Des ressources en temps de petites choses
ID
pc003
Idioma
FR
Duración
00:50:03
Cantidad
1
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Descripción

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…
et qui sont un encouragement précieux, alors que nous parvenons sans doute au terme d'une économie qui précède le retour du Seigneur.
Haggé 1 verset, et Haggé, le messager de l'Eternel, parla au peuple, par le message de l'Eternel, disant, je suis avec vous, dit l'Eternel.
Au chapitre 2, au verset 4, Maintenant, sois fort, saura Babel, dit l'Eternel, et sois fort, Joshua, fils de Yatsanak, grand sacrificateur, et soyez fort, vous tout le peuple du pays, dit l'Eternel, qui travaillez, car je suis avec vous, dit l'Eternel des armées.
La parole selon laquelle j'ai fait alliance avec vous, lorsque vous sortiez d'Egypte, et mon esprit demeure avec vous, ne craignez pas.
Dans l'Épître aux Hébreux, au chapitre 4, chapitre 4 de l'Épître aux Hébreux, au verset 12, Car la parole de Dieu est vivante, est opérante, est plus pénétrante qu'aucune épée à deux tranchants,
et atteignant jusqu'à la division de l'âme et de l'esprit, des jointures et des moelles. Elles discernent les pensées et les intentions du cœur, et il n'y a aucune créature qui soit cachée devant Dieu.
Mais toutes choses sont nues et découvertes aux yeux de celui à qui nous avons affaire. Ayant donc un grand souverain sacrificateur qui a traversé les cieux, Jésus, fils de Dieu, tenons ferme notre confession,
car nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse sympathiser à nos infirmités, mais nous en avons un qui a été tenté en toutes choses, comme nous, à part les pécheuses.
Approchons-nous donc avec confiance du trône de la grâce, afin que nous recevions miséricorde et que nous trouvions grâce pour avoir du secours au moment opportun.
Il est d'un prix particulier de constater que dans des temps difficiles, la grâce divine se plaît à rappeler au cœur des siens de son peuple ce que sa fidélité lui conserve,
et lui conservera jusqu'à la fin pour le chemin et pour marcher dans un sentier que le Seigneur peut approuver et par cela qu'il peut bénir.
Et que ferions-nous sans les promesses, sans les ressources que le Seigneur nous dispense, qui sont toujours actuelles, qui sont toujours accessibles et qui sont toujours suffisantes.
Dans tous les temps, dans toutes les économies, nous savons que la situation ou la condition spirituelle du peuple de Dieu s'est altérée, car l'homme démontre toujours qu'il n'est pas en mesure de maintenir et de garder ce que la bonté divine lui a confié.
Une démonstration la plus évidente nous en est donnée déjà dans le jardin des donnes, où nous voyons que ce que le premier homme était appelé à cultiver et à garder, il ne l'a pas fait.
Il a failli au mandat si noble que Dieu le Créateur lui avait confié.
Et après la chute, cette histoire ne fait que se confirmer.
Israël a transgressé et abandonné la loi.
Il a abandonné son Dieu et même l'Église, qui jouit de privilèges à nul autre semblable, n'échappe pas à cette règle.
Il nous suffit de lire le contraste qu'il y a entre le thème qui ouvre la preuve de l'Épître aux Ephésiens, qui nous amène au plus haut niveau, qui puisse être considéré quant aux croyants, assis dans les lieux célestes en Christ,
et constater quelques temps plus tard ce que l'apôtre Jean peut dire à l'adresse de cette même assemblée qui a perdu son premier abandonné, son premier amour.
Mais dans la parole nous voyons que par ailleurs nous avons un Dieu fidèle.
Si du côté de l'homme il y a le changement, il y a l'abandon des valeurs que sa grâce nous confie, la sous-estimation du niveau auquel sa bonté nous convient.
Si tout se dégrade, néanmoins il demeure le même.
Et dans la plénitude de ses caractères et de ses attributs, il est celui dans qui il n'y a pas de variation.
Mais n'oublions pas par ailleurs que s'il est le même en amour, en bonté, en finalité, en grâce, en support, il est aussi le même en sainteté, en justice, et ses droits n'ont jamais varié.
Et quel que soit l'état du peuple de Dieu, quel que soit l'état du cœur du croyant, Dieu demeure un Dieu saint.
Et c'est à des croyants précisément que cet épître aux œuvres peut déclarer que notre Dieu est un Dieu à un feu consumant.
Dieu n'apaisse jamais le niveau de sa sainteté.
Il demeure invariable dans ses saintes exigences.
Mais dans son amour inchangé et dans sa fidélité qui ne se dément jamais, il conserve des ressources.
Il nous présente ses ressources de telle manière que nous pouvons toujours, en comptant sur lui, en nous appuyant sur lui, en nous réclamant de lui, avoir confiance.
