Christ dans la nouvelle création
ID
jm005
Langue
FR
Durée totale
01:01:26
Nombre
1
Références bibliques
inconnu
Description
inconnu
Transcription automatique:
…
A l'homme, à son image, il le créa, à l'image de Dieu, il les créa mâles et femelles, et Dieu les bénit.
Ensuite au chapitre 4.
L'Eternel Dieu forma l'homme poussière du sol et souffla dans ses narines une respiration de vie, et l'homme devint une âme vivante,
et l'Eternel Dieu planta un jardin en Éden, c'est le jardin d'Elys.
Verset 20.
Ensuite l'autorité de l'homme, verset 19, qui nomme les animaux, tout nom de l'homme donné à un être vivant fut son nom,
quant à Adam il ne trouva pas d'aide qui lui correspondit.
L'Eternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l'homme et il dormit.
Il prit une de ses côtes et il en ferma la place avec de la chair.
Et l'Eternel Dieu forma ou bâtit une femme de la côte qu'il avait prise de l'homme et l'amena vers l'homme.
Et l'homme dit sept fois, celle-ci est os de mes os et chair de ma chair.
Celle-ci sera appelée femme Isha parce qu'elle a été prise de l'homme Isha jusque-là.
Ensuite dans le Nouveau Corinthien, verset 15.
Romains 5.
Romains 5.
En thèse du verset 13 à 14, au milieu du verset 14,
la mort régna depuis Adam jusqu'à Moïse même sur ceux qui ne péchèrent pas selon la ressemblance de la transgression d'Adam.
Donc Adam qui est la figure de celui qui devait venir.
Alors dans le Corinthien 15,
le raccord qui ne se trouve que là.
Au verset 44 au milieu.
Corinthien 15, 44.
S'il y a un corps animal, il y en a aussi spirituel.
C'est ainsi aussi qu'il est écrit le premier homme Adam devint une âme vivante.
C'est justement la situation de Genèse 2.
Un air Adam, un esprit vivifiant.
Mais ce qui est spirituel n'est pas le premier mais ce qui est animal.
Ensuite ce qui est spirituel.
Le premier homme est tiré de la terre poussière.
Le second homme est venu du ciel.
Tel qu'est celui qui est poussière, tels aussi sont ceux qui sont poussière.
Et tel qu'est le céleste, tels aussi sont les célestes.
Et comme nous avons porté l'image de celui qui est poussière, nous porterons aussi l'image du céleste.
Or je dis ceci, frères, que la chair et le sang ne peuvent pas hériter du royaume de Dieu
et que la corruption non plus ne mérite pas de l'incorruptibilité.
Ensuite nous avons la révélation de l'avenir du Seigneur.
Passage dans Jean 20.
Et dimanche le soir, vers les 19 qui était venu, le premier jour de la semaine,
les portes du lieu où les disciples étaient, par crème, les juifs étaient enfermés.
Jésus vint au milieu d'eux, il leur dit, paix vous soit.
Et en disant ça, il leur montra ses mains à son côté.
Les disciples se réjouirent donc quand il vit le Seigneur.
Jésus leur dit encore, paix vous soit, comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie.
Et en disant ça, il souffla en eux et leur dit, recevez l'Esprit.
A quiconque vous remettrez les péchés, ils sont remis.
Et à quiconque vous les retiendrez, ils sont retenus.
Et puis, encore un tiers, le Ephésien 5.
5.
Et l'Assemblée s'est livrée lui-même pour elle, afin qu'il la sanctifie en la purifiant
par le lavage d'eau, par la parole, afin que lui se présente à l'Assemblée à lui-même, glorieuse,
ayant ni tâche ni ride de l'insemblable, mais afin qu'elle fût sainte et irréprochable.
Quand l'on s'ouvre sur la déclaration remarquable de la première Création,
elle s'ouvre chose assez étonnante sur une exception grammaticale.
Je vous ai dit que Dieu créa les cieux et la terre, Dieu est au pluriel, créa une singulité.
Ce qui montre bien que la Création est imputée aux trois personnes divines, à la Trinité.
Le mot de Trinité ne se trouve pas dans l'écriture, mais certainement,
toute la pensée de la Trinité traverse, contient toute l'écriture.
Alors c'est Dieu, le Père, le Fils, le Saint-Esprit qui crée les singuliers.
C'est un acte de puissance, un acte unique de la divinité dans son ensemble,
bien que la Création soit plus particulièrement imputée, soit à Christ, soit à l'Esprit-Saint.
Il a formé ces choses par le Saint-Esprit,
et en même temps, toutes les choses ont été créées par Christ et pour Christ.
Lui, il est avant toute chose, et c'est sa première primauté en Colossien,
où il est le premier-né de toute la Création.
Les choses ont été créées par lui, c'est lui qui est le Créateur,
de sorte que naturellement, toute l'autorité lui,
Non seulement ça, mais aussi, il soutient toute chose par la parole de sa puissance.
De sorte que c'est Christ qui a formé toute chose pour lui-même,
selon le propos éternel de Dieu,
et lui-même soutient toute chose par la parole de sa puissance.
Si nous sommes encore en vie aujourd'hui,
si notre nature humaine vit, souffre, peine,
et si elle le vit, le soutien de la vie, c'est Christ lui-même.
Alors, dans les cinq premiers jours de la Création,
les choses sont arrangées, réarrangées, après la désolation et le vide,
qui sont mentionnés au début du verset 2.
Je pense que l'intervalle de temps entre les versets 1 et 2
nous présente les âges géologiques qui sont très clairement indiqués
dans les différentes couches de la géologie de la Terre.
C'est l'intervalle de temps entre les versets 1 et 2,
très clairement indiqués dans les différentes couches de la géologie de la Terre.
A partir de là, nous voyons que la Terre était désolation et vidée.
A partir du verset 3 jusqu'au verset 23, les cinq premiers jours de la Création,
Dieu réarrange, arrange ces choses pour sa gloire, pour sa joie.
Il manque encore quelque chose, c'est-à-dire que la Terre soit peuplée de l'homme, de l'humanité.
L'homme est créé au sixième jour à partir du verset 24.
L'expression « créé » n'est employée que trois fois dans ce chapitre.
Dieu créa les cieux et la Terre verset 1,
Dieu créa les grands animaux verset 21 et Dieu créa l'homme au verset 27.
Cette création de l'homme est le sommet de la puissance et de la grâce de Dieu dans la première création.
L'homme a été formé, créé par Dieu lui-même selon son propos,
faisons l'homme à notre image, faisons notre ressemblance.
Il y a eu donc un conseil divin, Père, Fils, Saint-Esprit engagés dans cette œuvre
pour que l'homme soit créé pour la gloire de Dieu.
En même temps, comme chef, momentanément au moins,
puisque nous verrons que tout de suite après l'homme a failli dans sa mission,
l'homme est placé dans la première création comme ayant l'autorité,
comme ayant le droit de gouverner sur ce monde habité
et comme ayant d'ailleurs une nourriture qui lui est donnée à partir du verset 28.
Le conseil divin c'est de faire l'homme à l'image et selon la ressemblance de Dieu.
L'image c'est le caractère moral, c'est très simple,
c'est très simple, l'image est une photographie de notre mère, c'est maman qui est sur la photographie.
L'empreinte est une représentation spatiale, c'est-à-dire qui donne le relief.
Le Seigneur d'ailleurs est l'empreinte de la substance divine.
C'est plus que la position de l'homme dans la première création.
L'homme est l'image, il a été fait selon la ressemblance de Dieu.
