La grandeur du Seigneur dans Hébreux
ID
aeb011
Langue
FR
Durée totale
03:56:29
Nombre
5
Références bibliques
Hébreux
Description

Transcription automatique:
…
D'abord un verset dans Luc 1, verset 35. Jésus c'est Luc 1, verset 32. Le contexte on peut lire aussi verset 31.
Et voici tu concevras dans ton ventre et tu enfanteras un fils et tu appelleras son nom Jésus.
Il sera grand. Il sera appelé le fils du Très Haut. Et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son Père.
Je voulais juste prendre ce verset là comme point de départ en parlant de la grandeur du Seigneur Jésus dans l'Épître aux Hébreux.
Ce mot « grain » se retrouve quelquefois dans l'Hébreu. Et puis ces cinq passages où on trouve le mot « grain » ou « grandeur »
donnent occasion pour prendre donc cinq études qui nous donnent en même temps une idée de l'Épître comme tel.
C'est un très grand chapitre donc c'est beaucoup trop pour couvrir dans cinq études.
Donc on a choisi juste cinq passages qui nous parlent de la grandeur du Seigneur Jésus.
Maintenant le mot « grandeur » ne se trouve pas dans le premier passage comme tel, comme on peut le voir dans le français.
Hébreu 1, verset 2 et 3. J'aimerais lire juste verset 1 à 3. Mais le mot est compris dans le mot « majesté ».
La majesté, la racine de ce mot-là est la même racine qu'on retrouve dans « il est grand » comme dans Luc 1, verset 32.
Et aussi dans les autres passages qu'on va voir sur le grand souverain sacrificateur, le grand pasteur d'Ébreuville.
Donc aujourd'hui on aimerait avoir une introduction pour l'Épître et aussi s'occuper de ces quelques versets du premier chapitre concernant la grandeur personnelle du Seigneur Jésus.
Hébreu 1, verset 1.
Donc juste pour résumer brièvement les cinq passages qu'on a dans l'Épître aux Hébreux concernant la grandeur du Seigneur Jésus.
Le premier passage, c'est celui qu'on a lu concernant sa grandeur personnelle.
La prochaine fois, Dieu voulant, on va voir le Seigneur Jésus comme le grand souverain sacrificateur par rapport avec nos besoins.
Après ça, ça c'est la fin du chapitre 4, après ça on va le voir comme le grand ministre du sanctuaire.
Dans le chapitre 7, verset 4, il a dit « considérez comment il est grand » et c'est un rapport avec son service dans le sanctuaire.
La quatrième fois, c'est sa grandeur en rapport avec notre service d'adorateur.
Donc pas pour nos besoins, mais comme un rapport avec notre service comme adorateur dans le chapitre 10, un grand sacrificateur.
Et puis la cinquième fois, c'est le Seigneur Jésus comme notre conducteur à travers le désert dans l'Ébreu 13, le grand pasteur d'Ébreuville.
Donc ces cinq passages sont liés ensemble par ce mot « grand » ou « grandeur » et puis donnent en même temps une idée de l'Épître comme tel.
Maintenant, ce que moi je me suis proposé, c'est d'abord donner une sorte d'introduction pour l'Épître.
On ne va pas revenir à ça la prochaine fois parce qu'on ne peut pas toujours répéter l'introduction.
Et puis après ça, parler un peu en détail de ces versets 1 à 3.
Donc si vous avez des questions entre temps ou juste à la fin, on verra comment le Seigneur va diriger.
Pour faciliter un peu, j'ai fait une transparence, quelques transparences en guise d'introduction.
L'Épître a été écrit aux juifs chrétiens. Il y a beaucoup de discussion là-dessus.
C'était peut-être pour tous les juifs, mais si on étudie l'Épître avec précision, on va voir que c'est vraiment aux juifs chrétiens à qui l'Épître a été écrit.
Parmi ces juifs chrétiens, il y en avait aussi qui n'étaient pas nés de nouveau.
On voit ça dans l'Ébreu 6 et l'Ébreu 10 et puis aussi d'autres passages.
Mais c'était donc ceux qui confessaient le nom de Christ comme leur Messie.
Ces juifs chrétiens ou les hébreux chrétiens ou les chrétiens hébreux, comme vous voulez, étaient sous une grande pression par la persécution.
On lit de la persécution déjà au début du livre des actes.
Donc d'un côté, il y a une pression à cause de la persécution et l'Épître aux Hébreux fait référence à ça.
Deuxièmement, il y avait une grande attraction venant du Temple et de la Synagogue.
Le système juif était là encore dans ces jours-là et puis les services avaient lieu dans le Temple.
Donc il y avait beaucoup d'attractions de ce côté-là.
Et puis il était donc en danger de se conformer maintenant extérieurement au système judaïque.
Ça veut dire de se lier de nouveau à ce système judaïque qu'ils avaient quitté un jour.
Le système judaïque avait rejeté le Messie, le Fils de Dieu.
Et puis deuxièmement, ce système était sous la loi et la sacrificature lévitique synaïque.
C'était donc l'ancien système.
Et puis les croyants, ok, je mentionne ici, étaient en danger de ne plus vouloir confesser le Seigneur publiquement.
C'était leur danger à cause de cette pression, à cause aussi de l'influence du judaïsme.
Ils ne voulaient plus confesser le Seigneur publiquement.
Et ainsi, ils couraient le danger d'abandonner les privilèges et les bénédictions de la foi chrétienne, au moins publiquement.
Mais on sait que si on abandonne ces principes publiquement, on va les perdre aussi réellement.
Donc la conséquence serait qu'ils allaient perdre tout cela.
Parce qu'ils allaient se placer à côté de ceux qui rejetaient la meilleure personne et le meilleur sacrifice.
Ok.
En autres mots, ils savaient que Jésus était le Messie, le Fils de Dieu.
Néanmoins, ils allaient retomber dans le judaïsme qu'ils avaient rejeté.
C'était leur danger.
Est-ce qu'ils avaient des doutes concernant le Messie ou est-ce qu'ils étaient dans l'ignorance?
Pas du tout.
Ceux qui retombaient dans le judaïsme sont vus comme apostas dans cet épitre.
C'est vu comme rébellion.
Humainement parlant, on peut sympathiser avec eux, on comprend leur situation, c'était difficile.
On voit aussi dans les actes l'influence du temple, les apôtres étaient dans le temple.
On voit l'influence de la synagogue, même dans Jacques 2, verset 2.
On voit comment les chrétiens ont maintenu la loi, la circoncision, comment ils étaient zélés pour la loi.
Acte 21 dit qu'ils étaient zélés pour la loi.
C'était les vrais chrétiens, des vrais chrétiens.
Maintenant, Dieu a permis ça, il a accepté tout cela pendant un certain temps,
mais avec la destruction du temple, il a mis fin à ça, à ce système-là.
Mais on va revenir à ça plus tard.
C'était donc, on peut dire, une réaction naturelle.
Ils étaient impressionnés par la grandeur du temple, par les services, tout cela.
Deuxièmement, ils étaient considérés comme des traîtres par leurs propres compatriotes, par les juifs.
C'était donc une situation très pénible.
Les juifs avaient une religion visible, un messie visible, donc, selon leurs pensées.
Maintenant, le christianisme, c'était seulement pour la foi, un système pour la foi,
un service invisible et spirituel.
L'adoration, c'est un service spirituel et invisible.
En rapport avec un messie rejeté par les juifs,
tué par son peuple, mais qui était glorifié dans le ciel, invisible pour l'œuvre visible.
Donc, pour eux, l'épreuve était soit rejetée,
leur messie, qu'ils avaient accepté, qui était rejeté, mais qui est dans la gloire,
qu'ils avaient accepté par la foi, ou bien retombé dans le judaïsme.
Maintenant, il y en avait qui étaient sur le point de retomber,
et je pense que c'était eux qui sont mentionnés dans Hébreux 6 et 10,
et peut-être, en effet, il y en avait qui étaient déjà retombés dans le judaïsme,
ceux qui n'étaient pas nés de nouveau.
Et les vrais croyants étaient donc en danger d'être influencés par eux,
et aussi retombés dans le judaïsme.
Maintenant, quel est le remède de tout cela?
L'auteur de l'Épître présente Christ dans sa supériorité.
Les juifs pouvaient dire, nous avons le Temple,
puis là, Christ est présenté dans sa grandeur.
C'est pour ça que j'ai souligné le mot grandeur ici,
sa supériorité, il est supérieur que le système judaïque,
il est suprême, excellent, sa splendeur,
il n'y a pas d'Épître dans le Nouveau Testament
qui présente la personne du Seigneur Jésus d'une telle façon.
Aussi, le mot meilleur, par exemple, plus grand, plus haut,
tout cela on trouve dans cette Épître.
C'est donc pour préparer le corps des juifs chrétiens
dans ces jours-là, pour ne pas retomber dans le judaïsme.
C'est pour ça que j'aimerais souligner ces cinq passages
concernant la grandeur de notre Seigneur Jésus.
Maintenant, je voulais souligner un peu
ce pensée de l'excellence de Christ.
On le voit partout, mais j'ai juste mentionné quelques points.
Si on prend, par exemple, ces quelques expressions,
chapitre 7, verset 19, une meilleure espérance,
c'est tout un rapport avec Christ,
un rapport avec son excellence, sa grandeur,
un rapport avec lui, une meilleure alliance,
qui est appelée aussi la nouvelle alliance,
l'alliance éternelle, chapitre 7, verset 22 et d'autres passages.
Un rapport avec cela, de meilleures promesses,
des promesses inconditionnelles,
beaucoup de promesses pour les juifs étaient conditionnelles,
mais les promesses en rapport avec le Messie sont inconditionnelles.
Chapitre 9 parle d'un meilleur sacrifice.
Chapitre 10, verset 34, d'une meilleure possession
en rapport avec le ciel.
Beaucoup de choses sont liées au ciel,
tandis que le système judaïque était lié à la terre.
Chapitre 11, verset 16, une meilleure patrie,
un rapport avec le ciel de nouveau,
une meilleure résurrection, chapitre 11, verset 35,
parce que par cette meilleure résurrection,
ils auront des bénédictions célestes,
comme l'épître aux hébreux nous enseigne.
Donc, pour le résumer, l'épître nous présente
une meilleure personne, plus grande,
plus excellente que les anges.
Les anges étaient très, très importants pour les juifs,
parce que ce n'étaient pas les anges
que la loi avait été transmise.
Galates 3 et hébreu 12, je pense,
et d'autres passages qui font référence à ça.
Donc, les anges étaient bien respectés parmi les juifs.
Maintenant, l'auteur présente une personne
qui est meilleure que les anges.
Il est aussi meilleur que les hommes
dans le monde habité à venir,
dans le millenium, chapitre 2, verset 5 à 9.
Il est meilleur que les fils de Dieu présentement.
Les croyants, dans cette dispensation,
sont vus comme les fils de Dieu,
que le Seigneur Jésus appelle ses frères.
Mais lui, il est plus grand.
Il est plus grand que Moïse,
l'homme le plus grand du judaïsme.
Il est plus grand que Jésus-Christ,
qui avait introduit le peuple dans les pays promis.
Il est plus grand que David,
le plus grand roi d'Israël.
Il est aussi plus grand que Salomon,
comme on voit dans hébreu 4.
Plus grand qu'Aaron,
le grand sacrificateur d'Israël.
Et ainsi, on peut continuer.
Il est plus grand que Melchizedek,
quoique Melchizedek soit vraiment
une image du Seigneur Jésus.
Donc, si les croyants retournent au judaïsme,
ils vont perdre la meilleure personne
et toutes ses meilleures choses,
remplaçant la réalité,
un rapport avec Christ,
par les ombres,
un rapport avec la loi
un rapport avec le système judaïque,
qui était un système insuffisant.
Parce que chapitre 7 nous montre
que par ce système,
rien n'a été fait parfait
ou rendu à la perfection.
Aucune chose ne pouvait être rendue
à la perfection par ce système judaïque.
Donc, quel danger pour les croyants
de retomber dans un tel système.
Et puis, il faut réaliser
avec la venue du Seigneur Jésus,
tous les hommes,
tous les hommes étaient réalisés.
Donc, les hommes n'ont plus la même fonction.
Au moment où le Seigneur Jésus est venu,
il a accompli toutes ces ombres.
Puis, si on va retomber dans un système
avec les ombres,
on met de côté l'accomplissement de ces choses,
l'accomplissement par l'œuvre
et par la personne du Seigneur Jésus.
Donc, la signification pratique de ces choses,
ce n'est pas seulement pour les chrétiens
comme des aigreux.
Eux avaient besoin premièrement
de cet enseignement,
mais nous aussi.
C'est une présentation
de la personne de Christ et de son œuvre.
Et nous aussi,
nous avons besoin de cet enseignement.
On voit que Jésus est présenté le Fils de Dieu,
sa vie, son sacrifice,
sa gloire présente et future.
Ça, c'est la première partie de l'épître.
Je vais juste montrer
juste un outline de l'épître,
mais la première partie,
c'est une présentation de la personne de Christ.
Deuxièmement, une présentation de son œuvre,
chapitres 9 et 10.
Et en rapport avec cela,
on va voir le service chrétien,
l'adoration chrétienne.
Et puis, la troisième partie de l'épître
parle de notre pratique,
la marche chrétienne.
Et on trouve à travers l'épître
beaucoup de choses très pratiques,
des appels comme approchons-nous,
faisons ceci, faisons cela,
au moins 14 fois.
Donc, ça nous montre que l'épître aussi
est très pratique pour nous,
qui fait un appel à nos cœurs,
à notre conscience
pour suivre maintenant cette personne merveilleuse.
Je mentionne aussi ici que l'épître,
c'est plutôt un discours.
L'apôtre nous présente,
ou l'auteur présente cette personne,
son œuvre,
mais c'est comme dans un discours.
Il parle, il nous parle.
C'est très vivant lorsqu'on réalise cela,
qu'il nous adresse ainsi
comme un frère qui nous parle, simplement.
Et puis, on voit aussi l'auteur comme un docteur.
Il enseigne, il prend les choses de l'Ancien Testament
et les met dans la bonne perspective
concernant la personne du Seigneur.
Je ne veux pas discuter maintenant qui est l'auteur.
Je pense que c'est l'apôtre Paul,
mais il y a plusieurs raisons
pour lesquelles il ne mentionne pas son nom
et même n'est pas mentionné comme apôtre
parce que ce ne sont pas de nouvelles révélations.
Ce sont des choses qu'il prend de l'Ancien Testament
et il met dans la bonne perspective
en rapport avec Christ.
Ce n'est pas mon intention
de couvrir toute cette transparence maintenant,
mais ça, c'est une partie de l'aperçu de cet épitre.
Mais comme nous avons vu,
la première partie nous présente une meilleure personne,
sa supériorité, sa suprématie,
sa grandeur personnelle,
surtout dans ce passage que nous avons lu.
L'épitre premier nous présente Jésus,
le Fils de Dieu, plus haut que les anges.
Et là, on voit deux parties,
Dieu révélé dans le Fils,
la grandeur personnelle du Seigneur Jésus.
C'est ce passage-là que nous allons discuter.
Après ça, on voit la gloire du Fils
en contraste avec les anges.
Puis là, il y a une parenthèse.
On trouve cinq parenthèses dans cet épitre-là
qui s'adressent à notre responsabilité.
Comment on va répondre à ça?
Est-ce qu'on va répondre de notre cœur à ça
puis suivre ce grand Seigneur
ou est-ce qu'on va le négliger,
négliger ce grand salut, etc.?
Donc, j'arrête ici pour l'aperçu.
On va revenir à l'aperçu plus tard
parce qu'on ne peut pas vraiment...
On pourrait prendre tout le temps
juste pour suivre l'aperçu.
Ça ne va pas maintenant
parce qu'on veut vraiment parler un peu en détail
de ce verset que nous avons lu.
Donc, pour revenir au passage que nous avons lu,
je dirais d'abord, en guise d'introduction,
on voit deux choses.
Dieu a parlé dans le Fils ou en Fils sur la terre.
Donc, Dieu est venu sur la terre.
Et puis là, on voit que le Seigneur Jésus,
il est l'apôtre.
Il est vu comme l'apôtre.
Un peu plus tard, dans Hebreu 3,
on voit que l'auteur fait une comparaison
avec Moïse et Aaron.
Il compare le Seigneur Jésus avec Moïse, l'apôtre,
et avec Aaron, le sacrificateur.
Et dans Hebreu 3, on voit que le Seigneur Jésus,
il est le vrai Moïse, donc l'apôtre,
et aussi le souverain sacrificateur de notre confession.
Donc, si vous voulez référer à ça,
on voit clairement que Moïse,
une image du Seigneur Jésus comme l'apôtre,
et Aaron, une image du Seigneur Jésus
comme le souverain sacrificateur.
Et puis, ces deux pensées sont très importantes.
Pour ceux qui connaissent le tabernacle,
on voit que Dieu habite dans le lieu très sain
où il y a l'arche.
L'arche, c'était la place où la nuée était aussi.
Et puis, c'est le centre du tabernacle.
Maintenant, si on étudie le tabernacle,
on voit que Dieu sort du sanctuaire
et rencontre l'homme dans le parvis,
auprès de l'autel, ou à l'entrée même.
C'est ça qu'on voit d'un côté dans l'épître aux Hébreux.
Dieu, qui est dans le ciel,
il sort pour rencontrer l'homme.
Et c'est pour ça qu'il a envoyé son Fils.
Le Seigneur Jésus est venu comme le grand apôtre
qui représente Dieu.
Et puis, il n'est pas seulement le représentant de Dieu,
il est Dieu lui-même.
C'est pour ça qu'il est dit que Dieu a parlé dans le Fils,
ou en Fils.
C'est Dieu lui-même qui nous a parlé.
Et puis, ce Fils de Dieu est lui-même le grand apôtre,
comme on le voit dans le chapitre 3.
Et comme le grand souverain sacrificateur,
ça c'est le deuxième point,
sur la base de sa propre gloire et de l'œuvre accomplie,
il s'est assis dans le ciel,
un homme dans le ciel.
Là, on le voit aussi comme le sacrificateur
qui nous représente auprès de Dieu.
Il est le sacrificateur.
Donc, l'apôtre est le sacrificateur.
Dieu sur la terre, Dieu révélé,
et maintenant, un homme dans le ciel,
comme c'est marqué ici,
parce que le Seigneur Jésus est là maintenant,
assis à la droite de la Majesté,
sur la base de l'œuvre accomplie.
Il est là, dans le ciel.
Vous savez peut-être que les sacrificateurs du tabernacle,
de l'ancien système, ne pouvaient jamais s'asseoir.
Il n'y avait pas de siège dans le tabernacle.
L'Épître aux Hébreux réfère au tabernacle.
Il ne réfère pas au temple,
il réfère au tabernacle.
L'Épître parle de notre voyage à travers le désert.
Donc, le voyage à travers le désert d'Israël
est maintenant aussi notre voyage à travers le désert.
Et c'est ça qu'on va voir plus tard dans Hébreu 4 et Hébreu 13.
Donc, cette introduction donne déjà les deux points de base de l'Épître.
Dieu s'est révélé,
et maintenant, sur la terre,
et maintenant, il y a un homme dans le ciel.
Ce sont les deux grandes pensées dans l'Épître.
Et ça va ensemble avec ces pensées-là de l'apôtre et le sacrificateur.
Ça va ensemble avec ces deux côtés, Dieu et homme.
Et ainsi, on peut le dire encore d'une autre façon,
le christianisme est présenté dans cet Épître.
