Les Thessaloniciens
ID
eab060
Langue
FR
Durée totale
01:55:20
Nombre
1
Références bibliques
1. Thess
Description
inconnu
Transcription automatique:
…
Il est loin et sableux
De ses encours l'éternité
Il porte son bruit prospère
Savit le roi de jour en jour
Heureux celui qui sur la terre
Un grand abraço, c'est l'amour
Un grand abraço, c'est l'amour
Émigré, c'est pur et sain
Plus d'ose pour moi
Vers le roi et la soeur terre
Chaque fois que je pense à toi
Oui, ton amour, toujours le même
Soliciteur, m'enferme le coeur
Adjoui de l'Etat suprême
De ses douleurs et honneurs
Aussi, mes yeux ouvrent sans cesse
Suive cette âme, ce beau lieu
Si je pouvais de ta tendresse
Voir tous les reflets radieux
Mon âme calante, pleine de tes ailes
J'aurais aimé plus d'amour
Et connaissant mieux son nom
J'aurais oublié de prendre tout son avoisement
Merci d'être voisin de l'âge
Viens me léronger la beauté
Ami, tu penses à l'éloge
Comme à la prière d'Abraham
De toi que rien ne me sépare
O mon sauveur, enseigne-moi
Si de nouveau mon dieu s'égare
A revenir bientôt à toi
De ta belleur, ta bienveillance
Fais-moi savourer tout le bril
O donna l'homme en espérance
Et le temps pour tenter la vie
Chers amis, c'est une très grande joie pour nous
d'être de nouveau chez vous à Point Bonne
que le Seigneur Jésus nous a accordé cette grâce
de vous revoir cet après-midi et ce soir.
Et tout d'abord, j'aimerais transmettre les salutations
de la part de mes pères,
de Papa Walter Runkel et sa femme Christel
et aussi de mon papa, Ernst-Werner Brimica
que vous connaissez peut-être encore.
Dans leur cœur, ils sont chez nous ici cet après-midi
au Cameroun parce qu'ils savent que nous sommes
chez vous à Point Bonne cet après-midi.
Je proposerai cet après-midi de faire deux réunions
avec une pause et nous aimerions étudier
quelques passages dans la première épitre aux Thessaloniciens
et pour la première réunion, nous aimerions lire
le chapitre premier de la première épitre aux Thessaloniciens.
Première Thessaloniciens, chapitre 1, verset 1.
Paul et Sylvain et Timothée à l'Assemblée des Thessaloniciens
en Dieu le Père et dans le Seigneur Jésus Christ.
Grâce et paix à vous.
Nous rendons toujours grâce à Dieu pour vous tous,
faisant mention de vous dans nos prières,
nous souvenons sans cesse de votre œuvre de foi,
de votre travail d'amour et de votre patience d'espérance
de notre Seigneur Jésus Christ devant notre Dieu et Père.
Sachant, frères, aimer de Dieu votre élection,
car notre évangile n'est pas venu à vous en parole seulement,
mais aussi en puissance et dans l'Esprit Saint
et dans une grande plénitude d'assurance,
ainsi que vous savez quels nous avons été parmi vous pour l'amour de vous.
Et vous êtes devenus nos imitateurs et ceux du Seigneur,
ayant reçu la parole accompagnée de grandes tribulations
avec la joie de l'Esprit Saint,
de sorte que vous êtes devenus des modèles pour tous ceux qui croient
dans la Mazedouane et dans l'Achaïe.
Car la parole du Seigneur a retentit de chez vous,
non seulement dans la Mazedouane et dans l'Achaïe,
mais en tout lieu, votre foi envers Dieu s'est répandue,
de sorte que nous n'avons pas besoin d'en rien dire.
Car eux-mêmes racontent de nous quelle entrée nous avons eue auprès de vous
et comment vous vous êtes tournés des idoles vers Dieu,
pour servir le Dieu vivant et vrai,
et pour attendre des cieux son Fils,
qui l'a ressuscité d'entre les morts,
Jésus qui nous délivre de la colère qui vient.
Jusqu'ici, la sainte parole de Dieu.
Chers amis, cette première Épitre aux Thessaloniciens
est une Épitre particulièrement touchante.
C'est une des premières Épitres que l'apôtre Paul a écrites.
Et cette Épitre a été écrite à des croyants qui étaient jeunes dans la foi.
Dans les Actes des Apôtres, au chapitre 17,
nous lisons que Paul avait été dans la ville des Thessaloniciens.
Il les a visités, il a parlé avec eux seulement pendant trois semaines.
Des jeunes convertis, avec peu de connaissances,
mais avec un zèle ardent pour le Seigneur Jésus.
Et le chapitre premier que nous venons de lire
nous rend témoignage de ce que l'Esprit-Saint avait opéré dans ces jeunes croyants.
Nous avons lu de leur œuvre de foi, du travail d'amour, de la patience, d'espérance.
Nous avons lu qu'ils ont été des imitateurs et même des modèles aux autres.
Nous avons lu qu'ils se sont convertis, qu'ils se sont tournés des idoles vers Dieu.
Pourquoi? Pour servir le Dieu vivant et vrai et pour attendre des cieux son Fils.
Tout cela rend témoignage à ces jeunes croyants
qui étaient tellement liés et attachés à leur Seigneur.
Et cela, chers amis, parle à nous.
Cela parle à nos cœurs.
Cela parle à nos consciences.
Peut-être il y a des jeunes croyants ici cet après-midi.
Voilà un exemple, un modèle pour des jeunes croyants.
Mais peut-être la plupart de nous cet après-midi
est déjà depuis des années avec le Seigneur.
On marche avec Lui, on aimerait Le suivre.
Et nous, il nous faut poser la question, quel est notre état?
Est-il comparable à ce bon état de ces jeunes croyants, les Thessaloniciens?
Peut-être nous pouvons, pour un instant, ouvrir la Bible en acte 17.
Juste pour voir ce qui se passait lorsque l'apôtre Paul était chez les Thessaloniciens.
En acte 17, nous voyons que l'apôtre Paul était à Thessalonique.
Et le verset 1 nous dit où était le synagogue des Juifs.
Et selon sa coutume, verset 2, Paul entra vers eux et pendant trois sabbats,
voilà, au maximum trois semaines, il discutait avec eux d'après les Écritures,
expliquant et exposant qu'il fallait que le Christ souffre et qu'il ressuscite d'entre les morts.
Et disant que celui-ci, Jésus que moi, je vous annonce, est le Christ.
Voilà une première chose que l'apôtre Paul avait prêchée à Thessalonique.
Il avait dit que le Christ a souffri, mais qu'il est ressuscité.
Et dans l'Épitre aux Thessaloniciens, nous voyons clairement que nous, comme croyants,
nous sommes associés à un Christ qui a souffert, mais qui est ressuscité.
L'apôtre Paul ne dit pas que le Christ mourut, mais il dit qu'il a souffert.
Bien sûr, le Seigneur Jésus est celui qui est mort à la croix de Golgotha,
mais ici l'apôtre dit qu'il a souffert et qu'il est ressuscité.
Cela veut dire quoi pour nous? Cela veut dire que nous, aujourd'hui, nous suivons un Seigneur rejeté.
Il a souffri, les souffrances parlent de son rejet.
Il est rejeté, mais quand même, il est le vainqueur.
N'est-ce pas? Il est ressuscité, cela veut dire qu'il est le vainqueur
et il a rempu la victoire à la croix de Calvaire.
Ça, c'est la première caractéristique que nous retrouvons dans l'Épitre aux Thessaloniciens.
Nous avons lu au chapitre 1, verset 6, qu'il a accepté l'Évangile avec les grandes tribulations,
mais avec la joie de l'Esprit Saint.
Nous sommes associés à un Christ rejeté qui est maintenant le vainqueur à la droite de Dieu.
Il est ressuscité.
Deuxième caractère, il se trouve au verset 7.
Les ennemis disent que Jason les a reçus chez lui
et ils contreviennent tous aux ordonnances de César disant qu'il y a un autre roi, Jésus.
Cela veut dire que l'apôtre Paul n'avait pas seulement parlé d'un Christ rejeté
qui est maintenant à la droite de Dieu,
mais il a aussi parlé de Christ comme roi qui un jour viendra pour établir son royaume sur la terre.
Et voilà un deuxième caractère qui se retrouve dans cet Épitre.
Cet Épitre nous parle du retour du Seigneur Jésus.
Dans le premier Épitre hautessalonicien,
le retour du Seigneur pour nous chercher afin que nous soyons chez lui.
Et dans le deuxième Épitre hautessalonicien,
il nous parle de l'apparition du Seigneur Jésus
qui un jour viendra établir et fonder le royaume sur la terre.
Alors, ce sont deux caractéristiques de Christ.
Le roi rejeté et ressuscité et celui qui reviendra se retrouvent dans notre Épitre.
Un Épitre adressé aux jeunes croyants.
