Le Livre de Juges
ID
aeb019
Language
FR
Total length
18:43:38
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22
Bible references
Juges
Description
1. Juges 01v1-16
2. Juges 01v17-2v5
3. Juges 02v6-3v4
4. Juges 03v1-11
5. Juges 03v12-31
6. Juges 04
7. Juges 05
8. Juges 06v1-21
9. Juges 06v22-40
10. Juges 07
11. Juges 08
12. Juges 09
13. Juges 10v1-11v10
14. Juges 11v11-12v15
15. Juges 13v1-23
16. Juges 13v24-14v20
17. Juges 15v1-16v5
18. Juges 16v4-31
19. Juges 17-18v6
20. Juges 18v6-19v30
21. Juges 20v1-28
22. Juges 20v29-21v25
Automatic transcript:
…
J'aimerais lire avec vous le premier chapitre du livre des juges, verset 1 jusqu'à 16 pour ce matin.
Juge 1, verset 1.
Il arriva après la mort de Josué, que les fils d'Israël interrogèrent l'Éternel, disant,
Qui de nous mentra le premier contre le Cananéen pour lui faire la guerre ?
Et l'Éternel dit, Judas mentra.
Voici, j'ai livré le pays en sa main.
Et Judas dit à Simeon son frère, Monte avec moi dans mon lot et faisons la guerre contre le Cananéen.
Et moi aussi, j'irai avec toi dans ton lot.
Et Simeon alla avec lui.
Et Judas menta, et l'Éternel livra le Cananéen et le Phérésien en leurs mains.
Et ils les frappèrent à Bézèque, dix mille hommes.
Ils trouvèrent Adoni Bézèque à Bézèque.
Ils lui firent la guerre et frappèrent le Cananéen et le Phérésien.
Et Adoni Bézèque s'enfuit, et ils le poursuivirent et le saisirent.
Ils lui coupèrent les pouces des mains et des pieds.
Et Adoni Bézèque dit, soixante-dix rois ayant les pouces de leurs mains et de leurs pieds coupés,
ramassés sous ma table, comme j'ai fait, ainsi Dieu m'a rendu.
Et on l'amena à Jérusalem, et il y mourut.
Et le fils de Judas avait fait la guerre contre Jérusalem.
Il l'avait prise, et il l'avait frappée par le tranchant de l'épée, et avait livré la ville au feu.
Et ensuite, les fils de Judas descendirent pour faire la guerre aux Cananéens qui habitaient la montagne,
et le Midi, et le Pays-Plat.
Et Judas s'en alla contre les Cananéens qui habitaient à Hébron.
Or le nom d'Hébron était auparavant Kiryat Arba.
Et ils frappèrent Chechay, et Achiman, et Talmay.
Et de là, il s'en alla contre les habitants de Débir.
Or le nom de Débir était auparavant Kiryat Sefer.
Et Caleb dit, à qui frappera Kiryat Sefer et la prendra, je lui donnerai ma fille Axa pour femme.
Et Othniel, fils de Cenas, frère finé de Caleb, l'a pris.
Et Caleb lui donna sa fille Axa pour femme.
Et il arriva que comme elle entrait, elle l'incita à demander à son père un champ.
Et elle descendit de-dessus l'âne.
Et Caleb lui dit, qu'as-tu?
Et elle lui dit, donne-moi une bénédiction.
Car tu m'as donné une terre du Midi, donne-moi aussi des sources d'eau.
Et Caleb lui donna les sources du haut et les sources du bas.
Et les fils du Kénien, beau-père de Moïse, étaient montés de la ville des Palmiers
avec les fils de Judas au désert de Judas, qui est au Midi d'Arad.
Et ils allaient et habitaient avec le peuple.
Jusqu'ici, la lecture de la parole.
Ça doit être difficile pour plusieurs parmi nous de comprendre l'intention de ce livre
et aussi l'intention que nous avons avec ces méditations, ces lectures.
Ce serait peut-être bon de lire ensemble un verset, d'abord dans 1 Chrétien 10.
Le Nouveau Testament nous montre que pour les croyants de cette dispensation,
donc les croyants qui appartiennent à l'Église de Dieu,
que Dieu a donné tout l'Ancien Testament comme un livre d'illustration.
Les enfants aiment voir les livres d'illustration, n'est-ce pas?
Et puis Dieu nous donne maintenant à tous les croyants un livre plein d'illustration.
Il explique ce sens dans 1 Chrétien 10, verset 11, lorsqu'il résume l'histoire d'Israël.
Dans l'histoire d'Israël, l'apôtre dirigé par l'Esprit nous dit,
or toutes ces choses leur arrivèrent comme types, ou si vous voulez, illustrations, images,
et elles ont été écrites pour nous servir d'avertissement.
Et d'autres versets de la parole nous disent pour notre instruction, pour notre correction,
pour notre encouragement, pour notre consolation.
Et ainsi nous voyons aussi que le Nouveau Testament explique que ces histoires
et même les détails de la loi ont été donnés pour notre instruction.
Donc aussi ce livre, duquel nous avons lu juste une petite partie,
doit avoir une signification spirituelle pour nous.
Lorsque j'utilise le mot spirituel, ça veut dire une signification qui a un sens spirituel,
et aussi un sens moral.
Mais ça n'enlève pas la signification littérale.
Ce sont des histoires littérales, ce ne sont pas des fables ou des imaginations.
Ce sont des histoires littérales que nous lisons.
Mais nous aimons maintenant poursuivre le sens spirituel,
selon l'instruction d'un chrétien d'Is et d'autres versets dans le Nouveau Testament.
Mais pour pouvoir saisir cette signification, il faut voir aussi le contexte.
Lorsque nous étudions la parole de Dieu, il est toujours important de saisir le contexte.
Donc dans quel contexte ce livre des juges est placé, vous voyez ?
On n'a pas le temps ce matin d'examiner les livres qui précèdent les juges,
mais c'est bon peut-être de mentionner brièvement quelques points.
Le premier livre de la Bible, c'est la Genèse,
ce qui signifie origine, ou dans l'hébreu, au début.
Donc le livre de la Genèse nous donne les débuts, les origines.
Les origines en rapport avec la création.
Les origines aussi en rapport avec la vie que Dieu donne.
On voit beaucoup de principes dans le livre de la Genèse
qui sont mentionnés là déjà et plus tard élaborés dans la parole de Dieu.
Il y a un thème, par contre, qu'on ne trouve pas dans le livre de la Genèse.
C'est la pensée de la rédemption.
Et dans l'Exode, nous voyons deux thèmes.
Là, on voit les noms de ceux qui appartiennent au peuple de Dieu.
Ça, c'est donc une nouvelle phase, pour ainsi dire.
C'est Dieu, le créateur, qui se révèle dans le livre de la Genèse.
C'est Dieu qui donne la vie, qui appelle Abraham, etc., dans la Genèse.
Mais c'est le même Dieu qui veut avoir un peuple dans ce monde,
dans ce monde où il est rejeté.
Vous voyez, le créateur est même rejeté par ses propres créatures.
Tout le monde est en rébellion depuis la chute.
Par contre, par la grâce de Dieu, Dieu a cherché un peuple.
Il leur a donné la nouvelle vie, par la nouvelle naissance.
Et ainsi, Dieu veut délivrer ce peuple de toute influence de ce monde.
C'est ça qu'on trouve dans le livre d'Exode.
Et c'est encore important pour nous aussi, pour les enfants aussi, à réaliser ceci.
Si vous avez accepté par la foi le Seigneur Jésus comme votre sauveur,
il faut maintenant continuer sur ce chemin et voir ce que Dieu veut que vous fassiez,
que Dieu veut que vous soyez membres du peuple de Dieu.
C'est ça qu'on trouve dans l'Exode.
Et Dieu délivre ce peuple de la puissance du péché, de la puissance de Satan, de la puissance de la mort.
Et il veut avoir ce peuple avec lui dans ce monde.
Et ce monde est un désert pour la foi.
C'est ça qu'on trouve dans l'Exode et nombre.
Et on voit que Dieu habite maintenant avec son peuple dans ce monde.
Mais vous voyez, Dieu avait des plans.
Dieu avait un conseil.
Quel plan est-ce que Dieu avait pour son peuple?
Il avait le plan de les introduire dans son pays.
Le pays qu'il avait réservé pour Abraham.
Et ainsi, Dieu a réservé un pays, vous voyez, pour nous, pour le peuple de Dieu.
Pour le peuple de Dieu de cette dispensation.
Je ne suggère pas que Dieu a mis de côté Israël entièrement.
On va voir dans la parole de Dieu que Dieu a encore un plan pour son peuple terrestre.
Mais nous avons affaire aussi avec le conseil de Dieu pour nous, un peuple céleste.
Et là, on voit que Dieu avait un plan dès avant la fondation du monde.
Un conseil qui est appelé le propos éternel.
Et vous voyez, Dieu aime introduire son peuple dans ses pensées, dans la jouissance de ses pensées.
Et nous avons chanté ce matin notre Seigneur Jésus qui est maintenant dans la gloire, dans le ciel.
Vous voyez, Dieu aime que les croyants jouissent des choses célestes, des bénédictions célestes aujourd'hui.
Mais Satan ne veut pas qu'il y ait sur cette terre des gens qui appartiennent au ciel.
Satan veut garder tout le monde sous son contrôle.
Il hait les chrétiens.
Maintenant, dans le livre de Josué, on voit comment ces promesses de Dieu sont réalisées.
Comment ils entrent dans le pays que Dieu avait promis à abrindre.
Et ainsi, on voit dans le livre de Josué des images pour le peuple de Dieu aujourd'hui.
Comment entrer dans la jouissance des choses célestes.
Il faut conquérir le pays. Il faut conquérir pratiquement ses bénédictions.
D'un côté, Dieu avait donné tout le pays.
Et ainsi, Dieu a donné toutes les bénédictions célestes à tous les croyants.
Aucune exception.
Aucune exception.
Éphésiens 1, verset 3.
Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ qui nous a bénis avec toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes, dans le Christ Jésus.
Aucune exception. C'est pour tout le peuple de Dieu.
Mais il faut que le peuple entre dans le pays.
Que le peuple mette ses pieds sur cette terre.
En autres mots, que nous prenions possession de ses bénédictions.
C'est ça le point.
Pour résumer, on a dans le livre d'Exode l'œuvre de Dieu pour nous.
Pour nous délivrer. Pour nous racheter.
Dans le désert, on ne peut pas parler des détails du désert maintenant.
Ça va trop loin.
Mais dans le désert, on voit une œuvre de Dieu en nous.
Pour nous former. Pourquoi ?
Pour nous rendre prêts.
Pour entrer dans le pays.
Dans le désert, on voit que le peuple d'Israël, en général, a méprisé le pays.
Ils ont méprisé les pensées de Dieu.
Pour expliquer ce que ça veut dire, imaginons que nous recevons un beau cadeau.
Un beau présent de quelqu'un.
Très précieux.
Puis on le jette par terre.
On ne le regarde pas même.
On ne prend pas même la peine d'ouvrir le paquet.
Vous voyez, c'est honteux.
C'est terrible.
Et c'est ça que le peuple d'Israël a fait avec les bénédictions que Dieu avait préparées pour eux.
Lorsqu'ils étaient dans le désert, ils ne voulaient pas le pays.
On peut le lire dans Nombre 13 et 14.
Ils ont méprisé le pays que Dieu avait dans son cœur de leur donner.
Et ainsi, malheureusement, la plupart des chrétiens ont méprisé les bénédictions célestes que Dieu leur donne dans le Seigneur Jésus.
Méprisé.
Et pratiquement, ça peut m'arriver, ça peut nous arriver, qu'on méprise ces bénédictions.
Qu'on ne prenne pas le temps de les étudier, d'étudier les épitres qui nous parlent de ces bénédictions.
D'étudier les évangiles, surtout l'évangile selon Jean qui nous parle de ces bénédictions.
Et on mépris ainsi ces bénédictions.
Mais dans le livre de Josué, nous avons des encouragements, des illustrations pour nous aider à entrer dans le pays.
Et là, on voit l'œuvre de Dieu avec son peuple.
Dieu veut avoir son peuple avec lui pour partager avec lui les secrets de son cœur, les bénédictions de son cœur.
C'est pour ça que Dieu nous donne tant d'illustrations pour nous aider.
Et dans le livre de Josué, on voit d'abord l'entrée du pays.
Ça, c'est une longue histoire jusqu'au chapitre 6.
Et puis, la conquête du pays.
Ce sont des histoires très intéressantes, mais nous ne pouvons pas les étudier maintenant.
Si vous voulez, vous pouvez le faire à la maison pour voir ce progrès.
Et après la conquête du pays, on voit que Dieu a distribué le pays.
Distribué par le sort.
Chaque membre du peuple, chaque tribu plutôt, et puis chaque famille et ainsi chaque membre avait une place dans le pays.
Et ainsi, comme j'ai dit, chaque royaume a reçu les bénédictions célestes.
Mais aussi chaque royaume a une place spéciale dans ses bénédictions.
Vous voyez, chaque royaume a une relation spéciale comme fils avec le Père.
Et ainsi, Dieu le Père donne une portion spéciale à vous et à moi.
Mais il donne aussi tout le pays.
Ce sont deux pensées qui vont ensemble.
Il ne faut pas les opposer, mais voir les ensembles.
Le peuple a dû prendre pratiquement leur portion.
Donc la conquête du pays, c'était quelque chose pour tout le peuple.
Mais prendre possession de votre possession, de votre héritage, c'est quelque chose pour vous personnellement.
On peut aider, on peut aider mutuellement, on peut donner des instructions.
Mais il faut que vous preniez possession de votre héritage vous-même.
Moi, je ne peux pas le faire pour vous.
Votre mari ne peut pas le faire pour vous.
Ou votre épouse ne peut pas le faire pour le mari.
Ainsi, les parents ne peuvent pas le faire pour les enfants.
Les enfants aussi doivent prendre possession de ces choses personnellement.
C'est bon de commencer à lire la parole à l'âge jeune, comme Timothée l'a fait dans la Bible.
On le voit dans le Nouveau Testament.
Ça va nous préparer pour prendre possession de notre héritage.
Maintenant, on voit dans le Livre de Jojué que Dieu avait une place spéciale pour les sacrificateurs, pour les lévites.
Aussi, une place spéciale où il habitait.
Et on va revenir peut-être cet après-midi à une ville très spéciale dans ce pays, Gilgal.
Gilgal était le point de départ pour leur attaque pour prendre possession du pays.
Et on va en parler cet après-midi, Dieu voulant.
Il y en avait d'autres villes importantes, Shiloh, où le tabernacle était placé à un moment donné.
Où le peuple est venu pour être là, autour de Dieu.
Et là, Dieu les a dirigés.
On a dans le Livre de Jojué aussi deux discours très importants.
Des discours où Jojué a dit au revoir à son peuple.
Où il les a instruits.
Où il a donné aussi un exemple, comme Jojué 24, verset 15, à la fin.
Mais moi et ma maison, nous servirons l'éternel.
On voit ici une attitude de cœur, une décision prise pour le Seigneur.
Et ainsi, Dieu nous demande aussi de prendre une position pour lui.
De prendre une décision et de rester avec cette décision.
Et on va voir ceci aussi dans le cas de Caleb et de sa fille Aksa, dans le passage que nous avons lu.
Dans Jojué 23, il a averti les dirigeants.
Et aussi dans le chapitre 24, il a donné des instructions pour ôter les dieux, les idoles qu'ils avaient au milieu d'eux.
Et on va voir dans le chapitre des juges qu'ils n'ont pas obéi.
Ils n'ont pas suivi les instructions de Jojué.
Voilà, je vais revenir à ça tantôt.
Parce qu'il est important maintenant à rédiger ce que Jojué signifie pour nous.
Pour comprendre ceci, je dois revenir un peu à ce qu'on a eu.
Moïse était le grand libérateur du peuple de Dieu de l'Égypte.
Moïse était aussi le grand prophète, le grand apôtre qui les a dirigés à travers le monde.
Et ainsi, Moïse est une image de notre Seigneur Jésus dans sa vie ici-bas.
Le grand prophète venu de Dieu pour présenter les pensées de Dieu.
Le grand apôtre, il est aussi aujourd'hui dans la gloire.
Le Seigneur Jésus est le grand apôtre, l'épître aux Hébreux.
Mais on voit que Moïse est mort.
Et ainsi, on voit aussi que le Seigneur Jésus n'est plus avec son peuple sur la terre.
Par contre, il est avec son peuple de la gloire.
Nous voyons donc le Seigneur Jésus présenté par Moïse.
Et après sa mort, il est récité et glorifié.
Dieu l'a exalté.
Il est maintenant dans la gloire. Nous avons chanté de lui.
L'homme qui est maintenant à côté de la majesté dans la gloire.
Et le Seigneur Jésus a envoyé son esprit.
Et par son esprit, il est avec son peuple.
Et c'est ça qu'on voit dans le livre de Josué.
Josué nous parle de notre Seigneur Jésus, l'homme glorifié qui est avec son peuple par son esprit.
Mais ce n'est pas tout.
Josué nous parle aussi de cette première génération.
On le verra aussi dans chapitre 2 du livre des juges.
On le voit aussi dans Josué 24, lorsque Josué est mort.
On se demande, mais si Josué a une image de notre Seigneur Jésus, comment est-ce qu'il peut mourir?
Parce que le Seigneur Jésus dans la gloire, il ne meurt pas.
C'est vrai.
Donc, le Seigneur Jésus, qui est dans la gloire maintenant, ne peut pas mourir.
Mais la génération à laquelle il s'est montré d'une façon particulière, la génération des apôtres, a décédé.
Cette génération restait longtemps jusqu'au jour de Jean, l'apôtre Jean, mais lui aussi est mort à un moment donné.
Donc, dans ce sens-là, on peut dire que Josué est mort.
Josué signifie le Seigneur Jésus par son esprit, avec cette première génération.
Et pour comprendre vraiment la signification pour nous, on devrait lire acte 20, verset 32.
Je vais revenir à acte 20 tantôt, mais peut-être c'est bon de lire simplement ce verset pour saisir ce que ça veut dire.
Là, dans acte 20, l'apôtre Paul a prévu qu'il ne serait plus là.
Comme Josué, il a prévu qu'il ne serait plus là à un moment donné.
Ainsi, l'apôtre Paul a donné des instructions aux anciens, comme Josué l'a fait.
Il résume l'œuvre de Dieu par lui, ce que Dieu avait donné aux Éphésiens par l'apôtre Paul.
Ainsi, Josué le fait. Il répète toute l'histoire d'Israël, d'Abraham, jusqu'au jour où il parlait à eux.
Ainsi, on voit un parallèle très clair entre Josué, au moment de son départ, et l'apôtre Paul, le moment où il a donné ce discours aux anciens d'Éphèse.
Et après ces instructions, il dit même qu'il ne verrait plus sa face.
Et dans le verset 32, il dit, et maintenant je vous recommande à Dieu et à la parole de sa grâce, qui a la puissance d'édifier et de vous donner un héritage.
Vous voyez, c'est ici un passage de génération, pour ainsi dire.
Paul s'en va. Les apôtres sont morts, ne sont plus avec nous.
Et dans ce sens-là, cette énergie qui était au milieu des croyants, au début, donc dans le premier siècle, n'est plus là.
Et ça s'est donc indiqué par la mort de Josué et par la mort de Paul.
Mais les ressources de Dieu sont là.
Et on voit ici dans ce verset 32 qu'il met l'emphase sur ceci.
Maintenant, je vous recommande à Dieu.
Dieu reste le même.
Les anciens sont partis avec Paul aussi.
Il n'y a plus d'anciens ordonnés comme dans ce jour-là.
Ça n'existe plus selon les pensées de Dieu.
Mais la parole de Dieu est là.
La parole de sa grâce est là.
Et cela nous suffit.
Parce qu'il dit qu'il a la puissance d'édifier et de vous donner un héritage.
Vous voyez, de vous donner un héritage.
C'est exactement de ce que nous parlons.
Cet héritage, c'est donc cette vie éternelle ou cette bénédiction céleste de laquelle nous avons parlé, que Dieu nous donne.
Mais, vous voyez, de vous donner un héritage avec tous les sanctifiés veut dire donner la jouissance pratique de ces choses.
C'est ça que Dieu veut.
Que nous jouissions de ces choses.
Et ainsi, les ressources sont en lui.
Et ce matin, avec l'aide du Seigneur, on aime voir un peu les ressources que nous avons dans les temps où ces grands dirigeants ne sont plus avec le peuple de Dieu.
L'apôtre Paul n'est plus avec nous.
Mais nous avons ses écrits.
Nous avons la parole de Dieu et la parole de sa grâce.
Ainsi, dans les jours de Josué, après les jours de Josué, il n'était plus là.
On lit dans Jésus 1, verset 1.
Il arriva après la mort de Josué.
Ça, c'est donc la date pour ainsi dire.
Ainsi, on peut dire, après la mort de Moïse, Josué est venu.
Josué continue l'histoire.
Ainsi, après la mort de Josué, le fils d'Israël continue l'histoire.
Mais la grande question est vraiment, comment ils vont continuer?
Et ça, c'est pour nous aussi le point.
On peut jouir de certains enseignements.
On peut jouir de la présence de certains frères, nos ancêtres.
Mais à un moment donné, Dieu dit, mais c'est à vous maintenant.
Comme Josué le fait dans Josué 24.
À un moment donné, il montre clairement maintenant, c'est à vous.
Qu'est-ce que vous allez faire avec ces choses?
Et ainsi, Dieu place devant nous cette responsabilité.
Qu'est-ce que vous allez faire avec toutes ces choses?
Avec ce beau pays que je vous ai donné?
C'est ça la question que Dieu nous demande aujourd'hui.
Est-ce que vous allez prendre possession de ce pays?
Est-ce que vous allez vraiment vous occuper de ces bénédictions célestes?
Et malheureusement, on n'a pas le temps vraiment d'étudier tous ces passages.
Mais si vous voulez étudier à la maison,
j'encouragerais beaucoup de lire le début de Tite 1,
qui parle de cette promesse éternelle et de cette vie éternelle.
Et aussi 2 Timothée 1 au début, qui nous parle de cette promesse.
Et Tite 3, il y a une référence à ça.
Ça nous montre que Dieu avait quelque chose dans son corps dès avant la fondation du monde.
Et c'est cette portion ou cet héritage que Dieu veut maintenant partager avec vous et moi.
C'est cette possession que Dieu vous donne.
Et Dieu veut que nous jouissions de cette possession.
Mais si quelqu'un nous donne un pays, c'est-à-dire un héritage,
il faut faire la peine d'y aller.
Il faut faire la peine, peut-être, de régler certaines choses
pour qu'on puisse jouir de cet héritage, de cette maison ou de cette terre, vous voyez.
Et ainsi, on voit que le peuple de Dieu, ici, dans les juges, doit faire quelque chose.
Mais comment est-ce qu'on peut faire quelque chose sans connaître la pensée de Dieu, vous voyez ?
Ça, c'est maintenant la première ressource qui est mentionnée.
Pour pouvoir prendre possession du pays, il faut connaître la pensée de Dieu.
Quoi faire ?
Voilà, nous avons toujours cette ressource de la prière.
Le Seigneur Jésus a dit, à un moment donné, je m'en vais.
Je m'en vais.
Dans Jean 14, 15 et 16, on le voit.
Mais il a dit, vous pouvez prier.
Dans les Épitres, on le voit aussi que le Seigneur Jésus a laissé cette possibilité.
Et par la prière, il met à notre disposition toutes les ressources que les disciples avaient lorsque le Seigneur Jésus était avec eux.
Vous me comprenez ?
Nous avons donc les mêmes ressources que les disciples avaient lorsque le Seigneur Jésus était avec eux.
Et nous avons même plus de ressources parce que le Seigneur Jésus a donné en plus son esprit que les disciples n'avaient pas ce moment-là, ce temps-là.
Donc, on a ces ressources, les mêmes ressources, mais on doit être dépendant de Dieu pour pouvoir utiliser ces ressources.
Il faut ouvrir nos cœurs pour recevoir de ces ressources.
Et c'est pour ça qu'ils disent, qui de nous montra le premier ?
Donc, la première ressource que nous avons dans un temps de déclin, c'est la prière.
C'est un étroger Dieu.
Maintenant, j'ai utilisé un mot que je n'ai pas encore expliqué, un temps de déclin.
Pourquoi est-ce que j'utilise ce mot ?
On va voir dans le livre des juges qu'après le départ de Josué, tout est allé mal, publiquement.
Publiquement, tout va mal.
Et cet après-midi, on va voir, Dieu voulant, encore comment ce progrès du mal ou ce déclin continue jusqu'à un point absolu de bas.
Et dans ce livre des juges, on voit donc d'abord une introduction pour nous expliquer comment ce déclin a eu lieu.
Le déclin a eu lieu parce qu'ils n'ont pas vraiment écouté la voix de Dieu.
C'est là où le déclin commence.
Et on va voir, même dans ces premiers versets, que c'est là leur manque.
Ils n'ont pas vraiment écouté la voix de Dieu.
Ils n'ont pas mis en pratique ce que Dieu leur avait dit.
Et cela a de graves conséquences.
Et ces graves conséquences nous sont présentées surtout dans chapitre 1, à la fin, chapitre 2.
Et on va voir ces conséquences que Dieu a permises.
Que les nations qu'il devrait détruire resteraient dans le pays.
Et dans chapitre 3 jusqu'au chapitre 16, on va voir des réveils que Dieu a permis.
Dieu a permis certains réveils dans ces périodes de déclin.
Mais c'était toujours un peu plus bas.
Le niveau général est devenu plus bas.
Et la troisième partie du livre des juges nous parle, c'est un supplément, de l'état moral qui était là déjà au début.
Dans juges 17 jusqu'à 21, on voit un résumé de ce qui se passait déjà dans les jours de Phinée.
Phinée était le grand sacrificateur, le souverain sacrificateur.
Donc, dans un temps où les apôtres ne sont plus là, où les dirigeants que Dieu avait donnés au début ne sont plus là,
c'est à nous d'introger Dieu, à connaître ses pensées.
Qu'est-ce que Dieu répond?
Ok, je m'excuse, il faut encore expliquer un autre point.
Qui de nous montra le premier contre le cananéen?
Quelquefois, on a de la misère à comprendre ici.
Pourquoi est-ce que ce peuple a dû exterminer toutes ces nations?
Pour comprendre ce point, il faut réaliser que Dieu avait donné beaucoup de temps à ces nations de se repentir.
Ces nations sont mentionnées déjà dans Genèse 15, où Dieu a parlé à Abraham de sa semence.
Que sa semence posséderait, à un moment donné, ce pays promis.
Et Dieu avait attendu longtemps. Il a dit, l'iniquité des Amoriens n'est pas encore à son apogée, à son comble.
Et Dieu attend. Il a attendu à peu près 400 ans.
Et même après ce temps-là, Dieu a donné encore du temps pour que ces gens se convertissent, pour qu'ils se repentent.
On le voit dans l'histoire de Rahab.
Rahab dans Josephus II, c'est un exemple, on voit l'œuvre de Dieu et une entière conversion, la repentance.
Et pour ces nations, c'était encore le temps, même ce jour-là.
Mais ils se sont endurcis contre Dieu, sauf certaines exceptions.
Mais la plupart s'est endurci contre Dieu.
Et ils vivaient dans un état moral tellement terrible, entièrement sous la puissance du diable.
Je ne peux pas décrire les choses qu'ils ont faites là.
C'est horrible, entièrement sous la puissance du diable.
Mais c'était le pays de Dieu, vous voyez.
Toute la création appartient à Dieu.
Donc, à un moment donné, Dieu a le droit d'intervenir, de dire, jusqu'à ce point-là, et maintenant, ça suffit.
Et on vit dans les mêmes jours aujourd'hui, où cette dégénération continue, jusqu'à ce que Dieu dise, ça suffit, j'arrête.
Dieu se sert donc du peuple d'Israël pour exécuter son jugement sur ces nations.
Dieu est juste, aucun doute là-dessus.
Dieu n'est pas injuste ici, en exterminant ces nations.
Mais vous voyez, Dieu veut le faire par son peuple.
Il veut leur donner cette portion, ce pays qu'il avait dans son corps, leur donner.
Donc, Dieu se sert aussi de son peuple pour exterminer ces nations.
Mais c'était le jugement de Dieu.
Ça, c'est important à réaliser.
Par contre, il y a aussi un contraste avec nos jours.
Nous ne sommes jamais appelés par Dieu à exterminer des personnes.
D'ailleurs, ce n'est pas notre responsabilité, ce serait la responsabilité du gouvernement.
Le gouvernement a reçu la puissance de tuer des personnes.
Aucune autre autorité ne peut le faire.
Donc, ça, c'est un rapport avec l'importance d'exterminer ces nations.
Et Josué, mais aussi Moïse, avait averti.
Il avait dit, si vous ne le faites pas, ces nations vont vous influencer.
Et après un certain temps, vous allez faire la même chose.
Et c'est ça qui est arrivé.
C'est ça qu'on voit dans le livre de Jésus.
Ils étaient désobéissants.
Donc, voilà quelle leçon pour nous.
Être obéissant pour faire exactement ce que Dieu nous dit.
Où est-ce qu'on voit donc ce combat pour nous dans la parole de Dieu ?
Et là, j'aimerais suggérer que vous lisez Ephésiens 6.
J'ai mentionné tantôt l'entrée du pays, prendre possession du pays, la conquête et tout ça.
Mais maintenant, le peuple a le pays.
Mais là, ils doivent être forts dans le pays, contre l'ennemi.
Ils doivent être forts pour garder le pays.
Et ainsi, ils doivent vraiment se remettre au Seigneur.
Être dépendants de lui pour garder ce pays.
Ils ne l'ont pas fait.
Et ainsi, on voit que beaucoup de chrétiens n'étaient pas fidèles en rapport avec ce combat qu'on a dans Ephésiens 6.
Ce combat qu'on ne peut pas étudier maintenant non plus, mais vous pouvez le lire chez vous.
Ephésiens 6, à la fin, on a ce combat contre les autorités.
Paul le dit déjà dans 2 Chrétiens 10.
Notre guerre, notre combat n'est pas contre les puissances de chair, contre le sang et la chair, mais contre ces puissances de l'ennemi.
L'ennemi peut se servir de la chair et du sang pour nous opposer.
Mais le vrai combat est contre les puissances de l'ennemi, les autorités.
Tout cela, on voit dans Ephésiens 6.
Les puissances du diable.
C'est là le conflit que nous avons.
Et là aussi, on voit dans Ephésiens 6 que ce conflit est réalisé sur nos genoux.
On voit là un soldat qui a toute l'armure de Dieu pour faire ce conflit.
Je répète, ce serait très intéressant vraiment à étudier ce chapitre parce que cela nous montre exactement ce que nous devons faire selon ces instructions des juges.
Mais ce combat est réalisé sur nos genoux.
Comme ici, qui de nous montra le premier?
Et l'Éternel dit, Judas montra.
Il donne la réponse, voici j'ai livré le pays en sa main.
Donc, c'est la promesse de Dieu de sa part d'aider maintenant à prendre possession de son héritage.
Le pays était déjà conquis en entier, dans son ensemble, dans son entier.
Maintenant, il fallait qu'il prenne possession de son héritage, de sa portion.
Et Dieu lui vient en aide aussi pour prendre possession de cette partie.
Mais là, qu'est-ce que Judas dit? Verset 3.
Judas dit à Siméon, son frère, monte avec moi.
Vous voyez, Judas avait l'exercice.
Judas était indiqué par Dieu de faire ce combat.
Et maintenant, il engage son frère.
Dans le livre de Josué, on voit clairement que Siméon était dans une position inférieure comparée avec Judas.
Judas avait une portion très grande.
Et Judas avait même donné une portion de son héritage à Siméon.
Donc, Siméon avait vraiment une place inférieure.
Mais, il fallait aussi que Siméon écoute la voix de Dieu.
Donc là déjà, on voit un élément de faiblesse.
De notre côté, on pourrait dire, mais c'est précieux quand même, ces relations fraternelles.
Et c'est vrai.
De notre côté, il faut apprécier les relations fraternelles que Dieu nous donne.
Dieu, le Seigneur, nous donne des frères, des sœurs.
Ce sont des relations dans lesquelles il nous a placés.
Et on doit apprécier ces relations.
C'est d'ailleurs une de nos ressources.
Quelle joie dans le temps du déclin si nous pouvons être ensemble.
Dernièrement, j'ai lu l'histoire de Jonathan qui est allé combattre les Philistins avec son jeune homme qu'il avait avec lui, qui a porté ses armes.
Il avait la communion entre les deux.
C'était comme un frère, un lien fraternel.
C'est très précieux.
Et c'est donc une des ressources que Dieu nous donne dans un temps de déclin.
Que nous avons encore des frères avec les mêmes exercices.
On le voit même dans le livre de Malachi, à la fin de l'histoire d'Israël.
Même là, dans le temps de ruines, il y en avait qui parlaient ensemble.
Vous voyez, ce sont des ressources que Dieu nous donne aussi.
Mais on doit être dépendant de Dieu, même dans ses liens fraternels.
C'est ça le point qu'on doit saisir ici.
Les relations fraternelles, c'est quelque chose que Dieu donne.
C'est une bénédiction.
Mais même là, on doit être dépendant de Dieu pour être exercé.
Pour être dirigé par Dieu.
Donc, Simeon devrait être exercé lui aussi.
Malgré le fait qu'il était inférieur à Judas.
Ok, dans le verset 3.
Monte avec moi dans mon lot et faisons la guerre contre le Cananéien.
Et moi aussi, j'irai avec toi dans ton lot.
Donc, c'est ici comme un pacte qu'ils font les uns pour les autres.
Ils vont aider mutuellement.
Ce qui est bon.
Mais il y a ici donc cet élément de faiblesse.
Parce que c'est un manque de dépendance de Dieu.
Et Simeon alla avec lui.
Et puis, on lit dans le verset 4.
Judas monta et l'Eternel livra le Cananéien et le Phérésien dans leurs mains.
C'est la grâce de Dieu.
Et c'est souvent le cas pour nous aussi.
Que nous faisons quelque chose pour le Seigneur dans la dépendance.
Mais que c'est mélangé avec un élément de faiblesse.
Comme on le voit ici.
Mais le point que j'aimerais souligner vraiment.
Parce que ça, c'est le point de départ.
Un élément de désobéissance.
Et on va voir plus tard.
Surtout dans la deuxième partie de la parole de Dieu.
Où ça nous amène.
Donc, ils ont la conquête.
Ils ont la victoire.
Ils frappèrent à Bézèque dix mille hommes.
Ils trouvèrent Adonis Bézèque à Bézèque.
C'était un des seigneurs du pays qui était resté après la conquête du pays.
Peut-être pas avec la même autorité que les rois que Josué avait exterminé.
Mais quand même, un homme avec une grande autorité quand même.
Une grande puissance.
Parce que dans le verset six, nous voyons.
Dans le verset sept, nous voyons qu'il avait soixante-dix rois sous lui.
Qu'il avait conquis.
Donc, ça nous parle de son importance.
Dans le verset six, il y a un autre élément de faiblesse.
Qu'est-ce que les hommes de Judas ont fait ?
Ils le poursuivirent et le saisirent.
Et ils lui coupèrent les pouces des mains et des pieds.
Dieu avait dit par Moïse et par Josué de tuer ces nations.
Même les rois, et justement les rois, ils ne l'ont pas fait.
C'est donc un autre élément de désobéissance.
Et pas seulement cela, ils sont influencés par les coutumes de ces nations.
Parce que c'était leur coutume de couper les pouces des mains et des pieds.
Et ainsi, la même cruauté, ils font.
C'est donc l'influence maintenant de ces nations.
Là où ils sont désobéissants.
Ils auraient dû le tuer tout de suite.
Verset sept, cet homme Adonis Bézèque reconnaît la rétribution de Dieu.
Il reconnaît la main de Dieu.
Cela ne veut pas dire qu'il s'est converti.
Mais il reconnaît que c'est le juste jugement de Dieu qui lui arrive.
Comme j'ai fait, ainsi Dieu m'a rendu.
Et on l'amena à Jérusalem et il y mourut.
C'est un point important.
Ils l'ont amené à Jérusalem.
Jérusalem, c'est l'endroit, selon les pensées de Dieu,
où Dieu devrait habiter au milieu de son peuple.
Si vous voulez lire Deuteronome 12 et aussi le psaume 132, d'autres passages,
vous allez voir que Jérusalem était une place que Dieu avait réservée dans son cœur pour habiter là avec son peuple.
Mais il fallait aussi que le peuple cherche cette place.
Dieu ne l'a pas révélée.
Voilà de nouveau un point duquel on pourrait parler longuement,
mais on n'a pas le temps de le faire maintenant.
Parce que Jérusalem, c'est la place de l'unité du peuple de Dieu.
Où Dieu veut que le peuple habite avec lui.
Donc ça c'est une autre ressource que nous avons.
C'est Jérusalem.
Le Jérusalem.
La Jérusalem de Dieu.
Vous voyez versé vite, « Et les fils de Juda avaient fait la guerre contre Jérusalem et l'avaient prise ».
Jérusalem, c'est la place que Dieu avait réservée pour y habiter.
Et malheureusement, dans l'histoire de l'Église, le peuple a perdu cette place bien vite.
Ici ils l'ont prise, mais plus tard on voit qu'ils n'ont pas habité là.
Peut-être que c'était une partie de Jérusalem et qu'ils n'ont pas pris la forteresse de Jérusalem.
Mais quoi qu'il en soit, on voit qu'au début ils avaient cette ville, mais plus tard ils l'ont perdue.
Donc une autre ressource que Dieu nous donne, c'est Jérusalem.
Mais est-ce qu'on va garder Jérusalem?
Ça c'est la grande pensée.
Versé 9, « Et ensuite les fils de Juda descendirent pour faire la guerre aux Cananéens qui habitaient la montagne, et le Midi, et le Pays-Plat.
Donc ils sont zélés et le Seigneur est avec eux.
Versé 10, « Et Juda s'en allait contre les Cananéens qui habitaient à Hébron. »
Voilà, c'est l'histoire de Caleb.
Si vous voulez lire Jésus 14 et 15, vous allez voir la même histoire avec plus de détails qu'ici.
Comment Caleb avait l'exercice de prendre possession de son héritage.
Caleb voulait prendre possession de son héritage.
Et ainsi il a encouragé tout le monde.
Il a encouragé toute la tribu de Juda pour le faire.
Vous voyez l'influence d'un seul homme.
Et dans les jours de déclin on a donc deux possibilités.
On peut influencer les autres pour encourager, comme Caleb l'a fait.
Caleb veut dire de tout cœur.
Il a suivi le Seigneur avec tout son cœur.
Ou bien on peut influencer les frères et les sœurs par la négligence ou par la désobéissance.
Comme on le voit plus tard.
C'est deux possibilités.
Donc ici on a une autre ressource.
Hébron était prise.
Hébron c'est la place de la communion.
Dieu veut avoir la communion avec nous.
Jérusalem c'est la place où ils ont servi Dieu.
Plus tard le temple, tout ça, le service, l'accès de Dieu.
Mais Dieu veut aussi la communion avec son peuple.
Mais aussi les frères ensemble.
Le psaume 133, on voit cette communion.
Voilà, ça c'est notre Hébron.
Cette communion ensemble dans la présence de Dieu.
Et Judas par l'exercice de Caleb a pris cette possession.
Quel encouragement.
Or le nom d'Hébron était auparavant Kyriath Arba.
C'était donc le chef de cette ville.
Il frappait aussi ses fils.
Ce sont toutes des influences du pays, de ces nations canadiennes contre Dieu.
Il faut donc conquérir ces éléments pour jouir la communion.
Il faut conquérir ces quatre géants.
Kyriath Arba qui était le père.
Et aussi Shechay, Achiman et Tamay pour jouir la communion.
Ainsi aussi dans nos jours il y a des entraves, des empêchements pour la communion fraternelle.
Et la communion avec Dieu.
Il faut conquérir ces éléments, ces empêchements pour jouir la communion.
Et Caleb nous donne l'exemple.
Caleb qui avait le pays dans son cœur.
Qui avait joui du pays et n'a jamais oublié le pays dans son cœur.
Il était toujours là.
Voilà, il a aussi influencé son gendre qui était le fils de son frère Othniel.
Donc un autre encouragement.
Caleb a influencé par son exemple Othniel.
Qui est devenu plus tard un des juges.
Qu'on va voir dans chapitre 3, Dieu voulant.
Et qu'est-ce que lui a fait ?
Verset 11.
Là il s'en allait contre les habitants de Débir.
Or le nom de Débir était auparavant Kyriath Sefer.
Kyriath Sefer veut dire ville du livre.
Et ça c'était donc une autre forteresse des Canadiens.
Hébron qui était appelé Kyriath Arba.
C'était une forteresse qui était construite avant Zohan.
Zohan était une des villes importantes de l'Égypte.
Donc même avant l'Égypte avait fondé ces villes importantes.
Hébron était déjà là.
Ça nous montre donc la puissance que ces Canadiens avaient.
Et comme Kyriath Sefer doit changer de caractère.
Comme Kyriath Arba a changé de caractère.
Ainsi aussi Kyriath Sefer doit changer de caractère.
Cette forteresse qui nous parle de l'intelligence de l'ennemi doit être détruite.
Et ça devient la place où Dieu parle.
Débir veut dire oracle.
Vous voyez la place où il y avait la communion de ces géants.
Et leur puissance est devenue la communion avec les frères.
Ainsi la place où il y avait l'intelligence de l'ennemi.
Avec toute son immoralité a été détruite.
Et est devenue une place où Dieu parle.
Où nous écoutons la parole de Dieu.
L'oracle.
Débir veut dire oracle.
C'est un encouragement pour nous tous.
Pour nos jeunes surtout qui doivent étudier.
On doit être occupé de l'intelligence des Canadiens.
Quelquefois on doit même lire des livres qui ne sont absolument pas bons.
Et puis on doit donc vaincre ces influences.
Pour que cette place devienne l'oracle où Dieu nous parle.
Un autre encouragement on a donc dans le verset 12.
A qui frappera Kyriath Sefer il apprendra je lui donnerai ma fille Aksa pour finir.
Je vais parler maintenant d'Aksa.
Caleb n'a pas seulement influencé Othniel.
Il a aussi influencé sa fille Aksa.
Aksa qui était très décidée on le voit plus tard.
Et dans toutes ces personnes on a donc aussi des images des ressources que Dieu nous donne.
Caleb on ne lit pas de sa mort.
L'esprit de Caleb est resté parmi le peuple de Dieu.
Et ainsi Dieu veut que l'esprit de Caleb reste aussi au milieu de nous.
Pour que nous puissions suivre son exemple.
Pour que nous puissions être des Othniel et des Aksa.
Othniel veut dire lion de Dieu.
Là on a donc la puissance de Dieu qui est mise à notre disposition pour conquérir le pays.
Caleb on a vu déjà entièrement son cœur entièrement pour Dieu.
Et Aksa cela se réfère à notre marche pratique.
L'état subjectif pour ainsi dire.
Son nom veut dire c'était comme une chaîne que les gens ont mis autour de leurs pieds.
Ainsi cela nous parle de la marche.
Et sa marche était bonne comme on va voir maintenant verset 14 et 15.
Elle a incité son mari à demander à son père un champ.
Elle avait vraiment à cœur le pays.
Elle voulait avoir un héritage dans ce pays.
Comme Caleb l'avait voulu.
Et ainsi elle encourage même son mari.
Cela peut nous arriver aussi que la soeur encourage son mari.
Et puis elle demande encore quelque chose à son père verset 15.
Elle lui dit donne moi une bénédiction car tu m'as donné une terre du midi.
Donc sa bénédiction initiale c'était qu'elle a reçu un champ.
Mais maintenant c'était donc une terre du midi.
C'était une portion du pays.
Mais le pays comme tel n'est pas suffisant.
Il faut avoir aussi des fruits dans ce pays.
Et c'est Aksa qui est exercée pour avoir des fruits.
Et pour pouvoir produire des fruits il faut avoir de l'eau.
Vous voyez Dieu nous donne une portion dans le pays céleste.
Mais il faut produire des fruits.
Dans Deuteronome 8 si vous voulez c'est un autre passage qu'on aimerait lire ensemble avec ceci.
Dieu nous parle des fruits du pays.
Dans Deuteronome 11 et 14 également.
Et là on voit l'importance du pays parce que ce pays a produit des fruits.
Et vous voyez Dieu nous donne des bénédictions.
Mais c'est pour avoir des fruits.
Paul a dit béni soit le Dieu et père.
Ça c'est le fruit.
Il a adoré Dieu.
Dieu veut que nous produisons des fruits.
Et là il nous donne encore une autre ressource.
Ce sont les sources du haut et les sources du bas.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Les ressources que Dieu donne maintenant pour que nous puissions produire du fruit.
Pour que nous puissions adorer Dieu et vraiment jouir de ses bénédictions célestes.
Pour produire du fruit pour Dieu.
Ça c'est le point.
Il nous donne les ressources de l'esprit.
Des sources du haut.
Ça veut dire l'esprit qui est venu d'en haut.
On le voit dans Jean 4 déjà.
Lorsque le Seigneur Jésus parle avec cette femme de la Saint Marie.
Après cette conversion, elle parle de l'adoration.
Et le Seigneur Jésus continue.
Il parle de l'esprit qui descendrait et qui produirait une fontaine d'eau vive.
Voilà.
Ce sont les sources du haut.
L'esprit qui est venu du haut du ciel pour être avec nous et pour produire des fruits.
Mais vous voyez le point ici.
Ce n'est pas seulement le fait que nous avons reçu l'esprit.
C'est que nous ouvrions nos coeurs pour que l'esprit puisse opérer.
Pour que nous puissions ôter tous les empêchements pour que l'esprit puisse fonctionner.
Ça c'est le point.
Et ainsi l'esprit va produire des fruits qui montent en haut.
Cette fontaine d'eau vive.
Et aussi l'esprit va produire des effets horizontaux pour ainsi dire.
Des effets horizontaux.
Les sources du bas.
Peut-être on peut penser à Jean VII en rapport avec ceci.
Les sources d'eau, ces eaux vives qui coulent de notre intérieur.
Les choses que nous avons apprises de la parole de Dieu et digérées, nous pouvons partager avec d'autres.
On peut aussi penser à ce que Dieu donne dans les périodes du haut de nos vies ou dans les périodes du bas.
Ou nous sommes déprimés.
Ou nous sommes dans la vallée.
N'importe dans quelle situation dans nos vies, il y a ces sources d'eau vive disponibles pour nous.
Ça c'est un encouragement.
Donc on voit que Dieu donne des encouragements à son peuple.
Et que ces ressources sont disponibles toujours.
Dieu a des bénédictions disponibles pour vous et moi.
On peut profiter de ces bénédictions en étant dépendant de Dieu dans la prière.
En jouissant de nos relations fraternelles.
En jouissant aussi de Jérusalem, la place où on peut servir Dieu.
Avoir l'accès de Dieu.
En jouissant de cette communion hébreux.
En écoutant ces oracles, cette parole par le ministère prophétique de la parole.
En jouissant du pays comme Otnier l'a fait, comme Axel l'a fait.
Ayant ces ressources de l'esprit.
Tout cela est disponible pour vous et moi.
Même dans un temps de ruine.
Et on va, pour terminer maintenant ce passage que nous avons lu.
Le verset 16.
Qu'il y a aussi une place pour l'étranger.
On peut expliquer ce verset de deux façons différentes.
On pourrait voir un aspect positif.
Le fait que les Kényens sont venus avec Judas.
Vous voyez, le Kényen c'était le beau-père de Moïse.
Et le beau-frère de Moïse avait refusé d'aller avec Moïse.
On peut le dire d'un nombre dix.
Là d'ailleurs on voit aussi un manque de la part de Moïse.
Parce qu'il voulait que son beau-frère le dirige à travers le désert.
Mais ici on voit donc les descendants de cette tribu.
Qui voulaient rester avec le fils de Judas.
C'est donc quelque chose de positif.
Ainsi ça peut nous arriver que des proches de nous veulent être avec nous.
Parce qu'ils ont vu que Dieu nous bénit.
Plus tard par contre on voit peut-être aussi un aspect négatif.
Ils ne se sont jamais vraiment mélangés.
Ce n'est pas le bon mot.
Mais ils ont toujours gardé leur identité propre au milieu du peuple de Dieu.
Donc on peut interpréter ça aussi d'une façon négative.
Ils n'ont jamais vraiment pris une place au milieu du peuple de Dieu.
Comme Caleb l'a fait.
Caleb avait aussi une origine païenne.
Mais il est devenu le prince de la tribu de Judas.
Les Kényens n'ont jamais fait ça.
Donc ça c'est peut-être une pensée négative en rapport avec eux.
Mais si on poursuit l'histoire de ces Kényens.
On va voir plus tard que les fils de Réchab étaient là.
Même dans les jours de Jérémie.
Où le peuple avait grandement manqué.
Les Réchabites étaient fidèles.
Donc là il était même un exemple pour le peuple.
Quoi qu'il en soit on a toujours des provisions de la part de Dieu pour l'étranger.
Et il faut avoir aussi la même pensée.
C'est les compassions de Dieu.
Envers lesquelles Dieu veut être montré ses compassions.
Vous voyez lorsque Dieu ne montre pas ses compassions.
Parce qu'il a donné des instructions à tuer ces gens là.
Là nous ne devons pas non plus montrer des compassions.
Ou des miséricordes.
Si vous pensez que vous pouvez faire un contrat pour incidir avec le monde.
Ça ne va pas.
Ça va nous rendre incapables à prendre possession du pays.
Si nous avons une alliance avec le monde.
Comme le peuple l'a fait plus tard.
On ne sera pas capable de jouir du pays.
On sera exposé aux influences de ce monde.
Et on va suivre leurs méthodes.
Comme nous avons vu déjà dans le verset 7.
Comment ils ont coupé ses doigts etc.
On va suivre les influences de ce monde.
On va s'associer au monde.
On va par le mariage plus tard.
