Le tabernacle, les sacrifices
ID
jm010
Idioma
FR
Duración
00:59:56
Cantidad
1
Pasajes de la biblia
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Descripción
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Transcripción automática:
…
J'aimerais d'essayer, si le Seigneur nous le permet, de résumer pour nous quelques
enseignements du Pentateuch en rapport avec le tabernacle, la maison de Dieu sur
la terre, les instruments, quelques éléments du service et quelques aspects
des sacrifices qui nous parlent du sacrifice de Christ pour nous permettre
peut-être de mieux comprendre ce qui doit, si le Seigneur le permet, nous
occuper demain dans le chapitre 9 de l'épître aux Hébreux.
Alors il faut d'abord se rendre compte que le sujet est immense, tout n'est pas
très difficile, il nous faut la clé de ces choses, c'est que le livre nous soit
ouvert et que nous apprenions à lire. Heureusement le Saint-Esprit nous conduit
et nous avons affaire à un Seigneur de bonté qui nous aime. Alors toutes ces
choses nous parlent de Christ sans exception, elles ont toutes une voix
puissante pour nous. La difficulté c'est de comprendre la portée des types, des
ombres et de transporter ceci dans les choses réelles sur le terrain chrétien,
sur le terrain du Nouveau Testament. Après la chose qui se présente à nous
dans les passages nous venons de lire c'est le tabernacle. Alors nous avons
rappelé avant hier que le tabernacle dans le désert est ce à quoi l'apôtre se
réfère dans l'épître aux Hébreux parce que l'épître aux Hébreux est une des
épîtres du désert, considérant encore le chrétien comme en route vers le ciel.
L'histoire d'Israël a commencé à la sortie d'Égypte, l'histoire du désert se
termine à l'entrée du pays de la promesse par le passage du Jourdain, dans
cette phase de l'histoire du peuple qui se prolonge d'ailleurs jusqu'au moment où
le premier temple de Salomon a été construit. Dans cette phase Dieu a habité
au milieu de son peuple. Il lui a donné des instructions très précises et tout
ce qui nous parle du parvis, du tabernacle, des instruments et du service
nous parle de Christ, de sa personne et de son œuvre.
Essayons sans entrer dans aucun détail de garder présent à la pensée,
c'est à dire dans notre cœur, les éléments essentiels du tabernacle. Il n'est pas
nécessaire d'avoir de modèle précis, de toute manière tout ce que l'homme peut
faire soit en modèle, soit en maquette, soit en représentation est infiniment
en dessous de la beauté merveilleuse de ce que le Saint-Esprit peut nous faire
comprendre dans le cœur. Et je suis persuadé qu'en nous verrons ces choses
rien de la représentation humaine ne subsistera, il ne restera que Christ
lui-même, la beauté adorable du Sauveur que je vais voir dans le ciel.
Alors réalisons bien, le peuple d'Israël est sorti d'Égypte,
probablement un million et demi de personnes, peut-être deux millions et à
chaque traite dans le désert s'installait à une étape, les douze
tribus étaient groupées aux quatre points cardinaux avec comme centre un parvis.
Alors je passe sur les détails des dimensions, tout est intéressant mais
l'essentiel. Le parvis avait une porte pour y entrer, c'est le premier voile 20
coudées de largeur, une dizaine de mètres de largeur. Dans ce parvis qu'on
franchissait, on trouvait la première chose, l'autel des holocaustes. Chose
remarquable, le passage que nous avons lu nous donne la description de ces choses
à une exception près du renversement de l'autel et de la cuve dans l'ordre inverse
c'est-à-dire du chemin de Dieu vers l'homme. Mais pour celui qui entrait dans
le parvis, la première chose qu'on rencontrait était l'autel des reins, le
plus grand. C'était un autel sur lequel on offrait tous les sacrifices et en
particulier l'holocauste. Pour que ces sacrifices soient offerts,
lorsque la victime était mise à mort et présentée sur l'autel, il y avait le
feu qui brûlait continuellement. L'autel de l'holocauste est une figure de la croix
de Christ, Christ est à la fois l'autel et le sacrifice.
Cet autel n'était plus dans le camp figure du monde, n'était pas encore dans
le tabernacle, Christ a été élevé de la terre sur la
croix. Tu fus élevé de la terre. Ensuite on
rencontrait la cuve, dont les dimensions ne sont pas données, qui contenait l'eau
de la purification. Il était important que la famille sacerdotale s'arrête à la
cuve pour se purifier avant d'exercer le service.
La contrepartie de ceci est évidemment dans Jean 13 où le Seigneur purifie les
pieds de ses disciples. Les sacrificateurs purifiaient les mains et
les pieds, le service et la marche. On rencontrait ensuite le tabernacle qui
était au centre du parvis. La porte d'entrée du parvis était orientée vers
l'Orient, c'est-à-dire vers l'Est, vers votre droite, et cette porte était
orientée vers l'Orient parce que c'est l'Orient d'en haut qui nous a visités.
Ensuite on arrivait dans le tabernacle qui était une construction de modeste
dimension qui comportait deux lieux. Le lieu saint, le lieu très saint. Le lieu
saint avait dix coudées de largeur par vingt coudées de longueur. Sa porte
d'entrée était aussi vers l'Orient comme celle du parvis. Cette porte était
fermée par un voile, le deuxième voile. Dans cette pièce, le lieu saint, on
trouvait en entrant sur la droite vers le nord, nous l'avons lu tout à l'heure, la
table des pains de petite dimension qui avait un rebord sur laquelle on
plaçait douze pains. Les douze pains sont la figure de l'unité du peuple d'Israël.
Maintenant nous sommes un seul pain, un seul corps en Christ. La table est le
symbole, la figure de la communion et de la nourriture ensemble du peuple céleste
de Dieu, de Christ lui-même. De l'autre côté, opposé à la table vers le sud, vers
la gauche, quand on entrait, on trouvait le chandelier à sept branches qui était
merveilleux et qui était la lumière qui était entretenue par l'huile. Cette
lumière c'est la lumière de Dieu sur la terre, Christ homme et maintenant
l'église, l'héracheté, nous sommes lumière dans le Seigneur, nous sommes une
lumière placée comme témoignage devant ce monde. Au fond de la première pièce
du tabernacle du lieu saint, il y avait l'hôtel d'or, deuxième hôtel, l'hôtel
des parfums et c'est le symbole du culte de l'assemblée en esprit et en vérité.
Alors il y avait un voile, ce voile essentiel qui est remarquablement
toujours lié à l'arche, ne nous parle jamais que de Christ et du corps de
Christ. C'est un voile qui était fait avec les mêmes matériaux que les deux
premiers voiles. Il faisait une séparation absolue derrière une pièce
qui n'avait pas de lumière, qui n'avait pas de plancher, on était encore sur la
poussière du désert, qui était fermée par le voile, par le tabernacle et toutes
les pièces étaient couvertes par une première couverture, la seule qu'on
voyait de l'intérieur pour autant qu'il y ait de la lumière et qui avait les
mêmes matériaux que les trois voiles et les vêtements de
gloire et de beauté du sacrificateur. Dans cette pièce dans laquelle Dieu
habitait, dans l'obscurité profonde, sans être encore révélé à l'homme, la
séparation absolue étant opérée par le voile, il y avait une seule chose
précieuse, l'arche, le Bois de Sittim d'Acacia recouvert d'or à l'intérieur et
à l'extérieur avec un couvercle, le propitiatoire, parce que le
propitiatoire c'est l'acte de couvrir le péché ou les iniquités et ce
propitiatoire était d'or battu duquel sortaient deux chérubins de gloire qui
l'embrageaient. C'était le siège de la puissance divine au milieu de son peuple
et Dieu habitait dans cette obscurité profonde et la présence de Dieu était
signalée par la nuée qui s'élevait du lieu très saint.
