Hébreux 1-13
ID
aeb016
Idioma
FR
Duración
23:22:47
Cantidad
23
Pasajes de la biblia
Hébreux 13,1-6
Descripción

1. Hébreux 01v1-3
2. Hébreux 01v4-14
3. Hébreux 02v01-9
4. Hébreux 02v10-18
5. Hébreux 03
6. Hébreux 04v1-16
7. Hébreux 05
8. Hébreux 06v1-20
9. Hébreux 07v1-11
10. Hébreux 07v11-28
11. Hébreux 08v1-13
12. Hébreux 09v1-14
13. Hébreux 09v15-28
14. Hébreux 10v1-21
15. Hébreux 10v19-31
16. Hébreux 10v32-11v7
17. Hébreux 11v08-16
18. Hébreux 11v17-31
19. Hébreux 11v32-12v3
20. Hébreux 12v04-17
21. Hébreux 12v18-29
22. Hébreux 13v01-9
23. Hébreux 13v10-25
Transcripción automática:
…
Nous avons dit dans notre cantique, ta parole à ton Fils lui-même veut sans cesse attacher nos coeurs, dévoilant les gloires suprêmes de la Personne du Saint.
On sait que c'est vrai pour chaque page de la Parole de Dieu, mais surtout pour cette épître aux Hébreux.
J'aimerais prendre un peu de temps, soit pour l'introduction, donc je vais lire juste les versets 1 à 3, et la prochaine fois, Dieu voulant, on va aller plus vite.
Dieu, ayant autrefois, à plusieurs reprises, et en plusieurs manières, parlé au Père par les prophètes, à la fin de ces jours-là, il nous a parlé, dans le Fils, ou en Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses,
par lequel aussi il a fait les mondes, qui étant le resplendissement de sa gloire, et l'empreinte de sa substance, et soutenant toutes choses par la parole de sa puissance,
ayant fait par lui-même la purification des péchés, s'est assis à la droite de la majesté dans les hauts lieux. Jusqu'ici, la parole.
Si on compare des écrits bien connus, comme l'épître aux Éphésiens, qu'on a étudié dans le passé, par exemple, on voit que, selon cet épître, nous sommes placés dans la gloire, en Christ.
Si nous prenons, par exemple, les écrits de Jean, nous voyons que Christ est notre vie, qu'il est en nous, notre vie. Par contre, si nous prenons cet épître aux Hébreux, nous voyons l'emphase, et sur cette pensée-là, une personne nous est présentée, cette personne est dans la gloire.
Cette personne, et nous verrons quelques détails concernant cette personne bénie, il est dans la gloire. Et nos cœurs sont attachés à lui comme il est maintenant dans la gloire.
Ça, c'est le grand sujet de l'épître aux Hébreux. Et j'aimerais d'abord prendre un peu de temps pour quelques pensées d'introduction, ensuite on va voir quelques détails de ces trois versets qu'on a lus ce soir.
D'abord, cette question, qui est l'auteur de cet épître? D'habitude, on sait qui est l'auteur. Si Pierre a écrit une lettre, il signe par son nom. Paul, les treize épîtres qu'on a à côté des Hébreux, signent aussi avec son nom.
Un Jean ne mentionne pas le nom de Jean, mais on sait que Jean est l'auteur. En général, les épîtres donnent l'auteur. Ici, l'auteur n'est pas donné.
Quand même, on voit certains détails. Il est un juif bien connu avec le Septuagint. Ça, c'est la traduction grecque de l'Ancien Testament, qu'il cite souvent. Il est donc familier avec les Grecs Hellénistes, comme on les trouve dans le livre d'Ésaac.
Ensuite, nous voyons qu'il est un Hébreux qui écrit aux Hébreux. Donc, c'est un juif qui s'adresse aux Juifs. Le premier verset souligne cela parce qu'il dit que Dieu a parlé au Père. Donc, il s'identifie avec les Juifs.
Nous voyons aussi, un peu plus loin dans le livre, qu'il n'appartient pas aux apôtres comme les douze qu'on connaît parce qu'il dit, chapitre 2, verset 3,
Comment échapperons-nous si nous négligeons un si grand salut qui, ayant commencé par être annoncé par le Seigneur, c'est le ministère public du Seigneur sur la terre, nous a été confirmé par ceux qui l'avaient entendu.
Donc, ceux qui l'avaient entendu, c'est les apôtres et ceux avec eux. Dieu rend un témoignage avec eux par des signes, des produits, par divers miracles, etc.
Donc ici, l'auteur se place à côté des Juifs qui avaient écouté le message. Au début, ce salut a été annoncé par le Seigneur. Ensuite, cela a été confirmé par ceux qui l'avaient entendu.
En gros, c'est le livre des actes où nous voyons cela. Mais cela donne une indication qu'il n'avait pas connu le Seigneur Jésus sur la terre.
Et c'est aussi un détail important pour le ministère de Paul parce qu'il dit dans 2 Cor. 5, un verset qu'on devrait vraiment soumiller, 2 Cor. 5, verset 16, en sorte que nous désormais ne connaissons personne selon la chair.
Et si même nous avions connu Christ selon la chair, toutefois, maintenant, nous ne le connaissons plus ainsi.
Donc, cela souligne le lien avec Christ dans la gloire. C'est un lien différent comme le Seigneur avait avec ses disciples sur la terre. Là, c'était dans le contexte du judaïsme.
Mais maintenant, la relation avec Christ est différente. Christ dans la gloire et les siens, cela représente une relation différente. Et je pense que cela est confirmé par le verset qu'on a lu dans 2 Cor. 2, verset 3.
Il mentionne dans le verset qu'on a lu tantôt, hébreu 2, les apôtres, il ne les mentionne pas comme des apôtres, il dit, ceux qui nous ont annoncés ou confirmés par ceux qui l'avaient entendu.
Donc, ils sont vus ici comme des témoins. Et cela va ensemble avec cette grande question. Pourquoi l'auteur n'est pas connu et pourquoi il n'y a pas même d'apôtre qui signe une telle lettre?
C'est pour mettre toute l'emphase sur le grand apôtre.
Chapitre 3, au premier verset, c'est ce qu'il dit là. C'est pourquoi Frère Saint, participant à l'appel céleste, considérait l'apôtre et le souverain sacricateur de notre confession.
Donc, on voit ici clairement cet appel céleste, Christ dans la gloire et un appel maintenant de le considérer. C'est lui l'apôtre. Donc, c'est pour cela que l'auteur ne s'adresse pas aux croyants comme apôtres.
Mais ce n'est pas la seule raison. Il se place à côté des croyants. Comme nous l'avons vu dans le chapitre 2, nous, il se place à côté des croyants. On verra plusieurs fois dans l'épître aux épreuves qu'il le fait.
Mais une autre raison pour laquelle il ne s'adresse pas aux croyants ici qu'il adresse comme apôtres, c'est parce qu'il ne parle pas comme apôtre. Dans cet épitre, l'auteur parle comme docteur.
Il prend les écrits de l'Ancien Testament et il présente les détails concernant la personne et le ministère du Seigneur Jésus. Et ainsi, il prend les écrits de l'Ancien Testament un peu comme le psaume 45.
Le psaume 45, je ne vais pas maintenant élaborer le contexte, mais concernant le reste fidèle dans la Grande Tribulation, ils vont chanter ce cantique.
Le premier verset dit « Mon cœur bouillonne d'une bonne parole. Je dis ce que j'ai composé au sujet du roi. Ma langue est le style d'un écrivain habile. Tu es plus beau que les fils des hommes. La grâce est répandue sur tes lèvres. C'est pourquoi Dieu t'a béni à toujours. »
Je pense que ce que l'auteur de l'Épitre aux Hébreux fait, il prend les écrits de l'Ancien Testament et il fait ressortir la beauté de la personne du Seigneur Jésus, qui est appelée le bien-aimé dans le titre du psaume. Un cantique du bien-aimé.
Et ce cantique est aussi une instruction. Je pense que Paul s'identifie avec cet exercice d'être docteur pour instruire et présenter la personne merveilleuse du Seigneur Jésus, du bien-aimé, du roi. Et ainsi sa langue est devenue le style d'un écrivain habile.
L'Esprit Saint dirige sa langue pour parler comme il faut. Il parle de celui qui est plus beau que les fils des hommes.
Ainsi, ce n'était pas nécessaire qu'il se présente comme apôtre. Un apôtre a une autorité que Dieu, que le Seigneur Jésus dans la gloire lui a donnée pour confirmer de nouvelles révélations, comme un Corinthien, Galate, Éphésien.
Là, Paul parle comme apôtre pour que ces nouvelles révélations soient confirmées par l'autorité que Dieu lui a donnée, que le Seigneur Jésus dans la gloire lui a donnée.
Mais ici, il ne parle pas comme apôtre pour confirmer de telles révélations. Il prend les écrits de l'Ancien Testament et il fait un peu comme dans le psaume 45, comme j'ai essayé d'expliquer tantôt, pour présenter la personne du Seigneur.
Donc, il parle comme docteur. Et le docteur n'est pas important, son nom n'est pas mentionné.
Nous savons aussi qu'il était un compagnon de Timothée, parce que le nom de Timothée est mentionné dans le chapitre 13 verset 23.
Ça donne aussi une idée de la date, parce que Timothée s'est converti autour de l'an 50 et l'épître doit avoir été écrit avant que Timothée meure.
On verra d'autres étapes pour la date de l'épître.
Mais je pense que le verset le plus important, qui donne vraiment une clé, c'est 2 Pierre 3, verset 15.
Estimez que la patience de notre Seigneur est salue, comme notre bien-aimé frère Paul aussi vous a écrit, selon la sagesse qui lui a été donnée.
Ainsi qu'il le fait aussi dans toutes ses lettres où il parle de ces choses parmi lesquelles il y en a de difficiles à comprendre, que les ignorants et les malaffermis tordent, comme aussi les autres écritures à leur propre destruction.
Donc, selon ce verset 15, nous voyons que Paul avait écrit aux Juifs.
Comme Pierre, on le sait, dans 1 Pierre 1, dans 2 Pierre 1, il s'adresse aux Juifs dans la dispersion et il s'adresse aux Juifs.
Ici donc, les Juifs chrétiens, dans la dispersion il est vrai.
Mais ici il réfère à une lettre que Paul avait écrite aux Juifs.
Il va être donc cet épître aux Hébreux.
D'ailleurs, c'est intéressant de savoir que Jacques nous a écrit, dès Jérusalem, aux Juifs qui étaient dans la dispersion.
Ils étaient en Galilée, ou plus loin, mais ils étaient persécutés dans la dispersion.
Nous voyons que Pierre s'adresse aux Juifs dans la dispersion.
Il était lui-même dans la dispersion lorsqu'il écrivit.
Et l'épître aux Hébreux vient de la dispersion et s'adresse aux Juifs à Jérusalem et à Judée.
Donc ça c'est juste un peu une comparaison concernant la dispersion des Juifs.
Mais la lettre ici s'adresse aux Juifs, je pense, à Jérusalem.
Et on verra plus tôt, dans l'épître aux Hébreux XIII, les raisons.
Peut-être que je peux juste résumer un peu la situation.
Lorsque cet épître a été écrit, il y avait déjà des rebelles contre l'occupation romaine.
Et le Seigneur avait dit dans Luc XXI que le Temple serait détruit.
Maintenant, à cause de ces rébellions, les Romains ont envoyé une armée pour soumettre les Juifs.
Les Romains avaient déjà occupé le pays, on le sait, mais il y a eu des rébellions.
Lorsque les armées romaines étaient autour de Jérusalem, donc le siège de Jérusalem, les Juifs chrétiens étaient encore là.
Et à ce moment-là, c'était autour de l'année 66-67, ils ont reçu cet épître.
Donc ça veut dire que cet épître doit avoir été écrit autour de l'an 65, 66 au plus tard.
Et là, Dieu dans sa providence a causé que les armées romaines se sont retirées de la ville pour un bout de temps.
Et dans ce temps-là, lorsque les Romains se sont retirés de la ville, les Juifs chrétiens sont tous sortis de Jérusalem.
À cause de l'instruction de cet épître aux Hébreux, surtout aux Hébreux présents, on verra cela en détail.
Et Dieu a donc donné des indications aux Juifs chrétiens de sortir de Jérusalem, parce que le jugement était proche.
Dieu a donné 40 ans aux Juifs comme nation, après la crucifixion du Messie.
Dieu a donné encore 40 ans pour qu'ils se repentent.
Au début des actes, Dieu a offert le salut à toute la nation.
Ils l'ont rejeté et ils ont lapidé Étienne.
Et là, depuis ce moment-là, Dieu donne encore des occasions personnelles, comme à Paul, Sol, de taxe, il s'est converti.
Mais depuis chapitre 7, il n'y a pas une offre pour toute la nation, c'est juste individuel.
Parce que toute la nation était sous le jugement, et ce jugement a été donc accompli dans l'année 70.
Et le temple a été détruit.
Une autre raison pour laquelle le nom de l'auteur n'est pas mentionné, peut-être, c'est que Paul était l'apôtre des nations.
Et il y avait des Juifs à Jérusalem, même des Juifs chrétiens, qui avaient beaucoup d'hésitation à l'égard de l'apôtre.
On voit cela aussi dans le livre des actes.
Et peut-être par sagesse aussi, à l'égard de ces Juifs chrétiens à Jérusalem, il n'a pas donné son nom.
Mais on sait qu'il aimait beaucoup son peuple, et surtout les Juifs chrétiens, romains, 9, 10, 11, 11 mois, tout cela.
D'autres passages confirment qu'il avait un grand amour pour son peuple juif.
Et peut-être pour éviter des préjugés, il n'a pas donné son nom.
C'est un peu comme un chrétien neuf, Paul a toujours essayé de gagner le plus de monde possible.
Et selon cette sagesse-là, peut-être il n'a pas lancé son nom pour ne pas avoir des préjugés.
Mais plutôt il fixe les regards sur la personne qu'il présente.
Il veut fixer les regards sur le nom qui compte. Le nom de Paul ne compte pas dans ce sens-là.
Il n'y a qu'un seul nom qui compte, c'est le nom du Saint-Jésus.
Il voulait vraiment tirer l'attention de tous les croyants sur Christ dans la gloire.
Et on verra maintenant pourquoi.
Vous voyez, à cause de la persécution, déjà acte 7, Étienne était lapidé,
c'était quelques années après le début de l'Église, peut-être la première ou la deuxième année.
Il y a eu déjà là des grandes persécutions, on voit dans l'acte 10 vers 7.
Il y a eu d'autres persécutions, acte 12 sous Hérode.
Mon point c'est que les juifs chrétiens étaient maintenant en danger de retomber dans le judaïsme.
Il y avait parmi eux qui disaient, il y a maintenant la persécution, les romains vont venir,
ils vont nous chattier avec tous les juifs.
Donc c'est mieux pour nous qu'on s'identifie avec les autres juifs au lieu de nous détacher d'eux.
Vous voyez, les autres juifs les considéraient un peu comme des traîtres.
Et pour ne pas être qualifiés comme traîtres, ils étaient en train de considérer,
de renoncer publiquement au christianisme et confirmer qu'ils étaient encore des juifs.
Mais Paul va montrer dans cet épisode que s'il faisait cela, cela implique crucifier Christ une seconde fois.
Donc ils étaient vraiment dans une situation très très difficile.
Ils considéraient de retourner dans le judaïsme.
Ne pas renier le Seigneur dans leur cœur, mais ne plus confesser publiquement le Seigneur.
C'est ça un peu le contraire.
Deuxièmement, pendant cette tribulation, il y en avait qui avaient perdu tout leur bien.
Chapitre 10 nous le montre, chapitre 6 aussi.
Pauvres, peut-être découragés.
Et s'ils voyaient leurs amis et leurs parentés juifs qui allaient au temple,
au temple tout était magnifique, c'était un service magnifique.
Et eux, ces juifs chrétiens, n'avaient rien, n'avaient rien.
Donc peut-être il y en avait qui étaient découragés, qui voulaient quelque chose de visible.
C'est pour ça que dans cet épître, toute l'emphase est placée sur le Seigneur Jésus,
pour qu'on le voit par l'œil de la foi.
Pas attiré par des choses visibles, mais qu'on soit attiré à sa personne.
Et vous comprenez que ce qui est nécessaire pour ces juifs à ce moment-là,
c'est nécessaire pour tous les croyants dans tous les temps,
que nos cœurs soient attachés, nous l'avons exprimé dans l'Eucharistie,
que nos cœurs soient attachés au Seigneur Jésus.
Au lieu de retomber dans le judaïsme ou dans un système religieux,
ça se peut qu'on dise mais c'est cathédrale, c'est beau, une belle chorale,
où il y a beaucoup de choses qui plaisent.
Est-ce qu'on va aller là pour satisfaire nos besoins
ou est-ce qu'on veut s'identifier avec Christ dans la gloire
et accepter la persécution et le mépris et même la haine des gens qui nous entourent.
Je pense qu'on verra cela, il y a cinq passages d'avertissement.
Paul s'adresse aux croyants, il présente Christ,
et cinq fois il tire des conclusions pratiques de ce qu'il enseigne.
Et ce sont des avertissements, cinq fois des avertissements.
La première fois c'est au début du chapitre 2.
Donc, je résume un peu le but de l'épître.
Les juifs chrétiens étaient sous une grande pression par la persécution,
par l'attraction du temple et de la synagogue.
Ils étaient en danger de se conformer extérieurement au système du veille,
comme j'ai expliqué tantôt.
Ils n'allaient pas renier le Seigneur Jésus dans leur cœur,
mais ils allaient s'identifier publiquement avec le temple, avec la synagogue.
Et Paul, mort dans cette épître, s'il faisait cela,
ce serait crucifixioniste la deuxième fois.
Il s'était impressionné par les pensées du judaïsme.
Par exemple, les Indes avaient une grande place dans le judaïsme.
C'est pour cela que, dans le premier chapitre, on verra la prochaine fois,
que Paul donne cette preuve pour montrer que Christ est plus grand que les Indes.
Plus tard, on verra qu'il est plus grand que Moïse.
Pour les juifs, Moïse, c'était vraiment la fin.
La fin, c'est quelque chose.
Il n'y a personne plus grand que Moïse dans le judaïsme.
Mais l'épître nous montre qu'il y a quelqu'un qui est plus grand que Moïse.
Et ainsi, il va montrer aussi tout le service lévitique, la sacrificature lévitique.
Il va montrer que c'était un des piliers du judaïsme,
les Indes, Moïse, et aussi le service sacerdotal.
Et Paul va montrer que Christ et son œuvre sont beaucoup plus grandes que tout le service lévitique.
Et ainsi, il donne donc assez de nourriture et d'encouragement
pour que les juifs chrétiens ne retournent pas au judaïsme.
Donc, j'ai dit qu'il ne voulait plus confesser le Seigneur publiquement.
Mais Paul va montrer dans cette épître que dans ce cas-là,
il perdrait les privilèges et les bénédictions de la foi chrétienne.
On peut comprendre leur situation.
On voit dans les livres des actes que les chrétiens allaient encore au temple, acte 2, acte 3, acte 5.
Même Paul l'a fait dans acte 21.
Mais là déjà, on voit l'intervention du Seigneur pour ne pas être mélangé avec le judaïsme.
On voit que dans l'épître de Jacques, c'était normal pour les croyants d'aller dans la synagogue.
Dans les actes, on voit cela aussi.
Donc, il avait beaucoup d'influence du judaïsme, la loi, la circoncision.
Il y en avait qui étaient zélés pour la loi.
Acte 21 le montre.
Qu'il soit chrétien, il était zélé pour la loi.
Et puis, on peut comprendre, en voyant la grandeur du temple et tous ces services-là,
ils ne voulaient pas être considérés comme des traîtres par les autres.
Donc, voilà le grand danger et la nécessité de cet acte.
Le christianisme est un système pour la foi.
Le judaïsme était quelque chose de visible pour l'homme naturel.
Le christianisme est un service spirituel et invisible.
L'adoration de Christ dans la gloire ne se voit pas dans les rituels.
C'est aussi par rapport à un messie rejeté, tué par son peuple.
En retombant dans le judaïsme, il se plaçait à côté de ceux qui avaient rejeté leur messie.
Donc, ce serait vraiment renier le messie.
Mais, toute l'emphase est sur sa position présente dans la gloire, dans le ciel,
où l'œil physique ne peut pas le voir, seulement l'œil de la foi.
C'est pour ça qu'il parle ainsi de la foi dans Hébreu 11, on verra,
beaucoup concernant la foi.
Donc, quel est le remède qu'il présente ?
Il nous présente Christ dans sa supériorité, dans son excellence, dans sa suprématie,
dans sa splendeur, dans sa majesté, dans sa grandeur.
Il y a beaucoup d'emphase sur sa grandeur.
Il est excellent, plus excellent, meilleur, plus grand, plus haut, etc.
C'est comme dans une petite illustration.
Si un petit enfant joue avec un couteau très dangereux dans sa main,
qu'est-ce qu'on doit faire pour que l'enfant laisse tomber ce couteau ?
Est-ce qu'on doit venir arracher ça ?
Lorsque l'enfant réalise que quelqu'un va arracher ça, il va encore tenir plus ferme.
Ce que l'Esprit de Dieu fait ici par l'apôtre Paul,
ce n'est pas intervenir avec des méthodes de police pour forcer les chrétiens.
Non, il nous présente un objet beaucoup plus attrayant,
comme la mère le fait à ce petit bébé-là pour qu'elle laisse tomber ce couteau dangereux.
Il nous présente quelque chose de meilleur pour que l'enfant laisse tomber ce couteau de toute façon.
C'est la tactique que l'Esprit Saint utilise par l'apôtre Paul ici,
pour présenter quelque chose de meilleur pour que les juifs chrétiens laissent tomber ce judaïsme.
Et vous voyez, c'était très difficile parce que le judaïsme avait été donné par Dieu.
Ce n'est pas quelque chose que Dieu ne pouvait pas donner.
Il l'avait donné.
Mais maintenant, il fallait qu'ils réalisent que ce système, une fois donné par Dieu,
avait rejeté le Fils de Dieu, avait rejeté leur propre Messie.
Et c'est pour cela que Dieu avait rejeté le judaïsme et qu'il l'avait donné au début.
C'est ça qu'on voit dans les évangiles, que le Seigneur Jésus lui-même,
après que les juifs, les leaders et la nation l'avaient rejeté,
il fallait qu'ils rejettent la nation aussi.
Mais pas avant.
Donc, un mot-clé, si vous voulez prendre ça en note.
Un mot-clé, c'est le mot meilleur.
Nous voyons que l'ange Gabriel a dit dans Luc 1, lorsqu'il parlait à Marie,
que le Seigneur Jésus serait grand.
Et on verra au verset 3 qu'il s'est maintenant assis à la droite de la majesté.
Le mot majesté, c'est un mot qui est, dans le grec, lié au mot grand.
La grandeur du Seigneur Jésus est soulignée.
Et par rapport à cela, il est toujours meilleur.
On verra une meilleure espérance, comparée avec l'espérance du système juif,
une meilleure alliance, de meilleures promesses.
Donc, Paul présente ici quelque chose de meilleur.
Il ne dit pas que le judaïsme, ça ne vaut rien.
Dans Hébrus 6, on le verra, il reconnait que c'était donné par Dieu.
Mais il présente quelque chose de meilleur, quelqu'un qui est meilleur.
Et il attache les coeurs à cette personne, beaucoup plus merveilleuse et beaucoup meilleure.
Une meilleure promesse, un meilleur sacrifice, on verra.
Une meilleure possession, une meilleure patrie, une meilleure résurrection.
Tout cela par rapport à cette meilleure personne.
Donc, on va revenir à cela, évidemment, si le Seigneur nous donne l'occasion.
Mais vous comprenez que c'est pour cela que cet Epître a une signification très pratique.
L'appel des chrétiens
L'appel des chrétiens, au moins 14 fois, on a un impératif.
Un impératif, c'est presque comme un commandement.
Et ainsi, il y a beaucoup d'appels pour appeler les croyants
de mettre en pratique cet enseignement et de réaliser leurs responsabilités.
J'aimerais commencer maintenant le premier verset.
On verra dans cet Epître de contrastes énormes.
De contrastes entre le judaïsme et le christianisme.
De contrastes entre ce que Dieu avait donné dans l'Ancien Testament
et l'accomplissement maintenant dans la personne et dans l'œuvre du Seigneur Jésus.
Mais on verra aussi beaucoup de parallèles.
Et c'est pour cela que cet Epître est très difficile à comprendre.
Parce que, quelquefois, on doit voir le parallèle et en même temps le contraste.
Parallèle veut dire quelque chose, par exemple, s'il parle du Seigneur Jésus comme sacricateur,
on trace tout de suite un parallèle avec le sacricateur dans l'Ancien Testament.
Aaron, ou ses descendants.
Mais en même temps, l'auteur Paul nous présente d'énormes contrastes
entre le Seigneur Jésus comme sacricateur, selon l'ordre d'Aaron, et en même temps avec Aaron.
Ensuite, on verra que le Seigneur Jésus est beaucoup plus grand que cet ordre d'Aaron.
Il est maintenant sacricateur, selon l'ordre de l'humain qui sait l'être. On verra cela.
Donc, il faut réaliser souvent des contrastes.
Le premier contraste qu'on voit ici, Dieu a parlé au Père.
Mais verset 2 dit, Il nous a parlé en Fils.
Vous voyez un contraste?
Dieu a parlé dans l'Ancien Testament.
Dieu est le Dieu qui parle.
Et dans cet Epître, Il parle encore.
Chapitre 12, on verra que celui qui a parlé parle maintenant de la gloire.
Et au verset 25, prenez garde que vous ne refugiez pas celui qui parle.
Vous voyez? C'est Dieu qui parle.
Il parle encore, mais Il parle maintenant par Christ dans la gloire.
Et je veux revenir à ça parce que c'est ainsi que Paul parle maintenant, comme représentant de Dieu.
Donc Dieu parle, ça veut dire Dieu révèle ses pensées.
Mais comment est-ce qu'il a révélé ses pensées dans l'Ancien Testament?
A plusieurs reprises, c'était pas fragment, c'était un morceau.
C'était partiel tout le temps.
Mais il y avait toujours une progression.
Une partie ici, une partie là, une partie là, une partie là.
Plusieurs reprises.
Mais aussi en plusieurs manières.
Pierre nous dit que Dieu a parlé par les Saint-Hommes de Dieu.
Et ainsi Dieu a aussi utilisé plusieurs manières.
Il a parlé par les histoires, surtout dans Genève, on voit ça.
Il a parlé par les types.
Il a parlé par les commandements.
Il a parlé de façon différente.
Beaucoup de façons différentes qu'on voit dans l'Ancien Testament.
Et Dieu a parlé de façon différente avec des manières, des outils différents.
Beaucoup de différences que c'est toujours partiel, fragmentaire.
En contraste avec cela, à la fin de ses jours là, il nous a parlé en plus.
Ça c'est un contraste parce que maintenant c'est plus en partie, en morceaux, c'est complet.
Il y a ainsi une continuité.
Dieu a parlé dans le passé et il parle encore.
Mais il y a une différence parce que maintenant il parle et c'est d'une façon complète et parfaite.
Ce que le Seigneur a fait, parce qu'il parle du Fils de Seigneur Jésus,
a confirmé, comme Dieu a parlé dans le Fils, cela a confirmé tout ce que Dieu avait déjà parlé auparavant.
Ce n'était pas que le Seigneur Jésus a dit maintenant, ok, on rejette tout ce que Dieu a dit dans l'Ancien Testament,
moi je dis maintenant quelque chose de nouveau.
Pas du tout.
Le Seigneur Jésus confirme les choses que Dieu a révélées dans l'Ancien Testament.
Matthieu 5 à 7 par exemple.
Mais il continue et il a complété les pensées de Dieu.
La grande différence aussi c'est que Dieu a parlé par des outils.
Il a pris un prophète.
Il a pris une anès avec la langue par exemple.
Il a pris des miracles.
Il a pris des événements.
Il a utilisé beaucoup de moyens.
Mais qu'est-ce que le verset 2 nous dit?
Il nous a parlé en Fils.
Ça veut dire Dieu est là lui-même pour parler.
Vous voyez la différence?
Il a parlé par des hommes dans l'Ancien Testament, par des saints hommes, par des événements, par des outils, quoi que ce soit.
Mais maintenant Dieu parle en Fils.
Dieu parle lui-même.
Directement.
Sans intermédiaire.
Par rapport à ces pensées que Dieu parle, j'aimerais aussi souligner le fait que l'apôtre parle.
Et on verra cela au moins sept fois dans cette pitre.
Mais je mentionne un exemple.
Chapitre 2, verset 5.
Il dit, car ce n'est point aux anges qu'il a assujettis le monde habité à venir dont nous parlons.
Dont nous parlons.
Et ainsi nous verrons sept fois que l'apôtre parle.
Je trouve cela une très belle pensée.
Dieu parle et nous voyons la progression.
Dieu a parlé dans le passé, maintenant dans les derniers jours il a parlé en Fils.
Mais maintenant l'auteur de cette pitre parle.
Cette pitre c'est comme un grand discours.
C'est comme quelqu'un qui donne un long discours.
Et ainsi on peut s'imaginer.
Paul, il s'adresse à ces juifs chrétiens.
Il se place à côté d'eux.
Il ne se place pas au-dessus.
Pas du tout.
Il s'adresse, on a vu cela déjà en chapitre 2, verset 3.
Comment échapperons-nous ?
Il se place à leurs côtés.
Et il les adresse ainsi.
C'est comme un discours.
Donc je trouve cela une belle pensée.
Dieu parle et maintenant il parle par l'apôtre Paul pour encore encourager les croyants en ce moment.
Concernant cette expression, à la fin de ces derniers jours, c'est une expression bien connue dans l'Ancien Testament.
Ça se réfère à l'accomplissement des propices.
Isaïe par exemple, d'autres passages, c'est souvent utilisé une expression semblable.
Mais l'importance pour nous c'est de réaliser que ces derniers jours, on peut voir dans deux étapes.
On peut voir par rapport à la première venue du Seigneur Jésus.
Et on peut la voir par rapport à son retour.
Et entre ces deux, il y a donc l'histoire de l'église.
Et cela est tellement important.
Les prophètes de l'Ancien Testament n'ont pas vu cela.
Ils n'ont pas vu qu'il y ait donc un laps de temps, 2000 même presque, entre la première venue du Seigneur Jésus et son retour.
Mais les deux venues, c'est vraiment dans le contexte des jours, comme il dit, la fin de ces jours-là.
L'autre expression, j'avais une expression, j'ai oublié le premier verset.
Il nous a parlé au Père.
Il parlait, non, il a parlé au Père.
Donc ça c'est donc un résumé de tout ce que Dieu a parlé dans l'Ancien Testament.
C'est pas seulement ici Abraham, Isaac et Jacob, les patriotes.
Ici c'est plus général.
Au Père, ça représente les croyants de l'Ancien Testament.
Je voulais juste mentionner cela.
Ici, dans l'introduction, Paul, l'auteur de l'épître, met beaucoup d'emphase sur la grandeur du Fils.
Et j'aimerais maintenant résumer ces sept points qu'il mentionne du Seigneur Jésus dans sa grandeur.
Les sept points qui commencent par quelque chose de mystérieux.
Dieu l'avait déjà établi héritier de toutes choses avant qu'il crée quelque chose.
Vous voyez au milieu du verset 2, le Fils qu'il a établi.
Donc on a vu, Dieu nous a parlé en Fils.
Ce n'est pas un instrument que Dieu a utilisé, mais il a parlé lui-même.
Dieu lui-même a parlé, mais c'est en Fils.
Parce que là, on touche le mystère de la Trinité.
Ce sont des mystères insondables qui sont impliqués ici.
Le mystère de la Trinité et le mystère de la personne de Christ.
Dieu et homme, en une personne, sont impliqués dans ce verset 2 et 3.
Mais le premier point ici, c'est que Dieu l'a établi héritier de toutes choses.
Avant qu'il crée quoi que ce soit.
Donc avant que Dieu crée le monde, l'univers, il l'avait déjà établi.
Et c'est un mot très fort.
Il l'avait établi, donc déterminé, mis à part, en anglais on dit appointed, Christ comme héritier.
Le mot héritier implique aussi la satisfaction que Dieu trouvait en lui pour lui-même.
Parce que le fait que Dieu l'a établi héritier, c'était aussi pour la satisfaction du cœur de Dieu.
On voit cela dans Galate 4, où Paul explique que les croyants sont maintenant des héritiers.
Et un héritier est pour la satisfaction, pour le bon plaisir du Père.
Donc toutes ces pensées-là sont impliquées ici, par rapport au héritier.
Qu'est-ce que les juifs ont fait ?
Matthieu 21, Marc 12, ils ont dit, voilà, l'héritier, tuons-le !
C'est ça la réponse du peuple.
Et il fallait donc que les juifs chrétiens révisent ce que leur propre nation avait fait avec l'héritier.
Donc ça commence par cette pensée spéciale, l'héritier.
Et ça va ensemble avec la pensée qu'il est fils.
Fils et héritier vont ensemble.
Mais nous verrons plus tard, toute l'emphase dans cet épitre est sur Christ comme fils.
Mais on verra plus tard, chapitre 2, que nous sommes aussi des fils.
Plusieurs fils, ou beaucoup de fils.
Le fils est unique.
Pas de question là-dessus, il est absolument unique.
Mais Dieu voulait avoir plusieurs fils, beaucoup de fils avec lui.
Chapitre 2 montre cela.
Et ainsi nous serons aussi, et nous sommes aussi héritiers avec lui.
Le fils héritier, nous sommes avec le fils héritier, et ainsi des fils et des héritiers, co-héritiers.
Notons de toutes choses, ça c'est une expression très précieuse.
Nous voyons dans l'évangile de Jean, que le Seigneur dit plusieurs fois,
« Mon Père m'aime et m'a donné toutes choses entre mes mains. »
Jean 3, Jean 5, Jean 13, Jean 16, Jean 17.
Plusieurs fois le Seigneur réfère à cela.
Et d'autres passages nous montrent cela aussi.
La deuxième pensée, par lequel aussi il a fait les mondes.
Donc on touche de nouveau au mystère de la Trinité.
Dieu a créé, par le fils, les mondes.
Nous voyons que Dieu est le créateur.
Nous voyons d'autres passages qui mettent l'emphase sur le fait que Christ est le créateur.
Est-ce qu'il y a une contradiction?
Non, il n'y a pas de contradiction.
Parce que Christ est Dieu.
Le fils est Dieu lui-même, comme on a dit déjà ici au début du verset 2.
Non, mais c'est quand même un mystère.
Dieu a créé, mais ici il a dit qu'il l'a fait par le fils.
Et l'autre expression que je voulais souligner, il a fait les mondes.
Ici c'est le mot qu'on connaît par siècle.
Donc ça nous parle aussi du fait que le Seigneur Jésus est en charge, pas seulement de ce vaste univers de l'espoir,
un univers insondable, qu'il est aussi en charge des temps.
Un peu semblable, comme Paul dit dans l'acte 17, au philosophe grec sur l'Arioparle, il dit dans l'acte 17 au verset 30,
Dieu donc ayant passé par-dessus les temps de Lyon-Reims, ordonne maintenant aux hommes de tous, en tous lieux, y se réparer.
Parce qu'il a établi un jour auquel il doit juger en justice la terre habitée par l'homme,
qu'il a destiné à cela, de quoi il a donné une preuve certaine à tous, l'ayant resté dans la mort.
Ici il parle de Christ ressuscité.
Mais avant cela, il nous parle du Dieu créateur,
il nous parle du fait que Dieu, au verset 26, il a fait d'un seul saint,
toutes les races des hommes pour habiter sur toute la face de la terre,
ayant déterminé les temps ordonnés, et les bornes de leur habitation.
On voit ici aussi que Dieu est en charge de l'histoire de l'humanité.
On voit dans ce passage-là, si vous voulez lire depuis le verset 23, 24,
Dieu créateur, il a fait le monde et toutes choses qu'il sent,
il est seigneur du ciel et de la terre, son autorité donc,
il soutient tout, mais aussi il dirige tout, toute l'histoire de l'humanité, les bornes de leur habitation.
Ensuite, Paul le présente comme sauveur, depuis le verset 30,
et s'il est rejeté, ainsi il sera le juge.
On voit ici Christ comme créateur, comme celui qui soutient l'univers,
comme celui qui contrôle l'histoire de l'humanité, comme sauveur et comme juge.
Et ce passage nous aide à comprendre aussi comment, dans Hébreu 1, verset 2,
il est dit, par lequel aussi il a fait les mondes,
si on réalise que le mot les mondes implique aussi la question du temps,
pas seulement l'espace, mais aussi la question du temps.
Il est en contrôle.
Troisième point étant le resplendissement de sa gloire.
Il est, pour ainsi dire, le vase que Dieu a utilisé.
Mais ce vase est tellement merveilleux qu'il reflète la gloire de Dieu.
On ne peut pas dire cela des prophètes qu'on parlait dans l'Ancien Testament,
ou les autres méthodes que Dieu a utilisées pour révéler sa pensée.
Mais ici nous voyons que celui que Dieu a utilisé pour parler,
il est en même temps le resplendissement de sa gloire.
On touche là aussi à ce mystère que plusieurs passages dans la Parole nous montrent en plus de détail,
dans Colossiens 1 et 2, et aussi dans Apocalypse 4, dans Jean 1 aussi.
Beaucoup de passages nous parlent de ce mystère.
Mais ça va encore plus loin que cela.
Il n'est pas seulement le resplendissement de sa gloire,
on pourrait le voir encore comme quelqu'un qui exprime ce que Dieu est,
sans qu'il soit ce Dieu élevé lui-même.
Mais le quatrième point qui suit maintenant, il est l'empreinte de sa substance,
nous montre qu'il est Dieu lui-même.
Et lorsqu'il parle, lorsqu'il se manifeste, il manifeste Dieu.
Et ce verset donc met ensemble ces deux mystères,
le mystère de la Trinité et le mystère de la personne de Christ,
Dieu et homme dans une seule personne.
1 Timothée 3, verset 16 le dit, sans doute le mystère de la piété est grand.
Dieu manifesté en chair.
C'est un mystère, pour la foi.
Jean 1, verset 14, la parole est devenue chair.
Qui peut s'en dire cela? C'est un mystère.
Et ainsi, ce verset souligne donc ce mystère.
Mais celui qui parle est Dieu lui-même.
Et ce Dieu est donc celui qui a révélé tout ce qui est dans le cœur de Dieu.
Parce que tout ce que Dieu voulait révéler, c'est lui qui l'a révélé.
Dans Jean 1, verset 18, on le voit qu'il a révélé le Père.
Et ainsi, on a comparé ces quatre points avec l'arche dans notre testament.
L'arche, on voit le voie de Siphtim,
le voie de Siphtim dans la version grecque est traduite comme la voie incorruptible.
Ça nous parle de l'humanité du Seigneur Jésus.
Une humanité incorruptible.
Il n'était pas touché par le péché.
Incorruptible.
En même temps, ce voie était couverte de deux côtés,
à l'intérieur et à l'extérieur, de l'or pur,
qui nous parle de sa déité.
Et ainsi, on voit dans ces versets qu'on a lus,
quelque chose de Christ comme on le voit dans l'arche.
Son humanité et sa déité.
Mais ça va encore plus loin maintenant.
Au verset 5, nous voyons ce qu'il fait.
Il soutient toutes choses.
Soutenant ici, c'est participer, et ça veut dire qu'il continue à soutenir tout le temps.
Chaque seconde, il soutient toutes choses.
Donc on a vu Dieu, lui a déjà donné cette place d'héritier de toutes choses.
Mais ici, nous voyons sa grandeur comme celui qui soutient toutes choses.
On voit plusieurs références, je pense maintenant à Daniel 5,
que même le souffle de tous les êtres humains est dans sa main.
Il soutient toutes choses, un peu comme on a vu aussi dans l'acte 17,
par la parole de sa puissance.
Dans le psaume 33, nous lisons que Dieu a parlé et la chose a été.
La chose a été, il a commandé et elle s'est tenue là.
La force de sa parole en création.
Mais ici, c'est la même parole ou la même personne qui parle pour soutenir.
Ça implique donc les lois de la nature, les lois de l'univers.
Comment garder tout cela sous contrôle?
C'est lui qui garde tout en contrôle et sous son contrôle.
Une puissance insondable.
Si le Seigneur Jésus arrêtait à soutenir, tout l'univers s'écroulait.
C'est un mystère bien aimé.
Le moment où le Seigneur Jésus était dans la crèche,
où sa mère Marie lui donnait de la nourriture,
il soutenait tout l'univers par la parole de sa puissance qui peut changer cela.
Le moment où les soldats ont crucifié le Seigneur Jésus,
c'est lui qui donnait la force aux soldats de le crucifier.
C'est un mystère qui peut changer cela.
C'est incompréhensible.
Et ça, c'est tout impliqué dans cette expression
soutenant toute chose par la parole de sa puissance.
Maintenant, le sixième point, ayant fait par lui-même la purification,
ayant fait, ce n'est pas ici, peut-être un jour il va accomplir cette œuvre.
Non.
Jean 19, on le dit.
C'est accompli.
Il l'a fait.
C'est accompli.
Ayant fait, il n'y a pas de doute.
C'est accompli.
L'œuvre de la rédemption.
Ce qu'on voit ici, le créateur, celui qui soutient toute chose,
comme on l'a vu tantôt, est aussi le rédempteur.
Et le rédempteur s'ensemble avec sa mort, son sacrifice et sa mort,
mais s'ensemble aussi avec sa réjurrection.
Parce que tout cela est impliqué dans le fait qu'il est le rédempteur.
Sans sa réjurrection, on serait encore perdus.
On serait encore dans nos péchés.
Par lui-même, il n'a pas utilisé des anges
ou des outils comme dans le judaïsme.
Il a fait tout par lui-même.
La purification des péchés.
Ce mot purification est un mot important pour le service lévitique.
On verra plus tard que le service lévitique ne pouvait jamais accomplir les choses.
C'était pour un temps, mais jamais de perfection ou d'accomplissement.
Ici, l'heure est accomplie, la purification est accomplie,
ça a été fait par lui-même et c'est réglé une fois pour toutes.
C'est tout impliqué.
La question des péchés aussi, verset 3 à la fin.
La purification des péchés.
C'est très général ici, cette expression,
mais c'est une très belle expression.
Pour donner une illustration.
Un moment donné, le Seigneur Jésus a touché un lépreux.
Sous la loi, quelqu'un qui touchait un lépreux devenait impur.
Le Seigneur a touché le lépreux.
Est-ce que le Seigneur est devenu impur?
Impossible.
Le lépreux a été guéri.
Donc ça nous montre la puissance de purification.
Et cette puissance qui est illustrée là, dans cette histoire-là,
est présente ici, dans ce verset-là.
Septième point, et on finit par ce septième point.
Il s'est assis à la droite de la majesté dans les hauts lieux.
C'est une accumulation d'expressions pour souligner la grandeur de sa personne.
D'abord, il s'est assis.
Il est vrai que Dieu l'a fait asseoir, verset 13.
Assieds-toi à ma droite.
Dieu lui a donné un commandement.
Mais là, il est vu comme homme aussi.
Mais ici, il est vu dans sa grandeur, la grandeur de sa personne.
C'est lui qui est monté.
C'est lui qui s'est assis.
Il est vrai.
Dieu l'a fait asseoir.
Dieu lui a dit, assieds-toi.
Mais ici, ce n'est pas dit comme ça.
Ici, il est dit, il s'est assis.
C'est pour souligner la grandeur de sa personne.
Et dans ce contexte-là, on peut donc dire,
toute l'emphase ici est sur la grandeur de sa personne.
Et à cause de cette grandeur-là, il pouvait s'asseoir.
Au verset 13, comme j'ai cité tantôt, verset 13,
c'est dans le contexte du millennium.
Dans le millennium, il y aura un homme duquel Dieu dira, assieds-toi à ma droite.
Non, excusez-moi.
Dans le millennium, ce sera vu publiquement que Dieu lui a dit cela.
Mais nous, par la foi, nous savons déjà que Dieu lui a dit, assieds-toi à ma droite.
Mais l'accomplissement public, dans le sens où tout le monde va reconnaître
que le Seigneur Jésus a eu cette place à la droite de Dieu,
ce sera seulement vu dans le millennium.
Mais nous le voyons déjà maintenant par la foi.
Et cette expression-là revient encore quelques fois dans cet épitre.
Et on va revenir à ça.
Mais cinq fois, on a cette expression que le Seigneur Jésus est à la droite.
Ici, c'est à cause de la grandeur de sa personne.
Plus tard, on verra, c'est à cause de la grandeur de son ministère, dans le chapitre 8.
Ou à cause de la grandeur de son sacrifice, l'œuvre accomplie.
Ou à cause de la grandeur de sa mort qu'il a accomplie, dans le chapitre 12.
Donc on va revenir à cette pensée-là plusieurs fois.
Mais chaque fois, c'est un contexte différent.
Mais ici, l'emphase est sur le fait qu'il est suprême, supérieur.
Et à cause de cela, il peut s'asseoir dans la présence de Dieu.
À la droite, ça veut dire une place d'honneur, une place d'autorité, une place de faveur, une place de puissance.
Et le mot « majesté » souligne donc la pensée de la grandeur.
La position qu'il a est une position de grandeur.
On pourrait traduire ce mot comme ça.
Il s'est assis à la droite de la grandeur, dans les hauts lieux.
C'est encore ajouté, dans les hauts lieux.
Donc c'est une accumulation.
D'abord, le repos, il s'est assis.
L'œuvre a été accomplie, il s'est assis.
Mais on verra dans cet épisode, il s'est assis, mais il est très actif.
Ça ne veut pas dire qu'il ne fait rien.
Le Seigneur s'occupe de nous.
On verra dans chapitre 4, il est là sur le trône de la grâce.
On verra plusieurs détails, comment le Seigneur Jésus s'occupe maintenant d'Étienne.
Mais c'est dans cette position-là.
Peut-être on pourrait dire, lorsque Étienne était lapidé, il s'est levé pour recevoir Étienne.
Mais peut-être c'est aussi qu'il attendait encore, en ce moment-là, pour revenir pour le peuple juif.
Et ensuite, il s'est assis.
En tout cas, lorsque Paul a écrit ici, c'était longtemps après la mort d'Étienne.
Et on voit ici que le Seigneur Jésus s'était assis.
Dieu lui a donné cette place d'honneur et de puissance et de gloire, de majesté, dans les hauts lieux.
Ce n'est pas dans le temple de Salomon.
On voit dans le temple de Salomon la gloire de l'Éternel.
Où est la gloire maintenant?
Dans le ciel.
Christ dans la gloire.
La gloire de l'Éternel est là.
Et ainsi, il fallait que les juifs chrétiens voient par l'œil de la foi, en haut, dans les hauts lieux.
Pas dans le temple ou quelque part sur la terre.
Donc, en anglais, on dit « des sectes de tombe ».
Ce verset-là nous prépare pour ce qui va suivre.
Et je dis aussi un principe général.
Souvent, il mentionne un détail.
Il va revenir à cela plus tard.
Donc ici, on a vu déjà sept détails qui sont développés,
mais quelques détails sont développés beaucoup plus tard dans cette pépite.
Par exemple, la question de la purification est développée plus tard.
La question de sa position présente, comme le vrai Métisédèque, est développée plus tard.
Et ce sera souvent le cas, il mentionne un point qui est développé plus tard.
Mais on est impressionné. …
Transcripción automática:
…
L'Épître aux Hébreux
On a parlé déjà de quelques versets, mais c'est peut-être bon de relire le chapitre, ou relire ces versets et puis lire le reste.
L'Épître aux Hébreux, premier chapitre.
Dieu, ayant autrefois à plusieurs reprises et en plusieurs manières parlé au Père par les prophètes, à la fin de ces jours-là nous a parlé dans le Christ qu'il a établi héritier de toute chose, par lequel aussi il a fait les mondes,
qui étant le resplendissement de sa gloire et l'empreinte de sa substance, et soutenant toute chose par la parole de sa puissance,
ayant fait par lui-même la purification des péchés, s'est assis à la droite de la majesté dans les hauts lieux,
étant devenu d'autant plus excellent que les anges, qu'il a hérité d'un nom plus excellent qu'eux.
Car auxquels des anges a-t-il jamais dit, tu es mon fils, moi je t'ai aujourd'hui engendré?
Et encore, moi je lui serai pour père et lui me sera pour fils.
Et encore, quand il introduit le premier-né dans le monde habité, il dit, et que tous les anges de Dieu lui rendent hommage.
Et quant aux anges il dit, qui fait ces anges des esprits et ces ministres d'une flamme de feu?
Mais quant au fils, ton trône, ô Dieu, demeure au siècle des siècles. C'est un secte de droiture que le secte de ton règne.
Tu as aimé la justice et haïs l'inquité. C'est pourquoi ton Dieu t'a loin d'une huile de joie au-dessus de tes compagnons.
Et toi, dans les commencements, Seigneur, tu as fondé la terre et les cieux sont les heures de tes mains.
Eux, ils périront, mais toi, tu demeures. Et ils vieilliront tous, comme la vie, et tu les plieras comme un vêtement.
Et ils seront changés, mais toi, tu es le maire, et tes anges ne cesseront pas.
Et auxquels des anges as-tu jamais dit, assieds-toi à ma droite jusqu'à ce que j'ai mis tes aiguilles pour marcher de tes pieds?
Ne sont-ils pas tous des esprits administrateurs envoyés pour servir en faveur de ceux qui vont hériter du salut?
Donc on a parlé ensemble déjà de l'introduction et on a parlé assez longtemps de l'introduction.
Ensuite, on a parlé de ces sept points concernant la personne bénie de notre Saint Jésus et concernant son œuvre, soit de créateur, soit de la rédemption.
Et on a vu que dans cet épître, l'exercice est de présenter la splendeur de sa personne, son excellence, sa suprématie, pour qu'il soit présenté comme un objet attirant pour nous attirer.
Nous avons vu ces sept points et maintenant, ce soir, on a sept autres points.
Et je voulais donner d'abord les grandes lignes.
C'est remarquable qu'il y a sept citations de l'Ancien Testament que nous avons vues ensemble.
Six concernant Christ et une citation concernant les anges.
J'aimerais d'abord donner ces sept points et ensuite on parlera de quelques détails.
Ce que l'auteur, on a vu, c'est Paul, mais ce que l'auteur mentionne dans ces versets qu'on a vus, versets 4 jusqu'à la fin du chapitre,
son exercice est de montrer que le Seigneur Jésus est plus haut que les anges, plus haut que les anges.
C'est le premier point au verset 4.
Ensuite, nous verrons au verset 7 que son trône, donc le trône du Seigneur Jésus, est au-dessus de tous les autres trônes.
Le mot au-dessus, c'est comme un mot-clé.
Il est plus haut, au-dessus.
C'est un mot-clé pour cet épitre.
Au-dessus des anges, au-dessus de tous les autres trônes.
Au verset 9, il est au-dessus de ses compagnons.
On va voir tantôt c'est qui les compagnons, ses compagnons.
Mais il est au-dessus de ses compagnons.
Au verset 10 à 12, nous verrons que le Seigneur Jésus, qui est le créateur, comme nous avons vu la dernière fois,
est quand même au-dessus de cette création-là.
Et donc, lorsque la première création va disparaître, il va demeurer, parce qu'il est au-dessus de la création.
Au verset 12, nous avons le cinquième point.
Il est au-dessus le temps, au-dessus du temps, au-dessus du temps.
Ça va ensemble avec l'autre pensée, évidemment.
Et là, par rapport à cette pensée-là, il est adressé comme étant le même.
C'est le nom de Dieu.
Dieu est appelé le même.
Et le humble Jésus de Nazareth, il est le même.
C'est le nom de Dieu.
Et dans Hébreu 13, verset 8, nous voyons Jésus-Christ est le même.
C'est son nom. Il est le même.
Donc, même comme homme, Jésus-Christ, il reste le même, mais il reste aussi le même, ce nom de l'éternel.
Mais il reste aussi le même, ce nom de l'éternel.
Le sixième point, il est au-dessus des ennemis, verset 13.
Assieds-toi à ma droite jusqu'à ce que j'ai mis tes ennemis pour marche-pieds, pour pieds-pieds.
Donc, il est au-dessus, de nouveau ce mot clé, au-dessus, plus haut que les ennemis.
Verset 14, encore une fois, il est au-dessus des anges.
Donc, ces sept points, on va discuter un peu ce soir.
Un autre mot clé dans cet épître, c'est le mot plus excellent, verset 4.
Plus excellent, ou meilleur, on pourrait traduire meilleur.
Ce mot revient souvent, et dans la lecture de cet épître, c'est toujours bon de se rappeler que c'est un mot clé qui va nous guider pour montrer un contraste.
Un contraste entre le système judaïque, on en a parlé la dernière fois, et maintenant, ce nouveau système que le Seigneur Jésus a introduit.
Il y a un contraste, et ce contraste est marqué par le mot meilleur ou plus excellent.
Ici, le contraste n'est pas avec le système judaïque nécessairement, mais indirectement, oui, parce que les juifs avaient reçu la loi par la transmise des anges.
Galate 3 démontre que la loi a été donnée par des anges, et aussi Étienne dans Acte 7, Mansonne, le service des anges.
Donc, les anges avaient un service très élevé par rapport au système judaïque.
Mais, la personne qui est présentée ici était au-dessus de ces anges.
C'était important pour les juifs chrétiens à ce moment-là de réaliser cela.
Mais, c'est important pour nous aussi, et on verra plus tard dans cet Épitre, le Seigneur Jésus est plus haut que Moïse, plus haut qu'Aran, plus haut que David, plus haut que Salomon, plus haut que Lévi.
Il y a beaucoup de comparaisons dans cet Épitre qui nous montrent ce contraste, que le Seigneur Jésus est plus excellent, plus élevé, au-dessus de tous.
Et il est dit aussi pourquoi il a hérité d'un nom plus excellent qu'eux.
Ici nous avons le nom.
Et si vous voulez étudier les écritures qui nous parlent du nom du Seigneur Jésus, vous seriez impressionnés.
Son nom, à la naissance, exprime déjà la pensée qu'il est Jéhovah, l'Éternel Sauveur Jésus.
Et en même temps, il est appelé Emmanuel, parce que Dieu est avec nous. Il est Dieu lui-même.
Je donne juste quelques exemples. Dans Philippiens 1, le même mot excellent est utilisé, meilleur.
Lorsque Paul parle de son désir d'être avec Christ qui est beaucoup meilleur.
Mais dans ce même Épitre, il parle dans le deuxième chapitre que ce nom du Seigneur Jésus est au-dessus de tout nom.
Ça m'a frappé, je veux juste mentionner quelques points, ça m'a frappé.
Dans Jean 3, verset 31, le Seigneur est au-dessus de tous.
Dans Acte 26, lorsque Paul donne un résumé de sa rencontre avec le Seigneur dans la gloire, il parle d'une lumière qui était au-dessus de la splendeur du soleil.
Cette lumière, on parle du Seigneur Jésus, il est au-dessus de la splendeur du soleil.
Dans Ephésia 1, nous avons 7 points à la fin du chapitre qu'il est au-dessus de toute autorité, de toute domination, etc.
Il y a 7 points qui sont mentionnés là. Le Seigneur est au-dessus.
Dans Ephésia 4, il est au-dessus de tous les cieux, pas seulement au-dessus des cieux, mais au-dessus de tous les cieux.
Dans Philippia 2, il est dit qu'il est au-dessus de tout nom, de tout nom.
Ici, on a vu dans chapitre 1, verset 9, qu'il est aussi au-dessus de ses compagnons, on parlera de cela.
Et un peu plus loin, dans Hébreu 7, nous voyons qu'il est plus haut que les cieux.
Donc, tous ces versets soulignent la grandeur du Seigneur Jésus. Il est au-dessus de tout.
On a vu déjà au verset 2 que Dieu avait établi Christ comme héritier avant qu'il crée le monde.
Et ici, nous voyons que le Seigneur Jésus a hérité d'un homme plus excellent qu'eux.
Ici, je pense aussi, on voit son humanité.
On ne peut pas séparer l'aspect de la déité de l'humanité du Seigneur Jésus parce qu'elle est la même personne.
Mais peut-être on voit ici l'emphase sur l'humanité.
Et c'est beau de souligner cela, le Seigneur Jésus a hérité quelque chose.
Mais au verset 14, nous voyons les croyants aujourd'hui.
On parlera du service des âmes, mais ensuite, il est dit au verset 14, en faveur des âmes dont servent les croyants qui vont hériter du salut.
Donc, nous aussi, on va hériter quelque chose.
Le salut, donc, dans son aspect futur.
On a déjà le salut de nos âmes, un tiers d'eux, mais ici, c'est un aspect futur.
Et dans ce sens-là, nous allons hériter.
La pensée que nous, comme croyants, allons hériter, c'est une pensée qui revient souvent.
Dans l'apocalypse fin italien, c'est les vainqueurs qui vont hériter.
Donc, on pourrait se poser cette question-là, est-ce que je suis vraiment un vainqueur?
Pour Dieu, il faut être un vainqueur pour pouvoir hériter.
D'autres passages nous montrent que la chair et le sang ne peuvent pas hériter du royaume de Dieu.
C'est impossible.
Dans Chrétien 15, Galate 5, ça nous montre que cet héritage que Dieu veut nous donner n'a rien à faire avec quoi que ce soit de la chair ou de ce que l'homme puisse produire.
Mais on a donc quelque chose en commun avec le Saint-Gilles, ça c'est mon point.
Il va hériter d'un nom plus excellent que les Indes.
Et nous, on va hériter de sa lutte.
Un autre point que je voulais souligner ici, c'est donc la pensée du nom.
J'ai parlé déjà du nom, au-dessus de tout nom.
Et ce nom représente sa personne.
Ça représente ce qu'il est en lui-même.
Ça représente son autorité.
Et dans Jean 20, par exemple, vous donnez un exemple, ce nom est tout suffisant.
C'est un autre aspect de ce nom.
C'est un nom tout suffisant.
Ces choses sont écrites afin que vous croyez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu'en croyant en son nom, vous ayez la vie.
Donc le nom représente sa personne.
C'est par rapport au salut, pour accepter le salut.
C'est par rapport aussi de cette jouissance de la vie éternelle, comme Jean 20 le montre.
C'est tout par lui.
On n'a rien aujourd'hui d'énumé.
Toutes nos bénédictions que nous avons, on ne peut rien détacher de la personne du Seigneur Jésus.
On a tous, par rapport à lui, par rapport à son nom qui est plus excellent que quel autre nom que ce soit.
Si on étudie cela, on verra que le nom du Seigneur Jésus à la base, pour le rassemblement, Matthieu 18, 1 Corinthiens 1, verset 2.
Et on verra aussi que ce nom est important pour un jour de l'huile, 2 Timothée 2, verset 19.
C'est ce nom-là.
Donc vous pouvez étudier cela en détail, mais ça nous montre que le nom est la base.
Le nom du Seigneur Jésus est la base de tout.
Dans l'acte 4, Pierre l'a dit déjà, le salut est un nom qu'un autre.
Il n'y a aucun autre nom par lequel il ne faille être sauvé.
Donc la puissance qui est attachée à ce nom, c'est parce que ce nom appartient au Seigneur Jésus.
C'est lui qui a cette puissance pour donner la vie.
C'est lui qui est le chef, c'est lui qui est le centre du rassemblement, etc.
Ça m'a frappé de voir dans le livre de Malachie, peut-être vous avez lu le dernier livre de l'Ancien Testament,
le nom de l'Éternel, ou mon nom, ou son nom, est mentionné dix fois, dix fois.
Et là le peuple avait méprisé ce nom.
Aujourd'hui, si on lit un tel verset que le Seigneur Jésus a hérité d'un nom plus excellent que les anges,
est-ce que nous apprécions ce nom?
Est-ce que nous sommes indifférents comme les gens d'un temps de Malachie?
Ou est-ce que ça nous touche?
Est-ce que nous sommes heureux que le Seigneur Jésus a ce nom parce qu'il est mon Seigneur?
Quel nom merveilleux!
On chante quelquefois de ce nom.
Et vous pourriez étudier aussi le livre d'Apocalypse pour le nom.
Le nom qui est tellement merveilleux, en contraste avec le nom que les gens vont porter pendant la Grande Tribulation pour suivre l'Antéchrist,
le nom des vainqueurs est lié à ce nom du Seigneur Jésus.
En tout cas, c'est un sujet important pour toutes les dispensations, mais surtout pour nous aujourd'hui.
Verset 5.
Auxquels des anges a-t-il jamais dit, Tu es mon Fils?
Donc, il donne ici son premier argument.
Il va montrer maintenant pourquoi le Seigneur Jésus est plus élevé que les anges.
Il va le montrer.
Il a dit déjà au verset 4 qu'il a hérité d'un nom plus excellent que les anges,
mais maintenant il va montrer pourquoi le Seigneur Jésus est plus élevé que les anges.
Et il pose cette question-là.
Auxquels des anges a-t-il jamais dit, Tu es mon Fils?
Il n'y a pas d'anges auxquels Dieu a dit, Tu es mon Fils.
Moi, je t'ai aujourd'hui engendré.
Chaque ange a été créé par Dieu.
Mais il n'y a aucun ange auxquels Dieu a dit, Tu es mon Fils.
Moi, je t'ai aujourd'hui engendré.
Donc ici, c'est une référence à l'incarnation.
On voit ici le Seigneur Jésus.
On parlait de cela la dernière fois un peu.
L'humble bébé dans la crèche.
C'était la première fois que les anges ont vu leur Créateur.
Lorsqu'il était comme petit bébé dans la crèche.
1 Timothée 3 le dit au verset 16 que là les anges ont vu leur Créateur.
C'est bien clair qu'il est au-dessus des anges parce qu'il est leur Créateur.
Donc, le point ici, c'est que cette personne qui est présentée ici est appelée mon Fils.
Mais là vous direz peut-être, oui, mais c'est le Seigneur Jésus comme homme.
Lorsqu'il est né, lorsque l'ange a annoncé à Marie, l'ange Gabriel dans l'Ukraine a annoncé que le Seigneur Jésus serait né,
qu'il serait grand, qu'il aurait le royaume de son père David, etc.
Mais il ne faut pas oublier qu'en même temps il est le Fils qui est dans le sein du Père.
C'est un mystère.
Mais je pense que l'auteur donne ici son premier argument pour montrer que le Seigneur Jésus est au-dessus des anges.
Même lorsqu'on voit le Seigneur Jésus dans la crèche comme un petit bébé, il était en même temps au-dessus des anges.
C'est un mystère, mais c'est vrai. Pourquoi? Parce qu'il était le Créateur des anges.
Dans l'ordre de la Création, les êtres humains sont au-dessous des anges.
Mais lorsque le Créateur entre dans sa création, Colossien 1 l'explique aussi, il faut qu'il soit le premier.
Et ainsi, même comme homme, appelé Fils de Dieu, même comme homme, Fils de Dieu, il était au-dessus des anges.
Donc, pour comprendre ce point-là, il fallait presque lire Jean 1, Colossien 1, pour vraiment saisir cela, ensemble avec Luc 1, l'annonce de l'âme.
Donc ici nous avons le mystère de l'incarnation.
Ensuite, on a une deuxième citation.
Moi, je lui serai pour père, et lui me sera pour fils.
Il y avait donc une relation entre Dieu et ce Fils qui est né.
Le Fils de David, il est le Fils de Dieu. C'est une relation précieuse.
Le Fils de David, c'est donc Salomon.
Et Salomon, le prince de la paix pacifique, est appelé aussi Zédidia, aînée de Jérôme.
Et ainsi, il y avait une relation intime entre le Fils de David et Dieu.
Mais, Salomon, Zédidia, était donc une image du Seigneur Jésus comme homme sur la terre.
Et ainsi, le Seigneur Jésus a joui de la communion avec son père.
Donc, on pourrait dire, verset 5, c'est sa naissance.
Dans sa naissance, au-dessus des anges.
Le verset 5 au début.
Le verset 5 à la fin, nous parle de la vie du Seigneur Jésus.
Sa communion avec Dieu.
Dieu était son père. Il avait la communion avec Dieu.
Vous voyez, d'abord la naissance, ensuite la marche du Seigneur Jésus.
Et dans sa marche, il a joui de cette relation avec Dieu, comme étant son père.
Au verset 6, on va encore un peu plus loin.
Et encore, quand il introduit le premier-né dans le monde habité, il dit que tous les anges de Dieu lui rendent hommage.
Je suggère que dans le temps, on va ici plus loin, on va jusqu'au millénium, lorsque le Seigneur Jésus va revenir pour régner.
Mais en principe, c'est vrai aussi par rapport à la naissance.
Dieu a introduit le premier-né dans le monde habité.
Et là, tous les anges l'ont adoré.
On peut voir cela dans Luc 2.
Tous les anges ont loué Dieu par rapport à la naissance du Seigneur Jésus.
Les anges ont vu lorsque Dieu a ouvert le ciel, trente ans plus tard.
Mais, je pense ici, c'est aussi une référence au début du millénium, lorsque Dieu va introduire publiquement, publiquement, son premier-né dans le monde habité.
Lorsque tous les anges de Dieu lui rendent hommage.
Ici, son règne commence.
Donc, vous voyez aussi l'ordre chronologique, la naissance du Seigneur, sa marche sur la terre.
Ici, son retour, Dieu va l'introduire.
Et pour finir cette pensée-là au verset 8, c'est vraiment le trône dans le temps du millénium.
Et au verset 11, on verra l'état éternel.
Lorsque la première création va disparaître, il est dit tantôt le Seigneur, il demeure.
Il est au-dessus de la première création, il est au-dessus du temps, il demeure.
Voilà, c'est l'introduction de l'état éternel.
Donc, juste pour suivre cette lignée chronologique.
Maintenant, je veux revenir à une expression au verset 6.
Et encore quand il introduit le premier nom.
C'est beau de voir cela.
Bien-aimé, il y a dans cet épître l'emphase sur le Seigneur Jésus.
En même temps, tout le temps, il y a un lien avec les croyants.
Si le Seigneur Jésus est fils, on a vu cela la dernière fois, il est le fils.
Dans cet épître, on verra que nous, les compagnons du verset 9, sommes des fils.
Si nous voyons ici le Seigneur Jésus comme le premier-né, ça veut dire qu'il a une relation avec d'autres,
et nous appartenons à cette race de laquelle il est le premier-né.
Il est le premier d'entre beaucoup d'affaires.
Il est le premier-né de la création, évidemment, on parlait de cela dans Colossien 1.
Il est le premier-né de la résurrection, aussi dans Colossien 1, et ainsi donc le premier-né de la nouvelle création.
Il est aussi le premier-né de beaucoup de fils romaniques, et entre beaucoup d'affaires hébreux d'eux.
Et il est le premier-né des morts, Apocalypse 1.
Donc le Seigneur Jésus est cinq fois le premier-né.
Là, c'est toujours par rapport à son humanité.
On ne peut pas détacher l'humanité de sa déité.
Je l'ai dit, c'est la même personne.
Mais lorsque la Bible parle de lui comme étant le premier-né, l'emphase est sur son humanité.
Et ainsi, il est le premier-né d'une nouvelle race, et nous appartenons à cette race.
Mais lui, il est le premier-né.
Et c'est beau de voir l'équilibre de l'écriture, parce que cinq fois il est appelé le fils unique.
Jean 3, et d'autres places, cinq fois il est appelé le fils unique.
Et ça c'est pour mettre l'emphase sur lui comme le fils éternel.
Il est le fils éternel dans le sein du peuple.
En même temps, il est vu ici comme homme, le premier-né.
Il a toujours la première place.
Comme homme, le premier-né.
En même temps, il est Dieu béni, il est le fils unique.
Un mystère béni.
Mais on peut se réjouir dans le Seigneur Jésus en voyant sa grandeur.
Et lorsqu'on étudie ce passage qu'il est le fils unique, on peut dire, c'est mon Seigneur.
On se réjouit, parce que c'est mon Seigneur.
Au verset 6, je pense qu'il avait encore pensé...
Oui, il a pensé que Dieu introduit.
Comme Dieu a introduit un nouveau roi, David, en Samuel 16,
Dieu aime introduire cet ordre nouveau.
On voit dans cette histoire de David, Dieu introduit un nouveau roi,
qui représentait un nouvel ordre de choses.
Ainsi, Dieu aime introduire ici le premier-né, qui représente un nouvel ordre de choses.
Et ainsi, Dieu aime introduire ce nouvel ordre de choses.
Si vous faites attention, vous allez voir cela souvent.
L'autre expression que j'aimerais souligner, c'est le mot d'habiter.
Le mot d'habiter, ce mot est utilisé, par exemple, dans Luc 2, lorsque le Seigneur Jésus est mort.
