La maison de l'Eternel
ID
pf001
Idioma
FR
Duração total
00:58:18
Quantidade
1
Passagens bíblicas
n/d
Descrição
n/d
Transcrição automática:
…
Quelques belles images relatives à nos privilèges.
Parce que Dieu l'avait conçue pour nous, selon nos promos des siècles, et pour la gloire de son Fils.
Premier passage, nous y allons dans le premier livre des Chroniques, le nouveau chapitre 22.
Et David dit, c'est ici la maison d'éternel Dieu.
Et c'est ici l'hôtel pour l'Holocauste d'Israël.
Et David ordonna le rassembler des étrangers qui étaient dans le pays d'Israël,
et il établit des tailleurs de pierres pour tailler des pierres de taille, pour bâtir la maison de Dieu.
Au verset 5, car David dit, Salomon mon fils est jeune et délicat,
et la maison à bâtir pour l'éternel doit être très grande, en renom et en beauté dans tous les pays.
Ainsi je préparerai pour elle ce qu'il faut.
Et David le prépara en abondance avant sa mort.
Au verset 14, et voici, dans mon affliction, j'ai préparé pour la maison d'éternel de l'or cent mille talents,
et de l'argent mille milliers de talents, et de l'airain et du fer cent fois, car il est en abondance,
et j'ai préparé du bois et des pierres, et du lierre jetant.
Nous arrêtons là pour un moment.
Il convient d'abord d'essayer de relier ce que nous venons de lire aux événements, aux circonstances qui précèdent.
Et nous sommes émerveillés de voir comment Dieu a la prérogative de tirer le bien du mal.
Nous savons que le veau d'or au jour de la sortie d'Egypte a été l'occasion pour Dieu de révéler toutes ses pensées à l'égard du tabernacle.
Ici, l'occasion, c'est une fraude bien lourde de David.
Il n'est pas dans ce cas un type de Christ.
Nous lui ressemblons étrangement.
Et la fraude de David est d'autant plus lourde que son caractère humble est trouvé gravement en défaut.
C'est un homme qui tout à coup s'exalte et veut mesurer autour de lui les forces dont il dispose pour se glorifier en elle.
C'est le dénombrement auquel David s'est livré.
Et nous disons que pour un homme aussi peupilleux que Joab, c'était une abomination pour lui.
Et cette faute de David, elle a duré longtemps, plus de neuf mois.
Mais Dieu aime ses enfants.
Et parce que nous sommes aimés de notre Dieu, nous sommes soumis à la décision.
Et comme la chose que David avait faite fut mauvaise aux yeux de l'Éternel, il va frapper David et il va frapper Israël.
Car le péché de David était sans doute dans le cœur de tous les Israélites.
Dans ce temps où David était parvenu au pouvoir, l'orgueil s'était facilement introduit dans leur cœur.
Et David va se reprendre et il va dire j'ai grandement péché en ce que j'ai fait cette chose.
Mais bien que confessant et le faisant sincèrement, bien que confessant sa faute sincèrement,
David, leçon importante à retenir, n'échappe pas aux nécessités du gouvernement de Dieu qui s'exerce sur nous
et qui s'exerce de façon d'autant plus réelle, d'autant plus sensible que nous sommes plus proches de lui.
Car le jugement commence par sa propre maison.
Et Dieu va répondre à cette confession de David.
Mais David et le peuple d'Israël devra connaître ce que ce jugement de Dieu, ce gouvernement de Dieu a de sérieux et de solennel.
La leçon que nous retenons, c'est que nous devons moissonner ce que nous sommes.
Si nous sommes du sel, nous n'allons pas récolter du fromage.
Ce sont des dispositions liées à la nature morale de Dieu auxquelles personne ne peut se soustraire, ni croyant ni incroyant.
Et d'autant plus que nous sommes proches de Dieu, que nos privilèges sont grands, Dieu nous visite davantage selon les lois immuables de son gouvernement.
Que je tombe, dit-il, entre les mains de l'éternel.
Car Dieu nous a donné le choix entre trois sanctions, trois punitions, trois ans de famine, trois mois atteints par ses adversaires, ou trois jours soumis à l'épée de l'éternel elle-même.
Et si nous continuons trois ans, trois mois, trois jours, comme c'est significatif, nous arrivons à trois heures.
Car ici, vous allez le voir, la miséricorde de Dieu va intervenir pour faire cesser le jugement exercé par Blanche, car David a évidemment choisi le jugement exercé par l'éternel lui-même.
Il a bien plus confiance dans la miséricorde de Dieu que dans les sentiments des hommes.
Mais, quoi qu'il en soit, il devra connaître la rigueur de ce gouvernement.
Mais Dieu va intervenir, malgré tout, en grâce, pour diminuer, si vous voulez, la longueur de ce jugement, la durée de ce jugement.
Trois ans, trois mois, trois jours.
Mais pour celui auquel nous pensons en relation avec les trois heures, rien ne peut diminuer, rien ne peut atténuer.
L'éternel a fait tomber sur lui l'iniquité de nous tous, et chaque transgression a dû recevoir sa juste rétribution.
Dieu va dire à Blanche, maintenant c'est assez.
Mais non pas en relation avec la repentance de David, si réelle qu'elle eût, mais en relation avec un sacrifice qui va se trouver offert dans les versets que nous disons que chacun peut lire au chapitre 21.
David, maintenant en présence de ce sacrifice, a vu comment Dieu peut dire à Venge, retire ton épée, rentre-la dans le four.
Non pas en vertu d'une repentance, si sincère, si réelle soit-il, que David a formulée, mais en vertu du sacrifice qui a été offert dans l'ère d'Antoine le Jébusien.
Et David va comprendre une grande leçon à cet égard, et il va dire ce que nous avons lu, c'est ici la maison d'éternel.
Il était épouvanté à la pensée de retourner à l'hôtel du tabernacle, qui n'avait plus aucune relation avec l'âge, nous le savons bien.
Cet hôtel qui parle de l'hôtel élevé sur le terrain ou en relation avec la loi, ministère de mort et de condamnation, qui appelle le jugement sur le coupable.
C'était une terreur pour David de se trouver devant cet hôtel qui rappelle les exigences de la sainteté de Dieu, à laquelle nous n'avons pas pu faire face, et qui appelle sur nous le jugement irrévocable.
Ministère de mort et de condamnation.
