Esther
ID
aeb014
Idioma
FR
Duração total
04:23:20
Quantidade
5
Passagens bíblicas
Esther
Descrição
n/d
Transcrição automática:
…
Le Livre d'Esther, chapitre 1er, et au jour d'Assuérus,
cet Assuérus reignait depuis l'Inde jusqu'à l'Éthiopie sur 127 provinces.
En ce jour-là, il arriva que le roi Assuérus, étant assis sur le trône de son royaume, Assuz, la capitale,
la troisième année de son règne, fit un festin à tous ses princes et ses serviteurs,
les puissants de la terre et de la médie, les nobles et les chefs des provinces étant devant lui,
montrant les richesses glorieuses de son royaume et le feste magnifique de sa grandeur
pendant nombre de jours, pendant 180 jours.
Et quand ces jours furent accomplis, le roi fit à tout le peuple qui se trouvait à Assuz, la capitale,
depuis le grand jusqu'au petit, un festin de sept jours.
Dans la cour du jardin du palais du roi, des draperies blanches, vertes et bleues,
étaient attachées par des cordons de bissus et de pourpre à des anneaux d'argent et à des colonnes de marbre blanc.
Les lits étaient d'or et d'argent, placés sur un pavement de marbre rouge et blanc, d'albâtre et de marbre noir.
Et on donna à boire dans des vases d'or, les vases différents les uns des autres,
et il y avait du vin royal en abondance, selon la puissance du roi.
Et on buvait, selon l'édit, on ne forçait personne,
car c'est ainsi que le roi avait ordonné à tous les grands de sa maison de faire selon le gré de chacun.
La reine Vasti aussi fut un festin pour les femmes de la maison royale du roi Asuérus.
Au septième jour, comme le corps du roi était gué par le vin,
il dit à Mélumane, à Vista, à Arbona, à Victa et à Bacta, à Zétar et à Carcace, les sept venus,
qui servaient devant le roi Asuérus, d'amener la reine Vasti devant le roi avec la couronne du royaume,
pour montrer sa beauté au peuple et au prince, car il était bel de figure.
Mais la reine Vasti repusa de venir à la parole du roi transmise par les aînés,
et le roi se mit fort en colère, et sa fureur s'embrasa en lui.
Et le roi dit aux sages qui connaissaient les temps,
quand les affaires du roi se traitaient ainsi devant tous ceux qui connaissaient la loi et le droit,
et les plus rapprochés de lui étaient Carcena, Zétar, Atmata, Tartis, Mérès, Martena, Mémucam,
les sept princes de la Perse et de la Médie, qui voyaient la face du roi,
et qui siégeaient au premier rang dans le royaume.
Que faut-il faire à la reine Vasti selon la loi,
pour n'avoir pas fait ce que le roi Asuérus a commandé par l'intermédiaire des aînés ?
Et Mémucam dit devant le roi et les princes,
ce n'est pas contre le roi seulement que la reine Vasti a mal âgé,
mais contre tous les princes et contre tous les peuples qui sont dans toutes les provinces du roi Asuérus,
car cette affaire de la reine se répandra parmi toutes les femmes,
de manière à rendre leur mari méprisable à leurs yeux,
en ce qu'elles diront que le roi Asuérus a commandé d'amener la reine Vasti devant lui et qu'elle n'est pas venue.
Et aujourd'hui, les princesses de la Perse et de la Médie qui auront appris l'affaire de la reine
parleront de même à tous les princes du roi, il y aura assez de mépris et de colère.
Si le roi le trouve bon, qu'une ordre royale émane de lui et soit inscrite dans les lois de la Perse et de la Médie,
et ne passe pas que Vasti n'entrera plus devant le roi Asuérus,
et que le roi donne la dignité royale de Vasti à une autre qui sera meilleure qu'elle.
Il est dit du roi qu'il aura fait, sera connu dans tout son royaume comme la grande,
et toutes les femmes rendront honneur à leur mari depuis le grand jusqu'au petit.
Et cette parole qu'il donne aux dieux du roi et des princes.
Et le roi puis, selon la parole de Menucant, il envoya des lettres à toutes les provinces du roi,
à chaque province selon son écriture et à chaque peuple selon sa langue.
Pourtant que tout homme serait maître dans sa maison et parlerait selon la langue de son peuple jusqu'ici.
Ce livre, avec ce beau nom, est un livre très spécial.
Le nom signifie étoile.
Et c'est une étoile toute particulière, on peut dire, au firmament des livres de la Bible.
Chaque livre est comme une étoile.
Mais cette étoile est différente de toutes les autres.
C'est un principe qu'on va trouver aussi dans le verset sept.
Chaque vase est différent.
Et d'une telle façon aussi ce livre de la Bible est tout à fait différent des autres livres.
Avant de commencer, j'aimerais juste parler de chaque verset un peu.
J'aimerais donner quelques principes généraux au début,
pour aider peut-être à mieux comprendre la signification de ce livre.
J'ai pris une carte avec moi, juste pour l'indiquer, mais c'est un peu compliqué.
Le royaume était donc ici, le royaume des Pères.
Jusqu'à l'air, un peu plus loin même.
Et puis on allait jusqu'ici, même en Égypte,
parce que le roi Assurus avait pris l'Égypte et même un peu du Soudan.
Donc c'était un royaume très très étendu.
Mais pour comprendre cela, il serait bon de savoir que Dieu, au début de l'histoire d'Israël,
Dieu avait appelé Israël pour être son témoignage dans ce monde.
Et nous savons que le peuple d'Israël avait manqué.
Le peuple d'Israël servait un seul Dieu, il avait commencé à servir les idoles.
Et à cause de cela, Dieu l'a mis de côté.
Et même les deux tribus étaient dans la captivité babylonienne.
Le moment où Dieu a permis que le roi de Babylone a pris ce peuple en captivité,
ce moment-là aussi, le trône de Dieu à Jérusalem a cessé d'être là.
Autrement, on voit dans le livre d'Ézéchiel, par exemple, que la gloire de Dieu partait du temple.
Et on sait dans le livre des Chroniques que Salomon, le grand roi d'Israël, était assis sur le trône de Dieu.
Mais à cause de la désobéissance d'Israël, tout cela est terminé.
Dieu a donné cette autorité au chef des nations, c'était Nebuchadnezzar.
Et Nebuchadnezzar a pris ce peuple et l'a pris en captivité.
Les juifs sont donc arrivés à Babel et d'autres parties de son royaume.
Mais on sait dans la parole de Dieu que même Nebuchadnezzar était infidèle dans ce règne qu'il avait reçu de Dieu.
Il était infidèle lui aussi, on peut dire ça dans Daniel 4, par exemple.
Il était très orgueilleux.
Puis à un moment donné, Dieu a pris ce règne et a donné à un autre peuple.
On peut trouver ça dans Daniel 5 ici.
Au peuple des nations appelées les Medes et les Perses.
Et les Medes et les Perses étaient donc le deuxième royaume des nations auquel Dieu avait donné cette autorité.
Donc d'abord Dieu avait donné cette autorité à Nebuchadnezzar.
Et puis plus tard, à cause de l'infidélité de Nebuchadnezzar, il avait donné cette autorité au royaume des Medes et des Perses.
Et nous avons ici dans ce chapitre le quatrième roi dans ce royaume.
Juste peut-être tourner vers Daniel 11 pour comprendre, pour voir un peu le lien avec notre chapitre.
Daniel 11, on voit un principe très important dans Daniel 10, j'aimerais mentionner cela.
On voit que d'un côté le peuple de Dieu était en captivité et maintenant caché, maintenant dispatrié parmi les peuples.
On pourrait dire mais qu'est-ce qui se passe maintenant avec le peuple de Dieu ?
Et on voit que sur l'arrière-plan, des ennemis s'occupent de ce peuple.
Et dans Daniel 10, on voit vraiment le combat derrière la scène.
On voit le combat entre les grands puissants des démons.
Et on voit que là aussi, Dieu intervient et Dieu contrôle tout.
Mais ce qui est remarquable dans Daniel 10, c'est de voir que l'objet des attaques de l'ennemi,
ce n'est pas pour attaquer un autre ennemi, disons les grecs attaquent les maïs et les perses, c'est ça qu'on parle.
Mais Daniel 10 nous montre, si vous pouvez lire ça sous le chapitre, vous allez voir que derrière la scène, c'est un combat contre le peuple de Dieu.
Et c'est ça qui se passe aujourd'hui aussi, les attaques d'ennemis vont contre le peuple de Dieu, soit les juifs comme le peuple terrestre,
soit les chrétiens comme le peuple célèbre.
Mais ce que je voulais mentionner maintenant dans Daniel 11, là, Michael, ou l'ange excuse, l'ange et aussi le seigneur lui-même,
a expliqué à Daniel les événements futurs de ce moment-là.
Il lui explique que ce royaume de Babylone s'était déjà passé, parce que c'était la troisième année du Cyrus déjà, le roi de Perse, dans le chapitre 10,
et ça continue ici dans le chapitre 11.
Donc le royaume de Perse avait déjà commencé, et dans le chapitre 11, nous voyons, verset 2,
« Et maintenant je te déclarerai la vérité, voici, il s'élèvera encore trois rois en Perse. »
Il y avait donc déjà, on avait eu déjà Cyrus dans le chapitre 10, et Darius le Med dans le chapitre 11,
et il dit, « Il s'élèvera encore trois rois en Perse, et le quatrième deviendra riche de grandes richesses, plus que tout.
Et quand il sera devenu fort par ses richesses, il excitera tout contre le royaume de Javan. »
Voilà, ce qui se passe dans notre chapitre 1, c'est le roi Assyrus qui prépare toute son armée pour attaquer les Grecs.
Le royaume de Javan veut dire les Grecs.
Donc c'est ici déjà annoncé à Daniel que ce roi existerait à un moment donné, et qu'il serait très riche, et qu'il exciterait tout contre le royaume de Javan.
Donc si vous gardez ça en mémoire, ça peut donc aider, parce que la parole de Dieu explique l'histoire.
On le voit aussi dans le livre à l'école, mais on voit ici la façon dans laquelle Dieu voit l'histoire.
C'est très important, parce qu'on ne voit pas dans le livre d'Esser ces combats.
On ne voit pas qu'Assyrus avait eu la victoire contre les Égyptiens.
Il avait ajouté à son royaume, dans le temps de Darius, il avait 120 provinces.
Maintenant, dans le verset 1, nous avons vu que c'était 127 provinces.
Il avait donc ajouté à son royaume par des conquêtes.
Mais ce que nous ne voyons pas dans ce chapitre, c'est qu'il était en train de préparer un combat contre les Grecs.
Nous ne voyons non plus dans ce chapitre 1, ni dans ce chapitre 2, qu'il a eu une défaite contre les Grecs.
Parce que ce n'est pas en rapport avec le peuple de Dieu.
Dieu nous mentionne dans sa parole seulement les combats qui sont importants pour le peuple de Dieu.
Un exemple, dans Genèse 14, nous voyons la première guerre qui est mentionnée dans la parole de Dieu.
Et pourquoi est-ce que cette guerre est mentionnée ?
Parce que l'hôte, le neveu d'Abraham était impliqué là-dedans.
Il était pris par les rois.
Et puis Abraham l'a délivré.
C'est la première guerre qu'on trouve dans la Bible.
Et pourquoi c'est mentionné ? Parce que le peuple de Dieu était impliqué.
Abraham était impliqué là-dedans.
Et on voit ce principe dans Daniel 10 aussi.
C'est important pour nous à comprendre que les combats ou les guerres dans ce monde ne sont pas importants.
Quand est-ce que c'est important pour Dieu lorsque son peuple est impliqué là-dedans ?
Et on voit ce principe dans Daniel 10.
On le voit aussi d'une autre façon.
Pas seulement en rapport avec les guerres.
Tu mentionnes un autre exemple.
Dans Luke 2, on voit que le grand César, le grand empereur du royaume romain,
lui a donné des ordres afin que tout le monde dans son royaume, le quatrième royaume, soit inscrit.
Et nous savons que cette inscription a eu lieu beaucoup plus tard.
Mais pour Dieu, c'était simplement pour que Josèphe et Marie déménagent pour être à Bethléem,
afin que le Messie soit né à Bethléem.
Vous voyez, Dieu a tout en ses mains.
Dieu contrôle tout.
Et puis l'histoire de ses nations, de ses peuples, est importante en rapport avec l'histoire de son peuple.
Autrement Dieu ne le mentionne pas.
C'est pour nous aussi une leçon parce que souvent on est très intéressé dans tout ce qui se passe dans ce monde.
Mais il faut être intéressé dans ces choses-là.
Mais voir le lien avec le peuple de Dieu.
Un autre point que j'aimerais mentionner, c'est que le nom de Dieu n'est pas mentionné dans ce livre.
C'est très choquant.
Il y avait même des chrétiens qui ont pensé que ce livre n'est pas un livre inspiré,
parce que le nom de Dieu n'est pas mentionné.
Même les Juifs, au début, avaient des difficultés avec ça.
Mais à la fin d'Esther, on va trouver qu'il y a une fête pour les Juifs.
Donc les Juifs ont l'accepté quand même.
Mais dans l'histoire de l'Église, on a eu beaucoup de difficultés avec ce livre-là.
Au début, dans l'Église, on n'a pas de commentaires sur Esther.
Les frères de l'Église ont écrit d'autres commentaires sur d'autres livres de la Bible, mais pas sur le livre d'Esther.
Ils ne savaient pas quoi dire.
Et même le récommandeur Luther, il avait pensé que ce n'était pas un livre inspiré, comme l'Épître de Jacques ici.
Mais nous savons que c'est bien un livre inspiré.
Et avec l'aide du Seigneur, on aimerait étudier ça, pas seulement cette soirée,
parce qu'on n'aurait pas assez de temps pour parcourir tout le livre,
mais on va voir sans doute que c'est un livre inspiré, où on voit la main de Dieu.
Quoique le nom de Dieu n'est pas mentionné, on voit la main de Dieu.
On voit que Dieu a tout en ses mains.
Dieu organise les choses d'une façon merveilleuse.
On voit, juste pour mentionner un détail, le moment où Amon a dressé le gibet pour fendre Mardoché le lendemain.
Cette nuit, le roi a eu une rêve, et on voit que toute l'histoire change seulement à cause de cette rêve que Dieu a donnée.
Et on va voir beaucoup de ces détails, où on voit vraiment la main de Dieu.
Comment Dieu a montré ses soins providentiels envers son peuple.
Mais pourquoi est-ce que le nom de Dieu n'est pas mentionné ?
Parce que vous voyez, les Juifs qui sont au sud de cette ville,
que l'on a lu dans le chapitre 1 verset 2,
ces Juifs étaient quand même un peu infidèles.
Parce que vous voyez, le premier roi des Mèdes et des Pères avait donné un décret
pour que les Juifs retournent à Jérusalem.
Et Dieu était avec les Juifs qui étaient à Jérusalem.
Dieu avait là un reste fidèle qui avait une relation avec Dieu.
Une relation que Dieu reconnaissait.
Autrement dit, Dieu avait une relation officielle avec ce petit reste à Jérusalem.
Là, on voit des prières.
On ne voit pas de prière dans Esther, seulement le jeûne, une fois, deux fois.
On ne voit pas des sacrificataires dans le livre d'Esther.
On les voit à Jérusalem dans le livre d'Edra et de Néhémie.
Parce que là, on voit une relation rétablie entre Dieu et son peuple.
Quoi que ce soit un reste, il y avait quand même un lien rétabli avec ce reste.
Mais rien de ça dans ce livre-là.
On ne voit pas des prophètes même.
Donc, beaucoup de choses qu'on ne trouve pas dans ce livre-là.
Parce que Dieu n'avait pas un lien, une relation officielle avec ce reste.
On trouve même dans les prophètes Osée, par exemple, Osée 1, verset 11,
que le peuple était l'eau amie.
Ça veut dire, par mon peuple, Dieu ne reconnaissait pas officiellement son peuple.
Et même ce reste à Jérusalem n'était pas officiellement le peuple de Dieu.
Il était là afin que les promesses de Dieu s'accomplissent.
Mais la gloire de Dieu n'était pas là.
L'âge n'était plus là, etc.
C'était un reste que Dieu reconnaissait.
Mais c'était sans la gloire qui était auparavant là, sous le règne de Salomon, par exemple.
Mais il y a une grande différence entre ceux qui étaient retournés à Jérusalem
et ceux qui se trouvaient à Babylone, à Sus, ou dans d'autres villes de ce royaume.
Quand même, on voit que Dieu s'occupe de ce peuple.
Et ça c'est un point important.
Quand Dieu n'est pas une relation officielle, publique avec ce peuple,
il est là sur l'arrière-plan.
Il les protège.
Et on va voir un peu plus tard, j'aimerais montrer ça,
que ça nous donne aussi beaucoup de leçons.
Parce que nous sommes aussi un reste.
Et d'un côté Dieu a des relations avec nous,
mais si on voit tout le peuple de Dieu, sur toute la Terre,
aujourd'hui, il n'y a pas cette relation publique avec le peuple de Dieu non plus.
Mais ce qui est très important de voir, c'est la soin providentiel de Dieu,
la providence cachée dans tous ses litages.
Un autre point que j'aimerais mentionner,
c'est que ce livre nous donne beaucoup de leçons en rapport avec la gloire future du peuple d'Israël.
Et puis on va voir la gloire de Mardoché qui parle du Seigneur Jésus dans son règne futur.
On va voir Esther comme une image du reste fidèle futur, comme il le dit.
Donc beaucoup de choses, on peut dire l'explication de ce livre-là,
c'est en rapport avec les prophéties.
Donc d'abord c'est un livre historique.
Il faut lire ces choses et accepter ces choses.
Il y a beaucoup de gens qui rejettent ce livre,
disent c'est une fable, mais nous savons que c'est la vérité.
Mais Dieu donne cette histoire avec une intention spéciale.
Comme le livre de Jeunesse par exemple, c'est une histoire, mais c'est quand même une prophétie.
Et d'une telle façon aussi ce livre, c'est une histoire, mais en même temps une prophétie.
Ça c'est vraiment l'explication de ce livre, c'est pour voir cet aspect prophétique.
Mais maintenant, on va avoir aussi des leçons pratiques pour nous,
parce que nous savons que toute la parole de Dieu nous a été donnée pour nous.
Ces leçons ont été écrites pour nous.
Un chrétien dit, j'aimerais vraiment insister là-dessus,
que même ce livre-là, qui était donc pour les juifs,
en rapport avec les intérêts des juifs un peu plus dans ce temps-là,
pas reconnu officiellement par Dieu, mais quand même,
on voit la main de Dieu en rapport avec eux,
mais toutes ces choses-là ont été écrites pour nous.
Et on aimerait bien voir, avec l'aide du Seigneur, les leçons pratiques pour nous,
parce qu'il y a des leçons morales pour nous.
Comme Romain XV le dit aussi, que toutes ces choses ont été écrites pour nous,
encouragées pour nous, exhortées, vous voyez.
Et on va voir que Esther, par exemple, nous donne des leçons pour nous aujourd'hui.
Si j'ai dit qu'elle est une image du reste fidèle dans le futur,
c'est en même temps, moralement, des choses que Dieu aimerait appliquer pour nous.
Par autrement, que nous soyons un reste fidèle aujourd'hui.
Donc ça c'est une grande pensée qu'on va trouver en rapport avec nous.
Que nous soyons un reste fidèle dans ce monde où Dieu est rejeté,
où les droits de Dieu sont mis de côté, que nous soyons ici fidèles.
Maintenant, juste encore quelques mots avant qu'on commence le premier verset.
Ce sont les grands caractères qu'on trouve.
On trouve donc le roi Assurus, on trouve Mardoché, on trouve Esther,
on trouve aussi la reine Varty, qu'il y ait dans le chapitre 1,
et on va trouver aussi le grand ennemi du peuple des dieux, Amun.
Et puis ces grands caractères, on les retrouve dans d'autres livres de la parole du Dieu.
On va voir Assurus est une image de Dieu,
on va voir que Varty est une image de la chrétienté, professeur, infidèle.
J'ai mentionné déjà Esther comme une image du reste fidèle, résidu, fidèle, même aujourd'hui aussi.
Mardoché qui parle du Seigneur Jésus comme homme,
dans sa tribulation, dans sa réjection, mais aussi dans sa gloire, dans son exaltation.
On trouve cela aussi dans d'autres livres, comme la Genèse, le premier livre historique de la Bible,
on trouve une image du Seigneur Jésus dans Joseph,
Joseph qui était très bas, en prison, mais qui était exalté.
La même pensée, Mardoché, on le trouve dans le chapitre 4, dans les deuils, en douleur,
et à la fin on le trouve exalté.
Joseph, la même chose.
Et dans la Genèse, on voit que le roi, le pharaon, est une image de Dieu, là aussi.
Puis, une autre chose encore que j'aimerais mentionner en général,
on trouve trois livres dans l'Ancien Testament qui parlent d'une femme.
On voit Ruth, Esther et Cantique des Cantiques.
Et puis dans les trois livres, on trouve que la femme parle du reste fidèle.
C'est une image du reste fidèle, comme j'ai mentionné, le reste fidèle de Jésus.
Mais dans les trois cas aussi, il y a des leçons morales pour nous.
Il y a une petite différence.
Dans Esther, on voit que Esther, qui parle de, on va voir cela plus tard,
qui parle de ce reste fidèle, est rétabli dans sa relation avec le roi.
Donc là, on voit la pensée que le reste fidèle va avoir une relation avec Dieu.
Tandis que dans les autres livres, c'est plutôt une relation rétablie avec le Messie.
Comme Ruth avec Boas, ça parle de la relation que le reste fidèle va avoir avec le Seigneur Jésus.
Dans Cantique des Cantiques, l'épouse avec Salomon.
Salomon aussi est une image du Messie.
Tandis qu'ici, c'est plutôt cet aspect-là, la restauration de la relation avec Dieu.
Vous voyez, le peuple d'Israël avait une relation particulière avec Dieu.
Mais à cause de cette infidélité, comme j'ai mentionné, à cause de cette idolâtrie,
cette relation a été intrompue de la part du peuple par son infidélité.
Mais on voit ici les voies de Dieu, comment il rétablit ce peuple dans cette relation.
Au moins dans la voie de cette relation.
Ça c'est très beau de voir.
Et puis on va voir que Esther n'avait aucun droit.
Et ça c'est caractéristique pour ces trois livres que j'ai mentionnés.
Ruth, elle est mentionnée comme étant une moabite.
Aucun droit pour être au milieu du peuple de Jésus.
Aucune hérite.
Mais Dieu quand même, donne cette relation.
Et ce sera la même chose pour les juifs.
Dans le futur, ils reconnaîtront qu'ils n'ont aucun droit pour avoir une relation avec Dieu ou avec leur Messie.
Mais pour nous, c'est exactement la même chose.
Si on voit l'histoire de l'Église, est-ce que nous avons un droit pour avoir vraiment une relation avec Dieu,
une relation avec le Seigneur Jésus ?
C'est la grâce souveraine de Dieu.
Sur cette base-là seulement, on peut avoir une relation avec Dieu ou une relation avec le Seigneur Jésus.
C'est la grâce souveraine de Dieu.
Et c'est ça, une des leçons importantes qu'on va trouver dans ces trois livres.
Aussi dans Cantiques des Cantiques, il n'y avait aucun mérite de la part de cette jeune fille.
Aucun droit.
Mais quand même, elle est introduite dans cette relation avec son homme.
Juste un point encore.
Pour comparer, j'ai mentionné le reste de l'Histoire à Jérusalem.
Et si on étudie l'Histoire, on va voir que ce livre d'Esther se place entre Esdras 6 et 7.
On voit que le livre d'Esdras est en deux parties le reste qui est rentré à Jérusalem sous Zerobabbel
et puis beaucoup d'années, à peu près 80 années plus tard sous Esdras.
Donc entre ces deux retours, il y a ce livre d'Esther.
Ou au moins le début de ce livre d'Esther.
Donc c'est très important de comprendre que ce royaume était donné de Dieu à Assyrie.
On commence maintenant au premier verset.
Au jour d'Assyrus, cet Assyrus régnait depuis l'Inde jusqu'à l'Éthiopie sur 127 provinces.
En ces jours-là, il arriva que le roi Assyrus, étant assis sur le trône de son royaume, Assyrie, la capitale,
la troisième année de son règne.
Il était assis sur le trône de son royaume à Sud.
Il avait trois résidences.
Et Sud était une de ces résidences.
Et nous savons donc de l'histoire, comme j'ai mentionné dans Daniel 11, qu'il se préparait ici contre les Grecs.
Et cela explique aussi pourquoi il avait ce festin pendant 180 jours.
Ce n'est pas seulement un festin.
Parce qu'en même temps, ils se sont préparés pour cette attaque contre les Grecs.
Mais pour l'histoire de ce peuple Assyre, ce n'était pas important.
Donc l'Esprit de Dieu ne lance son passe.
Et on va retrouver le roi après cette défaite, en chapitre 2, quatre ans plus tard.
Mais ici, le roi Assyrus est donc le roi qui a reçu cette autorité de la part de Dieu.
C'est ça qui est important à comprendre.
Donc on peut dire qu'homme, il était orgueilleux, violent, comme on voit à la fin du chapitre.
Il ne pouvait pas se maîtriser lui-même.
Il était même indifférent envers beaucoup de ses sujets qu'on va trouver dans le chapitre 3.
Donc je ne parle pas de lui comme homme, mais je parle maintenant de lui comme le représentant de Dieu.
Parce qu'il faut comprendre qu'Assyrus avait reçu l'autorité de la part de Dieu.
Il représentait Dieu sur la terre.
Et comme tel, il peut être une image de Dieu lui-même.
Il y a une grande différence, bien sûr, entre Dieu et cet homme-là.
Mais dans cette position que Dieu lui a donnée, il est une image de Dieu.
Comme le représentant de Dieu.
Et c'est ça qu'on doit garder en mémoire pour comprendre toute l'histoire.
Dieu avait un lien spécial avec ce royaume parce que sous Cyrus, le premier roi,
les juifs fidèles étaient donc capables de retourner à Jérusalem.
On voit donc là aussi la main de Dieu.
Et on voit d'autres détails dans d'autres livres de la parole qui nous montrent
que Dieu avait donné cette autorité à ce roi pour que ce soit une bénédiction pour son peuple.
Donc on voit ici le roi comme le représentant de Dieu.
Et ça parle aussi que Dieu est le chef sur toutes choses.
Dans ce sens-là, on voit le roi ici comme étant le chef sur tous ces royaumes,
sur toutes ces nations, toutes ces provinces.
Et dans ce sens-là, on peut dire que le Seigneur Jésus va régner plus tard sur la terre.
Il va, là où mille cadenas, là où Asuérus ont manqué,
le Seigneur Jésus va régner avec perfection, dans la perfection selon les pensées de Dieu.
Parce que cela nous amène à une deuxième pensée, c'est cette pensée de ce festin.
Et on va voir plus loin aussi que c'était un beau festin avec beaucoup de vin, beaucoup de joie.
Et on va voir que c'est dans le cœur de Dieu de bénir.
Si on voit ici le représentant de Dieu, on peut dire que c'est dans le cœur de Dieu de bénir.
Cela a commencé dès la création.
Et on voit que dans ce livre d'Esther, sous le règne de Mardoché,
qui parle du Seigneur Jésus, sous ce règne futur,
on peut parler du millenium, vous connaissez cette pensée du règne millénaire du Seigneur Jésus.
Voilà, sous ce règne-là, toute la terre sera bénie.
Et c'est vraiment dans le cœur de Dieu de donner toute la terre sous les pieds d'un homme.
Et on va voir ça dans ce livre d'Esther.
Et on peut dire donc, à la fin du millenium, cette histoire de la première création se termine.
Et c'est remarquable, cela m'a prévu de voir que ce roi a eu aussi un festin durant sept jours,
dans le verset 5, il avait un festin de sept jours pour tout le peuple.
L'autre festin était pour ses généraux, pour ses capitaines, pour ses officiers, pour préparer la guerre.
Mais ce festin de sept jours parle plutôt de cette pensée de Dieu de bénir.
On peut dire que pendant ces 7000 ans de la création jusqu'à la fin du millenium, c'est dans le cœur de Dieu de bénir.
Mais là aussi, on peut penser à la providence de Dieu.
On pense à l'acte 14 où Paul a dit que Dieu a béni toutes les nations.
Même ceux qui étaient inconscients que Dieu existe, ceux qui étaient indifférents envers Dieu, même eux sont bénis.
Même les incrédules aujourd'hui sont bénis, ils ont beaucoup de bénédictions terrestres.
Je ne parle pas des bénédictions spirituelles ou des bénédictions célestes que nous avons dans le Seigneur, c'est une autre chose.
Mais je parle maintenant des bénédictions en rapport avec la création.
Donc maintenant dans le verset 5, on voit que ce festin a eu lieu dans la cour du jardin du palais du roi.
Le jardin, dans le grec c'est le paradis, c'était donc un lieu exquis, vraiment très béni pour être là, pour être en communion avec le roi.
Et si nous voyons ces pensées-là, c'était le désir de Dieu d'avoir une communion avec toutes ses créatures.
On voit ça clairement dans Genèse 1 et 2.
On voit dans le verset 6, et c'est quelques détails que j'aimerais juste souligner,
parce que cela nous montre ce qu'il y a dans le cœur de Dieu en rapport avec ses bénédictions terrestres pour nous aussi.
Cette bénédiction que Dieu donne et qu'il va donner dans le millenium sans réserve, maintenant tout a été affecté par le péché.
Les bénédictions sont encore là.
On a beaucoup de bénédictions, mais on peut dire aussi que tout a été gâté par le péché.
Et sous la veille du Seigneur Jésus dans le millenium, il y aura une meilleure jouissance de ces bénédictions terrestres.
Mais on voit ici le principe, je voulais juste brièvement souligner quelques pensées.
C'est dans le jardin du palais du roi où il a tous les droits.
On peut seulement jouir de ses bénédictions si on reconnaît Dieu dans ces choses-là.
Si on met de côté l'autorité de Dieu, comme Vasti l'a fait, il a mis de côté l'autorité du roi.
Là, il n'y a pas de jouissance des bénédictions.
On va voir ça.
Il faut reconnaître l'autorité et, comme on dit en anglais, le headship de Dieu.
Et puis, il ne faut pas l'exclure de nos pensées.
Si on a une relation avec Dieu, on peut jouir de ses bénédictions terrestres que Dieu a données.
Et c'est dans la communion avec lui, dans sa présence.
Maintenant, le verset 6, il y avait des graphiques blanches.
Ça parle de la pureté, ses relations avec Dieu, même en rapport avec les bénédictions terrestres.
Et j'aimerais juste mentionner quelques bénédictions terrestres.
Ce n'est pas seulement une bonne santé, mais c'est aussi le mariage, par exemple,
ou un foyer, ou un emploi, ou beaucoup d'autres bénédictions terrestres que Dieu nous donne.
Toutes ces choses-là, on peut enjouir en reconnaissant les droits de Dieu,
l'autorité de Dieu, en pureté, mais aussi verte.
Cette rapprochété verte, ça parle de cette fraîcheur.
Dans le monde, tout devient bien vite, comme on dit en anglais, born.
Mais on ne va pas, dans la relation avec Dieu, même ces bénédictions terrestres donnent une fraîcheur.
Il y a une autre pensée, et bleue, ça parle, dans la Bible souvent, des influences célestes.
