe 22, verset 20.
Il arrivera en ce jour là, que j'appellerai mon serviteur Eliakim, fils d'Elkiah,
et je le revêtirai de la tunique, et je le fortifierai avec ta ceinture,
et je mettrai ton intendance en sa main,
il sera pour père ou habitant de Jérusalem et à la maison de Juda,
et je mettrai la clé de la maison de David sur son épaule,
il ouvrira et personne ne fermera, il fermera et personne n'ouvrira.
En rapport avec la citation de ce verset dans Apocalypse 3,
nous pouvons comprendre que cela parle du Seigneur.
Lui, il porte la clé de la maison de David.
Maintenant verset 23, je le fixerai comme un clou dans un lieu sûr,
et il sera un trône de gloire pour la maison de son père,
et on suspendra sur lui toute la gloire de la maison de son père,
et les descendants et les rejetants et toutes les petites vases,
tant les coupes que toutes les amphores.
Donc en autres mots, tout dépend de ce clou.
Ce clou est ici comme un langage figuratif qui nous parle du Seigneur Jésus,
qui tient tout ensemble.
Et sur lui, tout dépend.
De lui, tout dépend.
Tout est dépendant de lui.
Et c'est celle à penser ici dans Esdras 9,
Dieu avait donc donné dans sa grâce souveraine un clou.
Et on voit donc que ça parle du Seigneur Jésus,
qui maintient tout devant Dieu.
De lui, tout dépend.
Tout est pendu à lui aussi dans la maison de Dieu.
La maison de Dieu.
Ça c'est un point que j'aimerais souligner maintenant.
Dans son saint lieu, comme Esaïe 22 le montre,
ça va ensemble avec la maison de Dieu.
Puis on n'a pas lu à la fin de ce chapitre Esaïe 22,
là il y a une autre référence à un clou.
Mais là c'est l'antéchrist.
Donc je ne peux pas entrer dans tous ces détails maintenant.
Vous pouvez méditer là-dessus.
Mais ici c'est le clou selon les pensées de Dieu qui nous parle du Seigneur Jésus,
et en rapport avec la maison de Dieu.
Maintenant on continue.
Afin que notre Dieu éclaire nos yeux.
Ainsi Dieu a donné, donc dans sa grâce,
une intelligence spirituelle pour comprendre les pensées de Dieu.
Et pour le dire dans notre langage,
Christ a introduit,
puis dans Ephésiens 1 verset 18,
on voit que Paul a prié pour que nos cœurs aussi,
les yeux de nos cœurs soient éclairés,
pour connaître Christ,
pour connaître les pensées de Dieu.
Donc qu'est-ce qu'Estras fait ici?
Il introduit Christ dans les circonstances du peuple de Dieu.
C'est là le secret.
On a vu Christ comme la base de tout,
dans sa vie, dans son sacrifice.
Mais ici, en rapport avec la maison de Dieu,
on voit vraiment que tout dépend de lui.
Le clou, il est aussi la pierre,
le fond de main,
la pierre angulaire,
il est la pierre aussi qui finit le bâtiment,
et qui va orner le bâtiment.
Le Seigneur est tout.
C'est merveilleux.
Si on va étudier l'apport de Dieu,
on va voir que Christ est tout.
Et il est en tout,
et puis il remplit tout.
Donc ici, il est le clou,
qui met tout ensemble,
tout dépend de lui.
Et il donne aussi la lumière.
Ainsi donc, par cette prière,
Christ est introduit.
Et qu'est-ce qu'il dit à la fin du verset 8?
Et nous redonne un peu de vie dans notre servitude.
Donc il parle encore de la grâce de Dieu.
Comment Dieu est intervenu dans l'histoire de son peuple
pour redonner un peu de vie,
ce, on peut dire,
ce réveil, vraiment,
que Dieu avait donné.
Et dans notre servitude,
ils étaient quand même encore soumis aux rois des nations.
Ils étaient soumis aux rois des Perses et des Mèdes.