Mais David a compris comment la Miséricorde se glorifie vis-à-vis du jugement, comment Dieu peut exercer sa grâce sans porter la main d'atteindre le poids de sa justice en vertu du sacrifice offert, en vertu de la victime qui paie le peuple coupable.
Alors voilà la découverte de David, pleine d'instructions pour nous, et prérogatives que Dieu tire du mal qui vient d'être commis.
David a l'intelligence de cette pensée de Dieu, et voilà la base morale de la maison de Dieu qui sera édifiée dans ces jours-là, et en particulier par Salomon son fils.
Mais David ayant tout préparé, c'est ici la maison d'Éternel, c'est ici l'hôtel pour l'Holocauste de l'Éternel, sur l'emplacement de l'ère d'Orlan, où Dieu a pu commander à Mange de remettre l'épée au fourreau, où la justice de Dieu est satisfaite, et où la grâce peut se déployer.
C'est ici la maison d'Éternel. Quelle image précieuse pour nous, le fondement de cette maison de l'Éternel, le fondement de la maison de Dieu.
Sur ce roc, je bâtirai mon assemblée. Sur la personne de son fils, et sur la base de l'œuvre accomplie, personne qui rapporte ne peut poser d'autre fondement que celui qui est posé, savoir Jésus-Christ, la maîtresse bière du coin, la partie essentielle du fondement sur lequel l'édifice de Dieu repose.
Non plus comme dans les jours d'autrefois, une maison de pierres, belle, grande, merveilleuse, nous allons essayer d'en voir quelques caractères et qui luttent, qui nous montrent, qui sont des images pour nous parler de ce qu'est l'assemblée de Dieu.
Ce que Paul en particulier nous a révélé, l'assemblée de Dieu, qu'il a acquise au prix du sang de son propre fils. Mais à travers les images, les mythiques, les figures de l'Ancien Testament, Dieu nous fait découvrir des aspects de cette maison, des gloires de Christ qui sont liées à cette maison.
C'est ici la maison éternelle, l'hôtel de leur cause. Et David peut parler d'elle en disant au verset 5, c'est le premier qualificatif que nous trouvons à l'égard de cette maison, la maison que je vais bâtir, elle est très grande en renom et en beauté dans tous les pays.
Déjà ici, l'intention de Dieu nous est montrée que cette maison, elle deviendra une maison ouverte à tous les peuples, une maison très grande en renom et en beauté et dans tous les pays.
Il y a déjà présenté ici dans cette expression l'intention de Dieu de faire entrer dans sa maison le pauvre étranger, le pauvre nuque dont nous parlions l'autre jour. Au-delà des Aïs 53, le prophète entre-ouvre la porte pour celui qui est loin, comme pour celui qui est près, pour celui à l'égard duquel la loi disait, il n'a aucune place dans la maison de Dieu, il n'en aura jamais. Mais la grâce permet à Dieu.
Là, le sacrifice de Christ permet à Dieu de faire face, d'ouvrir son cœur et d'ouvrir sa maison à qui que ce soit, quelle que soit la couleur de sa peau, quels que soient ses antécédents. La première chose, une maison très grande en renom et en beauté et David va la préparer, il va préparer tout ce qui est nécessaire avant sa mort.
Le Seigneur a préparé tout ce qui était nécessaire pour l'édification de cette maison et dans sa mort, en a posé le fondement intéressant. Et David nous dit dans le verset 14, dans mon affliction, j'ai préparé pour la maison.
Il va parler de son affliction, il va parler de son affection pour la maison de Dieu, il va parler de toute la force qu'il a déployée pour la préparation de tout ce qui était nécessaire dans mon affliction, dans mon affection, de toute ma force.
N'avons pas là, chers amis, des traits qui annoncent que le Seigneur avait exécuté parfaitement, au prix de toutes ses souffrances, au prix de sa mort dans la croix. Et les résultats sont extraordinaires.
Il suffit, si l'on possède une ancienne version, de faire un simple calcul et nous dirons seulement à quoi répondent l'or et l'argent des versets 14, les cent mille talents d'or et l'argent mille milliers de talents, c'est un chiffre qui dépasse l'entendement.
Si nous en faisons le compte aujourd'hui et si nous le comparons à notre or d'avant la Première Guerre mondiale, c'est un chiffre astronomique. Il dépasse l'entendement. De ces ors non dévalués d'avant la Première Guerre mondiale, David avait préparé, rien que par l'or et par l'argent, 25 milliards de francs.
Dans mon affection, de toute ma force, voilà ce que j'ai préparé pour la maison de l'éternel mon Dieu. Rien n'est au grand, rien n'est au riche, rien n'est au beau pour elle. 25 milliards de francs, rien que pour l'argent, rien que pour l'or, sans compter les autres choses précieuses.
Où trouverons-nous l'équivalent de cela dans le Nouveau Testament ? Eh bien, c'est autour du trône que nous allons en contempler, contempler toutes ses richesses.
Celui qui nous aime et qui nous a lavé de nos péchés dans son sang, celui qui est digne de nos révolus, nous allons le voir recevoir la richesse, l'odeur, la grandeur. Tout ce que David a préparé, c'est lui qui va l'hériter. C'est cela que nous allons acclamer lorsqu'il sera, quand il paraîtra avec nous, admiré dans ses seins, glorifié dans ceux qui auront fait.
Première chose, le fondement de la maison, sur quelle base elle repose, ce qu'elle est de son caractère, très grande en beauté et en renom. Elle se différencie sans doute de tous les grands monuments de l'Antiquité, non pas par ses dimensions impressionnantes, mais parce que c'est la maison de Dieu sur la terre. Il n'y a rien de plus beau pour Dieu que sa maison.
Et en tant que mot, quand trouvons-nous pour la première fois la mention d'une maison, car c'est une grande chose, c'est une bénédiction d'un prix inestimable que d'entrer dans la maison de Dieu, de devenir des gens de la maison de Dieu, non plus dans une maison de pierres, si belle soit-elle, mais devenir des pierres vivantes dans cette maison.
C'est une bénédiction d'un prix inestimable. Quand est-ce que nous trouvons la première fois la mention d'une maison ? Dieu n'a pas habité avec Abraham, Dieu n'a pas habité avec les croyants de l'Ancien Testament avant que, si intime que soient leurs rapports, Abraham a été appelé ami de Dieu et Dieu le visitait, mais Dieu n'est pas venu habiter avec Abraham.