Parce que même ces bénédictions terrestres, pour enjouir, on reconnaît que ça vient du Ciel, quand même.
Un autre détail qu'on trouve dans le verset 6,
c'est la rapprochété attachée par des cordons de bissus et de poutres à des anneaux d'argent.
Les cordons de bissus, je pense que le bissus parle aussi comme une sorte de coton de la pureté,
et c'est pas seulement cela aussi que tout est équilibré, bien équilibré.
Et ça, c'est la pensée de Dieu.
Si Dieu donne des bénédictions, c'est pas pour être déséquilibré, mais pour être équilibré.
Pour jouir de ces bénédictions, il faut vraiment que nous soyons équilibrés.
Pas surestimer une bénédiction et sous-estimer d'autres bénédictions, mais être équilibrés.
Le poutre parle aussi des droits royaux de Dieu.
Et puis, les anneaux d'argent, je pense, parlent de la rédemption.
Nous voyons ici clairement que toutes les bénédictions terrestres que Dieu donne,
il les donne sur la base de l'oeuvre rédemptrice du Seigneur Jésus.
Sans cette oeuvre-là, même les incrédules n'auraient pas de bénédictions terrestres.
Une autre pensée, les drapeaux étaient attachés à des colonnes de marbre blanc.
Ça parle de la stabilité. Dieu veut avoir cette communion avec nous,
mais il donne ces choses-là pour donner de la stabilité.
Et en même temps, témoignage. Les colonnes parlent de témoignage.
La jouissance de ces bénédictions est quand même un témoignage pour la gloire de Dieu.
Si Dieu voit que vous jouissiez des bénédictions que Dieu donne, c'est en même temps un témoignage pour lui.
Le marbre blanc, je pense, la blancheur parle aussi de cette pureté.
De nouveau, la pureté est soulignée souvent.
Et peut-être aussi, on peut dire, tout cela est placé sur la base de la résurrection.
Sans la résurrection, on n'a pas de bénédictions.
Maintenant, la pensée de la communion.
Les lits étaient d'or et d'argent.
Les lits étaient donnés donc pour être à table.
Donc ces lits ici parlent de repos, mais le repos en communion.
D'abord avec le roi, et donc une image de Dieu,
mais aussi le repos et la jouissance, la communion les uns avec les autres.
Les deux pensées sont là.
Mais là aussi, deux pensées, or et argent.
Cette communion, cette jouissance de ces bénédictions est sur la base,
que ce soit pour la gloire de Dieu, l'or,
et que ce soit aussi sur la base de la rédemption, l'argent.
Donc vous voyez, il y a beaucoup de détails.
Pour moi au moins, et j'espère pour vous aussi,
c'est très beau de voir ces détails,
parce que ça nous donne beaucoup d'aide à comprendre pourquoi Dieu donne des bénédictions.
Pourquoi ? Parce qu'il veut nous enrichir.
Il veut que nous jouissons avec lui.
Le roi ne voulait pas être seul là,
il voulait avoir tout son peuple avec lui,
en jouissant ses bénédictions.
Il y a une autre pensée encore, que j'aimerais souligner,
sur un pavement de marbre rouge.
Le pavement parle donc de la communion dans le sens horizontal,
ou on peut dire la communion, le contact horizontal.
C'est ça aussi une pensée très fixe.
Parce que dans le marbre, on voit que les bénédictions terrestres,
on ne les jouit pas, on ne les jouit pas,
dans la communion les uns avec les autres.
On veut tout avoir tout soi-même.
Là il n'y a pas de bénédictions,
il n'y a pas de communion les uns avec les autres.
Dans la pensée de Dieu, c'est avoir cette communion,
les uns avec les autres.
Le pavement de marbre rouge,
c'est une question d'amour.
Même pour jouir de ses bénédictions,
il faut avoir l'amour pour Dieu,
l'amour pour le prochain.
Il y a aussi cette pensée de pureté de nouveau,
soulignée, blanche,
mais aussi d'albâtre.
L'albâtre, je pense, parle du dévouement.
On le trouve dans l'histoire de Marie.
Marie, elle a brisé cette bouteille d'albâtre.
Ça parle d'un plein dévouement.
Vous voyez, pour jouir de ses bénédictions,
il faut avoir un esprit de dévouement.
Si on veut avoir tout pour soi-même,
dans ce cas-là, ça ne marche pas.
Et de marbre noir, je pense,
le noir et le blanc qui sont mentionnés,
donnent aussi cet équilibre,
ce discernement entre le bien et le mal.
Ça, c'est très important.
Même en relation avec ces choses-là,
Dieu suppose que nous pouvons discerner
entre le bien et le mal
pour avoir cet équilibre.
Donc, voilà quelques détails en rapport
avec ce festin et cette jouissance,
cette communion avec le roi.
Mais si on comprend tout ça,
quel défi que la reine a refusé
d'être avec le roi.
Juste encore quelques détails,
je le verse à cette aiguille,
on en a à voir dans des vases d'or,
les vases différents les uns des autres.
Donc, le vin parle de la joie
que Dieu veut partager
avec toutes ses créatures.
Quelle belle image ici
de ce qui est dans le cœur de Dieu
pour se réjouir avec toutes ses créatures.
Et dans le millenium,
Dieu va avoir cette joie
avec toute sa création.
Mais j'aimerais maintenant souligner
un deuxième point, c'est la diversité.
Ils ont bu dans des vases
différents les uns des autres.
Ça, c'est un principe très important.
Pour l'exemple,
on a beaucoup de neige aujourd'hui,
mais vous voyez,
tous ces cristaux de neige
sont différents.
Ces milliards et milliards de cristaux
sont tous différents
l'un de l'autre.
Donc, ça, c'est vraiment un miracle,
une merveille.
Et de la même façon,
chaque créature est différente,
chaque chrétien est différent.
On le sait dans 1 Chrétien 12,
mais aussi dans un rapport avec la création,
chaque créature est différente l'une de l'autre.
Donc, la diversité dans la création
et aussi reconnaître
les besoins différents,
les intérêts différents,
tout cela va ensemble avec ça.
Souvent, on veut presser tout dans un...
mais ce n'est pas la pensée du Dieu.
Dans le cœur du Dieu,
il y a beaucoup de diversité.
C'est important pour nos relations aussi,
pour reconnaître que nous sommes différents.
Nous avons les mêmes objets,
les mêmes intérêts pour avoir la communion
avec notre roi, pour ainsi dire,
mais en même temps, on est tout à fait différents.
Un autre principe qu'on trouve ici,
verset 8,
c'est qu'on ne force personne.
Les bénédictions terrestres que Dieu donne,
ont été données pour en profiter,
pour les utiliser
selon Dieu, dans la communion avec Dieu,
mais pas pour les imposer
les uns aux autres.
C'est un danger.
Voilà quelques leçons qu'on peut trouver
dans ce premier verset.
Et maintenant, en contraste
avec ces pensées-là, de la communion
avec Dieu et avec le cœur de Dieu,
il y a rejection.
Rejection.
La reine a refusé de venir.
Elle voulait avoir, pour ainsi dire,
son festin pour un homme.
Voilà ce qu'il y a dans le cœur de l'homme.
Vous voyez, déjà au début,
on voit, au début
de l'histoire de l'homme,
que l'homme voulait avoir des choses pour lui-même.
Ça, c'est vraiment
la racine du mal.
Et Adam, plus tard,
on voit la racine du mal
déjà là.
On la voit dans Cain.
On le voit plus tard, dans les jours avant les élus.
Et vous pouvez continuer toute l'histoire
de l'homme et on va avoir
notre propre cœur.
C'est l'indépendance. C'est la propre volonté.
Et c'est ça qu'on trouve ici.
Mais maintenant,
ça parle aussi de l'histoire de l'homme.
On a vu que le peuple d'Israël
était impudent.
On l'a mis de côté.
Mais vous voyez ici, dans cette image-là,
on voit l'infidélité de l'église.
Beaucoup de chrétiens
acceptent, comme un fait historique,
l'infidélité du peuple d'Israël.
Mais ils ne peuvent pas accepter
qu'à un moment donné, Dieu va mettre de côté
l'église. C'est très solennel.
Dans Romain 11,
on trouve ces deux principes.
Et aussi, l'autre principe
que Dieu va avoir des relations
futures avec Israël.
Romain 11, verset 20,
d'abord, on voit
que les branches
qui étaient arrachées pour cause
d'inclusivité par le peuple
d'Israël, qu'ils étaient infidèles,
Dieu les a mis de côté.
Et Paul dit ici, et toi, tu es debout
par la foi. Il s'adresse ici
aux croyants des nations,
à l'église, disons. Toi, tu es debout
par la foi. Verset 20,
à la fin, ne t'enorgueillis
pas, mais
crains, si en effet, Dieu n'a pas
épargné les branches qui sont telles, selon
la nature, donc, le peuple
d'Israël, qu'il ne t'épargne pas non plus.
Verset 22,
considère donc la bonté
et la sévérité de Dieu,
la sévérité envers ceux qui sont tombés,
la bonté de Dieu envers
toi, si tu persévères dans
cette bonté. Puisqu'autrement,
toi aussi, tu seras coupé.
Et plus tard, dans le chapitre, on voit que
le peuple d'Israël sera
monté de nouveau sur cet arbre
dans le futur. Donc, on voit ici le
principe que Dieu va mettre de côté
l'église comme témoignage
public. Et c'est ça qui arrive
ici, dans ce chapitre.
Vasti a refusé
d'apparaître devant
la voie. Vasti a refusé
les droits d'Assurus.
Et de telle façon, l'église
sur la terre, qui avait une relation
officielle avec Dieu,
elle l'a refusé.
On voit le principe
dans 1 Chrétien 11, déjà,
que là, on voit
l'autorité de Dieu, et puis Christ,
et puis l'église, et la femme aussi,
son image, l'église.
Mais dans le même chapitre, on voit
que les chrétiens voulaient avoir
la Sainte Dominica pour eux-mêmes.
Ce n'était plus longtemps pour le Seigneur,
c'était pour eux-mêmes. Vous voyez,
le même principe a été
introduit dans l'église.
Ils voulaient avoir un pestin, ils voulaient avoir
la Sainte Dominica,
mais pas Dominica, pour eux-mêmes.
Ça, c'est le principe.
On trouve, comme j'ai dit,
ce principe dans beaucoup de cas.
Mais je mentionne un autre cas.
Le fils aîné, dans Luc 15,
le fils prodigue,
qui est rentré,
qui était sauvé, vraiment,
il a eu ce pestin avec son père.
Il a eu cette communion
qu'on a vue dans Luc 15.
Une belle communion.
Mais le fils aîné,
il ne voulait pas avoir une part
dans cette communion.
Il a refusé d'avoir ce pestin
avec son père. Il voulait avoir
son pestin avec ses copains,
mais il ne voulait pas avoir
ce pestin avec son père.
On peut le lire dans l'écrit. Ça, c'est très grave.
C'est ça qui est arrivé aussi dans l'histoire
de l'église.
Ils ont voulu avoir un pestin,
mais pour eux-mêmes, pas dans la communion
avec Dieu. Et à cause de cela,
Dieu va mettre de côté,
après l'enlèvement de l'église,
on va voir que l'église
apostate va avoir
une place sur la terre, mais Dieu
la mettra de côté.
Dieu va réintroduire
comme témoignage public
pour l'Israël.
Ici, on voit dans cette image-là
le premier point.
Juste quelques détails pour expliquer ça.
Dans le verset 10,
on voit que le roi
envoie cette eunuque pour l'inviter.
D'une telle façon, on peut dire
que Dieu a envoyé
un témoignage parfait
pour que l'église
soit présentée grandement pour la gloire
de Dieu. Parce que ça, c'est la pensée.
Le roi voulait avoir
la reine comme
représentante publique
qui représente la gloire du roi
publiquement. C'est ça que
la reine a refusé. Et puis,
dans la parole de Dieu, on voit
que Dieu a donné beaucoup de témoignages
à l'église pour être
un témoignage public.
Dans l'apocalypse 2 et 3,
on voit cette lettre
que le Seigneur envoie aux croyants
au rassemblement
dans Asie mineure pour
inviter l'église à être
un témoignage fidèle pour lui.
Mais on voit que dans l'histoire de l'église,
cela a été rejeté. Je peux donner
un autre exemple.
Les épîtres de Paul
nous donnent aussi ce témoignage
parfait. Deux fois
sept épîtres qui nous parlent
des pensées de Dieu en relation à l'église.
Mais aussi pour être
un témoignage
fidèle pour Dieu. Pensez à
2 Chrétiens 11, par exemple, une
Vierge 6. On peut donner d'autres
exemples, comme dans Éphésiens 5.
C'est dans le cœur de Dieu d'avoir
là, c'est pour
Christ, que l'église soit pour Christ.
Mais en général, c'est aussi
dans Éphésiens 1 que Dieu veut avoir l'église
pour lui-même, comme un témoignage
pour lui-même. Mais l'église
l'a refusé. Malgré ce
témoignage parfait, c'est cet
unique principe. Donc ici,
on voit un rejet des droits
de Dieu. La reine est rebelle.
L'église est devenue rebelle.
Insoumise. Fière.
Mais est-ce qu'il n'y a pas de leçon pour nous
là-dedans? Parce que c'est très
facile à constater l'histoire
de l'église. C'est très facile de voir
aussi dans Apocalypse 17
et 18, le résultat de ce chemin-là.
Et que Dieu va la
juger complètement. Mais est-ce
que dans mon cœur, il n'y a
pas d'indépendance
ou de la fierté ou
de la rébellion? Ce sont
donc des leçons pratiques pour nous aussi.
Et c'est ça qu'on trouve dans le restant, juste
brèvement, sur le dernier verset de ce
chapitre. Le roi Don ici,
il a,
il demande conseil, un conseil
des sages qui connaissent les temps.
Les sages jouent un rôle très
important là où il y a le déclin.
Ça c'est très important d'être sage
là où il y a la ruine.
La sagesse parle
pas seulement de la connaissance,
mais de la connaissance appliquée.
Donc savoir quand
agir et comment agir.
Donc la sagesse c'est
l'application de la connaissance.
C'est pas simplement une connaissance
intellectuelle, mais c'est vraiment
une connaissance du cœur du Dieu.
Cette sagesse là est nécessaire.
La loi est le droit
dans le verset 13. Il faut connaître
vraiment les droits du Dieu.
Il faut connaître ça. Il faut connaître
les pensées du Dieu sur l'église,
le conseil du Dieu sur l'église
pour comprendre
ce qu'on doit faire aujourd'hui.
Et c'est très important.
Si on n'a aucune idée
des pensées du Dieu, comment on
devrait marcher dans un temps de ruine?
On peut constater la ruine.
On peut essayer d'améliorer tout ça.
Mais si on n'a pas
d'idée vraiment des pensées du Dieu,
comment agir? Donc,
être sage, mais connaître aussi la loi
et le droit. Et on voit de nouveau
un témoignage parfait.
Les sept princes,
qui sont appelés aussi les sept sages.
Et je pense ici, on voit
une image de l'activité
de l'esprit en nous.
Parce que là où il y a un déclin,
là où il y a une déviation,
Dieu commence à agir
pour avoir
une restauration, pour
rétablir les droits de Dieu.
Là où les droits de Dieu étaient rejetés.
Dans ma vie, j'ai besoin de cette activité
de l'esprit. On le trouve aussi
dans l'apocalypse.
Et on va trouver une autre image de l'activité
de l'esprit plus tard, dans le chapitre 2.
Mais c'est ici donc,
en rapport avec les droits de Dieu,
ces sept sages,
ces sept princes sont en charge
maintenant pour voir quoi faire
là où les droits de Dieu sont rejetés.
Et on voit la conclusion
dans le verset 19
si le roi le trouve bon,
que l'ordre royal émane
de lui et soit inscrit dans les lois
de la Perse et de la Médie
qui ne passent pas, que Vasti
n'entrera plus devant le roi assuré.
Donc elle l'avait rejetée
comme on l'a vu, et maintenant
le roi la rejette.
Comme on l'a vu aussi en rapport avec l'église.
Et que le roi donne la dignité royale
de Vasti à une autre
qui sera meilleure qu'elle.
C'est maintenant très important à comprendre ça.
Parce que ce qu'on va voir dans le chapitre 2
en rapport avec le reste futur,
le reste idéal des juifs
s'applique maintenant à nous.
Est-ce que nous avons
appris par ces choses là ?
Est-ce que nous avons le désir
d'être obéissants ?
Est-ce que nous avons le désir
d'être soumis à Dieu ?
Est-ce que nous sommes meilleurs
dans ce sens là que Vasti ?
Vasti était une reine
étrangère. Probablement
elle est venue d'Inde
donc elle était aussi pour les perses
une étrangère. Et de telle façon
l'église aussi était un élément étranger
vraiment. Et l'église a rejeté
les droits du Dieu. Qu'on fait maintenant ?
On voit ici, c'était dit
mais ça donne une implication
très pratique pour nous.
Parce que les singes parlent ici
des maisons, des foyers
on pourrait dire. Est-ce que
cette autorité du roi est reconnue
dans mon travail ? Est-ce que cette autorité du roi
est reconnue dans ma vie
personnelle ? On peut penser
aux croyants dans le passé comme Abel
qui a maintenu les droits
de Dieu là où son père l'a rejeté.
Pense à Moïse qui était
fidèle envers Dieu, là où le peuple
était infidèle. On peut penser
au Seigneur Jésus lui-même qui a toujours
maintenu les droits de Dieu. Et pour
nous, c'est pour nous maintenant
d'être fidèles là où les droits
de Dieu sont rejetés. Donc ça c'est
vraiment un encouragement
pour nous. Être fidèles
ça c'est la réponse de notre cœur
que Dieu aimerait voir. Nous
vivons dans un monde
de déjouissance, de rébellion.
On voit ici dans le verset
22, tout homme serait
maître dans sa maison. C'est pas
pour être un despote
c'est pas pour régner
avec le bâton pour ainsi dire
mais c'est un principe
de Dieu, l'autorité.
Et le mari est le chef
dans la famille. Puis
on ment souvent, on ment tous
mais il faut, c'est une question de
si on a le désir de
reconnaître ce principe, le principe
d'autorité qui vient de Dieu.
Ce principe d'autorité dans le foyer, dans ma vie
personnelle, reconnaître les droits de Dieu
reconnaître les droits du Seigneur
mais aussi dans le rassemblement.
Nous vivons dans un temps
où l'autorité du Seigneur est rejetée
et ça se voit aussi même
dans l'histoire de l'église
même dans l'histoire des frères pour ainsi dire
ça peut arriver dans notre rassemblement
quand on met de côté
les droits, les droits
de Dieu. Donc ces leçons
nous parlent beaucoup pour
être fidèle, pour
reconnaître son autorité
morale dans un monde
ou l'être rejetée. Et si
c'est le cas, on va voir ces caractéristiques
merveilleuses dans Esther
qui répondent vraiment au coeur
du roi, qui répondent au
coeur de Dieu, ça c'est la pensée
que Dieu aimerait voir
en vous, en moi
ces mêmes attributs, ces mêmes caractéristiques
qu'on va voir dans le chapitre 2
avec Esther qui était obéissante
qui était soumise
et c'est ça la réponse vraiment
que Dieu aimerait voir dans votre coeur
dans mon coeur, dans votre vie
dans ma vie, pour la gloire
de Dieu vraiment dans un monde
où son autorité est rejetée.
Donc le Seigneur nous aide simplement
à militer là-dessus
puis voir ces leçons, ce qu'on peut
penser en l'histoire future
d'Israël, c'est bien intéressant
mais c'est très important de voir que
même ce chapitre là a été écrit
d'abord pour vouloir
pas pour les juifs en première ligne
d'abord pour vouloir, pour avoir des leçons
bien pratiques, pour les mettre en pratique
pour la joie de Dieu
pour satisfaire le coeur de Dieu
donc le Seigneur nous aide pour le faire. …
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…
Le Livre des Frères, chapitre 1er, et au jour d'Assuérus.
Cet Assuérus régnait depuis l'Inde jusqu'à l'Éthiopie sur 127 provinces.
En ce jour-là, il arriva que le roi Assuérus, étant assis sur le trône de son royaume, Assur, la capitale,
la troisième année de son règne, fit un festin à tous ses princes et ses serviteurs,
les puissants de la terre et de la médie, les nobles et les chefs des provinces étant devant lui,
montrant les richesses glorieuses de son royaume et le feste magnifique de sa grandeur
pendant nombre de jours, pendant 180 jours.
Et quand ces jours furent accomplis, le roi fit à tout le peuple qui se trouvait à Sus, la capitale,
depuis le grand jusqu'au petit, un festin de sept jours.
Dans la cour du jardin du palais du roi, des draperies blanches, vertes et bleues
étaient attachées par des cordons de bissus et de pourpre à des anneaux d'argent et à des colonnes de marbre blanc.
Les lits étaient d'or et d'argent, placés sur un parment de marbre rouge et blanc, d'albâtre et de marbre noir.
Et on donna à boire dans des vases d'or, les vases différents les uns des autres,
et il y avait du vin royal en abondance, selon la puissance du roi.
Et on buvait, selon les vies, on ne forçait personne,
car c'est ainsi que le roi avait ordonné à tous les grands de sa maison de faire selon le gré de chacun.
Verset 9
La reine Vasthi aussi fit un festin pour les femmes de la maison royale du roi Asuérus.
Au septième jour, comme le corps du roi était gué par le vin,
il dit à Mélumane, à Vista, à Argona, à Vista et à Bacta,
à Zéthar et à Carcasse, les sept tenues qui servaient devant le roi Asuérus,
d'amener la reine Vasthi devant le roi avec la couronne du royaume,
pour montrer sa beauté au peuple et au prince, car il était belle de figure.
Mais la reine Vasthi repusa de venir à la parole du roi Transmise par les aînés,
et le roi se mit fort en colère, et sa fureur s'embrasa en lui.
Et le roi dit aux sages qui connaissaient les temples pour les affaires du roi
se traiter ainsi devant tous ceux qui connaissaient la loi et le droit.
Et les plus rapprochés de lui étaient Karchena, Kshetar, Ajmalta, Tartis, Merez,
Martena, Memukam, les sept princes de la Perse et de l'Amélie,
qui voyaient la face du roi et qui siégeaient au premier rang dans le royaume.
Que font-ils faire à la reine Vasthi selon la loi,
pour n'avoir pas fait ce que le roi Asuérus a commandé par l'intermédiaire des unis ?
Et Memukam dit devant le roi et le prince,
ce n'est pas contre le roi seulement que la reine Vasthi a mal âgé,
mais contre tous les princes et contre tous les peuples
qui sont dans toutes les provinces du roi Asuérus.
Car cette affaire de la reine se répandra parmi toutes les femmes
de manière à rendre leur mari méprisable à leurs yeux.
En ce qu'elles diront que le roi Asuérus a commandé d'amener la reine Vasthi devant lui
et qu'elle n'est pas venue.
Et aujourd'hui, la princesse de la Perse et de l'Amélie,
qui auront appris l'affaire de la reine,
parleront de même à tous les princes du roi.
Il y aura assez de mépris et de colère
si le roi le trouve bon, qu'un ordre royal émane de lui
et soit inscrit dans les lois de la Perse et de l'Amélie
et ne passe pas que Vasthi n'entrera plus devant le roi Asuérus
et que le roi donne la dignité royale de Vasthi à une autre
qui sera meilleure qu'elle.
Il est dit du roi qu'il aura fait,
qu'il sera connu dans tout son royaume comme le grand
et toutes les femmes rendront honneur à leur mari depuis le grand jusqu'au petit.
Et cette parole qu'il donne aux dieux du roi et des princes.
Et le roi fit selon la parole de Ménucate
et il envoya des lettres à toutes les provinces du roi,
à chaque province selon son écriture
et à chaque peuple selon sa langue.
Pourtant que tout homme serait maître dans sa maison
et parlerait selon la langue de son peuple jusqu'ici.
Ce livre, avec ce beau nom, est un livre très spécial.
Le nom signifie étoile.
Et c'est une étoile toute particulière, on peut dire,
au firmament des livres de la Bible.
Chaque livre est comme une étoile.
Mais cette étoile est différente de toutes les autres.
C'est un principe qu'on va trouver aussi dans la versette.
Chaque vase est différent.
Et d'une telle façon aussi ce livre de la Bible
est tout à fait différent des autres livres.
Avant de commencer, j'aimerais juste parler de chaque verset un peu.
J'aimerais donner quelques principes généraux au début
pour aider peut-être à mieux comprendre la signification de ce livre.
J'ai pris une carte avec moi, juste pour l'indiquer,
mais c'est un peu compliqué.
Le royaume était donc ici, le royaume d'Esper.
Jusqu'à l'air, un peu plus loin même,
et puis aussi à l'air d'ici, même en Égypte,
parce que le roi Assurus avait pris de l'Égypte
et même un peu du Soudan.
Donc c'était un royaume très, très étendu.
Mais pour comprendre cela, il serait bon de savoir que Dieu,
au début de l'histoire d'Israël,
Dieu avait appelé Israël pour être son réel dans ce monde.
Et nous savons que le peuple d'Israël avait manqué.
Le peuple d'Israël servait un seul lieu.
Il avait commencé à servir les idoles.
Et à cause de cela, Dieu l'a mis de côté.
Et même les deux tribus étaient dans la captivité babylonienne.
Le moment où Dieu a permis que le roi de Babylone
a pris ce peuple en captivité,
ce moment-là aussi, le trône de Dieu à Jérusalem
a cessé d'être là.
Autrement, on voit dans le livre des Égay par exemple,
que la gloire de Dieu partait du temple.
Et on sait dans le livre des Chroniques
que Salomon, le grand roi d'Israël,
était assis sur le trône de Dieu.
Mais à cause de la désobéissance d'Israël,
tout cela est terminé.
Dieu a donné cette autorité aux chefs des nations.
C'était Nebuchadnezzar.
Nebuchadnezzar a pris ce peuple et l'a pris en captivité.
Les juifs sont donc arrivés à Babel
et d'autres parties de son royaume.
Mais on sait dans la parole de Dieu
que même Nebuchadnezzar était infidèle
dans ce règne qu'il avait reçu de Dieu.
Il était infidèle lui aussi.
On peut dire ça dans Daniel 4 par exemple.
Il était très orgueilleux.
Puis à un moment donné, Dieu a pris ce règne
et a donné à un autre peuple.
On peut trouver ça dans Daniel 5 ici.
Au peuple des nations appelées les Medes et les Pertes.
Les Medes et les Pertes étaient donc le deuxième royaume
des nations auquel Dieu avait donné cette autorité.
D'abord Dieu avait donné cette autorité à Nebuchadnezzar
et puis plus tard à cause de l'infidélité de Nebuchadnezzar
il avait donné cette autorité au royaume des Medes et des Pertes.
Et nous avons ici dans ce chapitre
le quatrième roi dans ce royaume.
Juste peut-être tourner vers Daniel 11
pour comprendre, pour voir un peu le lien avec notre chapitre.
Daniel 11.
On voit un principe très important dans Daniel 10.
Je m'en ai mentionné cela.
On voit que d'un côté le peuple de Dieu était en captivité
et maintenant caché, maintenant displacé parmi les peuples.
On pourrait dire mais qu'est-ce qui se passe maintenant avec le peuple de Dieu ?
Et on voit que sur l'arrière-plan des ennemis
qui s'occupent de ce peuple.
Et dans Daniel 10 on voit vraiment le combat derrière la scène.
C'est ça, derrière la scène.
On voit le combat entre les grands puissants des démons.
Et on voit que là aussi Dieu intervient et Dieu contrôle tout.
Mais ce qui est remarquable dans Daniel 10
est de voir que l'objet des attaques de l'ennemi
c'est pas pour attaquer un autre ennemi
disons les grecs attaquent les mèles et les perches.
C'est ça qu'on parle.
Mais Daniel 10 nous montre, si vous pouvez lire ça,
sous le chapitre vous allez voir que derrière la scène
c'est un combat contre le peuple de Dieu.
Et c'est ça qui se passe aujourd'hui aussi.
Les attaques de l'ennemi vont contre le peuple de Dieu.
Soit les juifs comme le peuple terrestre
soit les chrétiens comme le peuple célèbre.
Mais ce que je voulais mentionner maintenant dans Daniel 11
là Michael, ou l'ange excuse, l'ange et aussi le seigneur lui-même
a expliqué à Daniel les événements futurs à ce moment là.
Il lui explique que ce royaume de Babylone
c'était déjà passé parce que c'était la troisième année du Cyrus
déjà le roi de Perse dans le chapitre 10
et ça continue ici dans le chapitre 11.
Donc le royaume de Perse avait déjà comme entrée
et dans le chapitre 11 nous voyons verset 2
Et maintenant je te déclarerai la vérité.
Voici il célébrera encore trois rois en Perse.
Il y avait donc déjà, on avait eu déjà Cyrus dans le chapitre 10
et Darius le Med dans le chapitre 11
et il dit qu'il célébrera encore trois rois en Perse
et le quatrième deviendra riche de grandes richesses, plus que tout
et quand il sera devenu pauvre par ses richesses
il excitera tout contre le royaume de Javan.
Voilà ce qui se passe dans notre chapitre 1
c'est le roi Assyrus qui prépare toute son armée
pour attaquer les Grecs.
Le royaume de Javan veut dire les Grecs.
Donc c'est ici déjà annoncé à Daniel
que ce roi exige les Grecs à un moment donné
et qu'il se traduit et qu'il exciterait tout contre le royaume de Javan.
Donc si vous gardez ça en mémoire ça peut donc aider
parce que la parole de Dieu explique l'histoire.
On le voit aussi dans les livres à l'école
mais on voit ici la façon dans laquelle Dieu joue à l'histoire.
C'est très important parce qu'on ne voit pas dans le livre d'Einstein ce combat
on ne voit pas qu'Assyrus avait eu la victoire contre les Égyptiens
il avait ajouté à son royaume dans le temps des Darius
il avait 120 provinces.
Maintenant dans le verset 1 nous avons vu que c'était 127 provinces
il avait donc ajouté à son royaume par des conquêtes
mais est-ce que nous ne voyons pas dans ce chapitre
qu'il était en train de préparer un combat contre les Grecs.
Nous ne voyons non plus dans ce chapitre 1
ni dans le chapitre 2 qu'il a eu une défaite contre les Grecs
parce que ce n'est pas en rapport avec le peuple de Dieu.
Dieu nous mentionne dans sa parole seulement
les combats qui sont importants pour le peuple de Dieu.
Un exemple, dans Genèse 14 nous voyons la première guerre
qui est mentionnée dans la parole de Dieu
et pourquoi est-ce que cette guerre était mentionnée ?
Parce que là le neveu d'Abraham était impliqué dans la guerre
il était pris par les rois
et puis Abraham l'a délivré
c'est la première guerre qu'on trouve dans la Bible
et pourquoi c'est mentionné ?
Parce que le peuple de Dieu était impliqué
Abraham était impliqué là-dedans
et on voit donc ce principe dans Daniel 10 aussi
c'est important pour nous à comprendre
que les combats ou les guerres dans ce monde
ce n'est pas important
quand est-ce que c'est important pour Dieu
lorsque son peuple est impliqué là-dedans ?
et on voit ce principe dans Daniel 10
on le voit aussi d'une autre façon
pas seulement en rapport avec les guerres
c'est mentionné dans un autre exemple
dans Luke 2, on voit que le grand César
le grand empereur du royaume romain
il a donné des ordres
afin que tout le monde dans ce temps-là
dans son royaume, le quatrième royaume
soit inscrit
et nous savons que cette inscription a eu lieu beaucoup plus tard
mais pour Dieu c'était simplement
pour que Joseph et Marie déménagent
pour être à Bethléem
afin que le Messie soit né à Bethléem
vous voyez ?
