La séparation selon Dieu
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aeb020
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FR
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Dans 1 chronique 12, le verset 18. Et l'Esprit revêtit Amad Saïd, chef des principaux capitaines.
Nous sommes à toi, David, et avec toi, fils d'Isaïe.
J'aimerais prendre ce verset comme un point de départ pour nos études.
La pensée était de penser ensemble sur le principe de la séparation.
Maintenant, si on utilise le mot séparation, on a tout de suite une pensée négative.
Mais j'aimerais montrer que la séparation c'est plutôt une pensée positive.
Et puis, en même temps, avec des aspects négatifs, comme on va voir dans la parole.
Ce que j'aimerais souligner, c'est cet aspect positif, que nous pouvons nous séparer pour appartenir au Seigneur, pour suivre le Seigneur.
Et c'est ça qu'on trouve dans ces paroles, où Amad Saïd, dirigé par l'Esprit, s'est identifié avec David.
David veut dire bien-aimé. Le Seigneur Jésus est notre bien-aimé.
Et l'Esprit aimerait nous lier, attacher à la personne du Seigneur, que nous puissions donner cette réponse.
Nous sommes à toi. On reconnaît son autorité, sa place prééminente.
Et deuxièmement, on est avec lui, dans sa présence, dans sa communion.
Ce sont des pensées fondamentales qu'on va voir dans l'étude de cette portion avec l'aide du Seigneur.
Pour ce soir, on se propose de prendre deux pensées, liées d'abord à la personne du Seigneur, dans Matthieu 18.
Puis après cette étude, juste peut-être une demi-heure, on aimerait chanter le cantique.
Après, continuer dans quelques versets, dans 1 Corinthien 10.
On voit aussi cette pensée de la séparation.
D'abord, la personne du Seigneur, Matthieu 18, verset 20.
Puis son œuvre, 1 Corinthien 10.
Et pour demain, Dieu voulant, si le Seigneur nous laisse encore ici, il peut même venir ce soir, on espère bien.
Dans ce cas-là, on va étudier le matin, j'ai pensé 2 Timothée 2, au moins la deuxième partie, où on voit aussi des principes de la séparation.
Et puis, dans l'après-midi, Hébreu 13, où on voit d'autres principes en rapport avec la séparation pour suivre le Seigneur.
Souvent, je vais aussi référer à l'Ancien Testament.
Et peut-être vous allez dire, mais qu'est-ce que l'Ancien Testament a à faire avec ces choses?
Parce que ce sont des vérités qu'on trouve dans le Nouveau Testament.
Mais j'espère vous montrer que dans l'Ancien Testament, on va avoir des illustrations de ces principes.
Des illustrations qui nous aident beaucoup à comprendre les pensées de Dieu.
Donc, tournons maintenant vers Matthieu 18, où nous voyons le rassemblement local.
Mais quelle est l'importance du rassemblement local?
On va voir l'importance du rassemblement local, c'est à cause d'une personne.
Matthieu 18, c'est pas mon intention de parler de tous ces versets-là, mais on devrait lire dès le verset 15 jusqu'à 20.
Et si ton frère pèche contre toi, va, reprends-le, entre toi et lui seul.
S'il t'écoute, tu as gagné ton frère.
Mais s'il ne t'écoute pas, prends avec toi encore une ou deux personnes,
afin que par la bouche de deux ou de trois témoins, toute parole soit établie.
Et s'il ne veut pas les écouter, dis-le à l'assemblée.
Et s'il ne veut pas écouter l'assemblée non plus, qu'il te soit comme un homme des nations et comme un publicain.
En vérité, je vous dis, tout ce que vous lirez sur la terre sera lié dans le ciel,
et tout ce que vous délirez sur la terre sera délié dans le ciel.
Je vous dis encore que si deux d'entre vous sont d'accord sur la terre pour une chose quelconque,
quelle que soit la chose qu'ils demanderont, elle sera faite pour eux par mon Père qui est dans les cieux.
Car là où deux ou trois sont assemblés à mon nom, je suis là au milieu d'eux.
Et puis un verset, deux versets dans l'Ancien Testament, pour montrer l'importance du nom,
dans Exode 20, le livre d'Exode.
D'ailleurs, si vous avez des questions, peut-être que vous pouvez les écrire.
On pourrait en parler après la réunion parce qu'on n'aimerait pas allonger trop long.
Puis demain matin, on va avoir aussi une possibilité de parler sur des questions.
Mais si vous avez des questions, ça peut aussi après la rencontre de ce soir.
Dans Exode 20, juste un verset, le verset 24.
Tu me feras un autel de terre et tu sacrifieras dessus tes holocaustes et tes sacrifices de prospérité,
ton menu et ton gros bétail.
En tout lieu, il faut marquer ça, en tout lieu où je mettrai la mémoire de mon nom,
je viendrai à toi et je te bénirai.
Ici Dieu parle donc de tout lieu, comme on le trouve aussi dans 1 Chrétien 1.
Chaque rassemblement est un témoignage local pour le nom de Dieu.
En tout lieu où je mettrai la mémoire de mon nom, je viendrai à toi et je te bénirai.
On voit ici donc l'importance du nom.
Ici l'éternel dans le Nouveau Testament, le Seigneur Jésus.
Dans Deuteronome 12, c'est donc le cinquième livre de Moïse qui parle beaucoup du pays.
Dans Exode, c'est dans le désert.
On voit donc le nom du Seigneur lié à son peuple en rapport avec tout lieu où il serait, dans le désert.
Par contre, dans Deuteronome, on voit le nom de l'éternel en rapport avec le pays.
Dans le verset 2 et 3, on voit donc que dans tous les lieux où les nations avaient donc leurs idoles,
ils devraient démolir leurs hôtels, leurs statues, etc.
Tout, éliminé, pour ne pas avoir la communion avec l'idolâtrie.
Puis dans le verset 4, on voit l'importance du nom.
Vous ne ferez pas ainsi à l'éternel votre Dieu.
Mais vous chercherez le lieu que l'éternel votre Dieu choisira d'entre toutes vos tribus pour y mettre son nom.
Le lieu où il habitera.
Et vous y viendrez.
Et vous apporterez là vos holocaustes, et vos sacrifices, et vos dîmes,
et l'offrande élevée de vos mains, et vos vœux, et vos offrandes volontaires, et les premiers nids de votre gros et de votre menu bétail.
Et là, vous mangerez devant l'éternel, votre Dieu,
et vous vous réjouirez, vous et vos maisons, dans toutes les choses auxquelles vous aurez mis la main,
dans lesquelles l'éternel ton Dieu t'aura béni.
Verset 11
Alors il y aura un lieu que l'éternel votre Dieu choisira pour y faire habiter son nom.
Là, vous apporterez tout ce que je vous commande.
Puis répète de nouveau ses pensées.
Donc, on a vu maintenant l'importance du nom.
Pour revenir à Matthieu 18.
C'est remarquable que le Seigneur Jésus parle du rassemblement local en rapport avec des problèmes entre des frères.
C'est souvent le cas dans le Nouveau Testament que Dieu donne une exposition de ses pensées,
des pensées très profondes en relation avec des questions très normales.
Dans 1 Chrétien 10 aussi, Paul parle là des problèmes, des sacrifices.
Sacrifier aux idoles, cette viande là.
L'association avec les temples.
C'était des questions normales dans ce temps là.
Puis en rapport avec la réponse qu'il donne, il montre des principes très fondamentaux, très profonds.
Ici dans Matthieu 18, où le Seigneur parle de ces problèmes.
Comment résoudre les problèmes entre les frères.
Il introduit l'importance du rassemblement local.
D'abord, il y avait donc, je ne vais pas maintenant prendre le temps pour entrer dans les détails.
Si vous avez des questions on peut en discuter plus tard.
Mais il y avait donc des problèmes entre des frères.
Il faut que ces problèmes soient résolus entre les frères.
Si ce n'est pas possible, dans ce cas là, verset 17 nous dit, s'il ne veut pas les écouter, dis-le à l'assemblée.
Voilà, c'est l'assemblée locale, le rassemblement local.
Qu'est-ce que ça veut dire l'assemblée de Chavinigan?
Ce sont tous les chrétiens à Chavinigan.
Donc, pour être clair là-dessus, ce sont donc des personnes qui ont reçu le Seigneur Jésus comme leur sauveur.
Qui le suivent comme leur seigneur.
Qui ont reçu cette nouvelle vie.
Pour ainsi dire, le fils comme leur vie.
Tous ces chrétiens là, forment l'assemblée de Chavinigan.
Maintenant, s'il ne veut pas les écouter, dis-le à l'assemblée.
Qu'est-ce qu'il va faire?
L'assemblée aujourd'hui est divisée.
Elle se trouve partout, dans les églises protestantes, dans l'église catholique.
Beaucoup de dénominations.
Donc avec l'aide du Seigneur, on va voir ce soir et aussi demain, quelques caractéristiques.
Comment on peut continuer quand même les pensées de Dieu dans un temps de ruine.
Et on voit aussi dans ce passage qu'on a lu, l'importance du nom de l'éternel.
Du nom du Seigneur Jésus.
L'importance de ce nom ne peut pas être touché, disons, par le manquement de l'homme.
Si on doit constater que la chrétienté a manqué, que nous tous avons manqué,
est-ce que maintenant tous les plans de Dieu tombent à l'eau, pour ainsi dire?
Est-ce que Dieu a donné ses pensées en vain?
Est-ce que ce serait possible? Non.
Même dans un temps de ruine, Dieu montre un sentier pour nous, pour aller.
Et puis, le premier point qu'on trouve donc ici, c'est l'importance du nom du Seigneur.
D'abord, on peut dire, le Seigneur parle d'une autorité morale que ses deux frères avaient, ou ses trois frères.
Dans le verset 16, nous avons lu,
« Prends avec toi encore une ou deux personnes, afin que par la bouche de deux ou de trois témoins, toute parole soit établie.
Ces frères-là, qui s'occupent de ce cas-là, ont une autorité morale.
Ils peuvent s'occuper de ces problèmes à cause de leurs conditions morales.
Mais ils n'ont aucune autorité.
Et c'est ça qu'on trouve, je veux dire, une autorité formelle.
Parce que l'autorité formelle appartient à l'assemblée de Dieu.
Et pourquoi est-ce que l'assemblée a une telle autorité?
Parce que le Seigneur se lie avec eux.
C'est ça qu'on a lu dans le verset 20.
Les versets 18, 19 et 20 vont ensemble.
Le verset 20 commence par ce mot « car ».
Il donne donc une explication.
Dans le verset 18, le Seigneur Jésus montre quelle autorité le rassemblement a.
Le rassemblement peut lier et délier.
Le rassemblement peut, en autres mots, mettre une personne à part, lier ou délier, recevoir à la table du Seigneur.
C'est l'autorité que le rassemblement a.
Mais pourquoi est-ce que le rassemblement a cette autorité?
C'est ça que le Seigneur Jésus montre dans le verset 20.
Je ne peux pas parler ce soir de tous les détails.
Mais ce verset-là, c'est donc très important à comprendre.
Pourquoi est-ce que l'assemblée peut lier et délier et s'est reconnue sur toute la terre?
Imaginons, sur toute la terre, cette décision sera reconnue.
Ça ne veut pas dire que cette décision est infaillible.
On peut se tromper.
Mais c'est reconnu, et même pas sur la terre, dans le ciel.
Même Dieu reconnaît cette autorité.
Donc vous voyez ici, l'autorité que l'assemblée locale a.
Une autorité qui est reconnue dans le ciel et sur toute la terre.
Ça implique donc, on ne l'a pas encore ici, mais c'est un accord avec l'unité du corps qu'on va voir plus tard.
Ce principe couvre donc cette vérité de l'unité du corps.
C'est reconnu sur toute la terre.
Mais ce qui est encore plus important, c'est reconnu par Dieu.
Dieu reconnaît l'autorité de son Fils qui se lie à ce rassemblement local.
Mais vous voyez maintenant un point important.
Le Seigneur a prévu le temps de la ruine.
Parce que verset 20, il parle de deux ou trois.
Ça peut que le rassemblement local est limité à deux ou trois personnes.
Est-ce qu'il n'y a plus de chrétiens dans cette localité?
Oui, il y en a.
Mais ils ne se placent pas sur cette base.
Ça c'est le problème.
Ils ont leur propre autorité ou leur propre système.
Ils ne sont pas réunis au nom du Seigneur.
Ça c'est le point.
Et puis le Seigneur, pour ainsi dire, a prévu que ce temps viendrait.
Où il n'y aurait plus cette reconnaissance de son autorité par tous les croyants.
On va le voir demain déjà dans la vie de l'apôtre Paul.
Ces choses sont arrivées bien vite dans l'histoire de l'Église.
Mais dans nos jours c'est encore plus difficile que d'un sens dans les jours de Paul.
Maintenant, ce que j'aimerais souligner ici, c'est que le Seigneur parle ici dans le verset 20.
Car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis là au milieu d'eux.
On peut donc reconnaître ou vérifier si on se trouve dans ce rassemblement.
Est-ce que ce rassemblement est vraiment assemblé en son nom?
Ça veut dire donc avec toute son autorité.
On peut traduire dans deux façons différentes.
On peut aussi lire assemblé à son nom.
Et c'est très beau ça.
Là c'est donc le Seigneur Jésus comme le point d'attraction.
Le Seigneur nous attire.
Et j'ai dit, c'est très important à comprendre ça, que la séparation a plutôt un aspect positif.
C'est ça qu'on trouve ici.
Le Seigneur attire par la beauté de son nom.
Dans l'éternum 12, on a la même pensée.
Le nom de l'éternel était tellement beau pour le peuple, qu'il voulait faire tout pour ainsi dire.
Pour avoir la présence de l'éternel avec eux.
Mais il y a une autre chose.
C'est aussi la base du rassemblement.
Parce qu'en mon nom, veut dire, on a vraiment toute son autorité.
D'un sens, le Seigneur Jésus est absent.
Je dis d'un sens.
On ne peut pas le voir avec nos yeux physiques.
On voit nos frères et soeurs.
Et dans ce sens là, on ne voit pas le Seigneur.
Donc, d'un certain sens, il est absent.
Il est absent.
Mais il y a toute son autorité avec nous.
Si nous nous réussissons vraiment en son nom.
Ça veut dire, si nous lui donnons toute autorité.
Si nous le reconnaissons comme notre Seigneur.
Dans ce cas là, il nous donne son autorité.
Comme on le voit, dans le cas de l'exclusion et de la réception.
Le rassemblement local a l'autorité du Seigneur.
Représente le Seigneur donc, d'un certain sens.
Ce n'est pas à cause de nous que nous sommes des gens tellement bons.
Absolument pas.
C'est à cause de lui.
C'est toujours important de comprendre qu'en nous même, on n'a aucune cause.
La cause du rassemblement, pour ainsi dire, se trouve en lui.
Parce que c'est lui qui nous invite.
Donc on a vu, c'est son nom qui nous attire.
En son nom, c'est aussi à son nom.
Deuxièmement, il est aussi la base du rassemblement.
En son nom, veut aussi dire qu'il donne, pour ainsi dire, vraiment la base devant Dieu.
Dieu reconnait cette base.
Dieu ne reconnait pas la base d'un système humain qu'on va voir dans Hébreu 13.
Dieu ne le reconnait pas.
Mais Dieu reconnait cette base là.
Maintenant dans le verset 20, je voulais juste brièvement mentionner ce point.
Le Seigneur parle d'une place.
Là où.
C'est donc très clair.
Il parle d'une place.
Ce n'est pas quelque chose dans notre imagination.
C'est quelque chose de réel.
Il parle d'une place.
On peut trouver une place à Chavinigan ou à Hawkesbury, selon les pensées de Dieu,
où le Seigneur se rassemble avec les siens.
Où le Seigneur est présent avec les siens qui se sont réunis autour de lui.
Et puis même si ce n'est pas réalisé dans chaque localité, la parole nous donne la possibilité.
La parole, comme on la trouve dans 1 Chrétien 1, vous pouvez lire ça à la maison.
Vous pouvez voir que dans chaque localité, le Seigneur donne cette possibilité.
Deuxièmement, c'est un témoignage, deux ou trois.
C'est un témoignage ici, le minimum.
On peut avoir 200 ou 300 aussi.
Ou 20 ou 30.
Ce 2 et 3, c'est vraiment le minimum.
Mais c'est un témoignage pour les droits du Seigneur qui est reconnu dans le ciel.
Troisièmement, ils sont assemblés.
Ils sont ensemble.
Et puis c'est lui qui les a mis ensemble.
Ce n'est pas nous.
Ce n'est pas parce que je trouve Roger un frère tellement sympathique que je veux me rassembler avec lui.
Non, on se retrouve ensemble parce qu'on aime le Seigneur.
On est attiré vers le Seigneur.
Et même si on ne se trouve pas sympathique, on doit apprendre à apprécier, aimer l'un et l'autre à cause du Seigneur qui est le centre du rassemblement.
Et maintenant, j'ai mentionné le centre.
Ça c'est qu'on trouve en mon nom.
J'ai dit que le Seigneur est le centre d'attraction.
Mais il est aussi vraiment le centre du rassemblement.
Tout se fait autour de lui.
Il a la base, comme on a vu, devant Dieu.
Et maintenant, le Seigneur lit, comme on a vu, en rapport avec son autorité avec le rassemblement.
Mais il lit aussi sa présence avec ce rassemblement.
Je suis là.
Donc d'un côté, on ne le voit pas avec nos yeux physiques.
Mais il lit sa présence avec le rassemblement.
Je suis là.
Au milieu de.
De nouveau cette pensée du centre.
Maintenant dans l'Ancien Testament, ces versets qu'on a lus nous aident beaucoup.
Dans Exode 20, on voit, et on va revoir cette pensée de l'autel bien souvent.
On voit le Seigneur, dans le verset 24, où il parle d'un autel.
Où il parle des sacrifices de prospérité.
On va parler des sacrifices de prospérité plus tard.
Il parle des holocaustes qui étaient pour Dieu.
En tout lieu, verset 24, où je mettrai la mémoire de mon nom.
C'est lui qui fait ça, ce n'est pas nous.
Au fond, si le Seigneur a donné cette place pour nous, c'est lui qui l'a donné.
En tout lieu où je mettrai la mémoire de mon nom.
Il le fait pour lui-même.
Ça c'est très important.
Et même ce qu'on trouve dans Matthieu 18, il le fait pour lui-même.
Et je viendrai à toi et je te bénirai.
Quelle pensée que le Seigneur veut nous bénir.
Ce qu'on a eu dans Matthieu 18, sa présence c'est une bénédiction.
Et juste quelques mots dans Deuteronome 12, où on a de nouveau le nom.
On trouve bien souvent cette expression que Dieu ferait habiter son nom au milieu d'eux.
Mais on trouve là dans Deuteronome 12 aussi un autre principe.
Dans Exode, on a vu en tout lieu.
Mais dans Deuteronome 12, on voit que Dieu parle d'un seul endroit.
Ça c'est la différence.
C'est quand même la même pensée.