Cet Épître montre maintenant le christianisme biblique,
comment ce système, si je peux utiliser le mot système,
est plus grand que le judaïsme,
parce que c'est un rapport avec une meilleure personne, comme nous l'avons vu.
Donc, le christianisme est caractérisé par deux choses que Dieu a révélées.
Sous l'Ancienne Alliance, Dieu était caché.
Dieu habitait dans les ténèbres, même dans le temple de Salomon.
Salomon l'a mentionné que Dieu habitait dans les ténèbres.
Mais dans le christianisme, Dieu a été révélé.
Et puis révélé par le prophète par excellence, qui est Dieu lui-même.
Le Seigneur Jésus est vu aussi donc comme prophète,
comme celui qui parle, qui représente Dieu, qui parle de la part de Dieu.
Mais pas comme les prophètes de l'Ancien Testament,
qui étaient envoyés par Dieu.
Il est le prophète par excellence, parce qu'il est Dieu lui-même.
Dieu parle en fils, comme Hébreu 1, verset 2 le dit.
Donc, Dieu lui-même parle, comme nous l'avons vu.
La deuxième chose du christianisme,
c'est que l'essence et la pratique du christianisme sont liées à une personne,
liées au fait qu'il y a un homme dans le ciel maintenant.
Donc, une personne merveilleuse,
plus grande, comme nous l'avons vu, que tous les gens liés au judaïsme,
et aussi le fait que cet homme est dans le ciel.
L'épître aux Hébreux met beaucoup d'emphase sur le ciel,
l'appel céleste et beaucoup de choses en rapport avec le ciel.
Il montre à la fin aussi que même les patriarches,
leur espérance était liée au ciel.
Ils avaient d'abord un appel pour la terre,
mais Dieu leur a montré que leur destination était céleste.
Hébreu 11 nous le montre.
Donc, le christianisme est plus élevé que le judaïsme,
même si on voit le judaïsme dans son caractère original,
donné de Dieu.
Il faut réaliser que ce judaïsme avait rejeté le Seigneur Jésus,
et c'est pour ça que Dieu l'a mis de côté aussi,
a introduit un nouveau système en rapport avec Christ,
en rapport avec un Dieu révélé entièrement,
en rapport avec une œuvre accomplie.
Et tous ces détails-là sont développés plus tard dans cet épître.
Je ne peux pas mentionner tous les détails.
Lorsqu'on étudie l'épître aux Hébreux,
il faut voir que souvent il introduit un sujet,
il va le développer plus tard.
Maintenant, pour revenir à ces versets que nous avons lus,
le premier verset nous montre qu'il y a quand même un lien avec le passé,
Dieu ayant autrefois parlé.
Donc, autrefois, Il a parlé à plusieurs reprises et en plusieurs manières,
et maintenant Il a parlé.
Donc, Dieu continue à parler.
Il y a une certaine continuité par rapport avec le passé.
Ce n'est pas que c'est devenu, c'est tombé du ciel, disons,
et sans préparation.
On peut dire que tout l'Ancien Testament, dans un sens,
prépare le christianisme.
Ce témoignage qui a été donné par le Seigneur Jésus
était caractérisé par le fait que c'était au dernier jour,
comme le verset premier à la fin de ce jour-là,
ou au dernier jour,
c'était le jour où Dieu avait mis à l'épreuve l'homme,
l'homme avait manqué,
et maintenant Dieu introduit son fils, son homme à lui.
À plusieurs reprises, comme Dieu avait parlé autrefois,
et à plusieurs manières,
c'est un contraste maintenant avec ce que Dieu fait maintenant.
Maintenant, Il parle une fois, d'une seule façon,
pas à plusieurs reprises.
Il parle maintenant par son fils,
et d'une façon différente comparée avec l'Ancien Testament,
parce que ce n'est pas plusieurs instruments comme les prophètes.
C'est maintenant d'une façon unique, d'une façon parfaite,
complète, suffisante et totale.
Tout ce que Dieu avait à dire a été dit par le Seigneur Jésus.
Autrefois, Il a parlé au Père,
maintenant à nous.
Donc, de nouveau un lien, mais aussi un contraste.
Autrefois, par les prophètes,
maintenant par le Fils lui-même.
On va revenir à ça, que le Fils est Dieu lui-même.
Maintenant, le verset qui nous occupe d'une façon particulière,
c'est versets deux et trois,
qui nous parle de la grandeur personnelle du Seigneur Jésus,
nous donne sept points.
On voit sept points ici,
qu'on aimerait étudier un peu en détail.
D'abord, Il est appelé l'héritier de toutes choses.
La Parole nous dit qu'Il était établi avant la Création,
parce qu'il est dit, avant qu'il commence à mentionner la Création,
il est dit que le Fils a été établi, héritier de toutes choses.
Dans la Parole de Dieu, la pensée fils et héritier vont ensemble.
C'était le cas pour le Seigneur Jésus.
Il était toujours le Fils, et ainsi il était toujours l'héritier.
Dieu l'avait établi comme héritier,
même avant la Création de l'univers.
C'était le propos de Dieu d'avoir un héritier.
Et puis, nous voyons plus tard que cet héritier est devenu homme,
pour que nous puissions partager dans cet héritage.
Mais lui était toujours héritier.
Nous avons été faits héritiers, ça c'est la différence.
Le Seigneur était toujours l'héritier.
Par contre, Dieu nous a fait co-héritiers,
il nous a fait héritiers.
Il nous a fait fils aussi, avec le Fils.
Le deuxième point, il est le Créateur de toutes choses.
Donc ça montre aussi sa grandeur, il a fait le monde.
Je vais revenir à ça, notre transparence.
On donne juste quelque chose du Seigneur Jésus.
Il est notre Créateur, il nous a créés.
Et puis on voit sa grandeur comme Créateur dans Jean 1.
C'est très spécial, la façon dans laquelle il est présenté dans Jean 1, verset 1 à 3.
Comme le Créateur.
La parole, on pourrait avoir une étude seulement sur Jean 1, verset 1 à 3.
Vous pouvez le lire.
Colosse 1, verset 16 et 17 nous parle aussi de la grandeur du Fils.
Là on voit qu'il a créé toutes choses par lui-même, dans sa puissance et pour lui-même.
Ici le contexte est un peu différemment, c'est Dieu qui a créé toutes choses par le Fils.
Mais le Fils est Dieu lui-même aussi, et le Fils est le Créateur lui-même aussi.
Dans Apocalypse 4, on a aussi une référence au fait qu'il a créé toutes choses.
Le troisième point, c'est que le Seigneur Jésus est aussi le resplendissement de sa gloire, de la gloire de Dieu.
Donc, on peut dire ceci, ce qui est devenu visible de la gloire de Dieu, l'a été par le Fils.
On ne peut rien voir de Dieu sans que ce soit révélé par le Fils.
Et ainsi le Fils est le resplendissement de sa gloire.
On pourrait dire, dans un sens, le canal, c'est par lui que Dieu montre sa gloire.
Et ainsi, il est appelé dans la parole de Dieu, l'image du Dieu invisible.
Il reflète la gloire de Dieu.
Et il y a un passage de Chrétien 4 qui nous parle de la gloire de Dieu,
que nous pouvons voir dans la face du Seigneur Jésus.
Et ainsi, il est le resplendissement de sa gloire.
Mais là, il y avait des faux docteurs, même dans ce temps-là,
qui ont reconnu que le Seigneur Jésus était le resplendissement de la gloire de Dieu,
qu'il était comme un outil que Dieu avait utilisé.
Mais ils niaient que le Seigneur Jésus était co-égal avec le Père.
La co-égalité entre le Père, le Fils et le Saint-Esprit était niée par ces gens-là.
Et c'est pour ça que l'apôtre montre ici encore un autre point.
Le quatrième point, c'est qu'il est l'empreinte de la substance de Dieu.
Ça veut dire qu'il est Dieu lui-même.
L'essence de Dieu est en lui.
Dieu, il est dans le ciel.
Il est exprimé dans le Fils sur la terre.
Et Dieu, le Fils est Dieu lui-même, l'empreinte de la substance de Dieu.
On pourrait dire que le point 1 à 4 nous parle de ce que le Seigneur Jésus est en relation avec Dieu,
en relation avec la Trinité.
Donc le Fils, le Père, le Fils et le Saint-Esprit étaient révélés dans le Seigneur Jésus.
C'est pour ça que je le compare avec l'arche dans l'Ancien Testament.
L'arche était faite par le bois, un bois incorruptible qui nous parle de l'humanité du Seigneur Jésus
et en même temps couvert de l'or qui nous parle de la gloire divine.
Maintenant, les points 5, 6 et 7 mettent l'emphase sur la personne du Seigneur Jésus,
ce qu'il est en lui-même et ce qu'il a fait lui-même.
L'emphase est mise sur sa personne-même.
Le cinquième point, c'est qu'il soutient toute chose par la parole de sa puissance.
Ça veut dire que sans lui, aucune chose ne peut continuer dans l'univers.
Tout l'univers est soutenu par la parole de sa puissance.
J'ai encore quelques remarques sur l'autre transparence là-dessus.
Et le sixième point, c'est qu'il a fait la purification du péché par lui-même.
Ça souligne de nouveau sa grandeur.
On va revenir à ça aussi.
Et le septième point, c'est qu'il s'est assis à la droite de la majesté dans les hauts lieux.
Donc les gens, et aussi pour les juifs, c'était important de voir la grandeur du Seigneur Jésus,
qu'il était l'héritier de toutes choses, donc ainsi plus grand que les anges,
qu'il était le créateur de toutes choses, qu'il était le resplendissement de sa gloire,
de la gloire de Dieu, et même Dieu lui-même, l'expression de Dieu.
Dieu était vu en lui, et que lui était aussi celui qui soutient toutes choses par la parole de sa puissance.
Mais lui était le même qui était le rédempteur, qui avait réglé la question du péché,
qui est un résultat de cela, comme résultat de cela, qu'il y avait maintenant une place dans le ciel.
Bon, ça c'est important, très important, le rapport du judaïsme.
Dans le judaïsme, aucune chose n'était accomplie.
Toutes choses se répétaient, se répétaient, et jamais un sacrifice était final, et complet, parfait.
Tandis que sur la base de l'œuvre accomplie du Seigneur Jésus, il y a maintenant quelqu'un qui est assis.
Et j'aimerais montrer les autres passages, un peu plus loin, dans l'épître aux Hébreux,
qui nous parle du fait que le Seigneur Jésus s'est assis dans la gloire.
On va revenir à ça, donc.
Juste quelques détails encore sur ces sept points.
Donc l'héritier, le premier point, comme je l'ai mentionné déjà, il est le fils, et pour cela il est l'héritier.
Dieu aime lier les deux choses ensemble.
Il aime avoir un fils pour lui-même, qui est l'héritier, qui donne, donc en autres mots,
tout ce que Dieu a, il donne à son fils, qui est l'héritier.
Et ainsi, c'est le plaisir de Dieu de nous avoir comme des fils, ensemble avec le Seigneur Jésus,
afin que nous soyons des héritiers avec lui.
Mais comme j'ai dit, le Seigneur Jésus était toujours l'héritier, nous avons été faits héritiers.
C'est l'héritage de Dieu.
Dieu est le testateur, mais la mort est nécessaire.
On voit dans cette épître que Dieu est devenu homme,
et que la mort est intervenue aussi pour que Dieu puisse donner maintenant et partager cet héritage.
Et verset 10 nous montre que cet héritage sera joui,
sera connu dans la plénitude des temps,
où toutes choses seront soumises à un homme, le Christ Jésus.
Nous avons déjà aussi un héritage, comme on voit dans la parole de Dieu.
Donc, lui est l'héritier, l'emphase est mise sur la grandeur de sa personne.
Le fils incarné, donc, voyons maintenant le chemin qu'il est allé.
Il fallait que le fils, donc, qui était l'héritier, qu'il devienne chair, l'incarnation,
qu'il vit ici-bas pour la gloire de Dieu, qu'il meurt, qu'il soit ressuscité,
pour recevoir maintenant cet héritage, pour le partager avec nous.
Le Seigneur Jésus était toujours l'héritier,
mais maintenant il est d'une façon nouvelle, il est aussi comme homme.
Et ainsi, il peut partager avec nous, qui sommes des co-héritiers.
Donc, le Père a donné toutes choses au fils unique,
et puis là, il dépasse entièrement nous, comme nous avons vu.
Mais c'était le plaisir du Père de partager ces choses avec plusieurs fils.
On voit ça dans Hebrews 2 et plus tard.
Donc, le deuxième point, l'héritier était aussi le créateur, le créateur des mondes.
Les mondes, il l'a dit ici dans le deuxième verset, il a fait les mondes.
Ça implique l'espace et le temps.
Ça implique les âges ou les dispensations,
les mondes, donc le monde avant la chute, le monde avant les déluges,
le monde actuel, le monde après les jugements,
donc le monde du millenium, et aussi le monde futur,
sur une nouvelle terre, des nouveaux cieux.
Ces mondes trouvent leur existence en lui.
Il est le créateur.
Il est le créateur des mondes des anges, des étoiles des anges.
Donc, c'est très général.
Ça souligne de nouveau la grandeur de sa personne.
Il a créé tout, comme on le voit aussi dans Jean 1.
Maintenant, on voit que la Trinité est impliquée dans la création.
Le Fils a exécuté les plaints dans la puissance de l'esprit.
On pourrait dire, dans un sens, le Père a fait les plaints,
le Fils les a exécutés, mais c'est dans la puissance de l'esprit.
Maintenant, on a vu donc dans Colossien 1, là l'emphase est encore plus sur lui-même.
Là, on voit que tout a été créé pour lui-même,
parce que Colossien met l'emphase sur la personne de Christ.
Mais ici, on voit que la Trinité est impliquée.
Comme il a dit, Dieu a créé toute chose par lui.
La troisième chose, c'est qu'il est continuellement.
C'est un participe qui est utilisé là,
étant le resplendissement de la gloire de Dieu.
Donc, c'est quelque chose qu'il est continuellement.
Il n'arrête jamais à être le resplendissement de la gloire de Dieu.
Il sera toujours le resplendissement de la gloire de Dieu.
Est-ce qu'on a pensé à ça déjà?
Lorsqu'on va voir le Seigneur Jésus dans le ciel,
on le verra comme le resplendissement de Dieu.
Il le sera toujours, donc le resplendissement de la gloire de Dieu.
Le mot gloire veut dire, dans l'hébreu, le poids.
Donc, c'est un rapport avec ce que Dieu est en lui-même.
Mais c'est seulement vu par le Fils qui est le resplendissement de la gloire de Dieu.
Et ces deux beaux versets de 2 Corinthiens 4, versets 4 et 6,
sont vraiment très édifiants pour méditer là-dessus encore en plus de détails.
Donc, les attributs de Dieu ont été manifestés par le Seigneur Jésus.
Il est le représentant visible du Dieu invisible.
Dieu est lumière, Dieu est amour.
Donc, on peut dire que la gloire de Dieu, c'est lumière et amour.
Et les deux côtés de la gloire de Dieu ont été révélés par le Seigneur Jésus.
La lumière, déjà un, et aussi l'amour de Dieu, déjà en 3, verset 16 et d'autres passages.
Donc, tout cela a un rapport avec la gloire de Dieu.
Il est le resplendissement de la gloire de Dieu.
Mais aussi l'empreinte de Dieu.
L'empreinte parle de l'essence de Dieu, ce que Dieu est,
et ce qu'il est maintenant exprimé dans le Fils.
Donc, le Père, le Fils, l'Esprit-Saint sont exprimés en vie.
Il y a un verset connu dans Colosse 1, verset 19 qui dit
qu'en lui, il n'a plus à la Trinité, la déité, d'habiter corporellement en lui.
Donc, c'est un homme qui est l'empreinte de Dieu.
Il est Dieu lui-même.
Il fallait aussi qu'il soit Dieu pour qu'il puisse exprimer Dieu.
C'est vraiment un mystère pour nous.
Le cinquième point, le Créateur qui est le souteneur.
On le voit aussi dans Colosse 1, verset 17,
qu'il soutient toutes choses, et ainsi il a dit,
soutenant toutes choses par la parole de sa puissance.
De nouveau, un participe, ça veut dire que ça continue continuellement.
S'il se retire une seconde, tout l'univers s'écroulera.
Et on va voir dans 2, pierre 3, qu'on va donner, tout s'écroulera.
C'est sur son commandement que ça va avoir lieu.
Et puis, il sera aussi le souteneur de la nouvelle terre,
le créateur de la nouvelle terre, le créateur des nouveaux cieux.
Et ainsi, il va soutenir aussi cette nouvelle création continuellement.
Il le soutient par la parole de sa puissance.
Le mot utilisé ici pour parole,
ça veut dire quelque chose qui est exprimé continuellement.
C'est quelque chose qui a besoin d'être exprimé d'une façon nouvelle tout le temps.
Donc, ça nous montre la relation que le Seigneur Jésus a avec la création.
Même lorsqu'il était un bébé dans la crèche, il a soutenu tout l'univers.
Si on pense à ça, tout l'univers est soutenu par lui comme il était un bébé dans la crèche.
Tout dépend de lui continuellement.
Et ainsi, on peut comprendre aussi que l'univers est dirigé par des lois.
Si on connaît un peu les galaxies,
aucun scientiste connaît les secrets des galaxies,
ni même les secrets des petites choses comme les atomes.
Il voit un peu les lois.
Mais il y a encore des lois, des détails que personne ne connaît.
Puis lui, il a donné toutes ses lois et c'est par lui que tout continue à exister.
Donc, on voit le Créateur qui a dessiné tout,
qui a créé tout pour la volonté de Dieu et pour sa propre loi et qui soutient tout.
Mais le Créateur est devenu le Rédempteur.
Et on pourrait peut-être suggérer qu'un rapport avec la rédemption,
sa gloire est devenue encore plus grande.
La parole de Dieu nous parle beaucoup de la création mais encore plus de la rédemption.
Et on voit encore plus de gloire en rapport avec la rédemption.
Pour la création, il a parlé un mot.
L'Option 33 nous le dit.
Pour la rédemption, il fallait qu'il se donne lui-même.
Donc, pour soutenir la création, il parle aussi comme nous avons lu,
soutenant toutes choses par la parole de sa puissance.
Mais pour être le Rédempteur, il fallait qu'il vienne,
que la parole devienne chère,
qu'il accomplisse cette œuvre par sa mort et sa résurrection.
Et ainsi, Dieu a été glorifié par lui dans sa vie et dans sa mort.
Et ainsi, Dieu l'a glorifié, ce qu'on voit dans le septième point.
Parce que là, on voit sa majesté dans les hauts lieux.
Mais il faut réaliser ici que la parole ne met pas l'emphase ici sur ce que Dieu a fait.
Il n'est pas dit que Dieu l'a glorifié ici, ce qui est vrai.
Il n'est pas dit ici que Dieu l'a fait asseoir à sa droite,
ce qui est vrai aussi, parce qu'on le dit, que Dieu l'a fait asseoir à sa droite.
Mais ce que la parole nous dit ici, qu'il y a une personne qui s'est assise lui-même.
Donc, il s'est assis à côté de la droite, il s'est assis lui-même.
Donc, ça souligne de nouveau sa propre gloire,
comme on le voit aussi dans Marc XVI,
où on voit le serviteur qui est humble et débonnaire dans Marc,
mais en même temps, la grandeur de sa personne.
C'était une personne qui était capable de s'asseoir à côté de Dieu,
pas seulement à la droite, mais de la majesté dans les hauts lieux.
Et j'aimerais souligner ces trois points ici.