Dieu a tout en ses mains
Dieu contrôle tout
et puis l'histoire de ses nations
de ses peuples
est importante
en rapport avec le choix de son peuple
autrement Dieu ne mentionne pas
c'est pour nous aussi une leçon
parce que souvent on est très intéressé
dans tout ce qui se passe dans ce monde
mais il faut être intéressé dans ces choses-là
mais voir le lien avec le peuple du Dieu
un autre point que j'aimerais mentionner
c'est que le nom de Dieu
n'est pas mentionné dans ce livre
c'est très choquant
il y avait même des chrétiens
qui ont pensé que ce livre n'est pas un livre
inspiré
parce que le nom de Dieu n'est pas mentionné
même les juifs au début avaient discuté avec ça
mais à la fin de Dexter
on a trouvé qu'il y a une fête
pour les juifs
donc les juifs ont l'accepté quand même
mais dans l'histoire de l'Église
on a eu beaucoup de difficultés
avec ce livre-là
au début dans l'Église
on n'a pas de commentaires sur les fêtes
les fêtes de l'Église
on écrit d'autres commentaires
sur d'autres livres de la Bible
mais pas sur le livre des fêtes
on ne savait pas quoi lire ça
et même le récommandeur Luther
il avait pensé que ce n'était pas un livre
inspiré comme l'Épître de Jacques
ici
mais nous savons que c'est bien un livre
inspiré et avec l'aide du Seigneur
on aimerait étudier ça
pas seulement cette soirée
parce qu'on n'avait pas assez de temps
pour pas tout lire tout le livre
mais on va voir sans doute
que c'est un livre inspiré
où on voit la main de Dieu
quoi que le nom de Dieu n'est pas mentionné
on voit la main de Dieu
on voit que Dieu a tout en ses mains
Dieu organise les choses d'une façon
merveilleuse
on voit, juste pour mentionner un détail
le moment où Ammon a dressé
le gibet
pour peindre
Mardochée
le lendemain, cette nuit
le roi a eu une rêve
puis on voit que toute l'histoire
change seulement à cause de cette rêve
que Dieu a donnée
et on va voir beaucoup de ces détails
où on voit vraiment la main de Dieu
comment Dieu a montré
ses soins providentiels
envers son peuple
le nom de Dieu n'est pas mentionné
parce que vous voyez, les juifs
qui sont à Sud
cette ville que l'on a lue
dans le chapitre 1 verset 2
ces juifs étaient
quand même un peu infidèles
parce que vous voyez, le premier roi
des Medes et des Pères
avait donné un décret
pour que les juifs retournent à Jérusalem
et Dieu était avec
les juifs qui étaient à Jérusalem
Dieu avait là
le reste fidèle
qui avait une relation
avec Dieu
une relation que Dieu reconnaissait
autrement, Dieu
avait une relation officielle
avec ce qui reste à Jérusalem
là, on voit les prières
on ne voit pas de prière dans Esther
seulement le jeûne, une fois, deux fois
on ne voit pas des sacrificataires
dans le livre d'Esther
on les voit à Jérusalem dans le livre d'Ezra
et de Néonis
on voit une relation rétablie
entre Dieu et son peuple
quoi que ce soit un reste, il y avait quand même
un lien rétabli
avec ce reste, mais rien de ça dans ce livre là
on ne voit pas
des prophètes même
donc beaucoup de choses qu'on ne trouve pas dans ce livre là
parce que Dieu
n'avait pas un lien
une relation officielle avec ce reste
on trouve même dans
les prophètes Osée par exemple
Osée 1 verset 11
que le peuple était l'eau amie
ça veut dire par mon peuple
Dieu ne reconnaissait pas
officiellement son peuple
et même ce reste à Jérusalem
n'était pas officiellement le peuple de Dieu
il était là
afin que les promesses de Dieu s'accomplissent
mais la gloire de Dieu
n'était pas là, l'âme n'était plus là
etc.
c'était un reste que Dieu reconnaissait
mais c'était sans la gloire
qui était auparavant là
le règne de Salomon par exemple
mais il y a une grande différence entre ceux qui étaient retournés
à Jérusalem
et ceux qui se trouvaient à Babylone
à Sud
dans d'autres villes
de ce royaume
quand même on voit que Dieu
s'occupe de ce peuple
et ça c'est un point important
tant que Dieu n'est pas une relation officielle
publique avec ce peuple
il est là sur l'arrière plan
il les protège
on va voir un peu plus tard
j'aimerais montrer ça
ça nous donne aussi beaucoup de leçons
parce que nous sommes aussi un reste
et d'un côté Dieu a des relations
avec nous
mais si on voit tout le peuple de Dieu
sur toute la terre aujourd'hui
il n'y a pas cette relation
publique avec
le peuple de Dieu non plus
mais ce qui est très important de voir
les soins providentiels de Dieu
la providence cachée dans tous ses victimes
un autre point que j'aimerais
mentionner
c'est que ce livre nous donne
beaucoup de leçons en rapport avec
le choix futur du peuple divin
et puis on va voir
la gloire de Mardoché qui parle
du seigneur Jésus dans son règne futur
on va voir
Esther comme une image
du reste fidèle futur
comme il le dit, donc beaucoup de choses
on peut dire l'explication
de ce livre là
est en rapport avec les prophéties
donc d'abord c'est un livre
historique, il faut lire
ces choses et accepter ces choses
il y a beaucoup de gens qui
rejettent ce livre, disent c'est
une fable
mais nous savons que c'est
la vérité
mais Dieu donne cette histoire
avec une intention
spéciale, comme le livre de Jeunesse
par exemple, c'est une histoire
mais c'est quand même une prophétie
et d'une telle façon aussi ce livre
c'est une histoire mais en même temps
une prophétie
ça c'est vraiment l'explication
de ce livre, c'est pour
voir cet aspect prophétique
mais maintenant
on va voir aussi des leçons
pratiques pour nous, parce que nous
savons que toute la parole de Dieu
nous a été donnée
pour nous, ces leçons
ont été écrites pour nous
un chrétien vide
j'aimerais vraiment insister là dessus
que même ce livre là qui était
pour les juifs, en rapport avec
les intérêts des juifs
un peu creux, dans ce temps là
pas reconnu officiellement par Dieu
mais quand même on voit la main de Dieu
en rapport avec eux
mais toutes ces choses là ont été
écrites pour nous, et on aimerait
bien voir avec l'œil du Seigneur les leçons
pratiques pour nous, parce qu'il y a des
leçons morales pour nous
comme Romain XV le dit aussi
que toutes ces choses ont été écrites
pour nous encourager, pour nous
exercer, vous voyez
et on va voir que Esther
par exemple nous donne des leçons
pour nous aujourd'hui
si j'ai dit, elle parle
elle est une image du reste fidèle
dans le futur
c'est en même temps
moralement des choses que
Dieu aimerait appliquer pour nous
en autre mots, que nous soyons
un reste fidèle
aujourd'hui
c'est une grande pensée qu'on va trouver en rapport
avec nous, que nous soyons un reste fidèle
dans ce monde où Dieu est
rejeté, où les droits de Dieu sont
mis de côté, que nous soyons ici
fidèles
maintenant juste encore quelques mots
avant qu'on commence
le premier verset, ce sont les grands caractères
qu'on trouve, on trouve donc
le roi Assuré
on trouve Mardoché
on trouve Esther
on trouve aussi la reine Vasti
qui est dans le chapitre 1
et on va trouver aussi le grand
ennemi du peuple de Dieu, Amas
et puis ces grands caractères
on les retrouve dans d'autres livres
de la parole du Dieu, on va voir
Assuré est une image de Dieu
on va voir que Vasti
est une image de la chrétienté
professeur, infidèle
j'ai mentionné
Esther comme une image du reste
fidèle, résidue
fidèle, même aujourd'hui aussi
Mardoché qui parle
du Seigneur Jésus comme homme
dans sa tribulation
dans sa réjection
mais aussi dans sa gloire, dans son
exaltation, on trouve cela
aussi dans d'autres livres, comme la
Genèse, le premier livre historique de la
Bible, on trouve
l'image du Seigneur Jésus
dans Joseph, Joseph qui était
très bas, en prison
mais qui était exalté, la même
pensée, Mardoché, on le trouve
dans chapitre 4
dans les Deux, en douleur
et à la fin on le trouve exalté
Joseph, la même chose
et dans la Genèse on voit
que le roi, le pharaon
est une image de Dieu
là aussi, puis une autre chose
encore que j'aimerais mentionner en général
on trouve trois livres
dans l'Ancien Testament qui
parlent d'une femme, on voit
Ruth, Esther
et Cantique des Cantiques
et puis dans les trois livres
on trouve que la
femme parle du reste fidèle
c'est une image du reste fidèle, comme j'ai mentionné
le reste fidèle de Jésus
mais dans les trois cas aussi
il y a des leçons morales
pour nous, il y a une petite
différence, dans Esther
on voit que Esther
qui parle de, on va voir ça
plus tard, qui parle
de ce reste
le reste fidèle est rétabli
dans sa relation avec
le roi, donc là on
voit la pensée que le reste fidèle
va avoir une relation avec Dieu
tandis que dans les autres livres
c'est plutôt une
relation rétablie avec le Messie
comme Ruth avec Boas
ça parle de la relation que le
reste fidèle va avoir avec le Seigneur Jésus
dans le Cantique des Cantiques
l'épouse avec
Salomon, Salomon aussi une image
du Messie, tandis qu'ici
c'est plutôt, c'est Esther là
la restauration
de la relation avec Dieu
vous voyez, le peuple d'Israël avait
une relation
particulière avec Dieu
mais à cause de cette infidélité, comme j'ai mentionné
à cause de cette idolâtrie, cette relation
a été imprompue
de la part du peuple
par son infidélité
mais on voit ici les voies de Dieu
comment il rétablit
ce que le peuple dans cette relation
au moins dans la voie de cette relation
ça c'est très beau de voir
et puis on va voir que
Esther n'avait aucun droit
et ça c'est caractéristique pour ces
trois livres que j'ai mentionnés, Ruth
elle est mentionnée comme étant
une nohabite, aucun droit
pour être au milieu du peuple des Juifs
aucune mérite, mais Dieu quand même
donne cette relation, et ce sera la même
chose pour les Juifs, dans le futur
ils reconnaîtront qu'ils n'ont
aucun droit pour avoir
une relation avec Dieu ou avec leur
Messie, mais pour nous, c'est exactement
la même chose, si on voit l'histoire
de l'Église, est-ce que
nous avons un droit
pour avoir vraiment une relation
avec Dieu, une relation
avec le Seigneur Jésus, c'est la grâce
souveraine de Dieu, sur
cette base là seulement, on peut
avoir une relation avec Dieu ou
une relation avec notre Seigneur Jésus
la grâce souveraine de Dieu, et c'est ça
une des leçons importantes
qu'on va trouver dans ces
trois livres, aussi dans Cantiques des
Cantiques, il n'y avait aucun
mérite de la part de cette
jeune fille, aucun droit
mais quand même, elle est introduite
dans cette relation avec sa langue
juste un point encore
pour comparer, j'ai mentionné
le Rêve Fidèle à Jérusalem
et si on étudie l'histoire, on va voir
que ce livre d'Esther se place
entre Eldrassi
et Seth, on voit que le livre
d'Eldrassi est en
deux parties, le reste
qui est rentré
à Jérusalem
sous Zerubbabel
et puis beaucoup
d'années, à peu près
80 années plus tard, sous
Eldrassi, donc entre ces deux
retours, il y a
ce livre d'Esther, ou au moins
le début de ce livre d'Esther
donc c'est très important de comprendre
que ce royaume
était donné
de Dieu à Assurus
on commence maintenant au premier verset
et au jour d'Assurus, cet Assurus
régnait depuis l'Inde jusqu'à
l'Éthiopie sur 127
provinces, dans ces jours là
il arriva que le roi Assurus
étant assis sur le trône
de son royaume, Assurus, la capitale
la troisième année de son règne
il était assis sur le trône de son
royaume, Assurus
il avait trois résidences
et Sus était une de ces résidences
et nous savons donc de l'histoire
comme j'ai mentionné dans le dernier
fond, qu'il se préparait
ici contre les grecs
et cela explique aussi pourquoi il avait
ce festin
pendant 180 jours
c'est pas seulement
un festin, parce qu'en même temps
ils se sont préparés pour
cet attaque contre les grecs
mais pour l'histoire de ce peuple
Assurus, ce n'était pas important
donc l'esprit du dieu n'est pas en face
et on va retrouver le roi
après cette défaite dans le chapitre 2
quatre ans plus tard
mais ici, le roi Assurus
est donc le roi qui a reçu
cette autorité de la part du dieu
c'est ça qui est important à comprendre
on peut dire qu'un homme
il était orgueilleux, violent
on le voit à la fin du chapitre
il ne pouvait pas se maîtriser lui-même
il était même indifférent
envers beaucoup
de ses sujets qu'on va retrouver dans le chapitre 3
donc je ne parle pas
de lui comme homme
mais je parle maintenant de lui
comme le représentant
de dieu, parce qu'il faut comprendre
que Assurus avait reçu
l'autorité de la part de dieu
il représentait dieu
sur la terre, et comme tel
il peut être une image
de dieu lui-même
il y a une grande différence bien sûr
entre dieu et cet homme là
mais dans cette position
que dieu lui a donnée
il est une image de dieu
comme le représentant de dieu
et c'est ça qu'on va garder en mémoire
pour comprendre toute l'histoire
dieu avait un lien spécial avec ce royaume
parce que sous Cyrus le premier roi
les juifs fidèles étaient donc
capables de retourner à Jérusalem
on voit donc là aussi
la main de dieu
et on voit d'autres détails dans d'autres livres de la parole
qui nous montrent que dieu
avait donné cette autorité
à ce roi pour que
ce soit une bénédiction pour son peuple
donc on voit ici le roi
comme le représentant de dieu
et ça parle aussi que dieu
est le chef sur toute chose
on voit le roi ici comme étant
le chef sur tous ces royaumes
sur toutes ces nations
toutes ces provinces
on peut dire que le seigneur jésus
va régner plus tard sur la terre
il va là où
Méditerranée va, là où Assuérus
a manqué, le seigneur jésus va
régner avec perfection
dans la perfection selon les pensées de dieu
parce que cela nous
amène à une deuxième pensée
c'est cette pensée de ce festin
et on va voir plus loin
aussi que c'était un bon festin
avec beaucoup de vin, beaucoup de joie
et on va voir que c'est dans le coeur
du dieu de bénir
si on voit ici le représentant de dieu
on peut dire que c'est dans le coeur du dieu
de bénir, cela a commencé
dès la création
et on voit que dans ce
livre d'Esther, sous le règne
de Mardoché
qui parle du seigneur jésus
sous ce règne futur, on peut
parler du millenium
vous connaissez cette pensée du règne millénaire
du seigneur jésus
sous ce règne là, toute la terre
sera bénie et c'est vraiment
dans le coeur du dieu de donner
toute la terre sous les pieds
d'un homme et on va voir ça
dans ce livre d'Esther
et on peut dire donc
à la fin du millenium
cette histoire de la
première création se termine
et c'est remarquable, là on a
prévu de voir que ce roi a eu
aussi un festin durant
7 jours dans le verset 5
il avait un festin de
7 jours pour tout le peuple
l'autre festin était pour ses généraux
pour ses capitaines, pour ses officiers
pour préparer la guerre
mais ce festin de 7 jours
parle plutôt de
cette pensée de dieu de bénir
on peut dire pendant ces 7000 ans
de la création jusqu'à la fin
du millenium, c'est dans le coeur du dieu
de bénir
mais là aussi on peut penser
à la promenade de dieu
on pense à
le 14
où paul a dit que
dieu a béni toutes les nations
même ceux qui étaient inconscients
que dieu existe, ceux qui étaient indifférents
envers dieu, même eux
sont bénis, même les incrédules
aujourd'hui sont bénis
ils ont beaucoup de bénédictions terrestres
je ne parle pas des bénédictions
spirituelles ou des bénédictions
célestes que nous avons dans le seigneur
ça c'est une autre chose
mais je parle maintenant des bénédictions
en rapport avec la création
donc maintenant dans le verset 5
on voit que ce festin a eu lieu
dans la cour du jardin
du palais du roi
le jardin dans le grec
c'est le paradis, c'était donc
un lieu exquis
vraiment très béni pour être là
pour être
en communion avec le roi
et si nous voyons ces pensées là
c'était le désir de dieu
d'avoir une communion avec
toutes ces créatures
on voit ça clairement dans Genèse 1 et 2
on voit dans le verset 6
et c'est quelques détails que j'aimerais
juste souligner parce que cela nous
montre ce qui est dans le coeur de dieu
par rapport avec ces bénédictions
terrestres pour nous aussi
ces bénédictions que dieu donne
et qu'il va donner dans le millenium
sans réserve
maintenant tout a été affecté
par le péché, les bénédictions
sont encore là, on a beaucoup de bénédictions
mais on peut dire aussi
que tout a été gâté par le péché
et sous la règle du Seigneur Jésus
dans le millenium, il y aura
une meilleure jouissance
de ces bénédictions terrestres
mais on voit aussi le principe, on ne veut juste rien
bien finir, et quelle chance c'est
c'est dans le jardin du palais du roi
où il a tous les droits
on peut seulement jouir ces bénédictions
si on reconnait
dieu dans ces choses là
si on met de côté l'autorité de dieu
s'il a fait, il a mis de côté
l'autorité du roi
là il n'y a pas de jouissance des bénédictions
il faut reconnaitre
l'autorité, et comme on dit en anglais
le handshake de dieu
et puis il ne faut pas
l'exclure de nos pensées
si on a une relation avec dieu
on peut jouir ces bénédictions terrestres
que dieu a donné, et c'est dans
la communion avec lui, dans sa présence
maintenant le 26
il y avait les graphiques blanches
la pureté, ses relations
avec dieu, même en rapport avec les bénédictions
terrestres, et j'aimerais juste
mentionner quelques bénédictions terrestres
c'est pas seulement une bonne santé
mais c'est aussi le mariage par exemple
ou pouvoir vivre
ou un emploi, ou beaucoup
d'autres bénédictions terrestres
que dieu nous donne, toutes ces choses là
on peut enjouir en reconnaissant
les droits de dieu, l'autorité
de dieu, en pureté
mais aussi verte
la propriété verte, ça parle de cette fraîcheur
dans le monde tout
devient bien vite, comme on dit
en anglais, born, mais on ne voit pas
dans la relation avec dieu
même ces bénédictions terrestres
donnent une fraîcheur, il y a
une autre pensée, et bleue
ça parle dans la bible souvent
des imprimantes célestes, parce que même
ces bénédictions terrestres, pour enjouir
on reconnait que ça vient du ciel
quand même, un autre détail
qu'on trouve dans le verset 6
cette propriété attachée par
des cordons de vissus
et de pourpre à des anneaux d'argent
les cordons de vissus
je pense que le vissus parle aussi
comme une sorte de coton
de la pureté, mais pas seulement ça
aussi, que tout est équilibré
bien équilibré, et ça c'est la
pensée de dieu, si dieu donne des bénédictions
c'est pas pour être
déséquilibré, mais pour être
équilibré, pour jouir
ces bénédictions, il faut vraiment
équilibré, pas
sur-estimer une bénédiction et sous-estimer
l'autre bénédiction, mais être
équilibré, le pourpre
parle aussi des droits
royaux, et puis
les anneaux d'argent, je pense
parlent de la rédemption
nous voyons ici clairement que
toutes les bénédictions terrestres
que dieu donne, il les donne
sur la base de leur
rédemption du seigneur Jésus, sans
cette œuvre là, même le vin qui est dur
n'aurait pas de bénédiction
terrestre, et notre pensée
le drapeau était
attaché à des colonnes de marbre
blanc, ça parle de la stabilité
dieu veut
avoir cette communion avec nous
il donne ces choses là pour
donner de la stabilité, et en même temps
témoignage, les colonnes parlent de témoignage
la jouissance des bénédictions
est quand même un témoignage pour la gloire
de dieu, et dieu voit que vous voyez
que vous jouissez des bénédictions
les bénédictions que dieu donne, c'est en même temps un témoignage
pour lui, le marbre blanc
je pense
la blancheur parle aussi de sa pureté
de nouveau, la pureté
est souvent
et peut être aussi, on peut dire
tout cela est placé sur la base
de la résurrection, sans la résurrection
on n'a pas de bénédiction, maintenant
la pensée de la communion
les lits étaient d'or et d'argent
les lits étaient donnés
d'or pour être
à table, donc ces lits
ici parlent de repos
mais le repos en communion
d'abord avec le roi
qui est donc une image de dieu, mais aussi
le repos, la jouissance
la communion les uns avec les autres
les deux pensées sont là
mais là aussi, deux pensées
or et argent, cette communion
cette jouissance de ces
bénédictions est sur la base
que ce soit pour la gloire de dieu
d'or, et que ce soit aussi
sur la base de la relance
de l'argent, donc vous voyez, il y a beaucoup
de détails, pour moi au moins
j'espère pour vous aussi
c'est très beau de voir ces détails
parce que ça nous donne beaucoup d'aide
à comprendre pourquoi dieu donne des bénédictions
pourquoi, parce qu'il veut
nous enrichir, il veut que nous
jouissons avec lui, le roi
il ne voulait pas que je sois là
il voulait avoir tout son peuple avec lui
dans la jouissance des bénédictions
il y a une autre pensée encore que j'aimerais
souligner, sur un pavement
de marbre rouge
le pavement parle donc
de la communion dans le sens
horizontal, on peut dire
la communion
le contact horizontal
c'est ça aussi une pensée très
fixe parce que dans le monde on voit
que les bénédictions terrestres
on ne les juge pas, on ne les juge pas
dans la communion les uns avec
les autres, on veut tout avoir pour soi même
là il n'y a pas de bénédictions
il n'y a pas de communion
les uns avec les autres, mais dans la pensée
de dieu c'est avoir cette communion
les uns avec les autres
le pavement de marbre rouge
si c'est une question
d'amour, même pour jouir
ces bénédictions, il faut avoir
l'amour pour dieu, l'amour
pour le français, et aussi
ces pensées de pureté
de rouge, noyé, blanc
mais aussi d'albâtre
l'albâtre je pense parle du dévouement
on le trouve dans l'histoire
de Marie, Marie elle a
brisé ses bouteilles d'albâtre
donc ça parle d'un plein
dévouement, vous voyez pour jouir
ces bénédictions il faut avoir un esprit
de dévouement, si on veut avoir tout
pour soi même, dans ce cas là ça ne marche pas
et le marbre noir
je pense le noir et le blanc qui sont
mentionnés donnent aussi cet équilibre
ce discernement entre le bien
et le mal, ça c'est très important
même en relation avec ces choses là
Dieu suppose que nous pouvons
discerner entre le bien et le mal
pour avoir cet équilibre
donc voilà quelques détails en rapport avec
ce festin et cette
jouissance, cette communion avec le
roi, mais si on comprend tout ça
quel défi
que la reine a refusé
d'être avec le roi
juste encore quelques détails sur le verset 7 et 8
on en a à voir dans les vases d'or
les vases différents
les uns des autres
les vases parlent de la joie
que Dieu veut partager avec
toutes ses créatures
quelle belle image ici
de ce qu'il y a dans le coeur de Dieu
pour se réjouir avec toutes ses créatures
et dans le millenium, Dieu va avoir
cette joie avec toute sa création
mais j'aimerais mettre en souligné
une deuxième point
c'est la diversité
ils ont bu dans des vases
différents les uns des autres
ça c'est un principe très important
par exemple, on a beaucoup de neige aujourd'hui
mais vous voyez, tous ces
cristaux de neige
sont différents
ces milliards et milliards de cristaux
sont tous différents
l'un de l'autre, donc ça c'est vraiment
un miracle, une merveille
et d'une même façon
chaque créature est différente
chaque chrétien est différent
on le sait dans 1 Chrétien 12
mais aussi dans un rapport avec la création
chaque créature est différente
l'un de l'autre
pour reconnaître la diversité
dans la création
et aussi reconnaître les besoins différents
les intérêts différents
tout cela va ensemble avec ça
souvent on veut presser tout dans un
mais c'est pas la pensée de Dieu
dans le coeur de Dieu il y a
beaucoup de diversité
c'est important pour nos relations aussi
pour reconnaître que nous sommes différents
nous avons les mêmes objets
les mêmes intérêts pour avoir la communion
les mêmes droits pour ainsi dire
mais en même temps on est tout à fait différents
un autre principe qu'on trouve ici
que verset 8
pour ne forcer personne
les bénédictions terrestres que Dieu donne donc
c'est pour en profiter
pour les utiliser
selon Dieu dans la communion avec Dieu
mais pas pour les imposer
les uns aux autres
et en grandir
voilà quelques leçons qu'on peut trouver
dans ce premier verset
en contraste avec ces pensées là
de la communion
avec Dieu et avec le coeur de Dieu
il y a juste réjection
réjection
que la Reine a refusé de venir
elle voulait avoir pour ainsi dire
son destin pour un homme
voilà ce qu'il y a dans le coeur de l'homme
vous voyez déjà au début
on voit au début
de l'histoire de l'homme
que l'homme voulait avoir des choses pour lui même
ça c'est vraiment
la racine du mal
même Eve et Adam plus tard
on voit la racine du mal
déjà là
on la voit dans Cain
on la voit plus tard dans les jours avant les élus
et vous pouvez continuer toute l'histoire
de l'homme et on va avoir
notre propre coeur
c'est l'indépendance
c'est la propre volonté
et c'est ça qu'on trouve ici
mais maintenant ça parle aussi de l'histoire de l'homme
on a vu que le peuple d'Israël
était infidèle
Dieu l'a mis de côté
mais vous voyez ici dans cette image là
on voit l'infidélité de l'église
beaucoup de chrétiens acceptent
comme un fait historique
l'infidélité du peuple d'Israël
mais ils ne peuvent pas accepter
qu'à un moment donné Dieu va mettre de côté
l'église, c'est cette question la même
dans Romain 11
on trouve ces deux principes
et aussi l'autre principe
que Dieu va avoir des relations
futures avec l'Israël
Romain 11, verset 20
d'abord
on voit que la branche
qui était arrachée pour cause
d'inclusivité du peuple d'Israël
qu'il était infidèle
Dieu les a mis de côté
et Paul dit ici et toi tu es debout
par la croix et ça date ici
aux croyants des nations
à l'église disons, toi tu es debout
par la croix, verset 20
à la fin ne t'enorgueillis
ne t'enorgueilles pas
mais crains si en effet Dieu n'a pas épargné
les branches qui sont telles
sur la nature, donc le peuple d'Israël
qu'il ne t'épargne pas non plus
verset 22
considère donc la bonté
et la sévérité de Dieu
la sévérité envers ceux qui sont tombés
la bonté de Dieu envers toi
si tu persévères dans
cette bonté, puisque autrement
toi aussi tu seras coupé
et plus tard dans le chapitre on voit que
le peuple d'Israël sera
planté de nouveau sur cet arbre
dans le suffice, donc on voit ici le principe
que Dieu va mettre de côté
l'église comme témoignage
public et c'est ça qui arrive
ici dans ce chapitre
Vasthi a refusé
d'apparaître devant
la roi, Vasthi a refusé
les droits d'Azurus
et d'une telle façon l'église
sur la terre qui avait une relation
officielle avec Dieu
elle a refusé
on voit le principe
dans le chrétien 11 déjà
que là on voit
l'autorité de Dieu et puis Christ
et puis l'église et la femme aussi
image de l'église
mais dans le même chapitre on voit
que les chrétiens voulaient avoir
la Sainte Dominique pour eux-mêmes
ce n'était plus longtemps pour le Seigneur
c'était pour eux-mêmes
le même principe a été
introduit dans l'église
ils voulaient avoir un festin
ils voulaient avoir la Sainte Dominique
mais pas Dominique pour eux-mêmes
c'était le principe
on trouve comme je dis
ce principe dans beaucoup de cas
mais je m'en souviens d'un autre cas
le fils est né
dans Luc 15, le fils
qui est rentré
qui était sauvé
il a eu ce festin avec son père
il a eu cette communion
comme on l'a vu
dans Luc 15, une belle communion
mais le fils est né
il ne voulait pas avoir une part
dans cette communion
il a refusé d'avoir ce festin
avec son père
il voulait avoir son festin avec ses copains
mais il ne voulait pas avoir
ce festin avec son père
on peut le lire en Luc 15, ça c'est très grave
c'est ça qui est arrivé aussi
dans l'histoire de l'église
ils ont voulu avoir un festin
mais pour eux-mêmes, pas dans la communion
avec Dieu
et à cause de cela, Dieu va mettre de côté
après l'enlèvement de l'église
on va voir que l'église
apostate va avoir
une place sur la terre
mais Dieu la mettra de côté
Dieu va reproduire
comme commandement public
pour l'Israël
ici on voit dans cette image
le premier point
juste quelques détails pour expliquer ça
dans le verset 10
on voit que le roi envoie
cette nuque pour l'inviter
d'une telle façon on peut dire
que Dieu a envoyé
un témoignage parfait
pour que l'église
soit présentée dans ce monde pour la gloire
de Dieu, parce que ça c'est la pensée
le roi voulait avoir
la reine comme
représentante publique
qui représente la gloire du roi
publiquement, c'est ça que
la reine a refusé
et dans la parole de Dieu
on voit que Dieu a donné beaucoup de témoignages
à l'église pour être
un témoignage public
dans l'apocalypse 2 et 3
on voit cette lettre
le seigneur envoie aux croyants
au rassemblement
dans Asie mineure pour
éviter l'église d'être
un témoignage fidèle pour lui
mais on voit dans l'histoire de l'église
cela a été rejeté
je peux donner un autre exemple
les épitres de Paul
nous donnent aussi ce témoignage
parfait, deux fois
sept épitres qui nous parlent
des pensées de Dieu en relation
à l'église, mais aussi pour être
un témoignage
fidèle pour Dieu, pense à
2 Corinthiens 11 par exemple
une vierge sainte, on peut donner d'autres
exemples, comme dans Ephésiens 5
c'est dans le coeur de Dieu d'avoir
là c'est pour Christ
que l'église soit pour Christ
mais en général c'est aussi
dans Ephésiens 1 que Dieu veut avoir l'église
pour lui-même, comme un témoignage
pour lui-même, mais l'église
l'a refusé, malgré ce
témoignage parfait, c'est sept
émutes pour un civil, donc ici
on voit un revêt des droits
de Dieu, la reine est rebelle
l'église est devenue rebelle
insoumise, fière
mais est-ce qu'il n'y a pas de leçon pour nous
là-dedans, parce que c'est très facile
à constater l'histoire de l'église
dans l'église, c'est très facile de voir
aussi dans Apocalypse 17
et 18, le résultat de ce chemin-là
c'est que Dieu va la
juger complètement
mais est-ce que dans mon coeur
il n'y a pas d'indépendance
ou de la fierté
ou d'un rébellion
sont donc des leçons pratiques pour nous aussi
et c'est ça qu'on trouve dans le récent, juste
vraiment sur le dernier récit de ce chapitre
le vrai bon ici
il demande
conseil
des sages qui connaissent les temps
les sages jouent un rôle très important
là où il y a le déclin
ça c'est très important d'être sage
là où il y a la ruine
la sagesse parle
pas seulement de la connaissance
mais de la connaissance appliquée
donc savoir quand
agir et comment agir
donc la sagesse c'est
l'application de la connaissance
c'est pas simplement une connaissance
intellectuelle
c'est vraiment une connaissance du coeur du dieu
cette sagesse là c'est nécessaire
il faut connaître le droit
dans le récit de cette phrase
il faut connaître vraiment les droits du dieu
il faut connaître ça
il faut connaître les pensées du dieu sur l'église
les conseils du dieu sur l'église
pour comprendre
ce qu'on doit faire aujourd'hui
et c'est très important
si on n'a aucune idée
des pensées du dieu
on pourrait marcher dans un temps de ruine
on peut constater la ruine
on peut essayer d'améliorer tout ça
mais si on n'a pas
d'idée vraiment des pensées du dieu
comment agir ?