Personne n'entrait dans cette pièce, dans ce lieu très saint, sauf le souverain
sacrificateur avec d'infinies précautions. Un sacrificateur entrait tous les
soirs à l'heure de la prière la neuvième et venait jusqu'à l'hôtel d'or, l'hôtel
des parfums et présentait le parfum devant Dieu et puis chaque jour selon que
l'un pouvait se sentir appelé à offrir une offrande ou si son cas un péché, une
iniquité, un manquement à l'égard de son prochain, à l'égard de Dieu rendait
nécessaire la présentation d'un sacrifice et bien les israélites venaient
à l'hôtel des reins, à l'hôtel des holocaustes à l'entrée de la tente
d'assignation. Ces choses ont duré pendant toute la
traversée du désert et ont été prolongées pendant la conquête du pays
et jusqu'à l'instauration de la royauté en Salomon. Deux choses particulièrement
sont désignées dans cette période, l'arche et l'hôtel. David seul au plus beau
moment de sa vie a réuni l'arche et l'hôtel au lieu où Dieu avait dit qu'il
ferait établir la mémoire de son nom, c'est à dire la montagne royale de la
grâce, Sion. Autrement l'arche a été une fois prise par les philistins, l'hôtel
et l'arche se sont trouvés souvent séparés, à un moment le centre du peuple était à
Silo et Dieu dans le psaume 78 dit mais qu'avez regardé ce que vous avez fait
ce que j'ai fait de ma demeure de Silo que j'ai abandonné. Ensuite l'hôtel et
l'arche se sont trouvés soit à Bethel soit à Gabaon, il y a eu beaucoup de
désordre dans le peuple et puis à un moment David a eu la pensée de
construire une maison pour Dieu et c'est son fils, David en a pourtant été on a
été pour ainsi dire le créateur et l'architecte et c'est Salomon qui a mis
en activité cette chose. Il a construit une maison le premier temple qui est pour
nous le symbole de ce que sera la présence de Dieu dans le millénium.
Ce temple a marqué le centre religieux du peuple terrestre encore reconnu
de Dieu jusqu'à la transportation pendant 490 ans. À l'issue de cette
période c'est la transportation où de terribles choses sont arrivées par suite
de la fidélité du peuple. D'un côté Dieu de sa demeure terrestre est monté dans
le ciel, la gloire quittant à regret la maison sur la terre a quitté, traversé
la ville et monté sur la montagne qui est à l'orient de la
ville. De la même manière que dans les actes nous voyons les disciples, on voit le
Seigneur Jésus quitter la terre pour le ciel à partir de la montagne des
oliviers. Le peuple n'est plus le peuple de Dieu, il n'a plus miséricorde, l'ohami,
l'orucama. Il n'y a plus de présence personnelle de Dieu dans la nuit au
milieu de son peuple. Dieu n'est plus jamais appelé que le Dieu des cieux et
puis l'arche ne monte plus jamais au coeur maintenant. Il n'y a donc plus
présence de Dieu et pourtant la maison de Dieu va être encore et de
nouveau la maison de Dieu sur la terre. Après la transportation c'est le
deuxième temple, le temple que nous appelons celui d'Esdras ou d'Zorobabel.
Ensuite il y a eu un troisième temple, le temple qui a été, qui existait au temps
où le Seigneur Jésus était sur la terre, le temple que nous appelons celui d'Hérode.
Il a fallu 46 ans pour le bâtir. Est-ce le même temple que celui d'Zorobabel
ou en est-ce un autre ? Rien ne permet de le supposer. Tout ce que j'ai pu lire
ne permet pas de lever l'incertitude. Ce temple a été détruit 40 ans après la
mort de Christ par les armées romaines conduites par Titus.
L'histoire du peuple maintenant cesse. C'est la période de l'église et après
que le peuple sera revenu dans sa terre dans l'apostasie et dans
l'incrédulité, depuis 1948 ces choses sont arrivées. Un jour les apostases
juifs sur la terre d'Israël rebâtiront un temple que Dieu ne reconnaîtra pas.
Qu'est-ce que cette maison vous me bâtissez ? Et même dans le discours d'Étienne,
cette pensée est reprise par le disciple Étienne. C'est le quatrième temple.
Le cinquième sera le temple d'Ézéchiel rebâti qui sera vraiment celui de la
gloire millénaire ou alors de nouveau le prince descendra, entrera dans sa maison.
Alors rappelons-nous que l'épitrosée brusque réfère toujours au tabernacle
dans le désert, avec le voile en particulier. Hébreux 9 et 10 nous en
parlent. Pourtant lorsque le Seigneur a été sur la terre,
bien que cette maison a été profanée par les vendeurs et le Seigneur est
obligé de dire qu'ils avaient fait de la maison de son père une caverne de voleurs,
et bien cette maison était quand même encore par le Seigneur reconnue comme la
maison de son père. Et dans cette maison, donc le temple d'Hérode,
d'ailleurs dans la beauté extérieure était si merveilleuse que Titus a
essayé d'empêcher les soldats romains de détruire par le feu. Quelqu'un a jeté
une flamme et tout est parti dans les flammes.
C'était d'ailleurs la réalisation terrible de la prophétie que le Seigneur
lui-même de son vivant dans Luc et Matthieu avait dite à ce pauvre peuple.
Et bien là il y avait encore le voile et c'est ce voile là que Dieu lui-même
par cet acte de puissance divine a déchiré pour montrer maintenant que le
lieu saint et le lieu très saint n'en forment qu'un pour nous les lieux célestes et
que maintenant si ce pauvre peuple ne connaît plus comme Dieu, seulement comme
un Dieu des cieux qui intervient en sympathie de façon indirecte pour
conduire ce peuple, pour le conserver pour la bénédiction à venir,
désormais tout est changé dans les relations de Dieu et du monde.
Voilà un rapport avec le tabernacle. Ensuite il y avait des sacrifices qui
étaient offerts. Nous voudrions particulièrement, en rapport avec
l'anciennement de l'épître aux Hébreux, signaler trois ordres de sacrifices dans
les sacrifices qui terminaient l'institution des sacrifices, c'est-à-dire
les sacrifices pour le péché et pour le délit. Nous savons que dans l'ordre
d'institution il y avait l'holocauste, l'offrande de gâteaux et le sacrifice de
paix ou de prospérité. Trois sacrifices volontaires, habituellement offerts, en
bonne odeur et d'action volontaire. Il y avait les autres sacrifices qui au
contraire étaient nécessaires, qui étaient d'un autre ordre, ils n'étaient
pas en parfum de bonne odeur sauf un cas exceptionnel et ils étaient rendus
nécessaires par l'aide du peuple, par ses fautes ou par son simple état.
Ces sacrifices sont décrits dans les chapitres 4 et 5 et 6 en rapport avec
la loi d'application de ces sacrifices du lévitique.
