Les fils de levi
ID
pf004
Idioma
FR
Duración
01:42:36
Cantidad
1
Pasajes de la biblia
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Descripción
Les fils de levi
Transcripción automática:
…
Au verset 5, l'Éternel par l'Ami, disons, fait approcher la prélude de l'Église.
C'est là ce que dit deux ans avant le Sacrificateur, afin qu'ils le servent,
et qu'ils accomplissent ce qui appartient à son service, et au service de toute l'Assemblée,
devant la Temple d'Assignation, pour faire le service du Tabernacle.
Et ils auront la charge de tous les gestes d'entrée de la Temple d'Assignation,
et de ce qui se rapporte au service d'Église d'Israël, pour faire le service du Tabernacle.
Et puis, dans l'âme, elle répite à Aaron et à Cephis,
ils y sont absolument donnés, donc de l'Église d'Israël,
et puis à David, à Aaron et Cephis, afin qu'ils accomplissent les devoirs de leur Sacrificature.
Et l'étranger qui la passera sera mis à mort.
Et moi, voici, j'ai pris des Lévites, du milieu des filles d'Israël,
à la place de tout premier-né, dont les filles d'Israël n'ont pas ma place.
Et les Lévites seront à moi. Tout premier-né est à moi.
Le jour où j'ai frappé tout premier-né dans le Pays d'Égypte,
je me suis sanctifié tout premier-né en Israël, depuis donc jusqu'à l'Abbaye,
ils seront à moi. Je suis l'Éternel.
Un peu plus loin, en verset 32,
« Et le Prince des Princes et des Lévites était Eléazar, fils d'Aaron, un sanctificateur.
Il était établi sur ceux qui avaient un cadre, c'est du vieux saint,
un sanctificateur. Et l'Éternel parla à Moïse et à Aaron, disant,
« Relève la somme des filles de Khéâtre, dont les filles de Lévites,
selon leur famille, selon leur naissance de père,
depuis l'âge de trente ans et au-dessus jusqu'à l'âge de cinquante ans,
tous ceux qui ont en service pour faire l'œuvre dans la tente d'assignation.
C'est ici le service des filles de Khéâtre, dans la tente d'assignation.
C'est une chose très simple.
Lorsque le camp est tiré, Aaron et ses filles s'entreront,
et démonteront le voile qui sert le rideau, qui encouvriront l'âge du témoignage.
Ils mettront dessus une couverture de four à vaisseau,
et étendront par-dessus un drapeau de bleu, et ils y placeront les barres.
Et ils étendront un drapeau bleu sur la table des fins de proposition,
et mettront sur elle les plats, et les troupes, et les vases, et les gobelets d'olivation,
et le pain continuel sera sur elle.
Et ils étendront toutes ces choses dans un drapé carrelat.
Et ils le couvriront d'une couverture de four à vaisseau,
et ils y placeront les barres.
Et ils prendront un drapeau bleu, et en couvriront le chandelier et la lumière,
et ses lampes, et ses mouchettes, et ses vases à cendres,
et toutes ces barres d'huile dont on paye usage pour son service.
Et ils le mettront avec toutes ces substances dans une couverture de four à vaisseau,
et le mettront sur une terre.
Et sur l'autre endroit, ils étendront un drapeau bleu,
et ils couvriront une couverture de four à vaisseau,
et ils y placeront les barres.
Et ils prendront toutes les substances du service avec lesquelles on sert dans le lieu sain,
et ils les mettront dans un drapeau bleu,
et les couvriront d'une couverture de four à vaisseau,
et les mettront sur une terre.
Et ils offront les cendres de l'hôtel,
et ils étendront celui-là en drapeau,
et ils mettront dessus toutes ces substances dont on paye usage pour son service,
en tournant la page de l'accessoire.
Il est hasard, le sacrifice d'armes, le sacrificateur,
pour avoir la surveillance de l'huile, du luminaire et de l'ensemble,
et de l'offrance de gâteaux continuels, et de toutes l'omptions,
la surveillance de tout le tabernacle,
et de tout ce qui est du lieu sain et de ses ustensiles.
Et l'éternel parlement isléar en disant,
ne faites pas que la tribu des familles des chéatiques soit retranchée dans ce délit,
et faites ceci pour eux, afin qu'ils vivent et ne meurent pas,
en s'accrochant du lieu très sain.
Armes et ses fils, viendront et déplaceront chacun son service et son pardon,
et ils n'en feront pas pour voir,
quand on englobe par les chaussettes, afin qu'ils ne meurent pas.
Enfin, le verset 46.
Tous ceux qui furent dénombrés,
que Moïse et Aaron et les princes d'Israël dénombrèrent,
savoir le délit,
fut, du mot verset 48,
8 580.
Nous arrêterons là pour l'instant.
Vous pourrez sembler, chers amis,
que ces récits de l'Ancien Testament
n'offrent qu'un intérêt bien relatif,
liés qu'ils sont aux coutumes,
aux ordonnances, aux éternels,
à les recommander pour son peuple terrestre.
Mais, non au contraire,
nous savons que toutes ces choses ont été écrites
pour nous servir d'instructions.
Ce sont des images, des thèmes,
des figures remplies d'enseignements,
d'instructions, d'édifications
et d'encouragements pour nous.
Dieu se sert de figures, de thèmes,
pour nous parler,
s'adaptant, en quelque sorte,
à notre but limité,
à la condition de faiblesse dans laquelle nous nous trouvons encore,
nous connaissons,
nous saisissons qu'en partie.
Et par des images et par des liens de nos chers éventiers,
Dieu s'adapte à notre but
la connaissance, la compréhension
des grandes vérités qui sont développées dans le Nouveau Testament.
Même chose remarquable,
il les adapte à notre but
avec une exactitude divine.
C'est là qu'il démarque
de la beauté des Écritures,
ce qui veut dire, chers frères,
Dieu a ainsi caché le Nouveau Testament dans l'Ancien
et il révèle l'Ancien dans le Nouveau quand il le dit.
L'histoire des fils de l'Église
qui traversent l'Ancien Testament
qui traversent l'Ancien Testament
pour quiconque veut s'y attacher
est une histoire vraiment intéressante,
pleine d'affaires,
pleine de beauté.
D'abord il convient que nous rappelions qui est l'Église.
Fils de Jacob,
il s'est associé avec son frère Siméon
dans des actes de violence
qui rempliront Jacob, le père,
de tristesse, de consternation.
Il le rappellera jusqu'au soir de sa vie.
Il le rappellera avant de son année
dans les bénédictions de ses fils.
Il le rappellera, hélas,
leur attitude toute de violence,
bruit du péché.
Dans son premier nez, c'était la corruption.
Dans les vies de Siméon, c'était la violence,
deux manifestations cardinales du péché,
de la propre volonté en nous,
de la chair, du gué-homme.
Mais la grâce de Dieu est intervenue,
elle a touché les vies
comme elle a touché sans doute la plupart d'entre nous.
Un jour, la grâce de Dieu nous a rencontrés
et la volonté de Dieu a fait fondre notre cœur.
Devant la manifestation éclatante de son amour,
Dieu a enterré le monde,
il a donné son prix de vie.
Nous avons été saisis.
Au pied de la croix, nous avons compris quelque chose
de l'amour de Dieu,
l'amour insondable, éternel de notre Dieu.
Dieu, qui est riche en misères cordes
à cause de son grand amour dont il nous a aimés,
alors même que nous étions morts dans nos peaux et dans nos péchés,
nous a bénifiés et il nous a bénifiés avec son Fils.
Nous unissons avec lui
dans la puissance de sa vie,
de résurrection victorieuse,
triomphante de la mort.
Au pied de la croix, nous avons réalisé aussi ce que nous étions,
sans ressources,
perdus,
sans secours à attendre de qui que ce soit,
ni d'aucun système, ni d'aucune morale, ni même de la loi,
ministère de mort et de condamnation,
elle lit le prêché sur moi et elle me condamne sans appel.
Mais Lévi,
un jour, ton cœur a été touché par la grâce de Dieu,
comme pour un autre grand serviteur de Dieu
dont chacun se rappelle l'origine, c'était un benjaminite.
Et précisément, Jacob, à l'écart de Benjamin, dira
« C'est un loup qui déchire. »
Tel était ce benjaminite
qui portait le nom d'un ancêtre illustre,
Saul, Saul de Thars,
montrant bien cette nature
opposée à Dieu, sanguinaire même,
il rappellera, avec beaucoup de tristesse sans doute,
j'étais présent et consentant
que le sang de ton témoin et tienne
était répandu.
Mais de ce loup qui déchire,
Dieu a fait, par grâce,
un serviteur d'une qualité exceptionnelle.
Ce loup qui déchire,
son cœur a été entièrement changé,
non pas amélioré, non pas la chair améliorée,
mais le nouvel homme créé à l'image de Christ en lui
et qui aurait donné sa vie tout de suite
pour le Seigneur et pour les frères.
Parlant de son amour pour les frères comme d'un père,
comme d'une nourrice pour ses propres enfants,
comme d'un frère,
quelle différence !
Encore un mot, les dames,
ce changement, chers députés, chez Simeon,
nous ne le retrouvons pas dans les bénédictions de Moïse,
au chapitre 33 de l'île de Théronormes.
Il y a là une omission qui mérite d'être retenue.
Comment se péter que ces affaires associées dans des actes de violence,
nous ne les retrouvions pas ensemble
lorsque Moïse prononce les bénédictions sur chacun des fils de Jacob ?
Nous pouvons conclure rapidement,
ceux qui font de la chair ne peuvent plaire à Dieu.
Autant il y a eu un changement certain chez lui,
autant le cœur de Simeon restait fermé.
Nous n'en avons l'ombre preuve que la sagesse de Joseph
qui a bien déterminé ce qui était Simeon,
quelle était sa personnalité, son caractère inflexible,
la chair si violente, si énergique en lui.
C'est Simeon que Joseph fait rester en Égypte
pendant que ses frères remontent vers leur père.
Lévi, un jour, nous mettra tous son énergie
non plus au service de la chair mais au service de Dieu.
Dieu se sert de nos qualités, de nos facultés
lorsque nous les mettons bien humblement en son service.