Paul et Sylvain et Timothée à l'Assemblée des Thessaloniciens.
Ils s'adressent donc à cette Assemblée.
Ils ne parlent pas de l'Assemblée selon les conseils de Dieu dans cet Épitre,
mais ils parlent de l'Assemblée des Thessaloniciens.
C'est comme une famille, une famille de Dieu avec une double relation.
Cette Assemblée des Thessaloniciens était en Dieu le Père et dans le Seigneur Jésus-Christ.
Quel encouragement, n'est-ce pas, chers amis,
de savoir que l'Assemblée, aussi l'Assemblée à Cohenbonne,
est en Dieu le Père et dans le Seigneur Jésus-Christ.
Nous avons cette double relation.
Nous sommes en relation avec Dieu le Père,
Dieu le Grand Dieu, le Souverain Dieu,
Lui qui est omniscient, omniprésent, plein de sagesse,
ce Dieu, ce Dieu créateur, Il est notre Père en Jésus.
Quelle joie pour nos cœurs de connaître ce Dieu comme Père
qui nous aime, qui prend soin de nous,
qui nous encourage, qui nous enseigne, qui nous exhorte,
si c'est nécessaire, Dieu est notre Père.
C'est la grande révélation que le Seigneur Jésus nous a faite.
Je viens vers mon Dieu et votre Dieu, mon Père et votre Père.
Il est Dieu, notre Père en Jésus.
Et deuxième relation dans le Seigneur Jésus-Christ.
Nous sommes aussi liés au Fils de Dieu
qui ici est appelé Seigneur Jésus-Christ.
Je commence au milieu de son nom Jésus.
Jésus, cela veut dire le Sauveur.
Le nom Jésus signifie Dieu le Sauveur.
N'est-ce pas? Dieu est Sauveur.
Et le Seigneur Jésus est venu sur la terre.
Il avait pris ce nom Jésus qu'on lui a donné.
Et ce Jésus, il est mort à la croix.
On pouvait le lire sur la croix Jésus.
Mon Sauveur, notre Sauveur qui nous a aimés
et qui s'est livré lui-même pour nous.
Jésus, notre Sauveur.
Mais il est aussi Jésus-Christ.
Il est celui qui a accompli tout le conseil de Dieu.
Il est l'homme des délices de Dieu.
Et maintenant Dieu, la haut élevé,
il lui a donné un nom au-dessus de tout nom.
Il est le Christ glorifié à la droite de Dieu.
Ce Jésus qui dans son humilité était sur la terre
est maintenant comme Christ haut élevé.
Mais troisièmement, l'apôtre Paul dit,
il est le Seigneur.
N'oublions jamais que ce Jésus,
ce Jésus-Christ est aussi Seigneur.
Et comme tel, nous le suivons et nous le servons.
Il est Seigneur.
Il est celui qui peut donner des ordonnances.
Et il faut écouter, il faut être obéissant
au Seigneur des Seigneurs.
Il faut suivre ce Seigneur.
C'est exactement ce que les Thessaloniciens avaient fait.
Ils avaient cette double relation,
Dieu le Père et le Seigneur Jésus-Christ.
Et nous, chers amis, nous aussi,
nous avons cette double relation.
Nous connaissons Dieu le Père et nous connaissons le Seigneur Jésus.
Nous rendons toujours grâce à Dieu pour vous tous.
Faisons mention de vous dans nos prières.
L'apôtre Paul a toujours prié pour les saints.
Et ici, il dit, nous rendons toujours grâce à Dieu pour vous tous.
Avec quelle joie l'apôtre Paul pouvait faire la prière pour les Thessaloniciens.
Il a vu l'accroissement des Thessaloniciens dans la foi.
Il a vu les progrès que ces jeunes croyants avaient fait.
Et pour cette raison, ils pouvaient rendre grâce.
Ils pouvaient faire la prière pour les Thessaloniciens avec une grande joie.
Nous rendons toujours grâce à Dieu pour vous tous.
Faisons mention de vous dans nos prières.
Chers amis, nous avons besoin, nous tous, nous avons besoin que nos frères et sœurs prient pour nous.
Et que nous prions pour eux.
Et je peux vous dire que souvent dans nos prières personnelles,
mais aussi nos prières en assemblée, en Allemagne, chez nous,
à Vollmarstein, où nous sommes à la maison, nous prions pour vous.
Et c'est bien nécessaire.
Et il est nécessaire que vous priez pour nous.
Nous en avons tous besoin qu'on prie pour nous.
L'apôtre avait prié et il dit, nous souvenons sans cesse, voilà sans cesse,
nous voyons la persévérance de l'apôtre Paul dans la prière.
C'est ce qu'il écrit, je crois, aux Colossiens ou aux Romains, persévérer dans la prière.
L'apôtre Paul n'a seulement écrit cela, mais il l'a fait, il l'a pratiqué.
Voilà, sans cesse dans nos prières, nous souvenons de votre œuvre de foi,
de votre travail d'amour et de votre patience d'espérance.
Voilà trois caractères essentiels que l'apôtre Paul peut mentionner.
Il y avait de la foi chez les Thessaloniciens, mais non pas seulement de la foi,
mais l'apôtre parle de l'œuvre de foi.
Il y avait de l'amour chez eux, mais non seulement de l'amour,
mais l'apôtre Paul parle du travail d'amour.
Et il n'avait pas seulement la patience chez eux, il dit votre patience,
mais c'était une patience d'espérance.
C'est beau de voir cela.
La foi, il est nécessaire, il est indispensable.
Nous avons été sauvés par la foi, nous marchons par la foi maintenant.
Cela veut dire, nous marchons en réalisant les réalités qu'on ne peut pas voir.
La foi est nécessaire si on a un objet qu'on ne peut pas voir.
Ce qu'on voit, si on voit quelque chose, il ne faut pas de la foi, n'est-ce pas?
Ce n'est pas nécessaire parce qu'on voit la chose.
Mais les choses célestes, aussi les bénédictions spirituelles,
ne sont pas visibles pour nos yeux, mais nous les réalisons par la foi.
Nous les réalisons par les yeux de nos cœurs,
dont l'apôtre Paul parle au premier chapitre de l'Épître aux Éphésiens, la foi.
Mais comment, chers amis, est-ce que notre foi peut être vue par les autres?
Une foi sincère, pas une foi qu'on joue, mais une foi sincère peut être vue.
Comment? Voilà, les œuvres de foi.
Les œuvres des Thessaloniciens ont donné la preuve
qu'il y avait une foi sincère chez les Thessaloniciens.
Oui, 2 Timothée 1 nous parle de la foi de Timothée.
Et l'apôtre dit, au verset 5,
« Je me rappelle de la foi sincère qui est en toi,
et qui a d'abord habité dans ta grand-mère et dans ta mère.
Voilà une grande mère avec une foi sincère.
Voilà une mère avec une foi sincère.
Et voilà un fils, un jeune homme, Timothée, avec une foi sincère.
Une foi sincère, c'est une foi sans hypocrisie.
C'est une foi qui n'est pas prétendue, mais une foi réelle.
Voilà, c'était la qualité de la foi des Thessaloniciens.
Et on pouvait voir cette foi dans les œuvres.
L'œuvre de foi, les activités, le comportement,
les actions des Thessaloniciens
ont donné la preuve que c'était vraiment une foi sincère.
Chers amis, il est comparablement facile de parler de la foi.
Est-ce que nous avons de la foi,
et nous tous nous disons, oui, nous avons cru au Seigneur, nous vivons par la foi.
Mais, est-ce que c'est vraiment une foi sincère,
ou est-ce que c'est une foi qu'on joue?
Est-ce que nous sommes authentiques, ou non?
Est-ce que la foi est sincère?
Quelles sont nos œuvres?
Est-ce que ce sont des œuvres de foi?
Deuxièmement, nous nous souvenons de votre travail d'amour.
Il y avait de l'amour chez les Thessaloniciens.
Et bien sûr, un enfant de Dieu est caractérisé par l'amour.
C'est un des caractères d'un enfant de Dieu que nous aimons l'un à l'autre.
Dieu nous a aimés le premier,
son amour a été versé dans nos cœurs,
et maintenant cet amour coule en retour vers Dieu,
coule vers nos amis, vers nos frères et sœurs,
et aussi vers les hommes qui sont encore perdus.
Il y avait de l'amour.
Mais l'apôtre ne parle pas seulement de l'amour,
il parle de travail d'amour.
Cet amour était aussi un amour qu'on pouvait prouver,
on voyait cet amour par le travail des Thessaloniciens.
Et troisièmement, il y avait une espérance.
Nous avons vu que les Thessaloniciens attendaient le Seigneur Jésus
pour revenir comme roi pour établir le royaume sur la terre.
Ils attendaient le Seigneur,
mais ce n'était pas seulement une espérance,
mais c'était aussi une patience d'espérance.
Quels belles exemples sont ces jeunes croyants.