L'empereur romain avait donné des ordres, un décret, pour que les Juifs soient inscrits dans leur lieu où leurs ancêtres étaient.
Et ainsi, Joseph, à 10 minutes ou, est allé à Bethléem pour être inscrit.
Et là, le même mot, le mot d'habiter, est utilisé.
Là, c'est sous le contrôle de l'empereur romain.
Même si on lit bien, on voit que Dieu est en contrôle.
Mais ici, le mot d'habiter, ce sera le mot du millenium, où Dieu est publiquement en contrôle.
Dans Luc 2, Dieu est en contrôle, derrière les coulisses, pour ainsi dire.
Mais ici, le début du millenium, Dieu sera en contrôle de ce monde d'habiter, de ce monde où le Seigneur Jésus sera être humain.
C'est un mot intéressant, parce que ce mot, monde d'habiter, dans l'original, fait penser à une maison.
Une maison, ainsi, toute la création sera comme une maison pour Dieu.
Une pensée qu'on trouvera plus tard dans cet épisode.
Maintenant, le verset 7, on a la quatrième citation, la troisième, on a vu au verset 6, que tous les anges de Dieu virent un dommage.
Maintenant, au verset 7, on a la quatrième citation.
Qui fait ces anges des esprits et s'éministre une flamme de feu ?
Donc, Dieu fait ces anges des esprits.
Et puis, cela est dit, c'est une citation qui représente, pour donner un contraste au verset 8,
Mais, quant au Fils, ton trône, oh Dieu, demeure au siècle des siècles.
Il faut comprendre cela, verset 7, les anges ont été faits des esprits.
Mais est-ce que Dieu a fait le Fils, dans ce sens-là ? Non.
Il est Dieu béni. Il est Dieu au-dessus de toute chose.
Et on voit cela, ton trône, oh Dieu, il est Dieu.
Donc, il est au-dessus des anges. Il n'est pas fait comme des esprits ou comme une flamme de feu.
Il est Dieu lui-même.
On a vu, au verset 5, car auquel des anges a-t-il jamais dit, tu es mon Fils ?
Là, on a pensé au Seigneur Jésus dans la crèche.
Donc, son humanité.
Quand même, il est mon Fils.
Mais ici, nous voyons la même personne, au verset 8, il est le Fils.
Donc, cela implique aussi le Fils éternel.
Ton trône, oh Dieu, il est Dieu lui-même.
Demeure au siècle des siècles.
Et c'est un cercle de droiture que le cercle de temps règne.
Voilà, on voit le règne millénaire avec sa droiture.
Ce mot « droiture » revient souvent dans l'Epsaume.
Et c'est un mot qui nous parle aussi du caractère d'honnêteté du Seigneur Jésus, de son règne.
Que tout était vraiment honnête.
Et ainsi, le sceptre de son règne sera marqué par cette honnêteté, par cette droiture.
Et le premier point est que son trône, comme j'ai dit tantôt, est donc au-dessus de tous les autres trônes, parce qu'il est Dieu lui-même.
Et au verset 9, tu as aimé la justice.
Pendant sa vie, il a aimé la justice.
Quel contraste avec le premier Adam, il a préféré se faire séduire par sa femme.
Sa femme s'est fait séduire par le serpent.
Ils n'ont pas aimé la justice.
Mais le Seigneur Jésus était motivé par cet amour.
Il a aimé la justice.
Jusqu'à quel point?
Pour se donner comme sacrifice.
Ainsi, le Seigneur Jésus a aimé la justice.
Il était prêt à se donner en sacrifice.
Pour être fait péché de chrétiens saints.
Afin que nous devinions la justice de Dieu en lui.
Quel amour! Quel dévouement!
Et ainsi, il a haï l'iniquité.
Ce mot veut dire ce qui est sans loi.
Et ce mot est vraiment caractéristique pour notre temps.
Paul parle déjà du mystère de l'iniquité.
De Thessaloniciens 2.
Ca marque nos vœux.
Mais le Seigneur Jésus a haï l'iniquité.
Nous devons être marqués par cela aussi.
Qu'on ne peut pas faire des compromis avec l'iniquité.
Nous vivons dans un temps où le mystère de l'iniquité est là au milieu de la chrétienté.
De Thessaloniciens 2 et d'autres passages nous montrent.
Mais nous devons suivre l'exemple du Seigneur Jésus qui a haï l'iniquité.
Il y a plusieurs pensées au verset 7 que j'ai oublié tantôt.
Mais on va revenir à ça.
Les anges sont des ministres.
Mais le Seigneur Jésus, il a son trône.
Il est roi.
Et c'est beau de voir que le mot sceptre, c'est le même mot qui est utilisé par exemple pour le bâton du berger.
Donc Jacob avait son bâton dans Genève.
Et Moïse avait son bâton.
C'est le même mot dans le grec pour sceptre.
C'est beau de voir ça.
Donc ça veut dire que Jacob et Moïse avaient appris déjà de ces principes.
Ils étaient en accord avec le sceptre de droiture.
Et ainsi nous devons aujourd'hui nous exercer pour être moralement en accord avec ce sceptre.
Une autre expression que j'aimerais souligner au verset 9, c'est pourquoi Dieu, ton Dieu, t'aouine d'une huile de joie au-dessus de tes compagnons.
Donc là, le verset 9 continue la pensée que le Saint Jésus son trône.
Il est au-dessus de tout.
Il est Dieu.
Mais maintenant le verset 9 cite l'option 45 aussi pour dire Dieu, ton Dieu.
Donc là nous voyons déjà qu'il y a une distinction dans la déité.
C'était encore caché dans l'Ancien Testament.
Mais dans le Nouveau Testament, la Trinité s'est révélée.
Et ici le langage de l'Ancien Testament donne de la place déjà pour la vérité de la Trinité qui était en soi cachée dans l'Ancien Testament.
Et le point que j'aimerais souligner, c'est que Dieu aouine le Saint Jésus.
Il t'aouine d'une huile de joie.
Cette référence, ce n'est pas à l'occasion dans les Évangiles où nous voyons que l'Esprit est descendu pour être sur le Seigneur Jésus.
Et dans Acte 10, nous voyons que Pierre dit que le Seigneur Jésus a été ouin.
Donc le moment où l'Esprit Saint est descendu comme une colombe et resté sur sa tête, à ce moment-là, Dieu a ouin le Seigneur Jésus.
C'est la première fois.
Mais, lorsque le Seigneur Jésus avait accompli son œuvre, lorsqu'il est sorti du tombeau et quarante jours plus tard, Dieu l'a exalté, il est monté dans les ciels.
On a vu cela la dernière fois avec cette Troie.
Il s'est assis à la droite de la Majesté.
À ce moment-là, Dieu l'a ouin à nouveau dans la gloire.
Et cette onction, par la grâce de Dieu, nous partageons, pour ainsi dire, cette onction.
Parce que c'est l'Esprit Saint qui ensuite est descendu du ciel.
Et nous sommes donc vus, les croyants sont vus comme des compagnons du Seigneur Jésus.
Littéralement, on pourrait penser aux disciples qui étaient des compagnons du Seigneur Jésus au début.
Comme les deux disciples qui étaient Jean le Baptiseur, ils ont commencé à suivre le Seigneur Jésus, Jean I.
Ils sont devenus ses compagnons, plus ou moins.
Et plus tard, les autres croyants à ce moment-là aussi, comme on voit dans les actes plus tard, ils étaient ses compagnons, ils se sont identifiés avec lui.
Mais aujourd'hui, c'est notre privilège d'être identifiés avec le Seigneur Jésus.
Comme les restes fidèles dans les jours à venir, ils seront aussi ses compagnons.
Et le Seigneur Jésus, il apprécie d'avoir des compagnons dans le temps où il est rejeté sous la terre.
Donc ça c'est notre privilège d'être des compagnons qui ont la même part avec lui.
Quand même, il y a une grande différence parce qu'il est au-dessus.
C'est toujours comme ça.
Si le Seigneur Jésus est le fils des fils, il est au-dessus de nous.
On verra plus tard, le Seigneur Jésus est LE grand sacricateur au-dessus de nous, évidemment.
Mais nous sommes aussi des sacricateurs.
Et ici, nous voyons des croyants comme des compagnons.
Le mot « compagnon » est bien évident, bien clair, il est au-dessus de ses compagnons.
Le mot « compagnon » implique la pensée d'avoir une même part.
Et cette pensée revient au chapitre 3, c'est très beau de voir ça.
C'est pourquoi, très simple, participant, c'est la même pensée.
Au verset 14, nous sommes devenus les compagnons du Christ.
Si du moins, nous retenons ferme jusqu'au bout le commencement de notre assurance.
Et nous verrons, Dieu vous lache, au chapitre 2, sept liens entre Christ et nous.
Donc, il y a des liens intimes entre Christ et nous.
Et de plusieurs façons, Dieu a établi ces liens.
Donc, la pensée que nous sommes des compagnons revient plusieurs fois dans cette épiqueur.
Quel privilège !
Mais il faut toujours penser qu'il est au-dessus de tous.
Au verset 10 maintenant, l'autre citation,
« Toi, dans les commencements, Seigneur, tu as fondé la terre et les cieux sont les œuvres de tes mains.
Eux, ils périront, mais toi, tu demeures. »
Donc, ici, nous voyons le Seigneur Jésus comme le créateur,
qui a créé tout, qui a fondé la terre.
Et maintenant, il dit que ses œuvres vont périr.
Mais, en contraste, tu demeures.
C'est pour souligner de nouveau sa grandeur.
Et comme j'ai dit au début, ça nous montre que le Seigneur Jésus est au-dessus de la première création.
Et verset 11 va un peu plus loin,
« Ils vieilliront tous comme un habit, et tu les plieras comme un vêtement, et ils seront changés, mais toi, tu es le même. »
Là, on doit arrêter, on est mal.
Ici, Paul donne son troisième argument.
Comme humble bébé dans la crèche, il est quand même le fils au-dessus des anges.
Ici, dans le contexte du monde millénaire, son trône au-dessus de tous les autres trônes, il est Dieu lui-même,
et Dieu l'a loin, mais ici, il va encore encore plus loin.
Ici, il montre que le Messie rejeté, si vous lisez le psaume 102, vous voyez le rejet total du Messie dans les premiers versets,
et que Dieu l'a rejeté aussi.
Le peuple l'avait rejeté, mais Dieu l'a rejeté dans un autre sens.
En même temps, ce verset, c'est donc une citation de ce psaume-là, montre que malgré cette réjection, il est le même.
Ça veut dire qu'il est l'éternel lui-même.
C'est pour ça que j'ai dit qu'il est au-dessus du temps, parce qu'il est l'éternel lui-même.
C'est là l'argument du psaume 102 qu'on ne pourrait pas comprendre sans la lumière d'Hébreu 1,
parce qu'Hébreu 1 nous montre maintenant clairement que cette personne qui parle dans le psaume,
qui est l'éternel lui-même, qui est rejeté, il est l'éternel.
Il est le même, parce que le même, c'est un nom de Dieu dans l'Ancien Testament.
Ce nom revient plusieurs fois.
C'est tellement beau de voir que le Messie est rejeté.
Et puis ça c'est l'encouragement pour les juifs chrétiens qui étaient là à Jérusalem, lorsqu'ils l'avaient reçu.
Ils étaient méprisés par leurs compatriotes, par les autres juifs, parce qu'ils s'identifiaient avec le Messie rejeté, le Messie crucifié.
Les autres juifs ne savaient pas que le Seigneur Jésus était ressuscité et maintenant couronné de gloire et d'honneur.
Mais les croyants, ils devraient réaliser que ce Messie rejeté et crucifié, il est l'éternel lui-même.
Et ce verset nous montre cela.
Et ce verset nous montre donc, si on prend le nom le même, si on comprend cela, le même, il ne change pas, il est au-dessus du temps.
Il était là avant la création, il est là après la première création, il est toujours là.
Et c'est lui qui est présenté ici, le même.
Tes anges ne cesseront pas.
Et ce verset, ça vient d'un verset, on le voit dans le Psalm 102, il est mis de côté, il semble que c'est tout pour rien.
Pourtant, tu es le même, tes anges ne cesseront pas.
Il est mort au milieu de ses amis, 33 ans à peu près.
Et ensuite il est dit, tes anges ne cesseront pas.
Pourquoi ? Parce qu'il est Dieu lui-même, il est le même.
Ensuite, au verset 13, auxquels des anges a-t-il jamais dit, assieds-toi à ma droite, jusqu'à ce que j'aime tes ennemis pour marcher pied de tes pieds.
J'ai dit déjà au début, ici, c'est pour montrer que le Saint Jésus est au-dessus des ennemis.
Mais un point que j'aimerais souligner maintenant, c'est qu'il est à la droite de Dieu.
On a vu cela déjà dans le verset 3, la dernière fois.
Il s'est assis à la droite de la Majesté Dernière aux Dieux.
Parce qu'il est Dieu béni.
Il est lui-même capable de monter au ciel et de s'asseoir à la droite de la Majesté Dernière aux Dieux.
Mais ici, l'emphase est sur un autre côté.
Que cet homme rejeté sur ma terre et crucifié, que Dieu a rejeté.
Que cet homme reçoit une place d'honneur et que Dieu peut dire, assieds-toi à ma droite.
Ici, nous voyons donc un autre côté de la médaille.
Ici, l'emphase est sur l'humanité du Seigneur Jésus.
Et Dieu lui dit, assieds-toi à ma droite.
Jusqu'à ce que j'ai mis tes ennemis pour marcher de tes pieds.
Ainsi, le Seigneur Jésus est dans le trône du Père, comme l'explique l'apocalypse 3, dans l'Épître à l'Odyssée.
Il n'est pas encore sur son trône du règne millénaire.
Il reste encore dans le trône du Père.
Jusqu'à ce que tous les ennemis soient mis pour marcher pieds de tes pieds.
Et là, il va être assis sur son trône qu'on a vu tantôt.
Ton trône demeure au siècle des sept.
Dans ce sens-là, c'est encore plus dur.
On voit cela, par exemple, dans Zacharie 6, verset 13.
La branche du Seigneur Jésus est sacricateur et roi en même temps sur son trône.
Ça, c'est l'image millénaire.
Mais le roman n'est pas encore venu.
Ici, il est à la droite de Dieu, dans le trône du Père.
Ce psaume 110 est cité le plus souvent dans le Nouveau Testament.
Le Seigneur l'a cité lui-même, parce qu'il parlait avec ceux qui l'opposaient.
Dans les Évangiles, on peut le lire.
Et ça vaut la peine de relire tous les versets où ce psaume est cité.
Et si nous voyons au début, le psaume 2 est cité.
On verra aussi la prochaine fois, Dieu voulant, que le psaume 8 est cité.
Au chapitre 2, on verra la prochaine fois, Dieu voulant, le psaume 8.
Et là, nous voyons le Seigneur comme homme et Dieu introduit un nouvel ordre de choses avec lui.
Mais le psaume 110 est comme l'apogée.
Et ça, c'est le psaume qui est cité le plus souvent, et surtout dans ces pépites.
Par rapport au fait que le Seigneur est le grand sacrificateur, mais aussi par rapport au fait qu'il est le grand roi.
Verset 14, « Ne sont-ils pas tous des esprits administrateurs ? »
Donc là, il revient à nouveau au fait que les anges sont des ministres.
On a vu cela déjà, qu'ils sont des ministres, au verset 7.
Et là, le mot, c'est vraiment un mot qui nous parle d'un office d'honneur.
Un grand ministre, comme le premier ministre, par exemple, dans notre pays.
Mais le deuxième mot qui est utilisé, le verbe « servir », au verset 14, c'est le même mot qu'on voit avec « diable ».
Donc ça, c'est un service d'humilité.
Donc c'est beau de voir que ces anges, des esprits, des serviteurs imminents, ils ont ici un service d'humilité pour les croyants.
Je l'ai dit tantôt au début, le premier argument, les anges ont vu leur créateur dans la crèche, le bébé dans la crèche.
La crèche était plus élevée qu'eux.
Et maintenant, nous voyons que les anges sont aussi nos serviteurs.
Parce que pourquoi ?
Je répète, l'ordre de la création, c'est nous sommes au-dessous des anges.
Mais par le fait que nous sommes maintenant des compagnons du Fils de Dieu.
Nous sommes associés au Fils de Dieu.
C'est pour cela que les anges sont envoyés pour servir en faveur de ceux qui vont les hériter du salut.
C'est incroyable !
A cause du lien avec le Seigneur, les anges sont devenus aussi nos serviteurs, de la part de Dieu.
C'est Dieu qui est en contrôle parce qu'il les dit « envoyés ».
Donc c'est Dieu qui les envoie, ce n'est pas nous qui pouvons forcer Dieu ou les anges.
Non, c'est Dieu qui les envoie.
Vous avez un point que j'aimerais simplement mentionner, c'est le mot « salut ».
Ce mot « salut » revient sept fois dans cette Écriture.
Et le mot « salut » a une signification importante mais aussi différente.
Ça dépend du contexte.
Ici, le salut est encore futur.
Donc il ne faut pas que vous soyez conclus.
Ça ne veut pas dire que vous n'avez pas encore le salut.
Non, par la grâce de Dieu, nous avons le salut de nos âmes.
Mais le salut, comme c'est présenté ici dans l'Épitre aux Hébreux, c'est encore futur.
Dans cet aspect où le Seigneur Jésus va régner, où tout le mal sera ôté et tout sera sous son contrôle, là c'est encore un aspect futur.
Mais dans le cours de cet Épitre, on verra plusieurs fois ce mot « salut ».
Donc on revient encore sur cette pensée-là.
Mais peut-être juste brièvement, nous sommes identifiés avec un Christ rejeté.
Le Seigneur Jésus est rejeté.
Et nous avons le salut parce que nous sommes identifiés avec Lui.
Et c'est exprimé dans le baptême.
Nous avons le salut aussi parce que Dieu nous a acceptés dans le bien-aimé et rendus agréables dans le bien.
Et dans Éphésiens 2, nous avons le salut dans son plein sens.
Mais nous avons aussi souvent cette pensée-là que Dieu nous garde, que Dieu nous préserve sur nos chemins.
Ça c'est aussi un aspect du salut.
Mais ce n'est pas le sens qui est utilisé ici.
Ici c'est donc un sens futur du salut.
Et nous allons hériter ce salut dans cet aspect-là.
Je réalise qu'il y a beaucoup de choses dans cet Épitre, dans ce chapitre, qui sont dures.
Mais je voulais juste résumer encore brièvement ces sept points que vous puissiez garder sans mémoire.
Sept points pour montrer que le Seigneur Jésus est plus haut, plus haut que les anges.
Son trône est éternel, plus élevé que tous les autres trônes.
Le deuxième point, il est au-dessus de ses compagnons.
Donc quel privilège pour nous de réaliser que nous sommes des compagnons du Fils de Dieu.
Et là je mentionne un point que j'ai oublié tantôt.
Il n'est pas dit dans cet Épitre que nous sommes unis au Fils de Dieu.
Nous sommes unis au Fils de l'homme.
Ça c'est éphésien.
Mais nous sommes des associés ou des compagnons de Dieu.
Parce que ici c'est Dieu qui est présenté.
Dieu est Dieu et nous sommes des créatures.
Là il y aura toujours une distinction.
Et dans ce sens là on ne peut pas être unis à lui.
Mais on est intimement associés à lui.
Qui est Dieu béni sur toutes choses.
Donc ça c'est un point important.
Il est au-dessus de la première création, nous avons vu le quatrième point.
Il est au-dessus du temps.
Il est au-dessus de ses ennemis, au-dessus des anges.
Donc ça nous montre la grandeur du Seigneur Jésus.
Et dans ce passage qu'on a lu ce soir,
Paul suit l'ordre chronologique de la naissance du Seigneur Jésus.
Ça marche sur la terre.
Il voit le retour du Seigneur Jésus.
Il voit le règne millénaire.
Il voit même l'état éternel.
Et nous voyons aussi une extension dans le sens de territoire.
D'abord c'est Israël au verset 5.
Tu es mon fils, moi je t'ai aujourd'hui engendré.
C'est par rapport à Israël.
Au verset 6 à 9, nous voyons tout le monde qui sera soumis à son autorité.
Il va régner sur tout le monde.
Mais à la fin du chapitre, verset 10 et 11 et 12, nous voyons qu'il va régner sur l'univers.
Donc là aussi, un agrandissement.
Comme Isaïe dit, il n'y a pas de fin à son règne.
Ça grandit tout le temps.
Et c'est aussi la pensée ici.
Tu vois un point glorieux,
et là tu vois comment il devient plus grand, plus grand, plus grand.
Si vous voulez encore prendre ça en note,
si vous voulez marquer le mot meilleur en lisant ce chapitre,
vous allez trouver douze fois, je ne l'ai pas vérifié dans le texte français,
mais il y a douze fois ce même mot qu'on a vu au verset 4, plus excellent,
ou souvent traduit par meilleur.
Une meilleure chose, une meilleure espérance, une meilleure alliance,
un meilleur sacrifice, une meilleure possession,
une meilleure patrie, une meilleure résurrection,
quelque chose de meilleur pour nous,
qui est le sein de Christ qui parle mieux que le sein d'Abel.
Donc, cet épitre nous parle beaucoup de la beauté, de la grandeur, de la flandeur du Seigneur Jésus.
Et avec qui qu'on le compare, il est toujours plus grand.
Est-ce qu'il y a encore des questions?
On a mentionné tout à l'heure des exemples de l'intervention des anges comme messager.
Très clairement. Est-ce qu'on aurait des exemples, par exemple, du service des anges pour les chrétiens?
Est-ce qu'il y en aurait, par exemple, des versets qui appuieraient, qui seraient l'appui de ce chapitre 4?
Est-ce que l'histoire de Corneille avec Pierre en actes 10 et 11 serait un exemple?
Il pense, Paul, lorsqu'il était sur le navire, en opère, il parlait d'un ange que Dieu lui avait envoyé.
Donc là, on a quelques exemples comment Dieu avait envoyé un ange.
Et dans Hebrews 13, il réfère encore à la visite des anges.
Mais probablement il y a d'autres exemples, mais ça ne revient pas tout de suite.
Mais de l'autre côté, on doit faire attention, et je l'ai indiqué déjà, mais je n'ai pas élaboré là-dessus.
Aujourd'hui, on parle beaucoup des anges.
C'est dangereux parce que ce n'est pas toujours dans ce sens-là.
C'est souvent détaché de l'enseignement biblique qu'on parle des anges.
Et là, ça devient dangereux parce qu'il y a aussi des anges déçus.
Ce sont des démons.
Puis souvent, c'est ça où on parle des expériences, near-death experience, des expériences proches de la mort.
Mais on ne réalise pas que là, il y a des puissances diaboliques qui opèrent.
Donc, même lorsqu'on parle des anges, on doit toujours faire sûr qu'on parle dans le sens biblique qu'on a vu ce soir.
Ce n'est absolument pas question.
Ce qui est absolument faux, évidemment.
Parce qu'un ange pouvait détruire toute une armée de 185 hommes, soldats.
Un homme.
Donc, ce n'est pas en qui qu'il est.
Oui, les enfants.
Qui représentent, qui sont en même temps dans la présence de Dieu.
Mais l'idée d'un ange gardien n'est pas vraiment dans la Bible.
Mais Dieu, c'est pour ça que j'ai souligné tantôt la pensée que Dieu les envoie.
Dieu a donné des tâches aux anges par rapport aux enfants.
Surtout les enfants des croyants.
Mais on ne va pas aller plus loin que l'écriture.
Si on a une pensée, mais ce n'est pas confirmé dans la parole, c'est mieux qu'on n'en parle pas.
Le culte des anges.
Colossiens 2, oui.
Mais là, ça nous montre déjà qu'ils sont allés trop loin à ce moment-là.
On dirait peut-être que c'est le culte qui est servi par des anges.
Oui, oui.
Pierre, qui a délivré des choses.
Oui, oui.
La technique, c'est ça.
Il y a une chose qui m'intéresse un peu, mais cette année nous avons vu la supériorité.
Oui.
Surtout, peut-être, surtout.
Dans le chapitre 2, on va voir plutôt en ce moment.
Les voyants, j'ai plus qu'à dire.
Oui, oui.
C'est beau que tu le mentionnes, parce qu'on verra beaucoup de contraintes dans cette édition.
Beaucoup de contraintes.
Mais on verra aussi tout le temps les liens avec lui.
Si vous voulez garder sa mémoire, toute l'emphase est sur la personne du Seigneur.
En même temps, il y a tout le temps des liens avec nous.
Mais ça, ce n'est pas l'emphase.
C'est notre privilège quand même. …
Transcripción automática:
…
J'aimerais lire jusqu'au verset 9, exclusivement.
Hébreu 2, verset 1
C'est pourquoi nous devons porter une plus grande attention aux choses que nous avons entendues, de peur que nous ne nous écartions.
Car si la parole prononcée par les anges a été fermée, et si toute transgression et désobéissance a reçu une juste rétribution,
comment échapperons-nous si nous négligeons un si grand salut, qui, ayant commencé par être annoncé par le Seigneur, nous a été confirmé par ceux qui l'avaient entendu.
Dieu rendait un témoignage avec eux par des signes et des prodiges, et par divers miracles et distributions de l'Esprit Saint, selon sa propre volonté.
Car ce n'est point aux anges qu'il a assujetti le monde à lutter à venir, dont nous parlons.
Mais quelqu'un a rendu ce témoignage quelque part, disant, qu'est-ce que l'homme que tu te souviens de lui, ou le pige l'homme que tu lui visites, tu l'as fait un peu moindre que les anges, tu l'as couronné de gloire et d'honneur, et l'as établi sur les heures de ta main.
Tu as assujetti toute chose sous ses pieds, car en lui assujettissant toute chose, il n'a rien laissé qu'il ne lui soit assujetti.
Maintenant, nous ne voyons pas encore que toute chose puisse être assujettie, mais nous voyons Jésus, qui a été fait un peu moindre que les anges à cause de la façon de la mort, couronné de gloire et d'honneur, en sorte que par la grâce de Dieu, il goûte à la mort pour tous. Jusqu'ici.
La dernière fois, ou les deux dernières fois, nous avons vu l'esplendeur du Fils de Dieu, au chapitre premier. Nous avons vu aussi comment il est maintenant au ciel, et Dieu lui a donné une place d'honneur.
Chapitre un, verset trois. Il s'est assis à la droite de la majesté dans les hauts lieux. Et là, nous avons vu aussi sa déité. Donc, c'est un tableau merveilleux de ses beautés. Et la dernière fois, on a vu ses sept points qu'il est plus grand, plus élevé que les anges.
Quel est le lien avec chapitre deux? Le lien, j'aimerais suggérer, c'est le verset cinq. Chapitre deux, verset cinq. Car ce n'est qu'en aux anges qu'il a assujetti le monde d'habiter. Et on se rappelle, on a parlé beaucoup des anges au premier chapitre. Donc, il y a un lien entre ces deux chapitres.
Quelle est la différence? Le premier chapitre souligne la grandeur du Seigneur Jésus comme Fils de Dieu. Tantôt, on va comparer le chapitre deux avec le chapitre huit, mais je le mentionne maintenant comme ça.
Ça implique aussi qu'il est le Fils éternel, mais l'emphase est sur le fait qu'il est le Fils de Dieu. Et là, comme on voit aussi dans l'évangile de Luc, l'emphase est encore sur son humanité. Quoi qu'il soit, en même temps, Dieu bénit sur toute chose.
L'emphase est sur son humanité. Mais, dans le chapitre deux, il est présenté comme Fils de l'homme. C'est quoi la différence? Comme Fils de l'homme, il est lié à toute l'humanité. Il est un homme, quoi qu'il soit, Dieu lui-même bénit sur toute chose. Il est, par son humanité, lié à toute l'humanité.
Et la prochaine fois, Dieu voulant, on verra cette pointe qui nous montre le lien que le Seigneur Jésus a comme Fils de l'homme avec nous. Sur la base de l'oeuvre accomplie, ça sera encore un autre point qu'on va voir.
Mais, l'humanité du Seigneur Jésus est soulignée, pour chapitre deux, et qu'il a aussi comme Fils de l'homme la première place. Il faut qu'il ait toujours la première place, même s'il est présenté ici comme cet humble Fils de l'homme.
Et on va voir où s'invite encore quelques détails de son humilité, comment il s'est humilié.
Un autre contraste, chapitre premier, parle de la gloire actuelle du Seigneur Jésus. Chapitre deux, le verset qu'on a lu, nous parle surtout de sa gloire dans le monde à venir, verset cinq encore, le monde d'habiter à venir.
Ce qui m'a aidé, c'est la chose suivante. On pourrait comparer Hébreu 1 avec Genèse 1. Là on voit Dieu comme Créateur et Adin.
On pourrait comparer Hébreu 2 avec Genèse 2. Et là nous voyons Adin, ensemble avec Ève. Et ainsi, dans le chapitre deux, nous verrons des liens précieux entre le Seigneur Jésus, le vrai Adin, et nous.
Maintenant, peut-être qu'il y aura d'autres détails. Pour comparer les deux chapitres, j'aimerais simplement commencer par le premier verset.
C'est pourquoi nous devons porter une plus grande attention.
Ici, l'auteur Saint-Theron, il a donné une présentation des beautés du Seigneur Jésus, le premier chapitre, et maintenant, c'est comme une mise à point.
On verra dans cet épitre cinq parenthèses. Dans une parenthèse, l'auteur Saint-Theron, pour deux choses, pour expliquer son intention, donc le but qu'il a en écrivant ces mots, pour donner son intention.
Deuxièmement, pour appliquer pratiquement les choses qu'il a présentées aux croyants. Et on se rappelle, en première instance, c'était les chrétiens juifs, les chrétiens hébreux à Jérusalem à ce moment-là.
Et deuxième ligne, c'est l'application à nous. Donc les parenthèses soulignent l'intention de l'auteur et donnent l'application actuelle de la vérité.
Donc l'effet de cette vérité, ou l'effet que cette vérité devrait avoir sur les auditeurs. J'ai dit auditeurs parce qu'on se rappelle, cet épitre est aussi comme un serment, un long serment.
Et j'aime toujours comparer cela avec le psaume 45. L'auteur, l'apôtre Paul, sa langue était le style d'un écrivain habile, du Saint-Esprit, pour présenter les beautés des Christiens.
Et ainsi il parle, vous voyez, il le dit aussi au verset 5, le monde habité à venir dont nous parlons. Donc il parle, il s'adresse aux croyants à Jérusalem.
Mais il est le porte-parole de quelqu'un d'autre qui parle. Parce que c'est Dieu qui parle. Et on a vu cela au premier chapitre. Dieu a parlé dans le passé, au premier verset, mais à la fin des temps, il nous a parlé en fils.
Donc c'est Dieu lui-même qui parle. Et il continue à parler, on verra cela aussi au chapitre 12. Mais Dieu a un porte-parole et c'est l'apôtre Paul, l'auteur de cet épitre, qui parle ici.
Donc je mentionne cela, il y a 5 parenthèses pour vous rappeler, le nombre 5 souligne la responsabilité de l'homme. On a 5 doigts, le nombre 5 souligne la responsabilité.
Et on verra que les dangers sont très urgents et très actuels pour les croyants à ce moment-là, mais pour nous aussi.
Donc il demande une attention spéciale. Il dit au verset 1, nous devons porter une plus grande attention aux choses que nous avons entendues.
De nouveau, on a vu déjà la dernière fois, l'auteur se place à côté des auditeurs, des juifs chrétiens auxquels il s'adresse. Il se place à côté, il ne se place pas au-dessus d'eux, il ne se présente pas comme meilleur qu'eux.
Non, il se place à côté d'eux, réalisant aussi sa responsabilité. C'est quoi le danger de peur que nous nous écartions? On verra au fur et à mesure de cet épitre que les dangers seront de plus en plus grands.
Ici, c'est une indication qu'on soit pris par le courant. Le mot veut dire, écarté, dans l'original, qu'on est pris par le courant d'eau.
Le danger pour les juifs chrétiens, à ce moment-là, était de retourner dans le temple et s'impliquer à nouveau dans le système judaïque et ainsi couler avec le courant.
Tandis que cet épitre a été donné par l'Esprit de Dieu pour des vainqueurs qui montent contre le courant. Vous voyez? Et là, vous comprenez tout de suite aussi l'actualité pour nous aujourd'hui.
Le danger est toujours qu'on va avec le courant en bas, mais l'Esprit de Dieu veut nous encourager et nous fortifier pour que nous puissions monter contre le courant.
Ensuite, au deuxième verset, il dit, car si la parole prononcée par les anges a été ferme, et là il réfère donc à la loi qui a été donnée par l'entremise des anges.
Je mentionne cela pour que vous puissiez voir l'autorité des anges, la grandeur des anges. Dieu s'est servi des anges pour transmettre la loi.
Galat 3, verset 17, il mentionne, et Étienne dans son discours, acte 7, verset 53, il mentionne aussi que la loi a été donnée par l'entremise des anges.
Donc pour soumiller le rôle important des anges. Et ainsi cette parole a été ferme.
Ça c'est donc par rapport à la loi de Moïse.
Il dit, si toute transgression et désobéissance a reçu une juste rétribution, comment échapperons-nous si nous négligeons un si grand salut ?
Aujourd'hui nous vivons dans le temps de la grâce, et nous avons quelquefois la tendance de dire, ok, nous sommes dans le temps de la grâce, et la tendance est de prendre les choses moins sérieuses que sous la loi de Moïse.
Ça devrait être l'inverse.
Sous la loi de Moïse, déjà, la parole était ferme et toute transgression a trouvé une juste rétribution.
Et la grâce ne met pas de côté le gouvernement de Dieu. Le gouvernement de Dieu est toujours là.
Galat 6, verset 8, dit, celui qui seint pour la chair va ricoter pour la chair. Il dit un peu avec un propre mot.
Il souligne, Paul souligne là, l'importance du gouvernement de Dieu.
Et nous qui sommes sous la grâce, qui sommes sous la loi de Christ, Galat 6, nous ne devons pas mépriser le gouvernement de Dieu non plus.
Maintenant, ce grand salut, c'est vraiment une très belle expression.
Vous savez, le mot salut veut dire être délivré des forces hostiles et adverses, et ce mot salut se trouve sept fois dans cette équipe.
Ça m'a frappé. Le nombre 7 nous parle de la perfection et ainsi on trouve sept fois le mot salut dans cette équipe.
Ici, c'est la deuxième fois. On a vu cela au premier chapitre, verset 14, que les anges sont maintenant des esprits administrateurs envoyés pour servir en faveur de ceux qui vont hériter du salut.
Là, c'est le salut futur. Nous allons hériter le salut. Donc ça c'est l'aspect futur du salut.
Mais ici, chapitre 2, verset 3, c'est l'aspect présent du salut. C'est un salut que nous avons actuellement.
Et c'est un grand salut. Et nous ne devons pas négliger ce grand salut.
Pour les juifs, les chrétiens hébreux, le danger était de retourner dans le judaïsme. Et en retournant dans le judaïsme, ils auraient méprisé et négligé ce grand salut.
Ils seraient placés sur la base des œuvres selon la loi. Et là, ce serait toute une déviation.
Mais nous pouvons faire ça aussi. Romain VII, par exemple, et d'autres passages nous montrent le danger que nous pouvons aussi négliger ce grand salut en nous plaçant sur la base de nos propres œuvres.
Pour mériter quelque chose, vous voyez. Les œuvres sont importantes, mais comme résultat du salut.
Donc, on verra encore d'autres aspects du salut. Je m'en somme maintenant seulement verset 10 du même chapitre.
Il convenait pour lui, à cause de qui sont toutes choses et par qui sont toutes choses, que amenant plusieurs fils à la gloire, il consommât le chef de leur salut.
Ici, nous voyons le salut lié au chef du salut. C'est le Seigneur Jésus qui a organisé tout ça. C'est lui qui a effectué tout cela. Il est le chef de notre salut.
Et on verra que ce n'était pas ses souffrances qui l'a implémenté tout cela. Pour revenir maintenant au verset 3, comment échapperons-nous si nous négligeons un si grand salut?
C'est comme un appel. On verra plusieurs fois un appel direct aux auditeurs pour réaliser l'importance de nos bénédictions et de ne pas dévier.
Maintenant, il ajoute 5 points. Excusez-moi, je vais être précis. Plusieurs points. D'abord 3, ensuite 5. Je vais juste répéter cela.
Ce salut a été commencé par être annoncé par le Seigneur. Quand est-ce que le Seigneur Jésus a annoncé ce salut? Je pense que cela réfère aux évangiles, mais nous voyons aussi que c'est immédiatement lié à Christ dans la gloire.
Parce que de la gloire, il a annoncé le salut. Et les juifs, d'un acte 1 à 7, comme nation, ils ont rejeté ce salut. Donc, moi personnellement, j'aurais la tendance de souligner surtout cet aspect-là. Pourquoi?
Parce que dans cet épître, nous voyons déjà Christ dans la gloire. Et de la gloire, il a envoyé ce message du salut. Et les juifs ont rejeté ce message. Mais on peut aussi penser aux évangiles où nous voyons le salut annoncé par le Seigneur.
D'ailleurs, le Seigneur est appelé plusieurs fois dans cet épître. Le Seigneur. C'est important de voir ça aussi. Parce que ce mot implique son humanité et sa déité à la fois.
Le mot qui est utilisé ici est le même mot qu'on trouve dans la traduction grecque du mot Yahweh ou Jehovah dans l'Ancien Testament. Donc, ce nom souligne son autorité et qu'il est en même temps Dieu béni sur toutes choses et son autorité comme Seigneur.
Le deuxième point. Donc, le salut a été annoncé par le Seigneur lui-même. Ça c'est le premier point par rapport au salut. Le deuxième point. Ce salut a été confirmé par ceux qui l'avaient entendu. Vous voyez ce deuxième point?
C'est donc premièrement des apôtres qui étaient avec le Seigneur Jésus. Le Seigneur leur a donné une trace importante. Jean 20 par exemple. Luc 24. Confirmé aussi dans Acte 1.
Et ce mot confirmé, c'est beau de voir ça. C'est un mot qu'on retrouve, un verbe qu'on retrouve sept fois dans le Nouveau Testament. Et je donne un exemple.
Ici, il est dit que ce grand salut a été annoncé par le Seigneur. Ensuite, confirmé. Mais dans Marc 16, nous voyons aussi que le Seigneur Jésus lui-même a confirmé dans la gloire. Acte 16, verset 20.
Christ a confirmé ce message par les miracles. Mais ici, la pensée, c'est que les disciples ou les apôtres ont confirmé ce que le Seigneur Jésus avait déjà annoncé.
Et ainsi, ce mot souligne donc une base qui est ferme. La parole des anges était ferme par rapport à la loi de Moïse, mais la parole du grand salut est encore plus ferme, annoncée par le Seigneur lui-même, confirmée par ceux qui l'avaient entendue.
Et cette fermeté est encore soumise par un troisième point. Dieu rendant témoignage. C'est Dieu qui a rendu témoignage. Et dans l'original, l'emphase est sur le fait que cela a été le cas dans le passé.
Nous voyons au début des actes que Dieu a rendu témoignage par, et maintenant c'est donné les cinq points que je mentionnais tantôt. Les cinq points viennent maintenant au verset 4.
Donc on a ainsi un grand salut annoncé par le Seigneur, confirmé par ceux qui l'avaient entendu, et Dieu a rendu témoignage. Et maintenant, ce témoignage, on verra dans cinq points.
Comment Dieu a rendu témoignage? D'abord, ils sont liés avec eux. Donc, Dieu s'est identifié avec les apôtres. Dieu s'est identifié avec Christ. Dieu a glorifié Christ et Dieu l'a reçu. Il l'a salué dans la gloire. Mais Dieu s'est identifié aussi avec les apôtres sur la terre.
Et il y a un très beau verset dans l'acte 2, verset 22, qui nous souligne cela.
Ici nous voyons donc comment Dieu a confirmé le message du Seigneur Jésus sur la terre, lorsqu'il était encore sur la terre. Et on peut lier cela à ce qu'on a vu dans hébreu 2, verset 3, ayant commencé par être annoncé par le Seigneur.
Mais de la même façon que Dieu a confirmé ce message du Seigneur Jésus sur la terre, de la même façon, il confirme maintenant ce message de la gloire.
Mais le point qu'on doit souligner ici, c'est que cela a eu lieu dans le passé. Dieu rend un témoignage avec eux. Cela réfère au livre des actes, et surtout le début des actes, où nous voyons se produire ces miracles faits par les apôtres.
Un peu plus loin, dans chapitre 4, chapitre 5, nous voyons les mêmes expressions par rapport aux apôtres. Les mêmes expressions sont utilisées ici pour le Seigneur, acte 2, verset 22, et les mêmes expressions sont utilisées un peu plus tard par rapport aux apôtres.
Par exemple, 3, verset 13, le Dieu d'Abraham, Isaac, Jacob, le Dieu... Non, un peu plus loin. En tout cas, je ne voulais pas prendre trop de temps, mais en lisant ce premier chapitre des actes, nous voyons comment Dieu a confirmé par des signes, par des miracles, ce message.
Et Dieu était donc avec les apôtres. Il a confirmé leurs paroles, il a rendu témoignage avec eux. Et c'est beau de voir, de nouveau je réfère à Marc 16, verset 20, le Seigneur dans la gloire, il a coopéré avec les disciples.
Donc, Christ dans la gloire, comme homme, a coopéré, mais ici l'emphase est sur Dieu. Dieu a coopéré, Dieu a rendu témoignage avec eux. Maintenant, ces 5 points, par des signes. Un signe confirme quelque chose, donne une indication, une direction.
Par exemple, nous avons 7 signes dans l'évangile de Jean, avant la mort du Seigneur Jésus. 7 signes qui signifient quelque chose, qui donnent une signification à cette œuvre qu'il a faite.
Le deuxième mot, prodige, c'est un aspect spectaculaire. Et vous comprenez déjà, Dieu ne répète pas ces actes spectaculaires tout le temps. C'était pour introduire une nouvelle dispensation.
Le troisième mot, la troisième expression, divers miracles. Dans l'original, ça veut dire divers puissances. Ici, c'est donc la puissance de l'esprit, la puissance aussi de la part de Christ dans la gloire, qui a opéré par les apôtres.
Comme dans acte 4, verset 30, j'ai retrouvé la référence, acte 4, verset 30, vous voyez les trois expressions par rapport aux apôtres, et aussi dans d'autres textes, d'autres versets.
La quatrième expression, distribution de l'esprit saint. L'esprit a été très actif. On voit cela déjà dans acte 2, et dans tout le livre des actes, mais c'est expliqué d'une façon doctrinaire, doctrinale, dans 1 Corinthiens 12, c'est l'esprit qui distribue.
Dans l'événement 4, c'est Christ dans la gloire qui distribue ses distributions, et c'est beau de voir, ici c'est donc Dieu qui donne ses distributions de l'esprit.
Et le cinquième point, selon sa propre volonté, c'est important. Aujourd'hui il y a des gens qui veulent des signes, des produits, des miracles et des distributions de l'esprit, mais c'est selon leur volonté.
Ici c'est selon la volonté de Dieu. Et deuxièmement, si on comprend le contexte, ici l'auteur, l'année 65 à peu près, il réfère à ces événements comme étant des événements du passé, il faut comprendre ça.
Donc ça veut dire qu'à ce moment-là, les miracles, les signes, les produits avaient déjà cessé. Ça ne veut pas dire que Dieu ne peut pas opérer des miracles, on ne dit pas ça, Dieu est souverain, mais d'une façon pour introduire une nouvelle dispensation, ces signes ont arrêté.
Maintenant verset 5, on commence maintenant cette nouvelle section qui nous parle du fils de l'homme. On a eu donc une parenthèse, verset 1 à 4, c'est comme une parenthèse qui souligne notre responsabilité, qui souligne l'intention de l'apôtre, de l'auteur, pour rafraîchir, pour fortifier, pour édifier les croyants.
Mais maintenant, il parle de nouveau du Seigneur Jésus. Mais ici, il nous parle du Seigneur Jésus comme étant le fils de l'homme. Il dit, car ce n'est pas aux anges qu'il a assujetti le monde habité.
Avenir. Donc, on a souligné déjà, chapitre 1er parle de l'autorité du Seigneur Jésus, sa gloire actuelle. Ici, dans ce contexte, il nous parle du monde habité, avenir, qui sera soumis au Seigneur Jésus. Pourquoi?
Le même monde où le Seigneur Jésus a été rejeté, où le Seigneur Jésus a été crucifié, ce même monde va l'honorer. C'est ça la pensée de Dieu.
Je répète encore une fois, cette terre qui a crucifié le Seigneur Jésus, cette même terre va l'honorer. C'est ça la pensée du verset 5, ici, et le verset suivant.
Le monde habité, avenir, sera assujetti à lui. Ils l'ont rejeté, ils l'ont dit. On ne le veut pas, mais tout ce monde sera assujetti. Le mot qui est utilisé ici implique aussi la pensée d'une maison. Le monde est vu ici comme une grande maison.
Et ainsi, dans le monde avenir, le millenium, toute la terre sera comme une grande maison où Dieu peut habiter. Aujourd'hui, Dieu habite dans l'Église, par l'esprit des Pésiens d'Eau, par exemple. Mais là, Dieu va trouver sa maison sur toute la terre.
Et l'auteur revient plusieurs fois à ce monde avenir, en contraste aussi avec le monde actuel. Je soulis encore dont nous parlons. On a vu cela. Il parle ici avec ce style d'un écrivain habile, dirigé par l'Esprit Saint, pour présenter les beautés du Seigneur Jésus.
Mais quelqu'un a rendu ce témoignage quelque part. Pourquoi il parle ainsi? Ce n'est pas tout à fait clair pour moi, mais nous voyons que c'est une référence au psaume 8. Et il s'avoue la peine de comparer cela brièvement.
D'abord, le psaume 2. J'ai dit déjà que le psaume 2 va en parallèle avec l'Hébreu 1. Parce que le psaume 2 nous parle du Messie qui est appelé par Dieu « Tu es mon Fils ». La même pensée revient dans l'Hébreu 1.
Le psaume 2, verset 7. « L'Éternel m'a dit Tu es mon Fils, aujourd'hui tu t'es engendré ». On a vu cela dans l'Hébreu 1. Ensuite, le Messie qui est en même temps appelé mon Fils, le Fils de Dieu.
Mais, lorsqu'on voit les psaumes qui suivent, on voit que le Messie est rejeté. Le psaume 3, nous parle d'Absalom, et vous savez qu'Absalom a essayé de tuer son propre frère, le roi selon le cœur de Dieu.
Ainsi, le peuple juif va suivre l'antichrist bientôt, et ils seront contre le vrai Messie. Ils vont suivre un homme selon leur propre désir. Et ce processus est décrit dans les psaumes qui suivent, inclusivement le psaume 7.
Et puis, après cela, après ce rejet du Messie, qu'est-ce qu'on voit ? Son but. Là, Dieu introduit le Fils de l'homme.
Verset 4, « Qu'est-ce que l'homme que tu te souviens de lui ? » Ici, l'homme est Enoch, donc l'homme faible, l'homme même pécheur, l'homme faible, comme Enoch dans Genèse 4.
Mais, le Seigneur Jésus a pris la place d'un homme, mais sans péché. Il est aussi le Fils, excusez-moi, le Fils de l'homme, au verset 4. Donc, on voit les deux expressions, l'homme et Enoch, verset 4, le Fils de l'homme, le Fils d'Adam.
Le Seigneur Jésus est le vrai Fils de l'homme. Et nous trouvons cela, par exemple, dans Daniel 7. Dans Daniel 7, nous voyons Dieu sur le trône, l'Ancien des jours.
Et là, à un moment donné, le Fils de l'homme entre. Cela vaut la peine d'étudier Daniel 7. Et là, on voit ce Fils de l'homme. Et Dieu lui donne toute autorité.
Et en même temps, dans le chapitre de Daniel 7, nous voyons que le Fils de l'homme est appelé aussi l'Ancien des jours. Pourquoi ? Parce qu'il est Dieu lui-même. C'est un mystère.
Donc, ici, nous voyons le psaume 8, le Fils de l'homme, et Dieu va soumettre à lui toute la terre.
Premier verset, tu as mis ta majesté au-dessus des cieux, mais un peu plus loin, nous voyons qu'il a mis tout cela, verset 6, tu as mis toute chose sous ses pieds, sous les pieds du Fils de l'homme.
C'est ça le point à saisir. Maintenant, on revient au livre 2. Donc, Dieu introduit le Fils de l'homme après qu'il soit rejeté comme Messie. Et ça m'a fait penser à Jean, premier chapitre.
Dans Jean, l'évangile de Jean, le premier chapitre, nous voyons comment le Seigneur Jésus est introduit. C'est très beau de voir ça, dans ces sept points, mais je souligne maintenant seulement ce point-là.
Les disciples ont dit, par exemple, Jean 1, verset 42, nous avons trouvé le Messie. Ça c'est le Messie du psaume 2. Vous comprenez mon point? Le Messie du psaume 2. Les disciples ont compris que le Seigneur Jésus était le Messie.
Et à la fin de Jean, verset 31, nous lisons, ces choses sont écrites afin que vous croyez que Jésus est le Christ. Les juifs rejetaient le fait qu'il était le Messie.
Mais mon point maintenant, Jean 1, va encore un peu plus loin. Lorsque le Seigneur rencontre Nathanael, Nathanael dit, au verset 50, Rabi, tu es le Fils de Dieu, tu es le Roi d'Israël. C'est encore le psaume 2.
Comme nous avons vu, tu es mon Fils. Mais là, notons bien maintenant, verset 51, Jésus répondit et lui dit, parce que je t'ai dit que je te voyais sous le filier du croix, tu verras de plus grandes choses que celles-ci.
Il lui dit, en vérité, en vérité, je vous dis, désormais vous verrez le ciel ouvert et les anges de Dieu montant et descendant sur le Fils de l'homme. Le Fils de l'homme va régner sur tout l'univers. Tout l'univers, son vide, sera soumis à ses pieds.
Maintenant, on revient à Hebreu 2. On voit ici donc le Seigneur Jésus comme étant le Fils de l'homme. C'est pour souligner son humanité. Ce n'est pas qu'il a adopté une apparence humaine pour apparaître aux hommes.
Donc, il est devenu homme. La parole est devenue chère. Jean 1, verset 14. Il est devenu homme. Complètement, parfaitement. Le nom, le Fils de l'homme, est pour souligner cela. Un homme, comme tous les autres, à part le péché, on doit toujours souligner cela.
Deuxièmement, comme étant le Fils de l'homme, il est lié à toute l'humanité. Et lorsque le Seigneur Jésus se présente comme le Fils de l'homme, par exemple dans Luc, il montre en même temps que la grâce de Dieu qui est introduite par le Fils de l'homme est là donc pour toute l'humanité.
Le Fils de l'homme n'est pas seulement venu pour Israël. S'il était seulement venu comme Messie, cela aurait été limité à Israël. Mais il est venu comme le Fils de l'homme aussi. Et comme Fils de l'homme, il est venu pour toute l'humanité.
Mais il y a encore une autre raison pour laquelle il est introduit ici comme Fils de l'homme. Et c'est ça qu'on va voir maintenant. Comme Fils de l'homme, il pouvait mourir. Il pouvait souffrir et mourir. Comme Dieu, il ne pouvait jamais mourir.
Et là, on va voir encore une différence avec les hommes.
Donc ça vaut la peine d'étudier les passages d'un ancien testament qui nous parle du Fils de l'homme.
Daniel 7 et aussi le psaume 80 qui nous parle de cela. C'est pour souligner son règne universel. Et lorsque les juifs de Saint-Nédrium, Matthieu 26 par exemple, 27, ils ont rejeté le Seigneur Jésus, le Seigneur Pâle, le Souverain Sacrificateur, que le Fils de l'homme va venir, le Fils de l'homme va apparaître.
Il va règner. Malgré le fait que les juifs l'ont rejeté. Et déjà l'ange a dit à Marie dans 2 chroniques, il sera grand. Comme homme aussi, il sera grand. Et ça c'est souligné par le fait qu'il était le Fils de l'homme.
Mais le Fils de l'homme s'est humilié. Philippiens 2, nous voyons ces 7 étapes de son humiliation. C'est très beau d'étudier cela dans Philippiens 2. Mais Dieu l'a hautement élevé.
Et ces deux pensées vont revenir aussi dans ce passage. Le Fils de l'homme va régner, mais c'est parce qu'il s'est humilié d'abord.
Maintenant, un contraste avec le premier Adam. J'ai dit tantôt, le Seigneur Jésus est le second Adam. Le premier Adam, il y a donc des parallèles avec le Seigneur Jésus et Adam.
Chef d'une famille. Le premier Adam est le chef de toute l'humanité. Le Seigneur Jésus est le chef d'une nouvelle race. Dans ce passage, il y a un parallèle entre les deux Adam.
Mais il y a aussi un grand contraste. Adam s'est élevé lui-même. Il a transgressé. Et l'antéchrist, que je mentionnais tantôt déjà, l'antéchrist, un descendant du premier Adam, il va se manifester dans le Temple de Dieu comme étant Dieu lui-même.
Il va s'élever. Ça c'est l'homme comme descendant du premier Adam. Mais le Seigneur Jésus, il s'est humilié. Verset 7. Tu l'as fait un peu moindre que les anges.
C'est dans le passé que Dieu l'a fait un peu moindre que les anges. En prenant une place parmi les hommes, le Seigneur Jésus a pris une place moindre que les anges.
On voit cela par exemple. Par le fait que le Seigneur Jésus a pris une place comme homme, il était sous les anges. Pourquoi ? Parce que les anges, selon l'ordre de la création, sont plus élevés que les êtres humains.
Ainsi, le Seigneur Jésus a pris une place au-dessus des anges. Non, au-dessous des anges. Mais, pas seulement en prenant cette place comme homme, ici dans le contexte nous voyons qu'il a fait cela pour encore s'humilier plus, plus loin, pour prendre une place plus basse encore par rapport au souffrant.
Le deuxième point qu'on voit ici au verset 7. Tu l'as couronné de gloire et d'honneur. C'est présentement. Et on va revenir à cela au verset 9. Nous voyons Jésus qui a été fait un peu moindre que les anges à cause de la passion de la mort, couronné de gloire et d'honneur.
Donc, verset 7 est une citation du psaume 8, mais c'est expliqué en détail un peu plus loin. Mais je résume maintenant ces trois points. Le passé, tu l'as fait un peu moindre que les anges. Le présent, couronné de gloire et d'honneur. Le futur, tu l'as établi sur les heures de tes mains.
Ça c'est par rapport au futur. Le monde à venir. Verset 8, tu as assujetti toute chose sous ses pieds. Et puis là, la citation termine et puis l'auteur continue au milieu du verset 8. Car en lui assujettissant toute chose, il n'a rien laissé qu'il ne lui soit assujetti.
C'est beau de voir dans Jean 3, par exemple. Jean 3, verset 35, le Père a donné toute chose aux pieds. Le Seigneur répète cela plusieurs fois dans Jean, que Dieu lui a donné toute chose entre ses mains. Par exemple, chapitre 14, verset 3.
Mais ainsi, le Seigneur Jésus va régner sur toute chose dans le monde à venir. Et Dieu n'a rien laissé qu'il ne lui soit pas assujetti. Pourtant, il y a deux exceptions qui ne sont pas mentionnées ici, mais que j'aimerais mentionner quand même.
La première exception, c'est Dieu lui-même, évidemment. C'est Dieu qui lui a assujetti toute chose, donc Dieu lui-même est accepté. Et cette exception est donnée dans 1 Chrétien 15, verset 20 à 28. Vous voyez que le Fils de l'homme sera soumis à Dieu qui lui a assujetti toute chose.
L'autre exception, c'est l'Église. En disant Ephésiens 1, vous verrez, peut-être qu'on peut juste le faire, juste pour voir ce point-là.
Donc, je répète, juste pour avoir le contexte. Hébreux 2 cite le psaume 8. Le psaume 8 dit que Dieu lui a assujetti toute chose. Maintenant, je dis qu'il y a deux exceptions.
Première exception, Dieu lui-même. Deuxième exception, l'Église. Église 1, verset 22, c'est encore cette citation du psaume 8. Il a assujetti toute chose sous ses pieds et l'a donné pour être chef sur toute chose à l'assemblée qui est son corps.
La plénitude de celui qui remplit tout en tous. Donc, qu'est-ce que ce verset dit? Le Seigneur est chef sur toute chose, donc tout lui est assujetti, mais ainsi Dieu l'a donné à l'Église.
Donc, ça veut dire que l'Église ici, dans ce contexte-là, n'est pas assujettie. L'Église doit être soumise à son époux, Éphésiens 5.
Mais dans ce contexte qu'on voit ici, le Seigneur Jésus qui va régner dans le monde à venir, où tout sera assujetti sous ses pieds, là, l'époux sera à côté de lui. L'époux sera à côté du Seigneur Jésus.
Il ne sera pas assujetti à ses pieds, pas du tout. Il sera à côté de lui. Il va régner avec lui. C'est ça la deuxième exception.
Maintenant, on revient à Hébreu 2, verset 8, au milieu. Mais maintenant, nous ne voyons pas encore que toute chose, lui, soit assujetti. Nous ne le voyons pas encore.
Donc, je répète, c'est clair aussi dans le Nouveau Testament que toute chose, lui, soit assujetti. 1 Pierre 3, verset 22, il dit, toutes les choses sur la terre et dans les cieux, même les anges, lui, sont assujettis.
Le Seigneur dit lui-même, Matthieu 28, après sa résurrection, toute autorité m'a été donnée, dans les cieux et sur la terre. Donc, tout a été assujetti à lui, de la part de Dieu.
Mais, l'auteur dit ici, nous ne voyons pas cela encore. Ce sera pour le monde à venir, son but souligne cela. La rencontre avec Nathanael souligne cela. Ce temps n'est pas encore venu.
Philippians 3, verset 21, c'est un beau verset qui nous dit que le Seigneur Jésus va exercer cette puissance énorme. Il a la puissance d'assujettir toute chose et il va utiliser cette puissance pour changer nos corps, pour transformer nos corps, pour nous donner des corps semblables à lui, son corps glorieux.
Philippians 3, verset 21. Donc, il va utiliser cette puissance aussi en notre faveur, mais pas pour nous soumettre à ses pieds. Nous serons à côté de lui.
Pourtant, aujourd'hui, nous devons prendre une place assujettie, pratiquement. Nous devons lui donner la place d'autorité comme Seigneur. Nous devons lui donner toute autorité. Et dans ce sens-là, nous devons moralement, pratiquement, être assujettis. Mais, dans le monde à venir, nous ne serons pas à ses pieds, nous serons à côté de lui.
Maintenant, le verset 9. J'aimerais souligner que le verset 9 pourrait être le titre de cet épitaphe. Nous voyons Jésus. Nous voyons Jésus. Ça, c'est le privilège du chrétien. Nous ne voyons pas encore toute chose assujettie.
Ça, c'est le monde à venir. Pourtant, nous voyons quelque chose. Nous voyons quelqu'un. Nous voyons une personne qui est plus grande que tout le monde à venir. Parce que tout le monde à venir sera assujetti à lui.
Mais nous voyons quelqu'un qui est plus grand que ce monde à venir. C'est le Seigneur Jésus-Christ. Et on verra, la prochaine fois Dieu voulant, dans 7 points, comment nous sommes liés à lui. Comment il y a un lien entre lui et nous.
Et je mentionne maintenant, une des raisons pour laquelle le Seigneur Jésus a pris la place d'un homme, était pour pouvoir mourir, mais c'était ensuite pour nous avoir avec lui. Et on verra donc cet lien entre nous et lui, la prochaine fois.
Mais je reviens maintenant à cette expression, nous voyons Jésus. Jésus, vous vous rappelez, Jéhovah, Yahweh, Saul. Là, nous voyons encore ce mystère de sa personne. Dieu, Jéhovah, Saul, il était aussi comme bébé qu'il a reçu ce nom.
Donc, son humanité et sa dignité vont ensemble dans ce nom précieux. Comme l'a dit le Christ. Mais nous voyons Jésus. Le nom Jésus revient 9 fois. L'auteur, il aimerait souligner cela.
Il faut réaliser que les juifs ont méprisé ce nom. Et il y avait des temps où si le nom Jésus était mentionné à un juif, il serait choqué, insulté, il ferait toutes sortes de choses pour montrer son indignation.
Mais pour nous, c'est un nom donné. Pour nous, c'est un nom très spécial. Ce nom Jésus revient pour cela 9 fois dans cette vie. Pour souligner la grandeur, ce Jésus de Nazareth que les juifs avaient rejeté, que les romains ont crucifié à la croix.
Et nous sommes aussi coupables comme êtres humains de tout cela. Ce Jésus est maintenant couronné de gloire et d'honneur. Ce Jésus est celui qui va régner sur le monde à venir. Ce Jésus est présenté dans toute sa splendeur dans cette épée.
Et le croyant, nous, c'est de nouveau Paul l'auteur, avec les croyants, nous voyons. Vous voyez ? C'est notre privilège. C'est le privilège chrétien. Les chrétiens peuvent dire cela. Nous voyons. Par la foi évidemment. Non pas par l'œil physique. C'est par la foi que nous voyons Jésus.
Et ainsi on peut dire, l'épître aux hébreux, c'est le ciel ouvert pour nous montrer Christ. Le ciel est ouvert, pourquoi ? Parce qu'il est monté. Dans Luc 24, c'est beau de voir comment le Seigneur a ouvert les écritures, comment il a ouvert les coeurs de ses deux disciples d'Amalus.
Et à la fin du chapitre 24, nous voyons comment le ciel est ouvert. Et nous voyons Christ maintenant dans un ciel ouvert. Il y a donc une communication maintenant entre lui dans la gloire et nous sur la terre.
Comme il y aura une communication entre les cieux et la terre dans le monde à venir, nous avons déjà cette communication et cette communion. Et toutes les bénédictions du monde à venir sont déjà notre privilège. Vous voyez ?
Toutes les bénédictions que le monde à venir va caractériser, nous comme chrétiens, nous avons déjà ces bénédictions parce que nous sommes identifiés avec Christ. Comme on verra la prochaine fois, ces sept liens, d'une façon très spéciale, nous sommes liés à lui.
Et Dieu l'a fait donc un peu moindre que les anges. Pourquoi ? Parce que les anges ne peuvent pas mourir.
Et maintenant j'aimerais souligner un point. J'ai dit que comme être humain, le Seigneur Jésus prend déjà une place au-dessous des anges. Mais Colossiens 1 nous montre que lorsque le Seigneur Jésus entre dans sa propre création, il doit être le premier.
Donc, moralement, à ce moment-là, lorsqu'il est entré dans sa création, même comme petit bébé dans la crèche, il était au-dessus des anges. Il ne faut pas oublier ça. Parce que c'était le créateur en même temps. Il était au-dessus des anges.
Donc c'est peut-être un paradoxe. L'ordre de la création, l'humanité est au-dessous des anges. Mais lorsque le Seigneur Jésus prend la place d'un homme, il est le créateur en même temps. Donc il faut qu'il soit plus élevé que les anges parce qu'il est leur créateur.
Pourtant, ici nous voyons une étape où le Seigneur Jésus a vraiment pris une place plus basse que les anges. Je répète, Colossiens 1 nous montre qu'il était même là comme homme au-dessus des anges parce qu'il est leur créateur.
Mais ici nous voyons qu'il a pris une place au-dessous des anges, plus bas que les anges. Pourquoi? A cause de la passion de la mort. Les anges ne peuvent pas mourir.
Mais déjà Jean le Baptiseur avait dit dans Jean 1, voici l'agneau de Dieu qui hôte le péché du monde. Pour cela il fallait qu'il coûte la mort. Comme le verset 9 dit, il coûta la mort pour tout. C'est l'œuvre qu'il a accomplie. Il a établi la base pour tout.
Mais je veux revenir encore à cette expression, la passion de la mort. Qui peut sonder la passion, la souffrance du Seigneur Jésus? Cela nous est impossible vraiment de pénétrer.
Mais Dieu veut que nous contemplions les souffrances de l'agneau de Dieu. Il y a eu 53, 622, d'autres passages et que nous comprenions qu'il a passé à travers tout cela aussi pour nous. Mais d'abord pour la gloire de Dieu. Vous voyez, lorsqu'il a pris la place comme sacrifié, c'était pour la gloire de Dieu.
Et ainsi Dieu l'a couronné de gloire et d'honneur et c'est encore pour la gloire de Dieu. Il faut réaliser cela. Tout ce que le Seigneur Jésus est, tout ce qu'il fait est toujours pour la gloire de Dieu.
Et Dieu l'a couronné de gloire et d'honneur. C'est un Dieu satisfait. C'est un Dieu qui a été glorifié par le Seigneur Jésus. Un homme a glorifié Dieu et Dieu dit maintenant je veux glorifier cet homme. Vous voyez le point? Un homme a glorifié Dieu.
Ainsi Dieu a glorifié l'homme, Christ Jésus. D'abord en le faisant sortir du tombeau, le jour de la résurrection. Ensuite Dieu l'a honoré et l'a glorifié en lui donnant cette place d'honneur dans la gloire et Dieu va le glorifier dans le monde à venir encore plus.
Dieu le glorifie parce qu'il a glorifié Dieu. Un homme a glorifié Dieu, maintenant Dieu glorifie un homme.
En sorte que par la grâce de Dieu. C'est la grâce de Dieu. Et on va revenir à la grâce de Dieu plusieurs fois, Dieu voulant, si on en a d'autres occasions. La grâce de Dieu c'est un thème magnifique dans le Nouveau Testament.
Dieu est appelé le Dieu de toutes grâces en pierre. Le mot grâce revient huit fois dans cet épître. Au moins dans cette passale mais dans chaque verset c'est répété deux fois le mot grâce.
Encore un mot caractéristique pour cet épître, la grâce de Dieu. C'est par la grâce de Dieu qu'il a fait tout ça. J'ai dit déjà c'était pour la gloire de Dieu mais c'était aussi par la grâce de Dieu.
Il goûta la mort. Qui a goûté la mort pour lui? De Psaume 22, de Psaume 102, nous voyons des détails comment le Saint Jésus a goûté la mort. Mais pas seulement cela, il a goûté la mort pour tout.
C'est le but, le but est donné en même temps. Je pense à un verset qui est très beau, 2 printemps 5, il a souffert pour tout, mais ça veut dire aussi pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes mais pour celui qui pour eux est mort et a été resté.
La pensée a l'air que le Saint Jésus est mort pour tous et pour tout. Mais là il ne faut pas avoir de fausses conclusions. Cela ne veut pas dire que le Saint Jésus est mort pour si la mort des pécheurs perdus qui seront dans l'enfer.
Ici c'est pour soulier la mort dans son efficacité, pour tout. Donc ainsi il a mis la base, comme j'ai dit tantôt, Jean 1, verset 29, pour que le péché soit ôté du monde. La base a été établie par sa mort pour tout.
Si on traduit pour tous, ça veut dire évidemment pour tous ceux qui croient. C'est la qualification, pour tous ceux qui croient. Mais si on lit pour tous en général, ce serait pour soulier que la grâce se montre maintenant envers tous.
Et dans ce sens-là on a 1 Timotée 2, pour tous. Cette œuvre de rédemption a une valeur pour tous, qui s'adresse à tous. Mais comme substitut, c'est limité à ceux qui croient. C'est un point qu'on doit toujours rappeler.
Donc ces versets nous soulignent la souffrance du Seigneur Jésus et la gloire à venir. Le Seigneur l'a dit lui-même, il ne fallait pas que le Fils de l'homme souffre et ainsi entre dans sa gloire.
Les souffrances du Fils de l'homme et ses gloires vont ensemble. Et 1 Pierre 1 nous dit que même les prophètes avaient parlé des souffrances du Seigneur Jésus et les gloires à venir, les gloires et les souffrances.
Parce que les souffrances sont données en plusieurs aspects, qui peut sonder tous les aspects des souffrances du Seigneur Jésus et ainsi qui peut sonder toutes les gloires qui sont le résultat de ces souffrances.
Pour nous c'est encore la même chose. Aujourd'hui les souffrances ainsi la gloire. C'est pour nous le même principe. Et ce n'est pas maintenant le thème, mais c'est une application qu'on peut tirer de cela.
Aujourd'hui nous sommes identifiés aussi avec un Christ qui a souffert. La grande différence, si nous avons peur aux souffrances de Christ, ce n'est pas l'aspect proxiatoire, ce n'est pas l'aspect de l'expiation, ça c'est l'œuvre que Christ a accomplie, c'est seulement lui qui a pu accomplir cela.
Mais si nous nous identifions avec les souffrances de Christ, c'est comme cet témoin qui souffre parce que le témoignage est en souffrance. Vous voyez, dans ce sens là, on voit souvent dans l'Empire que les chrétiens souffrent parce qu'ils s'identifient avec un témoignage, le témoignage de Dieu.
