L'Adoration
ID
aeb009
Langue
FR
Durée totale
05:30:39
Nombre
5
Références bibliques
inconnu
Description
L'Adoration en 5 messages audio par Alfred Bouter.
Transcription automatique:
…
Dans cette série de méditations, nous voulons réfléchir ensemble sur ce sujet important pour tous les croyants, le sujet de l'adoration.
On commence par quelques passages dans ce Genre, d'abord Genre 3 et Genre 4.
J'aimerais montrer le lien entre ces deux chapitres et que nous ne pouvons pas avoir l'adoration sans la réalité des choses présentées dans Genre 3.
Je lis d'abord dans Genre 3 quelques versets et nous voyons cette rencontre entre Nicodème et le Seigneur Jésus.
Mais il y avait un homme, d'entre les pharisiens, dont le nom était Nicodème, qui était un chef des Juifs.
Celui-ci vint à lui de nuit et lui dit, Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu, car personne ne peut faire ce miracle que toi tu fais si Dieu n'est avec lui.
Jésus répondit et lui dit, En vérité, en vérité, je te dis, si quelqu'un n'est né de nouveau, il ne peut croire le royaume de Dieu.
Nicodème lui dit, Comment un homme peut-il naître quand il a vieux ? Peut-il entrer une seconde fois dans la Sainte Vraie Mère et naître ?
Jésus répondit, En vérité, en vérité, je te dis, si quelqu'un n'est né d'eau et de l'esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu.
Ce qui est né de la chair est chair et ce qui est né de l'esprit est esprit.
Ne t'étonne pas de ce que je t'ai dit, il vous faut être né de nouveau. Le vin souffle où il veut et tu en entends le sang, mais tu ne sais pas d'où il vient ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'esprit.
Nicodème répondit et lui dit, Comment ces choses peuvent-elles se faire ? Jésus répondit et lui dit, Tu es le docteur d'Israël et tu ne connais pas ces choses ? En vérité, en vérité, je te dis, nous disons ce que nous connaissons et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu.
Et vous ne recevez pas notre témoignage. Si je vous ai parlé des choses terrestres et que vous ne croyez pas, comment croirez-vous si je vous parle des choses célestes ?
Et personne n'est monté au ciel sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l'homme qui est dans le ciel.
Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, ainsi il faut que le fils de l'homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle.
Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle.
Car Dieu n'a pas envoyé son fils dans le monde afin qu'il jugeât le monde, mais afin que le monde fût sauvé par lui.
Celui qui croit en lui n'est pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du fils unique de Dieu.
Ensuite le verset 28.
Vous-même vous me rendez témoignage que j'ai dit, ce n'est pas moi qui suis le Christ, mais je suis envoyé devant lui.
Celui qui a l'épouse est l'époux, mais l'ami de l'époux qui assiste et l'entend est tout réjoui à cause de la voix de l'époux.
Cette joie donc qui est la mienne est accomplie. Il faut que lui croisse et que moi je diminue.
Celui qui vient d'en haut est au-dessus de tous. Celui qui est de la terre est de la terre et parle comme étant de la terre.
Celui qui vient du ciel est au-dessus de tous.
Ensuite dans le chapitre 4, nous voyons la rencontre que le Seigneur Jésus a eue avec la femme samaritaine.
Verset 4.
Il fallait qu'il traversât la Samarie.
Il vient donc à une ville de la Samarie nommée Sikar, près de la terre que Jacob donna à Joseph son fils.
Et il y avait là une fontaine de Jacob.
Jésus donc étant lâché du chemin, se tenait là assis sur la fontaine.
C'était environ la sixième heure.
Une femme de la Samarie vient pour cuiser de l'eau.
Jésus lui dit, donne-moi à boire, car ses disciples s'en étaient allés à la ville pour acheter des vives.
La femme samaritaine lui dit donc, comment toi qui es juif me demandes-tu à boire à moi qui suis une femme samaritaine?
Car les juifs n'ont point de relation avec les samaritains.
Jésus répondit et lui dit, si tu connaissais le don de Dieu et qui est celui qui te dit, donne-moi à boire, toi tu lui eus demandé et tu donnais de l'eau vive.
La femme lui dit, Seigneur, tu n'as rien pour cuiser et le puits est profond.
D'où as-tu donc cette eau vive?
Est-tu plus grand que notre père Jacob qui nous a donné le puits et lui-même en a bu et ses fils et son bétail?
Jésus répondit et lui dit, quiconque boit de cette eau-ci aura de nouveau soif.
Mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai moi n'aura plus soif à jamais.
Mais l'eau que je lui donnerai sera en lui une fontaine d'eau jaillissant en vie éternelle.
La femme lui dit, Seigneur, donne-moi cette eau afin que je n'ai pas soif et que je ne vienne pas ici pour cuiser.
Jésus lui dit, va, appelle ton mari et viens ici.
La femme répondit et lui dit, je n'ai pas de mari.
Jésus lui dit, tu as bien dit, je n'ai pas de mari car tu as eu cinq maris et celui que tu as maintenant n'est pas ton mari et en cela tu as dit vrai.
La femme lui dit, Seigneur, je vois que tu es un prophète.
Nos pères ont adoré sur cette montagne-ci et vous, vous dites qu'à Jérusalem est le lieu où il faut adorer.
Jésus lui dit, femme, crois-moi, l'heure vient que vous n'adorerez le Père ni sur cette montagne, ni à Jérusalem.
Vous, vous adorez, vous ne savez quoi?
Nous, nous savons ce que nous adorons, car le salut vient des juifs.
Mais, l'heure vient et elle est maintenant que les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité, car aussi le Père en cherche de tels qu'il adore.
Dieu est esprit, il faut que ceux qu'il adore, l'adore en esprit et en vérité.
L'évangile de Jean nous présente la grandeur du Seigneur Jésus.
Dieu est homme à une seule personne, un mystère insondable, la parole devenue chair.
Et ainsi, c'est remarquable que nous voyons au début du chapitre 3 que Nicodème se place au même niveau que le Seigneur Jésus.
Il dit, Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu.
Il place le Seigneur à côté de lui.
Il ne le voit pas encore plus grand que lui.
Plus tard, il a compris, évidemment.
Pourtant, l'appréciation que Nicodème avait pour le Seigneur Jésus était exceptionnelle.
Parce que, déjà à ce moment-là, au début du ministère du Seigneur Jésus, il y en avait qui n'avaient pas la même appréciation pour lui comme Nicodème.
Nous voyons aussi qu'il y a un lien avec la fin du chapitre 2, verset 24, où nous voyons que les gens venaient pour voir le miracle que le Seigneur Jésus faisait.
Jésus lui-même ne se fiait pas à eux parce qu'il connaissait tous les hommes, qu'il n'avait pas besoin que quelqu'un rende témoignage au sujet de l'homme.
Car lui-même connaissait ce qu'il était dans l'homme.
Et ainsi, le Seigneur savait aussi ce qu'il était dans le cœur de Nicodème.
Mais, évidemment, Nicodème n'avait pas compris cela encore.
Il était un pharisien.
Il représentait un ordre au milieu du peuple qui était séparé.
Le mot pharisien veut dire séparé.
Dans le temps d'Estrace, lorsqu'il y avait un résidu qui était retourné de la captivité labyrinthienne,
Estrace avait réintroduit la parole de Dieu, la loi.
On voit cela dans Estrace et aussi dans Néhémie.
Et les autres générations après Estrace avaient mis beaucoup d'emphase sur la parole.
Mais malheureusement, ils avaient ajouté les pensées de l'homme à la parole de Dieu.
Et ainsi, nous voyons la tradition religieuse de l'homme qui est devenue une entrave, vraiment, pour servir Dieu.
Ainsi, Nicodème, malgré le fait qu'il avait cette position élevée, comme un chef du peuple, un chef d'Égypte,
il était quand même loin de Dieu.
Pourtant, Nicodème avait constaté quelque chose de spécial avec le Seigneur Jésus.
Mais peut-être par crainte des Juifs, il venait chez le Seigneur pendant la nuit, ou le soir peut-être, pour parler avec lui.
Au lieu que le Seigneur soit flatté par le fait qu'un chef des rabbins est venu le voir,
il dit carrément au verset 3, après que Nicodème avait exprimé son admiration,
« Tu es un docteur venu de Dieu, car personne ne peut faire ce miracle que toi tu fais, si Dieu n'est avec lui. »
Jésus répondit, il dit, « En vérité, en vérité, je te dis, si quelqu'un est né de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. »
C'est très radical, très absolu, et une vérité qui n'est pas agréable pour le cœur de l'homme.
Mais dans Jean, nous voyons comment la parole de Dieu expose l'état de l'homme, comme il est devant Dieu.
Et le Seigneur expose l'état de l'homme, aussi de l'homme religieux comme Nicodème était.
Et ce qui est remarquable, Nicodème, malgré sa place élevée au milieu des juifs, malgré sa position religieuse, il avait besoin de la grâce, comme on voit aussi avec la femme samaritaine.
Et ainsi, la grâce de Dieu s'adresse aux deux classes.
Les deux, et le pharisien, et la femme samaritaine avaient besoin de la grâce, et la grâce s'adresse à eux.
C'est encore le cas aujourd'hui.
Si quelqu'un est né de nouveau, là nous avons un principe important, né d'une nouvelle source, né d'en haut, littéralement ça veut dire d'en haut.
C'est la même expression qu'on trouve, par exemple, au verset 31, celui qui vient d'en haut est au-dessus de tous.
Le Seigneur est venu d'en haut, d'une autre source, et ainsi il fallait que Nicodème et chaque être humain soient nés d'une nouvelle source, d'en haut, pour avoir ainsi un rapport avec Dieu.
Il ne peut voir le royaume de Dieu, c'est donc impensable que quelque chose de l'homme, ou qui est fait selon les pensées de l'homme, soit vraiment en accord avec Dieu, ou même en contact avec Dieu.
Là, Nicodème dit comment un homme peut-il être né quand il est vieux. La question de Nicodème n'était pas du tout stupide, parce que dans le contexte de ce temps-là, Nicodème était déjà né de nouveau, au moins selon leurs pensées de ce temps-là.
Les juifs, les rabbins, avaient tout un système développé, comme j'ai dit, depuis Edras, pendant plusieurs générations, les scribes et ensuite d'autres générations avaient ajouté à la parole de Dieu.
Dans leurs ailes pour garder la parole de Dieu, ils l'avaient ajoutée, comme le Seigneur l'explique aussi dans Matthieu 23.
Et ainsi, ils avaient une théorie qui disait qu'un jeune homme, à l'âge de 13 ans, lorsqu'il fait Bar Mitzvah, lorsqu'il devient donc un fils de la Loi, il est né de nouveau à ce moment-là.
Ils avaient aussi la pensée qu'un homme qui se marie, et pour un rabbin c'était nécessaire avant qu'il commence ses études au collège des rabbins, il fallait qu'il soit marié, 18, 19, 20 ans.
A ce moment-là, il était né de nouveau, selon leur pensée. Lorsque cette personne devenait rabbin, donc après ses études religieuses, autour de l'âge de 30 ans, il était né de nouveau une autre fois.
Ensuite, nous voyons que Nicodème était déjà plus âgé, et dans le contexte, c'est clair qu'il était un chef des rabbins, un chef des juifs, et comme chef d'une école rabbinique, il était encore une fois né de nouveau, selon leur pensée, à l'âge d'à peu près 50 ans.
C'est pour ça que cette question de Nicodème, comment un homme peut-il naître quand il est vieux, n'était pas du tout stupide.
D'ailleurs, il y avait encore deux autres moyens. Si quelqu'un venait du paganisme et s'est fait baptiser pour devenir juif, ainsi il était né de nouveau aussi selon les pensées des juifs. C'était des prosélytes.
Ou si un juif devenait roi, il était supposé d'être né de nouveau aussi, donc selon leurs pensées. Mais on voit dans le chapitre qu'on a lu que ce n'est pas vraiment selon les pensées du Dieu.
Et le Seigneur répond au verset 5, en vérité, en vérité. C'est la deuxième fois que le Seigneur le dit dans ce chapitre, pour souligner l'importance. Au verset 3, en vérité, en vérité. Au verset 5, et plus tard aussi au verset 13 ou 14, où le Seigneur confirme.
Non, c'est au verset 11, en vérité, en vérité. Je te dis, nous disons ce que nous connaissons. Là on voit le contraste entre l'ordre de Nicodème et l'ordre représenté par le Seigneur Jésus.
Mais revenons au verset 5. Si quelqu'un est né d'eau et de l'esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Donc il ne peut pas voir le royaume de Dieu, verset 3, il ne peut l'entrer.
Sauf dans le cas où il est né d'eau. Est-ce que ça veut dire l'eau du baptême? Non, dans la parole nous voyons que l'eau souvent parle de la parole de Dieu, dans sa puissance purificatrice.
L'homme a besoin de cette purification spirituelle, opérée par la parole de Dieu et en même temps par l'esprit de Dieu. L'esprit est l'agent qui opère et c'est l'agent actif, pour ainsi dire, l'eau est l'agent passif qui opère en même temps.
L'eau et l'esprit vont toujours ensemble. Si on sépare la parole de l'esprit, on arrive au rationalisme. Si on prend seulement l'esprit et on oublie l'eau de la parole, on a tendance à se développer dans une direction de fanatisme.
Les deux vont ensemble. La parole va toujours ensemble avec l'esprit. L'esprit va toujours ensemble avec la parole.
Au verset 6, le Seigneur ajoute, ce qui est né de la chair est chair et ce qui est né de l'esprit est esprit. Pour montrer la différence radicale entre ces deux ordres de choses.
La chair est chair. Plus tard, dans Jean 6, le Seigneur le dit, verset 63, la chair ne profite de rien. Pour comprendre cela, j'aime utiliser une illustration.
Si on prépare un gâteau et malheureusement on met du sel ou trop de sel là-dedans, tout le gâteau ne peut pas être mangé. Et ainsi, la chair pénètre tout.
Et on ne peut pas séparer la chair comme on ne peut pas enlever le sel de ce gâteau. Ça prend un nouveau gâteau. Et ainsi, ça prend un nouvel ordre de choses qui est introduit par la naissance de l'esprit.
Ce qui est né de l'esprit est esprit. Nouvelle nature, nouvelle source et ainsi un nouvel ordre de choses. Le Seigneur dit, ne t'étonne pas de ce que je t'ai dit. Il vous faut être né de nouveau.
Il vous faut, j'aime revenir quelques fois cette expression, c'est quelque chose qui est absolument nécessaire. Et on trouve cinq fois dans le passage que nous avons lu, on va revenir à cette expression.
Cinq fois. Ici, le il faut, c'est par rapport au besoin de l'homme. Il faut qu'il soit né de nouveau. Et là, le Seigneur va l'expliquer au verset 8. Le vent souffle où il veut, et tu en entends le son, mais tu ne sais pas d'où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'esprit.
Cette illustration aide à comprendre ce processus. C'est un processus que l'homme ne peut pas vraiment expliquer. La nouvelle naissance, comme telle, ne peut pas être expliquée par l'être humain.
Mais l'effet, ou le résultat, sera vu et réalisé. Comme même la naissance d'un être humain ne peut pas tout à fait expliquer. Somme 139 explique cela. Ainsi, la nouvelle naissance ne peut pas être expliquée.
Comme on ne peut pas voir le vent, mais on entend son son, mais on ne sait pas d'où il vient, ni d'où il va. Là, le résultat est vu, comme on entend le son. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'esprit.
Donc, la nouvelle naissance, être né d'une nouvelle source, va ensemble avec la naissance de l'esprit. Parce qu'on a vu, c'est par l'action de l'esprit que cette nouvelle naissance a lieu.
Nicodème répondit et lui dit comment ces choses peuvent-elles se faire. Puis là, le Seigneur répond, tu es le docteur d'Israël, notant le docteur d'Israël.
Cela veut dire que Nicodème était reconnu comme le chef religieux, comme chef d'une école rabbinique, comme plus tard Gamaliel par exemple, qu'on voit dans la vie de Saul de Tarth.
Il avait un poste très élevé et était reconnu comme tel. Tandis qu'il avait reconnu le Seigneur Jésus comme rabbi, docteur au verset 2, mais pas comme le docteur.
En effet, le Seigneur Jésus était en réalité le docteur d'Israël. Mais les gens ne l'ont pas reconnu comme tel.
C'est quand même l'ironie au verset 10, tu es le docteur d'Israël et tu ne connais pas ces choses. Ici le Seigneur expose Nicodème et montre qu'il aurait dû connaître ces choses comme docteur d'Israël.
Là le Seigneur fait une référence aux enseignements de l'Ancien Testament, par exemple, Ézéchiel 36 et 37, où nous voyons que c'est exactement par cette eau qu'Israël, dans les jours à venir, va être né de nouveau pour avoir une relation avec Dieu.
Ézéchiel 36 et 37 nous en parlent.
Donc, Nicodème aurait dû connaître ce principe et Dieu va agir selon ce principe dans les jours à venir avec Israël.
Mais ce même principe est appliqué par le Seigneur Jésus lorsqu'il parlait avec Nicodème et l'Esprit de Dieu applique ce même principe aussi pour chaque être humain pour être né de nouveau.
La nouvelle naissance a commencé comme une œuvre de Dieu, a commencé avec Adam et Ève, a continué dans les héros de la foi, comme on les trouve dans Hébreu 11, par exemple.
Ceux qui étaient nés de nouveau étaient le fruit de cette œuvre, de ce travail de l'Esprit de Dieu.
Et ainsi ce sera le cas avec le reste fidèle dans le temps de la Grande Tribulation et même ceux qui seront nés de nouveau dans le temps du Millenium.
Aujourd'hui c'est encore cette action de l'Esprit qui est nécessaire pour être né de nouveau, pour entrer le Royaume de Dieu, pour voir le Royaume de Dieu.
On a parlé de l'efficacité de la parole de Dieu, les eaux pures.
On trouve dans le Nouveau Testament plusieurs passages qui nous parlent de l'eau qui purifie, par exemple, Évérien 5, verset 26, le Seigneur dans la gloire maintenant nous lave par l'eau de la parole.
Et c'est là le Seigneur dans la gloire qui applique la parole.
Mais l'Esprit est maintenant aussi sur la terre pour appliquer la parole à nous.
Évidemment ça va ensemble avec la responsabilité de l'homme, comme on a lu au verset 16, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas.
La parole de Dieu ne confond pas ces deux côtés, le côté du travail de Dieu et le côté de la responsabilité de l'homme.
Ces deux côtés vont toujours ensemble.
On doit les distinguer, on ne doit pas les mélanger.
On ne peut pas les analyser, ça dépasse le mystère, ça dépasse notre compréhension.
Comment ces deux peuvent aller ensemble?
Mais les versets qu'on a lus au début mettent l'emphase sur ce travail de Dieu.
Verset 7, il vous faut être aimé de nouveau.
On a vu le besoin de l'homme, mais on a vu aussi le travail de Dieu qui est nécessaire et que Nicodème ne connaissait pas encore.
Mais le Seigneur confirme au verset 11, en vérité, en vérité j'ai dit, nous disons ce que nous connaissons.
Si nous voyons le Seigneur Jésus en accord avec Dieu, et peut-être même on pourrait suggérer les personnes divines, le Père, le Fils, le Saint-Esprit, sont unis dans ce témoignage.
On voit aussi dans 1 Jean 5 par exemple, et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu.
Et pour expliquer cela, il faut aussi voir les versets qui suivent.
Parce que le Seigneur est venu du ciel.
Verset 12, si je vous ai parlé des choses terrestres, donc c'est une référence à cette nouvelle naissance.
Et chaque être humain a besoin de cette nouvelle naissance.
Je ne dis pas que chaque être humain est né de nouveau, mais Dieu veut que tout soit sauvé.
Mais il laisse aussi la responsabilité à l'homme pour faire le choix, pour croire.
Et ce mystère est déjà indiqué dans Jean 1, verset 12, où nous voyons au verset 11 que le Seigneur est venu, mais il n'a pas été reçu.
Verset 12, mais à tous ceux qui l'ont reçu, il leur a donné le droit d'être enfants de Dieu.
Savoir à ceux qui croient en son nom.
Et là, les deux côtés ensemble.
Mais pour revenir à la position du Seigneur Jésus, il est venu du ciel.
Il a commencé à parler des choses terrestres, mais il continue à parler des choses célestes.
Comment croirez-vous si je vous parle des choses célestes?
Il est maintenant dans la gloire.
Même au même moment qu'il parlait avec Nicodème, il était dans le ciel.
Le fils de l'homme qui est dans le ciel, c'est un mystère.
Un autre mystère, verset 13.
Personne n'est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l'homme qui est dans le ciel.
Ce verset contient des mystères insondables.
Ça nous montre encore la grandeur de la personne du Seigneur Jésus.
Le fils de l'homme, qui en même temps Dieu bénit sur toutes choses, il est descendu du ciel pour nous déclarer les choses du ciel.
Verset 31.
Celui qui vient d'en haut est au-dessus de tous.
Celui qui est de la terre est de la terre et parle comme étant de la terre.
Quel contraste entre ces deux ordres de choses.
Mais celui qui vient du ciel est au-dessus de tous.
Et de ce qu'il a vu et entendu de cela, il rend témoignage.
Voilà les choses célestes.
Maintenant, le Seigneur arrive à un deuxième point.
Verset 14.
Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, ainsi il faut que le fils de l'homme soit élevé.
Ce deuxième « il faut » a établi la base nécessaire pour notre salut.
En d'autres mots, sans le sacrifice du Seigneur Jésus, il n'y aurait pas de salut pour aucune personne.
Il n'y aurait pas de nouvelle naissance.
Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, ainsi il faut que le fils de l'homme soit élevé.
Il y a ici une référence à ce qu'on dit dans Nombre 21.
Et nous voyons les serpents qui ont attaqué le peuple d'Israël dans leur rébellion.
Et la provision que Dieu a donnée par Moïse, le remède de la part de Dieu, c'était le serpent d'Hérin.
Et ainsi nous voyons que le Seigneur Jésus a pris la place du pécheur sous le jugement de Dieu.
Il a pris sous lui toute la cause, comme s'il était la cause de nos péchés.
Ainsi nous lisons dans 2 Cor. 5, verset 21, celui qui n'a pas connu le péché, il a fait péché pour nous.
Dieu l'a fait pécher pour nous.
Ainsi le Seigneur Jésus est devenu le sacrifice pour le péché.
Le sacrifice qui était brûlé hors du camp à cause du fait que le péché est horrible dans les yeux de Dieu.
Et le Seigneur a pris cette place à la croix, élevée à la croix.
Et le Seigneur a pris cette place à la croix, élevée à la croix.
Celui qui est au-dessus de tout, il était élevé à la croix par l'homme.
En même temps c'était selon les pensées de Dieu.
Comme on voit dans acte 2, verset 23, où Pierre le dit dans d'autres mots.
Verset 22, déjà, Jésus le Nazaréen, homme approuvé de Dieu auprès de vous par des miracles et les prodiges et les signes que Dieu a fait par lui au milieu de vous, comme vous-même vous le savez.
Ayant été livré par le conseil défini et par la préconnaissance de Dieu, lui vous l'avez cloué à une croix.
Et vous l'avez fait périr par la main d'homme zénique, lequel Dieu a ressuscité, ayant délié les douleurs de la mort, puisqu'il n'était pas possible qu'il fût retenu par elle.
Donc là, nous voyons que le Seigneur Jésus était un homme approuvé de Dieu, un homme très spécial, d'un autre ordre, sans péché, comme nous avons déjà dit.
Il n'a pas connu le péché, il était sans péché, à part le péché, il n'a commis le péché, jamais.
Mais nous voyons qu'il fallait qu'il soit livré par le conseil défini de Dieu.
Sa mort à la croix était selon le conseil défini de Dieu et par sa préconnaissance.
Quand même, l'homme était responsable. Vous l'avez cloué à une croix.
Mais là, l'homme responsable dans sa méchanceté a donc accompli le plan de Dieu.
Et l'intervention de Dieu dans la résurrection, lequel Dieu a ressuscité, ayant délié les douleurs de la mort, c'est l'intervention de Dieu.
Et sur cette base-là, Dieu peut offrir la grâce à tous, comme on voit dans le Nouveau Testament.
Donc, c'est deuxième il faut, mais la base, établit la base nécessaire, c'est l'œuvre de Dieu pour nous.
Tantôt, lorsqu'on parlait de la nouvelle naissance, ce premier il faut, ça nous parle d'une œuvre de Dieu en nous, qui est absolument nécessaire également.
Mais on a vu donc que la responsabilité de l'homme n'est pas effacer l'homme dans sa méchanceté à crucifier le Seigneur Jésus.
En même temps, Dieu accomplit son conseil.
C'est encore un autre mystère.
Le résultat au verset 15, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle.
Je pense que cette expression, la vie éternelle, va bien ensemble avec les choses célestes du verset 12.
Et le Seigneur donne encore plus de détails dans le verset 16, car Dieu a tant aimé le monde.
Si nous voyons Dieu comme celui qui aime, c'est le vrai caractère de Dieu.
Dieu est à l'origine de tout.
Tant aimé la mesure de son amour et la réalité de son amour.
Le monde, le cosmos, la compagnie la plus grande, et ainsi Dieu a donné son fils unique.
Dieu se fait connaître comme étant le grand donateur.
Ça c'est une clé importante pour comprendre chapitre 4 tantôt par rapport à l'adoration.
Son fils unique, c'est le don le plus grand.
Afin que Dieu donne maintenant l'opportunité à chaque être humain de donner une réponse.
Afin que quiconque croit.
Croire, il ne demande pas de se placer sous la loi de Moïse, mais simplement croire.
Pour entrer dans ses pensées, c'est encore la réponse du corps.
Croire en lui, le centre d'attraction.
Et là Dieu donne une promesse merveilleuse, afin qu'il ne périsse pas.
Une promesse que le Seigneur répète souvent dans cette Évangile.
Quelle différence entre la vie et la mort ?
Et il donne la certitude qu'il est la vie éternelle.
C'est une possession qu'il donne avec certitude.
C'est le résultat de cette œuvre merveilleuse.
Le résultat qui est possible à cause de ce deuxième il faut, à cause de cette œuvre du Seigneur Jésus.
Et le Seigneur se révèle dans ce chapitre comme le grain enseignant.
Plus grain que Nicodème.
Et il continue au verset 17 jusqu'au verset 21 à expliquer encore d'autres détails.
Concernant la foi, concernant sa venue, concernant la lumière qui est venue dans le monde pour chasser les ténèbres.
Mais là il montre aussi le choix du corps de l'homme.
Il faut croire, il faut choisir.
Et celui qui rejette le Seigneur Jésus, rejette la lumière et montre son vrai caractère de ténèbre.
Celui qui pratique la vérité vient à la lumière, verset 21, afin que ces œuvres soient manifestées, qu'elles sont faites en Dieu.
Donc quelle œuvre merveilleuse, quel résultat merveilleux.
Ensuite on a lu concernant ce troisième il faut.
Une troisième fois nous lisons un il faut.
On a lu au verset 27, un homme ne peut rien recevoir à moins qu'il lui soit donné du ciel.
Jean le baptiseur a reconnu et accepté la souveraineté de Dieu.
C'est une leçon importante pour nous aussi.
Jean était en accord avec Dieu.
Et là il a pu reconnaître la grandeur du Seigneur Jésus comme celui qui a été envoyé de Dieu.
Mais il a reconnu aussi le caractère du Seigneur Jésus comme époux.
Pas seulement comme docteur, comme enseignant, comme sacrifice, mais maintenant aussi comme époux.
Celui qui aime, celui qui cherche une réponse à son amour.
L'épouse nous parle de cette réponse qui est donnée à l'époux.
Dans la création nous voyons que Dieu a créé l'homme et la femme.
L'homme pour être le leader, la femme pour donner une réponse.
On voit cela déjà dans Genèse 1 et 2.
Ces chapitres donnent une illustration de la vérité quant à Christ et l'Assemblée, quant à Christ et l'Église.
L'Église a été créée pour donner une réponse à l'amour de Dieu, à l'amour de Christ.
Dans la rédemption nous voyons aussi que l'homme et la femme, les deux rachetés ensemble, peuvent donner une réponse à l'amour de Dieu.
Donc là, il n'y a plus de distinction entre l'homme et la femme.
Dans la nouvelle création, il n'y a ni homme ni femme qu'à la 3, verset 27, et d'autres passages, Colossiens 3, montrent cela.
Mais nous sommes encore dans ce monde.
Aussi longtemps qu'on soit dans ce monde, les croyances sont un témoignage de la vérité de Dieu.
Et là, nous voyons que les rôles sont différents.
Le rôle de l'homme sauvé est différent du rôle ou des rôles des femmes rachetées.
Ce qui est expliqué plus loin dans le Nouveau Testament, dans 1 Corinthiens 10 et 11, et 1 Timothée 2, et d'autres passages également.
Mais revenons maintenant à cette question d'une réponse.
L'épouse peut donner une réponse à l'amour de Dieu.
Mais Jean réalise qu'il représente encore l'ancien ordre des choses, sous la loi, avant la croix.
Mais il dit, l'ami de l'époux qui assiste et l'entend est tout réjoui à cause de la voix de l'époux.
Cette joie donc qui est la mienne est accomplie.
Moi je dirais, si Jean avait déjà une joie tellement grande, lui qui n'appartenait pas à l'épouse, mais qui était un ami de l'époux,
combien grand doit être notre amour pour le Seigneur Jésus, notre appréciation, notre joie, nous qui appartenons à l'épouse.
Et dans ce contexte, nous trouvons ce troisième il faut, c'est 30.
Il faut que lui croisse et que moi je diminue.
Comme le soleil a sa place et la lune diminue, mais quand même reflète le soleil.
Ainsi il y a un lien entre les deux, mais l'emphase est sur le soleil.
Ainsi l'emphase ici est sur le Seigneur.
Il faut que lui croisse.
Ça c'est un principe moral de Dieu.
Et dans nos vies, il faut que le Seigneur Jésus ait toujours une place plus grande.
Ici nous voyons l'oeuvre de Dieu avec nous.
On a vu l'oeuvre de Dieu pour nous, le sacrifice de Christ.
L'oeuvre de Dieu en nous, la nouvelle naissance, et c'est ensuite une oeuvre en nous qui continue,
comme on voit plus loin dans le Nouveau Testament.
Mais il y a aussi une oeuvre de Dieu avec nous.