Les choses sont répétées dans le Nouveau Testament de façon très remarquable
pour marquer la position de l'homme à l'égard de la femme dans l'assemblée
et ensuite pour que nous gardions bien d'écraser l'homme, de le mépriser, de l'injurier même s'il est tombé très bas.
L'épître de Jacques nous dit qu'il est complètement hors de place, c'est un scandale devant Dieu,
d'injurier les hommes qui sont faits à l'image de Dieu et à la ressemblance de Dieu.
Dieu, l'homme a été fait par le conseil divin à l'image et selon la ressemblance de Dieu.
Très rapidement nous avons pû pécher et entrer dans le monde
et de ce moment-là, l'homme n'est plus tellement appelé à l'image de Dieu
mais beaucoup plus à la ressemblance.
Chapitre 5. Au jour où Dieu créa Adam et l'homme, il le fit à la ressemblance de Dieu.
Il les créa mal et femelles et les bénit et appela leur nom Adam, c'est-à-dire homme,
leur nom Adam, celui de l'homme et de la femme qui sont considérés comme un seul homme.
Et après, à partir de la descendance d'Adam, il a engendré un fils qui était à sa ressemblance selon son image.
La ressemblance est placée maintenant avant l'image.
Alors, l'homme a été formé pour garder cette création, pour jouir de la bonté divine dans cette première création.
Ce qui ne peut se connaître de Dieu, c'est-à-dire sa puissance éternelle et sa divinité,
sont donnés à connaître par le moyen des choses qui sont faites, c'est-à-dire c'est le témoignage de la création.
Le témoignage de la création est à la fois la gloire et la bonté de Dieu.
Psaume 19 nous en dit quelque chose.
L'homme a été placé dans la première création comme l'image de Dieu et à la ressemblance de Dieu.
Dieu a créé l'homme à son image. Il le créa à l'image de Dieu. Il les créa mâles et femelles.
C'est ainsi que la première création est complétée.
Dieu voit au septième jour, le jour de son repos, le jour du sabbat, que toutes choses étaient très bonnes.
Verset 31, c'est la première fois qu'il est dit que cela était très bon.
Jusque-là, tout était bon seulement. Maintenant, cela est très bon.
Et maintenant, le dernier jour, le jour du sabbat, la première semaine est sanctifiée, mise à part,
et c'était le souvenir du repos de Dieu dans la première création.
Ce repos a très vite été troublé par l'introduction du péché dans ce monde.
Alors, au verset 7, où l'histoire est représentée à nouveau, maintenant dans son caractère moral,
en rapport avec la position, le titre que Dieu prend de l'éternel Dieu.
L'éternel Dieu, verset 4 du second chapitre. Au début, c'était Elohim, maintenant c'est Jéhovah.
Là, quelque chose est ajouté, c'est que l'éternel Dieu a formé l'homme poussière du sol,
il a soufflé dans ses narines une respiration de vie, et l'homme est devenu une âme vivante.
L'homme est créé de l'argile, créé de la terre, et plus tard, à cause du péché, il doit retourner à la terre.
C'est la raison pour laquelle le corps séparé de l'âme, après la première mort,
retourne à la poussière, à la poussière du sol, d'où il avait été formé.
Nous ne sommes que de l'argile dans la main du potier.
Christ, et nous en dirons un mot tout à l'heure, si le Seigneur le permet, est un homme céleste.
Il n'est pas un homme qui vient de la terre et qui est formé de la terre, c'est un homme qui descend du ciel.
L'éternel Dieu a créé l'homme, il a formé l'homme poussière du sol, il a soufflé dans ses narines une respiration de vie.
C'est le seul acte de puissance divine en rapport avec la création humaine, qui sont mentionnées ici,
qui est tout à fait différent de la création et de la vie animale.
Alors la vie animale, cela peut-être surprendra quelqu'un, la vie animale a comme caractère d'avoir une âme vivante.
Verset 30 du chapitre 1er, tout ce qui rentre sur la terre, tout ce qui en soit, a une âme vivante.
Au déluge, tous les animaux ont disparu, sauf ceux qui avaient trouvé refuge dans l'arche.
Eh bien, l'âme vivante est le caractère qui le distingue de la création inanimée, soit minérale, soit végétale, c'est le caractère de la création animale, l'âme vivante.
L'homme est au-dessus dans la dispensation de la première création, l'homme est au-dessus et a l'esprit, c'est le souffle.
Et le souffle qui est donné ici comme étant la respiration de vie est le souffle divin que Dieu souffle dans un homme pour lui donner la vie dans le corps.
De sorte que l'homme est formé de cette partie matérielle de l'être qui est le corps, de l'âme qui est le siège essentiellement des sensations,
et l'esprit qui est la partie supérieure de l'être.
L'esprit qui, éclairé par le Saint-Esprit après la conversion, peut nous amener à connaître, à comprendre, à être en relation avec la divinité elle-même, avec Dieu lui-même.
Le caractère donc essentiel de l'homme par rapport aux autres formes de la première création, c'est d'avoir un esprit.
L'esprit ne peut pas être touché par la mort en particulier.
Alors quelquefois l'âme est présentée comme étant le vase, la partie matérielle de l'être, esprit et âme tout ensemble.
Les âmes de ceux qui sont égorgés sous l'autel dans l'Apocalypse 6, nous parlent de ceux justement qui ont donné leur vie pour le témoignage du Seigneur et qui attendent la première résurrection.
D'ailleurs leur parle ne sera pas perdue, on les retrouve nommément désignés en l'Apocalypse 20, verset 4.
Et on peut dire que Paris, à Tramuros, a une population de 3 millions d'âmes.
Donc il s'agit ici de l'être, la personne, des hommes, des êtres, hommes et femmes.
Mais essentiellement ce qui caractérise l'homme, c'est l'esprit, avec un petit e, et l'esprit, la partie supérieure de l'être qui nous permet d'être en relation avec Dieu lui-même.
C'est un acte de puissance divine qui donne la vie à l'homme.
Chaque fois qu'un enfant naît dans ce monde, dans une famille chrétienne, dans une famille quelconque, en dehors des familles tristement maintenant souvent,
et bien c'est un acte de puissance divine qui donne la vie dans le corps, dans la première création.
Cette vie dans le corps est interrompue par la mort lorsque l'âme et l'esprit sont séparés du corps.
Pour un croyant, l'esprit et l'âme sont réunis vers Christ aujourd'hui, tu seras avec moi sans délai dans le paradis.
Pendant que ce jour même s'achève et que les soldats romains alleront tes jambes brigandes pendant le temps, tu seras aujourd'hui avec moi sans délai dans le paradis de Dieu.
Alors voilà ce qui est dans la première création, ce qui donne à l'homme une position tout à fait autre, indépendante de toute autre création, toute autre créature,
et c'est qui en fait un être à la fois responsable et un être capable de penser et capable d'avoir des affections.
Il y a beaucoup de réactions animales chez les animaux domestiques en particulier, même la parole nous en parle.
Un animal retournera vers son maître, des animaux peuvent être formés, mais ce ne sont pas des êtres responsables.
Après la mort, tout est terminé pour l'animal.
C'est pour ça que Victor Hugo s'est complètement trompé en s'apitoyant sur ce chien.
Où va le chien au nuit ? Il ferait mieux de s'occuper d'où allaient les âmes des 3 millions d'hommes qui sont dans ce monde, dans cette ville,
et des combien ? 5 milliards d'hommes dont probablement la plupart n'ont ni Christ ni sauveur.
Mais voilà la réalité divine, Dieu a formé l'homme en soufflant en lui une respiration de vie.