Et dans Némi 9, Némi réfère à ça aussi.
Ils étaient encore des serviteurs des rois des nations.
Mais en même temps,
ils étaient libres pour servir Dieu,
pour rentrer à Jérusalem,
pour servir Dieu.
Verset 9.
Mais dans notre servitude,
notre Dieu ne nous a pas abandonnés.
Donc, il répète ici,
les interventions de la grâce de Dieu
pour les ramener à Jérusalem,
comme on a vu dans Esdras 1 et 2,
et aussi dans chapitre 8.
Il parle ici donc de la fidélité de Dieu.
J'ai mentionné déjà la grâce souveraine de Dieu.
Mais ici, la fidélité de Dieu aussi.
Dieu ne dévie jamais de ses plans pour son peuple.
Dieu avait un plan pour habiter là, à Jérusalem,
dans sa maison,
pour avoir son peuple avec lui.
Et Dieu les a restaurés dans ce sens-là.
Malgré les circonstances difficiles,
sous ces rois des païens,
Dieu ne les a pas abandonnés.
Et il a étendu, verset 9 au milieu,
sa bonté sur nous devant les rois de Perse,
afin de nous redonner de la vie,
pour élever la maison de notre Dieu.
Il faut voir le contexte.
Pour élever la maison de notre Dieu.
C'est ça le point.
On a vu ça déjà dans chapitre 1,
mais plusieurs références.
Donc ça nous parle de l'importance de cette pensée-là,
de la maison de Dieu.
Et dans nos jours aussi, dans Timothée,
il y a beaucoup d'instructions concernant la maison de Dieu.
Aussi dans 1 Corinthien,
la première partie de l'épître surtout,
parle beaucoup de la maison de Dieu.
Et pour restaurer ses ruines.
Quant à la responsabilité du peuple,
tout était en ruine.
Mais Dieu est intervenu.
On voit aussi dans le livre des rois et des chroniques,
avant la captivité babylonienne.
On voit 7 réveils.
Ça vaut la peine d'étudier ces 7 réveils que Dieu a donnés.
Puis dans ce sens-là,
on a tous besoin d'un réveil.
C'est évident.
Puis chaque génération a besoin d'un réveil.
Une fois pour la première fois.
Mais malheureusement, souvent dans notre vie,
ça doit se répéter.
Et aussi se profondir,
avec l'aide de Dieu.
Ensuite, nous avons à la fin du verset 9,
pour restaurer ses ruines.
Ce livre-là, c'est un livre qui parle beaucoup de la restauration.
Dieu ne dévie jamais de ses pensées.
Puis si tout est en ruine, il va restaurer.
Et c'est pour ça que j'ai dit au début,
ce livre parle de la restauration.
Ça c'est quand même une note positive,
même à la fin, malgré tout.
Et pour nous donner des murs.
Il parle ici de la protection.
Il avait besoin de la protection.
Dieu était leur protection.
On le voit dans Zacharie.
C'était un prophète qui a vécu dans ces jours-là.
Il parle beaucoup de la protection,
que la présence de Dieu est comme une protection.
Maintenant verset 10.
Notre Dieu, que dirons-nous après cela ?
En autres mots, il ne réfère pas seulement à l'histoire du passé,
avant la captivité.
Il réfère aussi à leur état actuel.
Qu'est-ce qu'on doit dire ?
Quand nous avons abandonné tes commandements.
C'est donc une confession profonde.
Et verset 11.
Tu as commandé par tes serviteurs les prophètes.
De nouveau, il s'associe avec le peuple dans le passé.
Moïse était un prophète.
Mais d'autres prophètes ont parlé.
Il y a aussi dans Malachie 2.
Il y a un autre prophète qui a parlé,
après ces jours d'Estrace,
qui a dit le même message,
en disant,
le pays dans lequel vous entrez pour le posséder
est un pays rendu impur par l'impureté des peuples,
etc.
On voit ça déjà dans les écrits de Moïse.