Vous voyez, pour nous, si nous réalisons cette place, c'est en rapport avec cette pensée de l'unité.
C'est ça qu'on va voir plus tard.
L'unité du corps est exprimée localement.
C'est ça qu'on trouve un peu dans Deuteronome 12.
Où le Seigneur les donnerait une place pour faire habiter son nom.
C'était une seule place.
Mais l'importance était si eux, dans l'endroit où ils habitaient, étaient liés à cette place.
C'est pour nous la même chose.
Dans notre localité, dans les diverses localités où nous habitons, nous sommes quand même liés à cette place où le Seigneur est tout.
Où nous tous appartenons à lui.
Je veux dire, dans ce temps là, c'était Jérusalem.
Mais toutes les villes de Judée, ou dans les autres tribus, étaient liées à Jérusalem.
Toutes ces villes avaient un lien avec Jérusalem.
Et c'est la même chose aujourd'hui.
Dans notre localité, on reconnait ce lien avec le centre divin.
Maintenant, on voit donc que dans ce temps là, il y avait dans tous les lieux des idoles.
Des statues.
Et Dieu veut que le peuple, son peuple, se débarrasse de ses influences.
Parce que nous ne sommes pas meilleurs que ces gens là dans ce temps là.
On peut être affecté par ses influences.
Et puis on doit se débarrasser complètement de ses influences.
Et puis l'aspect positif après ça, verset 4.
Mais vous chercherez le lieu que l'Éternel, votre Dieu, choisira.
Il ne donne pas l'adresse.
Il veut que nous soyons exercés.
Que nous étudions la parole pour trouver cette place.
C'est peut-être pas même la pensée de Dieu d'inviter des gens pour venir au rassemblement.
Il faut qu'eux trouvent cette vérité eux-mêmes.
Selon les principes de la parole.
Cela n'a pas de sens de donner une adresse à quelqu'un juste par curiosité.
Parce que le Seigneur veut que nous soyons convaincus de cette vérité.
Il faut qu'on soit personnellement convaincu de cette vérité.
Qu'on puisse marcher dans cette vérité.
Et on voit donc dans le verset 4 que Dieu lui-même choisirait cette place où il habiterait.
Dieu veut habiter au milieu de son peuple.
C'est tout. Tout vient de lui.
C'est sa pensée d'habiter au milieu de son peuple.
Ce n'est pas nous qui l'avons invité.
C'est lui qui donne cette pensée.
Et puis il donne la possibilité de nous apporter nos offrandes.
Attirer vers lui. On présenterait des offrandes.
Juste maintenant un verset puis on va terminer cette première session.
Verset 8.
Vous voyez c'était le problème du peuple d'Israël dans le temps des juges.
Tout le monde faisait ce qui était bon dans ses jeux.
Mais Dieu dit ici, vous ne ferez pas selon tout ce que nous faisons ici aujourd'hui, chacun ce qui est bon dans ses jeux.
Il y a beaucoup de chrétiens qui ont tourné le dos vers les systèmes officiels, les églises catholiques ou protestantes, quoi que ce soit,
qui restent à la maison comme un petit groupe indépendant.
Ils font seulement ce qui est bon dans leurs jeux.
Ils n'ont aucun intérêt souvent, quelques fois oui, mais souvent aucun intérêt vraiment à connaître les pensées de Dieu sur l'église de Dieu.
Ou sur l'assemblée de Dieu.
Ils veulent seulement se retrouver ensemble et se trouver sympathique.
Ils ont un peu de temps pour lire la parole, ils ont une bénédiction.
Mais ils n'ont pas d'intérêt pour connaître les pensées de Dieu.
Et c'est ça qu'on aimerait voir au milieu de nous, qu'il y ait un intérêt profond, pour ainsi dire, dans les pensées de Dieu.
Dieu les a présentées ici.
Et en rapport avec le peuple d'Israël, cela a pris à peu près 400 ans avant qu'une personne soit là qui a réalisé les pensées de Dieu.
C'était David, de nouveau David.
Et puis pour nous, ça a pris beaucoup de temps, souvent, pour reconnaître ces principes.
Et si nous reconnaissons ces principes, c'est à cause de notre bien-aimé qui nous a aidés pour apprécier ces pensées de Dieu.
Donc on a vu maintenant un peu l'importance de la personne du Seigneur comme étant la base du rassemblement.
Et si vous voulez étudier, on n'a pas le temps maintenant, mais je mentionne simplement dans Matthieu 16, nous voyons l'assemblée universelle.
Comme Dieu a montré là déjà, et le Seigneur a montré à Pierre.
Mais le rassemblement local, on trouve dans Matthieu 18.
Et les deux vont ensemble.
Parce que tous les rassemblements locaux, ensemble, forment seulement cette église universelle.
Et cette église universelle a commencé par Adam, mais a commencé le moment où l'esprit est descendu du ciel.
Donc sur la base de l'oeuvre du Seigneur Jésus, c'est ça qu'on va voir plus tôt.
Sur cette base là, l'église a été formée.
Et puis, on a donc les deux côtés à reconnaître cet aspect universel.
Puis là, on a deux pensées à distinguer.
L'église a commencé par la côte et va durer jusqu'à l'enlèvement.
Mais aussi, aujourd'hui, il y a une église universelle.
Tous les croyants, tous les chrétiens, comme je l'ai dit au début, qui ont reçu le Seigneur Jésus comme leur vie, appartiennent à cette église.
Qui ont reçu l'esprit, appartiennent à cette église universelle.
Et dans chaque localité, ils peuvent donc réaliser ces pensées de Dieu.
Donc, on a vu ici un peu la gloire de la personne du Seigneur.
Comme ces gens dans le temps de David se sont séparés pour appartenir à lui, pour être avec lui.
D'un tel sens, le Seigneur nous attire pour être avec lui.
Mais sa gloire est la base de notre rassemblement.
Peut-être qu'on peut chanter un cantique d'abord, avant de terminer.
Maintenant, chapitre 29.
On a parlé une fois ensemble d'Exode 28.
On pourrait étudier Exode 29 d'une telle façon.
Juste en rapport avec notre sujet maintenant, dans Exode 29.
A la fin du chapitre.
Verset 38.
Verset 38.
Et voici ce que tu offriras sur l'autel.
De nouveau l'autel ici.
Deux aïeaux d'un an, chaque jour, continuellement.
Tu offriras l'un des aïeaux le matin et le second aïeau tu l'offriras entre les deux soirs.
Et un dixième de fleur de farine, pétrie avec un quart d'un d'huile broyée et une libation d'un quart d'un de vin pour un aïeau.
Et verset 21.
Le deuxième, le second aïeau, le soir.
Puis verset 42.
Ce sera l'holocauste continuel en vos générations.
Où?
A l'entrée de la tente d'assignation.
Ou la tente du rassemblement, on pourrait traduire.
Le rendez-vous, on a un rendez-vous.
La tente d'assignation devant l'éternel.
Où je me rencontrerai avec vous pour y parler avec toi.
Et je me rencontrerai là avec les fils d'Israël et la tente sera sanctifiée par ma gloire.
Et je sanctifierai la tente d'assignation et l'autel.
Et je sanctifierai Aaron et ses fils afin qu'ils exercent la sacrificature devant moi.
J'habiterai au milieu des fils d'Israël et je leur serai Dieu.
Ils sauront que moi l'éternel je suis leur Dieu qui les ai fait sortir du pays d'Egypte pour habiter au milieu d'eux.
Je suis l'éternel leur Dieu.
Ici on a donc de nouveau la pensée de l'habitation de Dieu.
Mais il donne la base maintenant du sacrifice.
Ce n'est pas à cause de son nom ici comme on a vu.
Ce n'est pas à cause de la gloire de sa personne.
C'est ici à cause de la gloire de l'oeuvre du Seigneur Jésus.
Et les deux sont importants bien entendu.
Ici on voit l'oeuvre du Seigneur Jésus présentée dans le sacrifice qui était apporté sur l'autel.
C'est ça exactement qu'on va trouver dans 1 Chrétien 10, l'autel.
Et où était l'autel?
A l'entrée de la tente.
Où est-ce que le peuple se rencontrait exactement là?
Où est-ce qu'on se retrouve comme enfant de Dieu autour du Seigneur Jésus à l'autel?
Je veux dire spirituellement, parler spirituellement.
Là Dieu se rencontre avec nous sur la base de l'oeuvre du Seigneur Jésus comme sacrifice.
Maintenant on lit dans 1 Chrétien 10.
On n'a pas le temps pour parler de tous les chapitres.
D'ailleurs on a parlé déjà une fois du début du chapitre 10 en rapport avec le voyage à travers le désert.
Et dans le chapitre 10 versets 14 jusqu'à 22, on voit quelques instructions concernant l'autel qui est appelé la table du Seigneur.
Et on va voir que la table du Seigneur a quelques caractéristiques.
Et en rapport avec la table du Seigneur il y a aussi cette pensée de la séparation.
On va voir ça.
1 Chrétien 10 verset 14.
C'est pourquoi mes bien-aimés fuyez l'idolâtrie.
Je parle comme à des personnes intelligentes.
Jugez vous-même de ce que je dis.
La coupe de bénédiction que nous bénissons n'est-elle pas la communion du sang du Christ?
Le pain que nous rompons n'est-il pas la communion du corps du Christ?
Car nous qui sommes plusieurs sommes un seul pain, un seul corps.
Car nous participons tous à un seul et même pain.
Considérez l'Israël selon la chair.
Ceux qui mangent les sacrifices n'ont-ils pas communion avec l'autel?
Que dis-je donc que ce qui est sacrifié à une idole soit quelque chose ou qu'une idole soit quelque chose?
Non, mais que les choses que les nations sacrifient, elles les sacrifient à des démons et non pas à Dieu.
Or je ne veux pas que vous ayez communion avec les démons.
Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur et la coupe des démons.
Vous ne pouvez participer à la table du Seigneur et à la table des démons.
Provoquons-nous le Seigneur à la jalousie?
Sommes-nous plus forts que lui?
Pour comprendre ce passage, on devrait lire trois chapitres.
Chapitre 8, 9 et 10 et même chapitre 11.
Paul avait reçu une question de la part des Corinthiens en rapport avec les choses qui étaient sacrifiées aux idoles.
Il parle de cela dans le chapitre 8.
Il parle de cette viande, de ces sacrifices.
Il donne beaucoup d'instructions.
C'est une viande normale qu'on peut manger.
Mais il montre aussi qu'on ne peut pas aller dans le temple des idoles pour manger là.
Parce que là c'est une question des associations.
C'est ce principe-là qu'il touche dans ce chapitre 10.
Dans l'ancien testament, dans l'exode 29, on a vu que sur la base du sacrifice, Dieu liait sa présence au peuple de Dieu.
En autres mots, Dieu était ensemble avec le peuple de Dieu sur la base de ce sacrifice.
Et ce sacrifice parle du Seigneur Jésus.
L'esprit de Dieu maintenant habite dans l'assemblée, demeure en nous individuellement, mais aussi dans l'assemblée, dans le rassemblement local et dans l'assemblée universelle que j'ai mentionné.
L'esprit de Dieu habite là.
Donc Dieu en personne est là.
Il habite là.
Pourquoi?
Sur la base de l'heure accomplie du Seigneur Jésus.
Le Seigneur Jésus a glorifié Dieu.
Le Seigneur Jésus était l'Holocauste parfait.
Cela veut dire une offrande qui était pour Dieu, qui montait vers Dieu.
L'Holocauste était complètement pour Dieu, pour glorifier Dieu.
Un homme sur la terre, dans sa mort, a glorifié Dieu.
Et plus tard, on voit que la peau de l'Holocauste était pour le sacrificateur.
Il s'adressait à Dieu, ou il s'approchait de Dieu dans la beauté, pour ainsi dire, de ce sacrifice.
Et d'une telle façon, nous aussi, comment est-ce qu'on s'approche de Dieu?
On est rendu agréable dans le bien-aimé.
On a parlé un peu de ça en rapport avec Josué 1.
Notre position en Christ, nous sommes rendus agréables devant Dieu.
Dieu nous a acceptés dans le bien-aimé.
Donc, c'est la peau du sacrifice, pour ainsi dire, dans laquelle on s'approche de Dieu, comme sacrificateur.
Mais il y avait donc cette base, Dieu a toujours besoin d'une base pour faire quelque chose.
Nous, souvent, on fait quelque chose juste, parce qu'on aime faire ça.
Mais Dieu a besoin d'une base juste pour faire quelque chose.
Si Dieu veut habiter maintenant dans l'Assemblée, il faut qu'il ait un fondement pour cela.
Et l'Holocauste est le fondement pour cela.
C'est ça qu'on a vu dans l'Exode 29.
Dieu demeure avec un peuple délivré.
Déjà dans l'Exode 15, on voit cette pensée-là, sur la base de la délivrance du peuple.
Dieu habiterait au milieu du peuple.
Mais on a maintenant aussi une autre pensée.
Le peuple habite avec Dieu.
Ce sont donc deux aspects de cette vérité-là.
Dieu habite au milieu de son peuple, mais Dieu veut aussi que nous habitions avec lui.
Quand est-ce que cela se voit?
Où le peuple se rassemble dans sa présence.
D'un côté, on peut dire que Dieu, l'Esprit, habite toujours en nous.
Mais sa présence se voit d'une façon particulière au milieu du peuple, lorsque le peuple se rassemble autour de lui.
Et c'est ça qu'on a vu aussi dans l'Exode 29.
C'est en même temps la base, ce sacrifice du Seigneur est en même temps la base sur laquelle le peuple peut se présenter dans la présence de Dieu.
Et maintenant on a lu dans 1 Chrétien 10 de l'autel.
Ça c'est une pensée très importante.
Parce que l'autel est en même temps la table.
La table donne la pensée de la communion.
Si nous avons une table, on a mangé ensemble, ça parle de la communion.
Et puis c'est la table du Seigneur, où le Seigneur a toute son autorité.
Pour montrer maintenant le lien avec l'autel et la table, j'aimerais juste mentionner quelques versets.
On peut les lire dans Ézéchiel et dans Malachie.
Ézéchiel 41.
Où on voit l'autel.
Ézéchiel 41 verset 22.
Et c'était probablement l'autel pour faire brûler l'encens là.
L'autel de bois était haut de trois coudées.
Et puis à la fin du verset, c'est ici la table qui est devant l'éternel.
Vous voyez le lien, l'autel, dans le même verset appelé la table.
Maintenant dans le chapitre 44 verset 16.
On voit ici que Dieu parle de cet autel.
Et de nouveau il dit verset 16.
Vous voyez ici Dieu parle des sacrificateurs verset 15.
Les fils de Sadoc.
Il s'approche de lui et de sa table.
Et puis dans Malachie on voit l'autel des reins.
On a lu dans Exode 29 de l'autel.
Et on a étudié ensemble une fois dans Exode 27.
Où on trouve l'autel des reins pour la première fois.
Et cet autel des reins était donc la place où le peuple se réunissait autour de Dieu, autour de l'éternel.
Et on trouve cet autel aussi dans Malachie 1 verset 7.
Vous présentez sur mon autel du pain souillé.
Et vous dites en quoi avons-nous profané en ce que vous dites la table de l'éternel est méprisable.
Vous voyez le lien entre l'autel, mon autel dit Dieu et la table.
Et aussi dans le verset 10.
Et vous n'allumeriez pas le feu sur mon autel pour rien. Je ne prends pas plaisir en vous.
Donc là Dieu parle de nous.
Surtout Lévitique 3.
Maintenant il faudrait relire ces passages.
Méditer là-dessus pour vraiment entrer dans la pensée.
Ce qu'on trouve dans le Nouveau Testament, c'est cet autel qui a appelé la table du Seigneur.
Et juste pour mentionner au début déjà, on a vu dans Exode 29 les sacrifices.
L'Holocauste.
Mais sur cet autel étaient aussi apportés les sacrifices pour la prospérité.
Lévitique 3 nous parle de ces sacrifices.
Et Lévitique 7 on voit la loi sur ces sacrifices.
Qui donne des instructions pourquoi le peuple pouvait manger de cela.
Juste parce que ce sont des illustrations qui nous peuvent aider beaucoup.
Ce qui était offert sur l'autel des reins.
L'Holocauste était entièrement pour Dieu.
Mais il y avait aussi ce gâteau qu'on trouve dans Lévitique 2.
Qui parle de la vie du Seigneur Jésus.
Comme homme ici bas, il est offert à Dieu aussi.
On offert sa vie devant Dieu.
Mais dans Lévitique 3 on trouve un sacrifice qui était pour Dieu.
Mais qui était aussi pour le sacrificateur.
Et qui était pour celui qui a offert le sacrifice.
Et qui était aussi pour ceux qui étaient purs parmi le peuple de Dieu.
Maintenant on va s'approcher un peu d'1 Corinthiens 10.
Parce que maintenant on voit ce principe de la communion.
Ce sacrifice était donc offert sur l'autel pour Dieu.
Mais Dieu a partagé avec Lévitique 7.
Mais Dieu donne aussi une portion à celui qui a offert ce sacrifice.
Et puis Dieu dit, le restant vous pouvez partager avec les autres membres du peuple de Dieu qui sont purs.
Ca veut dire qui peuvent s'approcher de Dieu.
Et on va parler de ça.
Mais là ce sacrifice donc, dans l'Ancien Testament, dans les illustrations de Dieu, nous aide beaucoup à comprendre ce passage.
Parce qu'ici on a exactement la même chose.
On trouve cet autel qui est maintenant la table du Seigneur.
Pas l'autel des reins dans l'Ancien Testament.
Mais ça donne la même pensée, les mêmes principes spirituels, les mêmes principes moraux.
Et la présence de Dieu qu'on a vue dans Exode 29, mais aussi la communion les uns avec les autres.
Juste brièvement, on voit donc que le peuple de Dieu, tout le peuple de Dieu, mange.
Je ne peux pas parler de ça longuement, mais au début du chapitre 10, on voit que tout le peuple avait des privilèges pour manger et pour boire.
Aujourd'hui, le peuple de Dieu, il y a peut-être un milliard de personnes qui se disent être chrétien.
Ils sont baptisés comme petits enfants.
Ils mangent de la Seine.
Et quand même, ce n'est pas la Seine du Seigneur.
Ce n'est pas la table du Seigneur.
Parce qu'il n'est pas reconnu selon les instructions de la parole.
Et puis, les choses qui sont arrivées au peuple d'Israël dans le désert, les mêmes choses arrivent aujourd'hui au peuple de Dieu.
Donc, le peuple chrétien pour ainsi dire.
Maintenant, Dieu nous montre des principes dans l'Ancien Testament, comment on peut discerner ces pensées.
Comment on peut être gardé pour cette fornication, pour ces mauvaises qu'on baptise.
Tout cela qu'on trouve dans 1 Chrétien 10 au début.
Nous sommes aussi un peuple dans le désert.
Nous sommes en danger de tomber dans les mêmes pièges que l'Israël dans la chair.
Pour suivre des idoles, pour adorer des idoles, pour commettre la fornication littéralement ou dans un sens spirituel avec le monde.
Se rebeller contre l'autorité du Seigneur.