Mais lorsque l'agneau a été gorgé, lorsque Dieu a pu dire « Je verrai le sang et je passerai par-dessus vous », lorsque l'agneau, par le sacrifice qui en a été fait, par le sang qui a été répandu, peut arrêter le jugement de Dieu, les droits de Dieu étant satisfaits, faisant d'Israël son peuple.
Alors Dieu parle d'une habitation. Dans le cantique du chapitre 15 du livre de l'Église, je lui préparerai une habitation. C'est la première fois que nous avons, dans l'Écriture, la mention d'une habitation de Dieu au lendemain de la rédemption payée au prix du sang de l'agneau.
La deuxième mention que nous avons de cette maison, essayez d'en voir quelques passages. Nous avons sept passages. Nous essayons de les citer tous et de ne pas les commenter. Cela forme un tableau complet de la maison de Dieu dans l'Ancien Testament, mais ce sont autant d'images si précieuses pour nos cœurs de ce qu'est l'assemblée de Dieu aujourd'hui.
Si faible que vous paraisse son état, nous y viendrons dans un instant. Dans le chapitre 22, la deuxième mention que nous avons de la maison se trouve au verset 19. Maintenant, appliquez vos cœurs et vos armes à rechercher l'Éternel, votre Dieu, et levez-vous et bâtissez le sanctuaire de l'Éternel, Dieu, pour amener l'âme de l'Alliance de l'Éternel et les ustensiles du sanctuaire de Dieu dans la maison qui sera bâtie pour le nom de l'Éternel.
Maintenant, vous allez inviter les chefs du peuple, ceux dont le cœur est porté de bonne volonté, à s'associer à la construction de cette maison. C'est un autre côté de la vérité.
Le Seigneur dit « Je bâtirai mon assemblée ». Et il effectue cette construction lui-même, ajoutant pierre après pierre, pierre vivante les unes sur les autres, sur la pierre de fondement qui est lui-même, jusqu'au moment où la dernière pierre sera ajoutée, la pierre de fête qui le sera faite.
Et quand on verra la dernière pierre ajoutée, peut-être cela aura-t-il lieu ce soir, cela se passera-t-il ce soir. Quand la dernière pierre sera ajoutée, alors avec des acclamations, on va dire le fondement c'était la grâce de Dieu et le couronnement c'est la grâce de Dieu, grâce, grâce sur elle.
Le Seigneur bâtit son assemblée, elle se bâtit maintenant à travers tout le désordre extérieur. Le Seigneur construit, bâtit ce qui répond à sa pensée, ce qui répond aux besoins de son cœur.
Et tout à l'heure, il va se la présenter à lui-même, glorieusement. N'ayons ni tâche, ni rire, ni rien de semblable. Quel moment ce sera, lorsque tous ensemble, tous les rachautés, sur l'alluée, nous allons voir le Seigneur. C'est le côté du Seigneur.
Et là, votre pierre replante cette pensée de Matthieu Seine. Il a fort bien compris qu'il n'est nullement, qu'il ne saurait être question qu'il fasse partie du fondement. Et il nous montre que nous sommes, si nous avons cru au Seigneur Jésus, si nous avons réalisé qu'il est bon, que nous avions besoin d'un Sauveur.
Si nous avons venu au Ciel de la Croix, Dieu a fait de nous des biens et des enfants, lavés dans le sang de l'agneau. Nous sommes devenus des pierres vivantes, des pierres. Et les pierres ne parlent pas, en aucune manière, d'un instrument humain pour bâtir cette maison.
Elle se bâtit sans qu'ils nous disent comment, mais nous le savons, c'est le Seigneur qui l'a bâtie. Et nous aurons la première édition, le 1er mai en janvier. Nous avons un autre aspect de la construction et nous pensons qu'on peut le mettre en rapport avec ce que nous trouvons ici. C'est le côté de la responsabilité de l'homme.
Dieu nous appelle à collaborer à ce travail de la construction de sa maison. Et Paul dira, comme un sage architecte, j'ai posé le fondement, le fondement qui est Christ, fondement impérissable, fondement incomparable, dans sa valeur, dans ce qu'il est pour le cœur de Dieu.
Et maintenant, dit Paul, après avoir posé le fondement, un autre édifie dessus. Et il nous dit, si quelqu'un, la responsabilité de l'homme est engagée, si quelqu'un édifie dessus, il doit savoir quel matériau apporter. Car il y a de bons ouvriers qui apportent, nous avons entendu cela combien de fois, de bons ouvriers qui apportent de bons matériaux.
De mauvais ouvriers, hélas, qui sont sans doute des croyants, des enfants de Dieu, mais qui apportent de mauvais matériaux, qui donnent de la valeur à l'homme, que Dieu vient entièrement de côté, en le crucifiant la croix. Et enfin, les corrupteurs, ils sont légion aujourd'hui. Nous savons comment ils frappent à notre porte pour venir nous enseigner que Jésus n'est pas Dieu.
Petits enfants, c'est la dernière heure. L'esprit de l'antichrist était déjà sur la scène. Que dire aujourd'hui ? Niant que Jésus soit le Christ, niant sa gloire messianique, niant qu'il soit le fils du Père, mais celui qui n'a pas le Christ n'a pas le Père.
L'homme est donc appelé à coopérer à la construction de cette maison. Et le bon des bons ouvriers apporte de l'or, de l'argent, des pierres précieuses. Par l'esprit de Dieu met en évidence la gloire de Dieu liée à cette maison, les gloires de Christ.
La justice de Dieu qui est relative à la construction de cette maison étant justifiée par sa grâce, justifiée par Dieu lui-même au prix du sang de la croix, le propitiatoire que Dieu a devant lui, sur lequel il y a le sang, et qui permet à Dieu de nous justifier, de nous pardonner justement.
L'or, l'image de la justice de Dieu, de la gloire de Dieu, l'argent, l'image de la rédemption si connue et des pierres précieuses, toutes les gloires de Christ que l'esprit met en évidence, prenant de ce qui est à lui pour nous l'annoncer.
Celui-là me glorifiera, dit-il, de sorte que, petite digression, un ministère où nous n'entendons pas la gloire de Christ revendiquée, présentée, sans la main d'admiration, dans la parfaite unité des pièces somnivines.
La bénitude de la déité habitait en lui, contemporainement de ce qu'il était dans ce monde. La sainte chose n'est en nous, mystère inscrutable sans doute, mais Dieu était en Christ. Le mystère de la piété est grand, Dieu a été manifesté en chair.