Le témoignage de Dieu est en souffrance et souffre aujourd'hui. Et dans ce sens là, nous pouvons goûter aussi les souffrances, mais pas dans le sens qu'on voit ici, les souffrances, l'œuvre expiatoire dans ce sens là est uniquement limitée à Christ.
Et il compta la mort pour tous, ça c'est donc cet aspect là. Et il le dit aussi, Marc X, le Fils de l'homme n'est pas venu pour être servi, mais pour donner servi un rançon pour plusieurs. Là il ne vit pas pour tous, parce que là c'est la pensée du substitut, ça c'est pour plusieurs.
Si c'est pour tous, c'est pour montrer que l'œuvre est efficace de la part de Dieu, pour que tous puissent venir. …
Transcripción automática:
…
Ensuite, jusqu'à la fin du chapitre,
il veut deux personnes.
Mais nous voyons des vies qui ont été faites un peu moindres que les autres à cause de la passion de la mort,
couronner la gloire et l'honneur,
en sorte que, par la grâce du Dieu, il coûtera la mort pour tous.
Car il convenait pour lui, à cause des qui sont toutes choses,
et par qui sont toutes choses,
qu'en amenant plusieurs fils à la gloire,
qu'il consommât le chef de leur service par les souffrances.
Car il, celui qui s'en supplie, et ceux qui sont sanctifiés, sont tous d'un.
Pourquoi il n'a pas honte de les appeler frères, disant,
j'annoncerai ton nom à mes frères, au milieu de l'assemblée, je chanterai tes noms à moi.
Et encore, moi, je me confierai en lui.
Et encore, me voici, moi et les enfants que Dieu m'a donnés.
Puis donc, les enfants ont pris part au sang et à la chair.
Lui aussi, semblablement, y a participé,
afin que par la mort, il rendit impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort,
c'est-à-dire le diable,
et qu'il délivrera tous ceux qui, par la crainte de la mort,
étaient pendant toute leur vie assujettis à la servitude.
Car certes, il ne prend pas les ordres, mais il prend la semence d'Abraham.
C'est pourquoi il dut, en toutes choses, être rendu semblable à ses frères,
afin qu'il fût un miséricordieux et fidèle souverain sacrificateur
dans les choses qui concernent Dieu,
pour faire proficacement le péché du peuple.
Car en ce qu'il a souffert lui-même,
il est tenté, et il est à même de secourir ceux qui sont tentés.
Puisque c'est la vérité de la parole.
Le premier chapitre nous a montré la grandeur du Seigneur Jésus
comme le Fils de Dieu.
Le deuxième chapitre, la dernière fois, nous avons vu la grandeur du Fils de l'Homme.
Nous avons vu Christ dans le ciel.
C'est le premier chapitre.
Et le deuxième chapitre nous parle du monde à venir.
On a parlé de cela la dernière fois.
Et chaque page de cet Épître nous montre la grandeur de la personne du Seigneur Jésus.
Soit comme Dieu, soit comme homme.
Et comme Dieu, nous avons vu qu'il y a par la grâce de Dieu un lien entre lui et nous.
Le premier chapitre, nous avons vu que nous sommes ses compagnons, le Seigneur.
Il a été loin d'une ville de joie, au-dessus de ses compagnons.
Et dans l'application, nous avons vu que nous sommes ses compagnons.
Mais il est au-dessus de nous.
Mais là, il est vu comme Fils de Dieu.
Mais comme Fils de l'Homme, notre lien avec lui est encore plus intime.
Et ça, c'est vraiment le ministère de l'enfant qui croit.
J'aimerais dire encore quelque chose du verset 9.
Et ensuite donner un résumé dans quelques points du verset qui suit.
Et ensuite parler des quelques détails.
D'abord, le nom Jésus.
Le nom de son humanité, verset 9.
Ce nom revient neuf fois dans l'Épître aux Églises.
Neuf fois juste le nom Jésus.
Lorsqu'on parle du Seigneur Jésus, on aime référer au Seigneur Jésus-Christ.
Et c'est tout à fait correct.
Mais dans le contexte de cette Épître, il faut montrer que cette humble personne,
rejetée par les Juifs, Jésus du Nazareth,
est présentée devant nos yeux avec une grandeur incroyable.
Juste ce nom-là fait résonner notre corps.
Jésus.
Le nom signifie Jérôme saoul.
Et là, on a déjà le mystère de sa personne.
Il est Dieu, Jérôme.
On l'a vu dans le premier chapitre.
En même temps, on le voit ici comme homme, Jésus.
Il a été fait un peu moindre que les anges. Pourquoi ?
Nous avons vu déjà dans le passé que le Seigneur Jésus est le Créateur.
Donc, comme Créateur, il est au-dessus des anges.
Même lorsqu'il est venu comme homme dans ce monde,
le bébé dans la crèche, là à Bethléhem,
les anges étaient soumis à lui.
Il était plus grand que les anges.
Et nous voyons que les anges lui ont servi son mystère sur la terre.
Pourquoi est-ce qu'il a été fait un peu moindre que les anges ?
C'est dit ici à cause de la façon de la mort.
Les anges ne peuvent pas mourir.
Les anges ne peuvent pas se donner un sacrifice pour nous.
Aucun homme ne pouvait satisfaire non plus parce que la race humaine est déchue.
Et ainsi nous voyons que le Seigneur Jésus, Dieu,
Dieu ne peut pas mourir non plus,
mais comme homme, il a pris cette place encore un peu moindre que les anges.
Mais c'est donc par rapport à la mort.
Ensuite, nous voyons, après les souffrances, c'est les gloires.
C'est un thème général dans la Bible.
Les souffrances du Seigneur d'abord, ensuite les gloires qui suivent.
Et on voit ça aussi tout de suite.
Pourronner les gloires et les bonheurs.
Et là, il est encore plus élevé que les anges.
Il est toujours plus élevé que les anges.
Sauf par rapport à sa mort, il était un peu moindre.
La deuxième chose qu'on voit ici, c'est le résultat à la fin du verset 9.
C'est juste pour indiquer, parce que ce verset est tellement riche,
mais juste pour souligner la grâce de Dieu.
C'est la grâce de Dieu qui l'a envoyé.
C'est la grâce de Dieu par laquelle il s'est donné comme sacrifice.
On verra plus tard plus de détails concernant le sacrifice.
Nous le voyons ici comme rédempteur.
Il est le grand créateur du premier chapitre.
Ici, nous le voyons comme rédempteur.
Et par la grâce de Dieu, il a goûté la mort pour tout.
Et là, il y a donc deux aspects.
Colossien 1 explique cela aussi.
Pour réconcilier tout, on n'est pas des universalistes,
mais tout l'univers sera purifié du péché.
Jean 1 verset 21, Jean le baptiseur l'avait dit.
Il dit, voilà, voici l'agneau de Dieu qui ôte le péché du monde,
de l'univers, du cauchemar.
Il goûte à la mort pour tout.
Mais on peut lire aussi pour tous.
L'oeuvre est suffisante pour que tous puissent venir avec repentance.
Mais il faut venir avec repentance.
Les oeuvres se répètent souvent.
Sans la repentance, on ne peut pas avoir de communion avec Dieu.
Ça prend la repentance, ça prend la confession de nos péchés.
Mais ici, nous voyons l'oeuvre de Dieu, la grâce de Dieu.
Il a envoyé son Fils et le Seigneur Jésus a goûté la mort pour tous.
Il a mort pour tous, 2 Corinthians 5.
Romains 3 nous montre cela aussi.
Mais ça demande une réponse de notre part.
Dieu ne nous a pas créés comme des robots.
C'est à nous.
Dieu veut que tous soient sauvés, 1 Timothée 2.
2 Théâtres 3 montre comment Dieu est patient,
une grande patience.
Dieu attend, Dieu attend, Dieu attend,
pour que tous puissent être sauvés.
C'est la grâce de Dieu.
On aura plus de détails sur l'oeuvre du Seigneur Jésus plus tard dans l'Épiphane.
Son sacrifice, l'Holocauste, le sacrifice pour le péché.
Mais ici, on a déjà le noyau.
C'était pour tout, tout l'univers, c'était pour tous.
Maintenant, j'aimerais d'abord donner un petit résumé.
Ensuite, on verra quelques détails.
J'ai déjà dit, cet épître nous parle d'une façon particulière de la grandeur du Seigneur Jésus.
J'aimerais juste mentionner quelques points, un aperçu historique.
C'est beau de voir en sept points comment ces versets que nous avons lus nous parlent.
D'abord, de l'incarnation, au verset où nous avons vu qu'il a participé, au verset 14.
Puis donc, les enfants ont lu part au sang et à la chair, lui aussi, semblablement, il a participé.
Le secret est donné en détail dans Luc 1.
Dans Luc 1, nous voyons comment la Vierge serait sous l'ombre du Saint-Esprit.
Et puis ainsi, elle concevrait cette Semence Sainte.
Dans Luc 1, nous avons déjà un peu un détail là-dessus.
Le Seigneur Jésus n'a pas pris part à notre condition comme pécheur, loin de cela.
Mais il a pris une position comme homme sur la terre.
Il n'était pas Dieu enveloppé dans une forme humaine.
Donc, il est Dieu et en même temps, il est devenu homme, sans participer à la nature pécheresse.
Il a participé à la nature humaine, mais sans participer à la nature pécheresse.
C'est pour cela que ce verset dit « semblablement, il a participé ».
Vous voyez, la Bible est très exacte.
Donc, ça c'est le premier point.
La venue du Seigneur Jésus dans le monde.
Il a participé au sang et à la chair pour pouvoir mourir pour nous.
Il fallait qu'il vive comme un homme pur et juste devant Dieu.
Ensuite, qu'il puisse mourir.
Le deuxième point, nous voyons sa vie sur la terre.
Verset 18, « il a souffert étant tenté ».
Verset 18, « car en ce qu'il a souffert, lui-même étant tenté ».
Au début de son ministère, ou juste avant son ministère public, dans Luc 4, dans Matthieu 4, Marc 1,
nous voyons ses tentations dans le désert.
Ça souligne qu'il était un homme qu'on pouvait mordre.
Mais, à part le péché.
Donc, sa venue dans le monde, sa vie comme un homme sur la terre.
Et maintenant, encore un étage, c'est le troisième point.
Sa confiance en Dieu, verset 13, « moi je me confierai en lui ».
Ce verset exprime l'attitude du Seigneur Jésus.
Une entière dépendance envers Dieu.
Ce verset montre l'humanité parfaite du Seigneur Jésus.
S'il était juste Dieu enveloppé dans une forme humaine, il n'aura pas besoin d'être dépendant de Dieu.
Mais comme un homme parfait, il a exprimé pendant toute sa vie une dépendance.
Son 22, lorsqu'il était sur la scène de sa mère, il a mis sa confiance en Dieu.
Lorsqu'il était là, au début de son ministère, il était dépendant de Dieu et toujours dépendant de Dieu jusqu'à la fin.
Donc, cette confiance en Dieu, c'est le troisième point.
Le quatrième point, le Seigneur Jésus est mort.
Il l'est mentionné déjà pour tout et pour tous.
Donc, sa mort, c'est le quatrième point.
Quelle pensée que le Fils du Dieu est mort pour nous.
Quel amour que nous avons exprimé dans le canticle.
Et sa mort, on l'a vu au verset 9.
On va revenir à ça au verset 10.
Verset 14, pourquoi est-ce qu'il a participé au sang et à la chair?
Afin que par la mort, il rendit impuissant.
Donc, un homme parfait pour pouvoir mourir.
Et par cette mort, il a rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort.
Verset 17, sa mort par rapport au sacrifice qui était nécessaire.
L'heure expiatoire, verset 17.
Pour faire propitiation pour les péchés du corps.
Vous voyez sa mort, les effets de sa mort.
Maintenant, le cinquième point.
C'est quoi le cinquième point?
Donc, on parle de l'ordre historique.
Il est venu dans ce monde.
Il a vécu dans ce monde.
Il a mis sa confiance en Dieu.
Il est mort.
Ensuite, au verset 9, on a vu.
Couronner de gloire et d'honneur.
Il a goûté la mort pour tous.
A cause de la passion de la mort, il était un peu moindre que les gens.
Mais maintenant, couronner de gloire et d'honneur.
C'est le cinquième point.
Ça implique donc sa résurrection.
Ça implique son exaltation.
Comment Dieu l'a couronné.
Maintenant, le Seigneur Jésus, et ça c'est mon sixième point.
Sa position actuelle.
Il est chef.
On va revenir à ça parce que tantôt j'aimerais parler un peu du lien entre lui et nous.
Il est notre chef.
Au verset 10.
Le chef de notre salut.
Il est celui qui sanctifie.
Au verset 11.
Il est celui qui révèle le nom de Dieu.
Verset 12.
Il est notre rédempteur.
On en a parlé déjà.
Verset 14, 15, nous parlons de cela.
Il est celui qui nous soutient.
Maintenant, dans la gloire du Seigneur Jésus, il a beaucoup de rôles,
si je peux utiliser ce mot-là par rapport à lui, pour nous.
Et on va revenir à ses rôles au cours de cette équipe-là.
Maintenant, mon septième point.
Sa grandeur par rapport au monde à venir.
Il est le fils de l'homme qui va régner sur le monde à venir.
Verset 5.
Et les autres versets qu'on a vus la dernière fois.
Dans le monde à venir, il aura la place de roi qui va régner sur tout l'univers.
Maintenant, j'aimerais encore souligner quelques points
de sa grandeur qui sont mentionnés dans ce chapitre.
Il est appelé Christ.
Ça veut dire « oin ».
Et puis on va revenir à ça une autre fois.
Dieu l'a « oin ».
Il est le Christ.
On l'a vu comme fils de l'homme la dernière fois.
On l'a vu ce soir, il est Jésus.
L'humble Jésus de Nazareth, couronné de gloire et d'honneur.
Il est notre chef.
Verset 10.
Chef de notre salut.
Il est, verset 11, celui qui sent qu'il suit.
Il est, verset 17, un miséricordieux et fidèle, souverain, sacrifiable.
Et puis on va revenir, au cours de ces chapitres dans l'Hybré,
on va revenir surtout au fait qu'il est notre chef.
Il nous dirige à travers les airs.
Il nous dirige dans le sanctuaire, on verra ça aussi.
Il nous dirige pour sortir du camp hébréen.
Il est notre chef.
Ici, il est le chef de notre salut.
Le mot « salut » revient sept fois dans ce livre.
C'est très beau de voir ça.
Mais il est notre chef.
Il est notre conducteur.
Mais il est aussi notre souverain sacrificateur.
On verra plus tard, à l'Hybré, par exemple, il est le ministre du sanctuaire.
Il prend soin des intérêts de Dieu.
Mais il est aussi notre grand souverain sacrificateur.
Et on verra cela à deux égards.
Pour nous aider dans les airs,
ce que l'on a vu ce soir, au verset 17,
dans les choses qui concernent Dieu pour faire propitiation pour les péchés du peuple,
c'est par rapport à sa mort.
Donc ici, nous le voyons comme souverain sacrificateur par rapport à sa mort.
Mais au verset 18, nous voyons le Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur
par rapport à notre marche à travers les airs
pour nous secourir, pour secourir ceux qui sont tentés.
Vous voyez la grandeur du Seigneur Jésus,
Christ, Dieu à loin,
il est le fils de l'homme et on a vu qu'il va être glorifié dans le monde à venir.
Et Dieu l'a déjà couronné de gloire et d'honneur.
Et simplement Jésus nous parle de cette immense grandeur de cette personne.
Le chef de notre salut, il est celui qui sympathise notre grand souverain sacrificateur.
Et Dieu voulant, la prochaine fois, on va parler un peu plus en détail du sacrificateur.
Et on verra aussi plus tard, jusqu'au chapitre 7 et 8 même,
beaucoup de détails sur le Seigneur comme sacrificateur.
Ce qui rend ce verset un peu difficile, ce qu'on a vu ce soir,
ici l'auteur danse comme un résumé de beaucoup de sujets qui sont développés en détail un peu plus loin.
Maintenant j'aimerais souligner le lien entre le Seigneur Jésus et nous.
Ici dans l'Hébreu, ce n'est pas le mystère de l'Église comme dans Ephésiens ou dans Colossiens.
Le lien entre Christ dans la gloire et nous, les membres de son corps.
Les liens qu'on trouve dans l'Hébreu sont d'un caractère différent, mais quand même très réel.
Je voulais mentionner sept liens entre le Seigneur Jésus et nous.
Sept liens entre le Seigneur Jésus et nous.
Au verset 12.
Excusez-moi, on va revenir encore au verset 10.
Mais verset 12 nous parle du fait qu'il nous appelle frères.
Et j'ai pensé à ça en premier parce qu'il est le premier-né d'entre beaucoup de frères.
Vous connaissez cette expression, on l'a mentionnée déjà une fois,
cinq fois dans le Nouveau Testament, nous voyons le Seigneur Jésus comme le premier-né d'entre beaucoup de frères.
Il est le premier-né, c'est une position par rapport à nous.
Il est le chef et nous sommes cette génération qui appartient à nous.
Il est le premier-né d'entre beaucoup de frères.
Romain VIII, verset 29, nous parle de cela.
Colossien 1, je répète, par rapport à la création, le Seigneur Jésus est le premier-né.
Plus grand que les anges.
Par rapport à la rédemption, il est le premier-né d'entre les morts.
D'entre les morts.
Cela nous montre sa grandeur.
Et c'est seulement par rapport à sa mort et à sa rédemption que nous avons un lien avec lui.
C'est pour cela que je voulais commencer par cette expression, le premier-né.
Cela veut dire qu'il est premier, en vrai, en position, mais en même temps il a un lien avec nous, les restés.
En contraste avec l'autre nom de Colossien Jésus, l'autre relation, le fils unique, qui revient aussi cinq fois dans le Nouveau Testament.
Le fils unique.
Là, il est, pour le mot dit, unique.
Il n'y a aucune personne qui lui est semblable.
Il est le fils unique dans le sein du Père.
Mais on ne parle pas de cette position-là, cette relation entre le Père et le fils.
Le fils unique est unique et reste unique.
Mais ici nous parlons de sa relation avec nous.
Le premier-né par rapport à la création, nous appartenons à la création.
Nous sommes des créatures.
Nous avons maintenant une relation avec lui.
Par le péché, cette relation a été brisée.
Par la rédemption, cette relation a été restaurée.
C'est cela qu'il est le premier-né d'entre les morts.
Et comme rédempteur, nous avons cette relation maintenant aussi avec lui, comme rédempteur, créateur et rédempteur.
Et ainsi, il est le premier-né d'entre beaucoup de frères.
On va revenir à ça au verset 12.
Il nous introduit dans les secrets de la maison du Père.
Les secrets du Dieu.
On a vu déjà par rapport au monde à venir, dans le verset 6, il est appelé aussi le premier-né dans le monde d'habiter.
C'est par rapport au monde à venir.
Il sera le premier-né.
Mais il aura aussi un peuple qui lui sera soumis, qui sera lié à lui, le peuple d'Israël.
Et ensuite, il est le premier-né de la mort, ou des morts, dans l'apocalypse 1.
Ça nous parle de sa grandeur générale.
Maintenant, c'est cette pointe, au verset 10, le chef de leur salut.
Et on va lire tout le verset.
Il convenait pour lui, à cause qu'ils sont toutes choses, et parce qu'ils sont toutes choses,
qu'en menant plusieurs fils à la gloire, il consomma le chef de leur salut par des sous-parents.
Dans cette équipe, nous verrons que les croyants sont des fils sacrificateurs, qui appartiennent à Christ.
Il est leur chef, il est notre chef.
Et il nous amène à la gloire.
Vous voyez, au verset 10, en menant plusieurs fils à la gloire.
Nous verrons dans cet épisode que déjà maintenant, le Seigneur Jésus nous introduit dans la gloire.
Nous avons un ciel ouvert, un accès immédiat.
Donc il nous amène déjà maintenant à la gloire.
Mais nous sommes aussi en route pour la gloire, pour traverser le désert.
Ce sont deux vérités par rapport à ce verset-là.
Et ainsi, il est notre chef qui amène beaucoup de fils à la gloire.
Deuxième chose, au verset 11,
Et celui qui sanctifie, et ceux qui sont sanctifiés sont tous d'un.
C'est un verset difficile, ils ont la même origine.
Mais Christ est celui qui sanctifie, et nous sommes ceux qui sont sanctifiés.
La sanctification joue un rôle important dans cette équipe.
C'est même un mot clé.
La sanctification veut dire être mis à part pour Dieu.
Comme dans Romain, la justification est centrale.
Dieu nous a déclarés justes, nous a rendus justes devant lui.
Ainsi, dans Hébreu, la sainteté et la sanctification, et sanctifier, sont des thèmes importants.
Donc nous avons un lien avec lui, il est celui qui sanctifie, et nous sommes ceux qui sont sanctifiés.
Et ainsi, nous avons une place dans le sanctuaire avec lui.
Troisième relation, c'est pourquoi il n'a pas honte de les appeler frères.
Dans Jean 20, nous voyons comment le Saint Jésus a pu parler de cela à cause de sa résurrection.
Sur la base, sa résurrection, il a pu dire à Marie, va et raconte mes frères, je montre un verbe.
Mon Dieu est votre Dieu, mon Père est votre Père.
Et ainsi, les deux pouvaient appeler les égyptes mes frères.
Donc mes frères ou frères égyptes, c'est une relation intime entre le Seigneur Jésus et nous.
Mais c'est seulement possible par la base de sa mort et de sa résurrection.
On n'aurait aucun lien avec lui sans sa mort et sa résurrection.
Quatrième point, verset 12, j'annoncerai tant à mes frères, au milieu de l'Assemblée, je chanterai tellement, au milieu de l'Assemblée, il est le centre de l'Assemblée.
Assemblée veut dire une compagnie de ceux qui ont été appelés.
Dieu nous a appelés pour sortir de ce monde.
Les chrétiens hébreux étaient appelés pour sortir du judaïsme.
Une compagnie de ceux qui ont été appelés.
Est-ce que vous réalisez cela, que Dieu nous a appelés.
Nous avons été appelés par un Saint appel et la prochaine fois on verra par un appel céleste.
Nous appartenons à celui qui nous a appelés.
Et il est le centre de l'Assemblée, le centre de cette compagnie de ceux qui ont été appelés.
Là donc, nous avons aussi ce point-là, que nous sommes identifiés avec Christ dans la gloire.
Christ dans la gloire, il est le chef, le notre chef, il est celui qui sanctifie, il est le premier aidant pour beaucoup de frères, il est le centre de l'Assemblée.
Mais nous voyons aussi, par la grâce de Dieu, que nous sommes identifiés avec celui qui s'est identifié avec nous ici sur la terre.
Et les trois autres points nous parlent de cela.
Verset 13. Nous voici, moi et les enfants que Dieu m'a donnés.
Le Saint Jésus a pris place sur la terre.
Et ainsi, il est identifié avec nous, il nous présente à son Dieu et père.
Les enfants que Dieu lui a donnés.
Ensuite, la sixième expression, verset 17.
Verset 16, excusez.
Tous les croyants, les vrais croyants, sont des enfants d'Abraham, même des fils d'Abraham.
Et ainsi, le Seigneur Jésus, il prend avec la main la semence d'Abraham.
Le Seigneur Jésus s'est identifié sur la terre avec la semence d'Abraham.
Ensuite, lorsqu'il parlait avec les parisiens, j'ai envie.
Les parisiens disaient qu'ils étaient des descendants d'Abraham.
Mais là, le Seigneur montre clairement qu'il s'identifie seulement avec les vrais fils d'Abraham.
Les vrais enfants d'Abraham ou la vraie semence d'Abraham.
Ça veut dire les croyants.
Galat 3 nous montre cela en détail.
Romains 4 montre cela que seulement les vrais croyants d'entre les Juifs, seulement les vrais croyants d'entre les nations appartiennent à cette semence d'Abraham.
Et ainsi, ils sont identifiés avec Christ.
Le septième point au verset 17.
À la fin du verset 17.
Afin qu'il fût un miséricordieux et fidèle souverain sacrificateur dans les choses qui concernent Dieu, pour faire confiance pour les péchés du peuple.
Le peuple était ici littéralement Israël.
Et puis, on peut dire seulement ceux qui ont cru.
Ainsi, ça nous parle d'abord de ces Juifs chrétiens à Jérusalem à ce moment-là.
Mais aujourd'hui, on peut dire, ça nous parle de nous.
On l'applique à nous.
Nous sommes maintenant le peuple de Dieu.
Et dans les jours à venir, lorsque nous serons au ciel, sur la terre, il y aura encore un peuple de Dieu.
Les Juifs qui se repentent, le reste fidèle sera ce peuple.
Et nous voyons ici les souffrances du Seigneur Jésus pour ce peuple.
Donc, qu'est-ce qu'on voit ici?
Le Seigneur Jésus s'identifie au peuple de Dieu sur la terre.
Donc, dans ces sept points, nous avons notre identification avec Christ dans la gloire.
Mais nous voyons aussi comment il s'identifie avec nous, dans notre misère.
Il fallait que nous soyons de la semaine d'Abraham.
Ça nous parle de la foi.
Il fallait aussi qu'il souffre pour les péchés, pour la propitiation pour les péchés du peuple.
Maintenant, il y a quatre points qui m'ont frappé dans ce chapitre et dans ces quelques versets qu'on a lus.
C'est l'humanité du Seigneur Jésus.
On a vu dans le chapitre premier sa grandeur comme le Fils de Dieu.
Mais déjà la dernière fois, on a vu que le psonme 8 va un peu plus loin que le psonme 2.
Le psonme 2 nous parle du Fils de Dieu et que le psonme 8 nous parle du Fils de l'homme.
Et ainsi, Hébreu 2 met beaucoup d'emphase sur le Seigneur Jésus dans son humanité.
Dans son humanité, on a vu, c'est ainsi qu'il a pu mourir pour nous.
Mais je veux revenir maintenant au verset 10.
Il convenait pour lui.
C'est Dieu ici.
Selon les plaintes de Dieu.
Il convenait pour Dieu que Christ prenne une place comme homme sur la terre.
Il convenait pour lui à cause de qui sont toutes choses.
Dieu est à l'origine de tout.
Dieu a fait les plaintes.
Et par qui sont toutes choses ?
Dieu est le créateur.
Le grand créateur de ce immense univers.
On ne peut pas s'imaginer la grandeur de Dieu.
Dieu est Dieu et nous sommes des créatures.
On ne peut vraiment pas s'imaginer la grandeur de Dieu.
Mais le point est quand même souligné ici.
Il convenait pour lui à cause de qui sont toutes choses.
Donc, on peut penser à n'importe quelle chose.
Les planètes, les étoiles, les micro-organismes, tous les êtres humains.
On peut penser aux choses dans le passé, aux choses dans le monde à venir.
Tout, tout est pour Dieu.
A cause de la chute de l'homme, à cause de l'oeuvre de Satan.
Ça n'a pas l'apparence que c'est comme ça.
Mais ce verset montre vraiment ce principe.
Tout est ici à cause de Dieu.
Dieu est à l'origine de tout.
Et tout sera aussi pour sa gloire.
Mais le verset 10 nous dit par qui sont toutes choses.
Il est aussi le grand Créateur.
On a vu que ça fit son premier.
Il soutient toutes choses par la parole de sa puissance.
On a vu là aussi le Seigneur Jésus dans sa grandeur comme Créateur.
Donc, pour ce Dieu là, ce grand Dieu, il convenait que le Seigneur Jésus devienne homme.
Pour amener plusieurs fils à la gloire.
Deuxième raison pour son humanité, verset 14.
Il est devenu homme, comme j'ai dit tantôt déjà, pour pouvoir mourir.
Et ainsi pour avoir la victoire sur Satan. Verset 14.
Puis donc les enfants ont eu part au sang et à la chair.
Lui aussi, semblablement, y a participé. On a parlé de cela.
Afin que, par la mort, il rendit impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort.
Donc ici nous voyons l'humanité du Seigneur Jésus pour qu'il puisse avoir la victoire sur Satan.
Pour qu'il puisse rendre impuissant.
Le Seigneur Jésus est entré dans la fosse aux géants.
Où Satan, avec toute sa force, la force de Satan se montre par la mort.
Par la mort, il avait le contrôle sur toute l'humanité.
Le Seigneur Jésus est entré dans la fosse où Satan avait toute la puissance.
Et c'est là qu'il a rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort.
Il est sorti victorieux du tombeau.
A la fin du psaume 22, nous voyons une description de cette victoire.
Les résultats que ça affecte la nation juive, ça affecte les nations, ça affecte le monde à venir.
Les résultats de ces souffrances sont montrés dans le psaume 22 déjà.
Au milieu de ce psaume, un peu plus loin qu'au milieu, nous voyons comment il était abandonné, entouré par tous ses ennemis.
Il a crié, crié à Dieu.
Et là, Dieu l'a répondu.
Et la réponse de Dieu est vue dans la résurrection.
Et dans tout cela, sa mort et sa résurrection, il a rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort.
Nous voyons aussi dans 2 Timothée 1 qu'il a rendu impuissant la mort.
Donc il a rendu impuissant l'outil de Satan, la mort.
Mais ici, il a rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort, Satan.
Vous voyez, donc l'œuvre est vraiment complète.
Il n'a pas seulement annulé l'outil, il n'a pas seulement enlevé l'outil de Satan, la mort.
Il n'a pas seulement annulé la mort de Timothée 1 verset 10, mais il a annulé ou rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort.
Donc le Seigneur a fait un bon travail.
Souvent nous faisons un travail juste la moitié et on est déjà satisfait.
Le Seigneur Jésus a fait un travail complet.
La troisième raison pour laquelle le Seigneur Jésus est devenu homme est mentionnée au verset 17.
Dans cette œuvre de la propitiation, j'aime aussi la termologie, l'œuvre expiatoire.
Cette œuvre est l'œuvre de celui qui est mort.
Oui, il est mort pour rendre impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort.
Mais il a fait plus que cela.
Dans sa mort, il a honoré Dieu.
Dans sa mort, nous avons vraiment cette œuvre expiatoire.
Tout était pour la gloire de Dieu.
Et on verra beaucoup plus d'états là-dessus dans le chapitres 9 et 10.
La quatrième raison pour laquelle le Seigneur Jésus est devenu homme, c'est pour qu'il puisse nous secourir maintenant, verset 18.
Car en ce qu'il a souffert lui-même étant tenté, il est à même de secourir ceux qui sont tentés.
Nous sommes maintenant dans le désert.
Le Seigneur Jésus était dans le désert.
On le voit dans Luc 4, Matthieu 4, les trois tentations.
Et ces trois tentations couvrent vraiment tous les aspects de la vie.
Les tentations par rapport aux choses de la terre.
Avoir faim.
C'est un besoin qui appartient à cette terre.
Il n'y a rien de mal dans avoir faim.
Mais on ne peut pas entrer dans ces livres-là.
Mais ça montre vraiment la victoire que le Seigneur Jésus a eue sur ces tentations.
Il a souffert.
Il n'a pas subi ces tentations.
C'est impossible.
Au chapitre 4, nous verrons cela.
Il était à part péché.
C'était impossible qu'il subisse ces tentations.
Par contre, pour nous, ça peut nous arriver qu'on subisse, qu'on tombe dans une piège.
Mais ici, nous voyons que le Seigneur est là, justement.
Il a souffert dans toutes ses tentations.
Tenté 40 jours.
Satan a utilisé toutes ses ressources.
Toutes.
Il s'est résumé dans ces trois points.
Les choses terrestres.
Les choses du monde.
Et les choses religieuses.
Et avec un genre d'eux, on pourrait dire la convoitise de la chair.
La convoitise des yeux.
Et l'orgueil de la vie.
Le Seigneur Jésus a été exposé à tout.
Il n'a pas manqué. Pas du tout.
Il était victorieux.
Et maintenant, il peut nous aider, nous qui sommes dans ce monde, qui sommes exposés à des tentations.
Vous voyez, ça c'est la quatrième raison pour que le Seigneur soit parfaitement homme.
Un homme parfait, dépendant du Dieu, on l'a souligné déjà.
Il est maintenant dans la gloire.
Mais il peut exactement comprendre ce qui se passe.
Avec Yann, ou avec Valérie, ou avec n'importe qui de nous.
Chacun passe à travers des périodes difficiles, des tentations.
Et le Seigneur, il peut nous secourir.
Il sait exactement, exactement nos besoins.
Le Seigneur n'est pas venu dans le monde comme un homme de trente ans.
Il a été aussi un jeune garçon.
Il connaît les tentations pour un jeune garçon.
Il connaît les tentations pour un jeune homme à l'âge de douze ans.
Il n'a pas cherché sa propre gloire, il a cherché la gloire de son père, Luc II.
Et ensuite, comme homme, nous voyons sa perfection.
Et ainsi, il peut nous aider dans nos tentations.
J'aimerais encore résumer quelques points.
On va revenir au verset 10.
Le mot chef, le chef de leur salut, c'est un mot qui est très beau.
J'ai dit, on va revenir à ce mot chef.
Le Seigneur est le chef pour nous introduire dans la gloire, chapitre 10.
Il est le chef pour nous diriger à travers le désert.
Il est le chef pour nous faire sortir du cain, hébreu 13.
Et le mot chef est quelquefois traduit par prince.
Ou on pourrait traduire leader.
C'est un mot très fort qui souligne encore davantage la grandeur du Seigneur Jésus.
Ce mot est trouvé deux fois dans l'acte.
Dans l'acte 3, verset 15 et 5, verset 31.
Mais je veux juste lire 3, verset 15, parce que c'est vraiment une très belle référence.
Acte 3, verset 15.
Où Pierre parle aux juifs.
Et dans ces 7 points, il y a aussi 7 points, mais je ne vais pas les nommer maintenant.
Il dit au verset 15, et vous avez mis à mort le prince de la vie.
Le prince de la vie.
Ici le mot prince, c'est le même mot que chef, cain, hébreu 2.
Et nous voyons ici donc la grandeur du Seigneur Jésus.
Le prince de la vie.
Quelle expression merveilleuse.
Et il est prince et sauveur.
Chapitre 5, verset 31.
Donc, encore ce point là.
Ensuite, on a déjà mentionné, d'abord la souffrance, ensuite la gloire.
C'est un principe qui revient dans la Bible tout le temps.
Luc 24, le Seigneur dit aux deux disciples d'Emmaüs.
Il dit, vous êtes insensibles.
Ne saviez-vous pas qu'il fallait que le fils de l'homme souffre pour entrer dans sa gloire.
Et dans un caractère, Pierre cite les prophètes de l'Ancien Testament.
Il dit qu'ils ont parlé des souffrances.
Des souffrances.
Les souffrances, plusieurs aspects.
Les souffrances du Seigneur Jésus.
Les souffrances dans la main de l'homme.
Les souffrances à cause de l'oeuvre expiatoire.
Les souffrances quand il était attaqué par Satan.
Des souffrances du Seigneur Jésus.
Et des gloires qui allaient suivre.
Donc, toujours, d'abord les souffrances, ensuite les gloires.
Maintenant, un petit mot pour nous.
Est-ce que vous passez à travers des souffrances ?
C'est pour nous introduire dans la gloire.
Dieu veut nous faire passer à travers des souffrances.
Ce ne sera pas des souffrances pour l'oeuvre de l'appropriation.
C'est impossible.
C'est seulement Christ qui pouvait faire ça.
Mais les souffrances, c'est maintenant pour nous.
Un peuple sur la terre.
Les souffrances maintenant.
Romains 8, 28.
Toutes choses qu'opèrent ensemble pour le bien de ceux qui en ont.
Donc Dieu, il sait ce qu'il fait.
Il dirige notre chemin à travers les souffrances.
Mais on a vu, c'est pour la gloire.
Pour la gloire.
Ça va nous amener à la gloire.
L'autre point, c'est au verset 12.
On a vu déjà quelques points de ce verset 12.
Mais j'aimerais maintenant mentionner deux points.
Le Seigneur révèle le nom de Dieu.
J'annonçais ton nom à mes frères.
Il est l'apôtre qui présente Dieu.
On verra dans Hébreu 3, en plus de détails, le Seigneur comme apôtre.
Il révèle Dieu.
Mais il est aussi le grand sacrificateur.
Et comme sacrificateur, il chante les louanges.
Vous voyez, il nous aide comme ce grand chanteur.
Comme celui qui entend le cantique.
Il donne la réponse.
Et ainsi nous voyons le Seigneur comme apôtre ou prophète qui révèle la pensée de Dieu.
Mais il donne aussi la réponse.
Au milieu de l'assemblée, je chanterai tes louanges.
C'est beau de voir ici le Seigneur au centre de l'assemblée.
On parlait de cela déjà.
Et il nous représente auprès de Dieu.
Il nous introduit dans la présence de Dieu.
Et dans Hébreu 10, nous verrons comment il est même le chemin pour entrer dans la gloire, dans la présence de Dieu.
Ensuite,
on a parlé de la dépendance du Seigneur Jésus au verset 13.
Et j'aimerais maintenant dire aussi comment c'est vraiment important pour nous d'être dépendants de Dieu.
On a la tendance naturelle de mettre notre confiance en Dieu.
C'est la tendance naturelle.
Dans les proverbes, il a dit, confie-toi de tout ton cœur à l'Éternel.
Et ne t'appuie pas sur ton intelligence.
Dans toutes tes voies, connais-le.
Et il dirigera tes sentiers.
C'est la dépendance.
Le Seigneur est notre exemple.
Il a mis sa confiance en Dieu.
Maintenant, c'est à nous de faire cette règle.
Je me confierai en lui.
Le Seigneur est notre modèle.
Ensuite,
il est aussi,
par rapport au témoignage de Dieu.
Voici, moi et les enfants que Dieu m'a donnés.
C'est une citation d'Isaïe 8.
On n'a pas le temps de lire maintenant.
Dans Isaïe 8, nous voyons le résultat fidèle
passant à travers la grande tribulation.
Et même là, il y aura un témoignage pour Dieu.
Mais ce sera par l'identification avec le Messie.
Et Isaïe, là, est l'exemple du Messie.
Isaïe, elle a un type, un exemple, une illustration du Messie.
Ces deux enfants, Chéa-Yashou,
et l'autre nom, le nom difficile, Chéa-Maha-Chazal,
quelque chose de même,
ces deux enfants étaient dans un témoignage.
Maintenant, l'application pour nous pratique.
Aujourd'hui, nous sommes un témoignage.
Dieu nous a ramenés, Chéa-Yashou.
Dieu nous place sur la terre comme un témoignage.
Et là, le Seigneur est identifié avec nous.
Donc, il y a aussi beaucoup de leçons pratiques dans ce chapitre.
Et j'aimerais quand même mentionner cela aussi.
Chaque page de la Bible nous donne toujours des leçons pratiques.
L'autre point, encore, que j'aimerais souligner, c'est celle
Il ne prend pas les ans, mais il prend la semaine d'Abraham.
Est-ce que quelqu'un ici était déjà en train de se noyer une fois?
Je ne sais pas. Peut-être.
Je connais un père, il a crié à Dieu lorsqu'il était en train de se noyer,
puis Dieu l'a sauvé physiquement, mais plus tard.
Puis aussi spirituellement, c'est beau de savoir ça.
Maître à mon point, il nous prend,
il nous tend la main, il nous donne la main.
Il prend la semaine d'Abraham.
C'est ça, la compassion de Dieu.
Il a eu compassion de nous, il nous a étendu sa main.
Et par la grâce de Dieu, nous avons pris cette main.
C'est notre réponse.
Mais c'est beau de voir comment Dieu s'identifie avec ceux qui mettent leur confiance en Dieu.
Il nous éteint sa main, il veut nous prendre sa main.
C'est une pensée à suivre, comment nous pouvons marcher avec Dieu.
Donc on va revenir à ce point du sacrificateur.
Le Seigneur, je mentionne maintenant, le Seigneur est plus grand qu'avant.
On a mentionné l'apôtre, c'est Moïse.
On verra plus tard, chapitre 3.
Le Seigneur est plus grand que Moïse, ce grand Moïse.
Il est aussi plus grand qu'avant, le souverain sacrificateur.
Il y avait un point, ça me choque, j'espère que ça va revenir.
Mais juste ce point maintenant, à la fin du verset 17.
Dans les choses qui concernent Dieu.
Dans les choses qui concernent Dieu.
Cet épître nous parle du travail du Seigneur Jésus, de son œuvre, de tout ce qu'il fait, de tout ce qu'il est, par rapport aux êtres de Dieu.
Dans les choses qui concernent Dieu.
Et j'aimerais poser une question à nous.
Est-ce que les êtres de Dieu nous sont à cœur ?
Est-ce que nous avons à cœur les êtres de Dieu ?
Juste cette question là.
Est-ce que nous avons à cœur les êtres de Dieu ?
C'est juste une application que j'ai faite ici.
Mais le Seigneur Jésus avait toujours à cœur d'abord les êtres de Dieu.
Il a pensé à nous aussi.
Mais lorsqu'il a pensé à nous, même là, il avait d'abord à cœur les êtres de Dieu.
L'autre point que j'avais, ça ne revient pas à ma mémoire.
Mais si vous avez des questions, peut-être que ça va revenir.
J'ai dit qu'on a eu beaucoup de points, c'est beaucoup de matière.
Mais c'est comme une introduction, plus ou moins, à toute étude.
C'est parce que beaucoup de détails qui sont juste indiqués ici, vont être développés plus tard.
Donc si vous n'avez pas tout compris maintenant, il ne faut pas s'inquiéter.
On va revenir à plusieurs points, si le Seigneur le permet, plus tard.
Par exemple, cette question du sacrifice.
Sacrificateur. Mais je ne voulais pas élaborer maintenant, mais je reviens à ça la prochaine fois que je vous parle.
C'est quoi un sacrificateur, c'est ce qu'il y a.
Donc si vous avez encore des questions, des remarques, des choses à ajouter.
Ce chapitre serait bon, même cette vie, ces huit versets, neuf versets qu'on a mis, ce serait bon pour une conférence.
Et même une journée ne serait pas suffisante.
Donc, une heure quand même maintenant, ce n'est pas suffisant pour couvrir tous ces versets.
Mais j'ai juste donné quelques points comme référence, comme introduction. …
Transcripción automática:
…
L'Épique aux Hébreux, chapitre 3
C'est pourquoi Frère Saint, participant à l'appel céleste, considérait l'Apôtre et le Souverain Sacrificateur de notre Confession, Jésus,
qui est fidèle à celui qui l'a établi, comme Maurice aussi l'a été dans toute sa maison.
Castrilla a été jugé digne d'une loi d'autant plus grande que celle de Maurice, que celui qui a bâti la maison a plus d'honneur que la maison.
Car toute maison est bâtie par quelqu'un, mais celui qui a bâti toute chose est Dieu.
Et Maurice a bien été fidèle dans toute sa maison, comme saluteur, en témoignant des choses qui devaient être dites, mais Christ, comme Fils, subit sa maison.
Et nous sommes sa maison, si du moins nous retenons ferme, jusqu'au bout, la confiance et la gloire de l'espérance.
C'est pourquoi, comme dit l'Esprit Saint, aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos coeurs, comme dans l'Irritation ou dans la Tentation d'un bébère,
où vos pères m'ont tenté en m'éprouvant et ont vu mes œuvres durant quarante ans.
C'est pourquoi j'ai été indigné contre cette génération, j'ai dit qu'ils s'égarent toujours dans leur cœur, ils n'ont point connu mes vœux.
Ainsi j'ai juré dans ma colère, six ans dans mon repos.
Prenez garde, frères, qu'il n'y ait en quelqu'un de vous un méchant cœur d'incrédulité, parce qu'il abandonne le Dieu vivant.
Mais exhortez-vous l'un l'autre chaque jour, aussi longtemps qu'il est dit, aujourd'hui, afin qu'aucun d'entre vous ne s'endulcisse par la séduction du péché.
Car nous sommes devenus les compagnons du Christ, si du moins nous retenons ferme jusqu'au bout le commencement de notre assurance.
Selon qu'il est dit, aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos cœurs pendant l'irritation.
Car qui sont ceux qui l'ayant entendu l'irriter, mais est-ce que ce ne furent pas tous ceux qui sont sortis d'Egypte par Moïse,
et contre lesquels fut-il imbigné durant quarante ans?
N'est-ce pas contre ceux qui ont péché et dont les corps sont tombés dans le désert?
Et auquel jura-t-il qu'il n'entre pas dans son repos, sinon à ceux qui ont désobéi?
Et nous voyons qu'il n'y furent entrer à cause de l'incrédulité.
Le début du chapitre, je veux aller un peu lentement.
La deuxième partie un peu plus vite parce qu'on va revenir à ça quand même dans le contexte du chapitre 4 pour la prochaine fois.
On a vu donc dans Hébreu 1er chapitre la grandeur du Seigneur Jésus. Il est Dieu béni sur toutes choses.
On a vu dans Hébreu 2 aussi la grandeur du Seigneur Jésus comme fils de l'homme.
Et la dernière fois, nous avons parlé de cette relation que nous avons avec le Seigneur Jésus, donc des liens précieux entre lui et nous.
Et on pourrait dire la conclusion de tout cela, c'est une première conclusion, on verra plusieurs conclusions dans ce chapitre.
C'est pourquoi c'est comme une conclusion de ces deux chapitres.
Frère, Saint, Participant, à l'appel céleste, considéré, l'apôtre et le souverain sacrificateur de notre conversion.
D'abord ce mot frère. Verset 14, nous avons vu que nous sommes devenus les compagnons du Christ.
Donc il y a un lien très intime, comme nous avons exprimé aussi dans notre cantique, entre lui dans la gloire et nous sur la terre.
Mais ici, l'auteur s'adresse aux croyants immédiatement. Dans ce temps-là, les croyants à Jérusalem, et il les appelle frères saints.
Tous les juifs étaient ses frères, selon la chaîne, comme il l'explique aussi dans Romain 9 par exemple, mais ils n'étaient pas tous des frères saints.
Donc il s'adresse ici aux croyants parmi ces chrétiens dévoués.
On verra cela plusieurs fois dans cet épître, que d'un côté il s'adresse à tout le peuple, d'un autre côté il s'adresse aux vrais croyants parmi eux.
Nous avons déjà noté une fois que la sainteté est vraiment le sujet central dans cet épître.
Donc pour avoir rapport avec Dieu, pour avoir la communion avec Dieu, ça prend la sainteté.
Et nous avons vu, chapitre 2 déjà, que c'était au verset 1, car et celui qui saintifie et ceux qui sont saintifiés sont tous d'un.
Nous avons vu la même origine, tout vient de Dieu. Nous avons vu que Christ nous a saintifiés, et nous les croyants sont ceux qui sont saintifiés.
Et ainsi nous sommes aussi des frères saints par la grâce de Dieu.
La deuxième expression, participant, qu'on a ici,
c'est vraiment le, je pense que c'est le même mot qu'on a au verset 14, je vais juste vérifier, c'est le même mot,
donc c'est associer, participant par association.
Nous avons vu cela la première fois, au premier chapitre, que Christ a été oint au-dessus de ses compagnons.
Là on a trouvé ce même mot la première fois.
Donc 1 verset 9, Dieu t'a oint d'une huile de joie au-dessus de tes compagnons.
Et c'est très beau de voir ça. Le Seigneur Jésus, on l'a dit, il est Dieu lui-même, mais il est aussi vu comme homme.
Et Dieu l'a oint au-dessus de ses compagnons.
Nous avons vu ces liens entre lui et nous la dernière fois.
Et c'est vraiment une expression très précieuse d'être, une position très précieuse d'être des compagnons du Seigneur Jésus.
Donc il a quelque chose à partager avec nous et nous sommes associés à lui.
Il a toujours la première place, évidemment, au-dessus de ses compagnons.
Et l'emphase dans cet épître est toujours sur lui.
Lui a été oint.
Si nous pouvons jouir dans cette fonction, c'est la grâce de Dieu, mais l'emphase est toujours sur lui.
Et ainsi, au chapitre 3, toute l'emphase est encore sur lui.
Nous sommes participants, mais ainsi, nous sommes associés à lui, mais toute l'emphase est sur la personne du Seigneur.
Notre attention est demandée pour lui.
Et on retrouve ce mot associé ou participant plusieurs fois dans cet épître.
C'est un mot différent avec communion.
La communion qu'on trouve souvent dans les épisodes de Paul, et dans Jean aussi, est encore plus intime.
Mais quand même, c'est très, très spécial d'avoir une part avec le Seigneur Jésus, être son associé.
Maintenant, l'appel considéré.
Considéré.
L'apôtre est le souverain sacrificateur.
Avant qu'on parle de cela, dans quelle façon nous sommes participants?
Dans quelle façon nous sommes associés?
A l'appel céleste.
Ça vaut la peine de méditer là-dessus.
L'appel de Dieu.
Dieu nous a appelés.
Vous voyez?
Et ainsi, nous voyons dans la Bible, son appel.
Dans 2 Pierre 1, son appel.
Il nous a appelés.
C'est son appel.
Il nous a appelés à la gloire.
Nous sommes en route pour la gloire.
Il nous a appelés aussi par gloire.
Comme il l'a fait avec Abraham.
Abraham a vu la gloire de Dieu.
Le Dieu de gloire.
Et par cette gloire, Abraham a été attiré pour abandonner l'idolâtrie du pays.
Et pour suivre les instructions de Dieu.
Attiré par sa gloire.
Et ainsi, Dieu nous a appelés de la même façon.
Il nous attire la personne du Seigneur Jésus pour sortir de ce monde.
Et pour suivre le Seigneur Jésus.
Quel appel?
C'est un appel irrésistible qu'on voit avec soldats.
Un appel qui ne pouvait pas résister.
Dieu et le Seigneur Jésus dans la gloire l'a appelé.
Il l'a écouté et suivi.
Donc c'est son appel.
C'est aussi appelé un appel saint.
Ou un saint appel.
Saint appel.
On parlait de la sainteté tantôt.
C'est une expression qu'on trouve dans 2 Timothée 1.
Un saint appel.
Dieu nous a mis à part.
En nous appelant.
Il nous a mis à part.
Un saint appel.
C'est aussi un appel d'en haut.
C'est Philippiens 3.
Un appel qui vient d'en haut.
D'une source tout à fait différente.
Ce n'est pas un appel de quelqu'un ici sur la terre.
C'est un appel qui vient d'une autre source.
D'en haut.
C'est la même expression qu'on trouve avec la nouvelle naissance.
La nouvelle naissance veut dire être né d'une nouvelle source.
Littéralement.
Né d'en haut.
Une nouvelle source.
Et ainsi, Dieu par sa grâce nous a fait naître de nouveau.
Une nouvelle source.
Et ainsi, il nous a appelé aussi.
De l'appel d'en haut.
Et ici, nous avons cet appel céleste.
Céleste.
Il y a beaucoup d'emphases sur cela dans cet Épitre.
Souvent, ce mot revient.
Céleste.
C'est l'Épitre 6. On verra.
C'est l'Épitre 11. La cité céleste.
Plusieurs fois.
Et puis, c'est beau de voir dans Jean 3.
Je mentionnerai tantôt Jean 3.
Le Seigneur a dû parler à Nicodème.
Il a nécessité la nouvelle naissance.
Et dans ce chapitre, il parle aussi des choses célestes.
Des bénédictions.
Des choses célestes.
Et le Seigneur est venu donc pour partager ses bénédictions célestes avec nous.
Il est venu du ciel pour pouvoir partager avec nous ses bénédictions célestes.
Et ainsi, on pourrait dire, le ministère de Paul est vraiment marqué par cet appel céleste qu'on voit dans l'Acte.
Dans le livre des Actes.
Plusieurs fois.
Maintenant, cet appel considéré.
Ici, c'est un appel qui s'adresse à notre intelligence spirituelle.
C'est, comment j'expliquerai ça, lié.
En anglais, on dit «mind».
C'est la façon dans laquelle on pense.
C'est notre mentalité.
Et ainsi, tout notre être est vraiment appelé à considérer l'apôtre et le souverain sacrificeur de notre confession.
Plus tard dans cet épître, on verra d'autres verbes qui nous appellent aussi à considérer le Seigneur Jésus.
Mais d'une autre façon.
L'emphase est quelquefois sur le cœur, quelquefois ici sur la façon dans laquelle nous pensons.
Est-ce que le Seigneur Jésus a une telle place dans nos vies qu'il nous impressionne de cette façon-là, comme l'auteur de cet épître veut ici.
Donc, considérer, considère l'apôtre.
En considérant l'apôtre et le souverain sacrificeur, qu'est-ce qu'on va faire ?
On va lâcher tout.
Toutes les autres choses.
Toutes les autres influences.
C'est ça le but de cet épître.
L'auteur voulait que ces juifs chrétiens laissent tomber le judaïsme, laissent tomber une religion terrestre,
laissent tomber ce que l'homme avait fait pour seulement être attaché à la personne du Seigneur Jésus.
Et il est mentionné sous deux points de vue.
Comme apôtre et comme souverain sacrificeur.
Ça c'est important à comprendre.
Ça résume un peu la première partie de l'épître.
Comme apôtre, il révèle les pensées de Dieu.
Comme Moïse, on verra tantôt aussi en parallèle avec Moïse, comme Moïse était l'apôtre de la part de Dieu.
L'apôtre veut dire envoyé.
Dieu avait envoyé Moïse pour faire sortir son peuple de l'Égypte.
Et ainsi le Seigneur Jésus est le grand Moïse, le grand apôtre envoyé de la part de Dieu pour faire sortir son peuple du judaïsme dans ce contexte,
pour les diriger à travers le désert.
Le grand apôtre.
Et l'apôtre va ensemble avec la parole.
La prochaine fois, Dieu voulant, à la fin du chapitre 4, nous verrons l'importance de la parole de Dieu.
Verset 12, 13.
Et nous avons vu au premier chapitre déjà aussi comment le Seigneur Jésus et la parole de Dieu vont ensemble.
L'apôtre qui annonce, qui enseigne.
Et si je ne me trompe pas, on a mentionné aussi le parallèle avec le tabernacle.
Dans le tabernacle, nous voyons d'abord comment Dieu sort.
Exode 25, 26, 27.
Il sort du lieu saint pour rencontrer le peuple autour de l'autel.
Ensuite, le souverain sacrificateur est nécessaire pour faire entrer le peuple dans la présence de Dieu.
Et ainsi, on voit dans l'exode 28, 29, le souverain sacrificateur qui entre.
Dans l'égyptique 16, nous voyons que seulement une fois par année, il entre dans la présence immédiate de Dieu.
Dans le lieu très saint, le souverain sacrificateur.
Et le souverain sacrificateur, donc, fait entrer le peuple, ou les croyants, dans la présence de Dieu.
Le souverain sacrificateur soutient le peuple dans la présence de Dieu.
Maintenant, je veux revenir à une chose qu'on a vue la dernière fois, au chapitre 2, verset 17.
Où nous avons lu, c'est pourquoi il dut en toute chose être rendu semblable à ses frères,
afin qu'il fût un miséricordieux et fidèle souverain sacrificateur dans les choses qui concernent Dieu,
pour faire propitiation pour les péchés du peuple.
Vous voyez, on a vu cela, le Seigneur, dans sa miséricorde, il prend soin du peuple dans leur misère.
Mais, tout en maintenant les droits de Dieu, il est fidèle, fidèle à Dieu, fidèle aussi au peuple de Dieu.
Mais ici, nous voyons le travail du Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur une fois pour toutes.
L'oeuvre de la propitiation.
Vous savez, plus tard dans ce livre, on verra que le Seigneur Jésus était de la tribu du Judas.
Il n'était pas d'une tribu attachée à la sacricature.
La sacricature était seulement pour la tribu de Lévis, seulement une maison, la maison d'Avon.
Et ainsi, le Seigneur Jésus n'était pas littéralement, dans sa vie, un sacrificateur sur la terre.
Sauf, à la fin, par rapport à l'oeuvre de la croix, par rapport à son sacrifice, là, il est devenu aussi sacrificateur.
On verra plus tard dans cet épitre 8 et 9 et 10, son sacrifice, son oeuvre.
Mais on a beaucoup de détails sur lui comme sacrificateur et la chose qu'il a fait sur la terre une fois pour toutes.
Il s'est donné en sacrifice une fois pour toutes.
Mais là, il était aussi le sacrificateur pour les intérêts de Dieu.
Un sacrificateur prend soin des intérêts de Dieu et en même temps des intérêts du peuple de Dieu.
Le sacrificateur fait les deux à la fois.
Il prend soin des intérêts de Dieu et il prend soin des intérêts du peuple.
Et le peuple avait besoin de la propitiation, le sacrificateur, comme nous avons vu au chapitre 2, verset 17.
C'était une fois pour toutes.
Et on verra d'autres détails plus tard et ça va ensemble avec ce qu'on a dans le livre de 17.
C'était donc pour les besoins du peuple par rapport à leurs péchés, la propitiation pour les péchés du peuple.
Est-ce que le Seigneur Jésus fait encore aujourd'hui un travail comme ça, dans la gloire, par rapport aux péchés du peuple ?
Non. On verra cela à la fin du chapitre 4.
Son service actuel n'a rien à faire avec des péchés.
Son service actuel a à faire avec des faiblesses pour soutenir le peuple de Dieu dans leur traversée du désert.
Un peuple marqué par la faiblesse, l'infirmité, a besoin d'être soutenu.
Et le Seigneur Jésus, comme souverain sacrificateur, fait cela.
C'est pour cela que s'appelle considérer l'apôtre qui nous fait connaître le pensée de Dieu
et le souverain sacrificateur qui veut nous soutenir dans la présence de Dieu, qui nous soutient pour traverser le désert.
Nous avons besoin de fixer nos regards sur lui.
Et ainsi on verra à la fin du chapitre 4 que nous pouvons venir avec confiance devant le trône de la grâce.
Avec nos demandes, avec nos requêtes, avec nos besoins.
Il va nous donner du secours. Il est au ciel. Il s'occupe de nous 24 heures par jour.
Il nous donne du support, du soutien qui vient du ciel.
Et là, devant le trône de la grâce, on vient avec des mains vives, avec nos requêtes, pour être remplis par l'humain.
Maintenant, le troisième aspect de son ministère, on verra plus tard dans cet épitre.
Le Seigneur est là aussi comme ministre du sanctuaire, chapitre 8.
Il est là pour prendre soin des intérêts de Dieu.
Donc, je répète, il prend soin de nous, de nos besoins, mais il est là aussi pour prendre soin des intérêts de Dieu.
Et là, on verra, il veut nous introduire comme un peuple dans la présence de Dieu, un peuple d'adorateurs qui vient avec des mains remplies pour adorer.
Et ça, c'est vraiment un aspect important de cet épitre qu'on verra plus tard, après chapitre 7.
Donc, résumer brièvement, le service du Seigneur Jésus comme sacrificateur, une fois sur la terre, par rapport à l'œuvre de la croix, les trois heures sombres, surtout, où il a accompli cette œuvre pour la propitiation des péchés du peuple.
Ensuite, son ministère présent dans la gloire pour prendre soin de nous, et c'est pour cela que nous devons considérer l'apôtre qui révèle les pensées de Dieu, et considérer le souverain sacrificateur, c'est la même personne.
Et ensuite, on verra, il est là aussi pour nous introduire dans la présence de Dieu.
Cela a été indiqué déjà au chapitre 2, verset 10, amenant plusieurs fils à la gloire.
Donc, présentement, le Seigneur nous soutient, il nous amène à travers le désert, il nous amène à la gloire.
Mais, de notre côté, par son esprit, il nous amène aussi à la gloire.
Présentement, par son esprit, nous pouvons, et par ce chemin vivant, comme on a dans le chapitre 10, verset 19, nous pouvons entrer dans la présence immédiate de Dieu.
C'est par son service qu'on peut faire ça.
Il amène plusieurs fils à la gloire. Dans ce sens, il le fait déjà maintenant.
Donc, comment nous avons besoin de considérer cet apôtre et souverain sacrificateur?
Dans l'Ancien Testament, ces deux ministères étaient remplis par deux personnes, Moïse et Aaron.
Le Seigneur Jésus, il a ces deux ministères, l'apôtre qui révèle les pensées de Dieu, et souverain sacrificateur, en une personne.
Comment il est grand.
Ensuite, le verset dit, de notre confession, nous sommes dans le désert.
Dans le ciel, on n'aura plus besoin de confesser.
La confession, ça va ensemble avec le témoignage.
Le témoignage dans le désert.
Et on verra plusieurs fois dans ce chapitre, comment le Seigneur nous soutient dans notre témoignage à travers ce désert.
Pour illustrer cela, le peuple d'Israël était là pour porter les vases, les ustensiles du tabernacle, sur leurs épaules, comme un témoignage pour la gloire de Dieu.
Et ainsi, l'arche était portée sur les épaules des sacrificateurs.
Et les autres choses étaient portées en témoignage.
Le témoignage, ça va ensemble avec la pensée de confession.
Maintenant, la fin du verset 1, et c'est le début du verset 2, Jésus.
Tout cela se résume dans un seul nom, Jésus.
N'est-ce pas merveilleux?
Nous trouvons dans cet épitre Jésus-Christ, peut-être aussi Christ-Jésus, mais on a 9 fois juste le nom Jésus.
Il n'y a pas d'autre épitre dans le Nouveau Testament qui donne ce nom aussi souvent que l'Épitre aux Églises.
Toute cette merveilleuse vérité qu'on a dans ce premier verset, et qu'on a vu déjà au premier chapitre, au deuxième chapitre, se résume et est vue dans une personne, Jésus.
Là, on pense à son humiliation, en même temps, on pense à son élivration, à son exaltation.
Celui qui s'est humilié a été élevé par Dieu.
L'homme de Jésus de Nazareth est aussi le Jésus qui a maintenant un nom au-dessus de tout.
C'est la même personne.
Quel bon nom! On chante quelques fois, quel bon nom!
Et là, il est ajouté au verset 2, qui est fidèle, qui peut se comparer avec le Seigneur Jésus dans sa fidélité.
On a vu, il a un service, il a eu un service sur la terre, par rapport à la question du péché, il a accompli ce service dans sa fidélité.
On aura plus de détails plus tard, chapitre 9, 10.
Quelle fidélité! Lorsqu'on contemple le Seigneur Jésus dans sa marche sur la terre, on est frappé par sa fidélité.
On a vu ce mot aussi au chapitre 2, verset 17.
Miséricordé et fidèle, souverain, sacrificateur.
Cette fidélité est par rapport à une personne, c'est-à-dire par rapport à Dieu, fidèle à celui qui l'a établi.
Dieu l'a établi, Dieu l'a appointé, pour ainsi dire, comme apôtre et souverain, sacrificateur.
Et ainsi, il a une grande responsabilité, le Seigneur Jésus comme apôtre et souverain, sacrificateur, a une grande responsabilité, mais il est fidèle.
Il répond à l'attente de Dieu, il n'a pas décidé Dieu, pour ainsi dire.
Dieu a été pleinement satisfait par le service du Seigneur Jésus sur la terre.
Et ainsi, Dieu est maintenant pleinement satisfait lorsqu'il voit le Seigneur Jésus comme apôtre et souverain, sacrificateur, dans le ciel, parce qu'il est dans le ciel maintenant.
On a vu, c'est le verset clé de cet épitre, 2, nous voyons Jésus.
Où ? Sur la terre ? Non, dans le ciel.
Et là, il est encore ici, chapitre 3, verset 2, dans le ciel.
Et là, il est aussi fidèle dans son service.
Et là, l'auteur compare le Seigneur Jésus avec Moïse.
Mais avant que je parle, je voudrais juste mentionner, comme un sujet d'étude, la fidélité de Dieu.
Ça m'a frappé aussi de voir la fidélité de Dieu.
Lorsque le peuple traverse le désert, on voit un Dieu qui est fidèle.
Un chrétien voit le peuple de Dieu comme témoignage, pour ne pas détendre tout du témoignage, comme témoignage dans le désert, et on voit la fidélité de Dieu.
Dieu est fidèle, qui vous a appelé à la communion de son Fils Jésus-Christ.
Dieu est fidèle, dans le chapitre 10, lorsque le peuple manque, Dieu reste fidèle.
Et ainsi, la fidélité de Dieu tourne à travers le Nouveau Testament.
Et Dieu aime voir une réponse à nos vies, une réponse à fidélité envers nous.
Donc, revenons à Moïse, maintenant.
Moïse est une illustration du Seigneur Jésus, comme apôtre, on a mentionné cela.
Il y a donc des parallèles, parallèles, entre Moïse et le Seigneur Jésus.
Comme Moïse et le Seigneur Jésus.
Le mot « comme » souligne cela.
Comme Moïse, où il a été.
En même temps, il y a des contrastes.
Ça, c'est une clé pour comprendre cet Épître.
L'Épître trace des parallèles avec l'Ancien Testament, en même temps, montre des contrastes évidents.
Ça, c'est une clé à comprendre cet Épître.
Les parallèles, d'un côté, une illustration de l'Ancien Testament, l'âge, ou le sacrifice, ou une personne comme Moïse.
En même temps, les contrastes évidents.
Quels sont les contrastes ?
Vous voyez, Moïse était fidèle, et ainsi le Seigneur Jésus a été fidèle, et il est fidèle maintenant dans son service à la gloire.
Mais Moïse était d'un, toute la maison.
C'est une référence à la tabernacle, ici.
Vous voyez, cette gloire, car celui-là a été jugé digne d'une gloire d'autant plus grande que celle de Moïse,
que celui qui a bâti la maison a plus d'honneur que la maison.
Donc, ici, nous voyons, Dieu est vraiment l'architecte.
Dieu est le constructeur du tabernacle.
Et ainsi, Dieu avait une plus grande gloire que Moïse, qui était fidèle dans la maison.
Et ainsi, le Seigneur Jésus, il est Dieu lui-même, donc il est plus grand que Moïse.
C'est le premier contraste.
Et ça s'est résumé en verset 4, ou verset 4, car toute maison est bâtie par quelqu'un, mais celui qui a bâti toute chose est Dieu.
Dieu est le créateur.
Et ainsi, le tabernacle est aussi une image de la création, la terre, les cieux et le lieu où Dieu habite.
Mais, le tabernacle parle aussi de l'habitation de Dieu.
Comme c'est un thème important dans le Nouveau Testament, l'habitation de Dieu, ou la maison de Dieu, je pense que ce serait aussi un sujet d'étude en soi.
Mais je donne quelques versets.
Intimité 3 nous parle de l'ordre de la maison de Dieu.
Dieu veut que la maison soit en ordre.
Nous voyons ici, dans le passage qu'on a lu, deux aspects dans lesquels nous avons affaire avec la maison.
Je veux attendre juste le deuxième contraste.
Moïse a été fidèle dans toute sa maison, comme serviteur.
C'est le deuxième contraste.
Parallèle, fidèle.
Contraste.
Moïse, serviteur.
Christ, fils.
Verset 6.
Deuxième contraste.
Le Seigneur ouvre sur la maison.
Premier contraste.
Tandis que Moïse, dans la maison.
Deuxième contraste.
Moïse, serviteur.
Serviteur.
Tandis que Christ, fils.
Sur sa maison.
Maintenant, je vais revenir à ces pensées-là.
Qu'est-ce que nous avons à faire avec la maison?
Nous sommes sa maison.
Vous voyez? C'est beau de voir ça.
C'est un autre exemple du lien intime entre le Seigneur et nous.
On a parlé de sept liens la dernière fois, dans le chapitre 2.
Sept liens entre Christ et nous.
Ici, nous avons un lien intime.
Christ est fils.
Sur la maison du Dieu.
Ça souligne son autorité. Il est l'apôtre.
Ça souligne son service.
Il est le souverain salvitateur.
Et il a autorité sur la maison du Dieu.
Mais nous sommes sa maison.
Maintenant, de deux façons.
Comme une maison est construite.
Des pierres ou des matériaux.
Les croyants forment ensemble les matériaux de la maison.
Les pierres de la maison, pour ainsi dire.
Mais, dans un autre sens, les croyants sont aussi la compagnie.
Les personnes qui habitent dans la maison.
Et dans ce sens-là, nous sommes la maison d'Aaron.
Aaron, dans l'Ancien Testament, est souvent mentionné avec sa maison.
Aaron et sa maison.
Et ainsi, le Seigneur Jésus, le vrai souverain salvitateur, est mentionné avec sa maison.
C'est nous, c'est les croyants, sa maison.
Donc, dans ces deux sens, nous sommes sa maison.
On voit cela aussi dans 1 Pierre 2.
Le Seigneur, la pierre vivante.
Nous sommes des pierres vivantes.
Le lien avec lui.
En même temps, nous habitons dans cette maison vivante.
Une compagnie d'adorateurs qui habitent dans cette maison.
C'est beau de voir ça.