donc être sage mais connaître aussi la loi
et le droit
et on voit de nouveau un témoignage parfait
les sept prêtres
qui sont appelés aussi les sept sages
et je pense ici
on voit une image de l'activité
de l'esprit en nous
parce que là où il y a un déclin
là où il y a une déviation
dieu commence à arriver
pour avoir
une restauration
pour rétablir les droits du dieu
et là où les droits du dieu étaient rejetés
la magie a besoin de cette activité
de l'esprit, on le trouve aussi
dans l'apocalypse
et on va trouver une autre image
de l'activité de l'esprit plus tard dans le chapitre 2
mais c'est ici donc
en rapport avec les droits du dieu
ces sept sages
et ces sept prêtres sont en charge
maintenant pour voir quoi faire
là où les droits du dieu sont rejetés
et on voit la conclusion
dans le verset 19
si le roi le trouve bon
que l'ordre royal émane
de lui et soit inscrit dans les lois
de la perse et de la médie
qui ne passent pas, que Vatsky
n'entrera plus devant le roi assuré
donc elle l'avait rejeté
comme on l'a vu
et maintenant le roi l'a rejeté
comme on l'a vu aussi en rapport avec l'église
et que le roi donne la dignité royale
de Vatsky à une autre
qui sera meilleure qu'elle
c'est maintenant très important à comprendre ça
parce que ce qu'on va voir dans le chapitre 2
en rapport avec le reste futur
le reste idéal des huîtres
s'applique maintenant à nous
est-ce que nous avons
appris par ces choses là
est-ce que nous avons le désir
d'être sauris
est-ce que nous avons le désir
d'être sauris à Dieu
est-ce que nous sommes meilleurs
dans ce sens là que Vatsky
Vatsky était une reine
étrangère, probablement
elle est venue d'Inde
donc elle était aussi pour la perse
une étrangère, et de telle façon
l'église aussi était un élément étranger
vraiment, et l'église a rejeté
les lois des huîtres, quoi faire maintenant
on voit ici cette église
mais ça donne une implication
très pratique pour nous
parce que les singes parlent ici
des maisons, des foyers
on pourrait dire, est-ce que
cette autorité du roi est reconnue
dans mon foyer, est-ce que cette autorité du roi
est reconnue dans ma vie
personnelle, on peut penser
au croyant dans le passé comme Abel
qui a maintenu les droits
de Dieu là où son frère l'a rejeté
pense à Moïse qui était
fidèle envers Dieu, là où le peuple
était infidèle, on peut penser
au seigneur Jésus lui-même
qui a toujours maintenu les droits de Dieu
et pour nous, c'est pour nous maintenant
d'être fidèles là où les droits
de Dieu sont rejetés, donc ça c'est
vraiment un embrangement
pour nous, être fidèles
ça c'est la réponse de peur
que Dieu aime avoir, nous vivons
dans un monde
de déjouissance, de rébellion
on voit ici dans le verset 22
tout homme serait
maître dans sa maison, c'est pas
pour être un despote
c'est pas pour régner
avec le bâton pour ainsi dire
mais c'est un principe
de Dieu, l'autorité
et le mari est le chef
dans la famille, puis
on ment souvent, on ment tous
mais il faut, c'est une question de
si on a le désir de
reconnaître ce principe, le principe
d'autorité qui vient de Dieu
ce principe d'autorité dans le foyer, dans ma vie
personnelle, reconnaître les droits de Dieu
reconnaître les droits du Seigneur
mais aussi dans le rassemblement
nous vivons dans un temps
où l'autorité du Seigneur est rejetée
et ça se voit aussi même
dans l'histoire de l'église
même dans l'histoire des frères pour ainsi dire
ça peut arriver dans notre rassemblement
quand on met de côté
les droits, les droits
de Dieu, donc
ces leçons nous parlent beaucoup
pour être fidèles
pour reconnaître son autorité
morale dans un monde
où elle est rejetée
et si c'est le cas, on va voir ces caractéristiques
merveilleuses dans Esther
qui répondent vraiment au coeur
du roi, qui répondent au coeur
de Dieu, ça c'est la pensée
que Dieu aimerait voir
en vous, en moi
ces mêmes attributs, ces mêmes caractéristiques
qu'on va voir dans le chapitre 2
avec Esther, c'était obéissant
c'était soumise
et c'est ça la réponse vraiment
que Dieu aimerait voir dans votre coeur
dans mon coeur, dans votre vie
dans ma vie, pour la gloire
de Dieu vraiment dans un monde
où son autorité est rejetée
donc le Seigneur nous aide simplement
à méditer là-dessus
puis voir ces leçons, ce qu'on peut
penser à l'histoire future d'Israël
c'est bien intéressant
mais c'est très important de voir que
même ce chapitre là a été écrit
d'abord pour vouloir
pas pour l'église en première ligne
mais d'abord pour avoir des leçons
bien pratiques, pour les mettre en pratique
pour la gloire de Dieu
pour séduire le coeur de Dieu
donc le Seigneur nous aide pour le faire …
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…
Après ces choses, quand la colère du roi Aspyrus se fut calmée, il se souvint de Vinci et il se l'avait fait connaître, roi de Judas, que Nébuchadnezzar, roi de Babylone, avait transporté.
Et il élevait Hadassah, qui est Esther, fille de son oncle, car elle n'avait ni père, ni mère. Et la jeune fille était belle de taille et belle de figure.
Et à la mort de son père et de sa mère, Mardoché la prit pour fille. Il arriva que, lorsque la parole du roi et son église furent connues, et que beaucoup de jeunes filles furent rassemblées à Sud, la capitale, sous la surveillance d'Egaï,
Esther aussi fut amenée dans la maison du roi, sous la surveillance d'Egaï, gardien d'Esther. Et la jeune fille, lui plus, y trouva faveur, se vendit.
Pour cette vie, Esther n'avait pas fait connaître son peuple et sa naissance, car Mardoché lui avait commandé de ne pas laisser connaître.
Et chaque jour, Mardoché se promenait devant la cour de la maison des femmes pour savoir comment Esther se trouvait et ce qu'on faisait à son égard.
Et quand venait le tour pour chaque jeune fille d'entrer auprès du roi à Suérus, après qu'il lui avait été fait pendant douze mois, selon la règle établie pour les femmes,
car c'est ainsi que se complétaient les jours de leur purification, six mois avec de l'huile, de miel, et six mois avec des aromates et les parfums nécessaires à la purification des femmes.
Et ainsi la jeune fille entraîne auprès du roi.
Le verset 15. Et quand arriva le tour d'Esther, fille d'Abi-Kaïl, ange de Mardoché, qui l'avait prise pour fille, d'entrer auprès du roi, elle ne demanda rien, sauf ce que dit Égaïs,
unique du roi, gardien des femmes, et Esther trouvait faveur aux yeux de tous ceux qui la voyaient.
Et Esther fut conduite auprès du roi à Suérus, dans sa maison royale, au dixième mois, c'est le mois de Tébet, la septième année de son règne.
Et le roi aima Esther plus que toutes les femmes, et elle couvra grâce et faveur devant lui plus que toutes les vêtres.
Et il mit la couronne du royaume sur sa tête, et la fille reigna à la place de Bastide.
Et le roi fit un grand festin à tous ses princes et ses serviteurs, le festin d'Esther.
Et il octroya un dégrèvement aux provinces, et fit des dons selon la puissance du roi.
Verset 21
En ce jour-là, Mardoché, étant assis à la porte du roi, deux des uniques du roi, d'entre les gardiens des soeurs,
Dextin et Thérèse, se mirent en colère et cherchèrent à porter la main sur le roi à Suérus.
Et la chose vint à la connaissance de Mardoché, et la rapporta à la reine Esther, et Esther la dit au roi au nom de Mardoché.
Et on fit une enquête sur la chose, et elle fut trouvée telle, et les deux uniques furent pendus à un doigt.
Et cela fut écrit dans le livre des chroniques en présence du roi.
Après ces choses, le roi à Suérus agrandit à main fils d'Amdata, l'Agadi.
Verset 2 à la fin
Mais Mardoché ne se courbait pas, et ne se prosternait pas.
Verset 4 à la fin
Car il leur avait déclaré qu'il était vif.
Verset 5
Et Aman vit que Mardoché ne se courbait pas, et ne se prosternait pas devant lui.
Et Aman fut rempli de fureur.
Mais c'était une chose méprisable à ses yeux que de mettre la main sur Mardoché seule,
car on lui avait appris quel était le peuple de Mardoché.
Et Aman chercha à détruire tous les vifs qui étaient dans tout le royaume d'Asuérus, le peuple de Mardoché.
Au premier mois, qui est le mois de Nijan, la douzième année du roi Asuérus,
on jetta le pur, c'est-à-dire le sort, devant Aman, pour chaque jour et pour chaque mois jusqu'au douzième mois, qui est le mois d'Adar.
Et Aman dit au roi Asuérus
Il y a un peuple dispersé et répandu parmi le peuple et dans toutes les provinces de ton royaume,
et leurs lois sont différentes de celles de tous les peuples.
Il ne pratique pas les lois du roi, et il ne convient pas au roi de les laisser faire.
Verset 13
Et la lecture envoyée par des courriers dans toutes les provinces du roi,
pour détruire, tuer et faire purir tous les vifs.
Verset 4
Et Mardoché sut tout ce qui s'était fait,
et Mardoché déchira ses vêtements,
et se courut d'un cercle et descend,
et sortit au milieu de la ville,
et poussa un cri grand et amer.
C'est ici la lecture de la parole.
Je vais juste répéter un peu les grandes lignes de ce qu'on avait vu la dernière fois.
On sait que le peuple d'Israël, à cause de leur insécurité, était en captivité.
D'abord les dix tribus, et puis les deux tribus.
Les justes et la civilisation de Judas et de Benjamin, en Babylone.
Et après le règne de Nebuchadnezzar et ses descendants,
on voit dans le livre d'Ezra, et d'autres livres aussi,
que Dieu a donné le règne à un autre roi, Cyrus.
Donc d'abord le règne était entre les mains du roi de Judas,
qui régnait à Jérusalem, la ville de Dieu vraiment.
Mais à cause de leur infidélité, et du fait qu'ils avaient introduit l'idolâtrie,
Dieu a permis que le roi de Babylone les prenne,
trois ou quatre phases.
Et puis le temple était détruit, tout ça.
Mais par la grâce de Dieu, on voit donc une restauration sur les jours de Jérôme Babel,
et une partie des juifs est rentrée à Jérusalem,
ont construit, donc d'abord placé l'hôtel sur sa base,
puis reconstruit le temple, et réinstitué tout le service selon les pensées de Dieu.
Donc c'était vraiment une grande restauration, un grand réveil.
Et dans les jours de Némi, on voit que le temple, la ville était reconstruite.
Mais, il y avait beaucoup de juifs qui sont restés à Babylone,
ou sous le règne de Cyrus, Assure, et d'autres villes dans son empire.
Et dans le livre d'Esther, nous voyons comment Dieu a veillé sur eux.
Dieu n'avait aucun lien officiel avec eux.
Le service était à Jérusalem.
Les prophètes étaient à Jérusalem.
Tout cela qui était reconnu par Dieu était à Jérusalem et à Jeuda.
Mais, qu'est-ce que Dieu a fait avec cette grande partie de son peuple qui était à Babel,
et dans cette partie de l'empire d'Esther ?
Dieu a veillé sur eux.
Et nous voyons donc comment Dieu a veillé sur eux d'une façon spéciale.
On voit la providence cachée dans ce livre d'Esther, d'une façon merveilleuse.
Mais, on ne voit aucun lien officiel, même pas de prière, même pas le nom de Dieu qui est mentionné.
Et nous voyons donc, c'est la première signification de ce livre,
de voir comment Dieu a veillé sur son peuple qui n'était pas rentré à Jérusalem,
et appartenait à Dieu quand même, mais sans roi, sans prophète, etc.
Nous avons vu la dernière fois que cette histoire a été donnée en même temps
pour nous raconter un peu, nous présenter l'histoire future d'Egypte,
et surtout du reste d'Egypte qui sera à Jérusalem.
Et nous avons vu la dernière fois qu'il y a trois livres dans l'Ancien Testament qui nous parlent de ce reste civère.
On le voit dans le livre de Ruth.
Là, on voit comment Ruth a trouvé Boaz.
Les livres là sont présentés par une femme étrangère,
pour expliquer que les juifs n'ont aucun droit pour recevoir cette grâce,
pour être rétablis dans cette relation avec Christ, leur merci.
Et dans l'autre livre que nous avons mentionné la dernière fois,
c'est donc le cantique des cantiques,
nous voyons comment ce reste sera présenté aux rois.
On voit dans ce jour là que c'était Salomon,
mais ça parle aussi du Seigneur Jésus comme le roi de terre.
Comment ce reste fidèle des juifs aura une relation de nouveau avec leur merci.
Donc ce sont tous des exercices qui sont présentés dans ce livre assez profondément.
Mais dans ce livre là, nous voyons ce reste rétabli dans leur relation avec Dieu,
et nous voyons Mardoché comme une image du Seigneur Jésus.
Donc le merci qui a souffert est le merci qui sera exalté à la fin de ce livre.
On voit cette ligne.
Ici ce n'est pas le reste fidèle qui marie, pour ainsi dire, le merci,
qui sera rétabli dans une relation d'amour avec le merci, non.
Ici le sujet c'est que ce reste fidèle aura une relation nouvelle avec Dieu.
Il faut donc bien distinguer ces pensées dans les autres livres et dans ce livre d'Espère.
Nous avons vu donc la dernière fois que le roi nous parle de Dieu.
Si on lit l'histoire littéralement, on a vu que c'est un homme colérique et avec beaucoup de manquements,
et tout ce système là, on voit que c'est loin des pensées de Dieu.
Mais on a vu que ce roi a reçu l'autorité de la part du Dieu,
et ce sont celles qui représentent Dieu.
Dieu qui est la source de toute autorité.
Et puis nous avons vu que toute cette histoire là nous donne aussi des leçons morales pour nous.
Parce que par la grâce de Dieu, nous aimons être aussi un reste fidèle au milieu de la chrétienté,
où les droits de Dieu sont rejetés.
Et nous aimons donc trouver dans ce livre des leçons morales, spirituelles pour nous.
Mais il faut donc bien comprendre que la signification prophétique est surtout pour les juifs,
pour leur histoire future, pour être introduit de nouveau dans cette relation avec le Messie,
et cette relation avec Dieu lui-même.
Alors maintenant, on va voir aussi des leçons très pratiques et spirituelles pour nous.
Nous avons vu dans le premier chapitre que c'est Dieu qui donne des bénédictions dans sa création.
Et nous allons voir à la fin de ce livre d'Esther,
à la fin, donc dans le chapitre 10, il y a une image du règne millénaire.
Et là c'est la couronne, vous pouvez se dire, de cette bénédiction terrestre que Dieu donne.
Et on va donc être content et recevoir les bénédictions terrestres de la main du Dieu.
Et on va s'enjouir dans la dépendance.
Et nous avons vu que Vassie, elle n'a pas connu cette dépendance, elle n'était pas soumise au roi.
Et là nous avons vu un autre aspect, pas seulement l'aspect qu'on trouve malheureusement souvent,
que les gens dans ce monde jouissent de ces bénédictions sans Dieu, même comme rebelles.
Mais nous avons vu aussi que Vassie nous parle de l'Église,
que l'Église a été inscrite par Dieu.
Mais toutes ses leçons, comme on les trouve dans les épitres du Nouveau Testament, ont été rejetées.
Et le résultat, c'est donc qu'elle est mise du côté.
C'est ça le cas avec l'Église professante.
Dans Romain XI, nous voyons ce principe-là, l'Église professante sera mise du côté.
Mais Dieu va avoir quand même son peuple, un témoignage fidèle pour lui.
Et donc on va voir ça maintenant dans le chapitre 2, qui se passe maintenant.
Et c'est donc une nouvelle étape, parce que le chapitre 2 commence par cette expression
« apprises ces choses ».
C'est remarquable, nous avons vu la dernière fois,
les conquêtes et les défaits du roi d'Assurus ne sont pas décrits ici.
On sait par l'histoire qu'Assurus avait des combats contre les Grecs.
Et il a eu une grande défaite.
Dans le premier chapitre, c'est le temps où il se préparait pour cette guerre.
Et dans le deuxième chapitre, c'est après cette défaite.
Mais ce n'est pas mentionné ici, parce que c'est ça immédiatement en rapport avec le peuple de Dieu.
Et Dieu, dans l'histoire de ses batailles, de ses guerres, seulement,
dit qu'il y a un lien avec ça pour le peuple de Dieu.
Une autre chose qu'on aimerait souligner, c'est le verset 2,
« et les serviteurs du roi qui le servaient ».
Dans la note, nous voyons qu'on peut traduire « les serviteurs » ici par « les jeunes hommes ».
C'est une nouvelle expression.
Nous avons vu des serviteurs du roi en rapport avec Vasti,
mais aussi les sages et les sept princes, on a parlé de ça.
Là, nous voyons ici « les jeunes hommes du roi ».
Et c'est indicatif pour un nouveau ordre de choses qui se présentent maintenant.
Parce qu'il y aura une nouvelle reine, un nouveau seigneur, tout nouveau, un changement.
Et en rapport avec ça, nous voyons cette expression « les jeunes hommes ».
Mais je pense que ça nous parle aussi de la résurrection.
Dans Marc XVI, par exemple, nous trouvons le tombeau du seigneur,
que là, il y avait des jeunes hommes.
Il y avait des hommes, on le voit.
Mais là, ils sont présentés comme étant des jeunes hommes.
Donc, on voit aussi que pour imposer cette nouvelle relation avec Israël,
Dieu va rétablir cette relation sur la base de la résurrection.
Et on peut dire, comme un principe général,
toutes les promesses de Dieu, tout le conseil de Dieu, même en rapport avec Israël,
sera réalisé sur la base de la résurrection.
Puis le verset 5, maintenant,
et quelquefois, je vais donc expliquer ce verset en rapport avec Israël,
et quelquefois, Dieu voulant, on va voir des leçons pratiques pour nous-mêmes.
On ne peut pas entrer dans tous les détails, mais juste quelques points.
Dans le verset 5, nous voyons donc un homme juif.
Il faut bien comprendre que Mardoché nous parle du Seigneur Jésus.
Et d'abord, c'est donc un homme juif.
Si on étudie la parole et on voit le Seigneur Jésus comme homme,
c'est vraiment important de comprendre qu'il y a là un homme devant Dieu.
Le Seigneur Jésus était Dieu, parfait, c'est vrai.
Mais il était aussi homme.
Et il est maintenant présenté ici par Mardoché comme un homme juif.
Et plus tard, on va voir ça aussi, l'importance de cette expression juif.
Mais ici, on voit Mardoché en même temps comme représentant du résidu,
associé au résidu.
On le voit même comme celui qui était transporté avec les quartiers.
On pense pas que c'était littéralement le cas avec Mardoché,
parce que dans ce cas-là, il fait 150 ans ou plus âgé encore.
Il avait pas cet âge-là, probablement.
Mais son grand-père était transporté dans les jours de Jésonnia, probablement.
Mais il est vu comme celui qui était transporté avec les quartiers.
Et cela nous explique quelque chose.
Dans l'antépistament, nous voyons sûrement le Seigneur Jésus comme associé à son peuple,
associé et même identifié avec le reste du monde.
C'est donc important à comprendre, pour l'étude de la parole,
surtout dans les psaumes et aussi dans les prophètes,
que sûrement nous voyons le Seigneur Jésus comme celui qui s'est identifié entièrement avec ce reste fidèle,
ici en captivité.
Il était benjaminique,
d'origine même de la même tribu,
donc le premier roi de l'Israël,
donc probablement aussi de cette semence royale,
comme plus tard aussi l'apôtre Paul.
Une chose que j'aimerais lire en rapport avec ça,
pour montrer comment le Seigneur s'est associé toujours à ce reste fidèle,
c'est un verset dans le psaume 16,
juste lire le verset 3,
qui va dire « Aux saints qui sont sur la terre et aux excellents, en eux sont toutes médiés. »
Ici nous voyons ce principe, parce que le psaume 16 nous parle du Seigneur Jésus,
du vrai Messie, mais il est vu comme identifié avec ce reste fidèle,
et ce reste fidèle est ici indiqué par cette expression « Les excellents, en eux sont toutes médiés. »
On le retrouve dans le nouveau testament, dans les jours du Seigneur Jésus,
on retrouve ce reste fidèle dans les disciples,
mais il faut aussi comprendre que ce même reste préfigure ce reste futur,
on le retrouve ici dans ce livre-là,
avec lequel le Seigneur Jésus sera identifié aussi de nouveau.
Donc après l'enlèvement, le Seigneur Jésus comme le Messie,
mais dans la gloire dans ce temps-là,
il sera associé à ce reste fidèle sur la terre.
Donc il s'est associé avec les disciples dans ses jours sur la terre.
Dans le verset 16 maintenant,
nous voyons comment Mardoché s'est occupé d'Adalsa.
Adalsa c'était donc le nom hébreu pour Esther.
Esther était donc son nom dans la captivité,
comme Mardoché avait son nom aussi reçu dans la captivité,
comme Daniel aussi, et ses amis dans Daniel 1,
ont reçu un autre nom à cause de la captivité.
Mais son nom hébreu est Adalsa, ça veut dire « Mère ».
Et cela nous parle de nouveau de cette restauration.
On le trouve, vous l'avez juste mentionné,
quelque part dans les prophètes, nous trouvons cette myrce,
qui juste dans l'Ésaïe 55 verset 13,
« Au lieu de l'épingle croîtra le citresse ».
Donc au lieu de l'épingle, dans la privilégiation,
Dieu va opérer quelque chose de bon, le citresse.
Et au lieu de l'ortie croîtra le myrce.
Ça parle donc de cette restauration.
À cause des péchés de ce reste, au juste peuple israélien,
il était dans l'oppression, dans la captivité.
Cette épingle, cette sortie parle de cela.
Mais au lieu de tout ça, Dieu va opérer quelque chose.
C'est ça qu'on voit dans le myrce.
C'est donc l'œuvre de Dieu qui s'en va tout ça.
Et aussi dans le myrce de Zacharie,
on trouve cette myrce au début du chapitre 1er,
qui nous parle de cette restauration maintenant,
de ce reste dans leur pays.
Mais de telle façon aussi, on voit cette pensée de la restauration
indiquée par le nom d'Esther ou Adasta.
Ce que je voulais souligner maintenant, c'est cette pensée-là.
Il élevait Adasta.
Ça en parle donc de ses soins.
Et on voit dans ce chapitre 2,
deux façons différentes dans lesquelles Dieu prend soin de ce reste.
D'abord par les soins de Mardoché.
Nous pouvons penser ici au jour où le Seigneur Jésus était ici-bas.
Il a pris soin de ce reste fidèle qu'on sollicite dans les évangiles.
C'est touchant de voir comment le Seigneur Jésus les a élevés.
Il les a élevés à l'école de Dieu.
Cette pensée, le verset 7, nous parle donc de l'école de Dieu,
où le Seigneur Jésus lui-même est le maître, pour insinuer.
Et on voit dans les évangiles comment le Seigneur Jésus est vraiment le maître.
Celui qui enseigne.
Et c'est touchant de voir tout ces soins en rapport avec les disciples,
et ici donc en rapport avec Adasta.
Et de même façon, j'aimerais souligner que le Seigneur Jésus va prendre soin
du reste fidèle dans le futur pour les élever.
Et pour nous, nous sommes à l'école de Dieu.
Quelle grâce d'être à l'école de Dieu,
pour être élevés, pour devenir des disciples.
C'est vraiment une grâce spéciale,
comment le Seigneur Jésus s'occupe de nous.
On voit par exemple dans Ephésiens 4,
que le Seigneur va la gloire, il nous enseigne.
Et c'est par ces soins ici que Adasta est élevé, est formé.
Ça parle donc de la présence du Seigneur avec son reste fidèle,
et aussi de ses soins pour les élever.
Et on peut l'appliquer pour nous.
Un deuxième point que j'aimerais mentionner ici dans le verset 7,
c'est le fait qu'elle n'avait ni père ni mère.
Et cela nous parle donc du fait qu'elle était sans ressources humaines.
Et on va voir ça, en rapport avec le reste fidèle,
que ce reste fidèle n'aura aucune ressource humaine.
Et c'est très dur pour chaque homme, et surtout pour les Juifs,
d'arriver à ce point-là, de reconnaître devant Dieu que j'ai aucune ressource.
Ce sera le cas pour le reste fidèle, sans aucune ressource.
Sans droits, comme on voit dans le livre de Ruth aussi,
et dans le livre quantique des quantiques.
C'est la même pensée.
Sans droits, sans mérites, sans ressources humaines.
Et puis, quand même, beau devant Dieu.
J'aimerais lier ça avec mon livre.
On lit ici dans le verset 7 que la jeune fille était belle de taille et belle de figure.
C'est humainement.
C'est clair.
Mais ça parle aussi d'une langue plus gratuite, spirituelle.
Donc mon livre, c'est beau devant Dieu.
Où son peuple était en tribulation.
De telle façon, ce reste fidèle aussi sera beau devant Dieu.
Mais comme orphelin, donc, dépendant de la grâce de Dieu.
Pas dépendant de ses propres efforts, comme aujourd'hui et dans le futur,
mais dépendant de la grâce de Dieu.
Que le temps pour nous.
Aussi longtemps que nous sommes dépendants de nos propres efforts,
pour mériter notre salut, par exemple, ou pour nous améliorer,
on est misérable.
Mais le moment pour se placer sous les soins de la grâce souveraine,
on va croître spirituellement.
Et c'est ça qui arrive à l'école de Dieu.
On voit cette croissance, cette formation sous son enseignement,
par la grâce de Dieu.
Donc, que nous puissions faire des progrès aussi à l'école de Dieu.
Puis on voit la providence cachée de Dieu dans ce chapitre de nouveau,
comme dans tous les chapitres.
On voit aussi dans le verset 8, à la fin, que Égaïe, Esther, a accepté Esther
et l'a trouvée grâce, dans le verset 9, devant lui.
C'est aussi des soins providentiels de Dieu.
Comme dans les jours de Daniel, il a trouvé grâce devant l'homme
qui s'est occupé de lui, dans Daniel 1.
C'est aussi les soins providentiels de Dieu.
Mais pas seulement cela.
Je pense qu'Égaïe, ici, nous parle des soins que Dieu a pour son peuple
d'une autre façon, par l'Esprit.
Le nom Égaïe veut dire soit épine ou soit méditation.
Je pense les deux ensemble.
Parce que dans la tribulation, dans les souffrances desquelles parle l'épine,
nous sommes épris, nous sommes formés à l'école de Dieu.
Mais aussi par nos méditations, sous l'influence de l'Esprit,
sous la direction de l'Esprit.
L'Esprit prend la parole de Dieu pour nous présenter Christ.
On va voir ça plus tard.
Et puis, face aux méditations, on est formé pour être agréable à Dieu.
Parce que la grande pensée ici, dans le chapitre 2, c'est Esther
qui est préparée pour être agréable au roi.
Et dans le temps futur, la reine sudèse sera préparée par les soins de l'Esprit
pour être acceptable moralement devant Dieu.
Mais on voit littéralement qu'elle était comme une esclave.
Comme Néhémie le dit dans le chapitre 9, nous sommes tous des esclaves
sous le règne de ces rois.
Mais en même temps, on voit que Dieu se sert de tous ses exercices
pour fournir quelque chose de lui-même et pour lui-même dans son peuple.
Le verset 10, nous voyons que ce n'était pas encore connu,
Esther, ni mort de chez, appartenait au peuple juif.
On ne les avait pas encore reconnus.
Comme dans le chapitre 3, on va voir plus tard.
On voit dans le verset 11, de nouveau, les soins que Mardoché avait pour Esther.
Et ce sera donc la même chose pour la reine sudèse.
La reine sudèse sera placée sous les soins du Seigneur Jésus
et sous les soins spécifiques de l'Esprit Saint.
Maintenant, on voit quelques détails dans le verset 12 et 13,
quelques détails de cette formulation sous la responsabilité d'Egaïs.
Egaïs, comme je l'ai dit, nous parle du Saint-Esprit comme un serviteur
qui présente quelque chose de Christ.
Et nous voyons dans le verset 12,
dans quelle façon Esther était préparée pour le roi,
avec de l'huile de myrrhe.
Le verset 12 à la fin, avec de l'huile de myrrhe.
Là, c'était donc pour être formée.
Plus tard, ce même reste, on le trouve dans le psaume 45 verset 8,
je mentionne juste ça, vous pouvez vérifier ça à la maison.
Là, on voit que même les vêtements sont caractérisés par cette myrrhe.
Donc, ici, c'est le début.
Le début de cette formation, c'est l'huile,
on parle aussi de l'opération, de l'ordre de l'Esprit,
mais c'est l'huile de myrrhe.
Et la myrrhe, nous parle des soins du Seigneur Jésus.
Certains arbres ont fait des incisions,
et le sirop qui découle est donc préparé,
et c'est le myrrhe qu'on a.
Et c'est l'incision, donc, par le souffrance du Seigneur Jésus.
Mais le résultat est quelque chose de beau.
Mais ce qu'on a ici, que nous en prenons dans ces exercices,
nous, par l'enseignement de l'Esprit,
nous allons comprendre ce que le Seigneur Jésus a souffert.
Et c'est ici que les souffrances expiatoires,
parce que nous ne sommes pas formés par les souffrances expiatoires,
les souffrances expiatoires du Seigneur Jésus
forment la base sur laquelle nous pouvons exister devant Dieu.
Mais les souffrances qu'on trouve ici,
nous parlons des souffrances que le Seigneur Jésus a subies
et que ce reste fidèle va subir dans le futur.
Vous voyez, le Seigneur était à Jérusalem.
Hérod était contre lui.
C'est l'image de l'Empire de Christ.
Consulat, le représentant des Romains, était contre lui.
Et dans le futur, ce reste fidèle à Jérusalem.
Vous allez voir la même situation.
Le chef de l'Empire Romain et l'Empire de Christ,
le roi d'Égypte, Apostate, sera contre eux.
Donc, c'est un peu la même situation.
Donc, si on va comprendre le lien avec les souffrances du Seigneur Jésus
de la part de son peuple,
des souffrances qu'il a subies dans sa vie ici-bas,
on va voir le lien avec les souffrances futures que le reste fidèle va avoir.
Et c'est très important à comprendre ça.
Aussi, en lisant les Sources,
on voit souvent que l'Esprit du Christ s'identifie avec ce reste fidèle.