Un autre signaler simplement deux pensées, c'est qu'en rapport avec
l'application morale pour nous de ces choses, l'autel des reins, lorsqu'un
sacrifice était présenté en rapport avec l'autel des reins, nous parle de la
conscience individuelle du croyant. Lorsqu'il s'agit du sang ou d'un acte en
rapport avec l'autel d'or, c'est habituellement en rapport avec le culte
de l'assemblée et on verra quelques exemples si le Seigneur nous le permet.
Et le voile dans le lieu saint, c'était toujours la relation entre l'éternel et
son peuple. Alors nous lisons en lévitique 6, deux simples expressions au verset 23
Nul sacrifice pour le péché dont le sang sera porté dans la tente d'assignation
pour faire propitiation dans le lieu saint ne sera mangé, il sera brûlé au
feu. Et puis un passage qui avait été lu par mon beau-frère il y a trois jours
au verset 17 du chapitre 10, pourquoi n'avez-vous pas mangé le sacrifice pour
le péché dans un lieu saint car c'est une chose très sainte.
Ces passages du lévitique, du début du lévitique dans l'institution des
sacrifices pour le péché nous présentent un aspect de l'état de
l'homme dans ses péchés et de l'application de l'efficace de l'oeuvre
de Christ à cet état qui est celui de la culpabilité de la coulpe du péché.
Nous sommes par nature non seulement morts dans nos fautes et nos péchés mais
nous sommes coupables. Il faut qu'une compensation soit faite, il faut qu'une
propitiation soit offerte, il faut qu'un pardon soit accordé.
Lorsque quelqu'un est coupable, il y a un tribunal qui va le condamner ou le
justifier ou le libérer ou le relaxer, il y a l'accusateur public, c'est Satan.
Il y a aussi notre propre coeur et de toute manière les circonstances mêmes
sont contre nous. Nous sommes nés pécheurs et ce que nous avons fait depuis
notre naissance nous rend dignes de mort. Nous avons la culpabilité du péché sur
nous. Cette culpabilité du péché est d'abord essentiellement en rapport avec
Dieu et dans les circonstances de la vie, dans l'histoire d'Israël en particulier,
pouvait être produite, créée par un acte d'injustice à l'égard d'un de ses
semblables. Donc il peut y avoir un péché contre son prochain.
Alors tous les tous les cas sont prévus soit dans le sacrifice pour le péché soit
dans le sacrifice pour le délit. Il fallait dans tous les cas que ce soit un
sacrificateur ou un qui pêche entraînant la culpabilité du peuple, que ce soit un
membre du peuple d'Israël. Chacun d'entre nous nous avons besoin
d'une compensation, de quelque chose qui est en pensée, conduit, contenu dans le
sacrifice de Christ. Alors deux cas se présentaient. Le sacrifice pour le péché
était soit mangé dans un lieu saint, c'était un acte collectif et ceci pour
nous nous présente ce que doit être l'état de peine, de souffrance de
l'assemblée dans une assemblée locale engageant toutes les assemblées de la
terre. Ce que doit être l'identification de
l'assemblée tout entière avec la faute commise par l'un des membres du corps.
Parce qu'un péché est toujours contre Dieu mais un péché engage l'ensemble.
L'histoire d'Acan, nous n'entrons pas dans les détails, montre clairement que
un homme, probablement d'ailleurs avec la connaissance de sa famille, puisqu'elle
a payé avec le chef de la famille, avait caché les choses dans sa
tente, enfreignant formellement le commandement de Dieu qui avait dit de
ne pas toucher aux affaires de Géricault. Et bien Israël a péché, Israël sera
chassé contre ses ennemis et je me retournerai contre vous. C'est Israël
qui avait péché parce que Acan avait engagé. Alors si une personne est
coupable et souillée par un péché, elle entraîne la souillure de l'assemblée
mais la culpabilité subsiste sur la personne qui a péché. Voilà à quoi
correspond manger le sacrifice pour le péché dans un lieu sain. Dans d'autres
circonstances, la plupart du temps, l'offrande du sacrifice pour le
péché était faite, le sacrifice lui-même, la bête, devait être brûlée hors du
camp dans un lieu sain et le sang était porté soit dans le tabernacle, soit
placé à l'entrée de la tente d'assignation, soit en divers lieux. En
fait, pour nos jeunes qui s'intéressent à ce sujet, il y avait sept places
successives où le sang trouvait sa place suivant les cas d'application de ce
sacrifice. Donc nous nous rappelons que le sacrifice pour le péché dans son
institution et dans sa loi, dans les premiers chapitres du Lévitique, répondent
à la culpabilité et à la culp du péché et à cela correspond le pardon. Deux autres
sacrifices pour le péché étaient présentés dans deux occasions mémorables et il
semble, comme ils sont rappelés en référence dans l'épître aux Hébreux au
chapitre 9, nous voudrions dire quelque chose. Le premier sacrifice
c'était dans Nombre 19. Nombre 19, le verset 2. Parle au fils d'Israël et qu'il
t'amène une génisse rousse sans tard, qui n'ait aucun défaut corporel et qui
n'est point porté le joug. Vous la donnerez à Elie Hazar le
sacrificateur, il l'amènera hors du camp et on l'égorgera devant lui, ça n'était
pas lui. Elle n'était pas égorgée devant la tente d'assignation à l'autel.
Elie Hazar le sacrificateur prendra de son sang avec son doigt et fera aspersion de son sang
sept fois droit devant la tente d'assignation donc à l'entrée du
tabernacle et on brûlera la génisse devant ses yeux, on brûlera sa peau, sa
chair, son sang avec sa fiampe. Le sang même est brûlé dans le particulier.
Le sacrificateur prendra du bois de cèdre, de l'isop, de l'écarlate, le jettera au
milieu du feu où brûle la génisse. Alors il faudrait regarder au verset 10
celui qui aura ramassé la verset 9. Un homme pur ramassera la cendre de la
génisse et la déposera hors du camp en un lieu pur. Elle sera gardée pour
l'assemblée des fils d'Israël comme une eau de séparation. Alors au verset 11 à 13
c'est le premier cas d'application, celui qui avait touché un mort, un cadavre d'homme
qui devait se purifier. Au verset 14 le deuxième cas c'est ici la loi lorsqu'un
homme meurt dans une tente. Et les vases découverts du verset 15 nous montrent
combien nous devons être, ceux de notre génération, ceux qui sont plus avancés
dans la vie chrétienne, d'une infinie précaution avant d'exposer nos jeunes à
des choses qui ne sont pas édifiantes. Rappelons-nous toujours, et c'est là de
toute importance, que le mal souille. Si nous sommes obligés à notre corps
défendant de nous occuper du mal pour la sainteté du témoignage du Seigneur,
de maintenir la sainteté de la table du Seigneur, nous devons le faire avec la plus
extrême réserve. Nous devons le faire justement dans cet esprit, dans cette
position de sacrificateur. Et rappelez-vous qu'à la fin du chapitre
toute personne qui a eu un contact avec cette souillure, même s'il était dans une
position de pureté pour accomplir ce service, était impure jusqu'au soir.
De sorte qu'il est complètement hors de place dans les assemblées, comme cela
arrive trop souvent, et je le dis sans aucun esprit de critique, de colporter
le mal, de s'occuper du mal. Le mal souille, c'est une chose terrible,
c'est une chose qui est une véritable plaie dans les assemblées. Alors ceci, il y
avait trois cas d'application au verset 11, au verset 14 et au verset 16.