Comment ils ont même commencé à adorer les mêmes idoles.
Donc c'est le chemin du déclin.
Ça c'est l'arrière-plan.
Mais on a des lumières.
Des lumières qui brillent.
Qui donnent des exemples pour nous.
Qui sont très encourageants.
Puis Dieu voulant cet après-midi.
On va s'occuper donc plutôt de ce progrès du déclin.
Et quel était le résultat en rapport avec la position publique.
Que Dieu a prise avec eux. …
Automatic transcript:
…
Juge chapitre 1 verset 17 jusqu'au 2 verset 5. Juge 1 verset 17. Et Judas s'en alla avec Siméon, son frère.
Ils frappèrent le Cananéien qui habitait à Tseffa et détruisirent entièrement la ville. Et on
appela la ville du nom de Orma. Et Judas prit Gaza et ses confins, et Ascalon et ses confins, et Écran
et ses confins. Et l'Éternel fut avec Judas, et il prit possession de la montagne, car il ne dépossédait
pas les habitants de la vallée, parce qu'il avait des chars de fer. Et on donna Hébron à Caleb,
comme Moïse l'avait dit, et il en a dépossédé les trois fils d'Anak. Et les fils de Benjamin ne
dépossédèrent pas les Jébuséens, habitants de Jérusalem. Et les Jébuséens a habité avec les
fils de Benjamin à Jérusalem jusqu'à ce jour. Et la maison de Joseph eut aussi, eux aussi,
montère à Béthel, et l'Éternel fut avec eux. Et la maison de Joseph fit reconnaître Béthel. Le nom
de la ville était auparavant Luz. Et la garde vire un homme qui sortait de la ville, et lui dire,
montre-nous, nous t'en prions, par où l'on entre dans la ville, et nous userons de bonté envers
toi. Il leur montra par où l'on entrait dans la ville. Et ils frappèrent la ville par le tranchant
de l'épée, mais ils laissèrent aller l'homme et toute sa famille. Et l'homme s'en alla dans le
pays des Étiens, et bâtit une ville, et l'appela du nom de Luz. C'est là son nom jusqu'à ce jour.
Et Manassé ne dépossédait pas Beth-Shean et les villages de son ressort, ni Tahanak et les villages
de son ressort, ni les habitants de Dor et les villages de son ressort, ni les habitants de
Jibléan et des villages de son ressort, ni les habitants de Mégédo et des villages de son
ressort. Et le Cananéen voulut habiter dans ce pays-là. Et il arriva que quand Israël fut
devenu fort, il rendit le Cananéen tributaire, mais il ne le dépossédait pas entièrement.
Et Éphraim ne déposséda pas le Cananéen qui habitait à Gézère, mais le Cananéen a habité au
milieu d'eux à Gézère. Zabulon ne dépossédait pas les habitants de Kitran ni les habitants de
Nahalol, mais le Cananéen a habité au milieu d'eux et fut rendu tributaire. Hazer ne déposséda pas
les habitants d'Akko, ni les habitants de Sidon, ni Achlav, ni Aqzib, ni Elba, ni Afrique, ni Réhob.
Et Lazérite a habité au milieu des Cananéens, habitants du pays, car il ne les dépossédait pas.
Neftali ne déposséda pas les habitants de Bet-Shemesh ni les habitants de Bet-Anat. Il a
habité au milieu des Cananéens, habitants du pays. Mais les habitants de Bet-Shemesh et de
Bet-Anat lui devinrent tributaires. Et les Amoréens repoussèrent dans la montagne des Fils
des Dents, car ils ne leur permirent pas de descendre dans la vallée. Et l'Amoréen voulut
habiter dans la montagne de Hérès à Aïzalon et à Chalbim, mais la main de la maison de Joseph
devint forte et ils furent soumis aux tribus. Et la frontière de l'Amoréen était depuis la montée
d'Acrabim, depuis le rocher et en-dessus. Et l'ange de l'éternel monta de Gilgal à Boquim. Il dit,
je vous ai fait monter d'Egypte et je vous ai introduit dans le pays que j'avais promis par
serment à vos pères. Et j'ai dit, je ne romperai jamais mon alliance avec vous. Et vous, vous ne
traiterez point alliance avec les habitants de ce pays. Vous démolirez leurs hôtels et vous n'avez
pas écouté ma voix. Pourquoi avez-vous fait cela? Et aussi j'ai dit, je ne les chasserai pas de
devant vous. Ils seront à vos côtés et leur Dieu vous sera en piège. Il arriva que comme l'ange de
l'éternel disait ses paroles à tous les fils d'Israël, le peuple éleva sa voix et pleura.
Ils appelaient le nom de ce lieu-là, Boquim. Ils sacrifiaient là à l'éternel. Peut-être aussi
un verset dans le Nouveau Testament, Philippiens 2, dans notre premier cantique, nous avons pensé à
ce fait que le Seigneur nous a instruit en vue de ces moments où nous serions seuls, où il serait
absent. Dans Philippiens 2, nous avons l'exemple donc de l'apôtre Paul où il écrit dans versets 12
et 13. Ainsi donc, mes bien-aimés, de même que vous avez toujours obéi, non seulement comme en
ma présence, mais beaucoup plus maintenant en mon absence, travaillez à votre propre salut avec
crainte et tremblement. Car c'est Dieu qui opère en vous, et le vouloir, et le faire selon son bon
plaisir. Le parallèle ici, ce n'est pas 100% avec le livre des Judes parce que dans l'Épître aux
Philippiens, on n'est pas encore dans le pays. L'Épître aux Éphésiens nous place dans le pays.
Mais la pensée ici, c'est quand même instructive que nous avons des instructions, et maintenant,
dans l'absence des apôtres, nous devons maintenant mettre en pratique ces instructions. Ça c'est la
pensée générale qui est en parallèle. Jésus n'était plus là, maintenant le peuple devrait
mettre en pratique ce que Jésus avait enseigné. Paul, l'apôtre Paul, n'est plus avec nous. Cette
génération des anciens n'est plus avec nous, mais nous avons maintenant les ressources, comme nous
avons vu un peu ce matin, qui nous aident pour mettre en pratique les pensées de Dieu. Et c'est
le vouloir et le faire que Dieu opère, vous voyez. C'est le côté de Dieu, verset 13. De notre côté,
nous devons travailler, pas pour atteindre, je veux dire pour obtenir le salut, ça c'est pas la
pensée, mais pour mettre en pratique les pensées de Dieu. Ça c'est salutaire, pratiquement. Ça nous
garde contre les influences du monde. Ça c'est le salut pratique qu'on voit ici. Et un autre verset
encore, dans Ésaïe 63, nous avons lu dans notre chapitre des juges, de l'ange, et c'est pour ça
que j'aimerais lire aussi Ésaïe 63. On a dans les juges donc un résumé des manques du peuple. Pas
seulement leur faiblesse, mais aussi leur chute. Et ce qui nous frappe, c'est de voir que le Seigneur
était avec eux quand même. Si nous avons une chute, le Seigneur ne nous abandonne pas, parce que nous
nous appartenons à lui. Nous sommes sans peuple. Et la même pensée on trouve dans Ésaïe 63. L'ange
a pleuré à Boquim, on va voir ça plus tard, mais il était avec son peuple, malgré leur déclin,
malgré leur faiblesse. Dans Ésaïe 63, verset 8, il dit, certainement ils sont mon peuple, des fils qui
ne mentiront pas. Ça c'est l'aspect de Dieu, comme j'ai mentionné dans Philippiens 2, verset 13,
c'est l'heure de Dieu, des fils qui ne mentiront pas. Par contre, de notre côté, on voit, il y a
des manques, il y a même quelquefois des mensonges, et on doit toujours discerner entre l'oeuvre de
Dieu, d'un côté, et notre responsabilité. Mais le fait que j'aimerais souligner maintenant, il est
avec son peuple, ils sont chutés, ils ont eu donc des chutes et des faiblesses, et qu'est-ce qu'il
dit? Et il est devenu leur sauveur. Dans le livre des juges, on va voir que Dieu envoie des sauveurs,
pas seulement des juges, parce que la pensée d'un juge, c'est quelqu'un qui juge, et même condamne
s'il est nécessaire. Mais le mot juge est aussi administrateur, c'est quelqu'un qui prend soin du
gouvernement, et quelquefois ces juges sont appelés aussi sauveurs. Et on va voir, si le Seigneur
permet, ça encore plus tard, comment le Seigneur Jésus s'est montré, ou Dieu s'est montré comme
sauveur envers son peuple, à travers ces juges, à travers ces sauveurs. Donc, il est le sauveur
suprême, pour ainsi dire. Il peut se servir des hommes, comme Othniel, et plus tard Gédéon,
et d'autres sauveurs, pour sauver son peuple, pratiquement. Il est devenu leur sauveur.
Maintenant, le verset 9, c'est vraiment un verset clé. Dans toute leur détresse, il a été en détresse.
Eux ont pleuré, il a pleuré. Si vous êtes dans des situations difficiles, où vous devez pleurer,
le Seigneur pleure avec vous. Il était dans toute leur détresse. Il a été en détresse,
même si c'était leur propre faute. Il n'a pas fait des reproches, il n'a pas dit, ok, c'est votre
faute maintenant, je vous laisse là. Non, il est avec eux, malgré le fait qu'eux étaient blâmés pour
tout ce qu'ils ont fait. Voilà l'amour qu'on voit ici de la part de Dieu. Et l'ange de sa face,
les a sauvés. Vous voyez, l'ange est mentionné ici. On va voir ça aussi dans Juge 2. L'ange de
sa face, donc l'ange de la présence de Dieu, qui représente Dieu, les a sauvés. Dans son amour et
dans sa miséricorde, il les a rachetés. Il s'est chargé d'eux, il les a portés tous les jours
d'autres fois. C'est donc le côté de Dieu. On voit toujours, dans le verset 9 par exemple,
tous les résumés de cette histoire, ce que Dieu a fait. Mais, verset 10, ils se rebellèrent. Ce mais
on trouve aussi dans Nehemi 9 et d'autres livres, Daniel 9 et d'autres portions de la parole qui
nous montrent les manques du peuple, ce que le peuple a fait. Mais ils se rebellèrent. C'est ça
le sujet des juges. L'intervention de Dieu, les manques, mais même la rébellion de la part du
peuple. Ils se rebellèrent et contristèrent l'esprit de sa sainteté et il se changea pour eux
en ennemis. On va voir dans le livre des juges que Dieu a envoyé des ennemis. Il les a envoyés. Il se
changea pour eux en ennemis. C'était pour les châtiers. Lui-même, il a combattu et combattu
contre eux. Mais c'était pour leur bien. On a ici les principes de la discipline de Dieu. Si vous
voulez placer un autre mot clé sur le livre des juges, c'est la discipline. C'est pour instruire,
pas seulement pour instruire son peuple, diriger son peuple, aussi pour les discipliner. Mais le
but, c'est toujours qu'ils puissent jouir de cette bénédiction que Dieu a dans son cœur. C'est ça.
Il veut les ramener. Puis si vous voulez continuer la lecture d'Ésaïe 63, c'est très enrichissant.
On voit comment il s'est sauvé d'eux et de leurs besoins. C'est encore la même chose aujourd'hui.
Et on pourrait dire encore plus. Parce que la relation dans laquelle nous avons été placés
est beaucoup plus intime encore que la relation qu'Israël avait avec Dieu. Le Dieu de l'alliance,
on a lu qu'ils ont abandonné l'alliance. L'alliance nous parle de l'amour que Dieu avait
pour son peuple. La relation entre Dieu et son peuple. Plus tard, on va voir, c'est comme un
mariage, un lien d'amour que Dieu avait avec son peuple. Maintenant, le lien que Dieu a avec nous
est encore beaucoup plus intime. Et on ne sait, Christ et l'Assemblée, c'est une relation qui
dépasse encore cette relation qu'on voit entre Israël et l'Éternel. Et ces choses, comme nous
avons vu ce matin dans 1 Chrétien 10, ont été écrites pour notre avertissement et aussi pour
notre encouragement. Maintenant, juge 1, j'aimerais aussi mentionner, si vous prenez des notes, vous
pouvez peut-être le faire une fois, lire le psaume 107. Dans le psaume 107, on voit les voix de Dieu
avec son peuple. Comment il, de leur côté, était infidèle, comme dans le livre des juges, et comment
de son côté, il a sauvé. Il est venu à leur aide. Et ainsi, il y a d'autres passages, comme j'ai
mentionné l'Apocalypse 2 et 3, où on a tout un aperçu de l'histoire de l'Église et aussi
les interventions de Dieu. On voit donc, d'un côté, l'état moral qui est nécessaire pour jouir du
pays. Si vous voyez, si Dieu donne des choses, pour donner un exemple, Israël aujourd'hui est
dans leur pays, le pays de leurs promesses. Mais la condition dans laquelle il se trouve là, n'est
pas selon les pensées de Dieu. Donc, Dieu ne peut pas encore donner vraiment la jouissance de ce
pays, sans empêchement. Par contre, lorsqu'ils se convertissent, lorsqu'ils se repentent, là, il va
leur donner la jouissance de ce pays. Et ainsi, c'est pour nous. Dieu nous a donné toutes les
bénédictions célestes, aucune exception. Pour en jouir, il faut que notre condition soit en accord
avec ses pensées. Ça, c'est maintenant la grande question. Et on voit donc que la condition du
peuple n'était pas correcte. Il y avait des exceptions individuelles, comme Calais, on a vu,
O'Neill, AXA. Ça, c'est l'état moral que Dieu aime voir avec nous, pour pouvoir jouir de ses
bénédictions. Et on a aussi vu les ressources qui sont toujours là, même dans un temps de déclin,
même dans un temps où tout semble être perdu, les ressources de Dieu ne changent pas. Et Dieu
travaille toujours selon les mêmes principes, encore aujourd'hui, dans l'état de la fin,
de la fin de la dispensation. Peut-être qu'on peut simplement suivre maintenant les pensées
qui nous sont présentées maintenant dans juge 1. La deuxième partie du juge 1 souligne maintenant
le déclin. Au début du chapitre, on a vu déjà des faiblesses. Ils n'ont pas obéi 100%, mais on a
eu aussi de bons exemples. Le restant du chapitre 1, c'est plutôt un résumé de leur déclin. Peut-être
même un ordre chronologique, je ne le sais pas, mais en tout cas, c'est un ordre moral. Le déclin
va de plus en plus bas. Judas, de nouveau, est mentionné le premier avec Siméon. Peut-être,
selon cette promesse que Judas avait faite au début du chapitre, Judas dit à Siméon, son frère,
monte avec moi dans mon lot, et moi aussi j'irai avec toi dans ton lot. Verset 3. Ils frappèrent
le Canadien et détruisirent entièrement la ville. J'aimerais souligner que c'était selon les pensées
de Dieu. Absolument. On a vu ce matin comment il était nécessaire de mettre en pratique tout ce
que Dieu avait dit. Et il y a des références, peut-être juste une référence, Deuteronome 7,
verset 2, où Moïse avait dit qu'il devrait faire ceci, Deuteronome 7, verset 1, « Quand
éternel ton Dieu t'aura introduit dans le pays où tu entres pour le posséder, et qu'il aura chassé
de devant toi des nations nombreuses, etc. Cette nation plus nombreuse et plus forte que toi,
donc ça c'est la conquête du pays sous Josué, Dieu a chassé toutes ces nations. Maintenant,
verset 2, que l'éternel ton Dieu les aura livrés devant toi et que tu les auras frappés,
ça c'est Josué, tu les détruiras entièrement. Ça c'est maintenant la responsabilité de ceux
qui vivent après Josué, et aussi à nous. Il les détruira entièrement comme un anathème. » Vous
voyez, Dieu, dans sa sagesse, il a laissé survivre certaines de ces nations, ou une partie de ces
nations, pour tester son peuple, pour les mettre à l'épreuve, vous voyez. C'est ça que Dieu fait
maintenant dans Josué 1 et 2. Il a donc, dans sa sagesse, laissé survivre de ces nations pour
que les nouvelles générations soient maintenant placées devant ces tests. Et c'est pour nous la
même chose. Nous devons faire exactement la même chose, ou les mêmes choses, que nos ancêtres
spirituels ont fait. « Tu ne traiteras point alliance avec elles. » On va revenir sur ça
dans juge 2. « Et tu ne leur feras pas grâce. » C'est très clair, et ce matin j'ai essayé
d'expliquer un peu pourquoi il fallait qu'ils détruisent ce peuple entièrement, pas seulement
pour exécuter le jugement de Dieu, qu'ils avaient mérité, mais aussi pour prévenir à l'ennemi que
ces nations deviennent un piège pour le peuple de Dieu. Donc, ici, Judas est obéissant, et on
appela la ville du nom de Orma. Orma peut dire donc, selon la note, un tiers destruction. Voilà
un exemple positif. Et ça continue encore un peu, et Judas prit Gaza et ses confins, et Ascalon et
ses confins, pour réaliser que toutes ces nations différentes ont une certaine signification. Le
cananéen, c'est le mot général pour ces nations-là, mais dans la parole de Dieu, le cananéen représente
donc une race maudite. On le voit déjà dans Genèse 9, où l'ancêtre de cette nation-là était maudit
par Noé. Et ainsi, ces nations, toutes, étaient caractérisées par cette malédiction que Dieu
avait donnée. Ils étaient sous la malédiction de Dieu, et identifiés entièrement avec les intérêts
du diable. C'est pour ça qu'ils devraient être détruits entièrement. Mais il y a aussi d'autres
ennemis. Verset 18 se réfère aux philistins. Les philistins étaient des descendants du père,
ou de l'ancêtre de l'Egypte, qui est devenu plus tard l'Egypte, Mithraïm, et eux sont venus de
l'autre côté, soit de la mer ou de l'Egypte, pour posséder le pays. Tandis que le peuple de Dieu,
eux, ont connu la sortie de l'Egypte, ont connu la traversée de la mer rouge, ont connu toutes les
expériences du désert, ont connu l'entrée du pays par le Jourdain. Tout cela implique des
leçons spirituelles. On n'en a pas pu parler ce matin. Ça prendrait l'étude de l'Exode et
surtout du Josué pour voir ce que tout cela signifie pour nous pratiquement. Mais Dieu veut
avoir un peuple dans ce pays-là qui a connu toutes ces leçons, qui a expérimenté toutes ces œuvres
de Dieu, comme on va voir plus tard dans chapitre 2, toute la grande œuvre de l'éternel, qui a
réalisé la conversion, qui a réalisé la protection par le sein de l'agneau de Pâques, qui a réalisé
la délivrance de l'Egypte, qui a réalisé la traversée à travers la mer rouge, donc identifiée
avec la mort de Christ, ou plutôt la mort de Christ pour eux. Les leçons du désert. Dieu veut
avoir un tel peuple dans le pays, pas les philistins. Et si on voit donc que les philistins étaient ici
détruits, mis de côté. Plus tard, ils remontent de nouveau. Mais initialement, on voit ici que
Judas a suivi les pensées de Dieu. Pour les philistins, il n'y a aucune place dans le pays
de Dieu. Une race qui n'a aucune place là. Donc Judas connaît les pensées de Dieu ici. Mais qu'est-ce
qu'on va voir maintenant dans le verset 19? Ça peut nous arriver aussi, vous voyez, qu'on fait
certaines choses qui sont correctes, mais on a fait la volonté de Dieu. Parfait. Qu'est-ce qui
arrive maintenant? On a vu déjà que Judas voulait avoir son frère avec lui. Ça c'est un bon signe
d'un côté, mais peut-être c'est un manque de confiance aussi. Et on voit ici qu'il va même
manquer de confiance envers Dieu. L'éternel fut avec Judas. C'est le côté de Dieu. Comme nous
avons vu dans Esaïe 63 aussi, comment Dieu était avec son peuple. Philippiens 2, comment Dieu travaille
en nous. Il est avec nous. Je pense, lorsque je lis ça, l'éternel fut avec Judas, je pense à la
promesse que le Seigneur Jésus nous a laissé. Mathieu 28, verset 20, moi je suis avec vous tous
les jours. Quelle promesse merveilleuse! C'est la fidélité de Dieu. Il prit possession de la montagne.
Ce sont donc des victoires que Dieu lui a données. Mais qu'est-ce qu'on lit? Car il ne déposséda pas
les habitants de la vallée. Pourquoi? Parce qu'il avait des chars de fer. Qu'est-ce que ça veut dire?
L'éternel fut avec Judas. Dans le livre de Josué, on voit que pas la présence de Dieu, même une
grande ville comme Jéricho est tombée. C'est par la foi de la part du peuple. Ici j'aimerais suggérer
il y a un manque de foi du côté de Judas. Un manque de confiance. Et ça peut nous arriver facilement. On
peut faire certaines choses selon les pensées de Dieu, et puis à un moment donné, on manque de foi.
Peut-être qu'on pourrait suggérer ici une autre leçon qu'on va voir plus tard, mais je veux le
mentionner maintenant. Il n'est pas monté de Gilgal. Lorsqu'il a fait ses expéditions, il n'était
pas auparavant à Gilgal. Comme dans Josué, on voit que de tous les combats qu'il a eu, toutes
les expéditions ont commencé de Gilgal, la place de la circoncision. C'est là où ils ont exprimé
pratiquement cette dépendance de Dieu, qu'ils n'ont pas mis de confiance dans la chair. Le moment
où on met la confiance dans la chair, on va manquer. Et ici on voit que Judas manque. Il ne déposséda
pas les habitants de la vallée. Donc, comme je suggère, à cause du fait qu'il n'était pas vraiment
circoncisé pratiquement, ça veut dire qu'il n'avait pas vraiment jugé la chair. C'est le
point de départ. Lorsqu'on manque de juger soi-même, on met peut-être une certaine confiance
en nous-mêmes ou dans les autres, ou d'autres sources que l'homme peut fournir. Puis là, c'est
le point de départ. Comme on voit le point de départ dans l'apocalypse, ils ont abandonné leur premier
amour. Le Seigneur Jésus n'était pas vraiment tout pour eux. Et si on pourrait peut-être suggérer
l'éternel n'était plus vraiment tout pour Judas. L'éternel avait perdu sa place dans le coeur
de Judas. Ça, c'est le point de départ lorsque le Seigneur perd sa place suprême dans notre coeur.
On n'est plus vraiment sous l'impression de la grandeur de Dieu, de sa toute-puissance, de son
amour. Ça, c'est le point de départ. Et on le voit donc ici déjà dans le verset 19. Et où est-ce
que ce point de départ va nous amener? Ça va nous amener donc jusqu'au point où l'ennemi est
entièrement en contrôle, comme dans l'Odyssée, vous voyez, à la fin du chapitre 1. Verset donnant
Héberon à Caleb. Caleb, c'est le vainqueur. Je ne sais pas si j'ai mentionné ce matin déjà cette
expression, mais ça va aider beaucoup si on comprend que les leçons que nous voyons dans
les réveils que Dieu donne, ce sont les vainqueurs. Et nous avons parlé des ressources que nous avons.
Celui ou celle qui utilise ses ressources, qui met sa confiance dans le Seigneur, qui voit la
grandeur de Dieu, qui lui donne sa place, sera un vainqueur. Caleb était un vainqueur. Axa,
sa fille. Odniel, son beau-fils, étaient des vainqueurs. Comme Moïse l'avait dit, ça se
réfère à la promesse générale que Moïse avait faite. Il en a dépossédé les trois fils d'Anak.
On en a parlé ce matin un peu. Anak veut dire le cou, c'est ça. Anak s'est donc caractérisé par la
propre volonté, qu'il ne voulait pas plier son cou devant l'Éternel. Puis l'Éternel le met de côté.
On a vu aussi que ses fils, les produits de la propre volonté, sont mis de côté. Autrement,
on ne peut pas avoir la communion. On ne peut pas jouir la communion lorsqu'un élément de la
propre volonté est maintenu. Maintenant, on suit donc cette ligne de pensée, ce déclin graduel.
C'est très graduel, vous voyez. Qui aurait pu dire à Judas, mais Judas, tu as manqué dans le verset
19. Il fallait vraiment connaître son cœur pour pouvoir ça. Mais l'esprit nous révèle ici un peu
le fait qu'il ne voulait pas déposséder ses habitants de la vallée, parce qu'il avait des
chars de fer. Montre ce manque dans leur cœur. Et parce que dans Josué, on voit que tous ses
ennemis avaient des chars de fer, mais ils étaient détruits quand même à cause de la présence de
Dieu. Verset 21, les fils de Benjamin ne dépossédèrent pas les Jébuséens, habitants de Jérusalem. On a
vu ce matin qu'ils ont pris Jérusalem, mais peut-être ses ennemis sont revenus là. Ou bien,
on doit penser que ça se réfère ici à la citadelle de Jérusalem, la forteresse. Quoi
qu'il en soit, on voit ici que Benjamin n'était pas fidèle et les Jébuséens habitaient avec les
fils de Benjamin à Jérusalem jusqu'à ce jour. Jérusalem, la ville du grand roi. Imaginons que
dans cette ville qui appartenait au grand roi, il y avait ses ennemis. Mais là, on voit quand même
que Dieu est en contrôle. Dieu, c'est tellement merveilleux de voir parce que plus tard, sur le
champ d'Orona, le roi des Jébuséens, le temple a été construit. Je ne sais pas, plus tard, même des
fils des Jébuséens ont eu une place dans le service du temple. Détruit là, c'est un manque de la part
de Benjamin, mais on voit plus tard que Dieu a calculé tout ça dans ses plans. Il s'est servi des
Jébuséens en rapport avec le temple, mais ce côté-là n'est pas mentionné ici parce qu'ici, le point
qui est souligné, c'est le manque de la part de Benjamin. Verset 22, la maison de Joseph. Il faut
réaliser ici qu'on parle maintenant des tribus qui sont dans le pays. C'est quelque chose que je n'ai
pas mentionné ce matin. Il y avait parmi les tribus de Jacob, il y en avait qui ont trouvé
leurs portions de l'autre côté du Jourdain. Et cette partie nous parle des bénédictions terrestres.
Juste brièvement pour le relever, Dieu a donné ses portions par Moïse à ces tribus-là, mais le point
c'est qu'eux n'avaient pas assez d'intérêt pour habiter dans le pays. On parle ici des choses dans
le pays. Et pour le chrétien, pour nous aussi, Dieu nous donne des bénédictions terrestres, mais il a
plus à donner. Et le pays a affaire avec ces bénédictions typiquement chrétiennes. Le fait
que vous avez une bonne santé, c'est une bénédiction terrestre. Mais il y a aussi beaucoup d'incrédules
qui ont de telles bénédictions. Ce sont des bénédictions que Dieu donne comme créateur, mais le pays a affaire
avec les bénédictions ou un héritage que Dieu donne aux chrétiens. Ça c'est le point à saisir. Et
là on voit comment ces tribus, qui sont donc des illustrations pour nous les chrétiens,
comment ils ont manqué à posséder leur héritage, à déposséder l'ennemi. Et comment nous aussi
manquons à le faire. Et comment dans l'histoire de l'Église, l'Église a manqué à le faire. Et ce
déclin graduel nous est présenté ici. Voilà, on a vu déjà Hébron, une ville importante. On a vu
Jérusalem, la ville en relation avec le service et l'accès de Dieu. Maintenant Bethel est mentionné,
une autre ville très importante. La maison de Joseph, eux aussi, montèrent à Bethel. Bethel
est mentionné, je pense pour la première fois dans l'histoire d'Abraham lorsqu'il est entré dans
le pays. Il a construit un hôtel pour l'adoration. Le premier hôtel qu'il a construit là dans le
pays, c'était près de Sikkim. Mais le deuxième hôtel était près de Bethel. Donc le premier hôtel
c'est pour reconnaître le pays, pour être reconnaissant en rapport avec le pays. Mais dans
le deuxième hôtel, il exprime sa communion avec Dieu, l'accès de Dieu près de la maison de Dieu.
Bethel veut dire maison de Dieu. Abraham déjà a joui de la présence de Dieu dans la maison de Dieu.
Mais dans l'histoire de Jacob, on voit comment cela a pris du temps pour Jacob à réaliser la
présence de Dieu dans la maison de Dieu. Ce sont toutes des leçons pour nous aussi. Si vous voulez
étudier tous ces passages en rapport avec la maison de Dieu, cela nous prendrait trop de temps
maintenant. Mais c'est très intéressant de voir ce développement dans la vie de Jacob, comment il
est venu plus tard, revenu à Bethel pour jouir de la présence de Dieu, pour reconnaître que Dieu
est le Dieu de Bethel. Il y a des chrétiens qui aiment avoir une religion, mais qui ne reconnaissent
pas l'autorité et la place du Dieu de la maison de Dieu. Et dans le Nouveau Testament, Timothée 3,
on voit donc la maison de Dieu. C'est Dieu qui a toute autorité là, toute la place. Mais ici,
cette place était occupée par l'ennemi. L'ennemi ne reconnaît pas les pensées de Dieu, la grandeur
de Dieu. Aucune pensée dans le cœur de l'ennemi pour Dieu. Et donc, Joseph va monter à Bethel et
l'éternel fut avec eux. Parce que c'est selon les pensées de Dieu qu'il monte à Bethel. C'est selon
les pensées de Dieu, si nous faisons des efforts pour prendre possession de la maison de Dieu dans
le pays, que Dieu habite avec son peuple, ou Dieu veut partager avec son peuple qui habite
avec lui. Mais qu'est-ce qu'ils font ici? Ce matin, j'ai mentionné une méthode qu'il avait
apprise là des nations. C'était de couper les pouces de leurs mains et leurs pieds. C'était
quelque chose qu'il avait appris de ces nations-là. Ici, ils utilisent une autre méthode des nations
pour entrer dans la ville. Les gardes virent un homme. Les gardes, ce sont des soldats avec
une mission spéciale de la tribu de Joseph. Joseph, ici, est mentionné donc, Ephraim et Manasseh
ensemble, vu comme Joseph, où Bethel était dans leur héritage, dans leur portion. Ils utilisent
donc un homme de la ville, donc de l'ennemi, pour leur montrer le chemin. Montre-nous, nous t'en
prions, par où l'on entre dans la ville. Peut-être une porte secrète, une entrée secrète, ou en
général, le chemin pour entrer. Ce n'est pas la porte qui était connue, mais la pensée, c'est comment
ils pourraient prendre la ville. Et cet homme leur a mentionné la méthode. Comment prendre cette
ville? Mais ça, ce n'est pas déposséder l'ennemi et détruire l'ennemi, parce qu'il laisse l'homme
vivre avec toute sa famille. Dieu avait dit qu'il devrait tuer toutes les nations, toutes leurs
influences. Et puis, ici, il se place sous l'influence d'un homme, avec une bonne intention. Vous voyez,
c'est la même chose dans l'histoire de l'Église. L'Église a adopté des choses, des gentils, des
païens, avec de belles intentions. L'intention était belle, mais la méthode n'était pas autorisée
par Dieu. Aussi, un manque de foi, un manque, vraiment, de la part de Joseph, mettre leur
confiance dans Dieu, qui leur donnerait l'intelligence nécessaire pour prendre la ville. On peut
comparer ça avec les philosophies païennes qui ont été adoptées par l'Église, avec de bonnes
intentions, mais ce n'est pas selon les pensées de Dieu. Et à la fin, ça veut dire que l'ennemi va
contrôler le peuple de Dieu. Et on voit donc que cet homme, pour lui-même, il n'a pas jugé
vraiment les principes du passé. Vous voyez, si les païens entrent dans l'Église, c'est bon,
s'il y a de la repentance. Mais cet homme a continué à vivre et a maintenu ses mêmes
principes. C'est ça qui est arrivé dans l'histoire de l'Église. Ils ont gardé leurs principes.
Cet homme a construit, justement, une autre ville, dans un autre pays, avec le même nom. Donc,
ça veut dire qu'il a gardé les mêmes principes. L'os veut dire déviation. On pourrait traduire ce
mot par déviation. Donc, c'est comme une infection qu'on voit dans quelqu'un qui est malade,
une infection. Il faut que, quelquefois même, cette membre soit coupée du corps pour l'enlever,
pour empêcher que ce membre infecté va affecter tout le corps. On peut le comparer avec le levin,
le levin du mal qui entre dans l'Église. Dieu veut que nous obtiennons ce levin, que nous
mettions de côté entièrement ce mal. Ici, on voit qu'ils l'ont laissé vivre, cet homme,
avec ses principes. Ainsi, on peut le retracer dans l'histoire de l'Église et, quelquefois aussi,
dans notre propre vie. Et ainsi, la déviation reste et aura de graves conséquences plus tard.
Dieu ne peut jamais accepter les principes de ce monde, même si nous avons les meilleures
intentions. Dans Manasseh, on voit que le déclin va encore plus loin. Verset 27, à la fin,
le canadien voulait habiter dans ce pays-là. Ici, nous voyons la volonté de l'ennemi opposée à la
volonté de Dieu et à la volonté du peuple de Dieu. Vous voyez, le peuple aurait dû s'identifier
entièrement avec la volonté de Dieu. Et là, il aurait la victoire. Il serait plus fort que l'ennemi.
Mais l'ennemi se laisse impressionner par la volonté du peuple, de la nation, des païens.
Le moment où nous sommes impressionnés par ce monde, par la volonté de ce monde,
on est perdu. Par contre, celui qui fait la volonté de Dieu, verset 17, on voit que celui
qui fait la volonté de Dieu reste pour toujours. Ici, il se soumet à la volonté du canadien.
Donc, en autres mots, il abandonne la volonté de Dieu. Quelle grave déviation! Et peut-être,
mais quand même, verset 28, il arriva que quand Israël fut devenu fort, il rendit le canadien
tributaire. Mais il ne le déposséda pas entièrement. C'est ça que Dieu avait dit entièrement. C'est
ça que Judas a fait au début pour déposséder entièrement et détruire entièrement. Ils ne
l'ont pas fait. Le déclin continue et Ephraim ne déposséda pas le canadien qui habitait à Geyser,
mais le canadien qui habitait au milieu de Geyser. Ça va encore un peu plus loin. Ils ne parlent pas
ici de leur volonté, simplement le fait. Ça va de nouveau un peu plus loin, vous voyez, verset 29.
Moi, j'ai compté tous ces points du déclin et j'en ai trouvé dix. On a eu verset 19, le premier
point, verset 21, le deuxième point, verset 25-26, le troisième point, le canadien qui voulait
habiter, le quatrième point. Ici, le fait que le canadien a habité simplement là, c'est le cinquième
point. Maintenant, le verset 30, le sixième point. Zabulon ne déposséda pas les habitants de
Kitron, ni les habitants de Nahalol, mais le canadien a habité au milieu d'eux. Ils étaient
donc ici même au milieu d'eux. C'est de nouveau un progrès du mal. Verset 31. Azer, qu'est-ce qu'on
lit à la fin? L'azérite a habité au milieu des canadiens. C'est encore un peu plus loin. L'autre
verset, le canadien a habité au milieu d'eux. Maintenant, Azer est une minorité, il habite au
milieu des canadiens. Vous voyez le progrès. Et c'est ici individuellement, ici l'azérite peut-être
individuellement ou en famille. Mais le verset qui suit maintenant, c'est donc le huitième point,
verset 33. Neftali comme tribu a habité au milieu des canadiens. C'est déjà un pas plus loin.
L'azérite, c'est individuellement, on pourrait dire, ok, ce sont quelques frères qui font ça.
Mais ici, dans Neftali, c'est toute la tribu. Si vous connaissez le livre de Josué, on comprend
que les tribus souvent sont représentatives pour des rassemblements locaux, comme ce que
tout un rassemblement fait. Ce n'est pas seulement quelques individus. Ici, c'est comme toute une
tribu, tout un rassemblement ou toute une région de croyants qui habitent au milieu des canadiens,
comme une tribu entière. Verset 34, les amoréens repoussèrent dans la montagne les fils des dames.
C'est encore beaucoup plus loin. Ils n'ont pas, ils n'ont seulement une place dans les montagnes.
On pourrait dire, mais ça c'est une belle place pour habiter dans le pays, c'est vrai. Mais ça
nous montre donc le progrès du mal de notre côté, le progrès du déclin. Dans le livre, dans
l'Évangile selon Luc, on voit qu'il y avait des croyants qui ont habité dans les montagnes lorsque
le Seigneur Jésus est né. Et là, on lit dans Luc 1 que ceux qui habitaient dans les montagnes ont
parlé beaucoup de ces choses. Il y en avait, là, qui ont aimé les pensées du Dieu. Mais il était
repoussé. Toute l'autorité était entre les mains des païens. Comme ici, l'autorité est entre les
mains des amoréens. Mais Dieu, par contre, il veut que nous montrions son autorité à lui et que nous
ayons la victoire sur ses influences de ce monde. Verset 35, et l'amoréen voulut habiter dans la
montagne des Hérès, à Ajalan et à Chalbim. Maintenant, il monte même à la montagne. Il veut
même rester dans la montagne. Vous voyez, Judas n'avait pas pris possession de la montagne.
Excusez-moi, il a pris possession de la montagne. Les autres, on a vu, ont pris possession de la
montagne, mais pas de la vallée. Maintenant, l'ennemi ne permet pas même qu'il prenne
possession de la montagne. C'est donc encore un pas plus loin dans le déclin. C'est le
dixième pas, verset 35. Mais la main de la maison de Joseph de Vinfort, c'est de nouveau donc,
qui arrive avec le temps. Quelquefois, ils sont devenus plus forts, mais la situation est restée
la même. Qu'est-ce que Dieu fait maintenant? Peut-être qu'on peut suggérer que cela a pris
une période de temps de vingt ans à peu près. Dieu a beaucoup de patience. Il est resté pendant tout
ce temps à Gilgal. Qu'est-ce que ça veut dire? Le peuple aurait dû partir toujours, comme ils l'ont
fait dans Josué, de Gilgal. Gilgal était la place où il était circoncis. Qu'est-ce que ça veut dire?
La circoncision veut dire la mise de côté de la chair. Mais pratiquement, ça veut dire que je
juge moi-même. L'ennemi ne peut rien faire lorsque le peuple s'est jugé soi-même. Le moment où je
garde quelque chose de la chair pour moi-même, là l'ennemi peut avoir des victoires. Si je ne
juge pas la fierté ou la médisance ou quoi que ce soit, il peut y avoir tant de choses de la chair.
Si je ne juge pas ces choses et les mettre de côté, pratiquement, comme Pierre le dit, 1 Pierre 2,
verset 1, que nous devons mettre de côté toutes ces choses-là, tous ces mots, on ne peut pas vaincre
l'ennemi. L'ange de l'éternel, on a lu de l'ange de l'éternel dans Esaïe 63, il est patient. C'est ici
le représentant de l'éternel. L'ange veut dire le messager de l'éternel qui présente donc les pensées
de Dieu. Il a attendu là à Gilgal. Gilgal était donc une place centrale de l'île de Jésus. On
pourrait dire Jésus est caractérisé par Gilgal. C'était la position publique qu'ils ont prise,
une position publique où il avait jugé la chair. Par contre ici, on voit que Dieu a attendu, ils ne
sont pas revenus à cette place-là. Ils n'ont pas continué à juger la chair. Et qu'est-ce qui
arrive? Dieu permet maintenant que les ennemis restent dans le pays. C'était leur propre défaut.
Dieu dit maintenant, ok, vous avez été infidèles, désobéissants, maintenant je laisse ces peuples
dans ce pays. Je ne vous donne plus la force pour les mettre de côté, même si vous le voulez. Et
ça c'est le parallèle avec l'histoire de l'Église. À un moment donné, si vous avez le temps pour dire
ces deux chapitres, Apocalypse 2 et 3, vous allez découvrir que 1, 2 et 3, donc Éphèse,
Smyrne et Pergam vont ensemble. Là, Dieu s'adresse encore à tout le peuple. Tout le peuple de Dieu
était encore supposé de se convertir, de se repentir. Après ça, lorsque Thiatire arrive là,
sur la Seine, Jésabelle, la condition est tellement que Dieu ne s'adresse plus à tout le
peuple. Il ne s'attend pas que ça change encore. Ainsi, j'aimerais suggérer que Dieu change de
position. Il perd maintenant, excusez-moi, il part de Gelgal et va aller à Boquim. Maintenant,
Boquim devient la place caractéristique pour le temps des juges. Boquim veut dire, donc,
pleure, l'ange a pleuré, le peuple a pleuré. C'est maintenant la place qu'ils ont selon les pensées
de Dieu. La place publique n'est plus Gelgal où la chair est mise de côté. La place publique de
leur relation avec Dieu, c'est une place de pleurs où il n'y a plus de force pour mettre de côté
l'ennemi, où Dieu permet que les ennemis restent dans le pays, toujours. Et la prochaine fois,
si le Seigneur nous donne encore une opportunité, une occasion, on va voir pourquoi Dieu laisse
ses peuples dans le pays. Verset 1, donc, du chapitre 2, « Je vous ai fait monter d'Égypte
et je vous ai introduit dans le pays ». Dieu rappelle ici l'histoire qu'ils ont eue, comment
il s'est montré envers eux et comment il était infidèle. De son côté, il y avait une promesse,
même par serment, vous voyez, c'est très fort. Une promesse que Dieu donne ne change jamais. Il
a souligné cette promesse par un serment et j'ai dit je ne romperai jamais mon alliance avec vous.
Donc, ici, on voit ce lien d'amour entre Dieu et son peuple, cette alliance qui nous parle de ce
lien entre Dieu et son peuple, un lien tellement précieux. Dieu voulait garder ce lien, mais il
ne pouvait plus donner la force à ce peuple qui correspond avec ce lien. Vous, pourquoi ? Vous,
vous ne traiterez point alliance avec les habitants. Ce sont deux opposés, vous voyez, l'alliance avec
l'éternel ou l'éternel avec son peuple est opposée à toute autre alliance. Et le peuple, en laissant
vivre ses nations, se sont placés sous l'influence des nations et plus tard on voit qu'ils se sont
mariés. Ça c'est l'influence, ça c'est l'alliance, l'alliance par mariage et ainsi l'alliance par
les idolatries, la fornication spirituelle aussi qui a eu lieu. Donc, ça c'est l'alliance de la
part du peuple. Donc, ce mot suggère déjà que dès le début ils ont introduit l'idolatrie, ils ont
adopté certaines pratiques idolâtres de ces nations. Dès le début, avec les habitants de ce pays,
vous démolirez leurs hôtels. C'est donc l'élément de l'adoration. Donc, ils l'ont manqué partout, soit
en prenant des femmes de la part des nations, soit en laissant rester ses hôtels en rapport
avec l'adoration. Vous n'avez pas écouté ma voix. Quelle chose solennelle! La voix de Dieu est
tellement précieuse. Écouter la voix de Dieu, c'est un grand privilège, mais ils ont rejeté la voix de
Dieu. Au début, ils l'ont introgée, vous voyez, qui de nous montera le premier? Ils l'ont introgée pour
écouter la voix de Dieu, mais ici l'ange de l'éternel doit constater qu'ils n'ont pas écouté vraiment.
On a vu tout ce chemin du déclin, même dès le début de Judas, où il a manqué dans son
obéissance. Il n'a pas écouté vraiment. Maintenant, la conclusion, pourquoi avez-vous fait cela? Pourquoi?
C'est comme un enfant désobéissant qui a fait quelque chose que lui ou qu'elle sait exactement
de ne pas le faire. Le peuple était élevé par Jésus et par Moïse, ils savaient quoi faire, mais ils
ne l'ont pas fait quand même. C'est comme des parents qui sont frustrés presque. On pourrait dire
presque une question de frustration. Pourquoi avez-vous fait cela? Ce n'était pas nécessaire et
aussi j'ai dit je ne les chasserai pas. Maintenant, dans le gouvernement de Dieu, j'ai utilisé le mot
discipline au début de cette réunion. Selon la discipline de Dieu, il y a maintenant des principes
de son gouvernement qui entrent. Selon le gouvernement de Dieu, il laisse maintenant ces
peuples, ces nations. Il était supposé de tuer ces nations, mais Dieu les laisse maintenant. Il ne
leur donne pas la force pour les mettre de côté. Je ne les chasserai pas de devant vous. Donc, c'est
un principe dans le gouvernement de Dieu. Si nous sommes désobéissants, Dieu nous expose aux
conséquences de notre désobéissance. C'est le gouvernement de Dieu et il sera à vos côtés. Comme
un jugement de la part de Dieu, mais comme un piège de leur part. Et leurs dieux vous seront
un piège. De nouveau, ils seront placés toujours devant les conséquences de leur manque. Les
nations seront un piège. Mais pour la foi, il y a toujours la possibilité de vaincre les ennemis,
de ne pas se soumettre à ce piège. Cela s'est toujours ouvert pour la foi. Le vainqueur a
toujours la possibilité de ne pas faire ce que les autres ont fait. Ça, c'est le côté encourageant,
qu'il y a toujours une possibilité pour le vainqueur de suivre les pensées de Dieu. Même
dans les jours de déclin, j'ai mentionné Thiatir, on voit plus tard qu'il y a toujours, même à Thiatir,
un reste qui est fidèle, qui écoute la voix de Dieu et qui met en pratique ses pensées. Malgré
le fait que l'idolâtrie est là, que ces nations, les influences sont là, que la position publique
est caractérisée par l'influence de l'ennemi. Donc, la position publique n'est plus caractérisée
par Gilgal, la mise de côté de la chair, mais par l'influence de l'ennemi. Et à cause de cela,
les pleurs, Boquim, Boquim était lié à Béthel probablement. Dans Genèse 35, on lit Alon Bakout,
et Bakout veut dire, c'est presque la même racine que Boquim, c'est là où Rachel avait pleuré et
on voit ici maintenant que le peuple pleure et dans le chapitre à la fin du verset 4,
l'ange probablement a pleuré avec eux. Selon le principe d'Ésaïe 63, verset 9, il était en
détresse avec eux. Il n'a pas dit maintenant, je vous laisse entièrement. Non, l'ange était avec
eux dans cette nouvelle position. Il a montré sa fidélité, malgré leur infidélité. De Timothée
Deune, qui nous parle de l'infidélité de la chrétienté, nous parle de la fidélité de Dieu,
qui reste toujours la même. Le Seigneur reste le même. Mais il est donc important à réaliser
que maintenant la position publique est changée. Dieu ne leur donnera plus la force pour mettre de
côté ses ennemis. Ils resteront toujours là. Et aussi, dans le sein de la chrétienté, l'ennemi
sera là jusqu'à l'enlèvement de l'église. On a à reconnaître ceci. Et pour ça, on peut pleurer.
On doit pleurer. L'ange pleure. Et en même temps, c'est une place où on peut reconnaître
donc nos faiblesses et sacrifier. Verset 5, il a appelé le nom de ce lieu-là Boquim. Donc,
c'était près de Bethel, la maison de Dieu. Et ainsi, ils ont aussi donné ces sacrifices,
peut-être des sacrifices de délit, de péché, pour reconnaître, pour confesser leur péché.
Peut-être aussi des holocaustes pour la gloire de Dieu quand même, parce que Dieu se glorifie
toujours. Malgré l'état du peuple, il y a toujours une façon dans laquelle Dieu va se glorifier,
comme on va voir maintenant, plus tard, je veux dire, dans les jus. Dieu va toujours
trouver un moyen pour se glorifier. Mais le point important ici à saisir, le peuple a pleuré,
mais je ne pense pas qu'ils ont vraiment jugé soi-même ici. On voit beaucoup plus tard,
dans les jours de Samuel, dans 1 Samuel 7, là seulement, le peuple a vraiment confessé et
abandonné les idolâtries. Ils ont enterré leurs idoles. On ne lit pas ça ici. Ils ont continué,
continué, comme on va voir, en public. Donc, la grande masse a continué avec cette idolâtrie,
malgré leurs pleurs ici. Dans les proverbes, on lit, il faut confesser nos péchés et les
abandonner. Ils n'ont pas abandonné et peut-être pas même entièrement confessé leur état. Ils ont
seulement pleuré à cause des conséquences de leur manque, mais ce n'est pas suffisant. Il faut se
repentir, confesser et abandonner ces pratiques. Donc là, Dieu peut aider. Là, il peut introduire
son bien-aimé, comme on le voit dans les jours de Samuel. Il a introduit le vrai David au milieu
de son peuple. Ce n'était pas encore le temps. Mais le livre des juges est encourageant dans ce
sens-ci que ça nous donne beaucoup de possibilités pour honorer Dieu dans le contexte du déclin du
peuple général. Il est toujours ouvert pour chacun de nous, honorer Dieu, prendre Dieu sur sa parole,
pour ainsi dire, et mettre en pratique, comme Caleb a fait, ce que Dieu veut qu'on fasse. Si
notre cœur est entièrement pour lui. Caleb, tout son cœur était pour Dieu. Et comme j'ai dit,
on ne lit pas qu'il est mort. Les juges, on lit toujours qu'ils sont morts. Mais l'état de Caleb
peut continuer parmi le peuple de Dieu jusqu'à l'enlèvement de l'église. Ça, c'est la possibilité
que vous et moi, nous avons pour honorer Dieu. Donc Dieu permet que les sources du mal et de misère
demeurent à côté du peuple, dans le pays même, à cause de leur infidélité et de leur indifférence
et manque de foi. C'est le gouvernement de Dieu. Mais de notre côté, Dieu donne toujours,
malgré ceci, la possibilité de l'honorer. Vous pourrez l'appliquer ainsi. C'est un état
d'endurcissement où on perd la lumière. Mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a plus de retour.
Il y a toujours la possibilité d'un retour individuel. Mais on voit que le retour collectif
n'est plus possible. Comme après Thiatir, lorsque Thiatir a commencé, il n'y a plus de
restauration collective. Et ici, après ses vingt ans, il n'y a pas de restauration collective
dans ce sens-là. Quoique plus tard, ils ont enterré les statues sous Samuel. Mais je pense
que ça va plus loin. Parce que je pense que là, David a introduit comme un exemple de notre Seigneur
Jésus, comme le Messie qui va régner sur ce monde. Donc si on continue ce chemin, on pourrait
dire que là où David vient, c'est donc le début du Mélanie, dans ce sens-là. Mais on ne voit pas
qu'il y ait vraiment une restauration collective. …
Automatic transcript:
…
Difficile, mais je vais essayer de donner un court résumé de ce qu'on a vu jusqu'à présent.