Et leurs souffrances sont ses souffrances.
Et ses souffrances sont leurs souffrances.
Donc, je ne parle pas des souffrances expiratoires.
Il faut vraiment distinguer.
Et en apprenant, en même temps,
donc, le reste fidèle traversera à travers ses souffrances,
et en même temps, ils seront fournis à l'école du Dieu.
Ils vont apprécier ses souffrances.
Ils seront en même temps fournis pour être agréables devant Dieu.
Et l'autre élément que j'ai mentionné ici, les aromas,
ça parle des perfections du Christ.
Et aussi les parfums nécessaires à la purification.
On pense aussi à tout ce que cela veut dire pour nous.
On le voit dans Ephésiens 5, verset 27,
comment le Seigneur Jésus s'occupe de nous
pour nous préparer pour son épouse dans le futur.
On est déjà son épouse,
mais le Seigneur veut nous préparer moralement,
spirituellement, pour répondre vraiment aux plaintes de Dieu,
pour répondre aux constats de Dieu, pratiquement.
Et c'est la même chose ici.
Par ses souffrances,
Thérèse sera préparée pour être agréable à Dieu.
Et au moment donné, on voit donc qu'elle a été présentée au roi,
et dans le verset 15, nous voyons que son père était Abitail,
ça veut dire père de Suicun.
Comme Boaz, un homme Suicun,
c'est la même pensée.
Elle est la fille d'Abitail.
Et on voit ici vraiment la force morale d'un Thérèse qui est Thomas,
qui est transformée pour Dieu.
L'autre détail dans le verset 15,
elle ne demanda rien sauf ce que dit Égaïe.
Donc, dans cette nouvelle relation où elle est introduite maintenant,
en rapport avec le roi,
elle était contente avec tout ce que Égaïe avait préparé.
Et cela nous parle de Thérèse,
avec lequel le Seigneur est associé d'un côté,
mais avec lequel Dieu s'est identifié.
On le retrouve dans le Nouveau Testament,
ceux qui sont la volonté de Dieu.
Pour Esther, c'était suffisant,
ce que Dieu avait donné par Égaïe,
donc par la soin de l'Esprit-Saint.
Et c'est une caractéristique du reste des esprits.
Eux sont contents avec ce que Dieu leur donnera.
Donc, en tournant pour nous maintenant,
ceux qui sont la volonté de Dieu.
Le Seigneur s'associe avec eux,
mais aussi Dieu lui-même.
Maintenant, dans le verset 17, nous voyons donc
que le roi Emma, Esther, plus que toutes les femmes,
et elle trouve grâce et faveur devant lui,
plus que toutes les vieilles,
est mis la couronne du royaume sur sa tête,
et la sirène à la place des astuces.
On voit ici donc, par rapport avec les dix formations,
que l'Église a été mise de côté,
comme témoignage pour Dieu,
et Dieu a maintenant un autre témoignage,
et ce sera ce reste fidèle à Jérusalem.
Dans l'Apocalypse, on voit plus de détails,
mais je voulais juste mentionner,
dans l'Apocalypse 11,
nous voyons déjà que Dieu reconnaît
ce reste fidèle à Jérusalem.
Dans le premier verset, nous disons,
l'espoir et mesure,
le temple du Dieu, et l'hôtel,
et ceux qui adorent.
Et pour ceux qui connaissent un peu l'Apocalypse,
il sera clair qu'il s'applique au 11,
avant que la grande tribulation commence.
Et de telle façon, on voit ici donc Esther,
qui parle du reste fidèle,
introduit dans une relation avec le roi,
donc dans une relation officielle maintenant avec Dieu,
avant que la grande tribulation vienne.
C'est un point important à considérer.
Et plus tard, on voit dans le chapitre 12 de l'Apocalypse,
que l'ennemi va l'attaquer,
comme on va voir dans le chapitre 3 d'Esther,
la terre vint en aide à la femme,
et la terre ouvrit sa bouche et engloutit le peuple.
Le dragon avait lancé sa bouche,
donc pour englouter la femme.
Mais ça c'est donc le peuple israël en général,
tandis que dans le verset 17,
nous voyons le résidu de la semence de la femme,
et c'est le reste fidèle à Judée et à Jérusalem,
dans les jours futurs.
Donc on voit les provisions de Dieu
pour introduire ce reste fidèle
dans une relation officielle avec lui.
Dieu va reconnaître ce reste fidèle,
le servir dans les temps justes sera répandu,
les sacrifices, tout cela,
Dieu le reconnaîtra cela,
avant que la grande tribulation vienne.
Et maintenant pour nous, l'application pour nous,
que voit pour Dieu,
si nous jouissons vraiment de cette relation avec Dieu.
Je ne parle pas de notre position seulement,
parce que positionnellement tous les chrétiens
ont une relation avec Dieu,
sont des fils, des enfants de Dieu,
et ils appartiennent aussi à l'église du Dieu vivant.
Mais Dieu veut aussi que ce soit une réalité,
et c'est ça qu'on trouve ici,
par l'éducation à l'école de Dieu,
on jouit pratiquement de cette relation
que Dieu a établie entre lui et nous.
Et le verset 18,
Et le roi fit un grand festin à toutes ses prêtres et ses serviteurs,
le festin d'Esther.
On s'appelle que la reine infidèle
voulait avoir un repas pour elle-même,
elle ne voulait pas avoir cette union avec le roi.
Mais si nous voyons le festin d'Esther
que le roi a fait pour elle,
et plus tard dans ce livre,
on voit qu'Esther elle-même a préparé un repas pour le roi.
Les deux côtés, donc.
Le roi ici fait un festin pour Esther,
et plus tard on va voir que Esther elle-même
prépare un repas pour le roi.
Et c'est quelque chose pour nous.
Dieu veut partager avec nous,
comme nous avons vu, toute cette bénédiction.
On a parlé dans le chapitre 1
de cette bénédiction au terrain.
Il la partage avec nous par sa grâce.
Mais surtout, il veut partager avec nous
tout ce qui est dans son cœur.
Il veut nous donner ce grand festin
pour partager avec nous toute sa joie pour Esther.
Et c'est notre privilège d'être à sa table.
On peut penser d'un côté à ces expressions
comme dans le cantique des cantiques
où l'épouse était assise à la table du roi.
Mais là c'est la relation avec le Messie.
C'est ici la relation avec Dieu,
dans la communion avec lui.
Mais c'est donc important de réaliser
avant la tribulation.
Et ici pour nous, avant que la tribulation vienne,
je ne parle pas de la grande tribulation,
mais en général, Dieu nous introduit
dans cette relation établie
afin que nous puissions traverser
à travers cette tribulation.
Maintenant, un autre détail,
dans ce chapitre 2, à la fin,
où nous voyons Marc Bessé,
à la fin du verset 20,
comme celui qui prend soin d'Esther
même là, dans ce temps-là,
à la fin du verset 20,
Esther faisait ce que Marc Bessé disait
comme lorsqu'il était élevé et séduit.
Donc les soins du Messie continueront,
les soins de l'Esprit continueront également.
Dans le verset 20 du chapitre 2,
on voit l'autre principe,
on voit la principe de la rébellion.
Et là, de nouveau, Marc Bessé joue un rôle
comme celui qui maintient la voix du Dieu.
Et nous savons que le Seigneur Jésus,
lorsqu'il était ici, il a maintenu
les droits du Dieu.
On lit dans le chapitre 45, par exemple,
le verset 7,
j'ai haï l'injustice ou l'injustice,
et il a aimé ou j'ai aimé l'injustice.
Donc, il a maintenu les droits du Dieu.
Et ici, on voit comment Marc Bessé
a pris soin des droits du roi.
Il a protégé le roi.
Et nous voyons ici une image
dans ces deux élus, je pense,
de l'arbitre et du chef de l'Empire romain,
qui rébelleront contre Dieu vraiment,
qui révolteront contre Dieu.
C'est-à-dire l'apostasie, vraiment,
qu'on trouvera dans ce chapitre-là,
mis de côté de toute autorité.
C'est aussi dans le livre de l'Apostolisme,
c'est aussi dans 2, c'est le chapitre 2,
où on va voir ça.
Mais ici, on voit déjà, dans le jour du Seigneur Jésus,
l'ennemi était là pour toutes les droits du Dieu.
Mais le Seigneur Jésus a maintenu les droits du Dieu.
Et on voit que le Seigneur Jésus a même payé
ce prix de sa mort pour maintenir les droits du Dieu.
Et on voit ici un autre détail,
Esther a parlé au roi au nom de Marc Bessé.
C'est donc ici, à la fin du verset 22,
de voir comment Esther a parlé au roi
au nom de Marc Bessé.
Il y aura donc cette relation avec le Messie,
avec Marc Bessé,
et cette relation avec Dieu.
Et c'est aussi pour nous un privilège
de pouvoir parler à Dieu au nom de Marc Bessé.
On le trouve dans l'Évangile aussi,
surtout dans l'Évangile de Jean,
qu'on peut s'adresser à Dieu le Père
au nom du Seigneur Jésus.
Mais aussi parler d'eux,
parler des choses qui le concernent,
communiquer avec Dieu simplement,
de ce qu'il a fait.
Imaginons, c'est par cela
qu'on trouve dans la verset 20 du Seigneur Jésus,
qu'on explique la mort du Seigneur.
On parle de cela à Dieu.
C'est notre privilège.
Et on voit ici dans le verset 23
que tout cela a été écrit,
mais comme dans les jours de Joseph,
il était en prison,
ses deux ennemis, l'un était pendu,
l'autre était exalté,
mais celui qui était exalté l'a oublié.
Et aussi dans ce temps-là,
on a oublié ce que Marc Bessé a fait.
Et en général, parmi les chrétiens,
ce qu'ils ont oublié,
c'est que le vrai Marc Bessé a fait.
Totalement oublié.
Mais Dieu ne l'oublie pas,
comme on va voir plus tard.
Maintenant, de nouveau,
on a un changement dans le chapitre 3.
Après ces choses,
et c'est dans la deuxième année,
donc cinq ans plus tard,
comme on va voir dans la verset 7,
la deuxième année.
Quel changement !
Et si on lit ce chapitre,
et on comprend déjà
que le roi parle de Dieu,
que Marc Bessé nous parle du Seigneur Jésus,
on ne peut pas comprendre vraiment comment ça se fait
que le roi a agrandi sa main.
L'ennemi, l'oppresseur de Dieu,
comment ça se fait ?
On ne peut pas comprendre.
Mais j'aimerais lire ici
deux passages,
d'abord dans Édrit 55,
un verset,
le verset 8,
jusqu'au critique général.
Car mes pensées ne sont pas vos pensées,
et vos voix ne sont pas mes voix,
dit l'Éternel.
Et dans Jacarie,
dans le livre de Jacarie,
chapitre 11,
nous voyons Jacarie 11, verset 16,
car là-dessus,
Dieu suscite un berger,
dans le pays,
qui ne vivitra pas,
qui va périr,
qui ne chèfera pas,
qui est dispersé.
Mais il mangea la chair,
qui est grasse.
Ça c'est le verset 16.
Dieu suscite ce berger,
et c'est un berger incensé.
Ça parle de l'encre.
Ça signifie que c'est Dieu
qui suscite ce roi.
On pense au jour de Saûl.
Saûl était le roi
selon le désir du peuple,
et l'antichrist sera aussi
le roi selon le désir du peuple apostat.
Mais au fond, c'est Dieu qui suscite.
À cause de l'endurcissement du peuple,
c'est Dieu qui permet ça.
Et c'est donc dans le conseil de Dieu,
ce développement.
Comme on l'a vu dans Évahie,
ses voix sont plus autres que nos voix.
Mais, il y a un autre verset,
verset 17 ici,
« Malheur au pasteur réveillant,
tu abandonnes le troupeau,
l'épée tombera sur son bras
et sur son œil droit.
Son bras sera entièrement desséché,
et son œil droit sera entièrement excluci. »
Donc ici, c'est le jugement de la part de Dieu.
Et ces deux phases,
on voit aussi dans le livre d'Esther,
on voit d'abord que Dieu permet
qu'un mort soit agrandi,
qu'il soit élevé, exalté,
comme l'image de l'antichrist.
Et plus tard, on va voir
que le roi le met de côté.
Maintenant, on va voir
que Dieu a préparé tous ces droits.
Dieu a préparé même la grande tribulation
pour purifier ce reste liberté.
Mais Dieu a aussi préparé
les souffrances de tous.
On le trouve, juste peut-être,
parce que ça peut aider beaucoup,
dans Acte 2, le verset 23.
Dans Acte 2, le verset 23,
nous lisons « Concernant le Seigneur Jésus »
et on parle donc de « Mardoché »
comme un image du Seigneur Jésus.
Dans Acte 2, verset 23,
Pierre dit que le Seigneur Jésus
a été livré par le conseil d'Études
et par la préconaissance de Dieu.
C'était donc quelque chose
que Dieu avait décidé, déterminé
et pris connu.
Et puis, il ajoute,
« Lui, vous l'avez cloué à une croix
et vous l'avez fait périr par la main d'un vinyle. »
On voit ici, donc, ces deux côtés,
le conseil de Dieu
et la responsabilité de l'homme.
Et ce que l'homme fait sous sa responsabilité
accomplit ce que Dieu avait déterminé
dans son conseil.
Ce ne sont pas des choses
qu'on peut comprendre intellectuellement,
mais ce sont deux principes,
la grâce souveraine de Dieu
et son conseil d'un côté
et la voie de Dieu de l'autre côté
en rapport avec la responsabilité de l'homme.
Et on voit que ces deux ensembles,
ici donc, du côté de la responsabilité de l'homme,
on voit un homme qui se révèle contre Dieu,
plus tard, on va voir ça,
mais qui surtout veut mettre de côté
le peuple de Dieu.
Et c'est un ennemi en soi.
Parce que dans les chapitres 3 et 7-1,
nous trouvons qu'Ammon
était un Agagite.
Et selon la note,
c'est un descendant d'Aga,
le roi d'Amalè.
Et puis on retrouve déjà,
dans le livre de Genève,
qu'Amalè
était le tipi d'Ezraïl,
ou d'Edon.
Et dans le livre,
on ne peut pas lire maintenant tous les versets
à cause du temps,
mais je vais mentionner quelques versets
que vous pouvez lire à la maison.
Dans l'ombre 24,
dans la prophétie de Balaam,
on voit qu'Amalè
est le défi d'Écris.
Fabre, le roi aussi,
qui sera exalté parmi l'Ezraïl.
Et on voit dans le livre d'Exode déjà,
bien vite après la sortie de l'Egypte,
qu'Amalè a attaqué l'Ezraïl.
Et là,
où Aaron et Moïse,
le peuple était protégé,
qui est aussi sous-jésuée,
et la main du dieu,
c'est sur le tronc du dieu,
2,35,
pour mettre de côté
ce peuple d'Amalè.
Mais ce sera un combat
pour toutes les générations.
Et c'est remarquable
qu'on retrouve cet ennemi
dans chaque génération.
On le retrouve dans les jours de Staline,
dans les jours de David.
On le retrouve ici,
même où le peuple de Dieu
était en captivité.
Et on le trouve,
j'aimerais suggérer,
même présenté par Hérode.
Hérode était un édomiste,
et peut-être même donc
de cette lignée d'Agathe.
On ne sait pas,
mais en tout cas,
c'était un édomiste.
Et puis on voit dans l'histoire
que l'ennemi du dieu,
derrière tout ça,
c'est Satan.
Satan a toujours essayé
à mettre de côté
l'homme du dieu
ou le peuple du dieu.
On le voit déjà dans Genèse 6,
par exemple,
Dieu avait promis
cette semence de la femme,
et puis toute la semence
était corrompue,
sauf la génération de Noël.
Et plus tard,
il y a beaucoup d'exemples
où nous voyons
l'attaque de l'ennemi
pour mettre de côté
le peuple d'Idrès
ou bien le messie.
Comme David était persécuté
par Salim,
si David s'était tué,
le messie ne serait pas né.
Donc on voit l'ennemi
attaque toujours
le peuple du dieu
et son messie.
Et on voit ici,
donc,
cet ancien ennemi
du peuple,
mais aussi du dieu,
au fond.
Mais comme on l'a vu,
en principe,
Dieu permet ça.
C'est sous le contrôle du dieu,
ce développement,
et selon le plan du dieu.
Verset 2 à la fin,
nous verrons
Margochet ne se courbait pas
et ne se pensionnait pas.
Nous avons vu dans le chapitre 2
à la fin,
que Margochet a maintenu
les droits du roi,
et on peut dire
les droits de Dieu,
comme l'image du Seigneur Jésus.
Et ici, c'est la même chose,
Margochet ne se courbait pas.
Nous pensons au Seigneur Jésus
dans ses conflits avec Satan,
et il ne s'est pas
concerné devant lui,
dans ses tentations,
ni sur la montagne,
ni plus tard
dans le jardin de Gestemanné,
ni à la croix.
Le Seigneur Jésus était ferme.
Et d'une telle façon,
la règle fidèle sera ferme.
La règle fidèle,
dans les jours de Daniel,
était ferme.
Ils ne se sont pas concernés
devant l'image du roi,
ni Daniel lui-même.
Il était fidèle.
Il ne s'est pas concerné
devant le roi Darius,
mais il a prié à son Dieu.
Donc, il était fidèle.
Et pour nous,
c'est une leçon,
parce que nous sommes fidèles
dans cette société
très apostate et idolâtre.
Et plus tard,
on voit dans le verset 4,
à la fin,
car il leur avait déclaré
qu'il était juif.
Nous avons vu,
au début du chapitre 2,
c'est un homme juif,
ça parle donc de sa force
devant Dieu,
un homme juif,
mais il était juif.
Un juif veut dire
quelqu'un qui loue Dieu.
Quelle pensée que Dieu avait
ici, bas sur la terre,
un homme qu'il a loué,
qui a certainement
cherché les êtres de Dieu,
mais qu'il a loué vraiment.
Donc, à cause du fait
qu'il y avait ici
un homme qui a loué Dieu,
l'ennemi se met en rage
contre lui.
C'est vraiment quelque chose
que l'ennemi maîtrise.
Le moment où on va louer Dieu,
l'ennemi nous attaque.
Et c'est le saint Jésus
qui était le premier
à être attaqué,
mais il ne s'est pas
concerné devant lui.
Il a continué en fidélité,
comme on voit dans ce chapitre,
et dans le verset 6,
nous voyons qu'il est identifié
avec son peuple,
et c'est aussi une pensée
très belle,
le peuple de Mardoché.
Et d'une telle façon,
on peut dire,
il y a donc ce lien
entre le vrai Messie,
le vrai Mardoché,
et son peuple.
C'est le cas avec
le peuple d'Israël,
mais c'est aussi,
moralement,
le cas avec nous.
Il y a ce lien,
où on ne peut pas
briser ce lien
entre lui et nous.
Et puis, à cause de ça,
Amin voulait décrire,
pas seulement Mardoché,
mais tous les autres.
Donc on voit ici,
à cause de ça,
on va voir dans le chapitre 4,
les souffrances de Mardoché,
mais en rapport avec ça,
les souffrances du reste fidèle,
du peuple de Mardoché.
Malheureusement,
ça en passe tellement vite,
donc on va se limiter
à quelques pensées
maintenant dans le chapitre 3.
On voit qu'Amin a utilisé
des méthodes occultes.
Verset 7,
verset 7,
nous voyons qu'il était dirigé
par la superstition.
C'était un homme très fier,
c'est très clair,
mais aussi,
sous l'influence de la superstition,
et j'aime croire,
à cause du fait
qu'ils ont jeté le pur,
que c'était aussi
comme un séducteur de Satan,
sublisant des méthodes occultes,
comme le roi Nibarneja,
comme on le voit
dans le livre d'Ézéchiel.
Mais Dieu est en ton compte,
c'est ça qui importe.
On voit que,
d'un côté,
l'ennemi fait son mieux
pour attaquer le peuple de Dieu,
mais Dieu est en contrôle.
Et même si le sort est jeté,
on voit que Dieu a surveillé,
et puis Dieu a pris soin
que ce soit pour le 12e mois.
On a commencé le 1er mois,
le mois de Nijan, verset 7,
mais par ce sort,
en jetant le pur,
on a déterminé le 12e mois
comme le mois
où le peuple serait détruit.
Vous voyez,
comment Dieu a surveillé,
parce que cela donnerait
dans un temps de 12 mois,
le sort pourrait indiquer un mois,
mais le sort était jeté,
de telle façon
que cela a indiqué le 12e mois.
Donc ça, c'est le contrôle de Dieu
en tout ça.
Mais ici, le verset 8,
c'est un bon témoignage.
C'est un peuple dispersé,
ou quelques versions ont séparé,
et nous sommes aussi
un peuple dispersé
parmi toutes les nations.
Les chrétiens sont un peuple dispersé
parmi toutes les nations.
Deuxièmement,
leurs lois sont différentes
de celles de tous les autres.
C'est le cas pour les juifs,
mais c'est aussi le cas
pour les chrétiens.
C'est donc la vérité.
Mais voilà,
le mensonge,
à la fin du verset 8,
il ne pratique pas
les lois du roi.
Ce n'est pas vrai.
Les juifs étaient fidèles au roi.
Les chrétiens sont fidèles au roi
parce que c'est l'autorité
que Dieu a donnée.
Romain 16, vers 2, par exemple,
nous parle aussi
que nous sommes tous aux rois,
comme chrétiens.
Donc, c'est ici un mensonge.
Et puis, on voit que le roi
permet à Amens
d'aller en avant
pour préparer
que tout ce peuple soit détruit.
Donc, c'est vraiment
relatable de voir
comment le roi permet ça.
Et si on comprend
que Dieu est en contrôle
et que Dieu a un plan
pour son peuple,
que ses lois sont plus élevées
que nos lois
et que Dieu va, à la fin,
avoir quelque chose
pour nous,
à cause de tout ça,
dans ce cas-là,
on peut comprendre
ce qui se passe ici.
Mais on va voir
à la 4ème fois, Dieu voulant,
dans le chapitre 4,
que les souffrances de Margochet,
donc les souffrances
dans lesquelles il est passé,
comme on l'a vu
dans le premier verset,
sont les mêmes souffrances
que les restes fidèles
passent à travers.
Donc, ça ne nous parle pas ici
des souffrances expiatoires du Seigneur,
mais des souffrances
comme on y va
dans un cercle apostate,
parmi un cercle apostate,
attaqué par des dirigeants apostates
qui, c'est leur corps que Dieu
et les mêmes souffrances
que les restes fidèles vont avoir.
On voit donc ce lien
entre Lui et ses restes.
Et en lisant ce chapitre,
il faut vraiment garder
aussi en mémoire
parce que cela va aider
beaucoup des souffrances
que le Seigneur Jésus a eues
il y a presque 2000 ans,
rendant les mêmes souffrances
que les restes fidèles
ont passé à travers.
Mais au début, on voit
que Esther n'a pas compris ça.
Et de telle façon,
les restes fidèles ne comprennent pas cela.
Et ils auront besoin
d'être inscrits pour cela.
Mais pour nous aussi,
souvent, Dieu permet des souffrances,
des tribulations.
Et on a besoin donc
d'être inscrits par l'Esprit du Dieu
pour comprendre pourquoi,
souvent on ne peut pas comprendre,
mais pour se confier à Dieu,
pour apprendre
d'être dépendant
de la grâce souveraine du Dieu.
C'est ça le sujet qu'on va voir
je vous lance la prochaine fois,
d'apprendre qu'on est entièrement
dépendant de la grâce souveraine
et que Dieu permet ces choses
pour nous, pour nous,
et pour à la fin,
nous introduire dans ce règne
glorieux avec le Seigneur Jésus.
C'est ça, une gloire pour le peuple d'Israël
sera une gloire pour nous aussi.
Et en même temps,
on a donc beaucoup de leçon
à apprendre en lisant ce chapitre,
mais aussi à se remettre à Dieu
qui est au fond,
en contrôle de toutes ces choses
qui sont dans notre vie. …
Transcrição automática:
…
On est rendus au chapitre 4 du livre d'Esther, lus déjà les premiers versets,
mais j'aimerais recommencer au début du chapitre.
Et Mardoché sut tout ce qui s'était fait.
Et Mardoché déchira ses vêtements, et se couvrit d'un sac et de sangles,
et sortit au milieu de la ville, et poussa un cri grand et amer.
Il vint jusque de pas permis d'entrer, vêtu dans le sac, dans la porte du roi,
et dans chaque province, partout où parvint la parole du roi et son église,
il y eut un grand deuil parmi les griffes.
Des jeunes, et des pleurs, et des lamentations.
Beaucoup firent leur lit du sac et de la sangle.
Et la jeune fille d'Esther et ses genifs vinrent et les y rapportèrent.
La reine fut dans une grande angoisse,
et envoya des vêtements pour vêtir Mardoché,
et pour lui faire ôter son sac de subis, mais il ne les accepta pas.
Verset 9
Et Attaque vint et rapporta à Esther les paroles de Mardoché.
Et Esther dit à Attaque, et le chargea de dire à Mardoché,
« Tous les serviteurs du roi et le peuple des provinces du roi
savent que pour quiconque homme ou femme entre auprès du roi dans la cour intérieure,
sans avoir été appelé, il existe une même loi prescrivant de le mettre à mort,
à moins que le roi ne détende le cercle d'or pour qu'il vive.
Et moi, je n'ai pas été appelé à rentrer vers le roi ces 30 jours. »
Et on rapporta à Mardoché les paroles d'Esther,
et Mardoché dit de répondre à Esther,
« Ne pense pas en ton âme d'échapper dans la maison du roi plutôt que tous les juifs,
car si tu gardes le silence en ce temps-ci,
le soulagement et la délivrance surgiront pour les juifs d'autre part,
mais toi et la maison de ton père, vous périrez. »
Et qui sait, si ce n'est pas pour un temps complexif que tu es parvenu à la royauté,
Esther dit de répondre à Mardoché,
« Va, rassemble tous les juifs qui se trouvent assus et jeûnez pour moi,
et ne mangez ni ne buvez pendant trois jours, ni la nuit, ni le jour.
Moi aussi et mes jeunes filles nous jeûnerons demain,
et ainsi j'entrerai vers le roi, ce qui n'est pas selon la loi,
et si je péris, je périrai. »
Et Mardoché s'en alla et fit selon tout ce qu'Esther lui avait commandé.
Il arriva au troisième jour qu'Esther se revêtit de son vêtement royal
et se présenta dans la cour intérieure de la maison du roi,
vis-à-vis de la maison du roi.
Et le roi était assis sur le trône de son royaume dans la maison royale,
en face de l'entrée de la maison.
Et aussitôt que le roi vit la reine Esther se tenant dans la cour,
et elle trouva faveur à ses yeux.
Et le roi tendit à Esther le cèpe d'or qui était dans sa main,
et Esther s'approcha et toucha le bout du cèpe.
Et le roi lui dit, « Que veux-tu, reine Esther,
et quelle est ta requête, quand ce serait jusqu'à la moitié du royaume
elle te sera donnée ? »
Et Esther dit, « Si le roi le trouve bon, que le roi et Amin avec lui
viennent aujourd'hui au festin que je lui ai préparé. »
Et le roi dit, « Qu'on cherche vite Amin pour faire ce qu'Esther a dit. »
Et le roi et Amin vinrent au festin qu'Esther avait préparé.
Et le roi dit à Esther pendant qu'on buvait le vin,
« Quelle est ta demande ? Elle te sera accordée.
Et quelle est ta requête ?
Quand ce serait jusqu'à la moitié du royaume, ce sera fait. »
Et Esther répondit et dit, « Voici ma demande et ma requête.
Si j'ai trouvé faveur aux yeux du roi,
et si le roi trouve bon d'accorder ma demande et de faire selon ma requête,
que le roi et Amin viennent au festin que je leur préparerai
et demain je ferai selon la parole du roi. »
Et ce jour-là, Amin sortit joyeux et le coeur gai.
Mais lorsque Amin vit à la porte du roi,
Mardoché qui ne se leva ni ne bougea pour lui,
Amin fut rempli de fureur contre Mardoché.
Mais Amin se content et rentra dans sa maison.
Il envoya ses amis et ses hérères s'attendre.
Et Amin leur raconta la gloire de ses richesses et le nom de ses fils
et tout en quoi le roi l'avait agrandi et l'avait élevé au-dessus des princes et des serviteurs du roi.
Et Amin dit, « La reine Esther n'a même fait venir personne avec le roi au festin qu'elle a fait, excepté moi.
Et pour demain aussi je suis invité chez elle avec le roi.
Mais tout cela ne me sert de rien aussi longtemps que je vois Mardoché de Juif assis à la porte du roi. »
Les hérères, sa femme et tous ses amis lui dirent qu'on prépare un bois haut de cinq encoudés
et au matin parle au roi pour qu'on y fende Mardoché.
Et il va tant joyeux au festin avec le roi.
Et la chose fut à Amin et il fit préparer le bois.
Cette nuit-là, le sommeil fouillait le roi.
Il ordonna d'apporter le livre d'anal des chroniques.
On les lut devant le roi et on y trouva écrit que Mardoché avait fait connaître
à l'égard de Bechtan et de Thérèse, les deux uniques du roi, gardiens du seuil,
qu'ils avaient cherché à porter la main sur le roi à Suéry.
Et le roi dit « Quel honneur et quelle distinction a-t-on conféré à Mardoché à cause de cela ? »
Et le serviteur du roi qui le servait dit « On n'a rien fait pour lui. »
Et le roi dit « Qui est dans la cour ? »
Or Amin était venu dans la cour extérieure de la maison du roi
pour dire au roi de faire prendre Mardoché au bois qu'il avait dressé pour lui.
Et le serviteur du roi lui dit « Voici Amin qui se tient dans la cour. »
Et le roi dit « Qu'il entre. »
Et Amin entre.
Et le roi lui dit « Que faut-il faire à l'homme que le roi se plaît à honorer ? »
Et Amin pensa dans son cœur « À quel autre qu'à moi plairait-il au roi de faire honneur ? »
Et Amin dit au roi « Quant à l'homme que le roi se plaît à honorer,
qu'on apporte le vêtement royal dont le roi se revêt
et le cheval que le roi monte et sur la tête duquel on met la couronne royale
et que le vêtement et le cheval soient remis aux mains d'un des princes du roi les plus illustres
et qu'on revête l'homme que le roi se plaît à honorer
et qu'on le promène par les rues de la ville monté sur le cheval
et qu'on crie devant lui « C'est ainsi qu'on fait à l'homme que le roi se plaît à honorer. »
Et le roi dit à Amin
« As-toi, prends le vêtement et le cheval comme tu l'as dit
et fais ainsi à Mardoché de Lui qui est assis à la porte du roi
nommez rien de tout ce que tu as dit. »
Et Amin prit le vêtement et le cheval et revêtit Mardoché
et le promena à cheval par les rues de la ville.
Il criait devant lui « C'est ainsi qu'on fait à l'homme que le roi se plaît à honorer. »
Et Mardoché revint à la porte de Lui
et Amin se rendit en âge à sa maison triste et la tête couverte.
Et Amin raconta à Zéreth sa femme et à tous ses amis tout ce qui lui était arrivé.
Il s'est sage et Zéreth sa femme lui dire
« Si Mardoché, devant lequel tu as commencé de tomber et de l'arracher vite,
tu ne l'emporteras pas sur lui, mais tu tomberas certainement devant lui. »
Comme il parlait encore avec lui, les genoux du roi s'approchèrent et se atterrent
et conduirent Amin au festin qu'Esther avait préparé.
