Christ s’est donné lui-même pour nous
ID
eab072
Idioma
FR
Duración
01:00:50
Cantidad
1
Pasajes de la biblia
sin información
Descripción
sin información
Transcripción automática:
…
De nouveau, un bienvenu à chacun présent dans cette salle ou sur l'internet.
Comme prévu, nous allons lire cette passage dans les Épitres,
notamment des Épitres de l'Apôtre Paul, où il est question du fait que le Seigneur Jésus s'est donné Lui-même.
Et nous commençons la lecture par un passage dans l'Épitre aux Galates, chapitre 1.
Galates 1, verset 3.
Grâce et paix à vous de la part de Dieu le Père et de notre Seigneur Jésus-Christ,
qui s'est donné Lui-même pour nos péchés, en sorte qu'il nous retira du présent siècle mauvais,
selon la volonté de notre Dieu et Père, auxquelles soit la gloire aux siècles des siècles. Amen.
Même Épitre, chapitre 2, verset 20.
Galates 2, verset 20.
Je suis crucifié avec Christ et je ne vis plus moi, mais Christ vit en moi.
Et ce que je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi.
La foi au Fils de Dieu, qui m'a aimé et qui s'est livré Lui-même pour moi.
Épitre aux Éphésiens, chapitre 5, verset 1.
Éphésiens 5, verset 1.
Soyez donc imitateurs de Dieu, comme de bien-aimés enfants, et marchez dans l'amour.
Comme aussi le Christ nous a aimés et s'est livré Lui-même pour nous comme offrande et sacrifice à Dieu un parfum de bonne odeur.
Même chapitre, verset 25.
Éphésiens 5, verset 25.
Marie, aimez vos propres femmes comme aussi le Christ a aimé l'assemblée et s'est livré Lui-même pour elle, afin qu'il la sanctifia en la purifiant par le lavage d'eau par la parole.
1 Timothée, chapitre 2.
1 Timothée 2, dès le verset 3.
Car cela est bon et agréable devant notre Dieu Sauveur, qui veut que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la vérité.
Car Dieu est un et le médiateur entre Dieu et les hommes est un, l'homme Christ Jésus qui s'est donné Lui-même en rançon pour tous.
Pour tous, témoignage qui devait être rendu en son propre temps, pour lequel moi, j'ai été établi prédicateur et apôtre, je dis la vérité, je ne mens pas, docteur des nations dans la foi et dans la vérité.
L'épître à Tite.
Chapitre 2, verset 12.
Et le dernier passage, l'épître aux Hébreux, chapitre 9.
Verset 13, Hébreux 9, verset 13.
Car si le sang des boucles est d'une génisse avec laquelle on fait aspersion sur ceux qui sont souillés, sanctifie pour la pureté de la chair,
combien plus le sang du Christ, qui, par l'Esprit éternel, s'est offert Lui-même à Dieu sans tâche, purifiera-t-il votre conscience des œuvres mortes pour que vous serviez le Dieu vivant ?
Jusqu'ici, la parole de Dieu.
Nous avons commencé avec le passage dans l'épître aux Galates, chapitre 1.
Chers amis, il faut que nous croissions toujours dans la connaissance de la personne de notre bienheureux Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.
Et pour croître, il faut se poser deux questions, ou on peut se poser deux questions.
La première question, qui es-tu, Jésus ? Qui es-tu, Seigneur ?
Et la deuxième, qu'est-ce que tu as fait pour nous ?
On ne peut jamais séparer la gloire personnelle du Seigneur Jésus, ce qu'il est, de ce qu'il a fait.
Par exemple, il nous a acquéris le salut. Pourquoi ? Parce qu'il est le Sauveur.
Le salut et le Sauveur, c'est inséparable.
Nous avons la rédemption, et le Seigneur Jésus, il est le Rédempteur.
On ne peut pas séparer la rédemption, ce qu'il a fait, de ce qu'il est, le Rédempteur.
Dans les passages que nous venons de lire, il est question de quelqu'un qui s'est donné.
Et on peut se poser la question, c'est qui ?
Qui c'est la personne du Seigneur Jésus ?
C'est l'agneau de Dieu qui a donné sa vie à la croix de Golgotha.
La première question que l'apôtre Paul, ou il n'était pas encore apôtre, que Paul, sol de Tarz, a posée lors de sa conversion,
la première question, c'était quelle question ?
Qui es-tu Seigneur ?
Et cette question a, pour ainsi dire, accompagné l'apôtre Paul durant sa vie.
Et il aime parler de ce que le Seigneur est, et de ce qu'il a fait.
Et nous aussi, chers amis, nous sommes occupés de ce que le Seigneur Jésus est.
Nous connaissons les sept « Je suis » dans l'évangile de Jean.
Je suis la vie du monde.
Je suis la pain de la vie.
Je suis la porte des brebis.
Je suis le bon berger.
Je suis la résurrection et la vie.
Je suis le chemin, la vérité et la vie.
Je suis le vrai Seigneur.
Il faut considérer qui est lui.