Mais tout cela est maintenant lié, pour lui, à notre responsabilité.
Si, du moins, nous retenons ferme, jusqu'au bout, la confiance et la gloire de l'Espérance.
On parlait tantôt de notre confession.
La confession, c'est quelque chose de notre responsabilité.
Le témoignage.
Et ainsi, l'auteur dit ici, si nous retenons ferme.
Parce qu'on traverse le désert, il faut endurer beaucoup de choses.
Beaucoup de tentations.
On va revenir aux tentations au chapitre 4 et même à la fin du chapitre 3.
Beaucoup de combats.
Il faut que nous fermions.
Il faut fixer notre regard sur lui, comme on verra au chapitre 12.
Le chef et le consommateur de la foi, nous devons retenir ferme jusqu'au bout.
Il y a une tendance, on se fatigue, on laisse faire, on laisse tomber les choses.
On doit continuer.
Et on verra, au chapitre 4, l'aide que le Seigneur nous donne pour pouvoir continuer.
Il nous donne de l'aide.
A nous-mêmes, on n'a pas la force.
Il nous donne la force.
Mais nous avons la responsabilité de retenir ferme jusqu'au bout.
C'est notre responsabilité.
En même temps, on réalise, nous ne pouvons pas retenir ferme jusqu'au bout sans son aide.
Il est aussi mentionné par rapport à l'espérance.
C'est l'espérance chrétienne.
Nous sommes en route.
D'un côté, nous avons libre accès, et on verra cela au chapitre 10.
On a libre accès là où le Seigneur Jésus est maintenant, par la foi.
De notre côté, on est en route.
Et voilà l'élément de l'espérance.
Maintenant, je veux dire quelque chose sur la deuxième partie de ce chapitre.
On a vu donc que, ici, c'est comme un résumé, verset 1 à 6.
C'est comme un résumé de la gloire du Seigneur Jésus, de son service aussi, comme apôtre et comme sacrificateur.
Et l'auteur va revenir à ces détails plus tard.
Mais, pour l'instant, ça suffit.
Nous avons été encouragés, fixés nos regards sur lui, considérés l'apôtre et le souverain sacrificateur.
Et maintenant, l'auteur donne plus de détails sur ce dernier point, pour retenir ferme.
Je vais juste vérifier.
Le mot « retenir ferme » revient plusieurs fois dans cet épitre et aussi dans d'autres passages du Nouveau Testament.
C'est vraiment un défi pour le croyant de garder les choses que Dieu vous a confiées.
Retenir ferme.
Et ici, dans le contexte du voyage à travers le désert et les dangers du désert, comme on verra dans la deuxième partie du chapitre.
Et c'est une parenthèse, et je mentionne cela juste pour votre compréhension de cet épitre.
Il y a cinq passages qui soulignent beaucoup notre responsabilité.
Et chaque fois que l'auteur s'interrompt pour agresser notre responsabilité, ça devient de plus en plus sérieux.
La première parenthèse qu'on a vue, c'était au début du chapitre 2.
C'est pourquoi nous devons porter une plus grande attention aux choses que nous avons entendues, de peur que nous ne nous écartions.
Voyez, c'est la première fois que l'auteur a adressé la question de notre responsabilité.
Maintenant, au chapitre 3, verset 7, il adresse à nouveau notre responsabilité.
Et ce passage continue jusqu'au 4, verset 11.
Et on verra que ce passage se divise en trois parties.
Ce soir, on parle seulement de la première partie de cette parenthèse.
Une parenthèse, c'est donc une partie de la parole où l'auteur s'interrompt.
Il continue à parler de la gloire du Seigneur Jésus et de son service.
Mais il s'interrompt maintenant pour adresser la question de notre responsabilité, de la responsabilité du peuple, des croyants, à ce moment-là.
Et si nous disons notre responsabilité, c'est parce que nous appliquons ces choses pratiquement nous-mêmes.
Nous sommes maintenant responsables, le peuple est responsable.
C'est pourquoi, verset 7, comme dit l'Esprit Saint.
Chapitre 4, verset 7, dit que c'était David.
David a parlé, le psaume 95, mais c'est l'Esprit Saint qui a parlé à travers David.
C'est beau de voir ça.
Aujourd'hui.
Aujourd'hui, c'est un mot important dans nos espoirs.
Dieu parle toujours dans ce terme-là, aujourd'hui.
C'est aujourd'hui le jour du salut.
C'est aujourd'hui qu'on doit obéir.
C'est aujourd'hui qu'on doit entendre sa voix, comme croyant.
C'est une belle expression, entendre sa voix.
Entendez sa voix.
Sa voix qui nous parle avec puissance.
On a parlé de l'appel céleste.
Sa voix qui nous dirige, qui veut nous nourrir.
C'est une belle expression des soins de Dieu envers son peuple.
Mais nous devons entendre.
Dieu prend soin de son peuple, sa voix.
Mais nous devons entendre.
Et ainsi, l'appel, n'endurcissez pas vos coeurs.
La déviation commence dans le cœur.
Pourquoi?
Salomon a dit garder votre cœur plus que tout ce que l'on garde.
Car de lui sont les issues de la Proverbe 4, verset 23.
Et c'est donc tout important de garder le cœur dans un bon état.
Ici, nous voyons que le peuple n'a pas gardé le cœur dans un bon état.
Ils se sont endurcis.
Je vais donner trois exemples.
L'auteur réfère à trois exemples ici.
D'abord, Massa et Mériva, la tentation, la provocation.
Ensuite, ils l'ont refusé, ils l'ont demandé de l'eau, ils l'ont tenté Dieu.
C'est Massa et Mériva, dans l'Exode 17.
Mais dans l'Ombre, c'est encore revenu, dans l'Ombre 20.
La deuxième fois, un autre test, c'est par rapport au pays.
Ils étaient en route pour le pays promis.
Ils l'ont refusé d'y aller.
Ils l'ont méprisé, le pays désirable.
Ils l'ont méprisé.
Et la prochaine fois, par rapport au chapitre 4, nous verrons David, que Dieu a appelé encore une autre fois, David, le roi selon le cœur de Dieu.
Ils l'ont rejeté, le roi selon le cœur de Dieu.
Et ainsi, nous voyons tout le temps que le peuple rejette les pensées de Dieu.
C'est un peu comme Étienne.
Si vous voulez lire le discours d'Étienne dans Acte 7.
Acte 7 est vraiment un merveilleux chapitre, mais très solennel.
Parce qu'Étienne montre comment le peuple s'est endurci tout le temps.
En Égypte, dans le désert, dans le pays et sous le ministère du Sénégal.
Tout le temps, ils se sont endurcis.
Nous ne sommes pas meilleurs en nous-mêmes.
Ce serait notre tendance aussi de nous endurcir, de provoquer et de tenter Dieu.
Ces péchés, je vais résumer tantôt dix points.
Ces péchés nous caractérisent facilement.
C'est pour cela que nous devons apprendre ces leçons-là.
Pour qu'on se tienne tout près du Seigneur Jésus.
Pour qu'on se fixe nos regards vraiment sur lui.
Pour ne pas tomber dans de telles pièges.
Donc, ils ont tenté Dieu, ils ont éprouvé Dieu, verset 9.
Ensuite, verset 10, ils s'égarent toujours dans leur cœur.
De nouveau le cœur.
Ils n'ont point connu mes voix.
Dans un des psaumes, le psaume 103, il est dit que Dieu a fait connaître ses voix à Moïse.
Parce que Moïse a compris les voix de Dieu.
Mais le peuple a seulement vu les actes de Dieu.
Ils n'ont pas connu vraiment ses voix.
Les voix de discipline et de gouvernement.
Et Dieu veut que nous connaissions ses voix.
Que nous puissions nous soumettre à sa discipline, à son gouvernement.
Et qu'on ne s'endurcisse pas.
Et l'auteur applique cela au croyant, verset 12.
Prenez garde, Prêtre.
Prenez garde.
C'est un appel prêt.
C'est un appel prêt.
Prenez garde.
C'est un appel prêt, direct, à nous aussi.
Prenez garde.
Ensuite, qu'il n'y ait en quelqu'un de vous un méchant corps.
Donc il résume l'histoire d'Israël.
Maintenant il dit, mais quant à vous, soyez attentifs.
Qu'il n'y ait en quelqu'un de vous un méchant corps.
D'incrédulité.
Il y a deux mots clés.
L'incrédulité, au verset 12.
Il s'est répété au verset 19.
Et la désobéissance, au verset 18.
Maintenant, je voulais juste oublier cette expression.
Le méchant corps d'incrédulité, parce qu'il abandonne le Dieu vivant.
Abandonne le Dieu vivant.
Si je ne me trompe pas, on a quinze fois le Dieu vivant dans l'Ancien Testament.
Quinze fois le Dieu vivant dans le Nouveau Testament.
C'est pratiquement le même.
Le Dieu vivant.
Il s'est révélé à ce peuple, même dans le désert, où la mort régnait.
Dieu s'est fait connaître comme le Dieu vivant.
Et dans le Nouveau Testament, nous connaissons le Dieu vivant.
Le premier verset, où le Seigneur Jésus parle de son Église, de son Assemblée.
Il parle du Dieu vivant.
Matthieu 16.
Matthieu 16, verset 16.
Et ainsi, quinze fois dans le Nouveau Testament, le Dieu vivant.
Et notre espérance est donc dans ce Dieu vivant.
C'est ce Dieu vivant qui a ressuscité la mort, qui s'est révélé dans le Seigneur Jésus.
Le Dieu vivant est vrai.
Donc ce serait un autre sujet d'étude, le Dieu vivant.
Il mentionnait tantôt la fidélité de Dieu, qui serait tout un sujet d'étude.
Ici, le Dieu vivant est un autre sujet d'étude.
Verset 13.
Mais exhortez-vous.
C'est une belle expression.
Nous avons besoin d'être exhortés.
Mais le Verbe comme tel veut dire aussi, encouragez-vous.
Nous avons le privilège d'avoir le Saint-Esprit qui habite en nous.
Le Saint-Esprit est appelé le Consolateur.
C'est le même mot.
Il nous console, il nous exhorte, il nous encourage.
Le Seigneur dans la gloire, il est notre Consolateur, notre Avocat, notre Gendeur.
C'est le même mot.
Il prend soin de nous.
Nous avons le privilège d'être un instrument de bénédiction les uns pour les autres,
de nous encourager.
Comment nous avons besoin d'être encouragés?
Ça me frappe souvent.
Nous avons souvent besoin d'être encouragés.
Mais ici nous avons cette pensée-là,
que nous puissions être un encouragement les uns pour les autres.
Et cela, chaque jour.
Chaque jour.
On a besoin d'être encouragés chaque jour.
Aussi longtemps qu'il est dit, aujourd'hui.
Aussi longtemps qu'on soit dans le désert.
Afin qu'aucun d'entre vous ne s'indulcisse par la séduction du déchiré.
Ça c'est une pensée solennelle.
Cette séduction, toujours par rapport au vieil homme.
Mais si nous ne nous jugeons pas,
si nous ne marchons pas dans la lumière,
si nous ne nous encourageons pas,
nous avons aussi ce danger d'être pris par cette séduction du péché.
Comme ce sera le cas tantôt avec l'antéchrist, l'homme du péché.
Comme Paul avait dit dans Colossiens 2,
que les chrétiens ne se fassent pas dévier par cette séduction.
La philosophie émotionnelle, la forme de séduction.
Ephésiens 4 mentionne la séduction par rapport au vieil homme.
C'est un mot très fort.
Verset 14.
Quand nous sommes devenus les compagnons du Christ.
On a vu cela au premier verset.
Quel privilège nous avons d'être frères,
saints et participants à l'appel céleste.
Et ainsi nous sommes, c'est le même mot,
compagnons, associés à Christ.
Compagnons du Christ.
Qui est dans la gloire, nous sur la terre.
Quel lien précieux entre lui et nous.
De nouveau notre responsabilité.
Si du moins nous retenons ferme jusqu'au bout.
Cela m'a frappé souvent.
Nombre 25.
Juste à la fin du voyage dans le désert,
39ème année, nous sommes tombés devant les idoles de Baal Théon.
Toute une séduction.
Toute une histoire.
Et puis le chef était responsable aussi,
comme on voit dans nombre 25.
C'était à la fin.
Donc nous devons tenir ferme jusqu'au bout.
Qu'est-ce qu'on doit tenir ferme ?
Notre assurance.
C'est un mot qu'on va voir aussi dans le chapitre 11, verset 1.
Par rapport à la foi.
La foi donne l'assurance.
Mais ici le peuple était marqué par manque de foi.
Manque de foi.
Ils n'avaient pas d'assurance.
Ils étaient découragés.
Ils se sont rebellés.
Ils se sont endurcis.
Ils se sont irrités.
Je voulais juste résumer ces expressions-là.
Ils se sont endurcis.
Cela revient souvent.
Ils l'ont provoqué d'eux.
On l'a vu aussi dans le verset 8.
C'est encore au verset 15.
L'irritation.
C'est un mot semblable.
Provocation.
Irritation.
Ensuite, ils l'ont tenté Dieu.
Ils l'ont essayé Dieu.
C'est très grave.
Ils l'ont mis à l'épreuve.
Verset 9.
Ils l'ont été...
Ils se sont égarés.
Verset 10.
Donc, manque de connaissance.
C'est pour ça que je dis,
ils n'ont pas vraiment compris les voies de Dieu.
Ils ont seulement vu ses actes.
Tandis qu'ils ont connu les voies de Dieu.
Ils étaient ignorants.
Verset 10.
Ils n'ont pas connu mes voies.
Verset...
18.
Je l'ai mentionné aussi un peu avant, je pense.
Cette incrédulité.
On l'a vu deux fois.
Incrédulité.
On va revenir à ça au chapitre 4 aussi.
Par incrédulité, ils l'ont rejeté, ce pays promis.
Ils ne voulaient pas rentrer.
Par incrédulité.
Il y a même pas parlé de déissance aussi.
Verset 12.
Nous avons un autre mot.
Abandonner.
C'est très grave.
Abandonner.
Et on a parlé au verset 13 de la séduction.
Du péché.
Et finalement, à la fin du chapitre, verset 18, la déjeuner.
Donc, ce sont des dangers qui nous guettent aussi.
Notre responsabilité est grave.
Je passe à Esaïe 6.
Esaïe a vu la sainteté de Dieu.
Trois fois saint.
Saint, saint, saint.
On revient ensemble à l'archéologie.
Et dans le même chapitre, Dieu a dû renvoyer Esaïe.
Pour fermer leurs oreilles.
Pour qu'ils s'endurcissent.
Ils ne s'endurcissent pas.
C'est le gouvernement de Dieu.
Dieu a envoyé cet esprit d'endurcissement.
A cause du fait qu'ils ne voulaient pas écouter.
C'est très grave.
Si Dieu doit envoyer un esprit d'endurcissement.
Comme avec le pharaon.
Le pharaon a pu écouter.
Il s'est endurci.
Ensuite, Dieu l'a endurci.
C'est très grave.
On voit cela dans Romain 1.
Avec les nations.
Après, le déluge.
On voit cela avec Israël.
Isaïe 6.
On voit cela avec la profession chrétienne.
Deux thessaloniciens.
Et aussi d'autres passagers.
Qui nous parlent de cette endurcission.
De cette désobéissance.
Et tous ces détails qu'on a vus.
C'est très grave.
Mais le point pour nous.
Ce n'est pas juste pour critiquer ces gens-là.
C'est facile. Critiquer Israël.
Parce qu'ils l'ont manqué.
Mais pour notre instruction.
Un chrétien dit cela.
Nous soulignons cela beaucoup.
Toutes ces choses leur sont arrivées.
Pour nous instruire.
Pour nous encourager.
Pour nous exhorter.
Pour que nous ne tombions pas dans cette pièce-là.
Donc, quel appel.
De ce début.
Mais le secret est vraiment.
Plus qu'on est attaché.
Seigneur Jésus dans la gloire.
Plus on sera gardé.
Contre toutes ces erreurs.
C'est une remarque technique.
Mais cette parenthèse.
Est interrompue.
Au verset 7.
Jusqu'au verset 11.
C'est une sous-parenthèse.
Comme dit l'Esprit Saint.
Cette pensée termine.
Ainsi je jurerai dans ma colère.
S'ils entrent dans mon repos.
Donc ça c'est la première sous-parenthèse.
Ensuite au verset 12.
Il continue ce qu'il dit au verset 7.
C'est pourquoi.
Puis là on va.
Continuer.
Prenez garde.
Vous voyez ça c'est la continuation de la pensée.
C'est pourquoi.
Prenez garde.
Ensuite un peu plus loin.
Après ces encouragements.
Ils s'interrompent encore dans une sous-parenthèse.
Au verset 16.
Car qui sont ceux qui l'ayant entendu.
L'imitaire.
Donc ils s'interrompent encore une fois.
Une petite parenthèse.
Au verset 19.
Et donc la prochaine fois.
Chapitre 4.
Premier verset.
Il continue la pensée générale.
De cette parenthèse.
Mais c'était juste une remarque un peu technique.
Est-ce que vous avez encore des questions ?
Ou des remarques.
Pour ajouter au sujet ?
Peut-être une.
Comme j'en ai mentionné au début.
Je lève la tête.
Pour concilier quelques aspects.
Un appel par le doigt.
Est-ce qu'on peut mettre un parallèle à l'épée de pierre ?
Un appel par la doigt.
C'est ça.
De pierre en face.
Par la doigt.
Et d'autres épées de fondement.
C'est aussi pour la doigt.
Parce qu'on avoue pour la doigt.
Encore deux fois.
Vous voyez comment cette épée est très pratique pour nous.
Ce n'est pas juste une leçon d'histoire.
L'esprit nous parle.
L'esprit nous parle.
Dieu a parlé à ce peuple.
Aujourd'hui, l'esprit nous parle.
Il nous a encouragés. …
Transcripción automática:
…
L'Épître aux Hébreux, chapitre 4, et on se rappelle, c'est au milieu d'un passage d'exhortation.
Il y a cinq passages d'exhortation dans l'Épître aux Hébreux, et on était au milieu de la deuxième parenthèse, qui commence au chapitre 3, au milieu du verset 6.
Donc la dernière fois, on a fini chapitre 3, on continue chapitre 4, puis la parenthèse continue jusqu'au verset 12 et 13, concernant la parole de Dieu.
Ensuite, il continue le sujet du Souverain Sacrificateur, qu'il avait commencé au chapitre 3.
L'apôtre, le Seigneur Jésus comme apôtre et Souverain Sacrificateur, nous avons vu comme apôtre, il était plus grand que Moïse, qui était comme un apôtre au milieu d'Israël.
Ensuite, il compare le Seigneur Jésus avec Aaron, il va montrer qu'il est plus grand qu'Aaron.
Il y a aussi des parallèles, comme on verra plus tard dans cette étude.
Donc, lorsqu'on compare l'Ancien Testament, il y aura toujours des parallèles, des similitudes, il y aura aussi des contrastes, parce que le Seigneur est plus élevé, il est supprimé.
Donc, hébreux 4, craignons donc qu'une promesse ayant été laissée d'entrer dans son repos, quelqu'un d'entre vous paraisse ne pas l'atteindre.
Car nous aussi, nous avons été évangélisés de même que ceux-là, mais la parole qu'ils entendirent ne leur servit de rien, n'étant pas mêlée avec la foi dans ceux qui l'entendirent.
Car nous, qui avons cru, nous entrons dans le repos, comme il a dit. Ainsi, je jurais dans ma colère, qu'ils entrent dans mon repos, bien que les œuvres aient été faites dès la fondation du monde.
Car il a dit ainsi quelque part, touchant le septième jour, et Dieu se reposa de toutes ses œuvres au septième jour.
Et encore, dans ce passage, s'ils entrent dans mon repos, puis donc qu'il reste que quelques-uns y entrent, et que ceux qui auparavant avaient été évangélisés ne sont pas entrés à cause de leur désobéissance,
encore une fois, il détermine un certain jour, disant à David, si longtemps après, aujourd'hui, comme il a été dit auparavant, aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos cœurs.
Car si Jésus leur avait donné le repos, ils n'auraient pas parlé après cela d'un autre jour.
Il reste donc un repos sabbatique pour le peuple de Dieu, car celui qui est entré dans son repos, lui aussi s'est reposé de ses œuvres, comme Dieu s'est reposé des siennes propres.
Appliquons-nous donc à entrer dans ce repos-là, afin que personne ne tombe en imitant une semblable désobéissance.
Car la parole de Dieu est vivante et opérante et plus pénétrante qu'aucune épée à deux tranchants, et atteignant jusqu'à la division de l'âme et de l'esprit, des jointures et des moelles, et elle discerne les pensées et les intentions du cœur.
Il n'y a aucune créature qui soit cachée devant lui, mais toutes choses sont nues et découvertes aux yeux de celui à qui nous avons affaire.
Étant donc un grand souverain sacrificateur qui a traversé les cieux, Jésus, le fils de Dieu, tenant ferme notre confession.
Car nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse sympathiser à nos infirmités, mais nous en avons un qui a été tenté en toutes choses comme nous, à part le péché.
Approchons-nous donc avec confiance du trône de la grâce, afin que nous recevions miséricorde et que nous trouvions grâce pour avoir du secours au moment opportun.
C'est vraiment un merveilleux chapitre, mais aussi très solennel.
J'aimerais rappeler quelques points du contexte.
On a vu donc que le peuple est dans le désert, et dans nos cantiques on avait pensé aussi au danger du désert, la détresse que le peuple peut même expérimenter dans le désert.
Mais on a vu la dernière fois qu'il y a des ressources.
Il y a des ressources en Dieu lui-même, verset 12 du chapitre 3.
Le Dieu vivant.
Et ça m'a frappé toujours en lisant le psaume 42 et 43, que dans un tel contexte, c'est le contexte de la grande tribulation, où le peuple sera donc persécuté en dehors du pays,
aussi dans un désert, littéral, mais aussi spirituellement.
Ils vont se fier au Dieu vivant.
Ils vont mettre leur confiance en le Dieu vivant.
Et c'est ça que nous devons faire aussi.
Nous sommes testés.
On verra cela.
Nous sommes mis à l'épreuve de plusieurs façons.
Parce que le désert nous met à l'épreuve.
Nous pouvons avoir une belle confession.
Vous avez vu cela la dernière fois, au chapitre 3.
Premier verset.
C'est pourquoi Frère Saint, participant à l'appel céleste, considérait l'apôtre et le souverain sacrificateur de notre confession.
Et puis il veut donc que nous puissions retenir cette confiance jusqu'au bout.
C'est là, au milieu du verset 6, où cette parenthèse commence.
Si du moins nous retenons ferme jusqu'au bout la confiance et la gloire de l'espérance.
C'est l'ensemble avec cette confession.
Dieu veut que nous gardions cette confession.
Mais on sera mis au test.
Et là, on a vu donc ces dix points selon lesquels le peuple a été infidèle, a manqué.
Ils se sont endurcis.
Ils ont provoqué Dieu, deuxièmement.
Et deuxièmement, ils ont même tenté Dieu, c'est très solennel, mis Dieu au test.
Si Dieu était vraiment au milieu d'eux.
Ils l'ont prouvé.
Ils étaient aussi marqués par l'ignorance.
Ils étaient marqués par le fait qu'ils se sont errés.
Est-ce qu'on peut dire en français comme ça, ils se sont égarés.
Et, pas seulement l'ignorance, on a vu aussi la question de la désobéissance et l'incrédulité.
L'incrédulité, 3,19.
Et aussi un cœur qui, au verset 12,
Prenez garde frère qu'il n'y ait en quelqu'un de vous un méchant cœur d'incrédulité en ce qu'il abandonne le Dieu vivant.
Donc on parle ici d'un peuple qui a confessé d'être le peuple de Dieu.
Mais dans le désert, il était mis à l'épreuve.
On voit cela dans le livre des noms.
Et qu'est-ce qu'on voit graduellement ?
Ils ne pouvaient pas tous entrer dans le pays.
Ça ne veut pas dire que tous étaient perdus pour toute l'éternité.
Un chrétien, 10, nous montre clairement que Dieu ne pouvait pas les soutenir dans le désert.
Ils l'ont manqué.
Donc il avait un manque de détermination, un manque à plusieurs égards.
Et on voit dans ce chapitre ici quel manque c'était.
Et aussi un élément de déception, verset 3, la séduction du péché.
Et on a vu que le peuple était marqué par fraude quelquefois.
Et la désobéissance.
Donc il y avait au moins 10 éléments où il avait vraiment manqué.
Maintenant ce chapitre se continue.
Cette pensée-là qui nous parle de la responsabilité se continue maintenant au chapitre 4.
Donc, révisons maintenant.
Nous sommes maintenant un peuple de Dieu dans le désert.
Nous sommes mis à l'épreuve.
Qu'est-ce qui se passe dans nos cœurs ?
Est-ce que nos cœurs s'endurcissent comme leurs cœurs, verset 8 ?
C'est une citation du psaume 40, 95.
Et vous savez peut-être que le quatrième livre du psaume nous parle du voyage dans le désert.
Parallèle avec nombre.
Et puis ça nous parle aussi des voies de Dieu avec son peuple.
Et nous avons donc vraiment à tirer des leçons de cela.
Parce que nous ne sommes pas meilleurs.
Ça peut nous arriver aussi qu'on s'endurcisse.
Ça peut nous arriver qu'il y a un méchant cœur d'incrédulité.
On n'est pas au-dessus de cela.
C'est ça que je veux dire.
Même comme croyant, ça peut nous arriver.
Ou les autres choses, l'ignorance, la désobéissance, l'incrédulité, tous ces éléments-là.
Ça peut nous arriver, ça peut m'arriver.
C'est pour cela que je dois mettre ma confiance dans ce Dieu vivant, verset 3, verset 12.
Ensuite, je devrais aussi apprécier le fait que je suis un compagnon du Christ.
Vous voyez au chapitre 3, verset 14, c'est un autre privilège que nous avons.
Nous sommes devenus les compagnons du Christ.
Le mot « compagnon » se retrouve un total de cinq fois dans cet épitre.
Donc, nous avons une part avec Christ.
Celui que Dieu a loin, le loin de Dieu, nous avons une part avec lui.
Quel privilège.
Mais nous passons à travers le désert.
Est-ce que nous réalisons que nous sommes des compagnons du Christ?
L'autre ressource, par rapport à cela, j'aimerais souligner l'appel céleste.
Parce que si nous sommes des compagnons du Christ, c'est un Christ glorifié.
L'épitre aux Hébreux met beaucoup d'emphase sur cela.
Nous sommes liés à un Christ, pas seulement ressuscité, mais aussi glorifié.
Nous sommes ensemble avec cet appel céleste et qu'il est l'apôtre.
Toute l'emphase est mise sur lui.
Dans tout l'épitre, toute l'emphase est mise sur lui.
Oui, il est vrai.
Nous sommes des compagnons du Christ.
Et les chrétiens hébreux, à ce moment-là, à Jérusalem, il fallait qu'ils réalisent cela.
Pour qu'ils se détachent de la religion du judaïsme.
Et ainsi, nous devons réaliser tout le temps nos immenses privilèges en ayant ce lien avec Christ dans la gloire.
Donc, de grands privilèges.
Mais avec chaque privilège, il y a des responsabilités.
Et c'est pour cela qu'on voit ce mot aujourd'hui.
Le mot aujourd'hui, par exemple, au verset 15 du chapitre 3, souligne l'aspect de notre responsabilité.
Et ça se répète souvent.
Il y a aussi la pensée de chaque jour.
On a vu cela au chapitre 3, verset 13.
Exhortez-vous l'un l'autre chaque jour.
Et on pourrait traduire aussi, encouragez-vous.
Donc, nous pouvons nous consoler, encourager, mais aussi exhorter.
Est-ce qu'on fait cela?
Dans cette lumière-là, de nos privilèges, là on réalise aussi nos responsabilités.
Et ce sujet continue maintenant dans le chapitre 4.
On verra encore des ressources et encore des responsabilités qui vont ensemble avec cela.
Une autre ressource que nous avons donc, c'est la ressource de la foi.
On verra cela au chapitre 4, verset 2.
Mais avant qu'on arrive là, j'aimerais parler du premier verset.
Quatre premiers versets.
Créons donc une promesse, ayant été laissé d'entrée dans son repos,
quelques d'entre vous paraissent ne pas l'atteindre.
Je pense qu'on doit vraiment mettre l'emphase sur son repos.
Dans le contexte de l'épître aux Hébreux, c'est par rapport à Dieu donc, au repos de Dieu.
Ce n'est pas ici une question du repos pour ma conscience.
C'est important.
Mais ce n'est pas la question ici.
C'est présupposé déjà que j'ai ce repos de la conscience.
A cause de l'oeuvre accomplie du Seigneur Jésus.
On verra plus tard, chapitre 8, 9 et 10, l'importance de son oeuvre.
Et à cause de cette oeuvre, je peux avoir une conscience, je peux avoir la paix avec Dieu.
Ce n'est pas non plus le repos par rapport aux circonstances.
Je pense à ce que le Seigneur a dit.
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés.
Prenez mon jour et je vous donnerai du repos.
C'est merveilleux et vous trouverez du repos pour vos âmes.
C'est merveilleux mais ce n'est pas le même contexte qu'on a ici.
Ici, l'emphase est sur le repos de Dieu.
Dieu cherchait un repos.
Maintenant, c'est quoi exactement le repos que Dieu cherche?
Dans l'Ancien Testament, c'est par rapport au pays promis.
Donc Dieu avait promis un pays pour Abraham et ses descendants.
Dieu allait donner ce pays et on voit que par rapport à cela, Dieu aurait son repos ensemble avec le peuple.
Juste lire Deuteronome 3 verset 20.
Deuteronome 3 verset 20.
Jusqu'à ce que l'Éternel ait donné du repos à vos frères comme à vous, et qu'eux aussi possèdent le pays que l'Éternel, votre Dieu, leur donne au-delà du Jour d'In.
Cette pensée est répétée encore une fois dans Deuteronome, un peu plus tard, dans chapitre 12.
Si vous connaissez le contexte du chapitre 12, vous savez déjà que c'était par rapport à l'endroit que Dieu allait choisir pour y habiter.
Dans Deuteronome 12, nous avons cette pensée-là au verset 9.
Car jusqu'à présent, vous n'êtes pas encore entrés dans le repos.
Vous étiez encore dans le désert. Le repos serait l'autre côté du Jour d'In, dans le pays promis, dans l'héritage que l'Éternel, ton Dieu, te donne.
Et mon point c'est maintenant, le repos pour le peuple, ce serait aussi le repos pour Dieu.
Donc, il faut lire à la maison tout le chapitre 12, vous allez voir là, c'était l'endroit que Dieu allait choisir, et là Dieu aurait son repos.
Mais on devrait aussi avoir le psaume 132, parce que c'est seulement, comme on l'a lu soit dans l'Hebreu 4, c'était seulement par David que Dieu a encore parlé de ce repos.
Donc le peuple est entré dans le pays sous Jésus, ils n'ont pas eu ce repos, on voit que même dans le livre des juges, ils n'ont pas joui de ce pays, donc ils n'ont pas connu le repos.
Ensuite, sous David, il répète, dans le psaume 132, et voilà où on trouve donc ton repos. Verset 8.
Lève-toi Éternel pour entrer dans ton repos, toi et l'âge de ta force.
Donc là on a vraiment le repos de Dieu. Lorsque Dieu aurait sa place au milieu du peuple, l'arche, qui nous parle du trône de Dieu, au milieu de son peuple, dans le lieu que Dieu allait choisir, selon le Deutéronome 12.
Et verset 13, car l'Éternel a choisi Sion, il a désiré pour être son habitation. Verset 14, c'est ici, mon repos à perpétuité, ici j'habiterai car je l'ai désiré.
Donc, ces écritures nous montrent clairement le repos de Dieu, selon ses promesses à son peuple, où Dieu allait habiter là et se reposer.
Le repos, vraiment, nous parle de la satisfaction. Dieu aurait vraiment sa satisfaction en étant au milieu du peuple.
Lorsque le peuple allait jouir du pays promis, Dieu allait jouir de cela aussi. Ce serait son repos.
Donc Dieu aurait sa place au milieu du peuple, le peuple allait jouir de cette communion avec Dieu, Dieu avait sa part, le peuple avait leur joie dans le pays.
Ça c'est le repos de Dieu, son repos. Et on voit dans ce passage, ils ne sont pas entrés dans ce repos.
Maintenant, juste pour résumer, brièvement le passage qu'on a lu, parce que j'aimerais avoir encore un peu de temps pour la parole et pour le Christ comme sacrificateur.
On voit que Dieu a reposé d'abord à cause de la création. Verset 4, Dieu se reposa de toutes ses heures au septième jour. C'était le premier repos.
Dieu était satisfait, on voit cela clairement à la fin de Genèse 1, au début de Genèse 2. Lors de la création étant accomplie, Dieu était satisfait, Dieu a pu se reposer.
Mais là, ce repos a été gâché par la chute de l'homme, Genèse 3. C'est pour cela que le Seigneur, dans Gen 5, verset 17, dit, mon père travaille et moi je travaille. Pourquoi?
A cause du péché, le repos de Dieu a été disturbé, intrompu. Et seulement sur la base de l'heure accomplie du Seigneur Jésus, Dieu a trouvé du repos.
On sait que le Seigneur Jésus, dans Gen 19, lorsqu'il a dit, c'est accompli, il a baissé sa tête, le repos était là. Pas avant ça. C'est sur la base de l'heure de Christ.
Donc on a vu maintenant, la pensée de Dieu était d'avoir son peuple avec lui dans son pays. Et on pourrait dire, ce qu'on a lu dans Deuteronome, on pourrait vérifier aussi dans Jésus-Christ, ce qu'on a lu dans Psalm 132 après, c'est vraiment des illustrations de ce qui va se passer dans le millenium.
Dans le millenium, cette pensée d'un repos va se réaliser. Mais Dieu nous a donné ces images pour que nous puissions entrer en esprit déjà dans ce repos-là.
Et puis là, ça c'est tout par rapport à Christ. Parce que Christ est dans la gloire. Il est dans le pays promis. Pour le chrétien, le pays promis, c'est là où Christ se trouve à la droite de Dieu, dans les lieux célestes, Ephésiens 1, 2.
Et là, c'est le repos. En esprit, nous pouvons déjà entrer là, pour jouir de ce repos-là. Mais nous sommes encore dans le désert. Et vous voyez, c'est pour ça que ça nous teste, ça nous sonde.
Est-ce que nous avons vraiment à cœur de mettre notre confiance en Christ, en la gloire, de jouir de notre relation avec lui, de jouir de ce repos qui existe dans ce sang-là?
On voit dans l'histoire du peuple sur la terre, ils n'ont jamais connu ce repos. Ni sous Jésus-Christ, où ils sont entrés dans le pays. Ni sous David, quoique David parle de ce repos, comme on l'a vu dans le psaume 132, clairement.
Même sous David, ils n'ont pas vraiment jouit de cela, selon le témoignage du psaume 95 aussi. Donc, ça veut dire que ce repos est encore à venir.
Verset 8. Car si Josué leur avait donné le repos, ils n'auraient pas parlé après cela de notre jour.
Conclusion, il reste donc un repos sabbatique pour le peuple de Dieu.
Et ça nous montre que dans ce contexte, le repos est un repos futur. Et je répète, présentement, par la foi, en esprit, nous entrons déjà dans ce repos, parce que Christ est là dans la gloire, il s'est assis, il est en repos.
Et nous pouvons entrer par notre esprit dans cela. Mais l'accomplissement des promesses de Dieu et des pensées de Dieu aura lieu dans les millénaires.
Maintenant, j'aimerais encore revenir au verset 2. Pourquoi est-ce que le peuple n'a pas pu jouir de ce repos? Parce qu'il n'avait pas de foi.
Verset 2 le dit clairement. Mais la parole qu'il entend dire, c'était une parole qui a annoncé une bonne nouvelle. Au verset 2, au début, car nous aussi nous avons été évangélisés de même que ceux-là.
Donc, ça veut dire, nous avons reçu une bonne nouvelle. Et maintenant, c'est Paul qui parle. Je suppose que Paul est l'auteur de cet épitre.
Il se joint aux chrétiens hébreux, là à Jérusalem. Il dit, nous aussi, comme nous avons vu au chapitre 2, nous, nous avons été évangélisés. Nous avons reçu une bonne nouvelle.
Et cette bonne nouvelle, dans cet épitre, est par rapport à un Christ récité et glorifié. Mais qu'est-ce qu'il dit du peuple dans le passé, au milieu du verset 2?
Mais la parole qu'il entend dire ne leur servit de rien, n'étant pas mêlée avec de la foi dans ceux qui l'entendent dire. C'était le cas dans Nombre. Même le témoignage des espions, ils n'ont pas accepté.
Le témoignage de la bonté du pays promis, Nombre 13 et 14, on voit cela. Ils n'ont pas accepté cela. Ils n'avaient pas de foi. Maintenant, pour les chrétiens hébreux, à ce moment-là, ils avaient besoin de la foi, justement.
La religion juive était tout autour, le Temple était là. Il fallait qu'ils fixent le regard sur le Seigneur dans la gloire. Et ça prend la foi. Et pour nous, c'est exactement la même chose. Ça prend la foi pour nous aussi.
Donc, on voit ici la ressource qu'on a, la parole. Et on verra encore les ressources que nous avons dans la parole. Mais ici, c'est vraiment une belle ressource pour nous aider. Mais ça prend la foi de notre part, notre confiance dans cette parole.
Comme on a vu dans le chapitre 3, que nous devons mettre notre confiance dans ce Dieu vivant. Pas dans nos efforts ou dans nos prétentions. Non. Mettre notre confiance simplement en Lui.
Juste une petite parenthèse. Dans cet épître, nous voyons aussi que le Seigneur Jésus est toujours plus grand que les grands hommes de Dieu qui sont mentionnés de l'Ancien Testament.
Dans le texte grec, on lit si Jésus leur avait donné le repos. Parce que dans le texte grec et dans l'hébreu aussi, c'est le même mot. Jésus et Jésus.
Et là, c'est beau de voir Jésus. Nous parlons du Seigneur Jésus. Mais le Seigneur Jésus est plus grand que Jésus. Et ainsi, il est aussi plus grand que David. L'homme selon le coeur de Dieu est une image du Seigneur Jésus.
Il typifie le Seigneur Jésus. Mais le Seigneur Jésus, lui, le fils de David, est le vrai David. L'homme selon le coeur de Dieu. Donc le Seigneur Jésus est toujours plus grand que tous les hommes de Dieu de l'Ancien Testament.
Et on voit cela à travers l'Épître. Et ainsi, on verra plus tard aussi, l'œuvre du Seigneur Jésus est plus grande que tous les sacrifices de l'Ancien Testament. C'est une autre pensée.
Maintenant, j'aimerais souligner trois verbes. On va continuer maintenant au verset 11. Peut-être que je peux lire encore verset 10. Juste pour résumer ce qu'on a vu.
Car celui qui est entré dans son repos, lui aussi s'est reposé de ses heures comme Dieu s'est reposé des siennes propres. Donc comme Dieu s'est reposé des heures de la création, ainsi Dieu a aussi trouvé le repos par rapport à la rédemption.
Comme nous avons vu, l'heure de la croix. Et là Dieu a accepté le Seigneur dans la gloire. Il s'est assis là, encore, la question du repos. Et Dieu veut que nous puissions entrer dans cela.
Donc la création était marquée par ce repos. La rédemption est marquée par ce repos. L'œuvre étant accomplie. Et ainsi ce repos nous parle de la satisfaction que Dieu trouve dans cela.
Maintenant, il fait une conclusion. Donc verset 11 à 13, c'est la conclusion de cette longue parenthèse qui nous parle de la responsabilité du peuple dans les airs.
Et là il y a un mot au début du verset 11. Appliquons-nous. Appliquons-nous. J'aimerais souligner cela. Il y a trois appels ici par rapport à la parole. Appliquons-nous. On va revenir à ça.
Ensuite on verra au verset 14, tenons ferme. A la fin du verset 14, tenons ferme. Ça c'est par rapport au grain souverain sacrificateur. Tenons ferme notre confession.
Vous vous rappelez, on a parlé de la confession, qu'on ne devrait pas lâcher, qu'on devrait être réel dans notre confession. Dieu teste la confession, si c'est réel. Et la parole va tester cela. On verra cela au verset 11 et 12.
La parole nous teste, nous sonde, et le souverain sacrificateur est là pour nous aider. Justement pour que nous puissions tenir ferme cette confession.
Appliquons-nous. Tenons ferme. Et le troisième appel au verset 16, approchons-nous donc. Trois verbes qui donnent un appel. Vous pouvez aussi ajouter à ça le premier verset qu'on a vu ce soir.
Croyons donc qu'une promesse ayant été laissée d'entrer dans ce repos. Donc il faut craindre dans ce sens-là de ne pas tomber dans un piège. Mais ces trois verbes que je mentionne maintenant sont très positifs.
Appliquons-nous. Tenons ferme. Approchons-nous. Appliquons-nous ensemble avec la parole. Tenons ferme ensemble avec le souverain sacrificateur. Approchons-nous ensemble avec le trône de la grâce. Trois ressources merveilleuses.
Donc d'abord, appliquons-nous à entrer dans ce repos-là. C'est pour ça que j'ai dit tantôt, en esprit, nous pouvons déjà entrer dans ce repos. Dans le monde autour de nous, tout est en chaos, tout est en désordre. Il n'y a pas de repos.
Et nous avons vu, ce repos dans Hebreu 4 n'est pas le repos de Matthieu 11 ou de Romain 5, l'heure accomplie de Christ et nous avons la paix avec Dieu, ça donne du repos.
Ou le repos dans nos circonstances, Philippe 4, avec la porte. Non, ici, le repos nous parle de Christ et là où il se trouve, où tout est en repos et Dieu veut qu'on puisse entrer en esprit déjà là.
C'est vraiment l'appel céleste. Et maintenant il continue, afin que personne ne tombe en imitant une semblable désobéissance. On a vu donc la désobéissance du peuple dans le passé, chapitre 3, verset 6, jusqu'à maintenant, 4, verset 10, on a vu ces éléments de désobéissance, d'incrédulité, d'endurcissement.
L'appel est maintenant, appliquons-nous à entrer dans ce repos-là, voir Christ et fixer nos regards sur lui, comme on verra plus tard dans Hebreu 12, verset 2, afin qu'on ne tombe pas dans ce piège en imitant une semblable désobéissance. Vous voyez le contexte?
Maintenant, la parole, j'ai dit, est une grande ressource, comme la parole qui nous parle du pays, qui nous parle de Christ, mais ici nous voyons un autre élément de la parole. La parole nous sonde. La parole est comparée ici avec une épée, au verset 12, une épée.
Ici, ce n'est pas une épée pour attaquer l'ennemi. Épée 16, on attaque l'ennemi. L'épée n'est pas pour attaquer un autre frère ou une autre soeur. L'épée est ici pour me sonder, pour m'examiner. C'est ça l'épée de la parole.
Ce n'est pas pour attaquer l'ennemi. Ce n'est pas pour attaquer quelqu'un du peuple de Dieu. C'est pour analyser, m'analyser, moi. C'est la parole qui me sonde maintenant, au verset 12.
Et cela, c'est par rapport à tout ce qui est en moi. Vous voyez, on aura tantôt le souverain sacrificateur par rapport à nos circonstances autour de nous. Il nous aide, il sympathise avec nos faiblesses, mais il ne peut jamais sympathiser avec un péché en moi.
L'orgueil, ou la paresse, ou l'amertume, quoi que ce soit, il ne peut pas sympathiser avec ça. Mais la parole montre cela. La parole nous sonde.
Et puis, c'est ce point qu'on peut peut-être résumer brièvement. D'abord, c'est la parole de Dieu. On voit au verset 13, aucune créature qui soit cachée devant lui.
Ici, on voit comment la parole de Dieu, verset 12 au début, est identifiée avec Dieu lui-même. Comme nous avons vu au chapitre 3, l'esprit et la parole vont ensemble.
Ensuite, les qualités de la parole vivantes, c'est la parole de Dieu qui nous donne la vie.
Regarde verset 18, verset 23, nous voyons que c'est comme une semence, une semence qui donne la vie, qui produit la vie, qui soutient la vie. La parole de Dieu est vivante. C'est merveilleux de voir ça.
Chaque de ces sept qualités de la parole, on pourrait étudier en détail, mais je veux simplement mentionner ces sept points et vous pouvez étudier pour vous-même les détails.
Opérante, ça nous parle de son efficacité. C'est efficace. Si Dieu parle, ça va avoir un effet. Et ainsi, il veut que nous puissions appliquer cette parole à nous-mêmes, comme une parole qui est vivante.
Elle donne la vie. Même dans les circonstances du désert, où tout parle de la mort, où les israélites sont tombés, sauf Caleb et Josué, imaginez-vous pendant presque 40 ans, ils ont vu comment chaque jour, il y avait, quelqu'un a calculé une fois, disons une centaine de morts.
Chaque jour, dans le peuple de Dieu, je ne me rappelle plus exactement le nombre, mais un bon nombre de gens mouraient chaque jour. Puis ces gens-là, comme Josué et Caleb, Eliezer, le fils d'Aaron, étaient témoins de cela.
Mais ils ont continué dans le désert. Ils étaient soutenus par cette parole de Dieu qui est vivante, qui donne la vie, même dans le contexte du désert et de la mort.
Elle est opérante. Si je vois ça, je pense toujours à 1 Thessalonicien 2, verset 13, juste comme un encouragement pour voir l'efficacité de la parole de Dieu.
1 Thessalonicien 2, verset 13, où nous voyons comment Paul a parlé aux thessaloniciens, qu'ils parlaient de la parole de Dieu. C'est tellement beau de voir ça.
1 Thessalonicien 2, verset 13, c'est pourquoi aussi nous nous rendons sans cesse grâce à Dieu de ce qu'ayant reçu de nous. La parole de la prédication qui est de Dieu, vous avez accepté, non la parole des hommes, mais ainsi qu'elle est véritablement la parole de Dieu.
Vous savez peut-être qu'en l'apocalypse, le Seigneur Jésus lui-même est appelé la parole de Dieu. Ainsi nous voyons ici que les croyants avaient reçu la parole de Dieu et qu'est-ce qu'il dit après?
Laquelle aussi opère en vous qui croyez. Là vous voyez l'efficacité de la parole de Dieu. C'est une parole qui opère, qui produit. C'est efficace.
Là on pourrait donner d'autres exemples évidemment, mais on va continuer. La troisième pensée au chapitre 4, hébreu 4, verset 12, plus pénétrante qu'aucune épée.
On voit le Seigneur Jésus dans l'apocalypse 1, verset 16, l'épée qui sort de sa bouche, ça pénètre, ça sonde. Il dit, je connais vos heures. A chaque assemblée, je connais vos heures. Il dit ça.
C'est la parole de sa bouche. C'est comparé avec une épée qui sonde, qui pénètre.
On pourrait lire le psaume 139. Si vous voulez prendre ça en note, vous pouvez lire ça chez vous à la maison.
A la fin, David dit, sonde-moi au Dieu, connais mon cœur, éprouve-moi et connais mes pensées. Et regarde s'il y a en moi quelques voies de chagrin. Et conduis-moi dans la voie éternelle.
Il a appliqué cette parole sur lui pour que tout soit éliminé. Si quelqu'un a un tumeur, le spécialiste avec ses outils, on peut comparer avec un couteau, va éliminer ce tumeur.
Et ainsi, la parole de Dieu va éliminer s'il y a de l'amertume ou un tumeur spirituel. La parole de Dieu nous aide d'un côté radical pour enlever ça, mais c'est pour notre guérison, c'est pour notre bien.
Ça c'est le but toujours. Et elle atteint, comme on voit aussi dans le psaume 139, devant Dieu qui est omniprésent, qui est omniscient, elle atteint même jusqu'à la division de l'âme et de l'esprit.
Où nous ne pouvons pas vraiment discerner la différence entre l'âme et l'esprit, même si on réussit à comprendre, à saisir l'enseignement de la parole concernant l'âme et l'esprit, la différence entre les deux.
Même si on réussit à comprendre ça, pour appliquer cela maintenant dans nos propres vies, pour voir la différence entre l'âme et l'esprit, c'est toute une tasse, on ne pourrait pas réussir.
Mais la parole va faire cela. Donc la parole expose tout, la parole va enlever ce qui n'est pas bon, et ça va ensemble avec la pensée du jugement de soi-même.
Comme dans le psaume 139, on pourrait lire 1 Corinthiens 11, que Paul dit que chacun s'examine. Nous devons nous examiner. Mais c'est par la parole de Dieu qu'on s'examine.
Ce n'est pas par les pensées de l'homme, non. C'est par la parole de Dieu qu'on s'examine.
Et on voit ici comment la parole pénètre et fait la division de l'âme et de l'esprit, des jointures et des moelles. Donc les choses qui sont même dans le secret, qu'on ne connaît pas, tout est discerné par la parole de Dieu et même divisé.
Donc, en vue de ce, de cette confession s'il est nécessaire, en vue d'une guérison.
Le sixième point, elle discerne les pensées. Verset 12. Elle discerne les pensées.
Puis là, dans l'original, elle critique les pensées. Donc ici, la parole est comme un juge qui sonde, qui critique, qui discerne, comme un vrai juge, sans préjugé, sans être préjugé.
Nous sommes souvent préjugés. Là, on ne peut pas vraiment juger, on ne peut pas vraiment discerner les pensées, les intentions du corps qui peut sonder le corps.
On ne peut pas même sonder les secrets de notre propre corps. Là, on ne peut pas discerner les intentions du corps de quelqu'un d'autre non plus.
Paul explique clairement, dans 2 chrétiens, 1 chrétien 4, qu'on ne peut pas juger les intentions du corps. Mais Dieu, par sa parole, il le fait.
C'est pour cela que Paul avait le désir, dans 2 chrétiens 5, de se placer déjà dans la lumière du jugement, du tribunal du Christ.
Il parle là du tribunal du Christ et tous devront comparaître devant le tribunal du Christ. Mais Paul voulait déjà se placer dans cette lumière-là. Pourquoi?
Plus qu'on est dans la lumière de Dieu, plus proche qu'on est de lui. Et là, tous ces éléments, on va jouir de cela.
Etant dans la lumière de Dieu, où on ne cache rien, où on est transparent, on aura aussi la joie de la communion avec Dieu.
Donc la parole offerte pour enlever les empêchements, pour qu'il y ait cette transparence, pour que nous puissions jouir de la communion avec Dieu, mais aussi de la communion les uns avec les autres.
Et du cœur sont les issues de la vie. Si notre cœur est en ordre, tant mieux. Mais s'il y a des choses cachées dans le cœur, il faut que ce soit réglé.
Les issues de la vie viennent du cœur. Seulement on le dit dans Proverbe 4, verset 23.
Septième point, au verset 13, il n'y a aucune créature qui soit cachée devant Dieu. C'est pour cela que j'ai dit, tout est ouvert. C'est comme un livre ouvert.
Nous sommes comme un livre ouvert. Mais c'est beaucoup mieux que nous ouvrons le livre de nos vies et de nos cœurs devant Dieu.
Que nous puissions laisser pénétrer cette parole, comme David le prit dans l'Op. 139.
On voit dans l'Op. 51 comment il est traversé à travers des exercices très profonds, très profonds. Dans l'Op. 32 aussi, lorsqu'il a fait sa confession.
C'était des exercices très profonds. Mais Dieu s'est servi de cela pour restaurer la communion.
Et à la fin du verset 13, il a dit, toutes choses sont nues et découvertes aux yeux de celui à qui nous avons appel.
Donc, ce septième point conclut cette pensée-là que tout est exposé, tout est ouvert et découvert devant lui.
Mais donne aussi ce point de la comptabilité. Nous avons des comptes à rendre. La pensée au verset 13 à la fin, aux yeux de celui à qui nous avons affaire.
Je veux dire, nous avons des comptes à rendre. Et on peut dire, mieux qu'on rende compte maintenant, mieux que tout de suite.
Au lieu de cacher des choses, c'est mieux de rendre compte tout de suite. Nous sommes responsables. Nous devons rendre compte à Dieu.
Dieu nous a créés ainsi. Romains 1 à 3 nous explique cela. Un animal, un chien ne peut pas rendre compte.
Dieu ne l'a pas créé pour pouvoir rendre compte. Mais Dieu a créé chaque être humain pour pouvoir rendre compte.
Cela veut dire, si nous avons fait quelque chose qui n'est pas correct, nous devons rendre compte.
C'est pour cela que j'ai dit, Paul marchait tout le temps dans la lumière de ce tribunal, pour qu'il n'y avait rien dans sa vie qui n'était pas confessé ou réglé.
Maintenant, la deuxième ressource, on a dans le Souverain Sacrificateur, au verset 14. Et puis, c'est par rapport aux choses autour de nous.
Donc, nous avons que la parole de Dieu nous sonde, révèle ce qui est dans nos cœurs. Il révèle les secrets. C'est pour notre bien.
Comme j'ai dit, le médecin, le spécialiste avec son couteau, c'est pour notre bien. Mais le grand Souverain Sacrificateur est là pour nous aider avec les choses autour de nous.
Ayant donc, j'aime beaucoup cette expression, ayant donc, c'est quelque chose que nous avons, et ce n'est pas vraiment quelque chose, c'est quelqu'un. Est-ce que vous l'avez vu?
Ayant donc, un grand Souverain Sacrificateur. Donc, nous comme croyants, nous avons le privilège d'avoir un tel Souverain Sacrificateur, qui est grand.
C'est cinq fois dans cet épître que nous avons ce mot, grand, au moins ce mot dans l'original. Il y a un autre mot dans le chapitre 7, aussi traduit par grand.
Souverain Sacrificateur, on a vu cela déjà, l'appel céleste, c'est lié à l'apôtre et le Souverain Sacrificateur, 3 verset 1.
Donc, la parole va ensemble avec Christ comme apôtre, mais maintenant nous avons Christ comme grand Souverain Sacrificateur.
Ici, selon l'ordre d'Aaron. J'ai dit tantôt, le Seigneur est plus grand qu'Aaron, mais il y a aussi des similitudes. Il est comme Aaron, plusieurs regards.
Aaron portait les noms du peuple sur ses épaules, sur sa poitrine, c'est une illustration de ce que le Seigneur fait maintenant, comme le grand Souverain Sacrificateur.
Il nous porte sur ses épaules et sur son cœur, devant la présence de Dieu. Et ainsi, il y a d'autres parallèles, évidemment.
Mais là, avec le Souverain Sacrificateur, nous allons voir aussi 7 points.
D'abord, il est grand, comme j'ai dit, plus grand qu'Aaron.
La grandeur du Seigneur Jésus, c'est un sujet important dans cette Écriture, pour attirer les croyants au Seigneur Jésus.
L'homme de Nazareth, Jésus, 9 fois, il est appelé Jésus, 9 fois dans cette Écriture.
Cet homme de Nazareth, il est le grand Souverain Sacrificateur.
Deuxièmement, donc, on verra plus tard les qualités du Sacrificateur.
Et je répète, des parallèles avec Aaron, quoique le Seigneur soit plus grand qu'Aaron, mais aussi des contrastes avec Aaron.
On verra cela plus tard.
Et on verra aussi que le Seigneur Jésus est maintenant un Sacrificateur selon un nouvel ordre, l'ordre de Melchizedek.
L'autre point qui a traversé les cieux, donc ça nous parle de sa grandeur, qui a traversé les cieux.
Comme le Souverain Sacrificateur dans l'Ancien Testament venait de l'extérieur, le parvis,
ensuite il entrait dans le lieu saint, ensuite il entrait dans le lieu très saint.
Et ainsi le Seigneur Jésus a traversé les cieux.
Comme le Souverain Sacrificateur allait à travers le lieu saint, c'est une image des cieux,
il est allé dans la présence directe de Dieu, et puis l'arche était là dans le lieu très saint,
et ça nous parle de la présence immédiate de Dieu.
Donc ainsi le Seigneur Jésus a traversé les cieux.
Un peu comme on voit dans l'Éphésien 4.
Dans l'Éphésien 4 nous voyons comment le Seigneur Jésus est descendu,
et maintenant au verset 10 nous lisons celui qui est descendu, l'Éphésien 4, 10,
est le même que celui qui est aussi monté au-dessus de tous les cieux.
C'est remarquable.
Vous voyez, il a traversé les cieux, hébreu 4, mais il est monté au-dessus de tous les cieux,
l'Éphésien 4, verset 10.
Donc ça nous montre vraiment sa grandeur.
Et on verra plus tard aussi dans hébreu 7 et 9 d'autres références,
et dans hébreu 10 on verra comment le Seigneur Jésus est entré dans le lieu très saint.
Nous pouvons maintenant entrer aussi.
Donc on verra cela plus tard.
Troisième point, son nom, Jésus.
Comme je l'ai dit tantôt, neuf fois, simplement son nom.
Oui, lorsque nous parlons du Seigneur Jésus, on ne dit pas Jésus, on dit Seigneur Jésus.
Parce qu'il est quand même Seigneur.
Mais ici l'emphase est sur sa personne.
Ici l'emphase est sur son humanité, Jésus.
Même ce nom-là implique aussi qu'il était Dieu lui-même.
Jéhovah, sauve, l'Éternel, Jéhovah, l'Enfant-Esprit-Saint, sauve.
Ça c'est le nom de Jésus.
Donc même là on a la pensée qu'il est Dieu lui-même.
Mais l'emphase est ici sur son humanité.
Tandis qu'avec le quatrième point, son nom, le Fils de Dieu, l'emphase est sur sa déité.
Et c'est la même personne.
Le Fils de Dieu. Quelle grandeur. Il est présenté ici dans toute sa grandeur.
Encore cet appel, tenant ferme.
Donc je répète, l'appel ici, tenant ferme, ça va ensemble avec ces immenses privilèges que nous avons, et aussi les responsabilités qui vont avec.
Parce que si nous avons un privilège d'avoir le Seigneur Jésus ainsi, ayant donc, ça veut dire que nous avons aussi des responsabilités.
Tenant ferme notre confession.
Donc la confession, c'est par rapport à l'huile dans la gloire maintenant.
Nous sommes dans le désert, mais nous confessons Christ.
Comme notre maître, comme notre souverain sacrificateur, nous confessons le Seigneur Jésus.
Et nous avons vu l'importance de la confession, que Dieu veut nous tester à cet égard.
Mais la confession va ensemble avec l'appel céleste.
Ensuite, il continue les qualités du souverain sacrificateur.
Verset 15, car nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse sympathiser à nos infirmités.
Mais nous en avons un qui a été tenté en toutes choses, comme nous, à part le péché.
C'est un verset difficile.
C'est vraiment difficile.
Juste quelques pensées.
Si nous avons des tentations autour de nous, par exemple, la maladie,
ce sont des circonstances qui nous affectent, ou on a faim.
Certains peuvent se servir de cela pour que nous soyons mécontents, que nous allons nous plaindre.
Et ainsi, ça devient un péché.
Donc, si on a faim, ce n'est pas un péché, c'est une faiblesse.
Mais si on murmure, dans ce cas-là, ça devient un péché.
Maintenant, pour comprendre vraiment pourquoi le Seigneur Jésus était tenté, quand même à part le péché.
Tandis que lorsque nous parlons de tentation, on a souvent l'impression que ça va ensemble avec le péché.
Il y a un verset qui explique cela dans Jacques, et puis c'est vraiment important qu'on puisse comprendre cela.
Dans Jacques 1, il y a deux versets qui nous parlent de ces tentations-là.
Et dans Jacques 1, verset 2, nous lisons,
«Estimez-le comme une parfaite joie, mes frères, quand vous serez en butte à diverses tentations,
sachant que l'épreuve de votre foi produit la patience.»
Donc, en d'autres mots, Jacques dit ici,
«Si vous êtes persécuté, comme ici les chrétiens étaient persécutés,
si tu perds ton emploi, si tu tombes en balade,
estimez-le comme une parfaite joie.»
Pourquoi?
«Sachant que l'épreuve de votre foi produit la patience.»
Dieu est en train de nous enseigner.
Nous sommes à l'école de Dieu, et Dieu se sert de ces circonstances,
donc des circonstances difficiles, mais il se sert de cela pour nous aider, pour nous enseigner.
Ça, c'est le côté de Dieu.
Dieu envoie ces choses-là pour nous mettre à l'épreuve, mais c'est pour notre bien.
Maintenant, un peu plus loin, verset 13, qu'est-ce qu'on voit là?
C'est le même mot, verset 13,
«Que nul, quand il est tenté, ne dise, Je suis tenté par Dieu.
Car Dieu ne peut être tenté par le mal, et Lui ne tente personne.
Mais chacun est tenté, étant attiré, amorcé par sa propre convoitise.
Puis la convoitise ayant conçu enfin le péché,
et le péché étant consommé, produit la mort.»
Ici, nous voyons le côté de Satan.
Satan veut se servir des mêmes circonstances.
On perd un emploi, on tombe malade.
Pour Dieu, c'est pour nous enseigner, pour nous faire du bien.
Romans 8, verset 28,
«Toutes choses qu'on perd pour le bien de ceux qui aiment Dieu.»
Mais Satan, il veut servir de ces circonstances pour nous faire murmurer,
pour qu'on se révolte contre Dieu.
Donc là, c'est le côté de Satan.
Et là, Jacques dit, «Mais Dieu ne tente pas ainsi.»
Donc si Dieu envoie des tentations,
c'est d'une façon tout à fait différente que la façon dans laquelle Satan envoie des tentations.
Vous voyez la différence?
Maintenant, la grande différence avec nous et le Seigneur,
comme Hébreu 4 le dit maintenant,
à part le péché.
Donc le Seigneur Jésus était tenté,
il était exposé à la faim, à la maladie,
les choses qui étaient autour de lui,
les choses difficiles,
mais cela n'avait jamais un effet en lui-même,
parce qu'en lui, il n'y avait pas la nature pécheresse,
il n'y avait pas de point de contact pour ces choses.
Tandis que pour nous, on a cette nature,
même comme croyant, on a encore cette nature pécheresse en nous,
et Satan veut faire un appel à cette nature pécheresse.
Mais avec le Seigneur, il ne pouvait jamais faire ça.
Il y a des passages, Romains 8, verset 3 par exemple,
qui expliquent ça en détail.
Le Seigneur Jésus a pris la même position que nous,
on a vu cela aussi dans Hébreu 2,
il était dans la même position,
mais pas tout à fait dans la même condition,
parce que pour lui, c'était à part le péché.
Donc ce serait vraiment un sujet à étudier.
1 Jean 3 nous montre que cette nouvelle nature ne peut pas pécher,
comme le Seigneur Jésus ne pouvait pas pécher.
2 Corinthiens 5 le dit, en lui il n'était pas de péché,
il n'a jamais commis de péché, 1 Pierre 2,
en lui il n'était pas de péché,
donc le Seigneur n'a rien à faire avec le péché.
Ça c'est le contraste avec nous.
Pourtant, il est entré dans des circonstances semblables,
il a connu la fin, comme nous,
comme le peuple de Dieu dans le désert,
Pourquoi ?
Pour qu'il puisse, justement, sympathiser.
C'est ça qu'on voit ici, ça c'est le cinquième point dans la liste.
Il peut sympathiser, il n'est maintenant plus dans le désert,
il est dans la gloire, il a fini la course,
on verra cela dans le chapitre 12,
le Seigneur était dans la course, il a fini, il est dans la gloire.
Et maintenant, de la gloire, il est là,
dans le trône, on verra au verset 16,
de la gloire, il soutient le peuple ici dans le désert.
C'est pour ça que c'est dit, le Seigneur est comme le souverain sacrificateur
qui porte nos noms sur ses épaules,
et de la gloire, il nous soutient,
il nous donne la force,
de la gloire, il nous donne ce dont nous avons besoin,
il prend soin de nous.
Et ainsi, il peut sympathiser à nos infirmités,
il était dans des circonstances semblables,
mais la seule différence, à part le péché,
il n'avait pas la nature pécheresse en lui,
ce serait la blasphémie de le passer.
Le Seigneur n'avait rien à faire avec cela,
mais quand même, il était très proche de nous,
pour pouvoir sympathiser avec nous maintenant.
C'est de la gloire qu'il dit à Paul,
lorsque Paul a prié trois fois,
Seigneur, enlève cette écharpe,
ma grâce te suffit.
Le Seigneur savait exactement ce dont Paul avait besoin.
Il a dit, ma grâce te suffit.
Ainsi, il le dit à nous, ma grâce te suffit.
Il le dit par sympathie.
Il est tout près de nous, lorsqu'il dit ça,
parce qu'il ressent ces choses exactement,
parce qu'il était dans des semblables circonstances.
Donc, il nous sympathise, il sympathise avec nous,
avec nos jeunes qui sont ici,
avec ceux qui sont beaucoup plus vieux.
Les adultes, le Seigneur était aussi un adulte.
Il était un enfant, ce matin,
Abdel en parlait de Luc II,
lorsque le Seigneur avait douze ans.
Il sympathise avec les jeunes qui ont douze ans,
même ceux qui sont plus jeunes,
parce que le Seigneur était aussi plus jeune.
Il connaît exactement les circonstances de chaque âge,
et peut sympathiser avec nous dans de telles circonstances.
Donc, ce serait un sujet encore pour étudier plus profondément.
Les autres points sont par rapport au tronc de la grâce,
parce que le Seigneur Jésus est maintenant au tronc de la grâce.
Il est là comme souverain sacricateur.
Et je lis ça donc d'un côté avec lui comme souverain sacricateur,
parce qu'il est assis sur le tronc de la grâce.
Et de l'autre côté, je le mentionne aussi comme un point séparé.
Ça va ensemble avec le troisième verbe.
Approchons-nous donc avec confiance.
Approchons-nous.
Ici, le tronc de la grâce.
Le tronc était un tronc de jugement.
Vous savez, l'arche de Dieu,
lorsque l'arche était autour de Jéricho,
les murailles sont tombées.
L'ennemi ne pouvait pas résister à l'arche de Dieu.
C'est une image, c'est une illustration de cette vérité-là.
Le tronc de Dieu est un tronc de jugement.
Le tronc de Dieu est maintenant un tronc de grâce.
Pourquoi?
On lit dans Romain 3, que ce tronc est devenu
le mot m'échappe maintenant, c'est juste jésus
propitiatoire.
Dieu a présenté Christ pour propitiatoire.
Donc, étant justifié gratuitement par sa grâce,
par la rédemption qu'il y a dans le Christ Jésus,
lequel Dieu a présenté pour propitiatoire.
C'est un mot difficile, mais ce mot veut dire
le couvercle de l'arche qui était sur l'arche.
Avec les deux chérubins, les chérubins voyaient
le sang qui était appliqué sur le couvercle.
Ça, c'est le propitiatoire.
Ainsi, Dieu est devenu propice envers le peuple.
Et là, nous avons un libre accès.
Donc, le tronc nous parle du jugement,
mais Dieu a été satisfait de cette œuvre,
il a accepté le sang du sacrifice,
et Dieu peut montrer la grâce maintenant.
Maintenant, ce tronc de la grâce est devenu
le centre de l'administration.
Le tronc nous parle de l'autorité, d'un royaume,
du centre de l'administration.
Maintenant, le centre de l'administration,
c'est ce tronc-là, mais c'est marqué par la grâce.
Nous vivons dans le temps de la grâce.
Ce tronc-là sera marqué une autre fois par jugement.
Le même tronc va encore appliquer des jugements.
Mais envers le croyant,
ayant le Seigneur Jésus comme souverain sacricateur,
ce tronc nous donne ce dont nous avons besoin,
selon la grâce de Dieu.
Qu'est-ce qu'il donne?
La miséricorde par rapport à nos circonstances.
Donc ça, c'est le sixième point.
Par rapport au sacricateur, il donne la miséricorde
parce que c'est lui qui administre.
Il est assis sur le tronc de la grâce.
Il maintient les droits de Dieu.
Il administre la grâce, la miséricorde,
pour nos circonstances.
Et le septième point, afin que nous trouvions grâce
pour avoir du secours au moment important.
C'est merveilleux de voir ça.
Nous n'avons pas mérité cela.
Nous sommes un peuple qui manque dans le désert.
Pourtant, les ressources qui sont disponibles là,
c'est la grâce.
C'est le Seigneur, le grand administrateur sur ce tronc,
qui nous donne cela grâce en grâce,
comme nous avons dans Jean 1.
Donc les ressources immenses qui sont là
et juste pour le moment important.
Vous voyez, il veut nous aider.
Comme le Seigneur Jésus a reçu l'aide de la part de Dieu
lorsqu'il était ici sur la terre.
Maintenant, c'est lui qui nous donne l'aide de la part de Dieu
pour nous soutenir comme un peuple dans le désert.
On pourrait étudier par rapport aux tentations,
on pourrait étudier, si vous voulez le faire vous-même,
dans Luc 4, dans Matthieu 4,
les tentations dans le désert.