Tous ces dangers sont là.
Et maintenant, il montre un sentier pour le chrétien.
Comment maintenir les principes de Dieu.
C'est cela qu'on trouve dans 1 Chrétien 10.
Comment réaliser ces pensées de la table du Seigneur.
Donc, pour cela, il faut d'abord fuir l'idolâtrie.
Verset 14.
Dieu donne ce sentier parce qu'on a besoin de ces instructions.
On n'est pas meilleur que nos frères et sœurs qui sont dans des systèmes religieux où ils sont devenus vraiment désidolâtres.
Ou ceux qui confessent seulement le nom du Seigneur et qui sont vraiment désidolâtres.
On n'est pas meilleur en nous-même.
Notre chair est aussi corrompue que leur chair.
On tomberait dans le même piège.
Donc, on doit fuir l'idolâtrie.
On va parler de ce principe aussi demain, Dieu voulant, en rapport avec 2 Timothée 2.
Fuir les convoitises de la jeunesse.
C'est un autre sujet.
En rapport avec la chair, on a besoin de fuir la fornication.
Littéralement, mais aussi la fornication spirituelle.
On a besoin de fuir le désir pour être riche.
Dans Timothée 6.
Vous voyez, ce sont des choses que Dieu nous présente pour fuir.
Parce que si nous sommes exposés à ses influences, on tombe dans le même piège.
On doit fuir comme Joseph dans ce temps-là, dans Genèse 39.
Il fuit tout simplement lorsque la tentation était là.
Il n'a pas résisté à la tentation. Il a résisté au diable par contre.
Mais il n'a pas résisté à la tentation parce que la chair est faible.
Maintenant, on voit donc que Dieu veut que nous soyons intelligents.
Que nous entrions dans ses pensées.
Que nous soyons des personnes intelligentes.
Donc ça montre un principe qu'un petit enfant de 2 ans, même s'il a déjà confessé le Seigneur, ne peut pas encore rompre le pain.
Parce qu'un enfant de 2 ans ne peut pas entrer d'une façon intelligente dans ces choses-là.
Le Seigneur aime beaucoup les enfants. Je ne veux rien diminuer de ça.
Mais il faut aussi connaître les pensées de Dieu.
La connaissance n'est pas une condition absolue.
Mais il faut quand même avoir une certaine capacité pour entrer dans les pensées de Dieu.
Jugez vous-même de ce que je dis.
La coupe de bénédiction que nous bénissons.
Vous voyez, ce chapitre est tellement riche.
On voit ici les principes de Dieu.
Dieu veut partager avec son peuple les bénédictions.
Qu'est-ce qu'on a? La coupe de bénédiction.
La coupe de bénédiction qui parle d'abord du sang du Seigneur Jésus.
Ce sacrifice dans l'ancien testament.
Pourquoi est-ce que c'était agréable devant Dieu?
Parce que Dieu a accepté ce sang précieux.
Et maintenant, sur la base de cette œuvre, Dieu peut partager avec nous toutes ses bénédictions.
Et la coupe, le vin, parle de ses bénédictions.
La coupe parle de ses bénédictions.
Et même la coupe, on peut rendre grâce pour cela.
On peut la bénir même.
C'est notre privilège chrétien qu'on reçoit ses bénédictions de la main de Dieu.
Mais en même temps, on donne une réponse dans l'adoration.
On bénit Dieu.
On parle bien, pour ainsi dire, de cette coupe.
On parle dans la présence de Dieu.
Vous voyez, on a vu ça dans Exode 29.
Dieu parle avec nous, avec son peuple.
Et nous parlons dans sa présence.
Les mêmes pensées.
Il y a beaucoup de parallèles avec l'ancien et le nouveau testament.
Maintenant, il dit, n'est-elle pas la communion du sang du Christ?
Parce que le sang du Christ est la base de toutes ses bénédictions.
Sans le sang du Christ, il n'y a aucune bénédiction pour nous.
Il faut bien être au clair là-dessus.
Sans le sang du Christ, on n'a aucune bénédiction.
Donc le sang du Christ est ici la base de la communion.
Comme on l'a vu dans ce sacrifice qui était offert sur l'autel.
Ce sacrifice, le sang du sacrifice, était accepté par Dieu.
Dieu a accepté ce sacrifice.
Et maintenant, il peut partager toutes ses bénédictions avec nous.
Maintenant, un mot sur Christ.
Vous voyez, maintenant, pour comprendre cela, j'ai parlé de la séparation.
Ce n'est pas le sang d'un homme, tout simplement.
C'est vrai.
C'est vrai, c'est le sang du Seigneur Jésus, un homme parfait.
Mais c'est un homme qui est entièrement séparé de ce monde.
Parce que Christ veut dire «oint».
Celui que Dieu a «oint».
Le Seigneur l'a «oint» par son esprit le moment où il a commencé son ministère public.
Il était même né de l'esprit.
On voit la conception dans Luc 1 du Seigneur comme l'homme était par l'esprit.
Mais il était aussi publiquement reconnu par Dieu comme étant son fils bien-aimé.
Et Dieu l'a «oint» publiquement, déclaré publiquement, celui est mon fils bien-aimé.
Ça c'est le Christ.
Ce n'est pas simplement le Messie de l'Ancien Testament, c'est vrai.
Mais c'est plus que ça.
Dieu a déclaré qu'il a trouvé son bon plaisir dans cet homme.
Mais en même temps Dieu a mis de côté tous les autres hommes.
On le voit dans le baptême.
Dans le baptême cela est exprimé que la fin de tout homme, de toute chair est venue.
Dieu a mis de côté toute chair, pour ainsi dire, dans la mort de Christ.
On exprime ça dans le baptême.
On s'identifie avec le Seigneur Jésus, un Seigneur mort à ce monde, dans la chair.
Donc même dans ce nom on voit quelque chose de cette séparation.
Si nous appartenons maintenant à Christ, c'est à cause du fait qu'il est mort et ressuscité.
Et que nous appartenons maintenant à un homme ressuscité et glorifié.
Et Dieu l'a «oint» aussi dans la gloire.
Dans la gloire, dans le ciel, Dieu l'a «oint» aussi.
Pourquoi est-ce que je dis ça?
Parce que dans le verset 16, la deuxième partie, on lit, le pain que nous rompons n'est-il pas la communion du corps du Christ?
Du corps du Christ!
Cet homme béni dans lequel Dieu a trouvé tout son bon plaisir.
Son corps est maintenant, pour ainsi dire, partagé parmi les chrétiens dans le pain.
Le pain représente son corps.
Ou il dit même, ce pain est mon corps.
Donc le pain littéral, matériel, a la signification du corps du Christ.
Vous voyez, ce pain qui est sur la table dimanche matin a la signification spirituelle du corps du Christ.
Mais maintenant, une deuxième pensée.
Dans le verset 17, Paul dit, car nous qui sommes plusieurs sommes un seul pain, un seul corps.
Maintenant il parle du corps du Christ comme vu sur la terre.
Ca c'est une grande pensée, que le corps du Christ est maintenant vu dans les croyants.
Christ est vu dans les croyants.
Donc tous les membres du corps du Christ forment un corps.
Forment un seul pain.
Le mot pain ici a aussi donc une signification spirituelle.
Parce que le pain veut dire le corps du Christ.
Ca veut dire tous les membres du corps du Christ.
C'est la deuxième signification du corps du Christ.
Mais c'est le corps du Christ, c'est le corps de cet homme mis à part par Dieu, ou un par Dieu.
Et il est vu dans ses membres, vu en nous.
Pas comme homme dans la chair.
Christ est vu dans les croyants, les chrétiens qui le représentent.
Donc cette unité du corps du Christ, rien de la chair a la place.
Donc la séparation aussi en rapport avec ça.
Seulement Christ est vu dans ce pain, qui est donc le corps du Christ.
Tous les membres du corps du Christ sont vus dans ce pain.
C'est la deuxième signification.
Et c'est pour ça que cette pensée est très importante, parce qu'on a donc la communion avec les enfants de Dieu.
Tous les chrétiens sont vus dans ce pain.
Mais maintenant dans un temps de ruine, où est-ce qu'on peut voir qu'on rompt le pain en rapport avec la table du Seigneur?
Que ce pain représente quand même tous les chrétiens.
Est-ce que tous les chrétiens peuvent participer?
Malheureusement pas.
Ça c'est le problème aujourd'hui.
C'est pour ça qu'on va de nouveau parler de la séparation.
Parce que ça arrive qu'il y a des incrédules qui rompent le pain.
Est-ce que c'est selon les pensées du Dieu?
Si vous recevez ici des incrédules, est-ce que ce serait encore la table du Seigneur?
Vous voyez, c'est très pratique.
On peut donc voir par ces principes dans la parole, si on maintient vraiment la pensée de la table du Seigneur.
Il y a donc des caractéristiques dans le Nouveau Testament, et qui sont illustrées dans l'Ancien Testament,
avec lesquelles on peut voir si on réalise ses pensées.
Je ne veux pas dire si on réalise les pensées de Dieu par la grâce de Dieu que tout est parfait.
Non, ce n'est pas ça que je dis.
Si on a le désir pour maintenir les pensées de Dieu, on doit donc vérifier certaines choses à la parole.
Une chose, c'est donc, qui est reçu à la table du Seigneur?
Qui serait reçu par le Seigneur?
Même, ça c'est la pensée.
Ce n'est pas les frères qui décident ça, d'un sens oui, comme responsable, mais c'est le Seigneur qui décide ça.
Donc, c'est clair, des incrédules n'ont aucune place.
On ne peut pas donc s'associer avec une table où des incrédules seraient reçus.
Ce ne serait pas la table du Seigneur.
Mais maintenant, il y a d'autres principes dans la parole, et c'est plus difficile à comprendre,
où on voit que même des chrétiens ne peuvent pas rompre le pain.
Pourquoi pas?
S'ils tombent dans le mal, non?
S'ils vivent dans le mal, s'ils ne veulent pas juger le mal, vous voyez, ça peut arriver que nous tombions.
Mais, si nous nous repentons, si nous revenons au Seigneur avec la repentance, on peut être reçu de nouveau par le Seigneur.
Ce n'est pas le point.
C'est le point si quelqu'un vit dans le mal.
Un chrétien 5, un mal moral, ou tout mal est moral d'un certain sens, mais c'était là donc la fornication.
Ou bien, il y a une autre possibilité que quelqu'un a une fausse doctrine.
Et tous ceux qui sont sur l'influence de cette doctrine, qui ont accepté cette doctrine fausse,
qui mettent de côté la valeur de la personne du Seigneur comme fils éternel par exemple,
ou comme vrai homme, ou comme récité.
Il y a des gens qui disent, mais il est récité dans ses disciples, il n'est pas récité physiquement.
C'est une fausse doctrine.
Dans ce cas-là, on perd le droit de rompre le pain à la table du Seigneur.
Mais maintenant, il y a un autre cas encore qui est plus difficile.
Et peut-être juste comme illustration tournée vers Nombre 5.
Parce que ces illustrations de l'Ancien Testament peuvent nous aider beaucoup.
Dans Nombre 5, on voit dans le premier verset que Moïse devrait mettre hors du camp, verset 2, Nombre 5, verset 2,
tous les preux, et quiconque a un flux, et quiconque est impur pour un mort.
Vous voyez, c'est ici le peuple de Dieu.
Ce n'est pas des incrédules qui n'ont pas de part dans le peuple de Dieu.
C'est ça qui est clair. On a parlé de ça.
Maintenant, il y a trois groupes donc dans le peuple de Dieu qui ne peuvent pas rompre le pain.
Ce sont ceux qui sont les preux, c'est-à-dire les croyants qui vivent dans le péché.
Deuxièmement, quiconque a un flux, ça parle de cette fausse doctrine qui affecte les autres.
Dans la conférence à Hawkesbury, on a parlé de Galate 5, de cette fausse doctrine qui fait lever la part toute entière.
Vous voyez, c'est très dangereux.
Si moi j'accepte dans mon coeur une fausse doctrine, cela me rend impur.
Je ne peux pas être en communion avec la table du Seigneur.
Et puis, quiconque est impur pour un mort.
Ce principe-là, c'est une illustration qu'on trouve par exemple dans deux gens.
S'il y a un frère qui est devenu un faux docteur, qui touche vraiment la personne du Seigneur,
on ne peut pas avoir la communion avec lui, on ne peut pas le recevoir dans notre maison.
C'est donc un cas extrême, mais ça peut arriver.
Et puis, dans ce cas-là, on serait impur si on le recevait dans notre maison.
Vous voyez, ces trois principes, on trouve dans la parole, dans l'ombre, qui parle du désert,
et un chrétien parle du désert également, le peuple de Dieu en témoignage dans ce monde,
et la table du Seigneur, l'autel, est protégée pour ainsi dire, par le Seigneur même.
C'est lui qui est en contrôle.
Lui décide, et dans ces quatre cas, on ne peut pas avoir la communion avec la table du Seigneur, avec le Seigneur,
mais non plus entre les membres du peuple de Dieu.
Un autre principe qu'on trouve en rapport avec la table du Seigneur, c'est donc que le Seigneur a toute autorité.
Vous voyez, dans un chrétien, presque 70 fois, l'apôtre parle du Seigneur.
La première fois où on lit de la communion, c'est dans chapitre 1 verset 9,
la communion avec son fils Jésus Christ, notre Seigneur.
Donc, c'est le désir de Dieu d'avoir cette communion avec son peuple,
et que les membres de son peuple aient avec les autres cette communion.
Et puis cette communion est toujours là, dans chapitre 1,
mais cette communion est exprimée publiquement à la table du Seigneur.
C'est là où on voit que cette communion se manifeste, pour ainsi dire, publiquement.
Ça c'est la pensée, c'est l'expression de la communion, l'expression publique de la communion.
C'est ça qu'on trouve dans chapitre 10.
Et il faut donc reconnaître l'autorité du Seigneur.
Si je rejette son autorité, et on voit son autorité dans beaucoup de choses,
c'est Lui qui offre les sacrifices, un pierre deux.
C'est Lui qui entonne le cantique, ou qui chante le cantique en nous, hébreu deux.
Hébreu 13, c'est par Lui qu'on offre les louanges à Dieu.
Donc c'est toujours par Lui.
Il est le ministre du sanctuaire dans Hébreu 8.
Juste quelques exemples que je donne où on voit que le Seigneur a toute autorité en rapport avec le rassemblement et la table du Seigneur.
Maintenant, il y a encore un autre point à mentionner.
J'ai oublié ça.
On peut être trop large.
On peut recevoir donc des incrédules.
Ce ne serait pas selon la pensée de Dieu.
Mais on peut être trop étroit aussi.
Qu'on allait exclure des vrais chrétiens que le Seigneur recevrait.
Parce que c'est une question si le Seigneur va recevoir des chrétiens.
Dans ce cas là, on deviendrait sectaire.
C'est donc un autre extrême.
Puis on est toujours en danger, on l'a vu dans Jeu 1, soit d'écarter à droite, devenir trop sectaire,
ou écarter à gauche, devenir trop large.
Ce sont les deux dangers.
Il faut donc vraiment garder le vrai équilibre selon les pensées de Dieu pour maintenir les pensées du Seigneur.
Donc ces trois principes sont ainsi dire des tests pour voir si un rassemblement c'est vraiment séparé pour le Seigneur.
Pour qu'il puisse lier sa présence à ce rassemblement.
Pour qu'il puisse lier sa présence à ce rassemblement, sa communion, etc.
Ce sont des principes fondamentaux pour ainsi dire.
Ce sont des caractéristiques avec lesquelles on peut voir si on a vraiment la table du Seigneur.
Et même si on a ces caractéristiques, ce n'est pas pour nous glorifier non plus.
Parce qu'on doit réaliser que même si on connait vraiment les pensées de Dieu,
qu'on va maintenir les pensées de Dieu, ce sera avec beaucoup de manquement.
Mais je n'ai pas parlé de ça.
Ce sont des principes qui sont très clairs, où on rejette totalement les pensées de Dieu.
Comme dans le sectarisme, ou de l'autre côté, dans les quatre autres exemples que j'ai donné,
où on rejette l'autorité du Seigneur.
Dans ce cas là, on ne peut pas dire que c'est la table du Seigneur.
Si Richard m'invite pour manger avec lui, moi je vais arranger tout.
Et je dis, on va manger 8 heures, on va manger ça et ça.
Ce n'est plus lui qui invite, c'est moi qui prends la responsabilité.
Est-ce qu'on pourrait prendre la responsabilité dans ce sens là du Seigneur? Non.
On doit respecter ses droits.
Donc, on a vu maintenant un peu, juste ces principes en rapport avec la table du Seigneur.
Il y a donc une séparation de vrais chrétiens maintenant.
Une séparation du mal, mais en même temps c'est pour être séparé.
Pour être avec le Seigneur.
Vous voyez, ça c'est le but positif.
Pour être avec le Seigneur.
Pour manger avec le Seigneur.
Pour manger avec tous ceux qui sont purs parmi le peuple de Dieu.
Ça c'est le principe.
Et si on rejette ces pensées là, on continue dans sa propre volonté, on va provoquer le Seigneur.
Si on confesse ou professe qu'on maintient les droits de Dieu et que ce n'est pas vrai, on provoque le Seigneur.
Et le Seigneur va agir avec nous.
Ici on a donc dans ce chapitre la responsabilité collective.
C'est peut-être un mot un peu difficile, mais ici c'est la responsabilité collective que nous avons en rapport avec la table du Seigneur.
Il y a aussi des grands privilèges, parce que c'est un privilège immense de pouvoir manger avec le Seigneur.
C'est un privilège immense.
C'est un privilège collectif qu'on a vu, la communion du corps de Christ.
C'est un privilège collectif.
L'aspect individuel, on trouve dans chapitre 11, et je ne peux pas parler de ça maintenant, mais je mentionne ça simplement.
Chapitre 11, on a donc le privilège individuel et la responsabilité individuelle.
Vous voyez, ça va toujours ensemble.
Si le Seigneur me donne un privilège, en même temps j'ai une responsabilité.
Je dois donner une réponse, mais j'ai aussi une responsabilité.
Je dois faire quelque chose ou maintenir les droits du Seigneur en rapport avec ce privilège.
Donc, on a vu aussi un peu comment l'Ancien Testament nous aide, avec ces illustrations, à comprendre que nous avons vu ces deux grands points ce soir.
Et on pourrait en parler longuement encore, mais je vais terminer maintenant.
Le Seigneur comme le centre du rassemblement, la base du rassemblement, sa personne est le centre et la base du rassemblement.
Il nous attire, c'est ça qu'on a vu.
Deuxièmement, son œuvre est la base du rassemblement.
Et puis c'est la base pour Dieu, c'est la base pour nous.
Et demain, Dieu voulant, on peut parler d'autres aspects pour voir comment on peut aller le sentier du chrétien dans un temps de ruine pour maintenir les droits du Seigneur, pour jouir sa communion.
Mais pour ce soir, on termine avec ces deux grandes pensées.
Que le Seigneur bénisse sa parole. …
Automatic transcript:
…
Du Seigneur Jésus comme étant le centre du ciel.