Alors on peut dire en passant d'ailleurs que pour distinguer le terme fondamental, pour distinguer l'esprit de l'âme,
habituellement l'esprit est en rapport avec le souffle, souffle et esprit sont un même mot.
En Job, notre cher traducteur nous le souligne dans plusieurs passages, l'esprit est en rapport avec pneuma et l'âme est en rapport avec psyché.
C'est-à-dire psyché, tout ce qui est psychologie, c'est quand même la partie inférieure de la partie supérieure de l'être.
Alors que le souffle, le souffle de la vie, le souffle de la respiration divine, de la respiration dans l'homme, ce souffle-là il est donné par Dieu.
L'homme devient maintenant une âme vivante et un être responsable et un être qui est capable d'aimer et tristement aussi de haïr.
Comment les choses se forment maintenant ? L'homme est invité par Dieu à jouir de la première création à partir du chapitre 2
et l'homme est installé par la bonté divine, placé dans un jardin, le jardin de l'Église.
L'Éden, le paradis de Dieu, c'est le premier paradis qui va être fermé à l'homme à la fin du chapitre 3, bien tristement.
Ce paradis est un paradis qui est planté de tout arbre bon à manger, agréable à voir.
Il y a deux arbres, l'arbre de la connaissance du bien et du mal, l'arbre de la vie.
Et puis il y a quatre rivières qui en sortent, dont deux, on a perdu la trace de deux,
et les deux autres ce sont les deux fleuves qui auront un rôle si important dans les événements prophétiques à venir,
c'est-à-dire les deux fleuves de l'Euphrate et du Tigre, Tigre qui est l'île d'Ékel.
Ces deux fleuves qui se retrouvent au château d'Arabes et qui tombent dans le golfe Persique à proximité du théâtre terrible de la guerre entre l'Iran et l'Irak.
Le jardin d'Eden est un lieu de délice et la position de privilège, d'autorité confiée à l'homme par Dieu,
lui est reconnue en ce sens qu'il est l'invité de Dieu dans cette première création pour gérer les choses.
Il avait à garder le jardin, il avait à le cultiver sans peine, une vapeur arrosait le sol,
il n'a pas ni ronces ni épines, il n'a pas le souvenir de cette terrible première création,
de ce jugement initial qui a été porté par le front sain et pur de notre sauveur bien-aimé,
lorsque cette couronne d'épines a été placée sur lui.
Et qu'a fait l'homme ? Et bien d'abord il était seul,
et Dieu n'a pas trouvé pour l'homme une aide, une compagne qui lui corresponde.
Il a formé et bâti cette femme qui est la prise de l'homme lui-même.
Alors si en Adam nous voyons la figure du second homme et du dernier Adam,
en Ève cette femme qui a été donnée par Dieu à l'homme, nous le voyons ici,
la figure de l'Église, c'est pour ça naturellement que nous avons lu tout à l'heure Éphésiens 5.
C'est l'éternel Dieu, c'est-à-dire le Jéhovah en relation maintenant en bonté avec l'homme,
qui forme une femme de la côte qu'il avait prise de l'homme, il la forme, il la bâtit.
Adam doit tomber dans un profond sommeil qui est l'image pour nous de la figure de la mort
que Christ a connue pour que au-delà et à travers la mort,
cette épouse pour laquelle il a tout donné, lui soit donnée par le Père lui-même.
L'assemblée de Dieu laquelle il a acquise par le sang de son propre fils.
La côte, nous l'avons souvent rappelé, elle est sous le bras, la protection,
elle est bien à côté du cœur, le siège des affections.
Alors cette femme est bâtie de la côte que Dieu avait prise de l'homme
et il en constitue maintenant la compagne légale en même temps que celle qui est à côté
et dans la position de soumission à l'égard de son mari.
Cette fois, on a la satisfaction de l'homme qui reçoit ce don directement de la part de Dieu.
Cette fois, celle-ci est os de mes os, chair de ma chair,
celle-ci sera appelée femme parce qu'elle a été prise de l'homme.
On voit ici non seulement l'image de l'épouse qui est donnée à Christ comme l'agneau, comme l'époux,
mais on voit ici l'image du corps.
Le corps de Christ constitué de tous les vrais rachetés du Seigneur,
tous ceux qui ont la vie de Dieu, celle et de l'Esprit,
et le corps de Christ et Christ en est le chef, la tête.
Et c'est la seconde primauté de Christ dans l'Épître aux Colossiens.
Lui est avant toute chose, toute chose subsiste par lui, il est le commencement,
le premier aîné d'entre les morts, afin qu'en toute chose, il tienne lui la première place,
l'être chef du corps de l'Assemblée.
Cette primauté de Christ dans la seconde création, lui est reconnue,
est acquise par la parole faite chair et par la mort de notre Sauveur bien-aimé.
Je voulais essayer de placer, de faire la comparaison maintenant
entre ce qu'il nous est dit ici du premier Adam, de la première création,
et ce qu'il nous est dit de Christ qui est dans la seconde création, ce chef.
Sans négliger en aucune manière le fait que Christ reste,
demeure éternellement, pas éternellement parce que la création passera,
demeure le chef de la première création à travers la mort, au-delà de la mort,
et il prend sa place comme le chef d'une nouvelle création.
Il y a une contrepartie, il y a à la fois des oppositions et beaucoup de similitudes
entre les deux créations.
La première création, elle est caractérisée, c'est l'œuvre de Dieu,
la première création est caractérisée par le premier jardin d'Élis, l'Éden.
Ce jardin a été fermé à l'œuvre à la suite de la chute,
qui nous est décrite dans le chapitre 3.
Au contraire, la nouvelle création, elle a un jardin, un paradis,
qui est pour nous la figure du ciel.
Le paradis, c'est ce qui a été promis aux brigands recantants.
On comprend bien qu'en fonction des souffrances épouvantables que cet homme supportait,
d'ailleurs justement de la part de l'homme à cause de ses forfaits,
le Seigneur lui promet quelque chose d'infiniment au-delà de ses souffrances présentes
qui allaient s'achever avant que ce jour s'achève,
et lui promet le paradis de Dieu.
Ce paradis, c'est le lieu de délice d'un jardin perçant.
Dans le paradis de Dieu, il n'y a plus qu'un seul arbre,
l'Apocalypse 21 et 22 nous le disent bien clairement.
L'arbre de la connaissance du bien et du mal,
qui est en rapport avec la responsabilité de l'homme, n'a plus de place
parce que la question de la responsabilité de l'homme a été vidée,
finalement réglée, résolue à la gloire de Dieu par Christ lui-même.
Mais il reste l'arbre de vie.
Alors cet arbre de vie qu'heureusement Adam n'a pas pu toucher
parce que autrement le monde eût été peuplé de pêcheurs
qui n'auraient pas eu de cessation de vie.
Ils n'auraient en aucune manière eu la vie éternelle parce que la vie éternelle c'est Christ.
Mais ils auraient été immortels, ils n'auraient pas connu la vie,
la cessation de la vie dans le corps.
C'est-à-dire qu'ils étaient pécheurs et misérables
sans que cette position puisse s'achever.
Et bien Dieu n'a pas permis qu'il en soit ainsi.
Au contraire, l'arbre de vie, je vous rappelle que si la vie est dans le Fils,
cette vie est entretenue maintenant dans les saints,
dans cette nourriture parfaite qui est Christ.
L'arbre de vie c'est Christ.
Il y a les feuilles qui sont pour la guérison des nations pendant le millennium
et il y a l'arbre de vie qui porte des fruits qui sont la nourriture des saints.
C'est comme le pommier dans les quantiques des quantiques.