Et dans les temps les plus sombres, nous voyons que le résidu qui se détache d'un ensemble qui abandonne la vérité,
ce résidu qui s'approprie de telles ressources, qui les serre dans son cœur et pour qui elles sont d'un grand prix,
est manifesté et démontré par une fidélité qui brille un éclat particulier au sein des ténèbres qui l'environnent.
Toutes les économies se sont terminées par le petit nombre.
Et si nous sommes peu nombreux, nous n'avons pas à en être surpris.
Ceci ne saurait signifier que nous pouvons nous satisfaire et prendre notre partie de l'état de faiblesse qui nous caractérise et qui est celui de son témoignage actuellement.
Mais la parole nous avertit et elle nous donne encore des encouragements.
Ce n'est pas sans raison que le Seigneur peut promettre aux deux ou trois qui sont rassemblés en son nom qu'il sera là au milieu d'eux.
Le Seigneur n'a pas dit aux disciples là où deux ou trois sans sont rassemblés, mais deux ou trois.
Quelle grâce, quelle condescendance, quel encouragement et tout particulièrement pour un petit rassemblement
de savoir que cette promesse conserve toute son actualité et que cette promesse se réalise pleinement
même s'il n'y avait que deux ou trois qui désirent se rassembler en son nom.
La fin du ministère de l'apôtre Paul est caractérisée aussi par ce temps de faiblesse, ce manque d'intérêt, ce manque de besoin,
ce manque même d'affection pour Christ et pour ce grand apôtre.
Il peut dire au terme de sa carrière, doucement abandonné, Luc seul est avec moi, mais il y a celui qui ne l'a pas abandonné
et duquel il peut dire le Seigneur s'est tenu près de moi et m'a fortifié.
Quel encouragement de savoir que nous avons avec lui celui qui est près de nous, celui qui est avec nous,
celui qui nous promet sa présence au milieu des deux ou trois rassemblés à son nom.
Et au nombre des ressources si précieuses comme aussi nécessaires, nous pouvons en évoquer sept
qui constituent sans doute une plénitude bien précieuse à nos cœurs sans que par cela elles soient évoquées d'une manière exhaustive.
Et sans doute que la ressource par excellence, c'est la présence du Seigneur.
Le passage que nous avons lu dans ce prophète âgé nous relate un temps bien sombre.
Israël et notamment les deux tribus avaient été déportées à cause de leur infidélité en Babylonie,
mais la grâce divine ayant réveillé l'esprit de beaucoup, les avait ramenées en terre de Judée pour retrouver le terrain de la bénédiction.
Mais après un brillant réveil, nous voyons que les cœurs se refroidissent,
on abandonne la maison de l'éternel et on va à ses occupations et toute l'énergie s'en va
pour la satisfaction des aspirations naturelles, chacun courant à sa propre maison.
Ce à quoi l'ennemi, bien sûr, n'a manifesté aucune opposition, bien au contraire,
pourvu pour lui qu'on n'ait plus d'intérêt pour la maison de Dieu.
Mais la grâce de Dieu réveille ces cœurs qui se sont laissés abattre, qui se sont laissés intimider par les menaces, par les accusations.
Elle leur envoie ce prophète, Agé, qui n'est pas caractérisé par la puissance d'un Elie, par la majesté d'un Esaïe,
mais qui est un messager que le Seigneur suscite, appelle et envoie au moment nécessaire
pour communiquer à ce peuple des déclarations du plus haut prix.
Et nous avons lu dans ces seuls versets d'Agé, parmi ses paroles de ce messager,
trois ressources qui constituent même des promesses, combien précieuses.
Je suis avec vous. Ma parole et mon esprit demeurent avec vous.
Et il peut ajouter, en vertu de telles ressources, ne craignez pas.
Je suis avec vous.
Quelle valeur pouvait avoir une telle déclaration de la part de l'Eternel par la bouche d'Agé
à un peuple qui l'avait quelque peu abandonné, en tout cas qui avait abandonné la réunification de la maison de Dieu.
N'oubliez pas, alors, les fils, que je demeure le même et que je suis avec vous.
Y a-t-il une bénédiction plus grande ?
Y a-t-il une promesse plus précieuse que celle qui a pour objet la présence divine ?
Nous savons bien qu'il y a divers présents, divers aspects de la présence de Dieu.
Il y a d'une part l'omniprésence de Dieu, à savoir qu'il remplit toute chose.
Il est partout et personne, aucune créature ne peut échapper au regard divin.
C'est l'omniprésence qui doit rendre l'homme, devrait rendre l'homme conscient de sa responsabilité.
Il est sous le regard de Dieu.
Et nous connaissons ces passages qui nous traduisent ce désir d'âme qui voudrait échapper ou fuirait loin de ta face.
Et où que veuille aller l'homme, il est sous le regard de Dieu. C'est l'omniprésence.