Quiconque touchera dans les champs un homme qui a été tué par l'épée, dans
les trois cas, il fallait donc qu'un acte de purification soit opéré en
rapport avec ces trois formes de souillure. Alors tel était l'acte, verset 17,
on prendra pour l'homme impur, qui s'était donc rendu impur par l'un des trois
cas précédents, de la poudre de ce qui a été brûlé pour la purification,
c'est donc les cendres de la génisse, et on y mettra dessus de l'eau vive dans un vase.
Un homme pur prendra de l'isopre, elle la trempera dans l'eau et en fera aspersion
sur la tente. L'aspersion devait avoir lieu au verset 19, le troisième jour et le
septième jour. Ensuite on lavait ses vêtements, on était lavés dans l'eau et
le soir on était pur. La cendre de la génisse nous parle évidemment du
sacrifice de Christ. Une autre génisse devait être brisée dans le cas où on
trouvait un mort à proximité d'une ville en Deutéronome 21. Cette
génisse était entièrement offerte, le sang même était brûlé et les cendres
de la génisse étaient conservées. Ensuite ils étaient jetés sur une eau de
purification. Remarquons ce qu'il y avait en plus des cendres de la génisse
elle-même, il y avait du bois de cèdre, de l'isopre, de l'écarlate, toutes les
gloires du monde, toutes ces choses qui font trop souvent tomber le chrétien
dans sa marche et qui l'empêchent de réaliser la simplicité quant au Christ.
L'isopre c'est la plante la plus humble de la création et le bois de cèdre,
une seule fois un cèdre magnifique est un exemple du Seigneur. Le bois de cèdre
est habituellement une expression de la gloire du monde, les cèdres du Liban.
Et bien le monde en ce qu'il a de plus grand et de plus petit, dans ce qu'il y a
de plus beau apparemment, de plus souillé, toutes ces choses doivent être enfouies
dans la croix de Christ. C'est la cendre de la génisse qui nous en parle.
Cette cendre de génisse mêlée avec de l'eau de la purification qui est
probablement une figure à la fois de la parole et de l'esprit saint, va être
maintenant appliquée, c'est l'application pratique de l'œuvre de Christ, de son
sacrifice à nos purifications dans le désert. Pourquoi cette scène ne se
trouve que dans le livre des nombres qui est le livre du désert ? Parce que nos
âmes sont purifiées à notre conversion. Nos cœurs et nos âmes sont purifiés
par le sang de l'expiation et par l'eau. Nous sommes lavés. Le sang de Jésus-Christ,
son fils, nous purifie de tout péché. C'est une purification, une sanctification
essentielle initiale. Mais nous sommes encore dans le corps. Nous avons encore
la cohabitation dans l'être humain des deux natures. Il n'y a aucune raison que
nous péchions, mais les preuves sont là. Trop souvent le juste pêche sept fois
le jour. Que faut-il faire ? Il faut d'abord l'œuvre de Christ comme notre
avocat pour restaurer la communion perdue avec le Père et puis il faut que la
purification soit faite. Une sanctification correspondant à la
purification de nos souillures. Elle est à ce pas que correspondent les cendres de
la génisse. Il fallait une double purification au
troisième jour et au septième jour. Cette purification n'est complète qu'après
cette période complète de sept jours. Ce n'est pas une mince chose d'être
restauré dans la communion perdue par notre faute.
Surtout si la faute est grave et engage l'assemblée et a amené un opprobre de
la part du monde. Rappelons-nous David qui avait donné
occasion aux émis de l'éternel. Et combien de fois, chers frères et sœurs,
nous sommes obligés de reconnaître que la vie des assemblées est un
contre-témoignage à ce qu'est la présence de Christ parmi nous. C'est triste.
Eh bien, ne nous décourageons pas, mais prenons les choses au sérieux.
Il fallait une double purification au troisième jour et au septième jour.
La première purification opère pour ainsi dire un labourage du cœur, un
labourage de l'âme. Et au septième jour, l'œuvre se complète et
quelqu'un l'a dit, J. N. D. Sauffrereur l'a dit, il faut que nous réalisions que
dans les détails, à un moment, nous avons trouvé notre plaisir, le plaisir de mon
cœur, pas du vôtre, de mon cœur, dans ce qui a rendu nécessaire l'agonie et les
souffrances expiatoires de Christ sur la croix.
Voilà le prix que Christ a dû payer pour un acte d'indépendance même dans
notre esprit qu'aucun de mes frères n'a vu. Voilà ce qu'est la mesure de la
sainteté divine. Nous en avons une faible mesure, une faible expression.
Alors, il ne faut pas se décourager parce qu'il y a toutes les ressources de la
grâce. La conclusion, eh bien, d'un côté, il y a pardon pour toi afin que tu
sois craint et de l'autre côté qu'il ne retourne pas à la folie.
Moi non plus, je ne te condonne pas, dit le Seigneur à la femme adultère du chapitre
8 de Jean, va dorénavant, ne pêche pas, de sorte que la pensée que le Seigneur est
mort pour nous purifier et que l'application de l'œuvre de Christ, du
sang de Jésus Christ dans son efficace, un Jean 1, s'applique au péché après notre
confession doit nous amener à marcher avec plus de prudence, avec plus de
réserve, avec plus de sanctification pratique.
Notre Seigneur opère cette œuvre dans chacun de nous. Le dernier côté du sacrifice
pour le péché qui est peut-être pour nous plus important parce que c'est
l'ombre de tout ce qui est dit dans Hébreu 9 et je vais essayer de résumer
ce qu'il nous a dit à ce sujet, c'est le côté de la réconciliation et de la
restauration de l'inimitié. Alors nous avons dit tout à l'heure, un
homme par nature est mort dans ses fautes et dans ses péchés, il lui faut
la vie. Il a envoyé son fils par amour pour que nous ayons la vie et la mort de
Christ et son application à l'âme opère la vie, la vie est dans le fils.
Il y a la culpe du péché, il faut que le péché nous soit pardonné. Ce sont les
chapitres 4, 5 et 6 du Lévitique. Le péché souille, il faut que nous soyons
purifiés. Sanctification et purification initiales, purification rendue
nécessaire par nos fautes dans la vie chrétienne, individuellement ou
collectivement. Il y a une autre chose, c'est que par nature nous étions ennemis
de Dieu dans notre entendement quant aux mauvaises œuvres.