Qui es-tu Seigneur ?
Mais en même temps, nous nous posons toujours la question Seigneur, qu'as-tu fait pour nous ?
Et nous avons lu ces passages où il est dit qu'il s'est donné lui-même.
Il s'est donné, ça signifie quoi ?
Ça signifie qu'il a donné sa vie.
Le Seigneur Jésus, il était riche et il a donné toutes ses richesses.
Il est devenu pauvre.
Il est ce marchand qui a vendu tout ce qu'il avait.
Mais le Seigneur Jésus, il a fait davantage.
Il n'a pas seulement donné toutes ses richesses, tous ses droits abandonnés,
mais il s'est donné lui-même.
Il a donné sa vie pour nous à la croix de Golgotha.
Cette vie précieuse, ce sang précieux qui a coulé pour nous, il s'est donné.
Et il est dit qu'il s'est donné lui-même.
Cette personne glorieuse, fils de Dieu et fils de l'homme, en même temps, c'est lui qui s'est donné lui-même.
Personne d'autre pouvait accomplir cette œuvre.
Impossible. Il fallait un victime parfait.
Et personne ne pouvait accomplir cette œuvre.
Pas un homme, pas un ange, mais il a fallu l'œuvre du fils de Dieu,
l'agneau de Dieu qui est venu pour achever, pour accomplir cette œuvre à la croix.
Mais il s'est donné lui-même, ça signifie aussi qu'il l'a fait volontairement.
Volontairement, ça veut dire par amour.
Et à deux reprises, nous avons lu de l'amour de Christ en se donnant en sacrifice à la croix de Calvaire,
le fils de Dieu, le Christ qui s'est donné lui-même.
Et bien sûr, nous nous posons la question, pourquoi est-ce que le Seigneur Jésus est-il mort pour nous?
Quelle est notre réponse?
Nous disons bien sûr, pour nous sauver, pour nous acquérir une place au ciel, dans la maison de son Père, et c'est vrai.
Il est mort pour nous sauver.
Mais les passages que nous venons de lire et que nous allons méditer un peu maintenant,
ces passages nous parlent aussi d'une conséquence pratique du fait que le Seigneur Jésus s'est donné lui-même pour nous.
Ce n'est pas seulement pour nous acquérir une place dans la présence de Dieu.
C'est ce que le Seigneur Jésus a fait, un salut parfait que nous avons.
C'est le nôtre, un salut parfait, je répète, mais ce n'est pas tout.
Le Seigneur Jésus s'est donné lui-même pour nous, avec des conséquences aussi pour la vie présente.
Nous venons de chanter, possède notre cœur, il est ton salaire.
Maintenant, tu l'as acquis, Dieu sauveur, sur le mont Calvaire.
Le premier passage dans l'Épitre aux Galates nous dit, il s'est donné lui-même pour nos péchés.
Nous étions des pécheurs, nous avons commis des péchés et nous avions besoin d'un sacrifice, d'un substitut qui a porté nos péchés sur lui.
Et le Seigneur Jésus, il a fait expiation pour nos péchés, ou comme il est dit ici, il s'est donné lui-même pour nos péchés.
Nos péchés sont ôtés, lavés par son sang, et pour cette raison, nous avons une place dans la présence de Dieu.
Mais voilà la conséquence pratique ici, en sorte qu'il nous retira du présent siècle mauvais, selon la volonté de notre Dieu et Père.
Dieu, notre Père, il a une volonté.
Il veut que nous soyons un jour auprès de lui, avec le Seigneur, dans la maison du Père.
Mais il a aussi la volonté que, déjà maintenant, nous sommes retirés du présent siècle mauvais.
Le présent siècle, c'est le monde dans lequel nous vivons.
Nous sommes encore dans ce monde, c'est ce que le Seigneur Jésus lui-même a expliqué à ses disciples.
Nous sommes encore dans le monde, mais nous ne faisons plus partie de ce monde.
Nous sommes retirés du présent siècle.
Il y a un courant dominant dans ce monde, le présent siècle.
Et nous, chers amis, nous sommes toujours en risque de suivre ce courant dominant.
Nous sommes dans le monde, je répète, mais nous sommes déjà, quant à notre position, retirés.
Nous ne faisons plus partie de ce courant dominant.
Que dit l'apôtre dans l'Épître aux Romains ?
Un verset bien connu où le même mot se trouve, ce siècle, le siècle présent, aux Romains 12, versets 1 et 2.
« Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à présenter vos corps en sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu. »
C'est notre réponse quant au sacrifice du Seigneur Jésus.
« Ce qui est votre service intelligent, et ne vous conformez pas à ce siècle, mais soyez transformés par le renouvellement de votre entendement. »
Le monde essaie toujours de nous former, de nous façonner.
Il y a une influence dangereuse pour chacun de nous, particulièrement pour nos jeunes amis, mais non pas seulement pour les jeunes, mais pour nous tous.
Le monde, le présent siècle, a toujours une influence.
Alors, il faut que nous soyons comme des poissons qui nagent à contre-courant, n'est-ce pas ?