Et nous avons souvent entendu rappeler que l'ange de l'éternel avec un A majuscule de l'Ancien Testament se trouve là. Et c'est un ange avec un A minuscule qui vient annoncer au berger, voici je vous annonce, un grand sujet de joie.
Il n'y en a point de comparable, car aujourd'hui, dans la cité de la ville de Bethléem, vous aidez le Sauveur qui est le Christ du Seigneur. Ce n'est pas l'ange, si grand que soit ce message, si important à n'une autre comparable qu'il soit, ce n'est pas l'ange de l'éternel qui vient parler au berger, mais c'est l'ange.
Un ange simplement, parce que l'ange de l'éternel, celui qui le représente dans la préincarnation qu'il allait revêtir, l'ange de l'éternel, c'est lui qui est là, touché dans la crèche, petit enfant, en mailloté, suprême abaissement.
Dieu, manifesté en chair, étant en forme de Dieu, s'anéantissant lui-même, s'abaissant lui-même, c'est une de ses gloires. Personne ne peut quitter la position dans laquelle Dieu l'a placée. C'est un devoir moral. Lui, sa gloire, c'est de quitter cette élévation, cette grandeur, cette gloire des frères, et de s'abaisser.
Bref, trouver en figure comme un homme, prenant la forme d'un esclave, l'homme acquis comme esclave dès sa jeunesse.
Eh bien, nous sommes invités ici à travailler à cette maison et à apporter chacun de nous les matériaux qui contribuent à la construction, à l'édification de cette maison.
Vous comprenez ce que David dit ? On s'adresse au rocher, il vient appliquer vos cœurs au verset 19 et vos âmes à rechercher l'éternel de votre Dieu. Levez-vous et bâtissez le sanctuaire de l'éternel.
Et là-dedans, vous avez le sanctuaire, le lieu saint, le lieu de pupabilité, et dans lequel Dieu nous appelle à entrer. N'est-ce pas, chers amis, une forme de notre bénédiction, mesdames et messieurs, que nous puissions entrer dans la présence de Dieu.
Qui a pu se tuer dans la présence de Dieu sans être jeté par terre ? Un saint comme Daniel, dans la vie duquel il n'y avait rien à reprocher. En présence d'un échantillon, de quelque chose, de la croix de Dieu sans doute brillant, brillant d'un éclat incomparable, Daniel se trouve jeté par terre, son terre fraîche changée en corruption.
Et nous, nous entrons dans la présence de Dieu sans aucune crainte. Nous sommes devenus des gens de la maison de Dieu. Il n'y a pas d'article plus précieux que celui-là. Les hommes fournissent les plus grands efforts pour devenir des gens d'une grande maison, d'une maison intière. Il n'y a pas d'article plus grand que celui-là.
Si faibles que nous soyons, si misérables que soit notre condition sur la terre, pourront nous dire « Je suis un enfant de Dieu ». Voyez de quel amour le Père m'a fait donc que je sois un enfant de Dieu.
Héritiers de Dieu, pro-héritiers de Christ, gens de la maison de Dieu, répondant quant à ce que je suis envers du bonheur de Christ, à toutes les nécessités morales de la sainte nature de Dieu. Je suis rendu saint, je suis rendu agréable, ton bien-aimé, saint, irréprochable et répréhensible.
Dieu ne peut plus rien mettre à charge aux croyants lavés dans le sang de l'agneau et, comme tel, habilité, appelé à bâtir le sanctuaire des clandestins, s'occuper de cette maison dans laquelle Dieu habite, le lieu saint dont nous nous trouvons à la nôtre.
Deuxième leçon, le sanctuaire, le lieu de la sainteté de Dieu dans lequel nous entrons et auquel nous sommes invités, dans lequel nous sommes invités à travailler.
Troisième figure de la maison, nous l'avons dans le chapitre 28, et elle n'est pas moins précieuse. Le roi David, au verset 2, se laisse sur ses pieds et dit, écoutez-moi mes frères et mon frère, et cette voix, à travers les âges, vient jusqu'à nous.
Écoutez-moi. J'avais dans le cœur de bâtir une maison de repos pour l'âge. Et plus loin, il va nous dire qui a été choisi pour bâtir cette maison. Il y a d'abord la maison de son père, au verset 4, la tribu de Judas, au verset 4, toujours.
Il y a Salomon qui est choisi, et encore une fois mentionné ce choix au verset 6, le choix de Dieu pour désigner de la façon la plus précise celui qui allait construire une maison de repos pour l'âge.
Nous n'aurions pas assez de réunions pour nous arrêter en détail sur cette expression, une maison de repos pour l'âge. Ici, la maison que Salomon a pris, c'est une image de ce qui aura lieu dans le siècle à venir, la maison glorieuse qui sera édifiée sur la terre.
C'en est une image, le rétablissement de toute chose, le seigneur habitant dans sa maison. Mais, chers amis, la maison de repos pour l'âge a une signification extrêmement précieuse pour nous. Car l'âge avait accompagné le peuple tout au long du désert, pendant tout le chemin du désert.
Et maintenant, Salomon a à cœur de bâtir une maison de repos pour l'âge. C'est-à-dire que demain, quand la maison de Dieu sera édifiée sur la terre, ce sera le temps du repos millénaire. Car il reste un repos sabbatique pour le peuple de Dieu. Nous sommes bien d'accord sur ce point.
Mais l'obligation pour nous, jamais à cœur de bâtir, et c'est Salomon qui est désigné pour le faire, de la tribu de Judas, de ma famille. De la tribu de Judas, c'est Salomon qui est qualifié, qui est choisi pour le faire. Dans la famille de David, David qui a tout préparé, et Salomon qui profite de toutes les préparations de David pour construire une maison de repos pour l'âge.
Qu'avons-nous ? Qu'avons-nous de dire ? Qu'avons-nous de trouver dans cette expression ? Eh bien, nous le chantons quelques fois au pire. Il est entré dans le repos, il s'est assis dans le repos, dans la lumière, l'âge d'image si saisissante de Christ.
Lâche le bois de Scythie, bois qui pousse dans les rocailles. Sortons comme un rejeton d'une terre aride. Nous n'avons eu pour lui aucune estime. Qui est-ce qui a cru à ce que l'Éternel a fait en temps ? A qui le bas de l'Éternel a-t-il été révélé ? Il est passé au milieu des hommes sans attirer l'attention.