Pour pouvoir nous utiliser pour lui-même, il faut que nous puissions diminuer.
L'apôtre Paul a compris cette vérité.
Lorsqu'il a commencé son travail missionnaire, acte 13, nous voyons qu'il a commencé un rôle public,
et là son nom est mentionné comme étant Paul.
Paul veut dire petit.
Sol de Tars, considéré grand par ses juifs compatriotes, est devenu petit dans ses propres yeux.
Il a diminué.
Puis là, il a pu être un outil dans les mains de Dieu, dans les mains du Seigneur Jésus, dans les mains de l'Esprit de Dieu.
Il faut que lui croisse.
Et dans la vie de Paul, on voit qu'il réfère toujours à la grandeur du Seigneur Jésus,
comme il l'a connu depuis le chemin de Damas, au fer Damas.
Et le Seigneur s'est révélé à lui comme une lumière plus grande que le soleil.
Et Paul réfère plus tard, acte 22, acte 26, à cet événement.
Le Seigneur est venu toujours plus grand pour lui.
Et que ce soit le cas avec nous aussi.
Donc ce troisième « il faut » va ensemble avec une réponse de notre part.
Et cela vraiment introduit les deux autres « il faut » qu'on verra maintenant au chapitre 4.
Mais avant que nous parlions de cela, la fin du chapitre 3,
« Celui qui est de la terre est de la terre et parle comme étant de la terre.
Celui qui vient du ciel est au-dessus de tous. »
Nous montre la différence entre ces deux ordres de choses.
Nous montre aussi la grandeur du Seigneur Jésus qui est au-dessus de tous.
Et qu'il rend témoignage. Personne ne reçoit son témoignage.
Ça c'est l'être humain dans son état naturel.
Mais ensuite le verset 33, « Celui qui a reçu son témoignage a scellé que Dieu est vrai. »
Là nous voyons l'évidence d'une œuvre de Dieu, celui qui a reçu son témoignage,
mais ensemble avec une réponse du corps.
Et ainsi il a scellé que Dieu est vrai.
Prenons maintenant encore quelques moments pour le chapitre 4
où nous voyons la question d'une réponse.
On a maintenant le quatrième « il faut » au verset 4 du chapitre 4,
« Il fallait qu'il traversât la Samarie. »
Donc là nous voyons un autre « il faut » mais dans le temps passé.
Et ce qui fait ressortir la grâce souveraine de Dieu.
« Il fallait qu'il traversât la Samarie. »
C'est la providence de Dieu, la souveraineté de Dieu.
Et dans le contexte, on parlait de la grâce.
La grâce qui s'adresse à un homme comme Nicodème, l'élite du peuple.
Cette même grâce atteint maintenant une femme rejetée.
Rejetée par les juifs parce qu'elle était samaritaine,
mais aussi au milieu de son peuple elle était rejetée socialement.
« Il fallait qu'il traversât la Samarie. »
Ainsi la grâce de Dieu nous a atteints aussi.
C'est le « il faut » de la grâce souveraine de Dieu.
Nous voyons le Seigneur Jésus dans son humanité, fatigué à la fin de la journée.
Et ayant soif, il utilise, même dans ce contexte-là,
l'occasion qui se présente pour parler à cette femme en disant « donne-moi à boire ».
Et ainsi il prend une place d'humilité,
et dépendant des soins d'une femme tellement méprisée,
le Seigneur ouvre la porte pour elle, pour ainsi dire.
Elle est étonnée vers sa meuf,
parce que les juifs n'ont pas de contact social avec les samaritains.
En plus, dans la société de ce temps-là,
un homme ne parlait pas publiquement à une femme comme le Seigneur l'a fait.
Mais le verset que j'aime maintenant souligner, c'est le verset 10.
« Si tu connaissais le don de Dieu, et qui est celui qui te dit donne-moi à boire ? »
La curiosité de la femme a été réveillée, pour ainsi dire,
par cette question du Seigneur, par ce geste.
Il ouvre la porte, il ouvre la conscience de cette femme,
qu'on verra aussi plus loin au verset 19,
lorsqu'elle dit « Seigneur, je vois que tu es un prophète »,
et elle commence à avoir de l'intérêt.
Et puis là, le Seigneur peut continuer à réveiller encore l'intérêt de cette femme,
en disant ce qu'on a lu au verset 10, « Si tu connaissais le don de Dieu ».
Dieu est le grand donateur, on l'a vu au chapitre 3, verset 16.
Maintenant, le Seigneur souligne le don de Dieu, ce que Dieu a donné.
Et ensemble avec la grandeur de sa personne, « Qui est celui qui te dit donne-moi à boire ? »
Quelle grandeur !
Dans cette position d'humilité, le Seigneur montre en même temps sa grandeur.
« Qui est celui qui te dit donne-moi à boire ?
Toi, tu lui eus demandé et il te donnait de l'eau vive.
L'eau vive est vue ici comme un don de Dieu, et on a parlé de l'eau déjà par rapport à la nouvelle naissance,
mais ici c'est l'eau vive.
Ici c'est l'eau de la parole, mais activée par le Saint-Esprit.
L'eau vive qui nous parle de l'action du Saint-Esprit.
Comme verset 14 le montre aussi, « Mais l'eau que je lui donne sera en lui une fontaine d'eau jaillissant en vie éternelle. »
Donc cette eau vive va ensemble avec une action de l'Esprit de Dieu.
Mais pas seulement cela, cette eau vive qui est donnée par le Seigneur Jésus,
il explique que ce n'est pas l'eau du puits là, mais c'est l'eau d'une nouvelle source qui vient de Dieu lui-même.
Cette eau vive devient maintenant une fontaine, au verset 14, jaillissant en vie éternelle.
Là nous avons le principe d'une réponse.
La femme veut recevoir cette eau, le don de Dieu, mais elle va donner aussi une réponse dans l'adoration.
Parce que le verset 14 introduit la grande vérité du verset 23 et 24.
Donc d'abord le verset 14, d'abord elle voulait avoir toujours cette eau pour n'avoir plus soif.
Mais le Seigneur lui montre que cette eau de laquelle il parle représente un nouvel ordre, une autre ordre.
Et qui donne une satisfaction permanente.
Celui qui boira de l'eau que je lui donnerai, moi, n'aura plus soif à jamais.
Une satisfaction permanente.
Mais l'eau que je lui donnerai sera en lui une fontaine d'eau jaillissant.
Jaillissant en vie éternelle.
Donc trois choses, en lui, ça veut dire la personne qui reçoit, la personne qui croit.
En elle, cette eau devient une fontaine.
Donc on reçoit l'eau de Dieu et l'âme qui répond devient en elle-même une fontaine.
C'est remarquable.
Par l'action de l'esprit.
Et cette eau monte, jaillit en vie éternelle.
Ça veut dire, monte à sa source.
Ça vient de Dieu, ça monte vers Dieu dans l'adoration.
Et ainsi on peut comprendre la dernière partie du verset 14.
Jaillissant en vie éternelle.
Donc cette eau monte vers sa source en vie éternelle.
La vie éternelle est en nous, par la foi.
Mais en même temps ça produit un lien avec celui qui est la source de tout.
Parce que le Seigneur Jésus, il est la vie éternelle.
1 Jean 5, 20.
Et ainsi nous avons reçu la vie éternelle par la foi.
On a vu cela aussi au chapitre 3 verset 16.
Et maintenant il y a une réponse vers lui, envers lui.
Et aussi envers le Père.
Donc cette pleine satisfaction se montre dans l'adoration.
Et voilà ce que le Seigneur introduit après l'avoir exposé aussi.
Comme il a exposé Nicodème dans son état vrai devant Dieu.
Le Seigneur a exposé la femme dans son état vrai.
Mais il ne l'a pas repoussée.
La grâce et la vérité vont toujours ensemble.
J'ai dit, la grâce se manifeste ici aussi envers cette femme.
Mais le Seigneur maintient la vérité.
En disant, celui que tu as maintenant n'est pas ton mari.
En cela tu as dit vrai.
Puis là la femme répond, Seigneur je vois que tu es un prophète.
Mais là le Seigneur introduit ce sujet merveilleux de l'adoration.
En répondant à sa question, à la question de la femme.
Nos pères ont adoré sur cette montagne-ci.
Et vous, les juifs, vous vous dites qu'à Jérusalem, il faut adorer.
C'était vrai selon l'enseignement de Moïse.
De seconde douze par exemple.
Mais le Seigneur dit maintenant au verset 21.
Femme, crois-moi.
Donc en contraste avec Moïse.
L'heure vient que vous n'adorerez le Père ni sur cette montagne, ni à Jérusalem.
Donc par rapport à cette nouvelle révélation.
Le Seigneur peut introduire l'adoration du Père.
Verset 22.
Vous vous adorez, vous ne savez quoi.
Les samaritains n'avaient pas cette intelligence spirituelle qui était nécessaire pour cette adoration en vérité et en esprit.
Mais il dit, nous, nous savons ce que nous adorons.
Nous, ça veut dire encore, le Seigneur Jésus en communion avec Dieu le Père et l'esprit.
Comme on a vu, chapitre 3, verset 11.
Nous, nous savons ce que nous adorons.
Car le salut vient des juifs.
Il maintient l'importance de la position des juifs selon les voies de Dieu.
Car le salut vient des juifs.
Mais il ajoute maintenant quelque chose.
Verset 23.
Mais l'heure vient et elle est maintenant.
Que les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité.
Ça veut dire donc, à ce moment-là, le Seigneur Jésus était un vrai adorateur.
Comme homme sur la terre, il était un vrai adorateur.
Mais il dit, en général maintenant, les vrais adorateurs.
Il s'identifie avec ceux qui peuvent donner une réponse.
Et l'heure pour faire cela était venue.
Pour adorer le Père en esprit et en vérité.
Ceci est en contraste avec le judaïsme.
Où l'adoration donnée de Dieu, selon les instructions de Dieu, dans l'Ancien Testament,
était selon des rituels, selon des choses ordonnées de Dieu, en détail.
Mais maintenant, ce serait en esprit.
Donc, en accord avec l'esprit de Dieu et selon l'esprit de Dieu.
Et comme nous avons vu, ça va ensemble toujours avec la parole.
Celui qui est né de l'esprit est esprit.
Et cette nouvelle naissance a lieu aussi par l'action de la parole.
Et ainsi, pour l'adoration, ces deux vont encore ensemble.
Notre esprit peut répondre maintenant à Dieu qui est esprit.
Mais nous pouvons le faire et nous devons le faire en vérité, selon la vérité révélée.
Comme le Seigneur l'explique au verset 24.
Et puis là, nous avons le cinquième « il faut ».
Ça nous parle de la responsabilité.
Ça nous parle de la responsabilité.
Le nombre 5 dans la Bible souligne la responsabilité.
Et donner une réponse à Dieu, c'est merveilleux, c'est un privilège, comme nous avons vu.
Mais c'est en même temps une responsabilité.
Et selon cette responsabilité, il faut aussi le faire selon les pensées de Dieu.
Dieu s'est manifesté dans sa parole.
Il veut aussi que l'adoration puisse avoir lieu selon cette révélation en vérité.
Dieu est esprit.
Il veut que nous puissions maintenant adorer un esprit.
Puis ça exclut donc toute forme de ritualisme, de rationalisme,
pour que ce soit vraiment en accord avec l'esprit de Dieu
et opéré par l'esprit de Dieu.
Ce simple verset est en même temps très profond.
Et ça exclut donc tout ordre humain.
Cela exclut ce que l'homme peut fabriquer dans sa propre pensée.
Même les meilleurs efforts de la chair ne peuvent pas satisfaire le cœur de Dieu,
ne peuvent pas vraiment résulter dans cette adoration.
Donc, un privilège, une responsabilité.
C'est ça qu'on voit ici au versets 23 et 24.
Le Père cherche le tel qu'il adore.
Le grand donateur cherche une réponse.
Dieu cherche.
C'est encore un autre contraste avec l'Ancien Testament.
Dans l'Ancien Testament, Dieu a exigé, Dieu a demandé, exigé, réclamé.
Maintenant, il cherche une réponse.
Il a trouvé cette réponse dans le cœur de cette femme samaritaine.
Il a trouvé cette réponse aussi dans le cœur de ces rachetés, vous et moi.
Nous pouvons, par la grâce de Dieu, donner une réponse.
Mais je répète, il faut que ceux qui l'adorent, l'adorent en esprit et en vérité.
Pas selon nos propres pensées, mais selon ses pensées.
Et c'est pour cela qu'on étudiera encore d'autres passages dans le Nouveau Testament
concernant l'adoration, qui nous introduisent quelques pensées de plus sur l'adoration.
C'est remarquable qu'on trouve beaucoup de femmes dans cet évangile
qui ont joué un rôle dans la vie du Seigneur Jésus.
Comme d'abord sa mère, et aussi par rapport à sa place, la place qu'il était due dans Jean II.
On voit que Marie avait une place d'importance dans Jean II.
Le Seigneur était invité avec les disciples, mais Marie avait la première place.
Graduellement, le Seigneur Jésus a reçu la place qui lui convenait.
Jésus vit ce commencement de ses miracles à Cana de Galilée,
et il manifeste sa gloire, et ses disciples crurent en lui.
2, verset 11.
Et ainsi c'est dans cette histoire de cette femme samaritaine.
Graduellement, le Seigneur Jésus a reçu une place qui lui convenait.
Et dans notre vie aussi, dans notre appréciation de la personne du Seigneur Jésus,
il faut qu'il ait cette place, qu'il croise pratiquement dans nos vies.
Et ainsi nous pouvons donner une réponse à Dieu, une réponse au Père, une réponse au Seigneur Jésus.
Et ainsi cette eau sera aussi en nous une fontaine jaillissant en vie éternelle.
C'est ici une réponse à Dieu.
Que le Seigneur nous aide à nous occuper de sa grandeur,
de la grandeur de la personne du Seigneur Jésus, pour pouvoir donner une réponse. …
Transcription automatique:
…
Nous continuons notre méditation sur le sujet de l'adoration, un sujet qui est important pour nos sœurs
et surtout un encouragement lorsqu'on pense à ces femmes qu'on trouve dans le Nouveau Testament
comme Marie, la mère du Seigneur Jésus, Marie de Magdala, Marie de Bethany.
Et nous voulons lire maintenant d'un Jean 12.
Jésus donc, six jours avant la Pâque, vint à Bethany, où était Lazare, le mort, que Jésus avait ressuscité d'entre les morts.
On lui fit donc là un souper, et Marthe servait, et Lazare était un de ceux qui étaient à table avec lui.
Marie donc, ayant pris une livre de parfums d'un art pur, le grand prix, voyit les pieds de Jésus,
et lui essuya les pieds avec ses cheveux, et la maison fut remplie de l'odeur du parfum.
L'un de ses disciples donc, Judas Iscariot, fils de Simon, qui allait le livrer, dit,
« Pourquoi ce parfum n'a-t-il pas été vendu trois cents lignes et donné aux pauvres ? »
Or, il dit cela non pas qu'il se souciait des pauvres, mais parce qu'il était voleur et qu'il avait la bourse, et portait ce qu'on lui mettait.
Jésus donc dit, « Permets-lui d'avoir gardé ceci pour le jour de ma sépulture, car vous avez les pauvres toujours avec vous, mais moi, vous ne m'avez pas toujours. »
Il est à noter que ces trois personnes, qui ensemble ont préparé un repas pour le Seigneur Jésus, ont chacun d'eux leur propre histoire.
Et ce serait bon de regarder quelques détails de chaque personne pour voir un peu leur exercice, pourquoi ils sont arrivés à ce point, à préparer quelque chose spécialement pour le Seigneur Jésus.
On lui fit donc là un souper. Ce « on » représente Lazare, Marthe et Marie.
D'abord, j'aimerais lire un passage dans Luc, chapitre 10, où nous rencontrons Marthe pour la première fois, et aussi Marie, dans Luc 10, verset 38.
« Et il arriva comme ils étaient en chemin, qu'il entra dans un village, et une femme nommée Marthe le reçut dans sa maison.
Et elle avait une sœur appelée Marie, qui aussi, s'étant assise au pied de Jésus, écoutait sa parole, mais Marthe était distraite par beaucoup de services.
Et étant venue à Jésus, elle dit, « Seigneur, ne te soucies-tu pas de ce que ma sœur me laisse toute seule à servir ?
Dis-lui donc qu'elle m'aide. » Et Jésus lui répondant, dit, « Marthe, Marthe, tu es en souci et tu te tourmentes de beaucoup de choses, mais il n'est besoin que d'une seule.
Et Marie a choisi la bonne part qui ne lui sera pas ôtée. »
Notons d'abord verset 38, « Il arriva comme ils étaient en chemin. »
Et dans Luc 9, nous voyons que ce chemin va vers Jérusalem.
9, 51, « Or il arriva comme les jours de son ascension s'accomplissaient, qu'il dressa sa face résolument pour aller à Jérusalem. »
Dans le même chapitre 9, nous voyons que Moïse et Élie, lui, sont apparus en gloire sur la montagne de Transubération.
Ils parlaient de son exode qu'il allait accomplir à Jérusalem, sa mort qu'il allait accomplir à Jérusalem.
Donc le Seigneur Jésus était en chemin pour aller à Jérusalem, pour son exode de ce monde.
Et cela aide aussi à comprendre l'acte de Marie dans Jean 12, que nous avons lu, en vue de sa sépulture, donc de son exode de ce monde, sa sortie de ce monde.
Nous avons vu que Marthe a reçu le Seigneur dans sa maison.
Peut-être son mari était Simon, qui avait été guéri de son lèvre, selon Matthieu 26.
Mais ce qui est beau, c'est elle qui a pris l'initiative pour recevoir le Seigneur Jésus dans sa maison, pour qu'il puisse être une bénédiction pour Marie aussi et pour les autres qui sont venus.
Est-ce que nous pouvons ouvrir notre maison pour le Seigneur, pour être une bénédiction, peut-être pour que quelques-uns puissent trouver le Seigneur comme sauveur. Ce serait merveilleux.
Dans le verset 39, nous lisons, elle avait une sœur appelée Marie, qui aussi s'étant assise au pied de Jésus, écoutait sa parole.
C'est remarquable de trouver une personne ici au pied de Jésus.
Il est dit aussi, donc ça veut dire qu'elle a travaillé comme Marthe, mais qu'elle a trouvé le temps pour s'asseoir au Seigneur Jésus.
Ou pour le dire d'une autre façon, tout ce que Marie a fait, elle l'a fait dans cette position, comme assise au pied de Jésus.
Pour comprendre cette expression, au pied de Jésus, je réfère à Luc 7, où nous trouvons cette expression pour la première fois dans l'évangile selon Luc.
Où la femme, qui était connue comme une pécheresse, venait dans la maison du Pharisien, apporta un vase d'albâtre plein de parfums, Luc 7, 38, et se tena derrière à ses pieds.
Donc elle est placée ici, au pied du Seigneur Jésus.
Et pleurant, elle se mit à les arroser de ses larmes, et elle les essuya avec les cheveux de sa tête, et couvrait ses pieds de baiser, et les oignait avec le parfum.
Il y a sept choses que cette femme a fait.
Elle apporta un vase d'albâtre, elle se tient derrière au pied du Seigneur, elle pleure, elle se mit à arroser les pieds du Seigneur de ses larmes,
elle essuya avec les cheveux, cinquième point, elle couvrait ses pieds de baiser, sixième point, et oignait avec le parfum, septième point.
C'est merveilleux de voir cela.
Ici nous trouvons la grâce de Dieu qui atteint une femme pécheresse, et elle donne une réponse dans la repentance, et ainsi elle se trouve au pied du Seigneur Jésus.
Dans Luc VIII, nous trouvons trois cas différents, sans remède, où seulement le Seigneur pouvait intervenir, et dans sa grâce il est intervenu.
Dans Luc VIII, d'abord l'homme des Gabaréniens, qui était possédé de démons, son nom, Thésion, veut dire qu'il était possédé de plusieurs démons,
et au verset 35, nous lisons que les gens ont constaté, qui sont venus, ils ont constaté que cet homme était assis, vêtu, et dans son bon sens, au pied du Jésus.
Donc, ici nous voyons une intervention de la grâce de Dieu par l'action du Seigneur Jésus pour chasser les démons, et le résultat, c'est que cet homme est assis au pied du Jésus, vêtu, et dans son bon sens.
Trois points qui sont soumis ici, et dans la soumission au pied du Seigneur Jésus, une position de dépendance, assis, et vêtu, maintenant il est, selon les pensées de Dieu, vêtu, comme on voit aussi avec le fils prodigue, vêtu de meilleurs vêtements, de meilleurs habits, et dans son bon sens.
C'est l'évangile qui met l'homme dans son bon sens.
Ici c'est l'action de Dieu, donc on a vu la répentance, c'est le côté de l'homme pour répondre à l'offre de la grâce de Dieu, mais en même temps il y a un travail de la grâce de Dieu pour libérer quelqu'un de la puissance du diable.
Mais aussi de la puissance du péché, comme nous voyons avec la femme qui avait un flux de sang pour douze ans.
Là nous voyons une image de la puissance du péché, et personne ne peut délivrer cette puissance sauf le Seigneur Jésus.
Et on lit au verset 47, la femme voyant qu'elle n'était pas cachée, vint en tremblant et se jetant devant lui, déclara devant tout le peuple pour quelle raison elle avait touché, et comment elle avait été guérie instantanément.
Il lui dit, et bon courage ma fille, ta foi, ta guérie va t'en payer.
Donc l'intervention du Seigneur, mais en même temps la foi de la part de cette femme.
Et elle se trouve au pied du Seigneur Jésus, se jetant devant lui.
L'expression pied n'est pas utilisée, mais la pensée elle a, se jetant devant lui.
Et le troisième cas, c'est la fille de Jairus, c'est la puissance de la mort.
Le Seigneur seul a pu vaincre la puissance de la mort.
Et nous lisons que Jairus vint, se jetant au pied de Jésus, verset 41, le supplia de venir dans sa maison.
Car il avait une fille unique, d'environ 12 ans, et elle se mourait.
Ici nous trouvons un homme au pied du Seigneur Jésus, dans la prière, et c'est en vue de cette action du Seigneur Jésus pour vaincre la puissance de la mort.
Donc les trois cas nous parlent de la puissance du Seigneur Jésus intervenue en grâce.
Et dans Luc 10, nous voyons maintenant une femme assise au pied de Jésus.
Donc ça présuppose la repentance, ça présuppose aussi une œuvre de Dieu.
Et c'est ainsi avec nous, pour nous trouver au pied du Seigneur Jésus, ça prend d'un côté la repentance, ça prend de l'autre côté une œuvre de Dieu, comme on a vu dans Luc 8.
Et cela est donc présupposé, en parlant de Marie, on voit qu'elle était là, ça présuppose, elle a connu la repentance, ça présuppose aussi une œuvre de Dieu en elle.
Cette position d'être assise au pied de Jésus souligne la dépendance de lui, la communion avec lui, elle écoutait sa parole, et aussi l'obéissance, la soumission, toutes ces pensées sont là.
Plus tard, dans l'évangile de Luc, nous trouvons ce lèpre, un des dix qui a été guéri, qui s'est jeté au pied du Seigneur Jésus, pour lui rendre hommage.
Mais ici, nous voyons Marthe, au verset 40. Marthe n'a pas compris entièrement ce privilège, et elle a besoin d'être corrigée.
Mais notons la tendresse avec laquelle le Seigneur va la corriger. On lit au verset 40, Marthe était distraite par beaucoup de services. Et étant venue à Jésus, elle dit, Seigneur, ne te soucies-tu pas de ce que ma sœur me laisse toute seule à servir.
Elle demande l'attention pour elle-même. Elle est préoccupée par son service. C'est un bon travail qu'elle fait, mais elle cherche en même temps sa propre satisfaction, sa gloire à elle.
Et elle devient irritée, voyant Marie assise au pied de Jésus. A ce moment-là, Marie a trouvé cela plus important. Et il y avait donc un manque d'équilibre avec Marthe.
Cet équilibre avec Marie, qui trouvait le temps pour être assise au pied du Seigneur Jésus, aussi, ça ne veut pas dire qu'elle a négligé son travail, mais elle était équilibrée. Cet équilibre n'était pas encore connu par Marthe.
Ensuite, elle dit au Seigneur, dis-lui donc qu'elle m'aide. Donc, elle veut engager le Seigneur Jésus pour ses propres intérêts. Ça ne va pas. Verset 41, Jésus lui répondant, dit, Marthe, Marthe.
Ce serait intéressant de lire tous les passages où Dieu, où le Seigneur s'adresse à une personne en mentionnant le nom deux fois. Abraham, Abraham. Jacob, Jacob. Moïse, Moïse. Samuel, Samuel.
Saul, Saul. Acte 9. Pierre, Pierre. Luc 22. Et ici, Marthe, Marthe. C'est solennel.
Tu es en souci et tu te tourmentes de beaucoup de choses. Elle était distraite par ces choses, préoccupée. Et ainsi, elle n'avait pas de repos et n'avait pas un oeil simple pour jouir la communion avec le Seigneur.
Et le Seigneur indique cela au verset 42. Mais il n'est besoin que d'une seule. Et Marie a choisi la bonne part. Donc, le Seigneur défend Marie comme il a défendu Marie aussi dans Jean 12.
Et il dit, elle a choisi la bonne part. Dans le contexte, ça implique la meilleure part. La part que Marie avait au pied du Seigneur Jésus était la meilleure part. Et le Seigneur dit, qui ne lui sera pas ôté.
Et ainsi, on va retrouver Marie encore deux fois au pied du Seigneur Jésus. Si c'était pour écouter sa parole, que nous puissions faire cela aussi.
Heureusement, Marthe a reçu cette exhortation et dans Jean 12, nous voyons qu'elle a servi simplement. Là, elle était ajustée, corrigée et dans un bon état.
Mais on trouve encore Marie au pied du Seigneur Jésus dans Jean 11. Dans Jean 11, nous avons l'histoire de Lazare qui était mort. Et le Seigneur a dit aux disciples, cette maladie n'est pas à la mort, mais pour la gloire de Dieu, afin que le Fils de Dieu soit glorifié par elle.
Dans ce temps-là, les juifs avaient une théorie. Ils disaient que si quelqu'un mourait, jusqu'à trois jours après sa mort, cette personne pourrait encore revivre.
Mais après, le troisième jour, ce serait impossible. Il fallait qu'il attende jusqu'à la résurrection, jusqu'au dernier jour, comme Marthe l'exprime, selon leur connaissance, parce qu'ils ne connaissaient pas encore la vérité de la résurrection d'entre les morts, ni la grandeur de la personne du Seigneur Jésus qui a dit, moi, je suis la résurrection.
Et ainsi, Dieu a permis que le Seigneur attende jusqu'à ce que Lazare soit mort depuis une période de quatre jours.
Puis, lorsque le Seigneur est venu, nous trouvons Marthe en premier. Elle lui fait une reproche, un peu, mais Marie dit la même chose.
Elle se trouve au pied du Seigneur Jésus, au verset 32.
Avec Marie, le Seigneur n'avait pas besoin de la corriger. Mais avec Marthe, il fallait qu'il lui montre quelque chose. Au verset 24, Marthe lui dit, je sais qu'il ressuscitera en la résurrection.
Au dernier jour, Jésus lui dit, moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, encore qu'il soit mort, vivra.
Donc, Marthe n'avait pas compris cela.
Mais, Marie est toujours en communion avec le Seigneur et le Seigneur n'a pas besoin de la corriger.
Mais, elle se trouve ici, au pied du Seigneur Jésus, pour exprimer sa requête.
Et là, nous voyons donc comment le Seigneur Jésus a pu montrer sa gloire.
C'est donc un événement qui a affecté les trois personnes.
Les trois personnes. Lazare, en premier, parce qu'il était mort, il a expérimenté cette intervention du Seigneur pour lui redonner la vie.
Et Marie et Marthe étaient aussi impliquées dans tout cela.
Et cela les prépare, pour ce que nous avons vu au chapitre 12, pour ce souper qu'ils ont préparé pour le Seigneur.
C'était comme une réponse de leur corps, de la part de Lazare, le mort que Jésus avait rejeté d'entre les morts.
Puis, le Seigneur avait montré sa gloire, la gloire de Dieu à travers tout cela, parce qu'il est Dieu.
Et les trois sont là maintenant pour donner une réponse au Seigneur Jésus, qui était rejetée par les juifs.
Les juifs ne pouvaient pas nier ce miracle et ils ont maintenant décidé de tuer Lazare aussi.
Cela nous montre l'endurcisme de cette nation à ce moment-là.
Le Seigneur avait donné beaucoup de preuves qu'il était le Messie. Ils avaient rejeté toutes ces preuves.
La guérison d'un homme lépreux était déjà un premier signe, Matthieu 8.
Et ainsi, le Seigneur a donné plusieurs signes.
Matthieu 12, il a guéri un homme qui était possédé d'un démon, mais cet homme était sourd et muet, et aussi aveugle de pince.
Le Seigneur l'a guéri. Personne des pharisiens pouvait faire cela.
Il pouvait exorciser des démons, mais il ne pouvait pas guérir un tel homme.
Même selon leurs propres écrits, il avait dit, un tel cas peut seulement être guéri par le Messie lorsqu'il va venir.
Donc, le Seigneur l'a fait. La multitude commence à poser des questions.
Puis là, les leaders, les chefs religieux disent que le Seigneur Jésus a fait cela par la puissance de Beelzebub.
Donc, il était possédé lui-même.
Ceci est blasphème contre le Saint-Esprit, comme le Seigneur explique dans Matthieu 12.
Et cet endurcissement a causé plus tard, a rejeté le Seigneur Jésus de regner devant Ponce-Pilate et de crier son sang sur nous et sur nos enfants.
Et le jugement de Dieu est venu sur eux dans l'an 70.
Avec la destruction du Temple et de Jérusalem, 1,1 million de Juifs ont été tués à ce moment-là.
C'était le jugement de Dieu à cause de cet endurcissement.
Et dans cet environnement, nous voyons donc ici ce foyer où il y avait vraiment une appréciation du Seigneur Jésus.
Au milieu de cet état de la nation juive, au milieu même d'être mal compris même par ses disciples,
le Seigneur trouve ici un foyer qui était vraiment convaincu qu'il était le Messie et ils l'ont bien reçu.
Et on lit dans le chapitre 12, verset 1, Jésus donc six jours avant la Pâque.