Et pour cela, il nous faut des nageoires, la force, c'est la force de l'Esprit-Saint que nous avons, et il faut des écailles,
des poissons vivants qui sont prêts à ne pas suivre le courant dominant, mais qui sont prêts à nager à contre-courant.
Le siècle dans lequel nous vivons est un siècle dangereux, avec une influence dangereuse, et il faut être en garde.
Nous sommes retirés du présent siècle, mais il faut maintenant que nous vivions ainsi.
L'Épître à Tite, nous avons lu ce verset.
Là, il est aussi question du siècle présent, Tite, chapitre 2.
Nous avons lu verset 12, que maintenant, la grâce nous enseigne de renier l'impiété et les convoitises mondaines.
Voilà le mot monde.
Nous vivons dans le présent siècle, c'est les influences de ce monde dans le présent siècle,
sobrement et justement et pieusement attendant la bienheureuse espérance et l'apparition du Seigneur Jésus.
Nous vivons, je répète, dans ce monde où le monde essaie d'avoir une influence sur nous et nous risquons de nous adapter à des coutumes de ce monde,
mais nous n'appartenons plus au monde.
Le Seigneur Jésus, par son œuvre à la croix, nous a retirés du présent siècle.
C'est le premier passage.
Deuxièmement, nous avons lu Galates 2, versets 20 et 21.
Et l'apôtre dit, « Ce que je vis maintenant dans la chair. »
Ce que je vis maintenant, c'est présent, n'est-ce pas? C'est aujourd'hui.
Paul dit, je vis dans la chair, pas dans la chair dans le sens mauvais.
La vieille nature, ou le péché, on trouve ces expressions, le péché dans l'Épître romain.
La vieille nature ne se trouve pas dans le mot, ne se trouve pas dans la Bible, mais la chose existe.
Ici, la chair a la signification comme homme.
Comme étant homme sur la terre.
Ce que je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi.
La foi au Fils de Dieu qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi.
Ici, pour la première fois, il est question du motif de Christ,
en se donnant pour nous.
C'est son amour.
Et j'aime beaucoup ce verset, parce que l'apôtre Paul le dit d'une manière très personnellement.
Nous trouvons que l'apôtre dit aussi, Christ nous a aimés collectivement, c'est vrai.
Il a aimé l'assemblée, Éphésiens 5.
Nous allons voir les deux passages.
Ici, l'apôtre dit d'une manière très personnelle, le Fils de Dieu.
Le Fils de Dieu, c'est la grandeur du Seigneur Jésus qui est devant nous.
Le Fils de Dieu éternellement, lui-même, m'a aimé.
C'est quelque chose pour nos cœurs, n'est-ce pas, chers amis?
Imaginez, le Fils de Dieu, le plus grand qui existe,
il m'a aimé, il t'a aimé,
et il s'est livré lui-même pour moi.
Si j'étais le seul croyant, le Seigneur Jésus aurait donné sa vie pour moi.
Heureusement, je ne suis pas le seul.
Il y a des milliards, n'est-ce pas?
Mais chacun de nous, nous pouvons dire, avec une grande joie,
avec une grande reconnaissance, le Fils de Dieu m'a aimé.
Et pour moi, il est allé à la croix de Golgotha pour laisser sa vie.
Et quelle est ma réponse? Quelle est ma réponse maintenant?
L'apôtre Paul dit, ce que je vis maintenant, sur la terre encore,
je vis par la foi.
Quand nous serons au ciel, nous n'avons plus besoin de la foi,
plus besoin de l'espérance.
L'amour, c'est quelque chose qui subsiste éternellement,
mais par la foi et par l'espérance.
Mais maintenant, nous vivons par la foi.
L'Ancien Testament ne parle pas beaucoup de la foi.
Le substantif « foi » ne se trouve pas souvent dans l'Ancien Testament.
Mais il y a un verset très précieux, très précieux, dans le prophète Abakouk, chapitre 2.
Là, le prophète dit, le juste vivra par sa foi.
Et ce passage du prophète Abakouk est cité trois fois dans le Nouveau Testament,
dans l'Épitre aux Romains, dans l'Épitre aux Hébreux et dans l'Épitre aux Galates.
Le juste vivra par sa foi.
On peut mettre l'accent sur le juste qui vivra par sa foi.
Et c'est la signification dans l'Épitre aux Romains.
Là, il est question de notre justification.
Le juste vivra par sa foi.
Dans l'Épitre aux Galates, il est question des œuvres et de la foi.
Et l'accent est sur le point que le juste vivra par sa foi.
Pas par des œuvres, mais par la foi.
Et l'Épitre aux Hébreux, à la fin du chapitre 10, il est dit, le juste vivra par sa foi.
Et c'est ce que nous trouvons dans ce verset ici.
La vie présente du chrétien est caractérisée par la foi.
Ça veut dire quoi?
La vie du chrétien est caractérisée par la foi.
Le contraire, le contraste, c'est la vie par la vue.
Nous ne vivons pas par la vue, par ce que nous voyons, mais par ce que nous croyons.