Mais l'obligation était très claire,
que maintenant le peuple de Dieu ne pouvait jamais s'allier à ces nations.
Et c'est ça qu'ils ont fait exactement.
C'est ça que l'histoire de l'Église montre.
C'est ça qu'on a fait.
On a introduit les idolâtries des nations,
des païens,
de multiples façons.
Et puis, chaque génération de nouveau,
on voit les mêmes dangers.
L'ennemi est très rusé,
comme je l'ai dit,
les jours après la réformation,
il agit d'une autre façon.
Et dans nos jours,
il agit de nouveau d'une autre façon.
Mais l'ennemi ne va jamais lâcher.
Il va toujours attaquer le peuple de Dieu et le témoignage de Dieu.
Verset 12
Maintenant ne donnez pas vos fils à leurs fils.
Donc ils répètent le message des prophètes,
qu'ils ne devraient jamais chercher la paix de ces nations,
à jamais,
afin que vous soyez forts,
et que vous mangez les biens du pays.
Ici Dieu donne une promesse très spéciale.
Si on respecte les pensées de Dieu,
si on les met en pratique,
Dieu va nous donner les biens du pays.
Dans Isaïe 1, verset 19,
dans Isaïe 1, ils constatent l'état du peuple,
comme il l'est preux.
Mais dans verset 19, il dit,
si vous faites la pensée de Dieu,
les pensées de Dieu,
la volonté de Dieu,
vous allez manger les biens du pays.
Donc c'est comme une invitation,
comme un défi d'obéir.
Là, on va recevoir les bénédictions de Dieu.
C'est garanti.
Dieu veut cette obéissance,
et ensuite, il peut nous bénir.
Verset 13, il répète la situation de ce jour,
et il dit au milieu, à la fin du verset 13,
et tu nous as donné une délivrance comme celle-ci.
Donc ça souligne la pensée d'un résidu,
un petit témoignage,
un petit résidu,
mais quand même un témoignage pour Dieu.
Maintenant, gâté par les efforts de l'ennemi.
Verset 14,
est-ce que nous retournerions
à enfreindre tes commandements
et à nous allier par mariage
avec les peuples qui font ces abominations?
Donc la question est la réponse.
Non!
Jésus avait remarqué ce danger,
puis il a dit,
il faut se libérer de cette influence-là.
Puis il s'est donné comme exemple,
moi et ma maison,
nous servions Dieu.
Dans Jésus-Christ 23,
on voit déjà que le peuple avait accepté
ses idolâtries.
Verset 14,
nous parle donc de cette colère de Dieu
qui serait le résultat.
Ne serais-tu pas courroucé contre nous
jusqu'à nous consommer?
Comme c'était le cas dans le passé,
ce serait le cas de nouveau.
En sorte qu'il n'y aurait ni reste,
ni réchappé.
Donc on a constaté par la grâce de Dieu,
il y avait un reste,
il y avait des réchappés.
Mais si les réchappés allaient se corrompre de nouveau,
il n'y avait rien de plus.
C'est ça qu'on voit dans Malachi.
C'est très solennel.
Nous vivons dans ces jours de l'Odyssée
ou dans les jours de Malachi.
Est-ce qu'il y a encore quelque chose pour Dieu?
Verset 15,
Éternel Dieu d'Israël,
tu es juste.
Dieu ne va jamais compromettre son caractère.
Car nous sommes un reste de réchappés,
comme il paraît aujourd'hui.
Nous voici devant toi dans notre culpabilité.
Car à cause de cela,
on ne peut se tenir devant toi.
Voilà cette humiliation.
Et comme j'ai dit,
c'est là où Dieu peut intervenir.
S'il voit une telle attitude,
il va agir,
il va intervenir.
C'est ça qu'on voit maintenant.
Quelle différence,
juste une petite parenthèse,
avec le Seigneur Jésus.
Il s'est tenu devant Dieu tout le temps.
Dieu a pu maintenir le Seigneur Jésus dans sa présence
lorsqu'il a vécu sur la terre,
chaque jour.