Dans le livre des juges, on a eu un bon repas pour nos corps, on a maintenant un bon repas dans la parole de Dieu.
Ce qui me frappe dans la parole de Dieu, c'est de voir que la nourriture est très variée, nos besoins sont très variés aussi.
Mais dans le juge 2, disons dès le verset 10 jusqu'au chapitre 3 verset 4.
Juge 2 verset 10
Juge 2 verset 10
Partout où ils sortaient, la main de l'Éternel était contre eux en mal, comme l'Éternel avait dit et comme l'Éternel leur avait juré.
Et ils furent dans une grande détresse, et l'Éternel suscita des juges, et ils les délivrèrent de la main de ceux qui les pillaient.
Mais même leurs juges, ils ne les écoutèrent pas, car ils se prostituèrent après d'autres dieux et se prosternèrent devant eux.
Ils se détournèrent vite du chemin où leur père avait marché en écoutant les commandements de l'Éternel.
Ils ne fuirent pas ainsi.
Et quand l'Éternel leur suscitait des juges, l'Éternel était avec le juge, et les délivrait de la main de leurs ennemis pendant tous les jours du juge.
Car l'Éternel avait pitié à cause de leur gémissement devant ceux qui les opprimaient et qui les accablaient.
Il arrivait que lorsque le juge mourait, il retournait à se corrompre plus que leur père.
Donc maintenant la quatrième génération.
Marchant après d'autres dieux pour les servir et pour se prosterner devant eux, ils n'abandonnaient rien de leurs actions et de leurs voix obstinées.
Et la colère de l'Éternel s'embrasa contre Israël et dit, puisque cette nation a transgressé mon alliance et que j'avais commandé à leur père et qu'ils n'ont pas écouté ma voix,
moi aussi je ne dépossèderai plus, plus un homme devant eux d'entre les nations que Jésus laissa quand il mourut, afin d'éprouver par elles Israël.
S'ils garderont la voix de l'Éternel pour y marcher comme leur père l'ont gardée ou non.
Et l'Éternel laissa subsister ces nations sans se hâter de les déposséder.
Il ne les livra pas en la main de Jésus.
Et ce sont ici les nations que l'Éternel laissa subsister pour éprouver par elles Israël.
Savoir tous ceux qui n'avaient pas connu toutes les guerres de Canaan.
Et cela seulement afin que les générations des fils d'Israël connaissent en l'apprenant ce que c'est que la guerre.
Ceux du moins qui auparavant n'en avaient rien connu.
Cinq princes des Philistins et tous les Canaanéens et les Sidoniens et les Éviens qui habitaient dans la montagne du Liban depuis la montagne de Baal Hermon jusqu'à l'entrée de Hamas.
Elles étaient laissées pour éprouver par elles Israël.
Pour savoir s'ils écouteraient les commandements de l'Éternel qu'ils avaient commandé à leur père par Moïse.
Jusqu'ici.
Avec ceci on a fini l'introduction à ce livre.
C'est une longue introduction.
Parce qu'on a eu déjà deux sessions sur chapitre 1 et le début du chapitre 2.
Juste brièvement.
On voit donc ici le peuple d'Israël dans le pays promis.
On a vu donc que ces choses d'abord sont des récits historiques.
On ne doute pas la valeur historique de ces choses.
Mais ce n'est pas maintenant notre but d'étudier tout cela en rapport avec l'histoire.
Le but plutôt c'est comme un chrétien dit, nous l'explique, que toutes ces choses leur ont été arrivées comme type pour notre instruction.
Et c'est ainsi qu'on aime étudier les livres de l'Ancien Testament.
Là on voit donc d'abord aussi des types du Seigneur Jésus comme dans les juges on va voir des types du Seigneur Jésus.
Aussi dans d'autres choses comme des sacrifices on voit des types du Seigneur Jésus.
La parole de Dieu est très riche là-dessus aussi.
J'ai dit c'est riche en nourriture, mais c'est riche surtout en présentant dans ces types, dans ces images, la personne du Seigneur Jésus.
Mais à part ça, il y a beaucoup pour notre instruction, pour nous corriger, pour nous former, pour nous exhorter et nous encourager.
Donc on voit ici le peuple de Dieu dans le pays.
Ils étaient donc auparavant en Égypte comme esclaves.
Dieu les avait libérés, délivrés de la puissance de Pharaon, de la puissance de la mort on pourrait dire, de la puissance du péché.
Et je ne peux pas élaborer là-dessus maintenant, ce sont des principes très importants, mais on doit se concentrer sur ce chapitre que nous avons lu.
Maintenant ils sont donc dans le pays, après le voyage à travers le désert, le pays que Dieu leur avait promis et c'est le pays de son conseil.
Ici ça touche les conseils de Dieu.
Lorsque nous parlons comme chrétiens des conseils de Dieu, on pense au pays céleste, on pense à notre Seigneur Jésus, un homme dans la gloire,
qui est en même temps le fils éternel de Dieu, en qui tous les propos de Dieu se sont réalisés.
Et on voit maintenant les pensées de Dieu dans la position que Dieu lui a donnée.
Éphésiens 1 explique beaucoup là-dessus, Éphésiens 3 et d'autres passages.
Donc lorsqu'on parle du pays, il faut se rappeler que dans l'interprétation spirituelle de ces choses, on parle donc de l'appel céleste.
La prochaine fois, Dieu voulant, on va voir comment Israël a manqué en rapport avec cet appel.
Et lorsqu'on parle du pays donc, on parle de la vie éternelle que nous jouissons, d'ici bas déjà, mais aussi selon la position de fils que nous avons dans la présence de Dieu.
Ce sont des choses que Dieu veut partager avec son peuple, c'est l'amour de Dieu vraiment, qui veut partager tout avec nous, ses fils.
Voilà, c'est une position merveilleuse, mais qu'est-ce que nous faisons dans cette position?
Voilà, c'est la même chose qu'on voit avec Israël.
Israël a manqué, l'Église a manqué. L'Église a reçu de la part de Dieu les meilleures bénédictions.
Éphésiens 1, je répète, et d'autres passages, mais dans acte 2, acte 20, on voit déjà que Paul a prévu le déclin.
Et ce que nous avons vu donc la première fois, c'est que la mort de Josué, c'est une image de la mort des apôtres, de la mort de cette première génération de chrétiens qui avaient reçu de la part de Dieu ses bénédictions.
Donc, je ne peux pas élaborer là-dessus maintenant, il faut partir de là, c'est parallèle.
Donc, les jours de Josué et les anciens qui vivaient avec lui, c'est pour les chrétiens, donc selon cette image-là, les jours des apôtres, où Dieu avait donné tout cela.
Il avait donné le bien du pays, les bénédictions célestes, tout cela était connu.
Mais après ça, on voit un déclin.
Mais avant de montrer le déclin, l'esprit nous montre cette chose, et que j'aimerais brièvement répéter, cette ressource que chaque génération a.
Ce soir, on va parler beaucoup des générations qui se suivent, qui se succèdent.
Voilà ce que chaque génération de chrétiens peut avoir.
Juste brièvement, chapitre 1, verset 1, ils ont introgé l'éternel.
C'est le privilège de la prière, de l'accès à Dieu.
On peut toujours prier, n'importe quelle situation, n'importe le déclin ou la profondeur du déclin.
On peut toujours s'adresser à Dieu.
C'est la première ressource qu'il nous donne.
Donc, est-ce qu'on utilise ces ressources?
C'est ça maintenant la question qui se pose lorsqu'on étudie un tel livre.
On voit certains points, des points positifs, et puis là on se demande, est-ce que je fais ça aussi?
On voit des points négatifs, et puis là on se demande, est-ce que je n'ai rien à faire avec ces points négatifs?
Moi non plus.
Donc, dans ce sens-là, il faut lire ça.
Introger Dieu, c'est la première ressource.
La deuxième ressource, malgré les manques, on voit déjà dans le premier chapitre, j'ai signalé quelques points négatifs,
même dans ce début, mais on voit quand même des privilèges.
On a les relations fraternelles, verset 3, Judas dit à Siméon.
Ce sont des ressources qu'on a.
Surtout dans des pays où il y a des persécutions, le Seigneur donne souvent encore des relations fraternelles.
Souvent les croyants ne sont pas absolument seuls.
Souvent ils sont deux en prison, ou trois, ou quatre.
Ça aide beaucoup.
Et ainsi, nous aussi, nous avons des relations fraternelles.
Et Dieu nous a donné les frères, pour ainsi dire, ces relations fraternelles, pour nous encourager.
Ça ne veut pas dire que tout ce que nous faisons est automatiquement correct.
Parce que même là, au début, on voit des manques.
Mais je ne parle pas de ça maintenant.
Juste, le troisième point maintenant.
Jérusalem, verset 7 et verset 8, ils ont occupé Jérusalem.
C'était la place où Dieu voulait habiter, parmi son peuple.
Et plus tard, ils ont abandonné cette possession.
Ils ont pris possession de Jérusalem au début, mais ils l'ont abandonnée.
Jérusalem, qu'est-ce que ça veut dire pour les croyants maintenant ?
C'est l'accès que nous avons vers Dieu, mais en vue de service.
Dans l'Épitre aux Hébreux, surtout la deuxième partie de cet Épitre-là, nous voyons les grands privilèges que les croyants ont.
Je donne un exemple.
Nous avons le privilège de pouvoir entrer dans la présence de Dieu.
Hébreu 10, verset 19.
Voilà, c'est ça qu'on voit dans Jérusalem.
Jérusalem, c'est la place où Dieu habite.
Il veut que le peuple soit avec lui, dans sa présence.
Mais c'est quelque chose que nous avons tous.
Et toujours, malgré le déclin dans la chrétienté, Dieu nous donne toujours cette possibilité de le servir, de reconnaître ses droits.
Voilà, c'est beau.
La quatrième ressource, verset 10.
Hébran, c'est la communion.
La communion avec Dieu, comme on le voit dans Genèse, déjà avec Abraham et Dieu.
Mais aussi la communion fraternelle avec les chrétiens.
La communion.
Verset 11, une cinquième ressource.
C'est la parole de Dieu.
Là où l'ennemi était puissant, il était conquis, mis de côté, puis cette place est devenue une oracle, une oracle de Dieu.
La parole de Dieu.
Et on a toujours la parole de Dieu.
On peut toujours ouvrir la parole de Dieu et être à l'écoute pour écouter la voix de Dieu.
Vous voyez?
La sixième ressource, verset 15.
Ce sont les sources d'eau, du haut et du bas.
Ça nous parle de l'Esprit Saint qui habite en nous et qui prend les choses de Dieu et qui les rend vivantes et efficaces, pour ainsi dire, dans nos vies.
Envers Dieu, dans l'adoration et aussi sur le niveau horizontal dans nos relations fraternelles.
Dans nos relations avec ceux qui nous entourent.
Dans Jean 4 et Jean 7, on voit plus de détails là-dessus.
Mais je le mentionne maintenant.
La septième ressource, verset 16.
On voit là des étrangers.
Ils sont venus habiter au milieu du peuple de Dieu.
C'est une autre ressource qui est toujours là, selon les pensées de Dieu.
Dieu veut que les étrangers soient reçus au milieu de son peuple pour habiter avec le peuple de Dieu.
Le peuple de Dieu, c'est comme un lieu de refuge, selon les pensées de Dieu.
Donc, l'Esprit de Dieu donne les ressources qui sont toujours là.
Mais dans le même chapitre, on voit le déclin.
Dans 10 pas, je ne peux pas répéter maintenant, mais si vous voulez étudier,
le restant du chapitre 1, on voit le progrès du mal.
Peut-être même un déclin chronologique pendant 20 ans de temps à peu près.
Ou bien, surtout, un déclin moral.
C'est allé plus bas, plus bas.
On se rappelle peut-être ces points qu'on a discutés la dernière fois.
Maintenant, chapitre 2, on voit donc que l'ange de l'éternel change de place.
Il était toujours à Gilgal.
Gilgal, c'est la place du livre de Josué.
Qu'est-ce qui est arrivé là, à Gilgal ?
C'était la circoncision.
Qu'est-ce que ça veut dire ?
La mise de côté de la chair.
Sans la mise de côté de la chair, on ne peut pas être introduit dans le pays.
On ne peut pas être des vainqueurs si moi, je ne juge pas ma chair.
Qu'est-ce que ça veut dire ?
Ça veut dire juger mes motifs, juger les intentions charnelles,
juger la propre volonté, juger la fierté, juger n'importe quel aspect de la chair.
Si je ne le fais pas, c'est exactement cet aspect-là.
Par exemple, la convoitise.
Est-ce que l'ennemi va se servir de ça pour me bloquer,
pour que je n'entre pas dans le pays ou que je ne prenne pas possession du pays ?
Donc, ce sont des choses qu'on a vues déjà.
Et puis, le livre de Josué était caractérisé par ce lieu-là.
Parce que c'est essentiel pour prendre possession des bénédictions de Dieu,
des bénédictions célestes, des bénédictions spirituelles, qu'on juge la chair.
Maintenant, le peuple a refusé de faire ça.
Et pour ça, le déclin, vous voyez, ce déclin en dix phases, pour ainsi dire,
était causé par le fait qu'ils ne sont pas rentrés là, à Guégal.
Ils n'ont pas continué cette coutume de Guégal dans le livre de Josué.
L'ange a attendu pendant vingt ans de temps, peut-être.
Il a attendu. Ils ne sont pas rentrés, ils ne sont pas revenus.
Qu'est-ce qu'il y fait maintenant, l'ange de l'éternel ?
Il change de position. Il va aller à Béthel.
On a vu ça, versets 1 et 2 suggèrent que le peuple était là, peut-être,
pour une fête de l'éternel à Béthel, et l'ange est venu là.
Maintenant, il y a un changement fondamental.
Dans le verset 3, on voit maintenant,
« Aussi j'ai dit, je ne les chasserai pas devant vous. »
Ce soir, on va s'occuper des ennemis dans le pays et d'alentour.
Verset 3, Dieu dit, « Je ne les chasserai pas de devant vous,
ils seront à vos côtés, et leurs dieux vous seront en piège. »
C'était donc, à cause de leur désobéissance,
que maintenant Dieu laisse les peuples, les nations païennes dans le pays.
Et Dieu avait prévu ça. Même dans les jours de Josué,
Dieu n'avait pas permis que Josué mette tous les ennemis de côté,
parce que Dieu avait prévu que le peuple ne serait pas fidèle.
Et maintenant, l'ange de l'éternel prend donc une position publique, verset 4,
« Il arriva que comme l'ange de l'éternel disait ses paroles à tous les fils d'Israël,
le peuple éleva sa voix et pleura. »
C'est maintenant une question qui continue pendant toute l'histoire d'Israël.
Ces nations sont restées là jusqu'au jour de la captivité.
Et plus tard, ils étaient même sous la puissance de ces nations.
Mais ça, c'est une autre histoire.
Maintenant, pour continuer avec le chapitre que nous avons lu ce soir,
j'aimerais donner d'abord, juste brièvement, un aperçu.
Et puis après ça, on va voir quelques détails.
Le livre nous présente le déclin parmi le peuple de Dieu.
Mais ce livre nous montre aussi l'intervention de Dieu dans sa grâce.
Et il donne des réveils.
Maintenant, on voit que c'est selon un certain plan que ces choses sont présentées.
Il y a des expressions clés dans ce livre.
Une expression que nous avons lue, verset 11,
« Les fils d'Israël firent ce qui est mauvais au jeu de l'éternel. »
On retrouve cette expression encore six fois.
Donc, en total, sept fois.
Et cela introduit une nouvelle histoire.
Ici, c'est donc un résumé des voix de Dieu.
Ce qu'on a maintenant dans juste 2, c'est comme un résumé.
Et on va voir, avec l'aide du Seigneur plus tard, que dans toutes ces histoires qui vont suivre,
on voit les mêmes principes qui sont énumérés maintenant dans chapitre 2.
Donc, chapitre 2 donne le plan de base de ce livre.
Vous comprenez, c'est le plan selon lequel l'Esprit présente maintenant tout ce développement.
Chaque fois, de nouveau, une autre expression de clé.
Une expression clé qu'on trouve, « qu'ils se détournèrent,
donc à cause de leur infidélité que la colère de l'éternel s'embrasait contre Israël. »
C'est aussi une expression clé qu'on retrouve plus tard.
Verset 14, « Il est vendu en la main de leurs ennemis. »
C'est quelque chose qu'on voit régulièrement.
Et ainsi, il y a donc des expressions clés qu'on retrouve presque chaque fois lorsqu'une nouvelle histoire commence.
Ou au moins quelques de ces expressions.
Maintenant, j'aimerais demander votre attention pour le plan.
Comment sont ces phases ?
Juste, brièvement, un résumé.
Verset 11, « Les fils d'Israël fuirent ce qui est mauvais. »
Ça, c'est le point de départ.
Ils font quelque chose qui est mauvais au jeu de l'éternel.
On va revenir à ça plus tard.
La deuxième phase dans ce développement, verset 14,
« La colère de l'éternel s'embrasait contre Israël. »
C'est donc la réponse, la réaction de la part de l'éternel à cause de l'infidélité d'Israël.
La troisième phase, verset 15, 14 et 15,
« Dieu les vint dans la main de leurs ennemis et ils furent dans une grande détresse. »
Verset 15 à la fin.
Et aussi verset 18, au milieu du verset 18,
« Car l'éternel avait pitié à cause de leur gémissement devant ceux qui les opprimaient et qui les accablaient. »
Donc, une grande détresse.
C'est la troisième phase.
Ils réalisent maintenant, à cause de leur infidélité, où ils sont maintenant.
C'est donc la grâce de Dieu aussi qui permet ça.
Qui fait que leur jeu soit ouvert pour leur situation.
Comme Israël en Égypte, à un moment donné, ils ont crié vers Dieu parce qu'ils ont réalisé leur situation.
Ainsi, on voit le même développement.
Le quatrième point, c'est l'intervention de Dieu maintenant, en faveur.
Le deuxième point, c'est l'intervention de Dieu pour les châtiers, avec le résultat qu'ils se réveillent,
qu'ils réalisent quelle est leur situation en détresse.
Maintenant, une autre intervention de l'éternel.
Verset 16, l'éternel suscita des juges.
C'est très beau.
Là, c'est donc une intervention de Dieu pour aider, dans un sens positif.
Même le châtiment, c'est l'amour de Dieu.
Mais ici, pour restaurer les choses.
Et ils les délivrèrent, ou les sauvèrent, on pourrait dire, de la main de ceux qui les pillaient.
C'est donc la quatrième phase.
C'est la restauration.
Et quelle est maintenant la cinquième phase ?
Verset 19, « Il arrivait que lorsque le juge mourait,
il retournait à se corrompre plus que leur père. »
Quelque chose d'horrible.
Ça nous montre donc, que même après une telle restauration,
une telle intervention de la grâce de Dieu,
ils atteignent encore un niveau plus bas.
Ils rejettent Dieu de nouveau, comme verset 19 nous montre.
« Il retournait à se corrompre plus que leur père. »
Donc, en autres mots, là il arrive à un niveau plus bas encore.
Et puis en même temps, ils sont de nouveau au point de départ,
ce que j'ai mentionné dans le verset 11, le point de départ, le début du développement.
« Il fire ce qui est mauvais aux yeux de l'éternel. »
C'est donc la cinquième phase qui va parallèle avec la première phase, mais encore plus bas.
Ça c'est donc le plan un peu de ce livre.
Comment l'Esprit de Dieu montre toujours de nouveau ce développement.
Vous comprenez ?
Maintenant, on pourrait se demander, ça c'est le plan du livre,
mais quelles sont les histoires maintenant qu'on voit ?
Et dans ce livre-là, on va voir donc sept ennemis,
et je pourrais peut-être même mentionner le début de Samuel maintenant,
pour juste mentionner brièvement ce qui se passe dans ce livre.
On voit toujours que le déclin continue après l'intervention de Dieu,
après que le juge est mort,
et puis on voit là aussi le même développement que l'histoire de l'Église.
J'ai mentionné au début du chapitre 2 que la position publique est maintenant
que l'ange n'est plus à Gilgal, qu'il n'y a plus de remède total.
Qu'est-ce que ça veut dire ?
Je mentionne dans l'Apocalypse 2 et 3, vous voyez l'histoire de l'Église.
Et après un moment donné, la première épître, la deuxième épître, la troisième épître,
Dieu suppose encore que toute l'Église peut se convertir.
Si vous connaissez le plan de l'Apocalypse 2 et 3, vous comprenez ce que je veux dire.
À la fin, Dieu s'adresse à tous encore.
Il donne la possibilité de la repentance.
Mais après la quatrième Église, il n'y a plus de possibilité de repentance générale.
Dieu s'adresse seulement au vainqueur.
Ce que j'aimerais suggérer maintenant, c'est, dès le début du chapitre 2,
ici dans ce livre-là, Dieu s'adresse seulement au vainqueur.
Il ne s'attend plus à ce que tout le peuple soit encore restauré au niveau où ils étaient dans les jours de Josué.
Dieu permet que ses ennemis restent là pendant toute leur histoire.
Ça c'est dans le gouvernement de Dieu.
Et j'aimerais souligner cet aspect-là.
On a affaire avec le gouvernement de Dieu.
Vous connaissez peut-être l'expression la souveraineté de Dieu.
Dieu est souverain.
Il est absolument en contrôle.
Et il a un plan comme la grâce souveraine.
Il nous a arrachés du péché.
Il nous a arrachés de ce monde et de la perdition.
C'est la grâce souveraine de Dieu.
Mais Dieu est aussi un Dieu qui est juste.
Et qui est juste même envers les croyants.
Le fait que je sois croyant ne veut pas dire que je peux faire n'importe quelle chose.
Dieu m'a reçu en grâce, donc rien ne peut m'arriver.
Non.
Dans les voies gouvernementales de Dieu, on voit que Dieu est juste envers son peuple.
Et je dirais encore, plutôt envers son peuple qu'envers le monde.
Dans 1 Pierre 4, on lit que le jugement commence dans la maison de Dieu.
Donc, les principes du gouvernement de Dieu s'appliquent d'abord à ceux qui sont plus proches de Dieu qu'eux.
Les nations par exemple, ou les incrédules.
Dieu place tout le monde sous son gouvernement.
Ça c'est clair.
Chaque créature, chaque homme, chaque femme, chaque enfant, chaque garçon, chaque fille a affaire avec un Dieu juste.
Et puis Dieu demande à tout le monde qu'il se rende compte de ceci.
Un jour, tout le monde sera placé devant le tribunal de Christ.
Et tout le monde sera demandé à se rendre compte.
Seulement les croyants ne seront là pas comme accusés ou jugés.
Ils seront là pour que le Seigneur leur montre tous les détails de leur vie.
Mais je veux dire, le principe est là que chaque homme, chaque femme, chaque être humain sera placé devant Dieu et sera demandé à se rendre compte.
Dieu a créé l'être humain d'une telle façon qu'il peut rendre compte de ce qu'il a fait selon la place que Dieu lui a donnée.
Et maintenant, dans les voies gouvernementales de Dieu, Dieu intervient pour forcer l'homme à réaliser sa responsabilité.
Donc, dans le gouvernement de Dieu, Dieu nous force pour ainsi dire à réaliser ce que nous devons faire.
Et c'est ça qu'on voit maintenant dans ce chapitre.
Dieu les force et comme effet de ceci, on a lu dans le chapitre 3, le résultat est pour les instruire.
Donc, on voit que les voies gouvernementales de Dieu ont eu comme but ultime le bien de son peuple.
Il faut donc discerner la grâce souveraine de Dieu.
Comme le propos de Dieu, j'ai parlé du propos de Dieu, c'est quelque chose de la grâce souveraine de Dieu.
Personne ne peut changer ça.
Mais dans le gouvernement de Dieu, donc comme être responsable sur la terre, on peut changer certaines choses.
On peut accumuler des dettes spirituelles, je veux dire maintenant, ou on peut suivre l'enseignement de Dieu et obéir et être béni.
Ça c'est donc les principes du gouvernement de Dieu.
Et on a ces principes du gouvernement de Dieu dans le chapitre que nous avons devant nous.
Il y a aussi d'autres aspects comme la providence de Dieu.
Et ça se voit aussi un peu dans ce chapitre.
Comme j'ai dit, Dieu avait prévu qu'Israël serait infidèle.
Et Dieu avait laissé certains peuples dans ce pays.
C'est la providence de Dieu.
Et aussi Dieu est en contrôle.
Dieu est en contrôle dans tous les détails.
Et ça c'est très beau de voir et méditer là-dessus aussi que Dieu est en contrôle.
Même dans ce chapitre-là où tout semble être contre Dieu, tout semble être failli, manqué, s'écrouler disons.
Non, Dieu est en contrôle.
Et ce chapitre nous montre que comme but ultime, Dieu va arriver justement à l'accomplissement de son conseil.
C'est Dieu qui va toujours avoir ce résultat, que malgré les manques de l'homme et même à travers les manques de l'homme,
Dieu va arriver à l'accomplissement de son conseil.
Maintenant quelques détails.
On voit donc dans verset 6 un résumé qu'on a eu aussi, peut-être que vous l'avez lu déjà, dans Josué 24.
Le départ de Josué et aussi le début de Josué 1 nous a parlé de ceci.
Donc c'est ici déjà la troisième fois que Josué est mentionné.
Donc Josué renvoya le peuple et les fils d'Israël s'en allèrent chacun à son héritage pour posséder le pays.
J'ai dit donc au début, la dernière fois, que Josué nous parle du Seigneur Jésus qui a envoyé son esprit
pour que son esprit nous introduise maintenant dans la jouissance des choses célestes, dans la jouissance des bénédictions du pays.
Josué introduit le peuple de Dieu là.
Ce sont les jours du départ des apôtres.
Il est clair, le Seigneur Jésus ne peut pas mourir.
Mais on voit donc que ceci parle d'une génération du début qui avait d'une façon particulière l'aide de l'esprit de Dieu.
Et cette génération est morte.
Ça c'est le point à saisir.
Maintenant verset 7.
Comme dans les jours des apôtres.
Si vous voulez lire acte 20, Paul dit qu'après son départ, des loups viendraient pour dévorer le troupeau de Dieu.
Donc des ennemis de l'extérieur.
Mais aussi entre eux-mêmes il y aurait des hommes méchants.
Et on voit dans juste deux les deux choses.
Il y avait des nations au milieu d'Israël et aussi des nations de l'extérieur par lesquelles Dieu a châtié son peuple.
Pourquoi est-ce que Dieu a permis que ces hommes méchants se suscitent?
Pourquoi?
Pourquoi est-ce que Dieu a permis que ces loups viennent?
A cause de l'infidélité du peuple de Dieu.
Et c'est ça qu'on voit dans Apocalypse 2 et 3.
Si vous voulez étudier Apocalypse 2 et 3, on voit tout un résumé des voies de Dieu.
Comment Dieu a châtié son peuple.
A cause de leur infidélité.
Mais le but est toujours de les restaurer.
Et qu'ils aient de nouveau ce premier amour qu'ils ont eu au début.
On va revenir à cette expression tantôt.
Ce premier amour.
Donc verset 7 nous montre que pendant les jours de Josué,
et dans l'application pour nous au début de la chrétienté dans les jours des apôtres,
et les anciens que les apôtres avaient ordonnés,
pendant cette génération tout était encore correct.
Eux avaient vu toute la grandeur de l'éternel qu'il avait fait pour Israël.
Maintenant on arrive donc au verset 10.
Toute cette génération fut aussi recueillie vers ses pères.
Et après eux se leva une autre génération.
Je vous rappelle aux paroles que Paul a écrites dans l'Épître aux Philippiens.
Dans l'Épître aux Philippiens il dit, dans chapitre 2 verset 13 je pense.
J'étais avec vous, mais maintenant je suis absent.
Maintenant vous continuez comme vous l'avez fait dans ma présence.
Donc dans l'absence de l'apôtre, il fallait que les Philippiens continuent sur le même sentier.
Et c'est exactement ça que nous pouvons faire aussi.
Nous sommes dans l'absence des apôtres.
Ils ne sont plus là.
Cette première, cette deuxième génération n'est plus là.
Mais nous sommes appelés et exhortés à suivre le même sentier.
Maintenant on voit verset 10 qui nous parle de cette troisième génération.
Une autre génération qui ne connaissait pas l'éternel et ni l'oeuvre qu'il avait faite pour Israël.
Donc ils ne connaissaient pas l'éternel.
Peut-être on peut lire comme par expérience.
Ils n'avaient pas connu l'éternel dans ses actes.
Peut-être qu'il était né de nouveau encore dans ce jour là.
Mais ils ne connaissaient pas l'éternel par expérience comme leur père l'avait connu.
Comme il les avait délivrés de la puissance de l'Egypte.
Comment il les avait dirigés à travers le désert.
Comment il les avait introduits dans le pays.
Ils n'avaient pas expérimenté ça eux-mêmes.
Ils l'avaient reçu de leurs parents.
Maintenant c'est une grande question qui se pose.
Est-ce que je suis dans la troisième génération ou dans la première ou deuxième génération ?
Ici lorsqu'on voit la troisième génération on dirait mais tout est perdu.
Mais ce n'est pas nécessaire.
Je vous donne un exemple d'un nouveau testament.
C'est un épître qui va parallèle à ce livre là.
Parallèle au livre du juge.
C'est de Timothée.
C'est frappant de voir que Timothée a travaillé exactement à Éphèse.
À Éphèse, Paul avait donné tout ce conseil de Dieu.
Acte 20, 19-20 on le voit.
L'épître aux Éphésiens.
Et là Timothée a travaillé.
Et puis là dans Timothée on voit quelqu'un qui a gardé toute la fraîcheur que la première génération a connue.
Il a gardé toutes ces choses là dans sa fraîcheur.
Et si vous voulez, je réfère maintenant à 2 Timothée 2.
Surtout versets 1 et 2.
On voit là que Paul dit maintenant tu as reçu ça.
La foi de ta grand-mère, la foi de ta mère est maintenant en toi aussi.
Il dit maintenant tu donnes maintenant ces choses à la prochaine génération.
Une génération qui serait capable d'enseigner à une autre génération capable et fidèle.
Donc on voit dans 2 Timothée 2, 4 générations.
Paul, Timothée, la génération que Timothée va instruire, la troisième génération.
Et cette troisième génération est caractérisée par le fait que cette génération est capable et fidèle.
La grande question se pose maintenant, est-ce que vous et moi, nous sommes fidèles et capables?
Dans ce cas là, cette troisième génération ne va pas perdre ces choses.
Cette troisième génération deviendra pour ainsi dire une deuxième et première génération.
Qu'est-ce que ça veut dire?
La première génération avait reçu ces choses immédiatement de Dieu.
Elle avait payé le prix pour ainsi dire.
Elle n'avait pas reçu ces choses par héritage parce que les parents avaient ça.
Non, eux ont reçu ces choses de la main de Dieu.
Et ainsi même une troisième génération comme Timothée ou ceux après lui,
peuvent devenir une deuxième ou première génération.
En autres mots, lorsqu'ils prennent possession personnellement de ces choses là.
Il y a ici des jeunes aussi qui appartiennent à la troisième génération,
qui ont reçu certaines choses de la grâce de Dieu, qui sont nées de nouveau.
Mais qu'est-ce que vous pouvez faire?
Prendre possession de ces choses vous-même.
Et ainsi vous serez comme cette deuxième génération qui peut transmettre ces choses à la prochaine génération.
Ça c'est la pensée de Dieu.
Et lorsqu'on voit souvent aujourd'hui que la troisième génération perd tout, c'est vrai.
Mais ce n'est pas la faute seulement de la troisième génération.
C'est la faute souvent de la deuxième génération.
C'est ma faute.
Parce que si nous n'élèvons pas les enfants selon ces principes là,
ils vont automatiquement abandonner tout ceci.
Par contre, si nous agissons comme Timothée qui a présenté ces choses avec fidélité,
on va encourager cette prochaine génération.
Vous voyez?
C'est donc un défi, soit pour les parents, soit pour la prochaine génération.
Et si vous voulez étudier Timothée II, ça aide beaucoup à voir les caractéristiques de cette succession des générations selon la pensée de Dieu.
Pas une succession officielle comme dans l'Église, mais une succession morale.
Parce que la prochaine génération prend possession pour elle-même de ces choses-là.
Et ça c'est le seul remède pour garder ces choses, pour ne pas les perdre comme Israël les a perdues.
Maintenant le verset 11.
J'ai mentionné déjà, c'est ici le départ de ce développement négatif, de ce déclin.
Et on voit donc ces phases aussi dans le livre des juges et le livre de Samuel qu'on voit dans l'Apocalypse 2 et 3.
On va référer à ça encore plus tard.
Donc la prochaine fois, Dieu voulant, toutes ces phases, l'histoire de l'Église, on revoit aussi dans juges et Samuel.
On va prendre aussi le début de Samuel parce que Samuel était juge et aussi le premier prophète d'ailleurs.
Mais il était le dernier juge.
Et Élie aussi était un juge.
Et on va voir peut-être plus tard qu'Élie représente les jours de la réformation et plus tard.
Et Samuel les jours qu'on voit dans l'Apocalypse 3 de Philadelphie.
Et puis plus tard Saul, le roi Saul, c'est le déclin plus bas encore qu'on voit dans l'Odyssée.
Puis là David est venu.
Puis toute cette ligne de pensée s'arrête là où le roi arrive.
Et on pourrait dire que pour nous s'arrête, ce développement s'arrête le moment où le Seigneur Jésus va venir nous chercher.
Où le bien-aimé va venir lui-même pour établir en même temps son règne sur la terre.
Donc on va voir dans ce livre de juges tout ce développement comme dans l'histoire de l'Église.
Et c'est le point de départ ici.
Ils ont abandonné le premier amour.
Ce n'est pas une expression qu'on trouve ici.
Mais c'est une expression qu'on trouve dans l'Apocalypse 2.
C'est le point de départ du déclin.
Pourquoi ?
Est-ce qu'ils n'avaient pas la même quantité d'amour ?
Ce n'est pas ça.
Vous voyez ?
Qu'est-ce qu'ils ont fait ici ?
Ils ont servi les Baal.
Et verset 12 élabore là-dessus.
Ils ont abandonné l'éternel dieu de leur père qui les avait fait sortir du pays d'Égypte.
Et ils marchèrent après d'autres dieux.
Ils ont donc remplacé leur dieu par d'autres dieux.
C'est ça qui arrive ici.
Et verset 17 souligne la même pensée.
Car ils se prostituèrent après d'autres dieux.
Donc ils ont suivi ces autres dieux.
Mais ils se sont liés même par prostitution à ces autres dieux.
Pas seulement dans un sens spirituel.
Comme on le voit dans l'Apocalypse 2.
Que dans les jours de Jézabel.
Ils se sont prostitués en suivant d'autres dieux.
Ici aussi dans le sens littéral.
C'était même une prostitution physique.
Qui allait ensemble avec cette idolâtrie.
Donc l'idolâtrie et cette prostitution allaient ensemble.
C'était très très grave.
Et c'est pour ça que Dieu ne voulait pas que ces nations restent dans le pays.
Parce que vous voyez c'est toujours ce principe là.
Un peu de levain corrompt toute la pâte.
Si on accepte un peu d'influence du monde.
Ça va affecter tout.
Et c'est ça qu'on voit maintenant dans le verset 12 et 13.
Vous voyez.
Ils se prosternèrent devant eux.
C'est donc l'idolâtrie.
Et verset 17 souligne la pensée de la prostitution.
Et ils provoquèrent à colère l'Éternel.
Parce que l'Éternel aimait son peuple.
Il a toujours aimé son peuple.
Et puis il est jaloux Exode 20.
Dans le bon sens.
Il ne veut pas supporter que le peuple abandonne Dieu comme l'objet de leur amour.
Et le remplace avec un autre Dieu.
C'est ça qui arrive ici.
Et maintenant ces caractères.
Ces deux caractères différents.
Verset 13.
Ils ont remplacé l'Éternel par le Baal ou les Baalim.
Et Astarètes ou les Astarotes.
Qu'est-ce que ça veut dire ?
Ils ont continué dans leur amour.
Seulement l'Éternel n'était plus l'objet de leur amour.
Au lieu d'être l'objet unique de leur amour.
C'était les Baal.
Baal veut dire maître et même mari.
Donc au lieu d'être lié à Dieu comme étant leur mari.
Leur maître.
Leur possesseur.
On peut traduire le mot aussi par maître ou possesseur.
Au lieu que l'Éternel soit leur maître.
Leur mari.
Leur possesseur.
Avec tous ces droits.
Les Baal ou le Baal est venu.
Le maître.
Ça remplace donc l'autorité de Dieu.
Ça remplace la place que Dieu avait dans leur affection.
Et en même temps.
Les Astarotes.
C'était donc les déesses ou les déesses féminines.
Les deux vont ensemble.
Parce que dans Dieu on voit.
Dieu est amour.
Ça nous parle du côté de Dieu.
Les commandements de Dieu.
Son autorité.
Mais Dieu est aussi amour.
Il est lumière et amour.
Les deux côtés s'unissent en Dieu.
Dieu a les droits suprêmes.
L'autorité suprême.
Notre mari.
Dans ce sens-là.
Le Seigneur Jésus.
Mais pour Israël c'était l'Éternel.
Qui avait Israël comme épouse.
Ils l'ont abandonné.
Il n'était plus l'objet de leur amour.
Et c'est ça qu'on voit dans les Astarotes.
Les déesses de la fécondité ou fertilité.
Et ensemble avec ce service.
Cette idolatrie.
Cette pensée de prostitution s'est introduite.
Donc l'idolatrie et la prostitution vont ensemble.
On voit aussi dans l'Apocalypse 2.
Et ça remplace donc.
Comme j'ai dit.
La place que Dieu avait dans leur cœur.
Maintenant on dirait.
Mais c'était Israël.
Eux se sont plongés dans toutes ces choses-là.
Ça ne nous arrive pas.
Mais vous voyez.
Si on connaît l'histoire de l'Église.
On voit le même développement.
Même la même immoralité.
Et dans nos jours.
C'est encore plus évident que jamais.
Que ces choses arrivent aussi dans un sens littéral.
Mais je dirais aussi.
Dans un sens spirituel.
C'est ça qu'on voit dans 1 Jean 5.
Si vous voulez avoir des remèdes.
Contre le mal.
Ou contre le déclin.
Il faut lire les écrits de Jean.
Jean nous parle.
Donne beaucoup pour les vainqueurs.
Dans les juges.
Dans ce livre-là.
On va voir les vainqueurs.
Ce que Dieu prépare pour lui-même.
Et Dieu veut que tous les croyants soient des vainqueurs.
Que vous et moi.
Que nous soyons des vainqueurs.
Et pour être vainqueurs.
Il faut vraiment lire les écrits de Jean.
Jean donne la nourriture.
Pour ainsi dire.
Ou les préparations pour être des vainqueurs.
Paul donne la position.
La position reste toujours la même.
Ça ne change pas.
Mais Jean nous donne.
Ce dont nous avons besoin.
Pour continuer dans cette position.
Pour réaliser cette position.
C'est ça qu'on voit dans Jean.
Et dans 1 Jean.
On a les pensées de Dieu.
Pour les vainqueurs.
Comment être vainqueur.
Par la foi.
Par l'esprit qu'il nous donne.
Et toutes ces remèdes qu'il nous donne.
Pour être vainqueur.
Mais cet épitre.
Qui nous parle.
De la beauté de notre Seigneur Jésus.
De la beauté du Père.
De la beauté du Fils.
Et il est la vie éternelle.
Il est tout pour nous.
1 Jean 5 à la fin.
Qu'est-ce qu'il dit à la fin ?
Enfin.
Gardez-vous des idoles.
Donc.
Ça veut dire que pour nous.
Les dangers sont là.
Comme pour Israël.
Dans ce jour là.
Donc.
Si vous voulez étudier là-dessus.
J'encourage beaucoup.
Apocalypse 2 et 3.
Et 1 Jean 5.
Ces derniers versets.
Mais en général.
Les écrits de Jean.
Qui nous donnent.
Les antidotes.
Les remèdes.
Pour.
Disons.
Contre tout ce mal.
Pour que nous ne tombions pas dans ces pièges.
Pour que nous ne soyons pas des idolâtres.
Encore quelques détails.
On a vu donc le plein.
Comment tout cela s'est développé.
Et alors.
Dieu les a châtiés.
La colère de Dieu.
Ce n'est pas pour se débarrasser de son peuple.
C'est pour les châtier.
Par amour.
C'est son amour.
C'est ça qu'on voit aussi dans Apocalypse 3.
Et d'autres passages de la parole de Dieu.
Son amour.
Qui les a livrés.
En la main des pillards.
Mais.
Vous pouvez.
Relire ça.
Dans Juge 10.
Et même dans 2.
Roi 17.
Lorsque le prophète.
Là.
Qui a écrit.
Le livre.
Des rois.
Peut-être Jérémie.
Lorsqu'il donne un résumé.
Des.
Voix de Dieu.
Il utilise.
Les mêmes mots.
Il les livra.
En la main des pillards.
Qui les pillèrent.
J'ai mentionné.
La dernière fois.
Je pense.
Ephésiens 6.
C'est la position.
Qui va parallèle.
Et.
Dans le pays.
Dieu nous a donné.
Toutes ces bénédictions là.
Et puis.
L'ennemi revient.
Pour.
Nous ôter.
Ces choses.
Pour nous.
Empêcher.
De.
Jouir.
De ces bénédictions.
Et puis.
Il se sert donc.
Si nous ne sommes pas fidèles.
Il se sert de nos faiblesses.
Il se sert d'un petit ennemi.
Qui va avoir une influence.
Plus grande.
Plus grande.
Plus grande.
C'est vraiment une question.
D'influence.
Donc on pourrait.
Ce soir.
On pourrait se demander.
Sous quelle influence.
Est-ce que je me place.
Sous l'influence.
De l'éternel.
Qui est maintenant pour nous.
Notre Dieu.
Notre Père.
Est-ce que je me place.
Sous.
L'influence.
De notre Seigneur Jésus.
De son amour.
Ou est-ce que je me place.
Sous l'influence.
Des démons.
Baal.
L'idolâtrie.
C'est.
Le service.
Des démons.
Et c'est ça qui arrive.
Dans 1.
Timothée 4.
Paul mentionne ça déjà.
Que.
Cela arriverait.
Dans.
L'église même.
Dans le sein de l'église.
Donc.
C'est une question pour nous.
Sous.
Quelle.
Influence.
On se place.
C'est.
Une question des principes.
Par quels principes.
Est-ce que je suis dirigé.
Ça c'est la grande question.
Est-ce que je suis dirigé.
Par des principes qui découlent.
De l'autorité de Dieu.
De l'autorité.
Du Seigneur.
De son amour.
Ou est-ce que je suis dirigé.
Par des principes.
Qui découlent.
De l'autorité.
De Satan.
Et de ses démons.
Ou de ses ruses.
De ses convoitises.
Ou quoi que ce soit.
Maintenant.
On voit donc.
Que.
Il est vendu.
Même.
A la main.
De leurs ennemis.
Mais j'ai dit.
Au début.
Dieu est en contrôle.
Rien ne se passe.
Hors.
De son contrôle.
Il envoie les ennemis.
Pour.
Les corriger.
On voit dans Deuteronome 7 et 12.
Que.
Il fallait.
Qu'il.
Chasse les ennemis.
Qu'il tue les ennemis.
Mais maintenant.
Ils l'ont manqué.
Là.
Et maintenant.
Dieu envoie même.
Des ennemis.
De l'extérieur.
Vous voyez.
Même.
Le pays.
Était là.
Encore.
Comme piège.
Pour voir.
S'il était.
Fidèle.
Ils l'ont manqué.
Mais à côté de.
Dieu envoie même.
Des ennemis.
De l'extérieur.
D'alentour.
Et ils ne purent.
Plus se maintenir.
Devant leurs ennemis.
Ça c'est une expression.
Très solennelle.
Ça nous montre donc.
Que sans l'aide du Seigneur.
Ils ne peuvent rien faire.
Dans Josué 7.
On le voit.
Après la défaite.
Jéricho.
C'était l'heure de Dieu.
Le jour après.
Ou quelques jours après.
C'est la défaite.
Parce que.
Le péché.
Était entré.
Parmi le peuple de Dieu.
Josué 7.
Ils ne pouvaient.
Ils ne purent.
Plus se maintenir.
Devant leurs ennemis.
C'est la même pensée.
Et on voit ça.
Souvent.
Dans la parole de Dieu.
Donc.
Si le Seigneur.
Les laisse.
Même s'ils ont.
Une armée.
De 5 millions.
Si.
Dieu n'est plus là.
Ils sont perdus.
Ok.
Verset 15.
Partout.
Ils sortaient.
Donc.
En campagne.
Pour.
Les châtiers.
L'éternel était.
Contre eux.
En mal.
C'est ça.
Ce n'est pas seulement l'ennemi qui vient là.
Mais.
À travers ça.
C'est la main de Dieu contre eux.
Ils veulent les châtier.
C'est ça le verset 15.
L'éternel était contre eux.
En mal.
Pourquoi ? Pour les châtier.
Comme l'éternel avait dit.
Et comme l'éternel.
Leur avait juré.
Vous voyez.
C'est très solennel.
De voir.
Comment Dieu.
Jure.
Les serments de Dieu.
C'est une chose très solennelle.
Si vous voulez étudier.
Le premier serment.
C'est en rapport avec le pays.
C'est le sacrifice.
De.
Dizag.
Genèse 22.
C'est le serment.
Que Dieu donne.
Pour.
Introduire.
Son peuple.
Dans le pays.
Le deuxième serment.
C'est.
En rapport avec leur infidélité.
Dans nombre.
13.
14.
De psaume.
95.
Et ici.
Il leur avait juré.
Qu'ils ne peuvent plus entrer.
Ou jouir.
Ici.
Dans ce contexte.
De ce pays là.
Mais dans le psaume.
110.
Il y a un autre serment.
En rapport avec le Messie.
Et.
Dans le.
Esaïe 45.
Il a le quatrième serment de Dieu.
Si vous voulez étudier.
Ces quatre passages.
C'est très.
Idéfiant.
Pour voir.
Les pensées de Dieu.
Ils étaient donc.
Dans une grande détresse.
Et maintenant.
L'intervention de Dieu.
Ils ont réalisé donc.
Leur défaut.
A cause de ça.
Donc.
Ils ont réalisé leur détresse.
Ça.
C'est donc.
Causé par le fait.
Que.
Dieu a permis.
Les ennemis.
Que sa main était contre eux.
Le résultat.
Une grande détresse.
Ils étaient dans une grande détresse.
Ca.
C'est le résultat.
De l'œuvre de Dieu.
Parce que.
Dieu veut.
Enseigner.
Il veut nous enseigner quelque chose.
C'est ça qu'on trouve.
Dans.
Le début du chapitre 3.
Il veut nous apprendre quelque chose.
C'est pour ça qu'il permet.
Ses détresses.
Mais ce n'est pas tout.
Vous voyez.
Maintenant.
Dieu va agir.
Il a vu ses détresses.
Et.
Dans Esaïe 63.
On lit.
Il était en détresse.
Dans toute leur détresse.
Si le peuple de Dieu.
Est en détresse.
Dieu est en détresse.
Vous voyez.
Il est en détresse.
Dieu aussi.
Parce qu'il m'aime.
Il est.
Sympathique.
Dans ce sens là.
Il.
Sympathise.
Il.
Souffre avec moi.
Si je suis en détresse.
Mais.
Il va faire quelque chose.
Il va intervenir.
Verset 16.
L'éternel suscita des juges.
Maintenant.
Il a vu.
L'œuvre.
En eux.
Le jugement de soi-même.
La repentance.
Et là.
Il peut agir.
Il envoie ses juges.
Qui les délivrèrent.
Le mot.
Juge.
On va.
Il y a.
Certaines autorités aussi.
Mais.
Ce que les juges ont fait.
Nous parle.
D'une façon.
Particulière.
Du Seigneur Jésus.
Deux qualités du Seigneur Jésus.
Pour intervenir.
Pour le peuple.
Pour les mettre.
En ordre avec Dieu.
Comme juge.
Mais aussi.
Pour les sauver.
En rapport avec leurs besoins.
Délivrer.
Veut vraiment.
Sauver.
Veut dire sauver.
Et ainsi.
Le Seigneur Jésus.
Est vu.
Dans tous ses juges.
On espère voir ça.
Dans toutes ses juges.
On voit.
Quelques caractéristiques.
Le grand sauveur.
Notre Seigneur Jésus.
Verset 17.
On voit donc.
De nouveau.
Le déclin.
Ils ne les écoutèrent pas.
Ils se détournèrent.
Vite.
Ça c'est une caractéristique.
Comme j'ai dit.
Au début.
Après 20 ans.
L'ange de l'éternel.
A changé de place.
C'était une chose.
Perdue.
Pour ainsi dire.
Quant à la position publique.
C'est arrivé.
Très vite.
Et fait.
Aussi.
Lorsque le Seigneur a adressé.
Cet épitre là.
Dans Apocalypse 2.
C'était peut-être.
20.
25 ans.
C'était arrivé.
Très vite.
Pour nous.
Ça.
Ça.
Ça.
Ça.
Ça arrive.
Qu'on change de position.
Devant Dieu.
Très vite.
Qu'on abandonne.
Certaines choses.
Que Dieu nous a confiées.
Et on se détourne.
Vite.
Du chemin.
Où leur père avait marché.
Donc.
Ils n'ont plus écouter les commandements de l'éternel.
Je dis.
Tantôt.
Tantôt.
L'éternel.
Est comme.
Un Baal.
Comme un mari.
Comme un Seigneur.
Il a des droits.
Et.
Le commandement.
A souvent.
Un sens.
Négatif.
Pour nous.
Mais dans le Nouveau Testament.
C'est très positif.