Et après ça, on va finir avec ce passage où on voit comment le Seigneur Jésus s'est assis.
Donc, à la droite, c'est la place de l'autorité suprême, de la majesté.
Ce n'est pas seulement qu'il s'est assis à la droite de Dieu,
comme d'autres passages nous le disent, mais à la droite de la majesté.
Là, on voit donc la gloire manifester, et pas seulement cela,
dans les hauts lieux, au-dessus de tout et de tous.
On voit dans cet épître que le Seigneur Jésus est monté au-dessus des cieux.
Et ce passage nous confirme cette pensée,
et sa grandeur, il est plus grand que tout et tous.
Voilà, cette grandeur est soulignée aussi dans le verset 13.
Je n'ai pas sur la transparence ici, peut-être on peut juste tourner la page là.
Verset 13, on le voit,
« Aucun des anges, et aucun des anges a-t-il jamais dit, assieds-toi à ma droite,
jusqu'à ce que j'ai mis tes ennemis pour marcher de tes pieds. »
Ici, on le voit donc, à la droite de Dieu, mais d'une façon différente.
Ici, c'est Dieu qui donne le commandement.
Il dit, assieds-toi.
Et puis, c'est en attendant que tous les ennemis soient mis,
qu'on marche de ses pieds.
Donc ici, c'est d'une façon différente.
En attendant que tout soit soumis à ses pieds.
Tandis que dans le verset 3, on voit l'emphase sur sa personne même,
que lui était capable de s'asseoir à la droite de la majesté dans les hauts lieux.
Donc là, toute l'emphase est mise sur la grandeur de sa personne,
qui était capable de faire quelque chose comme ça.
Dans le verset 13, c'est Dieu qui lui donne de s'asseoir,
et en attendant de savoir futur.
Maintenant, juste brièvement,
c'est ce passage dans l'Épître aux Hébreux qui nous parle du fait que le Seigneur Jésus s'est assis.
Chapitre 8, versets 1 et 2.
On va revenir à ça une fois, mais c'est très important à saisir cela,
parce que, comme j'ai dit, ça c'est un grand contraste avec le système judaïque.
Il n'y avait aucune personne qui pouvait s'asseoir dans la présence de Dieu,
parce que l'œuvre n'était jamais accomplie.
Même le sacrificateur, le jour de la propitiation, ne pouvait jamais s'asseoir,
comme on le voit dans cet Épître.
Seulement Christ a pu s'asseoir.
Donc, il représente un nouveau système.
Et puis, chapitre 8 souligne un autre aspect.
À la droite, verset 1,
c'est que nous avons un tel souverain sacrificateur qui s'est assis à la droite du trône de la majesté dans les cieux,
ministre des lieux saints et du vrai tabernacle que le Seigneur a dressé,
non pas l'homme.
Donc, ici, on pourrait dire que le Seigneur Jésus a assis comme ministre du sanctuaire.
Donc, il y a maintenant un ministre,
mais il est beaucoup plus grand que dans l'Ancien Testament,
parce que là, le ministre de l'Ancien Testament ne pouvait jamais s'asseoir.
Ici, on a un ministre qui sert Dieu,
mais sa position est comme celui qui s'est assis dans la présence de Dieu.
Donc ici, on peut suggérer qu'il est dans la présence de Dieu,
comme le ministre du sanctuaire,
mais assis dans la présence de Dieu.
Tandis que le chapitre 10 nous montre qu'il s'est assis là sur la base de son œuvre accomplie.
Donc, chapitre 8, il est assis là à cause de son service, le ministre du sanctuaire.
Chapitre 10, le verset 12,
celui-ci ayant offert un seul sacrifice pour le péché,
s'est assis à perpétuité à la droite de Dieu.
On voit là une personne assise à perpétuité,
donc à jamais à la droite de Dieu.
Pourquoi? Parce qu'il a offert un seul sacrifice, une fois pour toutes.
Et le sacrifice est tellement grand, tellement merveilleux,
que Dieu dit à cause de cela, sur la base de ce sacrifice, qu'il pouvait s'asseoir.
Mais là aussi, il dit qu'il s'est assis.
Donc, le sacrifice a été accompli, et sur la base du sacrifice, il pouvait s'asseoir lui-même.
Donc, ça parle de l'efficacité éternelle de ce sacrifice,
que Dieu lui donne une place éternelle.
Et le dernier passage nous montre que le Seigneur Jésus,
chapitre 12, verset 2,
il nous montre que le Seigneur Jésus a pu s'asseoir là,
parce qu'il a consommé la course de la foi.
Le Seigneur Jésus est devenu homme,
il est venu dans ce monde,
et ainsi il a accompli une course que les croyants ont à faire.
Et chapitre 12, verset 2, nous dit,
Fixant les yeux sur Jésus, le chef et le consommateur de la foi,
lequel, à cause de la joie qui était devant lui, a enduré la croix,
ayant méprisé la honte, et est assis à la droite du trône de Dieu.
Donc là, on le voit comme celui qui a accompli cette course.
Il a marché ici-bas, il a couru ici-bas pour la gloire de Dieu,
il a accompli cette marche, cette course,
et il s'est assis à la droite du trône de Dieu.
On le voit comme notre but, comme notre objet qui nous attire,
mais comme celui qui a accompli la marche.
Donc, il est là à cause de la gloire de sa personne,
il est là, parce que Dieu lui a dit ça,
il est là comme le ministre du sanctuaire,
il est là sur la base de son œuvre accomplie,
et il est là parce qu'il a accompli la marche de la foi,
assis dans la gloire.
Et tout cela en contraste avec le système judaïque.
Donc, pour terminer,
pour avoir juste le contexte du chapitre,
on ne veut pas parler d'Hébreu 1 en détail,
mais je voulais juste donner une impression terminée du restant du chapitre.
On voit d'abord, de nouveau, ce point-là,
dans la deuxième partie d'Hébreu 1,
on voit que Christ est le Fils de Dieu,
et ainsi plus grand que les anges.
Deuxièmement, on voit qu'il est Dieu en personne.
Pas seulement cela, il est le Dieu de l'Ancien Testament.
Quoi qu'il soit le Messie rejeté,
il est le Jéhovah de l'Ancien Testament, qui est le même.
Somme 102, ce sont les trois grandes pensées du restant du chapitre.
Et puis ces sept points,
premièrement, plus haut que les autres,
il a un trône éternel.
Donc, son trône est au-dessus de tous les trônes.
Il est loin au-dessus de ses compagnons.
Il termine la première création.
Tous les cieux vont être enroulés comme un livre, comme un rouleau.
Donc, il est plus élevé même que la première création.
Il est au-dessus du temps, que Somme 102 le montre aussi.
Et il est plus élevé que ses ennemis, le verset que nous avons lu.
Il est plus élevé que les anges.
Ça répète ce qu'on a vu au premier point.
Et là, on voit aussi une ordre chronologique qui parle de la naissance de Christ.
Donc, en autres mots, la grandeur de Christ est montrée aussi dans l'ordre chronologique.
Dans sa naissance, il est grand.
Et dans sa présence sur la terre, il est grand.
Plus grand que n'importe maintenant, il est dans la gloire,
comme on l'a vu dans le verset 13 et aussi dans le verset 3.
Il sera grand en rapport avec sa venue dans le monde à venir.
Sa royauté dans le millénium est décrite dans le verset 8.
Et aussi l'état éternel après le millénium, il sera grand.
Donc, n'importe quelle période de temps où on prend,
le Seigneur est toujours présenté dans sa grandeur.
Et aussi, son territoire est présenté.
Il n'est pas seulement le Messie d'Israël.
Il sera introduit comme le premier-né de toute la terre
et le Seigneur des cieux et de la terre.
Il est connu par la foi déjà comme ça.
Donc, ce chapitre nous montre vraiment la grandeur du Seigneur Jésus.
Et c'est un chapitre enrichissant.
On peut le méditer et répéter, répéter.
C'est un chapitre merveilleux.
Comme toutes les piètres est merveilleux.
Maintenant, on aimerait donner du temps pour des questions ou des remarques,
si vous voulez, parce que ce n'est pas facile avec les enfants, bien entendu.
Mais quand même, s'il y a des points à clarifier ou plus de questions,
ça pourrait prendre du temps pour ça.
Est-ce que je peux donner deux réponses là-dessus?
La première réponse, c'est celle-ci,
que le christianisme a été détourné.
Le christianisme est devenu comme un système judaïque aussi.
On voit ça dans l'Hybre 13, par exemple, le camp.
Donc, dans ce sens-là, l'enseignement de l'épître s'applique à nous aussi.
Parce que la plupart des chrétiens se trouvent dans un système presque judaïque.
Et dans ce sens-là, on pourrait dire que tous les chrétiens ont besoin d'une telle épître.
Ce qu'on voit, le système de Dieu est un système pour la foi.
Par contre, l'Église a tout changé, a rendu ce système de la foi visible.
Parce que l'homme veut voir quelque chose.
Et on le voit dans les grandes cathédrales, dans les services.
Tout fait appel à l'homme naturel.
Comme le système judaïque aussi.
Donc, dans ce sens-là, il y a un parallèle.
Le danger pour les juifs chrétiens était donc de retomber dans le judaïsme
que Dieu avait donné auparavant, mais que Dieu avait rejeté parce qu'eux avaient rejeté le Messie.
Par contre, aujourd'hui, le système religieux qu'on voit aujourd'hui,
le système religieux chrétien, je veux dire,
c'est un système que Dieu n'a jamais donné.
C'est quelque chose que l'homme a fait, que l'homme a introduit dans les choses de Dieu.
C'est donc pire que le judaïsme.
Le système religieux que l'homme a fait, aujourd'hui, c'est pire que le judaïsme.
Mais on a aussi donc besoin d'être rafraîchis dans nos affections pour le Seigneur,
pour être libres de ces influences-là.
Si on réalise que les disciples étaient influencés par le Temple,
par le Temple et par ce service-là, étaient tellement impressionnés par ça.
Comment nous pouvons être impressionnés par ça?
Si on va aller dans une église, on peut être impressionné par ça.
Et puis, on court danger qu'on ne fixe plus les yeux sur le Seigneur,
mais qu'on va être influencé par ces choses-là.
Donc, pour cela, l'épître aux Hébreux est très efficace
pour que nous ne soyons pas sous une telle influence.
On pourrait le comparer avec un enfant aussi.
Si les enfants jouent avec quelque chose de dangereux,
comme les Hébreux chrétiens étaient en danger de jouer avec quelque chose de dangereux,
avec le judaïsme, l'apôtre leur présente quelque chose de meilleur.
Et ainsi, on donne quelque chose de meilleur aux enfants
afin qu'ils laissent tomber les choses dangereuses pour s'occuper de meilleures choses.
Et ainsi, l'épître comme tel, c'est quelque chose de meilleur
présenté dans la personne et dans l'œuvre du Seigneur Jésus.
Et pour nous aussi, toujours, c'est la même recette.
Il faut voir le Seigneur Jésus pour être libre de ses influences du monde religieux.
Parce qu'on ne suit pas une religion, on suit une personne.
Comme on a vu aussi ici dans ce passage-là et ce matin aussi,
c'est connaître-le, c'est vraiment connaître la personne du Seigneur.
On a besoin de ça.
❤️ par SousTitreur.com …
Transcription automatique:
…
Hébreu 10, et puis je voulais juste référer à ce qu'on a chanté dans notre quantique
Grande est sa gloire, dans la troisième strophe. Grande est sa gloire.
Et dans cet Épitre, l'Épitre aux Hébreux, nous voyons vraiment la gloire,
et aussi la grande gloire de la Personne du Seigneur.
Disons quelques versets maintenant dans Hébreu 10,
et puis si vous avez des questions urgentes pendant la présentation,
on peut juste entrer un peu brièvement,
et puis aussi après la présentation, on peut discuter.
Hébreu 10, le verset 19.
Ayant donc fait une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints
par le sang de Jésus, par le chemin nouveau et vivant
qu'il nous a consacré à travers le roi, c'est-à-dire sa chair,
et ayant un grand sacrificateur, je souligne, grand sacrificateur,
établi sur la maison de Dieu, approchons-nous avec un cœur vrai,
en pleine assurance de foi, ayant les cœurs par aspersion
purifiés d'une mauvaise conscience, et le corps lavé d'eau pure.
Jusqu'ici, la lecture de la parole.
Je vais juste chercher le passage d'un autre Bible, pour avoir tout prêt.
Pour ceux qui étaient ici, c'est plutôt la première fois,
lorsqu'on a parlé d'Hébreu 1,
on a donné aussi dans ce temps-là un aperçu de l'Épître aux Hébreux.
Puis avec cet aperçu, vous avez un outline,
compte rendu très court, de toute l'Épître.
Mais ça donne la structure de l'Épître.
Je vous recommande vraiment d'étudier cette structure,
parce que ça donne vraiment une idée de l'Épître comme telle.
On n'a pas le temps d'en parler maintenant.
C'est juste pour vos études personnelles.
On a parlé aussi du but, de la raison de cet Épître.
On pourrait donner plusieurs raisons,
mais je donne ce soir une raison pour laquelle nous avons l'Épître aux Hébreux.
C'est que c'est une présentation de la grandeur du Seigneur Jésus.
Et nous avons besoin de ça.
Pourquoi ?
Pour ne pas être influencés par le système humain,
pour ne pas être influencés par quelque chose que l'homme invente.
Dieu nous présente la personne de son Fils.
Et la première fois, nous avons vu sa grandeur personnelle.
Je répète juste très brièvement, la grandeur personnelle du Seigneur Jésus,
le Fils de Dieu, le Fils éternel, hébreu 1.
Grand comme apôtre, ça c'est sa gloire officielle.
Il est grand comme prophète, une autre gloire officielle.
Mais sa grandeur personnelle est comme l'arrière plein de toutes ses autres gloires.
Et puis le Seigneur Jésus est grand comme apôtre, pourquoi ?
Parce qu'il est le Fils de Dieu.
Il est grand comme Fils de Dieu.
Et c'est pour ça qu'il est grand aussi comme apôtre,
il est grand comme prophète, il est grand comme sacrificateur.
Et ce soir, on s'occupe plutôt du Seigneur Jésus comme le grand sacrificateur.
Donc si vous voulez étudier ce papier après, pour avoir une idée du but de cette épître,
la grandeur personnelle du Seigneur Jésus.
Et ensuite, la deuxième étude qu'on a eue ici, c'était un rapport avec Christ comme sacrificateur.
Et puis là, nous avons vu, je répète juste brièvement, vite fait,
j'ai pas la transparence ici, mais dans l'outline, c'est Christ comme sacrificateur.
Et là, nous voyons trois aspects différents du Seigneur Jésus comme sacrificateur.
Sur la terre, une fois pour toutes.
Jamais répété.
C'était l'oeuvre expiatoire.
Là, il était aussi sacrificateur.
Il était sacrifice, mais il était aussi sacrificateur.
Deuxièmement, dans la gloire.
Maintenant, le Seigneur Jésus est couronné de gloire et d'honneur, tu sais ça ?
Couronné de gloire et d'honneur.
Il est là pour pouvoir dans nos besoins.
Et je voulais juste répéter ça parce que c'est très important pour nous à comprendre l'intention de l'Épître.
Cet Épître nous présente un peuple au ciel, déjà, dans les pays célèbres ?
Non.
Cet Épître nous présente un peuple sur la terre, dans le désert.
Il est présupposé ici que le peuple est déjà sorti de l'Égypte.
L'Égypte nous parle de l'esclavage de ce monde.
Comme croyants, nous sommes sortis de ce monde.
On est encore dans ce monde.
Et le monde a le caractère du désert pour les croyants.
Dans le désert, on a besoin de l'aide du sacrificateur.
Le sacrificateur est dans le ciel.
Mais le miracle, c'est que Dieu a donné un libre accès.
Et dans Hebreu 4, nous avons donc ce libre accès, pourquoi ?
Pour nos besoins.
Nous venons là avec nos besoins, comme pèlerins.
On est en route au ciel.
Mais entre-temps, on a libre accès.
On peut venir avec nos besoins devant le trône de la grâce.
Avec des mains vides, pour ainsi dire.
Le Seigneur va nous aider.
Il donne la grâce.
Mais ce n'est pas tout l'enseignement de cet Épître.
Ce qu'on a après, qu'on a vu la dernière fois,
le Seigneur Jésus est le ministre du sanctuaire.
Donc, il y a une personne au ciel.
Et puis, le ciel, là, est vu comme un sanctuaire.
Un lieu sain.
Et il y a quelqu'un qui sert Dieu, là.
Imaginez-vous, un homme, dans la gloire, qui peut servir Dieu.
Est-ce que vous n'avez déjà pensé à ça ?
Un homme, le Seigneur Jésus, dans la gloire,
il est là, pas seulement pour nos besoins.
Il est là pour servir Dieu, vous voyez.
Et ça, c'est le grand sujet de Hebreu 8.
On a mentionné ça la dernière fois.
Le ministre du sanctuaire.
Vous pouvez étudier ces détails, donc, avec les copies que j'ai données tantôt.
Et toute l'emphase dans cet épitre est mise sur la personne du Seigneur.
Je ne peux pas répéter ça assez souvent.
Toute l'emphase est mise sur la personne du Seigneur,
qui a introduit un nouvel ordre de choses.
Hebreu 7 nous parle de ce nouvel ordre de choses.
Il a donné aussi un nouveau sacrifice.
C'est la base de tout.
Sans son sacrifice, on n'a rien.
Le sacrifice est la base de ce nouvel ordre de choses.
Et c'est un sacrifice une fois pour toutes.
Jamais à répéter.
Il a introduit donc un nouvel ordre de choses.
Mais maintenant, le point qu'on étudie ce soir,
le Seigneur Jésus n'est pas seul dans la gloire.
Il est le ministre du sanctuaire.
Il est là pour la gloire de Dieu, pour satisfaire, je le dis humainement,
satisfaire les besoins de Dieu.
Dieu veut être servi.
Il est là, le Seigneur Jésus, pour servir Dieu.
Mais il n'est pas seul.
Il y a plusieurs fils.
C'est ça le sujet de ce soir.
Donc, on tourne maintenant à cette page-là,
qui a avec ce titre-là,
Christ, souverain sacrificateur,
selon l'ordre de Melchizedek.
On a étudié ça la dernière fois.
Je ne peux pas le répéter.
Mais vous voyez là, la gloire du Seigneur Jésus
selon ce nouvel ordre de choses.
L'ordre de Melchizedek.
Ensuite, nous avons vu la supériorité de l'ordre de Melchizedek.
Les contrastes entre l'ancien ordre et le nouvel ordre.
Ce sont beaucoup de détails.
Je m'excuse.
Quelquefois, on se perd dans les détails.
Mais si vous prenez le temps pour étudier ça,
vous serez enrichi spirituellement.
Vous serez encouragé spirituellement.
Ensuite, nous avons vu,
ok, parfait, maintenant nous deux,
la grandeur de Christ comme sacrificateur,
ministre du sanctuaire.
Là, j'ai donné un aperçu, donc,
de sa personne et de ce meilleur ordre
en rapport avec une nouvelle sacrificature,
une nouvelle alliance,
un nouveau sanctuaire,
un nouveau sacrifice,
une nouvelle compagnie d'adorateurs, ok?
C'est là, on s'occupe de ça maintenant,
d'une nouvelle compagnie d'adorateurs.
Et après ça, on a vu la conclusion.
Je ne peux pas répéter ça.
Mais il y a maintenant le ministre du sanctuaire.