Une autre présence, combien précieuse, et qui est une promesse qui termine l'évangile selon Matthieu, consiste dans la compagnie du Seigneur.
« Je suis avec vous tous les jours, dit le Seigneur, et jusqu'à la consommation du sienf. »
Compagnie nécessaire pour le croyant.
Compagnie qui doit nous être nécessaire.
Le Seigneur veut marcher avec nous.
Qu'il produise dans nos cœurs ce désir que nous marchions avec lui.
Que peut-il dire à Pierre à la fin de l'évangile de Jean ?
Compagnie précieuse qui nous fait jouir de sa communion, qui constitue la seule sauvegarde du croyant.
Ne pensons pas que nous sommes à l'abri des cas de refroidissement, voire de chute,
par le fait que nous avons une connaissance de la parole,
par le fait que peut-être nous avons atteint un âge avancé,
ou que nous avons fait beaucoup d'expériences.
Tout cela qui peut constituer une panoplie de privilèges ne constitue pas une sécurité.
Sur notre plan pratique, il n'y a jamais rien acquis.
Quant à notre position, tout est sûr, mais pratiquement rien n'est acquis.
La connaissance ne préserve pas, l'âge avancé n'est pas une sécurité,
les expériences ne nous donnent aucune certitude quant à notre infaillibilité.
Nous en avons un exemple sans doute particulièrement éloquent dans la personne de Salomon.
S'il y avait un homme qui connaissait les choses plus que n'importe qui d'autre,
sa sagesse, sa connaissance a dépassé celle de tous les hommes,
sa connaissance ne l'a pas préservée, il est tombé.
S'il est un homme qui a atteint l'âge avancé et qui a fait des expériences bénies et précieuses,
eh bien Salomon, que nous a-t-il dit de lui ?
Il arriva au temps de la vieillesse de Salomon, il tomba.
Connaissance, expérience, âge avancé ne préservent pas.
La communion du Seigneur est notre seul souvenir et il nous accorde le pouvoir de la réaliser
dans cette marche avec lui, avec celui qui nous dit à nous aussi, je suis avec vous tous les jours.
La troisième présence, particulièrement précieuse bien sûr,
c'est celle que nous avons le privilège de goûter dans le sein du rassemblement,
où nous expérimentons ces bénédictions qui résultent de l'accomplissement de la promesse du Seigneur faite aux siens,
à savoir qu'il est au milieu des deux ou trois réunis à son nom.
C'est une présence particulière qui se distingue des deux premières.
Et comme nous chantons, elle est le bien suprême, être réuni à son nom.
Donc la présence du Seigneur, la présence divine, la communion avec le Seigneur,
la vie de proximité et de dépendance du Seigneur constituent la ressource par excellence.
Réalisée dans la vie de tous les jours, réalisée dans la vie du rassemblement,
la présence divine est notre ressource, elle est notre réconfort,
elle est ce qui nous garde, nous conduit, nous préserve.
Une seconde ressource mentionnée également dans ce passage d'Aggé
et qui occupe une place particulière dans les passages que nous avons lus en l'œuvre 4
et dans l'ensemble de l'Écriture, c'est la parole des dieux.
La parole.
Qu'a pu dire Aggé de la part de l'Éternel à ce peuple qui s'était laissé surprendre par la somnolence
et le sommeil même quant aux intérêts pour la maison de Dieu ?
Ma parole, selon laquelle j'ai fait alliance avec vous, lorsque vous sortiez d'Égypte, demeure avec vous.
Remarquons que le messager ne pouvait pas évoquer une parole plus ancienne,
celle selon laquelle l'alliance a été faite avec le peuple terrestre de Dieu lorsqu'il est sorti d'Égypte.
Avant de sortir d'Égypte, aucune parole de Dieu n'avait été donnée à un peuple puisqu'il était inexistant.
Et ceci nous montre combien nous avons à demeurer attachés à cette ressource du plus haut prix, la parole permanente de Dieu.
Et nous sommes ramenés par ces versets d'Aggé à la parole donnée à Ali, au début, au premier pas de la vie du peuple terrestre de Dieu.
Lorsque vous sortiez d'Égypte, il n'y a donc rien de changé.
Et c'est bien ce que ce passage de l'Épître aux Hébreux nous rappelle.
La parole de Dieu est vivante, opérante, plus pénétrante qu'aucune épée à deux tranches.
Pierre nous parlera d'une parole permanente.
On peut dire que la parole de Dieu a les mêmes caractères que celui qui nous l'a donnée.
Nous avons un Dieu vivant qui nous a donné une parole vivante.
Nous avons un Dieu immuable qui nous a donné une parole permanente.
Les cieux et la terre passeront, dit-il, mais mes paroles ne passeront pas.