On est maintenant vraiment au milieu du livre d'Esther.
On a vu que le peuple de Dieu a été impidèle,
donc je parle maintenant d'Israël,
et que Dieu les a mis en captivité.
Mais par la grâce de Dieu, un reste était rentré à Jérusalem.
Mais le livre d'Esther nous parle de ces juifs
qui sont restés dans le royaume des Perses.
Et nous voyons la main de Dieu, la providence de Dieu pour les protéger.
Mais eux n'avaient aucun lien officiel avec Dieu.
On ne trouve pas de sacrificateur dans ce livre-là,
on ne trouve pas même de prière,
comme dans les livres de Némi et d'Ezra.
Il n'y a pas de prophète même pour présenter les pensées de Dieu.
Mais quand même dans tous ces détails de ce livre,
on voit la main de Dieu,
et surtout dans ces chapitres que nous avons lus ce soir.
Nous avons vu aussi que ce livre-là nous parle,
nous donne des leçons pratiques pour nous-mêmes,
aujourd'hui, des leçons spirituelles et morales.
Et nous aimerions voir aussi pour nous ce soir,
quelques leçons pratiques.
Et en même temps, on voit que l'explication vraiment de ce livre-là
est liée aux résidus futurs,
où Dieu va donner de nouveau un témoignage sur cette terre,
un témoignage pour lui-même.
Dans les jours où l'Antichrist va s'agrandir,
dans ces jours-là, Dieu va avoir un témoignage.
Même avant ça.
On a vu donc la dernière fois,
que dans le chapitre 2,
Esther entre dans cette relation avec le Roi.
On a vu au début déjà que le Roi est une image bien faible,
il est vrai,
mais quand même une image de Dieu lui-même.
Parce qu'il représente Dieu,
il a l'autorité que Dieu lui a conçue.
Donc, le Roi représente Dieu.
On a vu aussi que Mardoché, le Juif,
nous parle d'une façon particulière de notre Seigneur Jésus.
Et on a vu quelques détails là-dessus.
Esther est introduite dans une relation avec Dieu,
dans ce livre-là.
Ça parle donc de ce reste fidèle
qui va avoir un lien spécial avec Dieu.
Il y a d'autres livres,
et parmi les Juifs,
ces livres-là sont dans un même volume.
Ça veut dire le livre de Ruth,
et Cantiques des Cantiques,
avec deux autres livres encore,
avec Esther,
et encore deux autres livres,
La Lamentation,
et encore un autre livre.
Mais le point maintenant,
c'est que dans Ruth,
et dans Cantiques des Cantiques,
on voit que ce résidu futur
va être introduit dans une relation avec le Messie.
Mardoché nous parle donc du Messie.
Mais dans ce livre-là d'Esther,
on ne trouve pas cette relation
entre le résidu futur et leur Messie,
qui est vrai quand même,
et c'est ça qu'on trouve dans Ruth,
et dans Cantiques des Cantiques.
Mais ici, on voit que Dieu rétablira
cette relation entre ce résidu et lui-même.
Dieu avait une femme,
une épouse dans l'ancien testament.
Elle était impudente.
Et dans le futur,
on va voir que Dieu va rétablir
cette relation d'amour
entre ce résidu,
qui représente son peuple terrestre,
et lui-même.
Et c'est ça qu'on trouve dans Esther.
Elle n'a aucun droit,
elle n'a pas de mérite,
c'est ça qu'on a vu la dernière fois dans le chapitre 2,
elle entre dans une relation
d'ethniquité avec le roi.
Mais elle va encore apprendre d'autres choses.
On a vu donc les leçons
en rapport avec cela,
comment elle entre dans cette relation
avec le roi,
qui nous parle donc de Dieu.
Et on a vu dans le chapitre 3
que dans le gouvernement de Dieu
et dans les voix de Dieu
qui sont plus hautes que nos voix,
Dieu permet qu'un ennemi du peuple
s'agrandisse.
Et cet ennemi, on l'a vu,
il était déjà lié à un peuple ennemi
de longue date.
C'est ça qu'on trouve dans Esther 3 au début.
Et tout ce plan pour maintenant
se débarrasser de Mardocher.
Mardocher nous parle d'une façon particulière
du Seigneur Jésus.
Le Seigneur Jésus qui était fidèle
pour maintenir les droits de Dieu.
Et Mardocher, on peut vraiment
admirer sa fidélité
quand il était ferme pour maintenir
les droits de Dieu,
les droits du roi.
On a vu ça à la fin du chapitre 2.
Mais aussi comment il est ferme
pour ne pas se proclamer
devant cet homme méchant,
Amun.
Donc on voit la fidélité
de Mardocher.
Mais tout cela cause
cette fureur d'Amun
contre lui et contre tout son peuple.
Et on a vu dans le chapitre 3 verset 6
que les juifs sont appelés
le peuple de Mardocher.
Ça parle donc de ce lien spécial
entre le Messie et son peuple.
Mais pour nous aussi,
le Seigneur Jésus a un lien spécial
avec nous présentement.
Donc on peut toujours voir
que c'est le sens pratique pour nous aussi.
On pense à ce reste futur
qui aura ce lien avec le Messie
et avec Dieu.
Mais on peut l'appliquer aussi
pour nous. Parce que Dieu aime avoir
un témoignage maintenant.
Et on trouve par exemple
dans Apocalypse 3,
Philadelphie, on voit là
où Dieu, le Seigneur Jésus,
a un témoignage
dans ce monde, au milieu de la chrétienté.
D'une telle façon, Dieu va avoir
un témoignage fidèle dans les jours à venir.
Mais Dieu veut avoir
aussi un témoignage fidèle
aujourd'hui. Et c'est ouvert
à vous et à moi pour être
fidèle. Comme Mardocher
était fidèle, comme Esther était fidèle.
Pour être instruit dans les voies de Dieu,
à l'école de Dieu, c'est ouvert
pour vous et moi d'avoir
une part dans ce témoignage
pour Dieu. Mais ça va
en même temps susciter, pour ainsi dire,
la fureur, la haine
de l'ennemi. Nous sommes fidèles
par la grâce de Dieu, ça va
causer en même temps les attaques
de l'ennemi. Et maintenant, on arrive
donc au début de chapitre 4.
On voit là, d'abord,
Mardocher comme une image
du Seigneur Jésus, comme celui
qui a souffert, qui était seul
dans ses souffrances. On voit ici
dans chapitre 4, verset
premier, et Mardocher
déchirant ses vêtements, il se couvrit d'un
sac et de cendres, il sortit
au milieu de la ville et poussa un
cri grand et amer.
Ça nous parle d'abord des souffrances
du Seigneur Jésus, où il était
seul dans ses souffrances.
Je voulais lire un verset dans Hébreu
5, on l'a lu ce soir dans Hébreu 4,
mais maintenant un verset dans
Hébreu 5, verset 7, où
nous voyons comment le Seigneur
Jésus a souffert, et
c'est remarquable, pas seulement
dans ses heures sombres
à la croix, mais on voit dans
Hébreu 7 aussi, un
général, qui durant les jours
de sa chair, ayant offert
avec de grands cris, et avec larmes
des prières et des supplications
à celui qui pouvait le
sauver de la mort, ayant été
exaucé à cause de sa piété,
quoi qu'il puisse,
a pris l'obéissance. On voit ici,
je parle surtout des souffrances du
Seigneur Jésus dans le jardin
de Gethsémane, où il a
passé à travers
ses souffrances par oxypation,
on voit donc ses souffrances
dans Hébreu 5, verset 7.
Ses grands cris aussi. Ça donne donc le
parallèle avec ce verset dans
le livre d'Esther, où Mardoché
poussait un cri
grand et amer. On peut aussi
penser au cri que le
Seigneur Jésus a poussé à la croix
dans le psaume 22.
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi
tu m'abandonnes ?
Donc ses souffrances dans le jardin
de Gethsémane et sur la croix.
Mais maintenant,
il est important de voir l'intention
de l'esprit pour qu'il livre
ses exercices de Mardoché maintenant
avec le reste fidèle.
Et puis on voit qu'au début,
Esther n'a rien
compris de ça. Elle ne
n'a pas accepté même.
On voit donc d'un côté que Mardoché, lui,
il a compris la situation.
Il voit comment
le peuple du Dieu est attaqué.
Il s'identifie avec ce peuple
et il crie avec un
cri grand et amer.
Mais on a lu aussi que
Esther, verset 4,
elle était dans une grande angoisse.
Mais elle n'a pas compris
vraiment ses souffrances. Verset 4
au milieu. Elle envoya
des vêtements pour vêtir Mardoché
et pour lui faire ôter
son sac de subis. Mais il
ne les accepta pas. On pense
ici aussi à ses quelques disciples
qui étaient autour du Seigneur Jésus
dans sa vie ici-bas. Ils n'ont
pas compris ses souffrances. Lorsque le
Seigneur Jésus a parlé de ses souffrances,
ils n'ont pas compris. On peut le lire clairement
dans les évangiles.
On voit chaque fois de nouveau que
là où le Seigneur a parlé de ses souffrances,
ils n'ont pas compris. Absolument pas.
C'est la même chose.
On voit donc qu'ils n'ont aucune
compréhension
pour un Messie souffrant.
Et c'est exactement
la même chose avec les juifs aujourd'hui.
Ils ne comprennent pas que le Messie
devrait souffrir.
Ils ne comprennent pas. Ils vieillissent 53.
Ils pensent que eux sont
ses serviteurs qui souffrent.
Mais ils ne comprennent pas que
le Messie devrait souffrir.
Maintenant, il est important de
comprendre la différence entre
les souffrances expiatoires
où le Seigneur Jésus était absolument
seul pour ne tomber d'eux.
Là, le Seigneur Jésus était absolument
seul. Mais le Seigneur Jésus
a pris aussi le fardeau
de son peuple sur ses épaules, pour ainsi dire.
Et à cause de ça, le Seigneur a souffert.
On peut le lire dans une brochure
que j'aimerais recommander
du frère Darby sur les souffrances de Christ.
Et là, on voit vraiment
la différence entre tous ces aspects
de ces souffrances.
On peut le lire dans 1 Pierre 1
où Pierre parle des souffrances
aux premières du Seigneur Jésus.
Là, on voit qu'il y a des distinctions
importantes
entre les souffrances du Seigneur.
Et dans ce chapitre-là, on voit que
le Seigneur Jésus,
présenté par ce type de mardoché,
a pris sur lui, il y a presque
2000 ans, les souffrances
futures du peuple
d'Israël. Il s'est identifié
déjà là, avec les souffrances
futures du reste fidèle.
Mais on voit
quoique ce lien existe
maintenant entre Dieu et ce reste fidèle
qu'eux ne connaissent pas encore
vraiment les souffrances
du Messie. Ils ne comprennent pas encore
ces souffrances. Dieu permet
cette grave tribulation
qui va venir sur Israël
et qui est encore future
dans ce chapitre-là aussi,
pour les purifier. Mais avant que
Dieu permette que ce temps arrive,
il les élève
pour les purifier. On l'a vu dans le chapitre
2, c'est l'éducation
à l'école de Dieu. Maintenant,
Esther a besoin encore
d'une autre éducation pour être
prête pour
présenter sa requête devant
l'homme. Donc on l'a vu dans le chapitre
2, c'est préparation
pour qu'elle entre dans cette relation
avec le roi. Maintenant,
c'est l'esprit qui va
la préparer pour qu'elle puisse
faire ses requêtes
devant le roi. C'est le grand sujet
maintenant. Et puis le reste fidèle
aussi va avoir cette éducation
par l'esprit de Dieu pour être
préparé de s'approcher
de Dieu. On l'a vu
ce soir, hébreu 4, on a toute
liberté de nous approcher de Dieu.
Mais on voit ici que Esther
n'a absolument pas encore cette
liberté de s'approcher
du roi sur la base de la grâce.
Donc le point que j'aimerais
souligner, d'abord cette
incompréhension, elle n'a pas compris
cette souffrance de Mardoché.
Ce sera le cas aussi pour le reste fidèle.
Au début de leur histoire
future, ils doivent donc
réaliser que
le Messie a pris
leur souffrance sur eux.
Un verset à lire
et relire, c'est Ésaïe 63,
verset 9, où
le prophète dit, dans toute
leur souffrance
qu'il a souffert, quelque chose comme ça.
Toutes les douleurs, il a été
aussi en douleur. Donc là, on voit
ce principe-là, que le Seigneur
s'est identifié avec les souffrances
de son peuple. Mais dans
l'Exemple 42,
donc le deuxième livre d'Exemple,
on voit que ce reste
fidèle sera en détresse,
comme on va le voir dans
l'Exemple 34. Mais dans
cette histoire future,
l'Esprit va leur présenter
la beauté du Roi.
Dans l'Exemple 45, on le voit.
Donc d'abord, ils sont dans les
souffrances, Dieu permet
cette tribulation, mais
étant dans cette tribulation,
Dieu va leur présenter
la beauté du Roi.
Et ils seront fortifiés pour
continuer sur les grandes vignes.
Et en même temps, on va voir que Dieu va les
purifier dans cette grande
tribulation. Il y a donc un lien
entre les souffrances que le
Seigneur Jésus a subies il y a presque
2000 ans et ses souffrances futures
pour le reste du monde. Il y a un lien.
C'est ça qui est important à comprendre
que le Seigneur,
en souffrant ici-bas,
s'est identifié déjà
avec ces souffrances futures du
reste du monde. Maintenant, on voit
donc que dans le verset 5
de notre chapitre,
Esther a envoyé Atta.
Atta veut dire « Pourquoi
tu me frappes ? » C'est l'impensé,
l'incompréhension.
Mais, en même temps,
on va voir que par les soins du Dieu,
ce reste qu'il y a sera inscrit.
Et on voit ici, d'un côté,
Margossé, qui va donner
les détails, mais aussi Atta
remplit ce service pour
instruire Esther, en rapport
avec les souffrances du reste du monde.
Il faut donc que Esther
réalise, à un moment donné,
que ce que
Margossé a subi
va être son sort aussi.
Il faut qu'elle
se réalise qu'elle est dans la même situation.
Et le reste du monde, aussi,
dans le futur, va réaliser,
à un moment donné, que l'Empire
et le chef de l'Empire romain,
les deux, ensemble, seront
contre eux. Comme dans
les jours du Seigneur Jésus,
Hérode et aussi
Pontilla sont devenus
des amis contre
le Messie. Donc, dans le futur,
ce sera une même situation,
les chefs,
les dirigeants du peuple
griffes, ensemble avec les chefs
de l'Empire romain, vont se mettre ensemble
contre le reste du monde.
Donc, Esther va réaliser, maintenant,
cette situation pénible et voir
la solution. C'est un long chemin
parce qu'Esther va apprendre
que la solution
viendra de Dieu
lui-même. Il peut y être pour nous,
donc, aussi, nous devons apprendre
sur la barre, on doit
apprendre, d'abord, la gravité
des souffrances de notre Seigneur Jésus.
Même les souffrances que nous
traversons à travers, passons
à travers, sont des souffrances
avec lesquelles le Seigneur s'est identifié.
Donc, maintenant, on est arrivé
au verset 8, à la fin du verset 8.
Mardocher
a informé
Esther de la situation, afin qu'elle
réalise sa situation, et puis
qu'elle va souffrir
à cause de cette attaque d'Amin
si elle ne souffre pas.
Elle va même être tuée
à cause de ce décret du roi.
Puis, qu'on a vu, donc,
déjà la dernière fois,
il semble être très difficile de comprendre
que le roi permet, même,
un tel décret qui signifie
la fin du peuple juif
et même la fin de la reine.
Mais on voit que Dieu est
au-dessus de toute chose, mais
il faut que Esther
trouve ce chemin pour
s'approcher du roi, donc s'approcher
de Dieu, pour trouver
la solution, la remède.
Et puis, c'est un long chemin
pour beaucoup d'âmes
trouver
cette remède, vraiment,
à se remettre à Dieu,
pour supplier Dieu.
Ça, c'est le point, maintenant.
On va essayer à comprendre
ce chemin en détail.
Dans le verset 9,
on voit, donc, la réponse
de Mardoché.
Et puis, dans le verset 11, Mardoché dit
« Tous les serviteurs du roi et le peuple
des provinces du roi savent que pour
quiconque, homme ou femme, entre
auprès du roi. » Maintenant, c'est la réponse d'Esther,
monsieur Maxime. « Sans avoir été appelé,
il existe une même loi
prescrivant de le mettre à mort. »
Et cela nous parle aussi d'un sens
général, de la loi.
Si on se place sur la base de la loi,
on est sous la malédiction
et on sera mis à mort.
Si une âme,
qui est née de nouveau, se place
sur la base de la loi,
ce sera la mort
terrible. Donc, c'est
important pour nous aussi
de réaliser qu'on doit
se placer sur la base de la grâce.
On doit s'approcher
du roi, de Dieu,
sur la base de la grâce.
Mais c'est d'abord nécessaire de réaliser
que sur la base de la loi,
on ne peut pas s'approcher de Dieu.
Sur la base de la loi, il y a la mort,
il y a la malédiction.
Et on voit dans Romain VII
aussi ce long chemin d'une âme
exercée, qui est née de nouveau,
mais qui veut s'améliorer encore
soi-même, qui veut encore
trouver de remède contre tout ce mal
qui ne s'adresse pas
encore à Dieu, vraiment.
Donc, la leçon
ici, dans le verset 11, c'est
qu'il n'y a pas d'accès
vraiment de Dieu. Pour nous,
par la grâce de Dieu, nous connaissons
cet accès. Romain V,
versets 1 et 2, nous voyons
cette relation de paix avec Dieu
et ce libre accès. Ce soir,
nous avons lu dans Hébreux 4, de ce
libre accès. On trouve dans Éphésiens
2 aussi, c'est la position
chrétienne d'avoir ce libre accès.
Éphésiens 2, verset 18,
par l'Esprit Saint.
Dans Hébreux 10 aussi, on voit
ce nouveau chemin pour nous approcher
de Dieu. Donc,
c'est le privilège chrétien
vraiment, de s'approcher de Dieu.
Mais si on se place sur la base
de la loi, on ne peut pas s'approcher
de Dieu. On est loin de Dieu, très
loin de Dieu. Il y a une grande
distance entre l'âme et
Dieu, si on se place sur la base de la loi.
Là, il n'y a aucune communion
entre l'âme et Dieu. Et ça,
c'est important. Si le respireuse
va apprendre cette leçon, et pour
nous aujourd'hui, on doit
apprendre cette leçon aussi.
Maintenant, on voit que Madoché répond
de nouveau dans le verset 13,
et puis, c'est maintenant encore
un nouvel élément,
c'est l'amour pour le peuple du Dieu.
Si on aime l'Esprit,
on est prêts même à donner
sa vie. Dans Jean 3,
c'est l'Esprit, nous voyons qu'on
donne sa vie pour l'Esprit, par amour.
Et c'est ça que l'Esprit
va apprendre aussi. Cette attitude
de se sacrifier
elle-même. Et on voit maintenant,
par la grâce de Dieu, qu'elle est instruite.
Madoché donne encore quelques
avertissements dans le verset 14.
Si tu gardes le silence en ce temps-ci,
le soulagement et la délivrance
survivront pour les autres fois.
Donc Madoché
dépend du Dieu. C'est pas
mentionné ici, parce que dans ce livre-là,
on ne voit pas cette relation établie
entre le peuple et Dieu, mais
sa foi dit que
Dieu va donner l'autre
solution si Esther n'est pas fidèle.
Dans les autres livres
que j'ai mentionnés, le livre de Ruth,
chapitre 3, et aussi
Cantiques des Cantiques, que là,
l'on passe à travers des exercices
semblables pour
être libéré de
soi-même, pour être libéré
de cette malédiction de la loi,
pour entrer dans cette
liberté, donc pour avoir cette
avièce de s'approcher
de Dieu. On voit
maintenant que Esther
arrive à ce point-là,
qu'elle est libre
d'elle-même, pour ainsi dire, et puis
elle dit maintenant dans le verset 15
et Esther dit de répondre à Madoché,
va, rassemble tous les Juifs
qui se trouvent là-dessus et jeûnez pour moi.
Donc ici on voit cette attitude
même de mettre de côté
des choses légitimes, comme
la nourriture, pour
trouver vraiment
l'aide de la part de Dieu.
C'est donc un exercice
très profond parce qu'elle a jeûné
avec ces jeunes
filles et en communant
avec tous les autres Juifs pendant
trois nuits et jours.
Donc ça parle vraiment
de cet exercice très profond.
Avant qu'elle s'approche
du roi, elle
se prépare vraiment,
mais elle réalise maintenant
qu'elle a une autre base,
pas la loi comme base,
parce qu'elle n'a aucun droit pour
s'approcher du roi, mais elle se place
sur la base de la grâce
souveraine. Et ça c'est
un grand changement.
Et puis pour le reste fidèle ce sera un grand changement,
mais pour nous il faut apprendre
ça aussi, que sur la base de nos
propres efforts, ou sur la base
de la loi, on ne peut pas s'approcher de Dieu.
Et comme j'ai dit, on voit ce
développement par exemple dans Romain VII,
une âme qui passe
ce long chemin pour arriver
à cette liberté, cette
ardiesse. On le trouve aussi dans d'autres
passages dans la parole, aussi en
rapport avec ce développement
futur pour le reste fidèle, dans Zacharie
à un moment donné, ils
connaîtront vraiment cette liberté
pour s'approcher de Dieu.
Mais il faut que
qu'elle soit au bout des lignes.
Voilà une leçon pratique pour nous.
Dieu permet donc, comme on voit dans
ce chapitre-là, que les choses se
développent en mal, vraiment.
Jusqu'à un point où on
dirait, mais qu'est-ce que Dieu peut faire encore?
C'est vraiment la fin.
Qu'est-ce que Dieu peut faire? Et puis on
arrive aussi dans cette histoire-là
à ce point-là où on pense, mais
qu'est-ce qu'on peut faire? Absolument
rien. Et puis elle dit maintenant
et si je péris, je
périrai. Se sacrifier elle-même
pour ainsi dire. Ça c'est la bonne attitude
de se remettre entièrement à Dieu
de ne pas réserver rien
pour nous-mêmes. Je pense à Jacob
dans le livre de la Genèse.
On voit des
exercices semblables. Il est
arrivé à ce point-là où il se remet
entièrement entre la main de Dieu.
Et ça c'est tellement important pour
nos âmes aussi, d'arriver à
ce point-là, qu'on se remet
entièrement à Dieu, sans
réserve. Et c'est donc un
combat, comme on voit ici, un long combat
pour arriver à ce point-là. Mais c'est
très béni, parce que maintenant on voit
que Esther
s'est revêtie
dans son vêtement royal.
Chapitre 5, le premier verset.
Et ça c'est donc un grand changement.
Vous voyez, il arrive au troisième jour.
Le troisième jour nous parle de
la résurrection. Elle se place sur
une nouvelle base, vraiment.
Au lieu d'être occupée
d'elle-même, de ses limites
et de ses raisonnements,
elle se place maintenant sur
une nouvelle base. Ça c'est très important.
De nous placer sur la base de la
résurrection. Là tout change.
C'est Romain 7 et Romain 8.
La même différence.
Et puis on voit qu'elle s'est
revêtie de son vêtement royal.
Si on s'approche de Dieu
et on est revêtus
dans ce vêtement royal que Dieu lui-même
nous a donné, est-ce que Dieu pourrait nous refuser?
Est-ce que Dieu pourrait
nous refuser vraiment de nous approcher de lui?
C'est Dieu qui nous donne
ce vêtement. On pense à ce vêtement
de la justice dans Isaïe
61. Aussi
à la façon de laquelle
Dieu nous a acceptés dans le bien-aimé.
Éphésiens 1, verset 6.
C'est notre vêtement. Donc si
nous réalisons cette nouvelle
position que nous avons en Christ,
dans ce cas-là nous avons la liberté
de nous adresser à Dieu.
Il faut donc réaliser la
position que Dieu nous a donnée en Christ.
Et dans cette façon-là, on se
revêt, on est revêtus
de ce vêtement royal.
On pense aussi à Luc 15,
ce fils prodigue
qui était revêtu dans
ce vêtement, le meilleur vêtement
que le Père lui avait
réservé. Donc si on s'approche de
Dieu dans ce vêtement que Dieu nous a donné,
il ne nous refusera
jamais. On n'entre pas
dans sa présence sur la base de notre propre justice,
mais on entre
avec tout ce qu'il nous a donné
en Christ. Dans ce sens-là,
nous sommes aussi des sacrificateurs
royaux, on conquiert
d'eux, nous voyons que nous sommes revêtus
dans ce revêtement
royal, avec ce vêtement royal.
C'est par la grâce de Dieu.
Donc il nous prépare. Et si nous
acceptons cela,
Dieu va nous accepter aussi.
Donc, Esther,
qui est vue ici sur cette
nouvelle base, sur la base
de la résurrection, sur la base
de l'ordre accompli du Seigneur Jésus,
et là, le roi
va écouter. Verset 2
Et aussitôt que le roi vit,
la reine Esther, se tenant
dans la cour, elle trouve
faveur à Césus. Quelle
joie pour le cœur du roi de voir
son épouse d'une telle façon.
Quelle joie ce sera pour le cœur de Dieu d'avoir
un reste fidèle, ici-bas,
qui va s'approcher de lui,
sur cette base de la grâce,
vraiment. Mais quelle joie pour Dieu
aujourd'hui, de voir
un reste fidèle qui s'approche
de lui vraiment, qui n'est pas
lié au mal,
qui n'est pas sous l'influence des attaques d'Aman.
Il ne faut pas oublier que la plupart
de la chrétienté est influencée par
l'éruse d'Aman, du diable,
par ses doctrines
diaboliques, ou bien
que beaucoup de chrétiens
vraiment, ceux qui sont nés de nouveau,
se placent sur la base de la joie.
Aucune communion avec Dieu.
Quelle joie pour le cœur de Dieu, si
aujourd'hui, il y a un reste
qui s'approche de lui, sur cette
base nouvelle que Dieu lui-même
nous a donnée. Et puis,
à cause de ça, c'est le
roi qui donne maintenant ce
sceptre. Et elle touche
le bout du sceptre. Verset
2 à la fin. Le roi tendit
Esther le sceptre.
On voit donc que la condition
morale d'Esther est en relation
avec la pensée du roi.
Ça c'est important. C'est pas seulement
que Dieu nous donne tout ça
en Christ, mais il y a une âme
ici qui a réalisé ça
par la foi, qui est fidèle.
Donc, elle s'approche
du roi sur la base de la grâce souveraine
mais en même temps le roi voit
quelque chose en elle qui est
agréable pour lui. Est-ce que
Dieu voit quelque chose en nous
par sa grâce qui est agréable
pour lui? Et puis c'est le
sceptre d'or, donc en rapport avec la gloire
de Dieu. Si on peut toucher
ce sceptre d'or, on est
donc en rapport avec la pensée
de Dieu, avec la gloire de Dieu.
Dans quelle pensée? Esther
s'approcha et toucha le bout
du sceptre. On voit ici cette hardiesse,
cette liberté maintenant.
Au début, elle n'avait aucune
liberté. Maintenant, elle a cette
liberté et c'est tout
en rapport avec la justice et avec
la gloire de Dieu.
Maintenant, on voit donc cette question
le roi donne
réponse favorable.
Que veux-tu, Reine Esther, et quel est ta requête?
On voit maintenant que
il suggère même qu'il
donne la moitié du royaume.
Et si on compare ça avec nous,
c'est quand même une différence parce que par la
grâce de Dieu, nous avons toute chose.
Dans Romain 8, à la fin,
nous voyons que
Dieu nous a donné toute chose,
toute chose. C'est la
différence avec Esther.
Dieu nous a donné toute chose.
Il n'a rien réservé.
Et sur la base de la compassion
de Dieu, dans le livre
de l'épître aux Romains, on voit
comment une âme est établie dans
cette relation avec Dieu.
Et puis sur la base de la
miséricorde de Dieu,
on voit donc qu'on peut
présenter
nos requêtes devant Dieu.
Romain 12, pour connaître
la volonté de Dieu.
J'invite maintenant le roi pour
son festin.
C'est très touchant de voir,
verset 4 à la fin,
si le roi le trouve bon, que le roi
et Amin avec lui, viennent aujourd'hui
au festin que je lui ai
préparé. Il y a donc
d'un côté cet homme méchant,
Amin, qui sera exposé
la deuxième fois. Il y a cette
sagesse d'Esther de ne pas encore
demander tout de suite ce qu'elle voulait
demander parce qu'elle
voulait le faire dans la présence d'Amin.
C'est bien sage. Mais aussi,
ce point que j'aimerais souligner, c'est le fait
qu'elle avait préparé un festin
pour le roi.
On s'appelle maintenant
cette première reine
qui ne voulait pas venir
dans la présence du roi,
Vasti. Elle avait son repas,
son festin, pour elle-même,
avec les autres femmes.
Mais ici, on voit donc Esther
qui prépare quelque chose
pour le roi lui-même.
Et ça, c'est aussi très
précieux pour le coeur de Dieu.
Si nous sommes prêts à préparer
quelque chose qui a de la
valeur pour nous.
Maintenant, verset 6, donc,
le roi donne cette occasion à Esther
de demander sa
demande, mais
elle demande simplement
que le roi revienne
le lendemain. Et puis, on se demande
mais pourquoi? Parce que
ce délai, la vie de
Mardochais est mise en danger.
Comme on va voir dans la suite du chapitre.
Pourquoi ce délai?
Mais je pense que c'est aussi
la direction de Dieu.
Ça arrive aussi quelquefois dans notre vie.
On est vraiment au bout
et quand même qu'on doit encore attendre.
Quand même! Pourquoi?
Parce que Dieu veut être glorifié.
On voit ces pensées-là dans Jean 11
où Lazare était
malade puis mort, le Seigneur a
attendu. Mais le résultat était
qu'il était glorifié
et que Dieu était glorifié.
Et par ce délai d'un jour, on va
voir que Mardochais est glorifié
et Dieu est glorifié.
Donc, c'était sous la direction de Dieu
qu'elle a attendu encore un jour.
Et c'est aussi une leçon pour nous.
Souvent, on veut précipiter,
on veut régler la chose tout de suite.
Mais on voit, par la sagesse de Dieu,
elle était dirigée par la sagesse de Dieu
d'attendre encore un jour.
Et puis, on voit maintenant le climaxe
vraiment de cette histoire-là.
Parce que par ce délai,
Ammon était encore enragé
contre Mardochais, puis on voit
que la vie de Mardochais était mise en danger.
Maintenant, à la fin de ce chapitre
donc, 5,
on voit le plan de Mardochais
de tuer,
excusez-moi, le plan d'Ammon
de tuer maintenant Mardochais.
Dans le verset 9, on voit donc
de nouveau cette fidélité de Mardochais
comme on l'a vu dans le chapitre 3.
On voit ici la fierté,
l'orgueil d'Ammon.
Verset 11, Ammon le raconta
la gloire de ses richesses.
On se rappelle ce verset dans les proverbes
que la chute vient
donc l'orgueil
vient avant la chute.
Donc on voit ici cet orgueil juste avant
juste avant la chute.
Il parle du
nombre de ses fils.
On pense aussi au diable qui a
plusieurs fils, beaucoup de fils
dans Jean V, le Seigneur Jésus, le mensonge même
comme le père
des mensonges qui a beaucoup de fils.