Maintenant, j'aimerais lire un verset dans l'Apocalypse, chapitre 2,
un verset qui est adressé à des saints
qui étaient déjà depuis longtemps en communion avec le Seigneur Jésus.
Aux saints qui étaient bénis avec toute bénédiction,
qui connaissaient le conseil de Dieu.
L'Apocalypse, chapitre 2, c'est la lettre aux Éphésiens et au verset 2.
Que dit l'apôtre Jean, ou plutôt, que dit le Seigneur Jésus?
Il dit, je connais tes œuvres, je connais ton travail, je connais ta patience.
Voilà les mêmes expressions que nous trouvons dans l'Épître aux Thessaloniciens.
Les œuvres, mais où était la foi?
Le travail, mais où était l'amour?
La patience, mais où était l'espérance?
Voilà la différence.
Là, les jeunes croyants, les Thessaloniciens, œuvres de foi, travail d'amour, patience, d'espérance.
Ici, les croyants avec beaucoup d'expérience, merci, avec beaucoup d'expérience,
mais le Seigneur Jésus ne parle plus des motifs.
L'extérieur était en ordre.
Il y avait des œuvres, il y avait le travail, il y avait la patience.
Tout était comme toujours, n'est-ce pas?
Mais où était le moteur?
Où était la foi?
Où était l'amour?
Où était l'espérance?
La différence entre ces deux passages est vraiment remarquable,
et elle parle à nos cœurs et à nos consciences.
Et Paul ajoute au verset 4,
Sachant, frère aimé de Dieu, votre élection.
Chers amis, comment l'apôtre Paul pouvait-il écrire une telle phrase?
Sachant, frère bien aimé de Dieu, votre élection.
L'élection, c'est quelque chose que seulement Dieu peut connaître et savoir.
C'est le conseil de Dieu.
Est-ce que l'apôtre Paul avait-il lu le livre du conseil de Dieu?
Non, il ne l'avait pas.
Mais pourtant, il écrit sous la direction et l'inspiration de l'Esprit Saint,
sachant votre élection.
Comment ça se passe?
Parce qu'il pouvait voir la réalité de la foi des Thessaloniciens.
Et pour cette raison, il était persuadé, il était 100% sûr que ses croyants étaient élus.
Parce qu'il pouvait le voir.
Il ne parle pas ici de l'élection.
Il n'explique pas l'élection de Dieu.
Nous trouvons cela dans d'autres passages, Romains 8 par exemple, Ephésiens 1, Ephésiens 3.
Mais ici, il parle de la réalité de la vie des jeunes croyants
qui donnaient la preuve qu'ils étaient des élus de Dieu, les objets de l'élection de Dieu.
Sachant, fait, frère bien-aimé, frère aimé de Dieu, votre élection.
Car il dit, notre évangile n'est pas venu à vous en parole seulement,
mais aussi en puissance et dans l'esprit saint et dans une grande plénitude d'assurance,
ainsi que vous savez quels nous avons été parmi vous pour l'amour de vous.
Nous aimerions revenir sur ce verset dans la deuxième réunion.
J'aimerais continuer maintenant au verset 6.
Et vous êtes devenus nos imitateurs et ceux du Seigneur,
ayant reçu la parole accompagnée de grandes tribulations avec la joie de l'esprit saint,
de sorte que vous êtes devenus des modèles pour tous ceux qui croient dans la Mazedouane et dans l'Achaïque,
car la parole du Seigneur a retentit de chez vous.
Voilà trois autres caractères de ces jeunes croyants.
Nous avons vu les trois premiers caractères, l'œuvre de foi, travail d'amour et patience d'espérance.
Mais maintenant nous avons trois autres caractères.
Vous êtes devenus nos imitateurs, premier caractère.
Vous êtes devenus des modèles, deuxième caractère.
Et la parole du Seigneur a retentit de chez vous.
Cela veut dire qu'ils étaient des témoins, des imitateurs, des modèles et des témoins.
Voilà trois caractères qui, de nouveau, parlent aussi à nous.
Ces jeunes croyants n'avaient jamais vu le Seigneur Jésus.
Ils avaient vu l'apôtre Paul et ils avaient suivi l'apôtre Paul.
Ils avaient accepté la parole de Paul étant la parole de Dieu et ils avaient suivi Paul.
Et en suivant Paul, ils ont suivi le Seigneur Jésus.
À présent, l'apôtre Paul dit, vous êtes devenus nos imitateurs et ceux du Seigneur.
Ceux qui suivaient l'apôtre Paul suivaient le Seigneur Jésus.
Pourquoi? Parce que l'apôtre Paul suivait le Seigneur Jésus, n'est-ce pas?
Alors, imitateurs du Seigneur.
Ces jeunes étaient des imitateurs du Seigneur Jésus.
Et nous? Est-ce que nous sommes des imitateurs de Jésus?
Nous avons peut-être beaucoup de connaissances.
Nous avons beaucoup d'expériences.
Mais est-ce que nous sommes vraiment des imitateurs dans le sens positif du mot du Seigneur Jésus?
Le Seigneur Jésus nous a laissé un modèle.
Il nous a laissé un exemple.
Nous pouvons contempler le chemin du Fils de l'homme à travers ce monde.
Il était ici-bas, il a vécu, il était homme comme nous, tenté en toutes choses à part du péché.
Il a agi, il a parlé, il avait des sentiments.
Et nous sommes exhortés de suivre ce modèle parfait.
J'aimerais maintenant lire deux versets qui nous parlent du modèle que le Seigneur Jésus nous a laissé.
C'est d'abord Philippiens 2, verset 5.
Qu'il y ait donc en vous cette pensée qui a été aussi dans le Christ Jésus,
qui, verset 7, s'est anéanti lui-même, prenant la forme d'esclave, verset 8, qui s'est abaissé lui-même.
Voilà.
Que cette pensée soit en vous, cette pensée qui a été en Jésus pendant sa vie ici-bas.
Et cette pensée, cela veut dire la manière de penser ou l'attitude intérieure du Seigneur Jésus.
Cela nous a occupé, pendant la conférence à Consamma, nous avons vu la gloire du Seigneur Jésus
dans son abaissement, dans son obéissance et dans l'humilité.
Ce sont les trois choses dans lesquelles on peut voir la pensée ou l'attitude du Seigneur Jésus.
L'humilité, il n'a pas pensé à lui-même, mais il a pensé aux autres, c'est l'humilité.
L'abaissement du Seigneur Jésus, il est venu sur la terre, non pas pour être servi,
mais pour servir et donner sa vie en rançon pour plusieurs, ce que nous dit l'Évangile selon Marc.
Et troisièmement, il était l'homme obéissant, cela veut dire dépendant de Dieu.
Et dans ces trois caractères, on peut voir la pensée, l'attitude du Seigneur Jésus.
Nous le contemplons, nous l'admirons, mais, chers amis, c'est un modèle pour nous.
Nous sommes des imitateurs, nous devrons être des imitateurs, nous devrons suivre le Seigneur Jésus.
Que cette pensée, cette pensée de l'humilité, je répète, d'abaissement et d'obéissance soit en vous.
C'était le cas chez les thélassaloniciens, et il faut que moi je me pose la question, et toi tu te poses la question.
Est-ce que cette pensée, cette attitude est en moi?
Deuxième passage, 1 Pierre chapitre 2, verset 21.
1 Pierre 2, verset 21.
Car c'est à cela que vous avez été appelés.
Car aussi Christ a souffert pour vous.
Pourquoi? On dirait pour nous sauver.
C'est vrai, certainement c'est vrai, c'est ce que 1 Pierre 3 nous dit.
Il a souffert pour nous, pour nous paver le chemin vers Dieu.
Mais ici, l'apôtre dit quelque chose d'autre.
Christ a souffert pour nous, vous laissant un modèle, afin que vous suiviez ses traces.
Lui qui n'a pas commis de péché, et dans la bouche duquel il n'a pas été trouvé de fraude,
qui, lorsqu'on l'outrageait, ne rendait pas d'outrage, quand il souffrait, ne menaçait pas,
mais il se remettait à celui qui juge justement.
Voilà les traces du Seigneur.
La pensée c'est quelque chose au cœur.
Mais les traces ont affaire à nos pieds, n'est-ce pas?
Cela nous parle de la marche du Seigneur Jésus.
Nous voyons les traces, en lisant les évangiles, nous voyons les traces du Seigneur Jésus.
Et nous avons lu les quatre traces qui sont mentionnées, modèle pour nous.
Il n'a pas commis de péché, première trace.
Dans la bouche duquel il n'a pas trouvé de fraude, deuxième trace.
Lorsqu'on l'outrageait, ne rendait pas d'outrage, quand il souffrait, ne menaçait pas, troisième trace.
Et quatrième trace, il se remettait à celui qui juge justement.
Il n'a pas essayé de juger les choses lui-même, il a laissé la chose,
il a laissé tout ce qu'on a fait avec lui à Dieu.