Et si le peuple terrestre de Dieu possédait la loi comme parole,
cette parole de Dieu appelée le témoignage, dont le domicile a été élu dans l'arche de l'Alliance,
ce qui nous montre que la loi était au-dedans des entrailles du Seigneur
et Lui seul pouvait la sauvegarder, l'accomplir et la rendre honorable.
Cette parole demeure et nous avons maintenant l'intégralité de la révélation des pensées de Dieu.
Pensons à l'honneur et à la faveur que la grâce de Dieu nous accorde de posséder la parole de Dieu.
Tous les mystères qui étaient cachés dès les siècles en Dieu,
qui n'ont pas été donnés à connaître sous l'ancienne Alliance,
nous sont maintenant pleinement révélés et nous sont donnés à connaître par la puissance du Saint-Esprit.
Lorsque Paul achève son ministère et qu'il s'adresse aux anciens d'Éphèse au chapitre 20 du livre des actes,
à quoi recommande-t-il ou à qui recommande-t-il ces croyants qu'il considère comme les voyants pour la dernière fois ?
Je vous recommande à Dieu et à la parole de sa grâce.
On a comme un écho dans une économie différente de ce que ce prophète âgé pouvait dire au peuple,
Dieu, ma parole et mon esprit demeurent avec vous, je suis avec vous, dit l'Éternel.
Et l'apôtre de nous dire à nous aussi, je vous recommande à Dieu et à la parole de sa grâce,
qu'il y a la puissance de garder vos cœurs, de nous donner un héritage avec tous les sanctifiés.
Cette parole qui nous ouvre les pensées de Dieu, les trésors de sa grâce,
qui nous accorde de pouvoir entrer dans la compréhension par les ressources que nous donne le Saint-Esprit,
de ces choses excellentes, la parole de Dieu.
Il nous est dit d'elle dans ce passage d'Hébreu 4, qu'elle est donc vivante, opérante,
non seulement pénétrante comme une épée à deux tranchants,
mais plus pénétrante qu'une épée à deux tranchants.
Jusqu'où pénètre-t-elle ?
Elle atteint jusqu'à la division de l'âme et de l'esprit des jointures et des moindres.
Elle sépare ce qui est de la nature de ce qui est divin dans l'être.
Elle pénètre dans ce qui est le plus intimément uni tel que les jointures,
dans ce qui est le plus profondément caché, comme le sont les moindres.
Voilà jusqu'où va cette épée à double tranchant,
qui blesse déjà et atteint profondément celui de l'Amalie,
et qui entre jusqu'aux profondeurs du cœur,
et devant qui, devant laquelle, la parole même étant une personne,
celui qui est la parole faite chaire,
devant qui tout chose son lieu est découvert.
Pouvoir pénétrant, pouvoir opérant, mais aussi pouvoir consolant,
pouvoir dirigeant, élifiant, pouvoir nutritif, qui nourrit nos cœurs.
Dieu veuille que cette parole, qui constitue une ressource combien précieuse,
nous soit véritablement un trésor,
et qu'à l'instar du prophète Jérémie,
nous puissions dire, nous aussi, tes paroles se sont-elles trouvées ?
Je les ai mangées.
Elles ont été pour moi la légresse et la joie de mon cœur.
Que cette parole soit pour vous véritablement,
ce qu'est pour celui qui conquit ou qui mène une guerre,
celui qui a trouvé un grand butin.
Cette parole à l'argent raffiné, coulée au creuset de terre, s'effoie.
Que cette parole habite en nous richement.
C'est une ressource du plus haut prix.
Et bien sûr que pour qu'on en apprécie la valeur, il faut s'en nourrir.
Car nous sommes appelés par elle à croître spirituellement,
à se développer spirituellement.
Nous savons bien que l'Écriture nous parle quant aux croyants de différents états.
Elle nous parle de l'état d'enfance.
Elle nous parle du développement, de la croissance.
Elle nous parle de l'état de maturité que l'Écriture appelle l'état d'homme fait.
L'état d'enfance est un état normal en son temps.
Mais l'état d'enfance, si précieux et plein de fraîcheur qu'il soit,
il est normal jusqu'au moment où l'on doit en sortir.
Et certainement que des parents qui ont de petits enfants,
s'ils devaient constater que leurs enfants ne se débloquent pas,
ils seraient saisis de la plus grande inquiétude
et courraient ça et là pour chercher le meilleur spécialiste,
pour qu'on en découvre les causes et que cet enfant se développe et croisse.
Ne devrait-il pas en être de même, spirituellement,
quant à la croissance que nous sommes appelés à démontrer,
à manifester comme croyants ?
Un état d'enfance est normal au début, mais nous avons à en sortir.
Et la parole nous comporte bien des exemples
qui d'une part nous montrent l'état normal d'enfance et ses caractères,
la simplicité, la foi sans raisonnement, la confiance, la dépendance, le désir ardent,
puisqu'il nous est dit dans l'Épitre de Pierre que nous avons à désirer avec ardeur,
comme des enfants nouveau-nés, le pur lait intellectuel, c'est-à-dire la parole.