Il y a deux hommes d'une même famille pour nous faire comprendre,
Caleb et Nabal.
C'est-il de Nabal qu'il était de la famille de Caleb ?
Mais non, mais son énergie au service du moi, au service de la chair.
Et son cœur devient une pierre.
Il est l'image d'Israël apostate.
Tandis que Caleb, c'est de même énergie naturelle,
il l'amène au service du Seigneur.
Et l'Esprit de Dieu se plaît à rappeler l'histoire de ce vieillard énergieux
qui, à 85 ans, était encore amené de sortir et d'entrer,
c'est-à-dire de servir et de sortir son épée pour la gloire de l'Éternel.
Nous le verrons peut-être tout à l'heure, si nous en avons le temps.
Voici donc Lévi qui s'est tourné vers le Seigneur
et qui va recevoir maintenant un service des plus précieux.
Car Dieu va choisir la tribu de Lévi
pour en faire celle qui s'approche de lui,
qui s'occupe du service du sanctuaire,
qui est la plus privilégiée en Israël.
Elle représente les premiers débuts.
C'est-à-dire ce qu'il y a de meilleur.
La vigueur d'un homme.
Le Seigneur rappelle le premier-né, le commencement de sa vigueur.
Et tout aussitôt, la Pâque intervenue
et la délivrance du peuple en Égypte réalisée,
l'Éternel dit tout de suite, sanctifie-moi tout premier-né, il est à moi.
Au bénéfice de la rédemption,
étant délivré de la fournaise d'Égypte,
de l'esclavage du pharaon,
le peuple désormais appartient à Dieu.
Et d'une manière particulière,
dans le chef des premiers-nés,
le commencement de la vigueur, ce qu'il y avait de meilleur en Israël,
Dieu dit, ils sont à moi, ils m'appartiennent.
Comment parle le Nouveau Testament ?
Il ne parle pas d'une autre manière.
Ils étaient à toi, le Seigneur anticipe, l'œuvre de la croix,
le sang précieux qui allait être répandu, sa propre vie donnée.
Et il peut dire, ils étaient à toi et tu me les as données.
Notre grand Dieu et Sauveur Jésus-Christ,
parce bien de Lui qu'il s'agit,
qui s'est donné Lui-même en rançon pour nous,
afin qu'Il purifia pour Lui-même un peuple actif,
zélé pour les bonheurs,
afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes,
mais pour celui qui pour eux est mort et a été ressuscité.
Nous n'en avons fini avec notre condition antérieure,
avec ce que nous étions comme hommes à la chair.
Nous appartenons désormais à Dieu.
Nous sommes la propriété du Seigneur
pour être une lumière pour Lui dans ce monde,
pour marcher dans les bonnes œuvres que Dieu a préparées à l'avance,
et la bonne œuvre par excellence qu'elle est telle.
Nous l'avons souvent entendu.
Le Père en cherche de telles qu'il adore.
Lorsqu'il rencontre cette pauvre femme,
isolée par sa misère, par sa souillure,
ayant accompagné un long chemin à travers la Samarie
pour la rencontrer au bord du Puy,
il lui parlera du désir du Père,
du souhait du cœur du Père d'être connu, de se révéler.
Et il faut que ceux qui l'adorent, l'adorent en esprit et en vérité.
L'œuvre par excellence, la première,
pas grand d'importance, tout sérieux, tout important que soit le service,
mais la sainte sacrificature,
qui consiste à offrir des sacrifices spirituels
à le bas sur la sacrificature royale,
qui consiste à annoncer les vertus de celui qui nous a tirés des ténèbres,
amenés des ténèbres à sa merveilleuse lumière.
Nous savons tous que jamais, peut-être qu'il est opportun de le rappeler.
Alors la première chose que le Seigneur demande de chacun de nous,
chers amis, c'est précisément de nous souvenir
que le Seigneur nous a achetés à grand prix,
que nous sommes à lui, que nous avons à le glorifier.
Et la première manière de le glorifier,
c'est de nous souvenir de ce qu'il nous dit avant de s'en aller à la croix.
J'ai fort désiré de manger cette pâque avec vous.
Et en présence des symboles qu'il a institués,
prenez, mangez, ceci est mon corps qui est donné pour vous.
De même aussi la coupe appelle le souper.
Dans leur muet langage, ne parle-t-il pas de la manière la plus éloquente ?
A chaque cœur renouvelé.
Les vies doivent donc entrer dans la possession et la connaissance
de privilèges, d'un service du plus haut prix.
S'étant tourné vers le Seigneur,
le chapitre 33 du Deutérogramme
indique pour lui deux fonctions essentielles,
l'enseignement de la parole de Dieu et le culte.
Névis aura trois fils.
Gierchon, Kéat, Mérarie.
Par voie d'élection, Kéat, le fils du milieu,
sera celui qui aura les privilèges les plus élevés.
Car en effet, en descendant par Kéat, qui lui aura quatre fils,
nous savons bien que l'un d'eux s'appelle Abraham
et est le père de Moïse et d'Aaron.
Et de la famille d'Aaron, Dieu va faire la sainte sacrificature,
de sorte que toute cette famille de Névis
sera donc associée dans un service pour l'éternel,
mais au milieu d'eux, une famille particulière
pourra faire dans le tabernacle, dans le lieu saint,
avec les ustensiles précieux pour les envelopper.
Et alors les fils de Kéat les transporteront à travers le désert.
Pour nous, qu'il y a là un enseignement,
nous avons essayé de résumer en deux mots,
car tous les Lévites n'étaient pas sacrificateurs.
Les sacrificateurs provenaient de la famille de Névis.
Mais tous les Lévites n'avaient pas le privilège d'être sacrificateurs,
c'est-à-dire fils d'Aaron.
Aaron, fils de Christ,
notre grand souverain sacrificateur de notre confession.
Aaron et ses fils,
qui sont une image bien connue de l'Assemblée,
formant une seule famille,
premier né au milieu de plusieurs frères.
Dieu nous a prédestinés à être conformes à l'image de son fils
afin qu'il soit premier né au milieu de plusieurs frères.
Aaron et ses fils,
image de l'Assemblée,
aux privilèges incomparables.
Mais ce qui n'était pas possible pour eux, l'est pour nous.
Car en effet, nous sommes tous à la fois Lévites et sacrificateurs.
C'est-à-dire, nous avons déjà dit en quelques mots tout à l'heure,
nous avons été sauvés pour servir le Dieu vivant et vrai
et pour attendre des cieux son fils.
Dans cet octobre, nous sommes donc tous des serviteurs.
Personne n'a été sauvé pour demeurer inactif.
Tous, nous avons quelque chose à faire pour le Seigneur.
Les Lévites représentent donc les différents services qui sont à remplir
pour la gloire de Dieu,
pour le bien de la famille d'Aaron.
Car nous avons lu, ils sont absolument donnés à Aaron et à ses fils.
Tous les services que nous avons à remplir
sont liés à la bénédiction de l'Assemblée,
sont donnés en vue de la bénédiction de l'Assemblée.
Sur ce plan, il y a toujours sans doute égalité,
mais dans la diversité.
Il y a toujours, pardon, unité,
mais dans la diversité.
Tous les services ne sont pas les mêmes.
Mais il est remarquable que dans le chapitre 4,
nous ayons les mêmes expressions que dans l'Écriture corinthienne.
Cela est assez frappant.
En Corinthien nous, Dieu offert tout et en tout,
par son Esprit.
Et à chacun est donné une charge ou un service ou un don.
Dieu offert tout en tous, et à chacun est donné une fonction.
Et nous retrouvons précisément dans le verset 47 de Noël,
du plenage de 50 ans,
tous ceux qui ont fait au cent troisième heure du service,
et au verset 49, au lieu de verser,
par Moïse, chacun selon son service.
Tous ceux qui ont fait en service, tous les Lévites,
et à chacun, selon son service.
Dieu offert tout et en tous,
et à chacun, il donne une fonction, une tâche à accomplir.
Nous avons souvent entendu, pardon,
nous avons entendu, c'est rappeler sa vérité.
Elles sont importantes et elles sont utiles.
Il y a donc unité dans la diversité.
Par contre, dans le service de la Sacré-Dictature,
il y a toujours unité et parfaite égalité.
Car tous nous sommes sacrificateurs sur un plan d'égalité.
Un frère qui se lève dans l'Assemblée,
pour rendre grâce au cul par exemple,
ne remplit pas une fonction entre l'Assemblée et le Seigneur.
Il est simplement l'organe, la voix de l'Assemblée,
pour dire ce que tous les coeurs ressentent.
Il n'y a donc plus de classe privilégiée.
Nous sommes devenus de pierres mortes que nous étions,
dans le monde, des pierres vivantes,
introduites dans la maison de Dieu,
établies sur la maîtresse pierre du coin qui est Christ,
comme une sainte Sacré-Dictature,
étant devenue une sainte Sacré-Dictature
pour offrir des sacrifices spirituels.
Il n'y a donc pas de clergé, pas de classe établie.
Nous sommes tous des sacrificateurs sur un plan d'égalité,
unité et égalité.
Si nous emménageons les croyants comme les vifs,
c'est-à-dire sous l'aspect de leur charge,
de leur service, de leurs diverses fonctions,
il y a toujours l'unité sans doute,
mais dans la diversité.
Le service d'un frère n'est pas celui d'un autre.
Le service d'une soeur n'est pas celui d'un frère et vice-versa.
Mais chacun, nous avons quelque chose à remplir.
Alors, comme nous n'avons pas beaucoup de temps,
nous allions, j'en avais abordé,
le service de la famille de Kéat.
Nous avons donc dit tout à l'heure que
Kéat occupe, par voie d'élection,
un rang important,
un rang privilégié,
et c'est à la famille de Kéat que seront confiées,
que seront confiées les choses les plus précieuses.
C'est à partir de Kéat, d'ailleurs, en descendant par un rame,
que nous avons les sacrificateurs.
Alors tous, nous avons quelque chose à faire.
Tous, nous avons une tâche à remplir.
Il faut travailler pendant qu'il fait jour,
car la nuit vient en laquelle personne ne peut travailler.
Et le Seigneur nous donne, d'abord pour l'église de la nuit,
une condition prémontiale,
préliminaire, impérative.