Si on compte bien, on pourrait suggérer que c'est un samedi soir, mais selon le calendrier juif, le soir, le samedi soir est déjà le dimanche.
Donc, c'est beau pour nous de voir ici déjà une illustration pour la réunion du dimanche matin où nous nous souvenons du Seigneur Jésus.
Mais le point que j'aimerais vraiment souligner, c'est que le Seigneur vint à Bétanie.
Il a vu que là, ces trois âmes auraient quelque chose pour lui.
Dans ce contexte du rejet, dans ce contexte du monde religieux, le Seigneur Jésus était rejeté.
Il appréciait sans doute leurs exercices et on voit à Bétanie, le nom veut dire maison d'affliction ou aussi maison de répenses.
Ça présuppose qu'il y a eu des exercices là, comme on a vu dans le contexte où le Seigneur est rejeté, comme ici.
Ils ont l'exercice, de profonds exercices pour le reconnaître, pour l'aimer, pour le servir.
Maison d'affliction.
Lazare, son nom veut dire aider de Dieu, l'aide de Dieu.
Et ainsi il avait expérimenté l'aide qui vient de Dieu, par cette intervention du Seigneur dans Jean XI.
Il est appelé le mort, donc il est vivant maintenant.
Juste en parenthèse, Lazare ressuscité ne veut pas dire qu'il n'est plus mort après, parce qu'il a été réintroduit dans cette vie terrestre.
Tandis que le Seigneur Jésus, ressuscité le premier jour de sa résurrection, il a été introduit dans un nouveau monde et dans un nouvel ordre.
Là, il ne pouvait plus mourir.
C'est la grande différence.
Et dans ce sens là, le Seigneur Jésus était absolument le premier, le premier fruit, le premier de ce nouvel ordre.
Les sept cas qu'on trouve dans l'Ancien Testament et dans le Nouveau Testament ensemble,
les sept personnes qui ont été ressuscitées, ont été réintroduites dans cette vie terrestre pour mourir après.
Mais le Seigneur, le premier, appartenait à un nouvel ordre de choses, par la résurrection.
Éphésiens 1 nous montre cela, et d'autres passages, en Chrétien 15.
Mais ce qui est beau, ici les trois, Lazare, Marthe et Marie, sont ensemble dans leur exercice.
J'ai mentionné le nom de Lazare, j'ai aussi mentionné la signification du nom de Marie,
qui est par rapport à ce qui est amer, et Marthe aussi.
C'est remarquable que les deux noms ont à peu près la même signification.
C'est quelque chose d'amertume.
Donc, qui nous fait penser au passé, c'est quelque chose d'amer, mais le Seigneur Jésus est intervenu dans leur vie.
Et ainsi pour chaque pécheur qui s'est repenti, il y a un souvenir d'amertume, mais maintenant nous pouvons servir le Seigneur.
Nous pouvons chercher à lui plaire.
Et c'est ça qu'ils font au verset 2.
On lui fit donc là un souper.
Donc, ils sont ensemble dans cet exercice.
Comme les trois hommes forts de David, les trois héros de David avaient ce désir de les chercher de l'eau du puits de Bethléem.
Ainsi, les trois, Marie, Marthe et Lazare, sont ensemble.
C'est vraiment une belle illustration du principe de vainqueur dans le contexte de cet environnement où le Seigneur était rejeté.
Il y a ici trois personnes qui font tout ce qu'ils puissent pour le Seigneur.
On lui fit donc là un souper.
Le Seigneur est l'objet de toutes leurs pensées, de toutes leurs actions.
Il est le centre.
Un souper, c'est pour son bon plaisir, pour le rafraîchir, pour son bien.
Il cherche son bien.
Le souper nous parle d'une communion spéciale.
Ça me fait penser à l'Apocalypse 3, où le Seigneur parle à l'Odyssée.
Il frappe la porte parce qu'il est dehors et il attend pour que quelqu'un puisse ouvrir la porte,
pour qu'il puisse entrer pour souper avec lui et cette personne, le vainqueur, avec le Seigneur.
Donc, c'est la communion.
Et ainsi nous trouvons cette communion.
Le Seigneur est avec eux.
L'emphase est ici.
Il prépare tout pour le Seigneur.
Marthe Servet.
Elle a un rôle maintenant équilibré, ajusté, un rôle important.
Et ce service illustre aussi un peu ce que chaque croyant peut faire aujourd'hui.
Chercher les intérêts du Seigneur.
Servir veut vraiment dire qu'on est à la disposition du Seigneur Jésus et qu'on cherche ses intérêts.
Comme Phébé, plus tard, dans Romains 16, elle était diaconesse.
Elle était là simplement pour aider, pour servir.
Pour servir.
C'est le mot qu'on a pour diacre.
Donc, dans l'original, ça veut dire un service d'humilité.
Le Seigneur en parle aussi dans Luc 22.
Le Seigneur a dit dans Luc 22, je suis au milieu de vous comme quelqu'un qui sert.
Le Seigneur est toujours le modèle parfait.
Mais ici, nous voyons Marthe comme quelqu'un qui servait.
Et c'est un exemple, un encouragement pour chacun de nous pour pouvoir servir le Seigneur.
Lazare était un de ceux qui étaient à table.
Donc ici, l'emphase est sur la communion.
On ne lit pas que Lazare a fait quelque chose.
Seulement mentionner qu'il était à table avec Lui.
Ça c'est le point.
Cette communion avec le Seigneur.
Comme j'ai mentionné déjà, Apocalypse chapitre 3, dans le message à l'Odyssée.
Communion avec Lui.
Quelle part merveilleuse.
Ensuite, Marie au verset 3.
Marie donc ayant pris une livre de parfum de l'art pur.
Ce que j'aimerais souligner avec Marie.
En général, on a vu déjà son action et le résultat de ses expériences avec le Seigneur.
De son histoire.
Comme c'était le cas avec Lazare et avec Marthe aussi.
Mais j'aimerais souligner maintenant, surtout cet engagement que nous trouvons avec Marie.
C'est un engagement qui est un exemple pour nous.
Ça me fait penser au psaume 27, verset 4.
Un engagement que nous voyons avec David.
Un dévouement.
Psaume 27, verset 4.
J'ai demandé une chose à l'Éternel.
Je la rechercherai.
C'est que j'habite dans la maison de l'Éternel, tous les jours de ma vie, pour voir la beauté de l'Éternel.
Et pour m'acquérir diligentement de Lui dans son temple.
Ça nous parle d'un œil simple.
Ça nous parle d'un engagement, un dévouement.
En même temps, la dépendance du Seigneur.
La communion avec le Seigneur.
Et ainsi, on trouve cet esprit de David aussi avec Marie.
Cet intérêt.
Cet amour du Seigneur.
Et elle ajoute l'action à la pensée.
C'est pas seulement qu'elle a cette appréciation que le Seigneur dans ses pensées, ou dans son cœur,
mais elle exprime ce qui est dans son cœur.
Et c'est ça que le Seigneur aime voir aussi avec nous.
Et ce que je souligne maintenant, Marie a fait cette action au bon moment.
C'était la bonne action, au bon moment.
Quelle leçon pour nous.
Ce qui est dans son cœur, cela a été traduit maintenant dans une action publique.
Elle a une lyre de parfum, d'un art pur.
Dans le livre « Cantique des Cantiques » de Salomon, nous trouvons souvent des références au nard ou d'autres parfums.
Le nard venait d'une plante qui était trouvée dans les montagnes du Himalaya.
Très, très élevée.
Non, en même temps, très chère.
Plante exquise.
Et comme c'est le cas dans « Cantique des Cantiques », quelque chose de très précieux, réservé pour le bien-aimé.
C'est ainsi que Marie a réservé cette chose précieuse pour le Seigneur.
Pour le Seigneur.
Il occupe son esprit entièrement, son cœur entièrement.
Le fait que c'est pur répand à l'incorruptibilité du Seigneur Jésus.
Mais j'aimerais encore ajouter une autre pensée.
Le fait qu'elle présente ce parfum de nard pur, illustre aussi la condition de Marie comme une condition spirituelle de pureté.
Donc elle répond à l'état du Seigneur, l'incorruptibilité, mais elle est en accord avec cet état pratiquement moral.
Une autre référence, « Cantique des Cantiques », dans ce chapitre 5 de ce livre, nous trouvons dix points que la bien-aimée mentionne concernant le bien-aimé.
Et ainsi, elle a exprimé son appréciation du bien-aimé.
C'est la même chose avec Marie. Elle exprime son appréciation pour le bien-aimé en voyant maintenant ses pieds.
Il est mentionné que ce nard pur était de grand prix.
Un peu plus loin, nous avons lu que Judas Iscariot a estimé la valeur de 300 deniers.
Un denier, c'était le salaire pour quelqu'un qui travaillait une journée, donc c'est au moins la valeur d'un salaire d'un an.
C'était un grand prix et nous pouvons nous demander, est-ce que nous avons quelque chose pour le Seigneur d'un grand prix?
Est-ce que notre état moral est en accord avec lui qui est incorruptible?
Est-ce que nous apprécions la personne du Seigneur?
Est-ce que nous pouvons exprimer cette appréciation, cette affection, de cette façon-là que Marie l'a fait?
Ça me fait penser encore à un verset dans Éphésiens 6, où Paul dit à la fin du chapitre,
je vais juste lire le verset, c'est remarquable,
Éphésiens 6, verset 24,
Que la grâce soit avec tous ceux qui aiment notre Seigneur Jésus-Christ en pureté.
C'était le cas avec Marie et Paul dit ici que ça devrait caractériser les croyants aussi.
Pourquoi Marie n'a pas au moins la tête du Seigneur dans ce passage?
Dans Matthieu et dans Marc, nous trouvons qu'elle a au moins sa tête.
Mais ici, dans Jean, nous voyons une présentation de la grandeur du Seigneur Jésus,
comme personne divine.
C'est manifesté comme fils de l'homme, mais en même temps il y a beaucoup d'emphase sur le fait qu'il est Dieu.
Peut-être pour cela il n'est pas mentionné qu'elle a au moins sa tête.
Les pieds soulignent la marche du Seigneur.
On a plusieurs références aux pieds du Seigneur Jésus dans Jean.
Il y a beaucoup d'emphase sur sa marche, comme il marchait.
Jean le pâtisseur l'a vu, comme il marchait.
À la fin, lorsque le Seigneur Jésus sortait portant la croix, nous voyons encore sa marche.
Il a dit ensuite qu'elle lui essuya les pieds avec ses cheveux.
Les cheveux qui nous parlent de la soumission de la femme.
On peut lire dans 1 Corinthien 11 là-dessus.
Et puis, j'ai une autre étude sur la soumission de la femme.
On peut lire dans 1 Corinthien 11 là-dessus.
Et puis, j'ai une autre étude sur 1 Corinthien 11 et le rôle de la femme.
Mais ici, juste une référence, 1 Corinthien 11, verset 6.
Car si la femme n'est pas couverte, qu'on lui coupe aussi les cheveux.
Mais s'il est déshonnête pour une femme d'avoir les cheveux coupés ou d'être rasé, qu'elle soit couverte.
L'homme étant l'image et la gloire de Dieu ne doit pas se couvrir la tête, mais la femme est la gloire de l'homme.
Car l'homme ne procède pas de la femme, mais la femme de l'homme.
Car aussi, l'homme n'a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l'homme.
C'est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l'autorité laquelle elle est soumise.
Toutefois, ni la femme n'est sans l'homme, ni l'homme sans la femme dans le Seigneur.
Car comme la femme procède de l'homme, ainsi aussi l'homme n'est pas la femme, mais toute chose procède de Dieu.
Jugez-en en vous-même. Est-il convenable qu'une femme prie Dieu sans être couverte?
La nature même ne vous enseigne-t-elle pas que si un homme a une longue chevelure, c'est un déshonneur pour lui,
mais si une femme a une longue chevelure, c'est une gloire pour elle, parce que la chevelure lui est donnée en guise de gloire.
Donc cette référence pour montrer que c'est la pensée de Dieu pour les sœurs en général,
et que Marie a utilisé ses cheveux pour essuyer les pieds du Seigneur Jésus.
Donc encore, elle se trouve aux pieds du Seigneur Jésus.
Et le résultat de cette action, la maison fut remplie de l'odeur du parfum.
Il n'y avait pas de place pour quoi que ce soit d'autre. Toute la place convient au Seigneur.
La maison fut remplie de l'odeur du parfum.
Et ainsi, le Seigneur veut que nos cœurs soient remplis de Lui, que nos maisons soient remplies de Lui,
et aussi la place où nous sommes réunis autour de Lui puisse être caractérisée par le fait que tout est rempli de cette odeur du parfum.
Ça c'est le résultat.
Et c'est beau parce que tout était pour le Seigneur, mais les autres ont pu sentir ce bon odeur.
Ainsi les autres étaient quand même bénis aussi en ayant pris un.
On pourrait étudier davantage le sujet de la maison.
Luc surtout parle beaucoup de la maison comme une illustration de la maison de Dieu.
Et ainsi, la maison ici, c'est une illustration de la maison de Dieu.
Et notre comportement dans la maison de Dieu est important.
Ensemble avec le Seigneur Jésus, la vraie pierre vivante, la maîtresse pierre, la pierre de fondation.
Mais nous sommes aussi une famille.
Et Hippoïsine 2 nous en parle aussi.
Il y a donc quelques passages dans l'Ouvre Testament qui nous parle beaucoup de la maison de Dieu,
l'ordre dans la maison de Dieu, et de la maison de Dieu.
Mais, la maison de Dieu, c'est une maison de Dieu.
Et on peut la voir comme une maison de Dieu.
On peut la voir comme une maison de Dieu.
Et on peut la voir comme une maison de Dieu.
C'est l'Ouvre Testament qui nous parle beaucoup de la maison de Dieu,
l'ordre dans la maison de Dieu,
et ainsi, c'est le désir du Seigneur de trouver cet état de choses,
que la maison soit remplie de l'odeur du parfum.
Et là, nous serons heureux, dans cet état de soumission et d'obéissance,
de dévouement au Seigneur, cet engagement, et on sera heureux.
Et puis, je souligne aussi le rôle des sœurs dans tout cela.
Dans le Nouveau Testament, on trouve que les sœurs se thèsent dans la réunion publique,
mais elles sont impliquées, comme Marie l'était,
d'une façon silencieuse, sans dire quoi que ce soit.
Mais évidemment, elles chantent avec nous, disent Amen aux prières,
elles prient en silence et adorent en silence.
Et un frère qui est le porte-parole de l'Assemblée
peut ainsi représenter les sentiments qui sont dans les cœurs des sœurs.
Il peut être un porte-parole pour présenter ses sentiments d'une façon verbale au Seigneur.
Mais ce qui compte pour le Seigneur, c'est les sentiments qui sont dans les cœurs.
Et ainsi, les sœurs peuvent donner une réponse.
Peut-être même meilleure que les frères.
Il y a aussi cette pensée-là, que le Seigneur Jésus est le grand donateur.
On a vu cela dans Jean 4, et il cherche une réponse.
Cette réponse, qui vient d'un cœur satisfait, se montre ici dans le cas de Marie.
Une réponse envers le Seigneur.
Nous voyons aussi le principe de la préparation.
Ce n'est pas seulement l'histoire qu'ils ont connue, Luc X, Jean XI,
mais même pour ce repas, ce souper, ils se sont préparés.
Ainsi, nous devons prendre le temps de nous préparer pour être autour du Seigneur Jésus.
Pas pour faire une liturgie ou un ordre de service,
mais pour se préparer spirituellement, moralement,
pour être dans sa présence avec des actions de grâces,
avec l'adoration, les cœurs remplis de Lui.
Les cœurs remplis vont bien ensemble avec la maison remplie de l'odeur.
Là où Dieu trouve sa portion,
où Dieu trouve sa portion, où le Seigneur reçoit sa portion,
l'ennemi ne peut pas être silencieux.
Et dans le verset 4, nous voyons ici cette réponse de la part de Judas.
Judas était le seul disciple qui venait de Judée.
Judas Iscariot, Iscariot, c'est une référence au village où il habitait.
Où il venait.
Tandis que les autres disciples, on voit cela dans l'acte 2, étaient tous des hommes galiléens.
Et Judas, fils de Simon, allait le livrer.
Il était déjà sous un instrument du diable.
Quoi qu'il soit ici avec les autres disciples.
Et il était pleinement responsable pour lui-même.
Il y a beaucoup de questions difficiles par rapport à Judas.
Mais le Seigneur lui a montré la grâce pendant trois ans et demi.
Il n'a pas voulu se juger.
Il était un voleur, verset 6.
Il a eu tant d'occasions, se juger et se repentir.
Il ne l'a pas fait.
Et finalement, il est devenu un instrument du diable.
On le voit plus loin dans Jean 13.
C'est un peu comme l'histoire du pharaon.
Le pharaon a eu le temps pour se repentir.
Il ne l'a pas fait.
Et ainsi, Dieu a endurci son cœur.
On voit ici cet endurcissement du cœur de Judas.
Mais on voit aussi qu'il est un instrument du diable.
Parce qu'il est maintenant porte-parole du diable.
En disant, pourquoi ce parfum n'a-t-il pas été vendu 300 lignes et donné aux pauvres?
Il semble avoir à cœur les intérêts des pauvres.
Mais en réalité, il était un instrument du diable.
Et il a dit aussi qu'il avait la bourse et portait ce qu'on y mettait.
Donc, il était administrateur de l'argent que les disciples recevaient.
Et il prenait un certain montant pour lui-même.
Cette convoitise est devenue sa chute finale.
Parce qu'il ne voulait pas se juger.
En contraste avec lui, on trouve donc Marie totalement livrée au Maître.
Et le Seigneur Jésus devient maintenant son avocat.
Au verset 7, Jésus donc dit,
Permets-lui d'avoir gardé ceci pour le jour de ma sépulture.
Qu'elle a gardé cela veut dire qu'elle avait tout préparé.
Elle était exercée là-dessus depuis longtemps.
Elle a trouvé le bon moment pour le faire.
Juste la dernière occasion avant la mort du Seigneur Jésus.
Et nous trouvons donc que le Seigneur ajoute qu'elle a gardé ceci pour le jour de ma sépulture.
Le Seigneur allait sortir de ce monde.
On a vu déjà dans Luc 9 son exode.
Et en vue de cette sortie, elle voulait windre le Seigneur Jésus.
Il allait sortir de ce monde.
Et en vue de cela, elle a wind de Seigneur Jésus.
Est-ce que nous apprécions le fait que le Seigneur Jésus est sorti de ce monde?
Il n'appartient plus à ce monde.
Il n'appartient plus à ce monde.
Il n'a jamais appartenu à ce monde comme système moral et religieux.
Mais quand même, avant sa mort, il était avec les disciples.
Et dans un sens, il appartenait à ce monde.
Mais, il était pour sortir.
Et en vue de cela, Marie a wind de Seigneur Jésus.
Quelle action merveilleuse!
Nous pouvons aussi nous identifier avec le Seigneur Jésus comme celui qui est sorti de ce monde.
Par le baptême, nous nous identifions avec celui qui est sorti de ce monde.
Et ainsi, nous déclarons que nous appartenons à un autre monde, le monde de Dieu, le monde de la résurrection.
Est-ce qu'il y a aussi une réponse de nos cœurs pour glorifier le Seigneur Jésus?
Pour chercher ses intérêts.
Cela ne veut pas dire qu'on doit négliger nos tâches, négliger les pauvres.
L'ennemi présente cette chose ainsi pour rabaisser le Seigneur Jésus.
Mais, lorsqu'on va donner toute la place au Seigneur Jésus,
on va s'occuper en même temps des pauvres, mais de la bonne façon, dans le bon contexte.
C'est ça que le Seigneur veut.
Il souligne encore verset 8, car vous avez les pauvres toujours avec vous, mais moi, vous ne m'avez pas toujours.
Donc, Marie avait compris la valeur de la mort du Seigneur Jésus.
Elle a fait cela en vue du fait qu'il ne serait plus avec eux.
Une autre chose qui n'est pas soulignée ici, mais qu'on trouve dans Marc 14,
où le Seigneur dit qu'elle avait fait ce qu'elle pouvait.
Dans Marc, on a un contexte un peu différent.
Il y a l'emphase sur le fait que c'était dans la chambre haute.
Il y a l'emphase sur le fait que c'était la maison de Simon Lepreux, on en a parlé déjà.
C'est un vase d'albâtre, ça c'est une autre différence.
Dans Jean 12, le vase n'est pas mentionné.
Une suggestion du fait que Marie, dans un sens, était le vase.
Et nous, comme croyants, nous sommes un vase.
Un vase utile pour le Maître.
Mais dans Marc 14, le vase d'albâtre était brisé.
Pour pouvoir répondre au coeur du Seigneur Jésus, ça prend un vase brisé.
Le Seigneur lui-même s'est brisé.
Et ainsi, le coeur du Maître rencontre le coeur d'un vase brisé.
Et le vase était de grand prix.
Ainsi, notre vase, nos corps, sont de grand prix pour le Seigneur.
Est-ce qu'on les met à la disposition du Maître?
Est-ce qu'avec Paul, comme on voit dans 2 Corinthiens 4, nous avons ce trésor dans des vases de terre?
Est-ce que nous sommes prêts que le vase soit brisé pour que le trésor puisse prier, pour que le Seigneur puisse recevoir sa part?
Une autre différence, c'est qu'elle a répandu cela sur sa tête. On en a parlé.
Et là, le Seigneur dit, au verset 6 de Marc 14, c'était dans la chambre haute.
Un autre détail.
Elle a fait une bonne oeuvre envers moi.
Je m'excuse si je n'ai pas mentionné que c'était dans la chambre haute. La chambre haute est plus tard. Correction.
Mais ce qu'on trouve au verset 6, elle a fait une bonne oeuvre envers moi.
Ensuite, au verset 8, ce qui était en son pouvoir, elle l'a fait.
Donc le Seigneur a apprécié ce travail de Marie.
Une bonne oeuvre. Des bons motifs, des motifs purs pour sa personne.
Deuxièmement, elle a fait ce qui était en son pouvoir. Elle a fait tout ce qu'elle pouvait faire.
Et elle a anticipé le moment d'oindre mon corps pour ma sépulture. En vue de sa sortie.
Et il y a un autre point encore au verset 9. Dans la vérité, je vous dis, en quelque lieu que cet évangile soit prêché dans le monde entier, on parlera aussi de ce que cette femme a fait en mémoire d'elle.
Le Seigneur a tellement apprécié cette action, et maintenant il établit un lien entre la prédication de l'évangile et un résultat pour sa gloire.
Donc le verset 9 nous montre un autre principe important.
L'adoration doit être le résultat de la prédication de l'évangile.
La prédication de l'évangile n'est pas un but en soi. C'est un moyen pour atteindre des âmes perdues, pour qu'elles se repentent.
Ensuite, le but ultime sera que ces âmes sauvées puissent devenir des adorateurs, comme Marie l'était.
Ainsi, on parlera aussi de ce que cette femme a fait en mémoire d'elle. Le Seigneur veut que cet élément soit gardé.
Et ainsi, la prédication de l'évangile a en vue l'adoration. On oublie par cela.
J'ai déjà fait une référence à Paul, et j'aimerais encore référer au Philippien 3, où nous voyons cet engagement de Paul.
Cet engagement de Paul, et il dit au verset 10, pour le connaître lui, est la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, étant rendue conforme à sa mort.
Si en quelque manière que ce soit, je puis parvenir à la résurrection d'entre la mort.
Cet engagement qu'on a vu avec Marie, on voit ici avec Paul. Pour le connaître lui. Le Seigneur était tout pour lui. Est-ce que le Seigneur est tout pour nos coeurs?
L'autre pensée que j'aimerais encore ajouter, c'est que dans la place où le Seigneur Jésus serait mis à mort, parce que Bethany était tout près de Jérusalem,
dans cet environnement hostile, il y a eu donc ses coeurs pleins d'appréciation pour lui. Et c'est encore le contexte pour nous. Nous vivons dans le même monde qui a crucifié le Seigneur Jésus.
Le même caractère moral que dans ce temps-là. Et les croyants peuvent maintenant préparer quelque chose pour le Seigneur Jésus. Est-ce que nous avons à coeur ses intérêts?
Est-ce que nous sommes comme Marie, comme Marthe et comme Lazare? Que le Seigneur nous aide. Et que nous puissions ainsi offrir quelque chose à lui dans le temps où il est rejeté. Pour glorifier son nom et dans l'attente de son retour. Amen. …
Transcription automatique:
…
Nous voulons maintenant continuer notre étude sur l'adoration en lisant Jean 20 depuis le premier verset.
Et le premier jour de la semaine, Marie de Magdala vint le matin au sépulcre, comme il faisait encore nuit, et elle voit la pierre ôter du sépulcre.
Elle court donc et vient vers Simon Pierre et vers l'autre disciple que Jésus aimait, et elle leur dit, on a enlevé du sépulcre le Seigneur, et nous ne savons où on l'a mis.
Pierre donc sortit, et l'autre disciple, et ils s'en allèrent au sépulcre. Ils couraient les deux ensemble, et l'autre disciple courut en avant plus vite que Pierre, et arriva le premier au sépulcre.
Et s'étant baissé, il voit les linges à terre, cependant il n'entra pas. Simon Pierre donc, qui le suivait, arrive, et il entra dans le sépulcre, et il voit les linges à terre, et le sueur qui avait été sur sa tête, lequel n'était pas avec les linges, mais plié en yeux à part.
Alors donc l'autre disciple aussi, qui était arrivé le premier au sépulcre, entra, et il vit et crut, car il ne connaissait pas encore l'écriture qu'il devait ressusciter d'entre les morts.
Les disciples s'en retournèrent donc chez eux. Mais Marie se tenait près du sépulcre, dehors, et pleurait. Comme elle pleurait donc, elle se baissa dans le sépulcre, et elle voit deux anges vêtus de blanc, assis, un à la tête, et un au pied, là où le corps de Jésus avait été couché.
Et ils lui disent, Femme, pourquoi pleures-tu ? Elle leur dit, Parce qu'on a enlevé mon Seigneur, et je ne sais où on l'a mis. Et en disant cela, elle se tourna en arrière, et voit Jésus qui était là, et elle ne savait pas que ce fut Jésus.
Jésus lui dit, Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? Elle, pensant que c'était le jardinier, lui dit, Seigneur, si toi tu l'as emporté, dis-moi où tu l'as mis, et moi je l'offrirai.
Jésus lui dit, Marie. Elle, s'étant retournée, lui dit en hébreu, Rabboni, ce qui veut dire Maître. Jésus lui dit, Ne me touche pas, car je ne suis pas encore montée vers mon Père, mais va vers mes frères, et dis-leur, je m'en vais.
Jésus lui dit, J'ai apporté au disciple qu'elle a vu le Seigneur, et qu'il lui a dit ses choses.
Le soir donc étant venu, ce jour-là, le premier de la semaine, et la porte du lieu où les disciples étaient, par crainte des juifs étant fermés, Jésus vint et se tint au milieu d'eux. Il leur dit, Paix vous soit. Et en disant cela, il leur montra ses mains et son côté.
Les disciples se réjouirent donc quand ils virent le Seigneur. Jésus donc leur dit encore, Paix vous soit. Comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie. Et en disant cela, il souffla en eux et leur dit, Recevez l'Esprit Saint. A quiconque vous remettrez les péchés, ils sont remis. Et à quiconque vous les retiendrez, ils sont retenus.
Les souffrances du Seigneur Jésus sont un sujet de méditation, de contemplation et d'adoration. Lorsque nous serons dans le ciel, nous verrons le Seigneur Jésus comme l'agneau égorgé. Nous serons toujours rappelés de ses souffrances. Nous aurons toujours le privilège de pouvoir méditer sur les souffrances du Seigneur Jésus.
Je dirais aussi que, séparés de ces souffrances, nous n'aurions aucune bénédiction. On ne peut pas s'imaginer quelques bénédictions que ce soit que nous aurons maintenant, séparées de ces souffrances. Et ainsi, nous serons toujours inclinés d'être occupés des souffrances du Seigneur Jésus.
On pense à ces trois femmes autour de la croix.
Jean 19, verset 25. La mère du Seigneur Jésus, sa soeur Marie, la femme de Clopas, et Marie de Magdala.
Mais aujourd'hui, nous voulons nous occuper de Marie de Magdala et quelques détails dans le chapitre 20.
Dans la section de Myres et d'Aloès, d'environ 100 livres, nous voyons aussi des éléments d'adoration. Par ces actes de Nicodème et de Joseph, ils ont exprimé leur amour pour le Seigneur Jésus. Et cela est aussi un acte d'adoration.
Prenons maintenant Jean 20, premier verset, le premier jour de la semaine.
Si je ne me trompe pas, cette expression se trouve cette fois dans le Nouveau Testament.
Et en comparant l'importance de la résurrection du Seigneur Jésus avec d'autres passages, notamment le Chrétien 15, nous réalisons l'importance essentielle de cet événement.
Sans la résurrection du Seigneur Jésus, nous serions encore dans nos péchés, nous serions encore coupables devant Dieu, nous serions encore perdus.
Nous n'avons pas toutes les implications de la résurrection ici. C'est plutôt un résumé de ce qui s'est passé et ce résumé est très important.
Il n'y a aucun événement dans l'histoire de l'humanité qui est aussi bien documenté que la résurrection du Seigneur Jésus.
Il y a eu même des hommes scientifiques qui ont eu de grands doutes, qui voulaient même prouver que le christianisme est basé sur des mensonges.
Et en étudiant les faits et la documentation que nous avons dans la Bible, ils ont conclu qu'ils se sont trompés et ils sont devenus chrétiens eux-mêmes.
C'est un fait essentiel.
Une autre chose que j'aimerais souligner, c'est que Marie venait de Magdala. Magdala était situé dans la tribu de Neftali.
Nous lisons dans Genèse 49, verset 21, que Jacob a dit de Neftali, il est une biche lâchée, libérée. Il profère de belles paroles.
Ici nous avons déjà une indication de cette vérité qu'on trouve dans Genèse 20, parce qu'il faut mettre cela ensemble avec le psaume 22.
Dans le psaume 22, nous avons un résumé très profond et très touchant des souffrances du Seigneur Jésus sous le jugement abandonné de Dieu, avec les résultats.
Les résultats de cette façon au moins, et les résultats aussi pour nous, comme le verset 22 nous le montre.
J'annoncerai ton nom à mes frères, je te louerai au milieu de la congrégation.