Qui a déjà vu le Seigneur Jésus face à face?
Personne, n'est-ce pas?
Mais nous sommes liés au Seigneur Jésus par la foi.
Il existe, il est réel, mais nous ne le voyons pas encore.
Nous le voyons avec les yeux de nos cœurs, bien sûr, mais pas face à face.
Mais nous le connaissons, nous l'aimons, nous vivons par la foi.
Et vivre par la foi signifie aussi de mettre nos mains sur toutes les promesses qu'il nous a données.
Il y a tant de promesses dans la Bible, et dans le Nouveau et dans l'Ancien Testament.
Et nous pouvons mettre nos mains sur toutes les promesses que Dieu nous a données.
Ça signifie vivre par la foi.
Tout ce que la parole de Dieu dit est vrai.
Et nous, maintenant, nous vivons par la foi.
Ce que je vis maintenant, je vis par la foi.
La foi au Fils de Dieu qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi.
Dans l'Épître aux Philippiens, l'apôtre Paulie, vivre pour moi, c'est Christ.
Il était le centre de sa vie, mais par la foi.
Il était aussi le modèle de sa vie, il était le but de sa vie, il était la force de sa vie.
Philippiens 1, 2, 3, 4, tout était Christ.
Mais sur la terre, c'est par la foi et non pas par la vue.
Le troisième passage que nous avons lu, c'est Ephésiens 5, versets 1 et 2.
Nous avons lu, « Soyez donc imitateurs de Dieu, comme de bien-aimés enfants, et marchez dans l'amour,
comme aussi le Christ nous a aimés et s'est livré lui-même pour nous,
comme offrande et sacrifice à Dieu un parfum de bonne odeur. »
De nouveau, il est question de l'amour de Christ, le grand motif de ces données.
Il nous a aimés collectivement, il s'est livré ou donné lui-même pour nous, de nouveau à la croix.
Mais ici, l'apôtre ajoute quelque chose qui est important.
Il dit, non pas seulement pour nous, mais il dit comme offrande et sacrifice à Dieu un parfum de bonne odeur.
Chers amis, des fois, nous sommes des égoïstes, n'est-ce pas?
Nous pensons toujours à nous.
Le Seigneur Jésus, il est mort.
Ça signifie quoi pour moi?
C'est la question que nous nous posons souvent.
Qu'est-ce que cela signifie pour moi?
La parole de Dieu nous dit quelque chose et immédiatement, nous posons la question,
cela signifie quoi pour moi ou pour nous?
Et bien sûr, nous pouvons poser cette question.
Ce n'est pas faux de le faire.
Mais ici, l'apôtre Paul dirige nos yeux aussi dans une autre direction et il dit,
il s'est livré comme offrande et sacrifice à Dieu un parfum de bonne odeur,
n'oubliant jamais ce que le Seigneur Jésus a fait pour son Dieu.
Offrande, c'est ici l'offrande de gâteau, c'est la vie du Seigneur Jésus
et le sacrifice, c'est le sacrifice sanglant, c'est la croix.
Il s'est donné aussi pour Dieu.
Le parfum de bonne odeur nous rappelle l'Holocauste
qui était entièrement pour Dieu, sauf la peau qui était pour le sacrificateur.
Mais en outre, cette offrande était entièrement pour Dieu.
Alors le Seigneur Jésus, il a accompli tous les sacrifices de l'Ancien Testament.
Le sacrifice pour le délit, le sacrifice pour le péché, le sacrifice de prospérité
et aussi l'Holocauste, ce sont les quatre grands sacrifices dans le livre de Lévitique.
Mais ici, l'apôtre nous rappelle que ce n'est pas seulement pour nous, mais aussi pour Dieu.
Mais quand même, il dit, Christ nous a aimés et s'est livré lui-même pour nous.
Et quel est l'impact ici?
Quelle est la relation dans laquelle l'apôtre dit cela?
Verset 1
Soyez donc imitateurs de Dieu, comme de bien-aimés enfants,
et marchez dans l'amour comme aussi le Christ nous a aimés.
Voilà, l'amour de Christ est ici la mesure pour notre marche, notre comportement.
La marche, c'est notre comportement, ce que nous faisons, ce que nous disons, où nous irons, tout cela.
Marchez comme des bien-aimés enfants et marchez dans l'amour.
La marche du chrétien doit être caractérisée par l'amour.
Et non seulement le modèle, mais aussi la mesure, c'est l'amour du Christ.
C'est une mesure extrêmement haute, n'est-ce pas?
Mais Dieu nous donne cette mesure.
Marchez dans l'amour comme le Christ nous a aimés.
Voilà le modèle.
Dans le même chapitre, nous lisons aussi au verset 8,
car vous étiez autrefois ténèbres, mais maintenant vous êtes lumières dans le Seigneur.
Marchez comme des enfants de lumière.
Voilà la marche du chrétien caractérisée par les deux grands caractères de Dieu.
Dieu est lumière et Dieu est amour.