Parce que c'est toujours lié.
A l'amour.
Comme j'ai dit.
Les droits de Dieu.
Les commandements de Dieu.
Va ensemble.
Avec l'amour.
L'ennemi veut toujours.
Séparer ces choses.
Comme on voit dans les Baal.
Et les astéroides.
Mais en Dieu.
Ces choses vont ensemble.
Verset.
Dix-Huit.
On voit donc.
L'intervention.
De la grâce de Dieu.
Et c'est Dieu qui donne.
L'énergie.
Aussi.
De son œuvre.
Mais.
Dans ces juges.
On voit aussi.
Cette énergie spirituelle.
En eux-mêmes.
Qui.
En elle-même.
Est aussi.
Un résultat.
De l'œuvre.
De Dieu.
L'éternel.
Était avec le juge.
Donc ici.
On voit.
L'éternel.
S'identifie.
Avec le juge.
Il s'identifie.
Avec le Seigneur Jésus.
Qui intervient.
Pour son peuple.
Il s'identifie.
Avec vous et moi.
Si nous voulons être fidèles.
Comme Timothée.
Et les délivrer.
De la main.
C'est-à-dire.
Les délivrer.
À cause de leur gémissement.
Qu'est-ce que ça veut dire ?
J'ai mentionné déjà.
Dans toute leur détresse.
Il était en détresse.
Si vous voulez.
Lire.
Ensemble.
Avec ce chapitre.
Le psaume.
107.
Vous allez voir.
Les voix de Dieu.
En rapport avec eux.
Et dans les voix de Dieu.
On voit.
Que Dieu peut se repentir.
Si c'est une question.
Du propos de Dieu.
De sa souveraineté.
Dieu ne se repent pas.
Les promesses de Dieu.
Sont.
Sans repentir.
Mais si c'est une question.
Du gouvernement de Dieu.
De ses voix.
Il peut se repentir.
Comment ?
S'il voit un changement.
Il les a châtiés.
S'il voit une idée.
Pour ainsi dire.
Parce que c'est plus nécessaire.
Et c'est ça que.
Ça veut dire.
Ici.
Dieu avait pitié.
Il s'est repenti.
Pour ainsi dire.
Et on voit.
Cette expression.
Souvent.
Dans la parole de Dieu.
Genèse 6.
1 Samuel 15.
Nombre 23.
Dieu ne se repent pas.
Mais.
Ça c'est une question.
De sa souveraineté.
Mais en rapport.
Avec ses voix.
Il peut changer.
D'idée.
Si nous.
On voit.
Le niveau.
Plus bas.
Qu'il arrive.
Maintenant.
Parce qu'ils l'ont rejeté.
De nouveau.
La grâce de Dieu.
Ils se sont corrompus.
Plus que leur père.
Ça c'est donc.
Comme j'ai dit.
La quatrième génération.
Il y a donc.
Un développement négatif.
De génération en génération.
La troisième.
Avait abandonné.
La quatrième.
Va encore plus loin.
Comme on le voit.
Dans les.
Dans l'apocalypse.
Mais.
Dans 2 Timothée 2.
On voit donc.
Les remèdes.
Aussi pour la quatrième génération.
Pour être fidèle.
Là.
Où la confession publique.
Où la profession publique.
Est infidèle.
Dieu veut avoir.
Sa génération.
Fidèle.
Comme une semence.
De Dieu.
Qui est fidèle.
Verset 19.
Ils n'abandonnaient.
Rien de leurs actions.
Et de leur voix.
Obscénée.
C'est l'endurcissement.
Maintenant.
Et là.
La question se pose.
Est-ce que moi.
Je me suis endurci.
Vous voyez.
Comme j'ai dit.
Les points positifs.
On peut se demander.
Dans quelle mesure.
Je réponds à ça.
Les points négatifs.
Dans quelle mesure.
Je réponds.
Est-ce que je me suis endurci.
Ça.
Ça nous arrive.
Quelques fois.
Verset 20.
La colère de l'éternel.
S'embrasa.
Contre Israël.
Et dit.
Puisque cette nation.
A transgressé.
Maintenant.
Vous voyez.
Dieu ne peut pas s'identifier.
Avec son peuple.
C'est Israël.
Il ne dit pas Israël.
Israël veut dire.
Prince de Dieu.
Ici.
C'est cette nation.
Il y a comme.
Une distance.
Entre Dieu et son peuple.
Ici.
A cause de leur comportement.
Dieu ne peut pas s'identifier.
Avec eux.
Mais maintenant.
On voit.
Que même.
Ce développement.
Est calculé.
Dans ce sens-là.
Dans les voies de Dieu.
Ça nous montre qu'il est.
Au-dessus de tout.
Toutes ces choses.
Peuvent arriver.
Mais le plan de Dieu.
Se réalise.
Quand même.
Verset 22.
Afin d'éprouver.
Par elle.
Israël.
S'ils garderont.
La voie de l'éternel.
Pour y marcher.
Qu'est-ce que ça veut dire.
Éprouver.
C'est tester.
C'est mettre à l'épreuve.
Ça c'est.
Une des significations.
Mais en même temps.
On voit ici.
Que Dieu les met.
À épreuve.
Pas seulement.
Pour voir.
Ce qui est.
Dans leur cœur.
Comme on le voit.
Dans Deuteronome 8.
Aussi.
Mais.
S'il y a donc.
Un mouvement.
Dans leur cœur.
Pour suivre.
Les instructions.
De Dieu.
Comme on le voit.
Dans chapitre 2.
Euh.
Chapitre 3.
C'est les.
Ce serait.
Une bénédiction.
Pour eux.
Donc même.
Ce chemin.
De châtiment.
De.
Correction.
C'est pas.
Pour les fournir.
Pour les.
Les.
L'élu.
Pour les.
L'élu.
Pour les.
L'élu.
L'élu.
Pour.
Ils.
Qui sont.
Gardés.
Dans la voix.
De l'éternel.
Ça c'est.
Une expression.
Très belle.
Au lieu de.
Suivre la voix.
Des idoles.
Ils veulent suivre.
La voix.
De l'éternel.
Ça c'est.
Déjà.
Une.
Étude.
C'est.
Ces.
Instructions.
Est-ce que je.
Suis.
Sur le bon chemin.
Le chemin.
Le chemin.
Qui est bon.
Et droit.
Ça c'est la voix.
De l'éternel. …
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…
Chapitre 3, verset 12. Je voulais juste mentionner encore un point qu'on a eu à la fin de l'autre portion, verset 11.
Le septième point, c'était Othniel, fils de Cainas, mourut.
Et puis, je pense que c'est pour faire place à la prochaine génération.
Il faut que toujours la nouvelle génération soit exercée, elle aussi,
qu'elle puisse suivre la foi de l'autre génération.
Et ainsi, Dieu donne donc cette conséquence, cette succession de générations.
Verset 12, chapitre 3.
Et le fils d'Israël fire de nouveau ce qui est mauvais aux yeux de l'Éternel.
Et l'Éternel fortifia Églant, roi de Moab, contre Israël, parce qu'il faisait ce qui est mauvais aux yeux de l'Éternel.
Et Églant assembla auprès de lui les fils d'Ammon et Amalek.
Et ils allaient et frappaient Israël.
Et ils prirent possession de la ville de Palmier.
Et les fils d'Israël servirent Églant, roi de Moab, 18 ans.
Et les fils d'Israël crièrent à l'Éternel.
Et l'Éternel leur suscita un sauveur, Éud, fils de Gera, de Benjaminite, qui était gaucher.
Et les fils d'Israël envoyèrent par lui un présent à Églant, roi de Moab.
Et Éud se fit faire une épée à deux tranchants, longue d'une petite coudée.
Il assaigna par-dessous ses vêtements sur la hanche droite.
Il offrit le présent à Églant, roi de Moab.
Or Églant était un homme très grave.
Il arriva que lorsqu'il eut achevé d'offrir le présent, il renvoya les gens qui avaient apporté le présent.
Mais lui s'en revint des images taillées qui étaient près de Gilgal et dit,
« J'ai pour toi une parole secrète, ô roi. »
Et il dit, « Silence. »
Et tous ceux qui étaient près de lui sortirent d'auprès de lui.
Et Éud entra vers lui.
Or il était assis dans une chambre haute de rafraîchissement qui était pour lui seul.
Et Éud dit, « J'ai une parole de Dieu pour toi. »
Et le roi se leva de son siège.
Et Éud étendit sa main gauche et prit l'épée de dessus son côté droit et la lui enfonça dans le ventre.
Et même la poignée entra après la lame et la graisse se referma sur la lame.
Car il ne retira pas l'épée de son ventre et a sorti entre les jambes.
Et Éud sortit par le portique et ferma sur lui les portes de la chambre haute et mit le verrou.
Et quand il fut sorti, les serviteurs du roi vinrent et virent et voici les portes de la chambre haute étaient fermées au verrou.
Ils dirent, « Sans doute il se couvre les pieds dans la chambre de rafraîchissement. »
Ils attendirent jusqu'à en avoir honte.
Et voici on n'ouvrait pas les portes de la chambre.
Ils prirent la clé et ouvrirent.
Et voici leur seigneur gisait par terre mort.
Et Éud s'était échappé pendant qu'il tardait et avait dépassé les images taillées.
Et il se sauva à Séira.
Et quand il y fut entré, il arriva qu'il sonna de la trompette dans la montagne d'Éphahim.
Et les fils d'Israël descendirent avec lui de la montagne et lui devant eux.
Et il leur dit, « Suivez-moi car l'Éternel a livré en votre main vos ennemis, les Moabites. »
Ils descendirent après lui et enlevèrent à Moab les guets du Jordan et ne laissèrent passer personne.
Et en ce temps-là, ils frappèrent Moab environ dix mille hommes, tous forts et tous veillants, et pas un n'échappa.
Et en ce jour-là, Moab fut abattu sous la main d'Israël.
Et le pays fut en repos quatre-vingt ans.
Et après lui, il y eut Shammgar, fils d'Anna.
Et il frappa les Philistins six cents hommes avec un aiguillon à beurre.
Et lui aussi sauva Israël.
Jusqu'ici la lecture de la parole.
Voilà, c'est une portion un peu plus longue, donc on doit aller un peu plus vite que ce matin.
C'est maintenant donc le deuxième cas, la fois où on voit l'intervention de Dieu après le déclin.
Ce sont des réveils, pour ainsi dire, qui se succèdent.
Là, on le voit d'un côté positif.
On pourrait dire aussi que ce sont les déclins qui continuent.
C'est vrai.
Mais de ce point de vue positif, l'intervention de Dieu, c'est beau de voir ces réveils qui se succèdent.
Le verset 12 nous introduit donc une attaque différente.
Et peut-être on pourrait suggérer deux choses.
La première chose que j'aimerais suggérer, c'est qu'il y a ici un aperçu de l'histoire d'Israël,
qui a commencé à abandonner l'éternel, comme on l'a vu au début,
et qui est donc en même temps un tableau de l'histoire de l'Église.
L'abandon du premier amour, Apocalypse 2, verset 4.
Ça c'est le parallèle.
La deuxième chose que j'avais à coeur de dire ici, ce sont des leçons personnelles pour nous aussi.
On a affaire avec le monde comme système.
On a vu les ressources de ce monde, l'activité de ce monde religieux,
haine contre le peuple de Dieu, et le remède que nous avons appartenant au peuple de Dieu.
Et comment Dieu veut avoir des vainqueurs pour le bien de tout le peuple.
Même un sauveur.
Ce frère-là était un sauveur.
Et aussi Ehud est devenu un sauveur, suscité par l'éternel.
Et Shammgar, lui aussi, a sauvé Israël.
Donc l'influence d'un seul homme.
L'influence bénéfique d'un seul homme pour le peuple de Dieu.
Pensez un peu aux Nazaréens.
Dans Nombre 6, on voit un Nazaréen en fidélité, avec un vœu spécial.
Et puis à la fin, on voit que la bénédiction est prononcée sur tout le peuple.
Nombre 6.
C'est beau de voir ça.
Un homme fidèle, une bénédiction pour tout le peuple.
Le même principe qu'on a ici.
Trois fois.
C'est donc dans ce sens-là aussi un encouragement pour nous.
Et on a déjà remarqué ce matin que ce n'est pas le vase comme tel qui compte.
Le Seigneur se sert de ce vase-là.
Ce qui compte est l'intervention de Dieu, l'œuvre de Dieu qui est opérée par ce vase.
Verset 12 jusqu'au verset 30, on pourrait peut-être dire que c'est surtout maintenant la chair.
Mais là, il faut distinguer parce que la chair se montre sous d'aspects différents.
L'aspect religieux.
On a vu le monde comme système religieux.
On a vu le monde aussi comme système indépendant de Dieu ce matin.
Et puis ça se lie avec la chair facilement.
Ici, la chair, c'est la chair dans son orga et dans sa prospérité.
Sans Dieu et qui usurpe les choses de Dieu.
La chair qui était très proche de nous.
Vous voyez Moab.
Moab était très parenté à Israël.
Le roi Koushandri Chataim est venu de loin.
Là, ce n'était donc pas des liens spéciaux.
C'était le pays où Abraham était sorti, comme nous l'avons vu.
Mais Moab était lié au peuple de Dieu.
Dans ce sens-là, Lot était lié à Abraham.
Il était son cousin.
Donc, Moab et aussi Ammon étaient des fils de Lot.
Et ainsi liés au peuple de Dieu.
Dans le livre de Nombres, et aussi d'autres nombres, on voit certains détails là-dessus.
Israël ne pouvait pas attaquer Moab.
Parce que c'était donc un peuple de frères.
Donc, parenté.
Il ne pouvait pas les attaquer.
C'est la grâce de Dieu.
Et une deuxième chose.
Les Moabites ne pouvaient pas être dans la congrégation de l'éternel.
Deux, trois nombres, vingt-trois.
Ils ne pouvaient pas être là.
Parce que le roi Balak avait voulu maudire le peuple d'Israël.
Donc, on voit là ces deux aspects-là.
D'un côté, un lien.
Mais c'est un lien naturel.
Vous voyez, la chair est très proche de nous.
Et nous sommes liés à la chair d'une façon naturelle.
Mais de l'autre côté, la chair n'a aucune place au milieu du vrai peuple de Dieu, dans la congrégation de l'éternel.
Donc, ces deux points, peut-être, ça peut aider si on peut saisir ça.
On va revenir encore à la chair un peu plus loin.
Quelques versets de nouveautés.
De nouveau, donc, ce cycle commence par cette expression.
Les fils d'Israël fuirent de nouveau ce qui est mauvais aux yeux de l'éternel.
On a vu ça dans Juge 2 déjà.
Comment ce cycle se succède.
Et puis, le deuxième point, l'éternel fortifia Eglon, roi de Moab.
On a vu dans Esaïe 63, l'éternel se change en ennemi.
Et aussi dans le psaume 18, il y a un verset très connu que je voulais juste citer.
Psaume 18, on voit que le Seigneur aide ceux qui mettent leur confiance en lui.
Mais il se change en ennemi.
J'espère que je puisse retrouver le verset.
Pour ceux qui sont adverses et hostiles, on peut retrouver le verset.
Mais il y a un verset, je pense que c'est dans le psaume 18, verset 26.
Verset 25.
C'est le même principe qu'on trouve dans l'avis de Jacob.
Jacob a suivi sa propre volonté.
Et puis là, Dieu est devenu roi envers lui.
Il a dû le frapper au moment donné.
Genèse 32, il a frappé, il a touché son ange.
Et puis c'est le siège de la force physique de l'homme.
Puis là, il a dû mettre sa confiance dans le Seigneur.
Il était forcé de mettre sa confiance dans le Seigneur.
Et ainsi, on voit le même principe ici en rapport avec l'état du peuple d'Israël dans le temps des juges.
Ils ont abandonné Dieu.
Dieu s'est changé en ennemi contre eux.
Mais c'était par amour qu'il l'a fait.
C'est ça.
Il châtie par amour pour les ramener.
Et ainsi, il les force, comme il a forcé Jacob, dans ce sens-là, à mettre la confiance en lui.
Donc, l'éternel fortifia Eglon.
Maintenant, pour comprendre ce que le roi de Moab représente, j'ai mentionné la chair.
Pas la chair religieuse ici, mais l'orgueil.
Il y a peut-être deux passages.
Un passage dans le livre d'Ésaïe.
On voit le jugement sur Moab dans Ésaïe 15.
Et là, il y a aussi un nom mentionné, verset 5.
Eglat, chez l'icha.
Eglat, c'est le féminin, une construction un peu différente dans l'hébreu,
qui a la même signification que Eglon.
Et puis, ce jugement de la part de Dieu.
Et puis, dans Ésaïe 16, on voit comment ce jugement continue.
Et verset 6.
Voilà, ça c'est la caractéristique de Moab.
Dans nos jours, surtout dans le mouvement appelé le Nouvel Âge,
on voit comment l'homme fait.
Et l'homme, par profession chrétienne aussi.
Il parle d'améliorer le moi.
Il parle du potentiel de moi-même.
Ça, c'est Moab.
Le moi, la chair, dans son orgueil, dans ses capacités naturelles,
sans Dieu, puis ses venteries.
On peut voir là le lien facilement avec l'Antichrist
et aussi avec le chef de l'Empire romain,
qui vont se vanter, se glorifier.
Le même principe est ici dans Moab.
Et le même danger nous guette aussi,
parce que lorsqu'on met sa confiance en soi-même,
dans sa chair, pour nous réaliser nous-mêmes,
il parle souvent de réaliser le moi.
Tout ça, self-actualization.
Ce sont des principes qu'on trouve aujourd'hui dans ce monde.
Et puis, la parole de Dieu nous montre un principe qui est déjà très vieux.
On peut même aller un peu plus loin en arrière.
Jeunesse 3.
J'ai mentionné Jeunesse 3 déjà ce matin,
en rapport avec les trois principes de ce monde.
Jeunesse 3 est aussi là pour nous montrer ce que la chair est au fond.
L'orgueil, la fierté.
Un autre verset de Jérémie 48,
qui parle aussi de la fierté,
mais qui donne encore un aspect
qui montre ce que Moab veut dire.
Il est à l'aise, à son aise.
On a vu ce roi aiglon, très gras,
et ces dix mille hommes de Moab aussi,
des hommes forts et gras,
c'est à cause du fait qu'il est à son aise.
Jérémie 48, verset 11.
Moab, Jérémie 48, verset 11.
Moab a été à son aise dès sa jeunesse,
et tranquille sur sa lit.
Il n'a pas été versé de vase en vase.
Il n'est pas allé en captivité.
C'est pourquoi son goût lui est demeuré,
et son parfum ne s'est point changé.
Ce sont les ordures,
ce sont des choses qui restent dès le début.
Pas de changement, pas de captivité,
pas d'exercice.
Un contraste avec Israël,
qui a été persécuté dès sa jeunesse,
en Égypte déjà,
de la persécution, de la tribulation,
des exercices, dès sa jeunesse.
Et c'est pour ça que Dieu a formé Israël
comme un vase pour lui-même.
Si on voit donc cette influence de Moab,
qui a affecté Israël aussi,
la même influence peut nous affecter aussi.
Cet aise, tranquille sur sa lit,
ne pas être versé de vase en vase.
Ça c'est dur d'être versé de vase en vase.
Ce sont des changements qu'on n'aime pas,
naturellement.
Par exemple, on est forcé,
mais c'est la main de Dieu,
pour déménager, d'une façon ou d'une autre,
c'est être versé de vase en vase.
On doit s'acclimatiser de nouveau,
on doit s'adapter aux changements,
mais c'est la main de Dieu qui permet ça,
et c'est pour notre bien.
Si on reste dans notre coin, pour ainsi dire,
on ne connaît pas ces changements,
et on garde son goût du début.
C'est le goût de l'homme naturel,
ce n'est pas bon ça.
Ce parfum de l'homme, de la chair,
ce n'est pas agréable.
Il faut que ce soit ôté.
Il ne peut pas se procéder de captivité,
de tribulation, d'affliction,
de changement.
Dieu ôte ce goût,
il ôte ce parfum,
mais Moab résiste à ça.
Moab ne connaît pas ça.
Et puis le peuple de Dieu,
s'ils sont infidèles,
se place sous la même influence.
C'est ça le principe qu'on voit maintenant dans Juge 3.
On voit l'origine de Moab,
dans Genèse 19,
après le jugement sur Sodom et Gomorra,
l'autre était à l'aise là,
il s'est associé à ce monde,
dans un autre caractère,
pas le caractère qu'on a vu ce matin,
mais le monde d'un autre caractère,
qui était à l'aise.
Sodom et Gomorra,
on voit dans les prophètes,
quel était leur péché ?
Qu'ils étaient à l'aise là.
Ils n'avaient pas besoin de Dieu.
Vous voyez ?
C'est la caractéristique de Sodom et Gomorra.
Et l'autre a adapté,
il a absorbé cette attitude,
et maintenant son fils,
ou ses deux fils,
Moab et Ammon,
ont continué cet aspect-là.
C'est donc cette chair naturelle,
comme j'ai dit, suggérée,
qui est à l'aise,
sans Dieu.
Pas d'exercice,
pour ça aussi cet aspect grave,
pas de mouvement,
pas de changement.
Et le résultat,
c'est que cet aiglon était un roi,
un homme très grave.
Il est le vrai représentant de ce peuple,
mais dans le verset 29,
on voit que ces dix mille hommes
étaient aussi tous forts,
et selon la note,
littéralement graves.
Donc, selon leur roi,
eux aussi étaient graves.
Ça, c'est donc le danger
qui peut nous affecter,
et nous devons résister ce danger.
On doit être formé
pour résister à cette influence.
Et on voit que,
pas seulement Ehud a résisté,
plus tard aussi,
toute cette tribu d'Éphahim
a résisté à cette influence,
et tué chacun son homme,
grave pour ainsi dire.
Verset 12 encore,
au milieu maintenant,
la troisième chose,
l'éternel...
OK, la deuxième chose
était l'éternel fortifié
aiglon roi de Moab
contre Israël,
parce qu'il faisait
ce qui est mauvais
aux yeux de l'éternel.
J'ai mentionné déjà Genèse 19,
l'origine de Moab,
aussi que pour Moab,
il n'y avait aucune place
au milieu du peuple de Dieu,
et Dieu va ôter
l'homme qui se vante,
un chrétien, un,
que personne se glorifie
dans la chair.
Aucun homme.
Puis Dieu va ôter
l'homme selon la chair,
l'homme qui se vante,
qui se glorifie en lui-même.
On peut seulement se glorifier
dans le Seigneur.
Et dans Genèse 6,
on voit que la fin
de toute chair est venue.
Selon les pensées de Dieu,
pour la chair,
il n'y a aucune place
au milieu de son peuple,
mais ici on voit
que Dieu se sert
de ce même principe
pour châtier son peuple,
pour qu'il réalise
leur manque.
Verset 13,
aiglon assemblable.
Donc, d'un côté,
Dieu l'a fortifié,
l'éternel,
dans son amour
envers son peuple,
il envoie ce châtiment,
mais aiglon de lui-même,
il fait aussi quelque chose.
Il s'associe avec d'autres,
contre le peuple de Dieu.
Et ce sera aussi
le cas dans le futur.
Le psaume 83
nous donne
cette association
de nations contre Israël.
Il y aura plusieurs nations
dans le futur contre Israël.
Maintenant,
on parle seulement
de ces trois,
verset 13,
cette association.
On a parlé ce matin
de 1 Jean 2.
On voit trois principes
ensemble.
Ici, on voit
trois ennemis
ensemble avec la chair.
Ammon,
on va voir dans
Juge 11,
spécifiquement.
Ammon représente
peut-être
la fierté nationale
ou un autre aspect
de la chair.
Et surtout,
Amalek est vraiment
un ennemi
dangereux
du peuple de Dieu.
Là, on voit
l'influence de Satan
avec la chair.
Dans Exode 17,
Amalek est mentionné
dans Genèse 34,
je pense,
comme un descendant
des Ahus.
Mais dans Exode 17,
on voit
qu'Amalek est venu
le moment
où le peuple était béni
par l'eau
qui a coulé du rocher.
Ce moment-là,
l'ennemi est venu.
Et puis,
cette eau
coulue du rocher
parle de l'Esprit Saint
opérant
dans la vie
du peuple de Dieu
dans le désert.
L'ennemi
va attaquer ça.
Après la mort du Seigneur,
l'Esprit est venu
et l'Esprit dirige
le peuple de Dieu
dans le désert.
L'ennemi
l'a attaqué
avec sa position faible
comme les vieillards
et les femmes,
les enfants
étaient attaqués.
L'ennemi,
Amalek,
attaque le peuple
là où le peuple
est faible.
Et puis,
un autre principe
qu'on voit,
Amalek
s'associe
avec d'autres.
On va voir
le même principe
avec Madien
dans le chapitre 4
et plus tard.
Amalek
s'associe aussi
à d'autres
pour attaquer
le peuple de Dieu.
Il y aura
continuellement
cette attitude
contre le peuple
de Dieu.
Le Deutéronome 25
nous dit même
que la main
de l'éternel
sera continuellement
contre eux.
Mais il faut que le peuple
eux-mêmes
résiste aussi.
Pas dans la propre force.
La chair ne peut pas
résister à la chair.
On va voir
les remèdes
que Dieu donne.
Mais il faut réaliser
que la chair
se met ensemble
avec d'autres
Moab,
Amon,
Amalek
pour attaquer
le peuple de Dieu.
Dans le jour
du roi Saul,
on voit
qu'il a terminé
Amalek
comme Dieu l'avait dit.
Il voulait épargner
les bonnes choses
de la chair.
Est-ce que ça se peut?
Est-ce qu'on peut épargner
les bonnes choses
de la chair
ou soi-disant
les choses qui sont bonnes?
Vous pouvez lire
1 Samuel 15.
Là on voit
la désobéissance
de Saul.
Il ne voulait pas
obéir.
Et nous devons vraiment
être radical
avec la chair.
On ne peut pas épargner
ou chérir la chair
ou disons
certaines qualités
de la chair.
Dieu est très dur
envers la chair
et on ne peut pas
être dur
envers la chair.
La chair est
inimitié
contre Dieu.
La chair ne peut pas
s'améliorer.
Dans Jean 3,
le Seigneur a dit
ce qui est né
de la chair
est cher.
Dans Jean 6,
verset 63,
il dit
la chair
ne profite
de rien.
Et dans Romains 7,
on voit les efforts
de la chair.
La chair
dans une personne
née de nouveau
ne peut pas
améliorer la chair.
C'est impossible.
Puis à la fin de Romains 7,
Romains 8,
peut-être qu'on peut
tourner là
pour voir
la conclusion
et aussi le parallèle
avec notre chapitre
Romains 8
où l'homme,
l'âme
exercée
qui est née de nouveau
qui voit
l'influence de la chair
qui veut se délivrer de ça
voit que lui-même
ne peut pas se délivrer.
On ne peut pas
se délivrer
dans notre propre force
de la chair.
La chair
est là
et puis on a besoin
d'une intervention
de Dieu
pour être délivré
de cette influence.
Et vers Romains 8,
vers 1,
nous donne la position
dans la crise d'Yésus,
une nouvelle position
que Dieu nous a donnée,
une nouvelle force,
l'esprit de vie
qui agit en nous maintenant,
qui m'a affranchi
de la loi du péché
et de la mort.
Ce n'est pas mon intention
de parler de ces détails
maintenant
mais juste
pour mentionner
quelques points.
Verset 6,
car la pensée de la chair
est la mort.
Ça, c'est la conséquence
mais la pensée de l'esprit
vit et paie.
L'esprit introduit
la vie et la paix.
Puis verset 7,
parce que la pensée
de la chair
est inimitié
contre Dieu
car elle ne se soumet
pas à la loi de Dieu.
C'est pour ça
qu'Élude a dû
frapper ce roi
par l'épée.
On va revenir
à l'épée tantôt,
l'épée de la parole
de Dieu,
l'épée de la foi,
l'épée de l'esprit.
Et ceux qui sont
dans la chair,
verset 8,
ne peuvent
plaire à Dieu.
Ne peuvent
plaire à Dieu.
Verset 9,
or vous n'êtes pas
dans la chair
mais dans l'esprit.
C'est le chrétien
qui est dans l'esprit
mais qui doit maintenant
aussi vivre
selon l'esprit,
et les versets
qui suivent
sont très clairs
là-dessus.
Verset 12 aussi.
Ainsi donc, frère,
nous sommes débuteurs
non pas à la chair
pour vivre
selon la chair
car si vous vivez
selon la chair,
vous mourrez.
Mais si par l'esprit,
vous voyez maintenant
la remède,
par l'esprit,
vous faites mourir
les actions du corps.
OK?
Si par l'esprit,
vous faites mourir
les actions du corps.
On pourrait dire aussi
Moab représente
le corps,
la chair,
comme j'ai dit,
comme la chair naturelle
et il se sert du corps
qui n'est pas contrôlé
par l'esprit.
Par contre,
si nous sommes contrôlés
par l'esprit,
dirigés par l'esprit,
l'esprit va faire mourir
ses actions
afin que nous vivions
pour Dieu.
Dans Galate 5,
on a le même conflit
entre la chair
et l'esprit,
Galate 5.
Et là,
c'est donc important
à réaliser
où sont nos remèdes.
C'est l'épée.
L'épée
qui était formée
pour Ehud.
Ehud n'a pas fait
cette épée-là.
Il se fait,
il se fait,
s'est fait faire
cette épée
comme nous avons lu
dans Jésus.
Ainsi,
Dieu nous donne quelque chose
que lui a préparé
et c'est la parole
qui est identifiée
avec l'esprit.
Éphésiens 6,
on a mentionné ce matin
Éphésiens 6,
on voit là
que l'épée
c'est la parole
de Dieu.
La parole
qui est caractérisée
par cette puissance
de l'esprit
pour faire fin
à cette chair.
Galate 5,
verset 16,
par exemple,
Marchez par l'esprit
et vous n'accomplirez
point la convoitise
de la chair
car la chair
convoite contre l'esprit
et l'esprit
contre la chair.
Ça c'est le combat
entre l'esprit
et la chair.
Et ce combat
se déroule
en nous.
C'est pour ça
qu'on est impliqué
dans ce conflit-là.
Ce conflit
a lieu
dans notre corps.
Est-ce que notre corps
est dirigé par la chair
ou est-ce que c'est dirigé
par l'esprit?
Car la chair
convoite contre l'esprit
et l'esprit
contre la chair
et ces choses
sont
verset 17
afin que vous ne pratiquiez
pas les choses
que vous voudriez.
Donc ce qu'on veut
selon l'ancienne nature,
l'esprit ne permet pas ça
et c'est pour ça
que j'ai dit
que c'est un conflit
en nous.
Verset 18,
mais si vous êtes
conduits par l'esprit
vous n'êtes pas
sous la loi.
Ici c'est la question
de la loi,
je ne veux pas
entrer là-dedans.
Verset 19,
les heures de la chair
sont manifestes.
Lesquelles sont
la fornication,
l'impureté,
l'impudicité,
l'idolâtrie,
l'iniquité,
le querelle,
les jalousies,
les colères,
les intrigues,
les divisions,
les sectes,
les envies,
toutes ces listes-là
sont les heures de la chair.
Qu'est-ce que l'esprit produit,
verset 22,
le fruit de l'esprit
est l'amour,
la joie,
la paix.
C'est un fruit,
un fruit
en neuf aspects.
C'est merveilleux
de voir ça,
ce que l'esprit
veut introduire.
Verset 24,
or ceux qui sont
du Christ,
est-ce que nous sommes
pratiquement du Christ
dans le sens pratique
de Jésus,
Romain Ville,
mais est-ce que nous sommes
du Christ dans ce sens-là,
identifiés avec lui
et sous la direction
de l'esprit ?
On crucifie la chair
avec les patients.
C'est radical,
comme je l'ai dit.
Crucifier la chair
avec les patients
et les convertir.
Si nous vivons par l'esprit,
marchons aussi
par l'esprit.
Voilà le conflit
qu'on a un peu
dans Jules 3.
Et le remède,
les remèdes
se trouvent
donc dans le Seigneur,
dans l'épée de l'esprit
qui est la parole
de Dieu
et aussi
un sens
qui est aussi
ensemble
avec la foi
qu'on voit maintenant
dans Éhu.
Pour revenir à ça,
dans Jules 3,
on voit que
Hégelon,
ensemble avec
ses deux rois,
ont frappé Israël
et prirent possession
de la ville
des palmiers.
Ce sont ces caractéristiques.
On parle encore
du pays,
vous voyez,
le pays promis
où Israël habitait
et puis quelle ville
était à l'entrée
de ce pays-là ?
Quelle ville
était là
comme, disons,
contrôlant
l'entrée du pays ?
C'était Jéricho.
Et puis,
cette ville
des palmiers
nous parle exactement
de cette ville-là,
la ville de Jéricho
qui était donc
à l'entrée du pays.
Autrement,
si quelqu'un
prend possession
de cette contrée-là,
il prend possession
du pays.
Ça, c'est la pensée.
C'est donc
essentiel
comme on peut voir
dans Jésus 6.
Jéricho était là,
il fallait
que Dieu donne Jéricho,
que Jéricho tombe
entre les mains
d'Israël
afin qu'Israël puisse
entrer
et prendre possession
du pays.
Donc, l'ennemi vient ici,
il prend possession
exactement
de cette contrée-là.
Ça veut dire
qu'il va prendre
possession du pays
comme tel.
Ça, c'est l'intention
de l'ennemi.
Et ainsi,
il n'y aurait pas
de fruit pour Dieu
comme on a vu ce matin.
Verset 14,
cette servitude
était plus longue,
plus grave,
18 ans.
Dieu a permis
donc une période
encore plus longue
pour qu'il revienne à Dieu.
Ça montre aussi
que le déclin
a continué.
Le mal,
le progrès du mal,
c'est ce qu'on voit.
Et puis, ça prend
plus d'énergie,
encore plus de temps aussi
pour remédier
ces caractéristiques.
La ville des palmiers,
les palmiers parlent
des vainqueurs.
L'arbre des palmiers
parle du principe
des vainqueurs.
Maintenant, Israël
était vaincu
par l'ennemi.
Il fallait donc
qu'entre eux-mêmes
il y ait
des vainqueurs maintenant
pour remédier
à cette situation-là.
Verset 15,
les fils d'Israël
crièrent à l'éternel
et l'éternel
leur suscita
un sauveur.
Donc, le troisième point,
ils crièrent
à l'éternel.
Ce cri est nécessaire.
Est-ce que nous avons déjà
crié à l'éternel
dans une situation pénible?
C'est nécessaire
pour crier.
Ils connaissent
notre situation,
mais il faut
que nous criions.
Le quatrième point,
l'éternel leur suscita
un sauveur.
On a vu ça ce matin,
l'intervention
de la grâce
souveraine de Dieu.
On prie aussi
pour une intervention
de la grâce souveraine
si nous avons
des difficultés
comme ça.
Et Éruth,
c'est très beau.
Éruth, maintenant,
c'est un benjaminite.
Et on a vu
plus loin déjà
que Judas
et Benjamin
vont ensemble.
Benjamin avait
une portion
entre Éphraim
et entre Judas.
Donc, on voit ici
que la parole de Dieu
commence par Judas,
Othniel,
puis parle de Benjamin.
Un peu plus loin,
il parle aussi
d'Éphraim
parce que Benjamin
était entre
Judas et Éphraim.
Et dans le verset 27,
on voit que
Éruth a appelé
les gens d'Éphraim
parce qu'ils étaient
entre Judas et Éphraim.
Et puis,
le roi Moab
avait aussi pris possession
d'une partie
d'Éphraim.
Mais c'est un benjaminite.
Judas veut dire
quelqu'un
qui loue Dieu.
Et ce qui est beau
de voir maintenant,
Éruth,
selon son nom,
veut dire aussi
louange.
Donc, je pense,
une des remèdes
pour remédier
une situation,
c'est la louange.
Commencer à louer Dieu.
Souvent, lorsqu'on prie,
on va exposer
nos requêtes
et on oublie même
à louer Dieu,
à bénir Dieu.
Et je pense,
pour remédier
à un état de choses
comme ça,
il faut commencer
à louer Dieu.
Louer Dieu.
On a toujours des raisons
pour louer Dieu.
Il était aussi
le fils de Guéra.
Son nom veut dire
soit pèlerinage
ou aussi méditation.
Ça va toujours ensemble.
Prenons maintenant
la signification méditation.
La méditation
dans la parole de Dieu,
le psaume 1,
par exemple,
ce n'est pas
la méditation transcendantale
comme on voit aujourd'hui.
Les gens qui méditent
en eux-mêmes,
qui trouvent un guide
dans leur esprit,
en eux-mêmes,
dans leur propre potentiel.
C'est la méditation
qui est concentrée
à Dieu
où Dieu est l'objet.
Et cette méditation
produit la louange,
produit la bénédiction
comme le mot Ehud suggère,
le nom Ehud suggère.
Et le Benjaminite,
il était donc,
Benjamin veut dire
fils de ma droite.
Pour nous maintenant,
pour l'appliquer,
il faut réaliser
que nous appartenons
au vrai fils
de la droite de Dieu.
Nous sommes associés
ou même unis
avec Christ dans la gloire.
Est-ce que nous sommes
vraiment de Benjaminite?
Est-ce que nous réalisons
notre lien avec
notre Seigneur Jésus
dans la gloire?
Là, on devient
un vrai Benjaminite
comme l'apôtre Paul
n'a jamais oublié
qu'il était lié,
uni à l'homme
dans la gloire.
Et ainsi,
on peut devenir
un vrai Benjaminite.
Et on a besoin de ça
pour attaquer
ici l'ennemi.
Mais le vase est faible,
il est gauché.
Le mot hébreu
veut suggérer probablement
qu'il ne pouvait pas
utiliser sa main droite.
Et il n'est donc
pas parfait,
ce n'est pas un vase parfait.
Mais Dieu se sert
de cette situation
justement
pour utiliser Eudes.
Si d'autres personnes
seraient venues,
ils n'auraient jamais
pu faire ça.
Parce que le roi Eglon
serait averti
lorsque quelqu'un
prenait son épée
entre ses vêtements,
il serait averti.
Maintenant,
le roi n'a rien
sous son nez.
Donc d'abord,
un signe de leur esclavage,
il était en esclavage,
ils ont servi
comme des esclaves,
ce roi Moab.
Et si,
malheureusement,
les chrétiens
peuvent servir
la chair
et se placer
sous l'influence
de la chair
d'une telle façon
qu'il n'y aurait pas
de fruit pour Dieu.
Au lieu qu'il y ait
du fruit pour Dieu,
il y a du fruit
pour le roi de Moab.
Quelle chose affreuse.
C'est ça que l'ennemi veut,
il veut du fruit
pour lui-même,
pas pour Dieu.
Et Eudes se fit faire
le remède.
C'est quelque chose
qui s'est passé
dans le secret.
Pour que nous puissions
avoir cette épée
à deux tranchants,
comme je l'ai mentionné,
c'est la parole de Dieu,
c'est l'épée de l'esprit.
Ça se prépare
dans le secret,
chez nous.
Mais il se fit faire ça.
C'est Dieu qui met ça
à notre disposition.
Mais tout cela
a lieu dans le secret.
Et aussi le combat, ici,
a lieu dans le secret.
Personne n'était là
lorsque Eudes l'a attaqué.
La question maintenant
en rapport avec la chair,
ce sont des choses
qui se passent
dans le secret.
C'est une parole de Dieu.
Voilà, Dieu est intervenu.
Dieu a suscité ce juge
et Dieu voulait
remédier à ça.
C'est une parole de Dieu,
mais c'est dans le secret.
Comme on le voit,
verset 19,
une parole secrète.
Verset 20,
une parole de Dieu.
Mais tout le monde
était sorti.
Pour nous aussi,
cette question réglée,
ce conflit entre l'esprit
et la chair,
c'est très personnel.
Personne ne peut faire ça
pour nous.
Chaque homme de Judas
et chaque homme d'Éphraim
et de Benjamin
a dû tuer
son propre homme fort
ou son propre homme gras.
Et ainsi,
chaque chrétien
doit faire face
à ces choses-là.
Moi, je ne peux pas le faire
pour vous.
Vous ne pouvez pas
le faire pour moi.
Chacun est responsable
pour soi-même.
Par contre,
on peut être un encouragement
comme Ehud.
L'exemple d'Ehud
a encouragé les autres.
On va un peu plus loin.
OK, donc,
il est venu avec son épée
cachée sous ses vêtements
sur la hanche droite
et il offrit.
Sur la hanche droite,
on avait d'habitude
un rouleau
pour garder
des documents,
par exemple.
Puis, ainsi,
le roi ne souffre
sur rien.
Parce que quelqu'un
prenait quelque chose
de sa hanche droite
pour produire
un document,
quelque chose comme ça.
Verset 17,
on a vu déjà
c'est un très grand
représentant,
le vrai représentant
de ce principe de Moab.
Verset 18,
il arriva
que lorsqu'il lui
achevait d'offrir
le présent,
il renvoya les gens
qui avaient apporté
le présent.
Donc, quelque chose
de remarquable maintenant.
Il n'a pas attaqué
le roi tout de suite.
Il a gagné sa confiance.
Il a apporté
le présent,
les tribus
et puis là,
où est-ce qu'il est revenu ?
Verset 19,
mais lui s'en revint
des images taillées
qui étaient près
de Gilgal.
Voilà, c'est terrible.
Le territoire
de ce roi de Moab
était jusqu'à là,
jusqu'à Gilgal.
Et là, il avait même
placé ces images taillées
ou, selon la note aussi,
des carrières
de pierres de taille.
C'est donc
une indication
du pouvoir,
de la puissance
d'Eglon.
Sa puissance est atteinte
jusqu'à là.
Verset 19,
près de Gilgal.
Et ce matin,
il a mentionné
l'importance de Gilgal.
Peut-être qu'on pourrait
suggérer ici,
ici,
à Gilgal,
évite à réaliser
ce qu'il va faire.
Peut-être,
Dieu l'avait préparé
déjà auparavant,
mais c'est remarquable
que la parole de Dieu
le mentionne
ici,
en rapport avec Gilgal.
Parce que,
exactement là,
Dieu avait fait
circoncire
les Israélites
afin que la chair
soit mise de côté.
On a parlé un peu
de Gilgal ce matin,
ce qu'on a vu là,
les pierres
qui nous parlent donc
que nous sommes
sur un autre territoire,
le territoire
de la résurrection.
La résurrection
n'a rien à faire
avec la chair.
La Pâque,
on a parlé
de cette nouvelle
nourriture du pays.
Toutes ces choses
n'ont rien à faire
avec la chair.
Et verset 19,
donc,
c'est là
son point de départ.
Là où le peuple
a manqué dans le livre
des juges,
ils n'ont pas,
ils l'ont manqué
et l'ange est allé
à Boquim,
la pleure,
ou la pleurant
à cause de ce manque
du peuple.
Mais lui,
c'est là,
à Gilgal,
le point de départ
pour toutes les victoires
comme on voit
dans le livre des juges.
Et pour nous aussi,
pour avoir la victoire
sur la chair,
sur le roi de Moab,
il faut commencer là,
à Gilgal,
où la propre chair
a été mise de côté.
Et puis ça,
c'est le lien
avec Golgotha.
On peut voir
un lien avec Golgotha
parce que
Colossiens 2
nous parle
de la circoncision
du Seigneur Jésus
à Golgotha,
à la croix.
Et puis c'est là
le point de départ
pour le chrétien aussi
parce que
dans la mort de Christ,
nous ont été circoncis.
Et c'est maintenant aussi
le point de départ.
On est là,
touchés par la vision.
On voit le Seigneur Jésus
crucifié.
Moi, je suis crucifié là,
comme on a dit ce matin,
Galaties.
Et maintenant,
c'est le point de départ
pour cette victoire.
Et puis,
c'est une parole secrète
maintenant.
Il parle comme un prophète.
Il est venu d'abord
comme un serviteur,
un esclave,
mais maintenant,
il vient comme un prophète.
On a besoin
de ces paroles secrètes
pour remédier
à cette situation-là.
Un prophète
avec la parole de Dieu.
Et un peu plus loin,
on va le voir aussi
avec la trompette.
Ici, c'est secrète.
Il faut remédier les choses,
régler les choses
dans le secret.
Et plus tard,
on a un service public.
Ici, c'est encore
tout secret.
Vers c'est 20 aussi,
on voit l'égoïsme
de la chair.
Vers c'est 20,
on voit cette chambre haute.
Quelle chose affreuse.
La Bible,
qui nous parle
des chambres hautes,
c'est souvent
en rapport avec
les bénévoles.
Les bénévoles,
c'est souvent
les chambres hautes.
C'est souvent
en rapport avec
les bénédictions spirituelles.
Les choses célestes
que Dieu partage
avec son peuple.
Comme dans
Jean 13 à 14.
J'ai oublié
le mentionner
ce matin.
Sans doute,
Othniel
a connu aussi
dans ce sens-là
ces ressources
qu'on trouve
dans Jean 13 à 17.
J'ai mentionné
Jean 4,
Jean 7.
On peut mentionner
aussi Jean 13 à 17
où on est
dans l'intimité
avec le Seigneur Jésus.
Dans sa chambre haute
pour être fortifié.
Voilà.
Le secret de son âme,
il connaissait
ces ressources-là.
Les ressources
qu'on trouve
dans les écrits
de Jean.
C'est une petite parenthèse
peut-être,
mais vous pouvez
penser là-dessus.
Les écrits de Jean
donnent les remèdes
contre les attaques
de l'ennemi.
On a sept attaques
dans les vues
de l'ennemi
et on a sept miracles
dans l'évangile
de Jean
qui donnent
les remèdes
contre
les attaques
de l'ennemi.
On a besoin
donc d'être
dans la présence
de Dieu
et d'être
dans la présence
de Dieu.
La chair
a une chambre haute
pas pour partager.
La chair
a une chambre haute
pour soi-même.
Pour lui seul.
Rien pour Dieu.
Rien pour les frères.
C'est l'égoïsme
qui caractérise la chair.
Qui va
remédier à ça ?
La chair ?
Non, on a vu.
L'esprit.
La parole de Dieu.
L'épée de l'esprit.
La parole de Dieu
va remédier à ça.
Verset 20.
Une parole de Dieu.
C'est l'attaque.
La seule arme
qu'on a
offensive
c'est donc
justement cette épée.
Les autres armes
c'est tout défensive
et on prie
la septième arme
mais l'épée
peut défendre
mais aussi
attaquer.
Il attaque ici.
Hébreu 4
est très clair là-dessus.
La puissance
de la parole
de Dieu
qui expose
la chair
et maintenant
qui donne la force
aussi pour
remédier à ça.
Et comme Paul a dit
je ne parle pas
selon les hommes
mais la parole
que Paul a parlé
c'était
en puissance.
On voit ici
la puissance
de la parole de Dieu.
Mais c'est par la foi
qu'on voit
dans Ehud aussi
la foi.
Verset 21.
Il a étendu
sa main gauche.
Il faut
à un moment donné
approprier ces choses.
Il faut s'identifier
avec cette épée-là.
Comme un des héros
de David plus tard
sa main était
attachée
à son épée.
Il était identifié
avec cette épée
pour attaquer l'ennemi.
On voit ici
comment la foi
s'approprie
de la parole de Dieu
de l'épée
de la foi
et de l'esprit
pour attaquer.
Il prit l'épée
de dessus
son côté droit.
On a lu déjà
Romains 8, verset 13.
On pourrait aussi
mentionner
Philippiens 3.
On voit comment
Paul aussi
dans sa vie
a remédié
à ces choses
la chair.
Philippiens 3
c'est un très beau chapitre
de lire
pour voir
comment remédier.
Il a dit
nous sommes
la circoncision.
Verset 3.
Et verset 7 et 8
il parle des choses
qu'il a renoncées
à son arrière.
Mais à la fin
du chapitre 3
il parle aussi
de ceux
qui ont
leur ventre
comme leur dieu.
Vous voyez
ce roi-là
il avait
son ventre
comme son dieu.
Et puis l'épée
de la parole de Dieu
attaque maintenant
ce ventre justement.
Le centre
de cette chair.
Et puis on voit
comment c'est rien
pour nous.
On peut
on est aussi exposé
à ces dangers.
Philippiens 3.
Verset 19.
Ceux qui ont fait
leur dieu
leur ventre
est devenu leur dieu.
On n'est pas trop bons
pour ça.
Ça peut nous arriver aussi.
Et même
la poignée
entra après la lame
et la graisse
se referma
sur la lame
car il ne retirera
pas l'épée
de son ventre.
Donc on voit ici
c'est mortel.
Ça nous montre aussi
que la chair
est incorrigible.
Il faut agir
avec radicalité
et avec précision.
On voit ici
qu'il a agi
avec précision.
Il était aussi
décidé.
Il a agi
verset 23
avec intention
selon un plan.
Il a mis
le verrou
et tout ça.
Les gens
avaient honte
que leur maître
était seul.
Ils pensaient
qu'il utilisait
la toilette.
Ils l'ont ouvert
à un moment donné.
Ils l'ont constaté
que leur maître
était mort.
Maintenant
la phase publique
commence.
Tout s'est déroulé
en secret.
Verset 27
on voit qu'il a sonné
la trompette.
Dans 1 Chrétien 14
on voit que la parole
prophétique
est comparée
à la trompette.
C'est pour mobiliser
le peuple de Dieu.
C'est maintenant
un service public.
Il était formé en secret.
Il avait agi en secret
par la foi.
Et maintenant
Dieu peut se servir
de lui par ce service
prophétique
pour mobiliser
le peuple
avec la trompette
dans la montagne
d'Éphraim.
C'est dit
donc ici
on voit le lien
entre Benjamin
et Éphraim.
C'est beau de voir ça.
Qu'il a un cœur
pour le peuple de Dieu.
Pas seulement pour Benjamin.
Il a un cœur
pour le peuple de Dieu.
Est-ce que nous avons
à cœur
les intérêts
du peuple de Dieu ?