Je veux qu'il y ait dans nos coeurs à tout âge la permanence de ce désir.
Pour qu'il y ait cette croissance, on connaît alors d'autre part les reproches souvent sévères
qui sont mentionnées dans la parole à l'égard de ceux qui ne se sont pas développés par la parole.
Les Corinthiens sont repris sévèrement par l'apôtre en leur disant qu'ils ne sont encore des enfants
et qu'il ne peut pas leur donner de la nourriture solide à manger
parce qu'ils ne sont pas en condition de l'absorber.
On connaît ces reproches aux hébreux lorsqu'il leur dit vous êtes devenus paresseux
et il est retenu de leur donner un enseignement plus substantiel
parce qu'ils ne peuvent pas le recevoir.
Mais par cela nous en sommes même privés.
Donc une parole qui est une nourriture.
Que le Seigneur nous donne de fermes expériences
que fut celle de la reine de Sheba
qui étant à la table du roi a apprécié les mets de sa table.
Que la nourriture que cette parole nous donne
soit véritablement des mets délicats que nous apprécions
et qui contribuent à notre croissance et à notre développement.
La parole est également comme ressource et comme efficacité
cette opération purifiante, cette opération sanctifiante.
Il nous purifie comme assemblée par le lavage d'eau, par la parole.
C'est l'opération de cette parole appliquée au cœur et à la conscience par le Saint-Esprit
qui produit cette purification et cette sanctification d'ordre pratique.
Car si nous sommes saints, quant à notre position en crise devant Dieu,
il y a cette sainteté pratique et ce lavage de la parole
comme le Seigneur le montre dans les enseignements qu'il nous distance.
Le lavage d'eau est la sanctification par la parole.
Deuxième ressource d'un prix bien précieux.
Premièrement donc, la présence divine.
Secondement, la parole qu'il nous a laissée.
Mais pour que cette parole puisse être efficace dans nos cœurs et dans nos vies,
qu'elle ait des effets produits, il faut qu'elle soit opérante.
Mais qu'est-ce qui la rend opérante ?
Quelle est la puissance qui la rend opérante, si ce n'est son esprit ?
Troisième élément de cette corde tripe que nous avons dans le prophète Agé,
lorsqu'il peut dire « ma parole et mon esprit demeurent avec vous ».
Et avec de telles ressources, il peut être ajouté « déjà sous la loi, ne criez plus ».
Combien plus maintenant que nous avons le Seigneur comme Israël ne l'avait pas,
que nous avons sa parole complète comme Israël ne l'avait pas,
que nous avons son esprit habitant en nous comme personne divine,
ce qui n'était pas à la part d'Israël,
pouvons-nous nous emparer de cette promesse qui est une certitude pour la foi « ne criez plus pas ».
Je suis avec vous, ma parole et mon esprit demeurent avec vous.
Cet esprit, nous savons bien que l'esprit de Dieu a toujours existé comme personne,
partie de la déité, de la très sainte Trinité,
et cet esprit a opéré avant l'économie présente.
Nous le voyons étant actif et produisant des dispositions selon Dieu dans des âmes qui craignaient le Seigneur.
Nous voyons cet esprit œuvrant en âge sué qui était pas plein de l'esprit,
nous avons cette sagesse que donne cet esprit à des hommes qualifiés pour accomplir des œuvres particulières
telles qu'un orial, telles qu'un Bethsaël et d'autres encore.
Mais sous l'ancienne Alliance, nous savons bien que le Saint-Esprit,
qui est toujours la même puissance et la même personne, le Saint-Esprit opérait.
Mais nous ne voyons pas sous l'ancienne Alliance que le Saint-Esprit habitait,
ni dans la maison de Dieu, ni dans le peuple de Dieu.
Mais maintenant, nous avons cette faveur qui est un privilège exclusif à l'économie présente,
d'avoir cet hôte divin en nous-mêmes.
A tel point que la grâce de Dieu est l'œuvre de Christ,
en vertu de laquelle il s'est acquis notre être tout entier, nos propres corps,
qui, bien qu'appartenant encore à cette première création, son propriété du Seigneur,
il fait de nos pauvres corps qui lui appartiennent la demeure, le temple du Saint-Esprit.
Quelle grâce ! Quelle condescendance !
La valeur que le Seigneur accorde à nos corps, il nous sauve entièrement.
La rédemption de nos corps, elle est acquise par l'homme de la croix,
elle n'est pas encore produite.
Elle sera produite au jour de la venue du Seigneur, où nous serons faits semblables,
où nous serons à l'image de celui qui nous a créés.