Et nous sommes les enfants, nous sommes participants de la nature de Dieu, hein Pierre?
Et pour cette raison, il est à nous maintenant de marcher dans la lumière et dans l'amour.
Marchez dans l'amour.
Est-ce que notre marche, est-ce que notre comportement est caractérisé par lumière et amour?
Non pas seulement le dimanche, c'est facile, n'est-ce pas?
Le dimanche, de marcher dans l'amour.
Mais le lundi, le mardi, le mercredi, pendant la semaine, c'est plus difficile, n'est-ce pas?
De marcher dans l'amour.
Et pour cette raison, il est important d'avoir toujours les yeux fixés sur le Seigneur Jésus,
comme il était à la croix, comme il nous a aimés et s'est donné lui-même pour nous.
Ce n'est pas quelque chose seulement pour le dimanche, pour la fraction du pain ou le culte.
Bien sûr, la fraction du pain, c'est une réunion très très importante.
Mais ce n'est pas une heure ou une heure et demie par semaine, par semaine,
que nous soyons occupés avec l'amour de Christ à la croix.
C'est chaque jour.
Et cela a un impact, une repercussion sur notre vie.
Nous marchons selon cette mesure.
Nous marchons dans l'amour.
Quatrième passage, Ephésiens 5.
Et de nouveau, c'est un passage très pratique.
L'apôtre dit « Marie, aimez vos propres femmes »,
comme aussi le Christ a aimé l'assemblée et s'est livré lui-même pour elle.
Dans cette partie pratique de l'épître aux Ephésiens,
Paul s'adresse d'abord à des femmes.
Verset 22, « Femmes, soyez soumises ».
Puis il s'adresse au mari.
« Marie, aimez vos propres femmes ».
Au chapitre 6e, il dit « Enfants, obéissez à vos parents ».
Et puis au verset 5, il dit « Esclaves, obéissez à vos maîtres ».
Ici, il est question des maris, ceux qui sont mariés.
Et il nous est dit « Aimez vos propres femmes ».
C'est notre responsabilité, chers frères, qui sont mariés.
Au moins à trois reprises, la parole de Dieu nous dit « Aimez vos femmes ».
Évidemment, nous avons besoin de cet encouragement,
pour ne pas dire exhortation.
C'est une exhortation, bien sûr, mais en même temps c'est un encouragement.
Ça devrait être un plaisir pour nous d'aimer nos femmes.
Et n'oubliez pas, le désir le plus important de nos femmes, c'est quoi ?
Le désir numéro un de nos femmes, c'est quoi ?
C'est d'être aimé.
N'est-ce pas, chères sœurs ? C'est d'être aimé.
Et pour cette raison, la parole de Dieu nous dit, au moins à trois reprises,
« Aimez vos femmes ».
D'ailleurs, nous, les maris, les hommes, nous avons aussi un besoin.
Nous aimerions être respectés.
Et pour cette raison, il est dit, au moins à trois reprises,
« Femmes, soyez soumises à vos propres maris ».
Cela n'a rien à faire avec le courant dominant dans ce monde, n'est-ce pas ?
Mais c'est vrai, c'est la parole de Dieu.
Mais maintenant, il est question des maris.
Je ne parle pas des femmes maintenant, ce n'est pas notre sujet aujourd'hui.
« Maris, aimez vos propres femmes ».
Et de nouveau, il nous est donné une mesure.
Et la mesure, c'est l'amour de Christ pour son assemblée.
Comme aussi, le Christ a aimé l'assemblée et s'est livré lui-même pour elle.
Oui, le Seigneur Jésus, il a donné sa vie aussi pour l'assemblée.
Elle a une haute valeur pour le Seigneur Jésus.
N'oublions jamais que l'assemblée, l'Église, a une grande valeur pour le Seigneur Jésus.
Et il ne faut jamais mépriser l'assemblée.
C'est quelque chose de précieux pour le Seigneur Jésus.
Il a même donné sa vie pour elle.
Et nous aimons ce passage parce qu'il nous parle de la relation de Christ avec son assemblée.
Ce qu'il a fait pour l'assemblée dans le passé, ce qu'il fait maintenant dans le présent pour l'assemblée,
et ce qu'il fera un jour pour son assemblée.
Il se présentera à l'assemblée glorieuse, n'ayant ni tâche, ni rite, ni rien de semblable,
mais afin qu'elle soit sainte et irréprochable.
Un jour, ce sera vrai.
Mais ce passage, chers amis, est aussi très, très pratique.
Et ce côté qui est maintenant devant nous, « Marie, aimez vos femmes »,
comme aussi le Christ a aimé l'assemblée.
Le Christ a aimé l'assemblée.
Il en a donné la preuve en donnant sa vie à la croix.
Combien, à quelle mesure est-ce que nous aimons nos femmes ?
C'est une question sérieuse.
Oui, je peux dire « J'aime ma femme ».
C'est une parole qu'on peut prononcer facilement, n'est-ce pas ?
Il est bien de dire à nos femmes « Je t'aime ».