Et ainsi le psaume 22 établit la base de notre délivrance, ce qui va ensemble avec la pensée, une biche libérée.
Mais la biche dans la Bible suggère aussi une réponse, une réponse d'amour.
On trouve la biche dans Cantiques des Cantiques, chapitre 2, verset 7, si je ne me trompe pas, et dans Habakkuk 3 aussi.
Et la biche suggère une réponse d'amour.
Et c'est ça qu'on trouve dans Marie de Magdala.
Et dans le titre du psaume 22, il est dit au chef de musique sur Agélette Hachakar.
Agélette veut dire biche, Hachakar de l'aurore.
Et ainsi Marie était très tôt devant le tombeau, devant le sépulcre.
Dans Marc et d'autres évangiles, nous voyons qu'elle est venue avec d'autres femmes, tard, le soir, donc après le sabbat.
Selon le calendrier juif, le jour commence le soir, après le coucher du soleil.
Et ainsi après le sabbat, elles sont venues pour voir la situation autour du sépulcre.
Elles sont rentrées chez elle, et le matin, très très tôt, comme la biche de l'aurore, Marie est venue seule.
Plus tard elle est venue aussi avec les autres femmes, mais d'abord seule.
Et ainsi la pensée de la biche de l'aurore s'applique vraiment à Marie.
Son dévouement, son zèle pour le Seigneur.
Le Seigneur l'avait délivrée de cette dément, et ainsi elle était une biche libérée, lâchée,
qui donne une réponse de son cœur d'amour au Seigneur Jésus.
Et ainsi elle se trouve tôt le matin au sépulcre, comme il faisait encore nuit.
Comme il faisait encore nuit.
Donc on voit ici son amour pour le Seigneur, son zèle pour le Seigneur, comment elle était diligente envers le Seigneur.
Elle n'avait pas la même intelligence spirituelle que Marie de Bethany,
mais elle avait un zèle pour le Seigneur qui nous frappe beaucoup.
Et ainsi elle est un exemple pour nous.
Question pratique, est-ce que nous voulons prendre le temps, le dimanche matin, tôt,
pour nous occuper du Seigneur, pour méditer sur sa personne,
ou est-ce qu'on veut faire la grâce matinée, puis ensuite on n'a presque pas de temps pour être à l'heure dans la réunion.
Marie est un encouragement pour nous.
Lorsqu'elle est arrivée, elle voit que la pierre était ôtée du sépulcre.
Je voulais mentionner douze points importants par rapport au christianisme.
Il est vrai que le christianisme n'a pas commencé avant la venue du Saint-Esprit dans Acte II, la naissance de l'Assemblée,
mais dans Jean XX, nous voyons des éléments essentiels qui forment ensemble la base du christianisme.
Comme j'ai dit tantôt, sans la résurrection du Saint-Jésus, on n'aurait rien.
L'Esprit ne serait pas venu dans Acte II.
Donc les deux événements vont vraiment ensemble.
Et ces douze points qu'on trouve dans Jean XX, établissent comme le fondement du christianisme.
Un sépulcre ouvert et vide.
C'était la preuve que le Saint-Jésus était ressuscité.
Il n'était pas volé par ses disciples ou même par ses ennemis.
Ici, on voit plusieurs détails qui nous montrent que cela aurait été entièrement impossible.
Il y a des religions dans le monde qui nous montrent le sépulcre de leurs grands hommes ou de leurs prophètes ou de leurs originateurs.
Mais ici, nous voyons le sépulcre du Saint-Jésus, mais c'est un sépulcre vide.
C'est la preuve de sa résurrection.
Et ainsi, le christianisme commence par ce fait-là.
Le deuxième point que j'aimerais souligner, elle court vers ces deux.
Encore une autre preuve de son zèle, de son amour.
Jésus veut maintenant communiquer aux disciples.
Et c'est frappant qu'il vient vers Simon-Pierre.
Simon-Pierre qui avait renié le Maître, mais elle vient vers lui.
C'est frappant.
Et vers l'autre disciple.
L'autre disciple, c'est une expression qui est utilisée cinq fois pour Jean.
Comme aussi l'autre expression, le disciple que Jésus aimait, est utilisée cinq fois.
Et elle leur dit, on a enlevé du sépulcre le Seigneur.
Et nous ne savons où on l'a mis.
Donc plus tard, on verra dans ce chapitre que cette conclusion était foutue.
Mais à cause de ce message, Pierre et l'autre disciple sont allés voir vers cette voie.
Et leur zèle se montre là aussi.
Marie a couru vers ces deux.
Maintenant les deux disciples ont couru.
C'est beau de voir cet élément de zèle.
Donc pour résumer, on a vu le premier jour de la semaine,
qui est le jour caractéristique du christianisme,
par le fait que c'est mentionné au moins sept fois dans le Nouveau Testament,
avec des explications souvent ajoutées.
Le deuxième point, on a vu le tombeau, le sépulcre est ouvert et vide.
Et le troisième point qu'on voit avec Marie, et aussi avec les deux disciples,
c'est cet élément de zèle spirituelle, cet élément de diligence.
Et cette diligence devrait nous caractériser.
Comme Pierre le dit dans 2 Pierre 1,
ça vaut la peine de lire ces quelques versets dans 2 Pierre, chapitre premier.
Nous lisons 2 Pierre 1, verset 3.
Comme sa divine puissance nous a donné tout ce qui regarde la vie et la piété,
par la connaissance de celui qui nous a appelés, par la gloire et par la vertu,
par laquelle il nous a donné les très grandes et précieuses promesses,
et par elles vous participez de la nature divine,
ayant échappé à la corruption qui est dans le monde par la convoitise,
pour cette même raison aussi, il apporte tout un pressement.
C'est cet élément-là que j'aimerais souligner, tout un pressement.
C'est ça qu'on voit avec Marie et avec Pierre et Jean.
Maintenant pour nous, l'exhortation, l'appel, l'encouragement pour nous,
soignez à votre foi la vertu.
Donc cet empressement va se montrer par le fait qu'on va ajouter à notre foi la vertu,
à la vertu la connaissance, verset 6, à la connaissance la tempérance,
à la tempérance la patience, à la patience la piété,
à la piété l'affection fraternelle et à l'affection fraternelle l'amour.
Car si ces choses sont en vous, y abondent,
elles font que vous ne serez pas oisifs, mystériles,
pour ce qui regarde la connaissance de notre Seigneur Jésus-Christ.
Nous avons tous besoin de cet empressement qu'on voit avec Marie et avec ses deux disciples dans Jean-Pin.
On revient maintenant à Jean-Pin,
et nous voyons encore un autre élément,
que j'aimerais souligner.
Au premier verset, Marie a vu,
et ce verbe est utilisé au verset 5,
il voit les linges à terre,
cependant il n'entra pas.
C'est Jean, l'autre disciple, il voit,
comme Marie de Magdala a vu.
Ensuite au verset 6, nous voyons Simon-Pierre,
qui les suivait,
il entra dans le sépulcre et il voit les linges à terre.
Là, il y a un autre mot qui est utilisé,
qui implique qu'on regarde avec beaucoup de précision,
étudiant la situation, pour ainsi dire.
Il se pose peut-être des questions,
le sueur qui avait été sur sa tête,
lequel n'était pas avec les linges, mais plié en lieu à part.
Donc, si c'était des voleurs qui étaient venus,
il n'aurait pas pris le temps pour mettre ces choses en ordre,
comme Pierre l'a vu.
Il a probablement réfléchi là-dessus.
Mais alors, on lit l'autre disciple verset 8,
qui était arrivé le premier au sépulcre,
entra et il vit.
Là, il y a encore un autre verbe,
un verbe qui veut dire voir et comprendre.
Et il a dit écru.
Donc, il l'a vu, il n'a pas seulement vu globalement,
comme Marie et Pierre au début,
ni seulement pour étudier les détails,
pour se demander des questions, comme Pierre l'a fait probablement,
mais il l'a vu avec son cœur et il a compris.
C'est ce troisième verbe qui est utilisé au verset 8.
Et le lien est fait entre voir et croire.
Comme on voit aussi chapitre 20, verset 31,
lisons aussi verset 30, excusez-moi, verset 29,
lorsque le Seigneur dit à Thomas,
Jésus lui dit, parce que tu m'as vu,
tu as cru, bienheureux ceux qui n'ont point vu et qui ont cru.
Jésus, donc, fit aussi devant ses disciples
beaucoup d'autres miracles qui ne sont pas écrits dans ce livre,
mais ces choses sont écrites afin que vous croyez
que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu,
et qu'en croyant, vous ayez la vie par son nom.
Et cet élément est quand même suggéré déjà
dans le disciple Jean, dans cette action.
Il vit et crue.
Il n'a pas vu le Seigneur, mais il a considéré les choses
comme il les a observées dans le tombeau.
Et là, il a cru.
Cette vision va ensemble avec la foi.
Comme c'est le cas pour chaque chrétien.
Mais il ajoute à ce moment-là, verset 9,
car il ne connaissait pas encore l'écriture
qu'il devait réciter d'entre les morts.
Donc, il y a encore cette ignorance.
Il a vu avec son cœur,
mais il n'a pas encore tout compris.
Cette ignorance devrait être enlevée plus tard,
comme on voit par exemple dans Luc 24 aussi,
et à la fin du passage qu'on a vu
lorsque le Seigneur Jésus a montré ses mains
et son côté aux disciples.
Là, cette ignorance et cette incrédulité a été enlevée.
Au verset 10, les disciples s'en retournèrent donc chez eux.
Ils restent dans Lyon-Reims,
et dans ce contexte-là, on voit maintenant Marie.
Dans Lyon-Reims même, mais,
elle se tenait près du sépulcre.
Donc là, elle persiste.
Comme une veuve qui reste auprès du tombeau
de son mari décédé.
Elle est dehors du tombeau.
Elle pleure.
Comme elle pleurait encore,
comme elle pleurait donc,
elle se baissa dans le sépulcre,
et elle voit deux anges vêtus de blanc,
assis, un à la tête et un au pied,
là où le corps de Jésus avait été couché.
Et ils lui disent,
« Femme, pourquoi pleures-tu ? »
Elle leur dit, « Parce qu'on a enlevé mon Seigneur. »
« Et je ne sais où on l'a mis. »
Donc, le fait que ces deux,
ces deux anges étaient dans le tombeau,
donne encore une preuve additionnelle
à la résurrection du Seigneur Jésus.
Et puis ces anges confirment aussi
qu'il est ressuscité,
comme on voit dans Luc 24, par exemple.
C'est beau de voir l'affection que Marie avait pour le Seigneur,
et cette expression qu'elle utilise,
« Mon Seigneur », verset 13.
Je pense que cette expression se trouve seulement
quatre fois dans le Nouveau Testament.
Dans l'histoire de Luc 1, avec Élisabeth,
lorsque Marie, enceinte, est venue la visiter.
Élisabeth était enceinte trois mois plus tôt.
Et elle a dit, « Mon Seigneur,
pourquoi j'ai ce privilège,
dit avec mes propres mots,
que la mère de mon Seigneur vienne me visiter ? »
En Luc 1.
Ici, nous voyons, donc en Luc 1,
cette expression « mon Seigneur »
avant que le Seigneur Jésus soit né.
Il était encore dans le ventre de sa mère.
Dans Jean 20, nous voyons cette même expression avec Thomas,
lorsqu'il a vu le Seigneur Jésus.
Il a dit, au verset 28,
« Thomas répondit et lui dit,
« Mon Seigneur est mon Dieu. » »
Là, il a constaté que le Seigneur Jésus était ressuscité.
Donc, on voit,
on voit Elisabeth avant la naissance du Seigneur Jésus,
on voit Marie,
qui a connu le Seigneur pendant sa vie sur la terre,
disant « mon Seigneur ».
On voit Thomas,
voyant le Seigneur ressuscité,
qui dit « mon Seigneur ».
Et dans Philippiens 3,
nous trouvons Paul, l'apôtre Paul,
qui a vu le Seigneur dans la gloire.
Il parle de « mon Seigneur » dans Philippiens 3.
C'est vraiment touchant.
Et ainsi, nous pouvons nous dévouer aussi au Seigneur Jésus,
pas seulement en disant « mon Seigneur »,
mais en nous soumettant à lui pratiquement comme étant « mon Seigneur ».
Verset 14, « Ayant dit cela, elle se tourna en arrière,
et elle voit Jésus qui était là.
Elle ne savait pas que ce fut Jésus. »
Nous ne savons pas si c'est comme Luc 24,
les deux disciples d'Ammaus,
leurs yeux étaient tenus par Dieu,
pour ne pas le reconnaître.
Mais ça souligne quand même l'ignorance de Marie.
Et comme c'est la même chose avec les onze disciples,
cette ignorance les a marqués.
Et le Seigneur dit aussi dans Luc 24,
aux deux disciples d'Ammaus,
qu'ils auraient dû comprendre cela.
Plus tard, aux autres disciples,
ils auraient dû comprendre que le Messie devrait souffrir et ensevelir.
« Femme, pourquoi pleures-tu ?
Qui cherches-tu ?
Quelle affection ! »
Le Seigneur montre aussi envers Marie en disant cela.
Mais ça va encore plus loin.
Parce qu'on lit au verset 15,
elle pensant que c'était le zertinier,
lui dit « Seigneur, si toi tu l'as emporté,
dis-moi où tu l'as mis et moi je l'offrirai. »
Elle surestime probablement sa capacité.
Mais ça c'est le moment où le Seigneur dit au verset 16,
« Marie ».
Il s'adresse à Marie comme à sa propre brebis.
Comme le Seigneur avait dit aussi dans Jean 10, verset 3,
lorsqu'il parle de la bergerie,
« À celui-ci le portier ouvre,
et les brebis écoutent sa voix.
Et il appelle ses propres brebis par leur nom,
et les mène dehors. »
C'est ça que le Seigneur Jésus avait fait avec les disciples,
et avec d'autres qui ont cru qu'il les a menés dehors du judaïsme.
Mais il n'avait pas encore compris cela,
comme Marie de Magdala n'avait pas encore compris cette nouvelle position.
Mais elle répond au Seigneur,
lorsqu'il l'appelle avec son nom,
elle répond à ça.
Et puis Jean 10, verset 4, nous dit,
« Quand il a mis dehors toutes ses propres brebis,
il va devant elles, et les brebis le suivent. »
C'est ça qu'on voit dans Jean 20.
Le Seigneur prépare les disciples pour le suivre en dehors du judaïsme.
Et les brebis le suivent car elles connaissent sa voix.
Et au verset 14 du chapitre 10,
« Moi, je suis le bon berger, et je connais les miens, et je suis connu des miens. »
Voilà, ça se montre tout de suite.
Lorsque le Seigneur a mentionné le nom de Marie dans Jean 20, verset 16,
elle dit, c'est en retourné,
elle dit en hébreu, Rabboni,
ce qui veut dire maître, ou mon maître.
Donc, mon Seigneur, mon maître.
Mais là, le Seigneur introduit une vérité que Marie n'avait pas encore comprise.
Et c'est remarquable que dans le christianisme,
nous voyons que c'était à une femme que le Seigneur Jésus s'est manifesté en premier.
Si les juifs avaient donné un témoignage selon leur coutume,
ils auraient choisi un homme, ou des hommes, pour être les premiers pour voir le Seigneur Jésus, pour être les témoins.
Et en effet, dans 1 Chrétien 15, lorsqu'on voit les témoins qui sont mentionnés là,
de la résurrection du Seigneur Jésus,
le nom de Marie n'est pas mentionné, pas du tout.
Parce que dans 1 Chrétien 15, il s'agit du témoignage public,
et pour ce témoignage public, il fallait que ce soient des hommes qui étaient des témoins.
Dans 1 Chrétien 15, à côté du témoignage des Écritures,
nous voyons d'autres témoins de la résurrection du Seigneur Jésus, le troisième jour,
verset 5, qu'il a été vu de ses faces,
verset 5, qu'il a été vu de ses faces,
puis verset 12,
ensuite il a été vu de plus de 500 frères à la fois,
dont la plupart sont demeurés en vie jusqu'à présent, mais quelques-uns aussi se sont endormis,
ensuite il a été vu de Jacques, puis de tous les apôtres,
et après tous, comme d'un avortant, il a été vu aussi de moi, c'est l'apôtre Paul qui parle.
Ainsi il mentionne les frères qui ont vu le Seigneur,
parce qu'il était le témoin public.
Mais en réalité, comme on voit dans Jean 20, la première personne qui a vu le Seigneur Jésus ressusciter,
c'était une femme, c'était Marie,
qui pouvait donner une réponse à l'amour du Seigneur Jésus,
mais elle n'avait pas encore compris toute la vérité.
Et le Seigneur va expliquer cela, et elle devient un messager.
Donc Marie est devenue une messagère d'une bonne nouvelle,
et le Seigneur lui dit,
va vers mes frères, verset 17 au milieu.
Donc le quatrième point dans la liste de douze points,
on trouve maintenant Christ ressuscité.
Un Christ ressuscité.
Et c'est lui qui donne ce message à Marie,
pour qu'elle rapporte ce message aux autres disciples.
Notons au verset 16, verset 17 plutôt,
« ne me touche pas ».
C'est pour mettre l'emphase sur ce point que le Seigneur représentait maintenant un nouvel ordre de choses.
Marie avait connu le Seigneur Jésus,
elle avait vu le Seigneur Jésus au milieu de ses disciples,
elle l'avait vu comme un juif élevé dans le judaïsme,
comme ce juif fidèle,
et maintenant le Seigneur Jésus,
ressuscité à partir de lui,
est le Seigneur Jésus.
Comme ce juif fidèle,
maintenant le Seigneur Jésus, ressuscité,
appartient à un nouvel ordre de choses.
Et comme chef de la nouvelle création,
il enseigne Marie ici pour apporter ce message aux autres disciples,
qui sont appelés « mes frères ».
C'est après la mort et la résurrection du Seigneur Jésus
qu'il a établi ses liens.
Avant sa mort, il n'a pas pu dire « mes frères ».
Il a même dit que l'épreuve serait laissée seule.
Et maintenant, il peut s'associer à eux en disant « mes frères ».
Parce qu'il appartient, et nous aussi aujourd'hui,
nous appartenons à un nouvel ordre de choses.
Christ, comme chef d'une nouvelle génération,
comme chef de la nouvelle création,
nous lui appartenons.
J'aimerais juste référer à quelques passages là-dessus.
Hébreu 2, verset 1.
Car et celui qui sanctifie et ceux qui sont sanctifiés sont tous d'un.
C'est pourquoi il n'a pas honte de les appeler frères,
disant « j'annoncerai ton nom à mes frères.
Au milieu de l'assemblée, je chanterai tes louanges. »
Il fallait que Marie comprenne, donc,
que le Seigneur appartient à un nouvel ordre de choses.
Romain 8, un autre exemple, verset 29.
Car ceux qu'il a préconnus, il les a aussi prédestinés à être conformes à l'image de son Fils,
pour qu'ils soient premiers nés entre plusieurs frères, ou entre beaucoup de frères.
Ceux qu'il a prédestinés, il les a aussi appelés,
et ceux qu'il a appelés, il les a aussi justifiés,
et ceux qu'il a justifiés, il les a aussi glorifiés.
Romain 8, verset 29-30.
Nous parle de ce conseil de Dieu, de cette préconnaissance de Dieu,
cette prédestination pour nous rendre conformes à l'image de son Fils.
Mais Dieu a eu ce conseil avant la fondation du monde.
Et ainsi, cette nouvelle création, qui est introduite ici publiquement,
dans ce monde, par la résurrection du Seigneur Jésus,
date, pour utiliser ce mot-là, depuis avant la fondation du monde.
Cela représente donc un nouvel ordre de choses.
Le judaïsme n'était pas dès avant la fondation du monde.
C'était dans le temps des conseils de Dieu,
datant de la fondation du monde,
dans le temps, avec l'appel d'Abraham, Genèse 12.
C'est donc un autre ordre de choses.
Il fallait que Marie apprenne, et les autres disciples aussi, et nous aujourd'hui,
qu'on apprenne à comprendre que l'ordre auquel on appartient maintenant,
c'est tout à fait nouveau, en dehors de ce qu'on voit dans ce monde,
en dehors de ce qu'on peut toucher.
Évidemment, les disciples ont touché le Seigneur Jésus,
comme on voit dans Matthieu 28, par exemple.
Ce n'est donc pas un commandement absolu de ne pas le toucher,
mais ici, c'est pour montrer à Marie que le Seigneur représentait maintenant
un nouvel ordre de choses.
Il fallait qu'elle l'apprenne maintenant à connaître,
selon ce nouvel ordre de choses,
pas comme elle l'avait connu auparavant.
Et là, le Seigneur ajoute, au verset 17 au milieu,
« Mais va vers mes frères, et dis-leur, je monte vers mon Père et votre Père,
et vers mon Dieu et votre Dieu. »
Le Seigneur établit ici donc cette nouvelle relation entre les disciples et Lui-même.
Si on prend ce fait de la résurrection du Seigneur Jésus,
ensemble avec l'enseignement du Nouveau Testament,
par exemple dans Romains 4 et 5,
nous voyons que par cela la justice a été établie.
Dieu a établi la justice par le fait qu'il a ressuscité le Seigneur Jésus.
C'était une démonstration de la part de Dieu, de justice,
qu'il était satisfait de l'œuvre du Seigneur Jésus.
Et ainsi, le christianisme est placé sur cette base de justice établie
par rapport à la résurrection du Seigneur Jésus.
Ça c'est le cinquième point.
Une base de justice.
Le sixième point que nous avons déjà vu,
mais j'aimerais simplement mentionner comme sixième point,
c'est l'affection que Marie avait pour le Seigneur Jésus.
Et cette affection devrait nous caractériser aussi par rapport à l'adoration.
Sans cette affection, sans ce dévouement,
elle était 100% pour le Seigneur Jésus.
Si nous ne sommes pas 100% pour le Seigneur Jésus,
on ne peut pas vraiment l'adorer.
Cette affection est un autre élément du christianisme.
Le septième point, on l'a vu par cette expression « mes frères »,
s'ensemble avec cette nouvelle création, une nouvelle relation.
C'est donc le septième point.
Et cette relation, c'est aussi une relation avec le Père,
qui est maintenant notre Père,
et Dieu qui est maintenant notre Dieu.
Pourtant, le Seigneur garde une distinction.
Il dit « je monte vers mon Père et votre Père ».
Il ne dit pas « je monte vers notre Père ».
Il y a donc ici quelque chose en commun,
en même temps un élément pour différencier,
que le Seigneur Jésus est absolument unique,
parce qu'il est aussi le fils unique du Père.
Et cela, nous ne pouvons pas partager.
Il ne peut pas partager avec nous cette position qu'il a comme fils unique dans le sein du Père.
Mais il nous introduit dans la maison du Père, dans la famille de Dieu,
et il nous amène très près de Dieu.
Et dans le christianisme, nous connaissons Dieu comme Père.
Ça, c'est un élément tout à fait nouveau.
Cette nouvelle relation est la connaissance de Dieu comme Père.
Ce n'est pas la même chose qu'on voit avec Israël,
qui s'adresse à Dieu quelquefois comme Père.
Ça, c'est plutôt collectif.
Mais ici, nous avons cette relation personnelle
que chaque chrétien a maintenant avec Dieu comme Père,
et en même temps un lien avec le Seigneur Jésus,
ressuscité et glorifié.
Dans cette expression « mon Père », nous voyons donc aussi une nouvelle association.
Il y a une distinction entre le Seigneur Jésus, comme nous l'avons vu,
mais nous avons aussi quelque chose de commun avec lui.
C'est une nouvelle association qu'il a introduit ici, le huitième point.
Verset 18, nous voyons Marie comme messagère.
Elle vient rapporter aux disciples qu'elle a vu le Seigneur et qu'il lui a dit ces choses.
Quelle lumière merveilleuse ce premier jour de la semaine.
Le neuvième point, c'est au verset 19.
Au verset 19, nous voyons le noyau de l'Assemblée.
Je répète, l'Assemblée a commencé, acte 2, avec la venue du Saint-Esprit,
mais nous voyons quand même le même noyau ici déjà, le premier jour de la semaine.
Et ainsi, c'est comme une illustration de la vérité de l'Assemblée.
Comme on a vu dans Jean 12, une illustration de la vérité de l'Assemblée par rapport à l'adoration.
Et ce premier jour de la semaine, les portes du lieu où les disciples étaient, par crainte des juifs, étant fermées.
Donc, l'Assemblée ici, ce groupe qui représente l'Assemblée plus tard,
est marqué par le fait qu'il y a une séparation du judaïsme.
Les portes étaient fermées.
Ici, c'est encore par crainte, parce qu'ils n'ont pas encore connu toute la vérité de Dieu.
Et comme on l'a vu déjà dans Jean 10, le Seigneur avait fait sortir les brebis du judaïsme.
Son troupeau n'est pas la même chose que l'étable.
L'étable où les brebis se trouvaient est comparée avec le judaïsme.
Mais le Seigneur, dans Jean, est présenté comme une personne qui attire les brebis après lui-même.
Et ainsi, il attire les disciples le jour de la... le premier jour de la semaine, il va les attirer à lui-même.
Et peut-être, on ne connaît pas tous les motifs des disciples, mais un motif était la crainte des juifs.
Mais on peut quand même tirer une leçon de cela.
La résurrection du Seigneur Jésus a été rejetée par les juifs, comme on voit dans Matthieu 28, par exemple.
Et cette résurrection a établi la base d'un nouveau témoignage.
C'est aussi important à comprendre que le Seigneur ressuscité n'est pas revenu dans la vie comme c'était le cas avec Lazare, par exemple.
Et les autres personnes qui étaient ressuscitées dans la Bible, dans le Nouveau Testament et dans l'Ancien Testament.
Ces personnes sont mortes après.
Mais le Seigneur Jésus, ressuscité, appartient à un nouvel ordre et il ne peut mourir maintenant.
Ça c'est une grande différence avec les personnes qui ont été rappelées à la vie par le Seigneur Jésus, comme Lazare l'était.
Et ainsi, nous devons comprendre que nous appartenons à ce nouvel ordre de choses.
Quoique notre corps physique, que nous puissions encore mourir dans ce sens-là, nous appartenons à ce nouvel ordre de choses.
Et on voit dans le Nouveau Testament que les chrétiens, comme on voit avec Étienne, par exemple, le premier martyr, il est décédé, mais la parole dit qu'il s'est endormi.
C'est par rapport à cette nouvelle relation que le Seigneur Jésus a établie.
On ne meurt plus.
Après cette parenthèse, j'aimerais souligner le dixième point, c'est Jésus au milieu.
On a vu le noyau de l'Assemblée, en dehors du judaïsme, les portes étant fermées.
Et ça reste une vérité importante pour nous, parce que dans l'histoire de l'Église, nous voyons que le judaïsme a été réintroduit au sein de l'Église.
Mais ce qu'on doit faire au sein de l'Église, on doit être prêt pour recevoir le Seigneur Jésus.
Il est venu, comme dans Jean XII, il est venu et il s'est endormi au milieu.
Ça dépend de quelle traduction, quel manuscrit on lit.
Il y a des manuscrits qui disent qu'il s'est endormi au milieu.
Là c'est pour mettre l'emphase sur le fait que le Seigneur Jésus est le centre absolu.
Mais si on lit, il s'est endormi au milieu d'eux, ce qui est correct aussi.
Il est le centre par rapport à nous.
Les deux vérités sont vraies, bien entendu.
Le Seigneur est toujours le centre.
Il a été le centre même à la croix.
Le Seigneur est toujours le centre.
Et lorsqu'on le voit au ciel, Apocalypse 5, il est encore le centre.
Il est au milieu du trône.
L'agneau immolé, au milieu du trône.
Il est toujours le centre, il sera le centre.
Et dans Matthieu 18, il dit, là où deux ou trois sont réunis en mon nom ou à mon nom, je suis au milieu d'eux.
Il est le centre.
Quelle vérité merveilleuse.
Le dixième point, Jésus au milieu, Jésus le centre.
Et là il a un message pour eux, il leur dit, paix vous soit.
Ce qui était nécessaire pour pouvoir faire des progrès spirituels.
Il était sans doute bouleversé.
Il fallait qu'il apprenne à digérer des choses très importantes.
Et il avait besoin de cette paix.
Et le Seigneur avait dit déjà auparavant, par exemple dans Jean 14, verset 27, je vous laisse la paix, je vous donne ma paix.
Donc dans ce contexte là, une relation avec le Seigneur Jésus, ayant ma paix, ils ont besoin de cette paix pratiquement pour jouir de la relation avec le Seigneur Jésus.
Il dit au chapitre 16, verset 33, je vous ai dit ces choses afin qu'en moi vous avez la paix.
On ne peut pas avoir la paix pratiquement séparée de la personne du Seigneur Jésus.
Et ainsi le Seigneur souligne cette relation avec lui.
En moi vous ayez la paix.
Le Seigneur a parlé de ces choses dans la chambre haute, où il a parlé de cette relation avec lui dans la gloire, et nous sur la terre, les disciples, et ensuite même nous les croyants d'aujourd'hui.
Il dit cela pour nous encourager, vous avez la tribulation dans le monde, mais ayez bon courage, moi j'ai vaincu le monde.
On a donc besoin de cette paix, parce que sans cette paix, sans ce fondement pratique de la paix, de la relation avec le Seigneur, on ne peut pas être des vainqueurs.
Et pour confirmer ce message, il donne un signe vers ses vains.
Ayant dit cela, il leur montra ses mains et son côté.
Pour prouver que c'était bien lui qui parlait.
Et le résultat, les disciples se réjouirent donc quand ils virent le Seigneur.
Quand ils virent le Seigneur.
Les signes, ses mains et son côté, ont démontré clairement que c'était bien le Seigneur.
Et ensuite, il leur dit encore une fois, paix vous soit, verset 21.
C'est une paix qui était nécessaire pour la fondation, pour avoir cette relation avec le Seigneur Jésus.
Mais c'est aussi une paix qui devait les caractériser comme ses messagers maintenant.
Ils seraient des messagers de paix.
Et nous voyons que Paul, plus tard, en prison, Philippiens 4, verset 7, il pouvait parler de cette paix qui dépasse notre entendement.
En prison, dans des circonstances très difficiles, il avait cette paix.
Et les disciples, ici dans Jeanvin, avaient besoin de cette paix.
Et nous avons besoin de cette paix pratique qui dépasse notre entendement.