Ne recueillons que le mépris, ne recueillons que la méchanceté. Ils m'ont rendu la haine pour mon amour. Et pourtant, Dieu est là. Dans l'abaissement le plus grand, le bois de Scythie, car lâche est plaqué d'or à l'intérieur et à l'extérieur. Et sur lâche, il y a le propitiatoire sur lequel le sang était apporté.
Une maison de repos pour lâche. Après savoir combien d'heures il est pour laquelle il était venu dans ce monde, il a pu dire « Père, je t'ai glorifié sur la terre ». Et en présence de la croix maintenant, Dieu est glorifié.
Et un continent sans attendre, Dieu va le glorifier, le ressusciter par la gloire du Père et le faire asseoir à sa droite sur son compte-trône. Une maison de repos pour lâche. Quel bonheur pour nous. L'œuvre est accomplie. Il n'y a plus rien à faire. Tout est accompli. Et la satisfaction de Dieu se prouve et se démontre par le Père.
Il a exalté le chef de notre salut, notre sauveur, traversant tous les cieux, le saluant selon le rang le plus élevé, celui de l'Eglise aînée et lui disant « Assieds-toi sur ton propre trône jusqu'à ce que tous tes ennemis soient mis pour marcher au pied de tes pieds ». Une maison de repos pour lâche.
La maison céleste, la maison du Père dans laquelle nous étions créés comme précurseurs comme nous. C'est le troisième caractère que David place devant nous. Une maison de repos pour lâche de l'alliance de l'éternel en vertu de l'alliance éternelle fondée, basée sur le sens à quoi Dieu peut nous accompagner avec lui dans le repos « Là où moi je suis » dit-il.
Afin que « Là où moi je suis » vous, vous y soyez aussi avec moi. Nous attendons ce repos. Seigneuries d'entrée, suivez-le précurseurs pour nous, chefs et consommateurs de la foi, assis au boulot des cieux, nous sommes là déjà vus en lui car pour Dieu nous sommes déjà, nous sommes déjà pour Dieu glorifiés.
Ceux qu'il a préconnus, il les appelle. Et ceux qu'il a appelés, c'est le passé, il les a justifiés. C'est le passé en vertu du sang qui a été répandu à la croix. Et ceux qu'il a justifiés, il les a aussi. C'est encore le passé, il les a aussi glorifiés. C'est une question de temps, ce n'est plus une question de droits. De droits nous sommes justifiés et nous sommes déjà pour Dieu glorifiés.
Et si Dieu attend, c'est parce qu'il y a encore quelques âmes à sauver, parmi vos amis sans doute. Mais nous allons rentrer en possession de tout ce qu'un Dieu nous a donné, tout ce qui a été appris au fil de l'œuvre de Christ dans l'instant actuel.
Nous tournons encore une page et nous allons vous laisser capter le caractère de la maison dans le chapitre l'intrigue toujours et nous verserons ce qui nous manque du moins d'intérêt.
David donna à Salomon son fils le modèle du portique et de ses maisons et de ses préservies et de ses chambres hautes et de ses chambres d'intérieur et de la maison du propitiatoire et le modèle de tout ce qu'il avait par l'esprit touchant les parties de la maison d'Éternel et toutes les chambres et ainsi de suite.
Donc, ici, David donna à Salomon d'abord le modèle du portique. C'est pas cher mais c'est significatif pour nous. Comment entrons-nous dans cette maison ? Comment ou à quelle porte entrons-nous ? Nous ne pouvons pas entrer par aucune porte sinon par celle que le Seigneur nous ouvre. Et nul ne vient t'offaire que par moi.
Amis, comment êtes-vous entrés ici sans avoir une robe de danse ? Parce que Dieu nous prépare des robes pour entrer dans sa maison, la robe de la justice. Mais celui qui se barre sur ses heures, sur ses bons dispositions, sur quoi que ce soit, ou sur la religion traditionnelle, il lui sera dit, Amis, comment êtes-vous entrés ici sans avoir revêtu une robe de danse, sans avoir été lavé dans le sang de l'Agnon, jeté d'or dans les fénères, là où nous avons les fleurs et l'écrasement de danse ?
Le portique tout de suite nous est présenté. D'abord, pour entrer dans la maison, nous avons besoin de pénétrer par ce portique. Et si nous prenons attention, car il n'y a pas de détails inutiles dans la parole de Dieu, quelles sont les dimensions et les caractères de ce portique ? Nous sommes entrés d'admiration en haut sur nos licenceurs.
Le portique avait exactement les dimensions de la maison. Vingt côtés de longueur pour vingt côtés de largeur de la maison. Et il était d'une hauteur extraordinaire. Et il est dit que lui, à l'intérieur, il était revêtu d'or pure.
Car celui qui est là dans la maison la plus grande et qui a été invité à entrer dans la maison de Dieu par son moyen, par le chemin nouveau et vivant qu'il avait consacré à travers le mal, c'est-à-dire sa chair, moi je suis d'accord, c'est pas mal donc.
Dieu bénit éternellement. Toute chose bénit éternellement. Le modèle portique est de la même dimension que la maison mais il est revêtu d'or à l'intérieur. C'est par le portique que nous entrons dans cette maison. C'est par lui. C'est par lui. Et grâce à l'œuvre qu'il a accomplie.
Les maisons, dans la maison de mon père, il y a plusieurs demeures. Les maisons, les trésors durs, les trésors que nous avons cachés au ciel. Paul nous parle de nos trésors qui sont là-haut. Trésors cachés auprès de Dieu en Christ.
Bénie de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ. Et Paul nous parle en effet plusieurs fois des richesses et des richesses insondables du Christ. Le portique, les maisons, les richesses, les trésors durs, que de choses précieuses pour nos cœurs. Mais ce n'est pas terminé.
Nous livrons ensuite les chambres hautes. Les chambres hautes de la maison. La position que nous occupons. Je montre à mon père et à votre père et à mon Dieu et à votre vie la position du croyant. C'est un homme en Christ présenté en justice devant Dieu.
La position et le vif du croyant donneur d'élévation en vertu de l'interprétation de l'œuvre de Christ. Et non seulement la maison des chambres hautes mais les chambres intérieures. Les chambres les plus intérieures qui parlent de l'intimité et qui parlent de la relation dans laquelle nous sommes établis.
Voyez de quel amour le Père nous a fait donc que nous soyons appelés enfants de Dieu. Et par l'esprit d'adoption que nous avons reçu nous crions Abba Père. Nous disons adieu mon Père comme le Seigneur lui-même au jour si émouvant qui se jette sur sa face évoquant, montrant, exprimant la relation la plus douce entre son cœur et le cœur du Père.