Et puis il est tellement fier, il parle
aussi de ce
en quoi le roi l'avait agrandi
il l'avait élevé au-dessus des princes
et des serruteurs du roi.
Mais dans le verset 13, nous voyons donc que tout cela
ne lui sert de rien
aussi longtemps que je vois Mardochais.
On voit ici la colère
vraiment de Satan
contre le Seigneur Jésus. On peut s'imaginer
la colère que Satan a eue contre le Seigneur.
Il voulait se débarrasser du Seigneur.
Et là on voit donc
un parallèle
et en même temps un contraste. Le Seigneur Jésus
on a préparé
un bois pour lui. Il était là
l'hydrame. Le Seigneur Jésus a
subi ce jugement là.
Mais là on voit d'un côté c'était acte
de la part de l'ennemi qui avait préparé
tout ça. On a vu la dernière fois
dans acte 2 verset 23
par le conseil de Dieu
d'un côté mais par le peuple
infidèle de notre côté. Le peuple infidèle
qui était donc dirigé par Satan.
Mais ici on voit
Mardochais n'était pas
là. Christ, lui
il était là.
Donc un contraste en même temps.
Mais le bois était préparé
par un homme et puis maintenant
il ne pouvait pas dormir. Sans doute. Parce qu'on voit
dans le chapitre 6 qu'il était là
le lendemain de bonheur.
Et c'est remarquable.
Je pense que Esther n'a pas pu dormir
non plus dans cette nuit là.
Elle avait jeûné
trois nuits et trois jours.
Peut-être Mardochais n'a
pas dormi non plus, je ne sais pas.
Mais une chose est sûre
que le roi n'a pas dormi.
Ça c'est remarquable. On peut
comprendre pourquoi Ammon n'a pas dormi.
Peut-être Ammon a vu déjà
Mardochais
pendu à ce bois.
Peut-être qu'il s'est imaginé ça déjà.
Il s'est réjoui ces pensées là.
Puis il s'est rendu
au palais de bonheur.
Mais ce qui est remarquable
c'est que le roi n'a pas pu dormir.
Et si on pense de nouveau
à Dieu lui-même.
Je parle avec l'évérant. Est-ce que Dieu a pu dormir
lorsque son fils a
souffert là? Impossible.
Et puis on voit ici que
mais c'est en même temps donc la providence de Dieu
comment Dieu
a organisé, arrangé les choses
afin que le roi ne
ne dorme pas. On voit la main
providentielle de Dieu vraiment
qu'il demande maintenant
ce livre d'anal des chroniques. Il pourrait
demander d'autres choses mais il n'a pas fait.
Il a demandé
exactement ce livre là.
C'est remarquable. Et Dieu a
dirigé ce serviteur pour lire
exactement cette histoire là
qu'on avait lu déjà
dans le chapitre 2, verset 23.
Donc c'est tout
réglé de Dieu. C'est maintenant
Dieu qui prend les choses
en main. Mais est-ce que je peux suggérer
quelque chose? C'était
sur la base des prières.
On ne voit pas les prières littéralement, c'est pas
mentionné, mais c'est sur la base
cette humiliation d'Esther.
C'est prière, c'est jeûne
que Dieu intervient.
Ça c'est une leçon pour nous aussi.
Il y a une pensée qui dit
que la prière met en mouvement
le bras de Dieu. La prière
met en mouvement le ciel.
Donc quelle importance
pour ce jeûne, pour ces prières
pour que le ciel
soit mis en mouvement
pour les saints. Quelle pensée!
Puis on voit ici comment Dieu va agir.
Dieu agit
d'abord providentiellement, comme on a
vu dans ce premier verset.
Une pensée touchante
vraiment dans le verset 3. Le roi
demande quel honneur et quelle
distinction a-t-on conféré à Mardoché
à cause de cela? Et le serviteur
du roi qui le servait dit
on n'a rien fait pour lui. On prolonce
au Seigneur Jésus dans Daniel 9
qu'on le lit. Le Seigneur a souffert
le Messie, de nouveau, là on voit le Messie
et qu'est-ce que la parole dit dans Daniel 9
à la fin du chapitre 9
il n'aura rien, il ne sera
pas pour lui. Mais c'est la même
pensée. On n'a rien fait pour lui.
Rien, absolument rien.
Un homme qui a fait tant de bien
pour honorer Dieu, pour
protéger, donc pour
maintenir les droits du roi,
les droits de Dieu, qui était tellement
bon, on n'a rien fait
pour lui. C'est encore aujourd'hui le cas.
Si on demande qu'est-ce qu'on a fait,
le monde a fait pour honorer
le Seigneur Jésus,
on n'a rien fait. Mais maintenant on voit
que Dieu a fait quelque chose
et ça c'est le grand sujet du chapitre 6.
Et pour expliquer
cela j'aimerais juste lire un verset
dans Jean 13
verset 31. Dans Jean 13
verset 31, nous lisons
après que Judas
était parti,
lors donc qu'il fut sorti, Jésus
dit maintenant le fils de
l'homme est glorifié et
Dieu est glorifié en lui.
Si Dieu est glorifié en lui, Dieu aussi
le glorifiera en lui-même
et incontinent il
le glorifiera, incontinent
il le glorifiera. La pensée
est ici que Mardoché
avait honoré le roi,
il avait donc glorifié le roi dans ce sens-là
par ses actions, par sa vie.
Maintenant le roi
va l'honorer, le roi
va le glorifier. Vous voyez
la même pensée qu'on trouve dans
Jean 13 verset 31.
Le Seigneur Jésus avait glorifié Dieu,
c'est maintenant Dieu qui le glorifie
et donc le roi est prêt pour
glorifier Mardoché.
Et ce moment-là où le roi
se demande mais qu'est-ce qu'on va faire maintenant pour
honorer Mardoché, ce moment-là
Amman est là, le plus
grand ennemi de Dieu,
le plus grand ennemi du peuple de Dieu
et j'ose dire aussi au fond
un ennemi du roi même
parce qu'il cherchait sa propre gloire.
Il ne cherchait pas vraiment les intérêts du roi,
absolument pas, mais il cherchait
sa propre gloire et on le voit ici dans
le verset 6 et suivant. Le roi
demande que faut-il faire à l'homme
que le roi se plaît à honorer et Amman
pensait dans son coeur à quel autre
qu'Amman plairait-il au roi
de faire honneur. Il y a vraiment
dans le Nouveau Testament, on aimerait maintenant
voir le parallèle entre Amman
et Paul avant sa conversion.
Un ennemi de Dieu,
il pensait qu'il servait Dieu
comme Amman aussi, il pensait
qu'il était en faveur
avec le roi, qu'il servait le roi
mais au fond il était un ennemi
et c'est maintenant cet homme-là
donc un ennemi
duquel Dieu se sert pour honorer
Mardoché et on le voit
dans le Nouveau Testament, Dieu s'est
servi d'un ennemi
la pauvre Paul, il était un
ennemi de Dieu, un ennemi du peuple de Dieu
un ennemi de Mardoché
un ennemi du Messie et Dieu
s'est servi exactement de lui pour le
glorifier, ça c'est remarquable, ça c'est
l'ironie de Dieu pour ainsi dire
que Dieu peut se servir d'un ennemi
pour se glorifier
pour glorifier le Messie. L'ennemi
le pire du Messie
la glorifier. Et puis ici
on voit comment Dieu a tout en
sa main, c'est l'ironie de Dieu
comment Dieu peut organiser
ces choses-là, c'est vraiment, humainement
parlant, on est vraiment
étonné de voir ça
et puis on voit donc l'orgueil
de nouveau d'Amman
on voit cet orgueil aussi en rapport
avec Satan lui-même, je mentionne
simplement Ésaïe 13 et
Ézéchiel 28, on voit que
l'orgueil de Satan a
causé sa chute et l'orgueil
d'Amman a causé sa chute aussi
qu'on va voir dans le chapitre 7. Donc
il doit maintenant honorer l'homme
dans lequel Dieu
a trouvé son bon plaisir
qu'est-ce qu'il pensait ? Dieu a trouvé
son bon plaisir dans le Seigneur Jésus
il l'a honoré
et vous voyez avant que
ça c'est maintenant un point important
à comprendre, à la fin
d'Esther on voit l'honneur
public de Mardoché
et au début du Mélanie
on va voir que le Seigneur
Jésus va avoir cet honneur
public pour régner sur
ce monde, mais Dieu
donne maintenant un témoignage
de sa gloire, ça c'est la différence
le chapitre 6 nous donne
le témoignage
de la gloire du Seigneur
tandis qu'à la fin d'Esther on voit
sa gloire publique
son règne public, mais Dieu
donne maintenant un témoignage
de la gloire du Messie
notre Seigneur Jésus il est à la droite
de Dieu et Dieu donne
maintenant un témoignage spécial
et c'est ça qu'on trouve dans le ministère de Paul
Paul qui était donc
cet ennemi, lui
il a été changé
là on voit vraiment un changement
de corps, normalement on ne voit pas
un changement de corps, mais la
parallèle c'est donc que Dieu
s'est servi d'un ennemi pour donner
ce témoignage de la gloire
de Mardoché, de la gloire du Messie
mais dans Paul on voit aussi
un changement intérieur
Dieu s'est servi donc de cet ennemi
pour rendre le témoignage
de la gloire du Seigneur Jésus
à la droite de Dieu
et ça c'est le point ici
Dieu glorifie
tout de suite Mardoché
tout de suite, avant qu'il règne
publiquement, avant que
cette gloire soit vue partout
et par ce témoignage
on voit déjà maintenant
cette gloire de Mardoché
du Seigneur Jésus
et par le ministère de Paul
nous connaissons déjà cette gloire
du Seigneur Jésus qu'il a présentement
avant que la grande
tribulation vienne, vous voyez
parce qu'ici dans le chapitre 6 on est encore
avant la grande tribulation
on a déjà
ce témoignage de la part de Dieu
de la gloire du Messie
on voit donc comment
Ammon était
humilié et puis c'est juste
avant sa chute
on va voir donc la prochaine fois
Dieu voulant comment
Dieu est intervenu et là on va voir
que Esther a
intercédé de nouveau
on voit la solution que Dieu donne
mais plus tard seulement dans le chapitre 8
on va voir qu'Esther
est entrée une nouvelle
fois, une seconde fois
elle s'est approchée du Roi
pour parler maintenant
pour le bien de son peuple
donc l'importance
qu'on a vu ce soir
c'est d'apprendre cette liberté
de s'approcher de Dieu
sur la base de la grâce
souveraine, ça c'est vraiment nécessaire
que nous aussi ayons
cet enseignement
qu'on se place sur cette nouvelle
base de la résurrection du Seigneur
sur la grâce souveraine
et aussi qu'on soit revêtus
dans ces vêtements que Dieu nous a donnés
où il nous accepte
vraiment, ce sont des leçons
et en même temps cette providence
de Dieu, comment il a
arrangé tout pour
glorifier Mardochais
et en même temps pour humilier Amin
comment Dieu s'est servi
de l'ennemi vraiment
de Mardochais pour l'honorer
et il faut donc
vraiment comprendre que Dieu
donne maintenant un témoignage
de la gloire du Seigneur Jésus
Dieu atteint encore
on va voir donc la grande tribulation
est encore future, le règne
du Seigneur Jésus est encore futur
mais Dieu lui a donné
ce témoignage de sa gloire
et par la grâce de Dieu, c'est nous
qui avons accepté ce témoignage
qui par le ministère de Paul
ont connu maintenant
cette gloire de notre
Messie, de notre Seigneur Jésus
c'est un grand privilège de le connaître d'une telle façon
avant que
la grande tribulation vienne
mais la leçon
importante
en tout ça, c'est aussi
de prier, de
mettre nos requêtes devant Dieu
et de nous confier entièrement
en Dieu, où nous sommes au bout
où nous ne pouvons rien faire
de plus, c'est là où Dieu
va commencer à travailler
donc le Seigneur nous aide à réviser
ces leçons pratiques
pour nous-mêmes et aussi à
reméditer ces passages pour mieux
comprendre aussi de l'histoire future
du reste fidèle du peuple d'Israël
et puis la prochaine fois
Dieu voulant, on va voir comment Dieu donne
vraiment la solution aussi
en rapport avec cette persécution
future …
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…
Le livre d'Esther, chapitre 7, et le roi et Amun vinrent pour boire avec la reine Esther.
Et le roi dit à Esther, le second jour aussi, pendant qu'on buvait le vin,
Quelle est ta demande, reine Esther, et elle te sera accordée.
Et quelle est ta requête, quand ce serait jusqu'à la moitié du royaume, ce sera fait.
Et la reine Esther répondit et dit, si j'ai trouvé faveur à tes yeux, ô roi,
Et si le roi le trouve bon, qu'à ma demande il m'accorde ma vie et mon peuple, à ma requête.
Car nous sommes vendus, moi et mon peuple, pour être détruits et tués, et pour périr.
Or, si nous avions été vendus pour être serviteurs et servantes, j'aurais gardé le silence.
Bien que l'ennemi ne pût compenser le dommage fait au roi.
Et le roi assuit Russe par là et dit à la reine Esther,
Qui est-il et où est-il, celui que son cœur a rempli de la pensée de faire ainsi ?
Et Esther dit, l'adversaire et l'ennemi, c'est ce méchant Amun.
Et Amun fut terrifié devant le roi et la reine.
Il se vit à la fin et le roi dit, veut-il encore faire violence à la reine chez moi dans la maison ?
La parole sortit de la bouche du roi et en couvrit la face d'Amun.
Et Arbona, l'un des uniques, dit devant le roi, voici le bois, haut de cinquante coudées,
qu'Amun avait préparé pour Mardoché, qui a parlé pour le bien du roi, est dressé dans la maison d'Amun.
Et le roi dit, qu'on l'y pende.
Et on pendit Amun au bois qu'il avait dressé pour Mardoché.
Et la colère du roi s'apaisa.
Ce jour-là, le roi Assuérus donna à la reine Esther la maison d'Amun, l'oppresseur des juifs.
Et Mardoché entra devant le roi car Esther avait déclaré ce qu'il lui était.
Et le roi ôta son anneau qu'il avait retiré à Amun et le donna à Mardoché.
Et Esther établit Mardoché sur la maison d'Amun.
Et Esther parla encore devant le roi.
Il tomba à ses pieds et pleura et le supplia de mettre en élan le mal médité par Amun, la gaguite,
et le dessein qu'il avait formé contre les juifs.
Et le roi tendit à Esther le sceptre d'or.
Et Esther se leva et se tint devant le roi.
Et elle dit, si le roi le trouve bon et si j'ai trouvé faveur devant lui
et que le roi estime la chose avantageuse et que moi je sois agréable à ses yeux,
qu'on écrive pour évoquer les lettres ourdies par Amun.
Verset 6, car comment pourrais-je voir le malheur qui atteindra mon peuple
et comment pourrais-je voir la destruction de ma race ?
Et le roi Assuérus dit à la reine Esther et à Mardoché, les juifs,
voici j'ai donné à Esther la maison d'Amun.
Puis on envoie les lettres, ces lettres portées que le roi accordait aux juifs dans chaque ville
de s'assembler et de se mettre en défense pour leur vie
et de détruire, tuer et faire périr toute force du peuple et de la province qui les opprimerait.
Puis le verset 15.
Et Mardoché sortit de devant le roi avec un vêtement royal, bleu et blanc,
une grande couronne d'or et un manteau de bissus et de pourpre.
Et la ville de Suse poussait des cris de joie et se réjouissait.
Pour les juifs, il y avait lumière et joie et allégresse et honneur.
Et dans chaque province et dans chaque ville, partout où parvenait la parole du roi et son édit,
il y eut de la joie et de l'allégresse pour les juifs, un festin et un jour de fête.
Et beaucoup de gens parmi les peuples du pays se firent juifs,
car la frayeur des juifs tomba sur eux.
Donc, chapitre 9, au douzième mois, verset 2.
Les juifs s'assemblèrent dans leur ville.
A la fin du verset 2.
Et personne n'éteint devant eux, car la frayeur des juifs tomba sur tout le peuple.
Et tous les chefs des provinces et les satrapes et les gouverneurs et ceux qui faisaient les affaires du roi assistaient les juifs,
car la frayeur de Mardoché était tombée, car Mardoché était grand dans la maison du roi.
Et sa renommée se répandait dans toutes les provinces,
car cet homme Mardoché allait toujours grandissant.
Et les juifs frappèrent tous leurs ennemis à coups d'épée.
Aussi, les fils de 1.
Et puis, dans le verset 12, nous voyons que Esther demande maintenant une seconde fois, verset 13.
Et Esther dit, si le roi le trouve bon, qu'il soit accordé encore demain aux juifs,
qu'ils soient assus de faire selon les dits d'aujourd'hui, et qu'on pende au bas les dix fils d'un main.
Verset 16.
Et le reste des juifs qui étaient dans les provinces du roi s'assemblèrent et se mirent en défense pour leur vie,
et eurent du repos de leurs ennemis.
Verset 17.
Ils se reposèrent, et il en fut un jour de festin et de joie.
Verset 20.
Et Mardoché écrivit ces choses et envoya des lettres à tous les juifs.
Verset 21.
Afin d'établir pour eux qu'ils célébreraient le quatorzième jour du mois d'Adar.
Verset 22.
Les juifs avaient eu du repos de leurs ennemis, et comme le mois où leur douleur avait été changée en joie,
et leur deuil en jour de fête, pour en faire des jours de festin et de joie,
où l'on s'envoie des portions l'un à l'autre, et où l'on fait des dents aux pauvres.
Verset 23.
Et les juifs acceptèrent de faire ce qu'il avait commencé, et ce que Mardoché leur avait écrit.
Puis le chapitre 10.
Et le roi Assuérus imposa un tribut sur le pays et sur les îles de la mer.
Et tous les actes de la puissance et de sa force,
et la déclaration de la grandeur de Mardoché,
comment le roi l'éleva,
ne sont-ils pas écrits dans le livre des chroniques des rois de Médie et de Perse.
Car Mardoché le juif fut le second après le roi Assuérus,
et il fut grand parmi les juifs,
et agréable à la multitude de ses frères,
cherchant le bien de son peuple,
et parlant pour la paix de toute sa race.
Jusqu'ici.
C'est donc une longue portion que nous avons ce soir,
puis nous devons donc résumer quelques points,
parce qu'on ne peut pas parler de tous les détails,
mais j'aimerais quand même demander votre attention à quelques détails.
On a vu dans ce livre d'Esther que le roi de Perse nous parle de Dieu.
Dieu lui avait confié une certaine autorité,
et puis c'est pour cela qu'il représente Dieu vraiment,
comme celui qui exerce l'autorité que Dieu lui avait donnée.
Comme homme, il a manqué grandement, c'est clair,
mais quand même il représente Dieu.
Et aussi dans tout ce livre.
Nous voyons dans ce livre comment Dieu veut avoir une relation avec son peuple.
Dans ce temps-là, nous savons que les juifs fidèles étaient rentrés à Jérusalem.
Par contre, ici nous trouvons des juifs qui n'ont pas de relation officielle avec Dieu.
C'est pour cela que nous ne trouvons pas de prière dans ce livre.
Nous ne trouvons pas de prophète.
Nous ne trouvons pas de service officiel pour adorer Dieu.
Tout cela manque à cause de ce fait qu'il n'y a pas de relation officielle avec Dieu.
Mais nous voyons quand même que c'est le désir de Dieu d'avoir une relation avec son peuple.
Et dans ce livre-là, nous voyons comment Dieu va établir dans le futur
une relation avec le reste fidèle présenté par Esther.
Et nous avons vu dans les réunions précédentes
comment Esther était formée à l'école de Dieu pour entrer dans cette relation,
pour être consciente aussi de cette relation avec Dieu à un moment donné.
Et puis nous voyons également, nous avons vu également que Mardoché, lui,
est une image de notre Seigneur Jésus dans ses souffrances,
dans sa fidélité ici-bas, dans sa marche, mais aussi dans sa gloire.
Nous avons vu que Vasti, la reine du roi, était infidèle et qu'elle a été mise de côté.
Et cela nous parle de la chrétienté, comme nous l'avons vu dans le premier chapitre déjà,
qui a manqué grandement et Dieu l'a mis de côté.
Nous vivons dans un temps de transition maintenant,
où Dieu a encore ce témoignage de l'Église ici-bas.
Mais l'Église a manqué et Dieu va mettre de côté ce témoignage.
Et Dieu va introduire un autre témoignage, comme nous l'avons vu dans le chapitre 2.
Dans le chapitre 3, nous avons vu comment Dieu a permis à Amun d'attaquer son peuple.
Et Amun représente Satan en général, mais aussi les instruments de Satan,
comme Héro dans les jours du Seigneur Jésus, comme l'Antichrist dans le futur.
Et aussi on peut penser à d'autres personnages, même dans l'histoire,
comme Hitler et d'autres personnages qui représentent le pouvoir de l'ennemi.
Mais Amun présente surtout Satan et, comme on va voir aussi dans le futur, l'Antichrist.
Dans le chapitre 4, nous avons vu comment le résidu, le reste fidèle des juifs,
dans le futur, doit apprendre que leurs souffrances sont liées aux souffrances de Christ.
Ils doivent entrer dans leur esprit dans les souffrances de Christ.
Et Christ, c'est l'esprit de Christ qui s'est identifié, déjà dans les jours où il était ici bas,
avec les souffrances qu'eux traverseront plus tard.
Donc le chapitre 4 est important pour le reste fidèle, pour être formé,
pour réaliser que, même dans une relation avec Dieu, ils doivent quand même entrer dans ces souffrances.
Mais Dieu va aider.
Et dans le chapitre 5, nous avons vu comment Esther s'est approchée de Dieu.
Elle a utilisé cette liberté pour s'approcher du roi,
et puis le roi est venu avec Amun pour avoir ce festin d'Esther.
En même temps, nous avons vu comment Dieu est en contrôle de tout.
Dieu a permis qu'Esther attende encore pour demander sa requête.
Et puis dans cette même nuit où Amun voulait donc préparer la mort de Mardoché,
on voit que tout tourne par la providence de Dieu.
Et Asuérus va honorer Mardoché.
Maintenant, on arrive au point où on est resté la dernière fois.
On voit donc qu'à la fin du chapitre 5, ce bois nous parle de la mort du Seigneur Jésus.
Mardoché, il est vrai, n'était pas pendu littéralement à ce bois.
Mais quand même, la pensée de sa mort est là.
Nous avons la même pensée avec Isaac.
Isaac était sacrifié dans Genèse 22, mais il n'est pas mort littéralement.
Mais Hébreu 11 nous explique qu'Abraham l'a reçu, comme resté d'entre les morts, par la foi.
Même chose on voit ici.
Il y a d'autres exemples aussi dans les Écritures qui nous montrent que même si la mort n'a pas eu lieu littéralement,
la pensée de la mort du Seigneur est là.
Il est mort littéralement à la croix, au bois.
Il y a peut-être d'autres exemples dans les Écritures qui donnent la même pensée,
que la pensée de la mort était là, sans que la mort intervienne vraiment.
Mais dans le cas du Seigneur, la mort était là.
Et puis, immédiatement après cette pensée-là, dans le chapitre 6, nous voyons comment le roi va honorer Mardoché.
Et d'une telle façon, nous avons pensé au fait que Dieu a glorifié le Seigneur Jésus.
Aussitôt, on peut le lire dans Jean 13, verset 31, que Dieu, donc le Seigneur Jésus a honoré Dieu,
il a glorifié Dieu, maintenant Dieu va l'honorer.
On a vu dans le chapitre 2 déjà, dans le livre d'Esther, comment Mardoché a pris soin des intérêts du roi.
Il a protégé le roi, d'une certaine façon, et puis il a maintenu les droits du roi.
Et maintenant, le roi va l'honorer.
Et ce qu'on a vu maintenant, à la fin du chapitre 6, Dieu donne un témoignage du fait que l'homme,
en qui il a trouvé son bon plaisir, l'homme s'édilice.
C'est l'homme qu'il honore, c'est l'homme qu'il glorifie.
Et Dieu utilise l'ennemi pour rendre ce témoignage.
Nous avons pensé à Paul, la vôtre Paul, qui était un ennemi de Dieu.
Mais Dieu l'a utilisé pour rendre ce témoignage d'un Christ glorifié.
Nous avons vu que, dans le cas de Paul, lui était changé, vraiment, intérieurement.
Il y avait un changement de cœur.
Dans le cas de Amon, il était un ennemi de Dieu.
Et là, on ne voit pas le changement de cœur.
Mais le fait, c'est que l'ennemi a donné, a rendu ce témoignage de la gloire de Christ, de la gloire de Mardoché.
Donc, c'était le point où on est arrivé, la dernière fois.
Maintenant, quel changement pour le peuple?
Aucun changement.
On voit dans le chapitre 7 que le fait que le roi a honoré Mardoché ne change pas la situation des juifs.
Et Dieu veut donc, et c'est clair dans le chapitre 7, que Esther doit faire sa demande.
Et maintenant, on arrive donc au chapitre 7, le verset 2.
Le roi demande maintenant à Esther, quelle est ta demande?
Quel principe est-ce qu'on trouve ici?
Dieu veut donner la délivrance sur la base de nos requêtes.
C'est ça qu'on trouve dans le chapitre 7.
Dieu a honoré donc son homme.
Il a honoré Mardoché, l'homme en qui il avait trouvé son bon plaisir.
Mais ça ne veut pas dire qu'il va délivrer le peuple comme tel.
Le peuple sera délivré par Dieu, mais c'est sur la base de leurs requêtes.
On pourrait lire les psaumes où on trouve tant de requêtes, tant de supplications pour être délivré de la grande tribulation.
Donc le premier fait qu'on trouve ici, c'est la nécessité des prières.
Il est clair que ce ne sont pas mentionnées comme telles, les prières, parce qu'on a vu pourquoi dans le livre d'Esther.
Mais le principe est là, de faire des demandes, faire des requêtes au roi qui représente Dieu.
Il va donc donner la délivrance sur la base des supplications, de l'intercession de ceux qui sont près de lui, comme Esther l'était.
Et maintenant, on a vu les dernières fois aussi que c'est le sang, donc cet exégèse en rapport avec le reste fidèle, donne en même temps aussi des applications pour nous.
Qu'est-ce qu'on peut apprendre, nous, de cette situation?
D'un côté, le Seigneur dans la gloire, chapitre 6.
Mais nous sommes encore sur la terre, qu'est-ce que nous devons faire, donc?
Nous avons besoin de présenter nos requêtes devant Dieu.
1 Timothée 2, par exemple.
Là, nous voyons les demandes, les requêtes.
On peut penser à Moïse, dans Exode 33.
Moïse était vraiment dans une situation où il pouvait intercéder pour le peuple.
Tout le peuple était associé à l'idolâtrie.
Mais Moïse s'est séparé de cette idolâtrie.
Exode 32, 33.
Et c'est Moïse qui peut prier.
Pour nous aussi, Dieu nous a placés dans une position de séparation, séparé du mal.
Et Dieu veut que nous prions, que nous soyons un peuple qui prie.
Dans Ephésiens 6, nous voyons comment l'apôtre Paul parle des prières.
C'est touchant de voir, là, comment il explique à la fin d'Ephésiens 6,
que nous devrions être revêtus de toute l'armure de Dieu.
Et comment ce soldat est vu ? Il est vu priant.
Et c'est vraiment un encouragement pour nous pour prier.
Quelle était la caractéristique de Philadelphie dans le siècle passé ?
Et quelle devrait être notre caractéristique ? La prière.
C'est sur la base de la prière que le Seigneur s'est identifié avec ce reste fidèle dans le siècle passé.
Le Seigneur s'est identifié avec eux parce que c'était un peuple dépendant de Dieu.
Et on voit ici la même dépendance dans Esther.
Et c'est donc pour nous une leçon.
Notre force se trouve dans la prière.
Et c'est là où on manque.
Et c'est là où l'ennemi nous attaque parce que l'ennemi ne veut pas que nous prions.
Parce qu'il sait très bien le moment où on va plier les genoux.
Et surtout, le moment où on va le faire ensemble, il y a une force particulière dans la prière.
Et c'est là où nous manquons souvent.
Une force particulière qui est reconnue même par l'ennemi.
Mais surtout, une force particulière dans la prière qui est reconnue par Dieu.
Dieu attend que nous prions.
Et maintenant, dans le verset 4, elle explique donc sa situation.
C'est aussi une nécessité.
On prie souvent très général.
On prie pour les missionnaires.
On prie pour les enfants.
Mais elle indique ici exactement les besoins.
Et c'est donc une leçon pour nous aussi.
Indiquer la situation.
Indiquer nos dangers.
Indiquer aussi nos faiblesses, parce que nous avons beaucoup de faiblesses.
Mais en parler en détail devant Dieu.
C'est ça qu'il veut.
Et puis, elle indique exactement la situation.
Maintenant, dans le verset 6, nous voyons donc qu'elle indique exactement l'ennemi.
Souvent, on n'a aucune idée de l'ennemi.
Nos enfants sont à l'école.
Nous ne connaissons pas leurs dangers.
A l'ouvrage même, on ne réalise pas les dangers.
Il y a tant de dangers, mais on ne les réalise pas.
Mais Esther réalisait exactement sa situation.
Et elle pouvait même accuser l'ennemi.
C'est ça que le Seigneur veut, que nous réalisions la situation désespérée où nous sommes.
Afin que nous puissions mentionner ça au Seigneur.
Afin qu'il puisse intervenir pour nous délivrer.
Ici, verset 6.
L'adversaire et l'ennemi, c'est ce méchant amant.
On trouve cette expression souvent dans ses écrits, mais aussi dans les psaumes.
Il était donc un adversaire, comme nous avons vu déjà dans le chapitre 3.
Un ennemi, mais aussi un oppresseur.
C'est un autre nom ou une autre indication pour amant.
Et cette expression, ce méchant amant, la valeur numérique dans l'hébreu est 666.
C'est donc de nouveau, c'est un petit détail, mais qui nous montre que amant présente vraiment l'antichrist.
Comme on le trouve dans l'apocalypse 13.
Maintenant, on voit que amant a été exposé, et puis la colère du roi est certaine.
Pour amant, c'est maintenant trop tard.
Il trouve une solution.
Il trouve du repos, pour ainsi dire.
Parce qu'il tombe sur le divan sur lequel était Esther.
Pour Esther, pour elle, le moment du repos était venu.
Elle pourrait, elle pouvait se reposer sur son divan.
Elle avait fait ce qu'elle devait, devrait faire.
Au chapitre 4, nous avons vu comment elle était hésitante.
Mais par les encouragements de Mardoché, elle a fait ce qu'elle a dû faire.
Et maintenant, tout est entre les mains du roi.
Maintenant, pour elle, le repos est venu.
Elle peut se reposer sur son divan, pour ainsi dire.
Mais pour amant, c'était trop tard.
Il aurait dû reconnaître déjà plus tôt qu'il était mauvais.
C'est maintenant trop tard.
C'est aussi donc une raison pour laquelle on doit présenter l'évangile.
Parce qu'encore aujourd'hui, les hommes peuvent se repentir.
Peuvent se convertir, avant que ce soit trop tard.
Il y a un autre détail remarqué ici, au verset 8, à la fin.
Nous voyons la parole sortie de la bouche du roi ayant couvri la face d'amant.
Ici donc, les serviteurs du roi agissent.
Et puis on voit que c'est les ténèbres pour amant.