Même dans des situations très difficiles, le Seigneur nous donne cette paix pour que nous puissions fonctionner comme ses disciples.
Et puis, là, il peut leur donner ses ordres pour être ses messagers.
Comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie.
On a vu tantôt Marie comme messagère.
Maintenant, le Seigneur va envoyer les onze, et plus tard, Matthias inclut les douze disciples.
Plus tard, on verra aussi Saul de Tars, comme on l'a mentionné dans 1 Corinthians 15.
Ce sont des messagers du Seigneur Jésus.
Des apôtres, comme le Père m'a envoyé.
Le Seigneur Jésus était le grand messager, comme le Père m'a envoyé.
A peu près quarante fois, nous avons cette pensée qu'il était l'envoyé de Dieu, l'envoyé du Père.
Et maintenant, il dit, comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie.
On a vu déjà, donc, un élément que nous avons en commun avec le Seigneur Jésus.
Ici, évidemment, c'est d'abord les onze disciples qui avont ce privilège.
Ils sont tout à fait à part, mais on peut aussi tirer une leçon pratique de ce qu'ils sont.
Tirer une leçon pratique de ce message.
Chaque chrétien est un envoyé.
Nous avons été tirés de ce monde.
Et maintenant, le Seigneur nous renvoie dans ce monde pour être ses envoyés, pour être ses ambassadeurs, pour le représenter dans ce monde.
Moi aussi, je vous envoie.
Donc, je répète, ça s'applique d'abord aux onze et les douze, actes deux, un et deux.
Paul aussi, mais c'est en principe le cas pour chaque chrétien qui est un envoyé.
Et le Seigneur Jésus a été lui-même le grand messager, comme j'ai dit tantôt.
Éphésiens 2 nous le confirme au verset 17.
Il est venu et a annoncé la bonne nouvelle de la paix à vous qui étiez loin et la bonne nouvelle de la paix à ceux qui étaient près.
Donc, le Seigneur est le grand messager.
Et dans ce passage d'Éphésiens 2, nous voyons qu'il annonce la bonne nouvelle encore par les disciples.
C'est lui qui est le grand messager et il répand le message maintenant à travers nous, à travers les instruments qu'il envoie.
Mais au fond, c'est lui qui est le messager, c'est lui qui est le message aussi.
Et Éphésiens 2, d'ailleurs, confirme aussi la relation que nous avons avec le Père, verset 18, car par lui, nous avons les uns et les autres axés auprès du Père, par un seul esprit.
Ça confirme ce que nous avons vu tantôt par rapport à notre relation avec le Père.
Donc, ici, nous voyons le onzième point, c'est que les disciples sont devenus des représentants de Christ.
Et pour les qualifier pour cela, au verset 22, nous trouvons encore un douzième point.
Ayant dit cela, il souffla en eux et leur dit, recevez l'Esprit Saint.
Nous avons ici une illustration du Seigneur Jésus comme chef de la nouvelle création.
Comme dans Genèse 2, verset 7, Dieu a soufflé le souffle de vie en Adam, le Seigneur comme créateur de la nouvelle création.
Comme dans Genèse 2, verset 7, Dieu a soufflé le souffle de vie en Adam, le Seigneur comme créateur de la nouvelle création souffle maintenant dans les disciples.
C'est un acte qui montre sa puissance comme créateur, chef de la nouvelle création.
Il communique ainsi la vie de la résurrection.
Et cette vie est appelée Esprit Saint, recevez l'Esprit Saint.
On ne doit pas confondre cela avec l'acte 2 où le Saint-Esprit en personne est venu pour habiter dans les chrétiens, dans les croyants.
Mais ici c'est la vie de résurrection qui est appelée Esprit Saint, parce que si le Seigneur communique ces choses, c'est en même temps par l'Esprit Saint qu'il communique cela.
C'est un autre mystère, le mystère de la Trinité, on voit comment le Père est impliqué, le Fils et le Saint-Esprit.
Et avec cela il donne une tâche spéciale aux disciples, à quiconque vous remettrez les péchés, ils sont remis.
Ici il leur donne une administration, ce nouvel ordre, et selon l'autorité qu'il leur donne comme apôtre, il leur donne une administration pour pouvoir remettre les péchés.
Nous ne devons pas confondre cela avec le fait que c'est Dieu qui pardonne les péchés, ici c'est d'une façon administrative.
Les juifs étaient coupables du meurtre, cette génération-là au moins, étaient coupables du meurtre du Messie.
Et lorsqu'il allait recevoir au milieu d'eux, comme on voit dans acte 2, des croyants juifs, il fallait leur remettre les péchés.
D'abord, évidemment, c'était une question envers Dieu, mais ici c'est dans le sens horizontal, ceux qui étaient coupables du meurtre du Messie,
il fallait leur remettre les péchés le moment qu'ils ont cru, qu'ils se sont repentis.
Et ce genre de remission de péchés, on trouve encore, par exemple dans 2 Corinthiens 2, mais c'est le sujet à étudier,
sur la terre, l'assemblée, il y a la présence du Seigneur Jésus pour remettre les péchés, donc dans le sens horizontal.
Jamais une personne doit se placer entre Dieu et nous, dans le sens vertical, c'est Dieu qui pardonne le péché,
on n'a pas besoin d'un autre médiateur entre Dieu et nous pour le faire.
Le Seigneur Jésus lui-même est notre médiateur et tout dépend de lui.
Il est aussi notre avocat si nous avons péché, un genre d'eux, celui qui est impliqué comme avocat auprès du Père pour rétablir cette relation que nous avons avec le Père.
Ça c'est donc tout un sujet à étudier.
J'aimerais terminer avec le cas de Thomas, l'un des douze qui n'est pas venu.
Le jour de la résurrection, le soir, on trouve les dix disciples seulement et Thomas a été averti par les autres vers les vingt-cinq qui lui dirent, nous avons vu le Seigneur, qu'à témoigner, nous avons vu le Seigneur.
Et sans doute cela a parlé à la conscience et au cœur de Thomas, mais il a dit, à moins que je ne voie en ses mains la marque des clous et que je ne mette mon doigt dans la marque des clous et que je ne mette ma main dans son côté, je ne le croirai point.
Et huit jours après, dans le christianisme le nombre huit joue un rôle important.
Ça représente ce nouvel ordre de choses.
Le nombre huit dans la Bible, le son huit par exemple, souligne l'aspect de ce nouvel ordre de choses.
Donc une semaine plus tard, mais c'est appelé huit jours après, ses disciples étaient de nouveau dans la maison et Thomas avec eux, Jésus vint, Jésus vient, les portes étant fermées, il s'éteint au milieu d'eux.
Encore ce même miracle, le Seigneur passe à travers ses portes fermées, parce qu'il appartient à un nouvel ordre de choses, il s'éteint au milieu d'eux, de nouveau le centre et ensuite il dit paix vous soit.
C'est la troisième fois qu'on lit cette expression, paix vous soit.
Dans cette situation, Thomas sans doute était encore bouleversé, peut-être que les autres disciples dans une mesure encore avaient besoin de cette paix.
Et le Seigneur dit à Thomas, verset 27, avance ton doigt ici et regarde mes mains, avance aussi ta main et mets-la dans mon côté et ne sois pas incrédule mais croyant.
Et qu'est-ce qu'on voit ici, Thomas il devient un adorateur, verset 28, mon Seigneur est mon Dieu.
Quelle expression merveilleuse, on a parlé déjà de cette expression mon Seigneur, en même temps il reconnait aussi comme mon Dieu.
Et nous avons cette relation avec le Seigneur Jésus, nous pouvons le reconnaître comme mon Seigneur, en même temps mon Dieu.
C'est encore un autre mystère, mais nous pouvons mettre notre confiance en lui, la foi accepte les mystères de Dieu, la foi adore, comme on voit ici.
Donc en parlant de l'adoration, quoique souvent nous voyons les femmes impliquées dans l'adoration, nous avons ici un homme en adoration.
Mais Thomas représente aussi peut-être le reste fidèle dans les jours à venir, qui vont croire, après l'enlèvement de l'église, le Seigneur va avoir un nouveau témoignage ici sur la terre, au milieu des juifs.
Et ils vont croire aussi en lui. Ils auront donc quelque chose en commun avec nous, et en même temps il y aura une distinction.
Ça c'est donc quant à la prophétie, ici littéralement évidemment, Thomas faisait partie de l'assemblée.
Le Seigneur dit au verset 29, parce que tu m'as vu, tu as cru, bienheureux ceux qui n'ont point vu et qui ont cru.
C'est l'ordre des choses pour nous. Le Seigneur est dans la gloire. Nous n'avons jamais vu, mais nous avons cru.
Et dans 1 Pierre 1, il s'adresse à d'autres croyants juifs qui n'avaient pas vu le Seigneur, mais qui avaient cru.
1 Pierre 1, verset 8, Jésus Christ, lequel, quoique vous ne l'ayez pas vu, vous aimez, est croyant en lui, quoique maintenant vous ne le voyez pas, vous vous réjouissez d'une joie ineffable et glorieuse, recevant la fin de votre foi, le salut des âmes.
C'est la même chose pour nous aussi, pas seulement pour les croyants parmi les juifs, c'est pour tous les croyants, comme le Seigneur le confirme ici, bienheureux ceux qui n'ont point vu et qui ont cru.
Quelle bénédiction, bienheureux ceux qui n'ont point vu.
Et cette nouvelle création, un nouvel ordre de choses, n'est pas quelque chose qu'on voit par l'œil physique, mais on voit par la foi.
Et ainsi, la conclusion de l'évangile se trouve au verset 31, ces choses sont écrites afin que vous croyiez. Nous croyons sur la base de la parole écrite, comme Romain 10 le dit aussi, la foi est par la parole.
Qu'est-ce qu'on croit ? Que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, deux vérités que les juifs ont toujours rejetées, qu'il soit le Christ, le Messie, qu'il soit Dieu, le Fils de Dieu.
C'est mieux de déjammer les mains qu'en croyant. On doit continuer à mettre notre confiance en lui, notre foi en lui, pour jouir de cette vie par son nom.
Et ainsi, nous serons capables de l'adorer constamment, jouissant cette relation nouvelle avec lui. Il sera toujours l'objet de notre adoration. Que le Seigneur nous aide pour la gloire de son nom. Amen. …
Transcription automatique:
…
Ce sera notre privilège d'être des adorateurs pour toute l'éternité.
Et dans le christianisme, il n'y a pas de différence entre la position des frères et des sœurs.
Les deux ont la même position.
Quant au rôle, dans ce temps, il y a une différence.
Il y a plusieurs différences.
Le fonctionnement est différent, les rôles dans le contexte public sont différents,
comme on voit dans l'Occidentien 11 et le Timothée 2, par exemple.
Mais j'aimerais étudier avec vous quelques passages dans le Nouveau Testament
qui nous parle de notre privilège et de notre responsabilité comme adorateurs.
Et je souligne donc que dans ces privilèges et dans ces responsabilités,
les sœurs ont la même place que les frères.
D'abord dans Romain 8, disons versets 15 à 17,
car vous n'avez pas reçu un esprit de servitude pour être de recherche dans la crainte,
mais vous avez reçu l'esprit d'adoption par lequel nous crions à Baptère.
L'esprit lui-même rend témoignage avec notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
Et si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers, héritiers de Dieu, co-héritiers de Christ.
Si du moins, nous souffrons avec lui, afin que nous soyons aussi glorifiés avec lui.
Il y a ici une présentation de notre privilège d'adorateur, mais aussi de nos responsabilités.
D'abord, le verset 15 souligne notre privilège d'être dans une nouvelle position,
ayant reçu l'esprit d'adoption.
Il y a plusieurs références à l'esprit dans Romain 8,
et ce serait en soi une étude intéressante de voir ces 14 rôles du Saint-Esprit,
une plénitude de rôles, de fonctions que l'esprit a par rapport aux croyants.
Ce que nous voyons au verset 14 par exemple,
ceux qui sont conduits par l'esprit de Dieu,
ceux-là sont fils de Dieu.
Donc là, la nouvelle position, être des fils de Dieu, des fils par adoption,
parce que nous sommes devenus fils de Dieu par le fait qu'il nous a adoptés comme fils,
il y a une référence là aussi,
seulement le Seigneur Jésus était le fils unique dans le sein du Père,
et il n'avait pas besoin d'être adopté.
Mais nous avons l'esprit d'adoption,
Dieu nous a placés dans une relation avec lui,
pour être des fils pour lui-même,
effigiant le verset 4.
Et dans cette nouvelle position,
nous avons l'esprit comme notre conducteur.
Mais en même temps, nous voyons le côté responsabilité,
de notre responsabilité,
ceux qui sont conduits par l'esprit de Dieu,
ceux-là sont fils de Dieu.
Donc, notre conduite pratique,
notre obéissance,
notre dépendance,
ensemble avec ce privilège.
Il est supposé que les fils de Dieu soient conduits par l'esprit de Dieu,
mais ce n'est pas automatiquement le cas.
Nous devons être spirituels, une attitude spirituelle.
Comme chapitre 7 nous montre,
si nous sommes encore sous l'influence quelconque de la chair,
nous ne pourrons pas être conduits par l'esprit.
Donc voilà, cette nouvelle position,
ensemble avec cette responsabilité.
Et dans ce contexte-là, nous avons le verset 15.
Vous n'avez pas reçu un esprit de servitude.
Et là, nous voyons le contraste avec la situation sous la loi de Moïse,
qui est comparée avec la servitude,
parce que ça va ensemble avec ce que nous étions dans la chair.
Et là, il y a la crainte.
Je ne dis pas que nous n'avons pas la crainte de Dieu.
Ici, c'est la crainte par rapport à cette servitude,
comme les fils d'Israël en Égypte,
dans la crainte des pharons.
Nous avons le respect pour Dieu.
Et la crainte de Dieu, c'est quelque chose d'autre.
Nous vivons maintenant dans une relation avec Dieu.
Dans ce respect, par amour pour Lui,
c'est une autre forme de crainte, mais c'est tout à fait différent.
Verset 15 dit, vous avez reçu l'esprit d'adoption.
Donc, nous voyons ici aussi une relation intime que nous avons avec l'esprit de Dieu.
Nous avons une relation avec le Père.
Nous avons une relation intime avec le Seigneur Jésus, le Fils, et le Notre Bien-Aimé.
Et nous voyons plusieurs côtés de cette relation développée dans l'Épître aux Romains.
Mais nous avons aussi cette relation avec l'Esprit.
Mais l'emphase dans ce verset est sur la relation avec le Père.
Nous avons vu dans Jean 20 cette nouvelle relation,
nouvelle association par rapport à la nouvelle création.
Et dans ce contexte-là, nous avons reçu l'Esprit,
pas seulement comme vie de résurrection, comme on l'a vu à la fin de Jean 20,
mais aussi l'Esprit de Dieu qui habite en nous.
Et c'est par l'Esprit que nous pouvons répondre à la pensée de Dieu.
Dieu donne toutes les ressources nécessaires pour que nous puissions fonctionner comme ses fils.
Et ses fils lui donnent une réponse dans l'adoration, disant « Abba, Père ».
C'est vraiment tout nouveau.
Le judaïsme n'a pas connu cela.
Et même les croyants, après l'enlèvement de l'Église,
n'auront pas ce même privilège que nous avons maintenant.
Et je mets l'emphase sur la question d'une réponse.
Dieu atteint une réponse de notre part.
Il cherche une réponse.
On a vu cela dans Jean 4, dans Jean 12 aussi, et aussi dans Jean 20.
Et maintenant, c'est quelque chose que Dieu atteint de nous comme croyants aujourd'hui.
Pour cela, il nous a donné l'Esprit qui nous soutient,
qui lui-même rend témoignage vers ses sœurs avec notre esprit.
Donc, il y a un lien intime avec l'Esprit de Dieu.
Il nous guide.
Mais il produit aussi en nous un état qui est conforme aux pensées de Dieu,
comme étant ses fils par adoption.
Et ainsi, l'Esprit opère en nous et rend témoignage avec notre esprit.
C'est remarquable comment l'Esprit est identifié avec les croyants dans ce chapitre romain 8.
Et il donne un témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
Ici, ce n'est pas fils de Dieu, mais enfants de Dieu, parce que nous sommes dans le désert.
Ce monde est un désert.
Et Dieu nous a laissés dans ce monde pour le représenter.
Donc, comme enfants de Dieu, nous représentons Dieu dans ce monde, dans ce présent siècle.
Comme fils de Dieu, nous donnons une réponse à Dieu, à l'amour de Dieu.
Comme fils, nous sommes pour lui-même, pour cette relation d'intimité dans la famille de Dieu.
Comme enfants de Dieu, nous sommes dans ce monde, nous représentons Dieu.
Et même dans l'apocalypse 22, nous voyons comment nous serons des serviteurs pour toute l'éternité.
Comme enfants de Dieu, nous aurons donc un rôle à jouer par rapport à la création, par rapport à l'univers.
Comme fils de Dieu, nous sommes vus dans l'intimité, dans cette relation d'intimité dans la famille de Dieu,
qui va ensemble avec ce libre accès que nous avons maintenant, comme nous verrons plus tard.
Comme fils, nous sommes aussi héritiers, verset 17.
Et comme enfants, évidemment, il dit, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers.
Par cette relation d'enfants, nous avons aussi le privilège d'être héritiers, héritiers de Dieu.
Donc Dieu nous donne tout ce qu'il a, tout ce que Dieu a, il met à notre disposition.
C'est la pensée merveilleuse.
Mais, nous avons tout cela avec le Seigneur Jésus, co-héritier de Christ.
Comme nous lisons au verset 32, celui-même qui n'a pas épargné son propre fils, mais qui l'a livré pour nous tous,
comment ne nous ferait-il pas donc aussi librement de toutes choses avec lui.
Dieu nous a donné toutes choses, comme étant ses héritiers, mais nous avons toutes choses ensemble avec Christ.
Ainsi, nous sommes co-héritiers de Christ, unis avec lui.
Mais là, c'est donc notre privilège, et ça va tout de suite ensemble avec notre responsabilité.
Si du moins, nous souffrons avec lui, afin que nous soyons aussi glorifiés avec lui.
Donc, les privilèges que nous avons ne peuvent pas être détachés de la responsabilité qui va avec.
Si du moins, nous souffrons avec lui.
Nous sommes dans un monde où il est rejeté, et ainsi comme ses représentants,
comme les enfants de Dieu, représentants de Dieu, comme les représentants du Seigneur Jésus,
comme étant ses disciples maintenant, nous souffrons avec lui.
Nous avons une part avec lui, mais nous avons aussi cette responsabilité, quant à notre place dans ce monde, de souffrir avec lui.
Ces éléments-là sont développés dans un pierre.
Mais Paul parle aussi des souffrances, au verset 18, c'est pour le temps présent,
et il dit, elles ne sont pas dignes d'être comparées avec la gloire à venir qui va nous être révélée.
Si on prend Romain VIII dans son ensemble, on aurait beaucoup de sujets de méditation,
mais aussi beaucoup de raisons pour adorer.
Mais je veux seulement référer maintenant à ce passage qu'on a au verset 29 et 30,
car ceux qu'il a préconnus, il les a aussi prédestinés.
Donc on voit ici la préconnaissance de Dieu, et ceux qu'il a préconnus, il les a prédestinés,
mis à part dans son conseil, pour être conforme à l'image de son fils.
Ça c'est le but ultime, à être conforme à l'image de son fils, pour qu'il soit premier né entre plusieurs frères.
Nous avons vu cette relation déjà dans Jean XX, mes frères,
et ici nous avons cette pensée que Dieu avait arrangé cela déjà dans son conseil,
dès avant la fondation du monde, pour que nous soyons conformes à l'image de son fils,
afin qu'il soit le premier né entre beaucoup de frères.
Et verset 30 explique en détail ceux qu'il a prédestinés, il les a aussi appelés, prédestinés.
C'est la grâce souveraine de Dieu, avant la fondation du monde.
Appelés, c'est ce qu'il a fait dans le temps, par sa grâce, il nous a appelés.
Ensuite, il les a aussi justifiés.
C'est sur la base de l'oeuvre accomplie de Christ.
Sans sa mort, sa résurrection, ce serait impossible.
Mais cette justification est notre part maintenant.
Et dans ce contexte-là, Dieu nous voit déjà comme glorifiés.
Dans la relation avec Christ, qui est maintenant dans la gloire,
Dieu nous voit déjà glorifiés.
C'est dans son conseil.
Quoi que nous soyons encore dans ce monde, sur cette terre,
nous n'avons pas cette pensée que nous sommes déjà glorifiés.
C'est vraiment par rapport au conseil de Dieu, au propos de Dieu,
par rapport à Christ, qui est maintenant dans la gloire.
Mais nous voyons au verset 28,
nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu.
Ceux qui sont appelés selon son propos.
Aujourd'hui, nous sommes dans le désert,
et les voies de Dieu avec nous font que toutes choses travaillent ensemble
pour le bien de ceux qui aiment Dieu.
On est ici à l'école de Dieu, il nous forme pour lui-même,
et ainsi les voies de Dieu vont aboutir à l'accomplissement du conseil de Dieu.
Versets 28 et 29 vont ainsi ensemble.
D'un côté les voies de Dieu dans le temps avec nous,
d'un autre côté le conseil de Dieu qu'il a eu dès avant la fondation du monde.
Et pour le sujet d'adoration, c'est quelque chose à réfléchir.
Nous sommes maintenant des fils, ensemble avec le Fils,
et nous avons donc une nouvelle position pour pouvoir adorer le Père.
Verset 31, que dirons-nous donc à ces choses?
Il y a cette question que Paul pose ici,
et ça va bien ensemble avec la pensée du verset 28,
les voies de Dieu avec nous.
Que dirons-nous donc à ces choses?
Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous?
Cette nouvelle position que nous avons reçue montre que Dieu est pour nous.
Mais ce que je veux dire maintenant, dans les voies de Dieu,
il nous prépare pour jouir de cette nouvelle position,
pour pouvoir répandre au coeur de Dieu.
Et ainsi, il aime que nous puissions réaliser que Dieu est pour nous,
qui sera contre nous.
La preuve que Dieu est pour nous, verset 32,
c'est lui-même qui n'a pas épargné son propre Fils,
mais qui l'a livré pour nous tous.
Quel sujet d'adoration!
Quelle pensée!
Que le Père a donné son propre Fils,
qu'il ne l'a pas épargné,
qu'il n'a pas diminué le jugement que le Seigneur Jésus a subi à notre place,
malgré le fait qu'il était le Fils bien-aimé de Dieu.
Son propre Fils, c'est pour soumier cette relation d'intimité et d'amour
entre le Père et le Fils.
Il ne l'a pas épargné, mais il l'a livré pour nous tous.
C'est l'acte de la grâce souveraine de Dieu,
l'acte d'amour de Dieu.
Il est vrai, le Seigneur Jésus s'est livré lui-même.
Il est vrai, Judas l'a livré entre la main des hommes.
Mais ici, c'est Dieu qui a livré son propre Fils.
Comment ne nous fera-t-il pas donc aussi librement de toutes choses avec lui?
Et ainsi, Dieu nous prépare pour être des adorateurs.
On a reçu tout.
On a vu cela dans Jean IV.
Dieu est le grand donateur.
Il donne tout.
Et librement.
Mais pour jouir ces choses avec lui.
Donc, dans la communion avec Dieu lui-même, le Père,
dans la communion avec le Seigneur Jésus.
Qui intendra accusation contre le Virgule de Dieu?
C'est une autre chose importante.
Pour pouvoir jouir de la relation avec Dieu,
pour pouvoir donner une réponse dans l'adoration,
nous devons réaliser dans nos cœurs que notre nouvelle position
est en dehors de chaque accusation possible.
Donc, Satan est l'accusateur des frères.
Mais quant à notre nouvelle position, il ne trouvera aucune accusation.
Si Satan trouve une accusation contre nous, c'est par rapport à notre pratique, malheureusement.
Mais quant à notre nouvelle position, comme adorateur, comme Fils de Dieu,
il n'y a aucune accusation possible.
Verset 34, c'est Dieu qui justifie.
Qui est celui qui condamne?
L'Épître aux Romains met beaucoup d'emphase sur notre position comme étant justifiée devant Dieu.
Dieu nous a justifiés.
Qui peut donc condamner?
Ces remarques sont importantes pour nous aider à donner une réponse dans l'adoration.
Plus qu'on réalise cette position merveilleuse que Dieu nous a donnée,
comme étant ses propres Fils,
plus on sera capable de pouvoir adorer le Père et le Fils.
Et je répète, c'est exactement la même pour les frères et pour les sœurs.
C'est Christ qui est mort,
mais plutôt qui est aussi ressuscité, qui est aussi à la droite de Dieu.
Cette nouvelle position que Dieu nous a donnée est sur la base de la mort et de la résurrection du Christ
et sur la base du fait qu'il est maintenant à la droite de Dieu.
Il a été élevé et exalté.
Il se trouve là, à la droite de Dieu.
Et de là, il a envoyé son Esprit qui habite maintenant en nous.
Donc cette nouvelle position est par rapport à un Christ mort, ressuscité et exalté à la droite de Dieu.
Et qu'est-ce qu'il fait là?
Il intercepte nous.
Il est là pour nous soutenir.
L'ennemi est là pour nous accuser.
Et on a vu déjà, il ne peut pas nous accuser contre notre position.
Il peut nous accuser peut-être par rapport à notre marche.
Mais là, nous avons le Seigneur qui intercepte pour nous.
C'est le remède que Dieu donne pour nous quant à ces attaques de l'ennemi.
Donc il ne faut jamais désespérer.
Il faut toujours, si on a manqué, si on a péché, il faut confesser ces choses et abandonner ces choses.
Mais là, il faut se réjouir dans le Seigneur Jésus et dans cette relation que nous avons maintenant avec Dieu et dans ses fils.
Et avec le Seigneur Jésus, avec qui nous pouvons partager tout maintenant.
Toute la joie, tous les biens qui sont dans le ciel et dans le cœur de Dieu, nous avons maintenant avec le Seigneur Jésus.
Quelle raison pour pouvoir adorer.
Et il nous soutient par son intercession.
Il nous soutient pour cela.
Et lorsqu'on voit autour de nous, verset 35, qui est-ce qui nous séparera de l'amour du Christ ?
Tribulation ou détresse ou persécution ou famine ou nudité ou péril ou épée.
Encore cette question ici.
Cette possibilité de trouble.
Mais ces choses ne peuvent pas nous séparer de l'amour du Christ.
J'ai déjà mentionné, nous avons des ressources merveilleuses dans l'amour du Christ.
Et c'est cette chose que Paul mentionne ici.
Les choses très réelles, tribulation, détresse, persécution, famine, nudité, péril, épée.
Les choses que Dieu permet dans son gouvernement, dans ses voies, verset 28.
Ces choses ne peuvent nous séparer de l'amour du Christ.
L'amour du Christ est une belle expression.
Qu'on trouve encore dans 2 Chrétiens 5.
Et pas un souci d'un Ephésien.
C'est seulement trois fois dans le Nouveau Testament.
Verset 36, selon qu'il est écrit, pour l'amour de toi, nous sommes mis à mort toujours.
Nous avons été estimés comme des prohibitués.
Ici, dans ce contexte difficile, la persécution, à cause du nom du Christ, par amour pour lui.
Il y a en même temps cette joie de la communion avec lui.
C'est un peu comme Paul dit dans Philippiens 3, verset 10.
Pour le connaître, lui, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances,
étant rendu conforme à sa mort, si en quelque manière que ce soit,
je puis parvenir à la résurrection d'entre les morts.
Donc, ces expériences qui sont décrites ici au verset 35 et 36 de Romains 8,
aident en réalité, nous aident à fonctionner comme des adorateurs.
Et ça va ensemble avec cette conviction du verset 37.
Au contraire, dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés.
L'emphase est encore sur celui qui nous a aimés.
Nous sommes entièrement dépendants de lui.
Mais la pensée de Dieu est que nous soyons des vainqueurs, même des super vainqueurs, plus que vainqueurs.
Satan veut nous faire tomber.
Et souvent nous manquons.
Mais le Seigneur veut nous encourager, il veut nous aider pour être des vainqueurs, et même des super vainqueurs.
Donc, dans le contexte actuel, des choses difficiles, des choses que Dieu permet,
et nous avons vu verset 28, toutes choses sont sous son contrôle.
Il fait coopérer toutes choses pour le bien de ceux qui aiment Dieu.
Dans ce contexte-là, Dieu veut que nous soyons des vainqueurs.
Et comme vainqueurs, nous pouvons adorer le Père et le Fils par le Saint-Esprit qui nous a donnés.
Si nous ne sommes pas pratiquement des vainqueurs, nous ne fonctionnons pas comme des adorateurs.
On peut faire une liturgie, on peut faire des formes, on peut imiter, mais seulement aider par l'Esprit.
Comme on a vu au verset 15, 16, 17, nous pouvons donner une réponse à l'amour de Dieu, à l'amour de Christ, comme des vrais vainqueurs.
Verset 38, on voit cette conviction que Paul a, je suis assuré ou convaincu.
Il a cette conviction en lui-même, par la foi évidemment.
Ni mort, nous mentionnons maintenant 10 choses, ni mort, ni vie, ni âme, ni principauté, ni chose présente, ni chose à venir,
ni puissance, ni hauteur, ni profondeur, ni aucun autre créateur ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu qui est dans le Christ Jésus, notre Seigneur.
Cet amour de Dieu est intimement lié à la personne de Christ.
Le Christ, c'est l'homme que Dieu a oint, l'homme de son bon plaisir, qui est l'humble homme de Nazareth, Jésus.
Mais il est aussi notre Seigneur, nous nous soumettons à son autorité.
Et c'est quelquefois, cette expression se répète dans le romain, Christ Jésus, Jésus Christ, notre Seigneur.
Et dans cette relation avec lui, nous pouvons être des vainqueurs.
Tout dépend de lui.
Par celui qui nous a aimés, nous pouvons être des vainqueurs.
Comme Paul dit dans Philippiens 4, je peux toute chose par celui ou en celui qui me fortifie.
Ainsi, le Seigneur Jésus est le vrai boas.
Lui est notre force.
Et c'est lui qui nous fortifie, qui nous donne cette victoire.
Et dans ce contexte là, nous pouvons être des adorateurs.
Et c'est un sommet de l'épître romain.
On a ici, pour ainsi dire, un climax.