Mais le Saint-Esprit habite en nous, il habite dans nos corps,
et nos tentes fragiles, nos vases de terre sont un temple qui abrite le Saint-Esprit.
De telle sorte qu'en raison d'une telle présence en nous-mêmes,
nous avons à veiller sur l'usage que nous faisons de nos corps,
et le Seigneur accorde à nos corps une délicatesse particulière
qui se traduit dans la manière selon laquelle il en prend soin
lorsque le croyant s'endort dans le Seigneur.
Il nous est dit que la dépouille d'un croyant, son corps, est semée.
Tous les réprouvés, quels qu'ils soient, il a dit d'eux qu'ils sont jetés.
Mais cela n'est jamais dit à l'égard d'un croyant.
A l'égard du croyant, quant à son corps qui a abrité pendant sa vie ici-bas le Saint-Esprit,
cet hôte divin, il est semé.
Il est semé comme le guide, mais il ressuscitera en gloire.
Puissance du Saint-Esprit.
Nous avons été mis au bénéfice comme croyants
de cette réception par la nouvelle naissance du Saint-Esprit.
Et nous sommes appelés à marcher, étant guidés par cette puissance.
Marcher, dit l'apôtre, par l'Esprit.
Et dans la maison de Dieu, quelle est la puissance qui seule est autorisée à agir,
quelle que soit la nature d'un rassemblement, dans la vie d'assemblée, c'est le Saint-Esprit.
Il nous est dit que nous chantons et nous prions par l'Esprit.
Le ministère de la parole, quel que soit le caractère du ministère,
il s'exerce selon le même Esprit.
Il y a diversité de dons de grâces, mais le même Esprit.
Si nous rendons culte, nous lisons en Philippiens 3, 3,
que nous rendons culte par l'Esprit.
Donc tout se fait par l'Esprit.
Que ce soit la prière, réunion de prière, que ce soit la réunion d'édification,
que ce soit l'adoration, tout se fait par la puissance et sous la direction de ce même Esprit.
Quelle ressource précieuse !
L'homme est mis de côté et la direction de cet Esprit dans la vie d'assemblée
met de côté toute organisation et toute prétention de l'homme.
Troisième ressource, la présence du Seigneur, sa parole et son Esprit.
Mais nous avons lu dans les passages d'Hébreu 4,
la ressource aussi à partir du verset 14e,
de celui qui est appelé en un grand souverain sacrificateur.
Et quel est-il ? Jésus.
Nous avons un grand souverain sacrificateur, celui qui nous secoue,
celui qui nous vient en aide, celui qui est toujours vivant pour intercéder aux pauvres.
Nous ne sommes pas laissés à nous-mêmes.
Et n'est-il pas touchant et réconfortant, sécurisant pour la foi,
de constater ces ressources si précieuses que la parole nous rappelle
et dont nous sommes assurés jusqu'au dernier pas du temps.
Un souverain sacrificateur.
Le Seigneur n'était pas souverain sacrificateur avant de venir sur la terre.
C'est en vertu de son humanité et en vertu de son œuvre
qu'il s'est acquis ce titre et cette fonction, au nombre de beaucoup d'autres titres
que le Seigneur s'est acquis par son humanité et par son œuvre.
Le Seigneur en quelque sorte a emporté dans le ciel.
Après sa résurrection, étant élevé dans la gloire,
il a emporté des titres qu'il s'est acquis par cette œuvre comme homme sur la terre.
Il n'était pas le rédempteur ni le sauveur du monde,
mais il est devenu l'auteur du salut éternel.
Il l'est devenu.
Et de même quant à sa souveraine sacrificature,
il nous a dit de lui qu'il est devenu souverain sacrificateur pour l'éternité.
Il l'est devenu.
Et c'est comme tel, et ceci est très beau,
de voir que dans cette même épître aux êtres vieux,
que c'est sous ce titre-là que Dieu lui ouvre le ciel
qui quelques jours auparavant était fermé pour lui.
Lorsque le Seigneur subissait la sainte colère de Dieu contre le péché
duquel il s'était chargé pendant les trois heures ténébreuses,
le ciel s'est fermé pour lui.
Mais l'œuvre étant accomplie, le Seigneur étant ressuscité,
étant élevé la gloire, le ciel s'ouvre pour lui.
Il est entré et Dieu le reçoit, Dieu le salue,
souverain sacrificateur.
Tu es souverain sacrificateur pour l'éternité.
Il y a eu beaucoup de souverains sacrificateurs sous la loi.
Tant Aaron était le premier et c'était une fonction transmissible.
Mais nous avons un grand souverain sacrificateur.
Remarquons ce qualificatif de grand qui est attribué au Seigneur humain,
qui a reçu cette sacrificature qui ne se transmet pas
et qui, comme tel, assise à la droite de la majesté,
à la droite de Dieu, est toujours vivant,
est toujours actif pour intercéder pour nous.