Que fallait-il faire
avant d'entrer dans le service.
Car le service de Dieu, nous l'avons vu tout à l'heure,
en descendant les sacrifices,
c'était une chose très simple.
Si nous avions le temps,
et nous pouvons le faire chacun pour nous-mêmes,
il fallait d'abord purifier l'église.
Non seulement Dieu les avait fournis pour lui-même,
mais il nous montre comment nous devenons,
comment nous entrons dans la famille de Dieu.
Son destin était de nous amener devant lui,
mais par quels moyens ?
Par le moyen d'un sacrifice.
Par le moyen du lavage d'eau.
Par le moyen de la rédemption.
Par le moyen de la parole qui nous perd en nous,
née d'eau et de l'esprit,
et de son côté percé et en sortie,
du sang et de l'eau.
Par le lavage de la rémunération,
qu'il a répandue richement sur le passé,
et le renouvellement de l'esprit saint.
Le sang, d'autre part,
qui purifie de tout blessure.
Il fallait ouvrir un taureau comme au Lacoste,
un taureau comme un sacrifice pour le péché,
purifier l'église de l'Église par le lavage d'eau,
raser tous leurs poils,
changer leurs vêtements,
laver leurs vêtements,
que de figures intéressantes,
pour nous montrer la sainteté qui s'y est à la maison de Dieu.
A cet égard, ajoutons, chers amis,
c'est une embarrassante affaire de détail,
mais nous aimons quand même rappeler celui-ci.
Nous sommes saints, c'est-à-dire mis à part.
Nous sommes rendus tels
par l'opération de la grâce de Dieu en nous.
Et par l'œuvre du Seigneur,
à laquelle nous avons parlé,
par l'aspersion du sang de Jésus Christ,
par la rédemption qui est dans son Fils,
au prix de son sang qui a été répandu,
nous sommes rendus parfaits devant Dieu.
Paul dira saint, irréprochable, irrépréhensible.
Saint, c'est-à-dire,
si quelqu'un est en Christ,
si quelqu'un est venu au pied de la croix,
si quelqu'un est lavé dans le sang précieux de l'agneau,
il est saint, il reçoit une nouvelle nature
qui correspond à la nature même de Dieu.
Il est irréprochable,
il n'y a plus aucun reproche à lui faire.
Saint et agréable, dans le bien-aimé,
Dieu nous voit au travers de l'œuvre de Christ.
Irrépréhensible,
plus rien n'en met à la charge du croyant.
Par une seule offrande,
elle a une telle valeur pour Dieu,
accomplie une fois pour toutes,
nous sommes rendus saints,
irréprochables et à perpétuité.
C'est la sainteté positionnelle comme on l'a souvent entendu.
Mais parce que Dieu nous a établis
par grâce dans cette position de faveur,
nous avons alors, non pas d'une manière contraignante ou légale,
mais nous avons à marcher en relation
avec cette position que nous occupons devant Dieu en Christ,
c'est-à-dire, soyez saint comme moi je suis saint,
en nous séparant de tout mal quel qu'il soit.
Dieu ne nous demande pas des choses impossibles,
ce n'est pas la loi, cela,
mais nous avons une nature
dont le Saint-Esprit est la puissance
qui aime faire la volonté de Dieu.
Parce que cette volonté de Dieu
répond au désir de cette nature.
Car la nature humaine, telle que nous l'avons,
la nature adamite, elle est justement l'opposée.
Elle refuse de faire ce que Dieu demande
parce que c'est Dieu qui le demande,
et elle accomplit ce qu'il défend
parce que c'est Dieu qui le défend.
Mais la nouvelle nature que nous avons reçue par grâce,
Christ en nous, aime faire la volonté de Dieu.
De sorte que la sainteté pratique correspond,
doit correspondre, si nous pouvons parler ainsi,
à la sainteté positionnelle que nous occupons devant Dieu en Christ.
D'où cet enseignement que nous avons ici,
laver les vêtements, raser tout son poids,
c'est-à-dire tenir la chair où Dieu l'a placée,
c'est l'enseignement de l'Écriture romane, chapitre 6.
Vous êtes mort, monsieur le Seigneur.
Dieu nous considère comme en ayant fini,
comme en un temps.
Il ne nous a pas dit de mourir,
ce qui serait bien végétal et bien cruel.
La chair n'accepte pas de mourir,
mais Dieu nous dit, vous êtes mort.
Il a tué l'homme en Adam, dans la croix de son fils.
Il a annulé la chair.
La conséquence pratique, Paul me la donne,
tenez-vous, vous-même, pour mort ou péché.
Sachant ceci, croyant ceci,
que votre vieil homme a été crucifié,
et la conséquence, en tenant ce vieil homme dans la mort où Dieu l'a placé,
voilà la délivrance,
nous pouvons alors marcher en nouveauté de vie,
délivrer de la tyrannie du moi, du péché sur nous.
Le rasoir qui passe sur la chair, les vêtements lavés,
tout ce qui concerne la purification des vies de l'élu,
avant d'entrer dans l'exercice du saint service que Dieu leur a confié.
Occupons-nous maintenant quelques instants, si vous voulez bien,
du service des fils de création.
C'est un service que nous avons à remplir,
qu'ils allaient à remplir dans le désert.
Allez donc, Dieu ayant établi sa demeure au milieu d'eux,
ayant fait de son peuple,
ayant fait d'Israël son propre peuple,
il veut habiter au milieu d'eux.
C'est une pensée bien douce que Dieu parle d'une habitation,
chose réalisée maintenant pleinement selon le dessein de son cœur,
Dieu parle d'une habitation au milieu de son peuple,
après la rédemption accomplie.
Dieu ne parle jamais d'habiter avec quelqu'un
avant l'agneau qui a été égorgé, dont le sang a été aspergé
sur chaque maison des fils d'Israël.
Mais dès lors, nous pouvons parler, nous entendons parler
du dessein de Dieu d'habiter avec l'homme.
Pensée des plus douces, des plus précieuses.
Il habitait dans le tabernacle.
Il accompagnait son peuple à travers tout le chemin du désert.
C'est une des réalités précieuses pour le cœur du croyant.
Réalisez que nous avons le chemin du désert à terminer.
D'une part, c'est l'édifice de pierres,
et d'autre part, déjà dans les lieux célestes.
Mais n'abandons pas plusieurs sujets à la fois.
Nous allons nous épargner.
Contentons-nous maintenant de considérer les fils de Géat
dans le service qu'ils avaient à rendre au désert.
Tribus, images de ce que le Seigneur nous a confié à tous.
Sommes au désert, nous arrivons au bout.
Nous serons encore avec le Seigneur.
Et nous avons un service à rendre.
Nous avons des fonctions.
Nous avons des services que le Seigneur attend de nous.
Quel est le premier service confié aux fils de Géat ?
Un service à l'égard duquel on ouvre la note
qui comporte la peur, souffrance et guerre.
Le service que nous accomplissons,
le service que le Seigneur nous a confié,
est l'arrivée du croyant.
D'ailleurs, ce développement se déploie sur une scène
où les nuits est à l'heure.
Nous ne sommes pas chez nous.
La procession du Saint-Esprit nous introduit dans le combat.
Et ce combat chrétien, que j'insiste,
comporte effectivement la peur, souffrance et guerre.
Mais l'Ancien Testament n'ajoute pas cette note,
cette explication, à cette signification du service,
ce que le Nouveau Testament ajoutera dans le chef de pôle, par exemple,
connaissant les labeurs, les souffrances et la guerre, comme pas un.
Mais il ajoutera ce qui est si précieux pour le cœur du croyant,
le considérant dans sa source, dans la richesse de sa source.
Encore une fois, je vous le dirai,
réjouissez-vous, réjouissez-vous dans le Seigneur.
Labeurs, souffrances et guerres sont nous.
Mais je vois d'un niveau, d'une qualité, d'une richesse insuppassable.
C'était l'homme sans doute le plus heureux de la Terre,
sans les labeurs, les souffrances et la guerre,
mais connaissant le cœur de Christ,
le Seigneur qui se tient près de moi, dit-il,
pour parler avec moi et qui m'indique ma grâce que ce soit.
N'est-ce pas d'une source de joie incomparable
que d'entendre la voix du Seigneur,
de le réaliser, de le connaître à côté de nous.
Alors il nous aide dans le service que nous avons à accomplir,
dans la charge qu'il nous a confiée, quelle qu'elle soit.
Alors, si insignifiante puisse-t-elle paraître,
nous ne pouvons rien faire sans lui.
Séparé de moi, vous ne pouvez rien faire.
J'ai dit ce qu'il y a dans les mots.
Un service important à accomplir.
Quelle est la première chose que l'Esprit de Dieu place devant nous ?
Quelle est la première chose que le Seigneur attend de nous, chers amis ?
C'est de maintenir la vérité sans équivoque aucune
au moment où elle est battue en braise,
où elle nie sa charme contre cette vérité fondamentale, capitale,
sans laquelle il n'y a pas de salut,
sans laquelle il n'y a pas de pardon de péché,
sans laquelle il n'y a pas de ciel ouvert,
sans laquelle il n'y a pas la connaissance de Dieu comme Père,
c'est-à-dire le maintien des droits de Christ,
vrai Dieu et vrai homme tout à la fois.
L'union de la divinité toute-puissante
à l'humanité dépendante,
mystère inscrutable,
que nul ne sonde,
mais que Dieu a réservé pour lui-même à sa propre connaissance.
Personne ne connaît le Fils si ce n'est le Père.
La première chose placée devant nous,
c'est Christ vu dans l'âge.
C'est une chose très simple que le service des bibles de Kéate,
lorsque le camp partira,
il fallait démonter, les harons et ses fils,
démonter le voile du rideau,
sans regarder l'arc sans doute,
en reculant, laisser tomber le rideau sur l'arc,
puis le recouvrir avec un voile tout de bleu.
Un homme qui est venu du ciel,
un petit enfant,
à l'égard duquel les anges disent
ceci sera le signe pour vous,
le signe le plus éclatant de la faveur de Dieu.
Vous verrez un petit enfant,
emmailloté,
couché dans une crèche.
Le mystère de la piété est grand.