Voilà les traces du Seigneur Jésus.
Et la question, je la répète, est-ce que nous, est-ce que moi, est-ce que toi,
est-ce que nous sommes des imitateurs du Seigneur?
Est-ce que la pensée du Seigneur se trouve en nous?
Est-ce que nous suivons vraiment les traces du Seigneur?
Vous êtes devenus nos imitateurs et ceux de Jésus.
Verse 7, de sorte que vous êtes devenus des modèles pour tous ceux qui croient,
dans la Mazedouane et dans l'Achaïe.
La Mazedouane, c'est le nord de Grèce, et l'Achaïe, c'était le sud de Grèce.
C'est presque toute la Grèce que nous connaissons aujourd'hui.
Imaginez ces jeunes croyants, jeunes convertis, et l'apôtre Paul dit,
vous êtes des modèles pour tous les autres.
Non pas seulement dans votre ville, non pas seulement dans votre région,
mais dans le pays entier, vous êtes des modèles.
Quel témoignage!
Autres pourraient voir les Thessaloniciens, et ils pouvaient constater,
ce sont ceux qui suivent Christ, qui sont des imitateurs de Christ.
Un beau témoignage que l'apôtre Paul peut rendre à ces jeunes croyants.
Et de nouveau, la question se pose à chacun de nous,
est-ce que je suis un modèle?
Est-ce que nous sommes un modèle?
Est-ce que nous, comme assemblée, sommes un modèle pour les autres, ou non?
Est-ce que je suis un modèle pour mes enfants, pour mes petits-enfants?
Nous, nous posons la question, étant père et mère, grand-père, grand-mère,
est-ce que nous sommes des modèles?
Nous, qui avons avancé un peu dans l'âge,
est-ce que nous sommes des modèles pour nos jeunes dans les réunions?
Est-ce que nous sommes des modèles?
Est-ce que nous sommes des modèles pour les incrédules autour de nous?
Mais est-ce que nous sommes aussi des modèles pour nos frères et sœurs?
Nous, qui avons peut-être beaucoup d'expérience,
pour ceux qui n'ont pas tellement d'expérience.
Mais voilà, ici, ce sont des jeunes croyants, mais ils sont des modèles aux autres.
Ça parle certainement à chacun de nous, à moi, à toi, à nous tous.
Et troisièmement, car la parole du Seigneur a retenti de chez vous,
non seulement dans la Mazedouane et dans l'Achaïque,
mais en tous lieux, votre foi envers Dieu s'est répandue,
même au-delà des frontières de la Grèce.
On parlait de la foi des Thessaloniciens.
Ils étaient des témoins.
Et ils étaient des témoins, pas par leurs paroles.
Ils ne pouvaient pas parler avec tout le monde dans le pays.
C'était impossible.
Mais on a vu le comportement de ces croyants.
Et voilà, ils étaient des témoins de Dieu, sans parole.
Lisons de nouveau un verset dans l'Épître aux Philippiens, chapitre 2.
Et nous lisons verset 15.
« Afin que vous soyez sans reproches et purs,
des enfants de Dieu irréprochables dans le comportement pratique,
au milieu d'une génération tortue et perverse. »
C'est la génération parmi laquelle nous vivons aujourd'hui,
sans doute, une génération tortue et perverse,
entièrement contre la volonté de Dieu.
Mais alors l'apôtre dit,
« Parmi laquelle vous reluisez comme des luminaires dans le monde,
présentant la parole de vie. »
Présentant la parole de vie.
Normalement, une parole n'est pas présentée,
mais une parole est parlée, n'est-ce pas?
On peut entendre une parole.
Mais ici, l'apôtre utilise une autre expression.
Il dit, vous présentez la parole de la vie.
Cela veut dire quoi?
Qu'est-ce que c'est la parole de la vie,
ou la parole de vie, comme il est dit ici?
Qu'est-ce que c'est cette parole?
C'est le Seigneur Jésus.
Il est la parole de Dieu, la parole de la vie.
Et représenter la parole de la vie,
cela veut dire que notre comportement
parle des perfections des caractères de Christ.
Et à ce titre, nous sommes des témoins de Dieu,
des témoins de notre Seigneur Jésus.
Le témoignage de nos actions et de notre attitude
parlent plus fort que le témoignage de nos paroles, chers amis.
C'est pourquoi le comportement est tellement important
que notre comportement, notre attitude intérieure
soit formée, soit modélée par l'Esprit Saint
selon les caractères du Seigneur Jésus,
le vrai homme qui a glorifié Dieu sur la terre.
En tous lieux, votre foi envers Dieu s'est répandue
de sorte que nous n'avons pas besoin d'en rien dire.
Quel témoignage extraordinaire!
Et je répète de nouveau, ce sont des nouveaux convertis
avec très très peu de connaissances,
mais avec un amour ardent pour le Seigneur Jésus
qui les avait rachetés par son son.
Car eux-mêmes racontent de nous
quelle entrée nous avons eue auprès de vous
et comment vous vous êtes tournés des idoles vers Dieu
pour servir le Dieu vivant et vrai
et pour attendre des cieux son Fils
qu'il a ressuscité d'entre les morts,
Jésus qui nous délivre de la colère qui vient.
Soyez les bienvenus!
Nous lisons la première Épître aux Thessaloniciens, chapitre 1
et nous sommes en train d'étudier un peu les versets 9 et 10 maintenant.
Ils racontent de nous quelle entrée nous avons eue auprès de vous.
Vous vous êtes tournés des idoles vers Dieu.
Voilà, chers amis, c'est une conversion.
Une conversion. Il faut se convertir.
Se convertir, c'est ce qu'on dit aux hommes.
Et c'est vrai. Il faut une conversion.
Mais ce texte nous explique ce que c'est une conversion.
Vous vous êtes tournés des idoles vers Dieu.
Une conversion, cela veut dire on change la direction qu'on a pris.
On est marché en cette direction, on se convertit.
Maintenant, on voit comme ça. Cela veut dire conversion.
Et vous vous êtes tournés des idoles, d'abord des idoles,
maintenant vers le Dieu vivant et vrai.
Quel contraste! Quel changement de vie!
Complètement, n'est-ce pas?
D'abord des idoles, ils étaient des idolâtres, ces Thessaloniciens.
Maintenant, ils se sont tournés vers Dieu pour servir ce Dieu.
La conversion est un changement complet de la vie.
Et il faut que ça soit visible.
C'est une marche arrière, n'est-ce pas?
On a changé la direction 180 degrés.
La répentance, qui n'est pas mentionnée ici, mais qu'on trouve d'ailleurs dans le Nouveau Testament,
la répentance parle d'un changement intérieur, d'un changement des pensées.
On pense tout à fait différent quand on fait la répentance.
On pense différemment de Dieu.
D'abord, inconverti en Dieu, on dit, je ne veux pas ce Dieu.
Quand on se répand, on dit, j'ai un désir vers ce Dieu.
L'incrédule pense que lui-même est un bonhomme, n'est-ce pas?
Mais celui qui répand dit, oh, je suis un pécheur.
Rien de bon dans ma chair, je suis entièrement pécheur.
Alors, on change l'opinion sur soi-même, on change l'opinion de Dieu.
Ça, c'est la répentance.
Et il y a une troisième expression que j'aimerais justement mentionner, c'est la confession.
La confession, cela veut dire, je viens à Dieu et je dis ce que j'ai fait.
Le péché que j'ai fait est mentionné.
Je dis ce que j'ai fait.
Je ne dis pas seulement, oh Dieu, tu sais que je suis un pécheur.
Non, une confession, c'est davantage.
Une confession, cela veut vraiment dire qu'on confesse exactement ce qu'on a commis, ce qu'on a fait.
C'est une confession.
Si j'ai fait du tort à ma femme, je dois dire ce que j'ai fait.
Je ne dis pas seulement, oh, ma femme, j'ai fait, j'ai commis une faute, excuse-moi, et c'est fini.
Non, je dois dire ce que j'ai fait.
C'est la confession.
Voilà, la confession est en rapport avec la langue.
La répentance est en rapport avec nos cœurs.
Et la conversion que nous avons ici est en rapport avec nos pieds.
Et les trois choses sont importantes.
Ils forment une unité, la langue, le cœur et mes pieds.
Alors, on peut voir la conversion, on peut voir la répentance, on peut voir et entendre la confession.
C'était visible chez les Thessaloniciens.
Est-ce que c'est vraiment visible aussi chez nous?
Est-ce que nous avons vraiment changé notre comportement?
Peut-être dans les premiers mois où nous sommes convertis, tout a changé.
Mais après, au fur et à mesure, les anciennes choses essayent de revenir dans ma vie.
Des idoles ou Dieu?
Les choses du monde ou Dieu?
La propre volonté ou Dieu?
Voilà, chez les Thessaloniciens, c'était tellement clair.
Vous vous êtes tournés des dieux, des idoles vers Dieu.