Il faut donc qu'une réconciliation s'opère. Dieu n'est pas l'ennemi de l'homme, au
contraire, c'est l'homme qui s'est constitué ennemi de Dieu, qui s'est éloigné de Dieu
parce que le péché l'éloigne. Il faut que nous soyons approchés par le sang du
Christ, il faut que nous soyons réconciliés. Nous sommes réconciliés
avec Dieu par la mort de son fils. Romains 5, c'est aussi clair que
possible. Cette œuvre de la réconciliation est la reprise sur une
base entièrement nouvelle, en introduisant d'ailleurs ceux qui sont
à l'abri sous l'action de cette œuvre dans une nouvelle création, mais ce n'est
pas la pensée qui se trouve dans l'Ancien Testament, c'est la reprise de
relations nouvelles sur la base du sacrifice de Christ, de sorte que Dieu pourra
être propice, Dieu pourra nous recevoir en grâce et en justice. Alors ceci se
trouve avec de très nombreux détails dans le chapitre 16 du Lévitique, qui marque
le troisième aspect de l'œuvre de Christ comme sacrifice pour le péché, qui est
le grand jour des expiations, des propitiations. Le temps ne va pas nous
permettre de lire l'ensemble du chapitre, mais nous allons essayer de donner les
points essentiels. Le Lévitique 16, quelqu'un indique que les cinq livres du
Pentateuch avaient chacun un sommet moral, certainement Genèse 22. Ici, le Lévitique 16
est probablement le sommet moral du livre du Lévitique. C'est un chapitre
qui nous présente ce qui se produisait, les circonstances dans le déroulement
du grand jour des propitiations, du grand jour des expiations. Et c'était la
sixième des sept fêtes à l'éternel. Sans rappeler même ce déroulement des fêtes,
nous savons qu'au mois d'Étanime, le septième mois, c'est l'eau vive qui
découle, le fleuve d'eau vive, qui était le mois de la dédicace du temps, par
exemple, reprenait certaines formes de relations de Dieu avec son peuple.
La fête des trompettes, la nouvelle lune, dont nous voyons déjà les signes
avant-coureurs depuis 1948. Ensuite, il y avait le travail de la grâce dans le
cœur du peuple pour que ce peuple s'humilie et reconnaisse son Messie,
parce qu'il l'avait fait par ignorance. Nous en avons parlé avant-hier, en rapport
avec Zacharie 12. Chaque famille à part va s'humilier, ils regarderont vers celui
qu'ils ont percé. C'est la grande pensée du grand jour des expiations, où c'est
pour Israël la portée du psaume 51, où la vérité dans l'homme intérieur
collectivement, dans le peuple, est produite par le travail de la grâce.
Leur séjour était d'une importance exceptionnelle parce que c'était un jour
unique qui permettait de reprendre les relations du peuple avec Dieu. Dieu, pour
ainsi dire, ayant devant lui le sacrifice de son fils au temps convenable, allait
supporter son peuple, pardonner ses fautes et ses infidélités pendant l'année
écoulée et accepter de le supporter pendant encore un an. C'est un jour donc
qui était, qui marquait le déroulement des fêtes et qui pour nous, plus tard,
introduit le grand jour des tabernacles, c'est la fête du repos et de la joie dans
la rédemption. Alors en Lévitique 16, nous lisons au verset 3a, on rentrera de
cette manière dans le lieu saint, avec un jeune taureau pour sacrifice pour le
péché et un bélier pour l'Holocauste. Verset 5, il prendra de l'assemblée des
fils d'Israël deux boucs pour un sacrifice pour le péché et un bélier
pour l'Holocauste. Et Aaron présentera le taureau du sacrifice pour le péché qui
est pour lui-même et fera propitiation pour lui-même et pour sa maison. Il
prendra les deux boucs et les placera devant l'éternel à l'entrée de la
tente d'assignation. Et Aaron jettera le sort sur les deux boucs, un sort pour
l'éternel et un sort pour Azazel. Et Aaron présentera le bouc sur lequel le
sort sera tombé pour l'éternel et en fera un sacrifice pour le péché. Et le
bouc sur lequel le sort sera tombé pour Azazel sera placé vivant dans
l'éternel afin de faire propitiation sur lui pour l'envoyer au désert pour
être Azazel. Et Aaron présentera le taureau du sacrifice pour le péché qui
est pour lui-même et fera propitiation pour lui-même et pour sa maison.
Il égorgera le taureau du sacrifice pour le péché qui est pour lui-même. Puis il
prendra plein un encensoir de charbon de feu de dessus l'autel qui est devant
l'éternel et plein ses paumes d'encens de drogues odoriférantes pulvérisées et
les apportera au-dedans du voile. Il mettra l'encens sur le feu devant
l'éternel pour que la nuée de l'encens couvre le propitiatoire et sur le
témoignage afin qu'il ne meure pas. Il prendra du sang du taureau et en fera
aspersion avec son doigt sur le devant du propitiatoire vers l'orient et il fera
aspersion du sang avec son doigt sept fois devant le propitiatoire. Ensuite il
s'agit du sort du bouc qui était le sort pour l'éternel. Il égorgera le bouc
du sacrifice pour le péché qui est pour le peuple. C'est un bouc qui était pour
l'éternel mais qui est maintenant imputé dans l'acte divin au peuple, à
l'état du peuple. Il apportera son sang au-dedans du voile et fera avec son sang
comme il a fait avec le sang du taureau. Il en fera aspersion sur le
propitiatoire et devant le propitiatoire. Il fera propitiation pour le lieu saint,
le purifiant des impuretés des fils d'Israël et de leur transgression
selon leur péché. Il faut passer parce que la lecture va être trop longue verset
18 il mettra le sang du sang du taureau et du sang du bouc, le mettra sur les
cornes de l'autel tout autour. Il fera aspersion sur lui du sang avec son doigt
sept fois et le purifiera. Verset 20 quand il aura achevé de faire
propitiation pour le lieu saint et pour l'attente d'assignation et pour l'autel
il présentera le bouc vivant et arromposera ses deux mains sur la tête
du bouc vivant et confessera sur lui toutes les iniquités des fils d'Israël
et toutes leurs transgressions selon tous leurs péchés. Et il mettra sur la
tête du bouc et l'enverra au désert par un homme qui se tiendra prêt pour cela
et le bouc portera sur lui toutes leurs iniquités dans une terre inhabitée et
l'homme laissera aller le bouc dans le désert et entrera dans l'attente
d'assignation et quittera les vêtements. Au verset 24 il sortira et il offrira son
holocauste l'holocauste du peuple en fait il s'agit des deux béliers et il
fera propitiation pour lui même et pour le peuple et il fera fumer sur l'autel
c'est l'autel des reins la graisse du sacrifice pour le péché. Alors je passe
sur le verset 26 au verset 27 on transportera hors du camp le taureau du
sacrifice pour le péché et le bouc du sacrifice pour le péché desquels le
sang aura été porté dans le lieu saint pour faire propitiation
on brûlera au feu leur peau et leur chair et leur fiante. Au verset 29 au
septième mois le dixième jour du mois vous affligerez vos âmes. Ce serait
intéressant que nos jeunes qui s'intéressent au sujet lise la fin du
chapitre lorsque l'occasion leur serait offerte. Alors nous allons essayer de
résumer les choses d'un côté on trouve Aaron et sa maison de l'autre côté on
trouve le peuple. Aaron et sa maison pour nous nous allons indiquer les figures pour
ce qui nous intéresse. Aaron et sa maison est une figure à Aaron de Christ et sa
maison ou ses fils est une figure de l'église non pas comme corps de Christ
mais comme compagnie de sacrificateur comme une famille sacerdotale.
Sacerdotale étant l'adjectif correspondant à un sacrificateur. Le
peuple maintenant il s'agit du peuple terrestre et la portée du sacrifice va
au delà du peuple terrestre. Il s'agit du peuple terrestre qui est
considéré comme étant le camp, l'habitation de Dieu sur la terre et Dieu
habitait au milieu d'un peuple de courroies dans un monde qui était
typifié par le désert et qui avait été souillé. Alors voilà pourquoi il fallait
plusieurs sacrifices. En fait il fallait cinq sacrifices. Trois étaient des
sacrifices pour le péché et deux étaient des sacrifices de bonne odeur
comme holocauste. Dans l'ordre il fallait au verset 3 un jeune taureau de
sacrifice pour le péché et un bélier pour holocauste.