Et ce climax va ensemble avec la fin du romain 11.
A la fin de ce traité sur les voies de Dieu, romain 11, Paul s'exclame en adoration.
Verset 32, car Dieu a renfermé tous, juifs et nations, dans la désobéissance, afin de faire miséricorde à tous.
Et c'est encore donc les voies de Dieu.
Verset 33, au profondeur des richesses et de la sagesse et de la connaissance de Dieu,
que ses jugements sont insondables, et ses voies introuvables.
Car qui a connu la pensée du Seigneur, ou qui a été son conseiller, ou qui lui a donné le premier,
et il lui sera rendu.
Car de lui, et par lui, et pour lui, sont toutes choses.
A lui soit la gloire éternellement. Amen.
Si nous voyons donc vraiment un exemple d'adoration.
Et nous pouvons suivre Paul dans cet exemple.
Mais c'est par rapport aux voies de Dieu.
Ses voies sont introuvables.
Et ici, nous pouvons adorer Dieu par rapport à ses voies.
C'est l'ensemble avec romain 8, verset 28.
Mais on a dit déjà, les voies de Dieu accomplissent son conseil.
Et le conseil qu'on voit dans Ephésiens 1, par exemple,
est un conseil qui est réalisé maintenant par les voies de Dieu.
Afin que nous puissions vraiment adorer.
Comme on a vu aussi dans romain 8, verset 29 et 30.
Cette nouvelle position qu'il nous donne selon son conseil.
Et ainsi, on voit dans Ephésiens 3, cette exclamation en adoration de Paul,
par rapport au conseil de Dieu.
J'aimerais maintenant mentionner cela.
Peut-être on va revenir avec Peter aux Ephésiens plus tard.
Mais dans romain 11, l'exclamation, l'adoration est par rapport aux voies de Dieu.
Et dans Ephésiens 3 à la fin, l'adoration de Paul est par rapport au conseil de Dieu.
Et ainsi, nous pouvons entrer dans ces choses pour pouvoir être des adorateurs.
J'aimerais maintenant mentionner un point que j'ai oublié en parlant de Jean 20.
Dans Jean 20, nous avons vu Marie de Magdala.
Et comme quelqu'un qui a donné une réponse à l'amour du Seigneur Jésus.
Nous avons vu cette expression dans l'option 22.
Qui nous touche et qui nous encourage de pouvoir suivre l'exemple de Marie.
Comme une biche de l'aurore.
Et ce qui m'a frappé, c'est de voir encore six autres femmes dans Jean.
Qui jouent un rôle.
Jean 2, nous avons la mère du Seigneur Jésus, Marie.
Et elle donne toute la place au Seigneur Jésus.
Elle apprend, elle a appris cela.
Et on voit, elle était invitée.
Mais graduellement, on voit que le Seigneur Jésus prend sa place comme il convient.
Et Marie dit aux serviteurs, faites tout ce qu'il vous dira.
C'est un encouragement d'avoir cette attitude de Marie.
C'est un encouragement pour nos soeurs.
C'est un encouragement pour nous comme frères.
Dans Jean 4, nous avons vu la femme samaritaine.
La deuxième femme.
Dans Jean 8, nous avons cette femme pécheresse.
Et le Seigneur l'a mis en liberté vraiment.
Et dans ce chapitre-revise, il parle beaucoup de la liberté.
Ils vont ensemble avec la lumière.
La liberté et la lumière vont ensemble dans Romain 8.
Là, le nom de la femme n'est pas mentionné.
Mais elle donne une présentation, une illustration de la place que nous avons comme croyants.
Autrefois dans le péché, maintenant libérés.
Nous pouvons répondre à l'amour de Dieu, à l'amour du Seigneur Jésus.
Et la quatrième femme que nous avons vue, c'est Marc.
Dans Jean 11 et 12, aussi dans Luc 10.
La cinquième femme, c'est Marie de Bethany.
Dans Jean 12, et cette belle réponse qu'elle a donnée au Seigneur Jésus.
La sixième femme, c'est dans Jean 19.
Elle était avec Marie, la mère du Seigneur Jésus, auprès de la croix.
Elle était mentionnée comme étant la femme de Clopas.
Peut-être c'est Clopas qui était plus tard un frère dirigeant qui a suivi Jacques après sa mort.
Mais ça, c'est la sixième femme qui est mentionnée.
Et Marie de Magdala, la septième, qui a donné cette belle réponse que nous avons vue dans Jean 20.
Encore une autre remarque par rapport à notre position de fils.
Je réfère à Jean 8, verset 35.
Or, l'esclave ne demeure pas dans la maison pour toujours.
Le fils, il demeure pour toujours.
Si donc le fils vous a franchi, vous serez réellement libre.
Donc cette nouvelle position de fils que nous avons vue dans Romain 8,
qui va ensemble avec l'Esprit Saint qui nous a donné cette position.
Nous avons reçu l'esprit d'adoption.
On peut aussi penser au fait que nous avons maintenant ce privilège d'être des fils.
Et peut-être l'enfance est sur notre esprit.
Mais de toute façon, dans Jean 8, nous voyons le Seigneur Jésus comme ce grand libérateur.
Et comme la femme accusée est devenue un adorateur, une adoratrice,
nous pouvons devenir adorateurs comme étant libérés par le fils divine.
Ayant reçu cet esprit d'adoption.
Et dans cette liberté, dans la joie d'être libres, nous pouvons adorer.
Ça va bien ensemble avec Romain 8, parce que dans Romain 7, nous voyons cette servitude du péché.
Romain 8, l'affranchissement.
Et ici, dans Jean 8, nous voyons que le fils nous affranchit.
Si l'esprit de Dieu fait quelque chose, c'est toujours ensemble avec le fils.
Le fils a envoyé son esprit.
Et l'esprit représente le Seigneur Jésus qui est maintenant dans la doigte.
Et il fait les choses selon lui et pour lui.
Donc ces 7 femmes de l'évangile de Jean sont des modèles, des illustrations pour nous, pour l'adoration.
Et par rapport à Jean 20, j'aimerais encore souligner les grands contrastes.
On a vu l'incertitude au début de Jean 20 qui était caractéristique pour tous, pour Marie, pour Pierre, pour Jean.
Et cette incertitude a été changée dans une certitude.
Et ayant cette certitude, plus tard, les disciples, les apôtres étaient prêts pour souffrir pour le Seigneur Jésus.
Sans cette certitude, ils n'auraient jamais pu souffrir.
Et j'ajouterais aussi, sans cette certitude, ils ne pourraient pas fonctionner comme adorateurs.
C'est pour nous la même chose.
Le deuxième point d'argent 20 encore, Marie avait beaucoup de malentendus.
Le Seigneur l'a inscrit.
Et elle a reçu ses enseignements pour ensuite comprendre.
Pour nous aussi.
Nous sommes inscrits par l'Esprit de Dieu maintenant.
Mais aussi par Christ, dans la gloire, qui nous enseigne par son Esprit,
pour que nous puissions comprendre notre nouvelle position.
Et ainsi nous pouvons adorer.
Au lieu de la crainte, on voit avec les disciples réunis le soir, les dix disciples qui étaient ensemble,
on voit que cette crainte est devenue de l'allégresse.
L'allégresse.
En voyant le Seigneur Jésus, ils étaient heureux.
Un autre concept.
Ensuite, on a vu aussi comment leur manque de foi a été changé en foi.
C'est surtout par rapport à Thomas.
Et à la fin de Jean XX, nous avons vu comment cette foi devait nous caractériser.
Nous qui vivons dans un temps où nous ne voyons pas le Seigneur Jésus.
Mais par la foi, nous l'avons promis.
Et nous l'aimons par la foi.
Comme on l'a vu aussi dans 1 Pierre 1 vers 7.
C'est la foi qui est caractéristique pour ce temps où nous vivons.
Christ dans la gloire.
L'Esprit de Dieu sur la terre.
Et tout par la foi.
Tout se réalise maintenant par la foi.
Nous avons la joie de ces choses par la foi.
Nous entrons dans ces choses par la foi.
Nous pouvons donner une réponse à l'amour de Dieu par la foi.
La foi est essentielle dans tout cela.
Et ainsi, je vais parler de l'épître aux Galates.
Dans l'épître aux Galates, nous voyons une attaque subtile de l'ennemi.
Pour enlever cette foi.
Pour que les croyants retournent au judaïsme.
Ou un mélange de judaïsme avec leur propre religion.
Non.
Avec un tel mélange, il n'y a pas d'adoration.
Et Paul les corrige.
Mais juste un beau verset pour commencer.
Dans Galate 1 verset 15.
Où Paul parle de sa propre expérience.
Quand écoute à Dieu qui m'a mis à part dès le ventre de ma mère.
Et qui m'a appelé par sa grâce de révéler son fils en moi.
Afin que je l'annonce parmi les nations.
Quelle révélation.
Dieu n'a pas seulement révélé son fils à l'apôtre.
Mais il l'a révélé aussi en lui.
C'est une formation qui a lieu dans l'apôtre Paul.
Cette formation a lieu aussi en nous les croyants aujourd'hui.
Pour que nous puissions annoncer Christ.
Pour pouvoir le présenter ici dans le monde où nous sommes encore laissés.
Et ainsi nous pouvons fonctionner comme des adorateurs.
Nous voyons l'attaque subtile dans Galate 2.
C'est un récit historique des choses qui se sont passées à Antioche.
Et comme même l'apôtre actuaire qui avait reçu ses visions dans acte 10.
Qui a compris cette liberté en Christ.
Comme l'ennemi a réussi à le faire dévier.
Même Barnabas qui est toujours un homme plein de grâces.
Appelé fils de consolation.
Qui s'est impliqué dans cette déviation.
La Paul a pris une position pour maintenir la vérité.
Pour défendre la vérité.
Et cette défense est encore nécessaire aujourd'hui.
Il a conclu cette défense en disant au verset 20 chapitre 2.
Je suis crucifié avec Christ et je ne vis plus moi mais Christ vit en moi.
Ce que je vis maintenant dans la chair je le vis dans la foi.
La foi au fils de Dieu qui m'a aimé, qui s'est livré lui-même pour moi.
C'est la base pour l'adoration.
Sans l'expérience de ces choses il n'y aura pas d'adoration.
Et voilà l'ennemi veut enlever cette expérience pratique.
Et cette réalisation pratique de la vérité.
Il veut réintroduire le judaïsme ou un mélange comme il a essayé avec les Galates.
Et dans chapitre 3 Paul revient à la grâce de Dieu comme manifesté à Abraham.
Et Abraham était le père de tous les croyants.
La position qu'Abraham a connue, une position de liberté.
Pour pouvoir donner une réponse à Dieu, pour fonctionner comme adorateur.
Cette position que nous devrions avoir aussi.
Et aussi les Galates devraient connaître cette position en réalité.
Chapitre 3 verset 26
Car vous êtes tous fils de Dieu par la foi dans l'exécution.
Car vous tous qui avez été baptisés pour Christ, vous avez revêtu Christ.
Il n'y a ni juif, ni grec, il n'y a ni esclave, ni ennemi, il n'y a ni mâle, ni femelle.
Car vous tous vous êtes un dans le Christ Jésus.
Or si vous êtes le Christ, vous êtes donc la semence d'Abraham ériquée selon la promesse.
C'est la position que nous avons selon les princes Jésus.
Pour pouvoir être des adorateurs.
Et Abraham a connu cette position même avant l'inscription sur Dieu.
Ici, dans le contexte de l'épître aux Galates,
les adorateurs voulaient que les croyances soient effoncées.
La Paul montre que c'était un mélange de la grâce avec la loi.
On ne peut pas mélanger ces deux systèmes.
C'est impossible.
Et si on le fait, il y aura une corruption.
Et dans ce contexte d'une corruption, il n'y aura pas d'adoration.
Voilà, Paul revient à son thème, chapitre 4.
J'ai dit, aussi longtemps que l'ériquier est en bas âge,
il ne diffère en rien d'un esclave, pas qu'il soit seigneur du tout.
Mais il est sous des tuteurs et des curateurs jusqu'à l'époque fixée par le Père.
Ainsi aussi nous, on parle maintenant de lui,
lorsque nous étions en bas âge, nous étions asservis sous les éléments du monde.
Les éléments du monde, c'est une expression que tu disais aussi dans Colossiens.
Et ça parle des éléments, des bases, des principes selon lesquels ce monde est organisé.
Ce monde est sous le contrôle du prince de ce monde.
Sous le contrôle du Dieu de ce siècle.
Et on voit ici dans Proverce et Troyes quand même, les juifs.
Et tant sous la loi, qu'ils étaient sous les éléments du monde.
Parce qu'ici, c'est leur position dans la chair qui est attribuée.
Malgré le fait qu'ils avaient ce privilège d'avoir la loi.
Ensuite dans leur histoire, nous voyons aussi qu'ils ont utilisé la loi de Dieu pour leur propre droit.
C'est encore un élément de la chair.
Et dans ce contexte là, ils étaient asservis sous les éléments du monde.
Tous les Colossiens dans un autre contexte, même le paganisme, c'est un autre aspect des éléments du monde.
Donc je dis, la loi qu'on a, comme Dieu l'a donnée, n'est pas un élément du monde.
Mais la condition dans laquelle les juifs se trouvaient, était comme asservi sous les éléments du monde.
Même en utilisant la loi, comme on voit avec tous les écrits qu'ils ont préparés,
dans Bishma, Talmud, c'est clair que ce sont seulement des éléments du monde.
Mélange les choses de Dieu avec les choses du Dieu de ce siècle.
Et la loi les a gardés dans un sens.
La préparation, comme on voit déjà dans Exotes 19 et 20.
Mais au verset 4, Gala 4, verset 4.
Mais quand l'accomplissement du temps est venu, Dieu a envoyé son Fils, né de femme, né sous la loi,
afin qu'il racheta ce qui était sous la loi.
Afin que nous ressustions l'adoption.
Et parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé l'esprit de son Fils dans nos corps, criant à la mère.
De sorte que tu n'es plus esclave, mais fils.
Et si fils, héritier aussi par Dieu.
Mais alors, ne connaissant pas Dieu, vous étiez asservi à ceux qui, par leur nature, ne sont pas Dieu.
Mais maintenant ayant connu Dieu, mais plutôt ayant été connu de Dieu,
comment retournez-vous de nouveau aux faibles et vulnérables éléments auxquels vous voulez encore être asservi ?
Vous observez des jours, des mois, des temps et des années.
Je crains quant à vous que peut-être je n'ai travaillé en vain pour vous.
C'est bien sur la note qu'on a ici.
Les juifs, dans leur histoire, se sont retournés vers l'idolâtrie.
A cause de cela, Dieu les a châtiés, disciplinés,
se distribuent en dispersion les deux tribus dans la capucité babylonienne.
Seulement un, qui est réélu, est retourné à Jérusalem, au pays de la promesse.
On voit des détails dans Eldrass, dans Rémy.
Mais, même là, plus tard, ils sont retournés d'une autre façon aux éléments.
Pas l'idolâtrie, comme auparavant, mais la façon dans laquelle ils ont utilisé les choses de Dieu.
C'était vraiment, encore, les éléments du monde.
Le Fils de Dieu est venu, comme on voit au verset 4, dans l'accomplissement du temps.
Dieu a envoyé son Fils.
Et la façon dans laquelle il est venu dans ce monde, né de femme, né sous la loi,
souligne comment il s'est identifié avec la situation dans laquelle son peuple se trouvait.
Mais le but était, c'est simple, de les racheter.
Afin qu'ils rachètent ceux qui étaient sous la loi.
Pour les mettre encore sous la loi ? Non.
Afin que nous ressuscitions l'adoption.
Donc, si on veut parler d'une loi, ce serait une nouvelle loi,
ce qu'on développe dans Galate 6.
La nouvelle création, sur laquelle nous avons parlé dans le verset 1,
va ensemble avec ce qu'on trouve dans Galate 6,
une nouvelle création, verset 15,
car ni la séparation, ni l'inséparation ne sont rien,
mais une nouvelle création.
C'est à l'égard de tous ceux qui marcheront selon cette règle,
fait et mis de récord sur eux et sur le Fils de Dieu.
Les vifs croyants, dans ce temps-là, les vifs chrétiens,
c'était le vrai Fils de Dieu.
Ensemble avec les croyants dans tous les nations,
ils connaissaient maintenant cette paix
et fait et mis de récord en marchant selon cette nouvelle règle
de la nouvelle création.
Au lieu d'être sous la loi de Moïse,
ils sont sous une nouvelle règle, une nouvelle loi.
C'est la loi de Christ.
Chapitre 6, verset 2.
« Portez l'écharpe les uns des autres et ainsi accomplissez la loi du Christ. »
Donc, la loi de Moïse ne s'applique plus aux chrétiens.
Les vifs croyants ou les croyants parmi les nations.
Mais il est basé sur une autre loi, une nouvelle loi.
La loi du Christ.
Une loi qui est beaucoup, d'un ordre tout assez différent.
Appartient à cette nouvelle création.
Ensemble avec cette nouvelle création.
Une règle qui appartient à cette nouvelle création.
Et on ne peut pas mélanger ces deux systèmes.
Comme je dis déjà, la loi et la grâce ne se mélangent pas.
Si on mélange les deux, il n'y aura plus d'adoration.
Voilà les récords de l'ennemi dans Zalab pour justement faire cela.
Pour mélanger les deux.
Pour revenir, chapitre 4.
Nous avons la nouvelle position qui s'ensemble avec cette nouvelle création.
Où nous voyons le prix.
Et par qui nous avons reçu l'adoption.
Nous avons déjà vu le prix d'adoption avant Marie.
Maintenant nous voyons que Dieu nous donne une nouvelle position.
Une nouvelle position d'être adopté comme fils.
Ensemble avec son fils.
Et ainsi vers le fils du chapitre 4.
Parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé l'esprit de son fils.
Parce qu'il y a encore ce lien merveilleux entre le fils et l'esprit.
Entre le fils et nous parce qu'on est fils.
Et la réponse que nous pouvons donner dans l'adoration.
Ayant l'esprit de son fils dans nos coeurs.
Criant à ma père.
C'est l'adoration.
C'est la position que Dieu nous donne.
Selon son conseil.
Selon son propos.
La vraie liberté qu'il nous donne.
Pour être ici.
Pour s'embanquerir.
Comme ses fils.
Et ainsi nous pouvons donner une réponse.
Dans l'adoration.
Abba, père.
C'est remarquable que le Saint-Jésus lui-même.
A prié dans le jardin de la 7ème année.
Dans le marche 14.
Abba, père.
Là il était dans le camp d'âge.
Ici c'est un autre contexte.
Mais nous avons maintenant le même privilège.
Nous pouvons nous adresser au père.
En disant Abba.
Papa.
David.
Et ainsi nous avons cette intimité.
Cette confiance.
En contraste avec le légalisme.
Le formalisme.
Qui l'entend là-dessus.
C'est ce système que les pro-docteurs voulaient introduire.
Au niveau des profsons.
Et ce danger est toujours là.
Chaque génération doit apprendre exactement le même principe.
Pour pouvoir jouir vraiment de cette nouvelle règle.
Qui va ensemble avec cette nouvelle création.
Qui va ensemble avec cette nouvelle position de Dieu.
Pour pouvoir répondre au cœur du père.
Pour pouvoir répondre aussi à l'amour du Saint-Jésus.
Et à Dieu qui a envoyé son propre Dieu.
La liberté chrétienne.
Va ensemble avec la liberté de l'esprit.
Et c'est bien résumé dans chapitre 5.
Premier verset.
Christ nous a placés dans la liberté.
En nous affranchissant.
C'est donc cette position dans laquelle Christ nous a placés.
Une position de liberté.
Ainsi nous avons été justifiés devant Dieu.
C'est la base de cette liberté.
La liberté est aussi la base de la relation avec Dieu.
Et c'est devenu le standard pour notre vie.
C'est pour ça que Paul dit.
Tenez-vous donc ferme.
Chaque privilège vient avec une responsabilité.
Tenez-vous donc ferme.
Et ne soyez pas de nouveau retenus sous un jeu de servitude.
Satan veut toujours corrompre les choses de Dieu.
Et nous faire dévier.
Pour qu'il n'y ait pas de fric pour Dieu.
Ainsi, dans l'Épître ou Galate, nous voyons ces deux systèmes.
Un système qui va ensemble avec l'esprit de Dieu.
Avec cette liberté.
Il s'est représenté ou illustré d'une façon allégorique.
Dans Sarah, la femme libre.
Tandis que le système de la loi qui va ensemble avec la chair.
Qui va ensemble avec l'esclavage.
Qui ne peut pas produire quoi que ce soit pour Dieu.
Donc il n'y a pas de fric pour Dieu, vraiment, avec ce système-là.
On voit ces deux placés l'un opposé de l'autre.
Il y a cet contraste que Paul décrit dans cette partie de l'Épître.
Galate 4, verset 19 à 31.
Mais pas seulement cela.
Il parle aussi d'un exercice profond qu'il avait.
Comme il l'exprime au verset 19.
Mes enfants, pour l'enfantement avec lequel je travaille de nouveau.
Jusqu'à ce que Christ ait été formé en vous.
Au début de la lettre, nous avons vu comment Dieu a formé Christ dans la peau de Paul.
Ça c'est l'intervention de la grâce souveraine de Dieu.
Maintenant nous voyons aussi le côté de l'homme.
Ça prend un exercice de notre part.
Et on voit ici Paul comme un père spirituel, comme une mère spirituelle qui travaille.
Même comme une mère qui va donner la vie à son enfant.
Qui va enfanter, elle est en travail, en labeur.
Pour quel but? Afin que Christ soit formé en vous.
Et cette formation est nécessaire pour être des vrais adorateurs.
Dans le chapitre 5, nous voyons comment ces deux systèmes sont placés l'un opposé à l'opposé de l'autre.
Et je veux juste souligner un verset, verset 13.
Car vous frères, vous avez été appelés à la liberté.
Seulement n'usez pas de la liberté comme d'une occasion pour la chair.
Mais par amour servez-vous l'un l'autre.
On sait que Satan est érusé.
Il peut même utiliser la liberté comme une occasion pour la chair.
Ce ne serait pas correct non plus.
Donc nous voyons comment nous devons être attentifs pour ne pas tomber dans les pièges de l'ennemi.
Verset 16, mais j'ai dit, marchez par l'esprit.
Dans la puissance de l'esprit.
Sous le contrôle de l'esprit.
Et vous n'accomplirez point la convertie de la chair.
Il y a la nouvelle nature qui a un nouveau guide opposé à la vieille nature avec le vieux guide de la loi.
Ensuite, nous avons les heures de la chair opposées aux fruits de l'esprit.
C'est remarquable que le fruit de l'esprit est un.
C'est un fruit composé de neuf aspects.
Et ce fruit dans son ensemble représente Christ.
Dans d'autres mots, verset 22 du chapitre 5.
Le fruit de l'esprit est l'amour, la joie, la paix, la longanimité, la bienveillance, la bonté, la fidélité, la douceur, la tempérance ou le contrôle de soi.
C'est un fruit composé de neuf aspects.
Ces neuf aspects représentent Christ en nous.
Comme on a vu dans le chapitre 4 verset 19.
Jusqu'à ce que Christ ait été formé en vous.
L'esprit de Dieu opère cela.
Et le fruit de l'esprit, c'est Christ reproduit dans le croyant.
Et ainsi il y aura de l'adoration.
Ainsi il y aura du fruit pour Dieu.
Verset 24.
Or ceux qui sont du Christ ont crucifié la chair avec les passions et les convertis.
Si nous vivons par l'esprit, marchons aussi par l'esprit.
C'est ce défi qui se passe devant nous.
Pour pouvoir continuellement être sous le contrôle de l'esprit.
Et ainsi dans ce passage il y aura beaucoup d'emphase sur l'esprit.
Dans le chapitre 5 verset 16 jusqu'au verset 25, il y a sept fois une référence à l'esprit.
C'est l'esprit qui produit Christ en nous.
Chapitre 6. Nous avons déjà mentionné un point.
Mais là j'aimerais maintenant souligner comment il y a une barrière entre le monde et le croyant.
Les deux ne peuvent jamais aller ensemble.
La grâce et la chair ne peuvent jamais aller ensemble.
Si on les met ensemble, la grâce ne sera plus la grâce.
Ce sera un mélange.
C'est ça que l'ennemi veut.
Et le résultat, graduellement, sera qu'il n'y aura pas de vraie adoration pour Dieu.
Pas de fruit pour Dieu.
Il met beaucoup d'emphase sur notre responsabilité.
Chapitre 6 verset 7.
Ne soyez pas séduits. On ne se moque pas de Dieu.
Car ce qu'un homme sème, cela aussi il maçonnera.
Nous sommes responsables pour ce que nous faisons.
Nous sommes responsables pour l'intention que nous avons choisie de notre vie.
Pour les choix.
Est-ce que nous avons toujours en vue les intérêts de Dieu?
Les intérêts de Christ?
Verset 8.
Car celui qui sème pour sa propre chair, maçonnera de la chair la corruption.
C'est très solennel.
On voit cela dans la vie de Jacob.
Et dans d'autres cas dans l'Ancien Testament, nous pouvons trouver de telles illustrations.
Mais celui qui sème pour l'Esprit, maçonnera de l'Esprit la vie éternelle.
Cela ne veut pas dire que nous pouvons acquérir la vie éternelle de nos propres efforts.
Mais ayant reçu la vie éternelle par la foi, nous avons le choix de nous concentrer sur la chose du Seigneur.
De promouvoir ses intérêts, ou bien de promouvoir les intérêts de la chair.
C'est ça le choix que nous devons toujours faire.
Celui qui sème pour l'Esprit.
Donc si notre choix est de nous identifier avec l'Esprit, et avec l'Esprit et avec le fruit de l'Esprit,
qui est dans la gloire, qui veut se reproduire en nous,
là il y aura la jouissance de la vie éternelle.
Ce n'est pas qu'on va recevoir à ce moment la vie éternelle.
On l'a reçu déjà.
Mais on va jouir davantage de la vie éternelle.
Et ainsi nous serons capables d'être de très adorateurs.
Évidemment, ces actions vont ensemble faire du bien,
comme verset 3, verset 4, et aussi verset 9 et 10.
Le service de Dieu va toujours ensemble avec prendre soin des intérêts des siens ici-bas.
La barrière de laquelle je parlais tantôt est formée par la croix, verset 14.
Mais qu'il ne m'arrive pas à moi de me glorifier sinon en la croix de notre Seigneur Jésus Christ,
par laquelle le monde me crucifie et moi au monde.
Il n'y a, dans les pensées de Dieu, pas de possibilité de mélanger les deux.
Il y a une frontière définitive.
Réaliser qu'on est crucifié au monde, c'est plus dur à comprendre et à réaliser.
Et c'est donc un exercice plus profond.
On réalise par la croix que le monde est crucifié pour moi, mais que moi aussi je suis crucifié au monde.
Verset 15, ni la circoncision, ni l'incirconcision ne sont rien, mais une nouvelle création.
On a vu la nouvelle création déjà dans Jean 20, et Christ est le chef de la nouvelle création.
Dans Galaties, nous avons la règle de la nouvelle création, ou la loi, si on veut utiliser ce mot-là, de la nouvelle création.
Si on n'est pas sous la loi de Moïse, ça ne veut pas dire que nous ne sommes pas sous aucune autre loi.
Nous sommes sous la loi de Christ, chapitre 6, verset 2.
Et ainsi, la nouvelle création est caractérisée par une règle, verset 16, à l'égard de tous ceux qui marcheront selon cette règle.
Paix et miséricorde sur eux, et sur l'Israël de Dieu.
Nous voyons ici aussi une référence aux croyants parmi les juifs, l'Israël de Dieu.
Et ainsi, les croyants qui sont d'entre les nations, ensemble avec les croyants d'entre les juifs, marcheront ensemble selon cette même règle.
Pas selon la loi de Moïse, mais selon cette nouvelle règle de la création.
Ils marcheront ensemble avec la nouvelle relation que Dieu a établie, ou les nouvelles relations que Dieu a établies par rapport à la nouvelle création.
On voit cela dans 2 Chrétiens 5.
Même si nous avions connu Christ selon la chair, nous ne le connaissons plus ainsi.
Ainsi, dans 2 Chrétiens 5, verset 16, en sorte que nous, désormais, nous ne connaissons personne selon la chair.
Et si même nous avons connu Christ selon la chair, toutefois, maintenant, nous ne le connaissons plus ainsi.
En sorte que, si quelqu'un est un Christ, c'est une nouvelle création.
Les choses vieilles sont passées, voici toutes choses sont faites nouvelles.
Ici, nous avons de nouvelles relations avec la nouvelle création.
Une nouvelle règle, par la 6.
Ephésiens 2, la nouvelle création d'ensemble avec le nouvel homme.
Ephésiens 4, la nouvelle création est caractérisée par une nouvelle moralité.
Un contraste avec l'émerge de ce monde.
Un grand contraste qu'on trouve dans Ephésiens 4, verset 17 à 24.
Et ensuite, dans Colossiens 3, nous avons encore une fois la nouvelle création qui est caractérisée par une nouvelle connaissance.
Et ces choses sont importantes, parce qu'en jouissant de cette nouvelle position que Dieu nous a donnée, dans la nouvelle création, nous pouvons produire des fruits pour Dieu dans l'adoration.
Et là, je répète, les sœurs et les frères ont la même position et les mêmes privilèges.
Et nous prions le Seigneur que nous puissions fonctionner ainsi, pour pouvoir du fruit pour lui.
Que je répète, dans le Nouveau Testament, nous voyons des attaques différentes de l'ennemi, pour faire dérier les croyants. …
Transcription automatique:
…
Nous voulons continuer nos méditations sur ce sujet de l'adoration en lisant maintenant Ephésiens 1, verset 3.
« Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ.
Selon qu'il nous a élus en lui avant la fondation du monde, pour que nous fussions saints et irréprochables devant lui en amour,
nous ayant prédestinés pour nous adopter pour lui-même par Jésus Christ, selon le bon plaisir de sa volonté, à la louange de la gloire de sa grâce. »
Dans ce merveilleux épitre, nous voyons une exclamation, tout au début, en adoration.
C'est souvent que Paul s'entend, pour ainsi dire, lorsqu'il donne une présentation ou partage des pensées, tout d'un coup il s'entend pour adorer Dieu.
Nous avons ce mot « béni » huit fois dans le Nouveau Testament.
« Béni soit le Dieu et Père », « béni » veut dire parler en bien.