Abba Père vient de cette manière, n'est-ce pas, tant qu'on nous confond de la même manière nous disons Abba Père au grand Dieu des cieux et de la terre, Héroïme qui a créé les cieux et la terre. Ce Dieu grand, puissant, redoutable de l'ancien testament il est devenu notre Père et nous disons Abba Père.
Les chambres hautes, les chambres intérieures. Quel plaisir, quel joie, quel bonheur. Les chambres intérieures pour et de la maison du Prophétie à toi tout ce qui a été montré par l'esprit. C'est donc la quatrième mention que nous avons de la maison avec ses dispositions et le portique pour y entrer.
Que ton esprit, chers amis, que tous ici, jeunes ou plus âgés, sont entrés par ce portique.
Une autre mention, la cinquième, est bientôt droitée vers la fin, se trouve dans, un peu plus loin, dans le chapitre 29, au verset 1. C'est la cinquième mention de la maison que roi David écruta à cause de la congrégation Salomon mon fils, le seul que Dieu ait choisi.
Il n'y a pas d'autre nom par lequel il nous faille être sauvés, le seul nom par lequel il nous faille être sauvés.
Christ est le seul, le seul nom donné par Dieu, pour les hommes, par lequel il nous faille être sauvés, c'est-à-dire le nom de Jésus, autrement dit Jéhovah Sauveur.
L'éternelle, Jéhovah de l'ancien testament, Jésus, Jehoshua, Joshua, Jehovah, Jésus, c'est une seule et même personne. Il n'y a pas d'autre nom, dira Pierre, donné sous le ciel, par lequel il nous faille être sauvés, sinon le beau, le grand nom de Jésus, le fils de Dieu, le Sauveur.
Alors, Salomon, il est le seul que Dieu a choisi, pour cet ouvrage qui est grand, pour ce palais, voilà une autre expression, et ce palais n'est qu'un pour un homme, mais pour l'éternel Dieu.
Le palais que nous parlons, nous l'enlèvons dans l'Épique aux Éphésiens, nous avons les équipements, nous n'avons pas le temps de tout mettre en relation, mais vous pouvez bien le faire, prendre une feuille et noter les sept caractères de la maison de l'Assemblée dans l'Épique aux Éphésiens, le corps de Christ, la maison de Dieu, l'édifice, une habitation de Dieu par l'Esprit, le Temple Saint, et vous les mettez en relation avec ces expressions que nous lisons,
vous verrez quelles relations extraordinaires vous allez trouver. Bien ce palais, cet édifice dans lequel Dieu habite, et dans lequel nous avons notre place, ce sera extraordinaire.
Ce seul que Dieu a choisi, c'était pour réaliser une maison qui est un palais, et de toute ma force auversé d'eux, remarquons maintenant, de toute ma force, j'ai préparé pour la maison de mon Dieu de l'or et tout ce qui est à nécessiter.
La cinquième mention, c'est donc la maison de Dieu qui est appelée un palais, ce qui est grand, ce qui est majestueux, et ce qui répond à la grandeur de celui qui s'est abaissé jusqu'à la mort et à la mort de la croix.
Considérez, mes apôtres, combien grand déjà était celui à qui la femme et le matriarche a fait don de tous les bétails et à qui a offert la dignité. Combien grand était celui-là et qui dans cette grandeur était abaissé jusqu'à cette mort ignominieuse de la croix.
Vous l'avez cloué, vous l'avez cloué à tout droit d'infamie, mais Dieu l'a ressuscité, l'a exalté et lui a donné un nom au-dessus de tout nom, la racle au nom de Jésus, bon gré, mal gré, tous les êtres célestes, terrestres et infernaux devront confesser que Jésus est Seigneur à la croix de Dieu le Père.
Et ce palais qui a été préparé, ce palais dans lequel nous avons entré, tout repose sur le don qu'il a fait de sa vie. Nous tournons encore une page au chapitre 2 du second immédiat et nous avons un sixième caractère de cette maison.
Verset 4. Voici, je baptise une maison pour le nom d'Éternel, mon Dieu, pour la vie consacrée, pour toi, Sœur Marie. Qu'allons-nous faire dans cette maison ? C'est ce que nous allons faire demain en perfection, c'est ce que nous faisons déjà maintenant dans la Feuillesse.
Voyez, une maison pour le nom d'Éternel, pour la vie consacrée, pour faire fumer devant Lui l'ensemble de drogues odoriférantes et pour l'arrangement continuel des pains et pour les holocaustes du matin et du soir, des sabbats, des nouvelles lunes et des jours solennels de l'Éternel, notre Dieu. Cela est resté à Israël à toujours.
Parlez-donc d'une maison pour le nom d'Éternel, pour le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, pour ce grand nom de Jéhovah-Sauveur, ce nom qui parle maintenant d'un Jésus exalté, non plus un Jésus humilié à baisser sur la terre, mais le nom de Jésus est le nom au-dessus de tout nom.
Il y a un nom au ciel qui n'était pas connu avant l'incarnation de notre Sauveur, c'est le nom du Seigneur Jésus. C'est une maison bâtie pour Lui qui porte ce nom si glorieux, le nom du Seigneur Jésus, afin de la consacrer et de faire d'abord fumer devant Lui l'ensemble des drogues odoriférantes.
Et si nous lisons dans le Guide des Drogues et nous avons des écrits d'une valeur incomparable sur cet enceinte et sur ces aromates précieux entre tous qui constituaient l'enceinte précieuse que l'on buvait sur le terre, le stade, le galbanome, la coquille odorante, l'enceinte de drogues drois égales, personne n'avait le droit, c'était une offense à Dieu, d'en flairer de semblable.
D'en constituer de semblables, tout aidait au Dieu qu'il est très fin sur le propitiatoire, toutes les gloires de celui qui se livre entièrement pour accomplir la volonté de Dieu jusqu'à la mort et à la vente de la croix pour donner à Dieu l'occasion de détruire toutes ses pensées de grâce et d'accomplir le propos qu'il a conçu dès les temps des siècles.
Les drogues odoriférantes, l'hôtel d'or où nous venons à porter, nous venons faire brûler l'enceinte, c'était l'occupation par excellence des fils d'arbre.