C'est vrai, c'est utile, c'est béni.
Mais il faut en donner la preuve.
Les paroles en elles-mêmes n'ont pas de valeur.
Il faut mettre les paroles en évidence, et c'est ce que le Seigneur Jésus a fait.
Il a aimé l'assemblée jusqu'à la mort.
Combien, à quelle mesure, je répète la question, est-ce que nous aimons nos femmes ?
Le quatrième passage, 1 Timothée 2.
Je relis, nous avons vu que Dieu est un Dieu sauveur,
Dieu est un médiateur entre Dieu et les hommes.
Et les hommes, verset 5, l'homme, Christ Jésus,
qui s'est donné lui-même en rançon pour tous,
témoignage qui devait être rendu en son propre temps.
La première épître à Timothée nous présente Dieu comme un Dieu sauveur,
les bras ouverts pour chacun qui veut venir.
Et pour cette raison, nous avons un médiateur.
Nous avons ce arbitre dont Jean parle, qui met ses mains sur les deux.
Le pécheur est Dieu.
Le Seigneur Jésus, il est le médiateur.
Et parce que le Seigneur Jésus a donné sa vie, la porte est ouverte.
Chacun peut venir.
Dieu est un Dieu sauveur qui veut que tous les hommes soient sauvés.
Dieu lui-même a donné le sacrifice.
Dieu lui-même a donné le médiateur.
Et ce médiateur, c'est l'homme, l'accent est mis sur ce mot, l'homme, Christ Jésus.
Bien sûr, cet homme, Christ Jésus, en même temps, c'est le Fils de Dieu.
Galate 2, verset 20, le Fils de Dieu, mais ici, il est présenté comme l'homme
qui s'est donné lui-même en rançon pour tous.
Un prix a été payé pour que Dieu puisse inviter tous les hommes à venir à lui.
Et le Seigneur Jésus, il a payé cette prie à la croix de Golgatha, en rançon pour tous.
Nous lisons dans l'évangile selon Marc, chapitre 10,
une expression semblable, mais quand même différente.
Marc 10, verset 45, c'est le verset clé de cet évangile.
« Car aussi le Fils de l'homme n'est pas venu pour être servi,
mais pour servir et pour donner sa vie en rançon pour plusieurs. »
Vous avez remarqué une différence ?
L'épître à Timothée dit « en rançon pour tous » et Marc dit « en rançon pour plusieurs ».
Une contradiction dans la Bible ?
Qui a raison ? Marc ou Paul ?
Qui a raison ? Les deux ont raison.
Les deux ont raison.
L'apôtre Paul parle de propitiation.
Il parle de la porte qui est ouverte pour chacun.
Par contre, l'évangile selon Marc parle de substitution
et la préposition qui est utilisée « pour tous » ou « pour plusieurs »,
la préposition dans le texte grec est différente.
Marc dit « au lieu de plusieurs », c'est substitution,
et Paul dit « en vertu de tous ».
Une offrande, un offre à tous les hommes de venir.
Le Seigneur Jésus a payé, il a ouvert la porte.
Il s'est donné lui-même en rançon pour tous.
Non pas seulement pour les Israélites, mais aussi pour les nations.
N'importe qui.
La porte est ouverte et nous pouvons venir.
Le Seigneur Jésus a donné sa vie pour tous.
Et l'apôtre ajoute témoignage qui devait être rendu en son propre temps.
C'est quel temps ? Le propre temps.
C'est le temps dans lequel nous vivons maintenant.
C'est le siècle de la grâce, la dispensation, l'économie de la grâce,
comme on dit des fois, n'est-ce pas ?
Le temps de la grâce, le temps qui est caractérisé par la grâce.
C'est la signification.
Et l'apôtre Paul, il était prédicateur et apôtre et docteur.
Il avait une tâche particulière.
Nous ne sommes pas comme Paul, apôtre.
Nous ne sommes pas des docteurs des nations.
Et peut-être nous ne sommes pas des prédicateurs.
Mais nous tous, nous sommes des témoins de cette grâce.
Nous sommes des témoins de Jésus-Christ.
L'évangile doit être prêché dans ce monde.
Et c'est à nous, chers amis, à chacun de nous, d'être des témoins,
par des mots, par la manière de vivre.
Dans le présent siècle, nous avons un témoignage à rendre.
Un témoignage que Dieu est toujours un Dieu sauveur qui veut sauver tous les hommes.
Et il y a le médiateur Jésus-Christ qui a donné sa vie en rançant pour tous.
La porte est ouverte.
Sixième passage, l'Épître à Tite.
Et nous avons lu au chapitre 2, Dieu,
d'abord que maintenant nous vivons dans le présent siècle, verset 12,
et nous devons vivre sobrement envers nous-mêmes,
justement envers les hommes et pieusement vers Dieu,
attendant la bienheureuse espérance et l'apparition.
Voilà l'espérance proprement dite chrétienne.
Nous attendons l'espérance et l'apparition de la gloire de notre grand Dieu et sauveur, Jésus-Christ.
L'espérance, c'est le ravissement.