Le pommier à la fois a une ombre rafraîchissante et il a un fruit qui nourrit
et qui est une joie pour le corps.
Christ est ce véritable arbre de vie,
cet arbre de vie qui est pour la guérison des nations dans ses feuilles
et pour la nourriture des saints dans son fruit.
Un fruit mûr et parfait que Christ se présente à lui-même
qui est comme sa chère église.
Donc il y a les deux créations.
Il y a les deux chefs de la première et de la seconde création.
Adam qui a été, on peut le dire, en fait remplacé par Christ
parce que Adam a tout de suite fait faillite.
Et dans la seconde création, il y a celui qui est le fondement même de la première création
qui en est le commencement, c'est-à-dire l'origine,
qui en est celui qui en manifeste aussi toute la beauté.
Et dans ce caractère-là, on trouve en Zacharie,
dans les deux chapitres 3 et 4, sauf erreur,
quelque chose qui est très touchant à cet égard-là.
Zacharie 3.
À partir du verset 8, on entre dans la seconde création.
Écoute, Joshua, grand sacrificateur.
Zacharie 3.8, verset 8 à la fin.
Mon serviteur, le germe, voici la pierre que j'ai placée devant Joshua.
Sur cette seule pierre, il y aura sept yeux.
C'est-à-dire, Christ est la fondation.
Christ est le fondement.
Et puis au verset 7, il a la pierre du fête
avec des acclamations, grâce, grâce sur elle.
Dans une voûte en pierre, la pierre centrale,
la pierre de fête, la clé de voûte, est fondamentale.
Si la clé n'est pas bien placée ou si elle s'en va,
la voûte s'effondre.
Non seulement Christ est la stabilité de ce merveilleux édifice,
mais il est aussi l'ornement.
C'est généralement sur la clé de voûte qu'on peut placer
la coquille ornementale ou d'autres manifestations,
les initiales, ceux qui ont fait la voûte.
Christ est donc à la fois ce fondement merveilleux,
cet édifice spirituel.
Dans la seconde création, il en est l'ornement parfait.
On remarquera en passant d'ailleurs que,
je pense que c'est ce matin à la suite de notre méditation,
on remarquera qu'au chapitre 6,
l'autre mention du germe,
qui est ici l'homme,
un homme dont le nom est germe, il germera de son propre lieu,
est celui qui maintenant distribue les couronnes.
Christ est celui qui reçoit cette couronne d'orphins
de la main de son Père.
En même temps, il distribue les couronnes.
Nous en aurons tous des couronnes, comme rois.
Et nous serons bien contents, en l'Apocalypse 4,
de les jeter aux pieds de celui à qui toute gloire revient,
de sorte que les rois du chapitre 4 se prosternent,
jettent leurs couronnes aux pieds de celui qui est
le grand vainqueur et le grand roi des rois,
le Seigneur des Seigneurs.
Et au chapitre 5, c'est les cœurs et les affections
qu'ils amènent dans la coupe de leur cœur
à celui aussi qui demeure l'agneau
qui a été immolé pour le temps et pour l'éternité.
Dans la seconde création, nous avons donc Christ
qui en est le commencement.
Il est le témoin fidèle et véritable à l'Odyssée.
Lorsque l'Église a cessé d'être ce témoignage
qu'elle aurait dû être au milieu du monde,
Christ va reprendre en main lui-même son propre témoignage
parce qu'il est le témoin fidèle et véritable.
Et pour ceux qui ont la foi,
ceux qui pourraient être découragés en voyant
la faillite de l'Église,
ce qui est le triste état du témoignage
depuis les derniers jours,
et bien le Seigneur se présente comme le commencement
de la création de Dieu.
Donc Christ reprend d'abord dans la première création
et ensuite en introduisant la seconde création,
reprend ce que l'homme n'a pas su faire
selon la pensée de Dieu.
Il est ensuite dans la première création
l'homme qui avait été placé
dans lequel Dieu avait soufflé la respiration de vie.
C'est la vie humaine.
Et à cela correspond dans la nouvelle création
la pensée qui nous est présentée en Jean XX.
A la fin de la soirée du premier dimanche,
le Seigneur manifeste à ses disciples,
entre bien que les portes soient fermées,
c'est sa puissance divine,
en même temps c'était l'homme
ressuscité,
qui allait être glorifié, élevé dans la gloire,
et il reçoit, il voit ses disciples,
il leur souhaite la paix,
la joie.
Les disciples se réjouirent
quand ils virent le Seigneur.
Alors, Christ souffle,
dans les onze qui étaient assemblés,
souffle en eux cette respiration divine,
cette respiration de vie,
de l'être renouvelé,
de l'esprit de Christ ressuscité.
Alors, disons bien clairement,
ceci n'est pas la descente du Saint-Esprit
comme personne divine
au moment où l'Église a été baptisée de l'Esprit-Saint
au jour de la Pentecôte.
C'est en fait cinquante jours avant,
peut-être quarante-huit jours avant,
essentiellement cette semaine-là.
Ici, il nous est dit,
comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie,
et il souffle en eux,
et il leur dit, recevez l'Esprit-Saint.
Il s'agit ici de l'Esprit de Christ ressuscité,
qui est soufflé dans l'être renouvelé,
dans un croyant,
qui maintenant reçoit l'Esprit de Christ ressuscité
avant d'être scellé du Saint-Esprit,
après le baptême de l'Église.
Par le Saint-Esprit, acte 2.
C'est exactement la contrepartie,
dans la seconde création,
de ce qu'était l'acte de puissance divine
lorsque l'éternel Dieu a soufflé dans Adam,
la première créature humaine,
l'Esprit de la vie humaine.
Et cet Esprit maintenant est avec nous éternellement.
L'homme, du point de vue de son âme et de l'Esprit,
l'homme est immortel.
La première mort,
séparation du corps et de la partie matérielle,
esprit et âme,
marque un terme.
Mais devant Dieu, tous vivent.
Et penser et s'imaginer que l'âme meurt,
et s'imaginer que tout est fini après la première mort,
c'est une épouvantable et terrible séduction de l'adversaire,
puisqu'en fait cela réduit pour le temps simplement présent
les conséquences de nos actes,
ce qui est complètement en dehors de la pensée de Dieu.
C'est-à-dire que c'était une des choses,
ni à la résurrection, même à Corinthe,
c'était en fait une des séductions de l'adversaire.
Et puis, en fait, cela revenait aussi
à priver les croyants de leurs bénédictions les plus heureuses,
puisqu'ils n'avaient pas le monde,
le monde leur était refusé,
puisqu'ils étaient des témoins,
ils étaient des voyageurs et des étrangers,
et s'il n'y avait rien au-delà,
ils étaient, dit Paul en 1 Corinthien 15,
plus misérables que tous les hommes.
Il y a une autre analogie
et une autre contrepartie
entre le premier homme et le second homme,
c'est que Christ est appelé,
dans 1 Corinthien 15,
pour la seule fois dans l'écriture,
à notre connaissance,
à la fois le second homme et le dernier Adam.
Alors le français, pour cela,
a la supériorité sur beaucoup d'autres langues,
parce que lorsqu'il y a plusieurs objets qu'on classe,
on présente les uns à la suite des autres,
lorsqu'il n'y en a que deux,
on appelle le premier et le second.
Lorsqu'il n'y en a plusieurs,
les trois épitres de Jean,
la deuxième, c'est la deuxième,
ce n'est pas la seconde.
Alors ici, il y a deux hommes,
le premier et le second,
ce qui prouve qu'il n'y en a que deux.
Mais en même temps,
c'est Christ et le dernier Adam,
ce qui prouve qu'il n'y en aura pas d'autres.