Dieu a été manifesté en chair,
a été vu des anges.
Mystère pour eux,
mystère insondable.
Voir leur créateur
s'anéantir lui-même,
s'affaisser lui-même,
revêtir notre humanité sans tâche,
prendre part, participer au sang et à la chair,
en vue de souffrir
et de mourir pour sa pauvre créature.
L'arc de bois de citine
rappelant son humanité,
ce qui sort de la terre,
recouverte d'ortures à l'intérieur et à l'extérieur.
Et dans un seul terme,
en comparant les notes que nous avons
au bas du chapitre 7 de l'Épître aux Hébreux,
n'est-ce pas une chose admirable ?
La plénitude de la déité
a habité en lui corporellement.
L'Orient d'en haut nous a visités
et en même temps,
le germe qui sort de la terre,
qui germe de son propre lieu.
Dans l'Orient d'en haut, nous avons le lever
correspondant au germe,
à la racine qui sort d'une terre aride.
Dans un seul mot, l'Esprit de Dieu réunit
les gloires de Christ,
sa gloire divine et sa gloire humaine.
L'arc de bois de citine,
recouverte d'ortures à l'intérieur et à l'extérieur.
L'union de l'humanité dépendante
à la divinité toute puissante,
ce qu'il est dans sa sainte et adorable personne.
Et ce qui est requis d'un administrateur,
c'est qu'il soit prouvé fidèle.
Et Dieu nous demande de maintenir
ce fondement, cette vérité fondamentale.
La première chose confiée au fils de Christ,
c'est l'arc.
L'arc comportant le propitiatoire,
non seulement ce qu'il est dans sa personne,
mais ce qu'il a été dans son œuvre,
dans la valeur du sang qui a été répandu à la croix
et qu'il a porté lui-même
à l'intérieur d'un lieu très sain,
entré avec son propre sang dans son cuir.
Ce que nous sommes dépend sans doute
de la valeur de ce sang précieux.
Mais ce sang précieux est en relation
avec la gloire de la personne qu'il a donnée.
Le jour des propitiations,
le sacrificateur en entrant,
le souverain sacrificateur en entrant avec le sang
dans le lieu très sain,
était entouré de cette nuée d'encens
qui nous parle des gloires de Christ,
de l'excellence de sa personne.
L'encens pur, salé, pur, sain,
n'a pas connu de péché,
n'a pas commis de péché.
Celui qui n'a pas connu de péché a été fait péché pour nous.
Pas de péché en lui.
Trois déclarations des apôtres,
Paul, Pierre et Jean,
pour attester que cet encens était salé, pur, sain.
Et ils l'ont couvert d'un nuage
du souverain sacrificateur qui présentait le sang,
ce qu'il est dans sa personne.
Donnons valeur efficace au sang précieux qui a été répandu,
le sang, la vie offerte.
Dieu a été glorifié.
Dieu peut maintenant acquis ce droit de nous bénir,
de faire reposer sur nous toute sa faveur,
introduit dans la faveur même de Dieu.
Grâce au sang répandu,
au don de sa vie.
L'âche,
le roi de Sept-Îmes,
l'or pur,
le propitiatoire.
Il y a ensuite
ce que nous sommes devenus par grâce.
Et nous avons dans l'âche
la couverture d'un voile de bleu
pour nous montrer qu'il est venu du ciel,
qu'il est mort, qu'il est descendu dans le plus beau,
mais que celui qui est descendu dans les parties inférieures de la terre
est le même que celui qui est monté au-dessus de tous les cieux.
Il y a maintenant un homme glorifié au ciel,
réculseur de tous ceux pour lesquels
sa vie précieuse a été donnée.
Christ des prémices,
magère des prémices,
balancé,
présentaire éternel
et qui est lié avec toute la moisson qui va suivre.
Lorsqu'il est mort,
il est lié avec toute la moisson qui va suivre.
Lorsqu'à sa voix puissante,
lorsque la trompette de Dieu,
car la trompette de Dieu sonnera,
et à la voix de Lacan,
les morts en Christ premièrement seront ressuscités
et nous nous serons changés
pour que ce mortel soit absorbé par la vie
et ce corruptible revête l'incorruptibilité.
Et en nous emballant tous ensemble,
nous allons nous écrier
la victoire.
Christ est ressuscité,
prémice de ceux qui se sont endormis.
Dans le second,
dans l'ustensile qui suit,
nous avons les privilèges dans lesquels nous sommes établis.
C'est la table des fins de proposition,
toutes d'or également,
à laquelle il y avait un couronnement d'or
et les douze pins
qui étaient là, parlant des douze tribus d'Israël,
table éclairée par le chandelier.
Quelle figure saisissante !
Les pins, on les remplaçait chaque sabbat.
Chaque premier jour de la semaine,
il nous est donné, nous est accordé
ce précieux privilège d'annoncer la mort du Seigneur.
Mais non seulement nous rappelons
dans la scène du Seigneur ce qu'il est,
la valeur de son œuvre,
l'épicard de celle-ci,
ce que le Seigneur est pour nous,
mais nous rappelons aussi,
la scène rappelle donc l'amour du Seigneur pour nous,
mais aussi,
en prenant la scène ensemble,
nous exprimons,
parce qu'il est entre nous,
la communion du corps de Christ.
Chaque sabbat, on remplaçait les pins.
Chaque premier jour de la semaine,
nous annonçons la mort du Seigneur,
sans doute, jusqu'à ce qu'il vienne,
selon cette révélation
que le Seigneur a donnée depuis le ciel
à son serviteur, l'apôtre Paul,
et en même temps, selon à quoi un tien dit,
nous exprimons ce privilège extraordinairement élevé,
sauf un seul fin, un seul corps,
car nous participons tous, un seul et même fin.
Et quelle que soit la ruine de l'Église,
quelle que soit la ruine à laquelle nous avons mis la main,
et qui est un motif,
un motif de consternation, d'humiliation
pour chaque croyant,
quel que peut éclairer à l'égard de ces précieuses vérités,
il n'en demeure pas moins qu'il y a un seul corps,
et que l'infidélité générale de l'Église,
comme corps responsable,
ne peut anéantir, ne peut altérer,
ne peut abroger les déclarations divines.
Et comme au plus beau jour de l'Église,
nous pouvons dire maintenant,
nous n'avons qu'un seul corps,
dont nous avons l'expression dans le pain de la Seine.
Et dans ce pain de la Seine,
ne serions-nous que deux ou trois à nous rappeler
de ce saint et prestigieux privilège ?
Nous envisageons non pas les croyants seulement
de la localité à laquelle nous appartenons,
mais nous envisageons le corps tout entier,
l'ensemble de tous les croyants,
dans nos cœurs, dans nos affections.
Nous nous sentons unis à eux par un lien divin indestructible,
c'est-à-dire le Saint-Esprit,
baptisé d'un seul esprit,
pour être en ce corps.
Que la manifestation de ce corps ne soit plus visible,
nous avons à le déclarer,
c'est le résultat de nos infidélités.
Mais ce corps n'en existe pas moins.
Et quelqu'un sonnait cette comparaison,
qui a certainement beaucoup de valeur pour éclairer la pensée,
c'est la chaîne qui part dans le livre des actes,
et que nous allons voir maintenant,
de l'autre côté de la rivière,
lorsque le Seigneur vient, nous saurons.
Il aura son assemblée telle qu'il la désire.
Christ a aimé l'assemblée, s'est livré lui-même pour elle,
et il va se la présenter à lui-même, glorieuse.
Mais en attendant cette chaîne,
elle se trouve dans la rivière,
dans le livre de la rivière,
dont la base au fond de la rivière,
elle n'est plus visible.
Elle fut visible au commencement,
lorsque les assemblées étaient en paix,
lorsque l'Esprit de Dieu ferait puissance,
renversant les forteresses,
comme Paul le dit dans l'Écriture aux Corinthiens.
Hélas, j'ai contre toi
que tu as abandonné ton premier amour.
Nous n'avons pas fait beaucoup de chemin
avant que l'ennemi ait réussi
à altérer, à dégrader
ce que le Seigneur nous avait confié.
Mais, au-delà de toutes les ruines,
de toutes les infidélités,
et nos races sont assemblées,
perles de scie remplies,
telles que son cœur la désire.
Les douze fins sont sur la table.
Quoi qu'il en soit de la dispersion d'Israël,
Dieu considère Israël tout entier,
formé de douze tribus,
et lui rétablira l'autel, malgré le rime,
l'autel de douze pierres.
Au temps des races,
l'autel sera rétabli sur son emplacement,
et la faute parlera de nos douze tribus.
Alors que nous y sommes perdus
depuis l'intervention du roi d'Assyrie,
perdus, que personne sans doute ne pourrait retrouver,
mais Dieu maintient,
Dieu nous montre que cette unité
est maintenue par lui,
par les douze fins sur la table
qui comportent un couronnement d'or,
tout autour,
pour que les fins soient là, bien établies.
Nous avons à maintenir cette vérité.
Après là, c'est la table des fins de proposition
qu'il fallait porter dans le désert.
Mais nous n'avons plus le gras de bleu
autour de la table.
Nous avons une couverture de peau de tesson.
Car nous sommes au désert,
et le tesson, animal principe,
qui prouve sa sécurité dans la fuite,
est un enseignement pour nous,
car nous avons à marcher soigneusement,
quand on garde l'ennemi rôde autour de nous,
cherchant qu'il pourra dévorer.
Et le tesson nous donne l'enseignement,
si précieux, si sanitaire,
que notre salut est dans la fuite,
comme ce petit animal.
Et nous avons à maintenir cette vérité
dans un sentiment de dépendance,
car il n'y a rien de nous.
La peau de tesson est un enseignement
extrêmement important à cet égard.
Ensuite, pour arriver bientôt
à la fin de cet entretien,
nous avons le chandelier.
Le chandelier aux sept bandes
qu'il fallait porter sur une perche.
Chandelier aux images de Christ
en association avec les siens
par lesquels la lumière répandue.
Nous étions ténèbres.
D'abord, le chandelier,
comme on l'a souvent vu,
comme on l'a souvent dit,
s'écrit lui-même.
Il était fait d'un seul bloc d'or,
d'un talon, 49,5 kg.