Et pourquoi?
Pour d'abord servir le Dieu vivant et vrai et d'attendre des cieux son Fils.
Voilà, ce sont deux choses importantes.
Il est dit que Dieu est vivant et vrai.
N'oublions jamais que les idoles de ce monde ne sont ni vrais ni vivants.
Ils sont morts et ils sont du mensonge.
Mais Dieu, il est vivant et il est vrai.
Mais n'oublions jamais que Dieu est vivant et que Dieu est vrai.
Dieu est l'amour.
Oui, 100% il est l'amour.
Mais il est aussi le Dieu véritable.
Il est le Dieu saint.
Il est le Dieu qui ne peut pas voir et accepter le péché non confessé dans la vie de ses enfants.
Il est aussi pour nous le Dieu vivant et vrai.
Nous avons vu qu'il est notre Père en Jésus, mais il reste le Dieu vivant et vrai.
Mais alors les deux raisons pour lesquelles ils se sont convertis,
servir ce Dieu vivant et vrai et attendre des cieux son Fils.
C'était exactement ce que les thessaloniciens avaient fait.
Ils avaient servi Dieu.
Cela veut dire qu'ils étaient toujours à la disposition de Dieu.
Ils voulaient être des serviteurs de Dieu, les serviteurs du Seigneur Jésus.
Le servir, cela veut dire être à la disposition de notre Maître Céleste.
Ce qu'il veut, nous le faisons.
Et ce qu'il ne veut pas, nous ne faisons pas.
Cela veut dire servir Dieu.
Et pour nous tous, chers amis, pour les jeunes, pour les sœurs, pour les frères,
pour les plus âgés, pour le plus âgé et la plus âgée parmi nous,
il y a toujours quelques services à rendre.
Quand Dieu nous a laissés sur la terre, il a fait pour le servir.
Les domaines du service sont vastes.
Il y a beaucoup de choses à faire.
Peut-être tu penses, je suis trop vieux, trop veille pour servir le Seigneur.
Je ne peux plus.
Mais il y a une chose que chacun de nous peut faire.
C'est la prière. C'est aussi un service.
Mais il y a tant de choses pour nous que nous pouvons faire pour Dieu, pour le servir.
Dans l'Évangile, parmi les frères et sœurs,
est-ce que nous sommes, comme les Thessaloniciens, à la disposition de Dieu, de le servir,
le Dieu vivant et vrai, et attendre des cieux son Fils?
L'apôtre Paul avait prêché Christ comme étant le roi.
Et les Thessaloniciens attendaient ce roi pour revenir du ciel.
Après l'enseignement du chapitre 4, nous n'attendons aujourd'hui pas tellement le roi pour venir.
Nous aimerions aussi que le Seigneur soit accepté sur la terre comme roi des rois.
Mais, Seigneur des Seigneurs, l'espérance chrétienne est plutôt d'attendre le Seigneur Jésus
qui vient pour nous chercher afin que nous soyons auprès de lui.
Le Seigneur Jésus lui-même dit dans l'Évangile selon Jean, au chapitre 14,
et ça c'est la vraie espérance chrétienne,
Jean 14, verset 3,
« Et si je m'en vais et que je vous prépare une place, je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi,
afin que là où moi je suis, vous vous soyez aussi.
Je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi. »
Voilà, ça c'est l'espérance chrétienne.
Attendre des cieux le Seigneur Jésus.
Le Seigneur Jésus dit dans l'Évangile, je pense l'Évangile selon Luc,
« Bienheureux le serviteur que son maître trouve trafiqué. »
Et dans le même chapitre, en même chapitre, il dit,
« Bienheureux le serviteur qui attend son maître. »
Voilà, ce sont ces deux caractères.
Le serviteur qui trafique, qui travaille, qui fait le service,
mais en même temps le serviteur qui attend son maître.
Et nous devons faire ces deux choses.
Nous travaillons, l'œuvre du Seigneur est grande,
et il veut nous utiliser dans cette œuvre.
Mais en même temps, n'oublions jamais que la patrie du chrétien n'est pas sur la terre,
mais notre bourgeoisie est dans les cieux.
C'est ce que l'apôtre Paul dit en Philippiens 3.
Nous ne sommes que des pèlerins sur la terre.
Vous comprenez cette expression, pèlerin ?
Ceux qui ne sont pas à la maison sur la terre.
Nous attendons le Seigneur Jésus.
Nous attendons son Fils, c'est le Fils de Dieu,
le Fils de son amour, comme nous dit l'épître aux Colossiens.
Nous attendons celui qui a ressuscité d'entre les morts.
Cela veut dire que nous attendons le vainqueur de la croix,
et nous attendons Jésus.
Nous attendons notre sauveur,
qui est mort pour nous à la croix de Calvaire.
Et c'est ce Jésus qui nous délivre de la colère qui vient.
Il y a une colère éternelle qui viendra,
et nous sommes sauvés de cette colère éternelle,
mais il y a aussi la colère de l'agneau
qui viendra lors de la grande tribulation.
Et nous sommes aussi sauvés de cette colère
qui viendra sur la terre.
Nous aimerions maintenant faire une pause.
15 minutes, ça va, ou 20? Qu'est-ce que vous pensez?
Un quart d'heure?
Alors, on fait une pause, un quart d'heure,
et après nous recommençons avec la lecture d'autres passages de cet épître.
Nous aimerions continuer la lecture de la première épître aux Thessaloniciens,
et nous lisons au chapitre 2.
2 Thessaloniciens 2, verset 1.
Car vous-mêmes, vous savez, frères,
que notre entrée au milieu de vous n'a pas été vaine.
Verset 7.
Nous avons été doux au milieu de vous,
comme une nourrice chérie ses propres enfants,
ainsi vous étant tendrement affectionnés.
Le verset 11.
Vous savez comment nous avons exhorté chacun de vous,
comme un père ses propres enfants,
vous exhortant et vous consolant,
et rendant témoignage pour que vous marchiez d'une manière digne de Dieu,
qui vous appelle à son propre royaume et à sa propre gloire.
Et c'est pourquoi aussi nous rendons sans cesse grâce à Dieu
de ce que, ayant reçu de nous la parole de la prédication qui est de Dieu,
vous avez accepté, non la parole des hommes,
mais ainsi qu'elle est véritablement la parole de Dieu,
laquelle aussi opère en vous qui croyez.
Car vous, frères, vous êtes devenus des imitateurs des assemblées de Dieu
dans la Judée, dans le Christ Jésus.
Chapitre 4, verset 1.
Au reste donc, frères, nous vous prions et nous vous exhortons par le Seigneur Jésus
pour que, comme vous avez reçu de nous,
de telle manière il faut que vous marchiez et plaisiez à Dieu,
comme aussi vous marchiez, vous y avantiez de plus en plus.
Car vous savez quel commandement nous vous avons donné par le Seigneur Jésus.
Car c'est ici la volonté du Dieu, votre sainteté,
et que vous vous abstignez de la fornication,
que chacun de vous sache posséder son propre vase en sainteté et en honneur,
non dans la passion de la convoitise qu'en font les nations aussi qui ne connaissent pas Dieu.
Chapitre 5, verset 23.
Or, le Dieu de paix lui-même vous sanctifie entièrement,
et que votre esprit et votre âme et votre corps tout entier soient conversés sans reproche
en la venue de notre Seigneur Jésus Christ, celui qui vous appelle est fidèle,
qui aussi le fera, verset 28, que la grâce de notre Seigneur Jésus Christ soit avec vous tous.
Nous avons vu au chapitre 1er ce beau témoignage que l'apôtre Paul pouvait rendre aux Thessaloniciens.
Maintenant, au chapitre 2, il parle de son entrée parmi les Thessaloniciens.
Nous avons déjà lu au chapitre 1er,
car notre évangile n'est pas venu à vous, verset 5, en parole seulement,
mais aussi en puissance et dans l'esprit saint et dans une grande plénitude d'assurance,
ainsi que vous savez quels nous avons été parmi vous pour l'amour de vous.
L'apôtre Paul, il parle de son entrée et il parle de son comportement chez les Thessaloniciens.
Bien sûr, l'apôtre Paul, il avait prêché la parole, la parole a été entendue, a été dite oralement,
mais l'apôtre dit, vous savez quels nous avons été parmi vous.
C'est toujours une chose, ce que nous disons, et c'est une autre chose que nous faisons.
Et pour cette raison, il dit au chapitre 2, car vous-même, vous savez, frère,
que notre entrée au milieu n'a pas été en veine.
S'il y a un accord entre les paroles et les actions, nos activités ne sont pas veines.
Mais s'il y a une divergence entre ce que nous disons et ce que nous faisons,
notre témoignage ne serait pas reçu et accepté.
Cela est valable dans nos familles.
Si nous, comme parents, disons cela et nous faisons le contraire,
nos enfants n'accepteront plus au moment où ils découvrent cette différence entre actions et paroles.