Parce qu'en définitive,
dans la pensée de Dieu,
tout s'achève en Christ.
Il ôte le premier afin d'établir le second.
Donc en Christ, nous trouvons
l'en-lui et le oui et la mène,
la réponse finale, complète,
à tout le conseil et à toutes les pensées de Dieu.
Et ce que l'homme, dans sa première condition,
n'a pas su faire,
Christ a repris les choses en main
et a établi la gloire de Dieu
dans sa personne adorable.
Le premier homme a failli,
le premier homme a été désobéissant jusqu'à la mort,
le second homme, maintenant,
lui, entre dans la sphère de son service
comme le vrai esclave volontaire.
Philippe 1, 2,
combien c'est une chose importante pour nous,
d'être occupé de ces choses.
Philippe 1, 2, nous présente la contrepartie,
l'opposition complète qu'il y a eu
entre le premier Adam,
qui n'était en définitive qu'une créature,
et qui s'est pris pour l'homme en charge de tout
et qui a regardé comme un objet à ravir
d'être égal à Dieu,
qui a essayé de ravir la gloire de Dieu.
Au contraire, le second homme, lui,
était Dieu, béni sur toutes choses éternellement,
il s'est anéanti et a pris la forme humaine,
sans cesser toutefois d'être Dieu.
Il est l'homme Christ Jésus,
à la fois parfaitement homme
et parfaitement Dieu.
Dans cette position humaine,
il a pris la dernière place.
Il s'est anéanti comme homme,
il s'est abaissé jusqu'à la mort,
à la mort de la croix.
Le premier homme avait été désobéissant,
la défense de Dieu était tout à fait claire.
Et c'est Satan qui a suggéré à la femme,
qui a dit la même chose à son mari,
a suggéré à la femme et à Adam
que Dieu avait peut-être dit que ce n'était pas sûr.
Si c'était bien sûr,
ils ont touché, ils ont été chassés
et la mort s'en est suivie.
Au jour où vous en mangerez,
vous mourrez certainement.
Ce n'est pas peut-être,
c'était tout à fait sûr.
Et actuellement, le cortège de maladie,
le cortège de mort,
que nous connaissons depuis 60 siècles,
nous montre bien que Dieu avait bien dit juste.
Il avait raison.
C'était l'homme qui avait tort.
Alors ici,
Christ reprend cette histoire
à la gloire de Dieu.
Il y avait enfin sur la terre
un homme obéissant.
Et il faut que le ciel s'ouvre,
c'est impossible.
Et dans son autrement,
au baptême de Jean,
voilà, celui-ci est mon fils bien-aimé,
dans qui j'ai trouvé mon plaisir.
Quinze jours avant sa mort,
sur la montagne de la Transfiguration,
celui-ci est mon fils bien-aimé.
Écoutez,
voilà, celui-là,
c'était l'homme Christ Jésus.
Cet homme a été obéissant jusqu'à la mort
et jusqu'à la mort de la croix.
C'est-à-dire,
il a eu une crèche pour entrer dans ce monde,
une croix pour en être chassé,
comme un malfaiteur.
Voilà ce que l'homme a dit de Christ,
ce que l'homme a fait pour lui et de lui.
Et bien, rien n'a arrêté,
ni son ineffable amour,
ni son arc,
qui est vraiment demeuré ferme,
comme le vrai Joseph.
Alors, s'il y a eu un premier homme qui a failli,
il y a maintenant un second homme qui a été obéissant
et qui est l'homme des conseils et des conseils de Dieu.
En même temps,
s'il y a eu un premier Adam,
il y en a eu un dernier,
le second homme, le dernier Adam.
Alors, comme tel,
le dernier Adam est essentiellement,
nous montre,
dans 1 Corinthians 15,
la différence entre l'être humain terrestre,
formé de la terre,
et maintenant,
l'être céleste,
Christ, l'homme céleste,
qui vient du ciel.
Jean 3, nous dit,
vous, vous êtes de la terre,
nous dit d'eau juive.
Eh bien, moi, je suis du ciel.
Je peux parler du ciel,
parce que je descends du ciel,
je viens du ciel,
et je connais les choses qui s'y passent,
puisque c'est la demeure éternelle et familière du Fils.
Vous, vous êtes formé d'en bas,
vous êtes créé de la terre,
le Seigneur est venu du ciel.
C'est la raison pour laquelle,
le souverain sacrificateur avait une robe de bleu.
C'est la raison pour laquelle les trois voiles,
les vêtements de gloire et de beauté du sacrificateur,
et la couverture intérieure du tabernacle,
qu'on ne voyait que de l'intérieur,
avaient comme caractère,
à part les autres matières,
avaient du bleu,
c'est le caractère céleste,
l'homme Christ Jésus.
Alors, disons en passant, d'ailleurs,
que Christ est celui,
la personne inconnaissable du Fils,
celui en qui toute la plénitude de la déité
ne s'est plus à habiter,
elle habite en lui,
en Christ, corporellement.
Nous sommes maintenant accomplis,
édifiés en lui.
Il a été homme au moment de sa venue ici-bas.
Avant, il était le Fils éternel du Père.
Il demeure Fils pour l'éternité.
La raison pour laquelle, d'ailleurs,
Melchizedek, dans les questions hébreux 7,
nous a dit,
c'est en ayant ni commencement de jour,
ni fin de vie,
qu'il a été assimilé au Fils de Dieu.
Christ est homme,
Christ est Dieu.
Dans sa divinité,
Christ n'a pas quitté le ciel
lorsqu'il est descendu sur la terre
pour être un homme.
Il n'a pas non plus quitté la terre
lorsqu'il est monté dans le ciel
comme homme glorifié.
Comme Dieu,
il a non seulement la prééminence,
mais il est présent en tout lieu.
Il a toute puissance.
Il a tout pouvoir.
En même temps, comme homme,
il est présent en un lieu.
Le Seigneur peut passer les portes
du lieu où les disciples étaient
par crâne des juifs qui étaient fermés,
tous les verrous fermés,
entre au-delà de la capacité
de la nature humaine.
En même temps,
il mange avec ses disciples même
dans ce corps de ressuscité.
On sent bien qu'on est devant
un infini merveilleux.
Et le fait que personne ne connaisse
le Fils si ce n'est le Père
ne nous empêche pas de désirer
avec une très profonde ardeur
de continuer davantage et de plus en plus
à comprendre Christ,
à faire des progrès dans la connaissance
puisqu'en définitive,
la vie chrétienne,
le sommet de la vie chrétienne,
c'est de connaître celui qui est
dès le commencement.
Et il s'agit bien dans la famille chrétienne
1 Jean 2 et verset 15 à 28,
sauf erreur,
il s'agit tout à fait de connaître Christ,
celui qui est dès le commencement.
Le connaître Lui,
la puissance, la résurrection
et la communion de ses souffrances.
Alors cet être,
cette personne inconnaissable du Fils,
disons en passant que c'est la deuxième
personne de la divinité,
et que le fait qu'il y ait
l'ordre de Matthieu 28,
Père, Fils et Saint-Esprit,
ne suppose en aucune manière
qu'il y ait indépendance
des personnes divines les unes
par rapport aux autres
dans l'ordre qui nous est donné,
et qu'il y ait infériorité du Fils
par rapport au Père,
ou qu'il n'y ait une prééminence quelconque.
Simplement l'ordre est
la seule personne inconnaissable
de la divinité,
Père, Fils, Saint-Esprit,
distinguée mais jamais séparée.
Jean 1, premier verset,
Au commencement était la parole,
éternelle dans son existence.