Et là, on voit comment le Seigneur Jésus
était tenté par le diable.
On parlait de cela aussi dans Jacques 1.
Et comment il était parfait.
Quand même, dans Luc 4, nous voyons le Seigneur comme notre modèle
et ainsi le Seigneur veut que nous puissions apprendre de lui.
Comme lui a été tenté, même par le diable,
que nous puissions résister.
Ce serait aussi un sujet en soi.
Mais mon point, c'est que le Seigneur,
comme étant la parole de Dieu vivant,
nous donne ce dont nous avons besoin
si nous voulons juger nous-mêmes.
Et ensuite, comme souverain sacricateur,
assis sur le trône,
il nous donne toutes les ressources nécessaires
par rapport à nos circonstances.
Donc nous avons ici vraiment les ressources
dont nous avons besoin.
Et nous avons seulement à faire trois choses.
Appliquons-nous.
Deuxièmement, nous allons faire
tenons ferme notre confessement.
Et troisièmement,
approchons-nous donc avec confiance.
Ça veut dire avec liberté,
avec, en anglais on dit,
ça veut dire, on a toute liberté de le faire.
On verra plus tard,
comme sacricateur, comme fils,
sacricateur, nous pouvons entrer,
avec confiance,
dans la présence de Dieu,
comme adorateur.
Mais ici, nous voyons
que nous pouvons entrer et nous approcher
avec nos besoins.
Vous voyez la différence?
Ici, au début de l'Épître aux Hébreux,
qui nous parle d'un peuple qui traverse le désert,
c'est un peuple qui connaît beaucoup de besoins.
Et maintenant, le Seigneur dit mais.
Approche-toi.
Si tu as des besoins,
si tu as besoin d'apprendre la patience,
approche-toi du trône de la grâce
pour recevoir ce dont tu as besoin.
Si tu as besoin d'autre chose,
et chaque croyant a différent,
donc chaque croyant a besoin d'autre chose.
Les ressources sont là.
Il faut s'approcher.
Donc, c'était juste un résumé bref de chapitre 4.
Et si le Seigneur nous laisse encore ici,
on pourrait continuer une autre fois avec chapitre 5.
Et là, on verra encore quelques détails du Seigneur Jésus
comme le souverain sacricateur.
Mais là, on va voir aussi un nouvel élément.
Il est selon un ordre différent, mais qui s'évèque.
Ça veut dire que cet ordre ne peut pas être remplacé par quelque chose d'autre.
Si vous avez encore des questions,
des choses à clarifier,
peut-être que ça a du temps pour cela.
Quel est le Dieu qui nous parle
quand celui qui est entré dans son repos,
Lui aussi, qui est reposé de ses œuvres?
Lui aussi, c'est qui?
Lui aussi, c'est Dieu.
Comme j'ai expliqué dans Genèse 2,
on voit comment Dieu s'est reposé.
Et là, c'est une image du repos du millénaire,
qui est encore à venir.
Parce que quelqu'un m'a dit,
si Lui aussi s'est reposé de ses œuvres,
comme Dieu s'est reposé de ses œuvres.
Dans ce cas-là, Lui,
ça peut s'appliquer à Jésus-Christ,
le grand leader.
Comme j'ai dit tantôt,
le Seigneur Jésus s'est reposé
lorsqu'il a accompli l'œuvre de la croix.
Donc c'est pour ça que je l'ai lié
et à la création et à la rédemption.
Parce que dans ces deux cas,
Dieu a connu le repos
après la création et après la rédemption.
Donc le Lui,
ici dans chapitre 4, verset 10,
je passe, ça s'applique à celui qui entre.
Donc si nous pouvons maintenant entrer par la foi,
nous jouissons sans repos.
Comme j'ai essayé d'expliquer là,
c'est vraiment une question du repos de Dieu.
Et si par la foi nous entrons,
nous aussi nous reposons.
C'est ça la pensée.
Oui, absolument.
Ça va tout ensemble.
C'est pour ça qu'on doit prendre tout le contexte ensemble.
Et c'est pour ça que j'ai souligné la question de la foi.
C'est par la foi que nous pouvons faire.
Et c'est par rapport aux intérêts de Dieu,
sans repos,
par rapport au pays promis.
Donc pour nous c'est par rapport à Christ maintenant dans la gloire.
Souvent on est concentré sur nous-mêmes,
on pense seulement à notre repos, à notre bien.
Mais ici le contexte est vraiment le repos de Dieu,
ses intérêts.
Si nous entrons dans cela,
Dieu a aussi son repos en même temps.
Mais je confesse, j'avoue, c'est un passage très difficile.
Ça nous rend confus facilement.
Mais moi j'avais à cœur d'éliminer un peu la confusion,
mais je ne suis pas sûr si j'ai réussi.
C'est correct ?
Merci beaucoup pour votre attention.
Merci à vous. …
Transcripción automática:
…
On lit l'Épitre aux Hébreux dans l'attitude du psaume 45.
Ce psaume 45 nous présente le Bien-Aimé.
Et ainsi, c'est le langage de l'amour, de l'affection.
Et dans cet Épitre, nous voyons le Seigneur comme le Bien-Aimé dans sa grandeur.
Et nous aimons le connaître davantage, comme on voit par exemple dans l'Antiquité quantique, l'Épitre 5.
Donc, que nous puissions lire et étudier avec cette attitude d'affection et d'émerveillement.
Ébreu 5, car tout souverain sacrificateur pris d'entre les hommes est établi pour les hommes dans les choses qui concernent Dieu,
afin qu'il offre et des dons et des sacrifices pour les péchés, étant capable d'avoir de l'indulgence pour les ignorants et les errants,
puisqu'il est aussi lui-même enveloppé d'infirmité.
Et à cause de cette infirmité, il doit offrir pour les péchés, comme pour le peuple, ainsi aussi pour lui-même.
Or, nul ne s'arroge cet honneur, mais seulement s'il est appelé de Dieu, ainsi que le plus harant.
De même, le Christ aussi ne s'est pas glorifié lui-même pour être fait souverain sacrificateur,
mais celui-là l'a glorifié qui lui a dit, « Tu es mon Fils, moi je t'ai aujourd'hui engendré. »
Comme il dit aussi, dans un autre passage, « Tu es sacrificateur pour l'éternité, selon l'ordre de Melchisébé,
qui durant les jours de sa chair, ayant offert avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort,
et ayant été exaucé à cause de sa piété, quoi qu'il suffise, a appris l'obéissance par les choses qu'il a souffertes,
et ayant été consommé, il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent, l'auteur du salut éternel,
et étant salué par Dieu, souverain sacrificateur, selon l'ordre de Melchisébé.
Au sujet duquel nous avons beaucoup de choses à dire et qui sont difficiles à expliquer, puisque vous êtes devenus paresseux à écouter.
Car lorsque vous devriez être des docteurs vu le temps, vous avez de nouveaux besoins qu'on vous enseigne quels sont les premiers rudiments des oracles de Dieu.
Et vous êtes devenus tels que vous avez besoin de lait et non de nourriture solide.
Car quiconque use de lait est inexpérimenté dans la parole de la justice.
Car il est un petit enfant, mais la nourriture solide est pour les hommes faits,
qui par l'effet de l'habitude ont les sens exercés à discerner le bien et le mal.
Jusqu'ici la lecture de la parole.
On rappelle que cet épître nous présente la grandeur du Seigneur Jésus.
La grandeur dans sa personne, plus grande que Moïse, plus grande qu'Aran, plus grande que Jésus-Christ, etc.
Ensuite, la deuxième partie de l'Hybride nous présente la grandeur de son sacrifice.
Et la troisième partie nous le présente comme le grand conducteur qui nous conduit dans la présence de Dieu,
qui nous conduit à travers le désert, qui nous conduit en dehors du camp.
Donc ces trois divisions de l'épître, la grandeur de la personne, la grandeur de son sacrifice,
et la grandeur de son ministère résument un peu cet épître.
Ici, on est au milieu de cette présentation du Seigneur Jésus comme sacrificateur.
On a vu que l'épître a commencé avec une présentation du Seigneur Jésus comme apôtre, celui qui présente la parole de Dieu.
Et même dans la gloire, aujourd'hui, le Seigneur Jésus est le grand apôtre parce que c'est par lui que Dieu communique ses pensées,
révèle ses pensées, par son esprit aussi, évidemment.
Et on a vu, chapitre 3, verset 1, que le Seigneur a ses deux ministères, considéré l'apôtre et le souverain sacrificateur.
On a vu l'apôtre sur l'ensemble et le mourir.
Donc ce n'est pas l'apôtre que Dieu révèle ses pensées.
On a vu au premier chapitre que le Seigneur Jésus est l'apôtre de Dieu, de la part de Dieu, mais il est Dieu lui-même aussi.
Donc on a vu sa grandeur de cette façon-là.
Chapitre 2 a commencé par parler déjà du souverain sacrificateur.
Et je résume brièvement, le Seigneur est souverain sacrificateur de trois façons.
Sur la terre, à la croix, une fois pour toutes.
Il était souverain sacrificateur par rapport à l'œuvre pour les péchés.
On verra plus tard, par le fait que le Seigneur Jésus était de la tribu du Juda, qu'il ne pouvait pas fonctionner comme sacrificateur sur la terre pendant sa vie.
Donc, il était dans sa vie souverain sacrificateur, mais seulement à la croix.
Ça va ensemble avec chapitre 2, versets 17 et 18.
Et il y a plusieurs références encore à cela dans cette épître.
Ensuite nous avons vu que le Seigneur Jésus est sacrificateur présentement, selon l'ordre d'avant.
Mais il est aussi selon l'ordre de Melchisedec.
Si je dis selon l'ordre d'avant, il faut me corriger, parce que le Seigneur Jésus exerce la sacrificature selon l'image d'avant.
Mais la position du Seigneur Jésus est la position de Melchisedec.
Un ordre nouveau, mais il a beaucoup de ressemblances pratiquement avec le service d'avant.
On verra donc quelques détails de cela ce soir dans chapitre 5, et plus tard aussi chapitre 7.
On a vu la dernière fois, à la fin du chapitre 4, le ministère présent du Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur,
qui sympathise à nos infirmités, verset 15.
On a vu qu'il ne peut pas sympathiser avec nos péchés.
Il est mort pour nos péchés, une fois à la croix, son service sur la terre.
Maintenant, dans la gloire, il sympathise avec nous, mais c'est avec nos infirmités.
Et on a vu qu'une infirmité peut nous amener au péché.
Le Seigneur peut nous aider afin qu'on ne pèche pas.
Et si une infirmité amène au péché, ce n'est pas la faute du Seigneur, c'est notre faute.
Maintenant, au chapitre 5, on verra encore des similitudes, des parallèles entre Aaron et le Seigneur,
mais aussi des contrastes très remarquables.
Donc, si j'ai dit que le Seigneur exerce aujourd'hui la sacrificature selon Aaron,
ce n'est vraiment pas selon l'ordre d'Aaron, mais c'est selon les illustrations qu'on a d'Aaron.
Bien qu'en même temps, il y ait de grandes différences.
Et ensuite, plus tard, on verra plus de détails sur l'ordre de Melchizedek,
qui est déjà mentionné dans ce chapitre, mais développé dans le chapitre 7.
Et on verra pourquoi.
Donc, le premier verset, tout souverain sacrificateur pris d'entre les hommes est établi pour les hommes.
Aaron était pris d'entre les hommes, et ainsi le Seigneur Jésus a été pris d'entre les hommes.
Il était homme comme vous et moi, à part le péché, on a vu cela la dernière fois.
Quand même, il y a un grand contraste.
Parce que Dieu a dit de cet homme, tu es mon fils, verset 5, au milieu du verset 5.
Vous voyez le contraste?
Dieu n'a jamais dit à Aaron, tu es mon fils.
Moi, je t'ai aujourd'hui engendré.
Jamais.
Donc, d'un côté, oui, le Seigneur Jésus a été pris d'entre les hommes.
Il était homme comme vous et moi, à part le péché.
D'un autre côté, il y a un contraste très remarquable.
Il n'y a aucun sacrificateur comme Aaron et ses descendants, auxquels Dieu a dit, tu es mon fils.
Moi, je t'ai aujourd'hui engendré.
Et on verra encore un autre contraste, un peu plus loin, au verset 10,
étant salué par Dieu, souverain sacrificateur.
Ce n'était jamais le cas avec Aaron.
Mais c'est le cas avec le Seigneur Jésus.
Et on voit ici le lien avec ce nouvel ordre, selon l'ordre de Melchizedek.
Au milieu du premier verset, il est dit, établi pour les hommes, dans les choses qui concernent Dieu.
Donc, on voit ici, un sacrificateur est entre les hommes et Dieu.
Il est établi pour les hommes, pour prendre les besoins, les causes de l'homme sur lui.
Mais il est établi aussi dans les choses qui concernent Dieu.
Donc, dans ce sens-là, il est comme un intermédiateur.
Il est entre Dieu et les hommes.
Et ce que nous voyons avec le Seigneur Jésus,
parfaitement homme pour prendre la cause de l'homme sur lui,
parfaitement Dieu pour prendre les intérêts de Dieu sur lui.
À la fin du premier verset, afin qu'il offre des dons et des sacrifices pour les péchés.
Le mot qu'il a utilisé ici, le verbe, afin qu'il offre, c'est un verbe qui revient souvent.
Et il y a donc un parallèle, comme Aaron a offert des dons et des sacrifices,
le Seigneur Jésus a offert un don et un sacrifice.
Voilà en même temps un contrat.
Le Seigneur n'a pas donné un sacrifice pour quelqu'un d'autre,
il s'est donné lui-même un sacrifice.
Quel contrat ? On verra cela dans les chapitres 9 et 10, une fois pour toutes.
Ici, les sacrifices, vous voyez, à la fin du premier verset,
afin qu'il offre des dons et des sacrifices pour les péchés.
C'est déjà une référence à ce service interminable qui continue tout le temps.
Chaque année, le souverain sacrificateur devait présenter un sacrifice pour le péché,
le grand jour de la propitiation.
Ce n'était jamais parfait, parce que le lendemain, quelqu'un pouvait pécher,
puis il fallait recommencer tout.
Donc, il y a de grands contrats, parce qu'on verra plus tard que l'œuvre du Seigneur Jésus était une fois pour toutes.
Pour offrir des dons, on peut penser aussi, par exemple, au gâteau qui était présenté.
Dans l'Églétique II, nous voyons un exemple de cela.
Ce gâteau qui nous parle de la vie du Seigneur Jésus.
Ainsi, on voit dans ce service aronique, beaucoup de détails, quand même, qui nous parlent du Seigneur Jésus.
Donc, c'est peut-être un peu compliqué.
D'un côté, il y a des parallèles.
D'un côté, il y a des choses, même dans le service d'Aaron, qui nous parlent du Seigneur Jésus.
De l'autre côté, il y a de grands contrastes.
Verset 2.
Etant capable d'avoir de l'indulgence pour les ignorants et les errants.
Donc, le sacricateur était un homme, et ainsi, il pouvait avoir de l'indulgence pour les autres hommes.
Mais le Seigneur Jésus, comme homme, pouvait aussi avoir de l'indulgence.
Mais il était sans péché.
On a vu cela au chapitre 4, verset 15.
À part le péché.
Il était comme nous, à part le péché.
Et comme homme, il pouvait être indulgent pour les ignorants et les errants.
Ça, c'est un thème important dans l'Épître aux Hébreux.
Dans l'Épître aux Hébreux, si quelqu'un pèche, soit il est supposé d'être ignorant ou errant, il y aura des remèdes.
Soit, et on verra cela la prochaine fois au chapitre 6, c'est avec la propre volonté, sachant ce qu'il fait, et là, il n'y aura pas d'autre sacrifice.
Donc, je veux garder cet élément-là pour la prochaine fois au chapitre 6.
On voit cet élément-là, je veux juste le mentionner.
Si quelqu'un fait cela, il n'est pas seulement errant, mais il pèche vraiment.
C'est la rébellion, verset 6 du chapitre 6, qui sont tombées, soit renouvelées encore à la repentance.
Crucifiant pour eux-mêmes le Fils de Dieu et l'exposant à leur peuple.
À la croix, le Seigneur Jésus a prié, Père, pardonne-leur, parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font.
Ils étaient ignorants, selon cette prière du Seigneur Jésus, et errants.
Là, Dieu peut encore avoir de l'indulgence et utiliser la patience, mais si quelqu'un rejette ce sacrifice du Seigneur Jésus,
si quelqu'un s'endurcit, il sait qu'il rejette cette heure du Seigneur Jésus, il est au courant de cela.
Là, il n'y a plus de sacrifice.
Ça, la pensée de l'Épiscope.
Maintenant, au milieu du verset 2, pourquoi le souverain-sacrificateur pouvait être indulgent, puisqu'il est aussi lui-même enveloppé d'infirmité.
Vous voyez, il est un homme comme les autres hommes, et comprend la situation du pécheur.
Mais là, quel contraste avec le Seigneur Jésus.
Le Seigneur Jésus était un homme comme vous et moi, mais il n'était pas enveloppé d'infirmité.
Il pouvait être indulgent envers les ignorants et les errants, mais il n'était pas enveloppé d'infirmité.
Verset 3, à cause de cette infirmité, il va offrir pour les péchés.
Notons maintenant, comme pour le peuple, ainsi aussi pour lui-même.
Quel contraste avec le Seigneur Jésus.
Parallèle, il a offert pour les péchés, et on verra plus tard, une fois pour toutes.
Voilà un parallèle.
Pour le peuple.
On a vu cela déjà au chapitre 2, verset 17.
Mais là, quel contraste.
Pas pour lui-même.
Dans l'Évitique 16, nous voyons que le Souverain Sacrificateur a offert pour lui-même.
Il a aussi offert pour lui-même lorsqu'il a été inauguré dans son service, l'Évitique 9, par exemple.
Mais le Seigneur Jésus n'avait pas besoin de sacrifice pour lui-même.
Quel contraste.
Verset 4.
Or, nul ne s'arrange cet honneur.
C'est clair ici.
L'auteur veut établir ce point-là.
Un homme peut être appelé de Dieu, mais il ne peut pas réclamer ce service pour lui-même.
Aaron ne pouvait pas un jour dire à Moïse, moi je vais être sacrificateur, ça me convient.
Non, il fallait qu'il soit appelé de Dieu.
Voilà le parallèle avec le Seigneur Jésus.
Le Seigneur Jésus était appelé de Dieu.
Verset 5.
Mais en même temps, quel contraste.
Comme j'ai dit déjà au début, Dieu n'a jamais dit à Aaron, tu es mon fils, moi je t'ai aujourd'hui entendu.
Jamais.
Donc, un appel de Dieu, mais en même temps un contraste énorme.
Verset 5.
De même, le Christ aussi ne s'est pas glorifié lui-même pour être fait souverain sacricateur,
mais celui-là l'a glorifié, qui lui a dit, tu es mon fils.
Il y a deux choses que j'aimerais souligner ici.
Le Seigneur Jésus est fils éternel dans le sein du Père, mais ça ne serait pas le sujet ici.
Ici, l'emphase est mise sur son humanité.
Comme homme, il est appelé fils de Dieu.
Tu es mon fils.
Et l'ange Gabriel a dit déjà dans Luc 1, il sera grand, il sera le fils de Dieu, il sera grand.
Donc il faut distinguer entre le fils éternel, comme dans Jean, le fils unique,
et ici le fils dans le temps.
C'est un sujet très difficile à comprendre, on ne peut pas vraiment le saisir.
Mais l'emphase ici, c'est sur le fait que le Seigneur Jésus était dans cette relation avec Dieu comme homme.
Et Dieu l'a vu comme homme aussi, comme mon fils.
Mais ça ne met pas de côté, ni sa déité, ni le fait qu'il avait cette relation éternelle entre le Père et le Fils.
Ce sont des mystères pour notre intellect, mais ce sont des réalités pour la foi.
Ça nous amène à adorer le Seigneur Jésus.
Donc sa grandeur, sa dignité est soulignée ici, comme homme.
Ensuite, au verset 6, il est dit, comme il dit aussi dans un autre passage,
« Tu es sacrificateur pour l'éternité, selon l'ordre de l'être qui cédait. »
Donc ce qu'on voit ici, l'auteur prend le psaume 2,
qui est cité aussi par Paul, par exemple, dans l'acte 13, comme un verset clé pour comprendre la position du Seigneur Jésus.
Ensuite, il ajoute une autre pensée du psaume 110,
où nous voyons que le Seigneur Jésus n'est pas seulement entre les dômes,
mais qu'il est sacrificateur selon un ordre nouveau, qui dépasse entièrement l'ordre d'avant.
Et on verra plus tard, chapitre 7, plus de détails là-dessus.
Donc le Seigneur est présenté ici, déjà, comme unique dans son service comme sacrificateur.
Je souligne ici, pour l'éternité.
« Tu es sacrificateur pour l'éternité. »
Et on revient encore à cette pensée de l'éternité, au verset 9, un salut éternel.
Il y a beaucoup d'emphases sur l'éternité dans cette Église.
Une rédemption éternelle, 13 verset 21,
et ici, « Il est sacrificateur pour l'éternité. »
Personne sur la terre pouvait être sacrificateur pour l'éternité.
Aaron était sacrificateur pour un temps.
Donc, c'est un nouvel ordre, selon l'ordre de Melchisédech.
Ça représente un caractère unique.
C'est un ministère qui ne peut pas être transmis à quelqu'un d'autre.
Ça appartient au Seigneur seul, unique, et c'est éternel.
C'est un ministère éternel.
Il aura ce ministère pour toute l'éternité.
Ensuite, le verset 7, qui durent les jours de sa chair.
Donc, peut-être je peux dire ceci.
D'abord, on voit son office par rapport à sa grandeur.
Tu es mon fils, tu es sacrificateur.
C'est son office qui va ensemble avec la grandeur de sa personne.
Mais ensuite, au verset 7, on voit l'expérience de ce sacrificateur,
ce qu'il a expérimenté ici dans les jours de sa chair,
qui nous montre aussi sa grandeur, beaucoup plus grande qu'Aaron.
Durant les jours de sa chair, on a des détails dans l'évitation 2.
J'ai mentionné les gâteaux qui sont présentés là, comme sacrifice.
Là, on voit des détails des jours de sa chair, sa souffrance en détail.
Mais ici, nous avons des références à la réalité,
comme le Seigneur Jésus a souffert dans sa vie.
Et maintenant, ayant affaire, c'est le même verbe qu'on a eu au premier verset,
qu'il offre et des dons et des sacrifices.
Donc, ça veut dire que ce que le Seigneur a offert ici à Dieu,
avec de grands cris et avec larmes, avait une grande valeur à Dieu, une grande valeur.
Comme Dieu a vu le Seigneur Jésus dans le jardin de Gethsemane,
où nous voyons ces grands cris et ces larmes des jeunes, ça a eu une grande valeur.
Mais ici, l'auteur trace la ligne encore plus loin, jusqu'à la croix.
Si on lit le psaume 22, là nous voyons ces grands cris et ces larmes.
C'est clair, le Seigneur Jésus était l'homme de douleur, Isaïe 53.
On le voit souvent en pleurant dans les évangiles.
Mais je pense ici, l'emphase est mise vraiment sur l'œuvre de la croix.
Le Seigneur a prévu cela, il y a un beau verset dans Luc 12, verset 50,
qui nous donne un peu de détails de ces souffrances intenses.
Luc 12, verset 50.
Moi, j'ai à être baptisé d'un baptême et combien suis-je à l'étroit jusqu'à ce qu'il soit accompli.
Vous voyez, c'est dans les jours de sa chair que le Seigneur Jésus a expérimenté ces souffrances intenses.
Mais ces souffrances-là ne sont pas encore les souffrances expiatoires, de l'heure expiatoire.
Cette heure expiatoire était seulement les trois heures sombres de la croix.
Donc on a ici peut-être une référence d'abord à Gethsemane, où le Seigneur Jésus a souffert par anticipation.
Il a vu les souffrances qui seraient sa part, il a souffert par anticipation.
Ensuite, on peut penser aux trois heures à la croix, les premières heures, donc 1, 2 et 3.
Et le Seigneur a souffert sous la main de l'homme et sous l'attaque de l'ennemi.
Mais ici, il y a aussi une référence à ces souffrances à la croix dans les trois heures sombres, où Dieu l'a abandonné.
Et dans le psaume 22, le Seigneur Jésus crie, comme ici, avec de grands cris,
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné, te tenant loin de mon salut ? »
Des paroles de mon rugissement.
« Mon Dieu, je crie du jour, mais tu ne réponds point, et de nuit il n'y a point de repos pour moi. »
Ça, c'est les trois heures sombres.
Mais qu'est-ce qu'on lit ensuite ?
Des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort.
Et on répète, surtout le psaume 22, mais aussi le psaume 53 donne des détails.
Et ensuite, l'auteur continue.
« Ayant été exaucé à cause de sa fiété. »
Exaucé, on voit cela déjà dans le psaume 22, verset 20.
Il crie encore, « Délivre mon âme de l'épée, mon unique lafate du chien.
Sauve-moi de la gueule du lion. »
Ensuite, au milieu du verset 21, « Tu m'as répandu dans les cornes des bûches. »
Donc Dieu a exaucé.
Il l'a exaucé à cause de sa fiété, comme ici, Hébreu le dit.
Et ensuite, psaume 22, verset 24.
« Car il n'a pas méprisé ni rejeté l'affliction de l'affligé.
Il n'a point caché sa face de lui.
Mais quand il a crié vers lui, il l'a écouté. »
Donc, ça veut dire qu'après les trois heures sombres, Dieu a quand même répandu.
Et le Seigneur Jésus était conscient de cela, clairement.
Lorsqu'il a reposé sa tête, il savait que Dieu l'avait répandu.
Donc maintenant, ce mot « à cause de sa piété ».
Le mot « piété », la note dit « crainte ».
Mais le mot « piété » veut dire, vraiment, être dans la crainte de Dieu.
Réaliser la présence de Dieu, tout le temps.
Ce mot est utilisé souvent dans Timothée.
Et nous voyons aussi dans les psaumes d'autres mots qui sont utilisés,
où nous voyons cette attitude de piété du Seigneur Jésus,
qui est très remarquable dans les psaumes.
Maintenant, j'aimerais encore soumier « de la mort ».
Donc, Dieu était capable de le sauver de la mort,
mais il fallait qu'il passe à travers la mort.
Donc ici, j'aimerais suggérer la résurrection du Seigneur Jésus est aussi impliquée.
La réponse de Dieu était démontrée dans la résurrection.
Mais comme j'ai dit tantôt, le Seigneur la savait déjà.
À la fin des trois heures sombres, lorsqu'il a reposé sa tête,
il savait que Dieu l'avait exaucé.
Mais dans la résurrection, Dieu a donné la preuve publique de cela.
Et nous voyons comment Dieu a apprécié la vie du Seigneur Jésus, sa piété.
Donc, une vie qui était tellement dévouée aux intérêts de Dieu,
que Dieu ne pouvait pas se taire.
Il fallait que Dieu réponde à un tel homme.
À cause de sa piété.
Maintenant, il y a une expression difficile à comprendre.
« Quoiqu'il fût fils ».
Donc, je pense que ça souligne le point.
Oui, le Seigneur Jésus était le fils éternel.
Il est co-égal avec le Père.
Mais ça, ce n'est pas le sujet ici.
Comme j'ai dit tantôt, « Tu es mon fils »,
« Tu es mon fils », c'est pour souligner le bon plaisir que Dieu a trouvé dans le Seigneur Jésus comme homme.
Et comment Dieu a pris à vue tout cela, sa piété.
Comment Dieu a eu son bon plaisir en lui, lorsqu'il a considéré sa piété.
Et « Quoiqu'il fût fils », ça va aussi ensemble avec le verset 8, la question de l'obéissance.
Il est dit « Quoiqu'il fût fils, il a appris l'obéissance par les choses qu'il a souffert ».
Donc, nous avons ici quelques versets qui nous présentent la perfection du Seigneur Jésus dans son humanité.
Et pour comprendre maintenant le sujet de l'obéissance,
Paul souligne ici que le Seigneur Jésus était le Fils éternel.
Et que comme fils, il était habitué à donner des ordres.
Le créateur de l'univers, on a vu cela, chapitre 1, verset 3 déjà.
Donc, pour une telle personne, être dans une position où il a dû obéir, c'est un changement radical.
Au lieu de donner des ordres, il fallait qu'il obéisse.
Mais maintenant, il faut faire attention.
Ce n'est pas parce que le Seigneur Jésus avait la tendance de désobéir.
Ce n'est pas du tout la suggestion.
La suggestion ici, c'est qu'il a pris une place où il fallait qu'il obéisse.
Comme homme, il fallait qu'il obéisse à Dieu.
C'est ça le point qu'on a vu déjà plusieurs fois.
Et l'auteur met l'emphase sur cela.
On pense à Isaac.
Abraham a pris son fils pour le sacrifier.
On ne lit aucun mot de proteste de la part d'Isaac.
Isaac a simplement obéi.
Et ainsi, le Seigneur Jésus a toujours obéi.
Plus que deux, il dit, ne savez-vous pas que je dois être dans les affaires de mon Père.
Il a toujours obéi, toujours cherché les intérêts de Dieu.
Mais je répète, comme Dieu, le Fils, le Fils est en elle.
Il est égal au Père.
Dans l'Évangile de Jean, chapitre 5, par exemple, il mentionne cela, il montre cela clairement.
Ça, ce n'est pas le sujet ici.
C'est le point qu'il a pris, malgré le fait qu'il soit Fils éternel,
malgré le fait qu'il soit aussi comme homme appelé Fils de Dieu,
il a pris une place d'obéissance, pour obéir.
Mais je répète, pas pour avoir l'idée qu'il a dû apprendre à obéir,
parce qu'il avait la tendance à désobéir, non.
Dans une position de soumission, il a toujours obéi.
Même par les choses qu'il a souffertes, comme ils le disent.
Le Seigneur a souffert beaucoup.
On ne peut pas vraiment entrer dans tous les détails de ses souffrances.
Mais la parole de Dieu nous invite d'étudier ses souffrances.
Mais il y a un domaine où nous ne pouvons pas entrer,
et ça c'est les trois heures sombres, la croix.
Mais dans les autres détails des souffrances du Seigneur Jésus,
l'Esprit de Dieu veut nous introduire dans ces choses,
dans les psaumes, dans les Évangiles,
pour que nous puissions comprendre davantage les choses que le Seigneur Jésus a souffertes.
Et c'était pour la gloire de Dieu.
Le Seigneur a souffert pour la gloire de Dieu.
Et ensuite, ayant été consommé,
donc il a commencé un chemin d'obéissance,
dès la crèche jusqu'à la croix,
mais il a complété ce chemin d'obéissance,
et consommé, rendu parfait.
Maintenant, il est vu comme homme dans la perfection.
Et on verra plus tard, par exemple, dans Hebreu 12,
que le Seigneur Jésus a atteint cet état de perfection,
il est dans la gloire,
et on a vu déjà le chapitre 2, verset 9,
couronné de gloire et d'honneur.
Il a atteint ce but.
Mais ici, il est dans ce chemin-là,
pour arriver là.
Et c'était donc un processus.
Mais je répète, il n'y a aucune pensée là,
que le Seigneur Jésus avait la tendance de manquer.
Non. Dans ce chemin, dans ses tests, dans ses épreuves,
dans ses souffrances, il était toujours parfait.
Toujours parfaitement obéissant,
et toujours parfait, parfait.
De quelque façon, on l'étudie, toujours parfait.
Mais il a atteint la perfection,
il a atteint le but final de ce chemin-là.
Ça, c'est la pensée de consommer.
Il est devenu, pour tous ceux qui Lui obéissent,
l'auteur du salut éternel.
Maintenant, c'est notre tour d'obéir.
Et nous pouvons Lui obéir,
comme il a obéi à Dieu,
comme on obéit à Dieu,
nous pouvons Lui obéir par la foi.
Il y a un verset intéressant dans Jean 3, verset 36,
qui croit au Fils à la vie éternelle.
Qui ne croit pas au Fils, ou qui désobéit au Fils,
ne verra pas la vie,
mais la colère de Dieu demeure sur lui.
Donc, la question d'obéissance
est vraiment une question de foi,
comme Jean 3, verset 36, le montre et d'autres passages.
Et nous pouvons maintenant suivre l'exemple du Seigneur Jésus.
Mais je répète, pas pour ensuite souffrir comme Lui,
comme il a souffert à la croix.
Non.
Là, il est unique, et là, il a fait pour tous, une fois pour toutes.
Mais nous suivons le Seigneur Jésus,
et ce sera aussi un chemin de souffrance.
Et il est notre grand conducteur,
et c'est ce qu'on voit dans chapitres 11, 12 et 13, plus tard, en détail.
Il est devenu l'auteur du salut éternel.
Ici, ce n'est pas le mot auteur, comme on trouve dans chapitre 12,
le prince ou l'auteur,
mais il est devenu la cause de notre salut éternel.
Et le mot salut, je pense, revient cette fois dans cet épique.
Le mot salut, c'est un mot très riche.
C'est le salut pour le temps,
mais ici, c'est le salut éternel.
Donc, l'effet définitif de ce salut.
Le salut vu dans cette dimension éternelle.
Maintenant, j'aimerais encore revenir au verset 10,
étant salué par Dieu.
Donc, nous voyons ici les expériences du Seigneur Jésus,
à l'école de Dieu,
durant les jours de sa chair,
il a souffert,
au jet sémané, il a souffert,
à la croix, il a souffert,
mais il a toujours montré l'obéissance,
dans les choses qu'il a souffert.
Il a toujours eu à coeur les rêves de Dieu,
sa piété.
Et ainsi, Dieu l'a exaucé.
On a vu cela.
Il atteint maintenant le but,
la fin du chemin.
Il est maintenant consommé.
Et dans cette nouvelle position que le Seigneur Jésus a prise,
il est devenu pour nous,
tous ceux qui lui obéissent,
l'auteur du salut éternel,
à cause d'un salut éternel,
qui est notre part, déjà, maintenant.
Ce n'est pas qu'on doit encore faire beaucoup d'efforts
pour atteindre ce salut éternel.
Nous l'avons reçu par la foi.
Maintenant, il revient encore
à la position actuelle du Seigneur Jésus au verset 10,
étant salué par Dieu,
souverain, sacricateur,
selon l'ordre de Melchisére.
C'est cette position merveilleuse
que le Seigneur Jésus occupe présentement.
Et cette position sera expliquée plus tard en détail.
Donc, je répète, c'est une position éternelle,
une position unique.
Cela représente l'excellence du Seigneur Jésus,
sa suprématie.
Mais on aura beaucoup plus de détails au chapitre 7.
J'aime le mot « saluer ».
Donc, Dieu l'a glorifié.
Dans Jean 17, le Seigneur Jésus a prié
que Dieu le glorifie.
Il a dit « Je t'ai glorifié sur la terre,
et Père, glorifie-moi maintenant avec la gloire
que j'avais avec toi,
même avant la fondation du monde. »
Ici, on voit aussi comment Dieu a glorifié
le Seigneur Jésus en saluant.
Donc, il faut simplement,
il faut voir le Seigneur entre dans le ciel.
Il monte dans la gloire, l'ascension.
Et voilà, la porte du ciel s'ouvre.
Dieu est là pour saluer un homme.
Il est Dieu lui-même béni sur toutes choses.
Mais Dieu a salué un homme ici dans le ciel.
Il a dit « Assieds-toi à ma droite. »
Dieu l'a salué.
Et ici, comme souverain sacrificateur.
Dans quel contraste on a vu cela déjà
avec Aaron et les autres souverains
sacrificateurs sur la terre ?
Selon l'ordre de Mephistophèle,
maintenant, il y a une parenthèse
au sujet duquel nous avons
beaucoup de choses à dire.
Et on verra plus tard, depuis chapitre 7,
premier verset, jusqu'au chapitre 10, verset 18.
C'est quatre chapitres presque.
Il y a beaucoup de détails sur le Seigneur Jésus
comme souverain sacrificateur
selon l'ordre de Mephistophèle.
Donc, Paul veut dire encore beaucoup de choses.
Mais il s'intrompt pour ainsi dire.
Pourquoi est-ce qu'il s'intrompt ?
Pourquoi il ne peut pas simplement continuer ?
À cause de la condition spirituelle
des croyants auxquels il s'adresse.
Parce qu'il dit, au verset 11,
ces choses sont difficiles à expliquer.
Pourquoi elles sont tellement difficiles ?
Parce que vous êtes devenus paresseux à écouter.
Donc, il adresse ici l'état spirituel.
Dans cet état-là, il ne pouvait pas
s'approprier de ces choses.
Ça nous montre la sagesse de l'apôtre,
dirigée par l'Esprit Saint, évidemment.
Il n'étale pas ici toutes ces beautés du Seigneur Jésus.
Il atteint.
Il veut d'abord adresser l'état spirituel
de ceux qui écoutent.
Parce que j'ai dit déjà au chapitre 2,
c'est comme un discours, un long discours,
plus long que ce soir.
Et il s'adresse aux croyants comme il les aimerait.
Il s'adresse aussi aux croyants aujourd'hui.
Ils réalisent leur condition spirituelle devant Dieu
et ils travaillent maintenant pour remédier
à cette condition-là, pour que ça s'améliore d'abord.
Et ensuite, ils seront capables de recevoir cet enseignement.
Et ainsi, il y a beaucoup de sagesse dans cela.
Nous avons cinq passages qui sont appelés quelquefois
les avertissements.
On a vu chapitre 2, 1 à 3.
C'est le premier avertissement.
Ensuite, on a vu chapitre 3, au milieu du verset 6,
jusqu'au 4.13.
On a mentionné cela la dernière fois.
Deuxième, une deuxième parentèle
pour adresser la condition spirituelle des croyants.
Ici, troisième parentèle.
Et ça se continue jusqu'à la fin du chapitre 6.
Et on verra la prochaine fois comment Paul distingue là
entre des auditeurs qui n'étaient pas nés de nouveau
et des auditeurs qui étaient nés de nouveau.
Ils distinguent. On verra cela au chapitre 6.
Mais il met beaucoup d'emphase ici sur leurs conditions spirituelles.
Ce n'est pas comme à l'école.
À l'école, un professeur enseigne simplement.
Et ça n'a rien à faire avec la condition morale des étudiants.
C'est juste une question d'intellect.
Mais ici, ce n'est pas seulement une question d'intellect.
C'est une question aussi de notre état spirituel.
Et malheureusement, il doit dire ici, vous êtes devenus paresseux.
Donc, il ne faisait pas de progrès.
C'était stagnant.
C'est un peu comme dans l'épître aux Galates.
Les Galates, ils ont bien couru.
Paul dit à un moment donné, il dit, vous avez bien couru.
Qui vous a arrêté ?
Qui est celui qui vous a arrêté ?
Et là, nous voyons, c'était l'égalisme.
Et j'aimerais repérer à ce passage-là,
parce qu'au chapitre 4, il dit d'un côté,
il compare cet état-là avec quelqu'un qui est l'héritier,
mais il n'est pas encore capable d'administrer son héritage.
Il est sous le contrôle des tuteurs et des curateurs
jusqu'à l'époque fixée par le Père.
Donc, ce passage, il compare avec une condition charnelle.
Les croyants des Galates étaient dans une telle condition.
Et c'est pour ça que Paul dit dans Galate 4, verset 19,
Mes enfants, pour l'enfantement desquels je travaille de nouveau,
jusqu'à ce que Christ ait été formé en vous.
Paul cherchait leur progrès spirituel.
Et il a travaillé beaucoup.
Un autre exemple, Colossien 1.
Colossien 1, dans chapitre 2, nous voyons tous les dangers.
Et l'injurance et les dangers a causé comme un ralentissement
dans la croissance des Colossiens.
Et Paul priait pour eux, comme ce frère qui était au milieu d'eux aussi, et papa.
Il priait beaucoup pour finalement présenter,
Colossien 1, verset 28,
afin que nous présentions tout en parfait en Christ.
À quoi aussi je travaille, combattant selon son opération
qui opère en moi avec puissance.
Car je veux que vous sachiez quel combat j'ai pour vous
et pour ceux qui sont allés au lycée
et tous ceux qui n'ont point vu mon visage dans la chair.
Afin que leur cœur soit contrôlé.
Donc Paul a vraiment à cœur la condition spirituelle des croyants.
Et dans ce contexte nous devons voir aussi Évreux 5 ici.
Paul réalise, si la condition spirituelle n'est pas bonne,
je ne peux pas donner cet enseignement concernant le Seigneur Jésus
comme le grand mépris s'était.
Alors il faut d'abord qu'il soit prêt à recevoir cet enseignement.
Verset 12, car lorsque vous devriez être des docteurs, vu le temps,
vous avez de nouveaux besoins qu'on vous enseigne.
Quels sont les premiers rudiments, les oracles de Dieu.
Donc un contraste entre cet enseignement qu'il veut donner
et le fait qu'il avait encore besoin de retourner aux premiers rudiments,
les oracles de Dieu.
On verra au chapitre 6 quelques détails là-dessus.
Au milieu du verset 12, il vous est devenu tel que vous avez besoin de lait
et non de nourriture solide.
Car quiconque use de lait est inexpérimenté dans la parole de la justice.
Maintenant il faut comprendre, la parole de la justice,
c'est la parole qui nous parle de Christ dans la gloire,
qui nous parle de Christ dans son ministère comme le grand mur qui s'élève.
C'est la parole de la justice.
Mais les croyants, là, les hébreux,
ne pouvaient pas encore manger cette nourriture solide.
Cette nourriture solide, verset 14,
est pour les hommes faits,
qui par le fait de l'habitude ont l'essence exercée à discerner le bien et le mal.
Donc les hommes faits, on a vu dans Colossien,
c'est la maturité spirituelle.
Et dans cette condition spirituelle,
on peut recevoir cet enseignement de Paul.
C'est pour cela qu'il avait à coeur, dans les vitres aux galas,
qu'il soit né de nouveau,
mais il était déjà né de nouveau,
mais qu'il y ait un travail de Dieu pour que Christ soit formé en eux.
Paul avait vraiment un amour pour les croyants,
pour qu'ils puissent faire des progrès.
Et nous avons tous besoin de faire des progrès.
Mais j'aimerais dire quelque chose sur cette question du lait, au verset 12.
Donc le lait va ensemble avec les orates de Dieu, les rudiments.
Et ainsi, dans le contexte de l'épitrose de lait,
peut dire vraiment les principes que Dieu a établis dans le judaïsme.
Et on verra cela au chapitre 6.
Dieu ne met pas de côté des principes de base qu'il a établis,
par exemple la question de la repentance, ou la foi, ou la résurrection.
Mais Dieu ajoute beaucoup plus à cela.
Et c'est cela l'enseignement de l'épitrose hébreue.
Donc on verra, d'un côté Dieu met de côté le judaïsme,
comme religion qui a rejeté le Messie.
Mais le judaïsme, comme Dieu a établi au début par Moïse,
est comparé avec le lait.
C'est une forme de nourriture.
Dieu a commencé par ça.
Mais Dieu veut aller beaucoup plus loin.
Et c'est ça qu'on voit dans l'épitrose hébreue.
Donc ça c'est le contexte direct.
Le lait nous parle ici des principes du judaïsme qu'on verra au début du chapitre 6.
C'était bon en soi, mais Dieu avait maintenant de meilleures choses.
Dans 1 Corinthien 3, Paul dit aux Corinthiens qu'ils avaient besoin du lait.
Là, Paul souligne cela parce qu'il parle de leur état charnel.
Et à cause de leur état charnel, ils ne pouvaient pas faire des progrès.
Et ils avaient besoin d'être nourris par le lait.
Le lait, là, peut dire la nourriture spirituelle pour un jeune croyant.
Mais dans 1 Pierre 2, nous avons encore le lait.
Et là, c'est vraiment très beau.
1 Pierre 2, verset 2.
On met de côté la médisance, l'hypocrisie.
Est-ce qu'on le fait en pratique?
Et là, Pierre dit que nous devons être désirants.
Nous devons désirer, comme un petit bébé, le lait de sa mère.
Il compare cela avec le lait intellectuel de la parole de Dieu.
Le lait, la parole de Dieu, est toujours bon.
Mais il faut avoir un désir.
Et ainsi, un petit bébé qui a ce désir, là, c'est bon de prendre ce lait-là.
Et nous devons, même quand on a fait des progrès à l'école du Dieu,
comme Jean l'explique dans 1 Jean 2, les pères, les jeunes et les petits, les bébés,
nous devons tous avoir ce désir pour le lait.
Donc, il faut réaliser cela.
Le lait, dans la parole de Dieu, est la nourriture pour le bébé.
Et là, il n'y a pas de mal, ça c'est bon.
Mais si un bébé reste toujours un bébé, là il y a un problème.
C'est ça le point.
Si un bébé reste un bébé, il y a un problème.
Il faut faire la croissance.
Mais la condition spirituelle, ici, avait besoin d'être améliorée.
Et on verra, Paul donne les remèdes pour que cette condition s'améliore.
Ainsi, il travaille pour les Galates.
On a vu cela, Galate 4.
Ainsi, il présente les choses aux Corinthiens pour qu'ils jugent les empêchements
Par la jalousie, par la propre volonté, par la sagesse de ce monde,
il restait sur le niveau d'un petit bébé.
Et Paul ne pouvait que donner du lait.
Mais ce n'est pas bon.
Il veut qu'on fasse des progrès.
Mais il ne faut pas conclure maintenant que 1 Pierre 2 dit la même chose.
1 Pierre 2 souligne le désir qu'on devrait avoir tous pour cette parole.
Quand un jeune bébé a un désir,
nous devons tous, âgés et jeunes, avoir ce désir pour le lait de la parole de Dieu.
Je pense aux deux disciples d'Hémorrus, dans Luc 24.
Ils étaient dans ce besoin-là, comme on voit ici.
Ils avaient besoin d'être enseignés.
Et quel était le moyen que le Seigneur a utilisé?
Il fallait qu'ils s'attachent à sa personne.
C'est quoi pour nous le moyen pour améliorer cette condition-là?
C'est l'attachement à sa personne.
Qu'est-ce que le Seigneur a fait dans la maison des deux disciples d'Hémorrus?
Il a pris la place de l'hôte dans la maison.
Il a rompu le pain, ce n'est pas la fraction du pain, c'est un repas.
Il a pris la place du chef de la maison.
Et tout d'un coup, ils l'ont vue, ses mains percées,
et là, ils ont réalisé, c'est le Seigneur.
Et là, ils ont réalisé que leur cœur avait commencé à brûler en dedans d'eux.
Donc, le Seigneur se présente dans sa beauté.
Ça, c'est le seul remède.
Lorsqu'on présente à nous-mêmes la personne du Seigneur Jésus,
dans sa grandeur, dans sa beauté, ils sont 45.
Le reste qu'il y a, il sera dans la grande tribulation,
beaucoup de troubles, beaucoup de peines, beaucoup de plaintes.
Ils sont 42, 43, 44.
Ils voient le Seigneur par la foi, touché.
Pour nous, c'est le seul remède.
Nous devons fixer le regard sur le Seigneur, comme l'Apitre 12 le dit tout le temps.
Être attaché à sa personne, nous serons capables d'accepter cet enseignement.
Donc, Paul est très sage comme docteur.
Il s'adresse d'abord à la condition spirituelle.
Il sait, si ça s'améliore, là je peux continuer pour donner cet enseignement,
comme on verra dans le chapitre précédent et suivant.
Encore un mot sur les bébés.
Éphésiens 4, lorsqu'on a étudié Éphésiens 4,
on a vu que c'est l'effort de l'ennemi pour garder les croyants sur ce niveau d'un bébé.
Pourquoi ? Parce que là, un bébé peut être balotté par tout vent de doctrine, facilement.
Tandis qu'un homme fait, il sait où il se tient,
comme on a vu dans Colossiens 1.
Il sait ce qu'il doit faire.
Et l'ennemi ne peut pas facilement le détourner.
À la fin du verset 14, mais la nourriture solide est pour les hommes faits.
Donc, je répète, la nourriture solide, dans le contexte lépitrose-hébreu,
veut dire les choses par rapport à Christ, comme il est maintenant dans la gloire,
ça va ensemble avec la parole de la justice,
Dieu l'a couronnée de gloire et d'honneur,
nous voyons la beauté du Seigneur Jésus,
tandis que le lait va ensemble avec le début,
et pas seulement cela, va ensemble avec les principes que Dieu avait établis dans le judaïsme.
Par exemple, Jean le Baptiseur, il y a beaucoup de bonnes choses que Jean le Baptiseur a présentées,
mais on ne va pas rester sur ce niveau-là, on va avancer.
Maintenant, j'aimerais donc dire un mot sur la perfection.
On a parlé de la perfection par rapport au Seigneur Jésus consommé.
Maintenant, au verset 15,
il y a la nourriture solide,
la nourriture solide,
la nourriture solide,
la nourriture solide,
la nourriture solide,
la nourriture solide,
la nourriture solide,
au verset
les hommes faits.
Là, nous avons donc un état spirituel
qui est souvent traduit comme parfait,
ou dans l'original ici, dans le chapitre 5, verset 14,
les hommes faits,
c'est les hommes parfaits, dit le drame,
ou qui ont atteint le but.
Maintenant donc, c'est pour ça que j'aimerais dire un mot sur la perfection.
On verra plus tard, dans chapitres 9 et 10,
que nous sommes parfaits par l'œuvre de Christ.
L'œuvre accomplie de Christ nous a rendus parfaits devant Dieu.
Il y a d'autres passages dans la parole qui nous montrent
que nous serons parfaits lorsque nous serons dans la gloire.
Il n'y a aucune question là-dessus.
Lorsque nous serons avec le Seigneur, nous serons parfaits.
Mais Dieu cherche un état spirituel qui est conforme à ses pensées.
Et ça, c'est la question de la maturité, comme j'ai mentionné,
dans Colossiens 1, verset 28,
et d'autres passages nous parlent de cette maturité spirituelle.
Les hommes faits, et dans l'original,
sont ensemble avec la pensée de la perfection.
Et il y a un verset dans 1 Corinthiens 2,
qui dit, Paul parle là, il dit,
nous parlons la sagesse de Dieu parmi ceux qui sont parfaits.
Là, ça veut dire ceux qui ont une attitude spirituelle.
Donc ce que j'aimerais résumer ici,
les hommes faits, ce n'est pas l'avenir où nous serons dans la gloire.
Ce n'est pas ici pour montrer notre position en Christ qui est parfait.
Non, c'est ici une attitude spirituelle,
la croissance spirituelle,
mais aussi une attitude spirituelle pour recevoir les pensées de Dieu.
C'est ça le point à saisir.
Comme Paul dit dans 1 Corinthiens 2,
nous parlons la sagesse de Dieu au milieu de ceux qui sont parfaits.
Je le dis avec un propre mot,
mais là ça veut dire ceux qui ont une attitude spirituelle qui est bonne.
Les jeunes croyants avec nous,
peuvent avoir une bonne attitude,
et dans ce sens-là, être parfaits.
Une bonne attitude pour recevoir la parole de Dieu.
C'est ça la question.
Si nous sommes plus avancés, il faut garder cette attitude.
Une bonne attitude pour recevoir la parole de Dieu.
Et ainsi, on va faire des progrès.
Et ainsi, on aura aussi les sens exercés pour discerner.
Ça nous parle donc d'entraînement exercé,
veut dire, il y a une éducation,
il y a des efforts pour être éduqué, entraîné,
il y a aussi une référence aux habitudes.
Par habitudes, on devient exercé.
Lorsqu'on s'occupe des choses de Dieu,
on entraîne davantage dans les pensées de Dieu.
Et ainsi, on aura donc pratiquement une condition spirituelle,
et aussi une matérité, comme nous avons vu,
pour discerner le bien et le mal.
Et dans le contexte, on verra donc le bien,
c'est par rapport aux choses de Christ,
comme il les mène pendant la gloire,
la parole de la justice, la nourriture solide,
tandis que le mal, c'est par rapport à ceux qui voulaient
s'attacher au judaïsme, que Dieu avait mis de côté.
Donc le discernement est très important,
un discernement spirituel.
Ça prend aussi ces pensées-là.
Être dans la présence de Dieu.
Comme on verra plus tard dans cet esprit,
les croyants sont dans la présence immédiate de Dieu.
Et lorsque nous sommes dans la présence de Dieu,
nous voyons les choses comme Dieu les voit.
Ça, c'est aussi impliqué ici.
Et sans exercer, nous sommes ici sur la terre,
dans le désert, mais en même temps,
nous avons libre accès au sanctuaire,
et nous aimons voir les choses comme les Sérubins les voient, par exemple.
Les Sérubins maintiennent toujours les droits de Dieu,
la gloire de Dieu, si Dieu veut que nous soyons
en accord avec ses pensées,
pour discerner ses pensées.
Et on verra donc la prochaine fois,
le restant de cette parenthèse,
qui souligne donc l'importance de se détacher du judaïsme
comme religion charnelle qui avait rejeté le Messie,
et de notre côté, s'attacher davantage au Seigneur Jésus,
et on verra, à la fin du chapitre 6, comment il... …
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…
Hebrews 6, 1er verset
C'est pourquoi, laissant la parole du commencement du Christ, avançons vers l'état d'homme fait,
ne posant pas de nouveau le fondement de la repentance des œuvres mortes et de la foi en Dieu,
de la doctrine des abusions et de l'imposition des mains, et de la résurrection des morts et du jugement éternel.
Et c'est ce que nous ferons, si Dieu le permet.
Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, et qui ont goûté du dent céleste,
et qui sont devenus participants de l'Esprit Saint, et qui ont goûté la bonne parole de Dieu,
et les miracles du siècle à venir, et qui sont tombés, soient renouvelés encore à la repentance,
crucifiant pour eux-mêmes le Fils de Dieu, et l'exposant à leur feuille.
Car la terre qui boit la pluie qui vient, qui vient souvent sur elle,
et qui produit des herbes utiles pour ceux pour qui elle est aussi laborée,
reçoit de Dieu de la bénédiction.
Mais si elle porte des épines et des chardons, elle est réprouveuse et traite de la malédiction,
et sa faim est d'être brûlée.
Nous sommes persuadés, dans ce qui vous concerne, bien-aimés, de choses meilleures,
et qui tiennent au salut, quoique nous parlions ainsi.
Car Dieu n'est pas injuste pour oublier votre heure et l'amour que vous avez montré pour son nom,
ayant servi les saints et les servants encore.
Mais nous désirons que chacun de vous montre la même diligence pour la pleine assurance de l'espérance jusqu'au bout,
afin que vous ne deveniez pas paresseux, mais imitateurs de ceux qui, par la foi et par la patience,
périssent de ce qui avait été promis.
Car lorsque Dieu fit la promesse à Abraham, puisqu'il n'y avait personne,
puisqu'il n'avait personne de plus grand par qui jurer,
il jura par lui-même, disant, certes, en bénissant, je te bénirai, et en multipliant, je te multiplierai.
Et ainsi Abraham, ayant eu patience, obtint ce qui avait été promis.
Car les hommes jurent par quelqu'un qui est plus grand qu'eux,
et le serment est pour eux un terme à toute dispute, pour rendre ferme ce qui est en eux.
Et Dieu, voulant en cela montrer plus abondamment aux héritiers de la promesse l'instabilité de son conseil,
est intervenu par un serment, afin que, par deux choses innuables, dans lesquelles il était impossible que Dieu mentisse,
nous ayons une ferme consolation, nous qui nous sommes enfuis pour saisir l'espérance proposée,
laquelle nous avons comme une encre de l'âme sûre et ferme,
et qui entre jusqu'au-dedans du voile où Jésus est entré comme précurseur pour nous,
et étant devenu souverain sacrificateur pour l'éternité, selon l'ordre de mes petits élèves.
Jusqu'ici, j'en ai plus de la parole.
Ce chapitre est un chapitre très difficile.
C'est un chapitre où il y a beaucoup de confusion et de dissension.
J'aimerais, avec l'aide du Seigneur, simplement tracer quelques lignes dans ce chapitre.
Et d'abord, pour nous, c'est important de comprendre que l'auteur de cet épitre s'interrompt quelques fois pour donner des avertissements.
Donc, il enseigne. C'est vraiment un enseignant qui parle dans cet épitre. C'est comme un non-serment.
Et il s'interrompt quelques fois, cinq fois, pour appliquer ce qu'il a dit, et puis pour avertir.
On a vu cela au chapitre 2, verset 1 à 4. On a vu cela au chapitre 3, verset 7 jusqu'au 4, verset 13. C'est une parenthèse plus longue.
Et la dernière fois, on a vu que le troisième avertissement commence au chapitre 5, verset 11.
Lorsque l'auteur Paul, évidemment, a introduit ce beau sujet de Christ comme souverain sacrificateur selon l'ordre de Melchizedek, il s'interrompt.
Donc, on a vu déjà qu'il a présenté la grandeur de Christ, plus grand que les anges, plus grand que Maurice, plus grand qu'Aaron.
Et maintenant, il va parler du Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur, pas seulement selon l'exemple d'Aaron, il est beaucoup plus grand qu'Aaron, mais selon l'ordre qui est préfiguré dans l'Ancien Testament par Melchizedek.
Et la prochaine fois, Dieu voulant, au chapitre 7, on va parler en détail de ce Melchizedek.
Mais ici, au chapitre 5, verset 11, Paul voulait dire beaucoup de choses, mais il a dit qu'ils sont difficiles à expliquer.
Pourquoi étaient ces choses difficiles à expliquer aux auditeurs ou à ceux qui ont reçu cette lettre?
Puisque vous êtes devenus paresseux à écouter.
Maintenant, il faut se rappeler le contexte.
Il y avait donc les Juifs à Jérusalem, en Judée, qui étaient persécutés.
On voit cela déjà dans l'Épître de Jacques.
Ils ont subi beaucoup de persécutions et ils étaient dans un état difficile, dans une condition difficile, dans une situation difficile, plutôt.
Et dans cette situation difficile, ils considéraient la possibilité de retourner au judaïsme.
Ils étaient des croyants qui ont confessé le bon nom du Saint Jésus, mais à cause de toute cette pression, ils voulaient pour un temps retourner au judaïsme.
Pour, ça c'était la pensée, pour après la persécution, revenir au christianisme.
Et puis, ça c'est le sujet un peu du chapitre 6, pour montrer que cette pensée était vraiment impossible.
Et on verra pourquoi.
Donc, chapitre 5, verset 12, nous voyons l'avertissement.
Ils étaient devenus paresseux et ils étaient stagnants.
Au lieu de progresser, il dit dans le temps, vous auriez dû être des docteurs, mais au lieu de pouvoir enseigner d'autres, au lieu de pouvoir aider d'autres, vous avez besoin, de nouveau, qu'on vous enseigne quels sont les premiers rudiments, les oracles de Dieu.
Donc, l'ABC, les principes de base.
Et ensuite, il explique, ils n'avaient pas la capacité de recevoir la nourriture solide.
La nourriture solide va ensemble avec Christ dans la gloire.
Cet épisode nous présente Christ dans la gloire.
La nourriture solide est par rapport à cette nouvelle vérité, que Christ, il est maintenant un homme dans la gloire.
Dans le judaïsme, cela était inconnu, évidemment.
Et même selon ce que les juifs connaissaient dans les évangiles, ils ne connaissaient pas un Christ glorifié.
C'était inconnu.
Mais, dans le restant du Nouveau Testament, spécialement par le ministère de Paul, nous voyons comment Christ est maintenant dans la gloire.
Il y a maintenant un lien entre lui et nous sur la terre.
Mais pour entrer dans ces vérités-là, cette parole de la justice, etc., il fallait être des hommes faits.
Cela veut dire la maturité spirituelle.
Il ne faut pas confondre cela avec notre position en Christ.
Notre position en Christ est parfaite.
Personne ne peut ajouter à ça.
Personne ne peut améliorer cette position-là.
Ce serait la peine de penser cela.
Ce n'est pas donc que la position comme telle qu'ils avaient comme croyants n'était pas bonne.
Le problème était leur condition spirituelle.
Ils n'étaient pas capables d'accepter cet enseignement.
Ils n'avaient pas le sens exercé à discerner le bien et le mal.
Maintenant, ça c'est le contexte historique pour les juifs chrétiens dans ce temps-là.
Mais il faut aussi appliquer cela à nous aujourd'hui.
Qu'est-ce qu'on dirait de notre condition?
Est-ce que nous sommes capables d'entrer dans cet enseignement de l'Épiscope aux Hébreux?
Ou l'enseignement du nouveau testament par Paul, par Jean, par Pierre?
Ils nous parlent tous du Seigneur Jésus.
Où est-ce qu'on a besoin?
Est-ce qu'on retourne au judaïsme comme on voit au chapitre 6 au début?
Malheureusement, dans l'histoire de l'Église, nous voyons que ce n'était pas seulement un problème pour les juifs chrétiens qui voulaient retourner au judaïsme.
C'est devenu un problème majeur dans l'histoire de l'Église.
Prenons le premier verset maintenant.
C'est pourquoi, laissant la parole du commencement du Christ, avançons.
Paul voulait avancer vers l'état d'enfaite.
Il voulait les prendre à la main et les faire avancer.
C'est l'exercice de Paul.
Si vous voulez lire Colossiens 1 et 2, par exemple, vous allez voir l'exercice de Paul pour que les croyants puissent grandir.
Est-ce que nous avons besoin de grandir?
Est-ce qu'on peut dire, à un moment donné, non, moi j'ai maintenant atteint le niveau là, le niveau plus haut, j'ai plus besoin de grandir.
Non.
Si on pense de même, ce serait faux et ce serait stagné.
Ce serait vraiment le début d'un regret, d'une veste.
Et Paul voulait prendre les croyants pour qu'ils puissent avancer, pour qu'ils puissent faire des progrès.
Pierre le dit dans 2 Pierre 3, croissez dans la grâce, dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ.
Et si vous voulez lire Colossiens 1 et 2, Gala 4 par exemple, Paul dit, c'est un autre exemple,
que son exercice était comme une mère qui allait enfanter un enfant.
Pas seulement ça, la mère voulait que l'enfant grandisse.
Est-ce que vous avez jamais vu une mère qui a un petit bébé, elle veut que le bébé reste comme ça, de même?
Vous avez jamais vu une mère de même?
Ma part, ma part.
Une mère veut que l'enfant grandisse, parce qu'elle sait que si l'enfant ne grandit pas, ça va aller mal.
Et ainsi pour le croyant, si on ne fait pas des progrès, à l'école de Dieu, ça va aller mal.
C'est pour ça que Paul prend les croyants, il veut les faire avancer.
Et dans l'original, le mot avançant veut dire, on pourrait traduire comme ça, soyons portés vers l'état d'enfant.
Donc il y a un élément là de la dépendance, que Dieu nous aide.
Plus loin, on verra aussi l'emphase sur notre côté, verset 11 par exemple, chapitre 6.
Nous désirons que chacun de vous montre la même diligence.
Il faut que nous soyons diligents.
Mais de notre côté, nous devons aussi réaliser que ça prend une heure de Dieu.
Et avançons, le mot avançons implique cet aspect là.
Ça prend aussi un travail de Dieu.
Pour avancer vers l'état d'enfant.
Mais, ne posant pas de nouveau le fondement de la repentance, ce n'est pas ici pour retourner vers le judaïsme.
Le judaïsme connaissait aussi la repentance, le principe de la repentance.
Jean le Baptiseur avait parlé de la repentance.
La repentance des œuvres mortes, et ensemble avec cela, la nécessité de la foi en Dieu.
Non, Paul ne voulait pas poser un tel fondement.
C'était déjà posé une fois pour toutes, ça suffit.
Il voulait maintenant avancer, pas retourner, pas reculer, avancer.
Ou verser deux, de la doctrine des adoptions.
C'était donc les façons dans lesquelles, selon la loi juive, les choses devaient être lavées.
Beaucoup d'instructions dans la loi de Moïse.
Ou l'imposition des mains.
Comme pour bénir, ou pour s'identifier avec les sacrifices qui allaient être offerts.
Comme on le voit dans Exode, Levitique.
Non, ce n'est pas ça que Paul voulait présenter.
Ou même, par rapport aux choses à venir, la résurrection des morts et du jugement éternel.
Notons bien ici, il ne parle pas de la résurrection d'entre les morts.
Ça c'est nouveau.
Christ a été resté d'entre les morts.
Ça c'est quelque chose de nouveau.
Ça appartient au christianisme.
Le judaïsme connaissait le principe de la résurrection des morts.
Comme on voit avec Marthe dans Jean XI, lorsque le Seigneur allait réciter Lazare.
Marthe ne comprenait pas vraiment le principe de la résurrection d'entre les morts.
Mais le christianisme est basé sur ce principe là.
La résurrection d'entre les morts.
Donc c'est un niveau plus élevé que le judaïsme.
Et le jugement éternel, c'est clair, le judaïsme connaissait ça.
Mais par rapport aux choses à venir, nous avons beaucoup plus d'instructions qui vont beaucoup plus loin que juste cette pensée là.
Donc Paul ne veut pas que les croyants retournent à ce niveau là.
Mais je répète, malheureusement dans l'histoire de l'église, on voit qu'à beaucoup d'égards, les églises sont retournées à ce fondement là.
Au lieu d'être attachées à Christ dans la gloire et prendre cette nourriture solide pour les hommes faits.
Vers cette fois, c'est ce que nous ferons.
Maintenant il faut comprendre ce que Paul dit ici.
Avançons vers cette première.
Donc nous voulons avancer, si Dieu le permet.
Donc il souligne le besoin de l'aide de Dieu, d'être dépendant de Dieu.
Comme je l'ai suggéré déjà au début.
Mais nous devons avancer, si Dieu le permet.
Dieu veut nous aider, ça c'est clair.
Mais Paul a réalisé la dépendance de Dieu pour cela.
Maintenant verset 4.
Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés.
Maintenant il va donner quelques points qui soulignent les privilèges que les croyants avaient.
Je répète maintenant.
Les croyants à Jérusalem, en Judée, à ce moment là, les vrais croyants étaient éclairés.
Le mot éclairé revient encore une fois au chapitre 10 verset 32.
Et là c'est clair que ça s'applique aux vrais croyants.
Chapitre 10 verset 32.
Mais rappelez dans votre mémoire les jours précédents dans lesquels ayant été éclairés.
Vous avez enduré un grand combat de souffrance.
Vous voyez, ils étaient éclairés.
Un peu comme on voit dans 2 Corinthians 4.
Nous voyons comment le Dieu de gloire nous a illuminés par la foi.
Deux jeunes hommes qui ont goûté du don céleste.
Souvent dans le passé j'ai pensé que c'était seulement goûter.
Mais ça ne veut pas dire qu'ils l'avaient mangé.
Mais si on compare par exemple chapitre 2 verset 9.
Que le Seigneur Jésus a goûté la mort.
Est-ce que ça veut dire qu'il a juste touché un peu?
Non.
C'était vrai pour lui.
Ainsi, toutes les passages qu'on voit, ce mot qui est utilisé, goûter.
Par exemple 1 théâtre 2 verset 3.
Que nous pouvons goûter la bonté du Dieu.
C'est vraiment s'approprier de ces choses.
Donc ici il parle des croyants qui avaient goûté le don céleste.
Donc ça veut dire qu'au début ils ont connu Christ dans la gloire.
Ils ont réalisé les privilèges qu'ils avaient par rapport à un Christ glorifié.
Ils l'ont goûté.
Ils se sont appropriés de cela.
Et ils se sont identifiés avec l'Esprit du Dieu.
Devenus participants.
Comme on l'a vu dans chapitre 3 verset 1 et 14.
Participants de Christ.
Chapitre 1 verset 9 aussi.
Participants de Christ.
Donc un lien intime avec Christ.
Un lien intime avec l'Esprit du Dieu.
Quatrième point.
Qui ont goûté la bonne parole du Dieu.
Ici c'est le même verbe qu'au début.
Goûter du don céleste.
Et maintenant goûter la bonne parole du Dieu.
La bonne parole du Dieu c'est encore par rapport à Christ dans la gloire.
La position céleste du Seigneur Jésus.
C'est la bonne parole du Dieu.
Et les miracles du siècle à venir.
On sait que dans les actes on trouve ces miracles.
C'est vraiment le siècle à venir ou le monde à venir.
Ça veut dire des miracles qu'on verra aussi au début du Mélanie.
Mais les croyants au début dans les actes ont vu ces miracles.
Et ensuite qu'est-ce que le verset signifie?
Qu'ils sont tombés.
C'est là la confusion.
Un croyant ne peut pas perdre son salut.
Ça c'est clair.
Et le passage n'enseigne pas qu'un croyant peut perdre son salut.
Le Seigneur a dit clairement.
Mes brebis écoutent ma voix et moi je les connais.
Et elles me suivent.