Ceci était pour Aaron et pour ses fils donc pour la famille sacerdotale liée à
Christ. Alors la grande différence qui se présente je pense que nous n'aurons
aucune peine à la retrouver c'est que Aaron étant qu'un homme devait présenter
des formes de sacrifice correspondant à sa nature humaine pécheresse lorsqu'il
se présentait devant Dieu. Évidemment Christ contrairement à ce qui a été un
jour enseigné par des faux docteurs dans l'église de Christ il y a cent ans à
peu près, Christ n'a jamais rien eu à présenter pour lui-même puisqu'il est
lui le parfait sacrifice. Il est parfaitement sain et pur dans sa vie et
dans sa mort. C'est pour les autres qu'il a présenté quelque chose ou
pour la création. Donc pour Aaron et sa maison c'est à dire l'église
compagnie sacerdotale il y a le jeune taureau sacrifice pour le péché qui est
présenté au verset 4 et développé au verset 11 à 14. Pour le peuple c'est à
dire le peuple terrestre d'israël le camp de dieu sur la terre
il y a les deux boucs. Le bouc comme sacrifice pour le péché verset 15 à 19
le bouc à zazel verset 20 à 23. Ensuite le bélier pour holocauste qui est
présenté en même temps que le bélier pour la famille sacerdotale.
Il y avait donc dans ces cinq sacrifices trois sacrifices pour le péché. Le
premier qui est peut-être pour nous le plus touchant parce qu'il est le plus
lié au culte de l'assemblée était un sacrifice qui était présenté par Aaron
pour lui-même et sa maison. Alors ce sacrifice, le taureau comme
sacrifice pour le péché il nous est présenté au verset 11 à 14. Il était
égorgé et son sang était emmené sur le propitiatoire qui est sur l'arche. En
même temps que Aaron prenait dans ses paumes l'encense des drogues odoriférantes
pulvérisées et les apportait au dedans du voile. Il est possible conformément à
ce que nous dit Hébreux 9 que ce soit avec l'encense soir d'or qu'Issophéra
n'ait pas mentionné ici car Aaron présentait devant l'éternel la nuée
d'encense, cette nuée de bonne odeur. Alors il nous est dit ici afin qu'il ne
meure pas. Pour Christ les choses sont infiniment plus élevées. Christ
présente dans le sanctuaire et l'église entre avec lui la bonne odeur de son
sacrifice. Ce sacrifice de Christ est présenté d'abord à Dieu en parfum de
bonne odeur. Nous comprenons bien ce qu'était cette
encense composée qui était composée du stacté. Mon beau frère l'a dit l'autre
jour c'était la partie la plus précieuse la plus riche qui a la plus de
valeur de l'amire qui nous parle des souffrances de Christ. Il y a quelque
chose dans la souffrance de Christ que les personnes divines seules sondent et
quelque chose qui a été un parfum d'infiniment agréable odeur pour le
Père alors qu'en même temps, et là l'esprit humain ne peut pas comprendre
même conduit par le Saint-Esprit, en même temps Christ portait les péchés des
élus, était fait péché, il portait les péchés en son corps sur le bois, il
était fait péché pour nous. Rappelons-nous que les péchés n'ont pas été attachés à
la personne de Christ et que Christ non plus n'est pas mort sous la colère
judiciaire de Christ de Dieu contre le péché. Faisons bien attention aux choses.
En même temps dans les heures d'expiation il y a quelque chose
absolument insondable, les personnes divines seules peuvent sonder ces choses,
les anges regardent de près et nous à un jet de pierre. Mais nous en savons
assez pour que la louange de l'assemblée s'élève et voilà le
parfum du culte. Cet incense de drogues d'odeurs différentes pulvérisées où
tout était à part égale, salé, pur, sain, c'était le stacte, c'était la coquille
odorante, les eaux s'enfont dans la profondeur du jugement divin.
C'était le galbanum, ce galbanum qui a une odeur âcre, l'odeur de vie pour la
vie et l'odeur de mort pour la mort. La pierre de touche c'est Christ et sa croix
et puis l'incense qui nous parle de l'intercession et de la prière. Que ma
prière s'élève vers toi comme l'incense et l'élévation de mes mains comme
l'offrande du soir, psaume 141 sauf erreur verset 2. Et ceci forme ainsi la
base, la bonne odeur du sacrifice de Christ forme la base de l'intercession
de Christ dans le sanctuaire pour les siens, pour ses rachtifs qui sont
encore ici. Ici c'est du culte que ces choses nous parlent. Alors comment
s'exhalait le parfum de l'incense dans le sanctuaire au delà du voile où là seul,
tout seul, une fois par an, le sacrificateur franchissait le voile qui
était juste devant l'arche. Et bien il fallait que l'incense des drogues
odoriférantes pulvérisées soit placée sur les charbons de feu, le feu qui
brûlait continuellement, qui était maintenu sur l'autel des reins qui nous
parle de la croix de Christ. De sorte que le culte de l'assemblée est évidemment
inséparable du souvenir solennel de la mort de Christ, de ses souffrances
d'expiation. Et pourquoi l'assemblée rend culte en même temps qu'elle se
souvient dans la fraction du pain de la mort et des souffrances et de la mort de
Christ ? Parce que ces choses sont indissolublement liées.
Il y avait une autre chose, c'est le sang. Le sang ici faisait propitiation pour
l'âme. Le sang répondait à notre culpabilité et ici à notre inimitié.
Nous sommes maintenant réconciliés avec Dieu par la mort de son fils.
Nous rappelons que dans l'arche, il y avait en particulier, sans entrer dans
d'autres détails, l'étable de la loi. Et l'étable de la loi disait à l'homme
ce qu'il devait faire pour être béni ou contrairement s'il avait transgressé la
loi, le jugement certain qu'il devait atteindre. Et les chers humains de gloire
ombrageant le propitiatoire étaient là pour veiller au jugement, c'était les
instruments du jugement de Dieu qui sera confié un jour à Christ.
Alors le sang est présenté. Voilà le sang de Jésus Christ, son fils, le fils
de Dieu qui nous a purifiés, qui nous purifie de tout péché. Ce sang a été
placé sur le propitiatoire de l'arche. Alors le propitiatoire c'est l'acte de
couvrir, c'était le couvercle de l'arche et le sang couvrait en fait les
justes exigences de la loi. Dans d'autres termes, on aurait pu en parler l'autre
jour sur Hébreu 8, il y a une pensée extraordinaire qui se présente. Lorsque
l'autel devait être fait selon deux théronomes 27, Josué l'adressait en
Josué 8, il y avait six tribus sur la montagne des Bâles qui prononçaient les
malédictions. Elles sont toutes données en détail. Et puis comme l'aiguillon est dans
la queue, en fait la dernière transgression du
dernier commandement emmène la transgression sur tous les autres. Et
puis six autres tribus sur la montagne de Garisme, les bénédictions ne sont pas
données parce que le peuple ne les a jamais acquises. Où est l'autel? Où est la croix
de Christ? Sur la montagne de la malédiction. Christ a dû être fait
malédiction pour nous afin que la bénédiction d'Abraham nous parvienne et
que par le Saint-Esprit et que nous ressuscitions par la promesse le
Saint-Esprit promis. Alors pourquoi les bénédictions ne sont-elles pas données
sur Garisme? Parce que le peuple ne les a jamais acquises et puis de toute
manière pour Christ qui est elle seule qui a rendu cette loi grande et
honorable, qui en est mis en application tous ses détails dans l'ensemble et dans
tous les détails, c'était une expression parfaite de l'obéissance à son Père
dans un homme. Et bien la récompense, la seule récompense digne de l'oeuvre de
Christ, de ses douleurs, ses souffrances expiatoires, de sa vie laissée, c'est la
place glorieuse que le Père lui a donnée à sa droite, à la droite de la
majesté dans les hauts lieux. Hébreux 8 verset 2.