Nous n'avons pas besoin de demander qu'il prie pour nous.
Il le fait, nous pouvons être rassurés,
nous pouvons être rassurés en sachant qu'il prie pour nous.
Quel sujet que le Seigneur en prière !
Depuis son premier pas sur la terre,
au bord du Jourdain, à l'ouverture de son ministère,
sa vie est marquée par la parfaite dépendance de l'homme parfait,
par la prière.
Il priera sur la croix, il priera dans le ciel,
il prie encore aujourd'hui pour les siens qui sont sur la terre.
Ayant marché comme homme,
ayant été tenté comme nous en toutes choses,
sauf par le péché,
il connaît ce que comporte le chemin du fidèle.
Il sait ce à quoi il est confronté.
Il sait les écueils qui sont placés devant lui.
Il connaît le chemin du fidèle.
N'a-t-il pas enduré la contradiction des pécheurs contre lui-même ?
N'a-t-il pas souffert pour la justice ?
Ayant marché comme homme ici-bas,
il est puissant et vivant pour intercéder par nous.
C'est ce que nous avons lu.
Ayant donc un grand souverain sacrificateur qui a traversé les cieux,
Jésus, le fils de Dieu.
Ce nom de Jésus, lorsqu'il est venu sur la terre.
Ce nom de Jésus sous lequel il a été crucifié.
Ce nouveau nom qu'il a emporté dans le ciel.
Le fils de Dieu, tenons ferme notre confession.
Car nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse sympathiser à nos infirmités,
mais nous en avons un qui a été tenté en toutes choses,
comme nous, à part le péché.
Le Seigneur a participé à la nature humaine.
Il n'a jamais participé à la nature pécheresse.
Le Seigneur a été tenté de la part de l'ennemi.
Il n'a pas été tenté par le pécheur.
Mais il a connu la tentation.
Il peut répondre, dirons-nous en connaissance de cause,
aux besoins de ceux qui cheminent encore sur la terre
et qui connaissent les vents contraires et toutes les vicissitudes du chemin terrestre.
Le Seigneur, maintenant Matthieu, nous a dit de lui qu'il monte sur la montagne
pendant que ses disciples traversent la mer agitée.
Il monte pour prier qu'il est là seul.
Et de la montagne, le regard se porte sur les siens qui traversent la mer agitée.
Maintenant, ces choses en figure dans les Évangiles
sont une réalité glorieuse et sécurisante pour nous.
Sur la plus haute des montagnes, sur le trône même du Père,
le Seigneur est là, souverain sacrificateur pour l'éternité, intercédant pour nous.
Une ressource encore à la fin de ce chapitre 4, c'est le trône de la grâce.
Approchons-nous donc avec confiance du trône de la grâce,
un trône qui n'est plus pour le croyant un trône de jugement,
un trône duquel ne se fait plus entendre des paroles de condamnation,
mais un trône qui est devenu pour la foi un trône de grâce.
Le Seigneur est assis sur le trône du Père,
et en vertu d'une telle présence, d'une telle séance, c'est un trône de grâce
duquel nous sommes invités à nous approcher et en pleine liberté.
Nous exprimons parfois la pensée que nous devons assiéger le trône de la grâce.
Grâce à Dieu, nous n'avons pas besoin de l'assiéger, il n'oppose aucune résistance.
Approchons-nous en pleine confiance du trône de la grâce,
et qu'allons-nous recevoir trois choses,
trois choses qui répondent à nos besoins en chemine anticipale.
Nous y trouverons, nous y recevrons la miséricorde, la grâce et le secours.
La miséricorde qui répond à toutes nos faiblesses, à toutes nos insuffisances.
Nous y trouverons la grâce qui répond à tous nos manquements,
et nous y recevrons le secours qui répond à toutes nos luttes, à tous nos combats.
Au moment opportun, y a-t-il un moment dans notre vie chrétienne
qui n'est pas un moment qui fait appel au secours du Seigneur ?
On peut dire que chaque pas de notre vie, de notre pèlerinage,
est un moment opportun auquel répondra le secours
que veut nous dispenser notre grand souverain sacrificateur.
Choisit-on encore les deux dernières ressources que nous avons à la pensée ?
La joie dans le Seigneur.
Une joie dans le Seigneur que l'apôtre nous rappelle en nous disant
« Réjouissez-vous dans le Seigneur, réjouissez-vous toujours dans le Seigneur,
encore une fois je vous le dirai, réjouissez-vous. »
La joie a-t-elle une autre source ?
Elle n'est pas dans nos cœurs, même pas dans nos cœurs de croyants.
Elle n'est pas dans notre entourage, elle n'est pas dans ce monde.
Et qui a goûté de ce que la parole appelle des délices du péché
pourra témoigner de cette réalité qu'il n'apporte rien à l'âme,
qu'il n'y a pas de joie.