Et pour cette raison, partout dans le Nouveau Testament,
nous trouvons que l'apôtre Paul met l'accent sur ce fait que les actions et les paroles soient au même niveau,
que nous faisons ce que nous disons et que nous disons ce que nous faisons.
Voilà l'entrée de l'apôtre Paul.
Il la compare avec l'activité d'une mère et l'activité d'un père.
Nous avons trouvé au verset septième qu'il dit,
« Comme une nourrice chérie ses propres enfants, nous étions ainsi chez vous. »
Une nourrice, c'est une maman qui donne du lait à son enfant,
qui nourrit l'enfant, qui donne des soins nécessaires à l'enfant nouveau-né.
Et l'apôtre était ainsi parmi les Thessaloniciens dans ses actions et dans ses paroles, dans son enseignement.
Mais d'autre part, il dit au verset onze,
« Ainsi que vous savez comment nous avons exhorté chacun de vous comme un père, ses propres enfants,
vous exhortant et vous consolant et vous rendant témoignage pour que vous marchiez d'une manière digne. »
Alors, l'apôtre Paul était comme une mère, mais en même temps, il était comme un père.
Et la tâche du père est plutôt d'exhorter les enfants, de les consoler et de leur rendre témoignage.
La mère donne la nourriture nécessaire et le père donne l'enseignement, l'éducation, l'exhortation aux enfants.
Eh bien, chers amis, nous comme croyants, comme ceux qui sont nés de Dieu, nous en avons besoin des deux.
Nous avons besoin des soins d'une mère qui donne de la nourriture et nous avons besoin des exhortations, des enseignements d'un père.
Des fois, nous avons plutôt besoin de la mère. Des fois, nous avons plutôt besoin d'un père.
Et Dieu, par ses serviteurs, par le ministère dans les assemblées et aussi dans les ministères pastorales, il nous donne ces deux choses.
Il nous donne la nourriture pour que nous croissions, mais il nous donne aussi l'exhortation afin que nous sachions comment il faut se comporter pour que nous marchions dignes.
L'exhortation parle de notre chemin sur la terre, de nos activités, nos actions, nos œuvres, ce que nous faisons.
Alors, je répète, des fois, nous avons besoin, plutôt besoin de la nourriture. Des fois, nous avons plutôt besoin de l'exhortation.
La parole de l'exhortation n'est pas toujours agréable, n'est-ce pas?
Pour cette raison, l'auteur de l'épître aux Hébreux dit que nous supportions, supportons la parole de l'exhortation.
Supporter la parole de l'exhortation.
Si quelque chose ne marche pas bien dans notre vie, Dieu nous donne un mot d'exhortation et il faut le supporter, il faut l'accepter parce que Dieu veut notre bien.
Il a toujours notre bien dans son cœur. Il veut que nous soyons en harmonie avec ses pensées, avec sa volonté, aussi dans la marche quotidienne.
Le Père, il exhorte, il console, il rend témoignage, l'apôtre Paul l'a ainsi fait, pour que vous marchiez d'une manière digne de Dieu qui vous appelle à son propre royaume et à sa propre gloire.
Pour que vous marchiez d'une manière digne, cela veut dire à la hauteur de ce qui nous a été donné.
La responsabilité augmente le plus nous avons de connaissances. Marchez d'une manière digne, d'une manière convenable.
Nous trouvons cette expression plusieurs fois dans le Nouveau Testament. Dans l'Épitre aux Philippiens, l'apôtre Paul dit, marchez d'une manière digne de l'Évangile.
L'Épitre aux Philippiens parle beaucoup de l'Évangile, du combat avec l'Évangile.
Dieu nous a donné cet Évangile pour que l'Évangile soit prêché, pour que nous soyons ses témoins, mais alors il faut marcher digne de cet Évangile.
Si on prêche l'Évangile et en même temps on vit dans les péchés non confessés, cela ne va pas. Le témoignage ne sera pas accepté.
Dans l'Épitre aux Colossiens, l'apôtre Paul dit, marchez d'une manière digne du Seigneur.
Vous avez chanté ce beau cantique en bouleau parlant des gloires du Seigneur Jésus dans l'Épitre aux Colossiens.
Voilà, c'est le Seigneur et les gloires du Seigneur, la primauté du Seigneur Jésus qui nous est présentée dans l'Épitre aux Colossiens.
Et voilà, l'apôtre dit, marchez d'une manière digne du Seigneur.
Chers amis, Jésus Christ, il est notre Seigneur. Nous le suivons, nous le servons, comme nous venons de voir.
Mais, maintenant il faut que nous marchions d'une manière digne, convenable de ce Seigneur.
Dans l'Épitre aux Éphésiens, chapitre 4, il nous est dit de marcher d'une manière digne de l'appel avec lequel nous avons été appelés.
L'Épitre aux Éphésiens nous parle de l'appel de Dieu.
Chapitre 1, chapitre 2, chapitre 3, l'appel de Dieu, l'appel céleste.
Nous sommes bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes.
Mais maintenant, il est dit, marchez d'une manière digne, convenable, d'une manière digne de l'appel avec lequel vous avez été appelés.
Chers amis, l'appel avec lequel nous avons été appelés est un appel céleste, béni, très haut.
Mais maintenant, nous connaissons un peu des conseils de Dieu, de l'appel de Dieu.
Mais maintenant, il faut que nous marchions d'une manière digne de cet appel.
Et ici, dans l'Épitre aux Thessaloniciens, il est dit, marchez d'une manière digne de Dieu qui vous a appelés à son propre royaume et à sa propre gloire.
Vous vous rappelez, nous avons lu en acte 17 que Paul avait prêché le Seigneur Jésus comme roi, le roi de son royaume.
Et nous avons vu que les Thessaloniciens attendaient le Seigneur Jésus qui viendra.
Et alors, l'apôtre dit, maintenant, chers Thessaloniciens, marchez d'une manière digne de ce Dieu qui vous appelle à son propre royaume et à sa propre gloire.
Dieu nous donnera un jour le royaume. Nous sommes co-héritiers de Christ.
Il nous donne le royaume avec Christ. Un jour, nous serons glorifiés avec lui.
Nous sommes appelés à la gloire céleste, à sa propre gloire.
Mais la marche ici-bas, maintenant sur la terre, dans la vie quotidienne, soit à la hauteur de ce royaume, de cette gloire,
ou plutôt de ce Dieu qui nous appelle à ce royaume et à cette gloire.
Marchez d'une manière digne.
Chers amis, ça c'est très très pratique.
Cela parle de notre vie de chaque jour, la vie de famille, la vie d'assemblée, la vie de notre travail.
Tout y est inclus. Marchez d'une manière digne.
Comportez-vous comme des enfants de Dieu.
L'Épître aux Éphésiens, au chapitre 4, nous parle de cette marche comme enfants de Dieu.
Une marche dans la lumière et dans l'amour.
Verset 13.
C'est pourquoi nous aussi nous rendons sans cesse grâce à Dieu.
Voilà de nouveau, il peut rendre grâce à Dieu avec un cœur joyeux.
A Dieu de ce que ayant reçu de nous la parole de la prédication.
L'apôtre Paul avait certainement prêché la parole aussi.
Il n'a pas seulement vécu la parole, il a aussi prêché la parole.
Vous avez reçu la parole de la prédication qui est de Dieu et vous avez accepté.
Non la parole des hommes mais ainsi qu'elle est véritablement la parole de Dieu
par laquelle aussi opère en vous qui croyez.
Ils avaient reçu la parole de Dieu et ils avaient accepté la parole de Dieu.
Dieu deux choses très importantes, deux choses indispensables.
Il faut recevoir la parole de Dieu et on le reçoit avec les oreilles ou avec nos yeux.
La réception de la parole de Dieu.
Mais il ne faut pas seulement recevoir, il faut aussi accepter la parole de Dieu.
La réception c'est avec les oreilles et avec les yeux.
Mais l'acceptation de la parole de Dieu c'est avec le cœur.
Il faut non pas seulement recevoir la parole de Dieu mais il faut la prendre à cœur.
Cela est valable pour l'évangile, le pécheur il doit entendre, recevoir et accepter la parole de Dieu.
Mes chers amis, nous aussi, nous aussi, quand Dieu nous parle par sa parole,
comme cet après-midi, mais toujours, quand nous lisons la parole de Dieu,
il faut que nous recevons la parole de Dieu.
Il nous a donné des oreilles, il nous a donné des yeux, il nous a donné une tête, une connaissance,
la capacité de recevoir la parole de Dieu.
Mais si la parole de Dieu reste dans la tête, quelque chose ne va pas bien.
Nous perdons l'équilibre si la parole de Dieu est seulement dans la tête
et la tête devient de plus en plus grosse, n'est-ce pas?
On perd.
Non, il faut accepter avec le cœur.
Il faut prendre la parole de Dieu à cœur, personnellement et aussi en famille, en assemblée.