Il était battu au marteau.
Ce ne sont pas des pièces
rapportées sur la tige centrale.
Tout provient du même bloc d'or
pour nous montrer la parfaite unité du travail,
la bonté du travail,
la difficulté du travail.
Le chandelier battu au marteau,
les souffrances qui furent sa part,
avec le résultat que toutes les branches
tiraient de lui.
Ceux qui étaient ténèbres autrefois,
maintenant,
celui qui est une actrice
et d'un seul esprit avec lui,
peuvent répandre sa lumière.
Et Paul souhaite que nous soyons tous
des luminaires pour Christ dans ce monde.
Ce chandelier,
l'image de Christ,
en association avec Christian,
autre figure si saisissante
et si importante
et en même temps,
si consolante pour le cœur,
devait-elle se porter sur une terre ?
On le voyait certainement de loin.
Son poisse, en toute nécessité,
que l'on le porte sur une terre.
Et quel témoignage nous avons à rendre
au fait que nous sommes une actrice.
Maintenant,
la lumière est répandue par Christian.
La lumière,
la lumière céleste.
Lui, il fut la lumière du monde,
dans tout son éclat.
Je suis la lumière du monde.
Et nous sommes maintenant lumière,
grand Seigneur.
De quelle manière rendons-nous
ce témoignage dans ce monde ?
Au mieux des ténèbres qui nous entourent.
Fallait donc porter ce chandelier
sur une perche.
Rendre ce témoignage
que celui qui est venu dans ce monde pour la lumière,
par la vie qu'il nous a donnée,
nous rend maintenant capables
d'être le lumière dans le Seigneur.
Ensuite, il y avait l'autel d'or.
L'autel du cul.
Et enfin, l'autel d'airain
sur lequel les sacrifices étaient offerts, brûlés.
À cet égard,
quelle belle image nous avons,
pour l'abréger un peu,
quelle belle image nous avons
dans le drap de peau qui recouvre cet autel.
Il fallait d'abord ramasser l'essence,
le résidu de la combustion,
de la sainte victime.
Non pas à demi-cuit,
ni cuit dans l'eau,
mais replié au feu, disait l'éternel.
L'intérieur, la tête et les jambes.
L'autel.
L'autel du calvaire.
Et c'est au dernier avec les deux amis
que nous avions l'occasion de rappeler
la capacité de l'autel
dans le second livre des chroniques.
En relation avec la maison d'éternel,
vaincudée de largeur,
la mesure divine,
rappelée par les chérubins
qui étendent leurs ailes,
vaincudées comme la mesure de l'oracle
du lieu très saint de la maison d'éternel.
Les chérubins qui requièrent,
selon la justice,
la sainteté inflexible divine.
Mais, quel bonheur pour nous !
L'autel, tout aussitôt,
nous est donné dans ses dimensions
vaincudées de longueur,
vaincudées de largeur,
capables de soutenir
le poids du jugement de Dieu
qui tombe sur lui de tout son poids.
Dieu, décroyant ainsi
tout ce qui n'est en lui-même,
en sainteté et en justice,
maintenant glorifié,
parfaitement glorifié,
infiniment plus glorifié
que par une humanité restée
dans l'innocence,
dit un de nos chers devanciers,
qui peut maintenant bénir l'homme.
Mais celui qui a souffert,
qui a été pendu au bois,
crucifié,
qui n'a pas caché sa face
à nos corbes et aux crachats
et donné ses jours
à ceux qui arrachaient le poil,
celui que l'on a méprisé,
Dieu l'a haut exalté,
Dieu l'a glorifié.
Le drapeau nous parle
de sa gloire comme fils de l'homme,
car Dieu lui a donné tout le jugement
parce qu'il est le fils de l'homme,
parce qu'il a souffert,
parce qu'il est mort.
Il a le droit de juger tous les hommes.
Il est établi juge des vivants et des morts.
Et si ses droits ont été méprisés,
foulés en terre,
le peuple nous dit de la manière la plus formelle,
il faut qu'il règne.
Et l'homme de douleur,
l'homme du calvaire,
demain, c'est lui qui pose ses pieds
sur la montagne des oliviers.
Elle se fend par le milieu.
Il fait entendre sa voix,
rugissant comme le lion,
pour réclamer ses droits.
Et tout seul le verra
et ceux qui l'ont percé.
Le drapeau nous parle
de sa gloire comme fils de l'homme.
Dieu a établi toutes choses sous ses pieds.
Beau ciel comme sur la terre.
Il l'a glorifié
et ce chef sur toutes choses,
celui qui est chef sur toutes choses,
a reçu la récompense suprême.
Dieu l'a donné, ce chef sur toutes choses,
à l'assemblée,
qui est son corps,
la plénitude,
le complément
de celui qui remplit tout et en tous.
Et il règnera avec sa chère église.
Un dernier mot,
cher Jean-Louis,
nous nous excusons d'être un peu longs.
Il y avait un danger
dans le chef des fils de Pilate.
Et l'Éternel dit
« Faites ceci
afin que les fils de Pilate ne meurent pas. »
Et tout de même, dans le chapitre 18,
c'est notre mémoire fidèle,
« Et vous, avec eux, Dieu le Seigneur,
de quoi nous parle-t-on ? »
Ce danger, cet enreptissement,
c'est solennel.
« Faites ceci
afin que les fils de Pilate ne meurent pas. »
En s'approchant pour voir un instant.
Toute petite parenthèse d'arrivée de la note.
Voir un instant,
c'est-à-dire le temps d'avaler.
On va porter notre pensée
sur ce moment qui est proche.
Comme le dit Barthold,
« En un instant,
en un clin d'œil,
nous allons nous trouver avec le Seigneur. »
Un instant.
Notre chapitre d'une dénonce,
c'est-à-dire le temps d'avaler.
Et nous sommes avec le Seigneur.
« En un instant,
le temps d'avaler,
et nous voilà avec le Seigneur.
Et nous serons toujours avec le Seigneur. »
Mais jusque-là, nous avons à veiller.
Nous avons à...
Nous confions, oui, sans doute,
à rechercher la grâce dont nous avons besoin
comme fils de théâtre,
pour être en danger.
Celui de mourir,
si...
il s'emparait du service des fils d'Aaron.
S'ils entraient dans le lieu saint
pour voir un instant,
pour se substituer aux fils d'Aaron,
Dieu était formel.
La mort devait intervenir.
Quelle sanction !
Et de même,
les fils d'Aaron,
se laissant prendre leur charge,
allaient mourir aussi.
Eh bien, chers amis,
ne pouvons-nous pas dire,
tout en...
tout en prenant notre part
à cette orgueille générale,
n'est-ce pas ce que le Seigneur dit
à une des sept églises,
dans l'Apocalypse,
après un si beau commencement,
après un réveil si éclatant,
« Le Seigneur va dire,
tu as le nom de rire,
mais tu es mort. »
La mort est intervenue
là où la vie de Dieu
avait à se développer,
où le Seigneur avait l'intention
de développer
cette puissance de la vie nouvelle
qu'il nous a donnée
par les fruits du Saint-Esprit.
Donc le laisser aller,
le faiblissement
de nos affections pour le Seigneur
a entraîné quoi ?
A entraîné la nécessité
des fils de théâtre
de s'emparer de la sacrification,
de s'établir,
d'introduire le clergé.
Et la mort est intervenue.
Alors au milieu de cette ruine,
sans remède,
par la grâce de Dieu,
le Seigneur a révélé
nos chers devanciers
pour maintenir
un témoignage rendu
à la pleine suffisance de son nom,
à la présence et l'opération
du Saint-Esprit au milieu de nous,
vérité des plus précieuses,
vérité de son prix
qui nous a été confiée.
Que le Seigneur nous accorde
de le retenir,
de l'apprécier d'abord,
de le retenir
avec la grâce qu'il accorde
et qu'il désire donner à chacun de nous.
Au chapitre 21,
Zodui,
au chapitre 21.
Et les chefs des Pères et des Huit,
ça procède de l'éhazard du sacrificateur.
Et de Zodui qu'ils donnent
às les chefs des Pères,
les Pédes et les Huit d'Israël
et leur parlaire,
parce qu'ils n'ont pas envie
qu'un an,
disons,
qu'un an,
qu'un an,
qu'un an,
parce qu'ils n'ont pas envie
qu'un an,
disons,
d'éternel à commander par Moïse
pour nous donner un régime pour l'humanité
et leur banlieue pour nos rêves.
Et les Pèdes d'Israël
donnèrent leur héritage aux Pédes
selon le commandement éternel
séductif
avec leur banlieue.
Et le lot échut aux familles théatiques.
Verset 9
Et ils donnèrent
de la tribu des Pèdes de Juda
et de la tribu des Pèdes
pour les fils de Simeon,
Sélix,
qu'on n'en a pas leur nom
et qui furent pour les fils d'Aaron
des familles théatiques
d'entre les fils de Lévi.
Car le premier lot
fut pour eux.
Ils leur donnant
Kyriath Arba.
Arba était père d'Anaxès
et ils vont
dans la montagne de Couda
et s'avangirent contre elle.
Mais la campagne de Nabil
et ses amours
ils les donnaient à Cacalème
qui les fait primer
pour sa possession.
Et ils donnèrent
aux fils d'Aaron
le sanctificateur
la ville de refuge
pour l'homicide
et s'avangurent
et les autres villes.
Nous arrêtons là pour l'instant.
Pensez-vous, chers amis,
que nous aurons intérêt
à poursuivre
cette intéressante
histoire de Lévi.
Dieu
avait changé
le cœur de Lévi
et il donne à ses fils
des privilèges extraordinaires.
De fils de Polère
les voilà devenus
des bien-aimés de l'éternel.
Comme nous tous
qui avons mis notre confiance
dans l'œuvre de la croix
enfants de Colère
fils de la désobéissance
nous voilà devenus
de bien-aimés enfants de Dieu.
Voyez de quel amour
le Père
nous a fait donc
et introduit
dans les privilèges
les plus élevés.
Lévi a trois fils
Gershon, Kéat, Mérari.
Kéat
aura quatre fils
dont Amran
qui sera le père
d'Aran, de Moïse et d'Aran
comme nous l'avons vu.