Et je leur donne la vie éternelle.
Et elles ne périront jamais.
Personne ne les ravira demain.
Le Seigneur a dit cela clairement.
Il y a beaucoup d'autres passages qui montrent clairement.
Un croyant ne peut pas perdre le salut.
Ça c'est pas le point ici.
Qu'est-ce que Paul veut dire ici?
Un croyant peut stagner.
Un croyant peut retomber dans le judaïsme, dans un système religieux.
Il peut nier pratiquement les liens qu'il a avec Christ dans la gloire.
Vous voyez si on dit que ce passage s'applique à ceux qui professent le nom de Christ,
mais ne sont pas vraiment nés de nouveau.
On limite ce passage.
Mais ce passage parle aux croyants pour nous avertir,
pour vraiment nous sonder.
Est-ce que nous sommes vraiment identifiés avec Christ dans la gloire?
Est-ce qu'on veut avancer avec lui?
Ou est-ce que nous sommes stagnants?
Ou est-ce que nous sommes stagnants?
Est-ce que nous sommes satisfaits avec ce que nous font?
Nous sommes satisfaits avec l'état de l'Église?
Tomber ici, je veux dire, juste un exemple, dans 1 Chrétien 9 et 10,
on voit l'histoire du peuple dans le désert.
Dans 1 Chrétien 9, Paul applique ce principe à lui-même, de ce combat.
Il court, dans Hebreu 12, on va revenir à la course plus tard,
Dieu voulant qu'il nous laisse encore ici, qu'il nous donne une autre occasion.
Mais Paul était dans la course.
Il dit au verset 26,
Paul ne voulait pas enseigner ici qu'il pouvait perdre son salut.
Il ne voulait pas être disqualifié.
Il avait couru dans la course, il avait prêché, il avait dit à d'autres gens,
mais venez avec nous, courons avec Christ.
Puis là, à un moment donné, il fait quelque chose qui n'était pas correct,
et là il serait disqualifié pour continuer dans la course.
Et c'est ça l'exemple qu'il donne dans le chapitre 10.
Est-ce que vous pensez que tous ces croyants qui sont sortis de l'Égypte,
qui sont tombés dans le désert, comme on voit dans le chapitre 10,
ils étaient tous sous la nuée, tous traversés la mer, baptisés pour mourir,
ils ont mangé la même viande spirituelle,
ils ont bu le même breuvage spirituel, verset 4,
mais ils sont tombés. Pourquoi ?
Ils ont convaincu, combattu, ils sont devenus idolâtres, verset 7,
ils se sont rebellés, ils ont commis la fornication spirituelle, verset 8,
et même physique, verset 9.
Il dit, ne tentons pas non plus le Christ comme quelques-uns d'eux l'ont tenté,
et ont péri par les serpents.
Pourquoi le Seigneur a permis cela, qu'ils tombent dans le désert ?
Parce qu'ils avaient rejeté les pensées du Dieu.
On voit cela clairement dans l'ombre 13.
Les douze espions sont revenus, leur rapport était clair,
Dieu nous a promis ce pays, mais les dix ont dit non,
ça n'a pas de bon sens, on ne peut pas y aller avec ces géants-là.
Donc ils n'avaient pas de foi, ils ne voulaient pas accepter les pensées du Dieu,
tandis que Josué et Calème, ils sont allés de l'avant.
Ils ne sont pas tombés dans le désert.
Les restants, à cause de leur désobéissance, sont tombés dans le désert.
Je répète la question, est-ce que cela veut dire que tous ces gens-là n'étaient pas nés de nouveau ?
Non, le point c'est que Dieu ne pouvait plus les maintenir comme témoignages.
Il avait abandonné les témoignages du Dieu, il avait abandonné la pensée du Dieu.
Ils se sont rebellés, c'est pour cela qu'ils sont tombés dans le désert.
Ici dans les Russies, c'est le même contexte.
Pour revenir au contexte général, Jérusalem serait assiégée par les Romains.
Jérusalem serait détruite l'année 1970.
Dieu ne voulait pas que ces chrétiens juifs retournent au judaïsme.
Ils seraient morts, ils seraient tués dans cette situation-là, avec la destruction du temple.
Le Seigneur voulait que les croyants sortent, on verra plus tard dans l'Hivre XIII, qu'ils sortent du cain.
Au lieu de retourner, ça c'est le contexte.
Donc un croyant peut retourner au judaïsme, il peut retourner au cain, mais là il ne va pas faire des progrès.
Il s'expose au jugement du Dieu, mais ça ne veut pas dire qu'il peut perdre son salut.
Ça c'est un point très important à comprendre.
Le point du verset 7, ah oui, revenons encore au verset 6.
Si on fait cela, comme ces croyants ont dit, ok, on va retourner au judaïsme, après la persécution, on va retourner au chrétainisme.
Non, si vous faites cela, c'est impossible d'être renouvelé encore à la repentance.
Vous ne pouvez pas encore passer à travers cette repentance, parce qu'en faisant cela, vous crucifiez pour vous-même le Fils du Dieu.
En retournant au judaïsme, ils ont exposé à l'autre ordre le Fils du Dieu, avec cette pensée-là.
Et maintenant, les versets qui suivent, il explique encore, la terre qui doit la pluie, donc ça c'est la bénédiction qui vient d'en haut,
comme Christ est maintenant dans la gloire, il veut baigner son peuple ici sur la terre, il donne la pluie, comme on voit au verset 4, 5.
Qu'est-ce qu'on fait avec cette pluie-là?
Est-ce qu'on est de la bonne terre qui va produire des herbes utiles, ou est-ce qu'on va produire des herbes, comme il dit au verset 8, des épines, des chardons?
Si on rejette ce lien que nous avons avec Christ dans la gloire, si on retourne dans un système religieux, on porte des épines et des chardons,
on s'expose au jugement du Dieu, je répète, ça ne veut pas dire qu'on peut perdre son salut, mais on s'expose au jugement du Dieu.
Au lieu de recevoir la bénédiction de Dieu, à la fin du verset 7.
Donc si, ça c'est un principe du gouvernement de Dieu, si nous obéissons, si nous faisons ce que Dieu nous dit, il va nous bénir.
Ça ne veut pas dire qu'on n'aura pas de persécution, non, ça je ne dis pas qu'il y aurait de la persécution, mais il serait béni à travers tout cela.
Tandis que s'il voulait éviter la persécution, il n'aurait pas ses fruits pour la gloire de Dieu, et dans le gouvernement de Dieu, ce serait la malédiction.
En se plaçant encore sous la loi de Moïse, il se plaçait sous la malédiction de la loi.
Il faut lire Galate 3 là-dessus, pour comprendre comment c'était sérieux de retourner au judaïsme.
Verset 9, il faut encourager les croyants, il dit, nous sommes persuadés en ce qui vous concerne, bien aimer, c'est beau de voir cela, bien aimer.
Il va parler maintenant de trois choses qui sont tellement beaux, l'amour et aussi l'espérance et la foi, on verra dans les versets qui suivent.
Nous sommes persuadés en ce qui vous concerne, bien aimer, de choses meilleures et qui tiennent au salut.
On a le mot salut sept fois dans cet épisode.
Le salut qui vient de Dieu.
Paul était convaincu que les croyants auxquels il s'agressait, ils voulaient suivre cet enseignement au lieu de retourner au judaïsme et rejeter cet enseignement.
Mais il fallait qu'ils les avertissent.
C'est comme si on marche avec un petit enfant à côté du canal, on tient la main et on dit, tiens ma main forte, si tu tombes, tu tombes dans l'eau et tu vas mourir.
C'est un avertissement.
Et si Paul a averti les croyants, ça ne veut pas dire qu'ils vont suivre ce chemin-là, mais il les avertit de ne pas suivre ce chemin-là.
Et puis il ne dit pas que si l'enfant tombe dans l'eau, il va se jeter dans l'eau pour sauver l'enfant. Il ne dit pas ça.
Parce qu'autrement il enlèverait la force de l'avertissement.
Donc il donne l'avertissement dans toute sa force pour que les croyants soient vraiment convaincus de suivre cet enseignement.
Il ne parle pas de ce que Dieu peut faire encore dans sa grâce, même si on est désobéissant. Il ne parle pas de cela.
Et cet amour des croyants hébreux était sincère.
Et on a beaucoup de preuves en lisant cet épitre que leur amour était sincère.
Et Paul les recommande ici. Ils ont montré l'amour pour son nom.
Et en servant les saints, il les serva encore.
Mais il était en danger d'arrêter.
Et en suivant l'enseignement de cet épitre, on voit que les avertissements deviennent de plus en plus sérieux.
Chapitre 10, on verra que les avertissements sont encore plus forts.
Chapitre 12, encore plus forts.
Parce que Paul avait vraiment peur qu'il ne saisisse pas cet enseignement.
Donc de plus en plus il enseigne et en même temps il avertit encore plus fort.
Mais il réalise quand même leur amour qui était là et il les recommande.
Deuxièmement au verset 11, nous désirons que chacun de vous montre la même diligence pour la pleine assurance de l'espérance.
Ici nous avons l'espérance.
On sait que souvent l'amour, l'espérance et la foi vont ensemble.
Vous pourriez étudier là le Nouveau Testament, c'est vraiment éduquant de faire ça.
L'amour, l'espérance et la foi vont ensemble.
Mais ici c'est pour souligner maintenant le point de la diligence, le zèle spirituel.
Est-ce que nous avons du zèle ou est-ce qu'on va dire, oh, quelqu'un d'autre peut le faire.
Moi je prends un break.
Ou est-ce qu'on veut vraiment avoir cette diligence.
Ce n'est pas facile.
Mais Dieu va récompenser cette diligence, ce zèle spirituel.
Voilà, on a vu déjà ce zèle spirituel, cette diligence va ensemble avec le travail de Dieu.
Si on veut avancer, on a vu ce premier verset et surtout au verset 3, si Dieu le permet, on rélit.
On a besoin de l'aide du Seigneur.
Et les deux vont toujours ensemble.
Mon désir de servir Dieu, c'est un bon désir.
Votre désir de servir Dieu, c'est un bon désir.
Mais on a besoin de son aide.
Les deux vont ensemble.
Et cette diligence est ici par rapport à la pleine assurance de l'espérance.
De nouveau, ça va ensemble avec la réalisation que nous sommes attachés à Christ dans la gloire.
Et que nous pouvons maintenant continuer jusqu'au bout.
Ne pas lâcher mi-chemin, mais continuer jusqu'au bout.
Parce qu'on a cette espérance.
Et cette espérance au verset 18, on verra encore quelques détails, qu'on ne peut pas se tromper.
Si on met sa confiance en Dieu, il est notre espérance, le Seigneur dans la gloire est notre espérance, on ne va pas se tromper.
On verra cela dans quelques versets plus loin.
Verset 12.
Afin que vous ne deveniez pas paresseux.
Qu'est-ce qu'on a vu au verset 5, verset 11 ?
Qu'est-ce qu'on a dit ?
Puisque vous êtes devenus paresseux.
Il veut les encourager maintenant.
Il veut qu'ils montrent du zèle spirituel, une diligence.
Et ensuite, ils peuvent imiter ceux qui par la foi et par la patience, héritent ce qui avait été promis.
Ça c'est l'exemple des croyants, comme j'ai dit tantôt, Caleb, Josué.
Par leur foi, par leur patience, ils sont entrés dans le pays.
Dieu les a récompensés.
On peut penser à Abraham aussi.
Abraham a dû patienter beaucoup.
Il a donné une promesse, ça a pris 25 ans avant que la promesse soit accomplie.
Son fils est né.
Ensuite, Dieu a dit à Abraham, donne-moi ton fils, sacrifie-le.
Et Abraham a compris que Dieu allait le restituer, si Dieu avait demandé qu'il le sacrifie vraiment.
Donc Abraham a connu cette patience et cette confiance en Dieu.
Maintenant, c'est notre tour.
À ce moment-là, ceux qui ont reçu cet épître, aujourd'hui c'est nous.
Est-ce que nous voulons imiter ceux qui par la foi et par la patience ont hérité ce qui avait été promis?
Donc je répète, il y a un autre élément qui s'ajoute, c'est la patience.
L'amour, l'espérance, la foi et maintenant un nouvel élément, la patience.
Ça veut dire continuer, continuer.
Le mot ici implique l'onganité.
Donc avoir beaucoup de patience et de ne pas se venger.
Si quelqu'un fait quelque chose, je ne vais pas me venger, je mets ma confiance en Dieu.
C'est cette patience-là que nous voyons en Caleb et Jésus et surtout aussi en Abraham.
Et ainsi ils ont hérité ce qui avait été promis.
Maintenant, il va parler de la promesse, verset 13.
Et maintenant on va voir trois choses.
La promesse, verset 13.
Ensuite le serment qui confirme la promesse.
Et ensuite une ferme consolation par l'espérance proposée à la fin du verset 18.
Donc la promesse, est-ce que la promesse est suffisante?
Bien sûr, si Dieu donne une promesse, c'est suffisant.
Dieu fit la promesse à Abraham puisqu'il n'avait personne de plus grand par qui jurer, il jura par lui-même.
Donc la promesse est confirmée par un serment.
Certes, en bénissant, je te bénirai et en multipliant, je te multiplierai.
C'est pour bénir.
On n'a pas le temps maintenant de vérifier cela.
Il y a plusieurs occasions où Dieu a juré par lui-même.
On comprend, si quelqu'un doit jurer aujourd'hui devant les autorités, c'est parce qu'on jure par quelqu'un qui est plus grand.
C'est par Dieu, il est plus grand que nous.
Et puis là, on confirme notre parole par le serment d'une autorité plus grande.
Mais Dieu, par rapport à Dieu, est-ce qu'il y a une autorité plus grande que Dieu lui-même? Non.
Donc Dieu a juré par lui-même.
C'est pour confirmer la bénédiction.
Et ainsi, au verset 15, Abraham ayant eu patience, on a parlé de la patience,
c'est encore la même pensée, la longue annuité, obtient ce qui avait été promis.
Je dis que cela a pris 25 ans.
Verset 16, car les hommes jurent par quelqu'un qui est plus grand qu'eux, et le serment est pour eux un terme à toute dispute.
Pour rendre ferme ce qui est convenu.
Donc c'est encore pour confirmer, si Dieu a promis quelque chose, il va l'accomplir.
Termes de dispute.
Verset 17, et Dieu voulant en cela montrer plus avant d'un moment aux héritiers de la promesse,
l'imitabilité de son conseil.
Donc ça veut dire, si Dieu avait donné une telle promesse, cette promesse ne pouvait pas être changée.
Si Dieu avait un tel plan, le mot conseil, veut dire plan, ou propos, si Dieu s'était proposé cela, il ne pouvait pas changer cela.
Ça nous parle de cette imitabilité de Dieu.
Dieu ne peut pas agir d'une façon croche, c'est impossible.
Verset 17, à la fin, donc Dieu confirme cela par un serment.
Et on va revenir au serment aussi plus tard, par rapport à l'ordre de Melchizedek.
C'est pour ça qu'Anse, il parle aussi en beaucoup de détails d'un serment.
Parce qu'on verra plus tard, chapitre 7, que le Seigneur Jésus est maintenant un sacrificateur sans ordre de Melchizedek.
Par rapport à ce serment de Dieu.
Verset 18, afin que par deux choses immuables, et la promesse et le serment, dans lesquels il était impossible que Dieu mentisse.
Dieu ne peut pas mentir, s'il donne une promesse.
Et c'est encore confirmé par le serment.
Nous ayons une ferme consolation.
Le mot consolation ici veut dire aussi encouragement.
Dans la prière, je pense, notre frère a utilisé ce mot, encourager.
Le Seigneur veut nous encourager.
Il veut donner une ferme consolation, un ferme encouragement.
Pourquoi? Pour qu'on puisse aller dans ce chemin-là, comme on a dit tantôt.
Il veut qu'on avance.
C'est pour ça qu'il encourage.
Nous qui nous sommes enfuis.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Le contexte juif maintenant.
Qu'est-ce que Pierre a dit dans Acte II?
Le Seigneur avait prié à la croix, « Père, pardonne-leur. »
Et par cela, Dieu allait leur donner une ville de refuge.
« Sauvez-vous de cette génération perverte. »
Ils étaient coupables comme nation de la mort de leur Messie.
Si on lit les évangiles, on voit que c'est vraiment meurtre.
Les gentils étaient aussi coupables, évidemment.
Mais sur la base, la prière du Seigneur Jésus, « Père, pardonne-leur, parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font. »
Dieu, dans sa grâce, a donné la possibilité de la ville de refuge.
Dans l'Ancien Testament, nous voyons que si quelqu'un avait tué quelqu'un par accident, il fallait qu'il aille à la ville de refuge.
Autrement, le vengeur pourrait le tuer.
Mais s'il se rendait à la ville de refuge, il serait en sécurité.
Et ainsi, les Juifs, qui étaient donc coupables de la mort du Seigneur Jésus,
à cause de la prière du Seigneur Jésus, Dieu ne les voyait pas comme meurtriers,
mais comme coupables d'avoir tué quelqu'un,
ils avaient la possibilité, le peuple juif avait la possibilité de la ville de refuge.
Et cette ville de refuge, on voit ici, dans Hébreux 6 verset 18,
« Nous qui nous sommes enfuis. »
Les Juifs, dans Acte 2, « Sauvez-vous de cette génération perverse. »
Ils sont entrés dans la ville de refuge, dans l'Assemblée, dans l'Église.
Et ensuite, beaucoup d'autres se sont réfugiés là, comme on voit dans le livre des Actes,
pour saisir l'espérance proposée.
Mais dans ce contexte-là, vous comprenez,
s'ils voulaient maintenant sortir de l'Église, sortir de la ville de refuge,
ils seraient sous le jugement de Dieu, malgré le fait qu'ils étaient de vrais croyants.
Ils se plaçaient sous le jugement de Dieu,
quant à ces voix gouvernementales pour cette terre et pour ce monde.
C'est pour ça qu'il fallait rester dans la ville de refuge,
pour saisir l'espérance proposée.
La ville de refuge nous met en contact avec le monde à venir.
C'est pour ça qu'il y a une espérance proposée.
Et aussi, on voit dans les détails de l'Enfant-Sacrificement,
qu'ils étaient en sécurité,
et seulement après la mort du Souverain Sacrificateur, ils pouvaient sortir de la ville.
Verset 19, « laquelle nous avons comme une encre de l'âme ».
Cette sécurité, cette sécurité par rapport à l'encre.
Quelquefois, on rencontre des gens qui n'ont pas l'assurance du salut.
Et ils sondent les écritures, ils se posent des questions.
On pourrait dire qu'ils mettent l'encre en eux-mêmes.
Ils mettent l'encre dans leur propre bateau.
Ainsi, on n'aura jamais l'assurance.
Mais qu'est-ce que l'auteur veut dire ici?
Christ est notre encre.
Et nous devons nous identifier avec lui.
Il est l'encre de l'âme.
Et il est allé déjà dans la gloire.
On parlait tantôt de la gloire.
Il est entré dans la gloire.
Et il est là, notre encre.
Donc, c'est solide, c'est stable.
Ça parle de cette sécurité.
Malgré le fait que l'élément de l'espérance est là encore,
parce que nous ne sommes pas là encore.
Il est allé avant nous, comme le précurseur.
On verra tantôt.
Et cette encre est sûre et ferme.
Pas de doute.
C'est la stabilité qui entre jusqu'au-dedans du voile.
Vous voyez le lien avec le ciel?
Dans le judaïsme, il ne pouvait pas entrer au-dedans du voile.
Mais dans le christianisme, on peut entrer jusqu'au-dedans du voile
parce que qui est là?
Jésus est là.
C'est l'un des neuf passages où nous voyons juste le nom de Jésus.
Jésus est présenté ici dans toute sa beauté,
dans toute sa magnificence, dans sa suprématie.
Jésus suffit pour vous, pour moi.
Il est là.
Il est entré comme précurseur.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Si quelqu'un entre comme précurseur, ça veut dire que les autres vont suivre.
Si je mets ma confiance en lui, l'encre qui est déjà là,
dans le précurseur, ça veut dire que moi je vais aller là aussi.
Je mets ma confiance en lui, il est là comme précurseur.
Et ça veut dire que moi je vais être là aussi.
Et il est là au-dedans du voile,
dans le lieu très saint, comme souverain sacrificateur.
Pas comme Aaron qui pouvait entrer seulement une fois par année.
Il est là tout le temps, pour l'éternité.
Parce qu'il est là selon l'ordre de Melchizedek.
C'est à la fin.
Donc nous avons beaucoup de choses merveilleuses par rapport au Seigneur Jésus.
Il confirme, il est vraiment la promesse de Dieu par rapport à lui.
Le conseil de Dieu est par rapport à lui.
L'immutabilité du conseil de Dieu est par rapport à lui.
Et ainsi, Dieu veut nous donner une ferme consolation pour qu'on puisse avancer.
Et pour qu'on puisse rester dans la ville de refuge.
Et qu'on puisse aussi jouir du lien que nous avons avec Christ dans la gloire.
L'encre de l'âme sûre et ferme au-dedans du voile.
On verra plus loin que le Seigneur Jésus veut nous introduire pratiquement aussi dans le lieu très sain.
Comme grand sacrificateur, il veut nous introduire là aussi pour que nous puissions jouir la communion avec Dieu déjà maintenant.
Ça c'est déjà impliqué ici dans cette phrase.
Il est là.
Ça veut dire que mon coeur est là.
Ça veut dire que ma joie est là.
Et ainsi nous sommes attachés à Christ qui est là.
Quoi que nous soyons encore ici sur la terre.
Et il est là pour prendre soin de nous parce qu'il est le souverain sacrificateur.
Donc la prochaine fois Dieu voulant, on va parler plus en détail de son service comme souverain sacrificateur.
Et deuxièmement, on va parler aussi de cet ordre de Melchizedek.
Mais je souligne maintenant l'expression pour l'éternité.
On a vu cela au chapitre 5 verset 6.
Comme il dit aussi dans un autre passage, tu es sacrificateur pour l'éternité selon l'ordre de Melchizedek.
Ainsi nous voyons donc la suprématie de cet ordre de sacrificature que le Seigneur Jésus a maintenant dans la gloire.
Est-ce qu'il y a des questions parce que le passage est très difficile, surtout le début là.
On peut facilement avoir des malentendus et je ne dis pas que ce que j'ai dit c'est le dernier mot.
Mais mon exercice était d'essayer de présenter ce passage comme quelque chose qui peut nous encourager,
qui peut nous motiver pour aller de l'avant, pour avancer, pour grandir,
pour faire des progrès, il faut produire du fruit, comme on a vu au verset 7.
Le Seigneur Jésus.
Qu'est-ce que vous m'entendez en termes de jugement des dieux?
Parce que j'ai ce que vous êtes en train de dire, pas du gouvernement des dieux sur la terre,
en termes de jugement de ton bien.
La discipline.
Exact.
Parce que les croyants ne peuvent pas être exposés au jugement de cette façon-là.
Mais s'il est désobéissant, il s'expose au jugement des dieux dans sa voie gouvernementale, dans sa discipline.
C'est ça que je voulais dire.
Qu'est-ce qu'on doit entendre?
Justement, j'essaie de revenir à ce qu'on a entendu du passage à Jésus-Christ.
Cette parole du commencement, qu'est-ce qu'on doit entendre?
C'est bon, tu poses la question parce que j'avais voulu dire quelque chose là-dessus, mais j'ai oublié.
Dans Jean 4, le Seigneur parle à la femme samaritaine.
Il lui dit, le salut vient des juifs.
Et ainsi, le commencement du Christ, ça parle de sa vie sur la terre.
Ça implique aussi le ministère de Jean le Baptiseur qui avait annoncé l'avenue du Christ.
Mais c'est par rapport au judaïsme.
Tandis que l'exercice de Paul, et l'enseignement de Paul, ça va beaucoup plus loin.
Ça va maintenant, c'est par rapport à Christ dans la gloire.
Et c'est pour ça qu'il dit, on laisse la parole du commencement du Christ.
On veut avancer vers l'état d'enfait.
C'est par rapport à Christ dans la gloire.
C'est comme ça que je les vois.
En fait, dans les Évangiles, ils vont plus loin que les Évangiles.
C'est ça.
Puis si on rencontre quelquefois des croyants qui disent, pour moi c'est l'Évangile là.
Puis ça finit.
Non, ça ne finit pas.
C'est pas suffisant.
L'Évangile est très riche et puis on va toujours retourner à l'Évangile.
Mais on a besoin des Épitres pour comprendre notre lien avec Christ dans la gloire,
qui n'est pas entenu dans les Évangiles.
C'est pour ça qu'on a vraiment besoin de comprendre ce point-là.
Peut-être un mot à souligner encore pour notre sécurité.
A la fin du verset 19, au début du verset 19,
laquelle nous avons.
Ce serait intéressant de voir tout ce que nous avons dans cet Épitre.
Puis ça aide pour notre sécurité.
Nous avons un grand souverain sacricateur.
On a vu ça dans le chapitre 4.
Ici, nous avons une encre de l'âme.
On a vu, c'est encore pour nous aider, pour nous donner l'assurance et la solidité.
Et plus loin, on verra le chapitre 8.
Nous avons un tel qui est ministre du sanctuaire.
Chapitre 10, verset 19.
Nous avons la confiance pour un fait.
Nous avons une nuée de témoins.
Chapitre 12, verset 1.
Et ainsi, nous avons un autel.
Chapitre 13.
Nous avons un autel.
Donc, il y a beaucoup de choses que nous avons.
C'est pour confirmer ce que nous sommes comme chrétiens
et ce que nous pouvons jouir comme chrétiens.
Nous avons.
Ce n'est pas qu'un jour on va l'avoir.
Non, nous avons.
Et vous comprenez, il y a beaucoup de détails.
Mais moi, je voulais limiter la grande ligne
pour qu'on puisse, avec l'aide du Seigneur,
saisir un peu la grande ligne du chapitre.
Il faut peut-être, je peux ajouter à ça,
il faut prendre d'abord le contexte de toutes les titres.
Et on voit qu'il s'adresse aux croyants, en général.
Deuxièmement, il faut aussi prendre tout l'enseignement de la Bible
qui montre que la Bible n'enseigne pas
que le croyant peut perdre son salut.
Donc, il faut toujours garder l'enseignement global de la Bible
si on veut interpréter un tel chapitre.
Et puis, le contexte direct.
Le contexte direct, c'est qu'il voulait retourner dans le judaïsme
à cause de la pression des persécutants.
Et on peut l'appliquer à nous.
Il y a des tendances, tout le temps,
et des tentations pour nous aussi.
C'est plus facile d'aller à l'église
ou avoir les choses organisées comme dans l'église catholique.
C'est beaucoup plus facile.
Mais c'est encore un choix qu'on doit faire.
Est-ce qu'on va s'identifier avec Christ dans la gloire
avec toutes les ressources que nous avons avec lui,
par le Saint-Esprit, par la parole,
ou est-ce qu'on va se tourner vers un système de langue?
C'est un choix que nous devons faire.
Et puis, là, c'est aussi toujours la question
qu'est-ce qu'on veut avancer,
qu'est-ce qu'on veut faire de progrès spirituel.
Les oeuvres mortes du premier verset,
je ne l'ai pas mentionné, mais je le vois maintenant.
Les oeuvres mortes, on les voit aussi,
on s'applique au 10, verset 14,
ce sont les oeuvres qui se font sous la loi.
Non, c'est un peu plus loin.
Mais les oeuvres mortes peuvent dire que ces oeuvres,
même si ce sont des oeuvres qui sont sous la loi,
ne peuvent pas sauver, ne peuvent pas les justifier.
Donc moi je peux faire un effort sous la loi qu'on vise,
je peux faire toutes les instructions de la loi,
mais ce sont quand même des oeuvres mortes.
Ça ne peut pas m'aider comme chrétien.
Mais j'espère que ce chapitre-ci soit quand même un encouragement pour nous
pour avancer et poursuivre le Seigneur Jésus
et pour mettre notre confiance en lui jusqu'à qu'il vienne. …
Transcripción automática:
…
En hébreu, chapitre 7
Car, ce même qui cédait, roi de Salène, sacricateur du Dieu très haut, qui alla au-devant d'Abraham lorsqu'il revenait de la défaite des rois,
et qui le bénit, auquel aussi Abraham donna pour part la digne de tout, premièrement étant interprété roi de justice, et puis aussi roi de Salène,
c'est-à-dire roi de paix, sans père, sans mère, sans généalogie, n'ayant ni commencement de jour, ni fin de vie, mais assimilé au Fils de Dieu, demeure sacricateur à perpétuité.
Mais considérez combien grand était celui à qui même Abraham donna une digne du butin, lui le patriarche.
Et ceux d'entre les fils de Lévi qui reçoivent la sacricateur ont bien un commencement de dimmer le peuple selon la loi, c'est-à-dire leur frère, bien qu'il soit sorti des reins d'Abraham,
mais celui qui ne tire pas généalogiquement son origine d'eux a digné Abraham et a béni celui qui avait les promesses. Or, sans contredit, le moindre est béni par celui qui est plus excellent.
Et ici, des hommes qui meurent reçoivent des dignes, mais là, celui de qui il est rendu témoignage qu'il vit, et pour ainsi dire, Lévi-même, qui reçoit des dignes, a été dimmé en Abraham, car il était encore dans les reins sans père, quand même qu'il s'est décalé au-devant de lui.
Si donc la perfection était par la sacricateur lévitique, car c'est en relation avec elle que le peuple a reçu sa loi, quels besoins était-il encore que notre sacricateur se levât selon l'ordre de Lévi-même, et qui ne fut pas nommé selon l'ordre d'Abraham ?
On va arrêter ici. Je vous propose, pour la prochaine fois, de lire le restant du chapitre 7, parce que le chapitre se divise en deux parties.
La première partie qu'on a lue ce soir nous parle de l'ordre de Melchizedek. Et le restant du chapitre, on va voir dans sept points la grandeur, la qualité de cette sacricateur.
L'ordre selon Melchizedek, ensuite la qualité supérieure de cette sacricateur.
Maintenant, j'aimerais encore montrer le lien avec ce qu'on a vu dans le passé.
Si vous voulez voir dans hébreu 5, l'auteur, sans doute Paul, a commencé déjà à parler de Melchizedek.
Dans le chapitre 6, tu es sacricateur pour l'éternité selon l'ordre de Melchizedek.
C'est une citation du psaume 110, et peut-être que vous le savez, mais ce psaume est cité le plus souvent dans le Nouveau Testament.
C'est donc un psaume très important, le psaume 110.
Et là, nous avons déjà lu de Melchizedek.
Ensuite, ce qu'on a vu au verset 10, est un salué par Dieu, souverain sacricateur.
Il parle ici, on l'a vu dans le passé, il parle ici du Seigneur Jésus, qui est maintenant salué, qui a été salué de la part de Dieu comme souverain sacricateur selon l'ordre de Melchizedek.
On va se rappeler, il parle ici de Christ glorifié, Christ qui a été reçu dans le ciel, et qui a été salué par Dieu lui-même.
Puis là, au verset 11, il dit au sujet duquel nous avons beaucoup de choses à dire.
Mais là, il s'arrête. Pourquoi ?
On a vu, c'était à cause de la condition spirituelle des auditeurs, des hébreux.
Et là, il a donc parlé encore, dans une parenthèse, de leurs responsabilités.
On a parlé de cela la dernière fois dans le chapitre 6.
Et à la fin du chapitre 6, nous avons vu que le Seigneur Jésus est dans la gloire, il est notre espérance, il est l'encre de l'âme, au verset 19, chapitre 6, verset 19, sûr et ferme.
Il est entré comme précurseur, ça veut dire donc, un précurseur, ça veut dire d'autres vont suivre.
Et ainsi, nous avons vu que le Seigneur est maintenant dans la gloire, comme précurseur, parce que nous allons suivre.
Et il est là pour l'éternité, selon l'ordre de Melchizedek.
Donc là, il revient sur son point du chapitre 5, verset 10 et 11.
Et là, il va maintenant continuer sur cette question du Melchizedek.
Pourquoi ? Pour montrer la grandeur de la personne du Seigneur Jésus.
De deux façons, comme roi et comme sacrificateur.
C'est un nouvel élément.
On a vu déjà dans le passé, le Seigneur est plus grand que les anges.
Les anges dans le système judéique avaient une grande place.
C'était beaucoup respecté.
Nous avons vu que le Seigneur Jésus est plus grand que tous les anges, aussi dans le Millenium, chapitre 2.
On a vu qu'il est plus grand que Moïse.
On a vu qu'il est plus grand qu'Aaron.
Ainsi, le Seigneur est présenté ici comme le prêtre Melchizedek.
Ce Melchizedek, roi de Salem, qu'on met dans le chapitre 7, verset 1,
sacrificateur du Dieu Très Haut.
J'ai vérifié qu'il y a 51 références au Dieu Très Haut.
C'est peut-être une bonne idée de lire ce passage dans Genèse 14.
Genèse, chapitre 14.
Pour avoir une idée de qui on parle ici.
Genèse 14.
C'est la première guerre qui est mentionnée dans la Bible.
Et pourquoi?
Parce que Lot était impliqué.
Et nous voyons dans ce chapitre que Abraham a fait des démarches pour libérer Lot.
Il a été pris comme captif.
Et Abraham, avec d'autres gens, sont allés pour le libérer.
Ensuite, nous lisons verset 16.
Genèse 14, verset 16.
Il ramena, donc il c'est Abraham.
Il ramena tout le bien.
Et ramena aussi Lot, son frère, et son bien, et aussi les femmes et le peuple.
Et comme il s'en revenait, après avoir frappé Kédor-la-Homère, le roi qui était avec lui.
Le roi de Sodome sortit à sa rencontre dans la vallée de Chavé, qui est la vallée du roi.
Donc il allait rencontrer le roi de Sodome, qui voulait lui offrir quelque chose.
Mais avant qu'il rencontre le roi de Sodome, Dieu a envoyé un autre roi.
Verset 18.
Roi de Salem.
Et on lit là, il fit apporter du pain et du vin.
Or, il était sacrificateur du Dieu très haut, et il le bénit.
Donc ça veut dire, Mekhisédek a béni Abraham.
Il dit, béni soit Abraham de par le Dieu très haut, possesseur des cieux et de la terre.
Verset 20.
Et béni soit le Dieu très haut, qui a livré tes ennemis entre tes mains.
Et Abraham lui donna la digne de tout.
Ensuite, il rencontre le roi de Sodome. Verset 21.
Le roi de Sodome dit à Abraham, donne-moi les personnes et prends les biens pour toi.
Et Abraham dit au roi de Sodome, j'ai levé ma main vers l'éternel, le Dieu très haut, possesseur des cieux et de la terre.
Vous voyez, Dieu avait préparé Abraham pour rencontrer le roi de Sodome.
Pour donner une bonne réponse, une bonne confession, qu'il ne voulait pas être enrichi par le roi de Sodome.
Il ne peut rien recevoir de lui. Pourquoi pas?
Parce qu'il avait rencontré le roi sacrificateur qui représentait le Dieu très haut.
Le Dieu très haut, c'est le nom de Dieu pour le millennium.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Dans le monde à venir, et l'hébreu nous parle beaucoup de ce monde à venir.
Le Seigneur va régner et toute la terre sera sous son autorité.
Et ainsi, le Seigneur Jésus sera le vrai roi de paix.
Le mec qui s'édeque veut dire roi de justice.
Salem veut dire paix.
Jérusalem veut dire ville de la paix.
Et ainsi, le Seigneur Jésus va régner comme le vrai mec qui s'édeque dans le millenium.
Donc ici on a une belle image.
Dans les jours à venir, après l'enlèvement de l'église, les juifs seront dans une position difficile, comme Abraham ici.
Mais Dieu va intervenir et ainsi ils seront bénis et introduits dans le règne du Dieu très haut.
Le Dieu très haut, comme on voit dans l'Option 91, et aussi le Dieu tout-puissant.
Dieu, le Dieu tout-puissant, s'est montré à Abraham.
On voit cela dans Genèse 17 par exemple.
Dans chapitre 17, nous voyons comment un homme qui ne pouvait plus avoir des enfants, a quand même eu un enfant plus tard.
Par sa femme qui ne pouvait pas avoir des enfants de toute façon parce qu'elle était stérile et trop âgée.
Vous voyez, c'est le Dieu tout-puissant qui est intervenu.
Et ainsi, c'est le Dieu tout-puissant qui va aussi aider le reste fidèle dans les jours à venir, dans la grande tribulation,
pour ensuite les introduire dans ce royaume merveilleux, ce millenium, ce règne de paix, de justice et de paix.
Ce sera le Dieu tout-puissant qui va faire cela.
Maintenant, ceci est donc l'aspect prophétique.
Ces choses, comme on voit ici dans Genèse 14, sont comme une illustration de la prophétie, des événements prophétiques.
Mais dans Hébreu 7, l'auteur prend ces choses pour maintenant parler du Seigneur Jésus, de ce qu'il est pour nous aujourd'hui.
Donc il prend les mêmes éléments, par exemple le pain et le vin.
On pourrait parler de cela, comment il apporte le pain et le vin pour soutenir son peuple.
Aujourd'hui, le Seigneur Jésus, comme le vrai roi sacrificateur, il apporte du pain et du vin pour soutenir son peuple.
Il bénit son peuple.
Et c'est beau de voir qu'en tant que sacrificateur, il est entre Abraham et Dieu.
De la part de Dieu, il a béni Abraham.
Mais de la part d'Abraham, il a aussi parlé à Dieu, pour parler en bien à Dieu.
Béni soit Dieu très haut, au verset 20.
C'est donc de la part d'Abraham.
C'est vraiment très beau de voir ces éléments.
Ce mot « salem », pour revenir maintenant à Hébreu 7, verset 1, se trouve quatre fois dans la Bible.
Ici, une fois dans Genèse 14.
Une fois dans le tome 76.
Et deux fois dans Hébreu 7.
Et maintenant, j'aimerais souligner un point.
Melchizedek, son nom est interprété au verset 2.
Lequel aussi Abraham donna pour part la digne du tout.
Premièrement étant interprété roi de justice.
Ça prend d'abord un fondement de justice.
Dieu a établi la justice par l'heure du Seigneur Jésus.
En d'autres mots, le Seigneur Jésus a répondu à toutes les exigences de la justice de Dieu.
Dieu a trouvé une pleine satisfaction dans l'heure du Seigneur Jésus.
Et ainsi, la justice pouvait être établie.
S'il y a la justice, là, il peut y avoir aussi la paix.
C'est la deuxième pensée.
Puis aussi, roi de Salem, c'est-à-dire roi de paix.
Ce sera le cas dans le monde à venir.
Vous voyez, il y aura donc cette justice qui va être établie sur la terre.
Un roi règnera en justice.
Ils y seront deux.
Et ainsi, il y aura de la paix.
On ne peut pas avoir la paix sans la justice.
Aujourd'hui, les gens veulent la paix.
Mais sans la justice de Dieu, ça ne marcherait jamais.
D'abord la justice, ensuite la paix.
Maintenant, qu'est-ce que ça veut dire pour nous?
Nous appartenons au royaume de Dieu.
Présentement, Romain XIV, verset 17, nous dit,
le royaume de Dieu n'est pas manger et boire,
mais justice et paix et joie dans le Saint-Esprit.
Et ainsi, nous voyons les mêmes éléments aujourd'hui déjà.
Nous avons dit, le monde à venir, là, ces éléments de justice et de paix
seront établis officiellement, publiquement,
mais dans la grâce de Dieu.
Dans la grâce de Dieu, nous appartenons déjà au royaume de Dieu.
Et ainsi, cette justice est là pour nous.
Nous avons été classés sur cette base la justice
et ainsi, nous pourrons jouir de la paix.
L'épître aux Romains explique cela en détail.
Et dans ce royaume, nous sommes des disciples du Seigneur Jésus
et dans le monde à venir, nous allons régner avec le Seigneur Jésus.
Une autre chose que j'aimerais souligner, c'est
les deux éléments, roi et sacrificateur, sont ensemble ici dans Melchizedek.
Dans la loi de Moïse, nous voyons clairement
qu'aucune personne ne pouvait être roi et en même temps sacrificateur.
C'était absolument interdit.
Ici, par contre, nous avons cette pensée.
Parce que c'était vraiment la pensée de Dieu qu'il y ait un roi
qui soit en même temps sacrificateur.
Maintenant, dans le monde à venir, ce sera le cas.
Je vais juste lire un verset dans Zacharie.
Zacharie.
C'est l'avant-dernier prophète dans l'Ancien Testament.
Zacharie, chapitre 6.
Dans Zacharie, chapitre 6,
Zacharie a vu ses visions qui nous parlent de ce que Dieu va faire dans les jours à venir.
Et aussi dans ce millenium, ce règne de paix, il y aura un homme, verset 12.
Voici un homme.
On lit maintenant Zacharie 6, verset 12.
Ainsi parle l'Éternel de Jérémie en disant, voici, il demande l'attention,
voici un homme dont le nom est Germes.
Il germera de son propre Dieu.
Il bâtira le temple de l'Éternel.
Lui, il bâtira le temple de l'Éternel.
Il portera la gloire et il s'assiera et il dominera sur son trône.
Et il sera, notons bien maintenant, il sera sacrificateur sur son trône.
Donc, il dominera sur son trône, c'est le roi.
Deuxièmement, il sera sacrificateur sur son trône.
Et troisièmement, le conseil de paix sera entre eux deux.
C'est peut-être aussi le service de prophète qu'on voit que le Seigneur a.
Mais en tout cas, on voit ces deux éléments ensemble ici, le roi et le sacrificateur.
Ce sera le cas dans le Millenium.
Maintenant, on va revenir à Hebreux 7.
Si le Seigneur Jésus est déjà maintenant le vrai Melchizedek.
On a vu cela dans Hebreux 5.
Dieu l'a salué selon l'ordre de Melchizedek.
S'ouvrir un sacrificateur selon l'ordre de Melchizedek.
Ça veut dire qu'il est sacrificateur maintenant dans la gloire.
Il est roi selon les pensées de Dieu.
Qu'est-ce que ça veut dire pour nous aujourd'hui?
Que Dieu veut nous bénir déjà maintenant.
Dieu ne veut pas attendre jusqu'à ce que le Millenium commence.
Dieu veut nous introduire déjà spirituellement dans ce bonheur qu'on voit ici.
Sous l'autorité du Seigneur Jésus comme étant ce vrai roi sacrificateur.
Nous sommes très, très bénis.
Que avant que Dieu établisse cela publiquement sur la terre.
Nous avons déjà ce bonheur dans nos cœurs par le Saint-Esprit.
Et ce n'est pas seulement un avant-goût.
Nous avons la meilleure part.
Une part qui est meilleure comparée avec ceux qui vont jouir de cela dans le temps où le Millenium sera établi.
Ce nom très haut est le nom de Dieu pour le Millenium.
Et c'est le Dieu tout-puissant qui va accomplir toutes les promesses qu'il a données à Abraham.
Dieu est garant pour l'accomplissement de cela.
Mais nous pouvons connaître déjà le Seigneur Jésus comme le prêtre méfiais d'être aujourd'hui.
Maintenant on va voir trois choses qui nous montrent comment le Seigneur Jésus comme le prêtre méfiais d'être est plus grand qu'Aaron.
Donc dans le contexte, on se rappelle, l'Hivre nous montre la grandeur du Seigneur Jésus.
Plus tard, on va voir son sacrifice est plus grand que tous les sacrifices de l'un d'entre nous.
On verra cela dans l'Hivre 9 et 10.
Plus tard, on va voir qu'il est notre grand conducteur.
Mais ici, l'Empereur est encore sur sa personne qui est plus grande que toutes les personnes que Dieu a utilisées dans l'Ancien Testament.
Donc verset 3 nous montre que dans Genèse 14, il n'est pas mentionné que Melchizedek avait un père ou une mère.
Il était sans généalogie.
Cela ne veut pas dire que, littéralement, il n'avait pas de père ou de mère.
Mais cela a été donné comme cela, déjà inspiré par l'Esprit de Dieu, lorsque Moïse a écrit Genèse, pour, comme il dit ici au verset 3, pour être assimilé au Fils de Dieu.
Il est donc une image, un type du Seigneur Jésus, une illustration de ce qu'on trouve dans le Seigneur Jésus.
Et là, il demande notre attention, au verset 4, considérer combien grand était celui à qui même Abraham donna une dîme du butin.
On a vu déjà au verset 2 qu'il donnait la dîme de tout, verset 2, au milieu.
Ici, au verset 4, Abraham donna une dîme du butin.
Le mot butin, ici, veut dire la meilleure part du butin, dans l'original.
Donc, Abraham donna une dîme et c'était de la meilleure partie du butin.
Notons bien qu'Abraham a donné donc une dîme, ça veut dire une dixième, à Melchizedek.
Et ainsi, nous voyons que Melchizedek était plus grand qu'Abraham.
Et ça, c'est le premier point.
Melchizedek était plus grand qu'Abraham.
Premier point.
Par le fait qu'Abraham a donné une dîme du butin.
Un peu plus loin, il développe cet argument, au verset 9 et 10, pour ainsi dire, Lévis même, qui reçoit des dîmes.
Et selon la loi, Lévis, ou les Lévites, reçoivent des dîmes.
Selon la loi, pour la sacrificature, selon l'ordre d'Aaron, ils reçoivent des dîmes.
Mais en Abraham, ici, dans Genèse 14, en Abraham, lorsqu'il était encore dans les reins de son père, Lévis, ou les Lévites, a donné des dîmes.
Vous voyez l'argument ?
C'est pour montrer que Abraham, mais aussi ses descendants, comme Lévis, sont placés inférieurs, comparés avec Melchizedek.
C'est là l'argument.
Aussi Abraham, mais aussi les Lévites.
Toute la sacrificature lévitique est donc d'un ordre inférieur, comparé avec Melchizedek.
Ça, c'est le premier argument, vu par le fait qu'il donne des dîmes, pas Melchizedek.
Le deuxième argument, c'est au verset 6.
Ce n'est pas seulement que Melchizedek a dîmé Abraham, mais il l'a béni aussi.
Ça, c'est le deuxième argument.
Donc, j'aimerais revenir, mais je vais mentionner les trois arguments en ligne.
Le fait que Melchizedek a béni Abraham est une preuve que Melchizedek était plus grand qu'Abraham.
Vous voyez ?
Ça, c'est l'argument au verset 7.
Sans contredit, le moindre est béni par celui qui est le plus excellent.
Le troisième élément, c'est au verset 8.
Les Lévites reçoivent des dîmes selon la loi, mais ils meurent.
Verset 8.
Ici, des hommes qui meurent reçoivent des dîmes.
Il parle donc ici des Lévites qui, selon la loi, dans le contexte de la sacrificature, selon l'ordre d'Aaron, reçoivent des dîmes.
Mais à la fin du verset 8, mais là, celui de qui il est rendu témoignage qu'il vit.
Donc, qu'est-ce que ça veut dire ?
Que les hommes, selon l'ordre d'Aaron, ils meurent, mais le Seigneur Jésus, selon l'ordre de Melchizedek, roi et sacrificateur, il vit.
Ici, ce n'est pas comme fils de Dieu.
Il vit comme Dieu, évidemment.
Dieu ne peut pas mourir.
Mais ici, il est vu aussi comme homme dans cette capacité de sacrificateur selon l'ordre de Melchizedek.
Il vit.
C'est la vie de la résurrection qu'on voit ici.
Le Seigneur Jésus vit.
C'est la vie de la résurrection.
Ça nous montre la puissance de cette sacrificature.
Au-dessus de la puissance de la mort.
Donc, ces trois éléments nous montrent quoi ?
Que l'ordre de Melchizedek est supérieur comparé avec l'ordre d'Aaron.
Et la prochaine fois, comme j'ai dit, on va voir que la qualité du service, la qualité de la sacrificature de Melchizedek est plus élevée que la qualité de la sacrificature selon l'ordre d'Aaron.
Maintenant, peut-être on peut parler de quelques détails encore.
On a parlé déjà dans le verset 2 de cet ordre.
D'abord la justice, ensuite la paix.
On a aussi parlé du fait que le Seigneur Jésus est roi et sacrificateur dans une même personne.
Ça c'est aussi exceptionnel.
C'était inconnu dans la loi et même interdit par la loi.
Mais maintenant j'aimerais souligner le verset 4.
Considérer combien grand était celui à qui même Abraham donna une ligne du butin.
Ici nous voyons que Melchizedek typifie le Seigneur Jésus.
On a vu cela au verset 3 déjà.
Donc Melchizedek, la grandeur de Melchizedek est expliquée ici pour montrer quoi ?
Pour montrer la grandeur du Seigneur Jésus.
Plus on voit la grandeur de Melchizedek, mieux on comprend la grandeur du Seigneur Jésus.
Comme fils sacrificateur maintenant.
Lorsque l'ange a parlé à Marie dans Luc 1, verset 32, il a dit, il sera grand.
Il sera grand.
Et si on veut donner un titre à ce livre, l'Épître aux Hébreux,
on peut dire que c'est une porte ouverte dans le ciel.
Mais c'est aussi pour montrer la grandeur du Seigneur Jésus.
La grandeur, et comme nous avons chanté notre cantique,
la parole nous montre la personne du Seigneur Jésus pour attacher nos cœurs davantage à sa personne.
Sa grandeur est montrée de plusieurs façons.
Juste pour donner un exemple.
On a vu dans le chapitre 4 qu'il est un souverain sacrificateur.
Non.
4, verset 14 dit, ayant donc un grand souverain sacrificateur.
Et ainsi cette pensée de sa grandeur revient.
Aussi plus tard, on verra dans le chapitre 10, la grandeur du Seigneur Jésus
comme grand sacrificateur, souverain sacrificateur, pour nous introduire dans la présence de Dieu.
Dans le chapitre 4, nous avons vu, c'est pour nous soutenir dans notre marche à travers le désert.
Et plus tard, on verra, c'est aussi comme conducteur pour nous introduire dans la présence de Dieu.
Sa grandeur, notons bien maintenant l'argument.
Il est plus grand qu'Abraham, on a vu cela.
Mais si on réalise qu'Abraham, son grand père, son petit enfant, Jacob, plus tard,
on lit dans Genèse 47, que Jacob a béni le pharaon.
Donc imaginez-vous, le pharaon de l'Egypte, un grand roi, a été béni par le patriarche Jacob.
Et au verset 7, on a lu, sans contredit, le moindre est béni par celui qui est plus excellent.
Donc qu'est-ce que cela veut dire?
Selon les standards de Dieu, Jacob était plus excellent que le pharaon, le roi d'Egypte.
Et dans ce contexte-là, Abraham, qui était le grand-père de Jacob,
était inférieur comparé avec Melchisére.
Donc combien grand Melchisére doit être?
Vous voyez l'argument?
Tellement grand!
C'est donc pour souligner la grandeur de Melchisére comme image du Seigneur Jésus.
Donc cela nous aide à comprendre la grandeur du Seigneur Jésus.
Pas seulement plus grand qu'Abraham ou que Jacob,
qui était déjà plus grand que le pharaon selon les pensées vieilles,
mais encore plus grand que toute autre personne.
L'autre point que j'aimerais souligner maintenant,
donc on a répété, la grandeur de Melchisére se montre par le fait qu'il a reçu des dînes d'Abraham.
Deuxièmement, qu'il a béni Abraham.
Maintenant on veut parler de cela.
Il a béni Abraham.
On l'a déjà vu dans Genèse 14.
Comme sacrificateur, il était aussi intermédiaire.
Il était entre Dieu et Abraham.
Donc ce deuxième aspect,
comme sacrificateur, Melchisére a béni Dieu.
Cela veut dire qu'il a adoré Dieu,
a parlé en bien de Dieu, de la part d'Abraham.
Cet élément n'est pas développé ici dans ce contexte-là.
Ce qui est développé ici, c'est le fait qu'il a béni Abraham de la part de Dieu.
Et là, l'argument est, sans contredit,
le moindre est béni par celui qui est plus excellent.
Donc ce principe, qu'Abraham a été béni par Melchisére,
montre que Melchisére était plus grand selon les pensées de Dieu
que selon les pensées de Dieu qu'Abraham.
Vous voyez ?
Maintenant, le mot « excellent », « plus excellent ».
Dans l'original, ce mot revient douze fois.
Douze fois.
C'est plus ce que dit l'Oise.
Douze fois dans cet épitaphe.
Plus excellent ou meilleur.
On voit ici la suprématie,
ou la supériorité du Seigneur Jésus.
Comme le vrai Melchisére, il est plus excellent, même qu'Abraham.
Ou même qu'Aaron, ou le sacrificateur lévitique.
Plus excellent.
On a vu dans le chapitre 1, verset 4, un nom plus excellent que les anges.
On a vu au chapitre 6, la dernière fois, au verset 9,
mais nous sommes persuadés en ce qui vous concerne, bien-aimés,
de choses meilleures et qui tiennent au salut,
quoi que nous parlions ainsi.
Vous voyez ?
Des choses meilleures.
C'est le même mot ici, plus excellent.
Et le chapitre 7, verset 19,
parle d'une meilleure espérance.
Par laquelle nous approchons de Dieu.
Au verset 22,
une meilleure alliance.
C'est la nouvelle alliance, on va revenir à ça plus tard.
C'est une meilleure alliance.
C'est aussi appelé une alliance éternelle, dans le chapitre 13,
mais ici une meilleure alliance.
Et ainsi, au chapitre 8, verset 6,
maintenant Christ a obtenu un ministère d'autant plus excellent.
Vous voyez ?
Plus excellent que le ministère de Moïse.
Au chapitre 8, verset 6,
maintenant Christ a obtenu un ministère d'autant plus excellent
qu'il est médiateur d'une meilleure alliance.
Et ainsi, ça continue encore plusieurs fois,
chapitre 9, chapitre 10, chapitre 11,
plusieurs fois, nous parle de ces choses qui sont plus excellentes,
tout ce qui est en rapport avec le Seigneur Jésus.
Et ainsi, même les croyants de l'Ancien Testament,
même les croyants comme Abraham,
dans le chapitre 11, à la fin,
juste pour donner un autre exemple, verset 40,
verset 39 déjà,
« Tous ceux ayant reçu témoignage par la foi n'ont pas reçu ce qui avait été promis,
Dieu ayant eu en vue quelque chose de meilleur pour nous,
afin qu'il ne parvienne pas à la perfection sans nous. »
Quelque chose de meilleur, Dieu avait en vue pour nous.
Meilleur que Abraham et Isaac même ont connu.
Donc, ce mot plus excellent, pour revenir maintenant au chapitre 7, verset 7,
« Sans contredit le moindre est béni par celui qui est plus excellent. »
C'est vraiment un mot clé pour cette épître.
Maintenant, j'aimerais faire une application,
une leçon pratique.
S'il est vrai que nous sommes tellement bénis,
Dieu nous a bénis,
comme Abraham était béni de la part de Dieu,
par ceux qui s'aidaient,
Dieu nous a maintenant bénis par le Saint Jésus.
Quelle est notre réponse?
C'est ça la question.
Et ça m'a frappé beaucoup de voir cette pensée-là.
Ici, nous voyons ce qui est moindre est béni par celui qui est plus excellent.
Et la parole est très exacte.
Vous connaissez l'histoire, j'ai mentionné tantôt,
que le Pharaon a été béni par Jacob,
et qu'ainsi Jacob était plus grand que le Pharaon, selon les pensées de Dieu.
Mais vous connaissez l'histoire de Siméon.
Siméon qui entrait dans le temple lorsque Marie et Joseph
entraient dans le temple avec le bébé, le Saint Jésus, comme bébé.
Et nous lisons dans Luc 2 que Siméon les bénit.
La parole ne dit pas que Siméon a béni le bébé.
Pourquoi pas?
Parce que le bébé, le Seigneur Jésus, était plus grand que Siméon.
Siméon ne pouvait pas bénir le Seigneur Jésus.
Dans ce sens-là, il a béni les parents, dans Luc 2, verset 34.
Maintenant, le point que j'aimerais amener,
si nous avons reçu ces bénédictions merveilleuses de la part de Dieu,
nous pouvons donner une réponse.
Ils sont attrapés de voir dans Luc 24.
Dans Luc 24, lorsque l'œuvre était accomplie par le Seigneur Jésus,
lorsqu'il récitait le premier jour de la semaine,
comme aujourd'hui c'est le premier jour de la semaine,
nous lisons dans Luc 24, verset 50.
Luc 24, verset 50.
« Il les mena d'or jusqu'à Bétanie, et levant ses mains en haut, il les bénit. »
Vous voyez, là nous voyons ce Melchisédech.
Le Seigneur Jésus a béni les disciples, à ce moment-là.
Donc on a vu, il va bénir le peuple d'Israël dans le Millennium,
il va bénir les nations, mais nous avons déjà maintenant cette bénédiction.
Il nous a bénis déjà maintenant, comme resté, comme exalté,
parce que le ministère de Paul va encore plus loin.
À ce moment-là, nous voyons le Seigneur Jésus comme ressuscité.
Et verset 51.
« Il arriva quand les bénissants y furent séparés. »
C'est vraiment un verset qui nous aide à comprendre.
Ici nous voyons le Seigneur comme le grand sacricateur.
On verra la prochaine fois, Dieu voulant, que de la tribu de Judas,
qui n'avait pas de sacricateur, mais ici nous voyons le Seigneur Jésus,
de la tribu de Judas, comme sacricateur, qui a béni les disciples.
Pourquoi ? Ici il est sacricateur selon l'ordre de Melchisédech.
C'est ça qu'on voit ici.
« En les bénissant, ils furent séparés. »
Et ainsi, le Seigneur, de la gloire, il nous bénit aujourd'hui.
Il est élevé dans le ciel, et il nous bénit comme ce grand sacricateur, Melchisédech.
Mais maintenant, encore un point.
Qu'est-ce qu'on voit au verset 53 ?
« Ils retournèrent avec une grande joie. »
Verset 53.
« Ils étaient continuellement dans le temple, louant et bénissant Dieu. »
Qu'est-ce qu'on voit ici ?
« Ils donnent une réponse. »
« Ils bénissent Dieu. »
Et ça c'est l'autre élément que j'ai mentionné.
Ce n'est pas développé dans Hébreux 7.
Mais on a vu que dans Genèse 14, Abraham a béni Dieu par l'intermédiaire de Melchisédech.
Et aujourd'hui, nous avons cette place de pouvoir louer et bénir Dieu,
mais c'est par le Seigneur Jésus qui est notre grand Melchisédech.
Maintenant, je souligne encore ce point au verset 8.
L'ordre de Melchisédech est plus élevé que l'ordre de Lévi.
Pourquoi ?
Il reçoit des dîmes, pas seulement selon la loi, mais des dîmes même d'Abraham.
Il est donc plus grand qu'Abraham, on a vu cela.
Il a béni Abraham, et maintenant vers sa vie, celui de qui il est rendu témoignage qu'il vit.
Là, comme j'ai mentionné déjà, nous voyons le Seigneur comme ressuscité,
comme dans Luc 24 aussi, tantôt.
Et c'est encore pour souligner l'ordre de Melchisédech est plus élevé que l'ordre d'Aaron.
Parce que selon l'ordre d'Aaron, tous ses Lévis sont morts.
Verset 10.
Non, verset 11.
C'est là où j'aimerais arriver maintenant, c'est la conclusion.
Si donc la perfection était par la sacricature lévitique,
quel besoin était-il encore que notre sacricateur se leva selon l'ordre de Melchisédech ?
C'est clair.
Si la perfection était atteinte par la sacricateur lévitique, on n'aurait plus besoin de notre ordre.
Mais ça c'est exactement l'argument ici.
L'ordre de Melchisédech est plus excellent que l'ordre d'Aaron.
Et maintenant pour revenir à la parenthèse.
Qu'est-ce que la parenthèse dit ?
Car c'est en relation avec elle que le peuple a reçu sa loi.
Et plus tard on verra que la loi n'amène rien à la perfection.
La loi ne peut pas amener à la perfection.
On verra cela plus tard.
Plusieurs fois ça va revenir.
La loi ne peut pas amener à la perfection.
Donc ici Dieu introduit un nouvel ordre de choses qui amène à la perfection.
C'est ça l'argument.
Le mot perfection veut dire aussi accomplissement.
C'est pour souligner qu'avec l'ordre du Seigneur Jésus, les choses sont complètes, parfaites, selon les standards de Dieu.
C'est très beau de voir dans la vie du Seigneur Jésus.
Dans Jean IV par exemple, il a dit, ma viande, ma nourriture, c'est que je fais la volonté de Dieu, que je l'accomplisse.
C'était sa nourriture.
Pour accomplir la volonté de Dieu.
C'est cette perfection qu'on voit ici.
Un autre détail, dans Jean XVII, il en a parlé, qu'il avait complété l'heure que le Père lui avait donnée.
Le Seigneur a complété l'heure.
Ça me frappe souvent.
Si nous pensons à nous-mêmes, on commence quelque chose, mais est-ce qu'on va aller jusqu'à la perfection dans ce sens-là?
L'accomplissement de ce qu'on a commencé.
Avec le Seigneur, nous voyons cet accomplissement, cette qualité selon laquelle il a complété les choses.
Et ça c'est la pensée ici au verset 11.
Si donc la perfection était par la sacrificature lévitique.
La sacrificature lévitique ne pouvait pas amener l'accomplissement des choses, ou la perfection, ou compléter les choses.
C'était impossible.
A cause de cet ordre inférieur, les gens mourraient.
Et on verra 7 points la prochaine fois, selon lesquels cet ordre était inférieur en qualité, comparé avec l'ordre de Melchizedek.
Ce mot, perfection, maintenant, dans Jean XIX.
Le Seigneur répète souvent qu'il voulait accomplir ce que la Parole avait dit.
Je donne juste un exemple dans Jean XIX, verset 28.
C'est beau de voir comme juste un exemple de ce principe.
La perfection ou l'accomplissement pour amener les choses à la perfection.
C'est par le Seigneur Jésus.
Ce n'est pas par la sacrificature lévitique.
Et dans Jean XIX, verset 28.
Donc ici, il est au moment où presque tout était accompli.
Mais il manquait encore quelque chose.
Et c'est pour cela qu'il a dit, j'ai soif, pour accomplir l'écriture.
Ensuite, qu'est-ce qu'on voit au verset 30?
Quand donc Jésus eut pris le vinaigre, il dit, c'est accompli.
Et ce verbe accomplir, comme verset 28, mais aussi verset 30 maintenant.
C'est accompli, nous montre clairement que l'oeuvre a été complètement accomplie.
Rien ne pouvait être ajouté, l'oeuvre était complète.
Ayant baissé la tête, il remit son esprit.
L'oeuvre était complète.
Là, le Seigneur pouvait baisser sa tête.
Avant, jamais.
Il ne pouvait jamais baisser sa tête pour reposer sa tête.
L'oeuvre n'était jamais accomplie avant.
Et maintenant, c'est accompli.
Il a trouvé ce repos, il a baissé sa tête, il remit son esprit.
C'était une preuve de cette perfection.
Cette perfection, maintenant pour revenir à Hebreu 7, verset 11.
Cette perfection a été amenée par le Seigneur Jésus.
Accomplie.
Ce n'est pas selon l'ordre de Lévi, ou la sacrifice de Lévi,
mais selon cet ordre de Melchisédech.
Et ainsi, l'argument, c'est que si le Seigneur Jésus est sacrificateur selon l'ordre de Melchisédech,
il n'y aura jamais un autre pour remplacer.
Cet ordre ne se remplace pas.
Vous voyez, il a amené la perfection.
Tout est maintenant parfait.
Et ainsi, cet ordre ne sera jamais remplacé par quelque chose d'autre.
C'est donc pour encore souligner la grandeur de notre Seigneur Jésus.
Et c'est cette contraste, on verra la prochaine fois, dis-vous-le.
Encore un détail, à la fin du verset 11.
Quel besoin était-il encore que notre sacrificateur se leva, selon l'ordre de Melchisédech?
Se lever, ici, on a vu dans Jacary Tanto que le germe s'est surgit.
Et ce mot, se lever, implique cette pensée-là.
J'aimerais donner deux exemples.
Dans Luc 1, dans Luc, l'évangile de Luc.
Premier chapitre.
Luc 1, verset 78.
Luc 1, verset 78, où Jacary parle de la connaissance du salut qu'il a donné à son peuple dans la rémission de péché.
Dans la rémission de péché.
Par les entrailles de miséricorde de notre Dieu, selon lesquelles l'Orient d'en haut nous a visités.
Et dans la note, l'Orient veut dire levé ou levin.
Et ainsi, dans les sept âges, il rendait ainsi le germe.
Le mot germe, qu'on a vu aussi dans Jacary 6, ça va ensemble avec ce mot se lever.
Et l'Orient d'en haut.
Donc quelque chose de nouveau s'est levé et c'est par rapport à ce nouvel ordre de choses par le Seigneur Jésus comme ce vrai même qui s'est élevé.
Et dans Acte 3, verset 26.
Acte 3, verset 26, Pierre parle aux Juifs, là, après la résurrection du Seigneur Jésus et après son ascension.
A vous premièrement, Dieu, ayant suscité son serviteur, l'a envoyé pour vous bénir en détournant chacun de vous de vos méchanceries.
Quel grâce de la part de Dieu.
Mais c'était par le fait que Dieu a suscité son serviteur.
Dans l'original, ce mot suscité est se lever dans l'ensemble.
Le germe se lève, mais est aussi suscité par Dieu.
Chapitre 13 pour finir, Acte 13, verset 33.
Disons aussi verset 32, Acte 13, verset 32, et nous vous annonçons, c'est Paul qui parle ici, nous vous annonçons la bonne nouvelle.
Et cette bonne nouvelle est encore annoncée aujourd'hui, n'est-ce pas?
Nous vous annonçons la bonne nouvelle quant à la promesse qui a été faite au Père, que Dieu l'a accomplie envers nous, leurs enfants, ayant suscité Jésus.
Comme aussi il est écrit dans le psaume 2, Dieu mon Fils, moi je t'ai aujourd'hui engendré.
Et dans le contexte, ça veut dire, ce n'est pas seulement l'incarnation, ça implique aussi la résurrection du Seigneur Jésus,
et la place exaltée que Dieu lui a donnée, qu'on a vu, Dieu a suscité Jésus.
C'est ça, le mot se lever, comme on a vu dans Hébreu 7, verset 11.
Il n'y a pas besoin d'un autre sacrificateur qui se lève, qui sera suscité avec la suscitation du Seigneur Jésus,
avec le fait que le Seigneur s'est levé, et maintenant s'est levé même dans la gloire,
il n'y aura jamais besoin d'un autre sacrificateur selon le nom qu'il s'est nommé.
Il est ce sacrificateur, et avec lui tout est parfait, tout est correct, tout est réglé.
Tout est accompli comme nous l'avons vu, la perfection a été introduite par lui,
et ainsi tout est réglé à pleine satisfaction du coeur de Dieu.
Mais nous avons vu, dans Luc 24, maintenant c'est à nous de donner une réponse.
Est-ce qu'on répond à ça, est-ce que nos coeurs se réjouissent dans le Seigneur Jésus,
qui est ressuscité, qui a pris la place, notre place sous le jugement de Dieu.
Est-ce qu'on se réjouit, est-ce qu'on va le servir aussi avec enthousiasme,
comme ces premiers chrétiens l'ont fait.
Ça c'est maintenant le défi pour nous aujourd'hui.
Plus on est impressionné par la grandeur du Seigneur Jésus,
mieux on va être capable de servir Dieu par l'aide qu'il nous donne.
Est-ce qu'il y a encore des questions ou des choses qui doivent être planifiées ?
Une question plus simple, souvent on utilise la bénédiction.
Le mot bénir veut dire quoi ?
Le mot bénir veut dire littéralement parler en bien.
Donc bénir veut dire parler en bien de Dieu.
Souvent on utilise des termes qui ne parlent pas d'habitude.
C'est bon de réussir.
Peut-être l'exemple qui est très clair, c'est dans 1 Corinthians 10.
Ça nous aide aussi à comprendre les deux côtés.
1 Corinthians 10, verset 16.
La coupe de bénédiction que nous bénissons, n'est-elle pas la communion du sang du Christ ?
Maintenant le point.
La coupe de bénédiction, ça nous parle de bénédiction de la part de Dieu.
Dieu nous bénit.
Mais de notre part, et ça c'est l'élément que j'ai dit tantôt,
ce n'est pas développé dans les recettes,
mais de notre part, nous pouvons bénir Dieu.
Nous pouvons bénir aussi cette coupe.
La coupe de bénédiction que nous bénissons.
Nous parlons en bien de cette coupe devant Dieu.
C'est ça la pensée.
Donc si je peux vous laisser avec un peu de devoir,
chercher tous les versets qui nous parlent de l'excellence du Seigneur Jésus, de sa suprématie,
ce serait un bon devoir.