Chaque jour,
il s'est tenu devant Dieu.
Quel encouragement pour nous,
parce que Dieu nous a laissés dans ce monde
pour nous tenir devant Dieu.
Mais si nous acceptons des péchés
qui ne sont pas jugés,
on ne peut plus se tenir devant Dieu.
C'est ça la pensée.
Donc ici,
Esdras s'humilie.
Et verset,
chapitre 10 maintenant.
Comme il priait,
il faisait sa confession.
Puis là,
il y a encore un élément qui est mentionné là.
Pleurant et se prosternant devant la maison de Dieu.
J'aimerais souligner ça.
Donc il a pleuré.
On lit beaucoup du Seigneur Jésus qu'il a pleuré,
mais aussi dans les psaumes.
Souvent des références pour ça.
Dans Esaïe 53,
l'homme de douleur.
Esdras se voit ici dans la présence de Dieu.
Il voit les choses avec l'œil de Dieu,
pour ainsi dire.
Et puis devant la maison de Dieu.
C'est important que nous voyons les choses
en rapport avec la maison de Dieu.
Et qu'est-ce qui se passe maintenant?
Il se rassembla vers lui d'Israël,
une très grande congrégation d'hommes,
de femmes et d'enfants.
Car le peuple pleurait beaucoup.
Il y avait maintenant un écho dans le peuple.
Un écho.
Esdras a donné le bon exemple.
Il y a un écho maintenant.
C'est pour ça que j'ai dit,
un pécheur peut faire beaucoup de mal,
selon ce verset d'un églésiaste.
Mais un homme de Dieu,
comme Esdras,
peut avoir un impact très positif.
Il y a un écho maintenant,
dans le peuple.
Verset 2.
Et Shekania, fils d'Ezekiel,
et fils d'Elam,
si c'est le même,
je ne peux pas entrer dans tous les détails,
évidemment,
mais ce nom est mentionné déjà dans chapitre 2.
Dans ce cas là, c'est le petit fils d'Elam.
Et puis dans ce cas là,
Ezekiel,
selon chapitre 10, verset 26,
était un de ses frères,
qui a dû renvoyer une femme étrangère.
Donc, si c'est la même personne,
il parle avec expérience,
connaissant la situation.
Verset 2.
Nous avons été infidèles.
Donc il est comme la porte-parole du peuple.
Esdras avait prié et confessé ce.
Maintenant, il y a un écho dans le peuple.
Et puis lui,
est comme porte-parole du peuple.
Nous avons été infidèles à notre Dieu.
Et nous avons pris des femmes étrangères.
Comme j'ai dit,
peut-être lui-même n'était pas coupable,
mais son père, probablement,
ou en tout cas d'autres membres du peuple de Dieu,
il s'identifie avec ça.
Quel est le problème ici?
J'aimerais quand même mentionner ce problème-là,
parce que je me suis demandé,
mais qu'est-ce qu'on devrait penser de Ruth, par exemple?
Le livre de Ruth.
Elle était une femme étrangère.
Est-ce qu'on doit la blâmer de la même façon?
Ou Rahab, dans Jésus et deux,
je me suis posé cette question-là.
Rahab est une prostituée.
Vous pouvez même dévouer à l'idolâtrie
de cette nation canadienne,
d'une façon terrible,
mais elle s'est séparée de ces choses.
C'est ça le grand point.
Ruth s'est séparée de Moab
et de la région de Moab.
Dans Deuteronome 23, je pense qu'il y a une référence
que quelqu'un de Moab ne peut jamais entrer
au milieu du peuple de Dieu.
Jamais!
Mais il y a une exception.
S'il y a une repentance,
s'il y a le jugement de soi-même,
s'il y a ce mouvement vers Dieu,
là il y a une exception.
Et c'est ça qu'on voit dans Rahab.
On voit la grâce souveraine de Dieu dans Jésus et deux.
Ça c'est une chose, évidemment.
Une œuvre de Dieu dans Rahab.
Mais Rahab était quand même une femme étrangère.