Vous avez accepté cette parole, pas la parole des hommes, mais ainsi qu'elle est véritable, la parole de Dieu.
Chers amis, la parole que nous entendons, la parole que nous lisons, ce n'est pas la parole des hommes.
Ce n'est pas la parole des hommes.
Bien sûr, des hommes ont écrit, mais ils avaient écrit sous la direction de l'Esprit-Saint,
comme nous le lisons dans le premier épitre de Pierre, chapitre 1 à la fin, de Pierre 1 à la fin.
Des hommes saints ont écrit sous la puissance et sous la guidance de l'Esprit-Saint.
Elle est la parole de Dieu, véritablement la parole de Dieu, laquelle aussi opère en vous qui croyez.
Voilà, la parole de Dieu est reçue et acceptée, et après, la parole de Dieu veut opérer en nous.
La parole de Dieu opère dans le pécheur la vie nouvelle.
Vous êtes nés de la parole et de l'Esprit-Saint, les deux instruments que Dieu utilise, l'Esprit et la parole.
Mais non seulement la parole opère dans le pécheur pour lui donner la vie éternelle,
mais la parole de Dieu, véritablement la parole de Dieu opère et veut opérer en chacun de nous,
veut achever quelque chose en nous, veut que nous croissions, veut que nous changions la vie,
veut que nous confessions une faute qui, si nous en avons commis une faute, la parole de Dieu opère en nous.
Et de nouveau, l'apôtre rend témoignage aux Thessaloniciens qu'à vous, frères,
vous êtes devenus des imitateurs des assemblées de Dieu qui sont dans la Judée.
Voilà, les assemblées dans la Judée, c'étaient les frères et sœurs avec beaucoup d'expérience.
Et ces assemblées avec beaucoup d'expérience étaient des modèles pour les Thessaloniciens.
Voilà ce que nous avons déjà vu au chapitre 1,
combien il est important que nous sommes des modèles pour les autres,
afin qu'ils puissent suivre l'exemple de ceux qui ont beaucoup d'expérience.
Si Dieu nous a donné de l'expérience, si nous avons une belle connaissance de la parole de Dieu,
notre responsabilité d'être des modèles augmente.
Et Dieu veut que nous marchions vraiment selon ses pensées,
afin que nous puissions vraiment être un modèle personnellement,
mais aussi comme assemblée, comme nous le voyons ici, pour les autres.
Aussi, une assemblée peut être un modèle et devrait être un modèle aux autres.
Nous avons lu au chapitre 4, les premiers versets.
Au reste donc, frères, nous vous prions et nous vous exhortons.
Voilà l'apôtre comme une mère et comme un père de nouveau.
Nous vous prions, c'est plutôt la mère qui parle.
Nous vous exhortons, c'est plutôt le père qui parle,
par le Seigneur Jésus, pour que, comme vous avez reçu de nous,
de quelle manière il faut que vous marchiez et plaisiez à Dieu,
comme si vous marchiez, vous y abondiez de plus en plus.
Voilà la suite de ce que nous avons vu au chapitre 2.
Ils avaient reçu la parole de Dieu, non pas comme la parole des hommes,
mais véritablement la parole de Dieu.
Et cette parole avait opéré parmi les thessaloniciens.
Et alors l'apôtre dit, vous avez reçu de nous de quelle manière il faut que vous marchiez et plaisiez à Dieu.
Marchez d'une manière digne de Dieu qui vous appelle à son royaume et à sa propre gloire.
À cela, l'apôtre Paul fait référence.
Il faut que vous marchiez et plaisiez à Dieu.
La marche du chrétien doit être non pas seulement une bénédiction, un modèle aux autres,
mais aussi à la gloire de Dieu.
Lui plaire en toute chose que vous plaisiez à Dieu.
Il n'est pas sans importance que nos frères et sœurs pensent de nous et de notre comportement.
Ce n'est pas sans importance.
Mes chers amis, n'oublions jamais que les yeux de Dieu sont toujours sur nous.
Il nous voit toujours.
Il nous voit n'importe nous faisons.
Les yeux de Dieu sont sur nous.
Son regard est sur toi et sur moi 24 heures par jour.
Si je suis en communion avec Dieu, cela est une pensée encourageante, n'est-ce pas?
Dieu me voit.
Ça me plaît que Dieu me voie, n'est-ce pas?
C'est une consolation.
Mais, si j'ai perdu la communion avec Dieu,
si je marche dans un chemin de propre volonté,
je n'aime pas tellement penser que Dieu me voit, n'est-ce pas?
J'aimerais plutôt que Dieu fasse comme ça.
Mais il ne le fait pas.
Il me voit toujours.
N'oublions jamais.
D'une part, Dieu le Saint-Esprit est toujours en moi.
Et d'autre part, les regards de Dieu au ciel sont toujours fixés sur moi.
Je peux faire ce que je fais, même si je commets des péchés.
Dieu l'Esprit Saint est en moi.
C'est une pensée très sérieuse, n'est-ce pas?
Et les regards du Dieu Saint,
oui, il est mon Père, mais il est le Dieu Saint véritable,
comme nous l'avons vu.
Ses regards sont sur moi.
L'apôtre Paul peut rendre témoignage aux Thessaloniciens
que, comme ainsi vous marchiez,
oui, ils marchaient d'une manière digne de Dieu
qui les a appelés à son royaume et à sa gloire.
Mais il ajoute, vous y abondiez de plus en plus.
Il y a deux choses, au moins deux choses,
dans lesquelles nous pouvons toujours abonder.
D'abord, c'est l'amour.
On peut toujours augmenter l'amour.
On peut toujours abonder en l'amour.
Mais la deuxième chose, c'est la marche à la gloire
et à l'honneur de Dieu.
Vous y abondiez de plus en plus.
Nous ne sommes jamais sur la terre à un niveau
où nous pourrons dire, voilà, c'est le point culminant, c'est la fin.
On n'arrive jamais à ce point culminant sur la terre.
Nous l'arrivons à la gloire
et au moment où nous sommes dans la gloire, nous n'abondions plus.
Mais sur la terre, il y a toujours l'occasion d'abonder
dans la marche et aussi dans l'amour.
Car vous savez quel commandement nous vous avons donné par le Seigneur Jésus.
Évidemment, l'apôtre Paul avait déjà parlé aux Thessaloniciens
en rapport à ces choses qu'il mentionne ici.
Il était seulement pendant trois sabbats chez les Thessaloniciens.
Mais il avait enseigné ses croyants aussi au sujet de la sainteté pratique
ce qu'il mentionne au verset 3.
Car c'est ici la volonté de Dieu, votre sainteté,
et que vous vous abstignez de la fornication,
que chacun de vous sache posséder son propre vase en sainteté et honneur.
Voilà, c'est ici la volonté de Dieu.
Quelle est la volonté de Dieu ?
On aimerait bien penser à intimoter Dieu.
Deux, c'est la volonté de Dieu que les hommes soient sauvés.
Et c'est juste, c'est la volonté de Dieu que tout le monde soit sauvé.
L'oeuvre expiatoire du Seigneur Jésus à la croix est si grande
que tout le monde pourrait être sauvé.
Et la volonté de Dieu, c'est que les hommes croient
et acceptent le Seigneur Jésus comme leur sauveur.
C'est la volonté de Dieu.
Un autre passage dit que la reconnaissance est la volonté de Dieu.
Et nous avons tant de raisons d'être reconnaissants.
Oui, c'est la volonté de Dieu.
Mais ici, l'apôtre dit, c'est ici la volonté de Dieu, votre sainteté.
Est-ce que c'est difficile à comprendre ?
Pas du tout, n'est-ce pas ?
La volonté de Dieu n'est pas compliquée.
La volonté de Dieu est tellement facile.
C'est la sainteté.
Et cela veut dire la sainteté pratique.
Bien sûr, quant à notre position en Christ, nous sommes des saints.
Nous avons été sanctifiés par l'Esprit Saint.
Cela veut dire, nous appartenons maintenant à Dieu.
Mais comme étant saints et irréprochables devant Dieu,
comme nous dit l'épître aux Éphésiens,
nous devons maintenant marcher dans la sainteté pratique.
Il ne faut pas accepter les souillures des péchés dans la vie.
Bien sûr, nous savons très bien que chaque jour, quelque chose arrive dans la vie qui n'est pas en ordre.
Nous péchons, et malheureusement, chaque jour.
Mais que faisons-nous avec cela ?
Il faut que nous nous approchions au Seigneur avec une confession.
On ne peut pas accepter la souillure.
On ne peut pas accepter le péché dans la vie sans le condamner et sans le confesser.
Ce jugement journalier est absolument indispensable.
Dieu est un Dieu saint.
Dieu est lumière.
Il ne peut pas voir le péché.
Il ne peut pas accepter le péché.
Et pour cette raison, l'apôtre Paul dit, c'est ici la volonté de Dieu, votre sainteté, la pureté.