Notre sujet maintenant, c'est un grand sacrificateur
sur la maison de Dieu.
Hébreu 10, verset 19 à 22.
Et puis, la prochaine fois,
on va voir, Dieu voulant,
la même personne,
notre grand conducteur,
il est le grand berger,
Hébreu 13.
J'ai dit, on est un peuple dans le désert.
Il ne faut jamais oublier cette ligne de pensée.
Ça commence Hébreu 1, ça termine Hébreu 13.
Un peuple sur la terre.
Mais, le miracle, c'est que ce peuple
a un libre accès au ciel,
pour nos besoins,
mais aussi pour voir sa gloire
et aussi pour adorer.
Et pour adorer, pour l'adoration,
en rapport avec le cantique qu'on a chanté,
c'est pour l'adoration maintenant
que Dieu nous a donné ce libre accès.
On va voir les contrastes avec l'Ancien Testament
et on va voir un peu les conditions.
Les Hébreux parlent beaucoup
de la condition spirituelle
pour pouvoir fonctionner
comme sacrificateur,
selon les pensées de Dieu.
Et puis, cette condition pratique
pour répondre aux besoins de Dieu,
aux pensées de Dieu.
Donc, Dieu nous donne une position parfaite
selon l'œuvre du Seigneur Jésus,
mais il veut aussi que nous répondions
pratiquement à cette position.
C'est ça qu'on a ici dans Hébreu 10,
pour nous aider à répondre
aux pensées de Dieu.
Donc, nous avons le Seigneur Jésus
comme le grand sacrificateur
dans le ciel.
Et les illustrations de l'Ancien Testament,
Exodes 28-29, peuvent nous aider
à comprendre ces choses.
Je ne vais pas entrer dans ces détails-là,
mais c'est juste pour souligner
la gloire du Seigneur Jésus.
Dans tout cela, nous le voyons
brillant de gloire.
Mais la pensée, ici,
il porte le peuple de Dieu
sur ses épaules.
Il la porte aussi sur sa patrine,
sur son corps.
Donc, avec puissance et avec amour.
Nous avons un grand
souverain sacrificateur qui nous porte
et aussi qui nous aime beaucoup.
Et tout cela est en accord
avec les pensées de Dieu.
Ça répond à la gloire de Dieu.
Dieu nous donne un sacrificateur
qui est 100% en accord avec ses pensées.
Là, il n'y a aucun manque,
aucune pensée de faillite
ou de défaut.
Tout est parfait en lui.
Tandis que dans l'ordre de l'Ancien Testament,
comme Aaron, il n'y avait pas la perfection.
Ça, c'est toujours le contraste
à considérer. Aaron, oui.
D'un côté, il parle du Seigneur Jésus,
plein de contrastes,
comme on l'a vu la dernière fois.
La raison pour laquelle il porte
le peuple de Dieu sur sa patrine,
c'est ici pour montrer l'unité.
C'est un pectoral,
mais aussi la diversité.
Chaque pierre est différente.
Ainsi, chaque croyant
brille d'une façon différente
devant Dieu. Mais aussi, chaque
rassemblement ou chaque témoignage
local brille devant Dieu
sur la terre, mais
en même temps, ce témoignage
sur la terre est supporté
ou soutenu par le Sacrificateur
dans la gloire. En autres mots,
on ne peut pas briller ici pour la gloire de Dieu
si le Seigneur Jésus ne nous soutient pas
dans la gloire.
Il fallait étudier le tabernacle
vraiment pour comprendre
ses pensées, mais juste vite fait,
on voit ici le
centre de tout, le trône,
l'arche. Et nous avons vu
la dernière fois d'un hébreu
le Seigneur Jésus s'est assis
à la droite de Dieu, dans la présence
de Dieu, dans la présence immédiate
de Dieu. C'est ça la pensée.
Le trône de Dieu, il est assis
là. Et il y a aussi
le lieu où le service
a lieu, mais on a parlé
de ça un peu la dernière fois.
Ce qu'on veut souligner ce soir,
c'est le libre accès que nous avons
maintenant pour adorer.
Dans l'Ancien Testament, il y avait le voile
ici. Le voile était fermé
toute l'année, aucune ouverture.
Et une fois par année, le souverain
sacrificateur pouvait entrer ici, avec
du sang, une fois par année, pour les
péchés du peuple. Mais cette base a
été mise maintenant, et ce
que Dieu nous montre dans cet épître-là,
nous pourrons entrer tout le temps.
Pas seulement une fois par année, ou une fois
par mois, ou une fois par semaine.
On a le privilège
de pouvoir entrer tout le temps.
Donc pour deux raisons. Le trône de la grâce
est ici, l'arche. Le trône de la grâce
où Dieu est assis,
où le Seigneur Jésus est aussi, comme homme dans la gloire.
C'est là où il pourvoit
dans nos besoins. Et deuxièmement,
c'est ça le sujet de ce soir,
nous entrons maintenant avec des sacrifices
d'adoration, comme une compagnie
autour du trône ici.
Dans l'Apocalypse
5, nous voyons le trône, 4 et 5,
nous voyons le trône, et
autour de ce trône, le peuple
de Dieu se trouve. On va se trouver là
avec tous les saints,
après l'enlèvement. Mais par
la foi, par l'Esprit Saint
et par ce chemin nouveau
qu'on voit ce soir, on a ce libre
accès pour être autour du trône, pour
adorer Dieu. Et puis,
sur cette transparence,
on voit un peu
ce qui se passe dans le lieu saint. Et on voit
donc le voile. On va parler du voile ce soir.
Le voile a séparé
ces deux sections. Ici, c'est
une question du service pour Dieu.
L'arche nous parle
de la présence immédiate de Dieu,
la contemplation. On va revenir à ça.
Maintenant, on va procéder
pour étudier un peu les détails
de notre soir. Au début de l'aperçu
là, je donne
je pense, sept raisons.
Je pense qu'une des raisons
principales, c'est que toute
l'emphase est mise sur la personne du Seigneur Jésus.
Donc si un homme, même
comme auteur, prend une place,
ça diminue déjà la grandeur
du Seigneur Jésus. Donc pour
éliminer toute possibilité de
compétition, de rivalité,
même le nom de l'auteur n'est pas marqué.
On a des raisons pour croire
que c'est l'apôtre Paul.
Mais c'est ce qu'on lève. Ce n'est pas important.
Mais au début de cette présentation,
tu peux voir plus de détails là-dessus.
Donc, juste pour mentionner
maintenant, où on est arrivé
maintenant dans cet épître là,
l'œuvre 10, c'est comme un point tournant
dans l'épître. On a d'abord
une présentation de toutes les gloires du Seigneur Jésus.
Ensuite, la grandeur de son sacrifice
et bruneux. Et maintenant,
on voit les conséquences de tout cela.
On voit l'encre d'un côté.
C'est comme une porte qui tourne
d'un côté. On voit
dans le mot d'encre,
nous avons d'encre un grand
sacrificateur sur la maison de Dieu.
Ce mot d'encre veut dire
c'est une conclusion.
Donc on a une conclusion de ce qui
précède, où on voit le sanctuaire
céleste ouvert pour les croyants
par Christ et par son sacrifice
et nous pouvons entrer.
C'est vraiment la conclusion
de ce qu'on a dans chapitres
9 et 10.
C'est maintenant le point
de départ pour une nouvelle partie
de cet épître. Parce que depuis
le verset 23 de ce chapitre
et hébreux 11,
12 et 13, nous va
parler de notre marche sur la
terre. Cette marche
dans la lumière du sanctuaire. Donc, on a
libre accès, on voit les choses dans la
présence de Dieu et notre marche
se réalise
dans cette lumière-là. Donc, on a
deux places. Notre marche est sur la terre
mais on a libre accès
en même temps dans la présence
de Dieu. Mais on est sur la terre, notre marche
est sur la terre. Et là, on va voir
dans l'hébreu 13, le Seigneur Jésus comme le
grand conducteur. Ici,
il a aussi un conducteur, mais pas
sur la terre. Ici, il est vu
dans le ciel et il nous
introduit dans la gloire.
Il nous introduit, quoi que nous
soyons ici, par l'esprit,
par la foi, il nous introduit
dans la présence de Dieu. Et là, il est
aussi comme un conducteur.
Et ce conducteur s'occupe ici des
intérêts de Dieu. C'est pour ça qu'il est un
sacrificateur. Parce qu'un sacrificateur s'occupe
des intérêts de Dieu. Il représente
le peuple, mais il est présent
devant Dieu. C'est ça, sa fonction
comme sacrificateur.
C'est vraiment l'apogée de l'épître.
Dieu cherche des adorateurs.
Et dans ce sens-là, on peut vraiment dire que c'est
l'apogée de l'épître. Nos amis
égyptiens l'appellent la couronne.
La couronne de l'épître.
Je ne connais pas le mot arabe
pour ça, mais il y a un mot
spécial pour indiquer. Pour eux, c'est
la couronne de l'épître.
Un sanctuaire ouvert.
Je répète, le sanctuaire était fermé
dans l'Ancien Testament. Le sanctuaire
était sur la terre. Maintenant, nous avons
un sanctuaire ouvert
dans le ciel. Donc, des immenses
contrastes avec le judaïsme.
Quoique le judaïsme
ait été donné par Dieu dans l'Ancien Testament.
Parce que là, c'était un
sanctuaire fermé sur la terre.
Je ne vais pas, maintenant, lire tous ces
points-là, ici. Vous pouvez
les lire à la maison.
Ce sont 10 points
qui nous montrent
ce but. OK? Quel est le but,
donc? Le but, c'est
ouvrir le ciel pour nous et nous
introduire dans la présence de Dieu.
Ici, le sanctuaire céleste ouvert pour
les croyants. Ça, c'est le but, vraiment, de l'épître.
Et ces 10 points que j'ai mentionnés
ici, nous donnent des petits,
disons, en anglais,
on dit « little gems »,
des petites indications
de ce qui va
arriver, à un moment donné.
Chapitre 2, ici, le Seigneur comme
celui qui chante.
Où est-ce qu'il chante? Il chante dans la gloire.
Chapitre 4, on l'a vu dans la gloire.
Chapitre 6, on l'a vu comme le précurseur.
Chapitre 7, on le voit
dans la gloire. Chapitre 8,
la dernière fois, le ministre du sanctuaire.
Donc, ce sont tous des passages où on voit
le Seigneur Jésus dans le ciel.
Mais, le point d'un chapitre
10 maintenant, c'est que
nous sommes vus aussi dans le ciel. Pas comme
assis en crise
comme Éphésiens, mais
ayant l'accès,
le libre accès. Quelques détails
sur le sanctuaire. Donc,
lorsqu'on parle d'un sanctuaire, c'est un
sanctuaire céleste. C'est un sanctuaire
ouvert pour la foi.
C'est pas ouvert pour tout le monde.
C'est pas ouvert même pour un chrétien
charnel, parce que
sa condition
l'empêche à utiliser
ce privilège. En pratique,
c'est un sanctuaire
ouvert pour la foi.
Et il y a un libre accès. Si on
ne connaît pas ce libre accès,
c'est à cause de notre condition. Mais,
selon les pensées du Dieu, c'est ouvert
pour tous les croyants. Mais, il faut
la foi. Il faut aussi
l'aide du Seigneur. Donc, le contraste
avec l'Ancien Testament. L'Ancien
Testament, un libre accès était
inconnu. On ne le voit pas
même dans l'éthique en général. Il y a
juste seulement une suggestion
dans Nombre 18, verset 7.
Nombre 18, verset 7, c'est
vraiment un passage qui
qui lève un peu
le voile. Le voile est
sur toutes ces choses. Dans l'Ancien Testament,
on trouve beaucoup
d'illustrations. Mais, il faut vraiment
la révélation du Nouveau Testament
de la personne du Seigneur Jésus pour ouvrir
vraiment ces choses. Mais, dans Nombre
18, on voit quand même une
indication de ces
deux côtés que
les sacrificateurs avaient.
Il y avait un service sacerdotal,
en rapport avec l'autel des reins.
C'est sur la terre,
comme on va voir dans Hébreu 13.
Et, un rapport avec le sacrifice
qui a été donné sur
cet autel-là. Mais,
deuxièmement, ces sacricateurs avaient aussi
une fonction, un rapport
avec ce qui est au-dedans du voile.
Au-dedans du voile,
comme on avait vu,
l'autre côté du voile, c'est là
où le tronc du Dieu se trouve.
Nombre 18 indique
ces deux caractères. Un service
en rapport avec l'autel des reins.
Notre position hors du
camp, selon Hébreu 13.
Je ne veux pas parler de ça maintenant. Mais,
deuxièmement, un service
au-dedans du voile. Donc,
dans la présence immédiate
de Dieu. Et c'est là
que ce verset, dans Nombre 18,
indique ou représente déjà
les choses dans le ciel.
Il nous parle donc de la présence immédiate de Dieu.
Mais, comme je le répète,
c'est juste un verset qui mentionne ça.
Parce qu'en pratique, les sacricateurs
ne connaissaient pas ce privilège.
En pratique, seulement une fois par année,
le grand souverain sacricateur entrait
au-dedans du voile.
Mais nous avons libre accès tout le temps.
On va revenir à ça.
Donc, quelle exception?
Dans l'Ancien Testament, Moïse avait
toujours la liberté d'entrer
devant le propriétoire. Il parlait
avec Dieu. Exode 25,
Exode 29,
aussi dans Exode 40, nous voyons
Moïse dans la présence immédiate de Dieu.
Dieu lui parle. Et Moïse
pouvait entrer tout le temps.
Et ça, c'est vraiment un exemple de vous et moi.
Nous avons le privilège d'entrer
n'importe quel moment
de la journée. Imaginons
un père qui est professeur à l'université.
Puis,
il a quelques enfants.
Et puis, les enfants
vont jouer dans sa chambre
d'études. Mais s'il y a des étudiants
qui viennent le voir, ils ne vont pas jouer
dans sa chambre d'études. Ils ne connaissent pas
ce libre accès. Maintenant, nous sommes comme des
enfants qui ont libre accès
à la chambre d'études,
pour ainsi dire, dans la présence
immédiate de Dieu. Un libre accès. On peut
venir n'importe quel moment.
Il est toujours là, disponible pour nous.
Je veux juste répéter ces deux points, donc,
en rapport avec notre
libre accès. Donc, on ne parle pas
maintenant de notre service sur la terre,
la table du Seigneur,
hors du coin, notre position hors du coin.
Je parle maintenant seulement de ce point
B, ce qui se passe
dans le ciel. Et on a vu, donc,
dans le chapitre 4, on a le
libre accès pour recevoir
ce dont nous avons besoin,
pour nous infirmiter, pour notre voyage
à travers le désert, pour nous soutenir,
supporter et sauver.
Sauver, donc, pas parce qu'on peut perdre
le salut, mais pour nous sauver
des circonstances adverses,
hostiles. Donc, le sanctuaire céleste
est pour nous un lieu de refuge
d'ensemble. On va chercher de l'air
dans le sanctuaire. Mais,
le deuxième côté, en rapport avec
le ministre du grand,
du sanctuaire,
le ministre du sanctuaire pour les intérêts
de Dieu, il nous introduit
aussi dans la présence de Dieu.
Il nous donne ce libre accès.
Pourquoi? Pour adorer
dans la présence de Dieu,
dans la communion avec Dieu, dans sa maison.
Nous sommes vus là comme fils
sacrificateur avec le Fils.
Ça, c'est notre position.
Les fils sacrificateurs
avec le Fils.
D'un côté, nous sommes
sa maison, hébreux 3.
De l'autre côté, nous sommes aussi dans
la maison de Dieu. Donc, c'est essentiel
à comprendre que nous avons
un libre accès. On voit ici
Christ et notre libre accès.
Vous voyez, dans hébreux 10, là,
c'est par son
Saint. Par son Saint.
Il y a beaucoup de choses
qui nous ont été données par son Saint.
On a le salut, on a
la justification par son Saint.
Beaucoup de choses par son Saint.
Éphésiens 1, 1 Pierre 1,
Colossiens 1, la paix avec Dieu
par son Saint. La valeur
de son Saint, c'est inestimable.
Donc, ici aussi,
le libre accès, c'est par
son Saint. Deuxièmement,
c'est lui aussi qui dirige le service dans
le sanctuaire. Comme ministre du
sanctuaire, il est en charge de ce service
d'adoration. On a
des indications, comme j'ai donné
chapitre 2, verset 12,
il chante les cantiques pour la gloire de
Dieu. Chapitre 8, verset 2, le
ministre du sanctuaire. Il nous représente
devant Dieu dans le sanctuaire.
Hébreux 13, nous voyons que c'est par lui
que nous pouvons adorer, que nous pouvons
présenter à Dieu des sacrifices d'adoration.
1 Pierre 2, verset 5, confirme
la même pensée. Donc, nous
avons un grand
sacrificateur. Nous avons un
grand sacrificateur. Verset
21. Le troisième point ici,
c'est lui qui est le sacrifice. C'est lui
qui est l'offrande que nous présentons à
Dieu. Donc, le Seigneur Jésus nous donne
l'accès. Le Seigneur Jésus
est le chef qui est en charge du service
d'adoration, comme le ministre, comme le
sacrificateur. Mais il est aussi
l'offrande que nous offrons.
Il est le sacrifice que nous
présentons à Dieu. Donc, la grandeur
et la beauté de sa personne merveilleuse,
nous pouvons présenter à Dieu.
On va revenir à ça maintenant.
Mais avant ça,
j'aimerais mettre l'emphase sur la personne
du Seigneur. Mais, ce que
je voulais souvenir, nous avons.
Donc, c'est beau de
mettre l'emphase sur la personne du Seigneur,
mais il faut réaliser, nous avons,
verset 21,
un grand
sacrificateur. En outre mot, nous avons
un grand sacrificateur. Est-ce qu'on apprécie
ce privilège? Donc, pour nous aider
à répondre aux pensées de Dieu,
Dieu nous donne le Seigneur Jésus
comme un grand sacrificateur.
À notre disposition,
je répète, pour nos besoins dans les airs hébreux 4,
pour l'adoration dans
le sanctuaire. Il nous représente,
il nous représente dans la gloire.
Il est grand.
Ça, mon point de départ,
je voulais juste parler de la grandeur
du Seigneur Jésus. Ici, pour la
quatrième fois, on a la grandeur du
Seigneur Jésus. Nous avons un grand
sacrificateur. La grandeur personnelle,
sa grandeur pour pouvoir
dans nos besoins, sa grandeur
comme ministre pour Dieu,
sa grandeur comme conducteur
dans le désert. Et maintenant, sa grandeur
pour nous introduire
comme une compagnie d'adorateurs
dans la présence. Verset,
chapitre 10,
le verset 21. Ensuite,
il est sacrificateur.
Donc, nous avons
deux germains, il est grand, trois germains,
sacrificateur. Bien que
nous soyons vus comme des fils
sacrificateurs, nous ne sommes pas mentionnés
sous cette indication. Pourquoi pas?
Pour faire ressortir davantage
comment Christ est unique.
Donc, autrement, ça a l'air d'être
compliqué, là, mais c'est pas compliqué
à comprendre. Nous sommes des
sacrificateurs, mais
la parole ne la mentionne pas spécifiquement.
Nous sommes des
fils. La parole ne la mentionne pas
spécifiquement, ici. Pourquoi?
Parce que toute l'emphase est mise sur
la personne du Seigneur. Lui est le
grand sacrificateur.
Mais nous sommes là, autour de lui.
Nous sommes quand même des sacrificateurs.
Nous sommes quand même des fils, avec lui.
L'emphase est mise sur lui.