Dans No. 10
on voit l'importance
des trompettes
pour mobiliser
le peuple de Dieu,
pour informer
et diriger
le peuple de Dieu
à travers le désert
et pour les amener
à la victoire.
C'est pour
la victoire.
Mais aussi
pour que Dieu
puisse avoir
son fruit.
No. 81
nous parle de la trompette,
la cinquième fête
de l'année.
Et puis là
on voit que c'est
pour préparer le peuple
pour que Dieu
puisse avoir le fruit
de la récolte
de la moisson.
Et c'est beau de voir
que c'est ici
Ephraim.
On a vu ce matin
ce territoire
du roi Koushanri Chataim,
Aram Naharaim.
Mais ici
Ephraim veut dire
double fertilité.
Le peuple de Dieu
ce n'est pas
double méchanceté
comme le roi
de ce monde.
Mais c'est un peuple
qui produit
une double fertilité
pour Dieu
et pour eux-mêmes.
Du fruit pour lui.
Du fruit pour eux-mêmes.
Mais tout cela
était en captivité
disons
ne fonctionnait pas
à cause
de la possession
de l'ennemi.
L'occupation de l'ennemi.
Maintenant
ils sont délivrés
de cette occupation.
Ils sont descendus
avec Ehud de la montagne
et lui devant.
Il peut maintenant
mobiliser le peuple
mais aussi donner direction.
C'est donc une question ici
d'être dirigeant,
le bon dirigeant.
Et les autres sont placés
en arrière de lui
qui ont suivi
le bon dirigeant.
Suivez-moi
Et ainsi
j'ai mentionné déjà
verset 29
que tout homme
a frappé
son homme
fort et vaillant.
Chaque membre
du peuple de Dieu
est responsable
à tuer
cet homme
grave
en rapport avec lui-même.
Verset 30
En ce jour-là
Moab fut
abattu
sous la main d'Israël.
C'est une victoire
définitive.
Même
on le voit dans le verset 30
le pays fut
en repos
quatre-vingt-un.
Donc le repos
était deux fois plus long
que l'autre fois.
Peut-être
on peut suggérer
que
40 ans
c'est une génération.
Ici
il y a un repos
pour deux générations.
Si nous avons
vaincu
le roi de Moab
ça va avoir
des effets
positifs
pour la prochaine génération.
C'est ça la pensée.
Si moi je suis
sous l'influence
de la chair
ça va m'affecter
personnellement
ça va affecter
mes enfants.
Si cette question
a été réglée
ça va être bénéfique
même
pour la prochaine génération.
Troisième jus
de ce chapitre
verset 31
il y a sept points
dans ce petit verset
après lui.
J'ai suggéré
déjà
après Othniel
le mort
il y avait
un autre libérateur
une autre génération
qui va être formée
qui va être exercée
maintenant
après lui.
Mais peut-être
on peut suggérer aussi
ce n'est pas seulement
une question de succession
c'est aussi
une question de suivre
le même exemple.
Vous voyez
ça c'est une autre pensée.
Ce n'est pas une question
de succession
ici plutôt
en suivant
le même sentier.
C'est beau.
Ehud a donné
l'exemple
maintenant il y a
un autre
dans une autre partie
du pays.
Ça c'est aussi
un point à remarquer.
Les juges
qu'on voit
dans le livre des juges
n'ont pas rayé
sur tout le territoire
d'Israël
mais souvent
c'était une partie
du pays.
Ici c'est dans
une autre partie
où les philistins
avaient beaucoup
d'influence.
Et dans juges 5
verset 6
Déborah fait mention
de Shambar
au jour de Jaël
les chemins
étaient délaissés
et ceux qui allaient
par les grands chemins
allaient par des sentiers
détournés.
Ça veut dire
qu'il n'y avait pas
de communication.
Si les chemins
ne fonctionnent pas
il n'y a pas de communication
entre le peuple de Dieu.
Et on voit
c'est tellement important
qu'il y ait une bonne
communication
entre les frères
entre les croyants.
Une bonne communion.
Si les chemins
ne sont pas là
l'ennemi
va avoir la victoire.
Et dans ces jours-là
on voit donc
que Shambar
était là
c'est le deuxième point
son nom.
Peut-être
c'est la même signification
que Gershom
le fils de Moïse
et ça nous parle donc
de notre pèlerinage
que nous séjournons ici.
Nous sommes ici
comme ceux qui séjournent
ici
qui sont des pèlerins.
Et même
en habitant
dans le pays
promis
on est là
maintenant on réalise
ce n'est pas encore définitif.
Et c'est bon
pour nous de réaliser ça
de ne pas vouloir
construire tout
pour maintenant
comme beaucoup de chrétiens
parlent du royaume de Dieu
ici et maintenant.
C'est vrai
le royaume de Dieu
d'un sens moral
c'est ici
et maintenant.
Mais on ne peut pas
établir le royaume de Dieu
avec force
avec puissance.
Il faut attendre pour ça
pour que le Seigneur
va établir ça.
Et puis il était le fils
d'Anate.
Anate
veut dire réponse.
Anate
a prié
je pense.
Et puis
Dieu donne une réponse
et ce fils
c'est la réponse.
Donc de nouveau
la question de la prière
et
il frappa
les philistins.
On parlera donc
des philistins plus tard
en rapport avec
Samson
Dieu voulant.
Mais c'est
un ennemi très
dangereux
parce que c'est dans
le pays.
Tandis que Moab
était dehors.
Il était dangereux
parce qu'il était
parenté
avec Amon et Amalek
parenté au peuple
de Dieu.
Kouchamri Chataim
était encore
devenu
de plus loin.
Mais si Dieu permet
que l'ennemi
attaque le peuple
dans le pays
et les philistins
ont usurpé le pays
plus tard.
Donc c'est le quatrième point.
Il a frappé
les philistins
et
combien?
600 hommes
comparé avec
l'autre victoire
10 000 hommes
ce n'est pas beaucoup
mais pour
Chamgar
c'était
une bonne victoire
une grande victoire
et que le Seigneur
nous puisse donner aussi
cette victoire
sur les philistins.
Les philistins
qui parlent
d'autres principes
qui veulent
usurper
les droits de Dieu
qui ont beaucoup
de puissance
5 princes des philistins
pense là
aux 5 sens
que nous avons
nous pouvons être
affectés par la vue
ou par l'ouïe
ou par l'odorat
ou quoi que ce soit
ces 5 sens
pour que Dieu
ne puisse pas
avoir ses droits
dans nos vies
en tout cas
les philistins
ont usurpé
les droits de Dieu
et ainsi
ils ont usurpé
aussi
le pays
et les fruits du pays
pour eux-mêmes.
600 hommes
c'est le cinquième point
c'est le nombre de l'homme
ça parle vraiment
de leur puissance
Goliath
c'était un homme
de 6 coudées
et un peu plus encore
mais le nombre 6
est mentionné
en rapport avec Goliath
quel était
l'instrument
qu'il utilisait
le sixième point
avec un aiguillon à bas
Dieu se sert
de ce que nous avons
Maurice
lorsqu'il a été appelé
de Dieu
Dieu a demandé
qu'est-ce que tu as
dans ta main
voilà
Maurice avait
la verge
qui est devenue
la verge de Dieu
parce que Dieu
s'est servi de ça
Chamgard
il n'avait pas le temps
mais il avait
un aiguillon à bœuf
parce qu'il était
en train de nourrir
le bœuf
ou diriger le bœuf
ok
Dieu se sert de ça
il avait ça en sa main
et ainsi Dieu peut
se servir de n'importe
quelle chose
qu'il nous a confié
quelques-uns peuvent
ils sont bons
pour faire des visites
d'autres peuvent
faire quelque chose
préparer des repas
d'autres peuvent
écrire quelque chose
Dieu peut se servir
de ça
donc si cet aiguillon
est entre les mains
de Dieu
Dieu va avoir la victoire
avec 500 à un moment donné
on va voir
qu'il a eu la victoire
avec un mâchoire
d'un
c'est humiliant
lorsqu'on commence
avec une épée
c'est peut-être
selon le point de vue
humain
plus glorieux
c'est un peu humiliant
même
d'utiliser un tel instrument
mais Dieu
est là-dedans
Dieu s'est servi
de ça
et le septième point
lui aussi
sauva Israël
Dieu se sert
donc d'un vase
humble
pas connu
pas connu
dans ce monde
Gershon
n'est pas connu
dans ce monde
mais Dieu se sert
de lui
pour être une bénédiction
pour toute Israël
c'est remarquable
ici
lui aussi
sauva Israël
Israël c'est le peuple
de Dieu
on a vu donc
que ces choses
ont une signification
littérale
historique
dans ces jours-là
très important
garder ça
une signification
morale pour nous
Dieu veut nous instruire
par ces choses-là
pour nous corriger
pour nous exhorter
pour nous encourager
pour nous consoler
et ces choses
ont aussi
une signification
prophétique …
Automatic transcript:
…
Le livre des juges, chapitre 4. J'aimerais lire le chapitre 4, cet après-midi, Dieu voulant, le chapitre 5.
Mais les deux chapitres sont intimement liés. Quelquefois, je vais référer déjà ce matin au chapitre 5.
Juge 4. Et les fils d'Israël firent de nouveau ce qui est mauvais aux yeux de l'Éternel.
Or Ehud était mort, et l'Éternel les vendit en la main de Jabin, roi de Canaan, qui régnait à Hazor.
Et le chef de son armée était Cisra, et celui-ci habitait à Arosheth des Nations.
Et les fils d'Israël crièrent à l'Éternel, car Jabin avait neuf cents chars de fer.
Et il opprima fortement les fils d'Israël pendant vingt ans.
Et Débora, une prophétesse, femme de Lapidote, jugeait Israël en ce temps-là.
Et elle habitait sous le palmier de Débora, entre Rama et Bethel, dans la montagne d'Éphraim.
Et les fils d'Israël montaient vers elle pour être jugés.
Et elle envoya et appela Barak, fils d'Abi-Noam, de Kedesh de Neftali.
Et lui dit, l'Éternel, dieu d'Israël, ne l'a-t-il pas commandé?
Va et rends-toi sur le mont Tabor, et prends avec toi dix mille hommes des fils de Neftali et des fils de Zabulon.
Et j'attirerai vers toi, vers le torrent de Kizan, Cisra, chef de l'armée de Jabin,
et ses chars et sa multitude, et je le livrerai en ta main.
Et Barak lui dit, si tu vas avec moi, j'irai, mais si tu ne vas pas avec moi, je n'irai pas.
Et elle dit, j'irai bien avec toi, seulement ce ne sera pas à ton honneur dans le chemin où tu vas,
car l'Éternel vendra Cisra en la main d'une femme.
Et Débora se leva et s'en alla avec Barak à Kedesh.
Et Barak rassembla Zabulon et Neftali à Kedesh, et dix mille hommes montèrent à sa suite.
Et Débora monta avec lui.
Or Hébert, le Kenien, s'était séparé des Keniens, fils de Obab, beau-père de Moïse,
et avait dressé sa tente jusqu'au chêne de Tzanaïm, qui est près de Kedesh.
Et on rapporta à Cisra que Barak, fils d'Abi-Noam, était monté sur le mont Tabor.
Et Cisra rassembla tous ses chars, neuf cents chars de fer,
et tout le peuple qui était avec lui depuis Arrochette des Nations au torrent de Kizan.
Et Débora dit à Barak, Lève-toi, car c'est ici le jour où l'Éternel livrera Cisra en ta main.
L'Éternel n'est-il pas sorti devant toi?
Et Barak descendit du mont Tabor, et dix mille hommes après lui.
Et l'Éternel, mis en déroute, Cisra et tous ses chars et toute l'armée,
tomba sur le tranchant de l'épée devant Barak.
Et Cisra descendit de son char et s'enfuit à pied.
Et Barak poursuivit les chars et l'armée jusqu'à Arrochette des Nations.
Et toute l'armée de Cisra tomba sous le tranchant de l'épée.
Et il n'en resta pas un seul.
Et Cisra s'enfuit à pied vers la tente de Jaël, femme de Hébert, le Kenien,
et il y avait paix entre Jabin, roi de Hathor, et la maison de Hébert, le Kenien.
Et Jaël sortit à la rencontre de Cisra, et lui dit,
Retire-toi, mon seigneur, retire-toi chez moi, ne crains point.
Il se retira chez elle dans la tente, et elle le couvrit d'une couverture.
Il lui dit, Je te prie, donne-moi un peu d'eau à boire, car j'ai soif.
Et elle ouvrit l'outre du lait, il lui donna à boire, et le couvrit.
Et il lui dit, Tiens-toi à l'entrée de la tente,
et s'il arrive qu'on vienne et qu'on t'interroge, et dise,
Y a-t-il quelqu'un ici? Tu diras non.
Et Jaël, femme de Hébert, prit un pieu de la tente,
et mit le marteau dans sa main, et elle vint vers lui doucement,
et lui enfonça le pieu dans la tente, de sorte qu'il pénétra dans la terre.
Or, il dormait profondément, et était fatigué.
Il mourut. Et voici Barak, qui poursuivait Cisera.
Et Jaël sortit à sa rencontre, et lui dit,
Viens, et je te montrerai l'homme que tu cherches.
Et il entra chez elle, et voici Cisera Gisela, mort, et le pieu dans sa tente.
Et en ce jour-là, Dieu abattit Jabin, roi de Canaan, devant les fils d'Israël.
Et la main des fils d'Israël avançait toujours,
et pesait durement sur Jabin, roi de Canaan,
jusqu'à ce qu'ils eurent retranché Jabin, roi de Canaan.
Et Déborah chanta, en ce jour-là, avec Barak, fils d'Abi-Noam,
en disant qu'il va lire le restant cet après-midi.
Nous avons vu déjà, la dernière fois,
que le lire des juges parle d'un peuple, du peuple d'Israël, dans le pays promis.
Et nous avons vu aussi que ces choses nous ont été données,
comme avertissement, comme exhortation, comme encouragement,
comme instruction, selon un chrétien dit, c'est d'autres passages dans le Nouveau Testament.
Parce que nous sommes aussi le peuple de Dieu présentement.
Dans ce jour-là, c'est un peuple terrestre.
Et c'est important de réaliser que même sur ce niveau-là,
Dieu va encore agir avec et par le peuple d'Israël.
Et dans ce sens-là, il y a même des instructions pour le peuple terrestre,
pour le futur, pour leur restauration.
Mais nous aimons surtout poursuivre cette ligne de pensée qui réfère à nous.
Donc, les leçons spirituelles que nous pouvons apprendre de ces choses.
Pour un peuple céleste qui a reçu, par la grâce de Dieu, une portion dans le pays céleste.
Le pays céleste est le ciel où le Seigneur Jésus se trouve.
Les fruits du pays, la récolte du pays, sont les bénédictions du pays céleste
que nous pouvons récolter, pour ainsi dire.
Et tout cela en vue de l'adoration.
Je pense que Dieu nous a enrichis dans le Christ Jésus,
parce qu'il veut avoir des adorateurs, il veut avoir du fruit.
Il aime partager ses bénédictions avec nous,
mais il a à cœur de nous donner, en vue de cette réponse.
Et puis c'est justement là où l'ennemi entre.
Parce que l'ennemi ne veut pas que Dieu reçoive quelque chose d'un peuple céleste sur la terre.
L'ennemi a encore contrôle sur la terre, dans un sens.
Nous savons que Dieu est en contrôle, finalement.
Mais quand même, il permet à l'ennemi qu'il soit cet usurpateur,
et qu'il puisse avoir, d'un sens, le contrôle sur les choses sur la terre.
Donc s'il y a un peuple sur la terre, comme nous,
l'ennemi va toujours essayer d'empêcher ce peuple de jouir des bénédictions célestes.
L'apôtre Paul dit dans Ephésiens 1, verset 3,
« Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ,
qui nous a bénis de toutes bénédictions spirituelles dans le Dieu céleste, dans le Christ Jésus. »
Voilà, toutes ces détendues du pays, toutes ces bénédictions ont été mises à notre disposition.
Et puis Dieu veut avoir donc du fruit, comme dans l'apôtre Paul,
« Béni soit le Dieu et Père ».
L'apôtre Paul a redonné ces choses à Dieu.
Puis, pour l'étude de la parole aussi, c'est important,
Dieu veut nous instruire, comme nous avons chanté aussi dans notre cantique,
mais il a en vue cette réponse. Il veut avoir une réponse.
Et on pourrait dire, dans la mesure où nous donnons une réponse,
dans cette mesure-là, nous avons appris les choses.
Et nous avons approprié ces choses, pour nous-mêmes aussi.
Mais Dieu reçoit sa portion dans son peuple lorsque nous prenons possession de ces choses.
On peut voir cela surtout aussi dans le livre de Jojoué.
Et voilà l'ennemi qui entre, parce que l'ennemi a été mis de côté dans le livre de Jojoué.
Mais il revient, et nous avons vu que ceci se compare avec la position dans Ephésiens 6.
On est là, dans la jouissance des bénédictions, et puis l'ennemi revient.
Il va nous attaquer.
Ephésiens 6 est très instructif là-dessus.
Et puis Dieu nous donne tous les moyens nécessaires pour résister,
et pour tenir ferme, et pour garder la portion que le Seigneur nous a donnée,
pour garder les bénédictions, afin que l'ennemi ne les prenne pas.
Nous n'avons donc aucune excuse si nous laissons tomber ces choses par terre,
si l'ennemi nous ôte ces choses.
Et nous avons vu comment cette histoire se répète,
et ainsi on a vu aussi un parallèle avec l'histoire de l'Église,
parce que chaque génération doit apprendre les mêmes choses,
mais l'histoire ne se répète jamais 100% exacte, dans la même façon.
Il y a toujours des différences, et on voit ça aussi.
C'est, dans un sens, un progrès du mal.
On va terminer avec Samson plus tard.
Il est le seul encore dans le peuple.
Dieu se sert seulement là, de Samson.
Ici, il se sert encore d'une femme, on va en parler, d'un homme, Barak, et de dix mille hommes.
Mais dans les jours de Samson, c'était Samson seul.
Donc, le déclin va encore continuer,
mais ici nous avons une nouvelle phase dans ce développement.
Nous avons vu un peu que chapitre 3 correspond à la première phase de l'histoire de l'Église,
caractérisée par Éphèse, le premier amour abandonné,
et puis on a vu la discipline de Dieu pour remédier à cette situation-là.
Là, les dieux du peuple, donc Baal surtout, et les astarotes, ont pris la place de Dieu.
C'est le principe de l'idolâtrie, on en a parlé.
Et puis on a vu, donc, l'attaque de l'extérieur dans chapitre 3,
le kushan rishatayim, et aussi de Moab, le monde et la chair.
Et aujourd'hui, dans le chapitre 4, c'est un ennemi un peu différent.
C'est dans le pays, et surtout le caractère de l'ennemi lui-même.
Parce qu'on sait peut-être que ce roi, cette ville, a été détruite dans les jours de Josué,
dans Josué 11, on peut le lire, entièrement détruite, mais il revient.
C'est important, nous, à réaliser que chapitres 4 et 5 ne parlent pas du monde,
même tout le livre de Jésus ne parle pas du monde comme tel.
Ça parle du peuple de Dieu dans le pays.
Ça ne parle pas d'un peuple de Dieu en Égypte ou dans le désert.
Ça ne parle pas non plus du déclin dans le monde.
Lorsque nous voyons autour de nous, on voit le déclin dans le monde à plusieurs égards.
Mais ce livre ne parle pas de ça.
Ce livre parle du déclin au milieu du peuple de Dieu.
Ça, c'est un aspect.
Mais ce livre nous parle aussi des remèdes que Dieu donne,
des ressources que Dieu donne pour donner un réveil ou des réveils.
On voit chaque fois le déclin et puis un réveil spirituel, une restauration.
On a vu ce cycle dans le chapitre 2.
Il en fire ce qui est mauvais aux yeux de l'Éternel.
Et puis là, la colère de l'Éternel s'embrase contre Israël.
Ils furent dans une grande détresse.
Ils crient à l'Éternel.
Il suscite un juge ou des juges, d'abord sauveur et puis juge.
Et puis, c'est la délivrance.
Mais puis après ça, de nouveau le déclin.
On a vu ce cycle dans le chapitre 2.
Et ce cycle se répète dans un sens consécutif, comme l'histoire de l'Église,
ce qui se termine à l'Odyssée.
Là, c'est le point le plus bas.
Puis, lorsqu'on compare le livre du juge, on pourrait dire peut-être que
là, toute cette histoire n'est pas encore tracée.
On a besoin du livre de Samuel, 1 Samuel, pour voir ce point le plus bas dans les jours de Saul.
Ça se rassemble pas mal aux jours de l'Odyssée.
Ici, dans le chapitre 4 et 5, j'aimerais suggérer un parallèle avec Myrna.
Nous savons que c'était dans la deuxième phase, dans l'histoire de l'Église.
Ils l'ont manqué.
Et puis là, Dieu a permis des persécutions dans le pays, comme ici, au milieu de la chrétienté.
Peut-être qu'on va référer encore à ça.
Mais pour nous, c'est aussi très important de voir des leçons personnelles pour chacun de nous.
C'est la même chose avec l'Apocalypse 2 et 3.
On va lire ça et puis on voit que chaque phase de l'Église a à dire quelque chose à nous, personnellement.
Et c'est ainsi avec le livre du juge.
Le livre du juge va aussi parallèle à la deuxième épître de Timothée.
Peut-être que je l'ai mentionné la dernière fois déjà.
Mais là, on voit aussi le déclin.
Tous avaient abandonné l'apôtre Paul et plusieurs signes de déclin.
Puis on trouve toutes les ressources nécessaires dans 2 Timothée 1 et suivant.
C'est très utile aussi pour nous pour comparer cette deuxième épître de Timothée avec le livre du juge.
Peut-être que c'est bon de simplement suivre le chapitre ensemble au verset premier.
Et les fils d'Israël firent de nouveau ce qui est mauvais aux yeux de l'éternel.
Donc c'est une nouvelle phase, le déclin.
Et on a vu que c'est un peu plus bas parce que Dieu avait donné les remèdes nécessaires,
une intervention de sa grâce souveraine.
Mais malgré tout cela, le peuple tombe de nouveau dans le mal.
Il est constaté aussi à la fin du premier verset, or Ehud était mort.
Ehud, c'était donc le juge qui les avait délivrés de la puissance de Moab, qui nous parle de la chair surtout.
Et on a vu ce principe lorsque un ancien est mort ou un chef, un dirigeant du peuple est mort.
Le peuple, en général, retombe de nouveau dans ce mal, dans un état de mal.
Et puis là, on voit la réaction de l'éternel.
Il les discipline.
Par son amour, il commence à les discipliner.
C'est toujours une question de l'amour de Dieu.
Il s'occupe de son peuple.
On dirait, mais ça c'est très dur ça, verset 2, l'éternel les vendit en la main de Jabin.
Ça c'est dur.
Mais l'amour peut être dur à cause de notre état.
On peut s'endurcir comme ici dans le verset premier.
Et puis Dieu doit agir avec dureté pour briser nos coeurs.
Aussi plus tard, le résidu fidèle va le dire dans le psaume 44, pourquoi tu nous as vendus.
C'est remarquable.
Je mentionne deux passages qui nous parlent du fait que le peuple était vendu.
Le psaume 44, verset 12, qui nous parle de ce fait que le reste fidèle dans le futur va faire un complaint.
Ils diront dans le verset 12, tu as vendu ton peuple pour rien et tu n'étais pas agrandi par leurs frics.
Donc c'est une complainte ici.
Le même principe on trouve dans Esther 3, verset 11, où le peuple était vendu.
Vendu dans la main d'Aman.
Mais c'est le gouvernement de Dieu, c'est Dieu qui est en contrôle.
Pas Aman, pas Jabin, mais c'est Dieu qui est en contrôle.
Et c'est par son amour qu'il permet ces choses, qu'il dirige même ces choses.
Et ainsi je vois aussi un parallèle avec Smyrna.
Smyrna, parce que là Dieu permet, donc le Seigneur permet, ces persécutions de dix jours.
Dans l'histoire de l'Église, on peut même mentionner dix persécutions différentes.
Les dix jours vont en parallèle avec ces persécutions.
C'est la même signification.
Dieu les vendit dans la main de leurs ennemis.
Jabin ici, c'est quel ennemi?
J'aimerais suggérer ici qu'il réfère plutôt au démon ou à Satan lui-même.
Dans le pays, il y avait donc le peuple d'Israël.
Mais dans le même pays, il y avait encore ces Cananéens qui étaient restés là.
C'était un manque de la part du peuple.
On a vu ça dans le chapitre premier déjà.
Que les tribus n'étaient pas capables de déposséder le pays entièrement.
Dans le juge 1, verset 28, par exemple, il rendit les Cananéens tributaires.
Ils étaient menacés, mais ils ne dépossédaient pas entièrement.
Et puis un peu plus loin, on voit aussi l'azérite, verset 32.
L'azérite a habité au milieu des Cananéens, habitants du pays, car il ne les déposséda pas.
Neftali ne déposséda pas les habitants de Beth Shemesh, etc.
Donc là, ils l'ont manqué.
Et à cause de ce manque, l'ennemi a regagné la force.
Ça c'est donc aussi une leçon très importante pour nous.
On peut vaincre l'ennemi dans notre zèle spirituelle pour le Seigneur.
Comme dans les jours de Josué, il y a 130 ans à peu près.
Il avait vaincu l'ennemi, détruit Hadsor entièrement, détruit Jabin,
qui était la tête aussi d'une confédération d'ennemis contre Israël.
Donc on dirait que c'est la victoire finale.
Mais on voit que l'ennemi revient.
Et c'est à cause de ce manque, manque de fidélité dans le chapitre 1er, que ça arrive.
Voilà, le nom de Jabin signifie intelligent ou intelligence.
C'est ici donc une intelligence humaine qui s'occupe du pays,
prend possession du pays selon l'intelligence naturelle.
Pour jouir du pays, pour le croyant, c'est important que notre intelligence soit spirituelle
et contrôlée par le Seigneur, pas par Satan.
Ici, l'intelligence est contrôlée par Satan.
Le roi de Canaan, Canaan veut dire marchand.
C'est le principe du gain. Ils veulent gagner quelque chose.
Il y a bien des gens dans le monde aussi, dans la profession chrétienne,
qui habitent dans le pays, pour ainsi dire, où le principe du gain est là.
Seulement à cause du gain, ils font quelque chose.
Et leur intelligence est donc asservie à Satan,
qui se sert de leur intelligence pour les rendre forts.
On le voit aussi dans le mot Atsor. Atsor, c'est sa ville.
C'est donc une place qui est enclose, comme avec une muraille, une fortification.
On peut là penser aussi à l'esprit du sectarisme,
qui se fait grain soi-même dans le pays.
C'est ici, dans le pays de Dieu, que Dieu avait promis au peuple d'Israël que ces choses passent.
Et on peut peut-être voir un lien aussi,
dans la mesure où nous sommes contrôlés par l'intelligence humaine,
au lieu de l'intelligence spirituelle, dans la soumission de Christ,
dans la mesure où nous sommes dirigés par ce principe de gain,
par cet esprit du sectarisme,
dans cette mesure-là, nous sommes sous l'influence de la nuit.
C'est ça, le parallèle.
Et j'aimerais lire un verset de 2 Corinthians 10,
qui donne une clé pour ce chapitre des juges,
et aussi, en général, pour le combat chrétien.
2 Corinthians 10, verset 3,
Car en marchant dans la chair, nous ne combattons pas selon la chair.
Là, il y a aussi donc un contraste avec la situation d'un peuple terrestre sur la terre,
et nous, un peuple céleste et spirituel.
Verset 4, Car les armes de notre guerre ne sont pas charnelles,
mais puissantes par Dieu,
pour la destruction des forteresses,
comme les forteresses de l'ennemi, de Germain, de Hadsor,
détruisant les raisonnements et toute hauteur qui s'élève contre la connaissance de Dieu.
Détruisant les raisonnements.
On va voir dans le chapitre, on a lu,
que Cicéra était tué par ce pieu dans sa temple.
La temple, c'est donc la place où notre intellect se trouve.
Et puis, il faut donc agir dans ce sens-là.
Il faut que cette influence soit mise de côté.
Dieu nous donne l'intelligence, ça c'est un don de Dieu,
mais il faut que ce soit soumis à Christ,
comme on le voit ici versets 4 et 5,
pour la destruction des forteresses,
détruisant les raisonnements et toute hauteur qui s'élève,
contre la connaissance de Dieu.
Vous voyez, c'est contre la connaissance de Dieu.
Dans la mesure où nous sommes sous l'influence de la connaissance humaine,
naturelle, de l'homme,
on n'est pas sous l'influence de la connaissance de Dieu.
Et amenant toute pensée captive à l'obéissance du Christ.
C'est ça un peu qu'on a dans le chapitre 4.
Comment Cicéra et Jabin étaient vaincus,
et ainsi on est placés sous l'obéissance du Christ,
et c'est sous la connaissance de Dieu.
On va voir dans Déborah, une mère en Israël,
qui avait la connaissance de Dieu,
et qui pouvait produire des enfants spirituels,
par cette connaissance de Dieu.
Tout en contraste avec la connaissance du monde,
la connaissance de Jabin,
la connaissance des démons.
Il y a aujourd'hui des gens qui écrivent des livres
sous le contrôle direct des démons.
C'est la connaissance de l'ennemi.
Ici, le peuple de Dieu est placé sous la connaissance de Dieu.
Dieu veut que nous soyons dirigés par cette connaissance,
et dans l'obéissance du Christ.
Et si vous voulez aussi lire Éphésiens 6, verset 10,
ça peut aider beaucoup dans ce combat.
Mais on ne peut pas parler en détail d'Éphésiens 6 maintenant.
Voilà, verset 2 à la fin.
Le chef de son armée,
on voit donc ici qu'il avait un chef,
quel contraste avec notre chef,
le Seigneur Jésus est vu, justement,
dans l'Épître aux Éphésiens et dans l'Épître aux Colossiens,
comme notre chef.
Un contraste ici avec ce chef usurpateur,
chef qui imite cette position de Christ,
Cicérat.
Cicérat, celui qui lit avec chêne,
où on peut traduire son nom aussi,
en rapport avec une pensée du combat,
mais la pensée à l'âge qui chêne.
Il lit les gens à lui-même.
C'est ça le principe de l'ennemi.
Il lit les gens à lui-même
pour les avoir sous son contrôle.
Tandis que le Seigneur Jésus, notre chef,
nous lit à lui, afin que nous soyons sous sa direction.
Et comme j'ai dit, même cette situation-là,
dans le verset 2,
est une image des événements prophétiques.
Dans le psaume 83,
on voit une confédération des ennemis contre Israël.
Et c'était aussi la question dans les jours de Jabin,
pendant les jours de Josué,
que ce roi avait donc cette confédération contre Israël.
Parallèle avec l'histoire de l'Église aussi,
tous les ennemis se sont mis ensemble contre l'Église.
On peut le voir au début de l'Église,
toutes ces attaques de la philosophie humaine,
comment le paganisme a été introduit dans l'Église.
Toutes ces attaques,
c'est vraiment en parallèle avec ce que nous avons dans Jésus 4, verset 2.
Arrozet des nations.
Arrozet nous parle aussi de ses influences des païens.
Arrozet des nations.
Et on voit dans Ephésiens 4,
que nous aussi étions sous l'influence des nations.
Dans tout ce débauche,
pas seulement la connaissance de l'homme sous l'influence de Satan,
mais aussi une mauvaise morale sous l'influence de Satan,
comme on voit dans Ephésiens 4.
Et la parole de Dieu nous avertit que bien vite,
ces choses sont entrées dans l'Église.
Philippiens 2,
ils avaient tourné le dos vers l'apôtre Paul déjà.
Acte 20, il les a avertis.
On a vu ceci dans le passé déjà.
Quelle réaction maintenant verset 3?
Qu'est-ce qu'ils peuvent faire?
Crier à l'éternel.
Sont pas en Égypte,
où ils ont crié de désespoir,
et plus tard crié à l'éternel.
Ici, c'est dans le pays même.
Dans le pays promis.
À cause de leur infidélité,
manque de foi,
et tout cela,
ils doivent maintenant crier à l'éternel.
C'est leur seul remède qui reste.
Et pour nous aussi.
Toutes nos ressources sont à lui.
Comme nous avons aussi exprimé dans nos cantiques.
Car Jabin avait 900 chars de fer.
Pourquoi?
Il faut réaliser ici que ces chars
étaient utilisés dans les vallées.
Le peuple, par contre,
était surtout supposé d'être sur les montagnes.
Les montagnes parlent toujours de bénédiction du pays,
et qui nous lie avec le ciel.
Il se trouve seulement dans les vallées.
C'est bon, les vallées sont bonnes aussi,
selon Deuteronome 8.
Mais il avait quitté les montagnes.
Par contre, Déborah, on va voir plus tard,
elle était à Rama,
ça veut dire hauteur, une classe élevée.
Elle avait le pays vraiment.
Elle jouissait du pays.
Mais le peuple là, étant dans la vallée,
était maintenant une proie facile pour l'ennemi.
Lorsqu'on abandonne la jouissance des bénédictions
que Dieu nous a confiées,
on devient une proie facile pour l'ennemi.
On le voit dans Philippe 3.
Je donne un exemple.
Il y avait ceux qui avaient leur bourgeoisie.
Dans le même verset,
Philippe 3, verset 19, je pense,
on voit ceux qui ont le ventre comme leur dieu.
Ce sont des chrétiens
qui servent maintenant leur ventre comme leur dieu.
On a le choix.
On pourrait donner beaucoup d'exemples,
mais ainsi, ils sont devenus une proie facile pour l'ennemi.
Parce que ces 900 chars n'avaient aucune puissance sur les montagnes,
seulement une puissance dans les vallées.
Ces chars avaient des couteaux à côté des roues.
Ils ont couru dans les vallées.
Les couteaux ont blessé et tué les gens qui se trouvaient là.
C'était vraiment une puissance terrible dans les vallées.
Ils opprimaient fortement les fils d'Israël pendant 20 ans.
C'était donc une longue période de temps.
Comme Jacob, dans Aaron,
dans les jours où l'arche n'était pas avec le peuple,
seulement dans la maison d'Obed.
C'était dans la maison de Samuel VII, j'ai oublié le nom.
C'était aussi une période de 20 ans, 20 ans d'oppression.
Puis cela donne maintenant l'occasion
pour un exercice spécial parmi le peuple, verset 4.
Ils ont crié, mais Dieu introduit maintenant une solution
dans la personne de Deborah.
Là, on voit 7 points que j'aimerais souligner,
mais avant que je l'oublie,
Dieu se sert donc d'un vase très spécial, d'un vase faible.
On a vu déjà ce principe dans Othniel.
Othniel, il était plus jeune que son frère Caleb,
ou en tout cas, il était plus jeune que Caleb,
qui était aussi son beau-père.
On a vu le même principe dans Ehud, qui était gaucher,
et Dieu s'est servi de lui.
On a vu le même principe dans Shamgar,
qui s'est servi d'un aiguillon.
Bof, imaginons-nous, imaginons.
On voit clairement que Dieu se sert donc des vases,
soit méprisés ou inférieurs,
mais c'est exactement la grâce de Dieu qui se sert de telles vases,
pour que la gloire soit de Dieu,
pour que ça vienne vraiment de lui,
que lui soit à la source de ces choses.
Et il y a un autre aspect, donc, à considérer.
Les hommes ont manqué.
On a vu ça dans le chapitre 1er,
et à cause de ça, Dieu doit se servir d'une femme maintenant.
On ne doit pas avoir l'impression
que c'est pour dire quelque chose de négatif sur les femmes,
parce qu'elles sont très importantes dans le témoignage de Dieu,
mais elles ont leur propre place.
Mais ici, on voit que Dieu se sert d'une femme
et qu'il lui donne une place anormale, pour ainsi dire,
dans le témoignage de Dieu,
à cause du manque de l'homme.
On a deux femmes dans ce chapitre.
Ça souligne donc ce principe,
à cause du manque du peuple,
et dans le deuxième cas, Jaël,
à cause du manque de son mari,
parce que son mari avait fait la paix avec Jabin.
On va voir ça un peu plus loin.
Donc, dans le verset 4,
Déborah, son nom signifie abeille.
Abeille, ça nous fait penser au pays brislant de lait et de miel.
Le miel, c'est un fruit du pays.
Donc, elle jouissait, selon la signification de son nom, du pays.
C'est très beau de voir ça.
Ici, j'ai mentionné déjà une femme sur la montagne
qui jouissait du pays.
Elle est en accord avec le caractère du pays,
avec les bénédictions du pays.
Son nom peut dire aussi la parole,
lié au mot déber,
veut dire parole.
On a vu ce principe en rapport avec Othniel,
cette ville qu'il a conquise,
était Débir, oracle.
On a vu le même principe avec Ehud,
la petite épée,
qui nous parle de la puissance,
de la parole de Dieu par l'esprit,
pour l'utiliser exactement dans une situation spécifique.
Ephésiens 6 nous montre aussi l'épée de l'esprit.
C'est un guillon qui transperce,
qui perce des chambres d'arbre.
Ça se réfère aussi à la parole de Dieu.
Ici, Déborah, dans le pays,
qui jouissait du pays,
est caractérisée par la parole de Dieu.
Elle est une prophétesse,
une prophétesse qui révèle la pensée de Dieu,
selon l'autre signification de son nom,
liée à la parole.
Une prophétesse.
On va revenir à cet aspect-là de prophétesse.
C'est très important.
Femme de Lapidote,
elle-même était placée sous l'autorité de son mari.
Elle n'était pas comme une reine,
seule dans le pays,
mais placée sous l'autorité de son mari,
comme Jaël aussi, dans la tente,
comme on va voir plus tard.
Lapidote, peut-être qu'on peut traduire ce nom
par des lumières ou des torches brûlantes.
Là, l'effet de la parole,
c'est comme une lumière dirigée par l'esprit.
Elle jugeait Israël.
On va voir qu'elle est aussi une mère en Israël.
Mais elle jugeait Israël.
Elle avait donc la place d'un homme,
dans un sens, dans cette période-là.
Donc, ça nous montre que la situation était anormale.
Dieu se servit d'elle pour le bien de son peuple.
Dieu peut se servir d'un vase faible,
duquel il ne servirait pas dans des circonstances normales.
Ça ne veut pas dire que Dieu ne se sert pas des femmes en général,
mais selon leur place.
Dieu a, dans sa pensée, une place spéciale pour les soeurs,
pour les femmes, une place que l'homme ne peut pas occuper.
C'est impossible.
Mais ici, on voit qu'elle,
ayant cette place,
prend aussi la place de l'homme,
selon les pensées de Dieu,
parce que l'homme a manqué.
C'est ça le point à saisir.
Elle jugeait Israël, en ce temps-là,
et elle habitait sous le palmier de Déborah.
Donc, elle est vue ici comme vainqueur.
Donc, l'arbre, le palmier,
nous parle, dans la parole de Dieu,
de la victoire.
On le voit aussi dans l'Apocalypse 7, par exemple.
Psalm 92, et plusieurs références
qui nous parlent du principe de la victoire
en rapport avec le palmier.
Voilà, dans l'Apocalypse 2 et 3,
on voit sept catégories de vainqueurs.
Dans l'Évangile selon Jean,
on voit sept miracles pour former les vainqueurs.
Ici, on voit quelqu'un qui est un vainqueur,
dans le pays.
Il faut bien noter,
c'est toujours dans le pays, ici,
qu'on doit être vainqueur,
il faut garder les bénédictions du pays,
garder la jouissance de cette vie éternelle
que Dieu partage avec nous.
Donc, c'est une autre caractéristique de cette femme,
elle est vainqueur.
Entre Rama,
Rama, c'est une place élevée,
où elle habitait,
où plus tard, Samuel habitait aussi,
et Bethel, la maison de Dieu.
Donc, dans la pleine jouissance du pays,
des bénédictions du pays,
elle était loin du combat,
ça c'est aussi un point à remarquer,
elle n'habitait pas au nord,
là où l'ennemi exerçait sa puissance,
elle était au milieu du pays.
Mais quand même,
comme une vraie mère en Israël,
elle avait soin des intérêts de Dieu,
pour tout le peuple de Dieu.
Et c'est aussi une leçon pour nous,
d'avoir de l'intérêt pour tout le peuple de Dieu.
Et Bethel, c'est la maison de Dieu,
c'est là où Dieu révèle ses pensées,
où il y a aussi l'accès pour nous approcher de Dieu.
Et Bethel nous parle de la maison de Dieu,
en rapport avec tout le peuple de Dieu aussi.
Ce n'est pas seulement pour une partie exclusive,
Bethel s'est donnée pour tout le peuple de Dieu,
comme on le voit dans le Nouveau Testament.
C'est donc sa position.
Et aussi pour nous,
pour vraiment jouir du pays et de ses bénédictions,
il faut vraiment avoir ces sept caractéristiques
qu'on voit ici en Deborah.
Dans la montagne d'Éphrime,
c'est souligné ici,
la montagne d'Éphrime.
Éphrime parle donc de la fertilité,
d'une place spéciale au milieu du peuple.
La montagne s'est soulignée de nouveau,
en contraste avec les vallées,
qui étaient beaucoup plus basses,
où l'ennemi avait Israël comme sa proie.
Verset 5 à la fin,
« Et les fils d'Israël montaient vers elle pour être jugés. »
Donc ça souligne ce que j'ai dit auparavant,
sa place extraordinaire qu'elle avait,
à cause du manque de l'homme en général.
Verset 6,
« Et elle envoya. »
Maintenant, elle parle avec autorité.
C'est la parole prophétique.
On va voir dans le chapitre 5,
l'effet de son ministère,
comment elle a formé pendant ces 20 ans,
une génération de vainqueurs.
Et puis maintenant,
elle parle avec autorité,
selon cette parole prophétique,
et appela Barak.
Barak veut dire éclair.
Fils d'Abi Noam.
Abi Noam veut dire père de celui qui est agréable.
Comment ça se lit?
Comment Barak peut être agréable et quand même éclair?
Là, on voit un des secrets dans la parole de Dieu,
cette balance entre la lumière et l'amour, par exemple.
La grâce et la vérité.
C'est un principe qu'on voit toujours dans la parole de Dieu,
cet équilibre entre la grâce et la vérité.
De Kedesh, de Neftali.
Kedesh était une ville de refuge,
une place très spéciale.
Neftali, c'était justement là
où les Canadiens habitaient
et avaient regagné leur puissance.
Neftali avait manqué,
et avec lui aussi d'autres tribus qui étaient au nord,
ils avaient manqué,
comme on l'a vu dans le chapitre 1er.
Et là, eux étaient responsables,
plus que les autres tribus du pays,
pour maintenant monter contre l'ennemi.
Parce que là, il y a un principe.
Dieu veut aider.
Il les avait vendus, comme nous l'avons vu,
mais ils se sont humiliés.
Et maintenant, Dieu veut aider,
mais il se sert de son peuple.
Il veut que le peuple réalise leurs propres responsabilités.
Il avait manqué à subjuguer l'ennemi.
Maintenant, ils doivent le faire, avec l'aide de Dieu.
Donc, elle parle avec autorité,
comme nous l'avons vu dans le chapitre 6.
Mais c'est l'autorité que Dieu lui a donnée,
parce que c'est Dieu qui a commandé.
L'éternel Dieu d'Israël ne l'a-t-il pas commandé ?
Donc, elle parle, elle représente Dieu,
et puis c'est selon sa souveraineté.
« Va et rends-toi sur le monde à bord
et prends avec toi dix mille hommes des fils de Neftali. »
C'était les deux tribus et les fils des abulants,
les deux tribus les plus responsables dans cette région-là.
Selon Josué 19, on voit qu'Azor était dans Neftali.
Azor, cette ville-là, qui avait été détruite par Josué,
a été rebâtie par l'ennemi dans la tribu de Neftali.
Eux ont donc manqué grandement.
Et maintenant, Dieu se sert d'eux pour détruire l'ennemi.
Mais seulement dans la mesure où leur état est bon,
où leurs conditions morales sont bonnes.
Il y a des manques, on va voir,
mais à la fin du chapitre, on a vu la victoire finale.
Barak lui dit maintenant, ça nous montre la faiblesse de Barak.
Dans Hébreu 11, il est mentionné comme un héros de la foi,
un homme de foi.
Mais ici, on n'en voit pas beaucoup de foi.
Ça nous arrive facilement.
Il a même fait une condition.
Il a dit, si tu vas avec moi, j'irai.
Donc, ça nous montre sa faiblesse.
Il a ôté, il a abandonné sa place.
Selon Genèse 2, on voit que l'homme est le chef.
Il a abandonné cette responsabilité.
Et ainsi, on voit que Cicera est devenu le chef.
Mais Déborah, par la grâce de Dieu, elle prend l'initiative,
dans un sens, elle prend la place du chef,
mais comme représentant de Dieu.
Et ainsi, elle forme Barak et les autres,
pour maintenant faire face à leurs responsabilités.
Elle les élève, pour ainsi dire.
Mais si tu ne vas pas avec moi, je n'irai pas.
Donc, il n'a pas réalisé vraiment qu'il devait dépendre entièrement de Dieu.
Et nous aussi, nous dépendons facilement d'un instrument,
ou d'une personne, ou d'une organisation, ou de quoi que ce soit,
au lieu d'être dépendant de Dieu.
Mais c'est neuf.
Et elle dit, j'irai bien avec toi.
Puis là, la conséquence est donc que l'honneur ne sera pas à Cicera.
L'honneur de la victoire sera donné à une femme.
Donc, de nouveau, l'homme manque, une femme prend sa place.
Aussi dans l'honneur.
Et puis là, on voit déjà une référence à Jaël, à la fin du chapitre.
Et Déborah se leva et s'en alla avec Barak à Kédesh.
C'est dix, et Barak rassembla Zabulon et Neftali à Kédesh.
Donc, cette ville de refuge,
c'est toujours beau de prendre notre place dans une ville de refuge,
mais ici, c'est pour se préparer pour l'attaque contre l'ennemi.
Verset 11, il y a un détail particulier.
Hébert, le Kényen, s'était séparé du Kényen.
On a vu dans le chapitre premier que le Kényen était au milieu du peuple de Dieu.
Et ici, il y avait un homme qui s'était séparé du peuple de Dieu.
Maintenant, on peut se demander, est-ce que c'était parce qu'il voulait être séparé du mal,
ou bien il était séparé de leur humiliation.
Parce qu'on a vu, ils ont crié à Dieu, n'est-ce pas?
Et dans le verset 17, on voit qu'il y avait paix entre Jabin, roi de Hadsor.
Donc, moi, je vais me suggérer que Hébert a manqué ici.
Hébert, il s'est séparé du peuple de Dieu lorsqu'ils se sont humiliés
à cause de l'influence de Jabin et de Cisera.
Et par contre, Hébert, il s'est associé à Cisera.
Donc, moi, je vois ça dans un sens négatif.
Mais sa femme, par contre, là où son mari manque,
parce qu'il n'appartenait pas au peuple de Dieu vraiment,
mais il habitait au milieu du peuple de Dieu,
Israël sympathise avec le peuple de Dieu,
malgré la position que son mari avait prise.
Puis c'est aussi une leçon très pratique pour nos sœurs.
Il y a beaucoup de sœurs où le mari est encore associé au monde,
mais la sœur, tout en étant soumise, doit quand même avoir à cœur
les intérêts du peuple de Dieu, comme on le voit ici.
Verset 13, on voit donc que les soldats se rassemblent,
l'ennemi se rassemble maintenant avec ses chars.
Puis là, aussi longtemps que Barak était sur la montagne,
il était là en sécurité.
Mais maintenant, il doit montrer sa foi.
Verset 14, Déborah dit à Barak, lève-toi.
Donc de nouveau, c'est elle qui prend l'initiative,
mais lui, il a quand même la foi parce qu'il va descendre maintenant.
Elle dit, l'Éternel n'est-il pas sorti devant toi?
Quel contraste avec le verset 2?
L'Éternel les avait vendus en la main des jabins.
Maintenant, à cause de leur humiliation, ils ont crié, ils se sont humiliés.
Dieu est de nouveau à leur côté, à côté de son peuple pour aider.
C'est merveilleux de voir comment ils s'identifient maintenant avec eux publiquement pour aider.
Verset 15, l'Éternel mis en déroute Cisera.
Dans le chapitre 5, on peut voir comment ces choses se sont concrétisées.
Dans le chapitre 5, verset 20, on a combattu des cieux.
Ils sont donc descendus de la montagne comme une pluie, disons.
Et en même temps, Dieu a donné beaucoup de pluie du ciel.
Les étoiles ont combattu contre Cisera.
Peut-être qu'on peut penser à une intervention semblable, comme dans les jours de Jésus.
Dans le chapitre 10, comment Dieu a jeté la grêle pour détruire l'ennemi.
Quoi qu'il en soit, dans 5, verset 21, nous lisons, le torrent de Kizan les a emportés.
Donc probablement le torrent, à cause de la pluie, est devenu très fort et les a emportés.
Il a emporté l'ennemi qui était là, dans la vallée, dans le torrent de Kizan,
qui était souvent très bas, ou un torrent très petit.
Mais la vallée était plus grande.
La vallée s'est remplie d'eau, puis il a emporté une partie de l'ennemi.
Mais, ça c'est l'intervention de Dieu.
Mais il faut quand même que Barak descende.
Et ça c'est un principe très important.
Dieu peut détruire l'ennemi tout seul, il n'a pas besoin de nous.
Et il aime nous impliquer dans ce cadre.
Aussi pour faire face à notre responsabilité.
Ils avaient manqué dans leur responsabilité, maintenant ils doivent réaliser leur responsabilité.
Dans l'exercice de la foi, il donne l'assurance qu'il sera devant eux.
Donc c'est beau si l'éternel est devant nous, ça doit aller bien.
Mais il faut quand même que le peuple aille eux-mêmes, par la foi.
L'éternel mit en déroute Cisera.
On a vu un parallèle avec chapitre 5, verset 20 et 21.
Et puis là on voit donc que Barak poursuivit l'écharpe et l'armée jusqu'à Arosheth des nations.