Dans cette branche
des fils de Kéat
Aran
est tiré
pour être
le père
de la famille sacerdotale.
Nous avons vu ensemble
faiblement sans doute
que nous étions tous des Lévites
et à la fois des fils d'Aran
voient Aran
mis à part pour être très saint
type de Christ
notre grand souverain
sacrificateur
à la suite duquel
nous entrons
dans les lieux saints
le voile ayant été déchiré
par un chemin nouveau
vivant
par le sang du Christ
le sang presqueux
qui a coulé à la croix
la vie donnée
Dieu ayant été glorifié
et tous nos péchés pardonnés.
Les fils de Kéat
les Lévites
sont donnés en pures dons
à Aran et à ses fils
comme les dons
et les charges dans l'assemblée
en but du bien
de l'édification de l'assemblée
et de la gloire du Seigneur.
Ils étaient engagés
d'une manière particulière
personnellement
en portant sur l'épaule
et ils avaient apporté
nous l'avons vu
les ustensiles les plus précieux
l'arc
type de Christ
comme nous l'avons essayé
de le voir ensemble
la table des fins de proposition
Christ dans son association
avec les siens
car nous follons d'un seul corps
dont la tête
est lui-même
Christ comme homme
glorifié au ciel
nous avons vu
le chandelier
alimenté par l'huile
la lumière produite par l'énergie
du Saint-Esprit
dans les siens
éclairant le chandelier lui-même
la tige centrale
le Saint-Esprit qui glorifie
le Seigneur descendu dans ce monde
dans ce but
celui-là me glorifiera
l'autel de l'encens
avons nous vu
l'image du culte
lui présenter devant Dieu
lui présenter toutes les gloires de son Fils
lorsque nous sommes réunis
pour adorer le Père
en esprit et en vérité
raconter au Père
toute la gloire de son Fils
et enfin
l'autel gérant
l'image qui saisissant de la croix
autel recouvert
d'un gras de peau
qui annonce les gloires
futures
nous avons manifesté de celui
qui a été humilié, abaissé
qui est descendu dans la mort
mais que Dieu a glorifié
et a fait asseoir
sur son propre trône
enfin nous avons vu
le danger que l'éternel
signale
à l'égard d'une confusion
possible ou d'une substitution
possible
des rôles que chacun
devait remplir
la carence, la faiblesse
ou la méconnaissance des privilèges
de la famille d'Aaron
entraîne
à entraîner
leur substitution par des
lévites, nous avons vu
qu'il y avait là une image
hélas bientôt survenue dans l'église
de l'introduction du clergé
le formalisme
la routine
coup de mort
à toute spiritualité
et l'éternel disait
prenez garde que vous ne mourriez
les uns et les autres
en
abandonnant vos privilèges
et en les remplaçant par ce qui est
purement l'activité
humaine car Dieu ne reconnait
au milieu des siens
que l'activité de son esprit
le tout
sous la direction d'un homme
remarquable
et le hasard, secours de Dieu
car nous sommes secourus
par celui qui
nous représente devant Dieu
paraissant devant la face de Dieu
pour nous et obtenant
tout le secours dont nous avons besoin
dans quelque aspect que ce soit
de notre vie ou de notre
activité
à remplir pour le Seigneur
et le hasard, secours de Dieu
c'est lui qui avait la surveillance
de tout le service
du tabernacle
avait la surveillance de l'huile
et nous ne sommes pas sans ressources
nous ne sommes pas sans direction
nous avons quelqu'un qui est bien plus grand
qu'il est hasard, bien que portant
un nom remarquable, prince des princes
mais celui qui est
notre grand souverain
sacrificateur et roi des rois
seigneur des seigneurs
en ouvrant le livre
de Josué, nous continuons
cette histoire intéressante de l'élite
et nous faisons un pont en avant
d'une quarantaine
d'années
l'arche qu'il portait
sur l'épaule
est entrée dans les eaux du
Jourdain
images comme nous le savons
souvent rappelées de la mort
du Seigneur
à laquelle nous avons
parlé
dans la mer rouge
à la mer rouge
nous avons la rédemption basse puissante
Dieu prend contre lui
tous nos ennemis
et il se trouve défait par la mort
Dieu délivre de la mort
dans le Jourdain
autre image
autre tableau de la mort du Seigneur
c'est notre mort
c'est une image
qui nous montre notre mort avec Christ
non plus Christ mourant pour nous
mais nous même
prenant fin
dans la mort
comme en Adam
pour être introduit
en Canaan
dans les lieux célestes
l'arche où se déroule
notre combat selon Ephésiens 6
le Jourdain
image de la mort
par laquelle Dieu nous délivre
non plus de nos ennemis mais
de notre état, de ce que nous sommes
en nous même, du vieil homme
de la chair en nous
introduit dans la terre de Canaan
la promesse de Dieu s'est accomplie
il désire habiter au milieu
de son peuple
il le fait dans le tabernacle
et il s'agit maintenant de partager
le pays
entre les tribus d'Israël
pour que chacun ait sa possession
nous avons remarqué dans la lecture
ce qui était dit plusieurs fois
par Moïse
les Lévites n'avaient aucune possession
d'Israël
l'Éternel dit
je suis leur héritage
leur possession
je serai le seul objet
de leur activité
quelle belle image pour nous
chers amis
car nous avons été sauvés
pour servir le Seigneur
afin que ceux qui vivent
ne vivent plus pour eux-mêmes
mais pour Lui
qui pour chacun de nous
qui avons le bonheur de le connaître
est mort et a été ressuscité
ils disent les Lévites
ne s'embarrasser donc pas
des choses de ce monde
qui marche pour nous
du fait que nous sommes étrangers
forains ici-bas
Dieu ne nous a rien donné dans ce monde
un de nos chers devant-suis
nous l'avons quelquefois rappelé
il disait
quel dommage
il s'agit de William Kelly
quel dommage monsieur Kelly
qu'un homme aussi brillant que vous
se soit laissé enfermé
dans cette espèce de
congrégation trop luce et étroite
vous n'auriez pu briller
dans ce monde
votre monde peut avoir beaucoup d'éclats
et nous connaissons sa réponse
mais de quel monde
me parlez-vous
car il y en a deux
il y a le monde habité à venir
dont nous parlons, dit Napoleon
le monde dans lequel nous vivons est encore aux mains
de M. Frater
nous n'avons aucune part, aucune fonction
aucun droit dans ce monde
Dieu ne nous a rien donné
ils ne sont pas du monde
comme moi je ne suis pas du monde
mais il aura ce royaume
il aura dans son royaume l'administration du monde
la domination sur celui-ci
car il dit à Pilate
mon royaume n'est pas de ce monde
mais il le sera bientôt
je sens que les Lévites
sont une image du croyant
qui n'a rien dans ce monde
le Seigneur est ma part
mon salut, mon revase
il répond pleinement
à tous mes besoins
rien d'autre que lui
ne peut me rendre parfaitement heureux
les fils de Lévites
doivent donc recevoir une part
au milieu de l'héritage de leurs frères
doivent éviter certaines villes
que des tribus doivent leur octroyer
et n'est-ce pas d'intéressant
de voir tout d'abord qu'il s'agit des Créatites
de cette famille si privilégiée
le lot échut aux familles
des Créatites
on jette le sort dans l'Iran
et le sort est de part éternelle
et quelle est la portion
qu'il va donner
aux fils de Créatites
ils donnèrent
de la tribu des fils de Judas
de la tribu royale
le cœur même de cette tribu
Héberon
et il est dit pour les fils d'Argon
des familles des Créatites
car le premier lot fut pour eux
c'est-à-dire
Héberon dans la montagne de Judas
quelle association
de pensées heureuses
le premier lot
en quelque sorte le meilleur des lots
est attribué
aux Créatites
pour les fils d'Argon
image des croyants
en association avec Christ
quel est le premier lot que se reçoit
le premier lot
le meilleur lot
nous devons retourner
loin en arrière
et suivre les traces
du père de la foi
un homme qui pouvait dire
car il marchait avec Dieu
et Dieu n'a pas honte de dire
il est mon ami
il pouvait dire je suis étranger
parmi vous et j'ai besoin
d'un champ
pour
y enterrer ma compagne
pouvez-vous me donner
au bout d'un champ
qui appartient au fils de Héberon
une caverne
pour y enterrer mon mort
voilà tout ce qu'Abraham possédait
dans la terre qui lui appartenait
mais il n'était qu'un étranger
en attendant l'accomplissement des promesses
n'ayant que sa tente et son autel
tu es un prince de Dieu
au milieu de nous le lui répondons
car Abraham était conséquent
avec la profession de sa foi
et il reçoit
au bout d'un champ
cette caverne de Machpelah
pour y enterrer son mort
c'est Héberon
là où
Isaac et
ses fils seront enterrés
où Jacob avant de retirer
ses pieds dans le lit
fera promettre solennellement
qu'il sera enterré
dans cette caverne qui a été acquise
à prix d'argent par son grand-père Abraham
pourquoi ?
parce qu'Abraham
a mis sa confiance
dans le Dieu
qui ressuscite les morts
qui appelle les choses
qui ne sont point comme si elles étaient
et au-delà de toute la scène présente
il porte ses regards
sur la cité qui a les fondements
dont Dieu
est l'architecte et le créateur
et il entend, il souhaite
être enterré là
dans la terre
que Dieu lui a promise
en vue de la résurrection
pour jouir
de tous les résultats
de leur accompli
de tous les résultats
du sacrifice
du vrai Isaac
car nous avons souvent
remarqué dans cette lecture
Abraham ne dit pas son fils
son fils
Dieu nous pourvoira de l'agneau
mais il dit Dieu
se pourvoira de l'agneau
pour nos causes
la vue d'Abraham se porte bien plus loin
au moment où nous sommes entrés dans la terre de la promesse
un homme âgé
de 85 ans
d'une énergie peu ordinaire
ceux qui sont plantés dans la maison
d'Eternel
portent des fruits encore dans la blanche vieillesse
il est vert loyant, plein de vigueur
s'est calèbre et il peut dire
je suis encore fort
aujourd'hui à l'âge de 85 ans
comme il y a 45 ans
lorsque Moïse nous a envoyés
reconnaître le pays
et tu sais, dis-la Josué
que j'ai suivi pleinement l'Eternel
quel homme admirable
homme de foi
au mépris de sa vie
et contre tous ses compagnons
qui décluent le pays
comme voyant des géants qui les ont effrayés
lui tient ferme
comme voyant celui qui est invisible
car il a placé l'Eternel
entre les géants
et lui-même
et en se tapouillant sur l'Eternel
sur les promesses qu'il a faites
il peut dire
nous sommes bien capables de nous mesurer avec ces géants
car l'Eternel est pour nous
et si Dieu est pour nous
qui sera contre nous
Le temps est venu maintenant
de donner à Calep
la part qui lui revient dans le pays
que va-t-il demander à Josué ?