La parole était auprès de Dieu,
distinct dans sa personne.
La parole était Dieu,
divin dans sa nature.
Rappelons-nous, c'est tout.
Tout y est,
mais nous serons gardés,
en gardant ces choses très précises
et très simples,
nous serons gardés de tout ce qui a,
au fond, dévoré la chrétienté
depuis bien des siècles,
lorsqu'on a commencé à s'attaquer
à la personne de Christ.
Pour penser que sa divinité
n'était peut-être pas éternelle
et bien d'autres choses
sur lesquelles il n'est pas nécessaire
d'assister,
restons simples et soyons occupés
du bien et de Christ lui-même
pour être pratiquement gardés du mal
et des erreurs qui ont ravagé,
en particulier les témoignages
dans les années 1850 et 1880.
Christ, nous avons donc la plénitude
de la divinité qui ne s'est plus à habiter.
Il est devenu homme,
il reste homme éternellement.
Comme homme,
il a été loin de l'Esprit-Saint,
loin de l'Esprit-Saint et de puissance.
Il nous a dit que 2 Corinthiens,
5 dieux, étaient en Christ.
Il nous a dit aussi
qu'il était avec Christ,
de la même manière qu'il a été
avec David, avec Joseph,
avec plusieurs hommes de foi
dans les dispensations antérieures.
Et le caractère de Christ,
c'est qu'il était la plénitude
de la révélation divine.
La raison pour laquelle,
il nous a dit d'ailleurs
qu'il est l'image du Dieu invisible.
C'est une image qui est
beaucoup plus complète,
beaucoup plus pleine
et qui ne peut pas être ternie
puisque c'est la perfection
de la divinité.
En Christ, homme,
nous voyons l'expression,
l'image du Dieu invisible.
L'expression se trouve
dans sa seconde primauté,
dans sa première primauté
de Colossiens 1.
Et la pensée est répétée
en rapport avec l'évangile
de la gloire du Dieu bienheureux
en 2 Corinthiens 4.
En même temps,
il est celui qui nous révèle le Père.
Il n'est pas l'image du Père.
Parce que le Père implique,
le nom de Père implique en soi-même
la pensée de la relation.
Le Dieu et le Dieu est Père
de notre Seigneur Jésus Christ
par grâce qu'il est notre Père
et notre Dieu.
Lorsque Dieu est présenté comme Dieu,
Christ est présenté comme homme.
Lorsque Dieu est présenté comme Père,
Christ est présenté comme Fils.
Il est le Fils éternel du Père
et il est celui qui nous révèle le Père.
De sorte que les disciples,
en Jean 14,
n'avaient pas compris,
parle-nous du Père,
montre-nous le Père,
mais vous avez vu en moi
l'image du Dieu invisible,
mais vous avez vu en moi
celui qui révèle le Père,
celui qui m'a vu, a vu le Père.
Et cela nous introduit,
le Père implique toujours
une question de relation,
mais beaucoup plus d'affection.
La raison pour laquelle
la clé même de Jean 17,
cette merveilleuse prière,
c'est le nom de Père.
Le Seigneur parle de son Père,
celui qui est tout pour lui
et qui maintenant sera tout pour nous,
par pure grâce.
Alors dans ces deux expressions,
du premier Adam et du dernier Adam,
et je voulais dire un mot,
peut-être avant de terminer,
nous avons les deux chefs de races.
Je crois que pour les jeunes en particulier,
sur le plan pratique,
c'est de toute importance
de bien être au clair sur ces choses.
On peut penser quand même
que ça fait très loin la chute,
ça fait 60 siècles.
Est-ce que Dieu ne serait pas injuste finalement
en nous faisant payer l'erreur
de notre premier Père ?
Non, parce que dans le conseil divin,
en fait, à partir du moment
où la chute est introduite,
la désobéissance,
c'est tout le cortège des conséquences
et conséquences de la responsabilité
qui sont intervenues.
Et c'est une chose actuellement
contre laquelle nous ne pouvons rien.
Dieu ne nous demande pas raison
du fait que je sois vivant,
puisque c'est la responsabilité
de mes parents.
Mais Dieu me demande compte
de ce que je fais,
de ce que j'aurais fait de Christ,
de la manière dont je l'aurais reçu
ou non comme sauveur,
de la manière comme chrétien,
de la manière dont je l'aurais
ou non honoré, suivi et servi
dans ce monde.
Voilà les vrais problèmes
de la vie chrétienne.
Le premier, c'est de trouver Christ
comme sauveur et ensuite,
et l'ayant connu,
c'est de le connaître
comme seigneur de nos âmes,
comme chef du corps,
tête du corps de l'assemblée
et comme celui qui est digne
d'être servi, d'être suivi.
Si quelqu'un me sert,
qu'il me suive.
Donc, les choses étant ce qu'elles sont,
à partir du moment
où Adam est tombé,
il a engendré
ses deux premiers enfants,
donc Abel et Caïn,
il les a engendrés dans le péché.
Et c'est ce qui faisait
justement souffrir Job.
Il a été conçu dans le péché.
Nous sommes là,
mais Dieu ne nous demande pas
compte, raison de cette chose-là.
C'est les parents qui ont pris
la responsabilité
de la naissance de leurs enfants.
L'enfant n'est pas responsable
de venir au monde.
Ce sont ses parents
qui ont pris cette responsabilité.
Mais maintenant,
il y a une propitiation.
Il y a un sauveur,
il y a un chemin pour en sortir.
Il faut sans cesser d'être
lié à la première création
de notre corps de souffrance.
Il faut passer dans l'autre,
la deuxième création.
Alors, quelle est la première création ?
Cette première création,
déchu et tombé,
c'est Adam qui en est chef de race.
Le péché est entraîné en monde
par un seul homme,
Romains 5, 12.
La mort est passée à tous les hommes
lorsque tous ont péché.
Non seulement nous sommes pécheurs,
capacités de péché,
mais la première,
nous avons tous péché,
sans exception.
Alors le péché prend une forme
particulière lorsque la loi est donnée,
c'est-à-dire
lorsqu'on a un commandement,
une loi,
et si on ne la respecte pas,
on transgresse la loi.
Le péché n'était pas placé,
mis en compte,
pris en compte
dans l'homme
avant la loi
parce qu'il n'y avait pas de loi
qui définissait,
bien que
la dispensation de la conscience
à partir de Noé
établit tout à fait clairement
la responsabilité de l'homme.
Et jusqu'à la loi,
la transgression,
le péché n'était pas pris en compte
et à partir de la loi,
il devient transgression.
Alors la suite,
le péché, la mort,
la transgression,
la faute,
le jugement,
la condamnation.
Première colonne,
c'est la première création.
Alors ce qu'il y a de terrible,
c'est que
par un seul homme,
le péché est entré dans le monde
et puis
ceux qui sont reliés
à la première création
à attendre,
nous sommes tous,
tous les plusieurs,
c'est-à-dire tous ceux
qui sont de cette catégorie-là,
de cet ensemble,
eh bien participent aux mêmes choses.
Donc le résultat,
c'est la mort et la condamnation.
Il faut pour en sortir quelque chose,
il faut quelque chose d'extérieur.
Il faut la croix de Christ.
Il faut l'avenue
de la parole faite chère dans ce monde.
Il faut l'œuvre de la croix
et il faut le travail de la grâce
dans notre cœur
pour que cette œuvre
nous soit imputée
à la fois en grâce et en justice.
Et voilà comment Christ devient maintenant,
dans la nouvelle création,
le chef de ce nouveau système.
La deuxième colonne.