L'apparition, c'est l'apparition glorieuse du Seigneur Jésus pour établir son royaume sur la terre.
C'est ce que nous attendons.
Mais alors nous trouvons un titre particulier du Seigneur Jésus.
Il est dit la gloire de notre grand Dieu et sauveur, Jésus-Christ.
C'est une personne, c'est le Seigneur Jésus.
Ce n'est pas Dieu le Père et Dieu le Fils, mais c'est ici un titre du Seigneur Jésus.
Il est le grand Dieu, un titre merveilleux, n'est-ce pas?
Un grand Dieu et ce grand Dieu est en même temps le sauveur, Jésus-Christ.
Le sauveur qui a donné sa vie à la croix, Jésus qui est devenu homme, c'est le nom de l'humanité du Seigneur Jésus
et le Christ, celui que Dieu a en un et haut élevé, il a fait et Seigneur et Christ.
Et maintenant l'apôtre ajoute que ce grand Dieu et sauveur, Jésus-Christ, s'est donné lui-même pour nous.
De nouveau, l'apôtre Paul parle de ce que le Seigneur Jésus a fait à la croix.
L'apôtre Paul n'a jamais oublié ce que le Seigneur Jésus a subi pour nous, ce qu'il a fait pour nous,
cette œuvre que le Seigneur Jésus a accomplie.
Et quelle est la réaction, quelle est la répercussion, l'impact ici?
Afin qu'il nous racheta de toute iniquité, nous avons besoin d'être rachetés, nous étions des esclaves,
nous avions eu besoin d'être rachetés, libérés, nous étions impurs et il nous a purifiés de toute iniquité,
des conditions préalables pour être un jour au ciel, bien sûr.
Mais que dit l'apôtre Paul?
Pour lui-même, un peuple acquis, zélé pour des bonnes œuvres.
Nous avons déjà remarqué que l'œuvre du Seigneur Jésus n'est pas exclusivement achevée pour nous,
mais aussi pour Dieu.
Ici, nous apprenons que le Seigneur Jésus voulait aussi avoir quelque chose pour lui-même.
Il a dit afin qu'il nous racheta de toute iniquité et qu'il purifia pour lui-même un peuple.
Le Seigneur Jésus voulait avoir quelque chose pour lui-même.
C'est bien sûr la pensée, l'assemblée qui sera un jour pour la gloire du Seigneur Jésus auprès de lui.
Mais ici, aujourd'hui, dans le temps dans lequel nous vivons, nous sommes un peuple acquis pour lui-même.
Il nous regarde, nous sommes sa possession.
Un peuple acquis, et pourquoi?
Pour des bonnes œuvres.
C'est de nouveau quelque chose de très pratique, n'est-ce pas?
Des bonnes œuvres.
Le mot œuvre se trouve cette fois dans l'Épitrat à Tite.
Deux fois, il est dit que nous ne sommes pas sauvés sur le principe des œuvres.
Nous avons vu que nous ne pouvons rien ajouter à l'œuvre du Seigneur Jésus quand il est question de notre salut.
Aucune œuvre ne nous sauve.
Impossible.
Pas sur le principe des œuvres.
Cela est souligné dans l'Épitre aux Romains, souligné dans l'Épitre aux Galates, souligné dans l'Épitre aux Ephésiens et aussi l'Épitre à Tite.
Intimité nous dit la même chose, non pas sur le principe des œuvres.
Nous ne pouvons pas faire des œuvres pour acquérir quelque chose.
Impossible.
Mais à cinq reprises, l'Épitre à Tite nous parle des bonnes œuvres que nous faisons comme ceux qui ont reçu le salut.
Nous ne faisons pas des bonnes œuvres pour acquérir le salut, mais c'est la réponse du chrétien pour ce que nous avons reçu gratuitement par grâce.
Des bonnes œuvres.
Chapitre 2, verset 7, Timothée est encouragé d'être un modèle de bonnes œuvres.
Ici, dans le verset 14, il est dit que nous soyons ailés pour des bonnes œuvres.
Chapitre 3, verset 1, nous dit que nous soyons prêts à toute bonne œuvre.
Et au verset 8, il est dit s'appliquant à être les premiers dans les bonnes œuvres.
Les premiers, mais pas en n'importe quoi, mais dans les bonnes œuvres.
Et encore, chapitre 3, verset 14, que les nôtres aussi apprennent à être les premiers dans les bonnes œuvres.
Cela est répété.
Chers amis, les bonnes œuvres ont une grande valeur.
Je ne répète pas pour acquérir quelque chose, mais pour dire merci au Seigneur pour ce qu'il a fait pour nous.
Il s'est donné lui-même pour nous.
Et maintenant, il nous pose la question à chacun de nous, que faisons-nous pour lui?
Des bonnes œuvres, ailés pour les bonnes œuvres.
Des fois, nous sommes ailés pour un tas de choses, n'est-ce pas, sur la terre, un tas de choses.
Beaucoup d'entrées, beaucoup d'ailes, d'applications.