Mais elle est venue comme membre du peuple de Dieu.
C'est ça le secret.
Elle n'était plus une femme étrangère.
Tandis que ces femmes étrangères
ont gardé leurs idoles.
Elles ont gardé dans leur cœur
cette présence idolâtre, ces abominations.
C'est comme si elles allaient
corrompre le peuple de Dieu.
C'était la ruse de l'ennemi.
Donc, ça ne veut pas dire
qu'il n'y avait pas de place,
même dans ce temps-là,
parmi le peuple de Dieu pour de telles femmes.
Mais pas comme attachées à cette idolâtrie.
C'est ça le point.
Puis, on doit constater, malheureusement,
aujourd'hui, au milieu du peuple de Dieu,
que, comme j'ai dit,
il y a beaucoup de femmes étrangères
qui ont beaucoup d'associations avec l'idolâtrie
ou le mal
qui n'est pas jugée.
Ici, ces femmes n'ont pas jugé ce mal.
Et ces hommes n'ont pas jugé.
Parce que l'homme est présenté comme responsable.
Tandis que les exemples
que j'ai mentionnés, Ruth et Rob,
elles avaient jugé ce mal.
Puis là, la grâce de Dieu
est intervenue.
Il y a quand même aussi,
si j'aimerais ajouter ça,
une différence avec la grâce.
Dans le temps de la grâce,
qu'est-ce qu'un chrétien sainte nous dit?
Une femme est sauvée,
puis son mari n'est pas encore sauvé.
Mais la parole de Dieu nous dit
que ses enfants sont saints
extérieurement.
Ils ne sont pas nés de nouveau,
mais ils sont extérieurement mis à part pour Dieu.
À cause de sa conversion.
Puis son mari est sanctifié.
Dans ce sens-là,
dans ce même chapitre, Paul dit
tu sais que tu ne peux pas sauver ton mari,
que tu seras l'instrument pour sauver ton mari.
Donc ça c'est
notre temps, la période de la grâce.
Ici on est encore sous la loi.
C'est quand même une période différente
dans les voies de Dieu.
Il faut quand même remarquer cela aussi.
Mais si vous avez encore une question là-dessus,
on peut la poser à la fin.
Maintenant verset 3,
ils vont faire une alliance.
Je répète, ils sont encore ici
dans le contexte de l'Ancien Testament.
Dans le contexte de la loi.
Mais quand même,
et c'est ça qu'on peut apprendre de ces gens-là,
une énergie spirituelle,
un dévouement pour Dieu, une foi.
C'est ça qu'on imite.
On ne va pas se placer sous la loi,
sous le même système où eux étaient.
On peut imiter leur foi.
On peut imiter leurs ailes pour Dieu.
C'est ça.
Les leçons pour nous.
Cet exercice profond pour plaire à Dieu.
Donc là ils ont déterminé
pour renvoyer toutes les femmes.
Comme j'ai dit, ces éléments
non jugés, idolâtres,
des influences que l'ennemi pouvait utiliser.
Ces éléments-là
ont dû
être renvoyés.
Puis pour nous, moralement, c'est très clair.
On doit juger ces éléments-là.
Dans ce temps-là, aussi littéralement,
les femmes ont été
renvoyées.
Donc les fruits,
et aussi ceux qui sont nés d'elles.
Les fruits d'une telle alliance profane
ont été expédiés.
J'ai marqué déjà la différence
avec notre dispensation.
Qu'est-ce qu'ils ajoutent
au milieu du verset 3?
Selon le conseil de Monseigneur
et de ceux qui tremblent au commandement
de notre Dieu.
Ici le conseil de Monseigneur, c'est le conseil
d'Ezra,
qui représente Dieu ici.
Et aussi selon ceux qui tremblent
au commandement de notre Dieu.
Qui ont respect, donc,
une obéissance
pour la parole de Dieu.
Et qu'il soit fait selon la loi.
Lève-toi, l'action maintenant.