C'est ce que, si le Seigneur nous laisse jusque là, nous aurons l'occasion de faire demain, chacun dans l'assemblée à laquelle nous nous rattachons, faire fumer l'enceinte des drogues odoriférantes.
Raconter au Père toute la gloire de son Fils, faire fumer l'enceinte des drogues odoriférantes pour l'arrangement continuel des pains, comme cela nous touche et nous instruit.
En même temps que nous arrangeons le Père toute sa gloire, nous arrangeons les pains de chaque sabbat.
Chaque sabbat, les pains de proposition, les douze pains étaient remplacés sur la table d'or.
Et nous, chaque premier jour de la semaine, tout en adorant le Père, tout en rendant culte au Père, le Père en cherche de tel qu'il adore, nous nous souvenons de la mort de Christ.
Nous nous souvenons du prix qui a été payé pour que nous soyons, pour que nous devenions des adorateurs qui peuvent adorer le Père en esprit et en vérité.
Mais tout à la fois, en participant à la scène, nous exprimons que, et en communion les uns avec les autres, nous exprimons que nous sommes un seul pain et un seul corps.
Et qu'il ne se limite pas, évidemment, à l'assemblée locale, mais en ce seul pain, nous avons le symbole de l'Église tout entière.
Et ne soyons-nous que quelques-uns pour nous réunir sur ce terrain du seul corps de Christ, le seul que Dieu reconnaisse sur la terre, en dehors et indépendamment de toutes les dénominations fabriquées par un autre.
Dieu ne reconnaît qu'un seul corps, celui formé par le Saint-Esprit entre tous les saints, entre tous les rajoutés et qui forme le corps de Christ.
Nous ne sommes que quelques-uns, nous ne sommes que quelques-uns pour rappeler, pour annoncer la mort du Seigneur et pour exprimer ce qu'est l'Église.
Mais elle est là, elle existe, nous le faisons sans doute dans un sentiment d'humiliation, car qui pourrait oublier que nous participons à une église en grève.
Notre témoignage disait nos chers devanciers, il est à l'unité du corps de Christ.
Il y a un seul corps aujourd'hui, malgré les miettes montées d'église, malgré la nécessité de mettre le voile sur notre vida, mais il y a un seul corps aujourd'hui pour monter en État.
Parce que cette unité est indestructible, elle est formée divinement par le Saint-Esprit et nul ne peut la rendre.
Mais sa manifestation extérieure a été perdue.
C'est une image sans doute bien incomplète, mais on a parlé, on a montré cette réalité dans une image.
Une chaîne sur un bord de la rivière, et la chaîne est sur l'autre lit, mais la chaîne passe dans le lit de la rivière, dans la barre, on ne voit pas la chaîne.
Mais elle existe, pour la croix elle est là, et demain elle sera vue dans toute sa beauté, dans toute sa gloire, et le monde connaîtra que nous étions aimés.
L'épin a placé en rangée cet un témoignage que nous avons avant jusqu'à la fin.
Mais nos devanciers étaient à côté de notre témoignage en l'unité du corps de Christ, et ils l'étaient.
Et ils n'ont pas manqué de le répéter à la ligne de l'église.
Mais quoi qu'il en soit, il faut perpéner l'enceinte, et pour l'arrangement continuel des pins, il y aura un témoignage rendu jusqu'au retour du Seigneur, le témoignage de Philadelphie.
Et l'autre jour nous l'appelons ce que nous avons pu lire il y a pas longtemps, et c'est une pensée qui nous a beaucoup frappés.
Philadelphie, comment la définir aujourd'hui ?
Ce n'est pas facile.
Et dire que nous sommes philadelphies, ce serait en tout cas exprimer que nous avons perdu entièrement le caractère moral de philadelphie.
Mais que nous ayons appris à respecter le caractère de philadelphie, nous ne saurions trop le désirer dans notre cœur.
C'est-à-dire, ce qui caractérise un résident de l'étang, tu as gardé ma parole, et tu n'as pas remis mon nom.
Mais, ce que nous voulons dire c'est ceci, avant le réveil du siècle dernier, il n'y avait quand même aucune nomination, il faut quand même bien que nous réalisions cela,
il n'y avait aucune dénomination réunie sur le pied de philadelphie.
Vous voyez, c'est un témoignage suscité pour la fin, et qui dure dans la grâce de Dieu jusqu'à maintenant, depuis plus de 150 ans.
Et ce témoignage durera jusqu'au bout, puisque le Seigneur dit « Je t'ai gardé l'honneur de l'épreuve qui vient sur la terre d'humilité toute entière ».
Mais il n'est pas dit que chacun de nous en fera partie, pas plus celui qui parle que celui qui écoute.
Le Seigneur nous accorde la grâce de souhaiter faire partie du philadelphie, nous ne saurions trop le souhaiter pour le demander.
De sorte que faire fumer l'ensemble, présenter l'ensemble des portes de l'Eucharistie, rendre ce témoignage à l'épreuve de la mort de Christ,
et de la façon du peintre, tout en nous souvenant de la mort de Christ pour nous, c'est le côté de la sainte du Seigneur à nous.
Mais ce qu'il est important, il ne doit pas être méconnu, et nous l'avons ici, les peintres à placer en rangée,
avec les homophones du matin et du soir, la bonne odeur du sacrifice de Christ qui monte sans cesse devant Dieu et que nous lui rappelons.
Et cela est prescrit à Israël à toujours. C'est un service qui sera rendu jusqu'à nous.
Cela est prescrit à Israël à toujours. Faites ceci en mémoire de moi jusqu'à ce que je vienne.
Cela est prescrit à toujours. Vous voyez l'harmonie de la parole de Dieu.
La septième et dernière mention, nous la trouvons maintenant dans le chapitre 6.
Dans le chapitre 6, et c'est comme toujours, en terminant notre petit entretien, le chapitre 6 du second texte,
David peut dire, c'est seulement avant qu'il parle, mais moi j'ai bâti une maison d'habitation pour toi,
un lieu fixe pour que tu y demeures à toujours.
Eh bien, chère Amélie, nous avons là une échappée sur l'éternité, un lieu fixe pour que tu y demeures à toujours.
La position du croyant établie pour l'éternité. Nous n'avons pu jamais quitter le ciel.
Nous serons, c'est ça le ciel. Les descriptions du ciel ne sont pas nombreuses dans la parole de Dieu.
Mais qu'est-ce que le ciel pour le croyant ? Eh bien, n'est-ce pas la présence du Seigneur ?