C'était leur combat, il fallait qu'eux poursuivent l'écharpe et l'ennemi.
Et toute l'armée de Cisera tomba sous le tranchant de l'épée.
Donc le Seigneur donne la force pour cela.
Et j'aimerais remarquer ici, si nous faisons ce que nous pouvons faire, Dieu va faire ce que nous ne pouvons pas faire.
Il y avait des choses que eux ne pouvaient pas faire, comme donner cette pluie ou cette grêle, c'est Dieu qui a donné ça.
Mais eux devraient poursuivre l'ennemi, par la foi et par la force que Dieu donne.
C'est la même chose avec le futur pour le peuple d'Israël.
Les résidus futurs vont combattre les ennemis.
Pas la direction du Seigneur Jésus, mais c'est eux qui vont combattre les ennemis.
Dans les jours d'Esther et de Mardoché, on voit le même principe.
Il fallait qu'ils se lèvent contre leurs ennemis pour les attaquer.
Esther 8 et 9, on voit ça clairement.
Puis pour nous c'est donc le même principe.
Dieu veut que nous fassions ce combat.
Personnellement, dans la foi, dans la force que Dieu donne.
Justement pour pouvoir jouir de nouveau des bénédictions du pays.
Maintenant on voit que Dieu se sert d'une femme.
De nouveau un vase, faible, mais en soi ce n'était pas incorrect.
Elle était dans sa tente.
Elle a gardé sa place, comme Déborah avait gardé sa place sous l'autorité de son mari.
Et ainsi Israël aussi.
Malgré le fait que son mari avait cette alliance avec Jabin, on voit qu'elle agit par la foi.
Et puis dans le verset 21, on voit comment Jaël, femme d'Hébert,
prit un pieu de la tente et mit le marteau dans sa main.
Et elle vint vers lui doucement.
C'était un secret entre Dieu et lui.
C'est comme le Nazaréen qui a ce secret entre lui et Dieu.
Et dans la puissance de la foi, elle a agi.
On n'a pas à faire de telles choses, comme nous avons vu dans 2 Chrétiens 10,
pas littéralement le combat contre la chair, comme ici,
mais c'est pour nous des principes spirituels.
C'est un combat spirituel.
Donc ici on voit que c'est possible pour une sœur de détruire,
à l'intérieur de sa sphère de sa tente, l'influence de l'ennemi.
Puis c'est aussi une leçon pour nous tous, dans nos maisons,
de détruire cette influence de l'ennemi.
Et on voit à la fin, donc, comment ceci est présenté, verset 22,
« Et il entre chez elle, et voici s'isoragisait la mort,
et le pieu dans sa tente. »
On voit donc, verset 21, que le pieu entre dans sa tente,
et puis il était tué.
Puis j'ai remarqué déjà que la tente,
ça suggère la place de notre intelligence,
et puis ainsi elle a vaincu l'ennemi.
Le centre de ses pensées, sous le contrôle de l'ennemi,
était maintenant détruit.
Et ainsi nous devons radicalement détruire l'ennemi,
dans le sens là qu'il ne puisse pas avoir le dessus,
qu'il ne puisse pas avoir le contrôle sur nous,
par les pensées de ce monde.
Ephésiens 4 et Colossiens 2, par exemple,
on peut voir cette influence de ce monde,
puis il faut que nous soyons contrôlés par Christ,
et soumis à lui, sous son obéissance.
Et on voit verset 23, « En ce jour-là, Dieu abattit Jabin. »
Vous voyez le côté de Dieu, c'est Dieu qui abattit Jabin,
mais il se sert de son peuple,
il se sert d'une femme pour diriger le peuple, Déborah,
il se sert d'une femme pour tuer Cisera,
il se sert aussi des fils d'Israël,
qui ont repris leurs responsabilités.
Et puis je pense que le cantique se lit au verset 23,
mais dans le verset 24,
on voit que la victoire n'était pas encore définitive,
l'armée était détruite,
mais le combat continuait, verset 24,
et la main des fils d'Israël avançait toujours
et pesait durement sur Jabin.
En contraste avec ce qu'on a dans le chapitre 1er,
là on voit toujours que la résistance d'Israël diminue,
ici on voit que la résistance augmente,
et qu'il devient plus fort,
jusqu'à ce qu'ils eussent retranché Jabin, roi de Cana.
Lui était à l'origine de tout ça.
Donc, en arrière de Cisera,
on peut voir le roi qui nous parle du diable lui-même.
Puis ici, l'influence du diable
est donc graduellement mise de côté.
Mais peut-être, à cause du manque de Mérose,
on va voir cet après-midi, dans le verset 23,
maudissez Mérose.
Mérose était une ville en Neftali,
tout près de Hadsor.
Et puis, eux n'ont rien fait.
Lorsque l'armée est rentrée,
ils auraient pu tuer l'armée de Jabin.
Ils n'ont pas fait.
Et peut-être à cause de ça,
le combat a dû continuer plus longtemps.
Ici, on voit des manques partout.
Même là où Dieu donne la victoire,
il y avait des manques parmi le peuple, comme Mérose.
Mais le résultat est quand même tellement
que Déborah peut chanter.
Puis cet après-midi, Dieu voulant,
on va parler plutôt de Déborah
parce que chapitre 5 nous révèle vraiment
comment ces choses ont été réalisées.
C'était par la direction spirituelle
que Déborah avait donnée comme prophétesse
qu'elle avait formé une nouvelle génération
de soldats, une mère en Israël.
Donc c'est un peu le sujet de cet après-midi.
S'il y a encore des questions,
on peut discuter peut-être maintenant.
Moi j'ai l'impression que Déborah
était instruite d'abord par l'Éternel
et que comme prophétesse,
elle connaissait les pensées de Dieu.
Et puis elle peut instruire Barak maintenant.
Mais ce n'est pas sur son autorité qu'il va aller.
Il va aller sous l'autorité de Dieu lui-même.
Et c'est pour ça qu'elle répète ici,
n'est-ce pas, l'Éternel lui-même qui l'a commandé.
Donc elle représente l'Éternel
et instruit Barak.
Mais Barak ne va pas à cause du fait
que Déborah l'a dit.
Il va aller à cause du fait
que Dieu l'a commandé.
Mais peut-être Dieu a instruit en même temps Barak aussi.
Mais mon impression, c'est comme je l'ai dit.
Mais là aussi, c'est Déborah qui prend l'initiative,
qui instruit.
C'est elle qui dit ça.
Puis là, Barak le réalise.
Mais de nouveau, ça nous montre
que c'est sous l'influence de Déborah qu'il agit.
Mais sous l'autorité de Dieu.
Mais de l'autre côté,
on voit ça aussi dans le chapitre 5,
c'est Déborah qui forme ses soldats
et aussi le général Barak lui-même.
C'est sous son instruction. …
Automatic transcript:
…
Et Deba chanta en ce jour-là avec Barak, fils d'Abi Noam, en disant, parce que des chefs se sont mis en avant en Israël,
parce que le peuple a été porté de bonne volonté, bénissez l'Éternel.
Roi, écoutez. Prince, prêtez l'oreille. Moi, moi, je chanterai à l'Éternel.
Je chanterai un hymne à l'Éternel, le Dieu d'Israël.
Éternel, quand tu sortis de Cyre, quand tu t'avanças des champs des dents,
la terre trembla, et les cieux distillairent, et les nuées distillairent des eaux.
Les montagnes se fondirent devant l'Éternel, se sinaillent devant l'Éternel, le Dieu d'Israël.
Au jour de Shamgar, fils d'Anat, au jour de Jaël, les chemins étaient délaissés,
et ceux qui allaient par les grands chemins allaient par des sentiers détournés.
Les villes ouvertes étaient délaissées en Israël.
Elles étaient délaissées jusqu'à ce que je me suis levé, moi, Déborah,
jusqu'à ce que je me suis levé, une mère, en Israël.
On choisissait de nouveaux dieux, alors la guerre était aux portes.
On ne voyait ni boucliers, ni pics chez quarante milliers en Israël.
Mon cœur est au gouverneur d'Israël, qui ont été portés de bonne volonté parmi le peuple.
Bénissez l'Éternel!
Vous qui montez sur des anaises blanches, vous qui êtes assis sur des tapis,
et vous qui allez par les chemins milités à cause de la voix de ceux qui partagent le butin
au milieu des lieux où l'on puise l'eau, là, ils racontent les justes actes de l'Éternel.
Ces justes actes envers ces villes ouvertes en Israël.
Alors le peuple de l'Éternel est descendu aux portes.
Réveille-toi! Réveille-toi, Déborah! Réveille-toi! Réveille-toi, dit un cantique.
Lève-toi, baraque, et amène, captif de captifs, fils d'Abi-Noam.
Alors descends-toi, le résidu des nobles comme son peuple, Éternel,
descends avec moi au milieu des hommes forts.
D'Éphraïm sont venus ceux dont la racine est en Amalèque.
Derrière toi vient Benjamin, au milieu de tes peuples.
De Makir sont descendus les gouverneurs,
et des abulants sont venus, ceux qui tiennent le bâton du commandant.
Et les princes d'Issachar ont été avec Déborah.
Et Issachar comme baraque, il a été envoyé sur ses pas dans la vallée.
Aux divisions de Rubens, grande considération de corps.
Pourquoi es-tu resté entre les barres des étables à écouter le bêlement des troupeaux?
Aux divisions de Rubens, grande délibération de corps.
Galad est demeuré au-delà du Jourdain.
Et Dan, pourquoi a-t-il séjourné sur les navires?
Hazer est resté au bord de la mer, et il est demeuré dans ses ports.
Zabulon est un peuple qui a exposé son âme à la mort.
Neftali aussi, sur les hauteurs des champs.
Les rois sont venus, ils l'ont combattu.
Alors les rois de Canaan ont combattu à Tanakh, près des eaux de Migedo.
Mais de butin, d'argent, ils n'en ont pas emporté.
On a combattu des cieux, du chemin qu'ils parcourent.
Les étoiles ont combattu contre Cisera.
Le torrent de Kizan les a emporté.
Le torrent des anciens temps, le torrent de Kizan.
Mon âme, tu as foulé au pied la forêt.
Alors les talons des chevaux bâtirent le sol, à cause de la course rapide de leurs hommes veillants.
Maudissez Meroze, dit l'ange de l'éternel.
Maudissez, maudissez ces habitants, car ils ne sont pas venus au secours de l'éternel,
au secours de l'éternel avec les hommes forts.
Bénie soit au-dessus des femmes, Jaël, femme d'Hébert le Kenyan.
Qu'elle soit bénie au-dessus des femmes qui se tiennent dans les tentes.
Il a demandé de l'eau. Elle lui a donné du lait.
Dans la coupe des nobles, elle lui a présenté du cahier.
Elle a étendu sa main vers le pieu et sa droite vers le marteau des ouvriers.
Elle a frappé Cisera. Elle lui a brisé la tête.
Elle lui a fracassé et transpercé la tente.
Entre ses pieds, il s'est courbé, il est tombé, il s'est étendu par terre.
Entre ses pieds, il s'est courbé, il est tombé.
Là où il s'est courbé, là il est tombé anéanti.
La mère de Cisera regarde par la fenêtre.
Il s'écrit à travers le treillis.
Pourquoi son char tarde-t-il à venir?
Pourquoi la marche de ses chars est-elle si lente?
Les sages d'entre ses princesses lui répondent.
Elle s'est donné la réponse à elle-même.
N'ont-ils pas trouvé, n'ont-ils pas divisé le butin?
Une jeune fille, deux jeunes filles par tête d'homme,
du butin de vêtements de couleur pour Cisera,
du butin de vêtements de couleur brodés,
deux vêtements de couleur brodés pour le coup des captives.
Qu'ainsi périssent tous tes ennemis au éternel.
Mais que ceux qui t'aiment soient comme le soleil
quand il sort dans sa force.
Et le pays fut en repos quarante ans.
Voilà, c'est un chapitre impressionnant,
un peu difficile peut-être, mais avec beaucoup de leçons.
C'est un cantique, donc on compare ce cantique
avec le premier cantique dans la Bible.
C'est dans Exode 15, le premier cantique.
Là c'était Moïse avec toute une multitude,
600 soldats, les hommes faits dans Israël,
et Marie, ou Myriam, sa soeur aussi,
qui était appelée prophétesse, chantée aussi.
Là c'était après la sortie de l'Égypte.
Là c'était étant délivré de la puissance de la mort,
de la puissance de Satan, dans l'image du Pharaon.
Ici par contre, la situation est tout à fait différente.
Ici on est dans le pays, et on a vu ce matin,
à cause de leur manque, ce déclin,
manque de foi, manque d'action, manque de fidélité,
ils étaient sous l'influence de ce roi Jabin.
Maintenant Dieu a donné la victoire,
on a vu ça dans le chapitre 4,
et dans ce cantique, c'est le cantique d'une prophétesse
qui mentionne les pensées de Dieu.
Je pense que c'est comme un tribunal,
et toutes les tribus passent la revue, pour ainsi dire.
Elles voient toutes les tribus,
et aussi leur part dans ce conflit.
Leur manque ou leur zèle, tout est considéré.
Donc on est placé ici dans la présence de Dieu.
Une prophétesse comme Déborah nous place dans la présence de Dieu.
Elle révèle les pensées de Dieu.
C'est pour ça qu'on pourrait le comparer avec le tribunal de Christ
où tout sera révélé selon les pensées de Dieu.
On a déjà ici une prophétesse qui révèle les pensées de Dieu.
Maintenant, aussi sur les motifs, comme on va voir.
On ne peut pas juger nos motifs et les motifs de nos frères et soeurs,
ou des autres.
Par contre, Dieu peut révéler les motifs par la parole prophétique.
Les femmes ont chanté quelquefois dans la parole de Dieu.
On a vu le rôle important des femmes dans le chapitre 4.
Maintenant, on la voit comme chanteuse,
comme celle qui chante,
comme Marie l'a fait, la soeur à Moïse,
mais aussi les femmes après que David avait vaincu Goliath
et tué Goliath.
Les femmes ont chanté aussi.
Puis, on va voir que la femme nous parle d'un état devant Dieu.
Un état bon ou pas bon.
Ici, dans Déborah, on voit un état spirituel qui est bon,
qui est selon les pensées de Dieu.
Dieu se sert d'elle pour révéler ses pensées.
Ici, on voit que Barak s'identifie avec ce chant.
C'est le jour du chapitre 4, verset 23, où ils ont eu la victoire.
Peut-être a-t-elle déjà commencé à écrire ce cantique ce même jour.
On ne le sait pas.
Beaucoup plus tard, ce cantique a été enregistré
pour être incorporé dans la parole de Dieu.
Une chose à remarquer ici, c'est donc une seule femme, vraiment,
qui est là, devant tout le peuple de Dieu, avec Barak.
Quel contraste, là aussi, avec le cantique de Moïse,
qui était chanté avec tout le peuple.
Ici, dans le pays où le peuple a manqué dans sa responsabilité,
on voit que le réveil est limité, beaucoup plus limité que le début.
Au début, tout était impliqué.
Ici, seulement quelques-uns.
Ça nous parle aussi un peu de la situation de l'histoire de l'Église.
Dans Pergam, on voit un homme qui est appelé Antipas.
On sait peut-être que Pergam, c'est tout de suite après Smyrne.
Je pense que j'ai déjà mentionné Smyrne, en rapport avec les attaques de l'ennemi.
Là, on voit aussi la fidélité de quelques âmes.
Sois fidèle jusqu'à la mort, et je te donnerai la couronne de vie.
Une même fidélité, on voit dans Débora et dans ceux qu'elle avait formés pour Dieu.
Plus tard, on voit Antipas, qui était un fidèle témoin,
comme ceux de Smyrne étaient fidèles.
Antipas veut dire seul contre tout.
Dans un sens, on voit Débora, au début, seule, seule en rapport avec tout le peuple de Dieu.
Mais, par contre, par son influence, on voit qu'elle a formé une génération pour le Seigneur.
Elle était seule lorsque Dieu avait vendu le peuple dans la main de Jabin.
Mais elle a prophétisé, elle a formé un peuple pour Dieu.
Et c'est ça qu'on va voir dans chapitre 5.
Et c'est là aussi l'encouragement pour nous.
On a vu ce matin le déclin et puis le réveil.
Le réveil selon la grâce de Dieu.
Et ici, on voit le secret du réveil.
Pourquoi Dieu a pu donner un réveil?
Le verset 2 nous parle des chefs, parce que des chefs se sont mis en avant en Israël.
Comment ces chefs ont été formés?
C'est très important d'avoir un peuple avec des chefs, des dirigeants.
Mais il faut que ces chefs soient formés à l'école de Dieu.
Puis moi, j'aimerais suggérer que sous l'influence de Débora, ces chefs ont été formés.
Et puis, on voit aussi dans le verset 7, les villes ouvertes étaient délaissées en Israël.
On peut traduire aussi, les chefs étaient délaissés en Israël.
C'était la situation au début.
Puis là, elle dit dans le verset 7 au milieu,
« Jusqu'à ce que je me suis levée, moi Débora, jusqu'à ce que je me suis levée une mère en Israël. »
On dirait, dans une telle situation, avec les attaques du roi Jabin et son général Cisera,
il faut avoir des soldats.
Mais Dieu donne une mère, parce que cette mère a formé cette génération de soldats et de chefs.
C'est sous son influence que ce peuple a été regagner leurs forces, pour ainsi dire, pour pouvoir résister à l'ennemi.
Donc c'est pour ça que son cœur est au gouverneur, comme le verset 9 le dit.
« Mon cœur est au gouverneur d'Israël. »
Ce sont des gouverneurs maintenant qui étaient élevés par l'influence de Débora, la mère en Israël.
Les chefs sont importants pour diriger le peuple.
On voit dans l'ombre 27, lorsque Moïse va dire au revoir au peuple, qu'il prie le Seigneur d'avoir un chef, un dirigeant pour le peuple,
pour les introduire dans le pays, pour les diriger aussi dans leurs combats.
Et dans l'ombre 13, on voit que le Seigneur Jésus était le vrai chef.
Il est le vrai conducteur, le conducteur qui nous introduit dans la présence de Dieu, dans le sanctuaire.
Le conducteur ici-bas aussi, comme le grand berger, le grand pasteur qui nous dirige.
Mais le Seigneur Jésus sert aussi des chefs parmi le peuple, des personnes, des gens qui ont été formés à l'école de Dieu.
Formés ici sous l'influence de Débora, on a vu qu'il jouit du pays, l'abeille, qui révèle la partie de Dieu par la parole de Dieu.
C'est sous cette influence que ces chefs sont formés.
Et on voit dans l'hébreu 13, les chefs qui avaient présenté la parole de Dieu, qui étaient déjà décédés,
puis il fallait que les hébreux suivent leur foi.
Il avait aussi des chefs parmi eux, et puis ils étaient encouragés de les suivre.
Ça ne veut pas dire que les chefs sont toujours corrects, qu'ils sont sans faute.
On voit par contre, dans le chapitre 4, que les chefs avaient manqué.
Mais sous l'influence de Débora, ces chefs sont formés selon les pensées de Dieu.
Et c'est ça qui compte. C'est ça que Dieu veut.
Ils se sont mis en avant en Israël.
On voit aussi dans l'Option 45 comment le Seigneur Jésus donne la direction pour le reste fidèle.
Dans le futur, il va diriger ce peuple.
Et le même caractère que le Seigneur Jésus va montrer dans ce jour-là, il veut aussi développer parmi nous, pour pouvoir conduire le troupeau.
C'est au fond le Seigneur lui-même qui conduit.
Mais il se sert aussi de certaines personnes parmi nous pour aider.
Parce que le peuple a été porté de bonne volonté.
Vous voyez, ça va ensemble.
Les chefs ont une responsabilité spéciale, comme Jésus, comme les anciens.
Et ils ont aussi un effet sur tout le peuple.
Le peuple a été porté de bonne volonté.
Ça va ensemble.
On voit aussi que Paul dit à l'Épître aux Hébreux que les Hébreux doivent se soumettre à leur chef.
Et Pierre en parle aussi dans 1 Pierre 5.
Afin qu'ils puissent diriger.
Vous pouvez lire ce passage.
Hébreu 13 et 1 Pierre 5.
Et ainsi ça va ensemble.
La direction des chefs, selon Dieu, dans l'obéissance, dans la dépendance de Dieu.
Et aussi le bon état, le bon état du peuple, comme on le voit ici.
Le peuple qui a été porté de bonne volonté.
Là on voit les motifs de tout le peuple qui était pur pour le Seigneur.
On voit dans l'Exode 35 la bonne volonté.
Un esprit libéral, un cœur sage et intelligent de toute cette nouvelle génération.
C'était la génération qui avait rejeté l'idolâtrie du vaudeau.
Et puis qui était formée sous Moïse.
Et cette génération-là présente les choses pour le tabernacle, pour construire le tabernacle et tout ça.
Tout le peuple avait de bonne volonté.
Et c'est ça que Dieu aime voir.
Et dans le futur, le reste fidèle, c'est la même chose.
Dans le psaume 110 on lit que ce jour-là où le Seigneur Jésus va revenir de la gloire.
Il va voir un peuple sur la terre qui est prêt.
Un peuple de bonne volonté.
Dans le psaume 110, je vais juste lire le verset.
Verset 3.
Ton peuple sera un peuple de franche volonté.
Donc une volonté, une bonne volonté et une liberté au jour de ta puissance, en sainte magnificence.
Du sein de l'aurore te viendra la rosée de ta jeunesse.
On voit ici la formation.
On va parler beaucoup de cette formation sous l'influence d'une bonne mère.
Une formation pour Dieu.
Et ainsi, le Seigneur Jésus peut revenir.
Il peut revenir pour le reste fidèle qui sera formé ici-bas.
Et qui sera prêt pour son retour, pour ce jour de sa puissance.
Un peuple de franche volonté.
Et aussi dans le cantique des cantiques, on voit qu'il dit dans le cantique chapitre 6.
Avant que son âme le sache, il s'est mis sur les chars de ce peuple de bonne volonté.
Donc le Seigneur aime s'identifier avec la bonne volonté de son peuple.
Mais la bonne volonté ou la franche volonté de son peuple, c'est le résultat de ses exercices, de cette formation qui a eu lieu.
Maintenant, le Seigneur peut s'identifier avec son peuple publiquement.
Donc Déborah aussi, elle parle des chefs, elle parle de l'attitude du peuple maintenant qui était formé sous son influence.
De l'autre côté, elle aurait pu leur faire des reproches à cause des manques.
Mais on voit ici qu'elle voit l'aspect de ce que Dieu a opéré.
Ce que Dieu avait opéré par son moyen, par Déborah, elle peut louer ça.
Puis c'est toujours le cas, l'œuvre de Dieu, on peut toujours recommander.
Dans le verset 3.
Roi, écoutez.
Prince, prêtez l'oreille.
Moi, je chanterai à l'éternel.
On voit ici donc, elle ne fait pas ici pour sa propre gloire.
Je pense que l'esprit donne ce cantique pour montrer ce que l'influence d'une seule personne peut signifier pour le peuple de Dieu.
C'est un peu comme le Nazaréen.
Dans le verset 6, on voit verset 5 le déclin.
Et dans le verset 6, le Nazaréen est né là, se consacre à l'éternel.
Et puis à la fin du verset 6, on voit que toute la bénédiction vient sur le peuple, par une seule personne.
Et c'est ainsi, avec Déborah, une seule femme qui était fidèle a eu cette influence sur le peuple de Dieu.
Elle a chanté, comme les femmes dans l'exode 15 et dans l'ensemble 18.
Mais ici, comme j'ai dit, elle est seule.
Elle était seule.
Et puis elle peut aussi reconnaître maintenant l'œuvre que Dieu avait faite.
Et j'ai pensé aussi à Habakuk, Habakuk 3.
Il dit, même si tout va tomber par terre, ou à l'eau, pour ainsi dire, tout va manquer, je me réjouirai quand même dans l'éternel.
Ça, c'est son attitude.
Elle était seule.
Elle s'est fortifiée dans le Seigneur, malgré tous les manques.
Et maintenant, elle peut voir les résultats de l'œuvre de Dieu dans le peuple de Dieu.
Verset 4.
Maintenant, elle va faire un lien avec le début de l'histoire du peuple de Dieu.
Et ça, c'est toujours important.
J'ai déjà fait le lien avec le cantique d'exode 15.
Ça, c'est le point de départ, la sortie de l'Égypte.
Ici, c'est dans le pays.
C'est donc une phase beaucoup plus tard et plus avancée.
Et il y a un lien avec le début de l'histoire, où Dieu est sorti de Saïr pour rencontrer son peuple au Sinaï.
C'est là, dans l'exode 19 et 20, on voit comment la terre a tremblé.
Et là, Dieu s'est révélé à son peuple.
Là, c'était sous la loi.
Mais c'est quand même...
Elle retrace ici le lien de l'histoire du peuple, la situation présente avec ce que Dieu avait fait dans le passé.
Et il y a aussi un lien avec ce qu'on a vu ce matin, versets 20 et 21.
Dieu est intervenu.
Donc, dans la façon dans laquelle Dieu est intervenu dans le passé, au début de l'histoire d'Israël,
il sortit de Saïr, la terre trembla, les cieux distillaient et les nuées distillaient des eaux.
De la même façon, Dieu est intervenu maintenant dans le conflit avec Cicéra.
Vous voyez le verset 20.
C'est pour ça que je suggère que là, on voit aussi cette indication de la pluie, comme au Sinaï, les nuées distillaient des eaux.
Et s'il y a eu une grande pluie ce jour-là pour combattre Cicéra.
Et là, on voit donc le même Dieu qui a commencé l'histoire du peuple.
Il est intervenu ici en faveur du peuple pour les protéger contre Cicéra.
On voit aussi cette pensée-là du verset 4 dans Deuteronome 33 et dans le psaume 68, si vous voulez le vérifier pour vous-même.
Mais ça nous montre que les mêmes ressources sont disponibles.
Vous voyez, dans un jour de déclin, Dieu met les mêmes ressources disponibles qu'il a données au début de l'histoire de son peuple.
Ça, c'est important pour nous à saisir.
C'est le même Dieu de Sinaï qui intervient ici au tabac.
Et ainsi, ça nous rappelle aussi une parole d'Hébreu 13, que le Seigneur Jésus est le même.
Les chefs décédés ou d'autres chefs parmi le peuple, le déclin, le réveil, quoi que ce soit, il reste le même.
On peut toujours se remettre à lui.
Il ne change pas.
Verset 6, au jour de Chamgar.
On voit maintenant qu'elle reconnaît la ruine, l'état de son peuple.
Elle a parlé de l'histoire, du passé, de l'intervention de Dieu, versets 4 et 5.
Maintenant, elle constate le déclin.
Au jour de Chamgar, fils d'Anat, et au jour de Jaël.
Ce n'étaient déjà pas très connus, mais quand même, ce sont les jours de Chamgar.
Comme on a vu dans le chapitre 3, la dernière fois, à la fin, comment il frappait les Philistins.
Et Jaël, qui était connu dans un sens, selon ce verset-là, en Israël.
Mais c'était quand même des jours de petites choses, pour ainsi dire.
Et puis, le premier point qu'elle constate, les chemins étaient délaissés.
Ça veut dire qu'ils n'étaient pas utilisés.
Ils cessaient d'être.
Les chemins n'étaient pas utilisés.
Ça veut dire qu'il n'y avait pas de contact parmi les villes dans le pays.
Pas de communion.
Donc, un des effets qu'on voit ici par l'ennemi, le règne, le régime, le règne de Jabin,
un des effets était qu'il n'y avait plus de contact entre les villes d'Israël.
Ils étaient isolés.
C'est une des tactiques de l'ennemi, isoler les enfants de Dieu et prévenir qu'il y ait la communion.
Même pendant la pause, on a pu parler de la parole de Dieu.
Ça nous fortifie.
Ça nous encourage.
Puis, si on n'a pas cette communion-là, l'ennemi va avoir le dessus.
L'ennemi sait ça.
Il veut donc empêcher que le peuple de Dieu ait cette communion.
Aussi, les contacts entre les villes, ça suggère les contacts entre les assemblées, entre les rassemblements.
Il veut empêcher ça.
Ainsi, les chemins qui existaient n'étaient pas utilisés.
Dans Isaïe 35, on voit que juste avant le millénium, au début, le Seigneur va donner des chemins pour le peuple de Dieu.
La pensée d'un chemin droit est très connue dans la parole de Dieu.
Ce serait très intéressant d'étudier ça, comment Dieu veut donner un chemin droit.
Dans le psaume 107, on voit qu'il donne un chemin droit pour le salut, pour la délivrance de l'oppression.
Dieu aime donner des chemins droits pour aider son peuple.
Mais l'ennemi ne veut pas que le peuple de Dieu ait ce chemin.
Et ceux qui allaient par les grands chemins allaient par des sentiers détournés.
On voit donc, à cause de cette influence de l'ennemi, les vallées étaient...
On ne pouvait pas utiliser les vallées parce que les chars de l'ennemi avec ses couteaux étaient là.
Ils étaient donc forcés d'utiliser des sentiers détournés.
Puis là, on peut penser aussi à des gens, des croyants, qui sont sur des chemins d'erreur.
Ils n'utilisent pas les bons chemins, les grands chemins que Dieu donne, le chemin royal pour ainsi dire.
Ils utilisent des sentiers détournés, malheureusement.
C'est le cas avec beaucoup de croyants.
Verset 7, les villes ouvertes étaient délaissées.
Donc, le verset 6 nous parle de ces chemins.
Et le verset 7, les villes ouvertes, mais aussi, on peut traduire, les chefs étaient délaissés.
Donc, peut-être qu'il y en avait, mais ils étaient délaissés.
Mais on voit ici, sous l'instruction de Déborah, qu'elle avait formé ces chefs.
Et le peuple aussi est devenu de bonne volonté.
Le peuple a changé le caractère, a reçu ce caractère de bonne volonté.
Jusqu'à ce que je me suis levé, moi, Déborah.
C'est tellement important de voir l'influence d'une mère.
On peut le voir dans la famille, l'influence d'une mère.
Ici, c'est pour tout un peuple.
J'ai pensé à l'apôtre Paul dans Galate 4.
Il dit, au Galate, il avait déjà présenté l'Évangile.
L'Évangile a été accepté par les Galates.
Et ainsi, ils étaient déjà des enfants de Paul, dans un sens.
Mais là, il dit, je suis en grand travail pour vous enfanter de nouveau.
Pourquoi? Pour que Christ soit formé en vous.
C'est là l'intérêt d'une mère.
Pas seulement pour donner la vie, mais aussi maintenant pour que Christ soit formé en eux.
Et c'est là l'exercice de Déborah.
J'aimerais suggérer que Déborah, son exercice était de former un peuple pour Dieu.
Un peuple qui serait capable de résister l'ennemi.
Qui serait capable de produire des chefs où tout serait selon les pensées de Dieu.
On voit le Seigneur Jésus là, devant Jérusalem.
Jérusalem connaissait de mauvais chefs.
Des chefs qui étaient là juste pour leur propre intérêt, pour leur propre gain.
Qu'est-ce que le Seigneur a dit?
Je suis comme une mère.
Une poule veut ramasser ses petits, mais vous ne me l'avez pas voulu.
C'est ça que le Seigneur dit.
Ils ne l'ont pas accepté comme mère.
Ils l'ont rejeté leur Messie.
Ils ne voulaient pas avoir ces influences.
Par contre, les Galates, sous l'influence de Paul, étaient formées pour que Christ soit formé en eux.
Pour qu'ils soient de vrais fils.
Si vous lisez tout le contexte, vous voyez que les Galates étaient comme de petits enfants.
Puis l'exercice de Paul était de les élever pour qu'ils soient des fils.
Qu'ils pouvaient répondre au Père.
Dans l'adoration, qu'ils pouvaient dire « Abba Père ».
Vous voyez, le même exercice.
Pour que l'adoration soit là.
Sous le légalisme, c'était impossible de répondre comme de vrais fils, en liberté.
Sous les influences, comme on avait vu ce matin, de Jabin, ce n'est pas possible de répondre dans l'adoration.
Mais sous l'influence d'une bonne mère.
Notre mère, Sarah, dans Galate 4, et Jérusalem d'en haut, sont beaucoup de pensées qu'on peut lier ensemble.
L'appel céleste, l'influence de Christ dans la gloire, tout cela va ensemble.
Pour nous former, pour être de vrais fils.
Pour pouvoir répondre à Dieu dans l'adoration.
Et ainsi pour prendre notre place, ici sur la terre, dans la dépendance de lui.
Pour être des vainqueurs.
Déborah était un vainqueur, vraiment, comme on avait vu, sous le palmier.
Et elle forme donc toute une génération de vainqueurs.
Comme Paul l'a fait.
Et dans 1 Thessaloniciens 2, on voit que Paul donne un peu une revue de ses travaux parmi les Thessaloniciens.
Il dit aussi qu'il avait chéri et nourri les Thessaloniciens, comme une mère.
Voilà, le peuple a besoin d'être nourri et chéri, mais c'est en vue de cette formation.
Comme Anne avait formé Samuel, et à un moment donné elle a pu le donner à Élie.
Puis là, il était déjà un adorateur, à cet âge de jeune garçon.
Mais ici, cette formation va plus loin.
C'est une formation même des chefs, et ça prend du temps.
20 ans, ça a pris 20 ans pour que Barak et les autres soient prêts.
Verset 3, on choisissait de nouveau Dieu.
Maintenant, elle donne une revue, donc, de ce qui s'est passé là.
Dans ce jour-là, où elle s'est levée, le peuple avait choisi d'autres dieux.
Et c'est pour ça qu'on a vu que Dieu avait vendu le peuple dans la main des Javins.
Et on a étudié ce même sujet déjà dans le chapitre 3.
L'idolâtrie cause donc que Dieu intervienne pour châtier le peuple, pour le discipliner, pour le ramener.
Alors, la guerre était aux portes.
C'est Dieu qui a causé cette guerre, pour ainsi dire, pour les châtier et pour les ramener.
On ne voyait ni bouclier.
Maintenant, une caractéristique du peuple,
s'il y avait eu 40 000 soldats préparés à l'école de Dieu, à l'école de Déborah,
ils pourraient se défendre, ils auraient pu se défendre contre Javins.
Mais il n'y en avait pas, il n'y en avait pas.
Et même plus tard, dans les jours de Saul, j'ai mentionné l'Odyssée ce matin,
on voit que seulement Jonathan avait, et Saul, son père, avait une armure.
Par contre, le chrétien, supposé d'avoir cette armure de Dieu,
on ne voyait ni bouclier pour la défense, ni pic pour l'offense.
On a besoin de deux armes pour nous défendre,
mais aussi pour attaquer s'il est nécessaire, sous la direction de notre général.
Souvent, je pense aussi à cette mère dans 2 Rois 4,
elle était veuve, elle avait deux fils,
et puis l'homme est venu, elle était en dette,
et puis cet homme voulait avoir ses fils.
On ne peut pas parler des détails,
mais on voit ici que son exercice était de garder ses enfants, garder ses fils,
et puis par l'intervention d'Élisée, elle a pu donc garder ses fils.
Puis ainsi, Dieu veut élever, le Seigneur veut élever les enfants de Dieu pour être des fils,
pour faire face à leurs responsabilités, pour être de bons soldats.
Comme j'ai dit, ce matin, Dieu envoie une mère contre cette attaque,
et puis cette mère va produire des soldats.
C'est pour ça qu'elle dit dans le verset 9,
« Mon cœur est au gouverneur d'Israël. »
Donc, cette mère a formé ses gouverneurs, ses soldats et ses chefs.
On voit aussi dans Miché 5 comment le Seigneur Jésus sera un conducteur du peuple.
Dieu aime avoir des conducteurs pour le peuple de Dieu.
Et ainsi, Déborah, elle connaît les pensées de Dieu,
et c'est pour ça qu'elle dit, « Mon cœur est au gouverneur d'Israël. »
qui était formé à cette école,
qui ont été portés de bonne volonté parmi le peuple.
Donc, on a vu tout le peuple de bonne volonté sous cette influence,
et aussi ici les gouverneurs, ou ceux qui ont recruté.
Peut-être qu'on peut traduire ce mot aussi dans ce sens-là.
Ceux qui ont recruté les autres ont eu une bonne influence.
Puis on a vu déjà, en parlant du chapitre 2 et 3, dans le passé,
on a vu l'influence de la deuxième génération.
On a dit, mais on aimerait tous être une bonne deuxième génération.
Qui ont reçu la vérité de notre génération,
de ceux qui nous ont précédés,
et qui peuvent transmettre ces choses à la troisième génération.
Et ainsi, sous cette influence,
la troisième génération va devenir aussi une deuxième génération.
Dans ce sens-là, une bonne génération qui peut transmettre les choses
à la prochaine génération, dans un bon état.
Donc, il faut vraiment constater le déclin, verset 8.
Elle a constaté le déclin, aussi dans le verset 6,
et le verset 7, les villes ouvertes, les nouveaux dieux.
Constater le déclin.
Et à la fin du verset 8, on ne voyait ni bouclier.
Tous ces points-là, elle a constaté.
Mais, sans doute, elle a confessé tout cela.
Elle s'est humiliée.
Et tout le peuple s'est humilié.
Et on a vu ce matin que Hébert, il s'est séparé du peuple.
Il n'a pas pu part dans cette humiliation.
Par contre, il voulait être ami de Jabin.
On a toujours le choix.
Soit aller avec Jabin, cette influence,
ou bien nous humilier, comme Déborah et les autres l'ont fait.
Le verset 10, vous qui montez sur des anaises blanches.
On voit ici, ce cantique se divise en trois sections.
La première section va du premier verset jusqu'au verset 11.
Et puis, la deuxième section, qui parle du combat,
du verset 12 jusqu'au verset 22.
Et puis, le verset 23 jusqu'à la fin, c'est la troisième partie.
Maintenant, elle voit dans le verset 10 déjà le résultat du combat.
Donc, comme j'ai dit, le combat même,
elle va revenir à ça dans le verset 12.
Mais dans le verset 10, on voit déjà le résultat du combat.
Le résultat, c'est après la victoire, la prospérité.
Vous qui montez sur des anaises blanches.
Les anaises blanches, c'était une rarité.
C'était très rare.
Puis, ça parle de la prospérité,
mais aussi de ce contact que j'ai mentionné, les anaises,
qui pouvaient aller d'une place à l'autre, porter des fardeaux.
Maintenant, la communion est de nouveau possible après la victoire.
Et aussi, le repos.
Vous qui êtes assis sur des tapis, ça suggère le repos après le combat.
Et aussi, vous qui allez par les chemins.
On voit maintenant le contact, la sécurité aussi.
Ils n'avaient plus peur de ces attaques de l'ennemi.
Les chemins étaient ouverts de nouveau.
Elle appelle maintenant méditer ou chanter.
Ou chanter, c'est une occasion de joie,
mais aussi de méditer sur l'intervention,
la réponse, donc, en rapport avec la victoire.
C'est donc le réveil qui a eu lieu maintenant.
Verset 11, à cause de la voix de ceux qui partagent le butin,
au milieu des lieux où l'on puise l'eau.
Maintenant, une des conséquences de la victoire,
ils ont beaucoup de butins, ils partagent le butin.
On voit dans 1 Samuel 30 que David, plus tard,
a introduit des règles pour partager le butin.
Même ceux qui sont restés à la maison pour veiller les choses
ont dû partager, ont pu partager le butin.
Et le butin, c'est un sujet spécial
qui nous parle donc des résultats de la victoire,
du gain, tout cela, de la victoire.
Ainsi, on voit qu'il y a un gain.
Dieu gagne quelque chose.
A travers tous ces exercices-là, il gagne quelque chose.
Il gagne maintenant une génération qui est formée pour lui,
qui a eu la victoire.
C'est un triomphe, une victoire pour Dieu aussi.
Et le butin est partagé aussi parmi le peuple.
Là où l'on puise l'eau, c'est une belle expression.
Là, on est tout près de la présence de Dieu
où l'on puise l'eau de la parole.
Et dans le futur, dans le millenium,
le peuple sera caractérisé par ça aussi.
Ils vont puiser l'eau et ainsi le cantique
et puiser l'eau va ensemble.
Là, il raconte le juste acte de l'Éternel.
Il médite là-dessus.
Il partage maintenant les uns avec les autres
tout ce que l'Éternel a fait, ses actes justes.
Dieu est juste.
On a vu, il les avait vendus.
C'était un acte juste, mais c'était un acte de son amour.
Et maintenant, il a donné la victoire.
C'était aussi un acte juste envers ses villes ouvertes
ou ses chefs en Israël.
Alors, le peuple de l'Éternel est descendu aux portes.
Je pense ici que le peuple a pris leur place,
selon les pensées de Dieu.
Les portes nous parlent de la responsabilité
de veiller, de garder contre le mal
et aussi de faire introduire ce qui est bon dans la ville.
Donc, ils ont pris leur place ici,
selon les pensées de Dieu.
Donc, quel résultat du travail d'une seule femme
sous la main de Dieu?
Maintenant, la deuxième section du cantique,
elle parle de la bataille.
Et puis là, elle s'encourage.
Elle dit, réveille-toi.
Et moi, j'ai pensé à Éphésiens 5.
Les Éphésiens, même là, avaient besoin d'être réveillés.
Paul dit, réveille, réveillez-vous.
Et on a besoin d'être réveillés
pour être sous l'influence de l'esprit.
Dans le même chapitre d'Éphésiens 5,
c'est une question d'être rempli de l'esprit.
Et ici, elle parle à elle-même
que cette mère en Israël
soit vraiment sous l'influence de l'esprit.
C'est ça la suggestion, dit un cantique.
Et puis là, elle encourage Barak.
Lève-toi, Barak.
On a vu ça dans le chapitre 4.
Le bon moment, elle a encouragé
de se placer sous l'instruction de Dieu.
Mais il y a une autre chose.
On voit dans le verset 13.
Éternel, descends avec moi, au milieu des hommes forts.
On a vu que l'Éternel est sorti devant lui.
Mais ici, elle s'identifie entièrement avec Dieu.
Descends avec moi.
Elle était aussi sur la montagne.
Puis elle prie ici, descends avec moi.
Donc, elle veut être entièrement
sous l'influence et sous la direction de l'Éternel.
Au milieu des hommes forts.
C'est merveilleux de voir ça.
Mais dans le verset 12, c'est une expression
qu'on revoit aussi dans l'Op. 68
et dans Éphésiens 4.
Amène captif de captifs, fils d'Abi Noam.
Ici, on a une suggestion
à la résurrection.
On voit ici que Barak se lève.
Comme le Seigneur Jésus s'est levé d'entre les morts.
Et a amené captif la captivité.
C'est par la puissance de cette vie de résurrection
que le Seigneur Jésus a eu cette victoire.
Il a amené captif la captivité.
On peut le lire dans Éphésiens 4.
Comment le Seigneur Jésus, exalté, glorifié,
a maintenant la preuve de sa victoire.
Beaucoup de butins, beaucoup d'âmes
qui appartiennent à lui dans l'Église.
Donc, la délivrance de la puissance de Satan.
Mais aussi maintenant cette pleine liberté
sous la direction du Seigneur Jésus.
Verset 13, elle parle du résidu.
C'est important de voir
que le résidu représente tout le peuple.
Je pense que c'est un point important à saisir.
Elle s'identifie avec cet élément fidèle
appelé le résidu, qui est appelé le peuple.
Dans Romain 11, et aussi dans le futur,
le résidu sera appelé tout Israël.
C'est seulement le résidu.
Mais Dieu le reconnaît comme tout Israël.
Et dans Luc 3, lorsque le Seigneur Jésus était baptisé,
tout le peuple était baptisé.
Mais tout le résidu, tous ceux qui appartenaient
vraiment au peuple du Dieu dans le sens spirituel.
Donc, elle s'identifie avec ce résidu.
Et nous aussi, nous pouvons nous identifier
avec ce peuple du Dieu que Dieu reconnaît.
Et avec lequel Dieu peut s'identifier.
Il peut s'identifier à eux.
Descends avec moi au milieu des hommes forts.
Quel résultat ?
Ici, les chefs et les soldats sont vus comme des hommes forts.
Il faut réaliser que c'est le résultat
de ce travail de cette femme,
de cette mère en Israël.
C'est l'oeuvre de Dieu, c'est l'oeuvre de Dieu.
Maintenant, c'est comme ce tribunal,
comme je l'ai dit au début,
elle fait la revue des tribus.
Elle voit tout ça selon les pensées de Dieu.
Elle révèle les motifs, comme on va voir plus tard.
C'est important pour nous,
comme Paul le dit aussi dans Un Chrétien,
qu'il se place dans la présence de Dieu.
Le jour de Christ est très réel pour lui.
Et ainsi, ça peut nous aider
lorsqu'on voit tout à la lumière du sanctuaire,
dans la lumière de Dieu.
C'est très important.
Verset 14.
« D'Éphryme sont venus ceux dont la racine est en Amalèque. »
D'Éphryme était donc la région où elle habitait.
Donc là, on voit, c'est le premier élément.
Elle avait une influence là où elle habitait.
D'abord, c'est important pour nous aussi
d'avoir réalisé notre place
là où on habite, premièrement.
Et deuxièmement, Benjamin,
qui était un peu plus loin même,
au sud, près de Jérusalem,
il est venu aussi au nord,
où la bataille a eu lieu,
et au milieu de tes peuples.
Et de Makir, c'était la demi-tribu de Manasseh,
eux sont venus aussi, les gouverneurs,
de nouveau ce mot « gouverneur »,
et des « abulants » sont venus,
ceux qui tiennent le bâton du commandant.
Le bâton du commandant, donc, c'est celui qui recrute.
Donc on voit ici que
elle a donné une bonne influence,
elle a formé ses chefs, ses hommes forts,
et maintenant, eux, à leur tour,
peuvent aussi recruter d'autres, vous voyez.
C'est l'effet de cette instruction
que Déborah a donnée.
Maintenant, d'autres étaient recrutés,
et aussi, bien évident,
ce n'est pas à elle de prendre la place d'un général,
elle garde sa place, comme une mère en Israël,
et a formé les autres,
et maintenant, les autres peuvent agir
selon la place que Dieu leur a donnée,
ici, comme commandant ou recruté.
D'ailleurs, Zabulon avait une grande responsabilité,
ensemble avec Neftali,
comme j'ai mentionné ce matin,
Neftali, là, Hadzor,
cette ville se trouvait, dans leur région.
Ceux qui avaient manqué le plus
avaient la plus grande responsabilité,
mais ils sont venus,
comme on le voit aussi dans le verset 18.
Verset 15, et les princes d'Issachar
ont été avec Déborah.
Et Issachar, comme baraque,
il a été envoyé sur ses pas dans la vallée.
Donc, là, on voit toutes ces tribus
qui étaient de bonne volonté,
qui étaient libres pour venir.
Maintenant, elle voit aussi les autres,
aux divisions de Ruben,
grande considération du corps,
qui était le plus vieux,
avait une responsabilité comme telle,
mais il habitait à l'autre côté du Jourdain.
Il n'était pas tellement intéressé
d'avoir une place dans le pays.
On peut voir ça dans Josué, aussi,
même dans Nombre 32,
on voit qu'eux préféraient
de rester là.
Puis là, on peut suggérer que ces deux tribus et demie,
à l'autre côté du Jourdain,
jouissent des bénédictions terrestres
que Dieu leur avait données par Moïse,
sans vraiment vouloir
rester dans le pays.
Ils ont envoyé leurs soldats pour conquérir
le pays sous Josué,
mais ils sont rentrés dans leur région,
à l'autre côté du Jourdain.
Ils n'étaient pas indifférents
concernant ces choses
qui se passaient dans le pays,
mais il était trop tard.
Ils ont considéré les choses,
ils étaient bien exercés,
mais ils n'ont pas agi.
Donc, ici, on voit les motifs qui étaient révélés,
verset 16, « Pourquoi es-tu resté là? »
Là, ils étaient trop occupés
de ces bénédictions terrestres.
On peut être trop occupé de nos bénédictions terrestres
pour ne pas être occupé
de ces conflits spirituels.
Et Dieu veut donner les deux.
Dans le millennium, on va voir que
les deux parties du pays seront données.
Chaque tribu va avoir
une partie de l'autre côté du Jourdain
et dans le pays.
Ainsi, c'est pour le chrétien que le Seigneur nous donne
des bénédictions célestes, c'est le pays,
et aussi des bénédictions terrestres
que nous recevons de sa main.
Mais il faut qu'il y ait un équilibre
entre les deux, sous la direction,
sous le contrôle
du Seigneur.
Verset 16 souligne
aux divisions, aux ruisseaux de Rubens,
« Grande délibération du cœur. »
Ils avaient une opinion,
mais ils avaient peut-être oublié
ce principe, « Cherchez d'abord
le Royaume de Dieu, et toutes ces choses
vous seront ajoutées ou données. »
Ces bénédictions terrestres
seront données, mais il faut aussi avoir
à cœur les intérêts de Dieu
en ce qui concerne les bénédictions
célestes. Une opinion n'est pas
suffisante, il faut aussi agir.
Pour les autres tribus, c'est encore pire.
Galate est demeuré simplement là,
au-delà du Jourdain. Et Dan,
il était dans le pays, c'est encore pire
que Rubens et Gad, parce qu'il était dans le pays,
il était tout près de la bataille,
mais il est séjourné sur ses navires,
ses commerces, c'est comme
Desmas qui a aimé
le siècle présent. Il est un croyant,
mais il ne voulait pas rester avec la pote
Paul, il voulait aller à Thessalonique
pour peut-être commencer
une entreprise là. Hazer
est resté au bord de la mer.
Hazer n'avait pas de temps, il était
trop occupé pour venir. Il est demeuré
dans ses ports, mais la conséquence
c'est qu'il n'a pas partagé
dans le butin. Verset 18 par contre,
Zabulon et Naphtali.
Zabulon est un peuple qui a
exposé son âme à la mort.
Il était tellement dévoué, comme on a
vu dans Smirne, ses âmes qui étaient
fidèles jusqu'à la mort.