Et c'est ici le résultat d'un cœur qui est rempli de cette bénédiction.
Parce qu'il y a un lien, évidemment, entre « béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ. »
Ce verset nous parle d'une nouvelle position en Christ, et dans cette nouvelle position, Dieu nous a abondamment bénis.
Et un cœur rempli de bénédictions peut adorer, peut dire « béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ ».
Il y a la joie de cette relation, comme nous avons vu déjà indiqué dans Jean 20, une nouvelle relation, une nouvelle association.
Et on a vu Christ comme premier-né entre beaucoup de frères.
Ici, l'emphase est sur le Père, qui est la source de toutes nos bénédictions.
Dieu, qui nous a acceptés dans le Bien-Aimé.
Le Père, qui nous a adoptés.
Nous avons vu dans Romain 8, nous avons l'esprit d'adoption.
Galap 4, nous avons eu cette pensée de fils, une position de fils.
Dieu nous a adoptés pour lui-même.
Mais nous avons aussi une relation avec le Seigneur Jésus Christ.
Il est notre Seigneur Jésus Christ.
Le mot « béni » revient huit fois dans le Nouveau Testament.
Une fois, c'est utilisé par rapport à Dieu lui-même, dans Marc 14, verset 61.
Le souverain sacricateur l'interrogea encore et lui dit « Toi, tu es le Christ, le Fils du béni ».
Les autres fois, juste mentionné, du 1, verset 68, « béni soit le Seigneur, le Dieu d'Israël ».
Ici, c'est semblable à ce qu'on a eu dans Éphésiens 1, mais c'est quand même dans un autre contexte, dans le contexte d'Israël.
Dans Romains 1, verset 25, où Paul a décrit l'état misérable de l'homme pécheur, loin de Dieu.
Il dit « Eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonges et ont honoré et servi la créature plus tôt que celui qui l'a créée, qui est béni éternellement ».
Ici, nous voyons que nous pouvons bénir Dieu comme créateur.
Donc, nous aurons le privilège de faire, selon l'Apocalypse 4, la dernière partie, l'Apocalypse 4, nous allons adorer Dieu comme créateur.
Romains 9, verset 5, où Paul donne les privilèges des juifs, de la nation d'Israël, desquels son homme, selon la chair, est issu de Christ et est sur toute chose, Dieu béni éternellement.
Ici, nous voyons que Christ, le Mercier, promis, est aussi Dieu béni éternellement.
Dieu sur toute chose, béni éternellement.
Dans 2 Chrétiens 1, verset 3, « Béni soit Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation ».
Nous avons ici l'expérience du chrétien dans des circonstances très difficiles.
Et là, il peut s'approprier de ses ressources, des miséricordes et de la consolation de Dieu, et dire « Béni soit Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ ».
Dans 2 Chrétiens 11, verset 31, où Paul s'adresse au Dieu et Père du Seigneur Jésus Christ, lui qui est béni éternellement.
Peut-être qu'il se réfère à Dieu, peut-être qu'il se réfère au Seigneur Jésus, ou deux, mais ici, dans son expérience personnelle, Paul peut bénir Dieu, Dieu et Père du Seigneur Jésus Christ.
Tandis que dans Ephésiens 1, verset 3, il interprète, pour ainsi dire, les sentiments des coeurs des croyants qui ont été remplis de sa bénédiction.
Quand même, il y a cet élément d'appropriation. Il nous faut entrer dans ces choses.
Comme dans l'Ancien Testament, le peuple d'Israël a dû traverser le Jourdain et ensuite mettre leurs pieds dans ce pays.
Et s'approprier de ce pays premier, ainsi nous devons nous approprier de toutes ces bénédictions spirituelles dans la vie céleste en Christ.
Ainsi, en faisant cela, nous pouvons adorer. Si nous ne nous occupons pas de ces bénédictions-là, si cela nous laisse égal, nous ne pouvons pas être de vrais adorateurs.
En jouissant de ces bénédictions spirituelles, nous pouvons adorer.
Il est remarquable, dans 1 Pierre 1, verset 3, Pierre dit, « Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, qui, selon sa grande miséricorde, nous a régénérés pour une espérance vivante, par la résurrection de Jésus Christ dans le plein mort. »
Ici, cette bénédiction a en vue l'avenir. Et ainsi, nous pourrons dire aussi que nous aurons toujours ce privilège de pouvoir adorer Dieu, de pouvoir bénir Dieu, qui nous a rendus agréables dans le bien-aimé.
Nous voyons, au verset 4, qu'il nous a élus en lui, en Christ. Cette nouvelle position était selon le propos de Dieu, on a vu cela dans Romain 8, avant la fondation du monde, pour que nous fussions saints et réprochables.
C'est le résultat de l'œuvre de Christ. Dieu nous a introduits dans une position où nous sommes saints, cela répond à sa sainteté, où nous sommes irréprochables, cela répond au fait que Dieu est lumière.
Et ainsi, Dieu nous a déclarés justes, irréprochables, devant lui, mais aussi en amour. On est donc en accord avec le fait que Dieu est lumière, en accord avec le fait que Dieu est amour.
Ainsi, comme enfant de Dieu, nous avons reçu cette nature qui représente Dieu, qui est lumière et qui est amour. Mais, en même temps, saint, mis à part pour lui, et en accord avec sa sainteté.
Mais, au verset 5, il y a encore un autre élément qui s'ajoute, nous ayant prédestinés pour nous adopter pour lui-même. Là, nous voyons encore un autre aspect. Ce n'est pas seulement que nous pouvons représenter Dieu, ici dans ce monde, comme étant ses enfants, mais nous pouvons maintenant nous approcher de lui parce que nous sommes ses fils.
Il nous a donné cette liberté de fils parce qu'il nous a donné une position de fils par adoption. Christ était le seul qui n'avait pas besoin d'être adopté. Mais, nous avons maintenant cette position de fils ensemble avec le Fils, et c'est aussi par le Fils, c'est par Jésus-Christ, mais c'est pour Dieu lui-même, pour le bon plaisir de Dieu lui-même.
Mais, le verset 5 dit aussi de sa volonté, parce que tout ce que nous avons maintenant en Christ est selon sa volonté, et pas seulement cela, selon le bon plaisir de sa volonté.
Cela souligne le fait que Dieu trouve son bon plaisir en nous, parce qu'il nous voit en Christ, à la louange de la gloire de sa grâce. Ainsi, Dieu nous a placés dans une position où nous sommes capables de l'adorer à jamais, dans sa présence, comme des fils dans sa présence.
Et dans cette nouvelle position, il nous a rendu agréable. Donc, il n'y a rien qui laisse à désirer. Il nous a rendu agréable dans le bien-aimé. Dieu nous voit maintenant dans le bien-aimé. Lorsqu'il nous voit, il voit Christ, il voit le bien-aimé.
Et le verset 7 souligne cette nouvelle position en disant, en qui nous avons la rédemption, par son sein. Son œuvre accomplie est la base de tout. Et ayant cette rédemption, ayant la rémission des fautes, selon les richesses de la grâce, jouissant de cette abondance de grâces, nous pouvons adorer.
Et au verset 8 et 9, nous voyons aussi que Dieu nous a introduits dans une position d'intimité, s'avançant avec la sagesse et l'intelligence, pour nous faire connaître le mystère de sa volonté, selon son bon plaisir.
Donc, Dieu partage avec nous ses pensées intimes, justement pour que nous puissions être des adorateurs, pour donner une réponse dans l'adoration.
Il y a un élément par rapport au monde à venir, versets 10 et 11, l'administration de la plénitude des temps. Il y a aussi un élément important qu'on trouve au verset 13.
Verset 13, ayant cru, vous avez été scellés du Saint-Esprit. Dans cette nouvelle position où Dieu nous a placés, il a placé son seau sur nous.
Cela veut dire la garantie que nous allons arriver là où Dieu veut nous avoir. Mais maintenant, par son esprit et par la foi, nous pouvons déjà nous occuper des bénédictions que nous aurons pour toute l'éternité.
Et c'est ça que Dieu veut, que nous puissions nous approprier de ces bénédictions que nous allons avoir pour toute l'éternité.
Et justement pour cela, Paul prie maintenant. Il peut présenter ces choses merveilleuses aux chrétiens, mais il prie maintenant pour un travail de Dieu en nous.
Un peu semblable, il y a une grande différence évidemment, mais il y a un parallèle entre Galat 4, verset 19, ce travail pour que Christ soit formé en vous, et la prière de l'apôtre maintenant pour que Dieu, le Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père de gloire, vous donne l'esprit de sagesse et de révélation dans sa connaissance.
Les yeux de votre cœur étant éclairés pour que vous sachiez quelle est l'espérance de son appel.
Donc une condition qui va ensemble avec cette nouvelle position.
Je pense qu'on pourrait résumer cela ainsi. La nouvelle position, verset 3 à 13, qui résulte dans l'adoration, béni soit Dieu et Père, demande aussi une condition pratique qui est convenable à Dieu.
Et dans cette condition, nous serons capables d'adorer.
Paul prie donc que nous ayons cette condition pratique pour entrer dans les pensées de Dieu, pour apprécier par la foi et par amour pour le Seigneur et pour tous les saints, que nous puissions entrer dans les choses de Dieu, qui sont précieuses pour Dieu.
Et qui vont ensemble avec l'auteur de ces choses, le Père de gloire. Le Père cherche une réponse. Il nous a bénis. Il nous a bénis de toutes bénédictions spirituelles.
Encore là, le grand Dieu donateur, maintenant il s'atteint à ce qu'on donne une réponse dans l'adoration.
Et voilà l'emphase sur la condition pratique qui est nécessaire, les yeux de votre cœur étant effleurés, pour que vous sachiez quelle est l'espérance de son appel et quelles sont les richesses de la gloire de son héritage dans les saints.
Et quelle est l'excellente grandeur de sa puissance envers nous qui croyons, selon l'opération de la puissance de sa force qu'il a opérée dans le Christ.
Donc la même force qui a opéré dans la résurrection de Christ, opère maintenant en nous, comme on voit aussi dans chapitre 2.
Mais Dieu nous a donné cette position merveilleuse et Dieu opère maintenant par son esprit en nous pour que nous puissions apprécier ces choses.
Mais cette condition pour laquelle Paul prie, les yeux de votre cœur éclairés, pour que vous sachiez, etc., c'est pour que nous puissions recevoir ce don merveilleux de Dieu.
Parce que lorsqu'on continue le chapitre, on trouve qu'il a fait asseoir à sa droite dans les dieux célestes, c'est la position que Dieu a donnée à Christ, au-dessus de toute principauté et autorité et puissance et domination et de tout nom qui se nomme non seulement dans ce siècle mais aussi dans celui qui est à venir.
Il a assujetti toutes choses sous ses pieds et maintenant il l'a donné pour être chef sur toutes choses à l'assemblée.
On voit encore ce grand Dieu donateur. Il donne maintenant cette personne merveilleuse, la personne la plus grande de tout l'univers, tellement élevée.
Il donne le Seigneur Jésus ainsi à l'assemblée. Et ce don, évidemment, demande encore l'adoration. Dieu cherche des adorateurs.
En nous donnant un tel don, suprême, merveilleux, superbe, il s'attend à ce que nous puissions adorer.
Le Seigneur Jésus est chef sur toutes choses mais il a été donné par le Père à l'assemblée qui est son corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous.
Nous voyons ici le lien intime aussi entre Christ et nous. Il est en nous et en même temps il est présenté ici comme un présent à nous.
Chapitre 2 nous parle de ce travail que Dieu a dû opérer en nous pour nous libérer et pour nous préparer pour ce don merveilleux.
Et là nous voyons aussi le travail de l'Esprit. Nous voyons aussi comment le Père et l'Esprit et le Fils travaillent ensemble.
Pour donner un exemple, j'utilise un 2 verset 18, car par lui nous avons les uns et les autres accès auprès du Père par un seul Esprit.
Cette nouvelle position, comme nous l'avons vu, donne ce libre accès auprès du Père et pour jouir de ce libre accès, c'est par un seul Esprit.
Il va ensemble avec l'unité du corps, chapitre 4, et ainsi nous pouvons donner une réponse à l'amour de Dieu.
Dans chapitre 3 Paul explique en détail le profond secret de ce mystère, le profond secret du conseil de Dieu qui a été révélé et que nous pouvons maintenant connaître.
Et là encore, c'est en vue d'une réponse dans l'adoration, parce que Dieu a révélé ces choses merveilleuses, mais c'est en vue d'une réponse de notre part.
Je souligne quelques expressions dans chapitre 3. Il parle du mystère du Christ. Paul avait une intelligence dans le mystère du Christ.
Il communique cette intelligence à nous pour que nous puissions connaître ce mystère de Dieu qu'il a maintenant révélé à ses saints, apôtres et prophètes par l'Esprit.
Verset 5. Le mystère est que les nations seraient co-héritières d'un même corps et co-participantes de sa promesse dans le Christ Jésus.
Je ne sais pas si c'est cette nouvelle position que nous avons vue au premier chapitre, mais l'emphase est sur ce que nous sommes dans le Christ Jésus et que nous sommes maintenant co-héritiers,
que nous appartenons à un même corps et croyons comme les juifs et croyons comme les nations, on appartient à un même corps, on est ensemble des héritiers, mais aussi ensemble participants de sa promesse dans le Christ Jésus.
C'est une nouvelle position, nouvelle pour les juifs, nouvelle aussi pour les croyants d'entre les nations. C'est quelque chose que Dieu avait préparé et réservé depuis l'éternité, avant la fondation du monde.
Mais ça a été communiqué par l'Évangile, comme Paul dit à la fin du verset 7. Verset 8. A moi qui suis moins que le moindre de tous les saints, cette grâce a été donnée d'annoncer parmi les nations les richesses insondables du Christ.
C'est une autre façon d'exprimer ces choses. La vie éternelle que nous avons reçue, où toutes les bénédictions spirituelles dans les lieux célestes en Christ, on peut résumer par cette expression, les richesses insondables du Christ.
Plus on est impressionné par ces richesses insondables, plus on sera capable d'être des adorateurs. Mais Paul avait la tâche de mettre cela en lumière, d'exposer ce secret, communiquer ce secret.
Et ainsi, il nous présente ces choses pour que nous puissions donner une réponse dans l'adoration.
Au verset 12, il parle encore de ce libre accès que nous avons, lisons aussi verset 10, afin que la sagesse si diverse de Dieu soit maintenant donnée à connaître aux principautés, aux autorités dans les lieux célestes par l'assemblée.
L'assemblée est maintenant le vase de communication, et cela selon le propos des siècles.
Aussi dans l'état éternel, Apocalypse 21, l'assemblée sera le vase que Dieu a réservé pour faire connaître ses pensées aux principautés, aux autorités. L'assemblée est ce vase duquel Dieu se sert pour communiquer ses pensées maintenant.
Et le propos des siècles, il l'avait établi dans l'Écrit-Jésus, notre Seigneur.
Ensuite, Paul continue dans cette deuxième partie du chapitre 3, dans l'attitude d'un adorateur, un peu comme le chapitre 1er.
Quand même, il y a des différences.
Je ne veux pas élaborer là-dessus maintenant, juste pour souligner que les choses qu'il mentionne ici sont vraiment une prière d'un côté, mais aussi l'expression de l'adoration.
Verset 12, en qui nous avons hardiesse et accès et confiance par la foi en lui.
C'est cette nouvelle position qu'il nous a donnée et pratiquement, ça prend donc cette hardiesse et cette confiance par la foi en lui pour pouvoir donner une réponse.
Et là, Paul prie encore pour les croyants.
C'est pourquoi je vous prie de ne pas perdre le courage à cause de mes afflictions pour vous, ce qui est votre doigt.
C'est pour cela que je fléchis mes genoux.
Si Paul est aussi un modèle pour les croyants, comme il a fléchi ses genoux devant le Père, nous pouvons le faire aussi.
Selon certains manuscrits, on lise le Père de notre Seigneur Jésus-Christ.
Mais on a vu cette relation déjà, au chapitre 1er.
Là, le Seigneur Jésus-Christ, comme homme dans la gloire, il est vu en relation avec le Père.
Mais peut-être ici, au verset 14, l'emphase est sur le fait que Dieu est le Père et que Christ est le Fils éternel.
Mais Christ n'est pas mentionné, le Père éternel et le Fils éternel vont ensemble, mais l'emphase est sur le Père d'abord, duquel est nommée toute famille.
Il est à l'origine de toutes les familles de la foi, dans les cieux et sur la terre.
N'importe quelle direction nous voyons des croyants, ils appartiennent à une famille ou à une autre famille de Dieu.
Dieu a donc plusieurs familles de la foi.
Depuis Adam jusqu'à l'état éternel à venir, il y aura plusieurs familles de la foi.
Mais toutes trouvent leur origine en Dieu le Père.
Verset 16, afin que selon les richesses de sa gloire, il vous donne d'être fortifié en puissance par son esprit.
Quant à l'homme intérieur, voilà encore cette prière de Paul, pour que nous ayons une condition convenable.
Afin que selon les richesses de sa gloire, c'est la bonne perspective.
Dieu, le Dieu, le Père de gloire, il opère selon ses richesses maintenant pour nous fortifier en puissance par son esprit.
On a vu déjà quelquefois le Père et le Fils et l'Esprit coopèrent toujours ensemble.
Et nous avons besoin d'être fortifiés quant à l'homme intérieur.
Surtout aussi pour pouvoir être des adorateurs.
De sorte que le Christ habite par la foi dans vos coeurs.
Nous voyons plusieurs niveaux dans cette prière de Paul.
Et verset 16, la première phase de cette prière est pour qu'il vous donne d'être fortifié en puissance par son esprit, quant à l'homme intérieur.
Mais là, il parle d'un résultat au verset 17.
De sorte que le Christ habite par la foi dans vos coeurs.
Nous voyons ici donc une condition spirituelle qui est tout à fait convenable, selon les pensées de Dieu, de sorte que le Christ puisse habiter dans nos coeurs.
Mais nous avons aussi notre propre responsabilité.
C'est par la foi que ces choses se réalisent.
Et la prière continue au verset 18, que vous soyez enracinés et fondés dans l'amour.
Pour pouvoir être des adorateurs, nous avons besoin de ce fondement solide.
D'être enracinés, comme un arbre bien enraciné peut produire du fruit.
Nous sommes 1 verset 3 déjà, on voit ce principe.
Fondés, on peut penser à une bâtisse, un édifice qui est placé sur un fondement.
Et ce fondement doit être solide pour que l'édifice puisse fonctionner.
Ici, dans l'amour.
Ce fondement est dans l'amour.
Et dans Luc 6, le Seigneur nous parle beaucoup de ce fondement qui est nécessaire.
Je vais juste lire ce verset, parce que ça souligne encore l'aspect de notre responsabilité, ensemble, avec cette prière de Paul.
Dans Luc 6, verset 47,
« Je vous montrerai à qui est semblable tout homme qui vient à moi et qui entend mes paroles et les met en pratique.
Il est semblable à un homme qui bâtit une maison, qui a fouillé et creusé profondément et a mis un fondement sur le roc.
Mais une inondation étant survenue, le fleuve s'est jeté avec violence contre cette maison.
Il n'a pu l'ébranler, car elle avait été fondée sur le roc.
Mais celui qui a entendu et n'a pas mis en pratique est semblable à un homme qui a bâti une maison sur la terre sans fondement,
et le fleuve s'est jeté avec violence contre elle, et aussitôt elle est tombée, et la ruine de cette maison a été grande.
Ce fondement est dans l'amour.
Et ce fondement nous parle donc de notre obéissance, comme Luc 6 le montre.
En obéissant le Seigneur Jésus, on établit un fondement.
En mettant en pratique ses paroles, ce fondement est établi dans l'amour.
Et voilà, c'est le but de la prière de Paul.
Nous voyons maintenant une troisième étape, au milieu du verset 18, afin que vous soyez capables de comprendre.
Donc, le premier but est d'être fortifié en puissance par son esprit.
Le deuxième but est de sorte que le Christ habite par la foi dans vos cœurs.
Le troisième but, afin que vous soyez capables de comprendre.
Je dirais qu'avec le deuxième, va ensemble aussi cette pensée d'être enraciné et d'être fondé dans l'amour.
Et ainsi, nous serons capables, dans cette position que nous avons, nous aurons aussi la bonne condition pour comprendre avec tous les seins,
quelle est la largeur et la longueur et la profondeur et la hauteur, et de connaître l'amour du Christ.
C'est encore le but, un autre but, ça c'est ce qui dépasse notre entendement.
Comprendre veut dire ici saisir, afin que vous soyez capables de comprendre.
Comprendre veut dire saisir, on ne peut pas vraiment tout comprendre, mais c'est saisir en principe, avec tous les seins.
Et quelle est la largeur, les quatre dimensions qu'il mentionne, la largeur, la longueur, la profondeur, la hauteur, indiquent déjà quelque chose qui dépasse notre connaissance.
Nous sommes habitués à trois dimensions.
Il y a plusieurs façons pour interpréter ces quatre dimensions.
Je ne vais pas parler de cela maintenant en détail, mais la prière de Paul est que nous puissions saisir l'amour de Christ.
Mais pas seulement cela, aussi connaître.
Donc connaître veut dire avoir une relation d'amour avec lui, et dans cette relation on peut pénétrer davantage dans la connaissance de sa personne, connaître l'amour du Christ.
On a vu l'amour du Christ en Romain VIII, nous voyons l'amour du Christ en Deux Chrétiens V, et ici c'est la troisième fois que nous trouvons cette expression, l'amour du Christ, qui surpasse toute connaissance.
C'est un paradoxe.
Paul prie que nous puissions comprendre, saisir et connaître.
De notre côté il dit qu'il surpasse toute connaissance.
Il faut réaliser cela.
Plus qu'on entre dans ces pensées comme adorateur, plus on réalise notre limitation, comment nous sommes limités, et que cette connaissance surpasse, ou cet amour du Christ surpasse notre connaissance.
Même toute connaissance.
Il y a un autre but.
Peut-être que je pourrais résumer.
On a vu donc, être fortifié, deuxièmement, Christ habite par la foi.
Troisièmement, capable de comprendre ou saisir.
Quatrièmement, de connaître l'amour du Christ, qui surpasse toute connaissance.
C'est un paradoxe.
Cinquième point, afin que vous soyez rempli, jusqu'à toute la plénitude de Dieu.
C'est encore un paradoxe, parce que nous sommes tellement petits, et la plénitude de Dieu est tellement grande.
Pour comprendre cela, j'aimerais utiliser une illustration.
Comme un petit enfant est au bord de la mer, à la plage, et a creusé un trou.
Il prend de l'eau, de la mer, et porte ça dans son petit vase, et verse ça dans le puits qu'il a creusé.
Il dit à son père, je vais vider l'océan.
C'est un peu semblable à ce que nous faisons ici, afin que vous soyez rempli jusqu'à toute la plénitude de Dieu.
Il y a aussi une autre image qui peut nous aider.
Supposons une bouteille, avec la bouche ouverte, flottante, dans la mer.
Elle est en communication avec la mer.
C'est la pensée qu'on a ici, afin que vous soyez rempli.
La bouteille, nous sommes la bouteille.
Souvent dans la parole, nous voyons que le chrétien est comparé avec une bouteille, un vase.
Comme le vase d'Albâtre, de Marie par exemple.
Elle était, lui-même, évidemment, sauvage.
Mais ainsi, le croyant est un vase, une bouteille, ici à bouche ouverte, en communication avec cet océan de l'amour de Dieu, cette plénitude de Dieu.
Et en communication avec cela, toute la plénitude de cet océan, toute cette plénitude de Dieu est dans la bouteille.
Dans un sens, il y a une communication.
La bouteille est dans l'océan.
Elle est dans l'amour du Christ.
Elle est dans l'amour de Dieu, Romain 8.
On a vu cela aussi.
Et ainsi, il y a cette communication.
Et le but de la prière de Paul est que cette communication puisse continuer toujours.
S'il y a une entrave dans cette communication, nous ne pouvons pas fonctionner comme adorateurs.
Il faut donc être rempli et toujours être en communication avec cette plénitude.
Si ça s'arrête, on ne peut pas adorer.
Et voilà, l'ennemi essaie toujours de nous arrêter dans la jouissance de ces choses.
Mais ici, dans cette prière, Paul est en communion avec le Père.
Il se jette sur les ressources qui sont dans Dieu et il prie pour nous que nous puissions saisir ces choses, que nous puissions jouir de ces choses.
C'est là le but, la jouissance pratique de ces choses.
Pas seulement une connaissance théorétique, mais une joie pratique en étant occupé de ces choses.
Et ainsi, Paul arrive au sixième point, verset 20.
Or, à celui qui peut faire infiniment plus que tout ce que nous demandons ou pensons, selon la puissance qui opère en nous.
Donc, Dieu opère en nous. C'est le sixième point.
On a vu ce principe de formation, donc à la 4 et 19.
On a vu cela avec la première prière de Paul dans Ephésiens 1.
Et on voit encore ce besoin de travail de Dieu selon sa puissance.
Mais quelle beauté nous voyons ici.
D'un côté, c'est une prière, mais de l'autre côté, c'est l'adoration à celui qui peut faire.
Donc, toutes les ressources nécessaires sont en lui. Il est tout puissant.
Ensuite, plus que tout ce que nous demandons ou pensons, pas seulement cela, infiniment plus que tout ce que nous demandons ou pensons.
Ce n'est pas seulement ce que nous demandons, c'est tout ce que nous demandons ou pensons.
Ce n'est pas seulement cela, c'est plus que tout ce que nous demandons ou pensons.
Et pas seulement cela, à celui qui peut faire infiniment plus que tout ce que nous demandons ou pensons.
La grandeur de Dieu, les ressources que nous avons en lui sont à notre disposition.
Est-ce que nous pouvons répondre à ces ressources merveilleuses?
Et ils opèrent selon la puissance qui opère en nous.
On a vu cette puissance gigantesque dans le chapitre 1er par rapport à la résurrection du Saint Jésus.
Maintenant, nous avons vu aussi effigient de grèvement que cette puissance a opéré envers nous pour nous placer dans une nouvelle position.
Et maintenant cette puissance opère en nous pour nous rendre conformes pratiquement à cette nouvelle position.
Il y a ici donc un aspect, un travail intérieur, subjectif.
Dieu nous donne une nouvelle position, ça c'est une vérité objective.
Ici il opère en nous pour que pratiquement nous soyons en accord avec cette nouvelle position.
Et voilà, je le répète, là nous pouvons adorer.
Selon l'invitation du verset 20, or à celui qui peut faire infiniment plus que tout ce que nous demandons ou pensons selon la puissance qui opère en nous, à lui, gloire dans l'assemblée.
Le septième point, c'est la gloire qui est apportée à celui qui opère en nous, à celui qui a donné son propre Fils, à celui qui nous a placés dans cette position merveilleuse.
Et encore là, nous voyons que le vase de cette adoration, l'outil pour ainsi dire que Dieu utilise pour sa propre gloire, c'est l'assemblée.
A lui, gloire dans l'assemblée.
Et l'assemblée est vue dans le Christ Jésus, c'est sa position.
En elle-même, elle ne serait pas capable de donner gloire, mais dans le Christ Jésus, elle peut le faire.
Pas seulement maintenant, mais pour toutes les générations du siècle des siècles.
C'est une prière de l'apôtre Paul, mais cette prière est en même temps un exemple merveilleux d'adoration.
Et ainsi, en entrant dans ces choses, nous pouvons adorer, nous aussi, et que Dieu nous aide à le faire davantage pour la gloire de son nom. Amen.
En méditant sur nos privilèges comme adorateurs, et aussi en considérant nos responsabilités,
comme adorateurs, il y aurait sans doute beaucoup de passages de l'Ancien Testament qui donneraient des illustrations.
Mais dans cette série, je vais me limiter à quelques passages de l'Ancien Testament.
Mais pour votre étude, je mentionnerai quelques passages de l'Ancien Testament.
Je pense à Genèse 4, le sacrifice d'Abel, ensuite le sacrifice de Noé après le déluge, Genèse 8 à la fin,
les hôtels qu'Abraham a bâtis pour adorer Dieu.
Ce serait très encourageant d'étudier ces quatre hôtels d'Abraham.
Ensuite, on peut penser à Jacob, les expériences qu'il a eues par rapport à la maison de Dieu, et comment il a adoré Dieu dans Genèse 35.
Pensez à ce qu'il a dit dans chapitre 49 de la Genèse, il y a plusieurs détails concernant l'adoration.
Aussi dans l'Exode 12, par rapport à l'agneau de Pâques, l'Exode 15, après la sortie de l'Égypte,
lorsqu'Israël a chanté ce cantique avec Moïse, Moïse le grand libérateur, image de notre Seigneur Jésus,
et Myriam a chanté avec les femmes, donc plusieurs détails concernant l'adoration on trouverait aussi dans l'Exode 15.
Surtout aussi dans l'Exode 29, par rapport à la sacricature,
vous réalisez que ce sont les ombres de l'Ancien Testament, comme l'hébreu nous explique,
mais ces ombres nous aident quand même à saisir davantage les pensées de Dieu,
et mettre en pratique les pensées de Dieu, parce que les ombres de l'Ancien Testament,
ces illustrations nous ont été données pour notre encouragement,
pour mettre en pratique l'enseignement que nous avons dans le Nouveau Testament.
Donc l'enseignement pour nous est dans le Nouveau Testament, comme nous l'avons vu dans l'An 4, par exemple.
Mais l'Ancien Testament nous donne beaucoup d'illustrations pour nous aider à mettre en pratique ce que Dieu aime qu'on fasse.
Je mentionne aussi les sacrifices dans l'Égyptique, 1 à 7 par exemple,
qui donnerait beaucoup de matière pour méditer, et qui aiderait aussi pour notre adoration.
Nous voulons prendre maintenant un passage encore dans le Nouveau Testament, Philippiens 3, verset 3.
Je vais lire depuis le premier verset.
Au reste, mes frères, réjouissez-vous dans le Seigneur.
Vous écrire les mêmes choses n'est pas pénible pour moi, et c'est votre sûreté.
Prenez garde aux chiens, prenez garde aux mauvais ouvriers, prenez garde à la concision.
Car nous sommes la circoncision, nous qui rendons culte par l'Esprit de Dieu,
et qui nous glorifions dans le Christ Jésus, et qui n'avons pas confiance en la chair.
L'épître aux Philippiens est l'épître de la joie.