La responsabilité sur
Ezra, verset 4, la chose repose
sur toi, et nous serons avec toi.
Ils le supportent.
Ils sont en communion avec son exercice.
Ils disent, sois fort et agis.
Et Ezra se leva, il fit jurer
au chef des sacrificateurs.
Maintenant on pourrait dire, ok,
maintenant tout est complet là.
Tout est fini.
Ezra a réussi. Maintenant,
quoi faire encore? Oui!
Ezra réalise.
Le moment est venu maintenant pour agir.
Puis juste encore quelques pensées,
brèvement là,
pour ajouter là-dessus.
Verset 6, montre de nouveau
son attitude. Ezra se leva de devant
la maison de Dieu. De nouveau la maison de Dieu.
Je le remarque, je souligne seulement.
Et Allah, dans la chambre de Yohanan,
fils d'Eliaship, il entra
là, il ne mangeait point
de pain. Il jeûne
donc. Le jeûne, dans la
parole de Dieu, c'est pour exclure
la chair.
Ezra était en danger, même à ce
moment-là, de devenir très
fier. Il aurait pu dire, vous voyez,
c'est superbe,
ça marche mon affaire.
Ce serait
la fierté. L'affaire
n'était pas encore complétée.
Oui, il y avait un
changement dans l'attitude du peuple,
mais c'était juste le début.
S'il était devenu fier, ce moment-là,
tout serait perdu.
Donc il a jeûné, et puis
il a mené
d'ail. Vous voyez,
cette humiliation profonde
d'Ezra. Quel exemple pour nous.
Il n'a pas
cherché à se rendre populaire
ou suivre sa propre volonté.
Ni le légalisme, ou quoi que ce soit.
Non, il n'a rien cherché de cela.
Verset 7.
Une proclamation. Un appel, ici,
veut dire une proclamation.
Pour
sensibiliser
tout le peuple, pour les ramasser.
Ils sont venus, verset 9,
le neuvième mois,
et c'était trois jours
après, et verset 9
dit, tout le peuple était assis
dans la place de la maison de Dieu. Il y avait donc
une grande place devant la maison de Dieu.
De nouveau, vous voyez, devant la maison
de Dieu. C'est toujours
un rapport avec la maison de Dieu
et un rapport avec la présence
de Dieu. C'était là où Dieu habitait.
Et le peuple se réunit là.
Et dans Nihimi, on voit que c'était une grande place
qui est appelée aussi la place
un rapport
avec la porte d'eau.
Une place qui est appelée aussi
une place d'eau.
Puis celle-là, probablement
où il y avait aussi cette
cérémonie dans l'évangile selon Jean
dans la
fête des tabarnacles où les gens
ont présenté l'eau devant Dieu.
C'est là où le Seigneur Jésus a crié
qui a
soif, venez à moi.
Mais c'est juste une parenthèse.
Ils l'ont tremblé.
Ça c'est une remarque. Tremblé à cause
de cette affaire. Donc, on voit
l'impact de cet exercice
sur le cœur du peuple, mais aussi
à cause des plis. Là on voit la main
de Dieu dans sa providence.
Même la nature pour ainsi dire a coopéré
pour forcer les gens
à être exercés et tremblés devant
Dieu. On a déjà vu qu'ils ont
tremblé
à cause de la parole de Dieu.
Maintenant,
Ezra se communique donc
ce qu'il avait décidé
à cause de la culpabilité du peuple.
Verset 11. Et maintenant
faites confession à l'éternel.
Trois éléments que j'aimerais juste
remarquer. Faites confession.
C'est une chose. C'est beau.
Mais ce n'est pas suffisant.
Deuxième point.
Faites ce qui lui est agréable.
Dans deux chrétiens,
on voit que l'apôtre Paul parle
beaucoup de cette attitude d'humilité.
Mais il faut
confesser, mais il faut
aussi se purifier. Il faut
ajouter l'acte à la parole.
Dans
Proverbe 28, il est dit aussi
celui qui confesse
ses péchés
trouve une faveur de la part de Dieu. Non.