Une même attitude ici à Zabulon,
et 1 Jean 3 nous dit que nous devons
aimer les frères, même à donner
notre vie. Quel exemple
Zabulon a donné, et Naphtali aussi,
sur les auteurs des chants. Verset 19,
elle revoit donc
cette bataille. Les rois sont venus,
ils ont combattu, alors les rois de
Canaan ont combattu Atana.
Et puis là, j'aimerais donc référer
au psaume 83,
parce que dans le futur, on va avoir
un même combat,
un même conflit, une même bataille,
une confédération de peuples.
Verset 6 et
verset 9,
« Fais-leur comme à Madien,
comme à Cisera, comme à Jabin
au torrent des Kizans ». Donc, dans
le futur, il y aura une situation
semblable, et puis là,
le psalmiste dit « Fais-leur comme à
Madien, comme à Cisera ». Il réfère à
d'autres conflits aussi qui ont eu
lieu dans le passé, et on peut
dire que tous ces conflits différents
seront encore refaits ensemble
dans le futur, qui ont
été détruits à Endor, qui sont
devenus du fumier pour la terre.
C'est ça qu'on a vu dans juge
4. Maintenant, juge
5, le verset 20,
on a mentionné déjà comment Dieu a intervenu
dans le conflit pour aider, et
les étoiles ont combattu contre
Cisera. Peut-être on peut là aussi
voir une intervention directe
du ciel, aussi à
travers les anges. Comme on
voit dans Daniel 10,
on voit que les anges ont
une place pour
défendre les intérêts
du peuple de Dieu. Si vous voulez lire
Daniel 10, c'est très clair,
vous allez voir que là, il y a
un conflit derrière
les scènes qu'on voit, ici-bas,
on voit un conflit entre
les démons et les anges de
Dieu, en rapport avec le peuple de Dieu.
Peut-être on peut penser à ça aussi,
qu'en arrière de là, il y a aussi
ce conflit entre les démons
et les anges. Mais en tout cas, c'était aussi
un conflit sur la terre entre
les démons, ou ceux qui représentaient Satan,
et le peuple de Dieu. Le verset
21 nous donne donc
les détails, comment ils étaient
effacés, pour ainsi dire, de la terre.
Et puis là, verset 21,
« Mon âme, tu as foulé aux pieds la
force ». Elle était une mère, elle n'était
pas un général, mais on voit comment elle s'est
identifiée avec ce que Dieu
avait fait, à travers tout cela,
et comment elle s'est identifiée avec les soldats,
comme disant, « Tu as foulé,
mon âme, tu as foulé aux pieds la force ».
Elle s'identifie entièrement
avec ce conflit. Verset 22,
« Alors les talons des chevaux bâtirent le sol
à cause de la course rapide ». On voit
donc comment ils étaient enlevés.
Maintenant, la troisième section
du cantique, verset 23.
Là, il y a
une parole très forte,
trois fois répétée, « maudissez
Méros ». Méros se
trouvait en Neftali, tout près
d'Azor, et puis on peut
traduire ce mot par « ceux qui habitent
dans les cèdres », où
ça nous parle d'une certaine
luxe qu'ils avaient accumulée,
on le voit aussi dans les jours de Agé,
puis à cause de ça, ils ne voulaient
pas être impliqués dans ce
conflit. Ils avaient trop de luxe,
ils avaient trop à perdre
pour être impliqués dans un tel conflit.
Par contre, on a vu que Dieu veut que son
peuple soit impliqué dans ce conflit
pour être formé,
pour avoir la victoire, mais eux ne
voulaient pas assister, et à cause de ça,
ils étaient maudits.
Ils seraient capables de
tuer l'ennemi lorsqu'il
rentrait chez eux, juste
avant de rentrer à Azor,
ils auraient pu les tuer, ils ne l'ont pas fait.
Je pense aussi à 1 Chrétien 16,
à la fin, où on dit « ceux qui
n'aiment pas le Seigneur Jésus qu'ils soient
en Athènes maudits », c'est très
fort, parce qu'ils ne voulaient
pas prendre une position.
On peut penser à Matthieu 25,
plus tard, où le Seigneur Jésus va juger
toutes les nations.
Ceux qui ne se sont pas
identifiés avec le peuple d'Israël,
avec les intérêts de Dieu,
seront maudits, car ils ne sont pas venus
au secours de l'éternel.
La neutralité, donc, dans ces choses,
Dieu ne peut pas être
accepté. Mais, par contre, verset 24,
« bénis soient
au-dessus des femmes Jaël »
Je voulais mentionner ici encore que Jaël
a pris position
pour le peuple de Dieu, comme Rahab
l'a fait dans le passé. Rahab était seule
dans sa maison. Elle a eu
une bonne influence, par contre,
les autres membres de sa famille, ses parents,
tout ça. Ici, Jaël
a fait le bon choix au bon moment.
On a vu ça ce matin. Qu'elle soit
bénie au-dessus des femmes qui se tiennent
dans les tentes, elle n'a pas rejeté
sa responsabilité dans la tente,
dans la maison. Elle a gardé sa
responsabilité dans sa sphère personnelle,
mais elle a agi
selon les possibilités que
Dieu lui avait données, comme on a
vu ce matin. Là où Dieu
l'avait placée,
là, elle a agi, dans cette
sphère-là. Puis là, elle revoit
tout ce qu'elle a fait, et puis maintenant,
en contraste, une autre mère.
On a vu une mère en Israël, on a vu
une femme fidèle, comme Jaël,
qui n'appartenait pas au
peuple de Dieu, officiellement, mais qui
habitait au milieu d'eux, qui a pris
une position pour le peuple de Dieu, en
contraste avec Mérosse, qui appartenait au
peuple de Dieu, qui était trop
paresseux, ou en contraste avec les autres
tribus qu'il ne voulait pas combattre,
à cause de
raisons différentes. Ici,
une autre mère. Elle avait influencé
son garçon, Cisra,
qu'il était devenu le général de ce
peuple. Quel contraste entre ces deux
mères? Déborah, qui a formé
tout un peuple pour Dieu,
et la mère de Cisra, qui parle ici
comme le monde. On le voit dans
tous ses détails, du verset 28
à 30. Mais il n'est
pas rentré. Et puis là, le verset
31, c'est vraiment un très
bon verset pour conclure. C'est
un poème très vivant, vous voyez,
verset 28 à
30, nous parle donc de
la mère de Cisra, elle s'arrête là,
elle ne dit pas que Cisra n'est pas rentré,
c'est supposé,
puis après ça, la conclusion,
verset 31, qu'ainsi périssent
tous tes ennemis. On a vu ça dans
op. 83 aussi un peu,
mais que ceux qui t'aiment
soient comme le soleil
quand ils sortent dans sa force. Ça, c'est l'exercice
d'une mère en Israël.
Que les membres du peuple de Dieu
deviennent forts, comme le soleil.
Vous voyez, le Seigneur Jésus,
dans le millennium, il va briller comme le soleil.
Mais il veut donner le même caractère
à son peuple.
Mais pour cela, il faut qu'on l'aime,
qu'on aime Dieu.
C'est une des choses dans le Nouveau Testament,
on pourrait dire, un des secrets. …
Automatic transcript:
…
Le verset 5. Car nous ne nous prêchons pas nous-mêmes, mais nous prêchons le Christ Jésus comme Seigneur,
et nous-mêmes comme vos esclaves pour l'amour de Jésus.
Ce passage-là, on va revenir à ça plus tard dans Juge 7, en rapport avec les vases, les torches et les trompettes.
Mais c'est un point de départ pour nos études d'aujourd'hui.
Et par ces cantiques que nous avons chantées, j'ai pensé à ce verset-là.
C'est exactement ça que Dieu veut que Christ Jésus soit prêché comme Seigneur dans nos vies aujourd'hui.
Le Seigneur nous aide à voir Christ dans Juge 6.
Juge 6 maintenant. On va lire depuis le début jusqu'au verset 21.
Juge 6. Et les fils d'Israël firent ce qui est mauvais aux yeux de l'Éternel.
Et l'Éternel les livra en la main de Madian pendant sept ans.
Et la main de Madian fut forte sur Israël.
A cause de Madian, les fils d'Israël se firent les Andes, qui sont dans les montagnes, et les cavernes et les lieux forts.
Il arrivait que, quand Israël avait semé, Madian montait, et Amalek, et les fils de Laurien,
Ils montaient contre lui, et ils campaient contre eux, et détruisaient des produits du pays, jusqu'à ce que tu viennes à Gaza.
Et ils ne laissaient point de vivre en Israël, ni moutons, ni boeufs, ni ânes.
Car ils montaient, eux, et leurs troupeaux, et leurs tentes.
Ils venaient nombreux comme des sauterelles, et eux et leurs chameaux étaient sans nombre.
Ils venaient dans le pays pour le ravager.
Et Israël fut très appauvri à cause de Madian.
Et les fils d'Israël crièrent à l'Éternel.
Et il arriva que, lorsque les fils d'Israël crièrent à l'Éternel, à cause de Madian,
L'Éternel envoya au fils d'Israël un prophète qui leur dit,
Ainsi dit l'Éternel, le Dieu d'Israël,
Je vous ai fait monter d'Égypte, je vous ai fait sortir de la maison de servitude,
Et je vous ai délivré de la main des Égyptiens, et de la main de tous vos oppresseurs,
Et je les ai chassés de devant vous, et je vous ai donné leur pays.
Et je vous ai dit, moi, je suis l'Éternel, votre Dieu.
Vous ne craindrez point les dieux de l'Amoréans, dans le pays duquel vous habitez.
Et vous n'avez pas écouté ma voix.
Et un ange de l'Éternel vint, et s'assit sous le Térébate qui est à Ofra,
Lequel était à Joas, la Biézrite.
Et Jédéon, son fils, battait Dufroman dans le pressoir,
Pour le mettre en sûreté de devant Madien.
Et l'ange de l'Éternel lui apparut et lui dit,
L'Éternel est avec toi, fort et vaillant homme.
Et Jédéon lui dit, Ah, mon Seigneur, si l'Éternel est avec nous,
Pourquoi donc toutes ces choses nous sont-elles arrivées ?
Et où sont toutes ces merveilles que nos pères nous ont racontées en disant,
L'Éternel ne nous a-t-il pas fait monter hors d'Égypte ?
Et maintenant l'Éternel nous a abandonnés et nous a livrés en la main de Madien.
Et l'Éternel le regarde et lui dit,
Va avec cette force que tu as, et tu sauveras Israël de la main de Madien.
Ne t'ai-je pas envoyé ?
Et il lui dit, Ah, Seigneur, avec quoi sauverai-je Israël ?
Voici mon millier et le plus pauvre en Malassé,
Et moi je suis le plus petit dans la maison de mon père.
Et l'Éternel lui dit, Moi, je serai avec toi,
Et tu frapperas Madien comme un seul homme.
Et il lui dit, Je te prie, si j'ai trouvé grâce à tes yeux,
Donne-moi un signe que c'est toi qui parles avec moi.
Ne te retire pas d'ici, je te prie, jusqu'à ce que je vienne à toi,
Et que j'apporte mon présent et que je le dépose devant toi.
Et il dit, Je m'assierai jusqu'à ce que tu reviennes.
Et Jédéon entra et apprêta un chevreuil et des pains sans levain,
Donnez-foi de farine.
Il mit la chair dans un panier et mit le bouillon dans un pot,
Et les lui apporta sous le térébinthe et les présenta.
Et l'Ange de Dieu lui dit, Prends la chair et les pains sans levain,
Et pose-les sur ce rocher-là et verse le bouillon.
Il fit ainsi.
Et l'Ange de l'Éternel étendit le bout du bâton qu'il avait en sa main,
Et toucha la chair et les pains sans levain.
Et le feu monta du rocher et consuma la chair et les pains sans levain.
Et l'Ange de l'Éternel s'en alla de devant ses yeux.
Jusqu'ici la lecture de la parole.
C'est une histoire impressionnante, une histoire avec des leçons pratiques pour nous.
Lorsqu'on lit la parole de Dieu, on a toujours des leçons bien pratiques pour nous.
C'est d'abord une histoire littérale par rapport à l'histoire d'Israël.
C'est une histoire qui nous parle aussi de l'histoire de l'Église,
comme on va voir tantôt.
Et c'est même une histoire qui a des applications prophétiques,
comme on va voir plus tôt dans le chapitre 8, que je mentionnerai.
Mais ici on a vu que les ennemis sont venus comme des sauterelles.
Et ça me fait penser aussi aux plaies, une des plaies qui est venue sur l'Égypte,
avec laquelle Dieu a frappé l'Égypte, et qu'on retrouve aussi dans l'Apocalypse.
Mais ce n'est pas le but de nos études.
On aimerait se concentrer sur les leçons morales pour nous présentement,
selon l'enseignement du Nouveau Testament,
qui nous parle de ces histoires comme étant données pour notre instruction,
pour notre correction aussi, pour notre encouragement.
On a vu donc que le peuple d'Israël était dans le pays promis.
Et ainsi, on a vu le lien avec notre position en Christ.
Dieu nous a placés dans son pays, pour ainsi dire.
Il nous a bénis avec toutes les bénédictions qui sont dans le ciel,
qui sont dans le cœur de Dieu.
Et qu'est-ce qu'on a fait avec ces bénédictions?
Qu'est-ce que l'Église a fait avec ces bénédictions?
On voit toujours que d'autres ennemis viennent pour attaquer le peuple de Dieu.
Et Dieu permet ces choses à cause du relâchement, à cause de l'émaniement,
à cause de l'infidélité, à cause de la désobéissance du peuple de Dieu,
à cause de l'idolâtrie même.
Et on voit ça clairement aussi dans l'Église, l'histoire de l'Église.
Avant qu'on prenne les détails pratiques pour nous-mêmes,
j'aimerais juste mentionner trois points
par lesquels on voit un parallèle avec Pergam,
l'Épitre que le Seigneur Jésus a écrit à Pergam.
On a vu la première déviation en rapport avec Éphèse,
dans l'Évangile 2, verset 4.
J'ai contre toi que tu as abandonné ton premier amour.
C'est le point de départ toujours.
Et puis de là va suivre tout un développement.
Et on voit que Dieu permet des persécutions comme à Smyrne
pour restaurer le corps de son peuple.
Mais à Pergam, on voit une nouvelle phase.
Et là, verset 13, je sais où tu habites.
Là où est le trône de Satan.
Amalek nous parle de Satan.
On va voir ça tantôt.
Et puis, dans l'histoire de l'Église,
on voit donc que l'empereur romain est devenu le chef de l'Église.
À Thiatire, on va voir un prochain développement.
On va voir ça dans Rue Jeux 8 et 9, le développement qui suit.
Mais ici, je pense qu'il y a un parallèle avec le jour de Gédéon,
avec Pergam.
Je sais où tu habites.
Là où est le trône de Satan.
Et puis on voit en Gédéon,
cet antipas qui est mentionné dans le verset 13.
Tu n'as pas renié ma foi,
même dans les jours dans lesquels antipas était mon fidèle témoin.
J'aimerais suggérer un parallèle entre antipas et Gédéon.
Gédéon qui était seul contre toute la puissance de l'ennemi,
comme antipas ici.
Et puis, dans le verset qui suit, un peu plus loin,
on voit que Gédéon s'est nourri des choses cachées.
Verset 17, Apocalypse 2, verset 17.
A celui qui vaincra, je lui donnerai de la manne cachée.
On voit comment Dieu avait préparé le cœur de Gédéon dans la cachée.
Il s'est nourri de cette manne cachée, pour ainsi dire.
Donc, deuxième parallèle avec Gédéon.
Il est devenu un vainqueur.
On va voir ça tantôt aussi, la déviation de la part du peuple,
et puis les caractéristiques de Christ dans le vainqueur.
Le vainqueur qui se nourrit, qui se fortifie en Christ.
Mais il y a un troisième parallèle.
À la fin, on pourrait peut-être suggérer que chapitre 6,
c'est la préparation de Gédéon.
Ça va ensemble avec cette manne cachée.
Juge 7, ça c'est vraiment antipasse.
Ça c'est le combat.
Mais juge 8, là on va voir une nouvelle forme de déviation.
C'est la doctrine de Balaam.
Verset 14 ici, dans l'Apocalypse 2, verset 14.
Pierre d'achoppement, afin que les fils d'Israël,
pour qu'ils mangent des choses sacrifiées aux idoles.
Donc, après le réveil, dans les jours de Gédéon,
on va voir dans juge 8 un déclin, une déviation nouvelle.
Mais je ne peux pas parler de ça aujourd'hui.
Mais c'est juste ces trois points qui lient ce chapitre de juge 6, 7 et 8
avec l'histoire de Père Galle.
Donc ça c'est une façon dans laquelle on peut lire cette histoire.
On voit que l'histoire d'Israël va parallèle avec l'histoire de l'Église,
avec l'histoire de l'Église dans ce sens-là,
dans les déviations, dans les réveils que le Seigneur a donnés.
Mais aussi dans nos propres vies.
Puis on aime surtout étudier ces détails en rapport avec nos propres vies.
Donc, dans juge 6, on voit une nouvelle phase et un nouveau, un nouvel ennemi.
D'autres dangers.
Dans chapitres 4 et 5, on a vu, je mentionne simplement juge 5, verset 8,
on ne voyait ni bouclier, ni pic chez 40 milliers en Israël.
Là, il n'y avait pas d'armure, pas de défense, ni d'offense contre l'ennemi.
Ici, l'attaque est différente.
Ici, l'attaque c'est pour appauvrir Israël, pour ôter les ressources élémentaires.
C'est donc une nouvelle étape dans les attaques de l'ennemi.
Mais c'est causé par la désobéissance du peuple.
On a vu déjà dans chapitre 2, ce cycle qui se répète toujours, cette déviation.
Puis Dieu, dans son amour, va châtier, va discipliner son peuple.
Comme on le voit ici, juge 6, verset 1.
L'Éternel les livra à la main de Madian.
On voit très tôt cette déviation.
J'ai mentionné Apocalypse 2, verset 4.
La hauteur, donc, de cette position merveilleuse que Dieu a donnée par le ministère de Paul et de Jean,
même là, la déviation a commencé.
Et aussi dans l'histoire d'Israël, si on lit Jérémie 2, on voit que dès le début, il y avait une déviation.
Et Étienne, dans Acte 7, donne toute cette histoire de déviation et d'endurcissement.
Mais Dieu s'occupe de son peuple.
Dans son amour, il les discipline.
Il les livra à la main de Madian.
C'est pour les discipliner.
Mais maintenant, on aimerait se demander, mais qu'est-ce que c'est exactement ce Madian?
On a vu toutes sortes de mâles qui viennent de l'extérieur.
On a vu ça dans chapitre 3, par rapport avec l'attaque de Kushan Richataim.
On a vu Moab, une forme de lâchère dans sa paresse.
C'était une deuxième attaque.
Une autre attaque, on a vu la dernière fois, par rapport avec le roi de Canaan, qui régnait à Hazor.
On a pensé à l'intelligence, là surtout, mais l'intelligence humaine qui est introduite dans les choses de Dieu.
Mais ici, l'attaque est différente.
Ça vient d'une combinaison de forces.
Madian d'abord.
Madian était lié au peuple de Dieu par les liens de parenté.
Madian était un descendant d'Abraham par Keturah.
Donc très proche du peuple de Dieu.
Et aujourd'hui aussi, il y a beaucoup de gens qui sont très proches du peuple de Dieu.
Ils professent appartenir au peuple de Dieu.
Avoir les mêmes pères.
Comme ici, Madian pouvait réclamer Abraham comme leur père.
Mais quand même, il n'appartenait pas au vrai peuple de Dieu.
Il n'était pas né de nouveau.
Aujourd'hui, dans la profession chrétienne, on a toutes sortes de choses.
On a de l'idolâtrie.
Mais on a aussi des gens qui nous réclament pour eux-mêmes.
Ils disent, mais vous nous appartenez.
On appartient à la même profession.
Et puis, on voit deux origines dans Madian.
Madian était donc lié à Abraham par Keturah.
Mais les Madianites sont aussi appelés des Ismaélites.
Dans le chapitre 8, verset 14.
On verra ça plus tard dans le juge 8, verset 24 par exemple.
Parce qu'ils étaient Ismaélites.
Là, on voit donc une autre origine.
Par Agar.
Cela nous frappe aussi en connaissant l'histoire de l'Église.
On voit ces deux origines.
D'abord, une origine d'Abraham.
Un lien extérieur avec le peuple de Dieu.
Et puis aussi un lien par Agar.
Agar était la servante.
Et en rapport avec Agar, on peut penser à l'influence du judaïsme.
À l'influence du légalisme dans l'Église.
Dans Romains 7, on voit que chaque âme a la tendance à se placer sous la loi.
Pour s'améliorer.
Pour s'améliorer soi-même.
Dans Galate 4, on voit comment Paul compare ces deux systèmes.
Le système de la grâce, en Sarah.
Avec le système d'Agar.
Un système d'esclavage.
Pas de liberté.
Pas la joie d'être des fils pour Dieu.
Dieu veut nous avoir comme des fils qui sont dans sa présence.
En toute liberté.
Comme de vrais Isaacs.
Mais ce système d'Ismaélites ne connaît pas ça.
Si vous voulez étudier plus en détail, Romains 7 et Galate 4 donnent plus de détails sur ce système-là.
Un système d'esclavage.
C'est remarquable que c'était les Ismaélites qui ont vendu Joseph en Égypte.
C'est très remarquable.
Donc les Ismaélites et les Madianites sont liés ensemble.
On voit aussi que les Madianites s'associaient facilement avec Moab.
Dans Nombre 25, on voit qu'ils se sont associés à Moab.
Et étaient devenus un piège pour Israël.
Là aussi, un piège pour Israël.
Par les liens de parenté.
Ainsi, les liens de parenté peuvent être un piège pour nous.
Littéralement.
Mais aussi d'un sens spirituel.
Les gens qui s'appellent chrétiens peuvent être des pièges pour nous.
Par leur profession.
Et en même temps, ils peuvent exercer une influence sur nous.
Le mot veut dire corréleur ou contention.
Ceux qui font des controverses.
On voit dans l'histoire de l'Église aussi combien de gens ont fait des contestations de controverses.
Mais il n'y avait aucune nourriture.
Aujourd'hui aussi, si on pense à la théologie moderne,
les gens, les théologiens libéraux, qui s'appellent chrétiens,
ils ont une influence très forte sur toute la chrétienté.
Mais il n'y a pas de nourriture.
Ici, on voit que par l'attaque de Madien, le résultat était qu'il n'y avait pas de nourriture pour nourrir, fortifier le peuple de Dieu.
Et c'est remarquable que Madien s'associe à d'autres comme Amalek.
Amalek était un ennemi redoutable du peuple de Dieu.
On voit ça déjà dans l'Exode 17.
J'aime suggérer qu'en Amalek, on voit d'abord Satan.
Satan qui attaque le peuple de Dieu par la chair.
Madien, ça parle des associations mauvaises.
Mais Amalek, ça parle d'une attaque directe de Satan par les convoitises de la chair.
On voit aussi dans 1 Samuel 15 que le roi Saul avait essayé d'exterminer ses amis liquides qui avaient leur descendance des Ahus.
C'est une autre descendance, mais aussi liée au peuple de Dieu.
C'est remarquable.
Les Ahus étaient le frère de Jacob.
Donc, ces nations qui ont attaqué Israël étaient parentées.
Il faut réaliser ça.
Beaucoup d'attaques viennent par des Chinois ou ceux qui sont loin de nous, mais qui sont très proches.
Et les Ahus, c'est quelqu'un qui avait rejeté, maîtrisé la grâce de Dieu.
Amalek, c'est un descendant des Ahus.
On voit l'influence des choses naturelles en contraste avec la grâce souveraine de Dieu.
Dans l'Exode 17, on voit cette attaque lorsque l'esprit, en figure de l'eau qui venait du rocher,
on voit l'esprit qui travaille parmi le peuple de Dieu.
Et Satan attaque ça par les convoitises de la chair.
C'est l'Exode 17.
Et dans d'autres passages, on voit comment seulement Dieu pouvait aider le peuple contre cette attaque.
Mais le peuple avait une responsabilité eux-mêmes aussi dans cette attaque-là.
On ne peut pas améliorer la chair, mais on doit s'élever contre Satan, contre ses attaques,
comme on voit dans l'Exode 5, par exemple.
Donc, Amalek était un ennemi redoutable.
Et puis les fils de Laurien, c'est un troisième groupe qui est mentionné, qui venait de Laurien.
Donc, littéralement, c'était des Bédouins, comme aussi les Madianites étaient des Bédouins.
Mais les fils de Laurien, peut-être qu'on peut penser aussi à Genèse 4.
Dans Genèse 4, on voit que les descendants de Cain se sont dépassés dans la direction de Laurien.
Et puis on peut penser là au système du monde, un système sans Dieu.
Donc, on a tous ces éléments ensemble.
J'ai pensé à 1 Genèse 2, par exemple, les trois catégories de convoitises, les trois catégories du péché,
la fierté, mais aussi la convoitise des yeux, la convoitise de la chair.
Ces trois catégories sont toujours ensemble.
Et on les voit plus ou moins dans ces trois groupes mentionnés ici.
Les convoitises de la chair, les convoitises des yeux et puis la fierté.
On peut penser aussi à Satan, comme j'ai suggéré en rapport avec Amalek,
Madien, en rapport avec la chair, qui s'oppose contre l'Esprit et le monde qui s'oppose contre le Père.
Il y a beaucoup de choses qu'on peut introduire ici.
On voit que ça coopère contre le peuple de Dieu.
Et puis, qu'est-ce que le peuple fait?
Ils se cachent vers ces deux.
Ils se cachent dans les Andes, qui sont dans les montagnes, dans les cavernes, dans les lieux forts.
C'est remarquable. Le peuple de Dieu ne peut pas se défendre.
Ils n'ont pas d'armes, comme on l'a vu dans le chapitre 5.
Et ici, ils n'ont pas de nourriture.
Ils ne peuvent pas se fortifier contre de tels ennemis redoutables.
Vers ces quatre, ils campaient contre eux et détruisaient les produits du pays.
Quelle chose d'horrible.
Le pays de Dieu, le pays du peuple de Dieu, tellement précieux, ses produits étaient détruits.
Comme j'ai mentionné dans l'histoire de l'Église, et même aujourd'hui,
on voit que les attaques de l'ennemi résultent du fait que le vrai peuple de Dieu,
ceux qui sont nés de nouveau, ceux qui appartiennent vraiment à Dieu, n'ont plus de nourriture.
Et ces bénédictions célestes, spirituelles, que nous connaissons par la grâce de Dieu,
sont inconnues pour la plupart des chrétiens aujourd'hui.
On peut penser à cette attaque des sauterelles qui détruisait les produits du pays comme un jugement de Dieu.
Mais ce n'était pas seulement la nourriture.
Le résultat était aussi ni mouton.
Donc, il n'y avait rien pour Dieu.
Pas de sacrifice.
Ni bœuf.
Il n'y avait rien pour supporter le peuple dans leurs travaux pour préparer le terrain, les champs.
Ni âne.
Rien pour porter leur fardeau.
Rien.
Tout était ôté.
C'était comme une invasion.
Verset 5.
Comme une inondation.
Vous voyez.
Puis dans Ésaïe 59, on a un verset qui dit,
si ça arrive, une inondation de mal de l'ennemi,
qui va élever le standard?
Qui va s'opposer?
Qui va être l'instrument dans la main de Dieu pour être un standard contre le mal?
C'est ça qu'on va voir dans Gédéon.
Gédéon sera cet instrument.
Mais c'est une invasion de mal.
Une occupation entière du pays.
L'ennemi prend le pays par usurpation.
Ainsi, en attaquant les ressources du peuple.
Très appauvri.
Verset 6.
Quel résultat?
Les fils d'Israël crièrent à l'éternel.
Ça, c'est donc une troisième phase.
On a vu le mal, la discipline.
Et puis là, ils crient à l'éternel.
C'est l'humiliation peut-être.
Une humiliation.
Ils réalisent leurs maux, leurs manques et tout cela.
Ils crient à l'éternel.
Le Dieu de l'alliance, l'éternel.
Et puis peut-être on peut suggérer ceci.
Pour mieux apprécier le joug de l'éternel, la bonté de l'éternel,
il faut ici que le peuple connaisse d'abord le joug de l'ennemi.
Ce n'est pas nécessaire, vous voyez.
Mais souvent, dans les voies de Dieu, c'est ça qui arrive.
Qu'on doit goûter l'amertume du monde, la méchanceté du système de ce monde
pour pouvoir apprécier davantage le joug de l'éternel.
Mais ce ne serait pas nécessaire.
Si on est fidèle, si on est obéissant,
on était placé sous le joug de l'éternel.
Dans sa dépendance, dans la cohérence avec lui,
on n'aurait pas besoin de telles expériences.
Mais dans les voies de Dieu, on voit souvent que le peuple s'éloigne de Dieu,
que Dieu doit permettre de telles attaques pour les ramener.
Maintenant, comment Dieu va ramener ce peuple?
D'abord, donc, cette humiliation.
Il voit les conséquences de leurs travaux, de leur manque, il s'humilie.
Et puis là, Dieu envoie un prophète.
J'aimerais vous suggérer qu'on voit beaucoup de façons
dans lesquelles Christ est introduit dans ce chapitre.
Dieu introduit Christ dans le vainqueur.
Et ainsi, Dieu veut aussi former quelque chose de Christ en nous
si nous voulons devenir des vainqueurs, des vrais disciples du Seigneur Jésus.
Dieu introduit quelque chose de Christ par le prophète.
Il introduit quelque chose de Christ par le sacrifice qu'on va voir tantôt.
Il introduit Christ dans beaucoup de façons.
On va voir ça aussi dans le chapitre 7, le pain d'orge.
De toute façon, Dieu a ses manières pour introduire Christ, pour ramener le peuple.
D'abord, ici, c'est le prophète.
On a vu dans Déborah aussi un ministère prophétique.
Elle n'était pas seulement juge, mais aussi prophétesse.
Et puis on a vu là que la prophétesse parle dans la présence de Dieu.
Elle connaissait les pensées de Dieu,
et puis elle a donc communiqué les pensées de Dieu au peuple de Dieu.
Ici, ce prophète, venant de la présence de Dieu, présente les pensées de Dieu.
Maintenant, il faut réaliser qu'un ministère prophétique a des caractéristiques différentes.
Ici, c'est d'abord pour constater la déviation.
Vous voyez, c'est un élément dans le ministère prophétique.
C'est un élément négatif.
Constater la déviation, constater où on a manqué.
Mais le ministère prophétique continue à introduire Christ.
Puis on voit le résultat de ce ministère prophétique dans Gidéon.
On pourrait se demander, mais ce prophète n'a pas eu de résultat.
Il a parlé en vain.
Il semble qu'il n'a pas de résultat.
Verset vite, l'Éternel envoya au Fils d'Israël un prophète.
Puis là, on peut penser aussi au Seigneur Jésus.
Il est le vrai prophète.
Il parle de la présence de Dieu.
On le voit dans Jean 4 aussi avec la femme de la Sainte Marie.
Elle a reconnu le Seigneur Jésus comme le vrai prophète.
Dieu révèle ses pensées par le prophète.
Il mentionne simplement sept bénédictions que le peuple avait eues.
Sept bénédictions.
Vous pouvez penser à cela dans versets 8 et 9.
Avec lesquelles Dieu avait béni son peuple.
Il a mis de côté ses bénédictions.
Il les a comptées comme rien.
C'est comme s'ils ont frappé Dieu dans son visage.
Il constate à la fin, vous n'avez pas écouté ma voix.
Dieu les avait avertis à tant de reprises par le ministère de Moïse et de Josué.
De ne pas s'allier aux Amoréens, aux Canaanites.
Puis c'est exactement ces dieux de l'Amoréen qui suivent ici.
Terrible.
Verset 11.
On voit l'effet de ce ministère.
Le prophète peut-être n'a jamais su que son ministère a eu un résultat.
Mais j'aime suggérer que le résultat se trouve dans Gidéon.
Gidéon est là dans le verset 11 pour préparer de la nourriture.
Pour garder.
Direct de la part de Dieu, un ange de l'éternel.
Le mot ange veut dire messager.
On a vu un messager prophétique, un prophète.
Mais maintenant Dieu lui-même vient pour s'occuper de son peuple.
Parce que l'ange est le représentant de l'éternel.
Mais il est l'éternel lui-même.
On voit ça au début de Jean, par exemple.
Le Seigneur Jésus est présenté comme la parole qui était auprès de Dieu.
Mais qui est Dieu.
Et ainsi l'ange de l'éternel est le représentant de Dieu.
Et le meilleur représentant de Dieu.
Parce qu'il est Dieu.
Vous voyez.
L'ange est aussi l'éternel lui-même.
Comme on le voit plus tard verset 14.
L'éternel le regarda.
Puis l'éternel parla.
Donc l'ange de l'éternel et l'éternel c'est le même.
Puis on voit ça aussi dans Exode 3.
Puis d'ailleurs ce sont des points importants pour réfuter les doctrines des témoins d'Jéhovah.
Il s'occupe de l'état de son peuple.
On le voit dans Exode 3 aussi.
L'ange de l'éternel et l'éternel sont les mêmes.
Il s'occupe de l'état du peuple.
C'est très touchant de voir ça dans Exode 3.
Dans Isaïe 63, verset 9, on lit un verset.
Dans toute leur détresse, il était en détresse.
Là on voit l'ange de l'éternel qui s'occupe de l'état du peuple.
Puis il est en détresse.
Si le peuple est en détresse, Dieu est en détresse.
Parce que c'est son peuple.
Et puis il vient ici pour s'associer à son peuple.
On a vu ça, je pense, je l'ai mentionné dans Juge 2, dans ce temps-là.
On a comparé ce verset-là aussi avec Isaïe 63.
Mais là on voit l'ange de l'éternel qui monta de Gilgal à Boukine.
Qui a parlé à eux.
Ici, il parle avec Gédéon.
Il s'assit sous le térébint.
Le térébint, c'est un arbre qui parle de force, de puissance.
Mais j'aime toujours aussi voir le lien avec la croix.
Le bois, en général, dans la parole de Dieu, donne ce lien avec la croix.
C'est la seule place de repos, vraiment, au pied de la croix.
Et puis à cette place-là, on peut avoir la communion avec Dieu.
Dieu, donc l'ange de l'éternel, s'est assis là.
Il prend son temps, vous voyez.
Il prend son temps pour préparer son instrument, son outil.
Et ainsi, Dieu prend son temps pour vous et moi, pour les enfants qui sont ici.
Dieu prend son temps pour nous élever pour lui-même.
Ça prend des années, des années.
Il continue toujours. Il prend le temps pour ça.
Deuxièmement, c'est Ofra.
Ofra veut dire poussière.
Il n'y a rien en nous.
On l'a exprimé dans notre cantique aussi.
En nous-mêmes, il n'y a rien.
Et plus tard, Gédéon le confirme.
Il était le plus petit de sa maison.
La maison de son père était la plus pauvre à Manassé.
Donc, le plus petit.
Mais c'est là où Dieu vient.
Là où nous voyons notre petitesse, notre faiblesse.
Là, Dieu peut travailler.
Il ne peut pas se servir de nous si nous avons une autre pensée de nous-mêmes.
Si nous sommes fiers, comme c'est Madianite.
On va voir ça dans le chapitre 8 aussi.
Comment ces rois étaient fiers.
Lorsque nous sommes fiers, Dieu ne peut rien faire avec nous.
Il faut que nous soyons très bas.
Puis l'apôtre Paul, dans 2 Corinthiens 12.
Peut-être que vous connaissez ce passage-là.
Mais l'apôtre Paul présente une expérience très douloureuse.
Il est attaqué par l'ennemi.
Mais qu'est-ce qu'il fait, l'apôtre Paul?
Il se remet entre les mains de Dieu.
Et le Seigneur lui dit, ma grâce te suffit.
Parce que ma puissance s'accomplit dans la faiblesse.
Dans l'infirmité.
Et là, on voit aussi une situation très faible.
Beaucoup de faiblesse.
Un homme qui battait le fromain dans le pressoir.
C'est une situation anormale, très faible.
Donc, dans cette faiblesse, Dieu vient pour aider.
Le nom Joas, il était le maire du village.
On voit un peu plus loin.
On n'a pas lu ça, mais on va voir ça plus tard.
Joas était comme le maire du village.
Labiezrite, le nom veut dire père de secours.
Donc, on a besoin du secours.
Joas veut dire même désespéré.
Mais c'est une des significations.
Désespéré.
Il n'y avait, du point de vue humain, aucun espoir pour que cette situation soit rémédiée.
Mais, on voit ici un homme exercé.
On voit Gideon.
Et puis, j'aime comparer Gideon avec Timothée dans le Nouveau Testament.
On dirait à la fin de la vie de Paul, ça ne vaut plus la peine de continuer.
Mais Paul n'était pas désespéré.
Paul avait mis sa confiance en Dieu.
Et il avait vu en Timothée un homme exercé.
Ainsi, on voit dans Gideon un homme exercé.
Et Dieu l'a connu.
C'est pour ça que j'ai dit au début, Gideon s'est mouri de cette manne cachée.
Dieu a vu ça.
Dieu voit ce que nous faisons à la maison.
Si nous prenons le temps pour lire la parole, pour prier dans le cachet, pour être dans la présence de Dieu.
Il battait du froment.
Ça veut dire, je vais revenir à la signification du nom Gideon.
Gideon veut dire quelqu'un qui coupe, qui abat.
Puis ainsi, il a coupé, abattu les statues de l'ennemi, de la religion fausse.
On va revenir à ça.
Mais qu'est-ce qu'il fait ici?
Il battait du froment.
Il était exercé pour garder les fruits du pays.
Pour le mettre en sûreté.
Et c'était une bonne quantité.
Parce que plus tard, dans ce sacrifice, on voit qu'il a amené un effet de farine.
C'est peut-être 36 ou 40 litres.
Donc, il avait préparé beaucoup.
Et puis, il donne tout cela à l'ange.
Comme on va voir plus tard, comme un sacrifice, un repas.
Le froment était préparé dans le pressoir.
Le pressoir, c'est une place qui nous parle de pression.
Où les raisins étaient pressés.
C'était donc une place anormale pour préparer le froment.
Le pressoir nous fait penser aussi aux souffrances de Christ.
Pour jouir dans les jours difficiles, il faut d'abord connaître les souffrances de Christ.
Et puis, le froment nous parle de Christ, comme on le voit dans Jean 12.
Vous connaissez peut-être ce verset-là.
C'est un verset bien connu.
Où le Seigneur Jésus se compare avec le grain de blé.
En vérité, je vous dis, verset 24,
Ici, nous voyons le Seigneur Jésus comme le vrai froment, qui va produire du fruit.
Et ainsi, dans les exercices de Gideon, qui a pris ce froment, c'est un des fruits du pays.
Dans Deuteronomy, vous pouvez voir toute une liste des fruits du pays.
L'orge, le blé, les raisins, toutes sortes de fruits.
Ici, le froment, qui était donc un des meilleurs fruits du pays, est mis en sûreté par Gideon.
Ce que je veux suggérer ici, les circonstances sont limitées.
C'est dans le pressoir, il n'y a pas beaucoup de place, mais quand même, il le fait.
Peut-être la peur de l'ennemi, peut-être qu'on pourrait lui faire des reproches,
mais quand même, on voit sa fidélité.
Il a apprécié le fruit du pays, pour se nourrir lui-même, mais aussi pour prendre soin de sa famille, sans doute.
Mais plus tard, on voit qu'il donne tout à l'éternel.
L'ange de l'éternel lui apparut, verset 12, il lui dit,
L'éternel a vu ces exercices, il a vu comment il était occupé pour sauvegarder le fruit du pays.
Il dit, l'éternel est avec toi.
Quelle promesse, si le Seigneur nous donne cette assurance qu'il est avec nous.
Ça nous rend joyeux, ça nous donne la force nécessaire maintenant.
Je pense aussi à David.
David était un jeune homme, personne ne le connaissait, mais Dieu avait vu ce qu'il y avait dans son cœur.
Comment il avait à cœur les intérêts du peuple de Dieu.
Un peu plus tard, on va voir comment Gideon avait à cœur les intérêts de Dieu et du peuple de Dieu.
C'est pour ça que l'éternel a dit, l'éternel est avec toi.
L'éternel peut s'identifier à lui.
Est-ce que Dieu, est-ce que le Seigneur peut s'identifier avec nous dans nos exercices?
Est-ce que nous sommes vraiment intéressés dans les choses de Dieu?
Ici, on voit Gideon qui se prépare comme ce vrai antipasse.
C'est tout encore dans le secret, mais Dieu a vu cette attitude, un veillant homme.
En lui-même, il n'était rien, il était faible, il était le plus petit, et tout cela.
Mais c'est là où Dieu peut se servir de nous.
Verset 13, Gideon lui dit, à mon Seigneur.
Donc, si l'éternel est avec nous, pourquoi donc toutes ces choses nous sont-elles arrivées?
On voit ici que Gideon ne s'occupe pas de lui-même, il parle tout de suite du peuple de Dieu.
C'est un beau trait ici.
Il s'identifie donc immédiatement au peuple de Dieu, avec les intérêts du peuple de Dieu.
Je pense à Daniel. Dans Daniel 9, il n'était pas coupable de l'état du peuple,
mais il s'identifie avec ce peuple de Dieu, avec les intérêts de Dieu dans le peuple de Dieu.
Et puis là, verset 14, c'est très beau de voir ça.
L'éternel le regarda.
C'est tellement touchant de voir ça.
Dieu connaît nos cœurs, il voit si nous sommes exercés, comme Gideon.
Il voit si nous avons un intérêt dans le peuple de Dieu, le vrai peuple de Dieu.
Il voit si nous sommes humiliés.
Il le regarda.
C'est une expression très belle.
Ça nous souligne de nouveau l'intérêt que Dieu a dans son peuple.
S'il voit une âme exercée, il lui dit, va avec cette force que tu as.
Mais on dirait, il n'a pas de force.
Mais c'est exactement cette force-là, cet exercice qu'il a, cet intérêt qu'il a.
Dieu peut se servir de ça.
Et Dieu va le préparer pour devenir un vase plus tard, pour attaquer ses ennemis innombrables plus tard.
On ne croyait pas ça, qu'un seul homme avec ses trois seins, comme on va voir plus tard,
serait capable d'attaquer un tel ennemi.
Mais c'est Dieu qui prépare son outil.
C'est Dieu qui prépare son instrument.
Il dit, va avec cette force que tu as.
C'est là où il n'avait rien.
Pense à Paul dans 1 Corinthiens 2.
Paul était là, en toute faiblesse.
On peut lire ce verset dans 1 Corinthiens 2 au début.
Mais c'est là où Dieu a travaillé.
Un peu aussi comme j'ai dit dans 2 Corinthiens 12.
Dans l'infirmité, dans la faiblesse, la puissance de l'ennemi, la puissance de Dieu se manifeste.
Et tu sauveras Israël.
Vous voyez, le livre des juges nous parle des sauveurs.
Et c'est là, de nouveau, qu'on voit quelque chose du Seigneur Jésus.
Le Seigneur veut introduire quelque chose de lui-même.
Là où nous avons manqué, c'est là une occasion pour Dieu pour se manifester,
montrer ce qui est dans son cœur.
Et aussi dans Isaïe 63, ce verset-là,
Il est devenu leur sauveur.
Donc, le vainqueur, comme Gédéon, va représenter quelque chose de Christ.
Et puis, Christ est le vrai sauveur.
Il veut se servir de Gédéon pour être un sauveur.
Et ainsi, Dieu veut nous préparer pour avoir une influence bénifique pour le peuple de Dieu.
Dans ce sens-là, pour les sauver.
Sauver de l'influence de l'ennemi.
Quelle expression?
Ne t'ai-je pas envoyé.
Dieu s'est assis là pour voir ce qui se passe.
Il prend son temps.
Il voit Gédéon.
Il nous voit aussi.
Et puis, à un moment donné, il dit, je t'envoie.
J'ai pensé aux disciples qui étaient dans la présence du Seigneur Jésus pendant trois ans de temps pour être formés.
Et puis, à un moment donné, il les a envoyés.
Ne t'ai-je pas envoyé.
Mais c'est qui ça?
Est-ce que c'est l'ange?
C'est Dieu lui-même.
C'est l'éternel.
Je t'ai envoyé.
J'ai pensé à Isaïe 6 aussi.
On voit qu'Isaïe répond à cette question.
Envoie-moi.
Il était prêt.
Et aussi, Gédéon maintenant, je pense, était prêt.
Mais il voulait être sûr.
Il était prêt.
Dieu avait vu ça.
Il était préparé à l'école de Dieu.
Un homme exercé, prêt pour être utilisé dans la main de Dieu.
Il lui dit, oh Seigneur.
Il avait encore une question.
Avec quoi sauverais-je Israël?
Ce n'est pas une excuse ici.
Comme dans l'histoire de Moïse.
On voit que Moïse avait des excuses pour ne pas être envoyé.
Mais ici, Gédéon est prêt.
Mais il a encore besoin d'instructions.
Puis, il sera envoyé.
On va voir ça cet après-midi.
Dieu voulant, d'abord dans sa maison.
Puis dans sa tribu.
Et puis dans le pays.
Le cercle de son service va s'élargir.
Il sera envoyé.
Mais avec quoi?
Puis là, il réalise donc de nouveau.
En lui-même, il n'est rien.
Voici, mon millier est le plus pauvre à menacer.
Et je pense, dans la mesure où nous réalisons notre faiblesse.
Notre petitesse.
Dans cette mesure-là, Dieu peut se servir de nous.
Le plus grand apôtre, Paul, était le plus petit dans ses propres yeux.
Le moindre des saints et le moindre des apôtres.
Le moindre des saints.
Il faisait trois ou moins.
Puis dans cette petitesse, on est prêt pour être un instrument de Dieu.
David aussi, il était le plus petit.
Il était l'instrument dans la main de Dieu.
C'était en menacer.
Ça, c'est remarquable.
Ce n'était pas en Ephraim.
Ephraim était une tribu très fière.
On va voir ça dans Juge, vite plus tard.
Et Dieu se cherche donc un instrument de menacer.
Qui était la tribu moins honorée.
Moins élevée dans les yeux de l'homme.
On va voir ça aussi dans le deuxième taureau, cet après-midi.
Ce principe-là que Dieu choisit celui qui est le moindre dans les yeux de l'homme.
Mais verset 16, c'est la réponse.
L'Éternel lui dit, moi je serai avec toi.
Donc, il répète ce qu'il avait dit dans le verset 12.
L'Éternel est avec toi.
Il dit ici, moi je serai avec toi.
C'est beau, on a besoin de ces deux promesses.
D'abord, réaliser la présence de Dieu avec nous.
Mais aussi, avoir la garantie, la promesse qu'il sera avec nous.
Lorsque le combat va avoir lieu, il sera avec nous.
Ainsi, Dieu avait promis aussi sa présence à Moïse et d'autres hommes de Dieu.
Et puis c'est au fond, Dieu lui-même qui va élever la bannière.
C'est Dieu qui travaille à travers ses instruments faibles.
Et on a vu aussi dans les chapitres précédents comment ça plaît Dieu.
Dieu prend un plaisir, pour ainsi dire, à se choisir des instruments faibles pour opposer l'ennemi.
C'est un principe qu'on trouve dans 1 Chrétien 1, que Dieu a choisi ce qui est faible,
les choses faibles du monde, pour mettre en honte les choses élevées, les choses plus fortes de ce monde.
Ainsi, Dieu confond la sagesse de ce monde par les instruments qu'il s'est choisis.
Verset 17, il lui dit, je te prie, si j'ai trouvé grâce à tes yeux, donne-moi un signe.
Ce n'était pas un manque de foi.
Zédillon voulait être sûr.
Il était un homme très prudent.
Un homme faible, comme nous l'avons vu, avec beaucoup de peur.
Mais ce n'est pas ici une question d'incrédulité.
Il voulait être sûr.
Et puis, il n'était pas encore 100% sûr que c'était vraiment Dieu qui parlait avec lui.
Mais il ajoute ici, et c'est très beau de voir, donne-moi un signe que c'est toi qui parles avec moi.
Moi, j'ai été frappé de voir ça, parce que c'est vraiment un nom de Dieu.
Celui qui parle, c'est toi.
On voit une expression semblable dans le psaume 102.
Le même, c'est celui-là.
C'est un nom de Dieu.
Et puis, dans la proximité, dans la communion avec cette personne, il s'exprime ainsi.
D'un côté, il n'est pas 100% sûr, mais là, il dit, donne-moi un signe que c'est toi.
Ainsi, il parle à Dieu.
Dieu se manifeste à Zédillon.
On le voit plus tard.
Verset 18, ne te retire pas d'ici, je te prie, jusqu'à ce que je vienne à toi.
Donc, de notre côté, on peut dire, il voulait le connaître mieux.
C'est un peu l'exercice de Paul dans Philippiens 3.
Il voulait connaître Christ davantage.
Il voulait faire toutes sortes d'expériences pour connaître Christ davantage.
Ainsi, Zédillon, il veut être sûr.
Pas seulement sûr, mais il veut connaître davantage cette personne qui lui parle.
Et on a besoin de ça pour le connaître mieux, pour être un adorateur.
Parce que le grand principe avec lequel on va terminer maintenant, c'est le principe d'adoration.
Avant d'être un serviteur, avant d'être capable, d'être utile au peuple de Dieu, il faut être un adorateur.
Il y a beaucoup de personnes qui pensent qu'ils veulent servir Dieu.
Ils veulent faire toutes sortes de choses.
Ils veulent aller en Chine ou en Alaska pour servir Dieu, pour que leur conscience soit mise à l'aise dans la présence de Dieu.
Mais ce n'est pas la façon de Dieu.
Vous voyez, Dieu donne la paix.
D'abord, on va voir ça dans le chapitre 6, verset 24, l'autel Jehovah Shalom.