Et il a aussi, la grandeur
se montre aussi qu'il est sur la
maison de Dieu. Moïse était grand
dans la maison de Dieu, héberétoire.
Mais le Seigneur Jésus est sur
la maison de Dieu. Il est en charge
de la maison de Dieu. Il s'occupe de tous
les services dans la maison de Dieu.
Et ensuite, parce qu'on veut garder
aussi quelques moments,
notre position est privilégiée.
Donc, le chemin dans le sanctuaire.
Notre position est privilégiée.
Une pleine liberté.
C'est mentionné dans verset 22.
En pleine assurance de foi.
C'est là où nous voyons
cette pleine liberté. Verset 19, littéralement.
Une pleine liberté.
Ça, c'est la liberté
que nous avons en principe
pour entrer dans les vieux saints.
Pleine liberté. C'est donc un droit.
Dieu nous a donné ce droit.
Mais si on a le droit,
il faut aussi le pratiquer.
Et Dieu donne aussi la capacité.
Il ne nous donne pas seulement le droit.
Il nous rend capables
d'entrer pratiquement.
Il nous donne le droit.
Il nous donne la capacité
pour entrer dans le sanctuaire.
Pour avoir la communion avec Dieu.
Pour contempler la grandeur
du Seigneur Jésus. La grandeur de Dieu.
Parce qu'aussi dans cet Écriture, on voit la grandeur de Dieu.
Et ensuite, pour adorer.
C'est la base de l'œuvre accomplie de Christ.
On a vu ça. C'est la base de tout.
En vertu du sang de Jésus.
J'aimerais souligner ça.
Verset 20, par le sang de Jésus.
On aime souvent
parler du Seigneur Jésus.
Parce que le Seigneur Jésus est rejeté dans ce monde.
Il n'est pas reconnu comme Seigneur.
Mais l'emphase est mise ici
sur sa personne.
Il est Seigneur. Aucune question là-dessus.
Mais l'emphase est mise
sur la personne du Seigneur.
Et ça présuppose
notre affection pour lui.
Ce serait une étude intéressante
de voir toutes les fois
dans cet Écriture, où nous trouvons
seulement ce nom Jésus.
Le nom qui était méprisé sur la terre.
Les gens, comme les Juifs,
encore les Juifs orthodoxes,
vont l'outrager. Si quelqu'un mentionne
le nom du Seigneur Jésus,
ils vont frapper ton visage.
Incroyable.
La haine contre sa personne.
Mais ce Jésus
méprisé, outragé,
il est ce Jésus qu'on trouve ici.
Qui nous donne ce libre accès.
En vertu du sang de Jésus.
Comme je dis, ça vaut la peine d'étudier cet Écriture.
Juste lire cet Écriture pour trouver
cette place où ce nom
merveilleux est mentionné.
Ce sang nous purifie
pour que nous puissions entrer librement.
Et il a aussi ouvert le chemin
dans le sanctuaire, comme on le voit dans l'Hivre-Neuf.
Maintenant c'est une question
d'entrée. Verset 19.
Et en rapport avec l'entrée,
il y a un chemin. Verset 20.
Et Christ est le chemin.
Comme on le voit dans Jean 14.
Si c'est une question
de notre accès
de Dieu, c'est lui qui est le chemin.
C'est bien simple.
Le Seigneur Jésus est tout.
Je vais le répéter encore une fois.
Et il a inauguré ce chemin.
C'est un chemin nouveau. Pourquoi?
Ce n'était pas connu dans l'Ancien Testament.
C'est nouveau parce que
c'est sur la base de son sacrifice
accompli une fois pour toutes.
C'est un chemin nouveau en contraste
avec un chemin comme dans l'Ancien Testament
qui était fermé.
C'est un chemin ouvert, juste ouvert.
Mais c'est aussi un chemin
qui reste ouvert
et qui reste nouveau et frais.
Il est dit ici,
dans le verset 20,
le chemin nouveau.
Ce mot nouveau veut dire aussi
que ce chemin est toujours frais.
En autres mots, ce sera toujours un chemin nouveau.
C'est un chemin nouveau en principe,
en contraste avec l'Ancien Testament.
C'est donc le chemin ancien.
Nous avons un chemin nouveau.
Mais nous avons aussi un chemin qui est toujours
nouveau dans ce sens-là.
Lorsqu'on entre, c'est nouveau.
Dans les choses de Dieu,
il n'y a pas de répétition,
il n'y a pas de routine, il n'y a pas de rituel.
Dans le judaïsme,
tout était formel, tout était rituel.
Maintenant, il n'y a aucune pensée
de ritualisme ou de formalisme.
Et dans ce sens-là,
ce chemin est toujours nouveau.
Parce que lorsqu'on entre dans la présence
de Dieu, c'est sur
et selon ce chemin nouveau
qui est toujours nouveau.
Pas en principe, parce qu'en principe,
il est nouveau une fois pour toutes,
mais en pratique, c'est un chemin nouveau.
Chaque fois où nous entrons,
on entre sur ce chemin nouveau
et frais.
C'est un chemin vivant.
Pourquoi ça? Parce que c'est un rapport
avec la résurrection du Seigneur Jésus.
Donc la puissance de la résurrection
opère aussi en nous
lorsqu'on entre dans le sanctuaire.
Ce chemin est vivant.
Un accord avec la résurrection.
Un accord avec la puissance
qui opère maintenant en nous.
La puissance de la vie de résurrection
est inaugurée
par le Précurseur.
C'est un chemin qui nous a
consacrés ou inaugurés.
C'est le Seigneur Jésus qui est allé ce chemin.
Il est notre Précurseur,
chapitre 6, ça veut dire
il est garant que nous allons arriver
à un moment donné là aussi. Mais ici,
il ouvre le chemin, il est allé
le chemin pour que nous puissions
aller le même chemin
maintenant déjà. Lorsque nous sommes
sur la terre, nous pouvons entrer
et aller ce chemin
que lui a inauguré.
Je donne un exemple.
Il y a une barrière,
puis le berger vient pour enlever
la barrière et puis
une brebis entre.
C'est une brebis qui entre.
Ainsi, le Seigneur Jésus a mis de côté la barrière,
il est entré dans le ciel
et puis nous pouvons suivre.
C'est lui qui a consacré
ou inauguré ce chemin.
Maintenant, il le dit à travers
le voile. Il faut vraiment lire
avec précision. Chaque expression
est importante. A travers le voile.
Pour vous rappeler de cette
transparence que j'ai montrée là,
un voile fermé dans l'Ancien Testament.
Maintenant, nous pouvons
entrer à travers le voile.
Le voile était entre le lieu
saint et le lieu très saint et ici,
nous voyons que Christ est le voile.
Le voile, dans Exode
26, nous parle
de sa gloire personnelle.
Homme et Dieu en même temps.
Il y avait même des
fils d'or dans ce voile.
Il y avait le bleu céleste.
Il y avait d'autres couleurs
qui nous parlent de sa personne sur la terre.
Il est Dieu et homme à la fois.
Et nous voyons ici que ce voile
nous parle du Seigneur Jésus.
Juste pour comprendre ce point là,
je ne l'ai pas marqué ici.
Ah oui, je l'ai marqué ici.
Colossiens 2, verset 1. Mais on devrait lire aussi
Colossiens 1, verset 19. Dans Colossiens
1, verset 19, nous voyons Christ
en qui la plénitude a
habité. Donc Dieu le Père, Dieu le Fils,
Dieu le Saint-Esprit a habité
dans le Seigneur Jésus sur la terre.
Mais selon Colossiens 2, verset 9,
en lui habite la plénitude
de la déité corporellement.
Ça veut dire dans son corps,
comme homme dans la gloire, la déité,
aussi la plénitude de la déité,
habite en lui présentement.
Et ce voile nous parle
de cela. Il y a une personne
ici qui est Dieu et homme à la fois.
Et nous pouvons
entrer dans la présence de Dieu
à travers lui.
Je souligne ici.
Ici, ce n'est pas un voile
déchiré. Le voile
déchiré, c'est un rapport avec le service
du judaïsme, le service du
temple. Et Dieu a mis de côté
ce service-là. C'est pour ça qu'il a déchiré
le voile. Pas seulement ça.
En même temps, il a donné, en principe, libre accès.
C'est un voile déchiré.
On n'a pas besoin
d'une religion sur la terre. On n'a pas
besoin d'être prêtre ici.
On a un libre accès. On n'a pas besoin d'un voile.
Dans ce sens-là, ce système a été mis de côté.
Par contre,
l'hébréudisme nous parle d'un voile.
Mais ce n'est pas pour nous fonctionner
comme barrière. C'est pour nous aider
à entrer dans la présence
de Dieu.
Le voile nous parle de sa gloire
personnelle, de sa gloire humaine,
de sa gloire divine, de sa sainteté,
de sa justice,
comme Dieu, comme homme.
Le voile fonctionne pour faire
une distinction entre service
– l'hébréuvite nous parle du service
dans la présence de Dieu –
mais ici, ce n'est pas une question de service.
L'emphase
est ici sur la contemplation.
Lorsqu'on entre là, dans la présence
de Dieu, là, l'arc là,
on est autour du tronc de Dieu.
Là, on oublie la question
du service. Le service est important.
Le chandelier,
la table avec l'épin. Mais là,
on oublie tout cela
pour se concentrer
sur la personne même de Dieu,
pour être des adorateurs de Dieu.
C'est ça, la pensée.
La contemplation et l'adoration
dans la présence immédiate de Dieu.
Donc, le voile
fonctionne comme un témoignage
qui nous parle de la gloire du Seigneur Jésus,
mais c'est aussi pour nous attirer.
Parce que le voile,
comme je l'ai montré sur la transparence,
c'est comme une présentation
magnifique de la gloire
de la personne du Seigneur Jésus.
Donc, au lieu de fonctionner comme une barrière,
il nous attire et maintenant, nous pouvons
entrer à travers le voile.
Ce n'est pas pour bloquer,
mais pour nous faire entrer.
Maintenant, notre pratique,
verset 22, approchons-nous.
Approchons-nous.
Ça parle donc de notre pratique.
Souvent, on trouve ce mot approché
dans cet épître-là, mais ici,
donc, c'est pour adorer.
Est-ce que nous le faisons?
La pratique chrétienne commence dans le sanctuaire.
Il faut que j'explique ça.
La pratique chrétienne, c'est donc
notre marche sur la terre.
On va le voir dans le verset 23,
mais ce n'est pas le sujet pour ce soir.
Retenons la confession de notre espérance
sans chanceler, car celui qui a promis
est fidèle.
Ça nous parle de notre marche dans le désert.
Notre témoignage sur la terre.
On peut fonctionner
comme un peuple
sur la terre seulement
si on pratique ce libre accès,
si on se sert de ses privilèges.
Maintenant, les pré-réquisites
pour entrer,
la condition pratique,
pour réaliser nos privilèges,
il faut avoir la bonne disposition
de notre cœur,
avec un cœur vrai.
Je mentionne ici quelques passages
qui nous parlent de notre cœur.
C'est essentiel.
Dans l'Ancien Testament, on pouvait avoir
un sacrificateur avec un cœur rebelle,
avec un cœur impur.
Il a fait tout le service
selon les instructions.
Mais ce n'est pas comme ça aujourd'hui.
Pour Dieu,
ce n'est pas maintenant le rituel qui compte.
Ce qui compte pour Dieu,
c'est d'abord la condition de notre cœur.
Ici, nous voyons
l'importance d'un cœur,
comme il est dit ici,
d'un cœur vrai.
Ça veut dire un cœur en accord
avec la vérité.
Dieu s'est révélé.
Dieu n'est plus fâché, comme dans l'Ancien Testament,
derrière le voile.
La vérité est connue maintenant.
La vérité concernant Dieu,
la vérité concernant le Seigneur Jésus,
la vérité concernant le salut,
la vérité concernant l'adoration.
Dieu veut que notre cœur soit aussi
en accord avec cette vérité révélée.
C'est pour ça que Dieu nous donne un cœur vrai.
Pour avoir cette vraie communion,
pour avoir une vraie adoration,
pas une adoration
routine, formelle,
mais une vraie adoration,
en accord avec la vérité révélée.
Mais le cœur est le centre de notre être,
comme je l'ai mentionné ici,
le siège de notre vie spirituelle.
Dans Galat 4, verset 6,
il parle du fait
que nous sommes fils.
Et là, nous voyons notre cœur.
Dans Romains 5, je ne l'ai pas mentionné ici,
Dieu a versé son amour dans nos cœurs
par l'Esprit Saint qui nous a donnés.
Donc, le cœur est très important.
Éphésiens 3,
Christ habite par la foi dans nos cœurs.
Éphésiens 5,
nous chantons les cantiques de cœur.
Donc, c'est là le cœur vrai
que Dieu cherche maintenant.
Il cherche de vrais adorateurs
qu'il adore en esprit
et en vérité.
En esprit veut dire maintenant
en accord avec la dispensation
où nous vivons maintenant.
C'est l'habitation
de l'esprit, l'Église.
C'est la dispensation
de l'esprit où nous vivons.
Mais aussi, la vérité
a été révélée.
2 Timothée 2,
ce qui invoque le Seigneur d'un cœur pur.
Là, l'emphase est sur le cœur pur.
Ici, l'emphase est sur
le cœur vrai.
On a besoin des deux. 1 Pierre 3,
on sanctifie Christ comme Seigneur
dans nos cœurs. Donc, on voit là
l'importance d'un cœur vrai.
Mais ce n'est pas tout.
On a aussi une pleine assurance de foi.
On est encore dans le désert
et c'est pour ça qu'on a besoin de la foi.
Mais on a aussi une pleine assurance.
Ce n'est pas une foi doutante,
une foi, ça peut être vrai,
ça ne peut pas être vrai.
C'est une foi sûre et certaine.
Pleine assurance de foi.
Aucun doute.
C'est le résultat du cœur vrai
pour s'approprier de ses privilèges
maintenant. Donc, une certitude
comme on trouve aussi dans Hébreu 11,
une certitude de la foi.
Et puis les cœurs, c'est encore une fois
répété, n'est-ce pas, dans verset 22,
les cœurs par aspersion
purifiée. On a parlé d'un cœur pur,
voilà, ici on trouve ces cœurs
purifiés. De nouveau, le contraste
avec l'Ancien Testament. Là seulement,
les cœurs étaient lavés. Ici, c'est
pas seulement les cœurs, on va revenir
au corps plus tard, mais d'abord le cœur.
Le sang est appliqué
maintenant. On a vu
l'inauguration du
chemin par le sang, l'inauguration
des sacrificateurs par le sang,
et ainsi nous sommes prêts pour être
dans la présence de Dieu. Mais deuxièmement,
le corps lavé d'eau pure.
Pourquoi le corps lavé d'eau pure?
Ça, c'est une question que je me suis
posée souvent, parce qu'on est encore
dans ce divin. On avait des associations
mauvaises. On était peut-être
dans un système idolâtre.
On était dans un système... Il y a des
croyants qui viennent de l'hindouisme.
Est-ce que Dieu peut nous accepter
sans être purifié? Donc,
la parole de Dieu nous purifie de ces
associations. Et notre corps
a besoin donc aussi d'être purifié
dans ce sens-là, d'être mis à part
pour Dieu par ce lavage.
La parole de Dieu nous purifie
des impuretés du désert, mais
c'est aussi une réalisation
pratique de ce que nous sommes
positionnellement, et
une purification spirituelle
selon Jean XIII,
le lavage des pieds. Donc, le cœur
et le corps. Le corps,
c'est le lavage une fois pour toutes
lorsqu'on a accepté le Seigneur,
lorsqu'on est né nouveau.
Ça, c'est le lavage une fois pour toutes.
Tandis que le lavage des pieds,
c'est pour jouir de la communion
avec Dieu, et aussi les uns avec
les autres. Là, le lavage
des pieds, c'est pour jouir
des choses célestes, des choses
qui appartiennent à la maison du Père.
Jean XIII nous dit, si je ne te lave
pas les pieds, tu n'as pas
de part avec moi. Ça veut dire
que tu ne peux pas jouir de cette
communion si tes pieds ne sont pas lavés.
Donc, c'est là aussi un contraste avec
l'Ancien Testament, parce que là,
les sacrificateurs ont lavé leurs pieds
et les mains pour servir dans le sanctuaire,
pour être pur devant Dieu,
parce qu'il était dans le désert.
Il avait besoin de ce lavage-là pour
que cette influence du désert
soit ôtée. On a besoin
de ça aussi. Il y avait aussi ce lavage
selon Nombre XIX
avec la cendre
de
de la génisse
rousse, et puis
cette eau de purification était
pour le peuple qui avait
touché quelque chose de
mauvais. Donc là, c'est une question
d'association mauvaise.
Tandis que le sein de Christ
est appliqué si c'est une question
de péché. Donc, avec cette pratique,
nous pouvons adorer et servir
Dieu sous la direction de notre grand
sacrificateur. Je voulais juste relire
encore ces versets-là, et puis
s'il y a des questions, on peut parler
de ça maintenant. Ayant donc
frères, c'est symbotique,
nous sommes des frères,
et l'auteur s'adresse à
ses frères, comme des co-frères,
des frères avec lui. Mais le
miracle dans cet épitre est
de voir que nous sommes, que le Seigneur Jésus
nous appelle aussi des frères. Donc, nous
sommes des frères
du Seigneur Jésus, nous sommes des frères
l'un de l'autre, des co-frères ensemble,
même avec l'auteur de cet épitre,
mais aussi, vu en rapport
avec le Seigneur Jésus. Quel privilège d'être
de tels frères. Une pleine liberté,
on a parlé de cette liberté,
aucune entrave maintenant,
on voit ça dans 1 Jean 1, surtout,
cette pleine liberté. Pour
entrer dans les lieux saints,
on a vu, c'est donc la présence
immédiate de Dieu, le ciel,
pas seulement les lieux célestes, mais
le ciel où Dieu habite.
La présence immédiate de Dieu,
c'est par le sang de Jésus,
on a parlé de ça, par le chemin nouveau,
un chemin qui est nouveau à principe,
en contraste avec le judaïsme,
mais aussi un chemin qui est toujours nouveau
lorsqu'on va
ce chemin, selon la puissance de la
résurrection vivante, c'est lui qui nous
a inauguré ce chemin, il est allé
ce chemin lui-même, le Seigneur Jésus,
et nous pouvons suivre maintenant, à travers
le voile, donc, dans la présence
immédiate de Dieu, il nous attire
pour être dans la présence
immédiate de Dieu, pour contempler
la grandeur de la personne
du Seigneur, la grandeur de Dieu.