Toutes les passages qui nous parlent de son excellence et de sa supériorité. …
Transcripción automática:
…
On avait parlé du verset 11 déjà, mais on va commencer la lecture au verset 11.
Hébreu 7, depuis le verset 11 jusqu'à la fin du chapitre.
Si donc la perfection était par la sacrificature lévitique, car c'est en relation avec elle que le peuple a reçu sa loi,
quel besoin était-il encore qu'un autre sacricateur se leva selon l'ordre de Melchiséle et qui ne fut pas nommé selon l'ordre d'avant ?
Car la sacricature étant changée, il n'y a aussi pas nécessité un changement de loi.
Car celui à l'égard duquel ces choses sont dites appartient à une autre tribu dont personne n'a été attaché à l'autel.
Car il est évident que Notre Seigneur a surgi de Judas, tribu à l'égard de laquelle Moïse n'a rien dit concernant les sacricateurs.
Et cela est encore bien plus évident si, à la ressemblance de Melchiséle, un autre sacricateur se lève,
qui n'a pas été établi selon la loi d'un commandement charnel, mais selon la puissance d'une vie impérissable.
Car ce témoignage lui est rendu tué sacricateur pour l'éternité, selon l'ordre de Melchiséle.
Car il y a abrogation du commandement qui a précédé à cause de sa faiblesse et de son inutilité.
Car la loi n'a rien amené à la perfection et introduction d'une meilleure espérance par laquelle nous approchons de Dieu.
Et en tant que cela n'a pas eu lieu sans serment, car ceux-là sont devenus sacricateurs sans serment,
mais celui-ci l'est devenu avec serment par celui qui a dit de lui le Seigneur a juré et ne se repentira pas,
tu es sacricateur pour l'éternité selon l'ordre de Melchiséle.
C'est d'une alliance d'autant meilleure que Jésus a été fait le garant.
Et ceux-là étaient plusieurs sacricateurs parce que la mort les empêchait de demeurer,
mais celui-ci parce qu'il demeure éternellement à la sacrificature qui ne se transmet pas.
De là vient aussi qu'il peut sauver entièrement ceux qui s'approchent de Dieu par lui,
étant toujours vivant pour intercéder pour eux.
Car un tel souverain sacricateur nous convenait,
saint, innocent, sans souillure, séparé des pécheurs et élevé plus haut que les cieux,
qui n'est pas journellement dans la nécessité comme les souverains sacricateurs d'offrir des sacrifices,
d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, car cela il l'a fait une fois pour tous,
c'est un offert lui-même.
Car la loi établit pour souverain sacricateur des hommes qui sont dans l'infirmité,
mais la parole du serment, qui est après la loi, établit un fils qui est consommé pour l'éternité.
Il suffit d'arrêter la parole.
Nous avons vu dans l'Épique aux Hébreux que l'auteur nous présente une personne beaucoup plus grande
que n'importe quel personnage de l'Ancien Testament, même plus grande qu'Abraham, même plus grande que Moïse.
Et nous avons vu la dernière fois, au chapitre 7, le début, qu'il est selon un nouvel ordre,
il est roi sacricateur.
On a vu, selon la loi de Moïse, un sacricateur ne pouvait pas être roi et un roi ne pouvait pas être sacricateur.
Il y a même là une exception, pas officielle mais inofficielle,
Salomon, lorsqu'il a inauguré le Temple, le roi d'Irèle, a quand même fonctionné comme un sacricateur
et ainsi il a été une image vraiment du Seigneur Jésus comme on le trouve ici, comme roi sacricateur.
Et on a vu donc la dernière fois que dans le Melchizedek, nous avons une image de l'Ancien Testament
qui nous parle du Seigneur Jésus comme roi sacricateur et qui représente un nouvel ordre,
un ordre qui met de côté l'Ancien Ordre selon la loi de Moïse.
On a vu plusieurs détails concernant sa grandeur et il est dit au verset 7 qu'il est plus excellent.
Maintenant, le verset 11 et les versets qui suivent nous parlent de l'insuffisance,
de système selon la loi qui est insuffisant, qui ne pouvait jamais satisfaire le cœur de Dieu
et qui ne pouvait pas produire un sacricateur comme le Seigneur Jésus.
A la fin du chapitre, nous voyons les perfections du Seigneur Jésus comme fils sacricateur.
Donc, verset 11, on constate clairement que la perfection n'était pas avec la sacricateur lévitique.
Qu'est-ce que ça veut dire la perfection?
Dans le contexte de l'Épître aux Hébreux, la perfection veut dire une conscience,
et on verra cela dans le chapitre 10 surtout, une conscience pure pour être dans la présence de Dieu.
Avec l'Ancien Ordre, si quelqu'un pouvait amener un sacrifice selon la loi de Moïse,
il pouvait peut-être avoir une mauvaise pensée deux minutes après qu'il s'apprenait encore un autre sacrifice.
Tandis qu'avec le sacrifice parfait, comme on verra dans le chapitre 9 et 10 de l'Épître aux Hébreux,
il y a un état de perfection qui compte devant Dieu pour toujours.
Le sacrifice était parfait une fois pour toutes et le résultat était parfait une fois pour toutes.
On va revenir à ça donc plusieurs fois.
Tandis qu'avec la sacrificature lévitique, cette perfection n'était pas là, pas du tout.
Et c'est pour cela qu'il avait besoin d'un autre sacrificateur.
Donc le raisonnement est, si la perfection était déjà là avec la sacrificature lévitique,
il n'aurait pas besoin d'un autre sacrificateur.
Mais vu le fait que la perfection n'était pas là, il y avait donc le besoin d'un autre sacrificateur.
À la fin du verset 11, le mot «autre» là, c'est un sacrificateur différent, un sacrificateur d'un nouvel ordre.
Il faut vraiment comprendre cela parce que le mot «autre» peut dire quelqu'un du même ordre,
une autre personne du même ordre.
Non, ça ce n'est pas la pensée ici.
C'est un autre sacrificateur qui représente un autre ordre de choses.
Ça c'est la pensée ici.
Et c'est beau de voir à la fin du verset 11 qu'il se leva selon l'ordre de l'homme qui s'est aidé.
Donc selon ce nouvel ordre.
Et «se lever» ici, c'est un mot, une caractéristique pour le Seigneur Jésus.
C'est vraiment très beau de voir ça.
Ce mot est utilisé plusieurs fois dans le Nouveau Testament par rapport à l'avenue du Seigneur Jésus.
Maintenant au verset 12.
«Car la sacrificature étant changée, il y a aussi par nécessité un changement de loi.»
Donc, quel est le point ici?
On a vu donc, la perfection n'était pas là par la sacrificature lévitique.
Et cette sacrificature lévitique était avec la loi.
Car c'est en relation avec elle que le peuple a reçu sa loi.
Donc, si l'un n'est plus bon, l'autre n'est plus bon non plus.
Et verset 12 constate donc que la sacrificature a été changée.
Ça veut dire un nouvel, excusez-moi, un nouveau sacrificateur selon un nouvel ordre.
Si Dieu introduit un nouveau sacrificateur, un autre sacrificateur selon ce nouvel ordre,
ça prend donc effectivement un changement de la loi.
Ça c'est son argument.
Et le mot changement ici au verset 12, c'est un changement radical.
C'est un changement total.
C'est un changement permanent.
Ça veut dire, avec ce changement d'un ordre de choses,
Dieu a introduit un nouvel ordre qui est permanent.
Et ce mot changement veut dire un changement radical.
C'est intéressant de voir que ce mot est utilisé par exemple dans chapitre 11, verset 5,
par rapport à l'enlèvement, par la foi et non,
qu'il a été enlevé pour qu'il ne vive pas la mort.
Il ne fut pas trouvé parce que Dieu l'avait enlevé.
Car avant son enlèvement, il a reçu le témoignage d'avoir pu à Dieu.
Le mot enlèvement ici, c'est le même mot que changement ici.
Donc ça peut nous aider à comprendre que c'est vraiment un changement radical.
Et dans Hébreu 12, verset 27, il est dit, encore une fois,
qui indique le changement des choses muables comme ayant été faites,
afin que celles qui sont immuables demeurent.
Vous voyez, un changement radical.
C'est le même mot qui est utilisé ici dans Hébreu 12, verset 27.
Un changement radical, final, définitif, permanent.
Verset 13.
Car celui à l'égard duquel ces choses sont dites appartient à une autre tribu.
Donc maintenant, il donne le pourquoi.
Pourquoi ça prenait un changement de loi aussi, avec l'introduction d'un nouveau sacricateur?
Parce que selon la loi de Moïse, il y avait les sacricateurs de la maison d'Aaron.
Et seulement les descendants d'Aaron pouvaient être souverains sacricateurs.
Et sa maison, les sacricateurs aussi.
Et c'est clair que le Seigneur Jésus est d'une autre tribu.
C'est la tribu judaïque.
Donc personne n'a été attaché à l'hôtel.
C'est clair.
Le mot hôtel, ici, représente tout le système judaïque.
Donc le service, les sacrificateurs, tout s'est capté, s'est mis ensemble par ce mot hôtel.
Et on verra plus tard, dans le chapitre 13, verset 10, que maintenant ce nouveau système auquel nous appartenons,
c'est aussi résumé par ce mot hôtel.
Livre 13, verset 10.
Nous avons un hôtel, dont ceux qui servent le tabernacle n'ont pas le droit de manger.
Vous voyez? Nous avons un hôtel. Nous aussi.
Mais c'est un autre hôtel.
C'est un hôtel qui appartient à une nouvelle ordre de choses.
Qui ne va pas ensemble avec le vieil ordre.
Vous voyez toujours ce contraste.
Pour revenir maintenant à Hebrews 7, il dit,
Il est évident que notre Seigneur, c'est beau, est-ce qu'on se rappelle?
Melchizedek était roi, sacrificateur.
Le Seigneur Jésus est vraiment, selon ce nouvel ordre, et il est et roi, et sacrificateur.
Son nom, Seigneur, représente ce côté-là, cet aspect-là.
Il est roi.
Notre Seigneur.
Il est le roi des rois.
Et cela a été, vous pouvez vérifier ça dans l'Ancien Testament, Genèse 49, verset 10.
Jacob avait déjà parlé de cela.
Que de Judas, il y aurait quelqu'un qui se lève pour être ce roi.
Dans Michée, chapitre 5, verset 2, il y a une belle référence.
Son origine est de l'ancienneté.
Parce qu'il est Dieu lui-même aussi.
Et il serait né à Bethléem.
De la tribu de Judas.
Bethléem était dans le territoire de Judas.
Et on voit dans une autre prophétie, Zacharie 6, verset 13,
que le Seigneur Jésus, dans le Millennium, il sera roi et sacrificateur sur le trône de Dieu.
Et ainsi, dans le Millennium, ce sera accompli sur la terre.
Mais pour nous, le Seigneur Jésus est dans le ciel.
Il est assis sur le trône du Père.
On voit ça souvent dans l'Hébreu.
Il est assis maintenant.
Il a tous les droits.
Toute autorité, il est le vrai roi.
Et en même temps, il est donc le sacrificateur duquel on parle maintenant.
Et le mot « surgit » ici, souligne encore, comme la note l'indique aussi, qu'il s'est levé.
Et c'est le mot, dans l'Ancien Testament, qui est utilisé pour le germe.
Le germe qui nous parle donc d'un nouveau début que Dieu a introduit.
C'est une nouvelle puissance.
Une puissance de vie, comme on voit aussi dans ce chapitre qu'on a lu.
Et cette puissance de vie est vraiment bien captée par ce mot « surgir ».
C'est donc une nouvelle puissance que l'Ancien Ordre ne pouvait jamais produire.
Jamais !
Ça implique aussi la puissance de la résurrection, comme on verra dans la verse 8.
Avec le Seigneur, il y a la vie.
Comme on voit aussi avec Mephistophèle, déjà, l'image du Seigneur Jésus.
On a vu la dernière fois qu'il vit.
Il demeure, verset 3, il demeure sacrificateur à percuter.
Et au verset 8, mais là, celui de qui il est rendu témoignage qu'il vit.
Donc, l'emphase est sur cette vie.
Une nouvelle puissance.
Et ça va ensemble avec ce mot « surgir ».
Verset 15, cela est encore bien plus évident si, à la ressemblance de Melchisédech, un autre sacrificateur se lève.
Donc ici, l'emphase est sur le sacrificateur.
Verset 14 souligne le fait que le Seigneur est roi, mais il est sacrificateur selon ce nouvel ordre.
Et là, j'aimerais souligner que le nom « Melchisédech » est utilisé huit fois.
Pourquoi je souligne cela huit fois ?
Le nom revit, dans la Bible, parle d'un nouvel ordre.
On voit cela, par exemple, dans le psaume 8.
Le psaume 8 introduit le Seigneur Jésus comme le fils de l'homme qui représente ce nouvel ordre des choses.
Et ainsi, « Melchisédech » est aussi mentionné huit fois dans le Nouveau Testament et seulement dans l'Écriture aux Épreuves.
Et de nouveau, un autre sacrificateur.
Donc, il représente un autre ordre, comme nous l'avons déjà vu.
Il se lève.
Il se lève.
Il a surgi de cette tribu-là, de Judas, et il se lève.
Et on a vu cela aussi au verset 11.
Il se lève.
Cela nous parle encore de cette énergie qu'il a.
Et cela inclut donc la pensée de la résurrection.
Avant sa résurrection, le Seigneur Jésus n'était pas sacrificateur dans ce sens-là.
On a vu, dans le chapitre 2, que le Seigneur Jésus était seulement sacrificateur par rapport à l'œuvre de la propitiation à la croix.
Mais ici, il est sacrificateur dans une nouvelle vie, comme le verset 16 le dit, une vie impérissable, interminable.
Cette vie ne peut pas être terminée.
Qu'est-ce que cela veut dire aussi?
Que maintenant, le Seigneur Jésus, comme on a la gloire, il ne peut pas mourir.
Et c'est aussi beau de voir que nous avons reçu cette vie, nous comme croyants, notre corps peut encore mourir,
mais cette nouvelle vie que nous avons reçue par la grâce ne peut pas mourir.
Comme le Seigneur Jésus dans la gloire, comme homme, c'est évident, comme Dieu il ne peut pas mourir,
mais comme homme, il pouvait mourir sur la terre.
Mais comme homme glorifié dans le ciel, l'homme ressuscité, il a maintenant cette puissance d'une vie impérissable, il ne peut pas mourir.
C'est selon la puissance d'une vie impérissable.
Donc, on souligne encore cette puissance qui est en lui.
Le fils du Dieu vivant, Matthieu 16, et dans Romains 1, verset 4, il est appelé aussi fils de Dieu,
et l'emphase est mise sur cette puissance qui s'est manifestée dans sa résurrection.
Là, nous voyons cette puissance de vie, une puissance impérissable.
Pierre le dit aussi que c'était impossible que le prince de vie soit gardé par les liens de la mort.
C'était impossible.
Voilà le contraste.
À la fin, j'espère résumer encore quelques points de ce contraste.
Ce contraste ici entre l'ancien ordre marqué par la mort, marqué par un commandement charnel,
le nouvel ordre est selon cette puissance d'une vie impérissable.
Le nouvel ordre est selon cette puissance d'une vie impérissable.
Et là, il cite de nouveau ce psaume 110, verset 17,
car ce témoignage lui est rendu tu et sacrificateur pour l'éternité, selon l'ordre de Melchizedek.
Il faut toujours voir, ce passage est cité à peu près 4-5 fois dans l'Hébreu,
chaque fois dans un autre contexte, chaque fois il y a un emphase sur un autre élément.
Ici, l'emphase est sur l'expression pour l'éternité.
C'est pour soigner donc qu'il n'y aura pas de fin à cet ordre.
Verset 18, car il y a abrogation du commandement qui a précédé.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Abrogation veut dire une mise de côté.
On voit cela aussi à la fin du chapitre 8, je vais juste lire ce verset 13,
en disant une nouvelle, il a rendu ancienne la première force qui devient ancienne et qui vieillit et près de disparaître.
Donc, il y a l'abrogation de l'autre ordre pour introduire un nouvel ordre des choses.
Et je répète, on a vu un nouveau sacricateur, ça implique aussi une nouvelle loi, un nouveau commandement,
ça implique, et puis on verra cela dans le chapitre 8, cette nouvelle loi, c'est la nouvelle alliance.
Donc, on va garder cet élément-là pour le chapitre 8, la prochaine fois.
Ensuite, on verra le chapitre 9, s'il y a une nouvelle sacricature, un nouveau sacricateur, et une nouvelle loi, une nouvelle alliance,
c'est clair qu'il y a avec cela aussi une nouvelle sphère où il travaille.
Il ne travaille pas sur la terre comme Aaron l'a fait, il travaille en elle-même, et on verra cela au chapitre 9.
Et là, on verra aussi que pour tout cela, il avait besoin d'un nouveau sacrifice.
Le sacrifice, selon la loi de Moïse, ne pouvait jamais être suffisant pour mettre la base pour ce nouvel ordre des choses.
Ça a pris le sacrifice parfait du Seigneur Jésus, une fois pour toutes.
C'est ce qu'on va voir dans les chapitres 9 et 10.
Sur cette nouvelle base, on verra aussi qu'avec ce sacrificateur, il y a une compagnie de sacrificateurs, c'est vous et moi.
Les croyants sont des fils sacrificateurs ensemble avec le Fils, le sacrificateur.
C'est tellement beau de voir comment nous sommes les compagnons du Fils de Dieu.
On a vu cela déjà dans Hébreu 1.
Et ainsi, il y a donc une nouvelle compagnie attachée à cette merveilleuse personne, une nouvelle famille d'adorateurs.
On verra cela aussi au chapitre 10.
Notons maintenant au verset 18, il y a deux éléments qui sont soumillés par rapport à cet ancien ordre.
Il y avait la faiblesse et l'inutilité.
La faiblesse, ce mot est quelquefois traduit par maladie.
Cela veut vraiment dire qu'il n'y avait pas de force.
Comme Romain Sainte dit, nous n'avions pas de force non plus.
Pourquoi est-ce que ce vieux système était faible?
Parce que l'homme était faible.
L'homme était sans force.
C'est illustré dans l'homme important, dans l'acte 4, lorsque Pierre et Jean montaient au temple,
ils ont rencontré ce mendiant qui était là.
Il ne pouvait pas se lever.
C'est important.
C'est une illustration de ce vieux système.
Dieu l'a remplacé par quelque chose de tout nouveau.
On voit cela dans cet homme.
Il pouvait se lever.
Il a mis sa foi dans le Seigneur, dans la gloire.
C'est le grand changement.
Au lieu de mettre sa confiance dans la loi de Moïse, dans tous ses commandements,
il a mis sa confiance dans le Seigneur, dans la gloire.
Et ce n'est pas lui qui l'a pu marcher.
Et pour nous, c'est exactement la même chose.
Le fait que nous sommes des croyants qui peuvent maintenant marcher pour la loi du Dieu,
c'est parce que nous avons mis notre confiance dans le Seigneur, dans qui il y a toute puissance.
Donc, par rapport à lui, aucune faiblesse.
Par rapport à lui, pas d'inutilité.
Le mot inutilité veut dire sans profit.
Ce vieux système ne pouvait pas profiter.
On n'avait pas de profit à tirer de ce vieux système.
Et entre parenthèses, la conclusion est donc donnée pour enlever chaque doute,
car la loi n'a rien amené à la perfection.
C'est un mot très solennel.
Il y a des croyants qui veulent prêtre à Dieu, ils se mettent sous la loi de Moïse.
Ici, la loi, il est constaté que la loi n'a rien amené à la perfection.
Dans Galates 3, nous lisons, si quelqu'un se place sous la loi de Moïse, qu'est-ce qu'il fait ?
Il se place sous la malédiction.
La malédiction, c'est très solennel.
Dans Romains 8, nous voyons que tout ce système était faible parce que nous étions faibles.
Nous ne pouvions jamais produire quoi que ce soit de bon pour Dieu.
Et là, Dieu a pris l'initiative.
C'est ça qu'on voit dans l'Hébreu.
Tout dépend de Dieu.
Mais, en contraste avec ce constat, le Seigneur, lui, il a amené tout à la perfection.
Ça, c'est clair.
Si la loi n'a rien amené à la perfection, c'est le Seigneur qui a amené tout à la perfection.
Ça, c'est vraiment un résumé de toutes les pistes aux Hébreux.
C'est la perfection.
Et on a vu au verset 11, déjà, cette remarque.
Si donc la perfection n'était pas la sacrature lévitique, non, on a vu, ce n'était pas le cas.
Et ici, la loi ne pouvait pas amener cette perfection.
Mais de notre côté, c'est le Seigneur qui a amené, qui a introduit cette perfection.
Et ainsi, sur la base du sacrifice, une fois pour toutes, Dieu nous a acceptés.
Et aux yeux de Dieu, nous sommes parfaits.
Ça ne veut pas dire qu'on ne peut plus pécher.
Mais la position que Dieu nous a donnée, c'est une position de perfection.
Comme on voit aussi dans d'autres écrits, surtout dans Ephésiens,
Dieu nous a rendus agréables dans le bien-être.
C'est sûr, là-bas, ce sacrifice merveilleux, Dieu nous voit en lui.
Là, il y a la perfection.
Il y a d'autres passages dans la Parole qui soulignent clairement que la loi ne peut pas produire cette perfection.
Dans l'Acte XIII, par exemple, lorsque Paul a commencé son premier voyage missionnaire,
il a parlé dans les synagogues, là,
et à la fin de l'Acte XIII, il mentionne cela clairement,
que par la loi de Moïse, on ne peut pas recevoir cette perfection.
C'est impossible.
Donc ça, c'est un côté négatif.
L'abrogation de ce système-là, la mise de côté, parce que ce système ne pouvait jamais produire la perfection.
Le côté positif, c'est l'introduction, et notons maintenant, d'une meilleure espérance.
Vous voyez, ici, c'est ce nouvel ordre de choses qui a été introduit.
J'aime cette ancienne introduction.
Vous connaissez l'histoire de David, lorsque Samuel est venu pour roindre un des fils de Jesse, comme roi, au lieu de Saul.
Et, finalement, ils l'ont appelé David.
Ainsi, Samuel a introduit David dans la maison.
Il était loin, au milieu de ses frères.
C'est vraiment une pensée touchante.
Et ici, nous voyons comment Dieu a introduit, avec le Seigneur Jésus, le vrai David.
Il a introduit un nouvel ordre de choses.
Et c'est ici appelé une meilleure espérance.
Pourquoi espérance?
Parce qu'on est encore sur la terre.
On est encore dans un monde qui rejette le Seigneur Jésus.
C'est pour cela que nous avons toujours cet élément d'espérance.
Dans l'épître aux Hébreux, on est en route.
On est dans le désert.
Et c'est pour cela qu'on a besoin de l'espérance.
Le mot revient plusieurs fois.
On a vu, par exemple, le chapitre 6, verset 18.
Nous, à la fin du verset 18, nous qui nous sommes enfuis pour saisir l'espérance proposée.
Et ça revient tout le temps dans cette épître.
Nous sommes en route et c'est pour cela que nous avons besoin d'une espérance.
Mais c'est une meilleure espérance.
Pourquoi meilleure?
Comparons cela avec la situation d'Israël dans le désert.
Leur espérance était qu'ils arrivent à un moment donné dans le pays promis.
C'était le pays des canins.
C'était leur espérance.
Mais nous avons une meilleure espérance.
C'est par rapport à Christ et maintenant, dans la gloire, une meilleure espérance.
Je vous invite d'étudier l'épître aux épreuves simplement par rapport à ce mot meilleur.
Quelquefois, c'est traduit plus excellent.
On a vu le chapitre 1er, un nom plus excellent.
Dans l'original, c'est le même mot qu'on a ici avec meilleur.
Un meilleur nom.
Ainsi, ce nouveau système que le Seigneur Jésus a introduit est meilleur.
Meilleur.
Cela revient au moins douze ou treize fois dans ses poupées.
Et à la fin du verset 19, par laquelle nous approchons de Dieu.
Voilà le résultat.
Ici, nous avons un ordre de choses et nous pouvons nous approcher de Dieu.
Sous l'ancien ordre, c'était impossible.
Même le souverain sacrificateur, est-ce qu'il pouvait entrer dans le lieu saint?
Non.
Jamais.
Une fois par année.
Et puis, on verra cela au chapitre 10, 9 et 10.
C'était jamais sans le sang.
Il fallait qu'il apporte le sang du sacrifice pour pouvoir entrer, pour pouvoir s'approcher de Dieu.
Seule exception, ce n'est pas pour vous confondre, mais c'est vraiment une belle exception, c'est Moïse.
Moïse pouvait toujours avoir accès pour s'approcher de Dieu.
Pour être même dans la présence de l'âge.
On voit cela dans l'exode 25, déjà, le nombre 7.
Qui représente donc cet ordre de choses qui ne pouvait jamais produire la perfection.
Quant à sa personne, quant aux privilèges qu'il avait pour entrer dans la présence de Dieu.
Il représente vraiment, il est vraiment l'image de nos privilèges.
Nous avons ce libre accès.
Nous pouvons être dans la présence de Dieu tout le temps.
Donc, ce n'est pas pour vous confondre, mais c'est juste pour montrer la richesse de l'apport de Dieu.
Que d'un côté, il y a des grands contrastes.
Mais il y a aussi des parallèles.
Comme Moïse pouvait être dans la présence de Dieu tout le temps.
Nous, par la grâce de Dieu, nous pouvons nous approcher de Dieu tout le temps.
On voit ce libre accès.
Romains 5, verset 2.
C'est peut-être bon de lire ce verset.
Romains 5, verset 2.
Parce que c'est quelque chose que chaque croyant doit vraiment saisir.
Et nous pouvons nous réjouir dans cela.
Romains 5, premier verset.
Vous voyez ce libre accès.
Sur la base, cette œuvre accomplie est maintenant sous le principe de la foi.
Nous avons paix avec Dieu.
Et nous sommes justifiés.
Et ainsi, nous avons ce libre accès.
Et dans Éphésiens 2, verset 18, il a même dit que nous avons cet accès.
C'est par l'Esprit, un libre accès au Père.
Et en même temps, le même verset dit, c'est par le Seigneur Jésus.
Tous nos privilèges, nous avons par le Seigneur Jésus.
C'est un autre verset à lire, Éphésiens 2, verset 18.
Qui nous parle de cette approche, de cet accès que nous avons maintenant.
Et puis là, nous voyons la Trinité dans un seul verset.
Par rapport à cela.
Ainsi, nous pouvons nous approcher de Dieu.
Verset 20.
Ajoute maintenant un autre élément.
Donc, je veux maintenant résumer un peu.
On a vu, l'ancien ordre était temporaire, pour un temps.
Il ne pouvait pas continuer tout le temps.
Tandis que ce nouvel ordre que Dieu a introduit, selon l'image de Melchizedek,
est un ordre permanent, définitif.
On a vu cela au verset 12.
Ensuite, nous avons vu que par rapport à la loi de Sinaï,
il n'y avait pas de perfection.
Ça prenait d'autres éléments.
Et on a vu cela avec le Seigneur Jésus,
qui est venu selon les promesses de Dieu,
qui est le vrai David,
qui est venu de la tribu de Juda, que Dieu avait déjà indiqué dans l'Ancien Testament.
Le troisième point que nous avons vu,
et on parle de cela encore,
c'est un fils que le Seigneur Jésus a,
comme le sacrificateur et comme le roi,
selon l'ordre de Melchizedek.
Nous avons vu que ça va ensemble avec la grandeur de cette personne.
Donc, le point que j'aimerais souligner maintenant,
c'est que sous l'Ancien Ordre,
le souverain sacrificateur avait un fils,
et son fils serait le prochain sacrificateur.
Et ainsi, c'était par succession qu'il avait cet office.
Tandis qu'avec le Seigneur Jésus,
il a aussi cet office de sacrificateur et aussi de roi.
Mais c'est à cause de cette personne merveilleuse,
c'est à cause de sa grandeur personnelle
qu'il a cet office.
Ce n'est pas parce qu'il descend de notre sacricateur.
Vous voyez, dans l'histoire d'Israël,
on a eu des sacricateurs corrompus, méchants même,
qui avaient cet office,
mais leur personne n'était pas en accord avec cet office.
Tandis qu'avec le Seigneur Jésus, il a cet office,
mais c'est parce qu'il est cette personne merveilleuse.
L'autre contraste, on a vu cela,
Dieu a mis de côté ce vieil ordre pour introduire un nouvel ordre,
et ce nouvel ordre va ensemble avec un serment.
Vous voyez, c'est donc un autre élément qui souligne.
Il va citer encore ce psaume 110, verset 20,
et on entend que cela n'a pas eu lieu sans serment,
car ceux-là sont devenus sacricateurs sans serment.
Ce sont les sacricateurs selon la loi de Moïse,
les descendants d'Aaron.
Il était sacricateur par succession,
comme descendant sans serment.
Le Seigneur Jésus est sacricateur par serment, verset 21.
Il est devenu avec serment,
par celui qui a dit de lui, le Seigneur a juré,
il ne se repentira pas.
Donc c'est de nouveau une citation du psaume 110,
et maintenant l'emphase est sur ce serment.
Le Seigneur a juré, il ne se repentira pas.
Cela veut dire, il ne changera pas d'idée.
Dieu, à cet égard-là, ne peut pas se repentir,
ne peut pas changer d'idée.
On a quelques passages dans l'Ancien Testament,
et c'est confondant pour nous,
où nous disons que Dieu s'est repenti.
C'était seulement dans des cas où Dieu avait dit qu'il allait juger,
là il a vu la repentance dans les cœurs du peuple,
n'importe quelle personne,
et Dieu s'est repenti après.
Mais si c'est une question du conseil de Dieu,
de son propos,
comme on voit avec Néophysédèque,
Dieu ne peut pas se repentir.
Il faut vraiment voir ça.
Si Dieu se repent, c'est dans ses voies,
et seulement s'il y a un changement de corps dans les hommes.
Mais si c'est une question des propos de Dieu,
de ses conseils, il ne peut se repentir.
La première fois que Dieu a juré,
c'est dans Genèse 22,
lorsque Abraham a donné le sacrifice de son fils.
Dieu a juré qu'il allait bénir ses descendants,
et que par lui, par sa descendance,
la bénédiction viendrait à toutes les nations.
Ça c'est la bénédiction que Dieu avait promis,
sur la base du sacrifice que Dieu a juré.
Dans Psalm 95,
lorsque le peuple a manqué dans le désert,
a rejeté les plans de Dieu,
il voulait même retourner en Égypte,
Dieu a juré que cette génération-là
ne serait jamais dans le pays promis.
On a vu cela dans Hébreux 3 et 4.
Mais ici nous voyons la solution.
Si Dieu a juré la première fois pour donner la bénédiction,
et la deuxième fois il a juré qu'il ne pouvait pas donner cette bénédiction,
à cause de leur manquement,
ici nous voyons la clé.
Dieu a juré une autre fois,
c'est par rapport à Christ,
le sacrificateur pour l'éternité,
selon l'ordre donné qu'il s'était.
Et c'est seulement sur la base de son sacrifice,
et sur la base de sa personne,
que nous pouvons jouir de la bénédiction de Dieu.
Il y a une autre fois, dans Ésaïe 45,
où Dieu a juré,
et ce sera le cas dans le Millenium,
tout genou va se plier devant lui.
Dieu a juré,
et tous vont confesser son nom.
Ils vont plier leur genou devant lui.
Dieu va ainsi accomplir ses pensées,
dans le Millenium.
Verset 22,
c'est d'une alliance d'autant meilleure
que Jésus a été fait le garant.
Vous voyez encore le contraste,
on a vu la loi,
qui ne pouvait jamais produire la perfection,
le Seigneur Jésus,
il est maintenant le garant
de cette nouvelle ordre des choses.
Une nouvelle alliance,
une nouvelle loi,
et de nouveau,
meilleure, vous voyez,
c'est d'une alliance d'autant meilleure.
On a vu une meilleure espérance,
maintenant on a une meilleure alliance.
Je vais revenir aux détails dans le chapitre 8,
que Jésus a été fait le garant.
D'abord, j'aime souligner ici,
le nom Jésus.
Ce nom revient neuf fois.
Il y a d'autres fois où c'est Jésus-Christ,
par exemple,
mais le seul mention de son nom Jésus,
c'est neuf fois dans sa poupée.
Et chaque fois, c'est pour souligner
sa grandeur,
Jésus de Nazareth.
Jésus qui nous parle de son humanité,
de son humiliation, de son abaissement,
mais en lui, il y a toute cette grandeur,
toute cette beauté.
Il est le garant maintenant
pour ce nouvel ordre des choses.
Moïse ne pouvait jamais être le garant
par rapport à l'ancien ordre.
Lorsque Moïse est descendu de la montagne,
qu'est-ce qu'il a dû faire?
Il a cassé les deux tables d'avant.
Moïse ne pouvait pas être le garant
de ce vieil ordre,
parce que le peuple avait déjà manqué
tout au début.
Mais le Seigneur Jésus, il est le garant.
Il va garantir toutes les pensées de Dieu
par rapport à ce nouvel ordre des choses.
De nouveau, on voit tout dépend de lui.
Ça souligne que le Seigneur Jésus
est responsable pour cet ordre des choses.
Cet ordre ne peut jamais manquer.
Et le Seigneur est responsable
que ça va continuer pour la gloire de Dieu
et aussi pour notre bien.
Jamais.
Encore un autre contraste, verset 23.
On a vu la loi et l'ordre de la sacricature
sous la loi, c'était sans serment.
L'ordre de la sacricature du Seigneur Jésus,
avec serment.
Dieu a juré.
Maintenant, un autre contraste.
Sous la loi, il y avait plusieurs sacrificateurs.
On pourrait traduire beaucoup de sacrificateurs
parce que la mort les empêchait de demeurer.
Mais celui-ci, verset 24,
parce qu'il demeure éternellement.
Ce mot est vraiment encore un mot spécial.
On a vu avec Melchizedek,
il demeure sacrificateur à perpétuité.
Verset 3.
Maintenant, nous voyons le Seigneur Jésus,
il demeure.
Il demeure éternellement.
Comme la parole de Dieu demeure.
1 Pierre 1, c'est mentionné.
Et un autre détail,
juste une petite parenthèse.
Si nous faisons la volonté de Dieu,
1 Jean 2, verset 17, dit,
parce que nous demeurons éternellement.
Ainsi, nous sommes ensemble avec le Seigneur Jésus
qui demeure éternellement.
Et maintenant, il a dit,
il a la sacrificature qui ne se transmet pas.
Comme nous avons vu tantôt,
le Seigneur Jésus ne peut plus mourir maintenant.
L'heure est accomplie.
Il n'a plus besoin de la mort.
Il a une vie impérissable qui ne peut pas se terminer.
Ainsi, cette sacrificature ne se transmet pas.
C'est une sacrificature intransmissible.
Il n'y a pas de succession.
Comme l'autre ordre, le vieil ordre,
de père en fils,
une succession continuelle.
Et dans l'histoire de l'Église,
on a imité cela, cette succession humaine.
Tandis que, si nous comprenons bien notre position
en rapport avec Christ,
il n'y a pas de succession d'un fils.
Il n'y a pas de succession d'un fils.
Et dans la parole de Dieu,
nous avons une succession morale.
Mais ça, c'est tout un sujet.
Cette sacrificature ne se transmet pas.
Quelle grandeur!
Verset 25.
De là vient aussi qu'il peut sauver entièrement.
Et nous arrivons maintenant à un point important dans cet épitre.
Verset 25, jusqu'à la fin du chapitre,
souligne la perfection que nous avons dans la Seigneur Jésus.
Et notre position, par rapport à lui,
est une compagnie d'adorateurs
qui peut maintenant avoir ce libre accès,
comme nous l'avons vu,
dans la présence de Dieu.
Et verset 25 dit d'abord,
il peut sauver.
Ça ne veut pas dire que notre salut n'est pas parfait.
Le moment que nous avons cru,
nous étions sauvés dans ce sens-là,
le salut des âmes,
mais nous sommes encore dans le désert.
Dans le désert, il y a toutes sortes de dangers
et nous avons besoin de son aide pour nous sauver entièrement,
d'une façon complète, jusqu'à l'achèvement.
On est en route pour l'agoire.
Et c'est lui qui est garant qu'on arrivera là.
Ceux qui s'approchent de Dieu.
On en a parlé déjà et on verra dans le chapitre 10,
en plus de détails, cette approche,
selon ce nouveau chemin que nous avons,
un chemin vivant et vrai.
Et notons maintenant au verset 25,
notre approche est par lui.
C'est toujours le cas.
C'est par lui.
Toutes nos bénédictions peuvent être séparées de lui.
Toutes nos bénédictions, la joie de ces bénédictions dépend de lui.
C'est par lui que nous nous approchons de Dieu.
Ensuite il dit, étant toujours vivant.
On a vu le contraste.
L'ancien ordre, la mort, intervenait tout le temps.
Et on avait cette succession.
Maintenant, on n'a plus de succession
et le Saint Jésus est toujours vivant.
C'est un autre mot clé qui revient souvent dans cet épisode.
Mais il est vivant pour intercéder pour eux.
Et là, il y a donc un nouvel élément qui s'ajoute.
On a vu d'abord, chapitre 2 et surtout chapitre 4,
l'intercession du Saint Jésus par rapport à nos infirmités.
Nous sommes un peuple faible qui continue à travers le désert
et nous avons besoin d'être soutenus.
Mais ici, il tourne la page pour ainsi dire.
Ici, c'est pour souigner que Dieu avait à coeur d'avoir une compagnie d'adorateurs.
Verset 26 souligne cela.
Un tel souverain sacrificateur nous convenait.
Ici, nous sommes vus comme fils d'une famille sacerdotale.
Donc ici, ce n'est pas l'emphase sur nos besoins.
Nous sommes un peuple pauvre et manquant dans le désert.
Ici, l'emphase est sur le fait que nous avons un appel très élevé.
Dieu voulait nous avoir comme fils d'une famille sacerdotale.
Une compagnie très élevée.
Une position merveilleuse.
Et c'est pour cela que Dieu dit, voilà, pour une telle compagnie,
j'ai un souverain sacrificateur spécial.
Un tel souverain sacrificateur.
On a vu sa grandeur, Melchizedek, sa grandeur.
Mais ici, au verset 26, ça souligne notre position élevée.
Ce n'est pas ce que nous sommes en nous-mêmes, c'est ce que nous sommes par rapport à Lui.
Nous avons une dignité.
Cette dignité est par rapport à Lui.
Et c'est pour cela que Dieu dit ainsi, ça vous convient.
C'est un standard très élevé.
Comme on l'a vu dans le chapitre 2, verset 10, il convenait à Dieu,
à cause qui sont toutes choses et par qui sont toutes choses,
que, amenant plusieurs fils à la gloire, il consommât les chefs de leurs salutes par des souffrances.
Ça convenait à Dieu.
Ici, les sacrificateurs, excusez-moi, les fils sont en route pour le ciel.
Et Dieu nous voit comme des fils.
Dans sa présence, il donne ce grand souverain sacrificateur pour nous soutenir dans ce service.
Pas seulement par rapport à nos besoins, mais ici pour nous soutenir,
pour que nous puissions fonctionner comme des sacrificateurs, comme des adorateurs.
On va élaborer cela au chapitre 8, lorsqu'on va voir le Seigneur Jésus comme le ministre des lieux saints
et du vrai tabarnak, au chapitre 8, verset 1 et 2.
Un tel souverain sacrificateur.
Et Dieu dit, ce souverain sacrificateur, je vous donne,
parce que vous avez besoin de lui pour ce service sacerdotal.
Et là, il y a encore l'emphase sur sa personne, il est saint.
Ce mot est souvent utilisé dans l'Ancien Testament,
qui caractérise Dieu vraiment.
Donc, il est saint par rapport à Dieu.
Il représente le caractère de Dieu.
Et par application, nous avons le privilège de pouvoir représenter Dieu maintenant dans ce monde.
Innocent, c'est par rapport à ceux qui l'entourent.
Le Seigneur Jésus est pur et saintable, mais ici innocent.
Ce mot revient seulement deux fois dans le Nouveau Testament.
L'autre fois, c'est dans Romains 16, verset 18, par rapport à nous, que nous devons être innocents.
Ensuite, sans souillure.
La loi de Moïse donnait des instructions pour que les sacrificateurs puissent être sans souillure pour pouvoir servir.
C'était une pureté rituelle ou ritualiste.
Ici, c'est une pureté inhérente.
C'est une pureté que le Seigneur Jésus a dans sa personne, sans souillure.
Et dans la position que nous avons devant Dieu par le Seigneur Jésus, nous sommes maintenant aussi sans souillure.
Et ça, c'est l'application à nous.
Mais le Seigneur Jésus est ce grand souverain sacrificateur qui est présenté devant nos coeurs dans cette perfection.
Il est séparé des pécheurs.
Ça ne veut pas dire qu'il n'a pas d'intérêt pour les pécheurs, mais il est séparé.
Il n'a rien à faire avec le péché.
Ça a été réglé une fois pour toutes.
Il est maintenant séparé des pécheurs.
Il est maintenant dans la gloire.
Dans le ciel, il n'y a aucune pensée du péché.
Il est élevé, vous voyez, à la fin du verset 26, élevé plus haut que les cieux.
Ça souligne encore la grandeur du Seigneur Jésus.
Élevé plus haut que les cieux.
Un homme que Dieu a élevé ainsi.
C'est formidable.
Et il y a d'autres passages dans la parole.
Vous pouvez lire, par exemple, Philippiens 2.
Dieu lui a donné un nom au-dessus de tout nom.
On pourrait lire Éphésiens 4, où nous voyons que le Seigneur Jésus est descendu,
ensuite il est monté pour qu'il soit au-dessus de toute chose.
Mais ici, il est élevé plus haut que les cieux.
C'est pour souligner la grandeur formidable du Seigneur Jésus.
Ensuite, au verset 27, qui n'est pas journellement dans la nécessité,
comme les souverains sacricateurs, d'offrir des sacrifices.
Encore un contraste.
Les sacricateurs de l'Ancien Ordre avaient besoin d'offrir des sacrifices.
Des sacrifices d'abord pour leur propre péché.
C'est impensable pour le Seigneur Jésus,
qui était toujours sans péché, pur, à part le péché,
qui n'a pas connu le péché.
Quel contraste.
Ensuite, à la fin du verset 27,
car cela il a fait une fois pour toutes.
Il a offert un sacrifice pour le péché.
Une fois pour toutes.
Et on verra cela chapitres 9 et 10 spécialement.
J'aimerais souligner maintenant un détail.
Une fois pour toutes, cette expression au verset 27,
ça m'a frappé beaucoup.
Ça revient souvent dans cet épitre.
Une fois pour toutes.
Et l'autre expression, pour l'éternité,
je voulais le dire tantôt, mais je l'ai oublié.
Ça va ensemble avec cette expression-là.
Une fois pour toutes.
Et l'autre expression, pour l'éternité.
Pour l'éternité se trouve sept fois dans l'épitre aux Hébreux.
Sept fois dans l'épitre aux Hébreux.
Et 28 fois en total dans le Nouveau Testament.
Donc, ça souligne encore la perfection du Seigneur Jésus.
Ici au verset 27, il a dit une fois pour toutes.
On va revenir à ça dans le chapitre 9 et 10.
Mais qu'est-ce qu'il ajoute là?
C'est un offert lui-même.
Les sacricateurs ont amené un sacrifice.
Un bouc, un agneau ou d'autres animaux plus grands ou plus petits.
Mais le Seigneur Jésus a amené un sacrifice.
C'était lui-même.
Il s'est offert lui-même.
Ça c'est très touchant.
Et la pensée est là aussi qu'il s'est présenté à Dieu en sacrifice.
Ça s'inclut dans le mot « offert ».
Quel sacrifice?
Verset 28.
La loi établit pour souverains sacricateurs des hommes qui sont dans l'infirmité.
De nouveau un contraire.
Mais la parole du serment.
On n'a pas l'Ègle du serment.
La parole du serment qui est après la loi.
Dans le psaume 110.
Beaucoup plus tard.
Après la loi.
Établit un fils.
Après la loi.
Ça ne veut pas dire que Dieu n'avait pas pensé à ça avant.
Évidemment, dans le plan de Dieu, la pensée d'avoir un fils consommé pour l'éternité était là tout le temps.
Même avant que Dieu donne la loi de mourir.
C'est peut-être un peu confondant.
Je répète.
Lorsque Dieu a donné la loi de mourir.
Ça ne veut pas dire que Dieu n'avait pas encore cette pensée.
Dès l'éternité, il avait la pensée d'envoyer son fils.
Mais dans le temps, c'est venu après la loi.
Comme le psaume 110.
Beaucoup plus tard.
Après la loi.
Et ainsi, Dieu a établi un fils.
Après la loi.
Et ça implique aussi, comme nous l'avons vu, après avoir mis de côté le principe de la loi.
De mourir.
Il a établi un fils.
Ce n'est pas seulement un nouvel ordre que Dieu a établi.
C'est beau de voir ça ici.
Il a établi un fils.
C'est Dieu qui a présenté ce fils.
C'est Dieu qui l'a introduit, comme nous l'avons vu.
Et on a vu, tout dépend de lui.
C'est donc pas seulement un nouvel ordre de choses.
C'est une nouvelle personne que Dieu a introduite.
Il a dit ici qu'elle est consommée pour l'éternité.
C'est pour souligner maintenant la perfection que le Seigneur Jésus a comme homme.
On a vu déjà.
Il ne pouvait pas pécher.
Il était toujours parfait.
Mais il a parcouru tout ce chemin.
Il a fini.
On a vu cela aussi dans Hebreu 5.
Par rapport à l'obéissance.
Il a vécu sur la terre.
Il a fini tout ce trajet.
Et il est arrivé maintenant à la fin.
Et ces pensées-là sont résumées par le mot « consommer ».
Et ce mot « consommer » revient souvent aussi.
Comme l'autre pensée « pour l'éternité ».
Ça souligne ce qu'on a vu.
C'est final.
C'est définitif.
C'est complet.
Il n'a rien ajouté pour l'éternité.
Répété sept fois dans cet épitre.
Donc, nous sommes liés à cette personne merveilleuse.
Et on va revenir souvent dans cet épitre.
Si Dieu donne encore l'occasion à cela.
Cette perfection merveilleuse.
C'est notre position ensemble avec Lui.
J'aimerais répéter quelques points.
Donc, un nouvel ordre qui amène la perfection.
Le vieil ordre ne pouvait jamais amener à la perfection.
Ensuite, nous avons vu que Dieu a introduit quelqu'un de la tribu du Judas.
Pas un descendant d'Aaron ou de Lévi.
Un rapport avec l'homme selon le cœur de Dieu, David.
Les promesses que Dieu a données dans sa grâce souveraine.
Un autre contraste.
Ensuite, on a vu qu'il fallait que ce soit à la ressemblance de Melchizedek.
On a vu la dernière fois.
Pourquoi ?
Melchizedek qui donc représente ce nouvel ordre des choses.
Qui n'a pas connu la mort.
Dans l'histoire, évidemment, il est mort comme un homme.
Comme chaque homme.
Mais la parole ne l'émancèle pas.
Pour que Melchizedek pouvait être une illustration du Saint-Jésus.
Et ainsi, Dieu introduit ce nouvel ordre par rapport à Melchizedek.
On a vu, selon la puissance d'une vie impérissable.
C'est la vie de la résurrection.
Cette puissance que le Seigneur Jésus a par rapport à cela.
Mais il est aussi le fils du Dieu vivant.
On a vu aussi une meilleure espérance.
Et ensuite, on a vu un accès direct.
Et quel privilège.
Et cela sera encore souligné souvent dans cet épître.
Ce libre accès que nous avons.
Parce que l'œuvre a été accomplie.
Mais on revient toujours à cela.
C'est par lui.
Tout ce que nous avons, c'est par lui.
Donc, Dieu voulant, la prochaine fois on pourra continuer au chapitre 8.
Qui donne un résumé.
Mais je pense, à la fin du chapitre 7.
C'est vraiment important qu'on puisse saisir.
Deux choses.
Ce que le Seigneur Jésus est.
Et ce qu'il a fait.
Et sur la base de ce qu'il est, sa personne.
Sur la base de ce qu'il a fait.
Dieu nous voit maintenant comme une compagnie d'adorateurs.
Une compagnie avec une dignité à cause de notre relation avec lui.
Et une compagnie de sacricateurs qui peut être maintenant.
Tout le temps dans la présence immédiate de Dieu.
Quel privilège nous avons.
Est-ce qu'on fonctionne aussi pratiquement comme adorateurs.
Pour adorer ce Dieu merveilleux.
Pas seulement le dimanche matin.
Lorsqu'on pense à lui, nous pouvons toujours être des adorateurs.
Il y a beaucoup de choses pratiques à tirer aussi d'un tel chapitre.
Pour nous stimuler, pour nous encourager à fonctionner comme des sacricateurs.
Qui sont dans la présence de Dieu tout le temps.
Même à l'ouvrage, on peut penser à ces choses.
Et on peut rendre grâce à Dieu.
N'importe quelle place.
A l'école, nous avons ce libre accès.
Pas seulement pour présenter nos requêtes, pour nos besoins.
Mais aussi ce libre accès pour venir comme sacricateurs, comme adorateurs.
Est-ce qu'il y a encore des questions, des choses qui doivent être soulignées.
C'est un chapitre merveilleux, mais c'est assez difficile en même temps.
L'expression de l'Esprit, c'est la vérité.
C'est la vérité.
C'est ce qu'il faut faire.
C'est ce qu'il faut faire.
Oui.
Et ça souligne donc d'un côté sa grandeur.
Mais ça souligne aussi la position merveilleuse que Dieu nous a donnée, réservée pour nous.
Qui nous voit comme une compagnie tellement élevée.
Qui donne une telle personne, une telle compagnie.
Le coeur de Dieu ne serait pas satisfait pour nous donner Aaron par exemple.
Dieu ne serait pas satisfait pour nous donner Aaron.
Dieu est seulement satisfait en nous donnant un tel souverain sacré-capable.
Et ça va bien ensemble avec le verset 4 que nous avons vu, hébreu 7, verset 4, la dernière fois.
Considérer combien grand était celui-ci. …
Transcripción automática:
…
Hébreu 8, le premier verset.
Or, la somme de ce que nous disons, c'est que nous avons un tel souverain sacricateur
qui s'est assis à la droite du trône de la Majesté dans les cieux,
ministre des lieux saints et du vrai tabernacle, le Seigneur adressé, non pas l'homme.
Car tout souverain sacricateur est établi pour offrir des dents et des sacrifices,
c'est pourquoi il était nécessaire que celui-ci aussi eût quelque chose à offrir.
Si donc il était sur la terre, il ne serait pas sacricateur puisqu'il y a ceux qui offrent des dents selon la loi,
lesquelles servent la figure et l'ombre des choses célestes.
Comme Moïse, quand il allait construire le tabernacle, a été averti divinement,
car prend garde, dit-il, à faire toute chose selon le modèle qui a été montré sur la montagne.
Pour maintenant, Christ a obtenu un ministère d'autant plus excellent
qu'il est médiateur d'une meilleure alliance qui est établie sur de meilleures promesses.
Car si cette première alliance avait été irréprochable, il n'eût jamais été cherché de lieu pour une seconde,
car en censurant, il leur dit, voici, les jours viennent, dit le Seigneur,
et je conclurai pour la maison d'Israël et pour la maison de Juda une nouvelle alliance,
non selon l'alliance que j'ai faite avec leurs frères au jour où je les pris par la main pour les tirer du pays d'Égypte,
car ils n'ont pas persévéré dans mon alliance, et moi je les ai délaissés, dit le Seigneur,
car c'est ici l'alliance que j'établirai pour la maison d'Israël après ce jour-là, dit le Seigneur.
En mettant mes lois dans leur entendement, je les écrirai aussi sur leur cœur,
et je leur serai pour Dieu, et ils me seront pour eux.
Ils m'enseigneront point chacun de son constat bien, et chacun son faire, disant qu'on est le Seigneur,
car ils me connaîtront tous, depuis le plus petit jusqu'au plus grand d'entre eux.
Car je serai clément à l'égard de leurs injustices, et je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés, ni de leur iniquité.
En disant une nouvelle, il a rendu ancienne la première,
pour ce qui devient ancien et qui vieillit, et prêt de disparaître.
Jusqu'ici la lecture de la parole.
Ce chapitre commence la deuxième partie de l'Épiphosé brûle.
Ce qu'on a vu jusqu'à ce moment-là, nous avons vu la grandeur du Seigneur Jésus,
et un peuple qui traverse le désert.
Le Seigneur est plus grand que les anges, plus grand qu'Aaron, plus grand que Moïse, plus grand que Jésus, plus grand que David, plus grand que Salomon,
et ainsi l'emphase était sur sa personne.
Et le chapitre commence par ce mot or, la somme.
Donc il donne ici une conclusion.
C'est un sommaire, et aussi la conclusion de ce que nous disons.
On a dit déjà, c'est comme l'auteur est en même temps un orateur.
Il donne un message, et c'est un long message, mais c'est un message très intéressant, et très encourageant.
On a vu le contexte était pour les juifs à ce moment-là, les juifs chrétiens, je veux dire, qui étaient en danger de retourner dans le judaïsme.
Et en présentant la personne du Seigneur Jésus, l'auteur, mais plutôt l'Esprit-Saint par l'auteur, voulait fixer le regard sur le Seigneur qui est maintenant dans la gloire.
C'est clair que nous avons besoin de cela aussi.
Nous devons fixer nos regards sur Christ dans la gloire.
Mais nous sommes un peuple dans le désert.
Surtout en chapitres 3 et 4, nous avons vu un peuple dans le désert, et nous avons vu que le Seigneur Jésus soutient son peuple pour la marche à travers le désert.
On a vu ainsi le Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur.
On a vu la dernière fois, il n'était pas de la tribu de Lévis, donc il ne pouvait même pas fonctionner comme sacrificateur sur la terre.
Mais on a vu à la fin du chapitre 2, il a une exception.
Lors de la croix, là, le Seigneur Jésus était le sacrifice, et on en parlera plus tard dans le chapitre 9 et 10.
Mais il était aussi le sacrificateur qui a présenté son sein à Dieu.
Et ainsi, on l'a vu dans l'Hybre 2 déjà comme sacrificateur, une fois pour toutes.
Comme il était le sacrifice une fois pour toutes, il était aussi à ce moment-là, sur la terre, un sacrificateur une fois pour toutes.
Ensuite nous avons vu le Seigneur Jésus est le sacrificateur, le grand souverain sacrificateur, pour soutenir un peuple qui est dans le désert.
On a vu cela dans l'Hybre 4.
Le Seigneur nous soutient, le Seigneur nous guide, le Seigneur est tout ce dont nous avons besoin.
Donc, il pourvoit dans nos besoins, il pourvoit dans les besoins d'un peuple de pèlerins.
Et il leur donne du secours, un secours qui vient du ciel.
Pour cela, il faut donc relire le chapitre 4 à la fin, surtout.
Ce qu'on va voir maintenant, dans le chapitre 10 plutôt, mais c'est ici le point tournant, on tourne la page ici, pour ainsi dire.
Maintenant, il va parler du Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur, pas seulement à l'égard de nos besoins, des besoins d'un peuple sur la terre.
Il va maintenant présenter le Seigneur Jésus comme un souverain sacrificateur qui est convenable.
On a vu cela à la fin, la dernière fois, verset 26 du chapitre 7.
Car un tel souverain sacrificateur nous convenait.
Dieu voulait avoir des fils pour lui-même.
Et c'est pour eux que Dieu donne un tel souverain sacrificateur.
Pas seulement pour les soutenir dans le désert, mais pour les introduire dans la présence de Dieu.
Dieu cherche une compagnie de fils.
Et ainsi, le Seigneur Jésus est le grand conducteur pour amener cette compagnie de fils dans la présence de Dieu.
On a vu cela déjà dans Hebreu 2, verset 10, amenant plusieurs fils à la gloire.
Vous voyez, c'est un des buts du ministère du Seigneur Jésus pour amener plusieurs fils, ou beaucoup de fils, à la gloire.
Pas seulement pour les soutenir pour le voyage à travers le désert, c'est inclus aussi.
Mais pour qu'ils soient là pour la satisfaction du cœur de Dieu.
Donc Dieu voulait avoir des fils.
Et ils sont vus ensemble avec le Fils.
Et on a vu plusieurs de ces aspects-là, de cette pensée-là.
Je voulais juste résumer.
On a vu le premier chapitre, Christ, un, par Dieu, au-dessus de ses compagnons.
Mais ça veut dire qu'on a vu, Christ a une relation avec nous, nous sommes ses compagnons.
Ensuite, nous l'avons vu comme fils sur la maison de Dieu, Hebreu 3.
Ça veut dire, nous sommes sa maison.
Ça veut dire, nous sommes des fils qui appartiennent à cette maison.
On a vu le Seigneur Jésus comme héritier de toutes choses.
Nous sommes co-héritiers avec lui.
Ainsi, nous voyons le Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur.
Ici, au chapitre 7, verset 26.
Pour une compagnie de sacrificateurs, nous les croyons, nous sommes des fils, sacrificateurs.
Et ainsi, il nous convenait un tel souverain sacrificateur.
Chapitre 7, verset 26.
Il est le premier né entre beaucoup de frères.
Voilà, encore une fois, la relation entre lui et nous.
Il est celui qui sanctifie, nous sommes ceux qui sont sanctifiés.
Et maintenant, on va voir sur le chapitre 8, il est le ministre pour la satisfaction du corps de Dieu.
Pas maintenant pour nos besoins, mais pour les intérêts de Dieu dans le ciel.
Verset 1 et 2.
Et ainsi, nous sommes vus comme serviteurs avec lui.
Nous sommes déjà dans la présence de Dieu et nous servons Dieu avec le Seigneur Jésus.
On verra cela en détail, chapitre 10, verset 19.
Ayant donc fait une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints par le sang de Jésus.
C'est par lui, et on verra une autre fois, chapitre 13, 15.
C'est par lui que nous pouvons offrir des offrandes.
Donc, nous sommes aussi des ministres, comme le Seigneur Jésus.
Il y a donc un lien intime entre lui et nous. C'est toujours le cas.
Ce que je voulais souligner maintenant, il y a beaucoup de sujets importants dans cet épisode.
On a vu des sujets importants par rapport à sa personne.
Il est la meilleure personne.
Et ainsi, nous avons vu, hébreux 1 et 2, des aspects de sa personne.
Mais ici, nous voyons le Seigneur Jésus comme celui qui introduit un nouvel ordre de choses.
Et cet ordre est meilleur.
On a vu cela au verset 6, par exemple.
Une meilleure alliance, de meilleures promesses.
Et l'emphase est maintenant sur un nouveau système que le Seigneur Jésus introduit.
Pour avoir ce nouveau système, ça prend un nouveau sacrifice.
C'est ça qu'on va voir, chapitres 9 et 10.
Un nouveau sacrifice est nécessaire pour qu'un nouvel ordre de choses puisse être établi.
Et ce nouvel ordre de choses est aussi un meilleur ordre.
On a vu cela déjà un peu par rapport à Melchizedek, la dernière fois et l'avant-dernière fois.
Là, on a vu des contrastes énormes entre ce qui est temporaire, ce qui est permanent,
entre la loi de Sinaï et les promesses que Dieu a faites à David.
On a vu beaucoup de contrastes la dernière fois.
Maintenant, j'aimerais juste résumer quelques points, et on va revenir à ça.
On voit une nouvelle sacrificature, chapitre 7, selon l'ordre de Melchizedek.
Ça va ensemble avec ce nouveau système que Dieu allait introduire.
Ainsi, nous allons voir tantôt, dans le chapitre 8, une nouvelle alliance,
une nouvelle relation entre Dieu et son peuple.
Chapitre 9, on verra un nouveau sanctuaire, et chapitre 10 aussi, qui est maintenant ouvert, un livre accès.
Dans l'Ancien Testament, c'était fermé.
Seulement une fois par année, c'était ouvert, mais seulement pour le grand souverain sacrificateur.
Donc, c'est ça qu'on va voir au chapitre 9.
Et au chapitre 10, nous allons voir, pas seulement ce livre accès, mais une compagnie d'adorateurs.
Nous appartenons à cette famille de fils adorateurs, qui ont cette liberté pour venir dans la présence de Dieu.
Et c'est par le Seigneur Jésus, s'il est notre grand leader, qui nous introduit dans la présence de Dieu.
Ensuite, à la fin de l'Épître, on verra le Seigneur Jésus comme le grand conducteur pour nous conduire à travers le désert.
Chapitre 11, à la fin du chapitre 10 déjà, chapitre 11, chapitre 12, une partie,
et nous allons voir le Seigneur Jésus comme le grand conducteur qui nous conduit hors du camp.
Ça c'est tout un sujet, mais ça c'est seulement au chapitre 13.
Donc les trois grandes divisions de cette Épître, la meilleure personne, chapitre 1 à 7, un meilleur système, chapitre 8 à 10,
et un meilleur conducteur qui nous introduit dans la présence de Dieu à la fin du chapitre 10,
qui nous conduit à travers le désert, qui nous conduit hors du camp, le meilleur conducteur.
C'est trois grandes divisions de l'Épître aux épreuves.
Chapitre 8, le premier verset, on a déjà mentionné la Somme, donc Paul, l'auteur, supposons que c'est Paul, je pense,
il résume en quelques mots ce qu'il a présenté jusqu'à ce moment-là.
Il est l'orateur qui parle, et il dit ici, c'est que nous avons un tel souverain sacrifice.
C'est très beau de voir ça, nous avons, et ça vaut la peine de voir ici dans cette Épître,
tout ce que nous avons, c'est un bien que nous avons déjà maintenant.
Ce n'est pas un jour que peut-être on va avoir le salut.
On a vu cela déjà la dernière fois, nous avons le salut.
Et ainsi nous avons un tel souverain sacrifice.
Et ainsi, il y a beaucoup de choses que nous avons déjà maintenant.
C'est vraiment très beau dans cette Épître.
On a vu cela, par exemple, à la fin du chapitre 6, nous avons un ancre, chapitre 6, verset 19, nous avons un ancre de l'âme.
Par rapport à Christ qui est maintenant dans la gloire, nous avons un ancre de l'âme.
Donc, quelque chose qui est solide.
Lorsque nous sommes encore dans ce monde avec toutes ces insécurités et toutes ces tentations,
nous avons cet ancre, cette sûreté par rapport au Seigneur Jésus.
Nous avons vu aussi dans le chapitre 4, nous avons le Seigneur Jésus comme souverain sacrifice pour nos besoins.
Ici nous avons, mais maintenant, j'ai dit, c'est le point tournant.
Il parle maintenant du Seigneur Jésus dans un autre aspect.
Un tel souverain sacrifice.
L'emphase est maintenant, non pas sur ce qu'il fait pour nous, l'emphase est encore sur la grandeur de sa personne,
et en relation avec cela, sur ce nouvel ordre qu'il a introduit.
Donc on doit souligner chaque mot ici.
Nous avons, c'est notre bénédiction, c'est un bien présent et permanent.
Un tel, c'est pour souligner comment il est spécial, comment il est différent, comment il est merveilleux,
comment il est supérieur souverain sacrificeur, ça veut dire, donc, il est le chef de tout cet ordre, de tout cet ordre.
Et ensuite nous voyons qu'il s'est assis.
C'est beau de voir dans la parole, il est assis, c'est sa position actuelle.
Il est dit aussi dans la parole, que Dieu l'a assis.
Dieu l'a fait asseoir.
Ici il est dit, il s'est assis.
Donc ça veut dire, par lui-même.
On a vu cela aussi au premier chapitre de l'Écriture aux livres.
Il y a un verset qui dit, il est à la droite du trône, ou il est là, dans la gloire.
Mais ici l'emphase est sur le fait qu'il est assis.
C'est une position qui implique que l'œuvre a été accomplie.
Il n'a rien à être ajouté.
Vous comprenez?
S'il ne pouvait pas s'asseoir, ça veut dire que l'œuvre n'était pas complète.
Vous voyez les sacricateurs dans l'Ancien Testament?
Est-ce qu'ils pouvaient s'asseoir?
Est-ce que vous avez vu déjà des modèles du tabernacle?
Est-ce que vous avez vu une chaise dans le tabernacle?
Non, il n'y avait pas de chaise.
Le service continuait tout le temps.
Jamais parfait, jamais complet.
Ici il n'y a pas seulement une chaise.
Ici il y a un trône.
Un trône.
Et le Seigneur est assis là, à la droite.
Donc je mets l'emphase sur cette expression « assis ».
Il s'est assis, c'est ce qu'il pouvait faire après cette œuvre qui était accomplie.
Et il est assis, ça souligne sa position actuelle,
le repos que l'œuvre a été accomplie une fois pour toutes.
À la droite, ça implique le côté de faveur.
Il est là et en lui la faveur de Dieu s'exprime.
La droite nous parle du privilège.
Il est là privilégié.
La droite nous parle aussi de l'autorité qu'il a.
Dieu a délégué toute l'autorité au Seigneur Jésus.
On voit cela dans 1 Pierre 3, verset 22.
Il est là aussi, à la droite.
Il a toute autorité, tout lui est soumis, aussi les anges.
Donc toutes ces pensées-là sont impliquées par l'expression « à la droite ».
Une position officielle par rapport au gouvernement,
parce que c'est le trône, à la droite du trône.
Le trône, ce n'est pas par rapport au gouvernement.
Le trône, c'est par rapport à l'administration.
Et ainsi le Seigneur Jésus sera assis sur le trône, verset 13, verset 6.
Le sacrificateur et le roi, les deux ensemble.
Sous l'ancienne alliance, le sacrificateur ne pouvait pas être roi,
le roi ne pouvait pas être sacrificateur.
Mais avec ce nouvel ordre de choses que Dieu a introduit à cause de l'œuvre accomplie du Seigneur Jésus,
il y a maintenant cette position.
Il y a un roi et un sacrificateur.
On a vu cela avec Melchizedek, roi, sacrificateur.
Et là, l'expression trône nous souligne donc le gouvernement, l'administration.
Ensuite, il ajoute encore une pensée « de la majesté ».
Ici, toutes les pensées qu'on a eues sont encore renforcées par le fait que c'est « de la majesté ».
Et ça souligne la gloire de Dieu.
Le mot « majesté » implique la pensée de grandeur, de quelque chose qui est méga, qui est grand, qui est excellent.
Mais je pense que ça inclut la pensée de la nuvée de Shekinah.
On sait que Dieu, dans l'Ancien Testament, s'est manifesté par la nuvée de Shekinah.
Par exemple, à la sortie du peuple d'Israël de l'Égypte, la nuvée est allée en avant.
La nuvée les a protégés. La nuvée était là.
Et ça nous parle de la gloire de Dieu.
Cette nuvée a rempli le tabernacle.
Lorsque le tabernacle était prêt, la nuvée a rempli le tabernacle, exode 40.
Ensuite, Dieu a commencé à parler à Moïse, Levitique 1, verset 1.
Ensuite, plus tard, sous les jours de Salomon, la nuvée a rempli le temple qui était inauguré à ce moment-là.
C'est très beau.
Plus tard, à cause de l'infidélité du peuple, qu'est-ce qui s'est passé ?
La nuvée s'est levée et la nuvée est partie.
Dans quelques étapes, lentement, la nuvée s'est éloignée.
D'abord du sanctuaire, ensuite du temple, ensuite de la ville, s'est éloignée et dans la gloire.
Mais, Ézéchiel a vu cette gloire.
Ézéchiel était tout près de Dieu.
Il a vu, dans Ézéchiel 1 par exemple, comment cette gloire de la Chiquina était par rapport au trône, par rapport au gouvernement.
Il a vu ces chats, quatre chats pour ainsi dire, qui portent le trône et sur le trône, Dieu lui-même, mais vu dans la ressemblance d'un homme, Ézéchiel 1.
C'est encore cette gloire qu'il a pu voir.
Maintenant, cette gloire est revenue dans la personne du Seigneur Jésus.
Sa gloire était vue, la gloire de Dieu était vue dans le Seigneur Jésus.
Dans Jean 1, il dit, il a tabernaclé, il a habité, mais littéralement, il a tabernaclé au milieu de nous et nous avons vu sa gloire.
C'était la gloire de Dieu, c'était encore la majesté de la Chiquina qui était là.
Mais, les juifs l'ont crucifié, il a été rejeté par toute l'humanité.
Et maintenant, il est dans le ciel.
Et là, on voit cette gloire, cette majesté est là, par rapport à la personne du Seigneur Jésus.
Et nous, vous et moi, nous avons ce libre accès, nous voyons le Seigneur Jésus couronné de gloire et d'honneur.
Donc, toute cette majesté, toute cette splendeur, comment il est suprême, est présenté dans ces quelques mots, dans ce verset.