Hier soir, nous avons vu que le Seigneur Jésus est le centre du rassemblement sur la terre.
Le centre de l'assemblée universelle, bien sûr, mais aussi le centre du rassemblement local.
Et nous avons vu un peu, brièvement, quelques caractéristiques du rassemblement selon les pensées du Dieu.
Mais nous avons vu surtout que le Seigneur Jésus, comme personne, est la base du rassemblement, le point d'attraction et aussi le centre.
Et deuxièmement, nous avons vu que le Seigneur Jésus est la base dans son œuvre.
En autres mots, son œuvre a posé le fondement pour l'assemblée.
On le voit dans Matthieu 16, sa personne, dans la résurrection, sa mort et sa résurrection est la base de l'assemblée.
Mais on a vu aussi dans l'Ancien Testament, dans l'Exode 29, que son œuvre est la base pour donner cette place où Dieu peut habiter avec son peuple.
En rapport avec cette pensée de la séparation, je voulais juste répéter, la séparation veut donc dire attirer vers le Seigneur Jésus pour le suivre comme le vrai David, pour être dans sa présence.
Et en même temps, cela a un aspect négatif, séparer de tous les empêchements.
On pourrait dire, en rapport avec la table du Seigneur, qu'on a vu un peu hier soir, c'est la séparation du mal.
Mais pourquoi? A cause du fait que le Seigneur Jésus ne peut pas s'identifier avec le mal.
Ça ne va pas ensemble. Le Seigneur, comme le centre du rassemblement, ça ne va pas ensemble avec le mal.
Donc la séparation du mal c'est une conséquence très logique.
Mais aussi on a vu la séparation du sectarisme.
Ça c'est un danger très grand pour nous.
On a parlé de Joshua 1 à la conférence et on a vu qu'il y avait deux dangers.
Soit qu'on dévie à droite, ça c'est le sectarisme.
Ou on dévie à gauche, ça c'est l'acceptation ou donner une plus grande place ou même le mal aurait une place.
Ces deux dangers sont vraiment là.
Mais il y a un autre danger, qu'on ne donne pas vraiment cette place au Seigneur Jésus comme étant le vrai Seigneur.
On a vu dans un chrétien quelle place le Seigneur Jésus a comme Seigneur du rassemblement.
Je veux dire Seigneur de nous individuellement, mais le rassemblement comme tel donne lui cette place de toute autorité.
Donc on peut dire que c'est aussi la séparation de toute autre autorité.
Vous voyez la séparation du mal, la séparation du sectarisme, mais aussi la séparation de toute forme d'autorité qui n'est pas l'autorité du Seigneur Jésus.
Maintenant j'aurais à coeur de lire avec vous un autre passage dans la parole qui nous parle de la séparation.
Et puis c'est en rapport avec notre sentier dans un temps de ruine.
De Timothée 2, verset 14 jusqu'au 22.
De Timothée 2, verset 14, remet ces choses en mémoire.
Protestant devant le Seigneur, qu'on n'ait pas de dispute de mots, ce qui est sans aucun profit, et pour la subversion des auditeurs.
Et tu dis toi à te présenter, approuver à Dieu, ouvrier qui n'a pas à avoir honte, exposant justement, ou selon la note, découpant droit, la parole de la vérité.
Mais évite les discours vains et profanes, car ceux qui s'y livrent iront plus avant dans l'impiété, et leur parole rongera comme une gangrène,
desquelles sont émenées les filettes qui se sont écartées de la vérité, disant que la résurrection a déjà eu lieu, et qui renverse la foi de quelques-uns.
Toutefois, le solide rendement de Dieu demeure, et en ce seau, le Seigneur connaît ceux qui sont siens, et qu'il se retire de l'iniquité quiconque prononce le nom du Seigneur.
Or, dans une grande maison, il n'y a pas seulement des vases d'or et d'argent, mais aussi de bois et de terre, et les uns a honneur, les autres a déshonneur.
Si donc quelqu'un se purifie de ceux-ci, il sera un vase à honneur, sanctifié, utile au maître, préparé pour toute bonne œuvre.
Mais, fuis les convoitises de la jeunesse, et poursuis la justice, la foi, l'amour, la paix avec ceux qui invoquent le Seigneur d'un cœur pur.
Jusqu'ici.
En rapport avec le sujet d'hier soir, j'aimerais juste mentionner que la séparation du monde est aussi une pensée qu'on devrait méditer, mais on n'a pas le temps.
Mais, je voulais juste mentionner 2 Corinthiens 6, où nous voyons le danger pour les Corinthiens.
Le danger pour les Corinthiens était vraiment l'association avec le monde comme système.
Et, on a vu dans Deuteronome 12 hier, que le peuple dans le pays devrait ôter toutes les statues, toutes les idoles, pour ne pas être sous l'influence de ces choses.
C'est ça qu'on trouve dans 2 Corinthiens 6. Ce serait juste peut-être bon de lire pour avoir une bonne pensée là-dessus.
Verset 14.
Ne vous mettez pas sous un joug mal assorti avec les incrédules.
On voit ici 5 points.
Ne vous mettez pas sous un joug mal assorti avec les incrédules.
Car, il va maintenant expliquer cela.
Car, quelle participation y a-t-il entre la justice et l'iniquité?
Deuxièmement.
Ou, quelle communion entre la lumière et les ténèbres?
Et, quel accord, 3, de Christ avec Béliard?
4. Quelle part a le croyant avec l'incrédule?
5. Et, quelle convenance y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles?
Car, vous êtes le temple du Dieu vivant.
Selon ce que Dieu a dit, j'habiterai au milieu d'eux.
Et, j'y marcherai et je serai leur Dieu.
Et, eux seront mon peuple.
Donc, ici on voit le principe de la séparation de ce monde.
Et, c'est pour ça qu'il dit dans verset 17.
C'est pourquoi, sortez du milieu d'eux.
On trouve, je pense, cette fois dans l'écriture, cette remarque.
Sortez du milieu d'eux.
C'est ici en rapport avec le monde, comme système idolâtre.
C'est aussi en rapport avec un système religieux, qu'on va voir cet après-midi, Dieu voulant, hébreu 13.
Mais, la même pensée, on va retrouver dans d'autres points de vue, comme 2 Timothée 2, dans une autre pensée.
Parce que là, on se trouve dans le sein de la chrétienté.
Donc, dans la grande maison, je vais en parler.
Mais, juste pour mentionner qu'il y a des points de vue différents en rapport avec la séparation.
Ici, dans 2 Corinthiens 6, c'est séparé du monde, comme système idolâtre.
Où Christ n'a pas de place.
Où Belial, ou Satan est leur roi et maître.
Et le Dieu aussi.
Le Dieu, selon 2 Corinthiens 4.
Et le prince de ce monde, selon l'évangile selon Jean.
Donc, avec ce système là, on ne peut pas avoir la communion, c'est impossible.
Puis, c'était exactement le danger pour les Corinthiens.
On a donc d'autres dangers, on en a parlé déjà.
Et on va voir maintenant, dans 2 Timothée, une autre situation.
Là, ce n'est pas le monde, comme système.
Mais, maintenant, je vais dire quelque chose, pour expliquer un peu.
L'assemblée est vue comme maison de Dieu.
On l'a aussi en rapport avec la table du Seigneur.
Je n'ai pas mentionné ça hier soir.
Mais la table du Seigneur est présentée en rapport avec la pensée de la maison.
Dans une maison, on a une table pour manger, pour avoir la communion.
Ça va ensemble avec l'autorité dans cette maison.
Le Seigneur a toute autorité dans cette maison.
Mais, en même temps, on a vu aussi un aspect du corps de Christ.
Et les deux viennent ensemble, pour ainsi dire, dans 1 Corinthien 10.
D'un côté, la vérité de la maison de Dieu.
Et d'un autre côté, la vérité du corps de Christ.
Les deux sont vus ensemble dans 1 Corinthien 10.
Il y a aussi d'autres images, comme l'épouse de Christ.
On a vu ça à la conférence, cet été, dans Éphésiens 5.
L'épouse de Christ.
Mais aussi le corps de Christ, on a vu dans Éphésiens 5.
Souvent, les images viennent ensemble, pour ainsi dire.
Mais, la vérité concernant l'Église comme étant la maison de Dieu, on peut la voir en deux façons.
D'abord, selon le plan de Dieu.
Ça, c'est important.
De voir les choses comme Dieu les voit.
Et dans ce cas-là, on va voir que Dieu avait déjà dans son cœur, avant la fondation du monde, d'avoir son Église.
L'Église du Dieu vivant.
Dieu avait déjà un conseil, avant la fondation du monde.
Et vous voyez, il faut étudier vraiment ce conseil de Dieu, pour connaître ce que l'Église signifie pour le cœur de Dieu.
Là, on voit aussi que, dans le temps, l'Église a été formée sur la base de l'œuvre accomplie du Seigneur Jésus.
Comme le sacrifice, l'Holocauste qu'on a vu hier soir.
Comme celui qui est mort et ressuscité.
C'est tout réalisé dans le temps, sur la base de cette personne et de son œuvre.
Mais c'est selon les plans de Dieu, avant la fondation du monde.
Et maintenant, Dieu va réaliser ses plans.
N'importe quel manquement de notre côté, Dieu va réaliser ses plans.
C'est donc un côté.
L'autre côté, c'est le côté de la responsabilité de l'homme.
C'est ça qu'on trouve dans 1 Corinthiens 3, par exemple.
Où Paul a posé le fondement et d'autres vont construire maintenant sur ce fondement.
Puis là, on a donc trois possibilités.
Ceux qui étaient fidèles, donc des serviteurs fidèles comme Paul et Pierre.
Ils ont ajouté des pierres précieuses qui étaient donc en accord avec les pensées de Dieu.
Le fondement a été mis.
Maintenant, selon la responsabilité de l'homme, l'homme va ajouter des pierres.
Donc de notre côté, Dieu ajoute aussi des pierres.
Parce que c'est en même temps l'œuvre de Dieu.
Et l'œuvre de Dieu est parfaite.
Dieu ne fait pas des erreurs.
Mais l'homme par contre, il a fait des erreurs.
Il a ajouté dans ce bâtiment des pierres qui n'étaient pas selon les pensées de Dieu.
Les matériaux selon Dieu, c'est l'or, l'argent et les pierres précieuses.
Dans l'or, on voit la gloire de Dieu.
Et j'aimerais aussi dire, les croyants, on voit donc des aspects de l'œuvre de Dieu comme étant notre Père.
Mais on voit aussi l'argent, la rédemption.
L'œuvre rédemprise du Seigneur avec cette grande valeur, cette grande conséquence, on voit dans l'argent.
On voit donc l'œuvre du Seigneur, du Fils.
En même temps, on a l'œuvre du Saint-Esprit.
Les pierres précieuses, c'est un autre point de vue pour les croyants.
Parce que tous les croyants sont l'objet de l'œuvre de l'Esprit.
L'Esprit travaille en nous.
Et d'une façon remarquable, il nous transforme pour devenir des pierres précieuses.
Autrefois, on n'avait pas de valeur.
Mais Dieu nous transforme par son Esprit, par l'œuvre du Saint-Esprit, pour devenir des pierres précieuses.
Dans le temps.
Mais tout cela est selon le conseil de Dieu.
Mais, vu de la responsabilité de l'homme, on voit des manquements, on voit que d'autres éléments sont ajoutés.
Et puis, c'est aussi mentionné dans 1 Corinthians 3, des matériaux qui ne peuvent pas subir le test du feu, de la sainteté de Dieu.
C'est le bois et le foin.
Ces matériaux seront brûlés par le test.
Mais, par la grâce de Dieu, on peut déjà mettre le test maintenant.
Et dans ce cas là, nous pouvons discerner ce qui n'est pas selon Dieu.
Mais beaucoup de personnes ne discernent pas.
Ils ne mettent pas le test.
Ils ne voient pas le caractère de ces matériaux que Dieu ne peut pas accepter.
Mais il y a encore une autre catégorie qui travaille aujourd'hui.
Ce sont ceux qui corrompent le temple de Dieu.
Ce sont des incrédules qui sont en train de travailler dans la maison et pour la maison.
Selon leurs principes.
Selon les principes de leur maître, c'est Satan.
Puis ce sont eux qui corrompent le temple de Dieu.
Et eux seront corrompus.
Ils seront détruits dans ce sens là, par le jugement de Dieu.
Je ne sais pas que les gens seront détruits.
Je veux dire, leurs œuvres seront détruites.
Mais ils existeront pour toute l'éternité, mais dans l'enfer.
Maintenant, dans l'intimité, on voit de nouveau la maison de Dieu.
Juste une petite parenthèse avant de commencer là.
Dans Ephésiens 2, à la fin, on voit la maison de Dieu selon le plan de Dieu.
Juste pour avoir le lien maintenant.
Du point de vue de Dieu, on a donc la maison de Dieu, le temple de Dieu, tout cela, selon son œuvre, selon son plan et selon son œuvre.
Et c'est ça qu'on trouve par exemple dans Ephésiens 2, le dernier verset.
Verset 19.
Pour être une habitation de Dieu par l'esprit.
Une habitation de Dieu par l'esprit.
D'un côté, on voit donc ici l'église comme maison de Dieu, selon le plan de Dieu, selon le conseil de Dieu.
Et maintenant, réalisée dans le temps.
Et d'un sens, c'est l'habitation complète où Dieu habite.
Mais d'un autre sens, ce bâtiment croit.
Il a toujours d'autres pierres qui sont ajoutées à ce bâtiment.
Mais c'est toujours une maison complète où Dieu, l'esprit, habite.
Ça c'est le point de vue de Dieu.
On trouve ça aussi dans 1 Pierre 2, les pierres vivantes qui sont ajoutées à cette maison.
Maintenant, dans 1 Timothée, vous savez peut-être que Paul, après son ministère à Ephèse, il a envoyé Timothée là, pour travailler là.
Et Timothée était donc un représentant fidèle de Paul.
Et Timothée avait besoin de certaines instructions dans l'absence de l'apôtre Paul.
L'apôtre Paul lui donne des instructions dans chapitre 3, 1 Timothée 3, verset 14.
Je t'écris ces choses, espérant me rendre bientôt auprès de toi.
Mais si je tarde, afin que tu saches comment il faut se conduire dans la maison de Dieu, qui est l'assemblée du Dieu vivant, la colonne et le soutien de la vérité.
Vous voyez, la maison de Dieu.
Et comment Timothée devrait se conduire dans la maison de Dieu.
C'est donc pas seulement une question de connaître les pensées de Dieu concernant l'église, concernant la maison de Dieu, mais aussi de savoir comment se comporter là, se conduire là dans la maison.
Les deux pensées vont ensemble.
Il y a beaucoup d'instructions dans cet épitre concernant notre conduite dans la maison de Dieu.
Maintenant, on fait le saut pour tourner vers la seconde épitre à Timothée.
Là, la situation est tout à fait différente.
Qu'est-ce qu'on trouve là, juste dans le premier chapitre, verset 15.
Tu sais ceci, que tous ceux qui sont en Asie, du nombre desquels sont figelles et hermogènes, se sont détournés de moi.
Donc, voyons bien.
Ici, Paul dit que tous ceux qui étaient en Asie, et Ephèse était la capitale d'Asie.
Donc, aussi ceux qui étaient à Ephèse, où Timothée avait travaillé, un Timothée.
Tous ceux se sont détournés de l'apôtre Paul.
Il était en prison comme un témoin fidèle du Seigneur.
Mais ces chrétiens là, ils n'ont pas arrêté d'être chrétiens.
Ils étaient encore des chrétiens.
Ils ont rempli le pain, mais ils n'étaient plus fidèles.
Ils n'ont pas voulu s'associer avec l'apôtre Paul, qui était un vrai apôtre fidèle pour la cause du Seigneur.
Il était en prison à cause du témoignage, vous voyez.
Et ceux qui étaient à Ephèse et en Asie ne voulaient plus s'identifier avec Paul.
Il avait commencé à perdre le premier amour.
C'est ça qu'on trouve dans Apocalypse 2.
C'était aussi l'épître à Ephèse, que le Seigneur envoie et constate qu'il avait perdu le premier amour.
Voilà ce qu'on trouve déjà ici.
Maintenant, on voit que dans cet épître, Paul présente donc ce développement du mal.
Il parle de ceux qui se sont détournés de lui.
Il parle de ceux qui introduisent de fausses doctrines.
Il parle de ceux qui se sont vraiment montrés comme des ennemis de Paul.
Dans chapitre 4 par exemple.
Tout ce développement est montré dans cet épître.
Et Dieu a permis que ce développement arrive déjà dans ce temps là, pour exemple, pour notre temps.
Parce que dans notre temps, c'est encore plus difficile d'un certain sens.
Parce que le progrès du mal est allé plus loin.
Et aussi la confusion sur le terrain chrétien encore plus grande que dans ce temps là.
Mais ce sont les mêmes principes qu'on trouve aujourd'hui qui opéraient dans ce temps là.
Mais en même temps, les mêmes remèdes que Dieu donne.
Dans ce temps là, où Paul vivait encore, qu'il donne à Timothée.
Les mêmes remèdes qu'il nous donne à nous.
Pour que nous puissions être fidèles.
C'est ça qu'on va voir dans chapitre 2.
Dans chapitre 1, on voit beaucoup de ressources que Paul avait.
C'est très beau de voir que dans un temps de ruine, un chrétien a des ressources.
On ne peut pas parler de ça longuement maintenant.
Mais juste pour mentionner quelques ressources.
Chapitre 1 verset 1.
La volonté de Dieu.
Est-ce que la volonté de Dieu change à cause des manquements de l'homme?
Non.
La volonté de Dieu reste la même.
Deuxièmement, on voit aussi la promesse de la vie dans le premier verset.
Et comparant cela avec d'autres passages, on peut voir que Paul parle ici de la vie éternelle.
Est-ce qu'on peut perdre la vie éternelle à cause des manquements de l'homme?
C'est impossible.
Paul avait ses ressources.
Il montre que ses ressources sont toujours là.
Malgré les manquements de l'homme.
Il y a d'autres ressources.
La foi, verset 5.
Une foi sincère.
On voit d'autres ressources.
Verset 7.
Car Dieu ne nous a pas donné un esprit de crainte, mais de puissance et d'amour et de conseil.
Vous voyez, l'esprit de Dieu.
C'est une autre ressource.
La parole de Dieu, la prière, la foi.
Tout cela sont des ressources qui restent là, malgré les manquements de l'homme.
Verset 8 à la fin.
La puissance de Dieu.
Est-ce que la puissance de Dieu cesse à un moment donné?
Non.
La puissance de Dieu sera toujours là.
Ce sont nos ressources.
Et on voit aussi la puissance de Christ.
Verset 9 à la fin.
La grâce qui nous a été donnée dans le Christ Jésus avant les temps des siècles.
Ici on voit la grâce qui est dans le Christ Jésus.
On va voir aussi dans le chapitre 2.
Ce sont toutes des ressources.
Verset 10.
Notre sauveur Jésus Christ qui a annulé la mort et a fait vivre la vie et l'incorruptibilité par l'évangile.