Est-ce colle
d'où l'on a tiré
une grâce si remarquable ? Non
Calep a bien compris
que ce n'est pas encore le temps du repos
chacun peut croire sous sa vie
et sous son figuier
qu'il faut encore combattre
Dans l'hébreu, à Kiriat Arba
il y a un géant
redoutable et ses trois fils
et Calep
à son âge dira bien
donne-moi Kiriat Arba
donne-moi Hébreu pour mon héritage
cette montagne
c'est celle-là que je désire que je combatte
Quelqu'un qui voit les choses
selon l'homme aurait pu répondre à Calep
mais tu manques de sens
quel prix peut avoir sur toi
un bout de champ avec une caverne
où il n'y a que des sépulcres
mais il a compris
que la mort
serait vaincue un jour
et qu'en attendant pour le croyant
elle est sa délivrance
car elle est la fin
de la tyrannie du moi
elle est la fin du vieil homme
dont nous allons essayer de le voir
par l'image du Jourdain
et cet homme
va recevoir Hébreu
et ensuite les Kiriatites
vont eux-mêmes posséder
Hébreu, la ville elle-même
tandis que
les Hameaux seront laissés
seront donnés, maintenus à Calep
mais arrêtons-nous encore un instant
il y a donc
Anna qui sait trois fils
avec lesquels il faut se mesurer
mais notre ennemi
est un ennemi vaincu
la victoire
la victoire qui a vaincu le monde
c'est notre foi
notre foi en un Christ
vivant
victorieux
quels sont les trois fils d'Anna
qui est Anna
qu'il faut vaincre
et ses trois fils
Anna évidemment
type du géant
redoutable
qui tient l'homme captif
l'homme fort
à l'égard duquel les Haïts écriaient
mais l'homme qui est justement captif
sera-t-il un jour délivré
pourrons-nous un jour
nous soustraire à ce sort
que personne ne peut briser
impuissant que nous sommes
sous cette main qui nous tient captifs
celui qui détient
le pouvoir de la mort
mais s'il en survient
un plus fort que lui
l'ennemi est une vainque
et l'homme fort apparu dans ce monde
comme abaissé
humilié
crucifié en faiblesse
en infirmité
mais dans sa défaite apparent
remportant
la victoire extraordinaire
incomparable
sur toute la puissance du diable
mettons fin à celui-ci
à son pouvoir
il fallait pas saisir quelque chose de cela
c'est indistinct ce monde que ce soit
et quels sont les trois fils de cette anarche
n'est-ce pas Jean qui nous les nomme
les trinques
ce qui anime le monde
le principe même du monde
le ressort moral du monde
le trinque ce monde
c'est-à-dire
la convoitise des yeux
la convoitise de la chair
l'orgueil de la vie
ne sont-ce pas là les trois fils du géant
qui tiennent l'homme captif
et avec lesquels
il paraît peut se meurdurer
je m'appelle Josué
en présence d'un homme aussi remarquable
Josué le regard démerveillé
et Josué le béni
Josué type de Christ
béni Caleb
comme nous le sommes dans le chemin de la foi
Seigneur se plaisante à bénir
ceux qui marchent ainsi
dans le chemin qu'il nous a tracés
chefs et consommateurs de la foi
ce premier lot est beau
et donc attribué aux fils de théâtres
aux fils d'Aaron
aux théatiques aux fils d'Aaron
Christ a aimé l'assemblée
et s'est livré lui-même pour elle
n'est-ce pas notre lot bien aimé
de nous souvenir
que nous avons été amenés à Dieu
au prix de sa mort sanglante
que nous rappelons
que nous avons le bonheur et le privilège
de rappeler ensemble
dans sa présence chaque dimanche matin
n'est-ce pas notre premier lot
et bon
la mort de Christ
sa mort sanglante sur la croix
lui le saint et le juste
afin de nous amener à Dieu
le premier lot que trouver
pour la famille d'Aaron
image de l'assemblée
et cette ville des branches aux remarquables
devient une ville de refuge
que d'enseignement nous pourrions recueillir
de ce qui est là devant nous
la ville de refuge
comment Pierre parlera-t-il aux juifs
ne parlera-t-il pas en quelque sorte
de la ville de refuge
qui est ouverte en faveur de ceux
qui sont considérés
par la grâce de notre Seigneur Jésus Christ
et en vertu
de la première auguste
parole de la
de la première des augustes paroles de la croix
Pierre par l'honneur
il ne sable ce qu'il compte
en vertu de cette intercession du Seigneur
Pierre pourra leur dire
je sais que vous l'avez fait par ignorance
la grâce de Dieu consomptant
a réduit le crime qu'ils ont commis
à leur ignorance
et en ouvrant la porte de la ville de refuge
sauvez-vous de cette génération perverse
car la colère est près de tomber sur elle
le vengeur du sang est en route
Titus, quelques années plus tard
serait en chemin
pour régler le compte de ceux
qui auraient bouché leurs oreilles
fermé leur cœur aux appels de la grâce
et le sac de Jérusalem
chacun de nous
en a vu quelque chose
dans ces jours-là
demeure
un témoignage saisissant
impressionnant, solennel
de ce qu'est le gouvernement de Dieu
de ce qu'est sa colère
quand nous l'obligeons
à employer la verge
et à donner, allumer sa colère
mais ceux qui ont été
qui ont pu leur cœur
saisi de contomption
sont entrés dans la ville de refuge
et tous ici, chers amis
sommes-nous entrés
enfants, chers enfants
de parents chrétiens
vous êtes-vous réfugiés
vous-mêmes personnellement
car la croix est quelque chose
d'intime, de personnel
vous êtes-vous enfouis vous-mêmes
pour entrer dans la ville de refuge
à l'abri du sang de la croix
et tous ceux
qui furent sauvés
qui ont entendu
l'appel de Pierre
par la repentance
et par la croix
sont entrés dans l'assemblée
ajoutés au Seigneur
ajoutés à l'assemblée
car ce n'est pas assez
disons-le en passant
pour Dieu
de sauver une âme
si important que cela soit
mais la pensée de Dieu
et le travail incessant
du Saint-Esprit
c'est d'introduire une âme
tirée du monde
de la carrière du monde
dans l'assemblée
dans la connaissance
et la jouissance de sa position
en Christ comme une pierre vivante
comme un membre vivant
du corps de Christ
non pas
comme elle a son affaire
aujourd'hui
prêcher l'évangile
et puis laisser une âme désemparée
au sein de cette ruine
sans savoir quel chemin prendre
ce n'est pas le travail
de l'Esprit de Dieu
il n'a de cesse qu'après avoir
introduit cette âme
dans l'assemblée
dans la vie virtuelle
dans la guisance de ses privilèges
en association avec Christ
entré déjà dans les lieux célestes
assis dans les lieux célestes avec lui
le prier d'eau
fut pour eux
Héberon
et la ville d'Orpheus
que d'enseignement
mais nous ne pouvons pas tout nous attarder
le sujet est vaste
et nous aimerions faire maintenant
un bond d'avance en histoire du peuple
un bon conséquent de plusieurs siècles
de 4 siècles environ
et si vous voulez bien
nous aurions la parole de Dieu
Nous ouvrirons
le premier livre des Chroniques
au chapitre 23
Et David était
vieux et rassasié de Joux
et il établit Salomon son fils
roi sur Israël
et il assembla tous les chefs d'Israël
et les sacrificateurs
et les bénédictes
et on dénombra les bénédictes depuis
l'âge de 30 ans et au-dessus
et leur nombre par tête par an
fut de 38 000
retenons ce chiffre
il y en eut d'entre eux
24 000 pour diriger l'or de la maison
des pervers
et 6 000 attendants et juges
et 4 000 propriétaires
et 4 000 qui jouaient des cadenas
avec les instruments que j'ai fait
dit David
pour louer
et David qu'elle distribuait en classe
après les fils de Névi, Gerson, Théas et Miran
Au verset 24
Juge sont là les fils de Névi selon leur maison de père
les chefs des pères
selon qu'ils furent repensés
en comptant les dons par terre
s'ils faisaient l'heure du servi
de la maison d'Éternel depuis l'âge de 20 ans
et au-dessus
car David dit que l'Éternel de Dieu d'Israël
c'est celui qui repousse son peuple
et il demeure à Jérusalem pour toujours
et les Névites aussi
n'auront plus à porter le tabernacle
ni tous les ustensiles pour son service
car c'est selon les dernières paroles de David
que ce qui n'était que le dénombrement
des fils de Névi
depuis l'âge de 20 ans et au-dessus
car leur place était à côté des fils d'Arrent
pour le service
de la maison d'Éternel
pour veiller sur l'épargne et les chambres
et sur la purification
de toutes les choses saines
et sur l'heure du service
de la maison de Dieu pour les pains
à placer en rangée
et la fleur de farine pour le gâteau
et les galettes sans le vin
et ce qui se couche sur la plaque
et ce qui est mêlé avec de l'huile
et toutes les mesures de capacité et de longueur
et pour se tenir
là chaque matin
afin de célébrer
le nouvel Éternel
et le même chaque soir
pour être de service pour tous les holocaustes
qui ont fait un Éternel
aux sabbats, aux nouvelles lunes,
aux jours solennels
Verset 32
Et ils battaient à leur charge
à l'égard de la bande d'assignation
et à leur charge à l'égard du Dieu Saint
et à leur charge à l'égard des filles d'Arrent
leurs frères pour le service
de la maison d'Éternel
Chapitre 24
Verset 31
Et eux aussi comme leurs frères
les fils d'Arrent qui rêvent au centre
devant le roi David et Sadoc et Akimbelek
et les chefs des pères, les sacrificateurs
et les dénuits, les chefs des pères
comme le plus petit
d'entre leurs frères
Verset 25
Et ils jetèrent les sorts
pour leur charge
le petit comme le grand
l'homme expert
avec le disciple
Allez, tournez là quelques instants
et je vais vous lire
David
après tous ses combats
toutes ses luttes
toutes ses souffrances
aurait aimé
construire
bâtir
la maison d'Éternel
mais cela sera plutôt
attribué
à Salomon
Jésidia le pacifiste
Le vœu de David était de bâtir
une maison de repos
pour l'âge de l'Éternel
Car le royaume
vient d'être
établi dans la personne
de David
et nous avons remarqué que la couronne
a été placée sur sa tête
précisément à Hébron
car la croix et la gloire
se touchent
Où faut-il monter pour recevoir
la couronne ?