Le voile nous attire donc,
et puis verset 21, ayant un
grand sacrificateur, j'ai dit, on est des
sacrificateurs, mais l'emphase est mise
sur lui, il est le grand
sacrificateur, mais nous l'avons par contre,
nous pouvons dire, moi je peux dire,
moi j'ai un grand sacrificateur,
pas seulement pour pouvoir dans nos besoins,
mais ici pour m'introduire dans la présence
de Dieu, pour que je puisse adorer,
il est grand sacrificateur sur
la maison de Dieu, parce que nous sommes la
maison de Dieu, tous les croyants ensemble
forment cette maison de Dieu, et lui
est en charge de cette maison d'adorateur,
c'est plusieurs frères hébreux d'eux,
et il y a plusieurs noms, les compagnons,
les frères, c'est tout ensemble, des frères célestes
avec un appel céleste, c'est eux
qui sont la maison de Dieu, c'est eux qui sont
maintenant une compagnie d'adorateurs
dans la présence de Dieu, mais il faut
donc avoir cette pratique
selon Hébreux 10 pour fonctionner ainsi,
c'est pas seulement la théorie, Dieu n'est pas
satisfait de la théorie, dans la théorie
tous les croyants forment la maison de Dieu,
mais ils n'adorent pas tous, Dieu veut
de vrais adorateurs, et voilà le
verset 22, approchons-nous,
c'est maintenant un appel pour la foi,
c'est un appel à notre amour,
à notre cœur pour
le faire maintenant avec un cœur
vrai, comme en accord
avec la vérité, la pleine
vérité révélée de Dieu,
vous voyez, le danger
vraiment aujourd'hui, c'est qu'on place
l'adoration sur un niveau plus
bas que ce niveau-là, le danger
c'est ça qu'on voit dans l'histoire
de l'Église, où on a introduit
le judaïsme, on n'a pas
adoré avec un cœur vrai,
on a baissé ce niveau-là,
en pleine assurance de foi,
c'est une question de foi, si nous venons ici
pour adorer, mais aussi si nous sommes
à la maison et puis on entre
sur ce chemin pour être dans la présence de Dieu,
c'est adorer, c'est avec cette pleine
assurance, mais c'est aussi par la
foi, il faut la foi,
on peut venir ici par routine,
mais c'est pas adorer, il faut la foi,
et ensuite, on a vu
l'importance de notre cœur, l'état de notre
cœur, est-ce qu'on connaît
aussi ce jugement de soi-même, parce que
un cœur vrai implique, présuppose
le jugement de soi-même,
en 51, on voit cet exercice
de David pour purifier,
pour être purifié, pour être dans la présence
de Dieu. Donc, le jugement de soi-même
est impliqué, le jugement de nos
associations, comme nous avons vu,
ayant le cœur par aspersion
purifié, d'une mauvaise conscience,
ok, j'ai oublié de mentionner ça,
la mauvaise conscience, c'est un rapport
avec un système religieux,
la mauvaise conscience,
c'est un rapport avec les oeuvres de la loi,
ou les oeuvres d'un service,
comme on le trouve dans Hébreudis
au début, qui ne pouvait jamais
satisfaire Dieu. Donc, si nous voulons
reproduire quelque chose sur nos propres
pensées, on va avoir une
mauvaise conscience. On peut avoir
la conscience
purifiée, si nous
acceptons l'enseignement de cet épisode.
Et finalement, on a vu
donc le corps lavé
d'eau pure. On est encore dans ce monde,
on est dans ce désert-là, puis Dieu veut
que même notre corps soit sous
l'impact de la parole de Dieu.
Le lavage, c'est la parole de
Dieu, et Dieu veut que
nous soyons donc ainsi sous
l'influence de la parole de Dieu. Pas sous
l'influence de la chair, ou de l'influence
d'une religion,
mais sous l'influence
de la parole de Dieu. Mais maintenant,
on pourrait se poser la question, mais qu'est-ce qu'on fait là?
Qu'est-ce qu'on fait là dans la présence de Dieu?
Et l'adorer. Mais c'est pas
décrit ici. Il n'y a
pas de chant qu'on a ici,
il n'y a pas de rituel,
ou de règle, ou un livre de prière.
Rien de ça. Parce que
c'est l'Esprit qui nous guide. C'est le Seigneur Jésus
dans la gloire, par son Esprit,
qui nous guide dans cette adoration.
Il n'y a rien prescrit là.
Et puis, deuxièmement,
lui-même est notre adoration.
Parce qu'on présente Christ, on présente
une personne. On a besoin de toute la Bible
pour ça, mais c'est
pour ça qu'on ne trouve pas de détails là.
L'Esprit laisse ça
à nous, répondre même à
ces pensées de Dieu. Mais,
on a encore peu de temps pour des questions,
des remarques, des choses que j'ai oubliées.
Mais, ce ne sera jamais
parfait.
Oui, mais il y a une différence.
La différence, c'est que
ce temple du
Millenium va fonctionner
comme un souvenir.
Dans l'Ancien Testament,
les sacrifices ont indiqué
qu'à un moment donné,
il y aurait un sacrifice parfait.
Ce sacrifice, c'est comme
de l'argent. Si je
prends un billet de 10 dollars,
ce billet comme tel n'a aucune valeur.
C'est juste une pièce de papier.
Mais ça représente quelque chose.
Et ainsi, ces sacrifices
en eux-mêmes n'avaient
pas de valeur. C'était juste des animaux qui étaient tués.
Mais leur valeur était
parce que Dieu a prévu
le sacrifice du Seigneur Jésus.
Prenons par exemple le sacrifice d'Abel.
Pourquoi est-ce que ce sacrifice
avait de valeur dans les yeux de Dieu?
Parce que Dieu a vu le sacrifice de
Christ. Maintenant, dans le Millenium,
ce sera juste le contraire. Dans le Millenium,
on est après
le sacrifice de Christ. Mais les sacrifices
qu'ils vendent...
... …
Transcription automatique:
…
Je vais me générer lire d'abord quelques versets dans Hebreu 13, le verset 8.
Jésus Christ est le même hier et aujourd'hui et éternellement.
Ensuite le verset 20.
Or le Dieu de paix qui a ramené d'entre les morts le grand pasteur des brebis,
dans la puissance du sang de l'Alliance éternelle,
notre Seigneur Jésus vous rende accompli un tout bonheur,
pour faire sa volonté, faisant en vous ce qui est agréable devant lui,
par Jésus Christ, auquel soit la gloire au siècle des siècles. Amen.
Nous avons vu quelques passages dans l'Épître aux Hébreux qui nous parlent de la grandeur du Seigneur Jésus,
d'une façon particulière.
C'est vraiment une Épître qui est unique dans ce sens là, dans le sens où le Seigneur Jésus est présenté.
Et ainsi évidemment chaque Épître est unique, chaque Épître a son but spécial.
Ici c'est pour présenter le Seigneur Jésus dans sa grandeur,
pour attirer le peuple sur la terre vers lui, pour le suivre, pour l'aimer, etc.
Et surtout, on l'a vu, référé à ça, surtout on l'a vu dans le premier chapitre dans sa grandeur personnelle.
Là il a révélé Dieu.
On a vu Dieu a parlé à un fils.
Donc Dieu le fils était l'apôtre de Dieu.
Et puis Dieu s'est révélé dans un homme, mais cet homme est aussi le fils éternel.
Et ce chapitre, ce premier chapitre nous montre sa grandeur personnelle.
Deuxièmement, on a vu sa grandeur en rapport avec nos besoins.
Nous avons chanté aussi ce soir dans ce cantique que nous sommes des pèlerins.
Nous sommes sur la terre, le Seigneur est dans le ciel.
Mais il ne nous oublie pas là, et il prend soin de nous chaque instant, chaque seconde il prend soin de nous.
On a vu ça dans le chapitre 4.
Dans le chapitre 7 et au début de 8, nous avons vu la grandeur que le Seigneur Jésus a comme le ministre du sanctuaire.
Il est là aussi pour Dieu.
Il est là pour nous, pour nos besoins, un peuple qui a su la terre, qui a de grands besoins.
Mais le Seigneur est là aussi comme ministre du sanctuaire.
On a parlé de ça la troisième fois.
Et puis la dernière fois, on a vu sa grandeur comme celui qui nous introduit dans la présence de Dieu.
Nous sommes sur la terre, mais par la foi et aussi par le ministère du Seigneur Jésus qui nous prend, pour ainsi dire, la main,
il nous introduit dans la présence de Dieu, quoi que nous soyons sur la terre.
Et ça c'est notre grand privilège, ça c'est vraiment l'apogée de l'épître.
Et ainsi, de nouveau, c'est la grandeur de sa personne qui est présentée là, qui nous amène dans la présence de Dieu.
Et nous avons vu la dernière fois, nous sommes des sacrificateurs.
Mais la parole de Dieu dans l'Hebreu ne le mentionne même pas.
Parce que toute l'emphase est mise sur sa grandeur comme sacrificateur.
Nous sommes aussi des sacrificateurs, nous sommes aussi des fils.
Mais l'emphase est mise sur lui, le fils, le sacrificateur.
Et ainsi, nous le voyons ce soir comme le berger ou le grand pasteur.
On va revenir à ça.
Donc, pour ceux qui aiment avoir un aperçu de toute l'épître,
on n'a pas pu discuter tous les détails, évidemment, de cette épître-là.
Mais j'ai mentionné quelques, dans ce sommaire, des points culminants.
Et avec cet aperçu, vous pouvez avoir la structure de l'épître.
Ça aide beaucoup si on connaît la structure de l'épître.
On peut, avec l'aide de Dieu, on peut comprendre aussi les détails.
Maintenant, je voulais suggérer...
Je vais juste prendre un stylo, là.
Et puis, comme j'ai dit, si vous avez des questions, il faut juste signaler.
Dans cet aperçu, vous allez voir aussi qu'il y a trois grandes parties de l'épître.
La première partie, c'est la présentation de la personne.
Plus grand que Moïse, plus grand qu'Aaron, plus grand que David, n'importe qui.
Et la deuxième partie nous parle de son œuvre, le saint, du Seigneur, son sacrifice.
Et la troisième partie nous parle de notre pratique.
Et en rapport avec notre pratique, nous avons un grand conducteur.
Et ce qu'on voit dans cette épître-là, c'est vraiment merveilleux.
Le Seigneur Jésus, comme j'ai dit, il nous amène, il nous introduit dans la présence de Dieu.
C'est ça, ce qu'on a vu la dernière fois dans chapitre 10.
Il nous introduit dans le sanctuaire, un nouveau chemin, un chemin vivant,
tout en accord avec le caractère de Dieu, comme le Dieu vivant.
Et ce chemin est toujours nouveau, toujours réel, toujours vivant pour la foi.
On a vu ça.
Ainsi, le Seigneur Jésus est donc un grand conducteur.
Mais, nous sommes aussi un peuple sur la terre, dans le désert, un peuple de pèlerins.
Et ainsi, nous avons besoin du Seigneur comme notre conducteur à travers le désert.
Ça, c'est chapitre 10, verset 25, verset 12, verset 11.
Et ça va ensemble aussi avec le passage qu'on a lu tantôt du grand pasteur des brebis.
Il est le grand conducteur d'un peuple qui est dans le désert.
Mais, il est aussi vu comme le grand conducteur hors du camp.
Donc, j'aimerais souligner ce contexte, vous voyez.
Si on parle du Seigneur Jésus comme conducteur, comme berger, comme pasteur,
il y aura un tas de passages qu'on pourrait prendre dans l'Ancien Testament, dans le Nouveau Testament.
C'est vraiment merveilleux, vraiment, d'étudier le Seigneur comme le pasteur.
J'ai fait un aperçu pour moi-même, là, de tous les versets.
C'est incroyable.
Vous pouvez prendre une concordance et étudier chaque passage.
Deutéronome 32 nous dit que le peuple d'Israël avait un seul berger, c'est Dieu lui-même.
Et j'aimerais ajouter à ces versets qu'on va voir tantôt sur le Seigneur Jésus comme le berger.
Il est aussi le seul berger.
Il est vrai, il y a des bergers, il y a des pasteurs.
Donc, ceux qui ont reçu un don spécial de la part du Seigneur.
Mais, il est le seul berger.
Il travaille à travers ces dons-là.
Comme il y a des évangélistes, mais c'est vraiment le Seigneur qui est le vrai évangéliste.
Il travaille par cet instrument.
Et ainsi, on peut avoir des docteurs ou des pasteurs, mais c'est le Seigneur qui fait le travail à travers ces dons.
Mais, le contexte, j'aimerais souligner, là, on va revenir à ça un peu.
Le contexte dans l'Épître aux Hebreux, c'est que le Seigneur Jésus prend les vrais brebis,
et s'ils veulent vraiment les suivre, il va les amener hors du camp.
Il y a des brebis dans le camp, mais le Seigneur Jésus aimerait les prendre pour les faire sortir hors du camp.
Pour les mettre dans la vraie liberté, sous sa conduite.
Maintenant, avant qu'on parle du camp, là, on va revenir à notre passage qu'on a lu.
J'aimerais commencer avec ce verset 8 qu'on a lu, comme le point de départ.
C'est un verset précieux.
Tout le monde aime ce verset-là, le verset 8.
Jésus-Christ est le même, hier et aujourd'hui et éternellement.
Vous voyez, c'est en contraste avec les conducteurs du verset 7.
J'ai dit, le Seigneur Jésus est vu comme le vrai conducteur.
Mais il y en avait aussi des conducteurs, des conducteurs qui avaient dirigé le peuple de Dieu dans ce temps-là.
C'était les juifs chrétiens à Jérusalem.
Dans le contexte de l'Épître, on peut le voir.
Et il y avait encore des conducteurs qui étaient vivants dans ce temps-là.
Verset 17,
« Obéissez à vos conducteurs et soyez soumis, car ils veillent pour vos âmes comme ayant à rendre compte,
afin qu'ils fassent cela avec joie et non en gémissant, car cela ne vous serait pas profitable. »
Donc, il y avait des conducteurs du passé qui avaient prêché le salut, qui avaient présenté le Seigneur.
Il y avait des conducteurs présents.
Et aussi, le verset 24 fait référence à eux.
« Saluez tous vos conducteurs et tous les saints. »
Donc, il y avait des conducteurs.
Mais ce passage fait ressortir le Seigneur comme le grand conducteur.
C'est ça que j'aimerais souligner.
Et ainsi, on voit dans le verset 8 un contraste avec les conducteurs du passé parmi les chrétiens hébreux.
Ils avaient annoncé la parole de Dieu.
Hébreux 2, versets 2 et 3 nous parlent de ça, ce grand salut qui avait été présenté par ces conducteurs.
On peut même penser aux apôtres de ce temps-là, du livre des actes, au début des actes.
Et le verset 7 nous dit, « Souvenez-vous de vos conducteurs.
Deuxièmement, considérant l'issue de leur conduite.
Troisièmement, imitez leur foi. »
Ce sont de bonnes choses.
« Souvenez-vous de vos conducteurs. »
Mais, vous voyez le contraste?
On va revenir à ça tantôt avec le Seigneur Jésus.
Il reste le même.
Les conducteurs étaient partis.
Le Seigneur Jésus reste le même.
Les conducteurs avaient présenté la parole de Dieu.
Le Seigneur Jésus est la parole.
Les conducteurs avaient vécu par la foi.
Le Seigneur Jésus est l'objet de la foi, comme on voit dans Hébreux 11 et 12.
Donc, c'est beau de voir les liens, mais aussi les contrastes.
Donc, le verset 8, c'est en contraste avec les conducteurs du passé.
Et le Seigneur Jésus est présenté ici comme Jésus.
J'aimerais souligner de nouveau qu'il est présenté dans cet Épitre simplement comme Jésus.
Cette personne humble, rejetée, méprisée.
Encore aujourd'hui, les Juifs le méprisent.
C'est ce Jésus qui est présenté dans cet Épitre,
comme étant le Fils de Dieu, comme ayant toutes ses qualités merveilleuses qu'on le voit,
couronné de gloire et d'honneur.
Il est aussi le Christ.
Ça veut dire le ouin de Dieu.
Dieu l'a ouin.
Christ et Messie, dans ce sens-là, veut dire la même chose.
Je ne dis pas que Christ, dans le Nouveau Testament,
est exactement la même chose que le Messie qu'on présentait dans l'Ancien Testament.
Il y a des différences là.
Mais il y a aussi des parallèles.
Mais le mot comme tel est identique.
Et il est en même temps le même, parce qu'il est Dieu.
Vous voyez, dans chapitre 1, verset 12,
l'auteur de l'Épitre fait référence à plusieurs passages dans l'Ancien Testament,
mais surtout dans le psaume 102,
où il est appelé le même.
Il est Dieu.
Donc, ce humble Nazaréen,
il est comme homme ouin de Dieu.
Il est le même.
Il est Dieu.
C'est de nouveau ce mystère de sa personne.
Une personne adorable.
On le voit aussi à la fin du passage qu'on a lu.
À lui, la gloire.
C'est à Dieu.
Mais c'est aussi à lui.
C'est au Seigneur Jésus, qui est Dieu.
Donc, je voulais souligner maintenant,
hier, aujourd'hui, éternellement.
Hier, c'est un rapport avec sa marche sur la terre.
Son œuvre accomplie.
C'est beau de lire un verset comme ça,
et puis vraiment réfléchir là-dessus.
C'est dit ici, hier, aujourd'hui, éternellement.
Ça veut dire quelque chose.
Que le Seigneur Jésus remplit le passé, le présent et le futur.
On lit dans Éphésiens 4 qu'il va remplir tout l'univers.
Mais dans les pensées de Dieu, il a rempli le passé.
Il remplit le présent.
Il va remplir le futur.
Et on peut penser, en rapport avec hier, à son œuvre accomplie.
C'est une œuvre accomplie qu'on voit dans l'Hébreu.
Mais de notre côté, il fait encore quelque chose dans la gloire.
Continuellement.
Il est occupé là.
Donc, aujourd'hui veut dire ce qu'il est dans la gloire.
Ce qu'il fait dans la gloire.
Éternellement, c'est pour montrer que cette personne reste la même pour toute l'éternité.
Aussi pour le millennium, aussi pour l'état éternel.
Donc, on a affaire avec une telle personne.
Cette personne merveilleuse est notre berger.
Donc, vous voyez maintenant le lien avec les conducteurs, mais aussi le contraste.
Les conducteurs les plus éminents sont placés dans l'ombre, vraiment, comparés avec ce conducteur.
Maintenant, je voulais revenir à cette expression « hors du camp »
parce que ça prend vraiment une grande place dans l'enseignement ici, dans l'Hébreu 13.
Il faut, lorsqu'on parle du camp, il faut voir trois aspects différents que l'auteur mentionne dans ce verset-là.
D'abord, il discute le camp comme un système positif.
Et dans le verset 11, ok, c'est pas mon intention de parler longuement là-dessus
parce que je veux avoir plus de temps pour les versets 20 et 21.
C'est juste pour donner le contexte.
Verset 11, on voit les corps des sacrifices pour le péché brûlés hors du camp.
Le camp était pur, c'est là où Dieu habitait avec son peuple.
Le péché était horrible.
En nombre 5, on voit que ceux qui étaient lépreux, ceux qui avaient une issue,
ceux qui avaient touché un mort, devraient être placés hors du camp.
Et le sacrifice pour le péché était ainsi brûlé hors du camp.
Dans le verset 12, et puis il faut aussi voir le lien avec le Seigneur,
il était le vrai sacrifice pour le péché.
Dans le verset 12, l'auteur parle de ce que Jérusalem a fait.
Ils ont jeté Jésus hors de la porte.
C'est pourquoi aussi Jésus, afin qu'il sanctifia le peuple par son propre sein,
a souffert hors de la porte.
Ici, le Seigneur Jésus est vu comme pur.
Il était sans tâches. Il était parfait.
Mais le peuple ne voulait pas l'avoir.
Donc là, c'est juste le contraire, l'opposé.
Le camp était devenu impur.
Le camp était vraiment sous l'influence du péché et du diable.
Et ainsi, ce camp religieux où Dieu, où la profession de Dieu était là,
le service de Dieu par profession,
en réalité, ils étaient des ennemis de Dieu.
Ils ont jeté Dieu lui-même dehors.
Le Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, était jeté dehors.
Maintenant, la conclusion pour nous, dans le verset 13,
je dis nous, mais c'est d'abord la conclusion pour les croyants dans ce temps-là.
Verset 13.
Ainsi donc, sortons vers lui, hors du camp, portant son opprobre.