Christ, maintenant,
par un seul homme,
le péché est entré dans le monde,
maintenant,
par l'obéissance d'un seul,
parce que le premier a été désobéissant,
plusieurs pourront être constitués justes.
Mais alors la différence,
c'est que dans la première création,
dans le premier système,
celui d'Adam,
les plusieurs c'est tous les hommes,
alors que dans la deuxième,
les plusieurs qui sont constitués justes
ne sont ceux qui ont mis leur confiance en Christ seulement.
De sorte qu'il n'y a absolument pas
ni de salut universel,
ni de seconde chance,
contrairement à ce qu'on continue à enseigner
dans le monde christianisé aujourd'hui.
Il n'y a pas de seconde chance
au-delà de la vie maintenant présente,
à la mort tout est terminé,
et il n'y a pas d'autre salut qu'en Christ,
il n'y a pas d'autre nom
qu'un nom donné sous le ciel
par lequel il nous faille être sauvés.
Alors, le don de grâces,
verset 15 de Romains 5,
la grâce de Dieu,
le don est abondé envers plusieurs
par la grâce qui est d'un seul homme,
Jésus Christ.
Alors le don de grâces est en justification,
et la justification est une justification de vie.
D'ailleurs non seulement nous sommes pardonnés,
nous sommes graciés,
nous sommes justifiés,
agréables devant le bien-aimé,
on a enculé l'expression ce matin et tout à l'heure,
nous sommes devant Dieu sans conscience de péché,
nous ne sommes encore que péchés en nous-mêmes,
mais le péché ne pèse plus sur notre conscience
parce que nous savons que les choses ont été réglées
par Christ à la croix.
Et cette justification est une justification divine
qui est vitale,
qui donne la seconde création dans Christ
qui est la vie lui-même.
Celui qui a le Fils a la vie,
celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie,
c'est le grand et puissant témoignage
des trois témoins, l'Esprit, l'eau et le sang.
Ces trois font d'accord sur un même témoignage,
la vie est dans le Fils,
celui qui a le Fils a la vie,
celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie.
C'est 1 Jean 5 verset 21.
Voilà la conclusion de cette seconde création,
ce second chef de race.
Tout est en Christ, c'est merveilleux.
En Christ il y a donc comme chef cette nouvelle race,
cette introduction dans la nouvelle création,
il y a le salut, il y a la paix, il y a la joie en lui.
Et dans cette nouvelle création il y a un édifice,
une maison de Dieu.
Moïse autrefois avait été fidèle sur sa maison,
Christ hébreu 3 a été fidèle sur sa propre maison,
il est établi chef de cette maison.
Nous sommes maintenant désignés comme étant les compagnons du Christ.
Christ est le chef de la maison de Dieu.
Cette maison est une maison spirituelle constituée,
selon l'expression de Ephésiens 2 et de 1 Pierre 2,
de pierres vivantes sorties de la carrière du monde
et constituées en un édifice spirituel.
Donc Christ est à la fois le fondement et l'ornement,
nous l'avons rappelé,
par rapport avec le passage de Zacharie.
Les droits de Christ sont connus,
doivent être connus par tous les rachetés du Seigneur
dans cette maison qui est la sienne,
dans laquelle Dieu habite par le Saint-Esprit.
Père, Fils, Saint-Esprit.
Cette maison est aussi, l'ensemble des rachetés,
est un troupeau.
Donc Christ est le vrai berger.
Un seul troupeau, un seul berger.
C'est le berger qui a été frappé,
on l'a rappelé, dans Zacharie 13 ce matin.
Frappe le berger, le troupeau sera dispersé,
je tournerai ma main vers l'équité.
Qu'il était celui-là qui était percé
par l'épée de l'éternel des armées
qui sortait de son fourreau
pour exercer son œuvre étrange et son travail inaffortuné,
l'égal du Père.
C'est mon compagnon.
Frappe le berger.
Le troupeau est celui qui a besoin de nourriture, de soins.
Il y a des loups ravissants.
Il y a ceux qui sortent d'entre eux-mêmes
et puis il y a ceux qui viennent du dehors.
Toutes sortes de ravages,
toutes sortes de dangers.
Il faut Christ comme vrai berger.
Il est le berger du troupeau,
le souverain pasteur.
Et puis il faut aussi le travail si utile
et si peu accompli par nous dans les assemblées,
il faut le reconnaître,
en tristesse,
et bien il y a ceux qui accomplissent le travail si utile
de la part du vrai berger,
de pasteur, des brebis.
P.C. le troupeau de Dieu.
Le troupeau c'est le caractère de la faiblesse.
P.C. l'assemblée de Dieu,
c'est le caractère de l'assemblée qui appartient à Dieu lui-même.
Et puis c'est associé,
nous en avons dit quelque chose tout à l'heure,
du corps de Christ.
Donc Christ est la tête.
Quelqu'un disait que c'était la figure
qui montre l'union des rachetés
avec le Seigneur Jésus de la façon
la plus essentielle
et la plus extraordinaire.
Un corps sans tête
ne peut pas vivre.
Chose tout à fait remarquable,
lorsque des comparaisons sont faites
avec le corps humain,
la tête est toujours réservée à Christ.
Christ est la tête.
Nous avons des entrailles d'affection,
le cœur peut être nu
dans l'affection.
Il y a différentes fonctions
qui sont accomplies
par différentes parties
de notre corps.
La seule exception,
c'est les pensées de la tête
dans Daniel 8.
Autrement, la tête n'est jamais mentionnée
parce qu'en fait c'est la prérogative de Christ
d'être la tête de ce corps spirituel.
En même temps,
dans le corps,
chaque membre,
chaque élément du corps
a une fonction
et on ne peut pas se passer
les uns les autres.
En même temps, cette fonction ne peut être
réalisée que dans la mesure
où le lien avec la tête,
le chef du corps, est manifesté.
Il y a interaction
entre les membres du corps
et le but
c'est de croître jusqu'à la plénitude.
Éphésiens 4
et Colossiens 2, nous en parlons.
La plénitude qui est Christ
jusqu'à la plénitude de Dieu.
Il y a les jointures et les moelles
et aussi il y a les jointures,
les liens et les jointures
qui unissent les membres les uns aux autres.
Ce qui passe d'un membre à l'autre
c'est la vie fondamentale
qui vient de Christ lui-même.
La sève, si l'on peut dire.
Il y a l'élément de la vie
qui communique et entretient cette vie
et bien c'est Christ lui-même
qui unit les membres les uns aux autres.
On rompue le 1 ce matin.
Merci touchante pour notre coeur.
Nous avons rappelé devant ce monde
que tous les membres du corps de Christ sont un.
Quelques-uns rassemblés ici, dans d'autres lieux
imagent tous ceux qui sont à Christ.
Aujourd'hui,
connaissent Christ comme sauveur
et qu'ils appartiennent et qui vont un jour
être délivrés de ce corps d'infirmité et de faiblesse
pour connaître le jour glorieux
de la résurrection.
Les passages de Genèse 2 et d'Ephésiens 5
ont été très souvent comparés
et en effet,
à mon sens, en tous les cas,
je ne crois pas qu'il y ait de plus bel exemple
de Christ et de l'Assemblée
dans l'Ancien Testament que celui
que notre frère a cité de Genèse 2.
Parce qu'en effet, non seulement on y voit l'Assemblée
mais on y voit aussi le corps de Christ.
Et il faut dire que la similitude
est extraordinaire.
Et cela montre déjà,
quand des gens s'attaquent
à la parole de Dieu, montre leur stupidité.
Parce que quand on voit la perfection
des types qui sont présentés,
il faut être vraiment aveugle
pour ne pas voir la main de Dieu
dans tout ce qui est,
tout ce qui a été présenté devant nous.