Alors voilà à quoi correspondent l'encens et le sang qui était placé sur le
propitiatoire. Maintenant l'autre sacrifice, les deux boucles de sacrifice
pour le péché vont nous présenter le côté de la propitiation et de la
substitution. Cette propitiation qui est le côté de
l'oeuvre de Christ qui est entre Christ et Dieu lui-même, c'est à dire qui
répond aux exigences de Dieu quant à la création et quant aux créatures. Et puis
le côté de la substitution qui est l'application de l'efficace de
l'oeuvre de Christ à nous par la foi. Premier côté c'est le côté de la
propitiation. Le premier boucle dont le sort était tombé pour l'éternel, chose
remarquable au verset 8, un sort pour l'éternel, un sort pour Azazel,
et bien ce boucle maintenant il est imputé au peuple, verset 15. Alors qu'est-il dit?
Et bien on apporte, on l'égorge à l'entrée de la tente d'assignation, on apporte son
sang au-dedans du voile et on fait avec son sang comme il a fait avec le sang du
taureau, aspersion sur le propitiatoire et devant le propitiatoire. On fait
aspersion sur l'ensemble du tabernacle du lieu saint et ceci correspond à la
propitiation pour le sanctuaire, correspond à cette première
réconciliation dont nous avions dit un mot quelque chose mercredi soir dernier.
Rappelons-nous que les choses créées sont vues en figure dans le tabernacle
comme Christ ou comme l'église. Et c'est la raison pour laquelle la
propitiation pour le sanctuaire correspond à l'oeuvre de Christ qui a
fait propitiation, qui a obtenu la réconciliation des choses créées avec
la divinité. En Christ la plénitude de la déité c'est plus à habiter, elle
habite en lui corporellement. Il n'a plus à l'éternel ainsi que la
plénitude de la divinité habite en Christ. Et dans cette plénitude de la
divinité, Christ accomplissant l'oeuvre de la rédemption opère maintenant la
réconciliation des choses créées avec la plénitude de la divinité Père, Fils
et Saint-Esprit. Pourquoi ? Parce qu'avant la création à une période, une époque que
la parole ne nous révèle pas. Il y a eu une chute dans le ciel de Satan
entraînant des anges dans sa chute.
Satan n'a aucune mesure de clémence à son égard, son jugement est décidé. Il a
été vaincu à la croix par Christ et un jour il sera finalement jugé. Le feu
éternel est préparé pour lui et pour les anges déchus qui l'ont suivi dans sa
rébellion et dans sa chute. Ces anges là non plus gardés par des
liens d'obscurité pour le jugement du grand jour ne sont pas au bénéfice de
l'oeuvre de Christ. Il n'y a point de réconciliation pour eux. Mais les choses
créées, lieu céleste d'abord, la création terrestre ensuite à cause du péché de
l'homme et Satan était là comme le serpent faisant tomber la femme et l'homme
qui a suivi les deux coupables. La création s'est souillée, a été souillée.
La création n'est pas coupable, l'homme est souillé et coupable, nous avons dit
tout à l'heure en rapport avec les deux phases, les deux premières phases du
sacrifice pour le péché. Il faut donc que cette création soit
réconciliée avec son créateur, les choses soient purifiées. Il était donc
nécessaire et Brunov nous le dit que c'est les choses créées soient purifiées
par un meilleur sacrifice que la répétition de sacrifices annuellement.
C'est le sacrifice de Christ qui correspond à cela. C'est la première
réconciliation de la première création avec la plénitude de la divinité.
C'est la raison pour laquelle le bouc pour l'éternel, cette oeuvre a été
accomplie entre Christ et le Père et entre Dieu. Cette application était en
faveur du peuple et des choses créées. L'oeuvre de la propitiation maintenant
fait que toute âme qui veut venir le peut et nous invitons avec insistance
toute personne qui ne sera pas encore assurée de son salut ce soir même
alors que cette journée s'achève à venir à Christ en vertu du sacrifice de
Christ. Cette valeur du sacrifice est infinie et merveilleuse, la justice de
Dieu est envers tous. Mais maintenant elle n'est que sur tous ceux qui croient et
c'est le côté de la substitution. C'est la raison pour laquelle il y avait deux
boucs à part le premier sacrifice, le taureau de sacrifice pour le péché, il y
avait comme sacrifice pour le péché toujours deux boucs. Le premier qui était
mis à mort dont le sang était porté, c'est le côté de la propitiation, le péché
est couvert et maintenant il y a le bouc azazel. Ce bouc azazel est
l'expression imagée la plus touchante, la plus saisissante pour le coeur de
l'église, pour le coeur du croyant de ce que Christ a été comme notre
substitut sous la colère de Dieu lorsque Dieu a réglé avec son Fils la
question du péché, de nos péchés. Le bouc azazel était choisi, le sort était
jeté entre les deux boucs. C'est un bouc qui n'était pas effectivement mis à mort
mais qui était emmené par l'homme qui se tenait là destiné à le faire dans
une terre inhabitée donc vouée à une mort certaine. Alors le sacrificateur qui
pour ainsi dire portait de la part du peuple les péchés de ce peuple, posait
sa main en identification entre lui-même et les péchés qu'il avait, il les
posait sur la victime qui portait ses péchés en un lieu ou lieu du
jugement. Alors Christ a été notre substitut par
anticipation pour tous les hommes qui avaient la foi et nous pensons bien que
nous savons qu'Abel est un homme de foi, nous pensons bien que
Adam l'était aussi, la lignée des hommes de foi depuis sept, on invoque le nom de
l'éternel, tous ces hommes, Abraham père de tous les croyants qui ont été au
bénéfice de l'amour de Christ et bien maintenant n'auront plus à répondre de
leurs péchés personnellement parce que Christ les a portés de leur part devant
Dieu. Christ a porté mes péchés dans son corps sur le bois, il a porté les péchés
de tous les élus dans des dispensations et des économies antérieures et
maintenant jusqu'à aujourd'hui, jusqu'à la fin de ces dispensations et aussi
l'oeuvre de Christ sera certainement appliquée aux croyants qui nous suivront
dans l'époque à venir, dans le millénaire, dans l'époque millénaire.