C'est maintenant un appel pour la foi.
Il faut toujours penser à ces croyants.
Parmi les hébreux, les juifs chrétiens,
ils étaient maintenant appelés à sortir hors du camp.
Le camp où il y avait donc un service religieux donné de Dieu,
mais remplacé par la pensée de l'homme.
On le voit dans l'évangile selon Jean aussi.
C'était devenu des fêtes des juifs.
Ce n'était plus les fêtes de l'éternel, c'était les fêtes des juifs.
Donc l'homme avait pris la place de Dieu.
Et ainsi, l'homme a rejeté le Seigneur Jésus.
Et ainsi, le croyant devrait sortir.
Comme on voit dans Jean, on voit l'aveugle-né rejeté de la synagogue,
donc il sort.
On voit Nicodème rejeté, il sort.
Joseph d'Arimathée et aussi le brebis de Jean X,
ils sortent de ce système-là.
Donc pour résumer, être identifié avec Jésus
veut dire, dans le verset 11,
il a été fait péché pour nous, brûlé hors du camp.
Il est notre sacrifice.
Et la seule place sûre sur la terre, c'est hors du camp.
Parce que lui a été crucifié là.
Lui a été condamné par le jugement de Dieu.
Et c'est lui qui a pris notre place.
Donc la seule place sûre est hors du camp,
où Dieu a jugé nos péchés et notre état dans le Seigneur Jésus.
Deuxièmement, verset 12,
identifier avec lui veut dire,
on est exposé à la haine du monde religieux.
Comme le Seigneur Jésus a été rejeté par le monde religieux,
le croyant sera rejeté par le monde religieux.
Le verset 13 veut dire,
être identifié avec Jésus,
veut dire, on quitte volontairement un tel système,
par la foi.
Et verset 14 souligne encore,
qu'au lieu de ce camp, Jérusalem était un camp,
au lieu de cette cité,
on a une autre cité permanente,
la cité à venir.
On est des pèlerins.
Et finalement, notre vrai service religieux
est mentionné dans le verset 15 et 16.
On va revenir à ça maintenant.
J'ai dix points là,
qui soulignent notre position hors du camp.
Dix caractéristiques.
Et pourquoi est-ce que je mentionne ces caractéristiques?
Parce que c'est en rapport avec cette position
que nous avons ici,
le Seigneur Jésus comme le grand pasteur.
OK?
Si on parle du Seigneur Jésus comme notre grand pasteur,
il faut toujours voir le contexte.
Comme dans Jean 10,
il est le grand berger
qui a attiré les brubis hors d'un tel système.
Il s'est donné pour eux,
pour les avoir tout près de lui.
Il ne voulait pas que les brubis restent dans un système religieux.
Il voulait les avoir tout près de lui.
Donc, c'est un peu ce contexte-là d'Hébreu 13.
Mais comme j'ai dit,
il y a beaucoup de passages dans la parole de Dieu
qui nous parlent de son travail comme pasteur.
Comment il prend soin de nous.
Puis, en rapport avec ce passage-là,
vous pouvez étudier vous-même,
je peux le montrer après,
tous ces passages-là,
comment il prend soin de nous.
Mais, Deuteronome 32 le mentionne,
il est le seul berger.
Et on le voit dans les types de l'Ancien Testament,
dans Joseph,
dans Abel,
dans Jacob,
on le voit dans Moïse,
on le voit dans David,
on le voit dans les psaumes,
on le voit dans les prophètes.
Ce serait toute une étude, vraiment,
de voir le Seigneur Jésus là.
Mais aussi dans le Nouveau Testament,
comme le grand berger.
OK, ce passage-là,
on limite donc un peu notre étude du grand berger.
D'abord, le contexte,
c'est un peuple sanctifié par le Saint Jésus.
Donc, le Seigneur Jésus est le bon pasteur,
le bon berger,
pour un peuple sanctifié par son propre Saint.
Il faut réaliser ça.
Le Seigneur Jésus n'est pas le berger de tout le monde.
Il est le berger d'un peuple qui est sanctifié,
qui est mis à part pour Dieu,
par le Saint de Jésus.
Sanctifier en rapport avec la sainteté de Dieu.
Vous voyez, verset 12 réfère à ça.
C'est pourquoi aussi Jésus,
afin qu'il sanctifia le peuple par son propre Saint,
a souffert hors de la porte.
Donc là, on voit le Seigneur Jésus,
la valeur de son Saint,
ce qu'il a fait pour sanctifier un tel peuple,
et ainsi pour être en accord avec la sainteté de Dieu.
Et puis, on pourrait se poser cette question-là,
est-ce qu'on répond à la sainteté de Dieu?
Pratiquement.
Le Seigneur Jésus a payé un tel prix,
mais est-ce qu'on réalise pratiquement la sainteté de Dieu?
Aujourd'hui, dans la profession chrétienne,
et dans nos vies souvent aussi,
on oublie la sainteté de Dieu.
Mais il fallait que le Seigneur donne son Saint
pour nous sanctifier.
Deuxièmement, il y a cet appel,
comme on avait vu dans le verset 13,
sortant vers lui.
Et ça vaut la peine,
avec l'aperçu que j'ai donné,
la note que j'ai donnée là,
vous pouvez vérifier ça,
ça vaut la peine d'étudier cet appel.
Un appel à la conscience.
Ceux qui sont dans un tel système,
leur conscience devrait être touchée
par un tel appel.
Je mentionne ici Jean 7.
Il y avait là la fête des tabernacles.
Et puis, justement là,
l'apogée de cette fête-là,
le Seigneur se tient là pour dire
venez à moi.
Sortez de ce système-là.
Si vous voulez boire,
si vous avez soif,
venez à moi.
Ainsi, dans le chapitre 10,
le bon berger,
il appelle les brebis
pour sortir d'un tel système.
Dans Deux Chrétiens 6,
nous voyons qu'on sort
de l'iniquité d'un système païen,
d'un système caractérisé par l'idolâtrie,
du paganisme.
Mais dans Matthieu 25,
nous voyons que les vierges
sortent du judaïsme.
Dans le chapitre 2 de Timothée 2,
nous voyons qu'en sortir veut dire,
on ne peut pas sortir de la grande maison,
mais sortir là veut dire
poursuivre la justice
au milieu de la profession chrétienne.
Dans le pierre 2,
on est attiré par la pierre vivante.
Donc, je voulais mettre l'emphase
sur le fait que le Seigneur Jésus nous attire.
Ainsi, c'est appel.
Sortons, c'est aussi au cœur.
Est-ce qu'on aime le Seigneur Jésus?
Ok, prendre l'exemple de Moïse.
Moïse a placé la tente d'assignation,
la tente pour rencontrer Dieu.
Il l'a placée hors du cain,
qui était caractérisé par l'idolâtrie.
Le cain est caractérisé par le fait
qu'ils l'ont rejeté loin de Dieu.
Ils l'ont introduit l'idolâtrie.
Et puis là, Moïse place donc la tente hors du cain,
exotérant 3.
Là même, c'est vraiment une illustration
de ce qu'on a ici.
Par la foi, Jésus est là tout le temps,
mais qu'est-ce que Moïse fait?
Il rentre dans le cain pour être utile
pour ceux qui sont dans le cain.
C'est ça que tu veux dire.
Sa position était hors du cain,
mais ça ne veut pas dire qu'il n'avait rien à faire
avec ceux qui étaient dans le cain.
C'est la même chose pour le Seigneur.
Il a attiré les brebis pour sortir du judaïsme,
mais quand même, le Seigneur Jésus
a adressé les juifs qui étaient dans le judaïsme.
C'est ça.
Mais il faut connaître la position scripturaire d'abord.
Comme Josué, il est resté là.
Il était jeune.
Donc, il faut faire de la croissance,
il faut faire des expériences avec le Seigneur
dans cette position-là,
pour être affermi.
Puis ensuite, le Seigneur peut nous envoyer
n'importe quelle place,
même pour parler au pape, s'il est nécessaire.
Puis deuxièmement, j'aimerais aussi encore souligner,
lorsqu'on parle du cain, ici, c'est le judaïsme.
Donc, c'est évident qu'on ne peut pas être
dans le judaïsme, d'un côté,
et en même temps, être avec le Seigneur hors du cain.
Ces deux positions sont différentes.
Puis lorsqu'on parle d'un système religieux d'aujourd'hui,
comme l'Église catholique,
ou comme la Grande Babylone dans le futur,
ça, c'est une application, OK?
C'est le même principe qu'on voit ici,
avec la seule différence que le judaïsme
avait été donné par Dieu,
mais Dieu l'a rejeté,
parce qu'Eux avaient rejeté Dieu,
ainsi Dieu a rejeté le judaïsme.
Tandis que l'Église a introduit quelque chose
que Dieu avait déjà rejeté.
Dieu avait rejeté le judaïsme,
et c'est l'Église qui a réintroduit le judaïsme
dans le sein de l'Église.
Donc, c'est pire.
Et ainsi, comme croyant,
on devrait donc être séparé d'un tel système.
Quant à notre position,
quant à notre relation avec le Seigneur,
on va voir ces points-là,
mais pas en rapport avec ce service d'évangéliste
ou des contacts que le Seigneur donne.
Là, on peut rentrer là,
mais il faut faire attention
qu'on ne soit pas influencé par ce système-là.
Mais si vous allez juste suivre ces points-là,
vous voyez notre position,
c'est ça que j'aimerais souligner,
comme hors du camp.
Vers Lui, Il est le centre d'attraction.
Le Seigneur Jésus n'est pas dans le camp d'enceinte, là.
Il attire les gens pour sortir du camp.
Et je vois même Matthieu 18, là, dans le même contexte.
C'est le Seigneur qui est le centre.
Aucune personne, aucune organisation,
aucune doctrine.
C'est le Seigneur Lui-même.
Comme Jean 1,
les disciples ont suivi le Seigneur Jésus.
Ils ont même quitté Jean le Baptiseur.
Ainsi, on voit le Seigneur Jésus,
Il est la base de la communion.
Il est le centre d'attraction.
Hors du camp, c'est aussi séparé du mal non jugé.
Parce que dans le camp, il y a le mal religieux,
le mal doctrinal,
le mal moral non jugé.
Ça, c'est un autre aspect du camp,
où on ne juge pas le mal.
L'idélatrie, on ne le juge pas.
Ça reste là.
Et c'est pour ça qu'on doit sortir,
parce qu'autrement, on est pris par la même idélatrie.
Ça ôte la liberté d'adoration et tout ça.
Cela a une conséquence portant sur nos propres.
Comme j'ai dit, ici, c'est dans le contexte du judaïsme.
Mais pour nous, c'est une application.
Le monde religieux va aussi nous mépriser,
ou même outrager,
si on prend une position pour le Seigneur comme ça.
Et 1 Pierre 4 parle de ça,
souffrir pour le non du Seigneur.
Mathieu 5, le Seigneur le mentionne déjà.
Et ainsi, nous portons son opprobre,
si nous portons son jug.
Je pense que ça va ensemble.
Si nous portons vraiment son jug,
dans l'obéissance,
on va aussi porter l'opprobre,
de la part du monde religieux.
Mais, quelle consolation,
nous participons à sa gloire dans le ciel en même temps.
Ainsi, nous participons à son opprobre sur la terre.
Donc on a deux positions ici.
Sur la terre, dans le ciel.
Sur la terre, on partage son opprobre.
Dans le ciel, on partage sa gloire.
C'est merveilleux.
On a vu, ok, le quatrième point,
je vais aller un peu plus vite maintenant.
Hors du camp, ça veut dire,
on est un peuple de pèlerins.
On l'a exprimé dans nos cantiques aussi.
Et verset 14 souligne cela.
Nous n'avons pas ici de cité permanente.
Relations entre les dirigeants,
entre les conducteurs et les croyants.
Des relations non cléricales.
Dans le camp, il y a le clergé, ok.
Soit dans le judaïsme,
soit dans les imitations qu'on voit
dans la profession chrétienne d'un camp.
Il y a là un clergé qui est en contrôle.
Tandis qu'ici, on a des relations
entre conducteurs et le peuple de Dieu,
selon les pensées de Dieu.
Ces conducteurs-là ne prennent pas la place
du seigneur.
Ils conduisent selon le seigneur.
Et ainsi, nous voyons des relations spirituelles
selon Dieu entre les croyants et les conducteurs.
Et ainsi aussi une intercession.
Ça, c'est le huitième point.
Une intercession réciproque.
Les conducteurs prient pour le peuple.
Le peuple ou les croyants prient pour les conducteurs.
C'est comme ça que ça devrait être.
Ça, c'est la position hors du camp.
Et finalement, 9 et 10, l'obéissance,
et on va parler maintenant de versets 20 et 21,
l'obéissance à la volonté de Dieu
et cherchant la gloire de Dieu et de Christ.
Ça, c'est vraiment ce qui caractérise
ceux qui sont hors du camp.
Ils cherchent à faire la volonté de Dieu.
La volonté de Dieu ne peut pas vraiment
être réalisée dans le camp.
Et ils cherchent la gloire de Dieu.
Donc, on a mentionné déjà le contexte
de cette épitre-là qui nous parle
beaucoup de la grandeur du seigneur Jésus.
Et je vais revenir maintenant à ce verset 20 et 21.
J'ai mentionné déjà qu'on trouve le seigneur Jésus
comme le berger dans les types de l'Ancien Testament.
Mais on le trouve aussi dans le passé
comme le vrai berger dans Jean 10
qui a donné sa vie pour les brebis.
J'ai mentionné le psaume.
Je vais revenir à ça.
Le bon berger, on le trouve dans Jean 10.
Quelle est la caractéristique du bon berger
qu'il a donné sa vie?
Et là, on voit la grandeur du Fils de Dieu.
Il pouvait même mettre de côté,
remettre sa vie, la reprendre, les dieux.
Mais il est aussi le bon berger
qui a donné sa vie pour les brebis.
Il est le grand berger maintenant.
Donc, il est dans la gloire.
Il conduit le peuple sur la terre.
Il est le grand berger
qui a été ramené d'entre les morts.
On va revenir à ça.
Et dans le futur, il sera le souverain pasteur
ou le souverain berger dans 1 Pierre 5.
Lorsqu'il va apparaître,
il sera vu comme le souverain pasteur.
Il est au-dessus de tous les autres pasteurs.
Maintenant, ça va ensemble avec le psaume 22, 23 et 24.
Dans le psaume 22,
nous voyons comment il a donné sa vie.
Dans le psaume 23,
nous le voyons comme le berger présentement.
Et aussi le reste fidèle va le connaître comme ça,
comme leur berger dans ce temps-là où ils vont vivre.
Le psaume 24 nous parle du futur
où le Saint Jésus sera reconnu
comme le souverain pasteur et berger.
Il va rayer comme ça et nous avec lui.
Donc, l'apôtre ou l'auteur de l'Épître
place les choses ici dans un contexte très vaste.
Passé, comme on a vu dans le verset 8 aussi,
passé, présent, futur,
et aussi en utilisant cette expression
« alliance éternelle » dans le verset 20.
Le Saint de l'alliance éternelle,
il place les choses dans un contexte très vaste.
Il parle aussi de la gloire éternelle dans le verset 21
ou la gloire au siècle des siècles.
Et dans ce contexte-là, nous, comme croyants,
nous avons des privilèges et des responsabilités
sous la conduite du grand conducteur.
Comme j'ai dit, je répète,
il nous conduit à travers le désert,
il nous conduit dans le sanctuaire,
un peuple sur la terre qui, par la foi,
par ce nouveau chemin,
peut être introduit déjà maintenant
dans la présence de Dieu dans le sanctuaire.
Et il est le conducteur hors du camp
qui nous conduit pour sortir hors du camp
parce qu'il nous attire vers lui
et qui nous conduit aussi à cette place,
sur cette place, hors du camp.
Maintenant, quelques détails de ce verset 20 et 21.
D'abord, on voit qu'il y a une relation avec Dieu.
Dieu est vu ici comme le Dieu de paix.
C'est beau de voir que dans le Nouveau Testament,
on trouve six fois le Dieu de paix
et une fois le Seigneur de paix
dans 2 Thessaloniciens 3.
J'ai marqué tous les passages ici,
vous pouvez les vérifier,
et chaque passage nous parle donc
du Dieu de paix.
Et puis j'aimerais mettre ça en parallèle
avec le verset 9
où nous voyons le sacrifice pour,
le sacrifice de prospérité,
où en anglais on dit a peace offering,
c'est le sacrifice de paix.
Donc, pourquoi, comment est-ce qu'on peut avoir
une relation avec le Dieu de paix ?
Parce que le sacrifice de paix est là.
C'est le Seigneur Jésus
qui lui-même est le sacrifice de paix.
Il n'est pas seulement le sacrifice pour le péché,
brûlé hors du camp,
son sang présenté,
on a vu ça dans d'autres chapitres,
présenté devant Dieu,
dans la présence de Dieu.
Non, on a aussi le Seigneur
comme le sacrifice de paix.
Et ça nous parle de la communion.
On a maintenant la communion avec Dieu.
Hors du camp,
on a une relation avec le Dieu de paix.
Et puis la paix est sur la base de la justice.
Ça c'est un autre aspect dans l'hébreu.
On ne peut pas avoir la paix sans la justice.
La justice de Dieu a été satisfaite.
Ainsi Melchizedek,
il était le roi de la justice.
Melchizedek, roi de justice.
Et ainsi le roi de la paix.
C'est beau de voir ça.
D'abord la justice et puis la paix.
Et nous pouvons comme croyants
poursuivre la paix pratiquement maintenant.
Comme justifiés devant Dieu,
sanctifiés,
nous pouvons vivre dans la paix
et poursuivre la paix.
Tout est fondé sur le sang de la croix.
Le sang est mentionné ici,
le sang de l'alliance.
Et sans le sang du Seigneur Jésus,
on n'a pas de paix.
C'est le sang de la croix qui a donné cette paix.
Le Seigneur Jésus est celui qui est la paix.
Il annonce la paix aux juifs et aux nations.
Et il a fait la paix.
Il a fait ainsi par ce sacrifice de paix.
Il a fait la paix avec Dieu.
Il a le fondement pour cette paix-là.
Et il annonce la paix.
Il est la paix.
Et dans ce contexte-là,
nous sommes vus donc avec un Dieu de paix.
Et je mentionne encore ici,
ce n'est pas seulement une question
que nous avons la paix avec Dieu maintenant.
Romains 5, verset 1.
Ce n'est pas même dans nos circonstances
que nous avons la paix.
On peut être dans des circonstances
très difficiles, n'est-ce pas, Vendre?
On peut être vraiment au bout de nous-mêmes.
Et puis là, on peut avoir la paix de Dieu
dans nos circonstances.
Mais le Dieu de paix va plus loin.
Ça, c'est la personne même qui est présentée.
La paix de Dieu,
c'est en rapport avec nos circonstances.
Mais nous connaissons le Dieu de paix.
Ce Dieu avec lequel nous avons affaire,
c'est le Dieu de paix.
Mais vous pouvez lire ce passage-là.
C'est merveilleux de voir.
Maintenant, le fondement.
Comment est-ce que le Seigneur Jésus
est notre grand conducteur
sur le fondement de sa résurrection?
Le verset 20 souligne cela.
Dieu, le Dieu de paix,
qui a ramené d'entre les morts
le grand pasteur d'Abreuville.
C'est ici Dieu qui l'a ramené d'entre les morts.
Et je pense ici que l'auteur
réfère à Ésaïe 63, verset 11.