Toutes ces ressources sont là.
L'évangile ne change pas de caractère.
Christ ne change pas de caractère.
Les hommes changent.
Les chrétiens changent.
Comme on voit dans ce chapitre.
Mais lui reste le même.
On va voir ça cet après-midi, Dieu voulant, aussi dans Hebreu 13.
Christ est le même.
Il ne change pas.
Il est notre ressource.
Maintenant dans le chapitre 2.
On voit donc quelques enseignements pour le chrétien dans les jours difficiles de la ruine.
Dans la chrétienté.
Et maintenant pour revenir à la pensée de la maison.
On voit ici une grande maison.
Donc la chrétienté est maintenant comparée avec une grande maison.
Est-ce qu'on peut, juste dans le verset 20.
On va voir ça.
Or dans une grande maison.
Il ne parle plus de la maison de Dieu.
Dans Intimité 3.
Pourquoi pas?
Parce que l'autorité de Dieu n'était plus reconnue là.
L'autorité du Seigneur, comme on l'a vu hier soir, n'était plus reconnue là.
C'est devenu une maison des hommes.
Est-ce qu'on peut sortir de cette maison là?
Ça ne va pas.
Vous voyez, ça c'est difficile à comprendre.
On doit se séparer du mal.
On va voir ça.
Selon quel principe.
Mais on ne peut pas sortir de cette maison.
Parce que c'est la maison chrétienne pour ainsi dire.
La maison avec la profession chrétienne.
On ne peut pas sortir de cette maison là.
Si quelqu'un devient musulman, dans ce cas là, il sort de la maison.
Ou il devient juif.
Il sort de la maison.
Mais on ne peut pas sortir de la maison.
Mais on peut se séparer du mal dans la maison.
C'est important à comprendre ça.
Parce que dans Hébreu 13, on va voir qu'on doit sortir du camp.
C'est notre pensée.
Ici, on est dans la maison.
Et quel doit être notre comportement dans cette maison où le mal a été accepté?
Vous voyez la grande différence.
Dans 1 Corinthien 5, l'assemblée locale avait encore la puissance de juger le mal.
De mettre de côté le mal.
Et celui qui a fait le mal.
Mais dans ce temps là, il n'avait plus cette force là.
Ça devient donc difficile.
La situation change dans ce cas là.
Nous devons maintenir les mêmes principes qu'on trouve dans 1 Corinthien 5.
Je ne veux pas dire qu'on doit changer les principes maintenant.
Mais si l'assemblée ou un rassemblement ne fonctionne plus selon ces principes là.
Dans ce cas là, Dieu montre qu'il y a d'autres principes à maintenir.
Il ne met pas de côté le principe de 1 Corinthien 5.
Mais lorsque la masse comme telle ou un témoignage comme tel ne juge plus le mal.
Dans ce cas là, il y a d'autres principes qui vont fonctionner.
Vous voyez la différence?
Au début, ils ont jugé le mal.
Mais lorsque l'assemblée ne le fait plus.
Dans ce cas là, il y a d'autres principes qui sont montrés dans ces versets là.
Juste quelques pensées avant.
On voit donc que Paul encourage Timothée.
Il l'encourage comme son enfant.
Verset 1.
On n'a pas le temps maintenant de parler longuement de ça.
Mais c'est très intéressant d'étudier ces versets là.
On trouve Timothée comme un enfant de Paul.
Son enfant bien aimé et fidèle.
Mais qu'est-ce qu'il va faire?
Il va se fortifier dans la grâce qui est dans la Cris de Jésus.
C'est vraiment très beau pour nous aussi.
On peut toujours se fortifier dans la grâce qui est dans la Cris de Jésus.
Pas se fortifier en nous même.
Pas se fortifier dans des efforts légaux ou quoi que ce soit.
Non, il faut se fortifier dans la grâce.
Et cet après-midi, Dieu voulant, on va voir qu'on va même se nourrir de la grâce.
Hébreu 13.
On doit vraiment se fortifier dans la grâce qui est dans la Cris de Jésus.
On peut recevoir tous nos besoins de lui.
En lui sont toutes nos ressources.
Mais c'est un homme qui est dans la gloire maintenant.
La Cris de Jésus parle du Seigneur Jésus qui est dans le ciel.
Qui est loin là par Dieu.
Et qui est quand même là comme homme, Jésus.
En lui sont toutes nos ressources.
Même dans un temps de ruines comme aujourd'hui.
Et puis, on voit que Paul est très optimiste.
Tu vois, verset 2.
Nous voyons que Paul dit à Timothée.
Commets les choses que je t'ai confiées à des hommes fidèles qui soient capables d'instruire aussi les autres.
On voit ici de nouvelles générations de croyants.
D'un côté on voit les manquements du peuple de Dieu.
La troisième génération.
La quatrième génération.
En général on dit que c'est la génération qui vend la vérité.
Qui perd la vérité.
Mais ici on voit que Dieu a aussi sa génération.
Et la génération, même dans un temps de ruines, selon Dieu, maintient la vérité.
Et est capable de recevoir les enseignements de Dieu.
Ça c'est très encourageant.
Que Dieu, dans un temps de ruines, va voir qu'il a quand même ses générations, pour ainsi dire, qui vont être fidèles.
Et c'est pour nous une possibilité de suivre ses enseignements.
C'est ouvert pour tous, pour ainsi dire, pour recevoir ses enseignements.
Timothée serait aussi un bon soldat, verset 3.
Il devrait souffrir pour la cause du maître, comme un bon soldat.
Il ne devrait pas s'impliquer dans les choses de la vie, dans les affaires de la vie.
Pour ne pas perdre son temps, pour ainsi dire.
Pour être prêt pour le maître.
Ce sont tous des enseignements, on aimerait bien en parler plus long, mais ça ne va pas maintenant.
On voit donc beaucoup d'encouragement dans ces passages.
Qui, d'un côté, présente notre responsabilité comme individu, comme homme de Dieu, si on veut être un homme de Dieu.
Un vrai témoin pour le Seigneur Jésus, un homme de Dieu.
Il y a beaucoup d'instructions ici.
Pour plaire au maître, pour être fidèle à ses instructions, pour avoir la patience, verset 6, il faut que le laboureur travaille premièrement.
Ça implique la patience, beaucoup de travail, pour qu'il jouisse des fruits.
Et puis le verset 7, c'est un encouragement aussi, considère ce que je dis, car le Seigneur te donnera de l'intelligence en toutes choses.
Si on est obéissant, le Seigneur va ajouter, il va nous donner de l'intelligence.
Si je refus à faire ce qu'il me présente, dans ce cas là, il ne peut rien ajouter.
Verset 8, souviens-toi de Jésus-Christ.
De nouveau, il est placé devant nos cœurs comme étant vraiment le centre de tout.
Souviens-toi de Jésus-Christ.
Il ne dit pas, souviens-toi que Jésus-Christ est ressuscité.
Beaucoup de chrétiens disent ça, ils croient que Jésus-Christ est ressuscité, point final.
Non, souviens-toi de Jésus-Christ, ressuscité d'entre les morts.
Il faut l'avoir devant nos cœurs continuellement.
Pas seulement une confession et puis on va continuer dans l'ordre du jour.
Non, il faut l'avoir devant nos cœurs constamment.
Cela implique donc un exercice constant aussi, continuel.
Il est ressuscité d'entre les morts.
Il n'appartient plus à ce monde là, comme il était dans sa vie ici-bas, dans ce monde.
Il appartient maintenant à un autre monde, le monde de la résurrection.
Il est dans la gloire comme on l'a vu dans le premier verset.
Mais il est vraiment un homme de la semence de David, selon les promesses de Dieu.
Mais c'est cet homme là qu'on doit avoir devant nos cœurs.
Et puis c'est lui qui nous donne des encouragements pour un temps de ruines.
Ce n'est pas une confession qui est suffisante, c'est une personne qui est suffisante.
Toutes les confessions de l'homme vont manquer d'une façon ou d'une autre.
Mais le Seigneur Jésus ne manquera jamais, il ne faillira pas.
Maintenant dans le verset 14, on a lu que Timothée avait quelque chose à faire comme témoin,
protestant devant le Seigneur.
Il a réalisé la présence du Seigneur.
Ça c'est pour nous aussi une ressource.
Si nous sommes ensemble comme rassemblement, il faut toujours de nouveau réaliser la présence du Seigneur.
Le moment où on oublie sa présence, c'est le commencement du mal pour ainsi dire.
Il faut toujours réaliser la présence du Seigneur.
Dans notre travail, à l'école, dans la maison, réaliser la présence du Seigneur.
Et même si on doit témoigner, il faut le faire devant le Seigneur.
Réaliser sa présence, pas devant les hommes, mais devant le Seigneur.
Puis il donne quelques instructions, comment se comporter dans des disputes, etc.
Pas avoir des disputes.
Maintenant le verset 15, étudie-toi à te présenter approuvé à Dieu.
C'est aussi une pensée très profonde.
Parce que ce n'est pas nécessaire, on ne doit pas se présenter devant les hommes pour être approuvé des hommes.
Mais pour être approuvé de Dieu.
Et ici on voit le sixième point, il est un ouvrier.
Il était donc un enfant, un bon soldat, quelqu'un qui combat dans la lice, aussi un laboureur.
Et maintenant il est aussi un ouvrier.
On va voir plus tard, il est aussi un vase, un vase à honneur.
Et plus tard, un esclave, verset 24, un esclave du Seigneur.
On voit donc sept points dans ce chapitre.
Sept points différents où Paul présente quelque chose à Timothée.
Ici il est un ouvrier, qu'est-ce qu'il fait?
Il doit être très diligent, vous voyez, un ouvrier doit être diligent.
Diligent dans la parole, pour étudier la parole.
Pas seulement étudier la parole.
Verset 15, il dit, étudie-toi à te présenter.
Ça c'est le point qui vient d'abord.
Il faut que notre relation avec Dieu soit correcte.
Puis après ça on peut présenter la parole.
Vous voyez, étudie-toi à te présenter approuvé à Dieu.
D'abord notre relation avec Dieu, si elle est correcte, là on peut être un ouvrier qui peut exposer justement la parole de la vérité.
Maintenant on arrive à un point très important.
La parole de Dieu doit être découpée.
Ça veut dire qu'on doit discerner toujours deux côtés de la vérité.
On va voir ça aussi dans le verset, en rapport avec le fondement, verset 19.
On va voir aussi deux côtés de la vérité, deux côtés de la médaille pour ainsi dire.
C'est très important.
Dans ce temps-là, il y avait des docteurs qui ont présenté seulement un côté de la vérité.
Ils l'ont dit, verset 18, Imminé et Philète qui se sont écartés de la vérité.
Pourquoi? Ils l'ont présenté la vérité.
Ils l'ont dit, la résurrection a déjà eu lieu.
Ils pouvaient dire ça en prenant Ephésiens 2.
Là on voit quand nous sommes ressuscités avec le Christ et même placés dans les lieux célestes.
Donc ils l'ont présenté la vérité, oui.
Mais ils n'ont pas présenté la vérité parce qu'ils l'ont présenté seulement un côté.
Ils n'ont pas parlé de notre responsabilité sur la terre.
Notre position en Christ, c'est un côté.
Mais notre responsabilité ici, c'est un autre côté.
Vous voyez, il faut présenter les deux côtés.
Ça c'est découper droit la parole.
Présenter les deux côtés de la vérité.
Et ces faux docteurs, ils avaient l'air, ils avaient l'apparence d'être très fidèles à la parole.
Ils l'ont présenté la vérité, mais seulement un côté.
Et ça c'est très dangereux.
Une autre chose, il y a ceux qui parlent seulement de l'œuvre de Dieu.
Ils ne parlent pas de la conversion.
Ils ne disent pas que l'homme doit se convertir.
Ils disent seulement qu'il faut une œuvre de Dieu.
Mais c'est vrai ça, on ne peut rien dire contre ça.
Mais c'est quand même pas la vérité parce qu'ils insistent seulement sur ce point là.
Ils ne parlent pas de la conversion, de la repentance.
Il faut avoir les deux côtés.
Et c'est toujours le cas.
La vérité de Dieu se présente devant nos coeurs.
Il y a toujours ces deux côtés.
Le côté de Dieu, le côté de l'homme.
On a vu ça dans la maison de Dieu.
Le côté de Dieu, le côté de l'homme.
C'est toujours le cas.
On peut penser aussi à d'autres façons pour couper la parole de Dieu.
Je pense à la différence dans les dispensations.
C'est très important de comprendre que le temps où Adam vivait ici bas,
ce n'est pas le même temps moralement où nous vivons.
Il y a une grande différence.
Vous voyez de telles différences.
Ou avant la loi, après la loi.
Avant Christ, la mort et la résurrection de Christ.
Après ça, ce sont de grandes distinctions.
Mais ces docteurs qui avaient donc une apparence très orthodoxe,
n'étaient quand même pas fidèles à la parole.
Ils n'étaient pas fidèles au Seigneur.
Et ça affecte les autres.
Parce qu'il dit dans verset 17.
Leurs paroles rongera comme une gangrène.
Ça c'est le progrès du mal.
Vous voyez le mal se multiplie rapidement.
Le progrès du mal ça va très vite.
On a parlé du levain qui fait lever la patte toute entière.
Ça c'est aussi une forme de mal qui affecte tout.
Et nous en nous même ne sommes pas meilleurs que d'autres chrétiens qui s'exposent eux même au mal.
On n'est pas meilleur.
On a vu ça hier en rapport avec l'idolâtrie.
On doit fuir parce qu'on peut être affecté par cette idolâtrie.
Et c'est la même chose avec la fausse doctrine.
Ou avec le mal dans la maison de Dieu.
Mais ici on voit que l'assemblée n'a plus jugé ça.
Ils n'ont pas mis dehors ces faux docteurs.
Ils ne l'ont pas fait.
Maintenant qu'est-ce que Timothée doit faire dans un tel état de choses?
C'est ça que Paul va montrer maintenant.
Et ce sont les mêmes principes qu'on a aujourd'hui.
Verset 19.
Un côté, toutefois le solide fondement de Dieu demeure.
Malgré le manquement de l'homme.
Et puis maintenant il donne ces deux caractères.
Ayant ce sceau.
Ou on pourrait dire cette inscription.
Quelle est l'inscription?
Deux côtés.
Le Seigneur connaît ceux qui sont siens.
Ça peut arriver que dans cette grande maison il y a des vases d'or.
Mais qui sont totalement couverts de saleté.
On ne peut pas voir que c'est de l'or.
Mais Dieu le sait.
Il y a des chrétiens où on a des doutes vraiment s'ils sont des chrétiens.
Mais Dieu le sait au fond.
Mais il y a un autre côté.
Si moi je ne peux pas voir si c'est un chrétien.
Je peux voir s'il s'abtient de l'iniquité.
Ça c'est le côté de la responsabilité.
Vous voyez le Seigneur connaît ceux qui sont siens.
C'est un côté.
Mais quel est l'autre côté?
Qu'il se retire de l'iniquité.
Quiconque prononce le nom du Seigneur.
Donc chaque personne qui prononce le nom du Seigneur.
Qui nomme le nom du Seigneur.
Qui invoque le nom du Seigneur.
Doit s'abstenir de l'iniquité.
Ça c'est le principe ici.
Selon cette règle il doit agir.
Mais nous savons que beaucoup de chrétiens n'agissent pas selon ce principe là.
Mais dans cette grande maison où le mal n'est plus jugé.
Nous ou le chrétien fidèle doit s'abstenir du mal.
Parce qu'autrement il va être influencé par le mal aussi.
Parce que le mal nous affecte toujours.
Il faut donc s'abstenir du mal.
Mais pas seulement parce que ça va nous affecter.
Aussi parce qu'on veut reconnaître les droits de Dieu.
C'est quand même encore la maison de Dieu.
Selon ce qu'on a vu dans Intimité 3.
Maintenant pour donner juste une illustration.
Si nous avons dans notre cave des vases.
Et puis quelquefois, pas ici mais dans quelques maisons.
La cave est un peu sale.
Et puis ça peut arriver qu'il y a des vases.
Est-ce qu'on pourrait prendre ce vase et le placer dans le salon ?
Non, il faut que ce vase soit purifié.
C'est ça qu'on trouve ici.
Ce vase qui était donc affecté par le mal doit se purifier.
Ça c'est le premier principe.
Mais le deuxième principe.
On va voir, juste peut-être relire le verset.
On a donc vu qu'il se retire de l'iniquité quiconque prononce le nom du Seigneur.
Ça c'est maintenant la responsabilité du vase de se purifier.
Mais, il y a d'autres problèmes.
C'est ça qu'on trouve dans verset 20.
Or dans une grande maison, il n'y a pas seulement des vases d'or et d'argent mais aussi de bois et de terre.
Les uns ont honneur, les autres ont déshonneur.
Si donc quelqu'un se purifie de ceci, il sera un vase à honneur.
Maintenant, un autre problème.
Le vase doit se purifier soi-même.
Ça c'est verset 19.
Mais le vase doit aussi se purifier des autres vases.
Mais vous voyez, c'est bien facile à comprendre.
Vous direz, ce sont les incrédules, on doit se séparer des incrédules.
Oui, c'est vrai.
Mais ce qu'on trouve ici, on doit aussi se séparer des vases qui sont sales.
Même si ces vases sont d'or ou d'argent, on doit se séparer de ces vases.
Pourquoi? Parce qu'ils sont souillés du mal.
C'est un principe très difficile.
Parce qu'on pourrait dire, mais ce sont des chrétiens.
Est-ce qu'on doit se séparer des chrétiens?
Ça c'est le problème.
Oui, si ces chrétiens sont des vases sales, des vases souillés.
Dans ce cas-là, on doit se séparer d'eux.
Selon ce principe-là.
Il y a donc deux distinctions.
D'un côté, on voit dans verset 20, le matériel.
Il y a une différence de matériel.
D'un côté, or, argent.
De l'autre côté, bois et terre.
Ça c'est une différence entre croyant et incroyant.
Entre croyant et incrédule.
Mais il y a aussi une autre différence.
Il y a des chrétiens, des vases d'or et d'argent qui sont souillés.
Qui ne se purifient pas.
Mais qui sont souillés par le mal.
Il y a aussi des vases comme hymenée et filette.
Qui étaient donc des chrétiens.
Mais qui sont devenus de faux docteurs.
C'est un autre groupe.
Juste pour répéter.
On a donc, comme on a vu hier soir, les incrédules.
Les incrédules.
On a ceux qui présentent une fausse doctrine.
Qui ont absorbé une fausse doctrine.
Comme hymenée et filette.
Ce sont des vases mauvais vraiment.
Mais il y a aussi ceux qui ont des liens avec ces autres vases.
Vous voyez.
Ceux qui étaient indifférents.
Qui ont dit, mais le mal est là.
Mais moi je suis pur.
Moi je n'ai pas de part avec eux.
Je peux avoir la communion avec eux.
Je peux rompre le pain avec eux.
Mais moi je n'adopte pas cette fausse doctrine.
Non ça ne va pas.