Mais ici, il est question des bonnes œuvres.
Est-ce que nous sommes ailés pour les bonnes œuvres, jour après jour?
Le dernier passage que nous avons lu, c'est Hébreu chapitre 9.
Nous ne sommes pas sûrs si cet épitre a été écrit par l'apôtre Paul.
Peut-être oui, nous ne savons pas exactement, mais c'est le septième passage que nous aimerions considérer très brièvement.
Là, il est question du sacrifice, des sacrifices dans l'Ancien Testament, et après, le sacrifice du Seigneur Jésus.
Et nous avons lu au verset 14, « Combien plus le son du Christ », le son signifie la mort,
« le son du Christ qui, par l'Esprit éternel », c'est l'Esprit de Dieu,
« qui, par l'Esprit éternel, s'est offert lui-même à Dieu saint H. »
De nouveau, l'apôtre, celui qui a écrit cet épitre, souligne que l'œuvre était aussi accomplie à Dieu.
Pour Dieu, il s'est offert lui-même à Dieu, l'Holocauste.
Saint H, le Seigneur Jésus, était une victime parfaite.
Saint H, purifiera-t-il votre conscience des œuvres mortes ?
Tous les œuvres que quelqu'un qui n'est pas né de nouveau fait sont des œuvres mortes.
Des fois, ce sont aussi des œuvres mauvaises, mais surtout, ce sont des œuvres mortes,
pour que vous serviez le Dieu vivant.
Quand ça ? Au ciel ?
Bien sûr, au ciel, nous serons des serviteurs, nous serons des sacrificateurs, c'est vrai.
Mais ici, servir Dieu pour que vous serviez Dieu, le Dieu vivant, de nouveau, c'est maintenant.
Dans le temps présent, Dieu demande notre service.
Le Nouveau Testament utilise deux mots pour décrire le service.
J'aimerais lire un verset premier épitre aux Thessaloniciens, le dernier verset.
Là, l'apôtre Paul dit, au verset 9,
« Vous vous êtes tournés des idoles vers Dieu pour servir le Dieu vivant et vrai. »
Et l'épitre aux Hébreux, « pour que vous serviez le Dieu vivant ».
Mais le texte original utilise deux mots différents.
Dans l'épitre aux Thessaloniciens, la signification, c'est que nous sommes journalièrement à la disposition de Dieu
pour faire ce qu'il nous veut faire.
Nous sommes des serviteurs, des esclaves de Dieu, esclaves de Jésus Christ, des serviteurs,
comme l'apôtre Paul était un serviteur, un esclave, pour être à la disposition de Dieu chaque jour dans la vie.
D'ailleurs, la deuxième question que Saul de Tarz a posée lors de sa conversion, c'est « que dois-je faire, Seigneur ? »
La première, c'était « qui es-tu, Seigneur ? » La deuxième, « que dois-je faire ? »
Et c'est aussi une question importante pour nous.
Que dois-je faire ? Quelle est ma tâche ?
Je suis un serviteur du Seigneur Jésus, que dois-je faire ?
Nous pouvons aussi poser la question, comment dois-je le faire ?
Quand est-ce que je dois le faire ? Mais que dois-je faire ?
Être à la disposition de Dieu.
Mais ici, dans l'Épître aux Hébreux, la signification de servir le Dieu vivant, c'est rendre culte.
Ça signifie être des sacrificateurs.
C'est notre position, bien sûr.
Nous tous, nous sommes des sacrificateurs.
Mais c'est une question de position, mais c'est aussi une question de la pratique.
Est-ce que nous sommes vraiment des sacrificateurs ?
Est-ce que nous rendons culte à Dieu ? Est-ce que nous adorons Dieu ?
Le Père cherche de tels comme ces adorateurs.
Jean 4, c'est ce que le Seigneur Jésus lui-même explique.
Que fait un sacrificateur ?
Il est occupé avec des sacrifices.
Il fait exactement ce que nous avons fait cet après-midi.
Il fixe les yeux sur le Seigneur Jésus, le sacrifice parfait.
Il est occupé avec l'œuvre de la croix.
Il regarde ce sacrifice.
Contempler le Seigneur Jésus.
Contempler le Seigneur Jésus dans les détails de ce qu'il a fait.
Nous avons libre accès.
Nous pouvons être dans la présence de Dieu.
Et ce que nous présentons à Dieu, c'est son Fils.
Surtout son Fils, comme il a vécu sur la terre
et comme il a donné sa vie à la croix de Golgotha.
C'est ce qu'un sacrificateur fait.
Et je répète, cela n'est pas limité à la réunion pour la fraction du pain.
Nous sommes des sacrificateurs, bien sûr, le dimanche matin.
Étant dans la présence du Seigneur Jésus pour la fraction du pain, c'est vrai.
Mais chaque jour de notre vie, nous devons être des sacrificateurs.
N'oublions jamais ce que le Seigneur Jésus a accompli à la croix de Golgotha.
C'est lui qui nous a aimés et qui s'est donné lui-même pour nous.
Gloire à son nom. …