Et nous serons pour toujours avec le Seigneur. Il va descendre lui-même du ciel.
Il ne nous aime assez que pour venir lui-même. Il nous aime bien fort que pour envoyer un ange,
s'il le déçoit dans la hiérarchie angélique. Il ne nous aime assez que pour venir lui-même.
C'est déjà dans l'Ancien Testament. Lui-même ne vient pas dévouture.
Nous attendons le Seigneur qui va descendre lui-même du ciel pour venir nous chercher
et nous introduire avec lui dans la maison du Père pour être toujours avec lui.
Dernièrement, nous asséions comme conclusion. Nous voulons nous permettre de poser une petite question à nos jeunes amis.
Cette maison dont nous avons dit faiblement quelques mots, elle sera donc,
elle est un titre qui sera établi demain en vertu de l'œuvre de Christ et en relation avec la Création.
Dans le Livre des Grâces, il y a la mention de la maison, lorsqu'elle a été,
parce que cette maison, on l'a publiée auparavant. Qu'est-ce que nous avons dû garder ?
Si ce temple, ce palais si beau, le Seigneur l'avait dit, il est conscient de sa responsabilité.
Mais, qu'est-il devenu ? Un monstre devenu.
Quatre siècles plus tard, il ne restait plus rien de ce temple.
Soixante-dix années plus tard, Dieu revient. C'est la dernière épreuve à laquelle il sonnait l'homme,
il sonnait son peuple, car son Fils va venir, prendre connaissance de ce qui concerne ce peuple
et accomplir tout ce que Dieu a dit concernant la promesse depuis le commencement.
Et il va venir dans sa maison, dans l'évangile sur Matthieu.
Le Seigneur parle encore de la maison de son père.
Mais elle devient une taverne de bonheur. Et à nouveau, elle sera détruite.
Et elle ne sera plus reconflite. Seulement, l'Église de l'Assemblée prend la place d'Israël sur la terre.
Mais, au temps des races, rapidement, seulement deux mois.
Au temps des races, la maison était reconçue.
Mais, elle n'est plus du tout comparable à ce qu'elle était au jour de Salomon, c'est clair.
Mais, les anciens, selon les rapports qu'ils en avaient faits,
avaient pu parler de cette maison qu'ils avaient connue, qui n'avait pas longtemps, il y a environ soixante-dix ans,
qu'elle était détruite. C'était en un mois.
Puisqu'elle a été détruite en cinq ans quatre-vingt-huit.
Et on remonte déjà de l'arrivée du temps à cinq ans trente-six.
Et les mouvements sont déjà posés l'année suivante.
Donc, vous voyez, certains se souvenaient encore, avec un souvenir assez précis,
de cette maison, au temps de Salomon, quand la gloire de l'Ancien.
Parce que cette maison a été remplie de la gloire de Dieu.
Mais on ne parle de la gloire de Dieu, bien en ce moment.
Mais, quand cette maison est sacrée pour des races, elle a suivi une interdiction,
et ensuite, six ans plus tard, enfin, elle est construite,
et on peut offrir les sacrifices, et on peut donc remplir son rôle.
Eh bien, chers amis, il y a une question qui se pose, et c'est celle-ci.
En terminant, ceux qui sont là, autour de cette maison,
et ils ont des sentiments, des sentiments bien précis,
des sentiments d'affliction, et ils disent, cette maison,
cette maison, dont nous pensons la même chose,
cette maison, elle ne dit rien.
Mais, pour ne pas se décourager à croire au découragement l'un de l'autre,
sans doute, ils ne le disent pas tous.
Mais ils le pensent.
Et le prophète, Agé, vient leur dire, n'est-ce pas que c'est bien cela que vous pensez ?
N'est-ce pas que vous pensez bien que cette maison,
c'est cela que vous dites dans votre cœur, cette maison,
eh bien, nous nous permettons de poser cette question.
L'Assemblée, au bout d'aujourd'hui, chers amis, qu'est-ce qu'elle est ?
Qu'est-ce qu'elle est ?
Quelle est votre sentiment en l'égard de la maison de l'Assemblée d'aujourd'hui ?
Vous allez voir comment le prophète va nous parler, en une phrase.
En une phrase, il va éclairer le problème de façon éclatante.
Mais il nous dit, qu'est-ce que vous pensez de cette maison ?
Qu'est-ce que vous pensez de la maison de Dieu aujourd'hui ?
Si nous pensons à nos conventions pour nous dire, nous avons des lettres, nous avons des rapports,
nous savons bien que les choses au siècle dernier ont été, ont été exterminées.
Il y a eu un déclament d'impression sur Dieu qui était extrêmement sensible aujourd'hui.
Ce sont des temps de faiblesse dont l'infirmité est manifeste.
Mais, quoi qu'il en soit, que pensez-vous de la maison de Dieu aujourd'hui ?
Eh bien, le prophète dit, n'est-ce pas, c'est comme Marie à Marseille.
Mais ne vous trompez pas, et voici la réponse du prophète.
Et vous allez choisir la meilleure formule.
Le prophète dit l'une des deux choses.
La gloire de, vous voyez, il n'y a rien à cette maison.
Mais la gloire de cette dernière maison, la gloire de la dernière maison sera plus grande que la première.
C'est une manière de parler.
La gloire de la dernière maison sera plus grande que la première.
Ou bien, la dernière gloire de cette maison sera plus grande que la première.
Comment il dit ?
Non pas la gloire de la dernière maison, parce que pour Dieu, il n'y a qu'une maison.
Au jour de Salomon, au jour des races, au jour du Seigneur, c'est une seule et une même maison.
Quel que soit son état, quel que soit l'état dans lequel nous la voyons aujourd'hui, c'est l'amour de Dieu.
C'est la santé qui l'arrive au prix du sang de son propre Fils.
Et n'est-ce pas un encouragement extrêmement précieux ?
Que le Seigneur vient dire, eh bien, ne vous découragez pas, vous avez des ressources.
Des ressources d'un prix d'infini, malgré tout ce qui est écroulé autour de vous.
Ma parole et mon esprit demeurent avec vous.
Et je suis là, là où deux ou trois, deux ou trois, la terre des cieux sont assemblées.
Je suis là. Je suis là.
Et la dernière gloire de cette maison, non pas la gloire de la dernière maison, car il n'y en a qu'une,
la dernière gloire de cette maison qui vous paraît si faire aujourd'hui,
elle sera bien plus grande que celle qui le désacre, car nous la voyons se battre. …