Il y a beaucoup de chrétiens qui disent ça.
Mais là on sous-estime le caractère du mal.
Ça va nous affecter quand même.
Et on ne reconnait pas les droits du Seigneur qui habitent quand même dans cette maison.
Donc il faut aussi dans ce cas là se séparer de ces vases là.
Malheureusement.
De ces vases qui sont nés de nouveau.
Des chrétiens.
Mais qui sont souillés par ces contacts.
Et puis ces principes là sont difficiles à accepter.
Parce que souvent on dit, mais ce sont des chrétiens.
Ce sont des enfants de Dieu.
Mais quand même ils sont en relation avec le mal.
Et pour cela, comme on a vu, on ne peut pas avoir la communion à la table du Seigneur.
Ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas avoir de communion avec des chrétiens qui ne se réunissent pas autour du Seigneur.
Je ne dis pas ça.
Il y a des chrétiens qui sont dans une église qui est encore pure.
Ça peut arriver mais c'est déjà très rare.
Qui n'ont pas donc des fausses doctrines.
Mais qui sont peut-être sectaires.
Ils ont certaines doctrines.
Et puis ils excluent tous les autres chrétiens de cette table là.
On a vu hier soir, on ne peut pas avoir la communion non plus.
Parce que le Seigneur n'est pas le chef d'un secte.
C'est impossible.
Mais on peut avoir une certaine communion avec de tels chrétiens quand même.
Mais on ne peut pas avoir la communion avec le mal.
Positif.
Le mal qu'on ne veut pas juger dans nos jours.
Ceux qui nient l'humanité de Christ ou la déité de Christ.
Ou qu'il soit le fils éternel.
Ou qu'il soit récité.
On ne peut pas avoir la communion avec ceux qui sont indifférents même.
En rapport avec ces fausses doctrines.
Maintenant dans le verset 21.
Si donc quelqu'un se purifie de ceux-ci.
On a vu maintenant, ça implique donc des vrais chrétiens.
La séparation pour le Seigneur implique même une séparation de ceux qui sont des chrétiens.
S'ils sont identifiés et s'ils se sont identifiés avec le mal.
Dans ce cas là, il sera un vase à honneur sanctifié.
Donc mis à part.
Un vase à honneur.
Pas seulement un vase d'or ou d'argent.
Mais un vase à honneur.
On se rappelle peut-être cette histoire d'Esdras.
Le vase pris du temple était transporté et mis dans la captivité dans un temple des idoles dans Babylone.
Puis le roi Cyrus est venu.
Il a redonné ce vase au peuple d'Israël.
Ils l'ont transporté dans le pays d'Israël.
Et placé dans le temple, ou placé à Jérusalem.
Mais ces vases ont été purifiés.
Mais ces vases sont devenus des vases à honneur pour le Maître.
Ils étaient dans un autre temple.
Ils sont sortis de là.
Ils sont mis dans le temple de Dieu à Jérusalem.
Après cette purification.
Ils étaient maintenant des vases à honneur.
On peut être un vase à honneur dans l'adoration aussi.
Mais il faut d'abord se séparer du mal.
Sanctifié, mis à part pour le Maître.
Et utile au Maître.
Beaucoup de chrétiens ont des problèmes avec ça.
Ils disent, mais si je me dois séparer, séparer.
Je ne peux rien faire pour le Seigneur.
Mais ce n'est pas vrai.
On sera un vase utile au Maître.
Si on est obéissant, on sera un vase utile au Maître.
Même si on est deux comme vous, Saint Charles Garnier.
Vous pouvez être des vases utiles au Maître.
Dans cette position de séparation.
Et c'est ça qu'on va voir maintenant.
Dans le verset 22.
Juste répétez verset 21 à la fin.
Préparé pour toute bonne œuvre.
Vous voyez, il y avait des vases qui étaient des vrais chrétiens.
Mais ils étaient indifférents vis-à-vis du mal.
Ils n'étaient pas préparés pour toute bonne œuvre.
Peut-être qu'ils font beaucoup de bonnes œuvres.
Mais ils ne sont pas prêts pour toute bonne œuvre.
Ils ne sont pas d'un sens là utiles au Maître.
Maintenant il y a un autre danger.
On a pris cette position pour le Seigneur.
On est fidèle.
On veut suivre le Seigneur.
Mais on doit aussi juger son propre cœur.
C'est ça qu'on trouve dans le verset 22.
Mais fuis les convoitises de la jeunesse.
On peut être très fier, vous voyez, d'avoir pris une position pour le Seigneur.
Mais ce n'est pas correct ça.
On peut dire mais moi j'ai pris une position pour le Seigneur.
Et c'est l'orgueil spirituel.
C'est très dangereux.
Il faut juger ça.
Il faut juger et même fuir les convoitises de la jeunesse.
Qu'est-ce que ça veut dire ?
Moi j'ai vu ces erreurs.
Moi j'ai jugé dans mon cœur tous ces mots.
Les autres ne font pas.
Ça c'est la convoitise de la jeunesse.
Pour expliquer cela, en général, comme enfant, on voit mieux les fautes de nos parents, souvent, que eux-mêmes.
C'est plus facile à distinguer les erreurs des autres.
Et dans notre croissance comme chrétien aussi, on remarque souvent des erreurs dans les autres.
Mais on ne juge pas nous-mêmes.
Vous voyez, ça c'est la cause de beaucoup de problèmes.
Parce qu'on n'a pas assez de connaissances de nous-mêmes.
On voit tous ces manquements dans les autres, mais on ne voit pas nos propres manquements.
Et ça c'est la convoitise de la jeunesse.
C'est donc nécessaire de croître spirituellement afin qu'on se place nous-mêmes dans la présence de Dieu.
Qu'on juge soi-même d'abord.
Ça c'est important.
C'est très facile de juger les autres.
Mais ce n'est pas correct.
Il faut d'abord juger soi-même.
Juger et fuir, c'est la convoitise de la jeunesse.
Pour être fidèle.
Maintenant, cet aspect positif que je voulais ajouter.
Parce que la séparation a toujours d'abord un aspect positif.
Qu'est-ce qu'il dit maintenant?
Poursuis la justice.
Vous voyez, Abraham dans l'Ancien Testament, il était tout seul.
Lorsque Dieu l'a appelé pour sortir d'Ur des Chaldéens,
il était tout seul pour poursuivre la justice.
On peut lire la référence dans Esaïe 51, versets 1 et 2.
On n'a pas le temps maintenant de lire ça.
Mais juste comme référence, on voit qu'Abraham a poursuivi seule cette justice.
Mais on ne restera pas seul lorsqu'on est fidèle pour poursuivre la justice.
On va voir ça.
Avec ceux qui invoquent le Seigneur d'un coeur pur.
Maintenant, on n'est plus seul.
Si on prend une position devant le Seigneur, Dieu va ajouter d'autres personnes.
Si nous sommes fidèles, pour prendre cette position, pour nous séparer du mal,
quelle forme que ça puisse avoir, le Seigneur va ajouter d'autres.
Avec ceux qui invoquent le Seigneur d'un coeur pur.
Et vous vous direz peut-être, mais je ne peux pas voir si quelqu'un a un coeur pur.
Je ne peux pas voir dans leur coeur. C'est vrai.
Mais vous pouvez voir quand même s'ils ont un coeur pur. Comment?
Extérieurement, s'ils se sont séparés du mal, s'ils se retirent de l'iniquité.
Dans ce cas-là, vous pouvez voir qu'ils ont un coeur pur.
Donc, du point de vue de la responsabilité de l'homme, on ne peut pas voir dans leur coeur.
On ne peut pas voir s'ils ont jugé les convertis de la jeunesse.
On va le voir peut-être plus tard.
Mais il y a des choses que Dieu voit seul.
Mais on peut quand même voir si quelqu'un a un coeur pur.
Parce qu'on voit s'ils se séparent de l'iniquité.
Mais le point positif c'est ici que le Seigneur se place devant leur coeur.
Et que le Seigneur nous attire pour le suivre.
Et là le Seigneur va ajouter d'autres.
Avec ceux qui invoquent le Seigneur.
Ça c'est important de voir ça.
Parce que le Seigneur est rejeté au milieu de la chrétienté.
Où le Seigneur Jésus est supposé d'avoir toute autorité.
Il a toute autorité.
Matthieu 28. Il a toute autorité.
Mais il n'est pas reconnu comme tel.
Par contre, ceux qui suivent ses instructions dans Deuteronomy 2.
Eux reconnaissent son autorité.
Ils invoquent le Seigneur.
Et puis ils sont aussi, verset 24, des esclaves du Seigneur.
Ils reconnaissent pratiquement son autorité.
Maintenant, juste brèvement, quelques pensées encore sur le verset 22.
Poursuivre la justice.
Ça c'est le point de départ.
La justice parle des droits de Dieu.
La justice pratique ici.
On est juste devant Dieu.
Notre position en Christ est juste.
On ne peut rien ajouter à ça.
Mais il faut que nous poursuivions la justice pratique.
Que nous reconnaissions les droits de Dieu pratiquement.
Dans les circonstances de nos vies, dans nos associations, comme on l'a vu.
Notre comportement dans la maison de Dieu.
Tout cela.
Deuxièmement, il faut poursuivre la foi.
Parce qu'on peut seulement réaliser ces choses par la foi.
Troisièmement, l'amour.
C'est en accord avec l'amour.
La sainteté et l'amour de Dieu vont ensemble.
Dieu est lumière, la sainteté.
Mais il est amour, vous voyez.
On ne peut pas séparer ces deux pensées.
Et puis cela donne la paix.
Cela donne une paix pratique.
Si nous avons le même but, comme rassemblement, comme chrétien, comme ces vases qui se sont séparés du monde.
On va avoir la paix.
Une paix selon Dieu.
Avec ceux qui invoquent le nom, qui invoquent le Seigneur.
Ce n'est pas ici seulement la confession.
Ici, ceux qui invoquent le Seigneur.
Parce qu'il y a beaucoup d'incrédules même qui invoquent le Seigneur.
Qui disent Seigneur.
Mais c'est ici ceux qui invoquent le Seigneur d'un cœur pur.
Cela montre donc que ce n'est pas seulement la confession.
Dieu n'est pas satisfait d'une confession dans un temps de ruine.
Il veut avoir la réalité dans ma vie, dans votre vie.
Dans votre confession, dans ma confession.
Il veut avoir la réalité, que ce soit en accord avec notre cœur.
Parce que si ce n'est pas en accord avec notre cœur, dans ce cas là on devient des pharisiens.
Vous voyez, eux avaient une apparence très belle, une confession très belle.
Mais leur cœur n'était pas pur, leur cœur n'était pas droit, leur cœur était une place d'iniquité pour ainsi dire.
On voit dans Matthieu et d'autres passages.
Donc, cette réalité est très importante.
Que ce qu'on dit soit en accord avec ce que nous sommes.
Donc, quelques principes ici en rapport avec la séparation pour le Seigneur.
Mais du point de vue qu'on est dans la maison.
Mais on pourrait dire, on a nettoyé une chambre au moins.
Le salon a été préparé pour le Maître.
Ce n'est pas seulement le fait que les vases sont purifiés.
Mais on aimerait maintenir une place pour le Seigneur.
Et dans ce cas là, on pourrait dire qu'on veut quand même avoir une chambre pour le Seigneur.
Comme on voit dans les évangiles, la chambre haute qui était préparée pour le Seigneur, tout était en ordre pour lui.
Ça c'est la pensée ici.
On ne peut pas changer le caractère de la grande maison.
Ce n'est plus possible.
Dans l'Apocalypse 2 et 3, on voit cette transition.
Au début, dans la première, dans 1, 2 et 3.
Dans Éphèse, Smyrne et Pergame, on voit que le Seigneur s'adresse encore à tous.
Mais après ça, après Thyatire, il ne s'adresse plus à tout le monde.
Donc c'est impossible d'améliorer toute la chrétienté, toute cette grande maison.
C'est impossible.
Mais nous pouvons prendre une position pour le Seigneur, pour le glorifier.
La séparation donc, pas seulement de la corruption qu'on a vue, mais aussi la séparation à nous-mêmes de la corruption de la chair.
La séparation aussi des chrétiens vraiment.
Ça c'est très tragique d'un sens, mais c'est nécessaire.
On a vu ça selon ces principes.
Ce n'est pas à cause du fait qu'on ne les aime pas.
On aime tous les chrétiens, mais on aime aussi le Seigneur.
Et pour suivre le Seigneur, pour être fidèle au Seigneur, on doit mettre en pratique ces principes.
Mais juste un mot comme avertissement, on doit agir avec sagesse en même temps.
Avec amour, mais aussi avec sagesse.
Pas avec précipitation.
Il faut vraiment, s'il y a des cas pratiques, se remettre au Seigneur.
On voit ça dans Moïse.
On va voir ça cet après-midi, Dieu voulant.
Il a prié pour le peuple de Dieu.
Il a dû prendre une position pour le Seigneur en se séparant du mal.
Mais il avait d'abord prié pour eux.
Mais à un moment donné, il devrait prendre une position pour le Seigneur pour se séparer d'eux.
Mais il faut agir avec amour.
Pas avec précipitation.
Pas en croyant que nous soyons meilleurs.
Ce n'est absolument pas le cas. …
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…
Je pense que la réalisation de la présence de Dieu est un remède vraiment contre le mal.
On a vu que c'est le désir du Seigneur de réunir son peuple autour de lui-même.
On a vu donc que la personne du Seigneur Jésus, la gloire de sa personne, la gloire de son nom est la base, le centre et l'objet du rassemblement.
On a vu également que l'oeuvre du Seigneur Jésus, son oeuvre glorieuse, est la base pour Dieu, pour avoir un peuple de Dieu réuni autour de lui-même.
On a vu que cette séparation pour le Seigneur implique aussi une séparation du mal.
Une séparation du mal, une séparation du monde comme système, du monde idolâtre, une séparation du sectarisme, une séparation de toute autre autorité que l'autorité du Seigneur.
Mais on a vu aussi que ça implique même une séparation de vrais chrétiens qui sont indifférents à l'égard du mal.
Et ça c'est très grave.
On a vu ça à cause du fait que nous soyons meilleurs que d'autres chrétiens, absolument pas.
Mais c'est le principe de Dieu parce qu'il ne peut pas s'identifier avec le mal.
Et souvent on a cette question là, mais comment ça se fait?
Si vous vous réunissez autour du Seigneur, vous avez formé un autre secte?
Si c'était le cas, ce serait très grave.
Mais on aimerait simplement maintenir les pensées de Dieu dans un temps de ruine.
Et on a vu que pour un temps de ruine, Dieu nous donne beaucoup d'instructions pour pouvoir maintenir ses pensées.
Dans le siècle passé, un frère a écrit, il était encore très jeune lorsqu'il a écrit ça, une brochure qui s'appelle
La séparation du mal, c'est le principe de Dieu pour l'unité.
Donc comment est-ce qu'on peut maintenir la pensée de l'unité en se séparant du mal?
Parce que Dieu ne peut pas se lier au mal.
C'est donc un principe très important à comprendre.
En maintenant ce principe, on ne détruit pas l'unité parce que c'est l'unité du corps de Christ.
Cette unité ne va pas ensemble avec le mal.
C'est aussi l'unité de l'esprit.
L'esprit ne va pas ensemble avec la chair, on a vu ça hier soir.
L'esprit ne peut jamais accepter quelque chose de la chair.
Donc ce sont des principes qui maintiennent pratiquement l'unité selon les pensées de Dieu.
Si on était un secte, en disant que le Seigneur est notre maître, en nous appelant des chrétiens, comme secte, ce serait le secte le plus pire.
Et puis il ne faut donc jamais se glorifier en nous-mêmes, parce que dans ce cas là on serait un secte très mauvais.
Avec une belle apparence, mais sans cette réalité que Dieu veut voir.
Donc ces principes de la séparation, même la séparation du mal, peut impliquer la séparation des vrais chrétiens.
C'est à cause du fait qu'eux ne s'abstiennent du mal, qu'eux ne se retirent pas du mal et de ceux qui sont associés avec le mal.
Vous voyez, ce n'est pas parce que ce sont des chrétiens qu'on va se retirer d'eux.
C'est à cause du fait qu'ils sont associés au mal.
Ça c'est le point.
Donc on a vu plusieurs formes de mal où on doit s'abstenir.
Maintenant, avant de commencer avec ce sujet là, j'avais encore une chose à coeur.
Ça ne veut pas dire qu'au milieu de nous il n'y ait pas la chair.
Dans un chrétien on voit très clair qu'il y avait beaucoup de chair là.
Mais le point c'est que si on veut juger le mal, on va avoir toujours des manquements, on va avoir toujours des choses qui ne sont pas correctes.
Mais le moment où le Seigneur montre ces choses et on ne veut pas juger ça, dans ce cas là, ça commence à être vraiment mal, à devenir le mal.
Donc, en autres mots, une situation charnelle, ce n'est pas ce que Dieu aime voir, mais ça en soi ce n'est pas le mal.
Le mal c'est quelque chose que Dieu révèle qui est vraiment mal dans ses yeux.
Dieu a beaucoup de patience avec les Corinthiens.
Le Seigneur a eu beaucoup de patience afin qu'ils réalisent le mal qui était au milieu d'eux.
Ils ont agi par les instructions de la parole.
Puis après ça, ce frère a été restauré même.
Vous voyez, c'est dans les voies de Dieu un principe très salutaire pour la restauration de l'âme.
La séparation du mal nous garde contre le mal et va même donner une restauration à ceux qui étaient souillés du mal.
Donc, il ne faut pas mélanger ces deux côtés.
Une situation caractérisée par le mal, comme 2 Timothée 2, où la grande maison était caractérisée par le mal.
C'est une situation tout à fait différente d'un Corinthien où le mal était au milieu d'eux, mais il était encore prêt pour juger le mal.
C'est donc une autre situation. Il faut bien la distinguer.
Maintenant, un autre aspect.
J'ai dit qu'on ne peut pas sortir de la maison, de la grande maison, parce qu'on appartient à la profession chrétienne.
On doit s'humilier de ses mots.
J'ai oublié de mentionner ça ce matin.
Mais on devrait adopter l'attitude de Daniel qui s'est humilié devant Dieu à cause de tous ses mots dans son peuple.
On devrait adopter l'esprit d'Esdras et de Néhémie qui se sont humiliés même au milieu d'un résidu.
Vous voyez, ce n'est pas la même chose que Daniel.
Daniel s'est humilié à cause de l'état de son peuple qui a causé la captivité.
Mais après la captivité, on voit Esdras et Néhémie qui se sont humiliés à cause de l'état dans lequel le reste fidèle se trouvait.
Ça c'est une leçon pour nous.
Il faut toujours s'humilier soit à cause de notre état, mais aussi à cause de l'état dans lequel toute la chrétienté se trouve.
Une attitude qui est caractérisée par l'amour envers tous les chrétiens.
On va voir ça maintenant dans Moïse qui avait un amour réel pour le peuple de Dieu.
Et quand même il a pris une position à part de ce peuple.
Maintenant la grande différence entre Hébreu 13 et 2 Timothée 2.