Disons en passant ce que monsieur Kelly dit dans un de ses écrits, c'est que ce
n'est pas un objet de notre foi, c'est à voir la manière dont les croyants de
l'économie à venir qui auront donc la vie de Dieu, comme ceux de l'économie
passée, comme ceux de l'église, passeront des cieux de la terre actuelle
millénaire dans les nouveaux cieux et la nouvelle terre dans lesquelles la
justice habite. Ce sera un acte de puissance miraculeuse de Dieu sous une
forme qui ne nous est pas révélée. De toute façon Dieu est seul juste et seul
sage pour accomplir ces choses. Donc nous avons d'un côté la propitiation et de
l'autre côté la substitution. La justice de Dieu est envers tous et sur
tous ceux qui croient. C'est la raison pour laquelle il est dit que le Seigneur
Jésus a porté le péché de plusieurs, le péché de beaucoup. Il n'a absolument pas
porté les péchés des inconvertis, de sorte qu'un évangéliste même de bonne
foi ne peut pas dire à quelqu'un venez parce que le Seigneur a porté vos péchés,
venez parce que le souper de la grâce est prêt, venez parce que l'oeuvre de
Christ vous est offerte. Mais il faut un acte personnel de compréhension, de
repentance, de jugement de soi-même. Il faut évidemment que la puissance de Dieu
intervienne de sorte qu'en définitive l'évangéliste n'ait que peu de choses et
les moyens sont encore de moindre importance. C'est la puissance de Dieu
qui sauve une âme. Il faut la conviction de péché, il faut que l'âme reçoive par la
foi et par la grâce Christ comme sauveur. Et alors maintenant étant mise à
l'abri du sacrifice de Christ, à l'abri de son sang, ses péchés sont expiés
comme Christ substitue sous la colère de Dieu.
Ensuite les versets 23 et suivants nous parlent de deux choses, Aaron sort et
rentre dans le sanctuaire. Actuellement Israël est encore dehors et
il nous est dit, on voit très bien comment à la fin d'Hébreu 9, le Seigneur
Jésus apparaîtra une nouvelle fois, une seconde fois à saluer ceux qui
l'attendent. Il restait deux sacrifices qui étaient
offerts, alors c'était des sacrifices de bonne odeur, les béliers sont
habituellement offerts en sacrifice de consécration. Ces deux sacrifices qui
étaient présentés en holocauste. On rapporte au verset 27 où les deux
sacrifices, le premier et le troisième, le taureau du sacrifice pour le péché et
le bouc du sacrifice pour le péché, ces deux sacrifices pour le péché, le
sang avait été porté dans le lieu saint pour faire propitiation et alors leur
chair, le corps de la victime devait être brûlée hors du camp. Nous sommes
arrivés à la fin de notre heure, nous allons simplement indiquer la portée de
ces choses en lisant simplement l'épître aux Hébreux au verset, au chapitre 13, au
verset 10, nous avons un hôtel dont ceux qui servent le tabernacle n'ont pas le
droit de manger car les corps des animaux dont le sang est porté pour le
péché dans les lieux saints par le souverain sacrificateur sont brûlés
hors du camp. C'est pourquoi aussi Jésus, afin qu'il sanctifia le peuple par son
propre sang, a souffert hors de la porte. Nous savons que la croix de Christ était
en dehors de la ville, près de la ville. Jérusalem est restée coupable de la mort
de Christ. Cette ville usée en tout sauf en haine sur laquelle Christ a pleuré
juste au moment de son départ en lui demandant pourquoi elle n'avait pas
voulu se laisser rassembler autour de Christ comme celui qui voulait rassembler
son peuple comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes et vous ne
l'avez pas voulu. Christ a souffert hors de la porte, près de la ville, mais hors de
la ville. Il est impossible qu'un prophète, le vrai et seul des grands prophètes,
souffre et meurt hors de Jérusalem. En même temps l'application du texte de la
loi a été parfaitement réalisée, toute perfection par Christ. Je voudrais dire en
passant que à la fin de cette journée nous avons été occupés dans les sept
paroles de la croix. Trois hommes ont été effacés de cette scène. Deux hommes
par suite de l'acte des soldats de rompre leurs jambes. L'un est parti au ciel,
l'autre dans les chaînes d'obscurité en attendant le jugement dans le hadès. Nous ne savons pas
exactement ce que ceci représente. Le troisième dans le sein de la divinité,
l'âme de notre Seigneur bien-aimé était auprès du Père dans le ciel, là où l'âme du brigand
était recueillie dans le sein de la divinité, dans la jouissance d'une paix parfaite dans le paradis.
Alors les deux brigands ont été enterrés probablement dans ce qui serait pour nous le
quartier des suppliciés, peut-être même à Seldama, le champ du sang. Ce champ qui a été
acheté par le prix de la trahison de Christ, par Judas, les 30 pièces d'argent. Ce sont les
sacrificateurs qui ont acheté le sang. Ils ne voulaient plus le mettre dans le trésor sacré.
Et bien cet acte de l'achat du sang, du champ du sang, il est imputé à Judas en acte 1. Je l'ai
découvert il y a quelques temps seulement. Et Christ, on aurait bien voulu le mettre là pour
rajouter le dernier terme à l'opprobre dont il avait été abreué de la part du monde. Il lui a été
intervenu et a fait sortir de sa retraite deux personnes, deux disciples en secret, qui n'avaient
guéri le courage de leur témoignage pendant que le Seigneur Jésus était en vie. Et leur position
élevée dans le peuple a été une aide pour que demandant à Pilate le corps de Jésus, il lui soit
accordé. De sorte que si on le donna son sépulcre avec les méchants pour l'homme, il a été pour Dieu
avec le riche dans sa mort, un sépulcre neuf, taillé dans le roc dans lequel personne n'avait
été mis. Aucun contact avec quoi que ce soit comme souillure. Et au troisième jour de la résurrection
Christ, par la propre puissance celle du Père, sort de ce tombeau pour vivre la puissance d'une vie
impérissable. Alors Hébreu 13 nous explique la portée de ce que nous venons de dire sur la fin
de lévitique 16. Sortons vers lui hors du camp portant son opprobre. Jérusalem avait fait ce
qu'elle pouvait pour se débarrasser du Fils de Dieu. Le Messie était retranché, il n'avait rien.
Et maintenant l'église professante comme autrefois juste avant la destruction de Jérusalem, l'épître
a été écrite probablement sept ans avant la destruction de Jérusalem par les armées de Titus,
les armées romaines, et bien les chrétiens hébreux sont invités à sortir. Nous sommes aussi, nous
aussi invités à sortir. Et ceci complète ce qui nous a occupé comme étant la dernière phase de la
position de Christ comme le grand et souverain sacrificateur. La neuvième mention du sacrifice
de la souveraine sacrificature de Christ c'est que nous avons un libre et suraxé par le voile
déchiré la chair de Christ et à cause de son sang versé. Nous sommes donc invités par la foi à entrer
dans le sanctuaire et en même temps par la puissance de la grâce de Christ à sortir du
système qui pratiquement moralement a condamné Christ et ne le reconnaît pas et l'a complètement
oublié. Que Seigneur nous aide à mieux comprendre la portée de ces choses pour que notre marche soit
en conformité avec le saint glorieux appel dont nous sommes appelés, cet appel céleste et en
attendant que dans le ciel nous soyons parfaitement la réponse à la souffrance expiatoire de Christ.
Aux Saints-Enfants, Marie et les femmes, nous jouirons de la beauté et de l'amour et de l'éternité.
C'est une table qui remplira l'éternité. …