Un chapitre plus loin, nous avons vu que pour les juifs, la lumière est venue.
Mais pour amant, les ténèbres sont venues.
Les ténèbres éternelles. Quelle pensée !
Il était un serviteur des ténèbres, un serviteur de Satan.
Mais maintenant, c'était définitivement trop tard.
Mais en même temps, c'est le moment où nous voyons que le nuque, Arbonnat, l'un des eunuques, montre sa position.
Il s'était tué, toujours.
Mais maintenant, c'est le moment où il confesse, pour ainsi dire, qu'il reconnaît Mardoché.
Verset 9 nous montre ça clairement.
Ce verset montre un changement d'attitude dans Arbonnat.
Et nous pensons à Nicodème, dans l'Évangile de Jean, comment il a changé d'attitude envers le Seigneur Jésus, graduellement.
Et le moment de la mort du Seigneur, là, il a montré publiquement sa position devant Ponce-Pilate.
Et c'est pour nous aussi un encouragement de montrer notre relation au Seigneur, de ne pas nous taire.
Un autre détail dans verset 9, c'est que maintenant il y a un changement définitif.
Ceux qui ont persécuté le peuple, sont persécutés eux-mêmes.
Ceux qui veulent causer la mort du peuple de Dieu, sont mis à mort eux-mêmes, comme Amman ici, et plus tard, d'autres juifs.
Donc c'est maintenant un point où tout tourne.
Et c'est pour nous très important de comprendre ça.
Nous vivons aujourd'hui encore dans le temps où l'ennemi règne, sous la permission de Dieu, c'est clair.
Où le peuple de Dieu est persécuté.
Mais, comme on le voit dans 2 Thessaloniciens 1, par exemple, il y aura un changement à un moment donné.
Où ceux qui ont persécuté les chrétiens, eux, seront persécutés par la colère de Dieu.
C'est ça qu'on trouve ici, ce changement.
Aussi, on peut penser à cette histoire dans Daniel 6.
Ceux qui voulaient tuer Daniel, eux, sont tombés dans leur propre piège, dans la fosse des lions.
Donc c'est la même pensée qu'on trouve ici.
Que Dieu mette sur la tête de ceux qui ont persécuté son peuple, il mette sur leur tête les conséquences, leur propre piège, pour ainsi dire.
Aussi, dans les prophéties, on trouve clairement ce qui va arriver.
Comme dans le verset 10.
Et on pendit à main au bois qu'il avait dressé pour Madocher.
On a beaucoup d'indications dans les prophéties, et même dans d'autres passages, comme dans Nombre.
Je vais juste lire ce verset, parce que dans Nombre 24, nous lisons.
Il vit Amalek, et proféra son discours sentencieux.
Il dit, Amalek était la première des nations, et sa fin sera la destruction.
C'est clair que Amalek était le petit-fils d'Edon.
Et d'Edon, on lit dans le livre d'Abiage aussi, que pour lui, il n'y a pas de réconciliation, pas de paix.
D'autres peuples, même des ennemis du peuple de Dieu, entreront dans le millenium, dans le règne millénaire du Seigneur Jésus.
Mais Edon, et aussi Amalek, pas.
Amalek, on l'a vu dans chapitre 3 déjà, était toujours un ennemi du peuple de Dieu.
On voit ici leur fin.
Maintenant, on arrive au chapitre 8, et puis les conséquences de ce changement.
On a vu donc que Dieu est intervenu, et maintenant le règne et l'autorité est donné à Mardoché.
Quel changement ! C'est vraiment merveilleux de voir ce changement.
Le premier verset nous parle du fait que le roi donna à la reine Esther la maison d'Aman.
Donc, c'est important de voir que ce n'est pas seulement à Mardoché qu'il a confié cette autorité,
mais que le roi a donné à la reine Esther la maison d'Aman.
Et puis ça montre donc que le reste fidèle, futur, parmi les juifs, va jouer un rôle très important.
Puis, on en parlera encore dans ce chapitre-là.
Mais pour l'appliquer aussi pour nous, parce que nous aussi, l'Église va régner avec le Seigneur.
Et le Seigneur veut déjà se servir maintenant de vous et moi pour être un peuple préparé pour lui,
afin qu'il puisse nous utiliser pour lui-même.
Mais c'est ça qu'on va voir dans le chapitre 8.
Mardoché entra devant le roi, car Esther avait déclaré ce qu'il lui était.
Maintenant, dans le verset 2.
Et le roi ôta son anneau, qu'il avait retiré à Aman, et le donna à Mardoché.
Ici, on voit donc que le roi donne l'autorité à Mardoché.
Mais aussi, on pourrait dire, ça parle de certaines faveurs.
Comme le fils prodigue, rentré chez son père, il a reçu aussi un anneau.
Ça parle de la faveur.
Nous avons pensé à ça aussi ce soir.
Cette position favorable dans laquelle nous sommes placés.
Et il donna à Mardoché.
Et Esther établit Mardoché sur la maison d'Aman.
Maintenant, on arrive à ce point important.
Quel est le rôle d'Esther maintenant?
On aimerait penser que Mardoché, qui parle clairement du Seigneur, va faire tout.
Il va railler, il va soumettre les ennemis à ses pieds.
Quel rôle Esther a dans tout cela?
Mais voilà, on lit ici dans le verset 2.
Et Esther établit Mardoché.
Ça veut dire, Dieu veut voir ici que Esther soit le moyen par lequel Mardoché va exercer ses droits.
Un verset qui m'a aidé beaucoup à comprendre cette pensée-là, on trouve dans le psaume 110, verset 3.
Où le Seigneur parle d'un peuple de franges volontés.
Et on voit ce principe-là aussi dans d'autres passages, mais peut-être on pourrait juste lire ce verset.
Psaume 110, verset 3.
Ton peuple sera un peuple de franges volontés au jour de ta puissance en sainte magnificence.
Du sein de l'aurore te viendra la rosée de ta jeunesse.
On voit ici donc cette pensée-là.
Un peuple préparé, tout prêt, de franges volontés.
Ce n'est pas seulement forcé, ce n'est pas parce qu'il faut qu'il soit prêt.
Non, c'est un peuple de franges volontés.
Et c'est ça qu'on trouve dans Esther.
Elle était prête pour aider Mardoché.
Et d'une telle façon, on le trouve aussi dans les Cantiques.
Où l'époux dit à un moment donné, dans les Cantiques, chapitre 6, verset 12.
Sans que je m'en aperçusse, mon âme m'a transporté sur les chars de mon peuple de franges volontés.
C'est ça qui est tellement agréable devant Dieu.
On trouve ce peuple déjà dans le désert.
Après la délivrance de l'Égypte, on trouve que le peuple était prêt pour construire le tabernacle.
C'était un peuple de franges volontés.
Un peuple avec un cœur libéral.
Exode 35 nous donne beaucoup de détails sur comment ils ont construit ce tabernacle.
Ils étaient prêts.
Maintenant, on voit la même pensée ici.
Pour que le Seigneur exerce son pouvoir ici-bas, il veut se servir d'un peuple de franges volontés.
On le voit dans les prophéties clairement.
Que le Seigneur va se servir des juifs pour soumettre le peuple autour d'Israël.
Donc, cette pensée on trouve ici.
Que Esther représente ce peuple de franges volontés pour que Mardoché puisse imposer son règne.
Un autre verset qui souligne cette pensée.
On trouve dans Romain 11 que le libérateur viendra de Sion, pas du ciel.
Il viendra du ciel, c'est clair.
Mais dans les prophéties, on trouve qu'il viendra de Sion.
Ça veut dire, il est pour ainsi dire, le fruit des exercices du peuple.
Il est le fruit, mais c'est la réponse de la part de Dieu, c'est clair.
C'est Dieu qui intervient.
Mais c'est en même temps le fruit de l'exercice du peuple.
Comme Samuel était le fruit de l'exercice de Anne, sa mère.
D'une telle façon, Mardoché et son règne, c'est le résultat de l'exercice d'Esther.
Mais c'est l'œuvre de Dieu en même temps, c'est clair.
Un autre verset, dans Nombre 24, Balaam dit déjà qu'une étoile montera de Jacob.
Quelle pensée ! Cette étoile ne vient pas du ciel, mais de Jacob.
Ça veut dire un peuple de franges volontés, un peuple prêt, prépare la venue du Seigneur.
Et maintenant pour nous, quelle leçon pour nous ?
Nous pouvons donc préparer par notre attitude la venue du Seigneur.
Hater la venue du Seigneur.
Nous pouvons aussi littéralement, dans notre comportement, aider que l'autorité du Seigneur soit reconnue là où nous nous trouvons.
On le voit dans la vie de l'apôtre Paul, comment il avait le désir que Christ soit magnifié dans son corps même.
Notre corps nous est donné pour que Christ soit honoré dans nos corps.
Mais aussi comme rassemblement, que Christ soit honoré au milieu de nous.
Mais, elle doit apprendre encore quelque chose quand même.
C'est ça qu'on trouve dans le chapitre 8.
Elle doit supplier, comme on le trouve ici.
Pourquoi ?
Elle doit apprendre encore que le résidu doit passer à travers la grande tribulation.
C'est comme le roi explique dans le verset 8,
« Qui qui a été écrit au nom du roi et scellé avec l'anneau du roi ne peut être révoqué. »
C'est impossible.
Donc, qu'est-ce qu'on trouve ici ?
Que la grande tribulation est quelque chose qui a été déterminé par Dieu.
On l'a vu déjà dans le chapitre 3.
Mais en même temps, Dieu donnera la grâce nécessaire pour le peuple afin que le peuple puisse traverser à travers tout ça.
Mais Esther est ici encore à l'école de Dieu, verset 3, où elle doit apprendre que c'est nécessaire.
Verset 4 aussi, le roi tendit à Esther le sceptre d'or et Esther se leva et s'éteint devant le roi.
C'est très beau de voir cette position qu'elle a maintenant.
Sans hésitation, elle peut se tenir devant le roi, mais elle doit encore apprendre quelque chose.
C'est ça qu'on voit donc dans ces versets 5 et suivants.
D'un côté, l'écrit du roi ne peut pas être révoqué.
Elle demande que ce soit révoqué, mais c'est impossible.
Et ce principe qu'on trouve ici, donc, que Dieu a déterminé dans ses voies la grande tribulation,
mais en même temps Dieu donne la délivrance.
Donc c'est quelque chose que le peuple doit passer à travers.
Dieu ne peut pas changer ça.
Dans les voies de Dieu, c'est quelque chose qui est irrévocable.
Mais en même temps, on voit que Dieu donne la délivrance.
Et c'est pour nous aussi important.
Il y a des circonstances où on doit passer à travers.
Mais Dieu donne la grâce nécessaire, comme Paul l'a appris.
Dans la faiblesse, il a appris la grâce nécessaire.
Et ce sont donc des choses que Dieu nous enseigne à son école.
Mais la délivrance est sûre pour nous aussi.
La délivrance est sûre.
Mais quelle délivrance ici, ce sera pour le peuple israël, comme on a vu aussi.
Dans l'Epsomme, on trouve clairement que d'un côté, ils doivent passer à travers ça,
mais en même temps, Dieu donnera la délivrance.
Un autre principe qu'on trouve ici, qui est très important, je pense, verset 11,
il faut que le peuple s'assemble.
Verset 11, ils ont le droit donc de s'assembler et de se mettre en défense pour leur vie.
Et on voit dans le chapitre 9 comment ils ont réalisé ce principe-là.
Pour nous aussi.
Le Seigneur veut que nous nous assemblions, que nous nous réunions.
Comme nous avons vu déjà en rapport avec la prière,
quelle importance Dieu reconnaît la prière du rassemblement.
Les prières individuelles sont très importantes.
Mais dans l'union et la force, c'est un principe de l'homme.
Mais Dieu reconnaît ce principe-là.
L'assemblée comme telle, ensemble, est plus puissante que les membres individuels.
Et pour nous, nous connaissons ce principe-là,
que nous sommes réunis sur la base de la séparation du mal.
Ce peuple aussi se réunit, séparé du mal.
Ça, c'est très important.
Dieu reconnaît les prières de ceux qui se sont retirés du mal.
Dieu ne peut pas exaucer les prières de ceux qui continuent dans le mal.
C'est impossible. On le lit souvent dans l'Ancien Testament.
Mais ceux qui se sont retirés du mal, il peut exaucer leurs prières.
Ils doivent se réunir, s'assembler, comme on le voit ici.
À la fin du chapitre, on trouve vraiment une présentation touchante de la grandeur de Mardoché.
Nous avons vu déjà que, dans l'image du chapitre 6, Dieu l'a glorifiée.
Mais ici, on voit donc le moment où cette gloire est vue publiquement.
Le roi le sait. Esther le sait maintenant.
Et le reste fidèle, futur, va reconnaître le Seigneur comme son Messie,
son 45 par exemple, dans la gloire, avant qu'il n'apparaisse.
Mais ici, le moment est venu où il apparaît.
Verset 15. Mardoché sortit.
Il y a beaucoup de passages dans la parole qui nous parlent de cette sortie.
Pour nous, le Seigneur Jésus est dans la gloire.
Hébreu 2, verset 9. Couronné de gloire et d'honneur. Nous le voyons.
Hébreu 9 aussi. Il est apparu devant Dieu. Il prie pour nous là.
Mais le moment viendra où il reviendra, où il sortira, il sortit de devant le roi.
Ésaïe 53 nous parle de cette sortie.
Lévitique 9 nous donne une image. Aaron et Moïse sortaient.
C'est le même moment dans l'image.
Apocalypse 1, verset 7. Ils verront celui qu'ils ont percé.
C'est le moment où il sortira.
Et comment ? Avec un vêtement royal bleu.
C'est merveilleux. Il viendra du ciel.
Le bleu parle de la gloire céleste du Seigneur Jésus.
Mais aussi, blanc, ça parle de sa pureté, sa justice.
Et une grande couronne d'or, sa déité royale.
C'est merveilleux, ces versets qui nous parlent de la gloire du Seigneur.
Et vous voyez, dans le psaume, nous voyons que le reste fidèle va atteindre ce retour de leur Messie.
Ils vont donc apprendre que leur Messie sera dans la gloire.
Couronné de gloire et d'honneur. Ils vont apprendre ça.
Et puis ils vont l'atteindre et au moment donné, ils vont le voir.
Puis dans le psaume 21, nous voyons quelques détails là-dessus.
Par exemple, dans le verset 3,
Tu as mis sur sa tête une couronne d'or fin.
Ils reconnaissent donc leur Messie comme celui qui a été couronné.
Verset 5, sa gloire est grande dans ta délivrance.
Tu l'as revêtue de majesté et de magnificence.
Et puis ce même psaume nous parle aussi de ce qui va arriver aux ennemis.
Ce psaume nous parle, dans le verset 10,
Tu feras périr leurs fruits de dessus la terre et leurs semences d'entre les fils des hommes.
Donc l'ennemi comme Ammon et sa semence, ses fils,
tous ceux qui appartenaient à lui vont périr.
Donc tout cela on voit dans ce psaume 21.
Donc comme j'ai dit, il y a beaucoup de psaumes qui nous parlent d'un côté de la gloire du Messie,
d'un autre côté de ce jugement sur les ennemis.
Continuons encore un peu dans Esther 8, une grande couronne d'or.
Donc en rapport avec la gloire de Dieu, il faut réaliser que le Messie,
et pour nous le Seigneur Jésus, montre vraiment la gloire de Dieu.
La gloire de Dieu est vue en lui et par lui, montrée par lui.
Et un manteau de bissus et de pourpre.
C'est comme Joseph qui a reçu ce manteau de bissus du Pharaon.
Et le pourpre, je pense, parle aussi de ses souffrances.
C'est sur la base de ses souffrances que le Seigneur va recevoir ce manteau.
Donc ce sont quelques détails merveilleux qui nous parlent de la grandeur,
de la beauté du Mardochais et donc de notre Seigneur Jésus.
Et quel résultat pour les juifs ? Verset 16.
Pour les juifs, il y avait lumière et joie.
Mais ils sont encore avant le moment où ils passent vraiment à travers la grande tribulation.
Il faut bien réaliser ça.
Chapitre 8 est avant la grande tribulation.
Mais chapitre 8 donne les conditions avec lesquelles ils peuvent passer à travers ça.
Ils connaissent maintenant le Seigneur comme leur Messie.
Ils réalisent sa beauté, sa gloire.
Ils réalisent qu'ils doivent passer à travers tout ça.
Mais ils ont maintenant la joie.
Quel contraste avec chapitre 3 où nous avons vu les détresses ?
C'est maintenant l'allégresse et la joie et la lumière.
Ils doivent passer à travers tout ça, mais la lumière est là.
Ils voient déjà la fin. Ils voient la délirance.
Et à cause de ça, il y a de l'allégresse et un festin.
C'est pour nous la même chose.
Nous avons encore un bout à faire, mais nous voyons la fin, disons.
Et à cause de ça, nous pouvons être plein de joie.
L'apôtre Paul en prison, philippien, l'épître aux philippiens, plein de joie.
Il était dans la détresse, plein de joie.
Et puis, on voit aussi quel résultat cet écrit a sur les autres nations.
Ils reconnaissent la frayeur des juifs.
La frayeur des juifs tomba sur eux.
Donc, à un moment donné, ce sera littéralement le cas, en rapport avec les juifs.
Et nous voyons aussi, dans l'histoire de l'Église,
comment le Seigneur a aidé quelques fois pour donner ça.
Et dans le chapitre 9, nous voyons donc la réalisation de ces choses.
On voit aussi que la frayeur de Mardoché était tombée sur les nations.
C'est la frayeur des juifs, mais c'est à cause de Mardoché.
Chapitre 9, verset 3, à la fin.
J'ai oublié un point important, je me réalise,
que Esther parle, dans le chapitre 8, verset 6, de mon peuple et de ma race.
C'est important.
Auparavant, Esther ne s'était pas identifiée avec les juifs.
Elle avait beaucoup de misère pour le faire.
On l'a vu dans chapitre 5, 4 et 5.
Maintenant, elle s'identifie entièrement avec son peuple.
C'est important.
C'était le peuple de Mardoché, on l'a vu quelques fois,
le peuple de Mardoché, les juifs, mais c'est aussi le peuple d'Esther.
Résidus fidèles à Jérusalem, représentés par Esther ici,
vont reconnaître leur lien avec tout ce résidu,
qui sera persécuté même loin de Jérusalem.
Ils vont reconnaître leur lien avec tout ce résidu.
Donc, je m'excuse pour cette parenthèse.
Puis, on continue maintenant avec le chapitre 9,
où nous voyons maintenant comment ces choses étaient réalisées
par les instructions de Mardoché.
Et c'est ça que j'aimerais souligner.
Le Seigneur Jésus, avant de régner comme le prince de paix,
comme le vrai Salomon, il va régner comme David.
David a eu beaucoup de guerres.
David a assujetti les ennemis à ses pieds.
Mais qu'est-ce qu'on voit ici?
Que Mardoché va le faire par les juifs même.
D'une telle façon, le Seigneur Jésus, comme le vrai David,
va soumettre les ennemis par les juifs même.
Comme dans Isaïe 11, verset 14, je pense,
qu'ils vont attaquer les Philistins d'autres nations ennemies
pour les assujettir au Seigneur.
Donc, ce qu'on voit ici, que le Seigneur va se servir des juifs même
pour soumettre les ennemis autour d'Israël, dans le futur.
Maintenant, encore un détail très beau
en rapport avec Mardoché, le verset 4.
Car Mardoché était grand dans la maison du roi
et sa renommée se répandait dans toutes les provinces.
On a vu donc que Dieu l'a glorifié.
On a vu qu'Esther, qui représente le résidu,
va le reconnaître dans sa gloire.
Mais maintenant, on voit que les nations vont reconnaître la grandeur de Mardoché.
Il y a donc toujours un agrandissement de la grandeur,
de la splendeur, de la magnificence de Mardoché.
Verset 4, il était grand dans la maison du roi.
Je pense à Moïse, il était grand devant les serviteurs du Pharaon.
Jésus-Christ était grand devant le peuple, mais aussi devant les nations.
On trouve le même principe en rapport avec Isaac dans Genèse 26.
Il est devenu grand, toujours plus grand.
Mais c'est toujours, toutes ces personnes sont des images du Seigneur Jésus,
comme Mardoché évidemment aussi,
qui nous parle de la façon dans laquelle la grandeur du Seigneur Jésus augmentera,
de pas en pas, jusqu'à ce qu'il règne sur toute la terre,
jusqu'à ce que cette grandeur soit reconnue partout.
Mais c'est notre privilège de le reconnaître déjà, aujourd'hui.
Et sa renommée se répandait dans toutes les provinces,
car cet homme Mardoché allait toujours grandissant.
C'est un verset merveilleux.
Maintenant le verset 5, les Juifs frappèrent tous leurs ennemis à coup d'épée.
C'est remarquable qu'on trouve ces deux côtés aussi dans les prophéties.
Donc d'un côté la grandeur du Messie,
d'un autre côté que les ennemis sont frappés et soumis.
Je donne juste un exemple, dans le livre de Michée, chapitre 5,
nous voyons verset 4,
« Et il se tiendra et pètera son troupeau avec la force de l'Éternel,
dans la majesté du nom de l'Éternel son Dieu.
Et ils appuieront en sûreté, car maintenant il sera grand jusqu'au bout de la terre. »
Michée 5, verset 4.
Vous voyez la même pensée, la grandeur du Messie.
Et puis dans le même chapitre, nous voyons comment les Juifs vont soumettre les ennemis,
dans les versets 5 jusqu'à 8 qui suivent,
nous voyons comment ils vont assujettir les autres nations.
Verset 8 par exemple,
« Et le résidu de Jacob sera parmi les nations, au milieu de beaucoup de peuples,
comme un lion parmi les bêtes de la forêt,
comme un jeune lion parmi les troupeaux de nus bétails,
qui s'y passent, foulent et déchirent, et il n'y a personne qui délivre. »
Donc ici nous voyons que le Seigneur va se servir du reste fidèle
pour soumettre tous ses ennemis, toutes ses nations.
Nous voyons aussi dans le chapitre Esther 9,
que les fils d'Amin étaient tués.
Et on voit deux choses.
Il était tué et il était pendu au bois, le deuxième jour.
C'était donc la conséquence, il était la semence d'Amin,
comme la bête et les dix rois vont ensemble.
Les dix rois dans l'apocalypse seront jugés aussi.
Les dix fils d'Amin appartenaient à Amin et son règne méchant.
C'est la semence du serpent, vraiment.
Et le Seigneur Jésus a dit déjà dans Jean VIII
que ceux qui appartiennent à la semence de Satan vont périr.
Un autre principe qu'on trouve ici,
il faut réaliser qu'Amin était un âme adéquate.
Et nous voyons dans le passé, comme 1 Samuel 15,
que Saûl, le roi Saûl, avait manqué à suivre les instructions de Dieu.
Il avait pris du butin.
Et nous voyons ici dans le verset 10,
« Mais ils ne mirent pas la main sur le butin. »
Ils reconnaissent donc les droits de Dieu.
Ce n'était pas pour eux-mêmes, c'était pour Dieu.
Et le fait qu'il était pendu au bois, je pense,
c'était aussi un spectacle public.
C'était pour manifester publiquement leur sort.
Et nous voyons, nous avons vu que le Seigneur a pris cette place
à la croix pour nous.
1 Corinthians 1, par exemple, parle du fait que Christ est crucifié.
Quelle pensée ! L'homme le plus merveilleux crucifié.
Et Dieu nous a crucifiés en lui.
C'était notre place.
Mais ce sera littéralement la place dans le jugement de Dieu
pour ceux qui ont rejeté cette offre de la grâce de Dieu.
Maintenant, on voit comment les Juifs ont trouvé le repos.
Versets 15, 16 et 17 nous parlent du fait
qu'ils eurent du repos de leurs ennemis.
C'était maintenant sur la base de ces jugements
que le repos était venu.
Ils se reposèrent et en firent un jour de festin.
C'était donc spontanément le cas.
Mais il y a une autre chose maintenant, à la fin du chapitre 9.
On voit que ce n'était pas seulement pour une fois.
Ils vont maintenant avoir un mémorial de ces choses-là.
Dans livre éthique 23, on trouve cette fête de l'éternel.
Ce sont les voix de Dieu pour introduire le peuple dans le repos.
Mais ici, nous voyons le repos même.
Ici, nous voyons aussi dans le chapitre 10, ce repos même.
Et les voix de Dieu aboutissent donc à l'introduction de ce repos.
Et pour eux, aussi longtemps que ce n'est pas encore le cas,
ils ont donc ce mémorial.
Et c'est aussi pour nous le fait.
Nous avons un mémorial très spécial
qui ne parle pas des voix de Dieu,
mais qui nous parle du Seigneur et aussi de notre délivrance.
On voit deux côtés de ce mémorial.
On voit verset 21,
afin d'établir pour eux qu'ils célébreraient le quatorzième jour et tout ça.
Et verset 22, du repos, où leur douleur avait été changée en joie.
Vous voyez, c'était la délivrance.
Donc, c'est un mémorial pour réaliser leur délivrance.
Mais c'est aussi, j'aimerais suggérer, un mémorial en rapport avec Mardoché lui-même.
Parce que Mardoché est le centre de ce mémorial.
Comme le Seigneur Jésus est le centre pour nous de la scène.
Ce n'est pas pour nous rappeler de notre délivrance seulement.
C'est surtout de nous rappeler de lui-même, de sa mort et maintenant de sa personne.
Donc, ces deux côtés, on trouve dans ce mémorial.
Mais c'est donc, d'un côté, comme initiative d'eux-mêmes.
C'était leur désir d'avoir ce mémorial.
On le trouve dans le verset 23, les juifs acceptèrent de faire ce qu'ils avaient commencé.
C'était donc leur désir de le faire.
Mais d'un autre côté, c'est l'instruction de Mardoché.
Pour nous, la même chose.
Nous avons le désir de célébrer la scène du Seigneur.
Comme par la reconnaissance de nos coeurs.
Et en même temps, c'est une demande du Seigneur.
C'est une requête du Seigneur.
Même un commandement.
C'est vraiment, il a dit, faites ceci en mémoire de moi.
C'est selon ces instructions qu'on aimerait le faire.
Mais, malheureusement, ce mémorial est devenu pour les juifs, littéralement,
un festin avec beaucoup de mal, malheureusement.
Il y a même dans le Talmud, ce sont les écrits des juifs,
des passages qui nous parlent du fait que les juifs pourraient être ivrognes ces jours-là.
Et même, ils pourraient boire d'une telle façon qu'ils ne pourraient plus voir la différence entre
béni soit mort de caille, Mardoché ou maudit à mort.
Vous voyez, là on voit le déclin.
La même chose est arrivée dans l'histoire de l'Église.
La scène du Seigneur a été utilisée pour l'homme.
Les choses de Dieu ont été utilisées pour l'homme.
Et le Seigneur Jésus a perdu sa place.
Il n'est plus le centre de ces festins, malheureusement.
Et ce sera le cas aussi dans le Millennium.
Là, on verra aussi un déclin.
Même dans cette joie et dans le règne du Seigneur, il y aura ce déclin, malheureusement.
On a des indications dans les prophètes et dans d'autres livres pour ça, même dans le livre de Normand.
Maintenant, on arrive à la fin du chapitre 9, verset 30.
Il envoya des lettres avec des paroles de paix et de vérité.
Merveilleux! Ce sont ici les instructions de Mardoché.
Et ce sont des paroles de paix et de vérité.
C'est notre privilège bien-aimé aussi d'avoir des paroles de paix et de vérité.
Des paroles de la part du Seigneur.
Comme on a parlé de la scène du Seigneur, ce sont des paroles de paix et de vérité.
On a beaucoup de lettres dans le Nouveau Testament qui nous présentent les pensées du Seigneur,
des paroles de paix et de vérité.
Nous voyons maintenant, dans le chapitre 10, une image du règne millénaire.
Et nous avons vu déjà, au chapitre 1er du livre d'Esther,
que c'est le désir de Dieu d'introduire toute la création dans cette bénédiction spéciale du règne millénaire.
Le septième jour, nous voyons que là, c'est donc l'apogée de la première création.
Nous savons que nous appartenons déjà à la nouvelle création.
Mais Dieu va quand même donner cette bénédiction spéciale à l'ancienne création.
Le Seigneur Jésus sera reconnu comme le vrai roi.
Et c'est important de voir que le royaume de Dieu a été donné à un homme.
C'est ici Assuérus qui imposa un tribut.
Ça parle donc de l'autorité d'Assuérus.
Mais on a vu aussi, auparavant et même dans le chapitre 10, qu'il donne la deuxième place à Mardoché.
Et ce sera le cas pour le Seigneur Jésus.
1 Corinthiens 15 nous parle de cette place que le Seigneur Jésus va avoir pendant le Millennium,
jusqu'à ce qu'il redonne l'autorité à Dieu.
On voit quelques passages dans le Nouveau Testament qui nous parlent du fait que le royaume de Dieu est aussi le royaume du Fils de l'homme.
Dieu a donné le règne à un homme.
Et c'était toujours dans le cœur de Dieu de pouvoir donner le règne à un homme.
On le voit déjà dans l'histoire de David.
C'était le désir de Dieu d'avoir David comme son roi.
Et ici on voit dans l'image de Mardoché aussi le désir de Dieu d'avoir un homme comme son roi,
comme son roi bien-aimé, l'homme de son bon plaisir, l'homme de ses délices.
Il donne toute autorité à cet homme.
C'est le désir de Dieu de donner toute l'autorité au Seigneur Jésus.
Il l'a déjà pour la foi, pour la foi, oui.
Ephésiens 5 nous parle du fait que c'est le royaume de Dieu et de Christ.
Et dans l'Apocalypse 11, le moment où le Seigneur Jésus va commencer son règne public,
la parole nous dit que c'est le règne de Dieu et de son Christ.
Donc c'est Dieu qui est reconnu publiquement et c'est en même temps le règne du Seigneur Jésus.
Et quelle beauté versait d'eux tous les actes de sa puissance et de sa force.
Et la déclaration de la grandeur de Mardoché.
Nous avons vu la grandeur de Mardoché.
C'est ici l'apogée pour ainsi dire.
Tout l'univers va reconnaître la grandeur de notre Mardoché.
Comment le roi l'éleva.
C'est touchant de voir que c'est Dieu qui l'a haut élevé.
Philippiens 2, aussi dans les prophètes, Ésaïe 5 en 2,
toutes les nations vont voir comment il est haut élevé.
Et ce chapitre termine avec quelques leçons pour nous aussi.
Pour nous c'est important de voir, Éphésiens 1 par exemple,
que toutes choses seront mises au pied du Seigneur Jésus.
Éphésiens 1, versets 10 et 11.
Et c'est le fils de l'homme au pied duquel tout sera assujetti.
Mais pour la foi c'est déjà une réalité maintenant.
Nous reconnaissons le Seigneur Jésus qui a toute autorité déjà maintenant.
Mais ce sera reconnu publiquement dans ce jour à venir.
Et le verset 3 nous donne encore 5 petits détails qui sont très beaux.
Car Mardoché le juif, il restera le juif.
Donc c'est clair pour nous que le Seigneur Jésus a une relation avec nous
qui surpasse cette relation, c'est clair.
C'est ici en relation avec Israël futur.
Car Mardoché le juif fut le second après le roi Assurius.
Le deuxième détail c'est qu'il fut grain, on l'a vu déjà.
Mais il fut grain parmi les juifs. …