Dans Hébreu 13 on va voir un système religieux judaïque.
Un système humain.
Là on peut sortir.
Mais on ne peut pas sortir de la grande maison.
On peut se purifier des vases à déshonneur, de l'iniquité.
On peut pour ainsi dire préparer une bonne chambre pour le seigneur où les droits du seigneur sont reconnus.
Mais on ne peut pas sortir de la grande maison, de la profession chrétienne.
Par contre on peut et on doit sortir vers le seigneur pour sortir du cain.
Maintenant on va voir ce que ça signifie avec l'aide du seigneur.
D'abord Exode 33.
On a vu hier soir aussi que les illustrations de l'Ancien Testament nous aident beaucoup à comprendre la doctrine du Nouveau Testament.
Et cette fois aussi je vais souvent référer à des choses qu'on trouve dans l'Ancien Testament.
Mais on lit seulement un passage pour commencer dans Exode 33.
On voit ici le peuple de Dieu délivré de l'Égypte, délivré de l'esclavage dans le désert.
On a chanté et là on voit qu'ils ont introduit le principe d'idolâtrie.
Le même principe que le monde égyptien avait, ils l'ont adopté dans le désert.
Et tout le cain est devenu un cain idolâtre, un cain religieux.
Qu'est-ce qu'ils ont dit? Demain on va avoir une fête pour l'éternel.
C'était bien religieux ça, mais ce n'était pas selon les pensées de Dieu.
Cela avait l'apparence d'avoir l'approbation de Dieu, mais c'était quelque chose de la chair et quelque chose de Satan.
Et puis Dieu ne peut pas permettre cela.
Exode 33, verset 7.
D'abord peut-être aussi le verset 5.
Or l'éternel avait dit à Moïse, dit au fils d'Israël, vous êtes un peuple de courroie.
Je monterai en un instant au milieu de toi et je te consumerai et maintenant ôte tes ornements de dessus toi et je saurai ce que je te ferai.
Et les fils d'Israël se dépouillèrent de leurs ornements à la montagne de Horeb.
Verset 7.
Et Moïse prit une tente et la tendit pour lui, hors du camp, loin du camp.
Il l'appela la tente d'assignation.
On a vu hier que cela veut dire la tente du rassemblement.
Exode 29, on a lu, la tente du rassemblement.
Il arriva que tous ceux qui cherchaient l'éternel sortirent vers la tente d'assignation qui était hors du camp.
Il arriva que lorsque Moïse sortit vers la tente, tout le peuple se leva et s'éteint chacun à l'entrée de sa tente.
Il suivit des yeux Moïse jusqu'à ce qu'il entra dans la tente.
Mais ils ne se sont pas associés avec Moïse dans ses actions, malheureusement.
Verset 9.
Il arriva que quand Moïse entrait dans la tente, la colonne de nuée descendit et s'éteint à l'entrée de la tente et l'éternel parla avec Moïse.
Verset 11.
Et l'éternel parlait à Moïse face à face comme un homme parle avec son ami.
Et Moïse retourna au camp et son serviteur Jésus, fils d'une jeune homme, ne sortait pas de l'intérieur de la tente.
Dans le verset 10, on voit que le peuple avait beaucoup de respect pour Moïse.
Ils se sont même prosternés, mais ils ne se sont pas écartés du mal, ils ne se sont pas sortis du camp.
Maintenant dans Hébreu 13.
Verset 8.
Jésus-Christ est le même hier et aujourd'hui et éternellement.
Ne soyez pas séduits par des doctrines diverses et étrangères, car il est bon que le cœur soit affermi par la grâce, non par les viandes lesquelles n'ont pas profité à ceux qui y ont marché.
Nous avons un autel dont ceux qui servent le tabernacle n'ont pas le droit de manger, car les corps des animaux dont le sang est porté pour le pécher dans les lieux saints par le souverain sacrificateur sont brûlés hors du camp.
C'est pourquoi aussi Jésus, afin qu'il sanctifia le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte.
Ainsi donc, sortons vers Lui, sortons vers Lui, hors du camp, portant son opprobre, car nous n'avons pas ici de cité permanente, mais nous recherchons celle qui est à venir.
Offrons donc par Lui, sans cesse, à Dieu, un sacrifice de louanges, c'est-à-dire le fruit des lèvres qui confesse son nom.
Mais n'oubliez pas la bienfaisance et de faire part de vos biens, car Dieu prend plaisir à de tels sacrifices.
Nous avons ici un passage bien difficile.
C'est peut-être le passage le plus difficile à comprendre.
Il y avait dans Deutémothe aussi des pensées assez difficiles à comprendre, mais ce passage est d'un côté difficile, d'un autre côté facile.
Parce que si on voit vraiment l'importance de la personne du Seigneur, dans ce cas-là, tout devient plus facile.
Tout deviendra intelligible, d'une façon qu'on peut le comprendre.
Si on donne la place au Seigneur, la place qui lui appartient, on va comprendre les choses.
Et ce n'est pas seulement qu'on puisse apprendre ces choses intellectuellement, mais il faut aussi que nous entrions vraiment dans la jouissance de ces pensées,
que nous saisissions ces pensées, parce que ce ne sont pas seulement des pensées applicables dans ce temps-là.
Ce sont des pensées qui s'appliquent encore aujourd'hui, comme on va voir, Dieu voulant.
On voit ici, dans cet épître, l'importance de la personne de Christ.
Il y avait beaucoup de danger pour les hébreux.
Ils étaient sortis de ce camp religieux, du judaïsme, mais ils étaient en danger de retomber dans ce système-là.
Je ne peux pas maintenant parler de ça longuement, je dois me limiter maintenant à ce verset qu'on a lu.
Mais dans ce verset, nous voyons Christ comme le grand conducteur.
Dans le verset 7, l'auteur parle de vos conducteurs.
Et aussi plus tard, dans le verset 17, obéissez à vos conducteurs.
Mais entre ces deux, on voit Christ comme notre grand conducteur.
On le voit aussi dans hébreu 12, verset 2, le verset qui est marqué ici sur l'affiche, on le voit comme notre chef, comme le grand conducteur.
Il a conduit un peuple à travers le désert, hébreu 11, il nous conduit maintenant.
Et dans le chapitre 13, on voit comment il nous conduit, en détail.
D'abord, l'importance de sa personne, verset 8, Jésus Christ est le même.
Ce verset nous montre qu'il est Dieu lui-même aussi, parce que dans le chapitre 1, on voit qu'il est appelé le même.
Donc le Dieu d'éternité est appelé le même.
Ici, Jésus Christ, un homme, en même temps Dieu, le même.
Hier, dans sa vie ici-bas, aujourd'hui dans le ciel, et éternellement, dans le millenium, dans toute l'éternité, il sera un homme devant nos yeux.
Notre grand conducteur.
Les dangers, verset 9, ne soyez pas séduits par des doctrines diverses et étrangères.
On a parlé de beaucoup de dangers.
Il y a des dangers de mondanité, d'être tiré dans le monde.
Il y a des dangers de sectarisme.
Il y a des dangers, comme on a vu dans la grande maison, de fausses doctrines et tout cela.
Il y a aussi des dangers du ritualisme.
Ça c'est peut-être un mot très difficile à comprendre, mais je vais expliquer ça.
Dans 1 Chrétien 10, on a lu hier soir, où il y avait un peuple dans le désert.
Qu'est-ce qu'il avait? Il avait quelque chose à manger et quelque chose à boire.
D'une telle façon, tous les chrétiens ont aussi quelque chose, ils ont des rituels, le baptême et la cène.
Mais ce sont devenus des rituels, sans réalité.
Et ça, c'est une des caractéristiques pour le camp, on va en parler plus tard.
Et ces choses sont présentées par des doctrines diverses et étrangères.
Ceux qui adoptent ces choses vont parler de ça.
Il y a des frères qui ont adopté un rituel pour la cène dominicale.
Ce sont des doctrines diverses et étrangères.
Ce ne sont pas des doctrines scripturaires, ce sont des doctrines de l'homme.
Dans l'église catholique, ils ont adopté tout un rituel.
Et même, je veux dire, on n'est pas trop bon pour ne pas adopter ces choses non plus.
On peut introduire aussi un rituel.
Ce sont des choses diverses et étrangères apportées par des doctrines pour donner une apparence acceptable pour tout le monde.
Mais il ne faut pas que nous soyons séduits par ces choses.
Qu'est-ce qu'on doit faire? Verset 9 au milieu.
Car il est bon que le coeur soit affermi.
C'est d'abord une question de notre coeur, vous voyez.
Notre coeur, est-ce qu'il est à la bonne place?
On a parlé d'un coeur pur, de Timothée 2.
Ici, de nouveau, c'est une question de notre coeur.
Parce qu'on a besoin d'être affermis par un système rituel, la loi, le monde, par la grâce.
Il faut que nous soyons affermis par la grâce.
Et on a vu ce matin, dans Timothée 2, qu'on peut se fortifier dans la grâce qui est dans l'Église Jésus, qui est dans la gloire.
Il est notre ressource.
Et on peut même se mourir de lui.
Maintenant, Paul, supposons qu'il est l'auteur de l'épître aux Hébreux, réfère au sacrifice de prospérité.
On a parlé de ça hier soir aussi.
Parce que le sacrifice de prospérité était offert à Dieu, mais c'était en même temps un repas.
C'était la viande, ou le repas pour Dieu, Lévitique 3.
C'était la viande, ou le repas pour le sacrificateur.
Donc, en autres mots, c'est aussi quelque chose que le Seigneur mange avec nous.
Il partage avec nous cette nourriture.
Si le Seigneur Jésus peut adopter quelque chose, dans Luc 24 par exemple, il a mangé avec les disciples.
On peut être sûr que ces choses sont bonnes pour nous aussi.
Les choses que le Seigneur accepte comme sa nourriture, les choses que Dieu accepte comme sa nourriture,
comme ce sacrifice de prospérité, ce sont des choses qui sont bonnes pour nous aussi.
Et on a vu, ceux qui étaient purs au milieu du peuple pouvaient manger de ça.
Et c'est ça qu'on trouve ici dans le verset 9, à la fin.
Il est bon que le cœur soit affermi par la grâce.
C'est donc cette nourriture spirituelle, en rapport avec le Seigneur, qui est le vrai sacrifice de prospérité.
On ne mange pas littéralement dans ce sens-là, pour être fortifié spirituellement,
non pas les viandes desquelles n'ont pas profité à ceux qui y ont marché.
Ce n'est pas maintenant une question de maintenir l'ordre judaïque dans ce temps-là.
C'est maintenant d'apprendre et d'adopter et d'approprier les pensées spirituelles que Dieu avait dans ces choses-là.
La main, par exemple, c'était une nourriture littérale, mais cela a une signification spirituelle, comme nous avons vu hier soir.
Le pain que nous mangeons, cela a une signification spirituelle.
Et d'une telle façon aussi, le sacrifice de prospérité, ou une autre traduction, le sacrifice de la paix, littéralement, nous apporte cette nourriture.
Et il faut que nous soyons donc fortifiés, affermis, par cette nourriture qu'on trouve dans ce sacrifice du Seigneur Jésus.
On peut se fortifier par Lui, s'appropriant de Lui.
Verset 10, s'il y a des sacrifices, il y a aussi un hôtel.
On a parlé de cet hôtel hier soir, c'est la table du Seigneur.
Mais cela va plus loin ici. L'hôtel, en général, était là chaque jour de la semaine, pas seulement le dimanche.
On peut donc avoir notre hôtel continuellement. On peut s'approcher de Dieu par ce chemin-là, par l'hôtel.
L'hôtel, c'est Christ Lui-même. Dans Matthieu 23, on voit que le sacrifice était présenté sur l'hôtel.
Et l'hôtel donnait une valeur spéciale à ce sacrifice.
Je pense qu'on en a parlé une fois lorsqu'on a étudié Exode 27, l'hôtel.
Donc, le don, on le voit dans verset 9, et l'hôtel dans verset 10.
Et c'est par l'hôtel que ce sacrifice reçoit sa valeur spéciale.
Le Seigneur Jésus est le sacrifice, mais Il est aussi l'hôtel.
Nous avons un hôtel dont ceux qui servent le tabernacle n'ont pas le droit de manger.
Donc, ceux qui appartiennent à un système religieux, légal, ou quoi que ce soit,
ils n'ont pas le droit de s'associer à ce système nouveau.
Le système de la grâce. Le système nouveau où le Seigneur Jésus est tout.
Dans cet épître, on voit l'importance de la Personne du Seigneur.
Chaque fois de nouveau, la grandeur de la Personne du Seigneur est présentée.
Donc, Lui est notre hôtel, et on peut s'approcher de Dieu par Lui.
Mais ceux qui appartiennent à un système mondain, ou religieux, ou humain,
ne peuvent pas s'associer avec ce système de la grâce.
Maintenant, dans le verset 11, il va parler d'une autre chose.
Car les corps des animaux, maintenant, ça devient un peu difficile.
C'est trois versets, 11, 12 et 13.
Juste un court résumé.
Verset 11 donne la situation dans l'Ancien Testament, le sacrifice pour le péché.
Verset 12 parle du Seigneur littéralement.
Verset 11 parle du Seigneur aussi comme sacrifice pour le péché.
Mais dans le verset 12, on voit ce qui s'est passé avec le Seigneur lorsqu'il était rejeté.
Verset 13 nous donne l'application pour nous dans ce temps où nous vivons.
Verset 11 donc, car les corps des animaux dont le sang est porté pour le péché dans les lieux saints,
par le souverain sacrificateur, sont brûlés hors du camp.
On voit donc deux positions ici.
On voit le sang du sacrifice pour le péché.
Pour le péché, où est-ce que le sang était présenté?
A l'autel.
Ce n'est pas mentionné ici, c'était le cas.
Mais pas seulement à l'autel.
C'était présenté devant Dieu dans le lieu très saint.
Donc devant l'arche.
Devant Dieu, on a lu d'un acte, dans sa présence.
Ca donne donc cette pensée là, que la valeur du sang, du sacrifice pour le péché, est tellement grande,
que ça donne l'accès jusqu'à Dieu.
Jusqu'à sa présence.
C'est cette pensée là qu'on trouve dans l'épître aux hébreux,
que nous pouvons nous approcher de Dieu par un chemin vivant et nouveau,
là où Dieu est maintenant.
C'est à cause de la valeur du sang du Seigneur Jésus.
C'est une chose.
Mais il mentionne une autre chose.
Verset 11 à la fin.
Ces corps de ces animaux étaient brûlés hors du cain.
On peut voir ça dans Lévitique 16 par exemple.
Le grand jour de la propitiation.
Ces corps de ces animaux étaient brûlés hors du cain.
Donc deux positions.
D'un côté, le sang est présenté devant Dieu.
De l'autre côté, le corps était brûlé hors du cain.
Pourquoi est-ce que le corps était brûlé hors du cain?
Parce que le cain était saint.
Dieu habitait là.
Et Dieu ne pouvait pas s'identifier avec le mal.
Dieu a jugé le mal hors du cain.
Donc ici, le cain est saint à cause de la présence de Dieu.
Et l'animal était brûlé hors du cain.
Ça c'est donc la situation dans l'Ancien Testament.
Dans l'Ombre, dans Lévitique, etc.
Mais, qu'est-ce qui s'est passé le moment où le Seigneur Jésus était crucifié?
Est-ce que le cain était encore pur là?
Non.
Là, on voit une autre pensée maintenant.
Et puis, plus tard, on va voir l'application pour nous.
Dans le verset 12, on voit que Christ était le sacrifice pour le péché.
Donc, d'un côté, on voit que son sang était présenté devant Dieu.
Dieu reconnaît la valeur du sang dans le ciel.
Et d'un autre côté, le Seigneur Jésus a pris cette place hors du cain.
Comme le sacrifice pour le péché.
Mais on voit ici encore un autre élément.
Le Seigneur Jésus était chassé du cain.
Il était rejeté du cain.
Pourquoi?
Parce que ce cain est devenu un cain où Dieu n'avait plus de place.
Où l'homme était le centre.
Et à cause de cela, ils ont rejeté Dieu, ils ont rejeté le Seigneur Jésus.
Ils l'ont crucifié hors de la porte.
Hors de leur cain.
Vous voyez?
Donc, ce cain que Dieu a donné au début.
Ce système judaïque que Dieu avait donné, la loi, tout cela.
Est devenu un cain où il n'y avait plus de place pour Dieu.
Et ça se montre dans le fait que le Seigneur Jésus était chassé du cain.
Et plus tard, on voit la même pensée avec Étienne.
Un vrai chrétien qui a été envoyé par le Seigneur pour témoigner, pour rendre témoignage.
Dans le cain encore.
Ils l'ont chassé.
Après qu'il avait parlé devant le Saint-Nédrin dans l'acte 7.
Ils l'ont chassé de leur ville.
Et il a souffert hors du cain.
On voit donc que ce cain judaïque n'avait plus de place pour le Seigneur.
Plus de place pour ses disciples.
Plus de place pour Dieu.
Ça c'est une caractéristique du cain.
On va en parler encore plus tard.
Ils l'ont chassé le Seigneur Jésus.
Maintenant verset 12 qui donne l'application pour nous.
Qu'est-ce qu'on doit faire maintenant?
Est-ce qu'on doit attendre jusqu'à ce qu'on nous chasse du cain?
Non.
On sort du cain volontairement.
Le Seigneur Jésus était chassé du cain.
Mais nous sortons du cain volontairement.
Pourquoi?
Parce qu'on est attiré vers le Seigneur.
Il n'a plus de place dans le cain.
Donc nous n'avons plus de place non plus dans le cain.
Verset 12.
C'est pourquoi aussi Jésus, afin qu'il sanctifia,
c'est aussi une expression qu'on trouve souvent dans l'épître aux hébreux,
afin qu'il sanctifia le peuple par son propre sein,
a souffert hors de la porte.
C'est ça qu'on a vu.
Maintenant verset 13.
Ainsi donc, l'application pour nous.
Sortons vers lui, hors du cain.
Portons son opprobre.
C'est ça qu'on voit maintenant.
On peut suivre le Seigneur.
On est attiré pour sortir vers lui.
Et ça m'a bien insisté l'importance de la personne du Seigneur.
La personne du Seigneur qui attire les enfants de Dieu vers lui.
Cela a une conséquence.
C'est l'opprobre.
C'est l'opprobre à cause de cette fidélité,
à cause du fait qu'on veut suivre le Seigneur volontairement.
Cela donne une opprobre.
Verset 14.
Car nous n'avons pas ici de cité permanente.
Vous voyez, les juifs...
On voit donc dans le verset 14,
que ce système religieux a la prétention d'être permanente.
Comme une cité permanente.
C'est la même chose maintenant avec le système religieux d'aujourd'hui.
Je pense que c'est une cité permanente.
Mais il y a une distinction.
Parce que le système chrétien comme il est développé aujourd'hui n'a pas l'approbation de Dieu.
Dieu a donné le système judaïque au début.
Dieu l'a rejeté.
Mais aujourd'hui l'homme a introduit quelque chose que Dieu n'a pas même autorisé.