Et abandonne
ses péchés. Donc les deux vont ensemble.
La confession et abandonner
les péchés. Ça va ensemble.
Puis on voit ici que Ezra
propose cela. Et il dit
aussi, séparez-vous des peuples du
pays. Le mot séparer,
j'ai oublié cela en rapport
avec chapitre 9. C'est un mot qui revient souvent
dans la parole de Dieu. Dans Genèse 1,
la lumière était séparée
des ténèbres. Dans Jean 1,
le Seigneur Jésus est venu comme la
lumière. Les ténèbres ne l'ont pas
comprise. La séparation
est une pensée très
importante dans la parole de Dieu. Mais c'est une séparation
pour Dieu. Les pharisiens
étaient séparés,
mais c'était juste négatif.
Ce n'est pas suffisant. La séparation
est vraiment une séparation,
une pensée positive.
Séparer pour être
agréable à Dieu.
Donc ces trois phases-là
vont ensemble, la confession,
l'acte même de la
purification de la séparation et ainsi,
séparez-vous, la pensée
positive pour être prêt
pour servir Dieu, pour être associé
à Lui, pratiquement.
Et on voit aussi dans
Jean 21, une question
de restauration est profonde.
Dans Jean 21, on voit que le Seigneur a pris
son teint avec pierre pour le restaurer.
Ici on voit aussi que Esdras
prend son teint.
Il en prit même trois mois
pour que cette affaire soit réglée.
La restauration, ça prend du teint.
Mais il y a un résultat béni
comme on voit dans ce chapitre.
Donc on va terminer avec
cela. Verset 14,
on voit que les choses
doivent être examinées. Chaque
cas doit être examiné.
Il ne faut pas
précipiter les choses, comme on a
la tendance de faire quelquefois.
Il faut examiner avec soin, et ici on voit
que dans chaque localité, ils ont dû
établir l'affaire.
Et même avec cette proposition,
il y avait encore un désaccord, verset 15.
Mais quand même,
j'aimerais terminer avec cette note-là.
On voit ici les vainqueurs
dans ce chapitre.
On voit, par la grâce de Dieu, comment
il y a un élément qui a vaincu.
Un élément pour Dieu, un élément
spirituel pour Dieu, c'est comme des vainqueurs.
Ils sont appelés les fils
de la transportation, verset 16.
C'est une remarque,
donc une expression qui
présente
leur situation.
Ils étaient en captivité.
Ils sont les fils de la transportation.
Ils sont revenus à Jérusalem.
Et puis,
verset 16, à la fin,
ils s'assirent. C'est un élément que j'aimerais
souligner. Je ne dis pas de hâte,
de précipitation. Ils s'assirent
le premier jour du dixième mois
pour exéminer l'affaire. Et le premier
jour du premier mois, ils en
eurent fini. Donc, ils ont pris leur
teint. Dans Matthieu 13, nous voyons
dans la septième parabole
que les pêcheurs
se sont assis pour trier
les poissons. Ici aussi,
ils ont pris du teint. Et le Seigneur
lui-même, Malachie 3, il a dit qu'il
va s'asseoir
pour purifier son peuple.
Le Seigneur prend son teint pour purifier
son peuple. Il est assis
pour cela, pour examiner, pour
prendre le teint, pour agir avec
soin, pas précipiter.
Et chaque cas est différent.
Ça prend du teint aussi.
Verset 18, parmi les chefs des sacricateurs,
il s'en trouva
qui avait pris des femmes étrangères.
Donc, ils étaient plus coupables,
ils sont mentionnés en premier pour cela,
les chefs, en plus sacricateurs
qui sont supposés d'être dans la présence de Dieu.
Ils avaient manqué. Donc, ils sont
les plus coupables. Ensuite, les
lévites qui étaient les serviteurs des
sacricateurs. Et ensuite,
verset 25, les membres
du peuple d'Israël.