Et, chers amis, la pureté, la sainteté, ça commence où ?
Ça commence où ?
Ça commence dans la tête.
Ça commence dans les pensées que nous avons.
Au début, il y a toujours une pensée.
Et on l'a dit, il est nécessaire de garder nos pensées,
parce que nos pensées d'aujourd'hui sont nos actions de demain.
N'oublions jamais, nos pensées d'aujourd'hui sont nos actions, nos activités de demain.
Restons purs dans nos pensées, dans nos affections,
mais restons purs, restons saints dans nos activités aussi.
Et, si quelque chose est arrivé,
oui, nous avons le Seigneur Jésus comme notre avocat auprès du Père.
Et nous pouvons, et il est nécessaire de le faire, aller avec tout ce qui arrive dans la vie,
nous pouvons nous approcher du Seigneur avec une confession sincère.
Même si ce sont les péchés qui, peut-être, durent depuis longtemps,
depuis des années, des décades,
on peut, on doit les confesser pour que nous soyons pratiquement purs.
La pureté, la sainteté pratique, c'est tellement important.
Et voilà, c'est l'apôtre Paul qui donne cette exhortation à des jeunes croyants,
avec beaucoup de zèle, n'est-ce pas,
qui étaient attachés au Seigneur,
mais quand même, ils vivaient dans un environnement tordu et pervers,
comme nous avons lu dans l'Épître aux Philippiens.
Et nous aussi, nous vivons dans un temps, dans une société qui est pleine de péchés,
et qui est une convoitise constante pour nous.
Alors il faut vraiment que nous soyons attentifs et que nous faisons attention
que vraiment la volonté de Dieu soit faite par nous, cela veut dire sa sainteté.
Que vous vous abstignez de la fornication.
C'était un problème chez les Thessaloniciens, dans la société, dans l'environnement,
c'est la même chose chez nous aujourd'hui.
Il faut que nous nous gardions de la fornication, de toutes sortes d'immoralités sexuelles.
C'est un péché grave.
J'aimerais justement lire un verset dans la première Épître aux Corinthiens.
1 Corinthiens 6, verset 18.
Nous avons une exhortation pareille.
L'apôtre dit, fouillez la fornication.
Quelques péchés que l'homme commette, il est hors du corps.
Mais le fornicateur pêche contre son propre corps.
Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit
qui est en vous et que vous avez de Dieu?
Chers amis, il est dit, le fornicateur pêche contre son propre corps.
Ce corps qui est le temple de l'Esprit-Saint.
Ça rend ce péché de fornication un péché si grave.
Ne l'oublions jamais.
Les relations sexuelles nous sont données de la part de Dieu.
C'est un don de Dieu, mais seulement dans la zone du mariage.
Pas avant, pas derrière.
Pas à côté.
C'est tellement important.
Et les relations dans le mariage sont l'image de Christ et son assemblée.
Et ceux qui commettent la fornication, ils détruisent l'image de Christ et son assemblée.
Alors c'est un péché vraiment grave.
C'est pourquoi la parole de Dieu, on parle plusieurs fois.
D'ailleurs, Dieu nous connaît très bien.
Il connaît nos faiblesses.
Pour cette raison, il en parle.
C'est ici la volonté de Dieu, votre sainteté, et que vous vous abstignez de la fornication.
Chapitre 5.
Nous avons lu, verset 23,
Or le Dieu de paix lui-même vous sanctifie entièrement.
Alors l'apôtre Paul revient sur la question de la sainteté pratique.
Au chapitre 4, il avait dit, c'est votre responsabilité de vous garder saints.
Ici, il exprime le désir et dit, Or le Dieu de paix lui-même vous sanctifie entièrement.
Est-ce qu'il y a une contradiction?
Qui est responsable pour notre sainteté?
Dieu ou nous?
La question, la réponse, quelle est la réponse?
Les deux, n'est-ce pas?
Nous sommes responsables.
Moi, je suis 100% responsable pour ma sainteté pratique.
Mais en même temps, je sais très bien que Dieu est là pour me garder.
Et c'est 100% Dieu qui me garde, qui me sanctifie entièrement.
Il n'y a pas de contradiction.
100% Dieu, 100% ma responsabilité.
La mathématique de Dieu, dans ce cas, est sans et sans fait sans, n'est-ce pas?
C'est entièrement ma responsabilité et c'est entièrement la grâce de Dieu qui me garde.
Ces deux côtés se trouvent souvent dans l'écriture.
Notre responsabilité est la grâce ou l'activité de Dieu.
J'aimerais vous poser une question.
Pourquoi est-ce que les murailles de Jéricho sont tombées?
Pourquoi est-ce que les murailles de Jéricho sont tombées?
Qui a fait ça?
Qui a fait ça?
Qu'est-ce que vous pensez?
Les Israélites et Dieu.
Alors, vous dites les Israélites et tu dis Dieu.
Les deux, n'est-ce pas?
C'est Dieu.
Bien sûr, c'est Dieu qui a fait tomber les murailles.
Mais sans l'obéissance des Israélites, rien n'aurait se passé, n'est-ce pas?
Alors, vous voyez les deux côtés dans cet exemple.
C'est facile, n'est-ce pas?
Les deux.
Le Dieu de paix Lui-même vous sanctifie entièrement, chers amis.
Et voilà, et que votre esprit et âme et corps tout entier soient conservés sans reproche en la venue de notre Seigneur Jésus-Christ.
Voilà, un homme, un être humain est composé, si on peut s'exprimer ainsi, de ces trois choses.
Nous avons un esprit, nous avons une âme et nous avons un corps.
Les trois vont ensemble.
Nous avons déjà parlé des pensées et des actions.
Les pensées ont affaire avec l'âme et l'esprit et les actions ont affaire avec notre corps.
Alors, il est nécessaire que nos âmes, que notre esprit soient gardés,
nos pensées, l'intelligence que Dieu nous a données,
que notre âme, notre cœur, nos affections soient gardées
et que notre corps, nos activités soient gardées et gardées entièrement.
Ou conservées, comme il est dit, sans reproche en la venue de notre Seigneur Jésus-Christ.
On pourrait aussi dire jusqu'au moment où le Seigneur Jésus viendra.
Pendant toute la vie, nous avons besoin d'être gardés, d'être conservés.
Et je répète, c'est la grâce de Dieu qui le fait, mais c'est aussi notre responsabilité.
Et l'apôtre ajoute, celui qui vous appelle est fidèle, qui aussi le fera.
Dieu est fidèle.
Dieu a promis de nous garder.
Dieu est fidèle.
Celui qui est fidèle, il aussi le fera.
Mais de nouveau, il y a une application pratique.
Est-ce que nous aussi, nous sommes fidèles?
Dieu est fidèle, il le fera.
Nous, Dieu dira-t-il un jour, bon et fidèle esclave?
Ou est-ce qu'il doit un jour dire, faible serviteur, infidèle serviteur, ou même méchant serviteur?
Le Seigneur Jésus, de nouveau, il est l'exemple parfait.
Il est le fidèle témoin, comme nous lisons dans l'Apocalypse.
L'apôtre termine cette lettre, et j'aimerais aussi terminer avec ce verset,
que la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ soit avec vous.
La grâce, c'est ce que Dieu nous donne gratuitement.
Personne n'a mérité la grâce.
Nous avons mérité la mort.
Mais Dieu nous a donné sa grâce.
Il nous a donné sa miséricorde.
Il est un Dieu riche en miséricorde.
Dans sa miséricorde, dans sa grâce, il nous a sauvés.
Dans sa grâce, il veut nous garder.
Ce sera un acte de sa grâce quand le Seigneur viendra nous chercher,
afin que nous soyons auprès de lui à toujours.
Merci de votre attention.
L'âme de sérénité
Plus de confiance
pour rester debout
Plus de patience
pour supporter tout
Fait que le condamne
sans cesse l'allure
sans parfaire d'exemple
sa croissance tombe
sa grâce fidèle
son immense amour
sa gloire éternelle
son prochain retour
Jésus, à nos larmes
tu me compatis
le tout de tes âmes
qu'elle nous revêtis
que dans la lumière
marchant avec toi
sans cesse en prière
tout vivant de foi
forme à ton service
d'être plus joyeux
Prends mon sacrifice
toujours sous tes yeux
dis, chante qui tremble
rempli de ferveur
et d'exemple
aux sièges sauvages
Que ta parole
recèle le trésor
le plus précieux
À ton résumé
tous les rebelles
Jésus veut
s'achever les cieux
T'apportons le livre au message
et nous apportent le vrai bonheur
la paix, la joie et le courage
Ensuite, pense, tu veux sauver
le temps rare, la pure lumière
éclaire, guide tous nos pas
pour que nous puissions
nous faire te glorifier
ici par ton nom
Ta parole
à ton fils, lui-même
sans cesse attacher nos cœurs
dévoilant le poivre superbe
de la personne du Seigneur …