Et puis ça donne l'apparence d'être permanent.
Mais on doit quitter de ça.
Parce qu'on cherche celle qui est à venir.
Ici on voit l'espérance chrétienne.
Donc d'un côté on a présentement ce privilège d'être avec le Seigneur, hors du camp.
Et on a cette espérance vivante.
Et dans le verset 15 on voit, offrant donc par lui sans cesse à Dieu un sacrifice de louanges.
Ici de nouveau on voit cet élément du sacrifice de prospérité.
Parce que le sacrifice de prospérité qu'on trouve dans Lévitique 7 avait aussi une forme de louanges, de vœux qu'on trouve dans le verset 15.
Ce sont donc des sacrifices qu'on offre maintenant.
Mais pas comme un rituel.
Ça c'est la grande différence.
Par l'action de l'esprit.
Et en même temps ça va ensemble dans le verset 16 avec ce sacrifice de nos biens.
De tels sacrifices qui sont agréables devant Dieu.
Maintenant j'aimerais juste donner un petit résumé du camp pour comprendre quelques points.
Ou pour répéter juste quelques points.
On a vu donc que le sacrifice pour le péché était brûlé hors du camp à cause du fait que le camp est pur.
Il faut bien comprendre cela.
Et dans le verset 12 on voit donc la situation en rapport avec le seigneur.
Pas en rapport avec le sacrifice dans l'ancien testament mais en rapport avec le seigneur.
Puis là on voit donc que le système religieux a rejeté le seigneur qu'il a souffert hors du camp parce qu'il était chassé par eux.
Et on peut dire que chaque fois où un système religieux prend ces mêmes caractéristiques, on peut dire qu'il n'y aura pas de place pour le seigneur pratiquement.
Et cela donne maintenant une occasion pour les croyants qui sont fidèles pour s'identifier avec le seigneur qui est hors du camp.
Pour sortir vers lui.
Et cela se répète souvent dans l'histoire.
On peut dire que l'église c'est donc une forme de séparation aussi.
Que l'église que Dieu a donnée au début dans les jours des apôtres est devenue un système, un camp.
On le voit développé dans Pergam et Thyatire dans l'apocalypse 2.
Si vous n'avez pas encore lu ce chapitre, cela vaut la peine de lire l'apocalypse 2 pour comprendre comment ce système s'est développé.
Et on voit clairement que l'église que Dieu a donnée au début est devenue un système où il n'y a plus de place pour Dieu.
Où il n'y a plus de place pour ceux qui sont fidèles à Dieu.
Antipas par exemple.
Où il n'y a pas de place pour le seigneur.
Et où ils ont introduit des rituels.
Ils ont encore la Seine comme au début.
Ils ont encore le baptême.
Mais ce sont des choses qui sont devenues des rituels.
Qui n'ont pas de valeur devant Dieu.
Une autre chose qu'on pourrait mentionner.
Il nie aussi l'appel céleste.
Nous avons au lieu d'avoir un temple terrestre.
Nous avons maintenant un sanctuaire céleste.
Mais l'introduction d'un temple littéral comme dans l'église nie cet appel céleste.
Que nous avons des liens avec le ciel.
Cela nie l'appel céleste.
Il y a une autre chose.
Bien vite, on peut le lire aussi dans l'apocalypse 2.
Un système de clergé a été introduit.
Le cléricalisme.
C'était donc une classe d'hommes entre le peuple qui était un peu méprisé.
Comme les pharisiens ont méprisé le peuple normal.
Et Dieu.
Cette classe de clergé se sont placé entre le peuple de Dieu et Dieu.
C'est donc une caractéristique du camp religieux.
Qu'il y a un groupe de dirigeants ou quoi que ce soit.
Qui se place entre le peuple d'un côté et Dieu de l'autre côté.
Ils représentent Dieu comme le sacrificateur dans l'ancien testament.
Donc ils introduisent ce système avec des arguments qui viennent de la bible.
Mais ce sont des doctrines étranges.
Qui ne sont pas étrangères.
Qui ne sont pas en accord avec les pensées de Dieu.
A l'apparence d'avoir la pensée de Dieu.
Mais ce n'est pas vrai.
On voit que cet élément d'un système clérical se trouve pas seulement dans l'église catholique.
Mais aussi dans beaucoup d'églises protestantes.
Et on n'est pas trop bon comme j'ai dit de ne pas adopter aussi un tel système.
C'est toujours nécessaire qu'on se place dans la présence de Dieu.
Qu'on se place devant Dieu.
Pour être préservé contre tous ces maux.
Pour ne pas devenir un système.
On voit même des églises dans le temps de la réformation.
Où ils sont sortis vers le Seigneur vraiment.
Où des églises, des croyants dans le siècle passé.
Qui sont sortis du camp.
Ils ont formé de nouveau un camp.
Après un certain temps.
La personne du Seigneur Jésus a perdu sa place au milieu d'eux.
Et graduellement, tranquillement, ils ont introduit de nouveau un système humain qui prend la place du Seigneur.
Toutes ces choses là prennent la place du Seigneur.
Et on a vu hier et ce matin que seulement le Seigneur a la seule place.
Et rien ne peut remplacer le Seigneur.
Si c'est le cas, on devient un système.
Il y a aussi d'autres choses.
Comme ils ont introduit un hôtel littéral dans l'église.
Dans quelques églises protestantes ou des sectes protestantes.
Non, on a vu, ce n'est pas notre hôtel.
Nous avons un hôtel, mais c'est Christ.
En rapport avec cet hôtel, il avait souvent aussi cette pensée là.
Que c'était seulement accessible pour une classe spéciale.
Pas pour tout le peuple.
Vous voyez, c'est très subtil.
Mais ça va ensemble avec cette pensée qu'il y a une certaine classe qui est meilleure que les autres.
Ça c'est très dangereux.
Même pour nous.
Parce que dans l'histoire des frères, soi-disant, il y a eu ce mouvement.
De ceux qui pensaient qu'ils étaient mieux que les autres.
Ça donne, ça montre que l'orgueil a été adopté.
Et on doit juger l'orgueil constamment pour ne pas tomber dans ce piège.
Maintenant, pour revenir à cette place que nous avons hors du cain.
En ce qui concerne le sacrifice pour le péché, c'était jugé hors du cain.
Où le jugement de Dieu a frappé ce sacrifice.
Et c'est exactement notre place.
Pourquoi on a une place hors du cain?
C'est aussi à cause du fait que là, il n'y a plus de jugement à craindre.
Parce que le Seigneur Jésus a pris notre place pour subir le jugement de Dieu.
Et cette place hors du cain est devenue une place pure et sûre.
Donc pure parce que toutes les exigences de Dieu ont été satisfaites par l'œuvre du Seigneur.
Donc cette place est devenue une place pure.
Mais aussi une place sûre.
Parce que si on accepte que le Seigneur Jésus a porté le jugement pour moi, pour nous.
Dans ce cas là, si on s'identifie avec le Seigneur là, on n'a plus de jugement à craindre.
C'est une place sûre.
Vous voyez?
Ça c'est donc l'enseignement pour nous.
Que nous avons maintenant une place pure et sûre hors du cain.
La deuxième pensée, c'est donc en même temps l'opprobre de la part du système religieux.
Parce qu'en étant fidèles au Seigneur, on est quelquefois haïs.
Mais pas seulement haïs, ça peut arriver qu'on nous apprécie.
Comme le peuple a apprécié Moïse, mais quand même ils sont restés dans le cain.
Ils se sont identifiés avec l'idolâtrie, avec le rituel.
Ils ont apprécié Moïse, mais ils ne se sont pas identifiés avec lui en sortant hors du cain.
C'est dommage.
Ça arrive avec beaucoup de chrétiens qui ont un certain respect pour ces principes là, mais qui restent quand même dans le cain.
Une troisième chose, on a aussi une place dans le sanctuaire.
Et je pense que cette place que Jésus a eue dans l'Exode 33 nous indique cette place.
Il était dans la tente, sur la terre, mais en même temps il avait la communion avec Dieu.
Et je pense que ça suggère cette pensée là, que nous pouvons entrer dans les lieux saints, dans les lieux célestes,
où Christ est, dans la gloire, où le saint a été reconnu, où Dieu habite, afin que nous ayons communion avec Dieu.
Donc cette tente est devenue une place de communion avec Dieu.
Et tous les privilèges que Dieu avait dans son cœur à partager avec le peuple étaient jouis dans cette tente.
Donc cette tente qu'on a lue dans l'Exode 33 est très importante.
Parce qu'on voit là de nouveau que le peuple qui est devenu infidèle et a rejeté les pensées de Dieu n'a pas pu jouir des pensées de Dieu.
Par contre Dieu aime partager ses bénédictions avec nous.
Il donne cette possibilité en rapport avec la tente.
Maintenant une chose, on voit que Moïse a fait ça volontairement.
Il a pris cette tente de lui-même.
Dieu n'a pas commandé le faire.
D'une telle façon on peut dire, nous n'avons pas un commandement.
Dieu attend afin que nous soyons attirés vers le Seigneur, pour sortir vers lui.
Il ne nous force pas, il ne nous pousse pas.
Mais nous avons par contre des enseignements très clairs.
Comme ici dans l'Hebreu 13 sont des enseignements très très clairs.
Et ça peut nous aider beaucoup.
Mais on voit en même temps dans Moïse cette attitude qu'il était prêt pour sortir.
Même sans des commandements directs.
Son cœur était à bonne place.
De nouveau on voit que c'est une question de notre cœur.
Vous voyez on a parlé du cœur dans l'Hebreu 13.
Le cœur de Moïse était sur une bonne place.
Et la conséquence de ça était qu'il a pu jouir de toutes ses bénédictions.
Dieu a parlé avec lui, a communiqué avec lui.
Jésus ne sortait pas de l'intérieur de la tente.
Et c'est remarquable, j'ai souligné ça, Jésus était jeune.
On ne peut jamais être trop jeune pour apprendre ces choses, pour apprécier ces choses.
Et souvent, c'était le cas ici dans le rassemblement, la plupart étaient très jeunes en adoptant ces principes.
Dans les siècles passés, ceux qui ont reçu les enseignements de Dieu étaient en général très jeunes.
Lorsqu'on est jeune, comme Timothée, on a vu Timothée ce matin était très jeune.
Il a accepté cet enseignement.
Lorsqu'on devient plus vieux, c'est plus difficile pour sortir.
Ça demande plus d'énergie parce qu'on a ses amis, ses contacts, etc.
C'est plus dur.
On voit ici la fidélité de Josué.
Ce chapitre est vraiment très riche en nous donnant ces instructions pour sortir d'un camp religieux.
On ne peut pas sortir de la grande maison, de la profession, comme j'ai dit.
Mais on doit sortir d'un camp religieux.
D'un camp où des principes humains ont été introduits.
Un camp aussi que Dieu a rejeté parce qu'il n'y a pas de place pour Dieu.
Dieu est rejeté là.
Donc Dieu rejette ce système.
Les deux ne peuvent pas aller ensemble.
Et nous avons le privilège de nous identifier avec Christ.
Hors du camp, sur la terre, et dans le ciel où son sang a été accepté.
Nous avons donc deux positions.
C'est l'enseignement de l'épître aux Hébreux.
Dans le chapitre 10, on voit qu'on peut s'approcher de Dieu dans les lieux célestes.
Dans le sanctuaire où Christ est, sur le tronc de Dieu.
Ça c'est notre place devant Dieu.
Donc ces deux places nous avons.
A cause de la fidélité sur la terre, hors du camp.
A cause de la valeur du sacrifice dans la présence de Dieu.
Là on est des adorateurs.
Je ne sais pas s'il y a des questions.
Peut-être qu'on a encore quelques minutes.
S'il y a des questions.
Je voulais juste, en attendant des questions, peut-être juste remarquer que
avec cette obéissance pour sortir Dieu, on voit que tout est en ordre.
Dans ce cas là, on peut faire la volonté de Dieu.
Dans le verset 21.
Notre Seigneur Jésus vous accomplit en toute bonheur pour faire sa volonté.
Ce matin on a parlé de vase qui était utile pour toute bonheur.
Quelqu'un qui sort du camp est maintenant capable pour toute bonheur.
Pour faire la volonté de Dieu.
Si on reste dans le camp, on ne peut pas faire toute la volonté de Dieu, toute bonheur.
Une autre chose, on voit dans ce cas là, que notre coeur est sur bonne place.
Nos motifs sont corrects dans ce cas là.
C'est très important que nos motifs soient corrects.
Je peux avoir toutes sortes d'arguments pour rester dans le camp.
Mais c'est une question de mes motifs devant Dieu.
Si Dieu peut accepter ça, Dieu n'accepte pas ces motifs là.
Parce que c'est en contradiction avec sa volonté.
C'est une question de désobéissance de rester là.
Et c'est en même temps une question de mépris pour le Seigneur.
Et par la foi donc, et par l'amour pour le Seigneur, on peut quitter ce système.
Mais j'aimerais insister sur le fait que Moïse avait beaucoup d'amour pour le peuple de Dieu.
Il n'a pas fait ceci parce qu'il n'avait pas d'amour pour le peuple de Dieu.
Si nous devons sortir du camp, c'est en même temps par amour pour le peuple de Dieu.
Parce que Moïse a cherché leur bien. Il a prié pour eux.
Mais il n'a pas pu s'identifier avec le camp à cause du fait que là Dieu était rejeté.
Donc par amour même pour le peuple.
D'accord, par amour pour Dieu d'abord.
Mais aussi par amour pour le peuple, il a agi comme tel.
C'était une bénédiction pour Josué et d'autres qui étaient fidèles.
Donc ce n'est pas une question de juger les autres.
C'est une question de nouveau d'amour pour le Seigneur.
Parce que je pense que la valeur du sacrifice pour le péché est montrée ici.
Le résultat de cette œuvre était donc que le peuple était sanctifié.
Sans cette œuvre là, Dieu ne pouvait pas accepter un peuple devant lui.
Si on compare cela avec Lévitique 16, ça devient plus clair.
Parce que ce sacrifice pour le péché a pris tous les péchés du peuple sur lui.
Et dans ce sens là, le peuple était donc sanctifié devant Dieu.
Dieu ne les voyait plus dans leurs péchés.
Parce que les péchés étaient mis sur le sacrifice.
Donc dans ce sens là, le Seigneur a sanctifié le peuple de Dieu.
Afin que ce peuple puisse être agréable devant Dieu.
Et on a vu hier, je pense, que le Seigneur Jésus est aussi dans ce sens là le fondement pour le rassemblement.
Il est l'Holocauste pour plaire à Dieu.
Il est le sacrifice de prospérité.
Où on voit toute la valeur de sa personne, son œuvre, que Dieu peut partager avec nous.
Mais il est aussi le sacrifice pour le péché.
Parce que ça donne la base devant Dieu en rapport avec notre état pécheur et avec nos péchés.
Mais c'est beau de voir, c'est pourquoi aussi Jésus, de nouveau ici l'auteur, met l'emphase sur la personne du Seigneur.
Ce serait intéressant d'étudier simplement tous les versets où on voit seulement Jésus.
Nous voyons Jésus.
Chapitre 2 verset 9.
Et souvent on voit seulement ce nom, Jésus.
C'est un nom qui est méprisé par les juifs.
Les juifs, je ne sais pas comment on dit, ils expriment leur mépris si on prononce ce nom.
Dans le passé au moins.
Et on voit donc que ce nom Jésus est très précieux pour les chrétiens.
Ce nom était méprisé par les juifs.
Mais pour nous c'est un nom très précieux.
Dieu habitait dans le camp.
On peut le lire dans Deuteronome 23 verset 14 si je ne me trompe pas.
On voit que Dieu voulait maintenir la sainteté du camp.
Verset 14 oui.
Deuteronome 23 verset 14.
Donc Dieu ne peut pas accepter le péché dans son peuple.
Et on a vu ça dans Nombre 5 hier.
Tous les lépreux, tous ceux qui ont un flux et tous ceux qui étaient souillés par un mort devraient être mis dehors du camp.
Ils avaient la possibilité de guérison et de restauration.
Mais ils étaient hors du camp.
Et c'est la même pensée qu'on trouve dans 1 Chrétien 5.
Celui qui a commis le mal, qui vivait dans le péché était placé hors du rassemblement.
Mais c'est la même chose ici.
Hors du camp dans ce sens là.
Hors d'un camp pur.
Hors du rassemblement.
Parce que le rassemblement est là vu comme étant dans le désert dans 1 Chrétien.
Dieu était saint.
Dieu était au milieu d'eux.
1 Chrétien 14.
Dieu au milieu de vous.
Verset 25.
Donc ce camp était saint et pur.
Maintenant le seigneur, parce que le peuple a ses péchés quand même.
Même dans la présence de Dieu.
Nous avons des péchés aussi.
Il faut que cette question soit réglée.
Ce n'est pas une question de vivre dans le péché.
Mais de tomber dans le péché.
Et Dieu ne sort pas à cause de ça.
Il sort seulement si nous ne voulons juger le mal.
Dieu a la patience en rapport avec nous.
Donc ces péchés là qui étaient faits volontairement mais juste.
Par manque de filialité, manque de foi etc.
Ces péchés là étaient placés sur la tête du bouc.
Et ce bouc était donc brûlé hors du cain.
Donc l'un était donc chassé.
Mais le bouc qui était identifié avec l'état pécheur était brûlé hors du cain.
Et puis c'est cette question là qui est réglée dans Hébreu 13.
Où le seigneur Jésus a donc souffert hors du cain parce que le cain était pur.
Où la présence de Dieu était.
Dieu ne peut pas accepter.
Il ne peut pas voir le péché, s'identifier avec le péché.
Dans ces trois heures sombres, le seigneur Jésus est donc devenu ce sacrifice pour le péché.
Où cette question était réglée.
Pas seulement nos péchés, les actes, mais aussi notre état pécheur.
Et cet état, donc Dieu l'a condamné dans la mort de son fils.
Dans ce fait qu'il était brûlé dans ce cas là.
Mais le cain restait pur dans cet instant là dans l'ancien testament.
Est-ce que c'est clair?
Mais là on voit donc une autre situation.
On voit là que l'Éternel quitte le cain à cause de l'idolâtrie.
Mais dans l'ombre on voit les pensées de Dieu pour un cain qui est formé selon ses pensées.
Là il s'identifie de nouveau avec ce cain là.
Parce que ce cain là était formé autour de l'attente d'assignation.
C'était donc un autre cain.
C'est vrai?
Oui.
Donc on voit dans Exode 2 que Moïse s'était enfui du Pharaon.
Il s'est identifié avec son peuple, les Juifs ou Israël.
Ils l'ont rejeté et Moïse s'est enfui.
Puis là il a trouvé une épouse.
Donc dans ce sens là, qu'on a vu un peu à la conférence, on peut dire que l'épouse de Moïse parmi les nations s'est identifiée avec Moïse pendant le temps de sa réjection de son peuple terrestre.
Ça c'est la pensée.
Ça c'est une autre chose.
Je parle maintenant d'Exode 2. Je ne parle pas de ces chapitres là. …