Shalom veut dire paix, mais aussi perfection.
Tout est en ordre là, dans la relation entre Zédillon et Dieu.
Mais c'est basé sur le sacrifice.
Et c'est là qu'on voit maintenant une image de ce sacrifice.
Sans le sacrifice de Christ, on ne peut pas avoir la paix avec Dieu.
Sans le sacrifice de Christ, on ne peut pas jouir de cette relation avec Dieu.
Et on ne peut pas être un serviteur non plus.
Il faut être un adorateur d'abord.
Et on voit donc que Zédillon va donner tout maintenant à l'ange.
Toute cette nourriture qu'il avait préparée, le nefa, c'était une bonne quantité.
Il donne tout à l'ange, comme un repas d'abord.
Et puis on voit plusieurs éléments, on ne peut pas élaborer là-dessus, mais je voulais juste toucher là-dessus, verset 19.
Zédillon entra et apprêta un chevraud.
Au lieu d'être occupé du mal, de l'idolâtrie, il a occupé ici d'un chevraud.
Le chevraud était utilisé comme sacrifice pour l'Holocauste ou pour le péché.
Et ainsi il faut que nous soyons occupés de Christ comme le vrai sacrifice.
Et ça va nous garder contre l'influence de l'idolâtrie.
On voit ici que Zédillon était séparé du mal, de l'idolâtrie, comme les autres étaient sous l'influence de l'idolâtrie.
Et puis l'être pinçé en levain nous parle aussi de cette séparation pratique.
Ce n'est pas seulement le fait qu'il est occupé, en type ici, de Christ, mais lui-même était comme un pinçé en levain.
Il était séparé du mal.
Et ainsi Dieu veut aussi que nous offrions des sacrifices qui sont agréables devant Dieu.
Mais ces sacrifices sont seulement agréables devant lui si notre marche pratique est en accord avec ces sacrifices.
On va voir ça aussi dans l'Holocauste plus tard.
L'Holocauste nous parle de Christ dans ses perfections pour Dieu.
Mais Dieu veut maintenant que nous marchions comme des holocaustes, pour ainsi dire, qui sont pleinement pour Dieu.
Donc ici on voit des éléments du sacrifice de Christ.
Dans sa vie, le pinçé en levain.
Dans sa mort, à la croix, le chevreau.
Le pinçé en levain s'est lié à cette effa de farine.
Donc une plénitude.
Une effa, c'est une plénitude appelée trois mesures dans d'autres passages de l'Ancien Testament.
Mais ici une effa, c'est une plénitude qu'on voit en Christ comme un sacrifice de gâteau.
Et puis il a mis la chair dans un panier et le bouillon dans un pot.
On voit quand même de la faiblesse.
Ce n'est pas un sacrifice comme on le trouve vraiment dans le livre de Lévitique.
Avec toutes les perfections selon les pensées de Dieu.
Il y a des manques.
Mais Dieu voit ce qui se passe dans le cœur de Jédéon.
Et c'est acceptable devant Dieu.
Jédéon n'est pas à la hauteur d'Abraham lorsqu'Abraham a pris une effa de farine fine dans Genèse 18.
Abraham était plus proche de Dieu.
Mais ici c'est un jeune homme.
On ne peut pas s'attendre que tout soit en perfection au début de notre marche chrétienne.
Mais ce qui est beau de voir que Jédéon est prêt pour offrir tout cela à Dieu.
Puisqu'il y a des jeunes enfants ici qui dans leur cœur veulent donner quelque chose au Seigneur.
C'est agréable devant Dieu.
Malgré nos faiblesses, nos manques, il connaît nos cœurs.
Et puis il va accepter cela.
Comme on le voit ici.
L'ange change maintenant ce repas.
C'est comme un repas que Jédéon offre à l'ange.
Puis l'ange touche ce repas et lui donne le caractère d'un sacrifice.
Verset 20, l'ange de Dieu lui dit, prends la chair.
La chair nous parle donc du sacrifice de prospérité aussi.
C'est le repas et le sacrifice de prospérité a toujours le caractère de communion.
Communion avec Dieu, communion avec les membres du peuple de Dieu.
On voit cela dans l'Évité 3 et 7.
Là on a plus de détails là-dessus.
Le pain sans le vin qui nous parle donc de ce sacrifice de gâteau.
Et pose-le sur le rocher là.
De nouveau une place qui nous parle de Christ.
On a vu le pressoir, ça parle des souffrances de Christ.
Le térébinte, le bois, mais aussi le rocher.
C'est une place qui nous parle de Christ.
Exode 33, déjà on voit le rocher.
D'autres passages, exode 17, le rocher.
Donc là, dans la présence de Dieu, ce sacrifice est déposé.
Et puis verset 21, l'ange de l'éternel étendit le bout du bâton.
C'est ici un signe de sa puissance.
Et quelque chose de merveilleux, ici dans la présence d'un seul homme, Géléon,
l'ange va sortir du feu du ciel.
Ce qui s'était passé lorsque le peuple,
tout le peuple ensemble dans l'Évité 9 avait offert un sacrifice
sous la direction de Moïse, d'Aaron,
tout était là, tout était en perfection.
Et puis le feu est tombé du ciel pour consommer le sacrifice.
Ici, dans l'extrême faiblesse, un seul homme dans le secret,
Dieu fait la même chose.
Puis cela nous confirme que dans les jours les plus difficiles,
les jours de la ruine,
on voit que toutes les ressources de Dieu sont là,
et que même la présence de Dieu est là,
et qu'il accepte maintenant ce sacrifice.
Quelle chose merveilleuse.
Et quel encouragement pour nous aussi
que Dieu veut nous former pour être des adorateurs,
pour être dans sa présence.
Il consuma la chair,
c'est aussi un élément qu'on trouve dans l'Holocauste,
qui était entièrement pour Dieu.
Ici, on peut dire que Gédon est prêt,
il est entièrement pour Dieu,
il donne tout, aucune réserve,
et l'ange de l'éternel s'en alla de devant ses yeux.
On dirait, mais c'est dommage, il est parti maintenant.
J'ai pensé à Luc 24,
vous voyez ces deux disciples d'Emmaüs,
peut-être un couple, on ne sait pas.
Gédon était avec eux, il s'est fait reconnaître,
et puis, il était parti.
Mais il est devenu invisible,
mais il est resté dans leur cœur.
Et ainsi, le Seigneur Jésus est invisible,
mais il reste avec nous, il est dans nos cœurs.
Et c'est là la meilleure préparation pour le service.
Gédon est devenu un adorateur ici.
Et Dieu a accepté son sacrifice.
Donc peut-être on peut continuer cet après-midi
avec cette pensée-là, parce que l'heure est finie.
Je voulais revenir à cet hôtel que Gédon a bâti
en rapport avec ce sacrifice.
C'est le premier hôtel.
Puis après ça, on va voir un deuxième hôtel.
Mais s'il y a encore des questions,
j'aimerais en parler maintenant.
J'aurais dû, au début, que tout le monde devrait écrire
ses questions ou garder en mémoire,
parce que c'est profitable.
Si on a des questions, c'est toujours encourageant,
pour vous et pour moi aussi. …
Automatic transcript:
…
Juge, chapitre 6, verset 22.
Et Jédéon vit que c'était un ange de l'Éternel, et Jédéon dit à Seigneur Éternel,
si c'est pour cela que j'ai vu l'ange de l'Éternel face à face, et l'Éternel lui dit,
paix te soit, ne crains point, tu ne mourras pas.
Jédéon bâtit là un hôtel à l'Éternel, et l'appelait Jérouba du Chalon.
Jusqu'à ce jour, il est encore à Ofra des Abiezrites.
Il arriva en cette nuit-là, que l'Éternel lui dit,
prends le jeune taureau qui est à ton père, et le second taureau de cet âme,
peut-être on devrait dire, ça veut dire le second taureau de cet âme,
et tu renverseras l'hôtel de Baal qui est à ton père, et tu couperas la chair qui est auprès,
et tu bâtiras un hôtel à l'Éternel, ton Dieu, sur le sommet de ce lieu fort, avec l'arrangement convenable,
et tu prendras le second taureau, et tu l'offriras en homocauste sur le bois de la chair que tu auras coupée.
Et Jédéon prit dix hommes d'entre ses serviteurs, et fit comme l'Éternel lui avait dit,
et quand, à l'effet de jour, il craignait la maison de son père et les hommes de la ville, il le fit de nuit.
Et quand les hommes de la ville se levèrent de bonne heure le matin, voici, l'hôtel de Baal était démoli,
et la chair qui était auprès était coupée, et le second taureau était offert sur l'hôtel qui avait été bâti.
Ils se dirent l'un à l'autre, qui a fait cela ?
Ils s'inquirent, et cherchèrent, et dirent, Jédéon, fils de Joas, a fait cela.
Et les hommes de la ville dirent à Joas, Fais sortir ton fils, et qu'il meure,
car il a démoli l'hôtel de Baal, et a coupé la chair qui était auprès.
Joas dit à tous ceux qui se tenaient près de lui, Est-ce vous qui plaiderez pour Baal ?
Est-ce vous qui le sauverez, celui qui plaide pour lui, qu'il soit mis à mort d'ici au matin ?
S'il est Dieu, qu'il plaide pour lui-même, car on a démoli son hôtel.
Et en ce jour, on appelait Jédéon Jérubaël, Jérub-Baal, en disant que Baal plaide contre lui, car il a démoli son hôtel.
Et tous Madian, et Amalek, et les fils de Laurien se réunirent ensemble,
et passèrent le Jourdain, et campèrent dans la vallée d'Israël.
Et l'esprit d'un éternel revint-il Jédéon.
Il sonna de la trompette, et les abysserites furent assemblés à sa suite.
Il envoya des messagers par tous Manassé, et eux aussi furent assemblés à sa suite.
Il envoya des messagers à Hazer, et à Zabulon, et à Neftali, et ils montèrent à leur rencontre.
Et Jédéon dit à Dieu, si tu veux sauver Israël par ma main, comme tu l'as dit, voici, je mets une toissante de laine dans l'air.
Si la rosée est sur la toissante seule, et que la sécheresse soit sur toute la terre,
alors je connaîtrai que tu sauveras Israël par ma main, comme tu l'as dit.
Et il arriva ainsi.
Il se leva de bonheur le lendemain, et il pressa la toissante, et exprima la rosée de la toissante, pleine d'une coupe d'eau.
Et Jédéon dit à Dieu, que ta colère ne s'embrase pas contre moi, et je parlerai seulement cette fois, encore une seule fois, je te prie.
Je ferai un essai avec la toissante.
Je te prie qu'il n'y ait de la sécheresse que sur la toissante, et que sur toute la terre il y ait de la rosée.
Et Dieu fit ainsi cette nuit-là.
Et la sécheresse fut sur la toissante seule, et sur toute la terre il y eut de la rosée.
Jusqu'ici la lecture de la parole.
Voilà pour continuer maintenant l'histoire de Jédéon.
On est arrivé à un moment très important dans sa vie, où il est devenu un adorateur.
Donc, au milieu d'un peuple plein d'idolâtries maintenant, attaqués par l'ennemi, dans la discipline de Dieu, dans la voie de Dieu, qui a permis ça, qui les a renvoyés.
Il y a donc un homme qui est tout près de Dieu, qui respecte les pensées de Dieu, qui apprécie les pensées de Dieu dans son cœur.
On a vu ses exercices aussi en rapport avec le peuple de Dieu.
Et maintenant, dans le verset 22, lorsque l'ange est parti, il a peur, parce que selon les pensées de ceux dans l'Ancien Testament, ce n'était pas permis de voir Dieu.
Autrement, si quelqu'un voyait Dieu, ça voulait dire sa mort.
Et puis, l'ange dit ici, « Paix te soit », le verset 23.
« Paix te soit ».
Et ça, c'est donc un moment très important dans la vie de Gideon.
Entouré de tous ses ennemis, il connaît la paix.
Et l'ange lui donne la paix.
Il s'adresse à lui en disant « Paix te soit ».
Et puis, ça, c'est donc un moment très important pour nous personnellement, que cette paix soit basée sur le sacrifice.
On a vu donc le sacrifice dans ce repas, qui est devenu un sacrifice par l'action de l'ange.
Et puis, c'est sur la base du sacrifice que nous pouvons avoir de la paix.
Et ce n'est pas seulement la paix pour nous, mais je pense, dans le verset 24, ça va encore un peu plus loin.
Jérôme, l'éternel, avec lequel il était en relation maintenant, c'est lui qui était paix.
Il le connaissait comme tel.
Ça veut dire qu'il connaissait Dieu comme étant paix.
Puis, cela me fait penser à deux passages dans le Nouveau Testament, ou trois plutôt.
La première passage, c'est Jean 20.
Lorsque le Seigneur Jésus est sorti du tombeau, il a dit le même jour aux disciples « Paix vous soit ».
On ne peut pas avoir la paix sans la mort et la résurrection du Seigneur Jésus.
La deuxième chose, et ça va plus loin, dans Éphésiens 2, il dit que le Seigneur Jésus est notre paix.
Il est venu et puis il a fait la paix.
Ça, c'est l'heure de la croix.
Il a annoncé la paix, mais il est aussi lui-même la paix.
Donc, on a les trois pensées.
Il est la base de toute paix, son sacrifice.
Il annonce la paix.
Ça, c'est paix te soit.
Et puis, il est paix.
Jéhovah shalom.
On peut penser aussi à Philippiens 4, où dans le verset 7, Paul parle de ses expériences.
Il dit que la paix de Dieu règne dans vos cœurs.
Ça, c'est donc un rapport avec nos circonstances.
On peut avoir des circonstances très douloureuses, très difficiles, comme aussi dans ces jours-là.
Et dans ces circonstances que cette paix nous caractérise, que cette paix règne dans nos cœurs.
Mais le verset 9, dans Philippiens 4, va encore un peu plus loin que le Dieu de paix.
Donc, Dieu veut avoir une relation avec nous, et que nous puissions apprécier davantage ce Dieu de paix.
Ce n'est pas dit le Dieu de joie, mais le Dieu de paix.
Et ainsi aussi, dans le rassemblement local, on a pensé dans notre prière au rassemblement local,
c'est Dieu qui veut donner cette paix, mais il est aussi le Dieu de paix.
Un chrétien 14 nous dit qu'il est le Dieu de paix.
Il n'est pas le Dieu d'ordre, il veut l'ordre, mais il est le Dieu de paix.
C'est très intéressant d'étudier les versets d'un Nouveau Testament qui parle du fait que c'est le Dieu de paix.
Et je pense aussi à ce que le Seigneur Jésus a dit dans Jean 13, 14 et 15 et 16, en rapport avec cette paix.
Il partage tout avec nous, comme nous avons vu.
Maintenant, pour saisir ce moment important dans la vie de Gideon, il bâtit là un hôtel.
C'est encore un pas plus loin.
Si on étudie les sacrifices, on voit dans Genèse 4 un sacrifice donné par Abel.
Le sacrifice de Cana a été rejeté.
Mais on ne lit rien, on ne lit pas du tout de l'hôtel, aucun détail de l'hôtel.
Dans Genèse 8, pour la première fois, l'hôtel est mentionné.
L'hôtel fait référence aux droits de Dieu.
Là, on respecte les droits de Dieu.
Il bâtit là un hôtel à l'éternel.
Il a une communion personnelle, une relation personnelle avec Dieu, comme nous avons vu.
Il reconnaît les droits de Dieu.
Il a aussi l'accès maintenant, il a libre accès.
Il y a ce fondement de paix.
Gideon a donc un libre accès.
C'est donc très personnel ici.
C'est le premier hôtel qu'il bâtit.
C'est un rapport avec ses relations personnelles avec Dieu.
Ces deux sujets étaient très intéressants à étudier, à part ce que j'ai dit déjà sur le Dieu de paix.
C'est le nom composé ici, Jéhovah Shalom.
Il y a d'autres noms de Jéhovah, Jéhovah Nissi, Jéhovah Notre-Justice.
Ces noms composés, il y en a sept, c'est intéressant à étudier.
Mais la deuxième chose aussi, étudier les fois où les croyants ont bâti ou restauré un hôtel.
C'est un moment très important dans nos vies personnelles et aussi comme foyer, comme rassemblement.
Ici, c'est encore un rapport avec les préparations de la vie personnelle de Gideon.
Qu'il arrive à ce moment-là pour construire un hôtel.
On pense à Abraham, les quatre fois où il a bâti un hôtel.
C'était une expérience qu'il avait avec Dieu.
Et puis cette expérience culminait dans ce fait qu'il a bâti un hôtel.
Donc c'est un point culminant qu'il a atteint ici.
Et pour nous, c'est très important et aussi très précieux pour Dieu
si nous arrivons dans l'histoire de nos âmes à un tel moment définitif
où il y a cette relation connue et jouée de la communion avec Dieu
et où cette adoration est une réalité.
C'est l'hôtel qui nous parle de l'adoration, qui nous parle de la communion,
qui nous parle de ce libre accès à Dieu.
Et puis ce n'était pas seulement quelque chose pour un jour.
Aujourd'hui, on parle des expériences.
Mais ce sont des expériences qui, pour un moment, passent tout de suite.
Les gens qui ont des expériences par les drogues, par exemple,
c'est très réel, mais le lendemain, c'est parti.
Ici, c'est quelque chose qui a caractérisé Gédéon.
Puis la pensée à la fin du verset 24, je pense, c'est pour souligner
l'importance de cette relation soit une réalité pour toujours,
pas seulement, comme on dit en anglais, just have a high,
avoir un moment très élevé, très bon, puis le lendemain, tout est parti.
Il faut que ça reste.
Et puis de là, comme je l'ai dit ce matin, on voit donc qu'il est prêt pour le service.
Et puis ce service, c'est d'abord dans le cercle séparant de son foyer.
On a vu donc que l'ange avait dit, va avec cette force que tu as et tu sauveras Israël.
Ne t'ai-je pas envoyé? Et où est-ce qu'il l'envoie maintenant?
Il l'envoie d'abord dans le cercle de ceux qui sont prêts.
Et puis c'est très dur pour nous d'être un témoignage là où Dieu nous a placés.
C'est très dur à l'ouvrage ou dans notre foyer ou envers nos parrains
ou envers nos enfants ou ceux qui sont proches d'être un vrai témoin.
Et c'est ça qu'on trouve maintenant.
Donc d'abord, les relations intimes, secrètes avec Dieu,
toutes ces leçons qu'il a apprises, il est devenu un adorateur.
Donc ça c'est un moment, c'est comme l'apogée d'un développement.
Et maintenant, tout de suite, lié à ça, dans le verset 25, il y a maintenant cet ordre qu'il reçoit.
Vous voyez, Dieu ne veut pas seulement que nous soyons des adorateurs, mais il apprécie ça beaucoup.
Mais ensemble avec ce privilège d'être des adorateurs, il y a une responsabilité.
C'est toujours le cas, si Dieu nous donne un privilège, il nous donne aussi une responsabilité.
Et on voit donc la responsabilité dans le verset 25.
Il arriva en cette nuit-là, donc la même nuit que l'éternel lui dit,
prends le jeune taureau qui est à ton père.
Donc il va maintenant avoir un deuxième hôtel, et ensemble avec ça, ce sacrifice du taureau.
Ce sera un témoignage.
Ce n'est pas seulement la pensée de l'adoration, de la base du sacrifice.
Dieu veut avoir une base pour avoir des relations avec son peuple.
Puis il restaure maintenant cette base pour avoir des relations avec tout le peuple.
On a vu les relations que Dieu avait avec un homme individuellement,
mais Dieu veut maintenant établir une base pour qu'il puisse avoir des relations avec tout le peuple.
Parce que cette base était méprisée, avait été mise de côté,
le peuple ne respectait plus l'importance ou la valeur du sacrifice.
Donc Dieu envoie Gédéon maintenant dans sa famille, dans la maison de son père,
pour être un témoin là, mais aussi pour rétablir les pensées de Dieu.
Prend le jeune taureau.
Le taureau c'est donc une pensée plus élevée que le chevaud.
Il est plein sang levain qu'on a vu ce matin.
Le taureau c'est l'animal qui nous parle de l'excellence du sacrifice du Seigneur Jésus.
Ici comme holocauste, on voit aussi des taureaux comme sacrifice pour le péché.
Mais le taureau c'était l'animal le plus grand, et aussi sa maturité est mentionnée ici.
C'était le taureau de sept ans.
Puis ça c'est aussi un aspect à considérer.
Le peuple était opprimé pendant sept ans de temps, chapitre 6, verset 1.
Mais pendant ces temps-là, Dieu avait en réserve un taureau.
Je veux dire, on peut avoir un déclin, on peut vivre dans un temps de ruines,
mais Dieu a des ressources disponibles.
Dieu avait réservé ce taureau pour lui-même.
Donc malgré les déclins, ce taureau était là pour Dieu.
La question des sept ans parle donc d'une certaine maturité.
Un autre aspect, c'est le second taureau.
Le second taureau peut-être suggère aussi le fait que Dieu introduit quelque chose d'un nouvel ordre.
Vous voyez, le peuple était ici sous l'influence du premier homme.
Les madyanites et toutes ces attaques-là, ça représente ce qu'il y a dans le premier homme.
Et Dieu a mis tout cela de côté.
Dieu introduit quelque chose d'un nouvel ordre.
Et le second taureau parlait maintenant de Christ qui représente ce nouvel ordre de choses.
Ça c'est important à saisir.
Il dit dans beaucoup de détails que Dieu introduit quelque chose de Christ.
Ici on voit donc comment Dieu introduit quelque chose de Christ qui représente un nouvel ordre.
On le voit aussi dans Hébreu, il met le premier de côté,
donc le premier ordre il met de côté pour introduire le second.
Et dans 1 Chrétien 15, d'abord on a les choses naturelles,
de l'homme animal et puis de l'homme spirituel.
C'est un principe dans les voies de Dieu.
C'est pour ça aussi qu'il a choisi le plus petit.
Il n'a pas choisi l'aîné dans la maison.
C'est un peu comme David, le huitième, le représentant d'un nouvel ordre qui est accepté, choisi par Dieu.
Donc ce taureau va devenir la base des relations entre Dieu et le peuple.
Cette base avait été rejetée par le peuple.
Dieu réintroduit cette base importante représentant un nouvel ordre de choses.
Et tu renverseras l'autel de Baal.
Dieu est un Dieu jaloux, il ne peut jamais accepter un mélange de ces deux principes.
Il ne peut pas accepter un mélange des principes de Baal et de ce nouvel ordre de choses.
Baal veut dire maître.
On l'a vu dans chapitre 2 déjà, comment Satan prend la place de Dieu.
Dieu a tous les droits, il est le vrai seigneur, il est le vrai Baal.
Mais Satan remplace Dieu.
Si vous voulez lire un traité là-dessus dans les études sur la parole du frère Darby, dans 1 Thessaloniciens 1,
il y a vraiment un très bel exposé sur la question de l'idolâtrie, ce que ça veut dire vraiment.
Comment Satan remplace Dieu dans nos affections, dans nos coeurs.
Et on a vu ça dans juge 2, comment il a pris la place aussi dans nos affections, parce que Baal veut dire Marie aussi.
Et ainsi Satan prend la place d'autorité de Dieu, il prend la place dans les affections.
Et puis on a vu aussi ce deuxième élément, Astaroth ou Astarth, ou les Asherah, ensemble avec ça,
ça parle de l'élément féminin qui est introduit ensemble avec ça.
Ces deux principes on retrouve aussi dans le Nouvel Âge aujourd'hui, qui représente l'élément masculin,
et de l'autre côté ce qui représente l'élément féminin.
Et ces deux choses sont horribles devant Dieu parce que ça remplace les pensées de Dieu.
Dans le panthéisme, ou ici dans ces religions de ce temps-là, c'était quelque chose que l'ennemi avait inventé pour remplacer Dieu,
l'autorité de Dieu, l'amour pour Dieu, et pour introduire les choses qui ont corrompu le peuple de Dieu.
Aussi dans les relations sexuelles, la prostitution, tout cela, en même temps, comme on le voit aujourd'hui.
Donc on voit dans le taureau aussi l'énergie, ça c'est un autre aspect.
J'ai parlé de la maturité, Dieu a élevé dans ce temps-là Gideon pour devenir un serviteur mature, équilibré.
Et on voit aussi que le Seigneur Jésus, vu comme le jeune taureau, donne l'énergie.
Gideon n'avait pas d'énergie en lui-même, mais le Seigneur va donner l'énergie.
Donc on voit beaucoup ici dans ce taureau qui nous parle de Christ.
Et Dieu veut introduire ces choses de nouveau au milieu de son peuple.
Mais il faut renverser l'autel de base.
J'ai pensé à l'exercice de Jacob aussi.
Lorsque Jacob est rentré à Bethel, il fallait d'abord qu'il ôte toutes les influences de ses idoles.
Ou même changer les vêtements.
Tout cela qui parlait de l'influence des idoles devrait être ôté.
C'est ici la même chose.
« Qui était ton père ? » verset 25.
Ça nous montre que le père avait manqué.
Et c'est toujours la génération, on a vu ça dans Jésus 2 aussi,
la génération qui est plus âgée, qui a la responsabilité, qui manque.
Cela va affecter la prochaine génération.
Mais plus tard, on voit que Gideon a donc une bonne influence dans cette maison de son père.
Une autre chose à ajouter ici, Dieu nous envoie dans le cercle intime où nous sommes connus.
On a vu dans Madien et les autres une attaque pour utiliser ces choses-là,
les relations de famille, pour ôter les choses de Dieu.
Mais Dieu veut exactement là, dans ces relations, que les choses de Dieu soient respectées et connues.
Je pense à l'homme qui était guéri dans Marc 5, démoniaque, qui était guéri.
Le Seigneur Jésus l'a renvoyé dans sa maison.
Et dans le cercle où il était connu.
Dans Luc 4 aussi, on voit le Seigneur.
La première place où il a parlé publiquement, c'était là, à Nazareth, en Luc 4.
Donc c'est là où le ministère commence.
Dans Acte 1 aussi, lorsque les disciples étaient envoyés par le Seigneur,
avec cette commission pour évangéliser, il fallait qu'ils commencent à Jérusalem.
C'est comme un cercle, une pierre qu'on jette à l'eau.
Le cercle vient d'abord de la vie personnelle, puis la vie de famille,
puis les parents, puis le rassemblement local, la tribu ici,
puis d'autres tribus ensemble.
L'influence des Gédions va grandir par la grâce de Dieu.
Verset 25 dit aussi, à la fin, tu couperas la chair.
Le mot « couper » est lié au nom de Gédéon.
Quelqu'un qui coupe, quelqu'un qui abat.
Il va donc abattre cette influence de l'ennemi.
Mise à terre, pour ainsi dire, le mettre à terre.
C'est négatif, il faut ôter cette influence, ôter la base même de tout ce ruisselard.
Et aussi ôter les arguments.
Parce que la chair, c'était peut-être, comme la note le dit,
autre place, les arbres ou les arbustes qui étaient placés autour.
C'était pour mettre cette place de côté, pour séparer,
pour indiquer que c'était une place spéciale d'adoration,
mais ici en rapport avec l'idée de la tri.
Mais il faut que tout soit ôté, pas seulement l'hôtel de Baha,
donc la place d'adoration officielle,
mais aussi tout ce qui était ensemble avec cela.
Et c'est pour ça que j'ai référé à l'expérience de Jacob.
Il n'a pas seulement jeté les idoles qui étaient dans sa famille,
mais il a aussi changé les vêtements,
donc tout ce service qui allait ensemble avec cette idolatrie.
C'est pour moi aussi très pratique pour se débarrasser,
pas seulement des choses principales, du mal,
mais de tout ce qui va ensemble avec ce système.
Verset 26, ce qui est introduit maintenant d'une façon positive,
tu bâtiras un hôtel à l'éternel.
De nouveau donc un hôtel à l'éternel,
mais ici ce n'est pas seulement dans sa relation personnelle,
c'est ici en rapport avec cette maison de son père,
ou ce village où il habitait.
Et puis en rapport avec l'homocauste.
Verset 26, sur le sommet de ce lieu fort,
donc c'était un lieu de témoignage vu par tout le monde,
et Dieu dit avec l'arrangement convenable.
Au lieu de ces choses, des hachères, des arbustes,
et tout cela en rapport avec le service de l'ennemi,
il y avait maintenant les choses convenables selon les pensées de Dieu.
On peut arranger le bois, tout cela,
mais tout devrait être en harmonie avec les pensées de Dieu.
Et ainsi donc le second taureau est introduit.
Tu prendras le second taureau et tu l'offriras en holocauste
sur le bois de la hachère que tu auras coupée.
Maintenant je veux dire quelque chose de l'holocauste.
Cela parle d'un côté de Christ qui nous a rendus agréables
dans les pensées de Dieu, dans les yeux de Dieu.
Mais l'holocauste c'est aussi la base pour notre marche ici-bas.
Dieu veut que nous soyons comme des holocaustes.
On le lit dans Éphésiens 5,
où on voit le Seigneur Jésus comme l'holocauste,
et aussi sous d'autres aspects dans Éphésiens 5,
verset 1,
« Soyez donc imitateurs de Dieu comme de bien-aimés enfants,
et marchez dans l'amour,
comme aussi le Christ nous a aimés,
et s'est livré lui-même pour nous,
comme offrandes et sacrifices à Dieu en parfum de bonne odeur. »
Là on voit un aspect de l'holocauste.
Mais Dieu veut que les mêmes caractéristiques,
les mêmes attributs de l'holocauste,
nous caractérisent.
Marcher dans l'amour,
comme aussi le Christ, c'est le standard,
nous a aimés, et s'est livré lui-même pour nous.
Donc en autres mots,
Dieu donne ses sacrifices
comme la base de ses relations avec son peuple,
mais aussi que ce soit le point de départ maintenant,
pour notre vie,
pour que cette même attitude qu'on trouve dans l'holocauste,
nous caractérise.
On voit le même principe dans Romain XII aussi,
que nous soyons des sacrifices vivants.
On ne peut pas imiter le sacrifice du Seigneur Jésus,
l'heure expiatoire, tout cela.
Ça c'est unique pour lui.
Mais Dieu veut que nous imitions son attitude,
sa façon de faire,
ses caractéristiques, ses attributs,
qu'on voit dans le Seigneur Jésus.
Et puis ça, c'est donc très précieux pour Dieu,
ce dévouement.
Et puis on a vu ça ce matin aussi,
Zélion avait donné tout à l'ange.
Et ici l'holocauste donne la même pensée,
mais c'est maintenant en rapport avec cette maison de père.
La base maintenant pour le témoignage.
Ça devient maintenant un témoignage,
parce que les hommes remarquent ça tout de suite.
Les autres choses étaient passées dans le secret,
mais cette chose-là est vue tout de suite.
Et puis c'est intéressant, dans le verset 27,
il prend avec lui 10 hommes.
Il y avait donc des hommes exercés, comme Zélion,
mais eux n'auraient jamais pris l'initiative.
Il fallait un autre exercé, comme Zélion, pour les prendre.
Mais c'est très beau de voir qu'il a trouvé ces 10 hommes.
Il connaissait ces gens-là.
Et puis ainsi, on doit connaître les croyants.
On doit connaître ceux qui appartiennent à Dieu.
Pas être isolé comme Élie,
qui pensait qu'il était le seul,
mais Dieu connaissait encore 7000 personnes
qui n'avaient pas plié leurs genoux pour Baal,
les jours d'Élie.
Et ainsi, Zélion a connu donc de tels hommes
qui avaient les mêmes intérêts que lui.
Puis c'est bon d'être ensemble avec ceux qui ont les mêmes intérêts
pour les choses de Dieu.
Et puis c'est donc un encouragement pour les autres.
Il y a une chose à remarquer à la fin du verset 27.
Il avait peur de le faire pendant la journée.
On peut comprendre ceci.
Ça souligne encore que c'est un jour de petites choses,
la faiblesse, peu de force.
Mais Dieu reconnaît quand même la fidélité
dans les actions de Zélion.
Et puis ce témoignage,
l'effet de ce témoignage est vu dans le verset 28 à 32.
Les hommes voulaient le tuer.
Ça nous montre donc l'hostilité de la part du peuple.
Ça montre aussi comment il était sous l'influence de cette idolâtrie.
Mais ce qui est frappant de voir aussi
que ces mêmes hommes plus tard étaient les serviteurs de Zélion.
Plus tard, la maison de son père
et puis ce village-là étaient les meilleurs soldats dans l'armée de Zélion.
Donc on voit ici l'influence de Zélion.
D'abord pour les dix hommes.
Et puis même pour ceux qui lui étaient opposés ici,
sont devenus plus tard les meilleurs soldats dans son armée.
Et le Seigneur nous donne aussi la grâce
pour avoir une influence bénéfique aux autres
au lieu d'avoir toutes sortes de conflits
comme Madian, une femme de ces conflits,
de ces controverses, de ces contestations.
Coopérer ensemble sous la direction du Seigneur
et sur la bonne base comme nous avons vu tantôt.
Maintenant on voit que Jovas, le père de Zélion,
était bien surpris, évidemment.
Mais il a quand même respecté ce que son fils avait fait.
Il a pris son côté pour ainsi dire.
D'un côté, sans doute, Jovas était mis à la honte
par les actions de son fils.
Parce que Jovas, comme responsable, comme le maire du village,
c'est lui qui aurait dû faire ceci.
Il avait manqué.
Maintenant son fils l'a fait.
Et puis il l'apprécie quand même.
Et puis Jovas, dans sa sagesse,
il dit, est-ce vous qui plaideriez pour Baal?
En autres mots, si Baal a une telle puissance,
il va s'occuper de ses intérêts.
S'il est Dieu, qu'il plaide pour lui-même,
c'est aussi une ironie, une sorte de moquerie,
comme Élie, un roi à 18,
il s'est moqué de ses faux dieux à un moment donné.
Et puis ça donne un nom à Gédéon, verset 32.
Cette expérience lui donne un nom,
que Baal plaide.
Ainsi il était comme celui qui avait mis de côté
cette idolâtrie de Baal.
Ça c'est donc un moment définitif dans l'histoire
de la maison de son père.
Et on doit donc prendre position dans de telles circonstances,
on doit se séparer du mal,
puis établir les principes de Dieu,
pour avoir un témoignage très clair, évident.
Mais c'est pour gagner leur cœur.
Maintenant le verset 33 nous montre encore quelque chose.
Donc je répète, d'abord on a eu la préparation secrète
à l'école de Dieu entre Gédéon et le Seigneur.
Deuxièmement, le climax de ça, l'apogée de ça,
c'était l'autel qu'il a construit.
Puis après ça, il y a ce témoignage
dans le cercle de la maison de son père,
un témoignage public maintenant,
dans cet autel qu'il a construit,
qui a remplacé l'autel de Baal.
Et puis l'hostilité des hommes de sa ville,
tout cela Dieu a permis.
Mais maintenant ça va aller encore plus loin.
Dieu veut se servir de Gédéon
pour rassembler les tribus d'Israël
pour pouvoir attaquer l'ennemi.
Maintenant, avant que je l'oublie,
je voulais mentionner ça au début déjà,
qu'on a quatre histoires
où l'esprit donne beaucoup de détails dans les juges.
Donc à part de l'introduction qu'on a eue
dans chapitres 1 et 2,
et le début du chapitre 3,
et à part de l'épilogue,
je veux dire donc la fin,
qui est ajoutée au livre des juges,
qui parle beaucoup des principes de mal
qui étaient dans ce jour-là
parmi le peuple des dieux.
Entre ces deux, le début et la fin,
il y a donc ces histoires.
Et puis parmi ces douze juges,
il y en a quelques-uns
où Dieu donne beaucoup de détails.
On a vu ça à Déborah et Barak,
beaucoup de leçons.
Et puis l'histoire la plus longue,
c'est celle de Gédéon.
Et puis là, il me semble que Dieu
prend beaucoup de temps
pour nous parler de ses préparations secrètes.
Et dans ce sens-là,
il y a aussi des leçons bien pratiques pour nous
parce que Dieu veut nous préparer aussi
pour être des serviteurs.
Même les enfants qui sont ici,
Dieu veut se servir de nous tous.
On n'est pas pareil.
On va voir ça dans le chapitre 7 aussi.
On n'a pas toujours tous la même place,
mais Dieu veut se servir de tous.
Et puis on voit ici
une influence bénéfique de Gédéon,
mais dans la présence du mal.
Verset 33 souligne donc
la puissance de l'ennemi.
Et puis il faut vraiment,
je pense ici l'esprit veut indiquer
qu'on ne doit pas sous-estimer
la puissance de l'ennemi.
Verset 33 dit,
« Et tous Madiens et Amalèques
et les fils de l'Orient
se réunirent ensemble. »
Eux se réunirent ensemble.
Ils se mettent aussi ensemble.
Et contre cette influence de l'ennemi,
contre cette puissance,
il y a maintenant l'esprit de l'éternel.
Cela me frappe beaucoup de voir ça.
Ce n'est pas au fond Gédéon et l'ennemi.
C'est ici l'ennemi d'un côté,
verset 33,
et en contraste avec l'ennemi,
c'est qui ?
L'esprit de l'éternel.
C'est l'esprit de l'éternel
qui donne donc cette énergie divine,
énergie nécessaire
pour que Gédéon soit maintenant
un instrument contre l'ennemi.
D'abord on a vu les préparations.
Maintenant on voit que Gédéon
est caractérisé par de bonnes conditions spirituelles.
C'est un homme exercé,
un homme spirituel.
Il connaît les pensées de Dieu.
Il a une bonne influence maintenant
sur la présence de son père.
Mais ici, l'esprit de Dieu
a revêtu Gédéon.
C'est un nouvel aspect.
Un rapport avec ce service qu'il va avoir.
Un rapport avec cette contre-attaque,
pour ainsi dire.
C'est l'esprit de Dieu.
Cela veut dire que Dieu ne peut rien accepter de Gédéon.
Il était petit, il était faible.
Mais même cette faiblesse-là,
Dieu ne peut pas l'accepter.
Il faut que Gédéon soit entièrement caractérisé
par l'esprit de l'éternel.
C'est pour nous aussi une leçon.
Dieu ne peut pas utiliser nos capacités en soi.
Il faut que nous soyons revêtus de son esprit.
C'est comme un vêtement.
C'est aussi un témoignage.
On voit à l'intérieur que Gédéon
était rempli des choses de Dieu.
On va voir ça aussi en rapport
avec la toisson tantôt.
Mais aussi à l'extérieur.
J'ai pensé aux disciples qui étaient
revêtus de l'esprit.
Dans Luc 24, le Seigneur annonce
qu'on a l'esprit comme personne divine
habitant en nous.
C'est un privilège que Gédéon n'a pas eu.
Parce que dans l'Ancien Testament,
l'esprit n'était pas encore sur la terre.
Seulement pour l'assembler, c'est une réalité
que l'esprit habite en nous personnellement
comme rassemblement et aussi
comme église universelle.
Mais cette vérité-là,
qu'on soit revêtus de l'esprit,
ça peut nous caractériser aussi
d'être l'instrument choisi
par l'Éternel, par Dieu,
contre l'ennemi.
Il y a beaucoup d'autres aspects de l'esprit
qu'on ne peut pas étudier,
mais vous pouvez le faire à la maison.
Nous pouvons boire de l'esprit
pour être fortifiés de l'esprit.
Nous pouvons être remplis
de l'esprit.
On va voir ça dans la coupe d'eau, verset 38.
Être remplis
de ces influences de l'esprit.
Tout cela, ce sont des aspects différents.
L'atteinte de l'esprit,
beaucoup d'aspects différents
de l'action de l'esprit
et de sa personne dans la façon
dans laquelle il agit.
Ici, c'est comme un témoignage
à l'extérieur,
un vase mis à part pour Dieu,
publiquement.
Et puis, il sonna de la trompette.
C'est maintenant lui,
l'homme préparé de Dieu,
dans des conditions convenables devant Dieu,
mais aussi revêtu de l'esprit
de l'Eternel, qui sonne la trompette.
C'est aussi important.
Ce n'est pas un homme charnel qui fait ça,
un homme qui le fait dans sa propre volonté,
mais un homme qui est maintenant
mis à part pour Dieu,
entièrement en accord avec les pensées de Dieu.
C'est lui qui sonne la trompette
pour rassembler maintenant le peuple.
C'est beau d'étudier les trompettes
d'un nombre dix.
On va revenir aux trompettes dans le chapitre 7.
La trompette
qui nous parle de la parole de Dieu
qui s'assemble avec l'action de l'esprit
pour rassembler le peuple.
L'ennemi s'est réuni selon ses principes.
On voit ça dans Genèse 10 et 11 aussi,
comment l'ennemi se met ensemble
contre Dieu.
Et en contraste avec ceci, on voit donc
le peuple de Dieu mis ensemble
sous l'influence d'un homme spirituel
dirigé par l'esprit de Dieu
et par la parole de Dieu,
la trompette.
Et les abysserites, c'était donc les mêmes hommes
qui étaient hostiles envers
Gédéon. Ces mêmes hommes
se sont assemblés maintenant
à sa suite.
C'est aussi une très belle expression.
On voit ici une compagnie à la suite
de Gédéon. Puis j'aimerais
nous encourager de suivre
notre vrai Gédéon, le Seigneur Jésus.
Que nous soyons à sa suite.
On va voir dans le chapitre 8
qu'il était fatigué,
mais quand même, ils ont poursuivi
l'ennemi à la suite de Gédéon.
Le Seigneur Jésus
est présenté
dans l'évangile slomare comme celui qui avait
ses disciples à sa suite.
Ses disciples le suivaient.
Que nous suivions donc
le Seigneur Jésus.
Et puis, maintenant, le cercle devient
plus grand encore. Il envoya des messagers
partout menacés.
Donc toute la tribu de menacés
est maintenant invitée
pour s'opposer
à l'ennemi. Et je pense que c'est aussi
une chose à considérer.
C'est l'Ephraim qui habitait là aussi.
L'Ephraim n'est pas invité.
L'Ephraim, c'était une tribu
qui était caractérisée par la fierté.
Comme on va voir dans Jésus 8.
Eux n'étaient pas prêts, vraiment.
Mais ceux qui prenaient une place
humble devant Dieu,
menacés,
le deuxième pour ainsi dire,
c'est eux qui sont prêts d'abord.
Et eux aussi furent assemblés
à sa suite.
L'ennemi veut diviser.
Et on voit ici un homme de Dieu
qui va réunir le peuple.
Et il va avoir même une influence
à d'autres tribus.
Hazer a manqué
dans le cas de Barak
et de Déborah. Neftali et Zabellon
étaient là, comme on l'a vu
dans chapitres 4 et 5.
Mais même Hazer vient ici.
Et ils montèrent à leur rencontre.
En lisant cette histoire, j'ai pensé
à toutes ces tribus,
tous ces hommes qui sont venus
lorsque David était loin
d'Ibrahim. Dans 1 chronique 12,
on peut lire ça. C'est très frappant
de voir comment Dieu avait exercé
des armes dans toutes
les tribus d'Israël pour
suivre David.
David est venu le vrai
centre d'attraction. Et Jédéon
ici, comme une image du Seigneur Jésus,
comme un vrai vainqueur
qui représente
quelque chose du Seigneur Jésus,
devient le centre d'attraction.
Et ainsi, le Seigneur Jésus, encore
aujourd'hui, dans les jours du déclin,
il veut devenir le centre
d'attraction pour nous attirer,
pour nous suivre.
Maintenant, pourquoi
cette histoire de la toisson?
On pourrait se demander
mais est-ce que Jédéon ne manque pas ici?
L'Esprit de Dieu l'a revêtu.
Tout était en ordre.
Les tribus sont venues.
Pourquoi? Il attend encore.
Est-ce que ce n'est pas l'incrédulité là?
Réalisez qu'Hébreu 11
nous parle de Jédéon comme un homme de foi.
Et peut-être on peut dire la même chose
qu'on a vu ce matin en rapport avec
ce signe qu'il a demandé.
Il voulait être sûr.
Il voulait être sûr
qu'il soit
dans la voie de Dieu.
Vous voyez
la Rosée,
verset 37,
nous parle de la souveraineté de Dieu.
On peut tout préparer.
On peut être prêt pour l'attaque,
être dans les pensées de Dieu.
Mais il faut aussi respecter
le principe de la souveraineté de Dieu.
Et Jédéon voulait être sûr
que ce soit le moment
que Dieu voulait l'envoyer.
Si tu veux sauver Israël
par ma main.
Il n'est pas fier.
Ce n'est pas quelqu'un qui a beaucoup de confiance
en lui-même.
Mais il ne trouve pas d'excuses non plus
pour se débrasser de cette tâche.
Ce n'est pas ça.
Il veut être sûr que ce soit vraiment
la pensée de Dieu.
Donc, c'est aussi bon de réaliser.
On peut surestimer nos capacités.
Ce n'est pas la question ici.
Je pense qu'il veut être sûr
qu'il soit dans la voie de Dieu,
que Dieu coopère en même temps.
Parce qu'on peut faire toutes sortes de choses
avec les meilleures intentions,
mais si Dieu ne travaille pas, c'est en vain.
Maintenant, qu'est-ce que ça veut dire cette soixante?
On peut penser peut-être
à quelque chose
qui se révèle.
Une soixante parle donc
de choses avec lesquelles
on va se vêtir,
avec lesquelles on est revêtu.
Une soixante nous parle donc
de la laine.
C'est mentionné dans le verset 37
d'un brebis.
Et puis ainsi,
on pourrait peut-être suggérer
quelque chose de l'intérieur
qui va se révéler,
qui va se manifester.
Et quelque chose qui vient donc
de la brebis.
Et j'aimerais suggérer ici
que la pensée de base, c'est celle-ci.
Dieu veut
que nous soyons caractérisés
par Christ.
On soit revêtu de Christ.
Colosse 3, peut-être on va lire
ce verset-là.
Colosse 3, on voit
qu'on doit relancer
à toutes sortes de choses, la colère, courir,
insultes, injures, paroles honteuses,
versets vides, venant de votre bouche,
non hantées point l'un à l'autre,
et en dépouillant le vieil homme
avec ses actions, et en revêtu
le nouvel homme.
Ça c'est quelque chose qu'on a vu en rapport avec l'Holocauste.
Ça c'est le principe de base.
Au lieu d'avoir les actions
de Baal et tous ses services
ensemble avec Baal, qui caractérisaient
Baal, il y a maintenant
le nouveau service, et puis
tout caractérisé par ce nouvel homme.
Ça c'est donc le point de départ.
Mais le verset 12
dit en plus, revêtez-vous
donc comme des aînés de Dieu,
saints et bien-aimés. Maintenant, il veut aussi
que pratiquement, nous
soyons caractérisés par Christ.
Pas seulement comme notre position
devant Dieu, que nous soyons
agréés devant lui
par l'Holocauste, mais que ce soit
maintenant un témoignage.
Parce que vous voyez, les vêtements,
on parle du témoignage public.
Dans notre témoignage, nous soyons
caractérisés par Christ.
Revêtez-vous donc comme des aînés
de Dieu, saints et bien-aimés,
d'entrailles de miséricorde.
Ce qui est à l'intérieur, les entrailles,
se révèle maintenant à l'extérieur,
la façon dans laquelle nous sommes
vêtus spirituellement. Cette
humilité, cette bonté, cette douceur,
cette longanimité est vue maintenant.
Donc, ma suggestion est
celle-ci, que cette façon
parle de choses qui sont à l'extérieur.
Un Christ, premièrement,
et qui ressorte maintenant
comme un témoignage.
C'est la pensée
de la toissant.
Mais, on voit ici
qu'il va mettre cette toissant
dans l'air. L'air nous parle
des voies de Dieu
en discipline, même le châtiment.
Et puis, ça nous parle
ici, je pense, du principe
que Dieu met de côté
toutes caractéristiques du vieil homme.
Ça, c'est un non-procédé. On le voit
dans plusieurs passages dans la parole de Dieu.
On peut voir l'air dans
Genèse 50. On voit que rien
de l'influence de l'Égypte est permis.
On le voit à plusieurs
places dans la parole de Dieu. Ruth 3
aussi, elle avait cette expérience avec Boaz.
Et, 2 Samuel 24,
l'air de Davona,
où David
offre ses sacrifices. En tout cas,
l'air, ce serait un sujet intéressant
d'étudier, nous parle de
ce principe-là, que le vieil homme,
dans tous ses détails, est mis de côté.
Et puis, c'est à cet endroit-là
que cette toissant
est maintenant exposé
pour la
rosée, pour recevoir la rosée.
Et la rosée, ça parle
de l'action souveraine
de Dieu. Dans Exode
16, on voit la rosée qui
était autour du camp
et puis c'est là où la manne
est tombée. Dans Deuteronome
14, on voit que la rosée
a donc rafraîchi le
pays pour que le pays puisse produire
du fruit. Il y a plusieurs versets
dans Osée, mais un verset
que je veux lire dans Miché 5
où nous voyons vraiment
une belle pensée.
Miché 5
verset 7
Le résidu
de Jacob sera
au milieu de beaucoup de peuples
comme une rosée
par l'éternel
comme des ondées sur l'herbe
qui n'atteint pas l'homme et ne dépend
pas des fils des hommes.
Vous voyez, l'homme, le premier
homme est remplacé, trouve sa
fin pratiquement
dans l'air. L'homme trouve
sa fin dans la mort de Christ,
il trouve sa fin dans la croix,
c'est vrai, mais pratiquement
dans les voies de Dieu, on voit que ça
prend du temps. Et puis dans nos vies,
on voit donc que dans l'air,
tout élément du premier homme
est mis de côté et puis Dieu donne
cette rosée.
Ça nous parle de la grâce souveraine de Dieu,
d'une action souveraine de Dieu.
Et puis cette rosée
était sur la toisson seule
et que la sécheresse soit
sur toute la terre.
Maintenant, on peut appliquer,
on peut faire trois applications.
D'abord, j'ai un pensée au Seigneur Jésus.
Lui était la vraie toisson.
Son témoignage public était en rapport avec la pensée
de Dieu et il était donc
sous la grâce souveraine de Dieu.
Dieu s'es