Et à la fin, verset 44,
tous ceux-ci avaient pris des femmes
étrangères. Il y en avait parmi eux
dont les femmes avaient eu des enfants.
On voit donc
que là,
toute l'affaire est réglée.
J'aimerais vraiment souligner
le côté positif de tout cela.
Que par la grâce de Dieu, par l'intervention
d'Israël ici, mais par la grâce de Dieu,
il y avait maintenant une restauration
pour que le peuple puisse être un témoignage
pour Dieu et continuer
pour Dieu
sans que l'ennemi puisse
avoir le contrôle par
ses idolâtries, par ses abominations
et corrompre
le peuple de Dieu. L'ennemi veut toujours gâter.
Il veut toujours gâter.
J'aimerais terminer avec
un verset
d'un Jude.
À la fin du Jude,
il est dit,
Jude 24,
Hors à celui qui a le pouvoir
de vous garder.
Vous voyez, on a besoin de cela.
Nous vivons dans des jours difficiles,
dangereux.
On a besoin
d'être gardé.
Donc, Jude 24,
Hors à celui qui a le pouvoir de vous garder
sans que vous branchez.
Esraël n'a pas branché.
Sans que vous branchez,
et de vous placer irréprochable,
ceux qui avaient manqué
se sont purifiés
de ces éléments-là.
Puis là, ils sont devenus irréprochables
devant Dieu, devant sa gloire
avec abondance de joie.
Au seul Dieu,
notre Sauveur, par notre Seigneur Jésus-Christ,
gloire, majesté,
force et pouvoir,
dès avant tout siècle, et maintenant,
et pour tous les siècles. Amen.
J'aimerais terminer avec cette note-là,
parce que tout dépend de Dieu.
Dieu avait restauré ce petit reste.
Dieu avait vu comment l'ennemi
est entré là-dedans.
Dieu a envoyé Esdras.
Esdras, c'est comme un nouveau réveil.
Esdras, profondément exercé,
a agi comme ça.
Dieu a pu intervenir dans sa grâce
pour donner encore une restauration,
un nouveau réveil, pour ainsi dire.
Le livre termine sur une note
très positive, quand même.
Malgré tous ses manques,
c'est un encouragement pour nous,
parce que nous vivons dans des jours très difficiles.
On serait découragé, découragé par ci,
découragé par cela. Non.
Il ne faut pas se décourager.
On voit Esdras aussi dans les jours de Nihimi.
Lorsque la muraille
était finie,
il y avait deux
coeurs qui ont marché
sur la muraille.
En tête d'un coeur,
Nihimi avec un autre coeur.
Donc, le ministère
d'Esdras a quand même continué.
Il y a eu un impact, un effet.
Mais quand même, il avait une place
différente comparée avec Nihimi.
Je ne peux pas entrer dans ces détails-là, maintenant.
Mais, c'était 13 ans plus tard
qu'il est vu là.
Lorsque la muraille était
complétée là,
Dieu s'est servi d'Esdras encore une fois.
Donc, on voit vraiment
l'aide de Dieu
dans ce livre d'Esdras.
C'est très beau de voir que
même les livres des chroniques
nous montrent beaucoup de ces éléments.
Comment Dieu veut donner
un réveil. Comment Dieu veut encourager son peuple
malgré toutes les choses
qui sont négatives. Mais Dieu veut
qu'on juge le mal.
Dieu veut qu'on
tremble pour sa parole.
Qu'on se garde pur
pour lui-même. Et ainsi,
Dieu va nous aider comme le nom d'Esdras
indique. Le Seigneur nous aide.
On le dit souvent comme une prière.
Mais, il va nous aider si nous
suivons l'exemple
de ces personnes-là. Donc, s'il y a encore
une question, je ne veux pas
prolonger parce que l'heure
est pas mal avancée.
Je m'excuse, mais deux chapitres,
on ne peut pas juste prendre dans quelques minutes.
Mais, s'il y a encore
une question urgente,
il faut prendre le temps pour ça.
...
Sinon, vous pouvez toujours
demander à un des frères après. …