Mais pour le croyant, il connaît la source et la cause de sa joie.
Indépendamment des circonstances, une joie fait dans une personne.
« Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur. »
Et quelles que soient les circonstances, et combien souvent elles sont douloureuses,
elles sont pénibles.
Elle est aînée parmi nous de témoigner de la souffrance, des peines, des chagrins, des effrois.
Mais il pourrait certainement nous dire qu'ils ont pu réaliser qu'au travers de ces choses,
qu'ils ont traversé dans la proximité la communion du Seigneur,
qu'ils ont trouvé le réconfort et la joie dans la personne même du Seigneur.
Et il peut nous dire que personne ne vous offre votre joie.
« La joie de l'éternel sera votre force. »
Peut-il être dit dans le livre de Naini.
N'oublions pas que la joie, la sérénité, la paix
sont des dispositions qui n'ont leur source qu'en dehors de nous-mêmes.
Elles n'ont leur source que dans celui qui en est la source
et qui veut, et la donner, et l'entretenir, et la sanctifier, et la bénir.
Et la dernière, nous pourrons bien dire que c'est l'espérance.
Quelle ressource, quel encouragement, quel réconfort
de savoir que nous nous acheminons vers un but.
Une espérance vivante.
Pierre, qui aime beaucoup ce qui est vivant, nous dit dans son épître,
lui qui nous parle du Dieu vivant, des pierres vivantes, d'une espérance vivante.
Il aime ce qu'est la vie et nous avons dans nos cœurs cette espérance vivante.
Il ouvre son épître en nous parlant de cette espérance vivante.
Mais nous avons aussi, lisons-nous par ailleurs, une espérance qui est bienheureuse.
La bienheureuse espérance.
C'est une espérance qui remplit le cœur de bonheur.
Et c'est aussi une espérance sanctifiante.
Car dans la mesure où nous courons vers un but qui nous est cher,
nous laisserons de côté ce qui peut constituer une entrave
et ce qui peut nous conduire à faire des détours.
Une espérance stimulante, une espérance qui oriente le regard de nos cœurs
vers celui qui est notre espérance.
Jésus-Christ, notre espérance.
Encore là, notre espérance, c'est d'une personne.
Quel bonheur de savoir que, cheminant ici-bas, nous nous approchons toujours plus du but.
Et comme le dit un cantique, chaque soir, nous plantons l'attente un peu plus près.
La distance diminue. Le but se rapproche.
L'horizon se teinte déjà des rayons d'un matin qui ne prendra jamais fin.
Quelle espérance certaine, glorieuse, qui ne saurait confondre la foi,
car ce qui est promis par Dieu, il l'accomplira.
Il n'est pas un homme pour mentir, ni un fils d'homme pour se repentir.
Aura-t-il dit et ne fera-t-il pas ?
Aura-t-il parlé et n'accomplira-t-il pas ?
Ces déclarations du livre des nombres conservent leur actualité et leur valeur pour nos cœurs.
Quelle ressource précieuse qui nous élève au-dessus des choses périssables
et de tout ce qui se rattache à cette première création.
Il est beau de voir qu'en Matthieu, les trois dernières paravoles ont pour objet la venue du Seigneur.
Qu'il s'agisse de ce qui est confié aux domestiques pour nourrir les serviteurs, les esclaves de la maison,
c'est dans l'attente du retour du Maître.
Qu'il s'agisse des vierges sages qui tiennent leurs lampes allumées,
c'est dans l'attente du retour du Maître.
Qu'il s'agisse de ceux qui ont reçu des talents pour les faire valoir,
c'est dans l'attente du Maître qui va revenir.
Notre vie chrétienne est orientée vers la venue du Seigneur.
Cette bienheureuse espérance, Jésus Christ notre espérance.
Quelle plénitude de ressources dignes de réconforter nos cœurs,
d'encourager notre foi, de la fortifier et d'encourager le rassemblement
qui souvent peut sentir la faiblesse, la lassitude.
Mais il nous conserve ces ressources, le Seigneur lui-même.
Ce centre d'attrait et de rassemblement, la parole qu'il nous a laissé,
vivante et permanente, le Saint-Esprit, cette puissance divine
qui prend de ses pieds du Seigneur pour nous le communiquer
pour notre bénédiction et qui nous ouvre l'intelligence
et la compréhension des choses excellentes.
Le trône de la grâce, le souverain sacrificateur,
la joie du Seigneur, sa prochaine venue.
Que ces choses encouragent nos cœurs, que nous les serions comme un trésor précieux
et qu'il nous donne de les cultiver jusqu'au jour où nous n'aurons plus besoin de la parole,
où nous n'aurons plus besoin du trône de la grâce,
mais où nous nous réjouirons éternellement en contemplant sa face
qui est un rassasiement de joie pour toujours et nous serons avec lui pour l'éternité. …