Comme Moïse, dans l'Ancien Testament,
a été avec le peuple de Dieu dans la mer rouge,
et Dieu l'a ramené de la mer,
selon Ésaïe 63.
Moïse était le médiateur de l'Ancienne Alliance.
Il a conduit le peuple à travers la mer rouge
et Dieu l'a fait sortir de la mer rouge.
Ainsi, notre Seigneur Jésus,
le médiateur de la Nouvelle Alliance,
Dieu l'a fait sortir des eaux de la mer rouge,
de la mort.
Il a été fait sortir de là par le Dieu de paix.
Et ainsi, le Seigneur Jésus est comme le vrai Moïse
qui conduit maintenant le peuple de Dieu
à travers le désert,
à l'autre côté du monde et de la mort.
Ça, c'est vraiment important.
Le désert à l'autre côté du monde,
l'autre côté de la mort,
présenté par la mer rouge.
Et ainsi, nous avons le Seigneur Jésus
qui est le grand conducteur sur un terrain nouveau,
un terrain qui nous parle de la résurrection.
Le désert ne parle pas de la résurrection.
Il faut comprendre ça.
Le désert, c'est vraiment le monde.
Mais la foi voit le monde dans son vrai caractère.
Mais nous sommes un peuple
qui sont dans le bien de la résurrection,
qui ont la vie de la résurrection,
qui ont la force de la résurrection en nous.
Ainsi, Dieu nous a placés sur ce fondement de la résurrection
avec le Seigneur Jésus,
qui est sorti, qui a été ramené d'entre les morts.
Puis ça souligne aussi le choix que Dieu a fait.
D'entre les morts veut dire,
il était avec les morts,
mais Dieu a fait son choix.
Et Dieu a aussi montré son approbation.
Dieu était satisfait.
Il l'a fait sortir d'entre les morts.
Et nous sommes placés sur ce fondement-là.
Donc ça veut dire identifier avec un Christ ressuscité.
Ainsi, le grand pasteur des brebis est vu comme le vrai berger.
Le pasteur des brebis, le vrai berger.
On peut utiliser d'autres mots comme pasteur,
comme conducteur.
Pasteur est utilisé ici.
Conducteur est utilisé dans le chapitre 12
comme le chef qui a commencé et qui a fini
le consommateur de la foi.
Ainsi, le Seigneur Jésus est pour nous
ce vrai et grand berger des brebis,
aussi de vous et de moi.
J'ai marqué ici dans quelles relations merveilleuses,
quels privilèges, mais aussi quelles responsabilités.
Qu'on pense à ça.
La dernière transparence ici,
puis on va avoir peut-être quelques moments pour discussion.
Et si vous avez des questions entre temps, c'est bienvenu.
Le verset parle aussi du saint.
Comme ici dans la traduction que nous avons ici,
dans la puissance du saint.
Ça nous montre donc la valeur de son saint,
la vertu de son saint.
Et c'est aussi appelé le saint de l'alliance éternelle.
Le saint qui a satisfait toutes les exigences de Dieu.
C'est ça le point à saisir.
Ce saint-là a ouvert le ciel pour nous.
Le saint du sacrifice pour le péché,
le sacrifice était brûlé hors du camp,
mais le saint était présenté dans la présence de Dieu
et Dieu était satisfait.
Comme le sérubin qu'on voit là dans Romain 3,
le propitiatoire, représentant la justice de Dieu,
le sérubin était satisfait.
Et ainsi, la sainteté de Dieu,
ça c'est le sujet des Hebreux,
la sainteté de Dieu était satisfaite
par le saint de Christ.
C'est donc la base pour une relation éternelle,
comme l'alliance éternelle nous parle d'une relation éternelle.
Et ce nouveau système est plus grand
que tous les systèmes que Moïse avait introduits.
C'est une alliance nouvelle,
on ne peut pas parler maintenant longtemps de l'alliance là,
mais ça prend vraiment une grande place dans cet épitre-là.
La nouvelle alliance, en contraste avec l'ancienne,
c'est aussi une nouvelle alliance,
c'est fraîche, mais aussi le caractère est nouveau,
en contraste avec l'ancienne.
C'est une nouvelle alliance qui est aussi immuable,
ensemble avec le royaume immuable hébreu 12.
C'est une meilleure alliance.
Si vous allez étudier toutes les fois
où on trouve ce mot meilleur,
c'est déjà toute une étude dans l'épitre hébreu.
Juste prenez une concordance,
cherchez toutes les places où il est indiqué meilleur.
Le meilleur sacrifice, une meilleure alliance,
une meilleure personne,
mais c'est aussi éternel.
Ça veut dire que ça ne sera jamais remplacé.
Donc c'est un contexte très vaste.
La valeur du Saint donc,
cela a une valeur pour toute l'éternité.
Maintenant, juste une note,
l'alliance n'est pas faite avec l'Église.
L'alliance est faite avec Judas et Israël,
selon Jérémie, selon la citation aussi d'un hébreu 8.
Le Seigneur Jésus est vu comme le garin de cette alliance,
il est vu comme le médiateur de cette alliance.
Les apôtres étaient même des serviteurs de cette nouvelle alliance.
Mais l'alliance comme telle n'est pas faite avec l'Église.
Nous sommes dans une relation encore plus intime qu'une alliance.
Mais nous avons par contre,
nous pouvons profiter des bénédictions de la nouvelle alliance.
Déjà maintenant, la nouvelle alliance sera faite avec Israël, le millenium,
mais toutes ces bénédictions-là,
que Israël va connaître pendant le millenium,
sont déjà à nous.
C'est merveilleux.
Et en plus de ça, on a toutes les bénédictions célestes et éternelles
qui dépassent encore les bénédictions de l'alliance.
Donc on est très bénis, Dieu nous a enrichis.
Par contre, on pourrait voir dans 2 Corinthiens 3
que selon le même principe où Dieu va établir la nouvelle alliance,
il va écrire la loi sur leur table de cœur.
Ainsi, l'Esprit de Dieu aujourd'hui n'écrit pas la loi,
il écrit Christ sur les tables de nos cœurs.
Donc il y a des parallèles, mais il y a aussi des contrats.
Maintenant, le verset 21,
j'ai pas mentionné le point-là,
mais le sujet des brebis, ce serait aussi intéressant à étudier.
Qui sont les brebis, vous et moi?
C'est quoi qui caractérise les brebis?
Dieu n'a pas choisi des brebis qui étaient très intelligentes
ou qui étaient très dociles ou qui étaient très merveilleuses.
Non, pas du tout.
Ce sont des brebis avec lesquels il a bien affaire.
Et c'est pour ça qu'on a un tel berger
qui prend soin de toutes ces brebis-là,
avec tous leurs besoins, avec tous leurs défauts,
avec tous leurs manques.
Lui est en contrôle, il est en charge de ce troupeau-là.
C'est merveilleux de penser à ça.
Mais de nouveau, on pourrait avoir tant de passages dans l'Ancien Testament
et dans le Nouveau Testament,
où on voit comment il prend soin des brebis,
comment il les nourrit, comment il les porte sur ses épaules,
comment il les chérit même, Isaïe 40, dans ses bras.
C'est beaucoup d'affection.
Le berger qui a donné sa propre vie,
il a beaucoup d'affection pour ses brebis,
malgré leurs défauts.
Mais c'est déjà aussi un sujet d'étude
qu'on ne peut pas faire ce soir.
Notre Seigneur Jésus.
Je ne sais pas si c'est la seule fois ici dans l'Épître,
mais peut-être la seule fois ou une des fois rares au moins
où Jésus est mentionné comme Seigneur.
Ici, l'auteur le fait avec beaucoup de révérence
et avec beaucoup d'affection.
Notre Seigneur.
Mais lorsqu'il parle du Seigneur, il parle de l'autorité.
Ce Seigneur, excusez-moi, ce Jésus,
cette personne merveilleuse qui est présentée dans cet Épître-là,
il est notre Seigneur.
Et j'aimerais suggérer un rapport avec cela.
Pour profiter de ces bénédictions-là,
il faut reconnaître son autorité.
On ne peut pas avoir la communion les uns avec les autres,
ou avec Dieu le Père, Dieu le Fils,
sans reconnaître l'autorité du Seigneur Jésus.
Il faut accepter son autorité.
Et puis, ce serait aussi une caractéristique,
ceux qui sont hors du coin sont là à cause du fait
qu'ils se soumettent à l'autorité de ce Jésus.
Et puis là, il ajoute que notre Seigneur Jésus vous rende accompli.
Le mot accompli, là, veut dire qu'il nous prépare.
Ça, c'est une des significations.
Il nous prépare pour la gloire, pour lui-même.
Le mot peut être traduit aussi par mettre en ordre.
Il veut mettre en ordre notre vie, tous les détails.
Donc, il est en train de travailler.
C'est ça le point qui sort ici, là.
On voit ici l'œuvre de Dieu.
Notre Seigneur Jésus vous rende accompli.
J'aimerais suggérer qu'on voit deux choses ici.
On voit le Seigneur Jésus qui est en train de nous accomplir.
Ça veut dire aussi de nous rendre plus matures, plus...
Ça parle de la croissance spirituelle.
C'est tout impliqué, là.
C'est une œuvre de Dieu en nous.
Donc, c'est Dieu et l'Esprit de Dieu qui travaillent en même temps
avec le Seigneur Jésus pour que nous soyons en accord avec Dieu.
Pourquoi? Pourquoi est-ce que Dieu est en train de travailler en nous?
Pourquoi nous sommes à l'école de Dieu?
Pourquoi nous avons la discipline de Dieu?
Pourquoi est-ce qu'il prend tant de soin de nous?
Pour que nous soyons capables de faire sa volonté.
Ainsi, les Hébreux étaient sous bien de discipline.
Il y avait la persécution.
Il y en avait qui étaient malades.
Il y en avait qui avaient perdu leur argent.
Beaucoup de problèmes. Pourquoi?
Dieu était en train de les former.
Ils étaient à l'école de Dieu.
Et pourquoi Dieu les a préparés pour faire sa volonté?
Ceux qui sont hors du cain sont là pour faire la volonté de Dieu.
Et puis, il est ajouté là, c'est très beau de voir,
en toute bonne œuvre.
Dans le grec, c'est vraiment en toute bonne chose.
Donc, ça inclut nos paroles, nos actions.
Tout ce que nous sommes, nous faisons, c'est impliqué là-dedans.
Ainsi, il est en train de nous préparer pour faire sa volonté.
Pourquoi?
Ce sujet-là de la volonté de Dieu prend une grande place dans cet Épitre-là.
Dans cet Épitre-là, nous voyons la volonté de Dieu pour notre voyage du désert.
Chapitre 10, verset 36, réfère à ça.
Car vous avez besoin de patience afin qu'ayant fait la volonté de Dieu.
C'est ici un peuple hors du cain.
Ils sont persécutés. Ils ont beaucoup de problèmes.
Mais ils sont là pour faire la volonté de Dieu.
Vous receviez les choses promises.
Donc, le peuple de Dieu est dans le désert.
Ils sont là pour faire la volonté de Dieu.
Deuxièmement.
Deuxièmement, la volonté de Dieu est un rapport avec notre sanctification.
La volonté de Dieu était pour nous sanctifier.
Pourquoi?
Pour que nous soyons des sacrificateurs.
Des fils sacrificateurs dans sa présence.
Donc, de nouveau ces deux niveaux.
Sur la terre, dans le désert, en même temps dans le ciel.
La volonté de Dieu nous a présenté un rapport avec ces deux sujets-là.
Pour notre marche sur la terre.
Pour notre service dans la gloire.
Et ainsi, c'est Dieu lui-même qui travaille en nous.
Parce qu'il a dit, maintenant, faisons en vous ce qui est agréable.
Souvent, on dit, ce que Dieu fait maintenant en nous, ça prend beaucoup plus de temps.
Ça prend beaucoup plus de patience pour Dieu aussi que l'heure qu'il a faite pour nous.
C'était une fois pour toutes.
L'oeuvre que le Seigneur Jésus a accomplie, c'était une fois pour toutes et finie.
Maintenant, pendant 2000 ans presque, Dieu est en train de travailler dans les saints.
Et aussi dans nos vies.
Bien des années, bien du temps.
Et c'est pour un but, comme nous l'avons vu.
Pour travailler en nous ce qui est agréable.
Donc, la volonté de Dieu va ensemble avec ce qui est agréable.
Faisons en vous ce qui est agréable.
Devant lui.
On est devant Dieu.
On est dans la présence de Dieu.
Est-ce qu'on respecte vraiment les exigences de Dieu?
Est-ce qu'on jouit du fait qu'on est devant Dieu, dans la présence de Dieu?
Et ainsi, chaque service devrait être caractérisé par cet aspect-là, que c'est fait dans la présence de Dieu.
Dans Philippiens 2, nous voyons une pensée semblable.
C'est Dieu qui travaille en nous le désir et le faire.
Tout, tout vient de Dieu là.
Et en même temps, il maintient la responsabilité des croyants.
C'est ici la même chose.
Deux côtés, il présente les choses comme si tout dépendait de Dieu.
Et c'est vrai.
Tout dépend de Dieu.
De l'autre côté, il parle aussi de notre responsabilité.
Parce qu'il dit, il vous rende accompli en toute bonne œuvre pour faire sa volonté.
Là, c'est notre responsabilité.
Pour faire sa volonté de Dieu.
La volonté de Dieu.
Et ça va toujours ensemble.
L'œuvre de Dieu, c'est son côté là.
Pour nous, pour faire ce qui est agréable, c'est notre responsabilité.
Et les deux vont ensemble.
Et on pourrait ajouter aussi, si nous faisons ce que nous pouvons faire selon cette instruction là.
Dieu va faire en nous et par nous ce que nous ne pouvons pas faire nous-mêmes.
Comme on peut parler aux incrédules, on peut être utile pour nos frères et sœurs.
Mais il faut qu'en même temps que Dieu travaille.
Mais nous pouvons faire quelque chose.
Mais on réalise qu'en même temps, il faut que Dieu travaille.
Même ce soir, pour avoir du profit de cette étude là, il faut que l'esprit travaille en nous en même temps.
En moi et en vous.
Et ainsi, nous voyons donc, et c'est là un autre point que j'aimerais souligner.
Par Jésus Christ.
Vous voyez, c'est Dieu qui travaille.
C'est nous qui faisons les œuvres.
Mais c'est par Jésus Christ.
C'est merveilleux de voir ça.
Notre adoration, verset 15, c'est par lui.
Offrons donc par lui, sans cesse, à Dieu, un sacrifice de louanges.
Ici, nos bonnes œuvres, c'est par Jésus Christ.
En autres mots, nous ne pouvons rien faire sans lui.
Comme il a dit, séparément, vous ne pouvez rien faire.
Et ainsi, on pourrait le résumer comme ça.
Il fait tout et il est tout.
Dans le chapitre 2, je donne juste quelques exemples.
Chapitre 2 de l'Hébreu, il entend le cantique.
Il est le cantique.
Dans le chapitre 11, on voit Moïse qui a fêté l'agneau de Pâques.
C'est lui, c'est juste pour donner un exemple là.
Il est seulement mentionné là comme Moïse fait la Pâques.
Verset 28, et l'aspersion du sang.
Afin que le destructeur des premiers nés ne les touche pas.
Donc, on voit ici, Moïse.
Et ainsi, Moïse est un exemple du Seigneur Jésus.
Moïse a fait tout.
Il est vrai, le peuple a fait ça.
Le peuple a tué l'agneau et tout ça.
Ils ont appliqué le sang.
Mais c'est dit Moïse là.
Et ainsi, nous voyons dans cet épitre là, que Christ fait tout.
Même nos bonnes œuvres, c'est lui qui les fait.
Mais nous ne sommes pas des robots.
C'est quand même nous qui les faisons.
Mais c'est par lui. C'est un mystère.
Si on réfléchit là-dessus, c'est vraiment un mystère.
Mais que nous puissions ainsi faire la volonté de Dieu.
Vous pouvez étudier les autres passages que j'ai mentionnés ici.
Et puis c'est beau de voir le contexte de la volonté de Dieu.
En rapport avec chaque épitre.
Comme je l'ai dit, c'est toujours un contexte différent.
La volonté dans Romain 12, c'est pour faire ressortir l'unité du corps.
Pratiquement.
La volonté dans Ephésiens 6, c'est en rapport avec notre appel céleste.
Colossien, en rapport avec le mystère.
Un Thessalonicien, notre sanctification pratique.
Que nous puissions garder nos corps pour lui.
Pour faire la volonté de Dieu.
Ainsi, vous pouvez prendre tous ces passages là.
Et la volonté de Dieu est vraiment, disons, manifestée dans nos vies.
Dans nos actions.
C'est ça que Dieu veut.
Que nous soyons si proches de Dieu.
Que ce que nous faisons vient de Dieu.
Et ainsi, le résultat, tout est pour sa gloire.
Si nous pouvons faire quelque chose pour le Seigneur.
Rendre témoignage ou n'importe quel service.
C'est à lui la gloire.
Nous avons vu, il travaille en nous.
C'est par lui que nous pouvons faire ces oeuvres là.
Et c'est aussi pour sa gloire.
A lui la gloire, au siècle des siècles.
J'ai dit, le Seigneur Jésus va prendre toute la place.
Pour toute l'éternité.
Et ainsi, Dieu, 1 Chrétien 15.
Et d'autres passages nous parlent que Dieu sera en tous.
Non, il sera tout et en tous.
Mais Colossienne 3 dit aussi, Christ est tout et en tous.
A lui la gloire.
C'est une des doxologies qu'on appelle du Nouveau Testament.
Ce serait un autre sujet à étudier vraiment.
Voir toutes ces doxologies qui donnent la gloire à Dieu et au Seigneur Jésus.
Et ça va ensemble avec l'adoration.
Parce qu'une doxologie, c'est vraiment une expression d'adoration.
Donc voilà, la grandeur de notre grand pasteur.
Le travail qu'il fait pour nous.
Comment il nous conduit.
Comment il travaille en nous.
Mais le résultat est pour sa gloire.
Si vous avez encore des choses à ajouter.
Oui, mais ce que je voulais souligner.
C'est comme un mystère dans ce sens là.
Que d'un côté la parole de Dieu maintient notre responsabilité.
C'est comme deux traques.
Tu vois le train venir sur deux traques.
Je compare un de ces traques avec notre responsabilité.
L'autre avec le côté de Dieu.
Maintenant, nous savons que les deux vont ensemble.
Si Dieu dit, il faut croire, il faut accepter le Seigneur Jésus.
Et ainsi vous serez né de nouveau.
Ainsi vous serez né de Dieu.
Être né de Dieu, c'est le côté de Dieu.
C'est l'œuvre de Dieu.
Mais croire et accepter, c'est notre côté.
Et quand même les deux vont ensemble.
Et comme je dis, on n'est pas comme des robots, non plus.
Donc si tu penses vraiment là-dessus, c'est comme un mystère.
C'est ça que j'ai voulu dire.
Pour voir les deux ensemble, c'est comme un mystère.
Seulement Dieu peut voir les deux ensemble.
Il maintient ces deux côtés là.
Nous devons les respecter.
Parce qu'il y a des croyants qui disent,
si moi je ne sais pas si je suis élu, je ne veux pas croire.
Parce que peut-être je croirais pour rien.
Mais c'est l'intellect humain.
Ce n'est pas vraiment se soumettre à la pensée de Dieu.
Mais c'est aussi parce qu'il ne respecte pas ce mystère-là.
C'est comme ça que je voulais l'expliquer.
Est-ce qu'il y avait encore d'autres points, des questions, des choses à discuter ?
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