Paul se trouve ici en prison, à Rome, et il est plein de joie.
Nous voyons qu'il est concentré sur le Seigneur Jésus.
Et il y a beaucoup de leçons que nous pouvons apprendre de l'exemple de Paul.
Sa foi, sa soumission.
Mais dans le chapitre 3, nous voyons surtout une attitude spirituelle.
Et cette attitude spirituelle est nécessaire pour l'adoration.
Et cette attitude spirituelle va ensemble avec cette confiance, comme il l'exprime aussi dans le chapitre 4.
Ayant la paix de Dieu dans les circonstances, ainsi il était au-dessus des circonstances, pour ainsi dire.
Ayant cette confiance en Dieu.
Et en utilisant les ressources qu'il a trouvées dans le Seigneur, comme il l'exprime au chapitre 4, versets 12 et 13.
Verset 12 à la fin.
En tout et à tout égard, je suis enseigné aussi bien à être rassasié qu'à avoir faim.
Aussi bien à être dans l'abondance qu'à être dans la privation.
Je prie toutes choses en Celui qui me fortifie.
Donc dans la puissance de Celui qui me fortifie.
La puissance du Seigneur a été mise à sa disposition.
Comme il l'exprime aussi dans 2 Corinthians 12, verset 9.
Si je suis faible, là je suis fort. Il avait appris cela.
Et ainsi, il avait une attitude spirituelle d'entière dépendance du Seigneur.
Dans Philippiens, nous voyons aussi l'exemple du Seigneur, surtout dans le chapitre 2.
Dans son humilité, dans son humiliation.
Mais nous avons aussi les ressources dans le Seigneur Jésus, comme il est maintenant dans la gloire.
Chapitre 3. C'est la force que nous trouvons en Lui.
Et voilà. Assez de raisons pour nous réjouir.
Et Paul répète aussi au chapitre 4, verset 4.
Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur.
Et ce serait un point à considérer par rapport à notre adoration.
Si nous ne connaissons pas cette joie qui nous élève au-dessus de nos circonstances, nous ne sommes pas vraiment prêts pour adorer.
Dans cette attitude de Paul, comme on la voit dans l'épître aux Philippiens, nous, si nous avons cette attitude, nous serons en état à mesure d'adorer.
Mais l'ennemi est là pour empêcher cela.
On a vu déjà plusieurs exemples dans les autres passages que nous avons considérés.
L'ennemi est toujours là pour empêcher cette adoration.
Comme on l'a vu dans Galate, par exemple, ici, dans Philippiens 3, verset 2.
C'est toute une armée que Satan a à sa disposition pour arrêter cette adoration, ou pour la rendre impossible.
C'est pour cela que nous devons prendre garde.
Paul dit, prenez garde aux chiens.
Ces chiens, c'est une expression de mépris, mais ça se réfère à ceux qui ont une mauvaise influence parmi les chrétiens.
Des gens qui ne sont pas nés de nouveau.
Leur caractère, c'est qu'ils ont une nature impure.
Deux, nous parlons des chiens aussi.
Un chien n'a pas de communion avec Dieu.
Et ainsi, ces chiens étaient des gens au milieu des chrétiens qui voulaient les influencer.
Et c'est une mauvaise influence.
La deuxième expression met l'emphase sur leur mauvaise conduite, mauvais ouvriers.
Et ainsi, Satan a une armée à sa disposition pour attaquer les chrétiens et pour les influencer.
Le troisième point du verset 2, c'est la concision, c'est le résultat de ce travail de mauvais ouvriers.
Le résultat sera la concision.
Et un peu semblable à ce qu'on a vu dans l'Épitre aux Galates, nous mentionnons juste un verset.
Galates 5, verset 12, nous lisons.
Je voudrais que ceux qui vous bouleversent se retranchassent même.
Donc il y a là un parallèle entre Philippien 3, verset 2 et Galates,
où ces mauvais ouvriers, ces faux docteurs qui voulaient placer les croyants sous la loi,
et ainsi sous la malédiction, et ainsi sans ressources pour adorer.
Il y a donc un lien entre ces deux passages.
En contraste avec cette armée de mauvais ouvriers de Satan,
il y a la position chrétienne au verset 3.
Philippien 3, verset 3, nous sommes.
C'est le nous chrétien. Ici, Paul s'identifie avec tous les chrétiens.
Quant à notre position en Christ, comme nous l'avons vu dans Romain VIII, dans Éphésiens,
nous sommes la circoncision.
Il y a beaucoup de passages dans la Bible qui nous parlent de la circoncision.
Mais nous, comme chrétiens, nous ne sommes pas sous cette alliance,
ou dans cette alliance que Dieu avait instituée avec Abraham,
dans Genèse 17,
mais nous sommes la circoncision d'une façon spirituelle.
Dans Colossiens 2, nous voyons que Christ lui-même a été circoncis à la croix.
Colossiens 2, verset 11,
Colossiens 2, verset 11,
Ensuite,
Donc, ce verset nous parle de la circoncision du Christ.
Ce n'est pas la circoncision qu'il a subie comme bébé, à l'âge de 8 jours, dans Lutte 2.
C'est ici une référence à l'heure de la croix,
où le Seigneur Jésus a subi le jugement de Dieu pour le péché.
Comme 2 Corinthiens 5 le dit, il a été fait péché pour nous,
afin que nous devions être justices de Dieu en lui.
Et ainsi, nous sommes la circoncision.
Nous avons maintenant une position devant Dieu,
où la chair a été mise de côté.
Évidemment, c'est par la mort de Christ que Dieu a mis de côté la chair.
Mais il nous voit maintenant en Christ, et ainsi il nous voit comme la circoncision.
Donc, c'est la position que nous avons en Christ.
Et, évidemment, ça implique aussi un défi pratique pour être en accord avec cette position.
Mais d'abord, nous devons établir ce principe que nous sommes la circoncision.
Et ainsi, il n'y a rien à ajouter à cette œuvre.
Pour mortifier la chair ou quoi que ce soit, la chair a été mise de côté.
Ça, c'est le point de départ.
La base sur laquelle Dieu nous place.
Et dans cette position-là, nous pouvons rendre culte.
L'expression dans Philippiens 3, verset 3, pour rendre culte,
est une expression qui revient quelquefois dans le Nouveau Testament.
Et, par exemple, dans Hébreu 9, verset 14, nous avons cette pensée pour que vous serviez le Dieu vivant.
C'est notre privilège d'être maintenant des serviteurs de Dieu, de rendre hommage à Dieu, au Dieu vivant.
Donc, Hébreu 9, verset 14, va bien ensemble avec Philippiens 3, verset 3.
En contraste avec ce verset, il y a aussi Hébreu 13, verset 10, où nous voyons ceux qui servent le tabernacle.
C'est une référence au système judaïque et le service de Dieu par rapport au système judaïque.
Mais nous sommes maintenant identifiés avec un nouveau système pour servir Dieu, pour adorer Dieu, pour rendre hommage à Dieu.
Et ce service va continuer jusqu'à toute éternité.
Apocalypse 22, verset 3, dit simplement que nous serons là pour toute l'éternité pour servir Dieu.
Et c'est le même verbe encore, rendre hommage.
Nous serons dans le ciel, mais sur la terre, il y aura aussi une compagnie d'adorateurs qui vont servir Dieu.
Par exemple, la grande multitude, dans l'apocalypse 7, verset 15, ils seront sur la terre, même pendant la grande tribulation, pour servir Dieu, pour adorer Dieu.
Ils vont continuer pendant le millenium.
Donc, nous avons déjà ce privilège aujourd'hui de pouvoir rendre culte, notant ensuite par l'esprit.
C'est un élément important, nous avons vu cela dans Jean 4, verset 24 déjà, et nous avons lu aussi dans Ephésiens 2, verset 18.
Par Lui, Christ, maintenant dans la gloire, par Lui, nous avons les uns et les autres accès auprès du Père, par un seul esprit.
Donc, c'est l'esprit qui vivifie, c'est l'esprit qui nous rend capable à rendre culte, à faire ce service.
C'est dans la puissance de l'esprit, qui s'avère ensemble avec la mise du côté de la chair, c'est pour donner toute la place au Saint-Esprit.
Ce service d'adoration, rendre culte, rendre hommage à Dieu, est dans la puissance de l'esprit, dans la dépendance de l'esprit, en communion avec l'esprit de Dieu.
Cela exclut donc des cérémonies organisées par l'homme, même avec les meilleures intentions.
Cela exclut tout effort de la chair, dans quelque façon que ce soit.
Et chacun de nous a peut-être un exemple où nous voyons ce défi.
Là aussi, nous devons choisir entre quelque chose qui n'est pas de l'esprit et quelque chose qui est de l'esprit.
Que nous puissions être sensibles pour nous faire diriger par l'esprit, pour rendre culte par l'esprit de Dieu, ou en esprit, en communion avec l'esprit.
Et ce service sera caractérisé par le fait que nous glorifions dans le Christ Jésus.
C'est le troisième point.
Premièrement, la mise du côté de la chair, nous sommes la circonscription, c'est la position nouvelle dans laquelle Dieu nous a placés.
Dans cette position, nous pouvons rendre culte par l'esprit de Dieu.
Et notre thème, notre occupation, c'est que nous glorifions dans le Christ Jésus.
Il est l'objet pour nos coeurs, c'est en lui que nous nous glorifions.
Et à la fin, il ajoute encore un quatrième point, verset 3, qui n'avons pas confiance en la chair.
Puis là, Paul mentionne qu'il aurait pu avoir confiance dans la chair.
Il mentionne son passé en sept points, mais il avait appris à mettre sa confiance maintenant dans le Seigneur Jésus.
Il a constaté une fois pour toutes, au verset 7, les choses qui pour moi étaient un gain, c'est donc pour mettre sa confiance selon la chair.
Je les ai regardées à cause du Christ comme une perte.
C'est le moment, sans doute, où il a rencontré le Seigneur sur le chemin de Damas.
Mais, il dit au verset 8, je regarde même aussi toutes choses comme étant une perte à cause de l'excellence de la connaissance du Christ Jésus, mon Seigneur,
à cause duquel j'ai fait la perte de toutes, et je les estime comme des ordures.
Nous avons parlé de cette expression, mon Seigneur, c'est une référence ici de Christ dans la gloire.
Et Paul dit maintenant, je continue à regarder ces choses de cette même lumière.
Ici, nous voyons quelqu'un qui est gardé dans son premier amour, le premier amour du verset 7, au verset 8, continue dans sa vie.
Et ainsi, le Seigneur veut nous garder dans ce premier amour.
Sans ce premier amour, nous ne pouvons pas vraiment adorer.
Et Paul va encore un pas plus loin, au verset 9, au verset 8 à la fin, et je les estime comme des ordures, afin que je gagne Christ.
Ils vont maintenant en avant.
Et encore, il a la même intention, de ne pas retomber dans une position caractérisée par la chair, mais plutôt, verset 9, afin que je gagne Christ, et que je sois trouvé en Lui.
L'exercice de Paul était d'être pratiquement en accord avec cette nouvelle position dans laquelle Dieu l'avait placée.
Et pour être en accord avec cette position pratiquement, Paul va encore plus loin, au verset 9,
que je sois trouvé en Lui, n'ayant pas ma justice qui est de la loi, mais celle qui est par la foi en Christ, la justice qui est de Dieu, moyennant la foi.
Pour le connaître Lui, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, étant rendu conforme à sa mort, si en quelque manière que ce soit, je puis parvenir à la résurrection d'entre les morts.
Ici, Paul est un exemple pour nous dans cet exercice, pour être en accord avec cette nouvelle position, pour pratiquement exprimer ce que Dieu aime voir en nous.
Puis là, il ajoute au verset 12, non que j'ai déjà reçu le prix, ou que je sois déjà parvenu à la perfection, mais je poursuis, cherchant à le saisir, vu aussi que j'ai été saisi par le Christ.
Donc ici, il exprime la pensée que nous n'atteindrons pas la perfection.
Donc cette nouvelle position que nous avons en Christ, cette position en soi est parfaite, mais notre pratique n'est pas parfaite.
Mais il y a un exercice pour être conforme davantage à cette position en Christ.
Puis là, Paul dit, on ne va pas atteindre ce standard élevé, mais il exprime son désir de pouvoir l'atteindre.
Verset 13, frère, pour moi, je ne pense pas moi-même l'avoir saisi, mais je fais une chose, oubliant les choses qui sont derrière, et tendant avec effort vers celles qui sont devant, je cours droit au but pour le prix de l'appel céleste du Dieu dans l'Écrit Jésus.
C'est un œil simple, fixé sur le Seigneur. Ainsi nous pouvons être des vainqueurs, ainsi nous pouvons garder ce premier amour, et dans ce contexte là, nous pouvons être des vrais adorateurs, que le Seigneur nous aide.
Par rapport à cette pensée de l'adoration, j'aimerais encore regarder dans Hébreu 10. Dans Hébreu 10, nous avons quelques détails qui peuvent nous aider à comprendre cette nouvelle position, et aussi qui peuvent nous aider à mettre en pratique cette position.
Hébreu 10, verset 19, ayant donc, frère, une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints, par le sang de Jésus, par le chemin nouveau et vivant qu'il nous a consacré à travers le voile, c'est-à-dire sa chair.
Et ayant un grand sacrificateur établi sur la maison de Dieu, approchons-nous avec un cœur vrai, en pleine assurance de foi, ayant les cœurs par aspersion purifiées d'une mauvaise conscience, et le corps lavé d'eau pure.
Dans l'Épître aux Hébreux, nous avons une présentation merveilleuse de la personne du Seigneur Jésus. Plus grand que les anges, chapitre 1er. Plus grand que le monde à venir, chapitre 2. Plus grand que Moïse, chapitre 3. Plus grand qu'Aaron, chapitre 4. Plus grand que David, Salomon, chapitre 4.
Ainsi, nous le voyons comme le vrai Melchizedek, dans sa grandeur.
Et la deuxième partie des Hébreux met l'emphase sur la grandeur de son œuvre. La personne la plus merveilleuse de l'univers est vue aussi par rapport à son œuvre qu'il a accomplie.
Et cette œuvre, on trouve surtout dans chapitres 9 et 10, mais comme résultat de cette œuvre, il est dans la gloire.
Et il y a un petit résumé dans Hébreux 8, verset 1.
Or la somme de ce que nous disons, c'est que nous avons un tel souverain sacrificateur qui s'est assis à la droite du trône de la majesté dans les cieux, ministre des lieux saints et du vrai tabernacle que le Seigneur a dressé, non pas l'homme.
Donc, le Seigneur, dans la gloire, s'occupe maintenant des intérêts de Dieu.
Nous voyons Jésus couronné de gloire et d'honneur, Hébreux 2, verset 9, mais nous le voyons aussi, selon chapitres 8, verset 1 et 2, comme celui qui s'occupe des intérêts de Dieu, le vrai ministre.
Et ainsi, il est celui qui nous introduit dans la présence de Dieu.
Hébreux 10, verset 19, nous présente le Seigneur Jésus comme ce grand conducteur qui nous conduit jusque dans la présence de Dieu.
Dans Hébreux 11, nous voyons le Seigneur comme conducteur qui nous conduit à travers le désert.
Et dans Hébreux 13, nous le voyons comme celui qui nous conduit en dehors du camp, en dehors du camp religieux du judaïsme et l'application de cela aussi dans nos jours.
Mais ici, il est notre conducteur qui nous introduit dans le sanctuaire, dans la présence immédiate de Dieu.
Pour l'adorer.
Ayons donc une pleine liberté.
Il y a plusieurs choses que nous avons dans l'épître aux Hébreux.
Ici, nous avons deux choses.
Une pleine liberté, ça va ensemble avec la deuxième chose que nous avons dans le Seigneur Jésus, verset 21.
Ayons un grand sacrificateur.
C'est lui qui est le serviteur, le ministre dans la gloire.
Et il est là pour prendre soin de nos intérêts, mais il est là aussi pour nous présenter devant Dieu, pour nous introduire dans la présence de Dieu, pour être des vrais adorateurs.
Une pleine liberté.
Nous avons cette conviction qui va ensemble avec cette nouvelle position.
Nous avons vu cela un peu déjà dans Romain Witte.
Ici, au verset 19, cette liberté est aussi la confiance que nous avons en lui.
Un peu comme Philippiens 3, verset 3, comme nous avons vu tantôt.
Et cette confiance va ensemble avec cette liberté et cette hardiesse.
Philippiens 3 nous parle de cette hardiesse que nous avons, verset 12, en qui nous avons hardiesse et accès en confiance par la foi en lui.
Donc Philippiens 3, verset 12 résume cette liberté, cette confiance que nous avons.
Pour entrer dans les lieux saints.
Dans l'Ancien Testament, les lieux, l'entrée était barrée.
Seulement un jour l'année, le souverain sacricateur pouvait entrer avec le saint du sacrifice.
Mais Moïse avait toujours cet accès.
Nous voyons cela dans l'Exode 25, par rapport à l'arche et le propriatoire.
Nous voyons que Dieu a dit à Moïse que là, il allait le rencontrer.
Et Moïse, en principe, avait cet accès chaque jour.
Et ainsi Moïse est une illustration du croyant d'aujourd'hui.
Nous avons maintenant un libre accès, continuellement, pour être dans la présence immédiate de Dieu.
Pour entrer dans les lieux saints.
Dans l'Évitre aux Hébreux, nous voyons que le tabernacle va ensemble avec ses trois dimensions.
Le parvis, c'est ce qui se passe sur la terre.
Ensuite, les lieux saints sont divisés en deux.
Les lieux où il y a le service journalier du sacricateur, par rapport à la table et au chandelier.
Et les lieux très saints, où le souverain sacricateur pourrait entrer seulement une fois l'année.
Et on a ces deux départements, si je peux utiliser le mot, encore.
Parce que nous voyons pour entrer dans les lieux saints, par le sang de Jésus, par le chemin nouveau et vivant qui nous a consacrés à travers le voile.
Et ainsi nous entrons dans les lieux saints, par le sang de Jésus.
Donc c'est sur la base du sang que le Seigneur Jésus a versé.
Ainsi il a ouvert ce chemin.
C'est un chemin nouveau.
Le mot nouveau ici veut dire frais.
Et cette fraîcheur sera gardée pour toute l'éternité.
Chaque fois que nous serons dans la présence immédiate de Dieu, c'est sur la base de ce sang.
Et ce sang garde sa fraîcheur, sa valeur, pour toute l'éternité.
On voit l'agneau immolé dans l'Apocalypse V, et il va garder cette fraîcheur pour toute l'éternité.
Il y aura toujours ce lien entre le sacrifice de Christ et nos privilèges.
C'est aussi un chemin vivant, une référence à sa résurrection.
Et nous avons maintenant cette vie de résurrection, comme nous avons vu dans Jean XX, communiquée par le Saint-Esprit.
C'est l'Esprit qui vivifie, et maintenant c'est un chemin nouveau et vivant par lequel nous entrons.
Ce sera toujours selon ce principe-là.
Ce n'est pas selon des institutions, ou des règles, ou des rituels.
Mais c'est un chemin nouveau et vivant où l'Esprit est libre d'opérer.
Aussi selon ce qu'on a vu dans Philippiens 3, verset 3.
Ensuite le verset dit qu'il nous a consacrés à travers le voile.
Inauguré. Là il y a une emphase sur le fait que c'est tout à fait nouveau.
Ça représente un nouvel ordre de choses.
Et ainsi ce chemin nouveau et vivant qu'il nous a consacrés nous introduit dans un nouvel ordre de choses.
Et là il ajoute à travers le voile.
Maintenant nous avons ce libre accès pour venir dans la présence immédiate de Dieu, devant le trône de Dieu.
Comme dans l'Ancien Testament, l'Arche représentait ce trône de Dieu, l'Arche de Jérusalem, l'Arche de Dieu.
Nous pouvons maintenant contempler la gloire de Dieu.
Mais c'est dans la face du Seigneur Jésus.
De Chrétien 3 nous montre cela.
Le Seigneur l'avait dit aussi dans Jean 14, qui m'a vu, a vu le Père.
Il y a une différence, évidemment, ici le passage nous parle de Dieu, dans Jean 14 le Seigneur parle du Père.
Il y a quand même une dimension différente, mais il y a de notre côté aussi un parallèle.
Nous avons maintenant ce libre accès.
Et l'autre côté du voile, nous sommes donc dans la présence immédiate de Dieu, pour contempler Dieu.
Mais on ne peut pas voir Dieu.
Saint Timothée 6 le dit.
Ce n'est pas le Seigneur Jésus que nous pouvons le contempler.
C'est un mystère.
Comme l'Apocalypse 4 et 5 aussi.
Celui qui est assis sur le trône, ensuite l'agneau au milieu du trône.
L'agneau est Dieu aussi.
C'est un mystère et ce sera un mystère pour toute éternité.
Mais la foi accepte ce mystère.
La foi adore.
Le voile est ici sa chair.
Donc ça souligne la pensée que j'ai exprimée.
Si nous pouvons avoir accès à Dieu et voir Dieu, c'est par le Seigneur Jésus.
C'est en Lui que nous voyons Dieu.
Et il y a par ce voile aussi une différence entre ce qui se passe dans le lieu saint, où il y a le service,
ce qui est pour les intérêts de Dieu,
et par rapport à l'âge, cette contemplation de la gloire de Dieu dans la face du Seigneur Jésus.
Et ainsi, lorsque nous entrons dans la présence immédiate de Dieu,
on sera toujours rappelé que c'est par le Seigneur Jésus.
C'est par rapport à son sacrifice.
Le verset 21, « Ayons un grand sacrificateur »,
il y a l'emphase sur sa grandeur dans cette épique.
« Ayons un grand sacrificateur ».
Ainsi, il nous attire.
La grandeur de sa personne est présentée devant nos coeurs.
Et voilà, cela nous attire pour être dans sa présence.
Il est établi sur la maison de Dieu.
Nous voyons son autorité.
Mais nous sommes sa maison.
Il y a un lien intime entre lui et nous.
Puis là, il y a cet appel du verset 22,
« Approchons-nous avec un cœur vrai ».
Est-ce que nous donnons une réponse à sa grandeur,
par rapport à son heure,
par rapport à ses privilèges que nous avons ?
Est-ce que nous allons utiliser ses privilèges ?
« Approchons-nous donc », c'est un appel encore.
Ayant donc cette liberté, approchons-nous.
Et nous pouvons toujours nous approcher.
Il y a toujours l'occasion de faire un effort,
d'être encore plus proche,
pour le connaître davantage.
Mais c'est avec un cœur vrai.
Ce n'est pas par des rituels
ou par imitation.
C'est avec un cœur vrai
qui implique aussi la pensée du jugement de soi-même.
Comme j'ai dit tantôt avec Philippien 3, verset 3,
cette nouvelle position en Christ
implique un défi d'être en accord avec cette position pratiquement.
Donc, quelle est notre condition ?
Est-ce que notre condition est caractérisée par un cœur vrai ?
Qui présuppose le jugement de soi,
qui présuppose cet exercice continuel,
comme nous l'avons vu dans Philippien 3.
Et cette pleine assurance
veut dire aussi une appréciation du sacrifice de Christ
et de son œuvre et des résultats de cela.
Cette pleine assurance de soi.
Tout ce que nous avons dans le christianisme,
c'est par la foi.
Et ainsi, nous pouvons exercer notre foi
par rapport à ces choses
pour pouvoir adorer Dieu.
C'est toujours par la foi.
Parce qu'on est encore dans ce monde.
Cet élément, dans cette mesure,
ne sera plus là dans le ciel.
L'amour demeure, dans Chrétien 13, verset 13.
Ayant les cœurs par aspersion purifiées.
Les cœurs purifiés.
Ça me fait penser à 1 Pierre 1, verset 2.
En sainteté de l'esprit,
pour l'obéissance et l'aspersion du sang de Jésus Christ.
C'est donc cette nouvelle position
dans laquelle Dieu nous a placés.
Mais maintenant,
la condition pratique va ensemble avec cette position.
En pleine assurance de soi,
ayant les cœurs par aspersion purifiées,
exprime maintenant la pratique.
La pratique est conforme à la position.
Purifier d'une mauvaise conscience,
si on fait un effort pour s'améliorer devant Dieu,
et si on fait un effort par la religion,
par un système judaïque,
ça ne va pas marcher.
Malheureusement, dans l'histoire de l'Église,
on a réintroduit le judaïsme.
Et ainsi, pratiquement,
on n'est pas sans cette mauvaise conscience.
Le corps lavé d'eau pure,
c'est peut-être aussi une référence
au fait que nous ne pouvons pas séparer
le cœur et l'esprit et le corps.
C'est un ensemble.
Et si nous avons péché,
et nous ne voulons pas le confesser,
nous n'avons pas ce libre accès, pratiquement.
Et ce que nous faisons dans le corps
ne peut pas être détaché
de ce que nous faisons dans notre esprit.
Esprit, âme et corps vont ensemble.
C'est une unité.
Et nous ne devons pas nous séduire
en disant, OK, ce que nous faisons avec notre corps,
c'est une chose,
ce que nous faisons avec notre esprit,
c'est une autre chose.
Si au moins nous avons un contact avec Dieu
par notre esprit, on est correct?
Non, ce n'est pas comme ça.
Donc le corps va être lavé d'eau pure,
ici, pas d'une façon rituelle,
mais d'une façon spirituelle,
que nous soyons donc physiquement en accord
avec cette position que nous avons en Christ.
Ephésiens 5 nous montre
que le Seigneur nous lave par le lavage de l'eau.
Donc en appliquant l'eau de la parole
sur nos actions,
notre corps sera lavé d'eau pure.
C'est la sanctification pratique.
Et ça va ensemble avec les autres appels qu'on voit,
je vais juste mentionner.
Un appel pour approcher
va ensemble avec retenir la confession
de notre espérance,
parce qu'on est encore dans le désert,
on est en route pour le ciel,
et ça va ensemble aussi avec l'autre appel
du verset 24.
Prenons garde l'un à l'autre.
Si on est impliqué dans le service de Dieu,
on va considérer aussi les intérêts
de nos frères.
Prenons garde l'un à l'autre
pour nous exciter à l'amour et aux bonnes heures.
Ça va ensemble aussi avec le verset 25,
n'abandonnant pas le rassemblement
de nous-mêmes.
C'est ici la pratique qui doit continuer
dans la présence de Dieu.
Et le quatrième point,
nous exhortant l'un l'autre
au milieu du verset 25.
Et cela d'autant plus que vous voyez
le jour approcher.
Et le sujet de l'adoration
est un sujet qui est vaste.
Dans l'Apocalypse, nous voyons
peut-être 14 doxologies.
Mais je veux finir
en lisant ces quelques versets
dans l'Apocalypse 5.
Verset 5.
L'un des anciens me dit
ne pleure pas, voici le lion
qui est de la tribu de Juda.
La racine de David a vaincu
pour ouvrir le livre et ses sept sceaux.
Et je vis au milieu du trône
et des quatre animaux
et au milieu des anciens
un agneau qui se tenait là
comme immolé,
ayant sept cornes et sept yeux
qui sont les sept esprits de Dieu
envoyés sur toute la terre.
Il vint et prit le livre
de la main droite de celui
qui était assis sur le trône.
Et lorsqu'il eut pris le livre
les quatre animaux,
les quatre êtres vivants
et les 24 anciens tombèrent
sur leur face devant l'agneau
ayant chacun une harpe
d'or plein de parfums
qui sont les prières des saints.
Et ils chantent un cantique nouveau
disant, tu es digne
de prendre le livre
et d'en ouvrir les seaux
car tu as été immolé
et tu as acheté pour Dieu
par ton sang de toutes tribus
et langues et peuples et nations
et tu les as faits rois
et sacricateurs pour notre Dieu.
C'est déjà
notre position maintenant.
Mais ici
nous voyons comme
croyants dans le ciel
devant l'agneau
qui est Dieu lui-même
Dieu bénit sur toute chose
c'est un mystère insondable
l'agneau qui est aussi
le lion de la tribu
de David
est en même temps le Dieu
tout puissant
cette corne
le Dieu omniscient
c'est Dieu
le Dieu omniprésent
cet esprit de Dieu envoyé sur toute la terre
et c'est devant lui
que nous pouvons
tomber par terre
pour l'adorer. Nous pouvons le faire
déjà maintenant. Les privilèges
que nous aurons dans le ciel
nous les avons déjà maintenant
en principe
c'est exactement les mêmes privilèges
que nous avons maintenant
que nous aurons
dans le ciel
la condition dans laquelle nous serons
sera différente. Là on sera parfait
parfaitement
en accord avec le standard
élevé de Dieu. Mais ce que nous
pouvons faire déjà maintenant
nous pouvons répondre
à l'amour de Dieu, à l'amour
de l'agneau. Nous sommes vus
ici dans le ciel ayant chacun une arbre
donc
tous les rachetés sont vus
comme ayant une arbre
et j'aime faire
le parallèle avec Marie de Bethany
dans Jean 12
on ne voit pas de bouteille
on ne voit pas de vase qui l'a brisée
elle était elle-même le vase
pour ainsi dire. Et ainsi dans le ciel
nous serons nous-mêmes
les arbres
il n'y aura pas besoin
d'instruments de musique. Nous sommes
les instruments. Nous sommes
aussi caractérisés par le fait que nous sommes des coupes
d'or. On est caractérisés par la
prière. Et ainsi nous
allons chanter. Nous serons des
vases tout à fait en accord
avec Dieu
et ce chant
de la rédemption va continuer
pour toute l'éternité
un cantique nouveau
d'un nouvel ordre
et qui est présenté
qui est adressé dans ce cantique
le Seigneur. Tu es digne.
Ainsi il est l'objet
pour toute l'éternité
l'objet de notre
adoration. L'objet de notre
contemplation. Et ainsi
il va recevoir toute
la gloire et l'honneur.
Il y a l'emphase ici sur
la grandeur de sa personne. Tu es
digne. Sur ce
qu'il a fait. Tu as été immolé.
Sur ce
qu'il a fait de nous. Tu as acheté pour
Dieu par ton sang de
toutes tribus et langues et peuples et
nations. Tu les as fait rois et
sacrificateurs. Nous sommes maintenant
sacrificateurs avec lui
le grand sacrificateur. Nous sommes
rois avec lui le grand
roi. Et ainsi nous pouvons adorer
à jamais. Que
le Seigneur nous aide à le faire déjà, maintenant
pour sa gloire. Amen. …