Demande David bien noblement
à l'Éternel
lorsque le chemin du Pôle s'ouvre devant lui
après avoir pleuré
sur la ruine d'Israël battu devant
ses ennemis
Monte à Hébron
C'est à Hébron
au lieu des sépulcres
au lieu de la mort
que l'Éternel
place la couronne sur David
Mais il faut du type pour nous parler de lui
David dans sa souffrance
Salomon dans sa gloire
Et c'est lui, c'est en relation
avec la gloire
que la maison sera bâtie
mais préparée par David
Et quand on lit
dans le premier livre des chroniques
et nous avons tort de ne pas lire
lorsqu'il y a des généalogies
car il y a des termes introduits
dans ces généalogies
Toute écriture est inspirée
Il n'y a aucune partie
de la parole de Dieu
que nous avons à considérer légèrement
Quand on lit dans ce premier livre des chroniques
chapitre 22, c'est le premier mois la fidèle
on demeure émerveillé
devant les sommes
incalculables
Il dépasse l'entourement humain
que David a accumulé
au jour de sa souffrance
en or et en argent
en vue de construire le temps
Il n'y a pour saisir cela que
le trône d'Apocalypse 5
l'agneau immolé
tant de souffrance
unis à trop de gloire
au milieu du trône
lorsque nous le verrons
l'honneur d'avoir la puissance
tout lui est donné
j'ai préparé dans mon affliction
pour la maison d'Eternel
des choses
extraordinaires
maintenant
il n'y a pas d'interruption
entre le règne de David et celui de Salomon
ils s'asseillent sur le même trône
ils montent sur la même mule
pour nous montrer
que celui qui descend
dans la partie intérieure de la terre
qui a été crucifié
qui a été humilié sur la terre
est le même que celui qui occupe maintenant
la place suprême de gloire
et on fait le nombre
maintenant
sous la direction de David
de tous les lévites
et David va les distribuer dans leur place
et une partie d'entre eux
d'une manière particulière
sera affectée au culte de l'Eternel
on chante dans la maison d'Eternel
car on n'a pas chanté
dans le tabernacle
lorsque l'Eternel allait de demeure en demeure
avec son peuple à travers le désert
mais maintenant
nous aurons que cette occasion de le voir
quand l'âge va entrer dans la maison
de son repos
et une partie
extraordinaire, impressionnante
va résonner
sous les bouts du temps
lorsque l'âge
entre dans le sein des seins
dans le lieu de son repos
Lève-toi Eternel
pour entrer dans ton repos
et lorsque tous ensemble
ils chantent ce cantique
célébrez l'Eternel
car sa bonté demeure à toujours
la louange millénaire
la louange du royaume millénaire
qu'elle ait anticipé
au temps de Salomon
sans doute
cela ne dure la guerre
mais quel beau commencement
quelle belle illustration de la joie à venir
lorsqu'il sera
roi sur son trône à Jérusalem
réunissant à la fois
la fonction
de la sacrificature
et de la royauté
la couronne sur sa tête
roi et sacrificateur
selon l'ordre de Melchizedek
nous en avons une image
une anticipation
au jour glorieux de Salomon
et une chance dans le temps
avec les instruments
que j'ai faits
dit David
les instruments à vent
les instruments à cordes
à percussions ont été faits
inventés par David
dans quel temps cher ami
quel encouragement pour nous
dans le temps où David
est un homme
jouissant du pouvoir de la gloire
sur son trône
c'est la partie la plus décevant
de la vie de David
mais un David pourchassé
un David souffrant
un David connaissant
allant
d'entre en entre
au désert de refuge en refuge
pourchassé
quel arc à partir de laquelle
et sur laquelle
Dieu va tirer
des mélodies
aux résonances insurpassables
au jour
de sa souffrance
quand est-ce que le psaume 45
si beau, si élevé
a été composé
au jour où ils connaîtront
la détresse de la grande tribulation
et qu'ils diront chaque jour
jusqu'à quand au éternel
pressés qu'ils seront
opprimés
qu'ils seront
plongés dans une chambre
des circonstances et difficultés
à n'une autre comparable
c'est alors
qu'ils forgent
qu'ils
sont en train de rédiger
de composer ce cantique sublime
j'ai composé
ce chant pour le roi
mon cœur
bouillant d'une bonne parole
non pas dans la prospérité
au temps de David mais au temps
de sa souffrance
dans celles et villes qui sont maintenant
distribuées par classe
à partir du moment
où Salomon est sur le trône
nous ne pouvons nous pas voir
en images les dons qu'il a donnés
et en termes d'écapture
la captivité tout entière
il a donné des dons aux hommes
et en voici une petite image
et chacun
à sa charge, chacun
à sa fonction, en vue
de la gloire de l'éternel
au dessus de tout et en vue
du bien des fils d'Aaron
car tout charge, tout service
si faible puisse disparaître
est donné par le Seigneur
en faveur des fils d'Aaron
de l'assemblée pour son édification
pour sa consolation
pour la gloire du Seigneur
si nous avions le temps
nous pourrions nous arrêter
sur quelques détails mais vous pouvez le faire
bien mieux que nous car dans ce chapitre
ils ont maintes et maintes choses
à faire à côté
des fils d'Aaron
pour le service de la maison d'éternel
d'abord pour veiller sur les parvis
et sur les chambres
dès le début, certains d'entre eux
étant portiers, avaient à veiller
sur les parvis et sur les chambres
et ils le faisaient toute la nuit
car la nuit est propice à la nuit
pour incendier des éléments
douteux au sein de l'assemblée
dans la maison du Dieu
et ils avaient la clé
et ils ouvraient la porte de la maison
que chaque matin, disons-nous dans ce premier livre des chroniques
première chose
à l'ange de l'assemblée
première chose
c'était de veiller sur les chambres
sur les parvis
sur la purification de toutes les choses saines
la sainteté
qui est à sa maison pour de longs jours
et nous devons cela
à la gloire de celui
qui veut bien venir au milieu de nous
et au nom duquel
et autour duquel nous nous rassemblons
sa présence est réelle
infiniment réelle
mais elle est à la fois pure
et elle ne peut être
elle ne peut être
compatible avec la présence
du mal quel qu'il soit
présence réelle
présence pure
il est le saint et le véritable
présence aussi
pleine de douceur
qui ne rencontre aucune infirmité
aucune douleur
sans y apporter
sa sympathie divine
mais
en veillant à ce qui lui est dû
à la gloire de son nom
veiller sur la purification de toutes les choses saines
sur l'épin
à placer en rangée sur la fleur de farine
ce qu'il est dans sa personne
la gloire de sa personne
à maintenir la vérité
essentielle que l'assemblée
dont l'assemblée est constituée
la colonne et le soutien
non pas qu'elle enseigne
mais elle est la colonne et le soutien
de la vérité
et tout aussitôt la pauvre introduit
l'essence même de la vérité
Dieu a été manifesté en chair
a été vu des anges
maintenir la pureté dans la maison
maintenir
la gloire de sa personne
dans l'épin, dans la fleur de farine
la sainte humanité sans tache
nous avons vécu
dans tout ce qui se cuit sur la plaque
ce qui est mêlé avec de l'huile
que dans ses manches, chers amis
nous sentons bien que nous ne touchons
que les bords d'une étoffe incomparablement belle
dans ses types et dans ses figures
comme l'esprit de Dieu aime nous parler de lui
de tout ce qu'il est
de tout ce que Dieu contemple maintenant
en son Fils
ressuscité par essence
au regard du Père pour nous
et enfin
les mesures de capacité, de longueur
ce qui est juste
ce qui est selon Dieu
sans acception de personne
sans acceptation
de présent
de la parole de Dieu
auprès de Dieu, la balance
à un fléau parfaitement horizontal
sans tenir compte
aucune considération
comme nous les introduisons si facilement
les mesures, les troisies mesures
gonflées à la garde
et au soin de l'évite
que dans ses manches
enfin être là chaque matin et chaque soir
pas seulement
mais tiens le dimanche
comme vous voyez, c'est après seulement
que nous avons dans le verset 31
et pour elle de ce service
pour les holocaustes qu'on en fait à l'éternel
au sabbat et au jour solennel
mais ils n'étaient pas au service
de Dieu dans les jours solennels
le jour du sabbat seulement
mais ils étaient au service du Seigneur
chaque matin et chaque soir
et ensuite
cela les qualifiait pour être de service
au jour du sabbat
et au jour solennel
comme cela nous sombre
comme cela nous parle à chacun
autant pour celui qui le dit
que pour celui qui n'entend
vous pensez bien que nous ne sommes pas là pour donner des leçons
mais pour nous laisser
sombrer par la parole de Dieu
l'épée, l'épée de l'esprit
vivante, opérante
aiguë à deux grands champs
et enfin
si nous avons encore quelques instants
nous aimerions
nous arrêter un instant sur
le champ dans la raison d'éternel
dans les questions dans le chapitre 25
vous pouvez le dire
et il y a là
une considération
bien consolante
pour les parents dont nous sommes
qui ont rencontré
ou rencontrent
des échecs douloureux au milieu des leurs
pour lesquels ils demeurent courbés
devant Dieu
qui était dans le temps
à la tête
de ces gens
qui entendent ce chant magnifique
impressionnant …