Mais, je voulais souligner aussi
une différence entre ces deux passages.
Et une différence
qui est merveilleuse.
Dans le passage
de Genèse 2, nous voyons
l'éternel Dieu
amener la femme
vers Adam pour la lui présenter.
Une chose
merveilleuse. Mais ici, dans les faits,
il y a un 5.
Et au verset
20, on va commencer au verset
25. Christ a aimé
l'Assemblée et s'est livré lui-même
pour elle, afin qu'il la sanctifia
en purifiant par le lavage d'eau
par la parole. Et ici, au verset
27, afin que
lui se présenta à l'Assemblée
à lui-même, glorieuse,
n'ayant ni tâche, ni ride,
ni rien de semblable.
Alors, ce que je voulais vraiment souligner,
c'est qu'ici,
qui est l'éternel Dieu ?
Qui peut présenter
la femme
à l'homme ?
Et bien ici,
Christ est à la fois l'homme
et à la fois l'éternel Dieu. C'est lui-même
qui se présente
à son épouse.
C'est quelque chose de merveilleux.
Il a cette
autorité de pouvoir
se présenter l'Assemblée à lui-même.
Et puis,
non seulement il a cette autorité
qui montre qu'il est Dieu,
mais en plus, nous le voyons
travailler pour se la présenter
glorieuse, n'ayant ni tâche,
ni ride, ni rien de semblable.
C'est le lavage des pieds,
le lavage d'eau par la parole.
Notre frère
a dit tout cela, mais
je voudrais, pour ceux qui, peut-être,
ne le voyaient pas toujours, et correspondant,
citer quelques versets.
Au moins, Jean 17.
Et au verset 17,
on va commencer au verset 15.
Je ne fais pas
la demande que tu les offres du monde,
que tu les gardes du mal.
Ils ne sont pas du monde, comme moi,
je ne suis pas du monde.
Voilà, nous sommes comme Christ.
Nous sommes un. Nous sommes
os de ses os, chair de sa chair.
Et puis après,
verset 17.
L'eau du lavage, le lavage d'eau,
l'eau, ici, est comparée
à la parole,
à la vérité.
Et puis au verset 19.
Et moi, je me sanctifie, moi-même pour eux,
afin qu'eux aussi soient sanctifiés par la vérité.
Encore une fois,
cette sanctification par la vérité.
Nous avons besoin d'être lavés.
Et le Seigneur Jésus lui-même
est celui qui nous lave.
Et il le fait de façon permanente.
Jusqu'au jour,
il se présentera à lui-même, cette assemblée,
et s'est acquis
à un très grand prix.
Je voulais encore citer dans Jean 10.
Au verset
27.
Mes brebis
écoutent ma voix.
Au verset 28 au milieu.
Personne ne les ravira de ma main.
Mon Père,
qui me les a donnés, est plus grand que tous.
Et personne ne peut les ravir
de la main de mon Père.
Moi et le Père,
nous sommes un.
Le Seigneur Jésus et le Père sont un.
Le Fils et le Père sont un.
Et ce qui est merveilleux,
c'est que dans l'image qui nous est présentée là,
les croyants sont comparés
à des brebis.
Et une brebis,
pour la tenir fermement,
il y a besoin de deux mains.
La main du Seigneur,
la main du Père.
Un berger qui prend une brebis
sur ses épaules,
tient d'un côté avec une main les deux pattes,
de l'autre côté avec l'autre main
les deux autres pattes.
Et la brebis est en toute sécurité.
Elle ne peut pas tomber.
Elle ne peut jamais être ravie.
Elle est parfaitement à l'abri.
Et le Seigneur en conclut que Lui et le Père,
nous sommes un. C'est une seule
et même personne.
Bien sûr,
nous avons parlé de la Trinité,
et c'est une réalité tout à fait
fondamentale du christianisme.
Mais en même temps, il est précieux de réaliser
que le Père et Christ sont un.
De la même façon qu'on voit que
l'éternel Dieu
et le Seigneur Jésus,
l'homme,
sont un dans le passage d'Ephésiens 5.
C'est la même personne
qui fait toutes ces choses.
C'est notre Sauveur bien-aimé.
Je voudrais juste citer
quelques...
en Matthieu,
au début de Matthieu,
de la personne du Seigneur Jésus.
Matthieu 1.
Où il est question de la naissance de Jésus.
Une naissance
exceptionnelle,
unique.
Et dans les premiers chapitres
de Matthieu, il y a plusieurs expressions
où l'on parle des noms de Jésus.
Plusieurs noms.
Il y en a d'autres dans la parole,
mais là sont concentrés quelques-uns
qui sont précieux à nos cœurs tout particulièrement.
Alors au verset 21 du chapitre 1,
tu appelleras son nom
Jésus,
c'est-à-dire Dieu Sauveur.
Et encore là, une fois,
on voit que Jésus est assimilé à Dieu aussi.
Jésus, Dieu Sauveur,
car c'est lui qui sauvera son peuple de leurs péchés.
Et puis au verset 23,
il est dit,
on appellera son nom Emmanuel,
ce qui est interprété
Dieu avec nous.
Là encore,
la personne de Dieu est encore vue
à travers le Seigneur Jésus.
Et à ce propos,
à la fin de ce même évangile,
on peut dire que ce Dieu avec nous
est là d'un bout à l'autre dans cet évangile.
Et dans les derniers versets,
nous retrouvons ce nom.
Un chapitre de Matthieu,
chapitre 28,
et au verset 20,
le Seigneur peut dire
Je suis avec vous tous les jours.
C'est-à-dire Dieu avec nous,
Emmanuel.
Encore,
au chapitre 2,
à la fin du chapitre 2,
au verset 23,
je m'excuse pour l'aller-retour,
bien il est dit,
Il sera appelé Nazaréen.
Nazaréen,
il y a trois sens à ce mot.
C'est d'abord,
le plus facile à comprendre,
c'est celui qui est de Nazareth.
Mais il y a aussi
le sens du Nazaréen,
celui qui est séparé pour Dieu.
Et puis enfin,
il y a un autre sens,
c'est la note qu'il nous donne,
c'est Netzer, c'est-à-dire branche,
celui qui est issu du trône d'Isaïe.
La postérité de David,
la racine, la postérité de David,
mais là c'est le côté postérité.
Et puis enfin,
au chapitre 3, à la fin,
au verset 17, il est dit,
Celui-ci est mon fils bien-aimé
en qui j'ai trouvé mon plaisir.
Après-midi, le Seigneur a voulu
que nous le contemplions
et
on peut bien
penser à ce verset,
Celui-ci est mon fils bien-aimé
en qui j'ai trouvé tout mon plaisir.
Et nous avons à le contempler,
à nous prosterner devant lui
et à méditer ces choses.
La personne du Christ
est insondable,
mais nous pouvons bien le contempler,
le contempler éternellement.
Et
si faiblement que nous,
pour l'instant nous voyons bien faiblement
cette personne,
mais déjà, quelle joie profonde pour nos cœurs,
quel plaisir nous trouvons
à contempler
le Seigneur Jésus.
Et bientôt,
nous allons le voir face à face.
Il n'y aura plus rien pour nous empêcher
de le contempler parfaitement.
Aujourd'hui,
il y a beaucoup de choses,
des choses qui sont dans le monde,
qui permettent de nous voiler Christ.
Mais bientôt, toutes ces choses vont passer,
vont disparaître, vont être ôtées,
mais lui va demeurer éternellement
devant nos yeux
et nous pourrons le contempler
et le bénir éternellement. …