Et notons bien aussi, c'est dans les cieux.
Tantôt, je parlais sur la terre, par rapport à Israël, les choses étaient sur la terre.
Par rapport au christianisme, les choses sont dans les cieux.
Pourquoi? Parce que Christ est là, Christ est dans les cieux.
Et notre attention est maintenant dirigée vers le ciel, vers les cieux.
Et qu'est-ce qu'il fait là?
Là, il est ministre.
Qu'est-ce que ça veut dire? Il est là pour les intérêts de Dieu.
On dirait, l'œuvre est accomplie? Oui.
Lorsque le Seigneur Jésus a crié fort, c'est accompli.
C'est un mot dans l'original.
Dieu a accepté cette œuvre.
Et à cause de cette œuvre, le Seigneur Jésus est maintenant là, à la droite du trône de la majesté.
Il a servi Dieu sur la terre.
L'œuvre est accomplie sur la terre.
Et maintenant, le Seigneur est dans la droite comme ministre.
C'est un mot très spécial par rapport à l'administration dans les choses de Dieu.
Par exemple, Zacharie, dans Luc 1, la note le dit, est vu dans ce service officiel.
Donc ici, nous voyons le Seigneur Jésus comme un serviteur officiel.
Dieu l'a engagé, Dieu l'a établi comme ce ministre.
Ce qui est très beau de voir, c'est lorsque Paul et Barnabas sont partis pour ce travail que l'Esprit de Dieu leur a confié,
le même mot dans l'original est utilisé par rapport à leur service, pour le ministère pour lequel Dieu les avait appelés.
Le mot est utilisé pour le gouvernement.
Par exemple, dans Romains 13, verset 6, le gouvernement est un leiturgos.
C'est un officier.
C'est un office pour Dieu.
Paul était ainsi officier de Jésus-Christ, Romains 15.
Mais ce qui est beau, les croyants sont aussi les officiers ici.
Souvent par rapport à des besoins ici sur la terre.
C'est un mot très spécial qui est utilisé quelquefois dans le Nouveau Testament.
Mais ici, l'emphase est sur le fait que c'est officiel, institué par Dieu.
Un petit détail, mais c'est très beau de voir ça.
Ce mot qui est utilisé ici, est utilisé aussi dans l'Ancien Testament, dans la traduction grecque de l'Ancien Testament.
Et on trouve cela, par exemple, lorsque la reine de Sheba est venue pour voir Salomon.
Lorsqu'elle a vu ce service merveilleux, elle était tellement étonnée.
Le mot service, là, c'est de la même racine que ce mot ministère qu'on a ici.
Donc c'est beau, c'est par rapport à quelque chose qui est officiel, que Dieu a établi.
Mais c'est vraiment pour la gloire de Dieu.
Parce que tout ce service de Salomon était pour la gloire de Dieu.
Et le service que le Seigneur Jésus a maintenant, là, dans le ciel, c'est pour la gloire de Dieu.
Donc imaginons, il y a maintenant un ministre dans le ciel.
Il est là 24 heures par jour pour être là pour la satisfaction de Dieu.
Lorsque Dieu a vu le Seigneur Jésus sur la terre, qu'est-ce qu'il a fait?
Il a ouvert le ciel. Il a dit, voici, mon fils bien-aimé.
Un autre verset dit, tu es mon fils bien-aimé en qui j'ai trouvé mon bon plaisir.
Et celui-ci est mon fils bien-aimé.
Dieu a ouvert le ciel pour exprimer sa satisfaction.
Maintenant, le Seigneur, la même personne, est dans la gloire.
Et Dieu a encore sa satisfaction en lui.
Et dans ce qu'il fait, là, il est là, ministre, pour satisfaire le cœur de Dieu.
Mais je répète, ce n'est pas ici pour établir la base pour notre salut,
ou pour établir la base pour que nous puissions fonctionner comme ministres ou comme serviteurs.
Non, ça, il l'a fait une fois pour toutes.
Et on va voir ça en plus de détails dans chapitre 9 et 10.
Si le ministre maintenant, c'est dans la gloire, pour les intérêts de Dieu.
L'œuvre a été accomplie. Rien ne peut être ajouté.
Mais c'est maintenant, ce qu'il fait, dans la gloire, pour satisfaire le cœur de Dieu.
Constamment, il s'occupe des intérêts de Dieu maintenant, dans le ciel.
Et ainsi, le Seigneur va être le ministre des lieux saints pour toujours.
OK, c'est clair, hébreu ne dépasse pas la pensée de la création.
Donc, ça ne veut pas dire que dans la maison du Père, on a la même pensée.
Ici, c'est tout vu par rapport à la création ou par rapport à la nouvelle création.
J'ai dit la nouvelle création parce que verset 2 en parle du vrai tabernacle que le Seigneur a dressé, non pas l'homme.
Là, nous voyons le Seigneur Jésus comme le chef de la nouvelle création,
qui a introduit maintenant quelque chose qui demeure, qui ne peut pas être remplacé par quelque chose d'autre.
Le vrai tabernacle veut dire la pensée que Dieu a exprimée par le tabernacle dans le désert, par Moïse.
C'était juste une image, une image des ombres, comme on verra plus tard,
de cette chose qui est vraie, qui est réelle, qui est là selon le cœur de Dieu pour toujours.
Donc, un contraste avec l'Ancien Testament et le vrai tabernacle veut dire quelque chose qui est vraiment selon le cœur de Dieu.
L'Ancien Testament, Dieu était limité. Maintenant, Dieu est satisfait, on a vu.
Ce mot vrai, on trouve par exemple dans Jean Quint, lorsque le Seigneur parle, je suis le vrai chef.
Et ça veut dire, ça remplace ce qu'on voit sous l'Ancien Ordre,
et ça implique la pensée que le Seigneur Jésus a introduit quelque chose de nouveau, qui reste, qui demeure, qui est parfait.
Le vrai tabernacle.
Le mot tabernacle, dans l'original, dans l'hébreu, implique aussi la pensée de l'annulé Chékinat.
Le mot tabernacle, dans l'original hébreu, est intimement connecté avec ce mot Chékinat.
Donc, ce résumé, ce sommaire est vraiment merveilleux.
Mais là, il va parler, au verset 3 et verset 4, de deux choses.
La première chose, tout souverain sacrificateur est établi pour offrir des dents.
Donc, si le Seigneur Jésus est sacrificateur, il est aussi établi pour offrir des dents.
Et c'est ça qu'on va voir, chapitre 9.
Il s'est donné lui-même un sacrifice.
Donc, vous voyez, c'est juste une remarque générale.
Un sacrificateur est établi pour offrir des dents.
C'est pourquoi il était nécessaire que celui-ci ait aussi eu quelque chose à offrir.
Donc là, on verra en détail, comme j'ai dit, le Seigneur s'est donné lui-même un sacrifice.
Il s'est offert lui-même.
Maintenant, dans la gloire, il a aussi un service.
Comme dans l'Ancien Testament, Aaron avait un service, par exemple, par rapport au chandelier,
par rapport au pain qui était présenté sur la table des pains de préposition.
Tout cela est vraiment des images de ce que le Seigneur fait maintenant dans la gloire.
Donc, il a aussi quelque chose à faire dans la gloire.
Mais on a vu cela déjà dans la première partie de cette écriture,
par rapport à un ministère pour nos besoins.
Mais ici, l'emphase est par rapport aux besoins du Cœur de Dieu, pour satisfaire le Cœur de Dieu.
Verset 4 va souligner encore un autre point.
Ce service ne peut pas s'accomplir sur la terre.
Si donc il était sur la terre, il ne serait pas sacricateur.
On a vu dans chapitre 7, à cause du fait qu'il n'était pas de la tribu de Lévi,
il ne serait pas sacricateur sur la terre.
Sauf à la fin de sa vie à la croix, comme j'ai dit.
Mais c'était l'exception.
Mais dans sa vie, il n'était pas sacricateur parce qu'il n'appartenait pas à la tribu de Lévi.
Donc là, une petite parenthèse.
Moralement, le Seigneur Jésus était un sacricateur.
Ce sont ce qu'on voit dans Luc, l'Évangile de Luc.
C'est juste une parenthèse.
Donc, verset 4 souligne qu'il n'est pas un sacricateur sur la terre.
Puisqu'il y a ceux qui offrent des dons selon la loi, lesquels servent la figure et l'ombre des choses célèbres.
Donc ce qui est remarquable ici, à ce moment-là, lorsque l'Épître a été écrit,
il y avait un service sur la terre, dans le Temple à Jérusalem.
Mais le vrai service a lieu dans la gloire.
Et à la fin du chapitre 8, on a vu que ce qui se passait à ce moment-là dans le Temple était pour terminer,
était pour disparaître.
Ça appartenait à cette vieille chose, ça appartenait à un ancien ordre qui était pour disparaître.
Mais à ce moment-là, les deux coexistaient pour un temps.
Le nouveau système, dans la gloire, et les chrétiens sur la terre, les juifs chrétiens sur la terre,
représentaient ce nouveau système.
Et en même temps, le judaïsme, qui avait rejeté le Messie,
continuait encore pour quelques années, jusqu'à l'année 70, et c'était pour disparaître.
Maintenant, ce service en soi, sur la terre, en soi, c'était déjà une figure et l'ombre des choses celles-là.
Vous voyez? Où est-ce qu'on trouve cela?
Déjà dans l'Exode 25, lorsque Moïse était sur la montagne,
Dieu lui a montré toutes ses pensées dans le ciel.
Et dans la tabarnakhe, Moïse a fait,
c'était pour refléter ces choses qu'il avait vues dans le ciel.
Maintenant, dans le système de Moïse, ces choses reflétaient donc,
d'une part ou d'une autre, les choses qu'il avait vues dans le ciel.
Mais c'était un ministère sur la terre.
Maintenant, l'Empage est sur ce qui est réel, ce qui est vrai.
L'Empage est sur ce qui se passe dans le ciel, par le Seigneur Jésus.
Donc, il y a beaucoup de contrastes.
Mais comme j'ai dit déjà quelques fois dans le passé, il y a souvent des parallèles.
Et c'est pour cela qu'un tel Épître, comme l'Épître aux Hébreux, est tellement difficile à analyser,
parce qu'on doit voir quand il y a un parallèle, quand il y a un contraste.
À la fin du verset 5, il explique maintenant pourquoi c'était la figure et l'ombre des choses célestes.
Parce que Moïse était averti divinement, prend garde, dit-il,
à faire toutes choses selon le modèle qui a été montré sur la montagne.
Donc, d'un côté, dans ce modèle, nous voyons quelque chose des choses célestes,
dans ce modèle, nous voyons quelque chose des choses célestes,
mais c'était seulement l'ombre de ces choses.
La réalité est là maintenant par rapport à Christ dans la gloire.
Et ainsi, les chrétiens devraient réaliser, si on va retourner dans le judaïsme,
si on va retourner dans le temple, on retourne aux ombres,
tandis que nous avons déjà la réalité dans le Seigneur Jésus.
C'est ça le point à saisir.
Nous avons la réalité dans le Seigneur Jésus.
Est-ce qu'on a besoin de retourner aux ombres? Pas du tout.
Ce serait une perte.
Verset 6, maintenant Christ a obtenu un ministère d'autant plus excellent.
Vous voyez un contraste maintenant.
Des choses de la loi, du système de Moïse, on ne trouve jamais que c'était plus excellent.
Peut-être que c'était excellent, mais maintenant par rapport à Christ,
les choses sont plus excellentes.
On a vu dans Hébreu 1, verset 4, il a un nom plus excellent, même plus excellent que les anges.
Et ainsi, ce système qui va ensemble avec le Seigneur Jésus est plus excellent
que le système qui était introduit par Moïse, que Dieu a donné dans ce temps-là.
Mais c'était limité, c'était seulement pour un temps, c'était les ombres des choses célestes.
Et maintenant, l'heure est accomplie par le Seigneur, maintenant on a la vraie chose.
On ne veut pas avoir une contrefaçon, on veut la réalité, n'est-ce pas?
Et ceux qui voulaient retourner au judaïsme voulaient se satisfaire d'une contrefaçon,
de quelque chose qui était des ombres ou des images seulement, mais nous avons la réalité.
Donc, il faut continuer avec le Seigneur, avec lui, pour que tout soit vrai et réel.
Maintenant, il y a une expression au verset 6, que Christ est un ministre, mais là c'est un autre mot.
Il a obtenu un ministère, donc ici il est encore ministre.
Mais ce mot ministère est plus général que le mot ministre du verset 1 et 2.
Pour ce ministère qu'il a maintenant, il est un médiateur d'une meilleure alliance.
L'alliance est aussi souvent appelée la nouvelle alliance.
Et on verra dans le verset qui suit quelques détails là-dessus.
Mais ce que je voulais souligner maintenant,
on a besoin de cette nouvelle alliance, ou de cette meilleure alliance,
par rapport aux choses du passé qui n'étaient pas suffisantes.
Et pour avoir cet accès au sanctuaire, comme on verra au chapitre 9 et 10,
ça prenait ce nouveau sacrifice, ça prenait aussi cette nouvelle alliance,
pour régler les choses d'une nouvelle façon.
Une alliance, on ne peut pas parler de la nouvelle alliance en détail là,
mais c'est vraiment un contrat.
Un contrat entre Dieu et son peuple.
Mais quelle est la différence avec la première alliance ?
Dans la première alliance, tout dépendait de la fidélité de l'homme.
Mais ils l'ont manqué.
Ils l'ont manqué.
Dieu leur a dû faire des reprises parce qu'ils l'ont manqué.
Ils l'ont dit trois fois.
Tout ce que l'Éternel a dit, nous le ferons.
Est-ce qu'ils l'ont fait ?
Est-ce qu'ils ont accompli leur promesse ?
Non, malheureusement pas.
Ici, la première alliance a manqué.
Pas parce que Dieu n'avait pas donné une bonne alliance.
Même dans Romain VII, il dit que la loi est bonne et parfaite et sainte.
C'était bon en soi,
mais cette alliance a manqué à cause de l'infidélité et de l'incapacité de l'homme.
L'homme n'était pas capable en lui-même d'accomplir cette alliance.
Maintenant, nous trouvons le Seigneur Jésus.
Lui, il est garant pour ce nouveau système.
Par son sacrifice, il s'est donné un sacrifice
et ainsi il est garant pour que cette nouvelle alliance puisse continuer tout le temps.
Cette nouvelle alliance n'aura jamais un moment où ce serait insuffisant.
Comme l'ancienne alliance était insuffisante à cause de l'incapacité de l'homme,
ce ne sera jamais le cas avec la nouvelle alliance.
Parce que toutes les demandes de Dieu, toutes les obligations ont été accomplies par le Seigneur Jésus.
Et ainsi Dieu est satisfait.
Ainsi Dieu peut maintenant montrer sa satisfaction au peuple de Dieu
comme il va le montrer avec la nouvelle alliance dans les jours à venir à Israël.
Et ainsi il y a sept mots par rapport à cette nouvelle alliance.
Ce que j'aimerais souligner.
Mais d'abord une pensée.
Nous ne sommes pas sous la nouvelle alliance.
Nous avons par contre l'apôtre Paul comme ministre de la nouvelle alliance.
Deux chrétiens, trois.
Nous avons la coupe de la nouvelle alliance.
Dimanche matin, la coupe de la nouvelle alliance.
Nous avons les bénédictions de la nouvelle alliance.
Par anticipation, la nouvelle alliance va être faite verset 8.
Je conclurai pour la maison d'Israël et pour la maison de Judas une nouvelle alliance.
C'est encore futur.
Mais par anticipation, nous jouissons déjà de ces bénédictions.
C'est ça la pensée à saisir.
Mais formellement, nous ne sommes pas sous cette nouvelle alliance.
Donc les sept expressions que j'aimerais souligner qui montrent que littéralement c'est encore futur.
Je conclurai verset 8.
Ensuite verset 10.
C'est ici l'alliance que j'établirai pour la maison d'Israël après ce jour-là.
En mettant mes lois dans leur entendement.
Troisième expression.
Celle-ci, future dans l'ordinaire.
Quatre expressions.
Je les écrirai aussi sur leur terme.
Ensuite au verset...
Ça c'est le cinquième point.
Quatre c'est je les écrirai.
Et le cinquième point c'est je leur serai pour Dieu.
Ensuite le sixième point verset 12.
Je serai clément à l'égard de leurs injustices.
Le septième point, je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés.
Donc c'est tout futur.
Mais nous avons vu déjà que nous avons le pardon de nos péchés.
Nous avons une relation avec Dieu.
Donc ici c'est par rapport à Israël.
C'est encore futur.
Mais nous avons tous ces biens déjà.
Et même des biens qui dépassent la nouvelle alliance.
Mais ici dans le contexte, on peut dire que nous avons toutes les bénédictions de la nouvelle alliance.
Déjà, maintenant, par anticipation.
Parce que nous appartenons au Seigneur.
Quelques détails encore.
On voit c'est Dieu qui a prévu cela.
Qui prédit tous ces détails au verset 8.
On voit le contraste au verset 9.
C'est différent.
Non selon l'alliance que j'ai faite avec leur père.
Au jour où je l'ai pris par la main pour les tirer du pays d'Égypte.
Car ils n'ont pas persévéré dans mon alliance.
Vous voyez l'infidélité de l'homme.
L'incapacité de l'homme.
Ainsi, cette nouvelle alliance était nécessaire.
Mais la nouvelle alliance ne sera pas remplacée.
L'ancienne alliance a dû être remplacée par la nouvelle.
Mais la nouvelle est permanente et même éternelle.
Hébreu 13.
Verset 10, il donne des détails.
Car c'est ici l'alliance que j'établirai pour la maison d'Israël après ce jour-là.
Et là, j'aimerais souligner maintenant d'abord un changement intérieur qui était nécessaire.
En mettant mes lois dans leur entendement.
Ce n'était pas le cas avec l'ancienne alliance.
Je les écrivais aussi sur leur cœur.
On verra des détails si vous voulez.
Ézéchiel 36-37.
On pourrait lire aussi tout le passage dans Jérémie.
Et lorsque Paul applique cela maintenant aux croyants d'aujourd'hui, dans Deux Chrétiennes 3.
Deux Chrétiennes 3 serait un autre passage à lire.
Il mentionne sept détails.
Tantôt, on a mentionné sept expressions.
Mais dans Deux Chrétiennes 3, il mentionne sept détails pour montrer la supériorité de la nouvelle alliance.
Mais il l'applique maintenant aux croyants.
Là, il ne dit pas que la loi est écrite dans nos cœurs.
Mais qu'est-ce qu'on voit dans Deux Chrétiennes 3?
Christ est écrit sur les tables de nos cœurs.
Ça, c'est la différence.
Il y a donc un parallèle.
Encore un contraste.
Verset 11.
Cette nouvelle ordre de choses, cette nouvelle alliance, va affecter l'ordre social.
Ça va affecter aussi l'ordre, les choses religieuses.
Par exemple, chacun son frère disant connaît le Seigneur, car il me connaîtra en tout.
Ils auront chacun cette relation intime avec Dieu lui-même.
Dieu sera leur Dieu.
Mais ce Dieu qui sera connu dans le millenium par Israël est notre Dieu déjà maintenant.
Et nous avons une relation d'amour.
Le mot « connaître » implique, le verbe « connaître » implique une relation d'amour.
La connaissance dans la Bible va toujours ensemble avec l'amour.
Si on sépare la connaissance de l'amour, la connaissance va enfler, comme un chrétien vit le monde.
Mais la connaissance selon les pensées de Dieu est toujours dans le contexte de la relation d'amour avec lui.
Et aussi les uns avec les autres, évidemment.
Verset 12.
Je serai clément à l'égard de leurs injustices et je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés ni de leurs iniquités.
Lorsque vous allez étudier 2 Corinthiens 3, vous allez voir deux ministères par rapport à cette nouvelle alliance.
Le ministère de l'esprit, c'est par rapport à un travail en nous.
Le ministère de la justice, c'est par rapport à une œuvre pour nous.
Et pour le peuple, qu'est-ce qu'il avait besoin? Que leurs péchés soient pardonnés.
Ensuite, il avait besoin d'un travail en eux-mêmes, par l'esprit.
C'est pour nous la même chose.
Dieu nous a pardonnés nos péchés, c'est le ministère de l'esprit.
Envers nous, c'est le ministère de la justice.
Et Dieu travaille maintenant par son esprit en nous.
C'est un ministère, un travail en nous.
Maintenant, je vais revenir encore au début du chapitre.
Ce qu'on a vu jusqu'à le chapitre 8, c'est vraiment Dieu qui sort pour se manifester.
On a vu dans l'Ancien Testament, la tabernacle, Dieu est sorti.
Il commence par l'arche, ensuite il parle du chandelier, il parle de la table.
Et Dieu sort pour rencontrer son peuple autour de l'hôtel, à l'entrée de la tabernacle.
Dieu sort.
C'est ça qu'on voit dans Hébreu 1 à 7.
Dieu se manifeste, Dieu sort, mais dans la personne du Seigneur Jésus évidemment.
Mais depuis le chapitre 8, nous avons une autre pensée.
Dieu nous introduit dans sa présence.
Donc Dieu nous prend maintenant par la main, pour ainsi dire, et nous introduit dans sa présence.
Pour voir le Seigneur dans la gloire, pour voir l'efficacité de son œuvre,
et pour voir aussi que nous avons un service là, dans la présence de Dieu.
Ça c'est les deux grandes pensées en Hébreu.
Dieu sort, se manifeste, et Dieu nous introduit dans sa présence.
Peut-être que je peux juste mentionner ce point, et vous pouvez étudier en détail,
parce que vous voyez qu'ici, c'est un passage important qui décrit la Nouvelle Alliance.
Mais il faut vraiment étudier aussi 2 Corinthiens, 3 et 4, pour voir d'autres détails,
et comment ça s'applique à nous aujourd'hui.
Les caractéristiques que je voulais juste énumérer, c'est que la Nouvelle Alliance n'est pas basée sur nos œuvres.
C'est important.
Il y a beaucoup de gens qui pensent que nous devons mériter le salut par nos œuvres.
Si c'était le cas, on serait perdus pour toujours.
Donc la Nouvelle Alliance n'est pas basée sur nos œuvres.
C'est basé uniquement sur l'œuvre accomplie du Saint-Louis.
Ensuite, la Nouvelle Alliance est donc fondée sur ce que Dieu a fait, et sur les promesses de Dieu,
non pas sur nos promesses, ou sur notre intention, ou ce que nous puissions contribuer.
La troisième chose qu'on voit dans la Nouvelle Alliance, elle apporte des bénédictions.
Mais pas seulement des bénédictions terrestres, comme sous l'ancienne Alliance.
Elle apporte des bénédictions éternelles, et célestes, et spirituelles.
Ensuite, nous voyons, dans la Nouvelle Alliance, il y a un lien entre le Fils du Seigneur Jésus et nous, les fils.
Ce qu'on voit dans Deux Chrétiens, nous contemplons avec des yeux découverts.
Nous contemplons la gloire du Seigneur.
Nous sommes des Christs ici sur la terre, mais nous avons ce libre accès, comme Hébreux nous montre et nous voyons Christ.
Il y a une relation entre lui dans la gloire et nous sur la terre.
Ensuite, nous voyons que dans la Nouvelle Alliance, Christ est écrit sur les tables de nos coeurs.
Pour Israël, ce sera une loi qui sera établie, qui sera écrite sur leurs coeurs, Jérémie 31,
et comme Hébreux 8 verset 10 le dit, je les écrirai aussi sur leurs coeurs.
C'est les lois, mais pour nous les chrétiens, c'est Christ qui est écrit sur les tables de notre coeur.
Ensuite, tous connaissent le Seigneur.
Il n'y a pas de différence entre des classes, une élite, comme le sacricateur, et le restant du peuple,
ou comme aujourd'hui, le clergé, la laïté, non.
Tous sont égaux devant Dieu. Pas de différence.
Parce que Christ est écrit sur chacun de nous. Il n'y a pas de différence.
Et par rapport à cela, il y a donc cet élément de la connaissance que j'ai souligné déjà au verset 11,
C'est donc une relation d'amour, et dans ce contexte-là, une connaissance intime, personnelle, entre le Seigneur et lui.
Et avec l'ancienne alliance, il y avait toujours un souvenir des péchés.
On verra cela en plus de détails au chapitre 9 et 10.
Avec la nouvelle alliance, il n'y a même pas un souvenir des péchés.
Il y a de grands contrastes.
Il y a sans doute beaucoup d'autres détails à mentionner par rapport à la nouvelle alliance,
mais je pense qu'on peut terminer avec ceci.
Et puis, si vous avez encore des questions, ou s'il y a des choses qui doivent être clarifiées, j'aimerais savoir.
Pour Israël, oui, mais pour nous, c'est déjà le cas maintenant.
C'est pour cela que j'ai dit, par anticipation, nous avons déjà tous les biens de cette alliance qui est encore future pour Israël.
Si vous me permettez, j'aimerais mentionner deux choses que j'ai oubliées tantôt.
La chose que j'ai oubliée au verset 1er, c'est qu'il s'est assis à la droite du trône de la Majesté.
Si on compare cela avec Hébreu 1, nous voyons Christ aussi à la droite.
Là, verset 3, c'est à cause de la grandeur de sa personne.
Ici, c'est à cause de la grandeur de son office.
Et plus tard, on verra encore deux fois, Hébreu 10, verset 12, il est à la droite de Dieu, pourquoi?
L'heure est accomplie, c'est à cause de l'heure glorieuse qu'il a accomplie.
Et chapitre 12, versets 1 et 2, il est à la droite de Dieu parce qu'il a accompli la marche, la course, accomplie par lui-même, il est maintenant dans la gloire.
Donc, toujours un autre contexte lorsqu'il parle de cette position à la droite.
L'autre point que je voulais souligner encore, nous avons, et ça vaut la peine d'étudier l'Épître, juste lire l'Épître pour trouver tout ce que nous avons par rapport au Seigneur Jésus.
Comme nous avons un tel souverain sacrificateur, c'est quelque chose que nous avons.
Et ainsi, nous avons vu, nous avons un ancre, et ainsi nous avons d'autres choses.
Nous avons liberté pour entrer, nous avons une nuée de témoins.
Chapitre 13, nous avons un hôtel, nous avons une cité qui est permanente, et aussi nous avons une bonne conscience.
Il y a plusieurs choses que vous pouvez trouver dans cet Épître, ce que nous avons.
Et c'est aussi un contraste avec ce que les gens pensent souvent, que nous devons travailler fort pour pouvoir obtenir quelque chose.
Non, nous avons tout déjà.
Le point c'est que nous devons faire un effort pour jouir de tout ce que nous avons.
Ça c'est notre responsabilité.
Donc, cherchant de telles expressions, et puis on verra aussi qu'à travers l'Épître, il trace une ligne par rapport à un sujet, et puis le sujet est développé plus tard en détail.
C'est vraiment très beau de voir comment la structure se présente ici.
Il mentionne un point, chapitre 2 par exemple, où il dit que nous sommes des fils qu'il amène à la gloire.
Et ensuite, plus tard, il parle encore des fils.
Il parle encore de ce que nous avons au chapitre 10 par exemple.
Il revient sur cet âme plus tard en détail.
Ça c'est souvent le cas.
Puis, si on est à l'air pour ça, ça va nous aider.
Donc, j'espère que vous n'êtes pas trop découragés, parce que c'est un épitre très fixé, mais en même temps, c'est très enrichissant.
Donc, ça prend un effort, tout le temps.
Mais si on fait cet effort, le Seigneur nous bénit.
Et là, nous pouvons jouir de la communion avec lui, et aussi jouir de sa grandeur, et présenter nos sacrifices, nos louanges devant Dieu.
Nous avons cet épitre pour nous aider.
Encore des points?
Cet épitre est adressé en premier ressort, en premier lieu à des juifs.
Pour eux, c'est très parlant.
C'est une référence à l'ancien système toujours.
Dans nos cas, nous, qui n'avons pas connu l'ancien système, autrement que dans la parole de Dieu, nous ne l'avons pas vécu.
C'est pour ça que pour nous, les meilleurs avions, les meilleurs promesses, les meilleures espérances, ça fait toujours référence à quelque chose qui existait avant.
Pour l'Israël.
Mais ce n'est pas tellement relevant pour nous.
C'est ça. Parce que nous, on a maintenant des promesses, on a une espérance, alors qu'avant, on n'avait rien.
Oui, oui.
Je voudrais reculer par ce qu'il se passe.
Quand, par exemple, ici, en premier chef, ça s'adresse vraiment à des juifs, on s'en va dans les droits de Dieu.
J'ai annoncé ton nom à des frères. Je me suis demandé si, dans ce cas-là, c'était de façon assez stricte, des frères juifs, en relation du Seigneur Jésus avec des frères juifs.
Et dans quelle mesure on peut vraiment le détendre à tous les croyants en ce cas-là?
Parce que dans le contexte, c'est clair que ça ne s'applique pas aux juifs.
Le contexte nous parle de plusieurs fils, verset 10.
Le contexte, c'est vrai, il parle aussi de la semence d'Abraham, verset 15, par exemple.
Mais là, c'est dans ce contexte-là, la vraie semence d'Abraham, notamment ceux qui croient, les juifs qui croyaient vraiment dans le Seigneur Jésus, était la semence d'Abraham.
Les autres juifs qui l'ont rejeté étaient vraiment la semence du serpent, comme Jean le baptiseur le dit, comme le Seigneur le dit aussi, de Vipère même.
Donc, dans ce sens-là, il n'y avait aucune relation entre le Seigneur Jésus et eux, malgré le fait que physiquement il y avait un lien, parce qu'ils appartenaient au même peuple, que moralement il n'y avait aucun lien.
Le lien qu'on voit ici, c'est pas seulement par le fait qu'ils appartenaient au même peuple, c'était surtout par le fait qu'ils avaient maintenant un lien par rapport à la foi.
La foi les a liés à Christ.
Et ainsi, il y a donc immédiatement un parallèle avec nous, si c'est le cas par la foi, que les juifs chrétiens avaient un lien avec le Seigneur Jésus.
Nous, c'est la même chose, c'est par la foi que nous avons un lien avec lui.
Et pour revenir au premier point que tu faisais, malheureusement, dans l'histoire de l'Église, l'Église a adopté le judaïsme.
Donc, le judaïsme qu'on voit, qui a mis de côté le Messie, et ainsi Dieu a dû mettre de côté le judaïsme, ce judaïsme a été réintroduit dans l'Église.
Et ainsi, il y a beaucoup de choses qu'on va apprendre pour nous aussi, parce que si Dieu a mis de côté ce système-là, c'est encore actuel pour nous aussi.
C'est pour ça qu'on n'a pas un autel littéral au milieu de nous, ce serait revenir aux ombres.
Et c'est ça qu'on fait dans l'Église, on a un autel littéral, on revient aux ombres et la figure des choses, verset 5.
Et ainsi, on... …
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…
Tournez à Hébreu, chapitre 9, on avance tranquillement, ça ne va pas très vite là, mais on avance quand même.
Dans Hébreu 9, on va lire depuis le verset 1er jusqu'au verset 14 inclusivement.
Hébreu 9, la première donc avait aussi des ordonnances pour le culte et le sanctuaire, un sanctuaire terrestre.
Car un tabernacle fut construit, le premier, qui est appelé Saint, dans lequel était le chandelier et la table et la proposition des pains,
et après le second voile, un tabernacle qui est appelé Saint des Saints, ayant l'encensoir d'or et l'arche de l'Alliance entièrement couverte d'or tout autour,
dans laquelle était la cruche d'or qui renfermait la manne et la verre d'Aaron qui avait bourgeonné et la table de l'Alliance et au-dessus de l'arche des chérubins de gloire,
ombrageant le propitiatoire, sur quoi nous n'avons pas à parler en ce moment en détail.
Or, ces choses étant ainsi disposées, le sacrificateur entre constamment dans le premier tabernacle, accomplissant le service.
Mais dans le second, le seul souverain-sacrificateur, une fois là, non sans du sang qu'il offre pour lui-même et pour les fautes du peuple, l'Esprit Saint indiquant ceci,
le chemin des lieux saints n'a pas encore été manifesté tandis que le premier tabernacle a encore sa place, lequel est une figure pour le temps présent,
dans lequel sont offerts des dons et des sacrifices qui ne peuvent pas rendre parfait quant à la conscience, celui qui rend culte, culte qui consiste seulement en viande, en breuvage, en diverses abusions,
ordonnances charnelles imposées jusqu'au temps du redressement. Verset 11.
Mais, Christ étant venu, souverain-sacrificateur des biens à venir, par le tabernacle plus grand et plus parfait qui n'est pas fait de main, c'est-à-dire qui n'est pas de cette création,
et non avec le sang de bouc et de veau, mais avec son propre sang, est entré une fois pour toutes dans les lieux saints, ayant obtenu une rédemption éternelle.
Car si le sang de bouc et de taureau est la cendre d'une génisse avec laquelle on fait aspersion sur ceux qui sont souillés, sanctifié pour la pureté de la chair,
combien plus le sang du Christ, qui par l'esprit éternel s'est offert lui-même à Dieu sans tâche, purifiera-t-il votre conscience des heures mortes pour que vous serviez le Dieu vivant?
On va arrêter la lecture ici.
La dernière fois, on a parlé de la nouvelle alliance, chapitre 8, et je voulais encore lire le verset 13, en disant une nouvelle, il a rendu ancienne la première.
Or, ce qui devient ancien et qui vieillit est prêt à disparaître.
Donc, ce qu'on a vu, dans hébreu 8, Dieu annonce la nouvelle alliance, et on a vu que ce sera fait avec Israël dans les jours à venir.
Mais ce que cet Épître nous montre, c'est la grandeur du Seigneur Jésus.
C'est pour montrer plusieurs aspects de sa personne.
D'abord, pour présenter le Seigneur comme apôtre, c'est lui qui annonce cette nouvelle alliance.
On a vu Christ comme apôtre déjà, chapitre 3, plus grand que Moïse.
Ensuite, on verra dans ce passage qui est devant nous, chapitres 9 et 10, plus tard aussi, qu'il a donné son sacrifice.
Et là, on va voir des contrastes énormes entre les sacrifices de l'Ancien Testament et ce nouveau sacrifice qui est la base pour cette nouvelle alliance.
Cette nouvelle alliance que Dieu va conclure avec Israël dans les jours à venir ne pourrait pas être faite sans cette nouvelle base du sacrifice de Christ.
Et il est aussi garant que ce soit le cas.
Le premier homme ne pouvait rien garantir.
On voit la chute de l'homme déjà dans Genèse 3.
Et Dieu a montré par la loi qu'il a limité à Israël seulement, que même par la loi Israël ne pouvait pas plaire à Dieu.
Tandis que le Seigneur Jésus a toujours fait les choses qui sont agréables devant Dieu.
On verra cela surtout dans chapitre 10.
Le Seigneur a établi la base nécessaire pour que cette nouvelle alliance puisse être conclue.
Nous avons vu aussi que nous les croyants de cette dispensation, nous avons déjà le profit de cette nouvelle alliance.
Ce n'est pas conclu avec nous, ce sera avec Israël littéralement.
Mais nous avons les bienfaits déjà, par anticipation.
Et ça s'applique exactement aux chrétiens à ce moment-là, les juifs chrétiens auxquels l'Épître a été écrit.
Mais ça s'applique aussi pour nous, pour vous et moi, que nous avons déjà la joie de toutes ces bénédictions qui sont encore futures pour Israël.
Nous avons ces bénédictions déjà d'une façon spirituelle.
Le Seigneur Jésus est présenté comme le grain médiateur de cette nouvelle alliance.
Il va administrer cette nouvelle alliance pour Israël.
Mais nous l'avons vu déjà comme médiateur entre Dieu et l'homme et ce sera encore le sujet jusqu'au chapitre 10.
Nous avons vu aussi que le Seigneur Jésus est le précurseur.
Il est déjà dans la gloire.
On a vu cela dans le chapitre 6, verset 19, que le Seigneur Jésus est là, dans la gloire.
Et ainsi nous avons une espérance qui est présentée.
Ce qu'on voit dans cet Épître, c'est la grandeur du Seigneur Jésus.
Soit comme apôtre, soit comme sacrifice, soit comme celui qui est garant pour cette nouvelle alliance, soit comme précurseur qui est déjà dans la gloire.
Et ainsi nous avons vu qu'il fallait beaucoup de choses nouvelles.
Cela prenait un nouveau sacrifice.
On va parler de ce sacrifice dans le chapitre 9 et surtout dans le chapitre 10.
Cela prenait une nouvelle alliance pour une nouvelle réglementation des choses.
Cela s'est échappé très vite.
Cela prenait aussi un nouveau sanctuaire et c'est ça le sujet de ce soir.
De nouveaux sacrificateurs qui peuvent entrer dans la présence de Dieu avec le vrai sacrificateur.
On a lu cela dans le passage ce soir.
Que le Seigneur est plus grand et ainsi il est le vrai sacrificateur et nous pouvons entrer avec lui.
C'est souvent le cas, si le Seigneur Jésus est présenté ici, les croyants sont vus avec lui.
On a vu cela déjà dans le premier chapitre, il a été un dans la gloire avec les compagnons.
Les compagnons participent, nous sommes les compagnons qui participent.
Si le Seigneur est le grand sacrificateur, nous sommes vus comme des sacrificateurs, une famille sacerdotale avec lui.
Si le Seigneur est le grand conducteur, nous sommes le peuple de Dieu qu'il conduit.
Donc il y a toujours un lien entre lui et nous.
Revenir à ces nouvelles choses, ce sanctuaire qu'on va voir, en contraste avec un sanctuaire terrestre,
nous avons maintenant un accès au sanctuaire céleste par le fait que le Seigneur Jésus est entré déjà, un homme dans la gloire.
Il a ouvert le chemin pour nous et ce sera le sujet dans le chapitre 10, verset 19.
Un nouveau sanctuaire, une nouvelle sphère où les sacricateurs peuvent être avec le Seigneur Jésus.
Sur la base, ce nouveau sacrifice et ainsi il y a donc une compagnie d'adorateurs.
C'est vraiment un contraste avec les adorateurs dans l'Ancien Testament.
Et aussi au début dans les évangiles, les adorateurs étaient dehors.
Nous, par la grâce de Dieu, où sommes-nous? Nous sommes en Eden.
Nous avons un libre accès, nous pouvons adorer dans la présence immédiate de Dieu.
Donc il y a beaucoup de contrastes tout le temps.
Et beaucoup de liens précieux entre le Seigneur Jésus et nous.
Donc, au verset 13 du chapitre 8, nous avons un exemple de ce contraste.
La nouvelle alliance, ça veut dire que la première est devenue ancienne, verset 13.
Et il ajoute ce qui devient ancien, parce que c'était un temps de transition.
Il faut comprendre que l'Épître aux Hébreux a été écrit dans un temps de transition.
Où le Temple était encore là, donc le vieux système était encore là.
Hébreux ne réfère pas au Temple, Hébreux réfère au service dans le tabernacle, dans le désert.
Parce que c'est une Épître pour le désert.
Mais quand même, ce même service avait encore lieu dans ce temps-là, dans le pays, dans le Temple.
Et ainsi, les grands contrastes sont tracés entre ce qui se passait à ce moment-là et la réalité introduite par le Seigneur Jésus.
Les deux systèmes allaient encore ensemble.
Pour un temps, jusqu'à l'année 70, où le Temple était détruit, ces deux systèmes allaient encore ensemble.
C'est pour ça que je dis que c'était un temps de transition.
On ne sait pas quand le Seigneur va venir, on espère qu'il va venir aujourd'hui.
Mais supposons que le Seigneur nous laisse encore ici, ça pourrait être le cas.
Je ne dis pas qu'il sera le cas, mais ça pourrait être le cas.
On verra encore la reconstruction du Temple et que ce même service de l'Ancien Testament va être réinstitué.
Et ainsi, on aura encore un temps de transition, mais dans un autre sens, de la fin.
Maintenant, je veux souligner la fin du verset 13, ce qui devient ancien.
Par l'introduction de la nouvelle chose, de la nouvelle alliance en principe, donc par anticipation,
par ce nouveau sacrifice, par ce nouveau sacrificateur, les choses premières deviennent anciennes.
Et cette alliance vieillit.
Ce qui devient ancien, c'est le même mot qu'on a dans la paléontologie, ce sont des choses qui sont vieilles, ça c'est clair, anciennes.
Et vieillir, ce qu'on a dans le mot gérontologie, c'est la science, le processus du vieillissement.
Donc c'est tout par rapport à cela, les choses qui vieillissent, en contraste avec les choses que le Seigneur Jésus a introduites.
Ce qu'on voit avec le Seigneur, est-ce qu'il y a des choses qui vieillissent avec le Seigneur ? Pas du tout.
Avec le Seigneur, tout est beau, tout est neuf, tout est vivant.
Avec le Seigneur, il n'y a pas de pensée de choses qui deviennent anciennes ou qui vieillissent.
Mais ce système, comme j'ai dit tantôt, était pour disparaître.
C'était encore permis par Dieu que ça reste encore quelque temps avant que ça disparaisse.
Mais ça c'est le point du verset 13, c'est près de disparaître.
Et il faut se rappeler que l'Épître a été écrit juste avant la destruction du Temple, autour de 66.
Peut-être la lettre a été écrite 65, peut-être ils l'ont reçue 66, mais autour de ce temps-là, et j'ai expliqué cela au premier chapitre déjà.
C'était juste avant la destruction du Temple, donc c'était littéralement près.
Ce qui vieillit est près de disparaître.
Ainsi nous voyons de contrastes énormes entre les choses qui existaient encore dans ce temps-là et les nouvelles choses qui avaient été introduites par le Seigneur Jésus.
De grands contrastes.
On en parlera maintenant, chapitre 9, premier verset.
La première, c'est ici une référence à la première alliance.
Et il faut aussi lier ça à la loi, chapitre 10, premier verset, nous dit, car la loi ayant l'ombre des biens à venir, non l'image même des choses.
Donc la loi présentait certaines choses qui étaient l'ombre des biens à venir.
Et dans le même contexte, chapitre 9, verset premier, nous dit, la première, la première alliance qui va ensemble avec la loi de Moïse avait aussi des ordonnances qui étaient donc des ombres, comme chapitre 10, verset 1 nous le montre.
Des ordonnances pour le culte.
Voilà, il y a des parallèles.
Dans le nouvel ordre des choses, il y a aussi des ordonnances.
Il y a aussi le culte.
Mais il y a des grands contrastes.
Par exemple, au verset 14, qu'est-ce qu'on lit là, à la fin du verset 14?
Pour que vous serviez le Dieu vivant.
Maintenant le mot, le verbe « servir » ici, c'est le même mot dans l'original que le culte du premier verset.
Donc vous voyez, il y a un parallèle.
L'ancien ordre des choses, le culte pour servir Dieu.
Nouvel ordre des choses, un service du Dieu vivant.
Quel contraste?
Donc parallèle, contraste.
Le sanctuaire, premier verset, c'est un sanctuaire terrestre.
Et vous comprenez déjà, c'est en contraste avec le sanctuaire céleste, où le Seigneur Jésus se trouve maintenant.
Un contraste énorme, mais aussi un parallèle, un sanctuaire dans les deux cas.
Donc on voit que les choses sur la terre, le sanctuaire terrestre typifié, est une figure de ce qu'il y a dans le ciel.
Et ainsi Dieu avait donné ça à Moïse.
Ça aiderait beaucoup pour lire Exode 25, etc.
Et Paul, supposons que l'auteur c'est Paul, j'aime croire ça, il réfère à ces choses dans l'Exode.
Il donne un petit résumé, verset 2 jusqu'au verset 5.
Il donne un tout petit résumé.
Pourquoi?
OK, il faut comprendre cela.
Dieu voulait sortir pour être avec son peuple.
Dieu voulait se manifester.
Il s'est manifesté par le symbole du tabernacle, par l'arche.
Dieu s'est manifesté.
Par toutes ses instructions, Dieu est sorti pour rencontrer son peuple autour de l'autel des reins.
Ensuite, par le sacrificateur, Exode 28, le sacrificateur pouvait entrer pour être dans la présence de Dieu.
Donc ainsi, il y avait cette pensée-là.
Dieu sort pour rencontrer l'homme.
Ensuite, il veut introduire l'homme dans sa présence.
Ça c'est l'image.
Mais à cause de la faiblesse de l'homme, ça ne pouvait pas vraiment fonctionner selon les plans de Dieu.
Pourtant, le tabernacle comme tel était vraiment un reflet des choses célestes.
Comme on verra au chapitre 10, des ombres, des biens à venir.
C'est vraiment pour refléter la réalité du ciel.
Mais à cause des limitations du premier ordre, ça ne pouvait pas fonctionner d'une façon idéale.
Et on verra cela tantôt par rapport à l'autel pour faire brûler l'incense, par exemple.
Là, on verra quand même un exemple des limitations de l'ancien ordre.
Un petit détail encore.
Verset 1er, un sanctuaire terrestre est quelquefois traduit, un sanctuaire, en anglais, worldly.
Ça veut dire qui appartient à ce monde.
Mais pas dans le sens négatif, si on parle de mondain.
Ça, ce n'est pas le sens, mais c'est donc attaché à l'ordre des choses présentes.
C'est ça la pensée.
Maintenant, le verset 2, un tabernacle fut construit.
Donc, il réfère maintenant à ce qu'on voit dans l'Exode 25 jusqu'à l'Exode 31.
Tous les détails qu'on voit là.
Le mot tabernacle revient souvent dans ce verset.
Et on verra aussi de grands contrastes.
Ici, le tabernacle était construit.
Le mot construit veut dire préparé.
C'est le même mot qu'on a vu dans Hébreu 3.
Celui qui bâtit, c'est Moïse.
Moïse qui a bâti tout.
Et le mot veut dire préparé.
C'est le même mot qu'on trouve dans Luc 1.
Un peuple préparé.
Jean le bâtisseur, il fallait qu'il prépare un peuple pour le Seigneur.
Il prépare le chemin pour le Seigneur.
Ce mot est utilisé ici.
Et au verset 6, on a le mot disposer.
Ces choses étant ainsi disposées.
C'est encore le même mot qu'on trouve dans verset 2 construit.
Donc, le mot construire ici au verset 2, c'est dans l'original le même verbe que disposer au verset 6.
C'est bon de savoir ça.
C'est le même mot qu'on retrouve plus tard avec Noé qui a préparé l'arche pour sa famille.
Préparer, bâtir, disposer, c'est la même pensée.
Donc, le tabernacle fut préparé, construit.
Le premier, maintenant le premier veut dire la première partie du tabernacle.
On se rappelle, il y avait le Saint, le Dieu Saint et le Saint des Saints, verset 4.
Et ainsi, le premier ici est appelé le lieu Saint.
Donc, il ne faut pas mélanger ça avec la première alliance.
Dans laquelle était le chandelier, la table et la proposition d'épain.
Il y a plusieurs choses qui étaient là pour le service journalier.
Les sacrificateurs entraient là tout le temps pour servir.
Levitique 24 donne des détails et d'autres passages, c'est très beau.
Maintenant, verset 3, après le second voile, un tabernacle qui est appelé Saint des Saints.
Dans Exode 26, vous pouvez voir ça.
Et là, nous avons donc une illustration des choses célestes.
Parce que, ce second voile existe aussi dans le ciel, est-ce que vous savez?
On l'a vu dans chapitre 6, hébreu 6, verset 19.
On a lu au verset 19, laquelle nous avons une espérance,
laquelle nous avons comme une encre de l'âme sûre et ferme,
et qui entre jusqu'au dedans du voile, où Jésus est entré comme précurseur.
Donc, dans le ciel, il y a un voile, mais le voile n'est pas pour qu'il n'y ait pas d'accès.
Le voile est là pour faire la différence entre le service,
comme on voit figuré par le chandelier de la table, etc.,
et le service qui va ensemble avec l'arche elle-même.
Là, il y a un voile.
Et nous verrons au chapitre 10, verset 19, que nous avons maintenant,
maintenant déjà, donc les croyants aujourd'hui ont la pleine liberté
pour entrer dans les lieux saints par le Saint Jésus,
par le chemin nouveau et vivant qu'il nous a consacré à travers le voile.
Le voile est encore là, mais nous avons un libre accès.
C'est ça qu'on verra.
Le voile est là, mais le Seigneur est là.
L'autre côté du voile.
Et ainsi, nous avons un libre accès.
Tandis que dans l'Ancien Testament, le voile était là, ce second voile,
c'était une barrière, c'était pour montrer,
ah, ici tu ne peux pas entrer.
Et même le souverain sacrificateur qui entrait là,
on verra au verset 7, une fois par année,
avec l'incense, ensuite avec le sang,
il pouvait seulement entrer une fois par année.
Donc ça veut dire qu'il n'y avait pas d'accès,
un libre accès, pas du tout.
La seule exception, je ne veux pas vous confondre là,
mais la seule exception, c'est Moïse.
Moïse avait l'accès continuellement.
Moïse est un exemple du Seigneur Jésus,
mais il est aussi un exemple des croyants d'aujourd'hui.
Comme Moïse avait un accès pour être dans la présence d'un Dieu tout le temps,
nous avons ce même accès.
Donc il faut penser à ça.
Maintenant je reviens au verset 2,
un tabernacle qui est appelé Saint des Saints.
Donc maintenant le mot tabernacle est par rapport au Saint des Saints.
Vous voyez, au verset 2, l'emphase par rapport au tabernacle est sur le premier,
pour la première partie, le lieu Saint,
tandis qu'ici le tabernacle est par rapport au Saint des Saints.
Et un peu plus loin, je veux le mentionner déjà maintenant au verset 7,
le second est mentionné encore une fois,
sans le mot tabernacle, mais c'est encore le même lieu.
Et là on verra au verset 6 le premier tabernacle
comme un système, comme l'ensemble.
Donc je ne veux pas vous confondre, mais il faut lire avec soin.
Tabernacle veut dire une fois le lieu Saint, une autre fois le lieu très Saint,
une autre fois ça veut dire tout l'ensemble,
et une autre fois ça se réfère au Seigneur Jésus lui-même.
Au verset 8, le premier tabernacle c'est tous les systèmes anciens.
Mais au verset 1, Christ étant venu,
souverain, sanctificateur des biens à venir,
par le tabernacle plus grand et plus parfait,
vous voyez, là on voit le même mot tabernacle,
mais là ça ne se réfère pas au vieil ordre de choses,
là le mot tabernacle est utilisé par rapport au Seigneur Jésus,
parce qu'il a tabernaclé au milieu de nous.
Jean 1, verset 14, il a habité au milieu de nous.
C'est le même mot, il a tabernaclé au milieu de nous.
Donc là le mot tabernacle c'est par rapport à l'incarnation du Seigneur Jésus.
On revient au verset 3.
Dans ce contexte il n'y avait pas de libre accès,
tandis que nous voyons que ce voile était déchiré au moment où le Seigneur Jésus est mort.
Dans Luc 23, 45, et aussi je pense dans Marc, c'est mentionné, et aussi dans Matthieu,
le voile a été déchiré d'en haut en bas.
Ce n'est pas par l'homme, c'est par Dieu lui-même.
C'était pour indiquer que le vieil ordre de choses a été mis de côté.
Donc lorsque cet épître a été écrit, supposons l'an 66, le Seigneur est mort, probablement l'année 30,
donc il y avait déjà 36 ans plus tard que Dieu avait déjà mis de côté ce système.
En principe, le système, le vieux système, fonctionnait encore, mais Dieu l'avait déjà mis de côté.
Et Dieu avait donné la démonstration en déchirant ce voile dans le Temple.
Maintenant, il ne faut pas confondre cela avec le voile dans le ciel.
Dans le ciel, il y a encore un voile, mais ce voile n'est pas pour dire « Halte ! »
Ce voile est là pour nous donner un accès, comme on verra tantôt.
Verset 4, ayant l'ancensoir d'or.
Maintenant, on voit donc les limites de ce vieux système.
Selon ce verset, nous voyons que la pensée de Dieu était que l'autel pour faire brûler l'ancens devrait être placé tout près de l'arche, l'autre côté du voile.
Mais à cause de limitations, selon ce premier système, Dieu a ordonné que l'autel pour faire brûler l'ancens serait à ce côté du voile, avec le premier, le lieu saint.
On peut voir ça dans Exode 26.
Mais selon les pensées de Dieu, ça devrait être l'autre côté du voile, avec l'arche.
Et ce qu'on voit ici, le mot « Ancensoir » donne la preuve de cela.
Ce vase, l'ancensoir d'or, était utilisé le grand jour de propitiation, dans l'Évite XVI.
Cet instrument, ce vase, l'ancensoir d'or, était utilisé pour que le sacricateur, le souverain sacricateur, puisse apporter d'abord l'ancens.
L'Évite XVI montre cela.
Et ce vase nous parle de cela.
Donc tout près de l'arche de l'Alliance.
On ne parle pas de tous les détails de l'arche maintenant.
Parce que l'arche est appelée de plusieurs noms.
L'arche de Jéhovah, l'éternel, l'arche de Dieu, l'arche de l'Alliance, l'arche du témoignage, plusieurs noms pour l'arche.
Ici c'est l'arche de l'Alliance.
Le lien qui existait entre Dieu et son peuple.
L'engagement de Dieu, de la part de Dieu pour son peuple.
Cette arche est donnée, il y a un peu plus de détails, parce que cette arche est quand même une figure du Seigneur Jésus.
C'est vraiment une image de l'Ancien Testament, une ombre, comme le chapitre X nous le montre, une ombre très spéciale qui nous parle du Seigneur Jésus.
L'arche était faite de l'acacia, ça veut dire incorruptible, ça parle de son humanité, couverte d'or, en-dedans et dehors et tout autour, ça nous parle de sa divinité.
Dans laquelle était la cruche d'or, encore selon les pensées de Dieu, l'or qui parle de la gloire de Dieu.
Mais qu'est-ce qui était dans la cruche? L'amane.
L'amane c'était la provision de Dieu pour son peuple pour traverser le désert, exode 16.
On pouvait lire l'amane qui venait du ciel et c'était chaque jour nouveau, sauf le septième jour, sauf le sabbat.
Il y a à peu près sept miracles à noter par rapport à l'amane dans exode 16.
Un miracle était que l'amane qui était dans la cruche d'or ne se corrompait jamais.
Si quelqu'un gardait l'amane un jour trop, ça se corrompait.
C'était plus bon.
Tandis que l'amane qui restait dans la cruche d'or restait toujours bonne.
Pourquoi? Ça nous parle encore du Seigneur Jésus.
Il est Dieu, l'or. Il est aussi la parfaite amane.
Ça nous parle de son humanité, comment il était toujours dépendant de Dieu.
La Verse d'Aaron nous parle encore du Seigneur Jésus.
Mais là, comme le souverain sacricateur qui a fonctionné par la vie de résurrection.
Aaron, sa verge, a produit des fleurs.
Vous pouvez voir ça dans l'ombre 17.
Ça nous parle de la vie de résurrection.
Et encore, on voit cela avec le Seigneur Jésus.
Hébreux dit que les deux tables de l'Alliance nous parlent de la volonté de Dieu.
Et le Seigneur Jésus est venu pour faire la volonté de Dieu.
Et ainsi, maintenant dans la gloire, il maintient toute la volonté de Dieu.
Il prend toujours soin de la volonté de Dieu.
Verset 5, au-dessus de l'arche des chérubins de gloire.
Les chérubins étaient là pour maintenir les droits de Dieu, la sainteté de Dieu, mais surtout ses droits, sa majesté.
Et il est dit ici, ils ombrageaient le propriétoire.
Ce verbe, avec un autre préfixe, se trouve aussi dans Luc 9 et dans Mark 9, où le Seigneur était sur la montagne de la Transfiguration.
Là, une nuée a couvert le Seigneur Jésus.
Comme ici, les chérubins ont ombragé le propriétoire.
Ainsi, le Seigneur Jésus était sous la nuée qui nous parle de la gloire de Dieu.
Et les chérubins étaient là sur le propriétoire.
Le propriétoire était le couvercle qui était mis sur l'arche, pour protéger l'arche, excusez-moi, pour fermer l'arche.
Et pour protéger ce qui était là-dedans, les tables de l'Alliance étaient protégées par le propriétoire.
Sans ce propriétoire, Dieu aurait dû tuer le peuple tout de suite, parce que le peuple n'était pas en accord avec les tables de l'Alliance.
On a vu, qu'est-ce qu'on a vu la dernière fois, avec la nouvelle Alliance, que la loi sera écrite sur les coeurs du peuple dans les jours à venir.
Et pour nous, on a vu, Christ est écrit sur les tables de nos coeurs.
Ça, c'est ce qu'on a vu la dernière fois.
Et cette table de l'Alliance était maintenant préservée par ce propriétoire.
Et les chérubins étaient là pour voir si tout était en ordre.
Les chérubins ont regardé, leur face était dirigée vers le propriétoire.
Et qu'est-ce qu'ils ont vu le grand jour de propitiation ?
Ils ont vu le sang et ils ont accepté cela.
Si Dieu ne pouvait pas accepter cela, le souverain sacrificateur serait mort à l'instant même.
Les chérubins étaient là pour voir si tout était correct.
Tout était correct et le souverain sacrificateur pouvait sortir.
Donc, la fonction des chérubins est vraiment très importante.
Ils sont là pour maintenir la gloire de Dieu.
Et si vous voulez comparer cela avec Romain 3, verset 25,
ce mot propriétoire se retrouve seulement deux fois dans le Nouveau Testament.
Et dans Romain 3, nous voyons immédiatement le lien avec le Saint.
Parce que dans Romain 3, nous voyons Christ comme sacrifice pour le péché.
Comme nous verrons plus tard dans Hébreud 10, le Seigneur comme sacrifice pour le péché.
Et dans Romain 3, nous voyons que nous sommes maintenant justifiés gratuitement par la grâce de Dieu,
par la rédemption qui est dans le Christ Jésus, verset 25, Romain 3, verset 25,
lequel Dieu a présenté pour propitiatoire.
Donc, qui est le propitiatoire maintenant ?
C'est le Seigneur Jésus lui-même.
Il est le sacrifice.
Il est aussi le propitiatoire.
Et c'est par la foi que nous saisissons ces choses.
Par la foi en son Saint.
Son Saint était mis sur le propitiatoire.
Donc, on voit son sacrifice, on voit son Saint, on voit le propitiatoire, c'est tout le Seigneur Jésus.
Et le Seigneur Jésus, on a vu cela dans Hébreud 2, il était le sacrificateur qui a présenté ce Saint aussi.
C'est vraiment incroyable.
Paul dit ici, à la fin du verset 5, Hébreu 8, verset 5, sur quoi nous n'avons pas à parler dans ce moment en détail.
Donc, on va continuer maintenant.
Mais c'est juste pour établir le point que ces choses étaient une illustration des vérités merveilleuses.
Ils donnent les grandes lignes.
Mais, ces choses avaient aussi beaucoup de limitations, parce que c'était par rapport à la loi, c'était par rapport à la première alliance.
Verset 6.
Or, ces choses étant ainsi disposées, les sacrificateurs entrent constamment dans le premier tabarnak.
Là, il y avait un libre accès.
Accomplissant le service.
Et c'est encore le service qu'on voit au verset premier.
Le culte.
C'est le même mot.
Verset 7.
Mais dans le second, ici le second c'est le lieu très saint, le saint des saints, le seul souverain sacrificateur pouvait entrer.
Seulement une fois par année.
Non sans du saint.
Donc, ça veut dire que l'accès était inaccessible.
Il n'y avait pas d'accès.
Et même pour le souverain sacrificateur, c'était très limité.
Qu'est-ce que le verset 7 ajoute encore?
Le saint qu'il offre pour lui-même.
Vous voyez le contraste avec le Seigneur Jésus?
On verra plus tard, le Seigneur a donné son propre saint, mais pas pour lui-même.
Il n'avait pas besoin d'un sacrifice pour lui-même.
Mais le souverain sacrificateur dans l'Ancien Testament avait besoin d'un sacrifice pour lui-même.
Lévitique 16, et c'est confirmé ici.
Et pour les fautes du peuple, ça c'est important à saisir.
Les fautes du peuple c'est les péchés de l'ignorance.
Si un juif ou un israélite a commis un péché en se rébellant contre Dieu, il n'y avait pas de sacrifice pour ça.
Pas de saint pour ça.
Donc, qu'est-ce qu'on voit à la croix?
Le Seigneur Jésus était meurtri par les juifs et par les romains.
C'était un meurtre.
Qu'est-ce que le Seigneur a prié?
Père, pardonne-leur.
Par cette prière, Dieu a vu ce grand péché, ce meurtre, comme étant un péché d'ignorance.
Le Seigneur a prié, Père, pardonne-leur.
Dieu a vu ainsi ce même péché maintenant comme un péché d'ignorance.
Et c'est pour cela que Dieu a pu offrir plus tard, dans actes 2 et 3, le salut.
Sur la base de l'œuvre du Seigneur Jésus, le sacrifice était maintenant suffisant.
Et Dieu a pu offrir la grâce encore à ce peuple.
Parce que Dieu voyait ça comme une faute, un péché d'ignorance.
Autrement, il n'y aurait pas de sacrifice.
Et on verra cela plus tard dans Hebrews 10.
Un péché de rébellion, là, il n'existe pas de sacrifice.
Maintenant, j'aimerais souligner verser vite l'Esprit Saint, indiquant ceci.
C'est tellement beau.
J'ai dit tantôt, c'est Paul qui est l'auteur de cet épifre.
Oui, probablement c'est Paul.
Mais, en même temps, c'est l'Esprit Saint qui est l'auteur de cet épifre.
C'est l'Esprit Saint qui a écrit par un homme, par un homme de Dieu.
Deuxièmement, l'Esprit Saint, il l'interprète.
L'Esprit Saint interprète les choses.
Et il indique les choses verser vite.
Verser vite.
Le chemin des lieux saints n'a pas encore été manifesté,
tandis que le premier tabernacle a encore sa place.
Donc, aussi longtemps que ce vieux système fonctionne,
comme c'était le cas jusqu'à la mort du Seigneur Jésus,
il n'avait pas de place pour un nouveau système.
Mais le Seigneur est mort, et ainsi il a introduit ce nouveau système.
Et ce nouveau système, comme on l'a vu, ne peut pas aller ensemble avec le vieux système.
Dans le temps, les deux allaient ensemble,
mais en principe Dieu avait mis de côté le vieux système déjà, moralement.
Dans le temps, c'était plus tard, c'était dans l'année 60.
Verser vite indique donc que le chemin n'était pas encore manifesté.
Maintenant, avec le sacrifice du Seigneur Jésus, un sacrifice parfait,
le chemin est ouvert, le chemin est manifesté.
Verser neuf.
Le premier tabernacle a encore sa place.
Comme on a vu, c'était des images selon les pensées de Dieu.
Et ce premier tabernacle avait sa place.
Et ainsi, elle était une figure.
Le mot figure veut dire une parabole.
Comme le Seigneur a donné beaucoup de paraboles pour expliquer des choses,
pour illustrer des choses.
Et ainsi, ce vieux système a fonctionné comme une parabole pour une figure,
pour le temps présent.
C'est un peu compliqué, mais le temps présent, donc,
implique ce que j'ai dit tantôt, le temps de transition où ces juifs ont vécu.
C'était déjà un temps de transition,
mais le vieux système fonctionnait encore comme une figure, dans ce sens-là,
tandis que Dieu l'avait déjà, en principe, mis de côté.
En même temps, ce vieux système était une illustration par rapport aux choses à venir.
Comme verset 10 le dit, le temps du redressement.
Donc, le système, le vieux tabernacle, le système que Dieu a donné, les ombres,
étaient en soi une illustration de ce que Dieu va donner dans le millenium.
Je veux encore revenir au verset 9,
dans lequel sont offerts des dons et des sacrifices qui ne peuvent pas rendre parfait.
Vous voyez, ce vieux système était une figure, mais c'était très limité,
parce que, par rapport à ce système-là, les sacrifices ne pouvaient pas rendre parfait.
Tandis qu'avec le sacrifice du Seigneur Jésus,
il y a la perfection, verset 14, et aussi chapitre 10, verset 14.
Ça, c'est deux versets clés à retenir.
Je vais lire maintenant chapitre 10, verset 14.
Par une seule offrande, il a rendu parfait, à perpétuité, ceux qui sont sanctifiés.
Donc, ça résume, dans quelques mots, l'efficacité de ce sacrifice du Seigneur Jésus.
Ça rend parfait.
Tandis que tous ces milliers de sacrifices du verset 9, chapitre 9, verset 9, du vieux système,
ne pouvaient pas rendre parfait quant à la conscience, lui qui rend le culte.
Ils pouvaient seulement purifier d'une façon cérémonielle et d'une façon temporaire.
Mais ils ne pouvaient jamais rendre parfait et ni donner un libre accès.
Verset 9 dit celui qui rend le culte.
C'est encore dans le contexte du vieux système, le service de Dieu par rapport au vieux système.
Tandis que pour nous, si vous voulez prendre ça en note, Philippiens 3, verset 3,
le même mot, c'est le culte, nous rendons culte maintenant par l'Esprit de Dieu.
Nous avons ce libre accès et nous pouvons rendre culte par l'Esprit.
Dans Romains 12, nous avons le même mot, nous pouvons donner notre corps comme un sacrifice vivant
et ainsi, il est dit, c'est notre service intellectuel.
C'est le même mot, service, mais de ce nouvel ordre de choses, pas de ce vieil ordre de choses.
Verset 10, ça spécifie encore ce vieux système.
Des viandes, des breuvages, diverses abusions, ordonnances charnelles imposées jusqu'au temps du redressement.
Donc c'était en vue d'un nouvel ordre de choses, où Dieu allait mettre les choses droits.
Ce temps va encore venir, ce sera le millenium.
Et ainsi, ce vieux système était en vue de l'introduction d'un nouvel ordre de choses, comme Dieu va le faire au millenium.
Mais, maintenant le grand mais, nous avons déjà, spirituellement, le temps du redressement.
Nous sommes déjà en règle avec Dieu.
Nous avons été introduits dans un ordre de choses où tout est déjà correct selon les pensées de Dieu.
Spirituellement, pas dans le temple physique sur la terre, mais nous avons cet accès dans le Dieu Saint, dans le sanctuaire céleste.
Et là, tout est selon les pensées de Dieu.
Tout est vraiment dressé comme il faut, préparé comme il faut.
Donc on voit des parallèles, des contrastes encore une fois.
Ici, ce mot, jusqu'au temps du redressement, indique déjà que ce premier ordre, quoi que ce soit une figure, qui est bonne, était temporaire.
C'était pour un temps limité.
Ce sera mis de côté officiellement et c'était donc moralement déjà mis de côté par Dieu.
Verset 11, Christ étant venu.
Si vous voulez étudier ça en détail, on trouve le nom Christ douze fois dans l'hébreu.
Douze fois le nom Christ.
Christ veut dire « vin ».
Dieu l'a « vin » dans le ciel.
Et là, Dieu l'a couronné de gloire et d'honneur.
Ici, nous le voyons comme étant venu dans le temps.
Verset 11, étant venu, le venu dans le temps.
Mais sur la terre, il n'était jamais souverain sacrificateur, sauf par rapport à la croix.
On a vu ça dans l'hébreu 2.
Mais qu'est-ce qu'on lit ici au verset 11?
Souverain sacrificateur des biens à venir.
Christ étant venu.
Mais ici, sa venue est vue en même temps avec les résultats de sa venue.
La venue est vue par rapport aux résultats et qu'il est maintenant dans la gloire.
Et dans la gloire, il est souverain sacrificateur des biens à venir.
Encore une fois, il est là et on voit en lui déjà la garantie des choses que Dieu va établir dans le millenium.
L'hébreu nous parle du monde à venir.
Il y aura un nouveau monde ici sur la terre.
Tout sera changé. Un nouveau monde.
Un nouvel âge.
Pas le nouvel âge duquel les gens parlent maintenant, mais ce sera le nouvel âge de Dieu.
Et ainsi, le Seigneur Jésus sera là pour fonctionner comme le souverain sacrificateur des biens à venir.
Un monde à venir, un âge à venir, des biens à venir.
Tout par rapport au Seigneur Jésus.
Notons maintenant comment le Seigneur Jésus est venu, verset 11, par le tabernacle plus grand.
On a le mot tabernacle ici, mais c'est ici par rapport à l'incarnation.
Le Seigneur est venu, la parole est devenue chère, et ainsi on voit en lui un tabernacle plus grand.
Parce que Dieu a habité en lui.
Colossien 1 dit que Dieu, la Trinité, le Père, le Fils et le Saint-Esprit habitaient en lui.
Il était le tabernacle dans ce sens-là.
Une habitation de Dieu, plus grand et plus parfaite, qui n'est pas fait de main.
Ça se comprend.
Et ainsi, Dieu n'habite pas dans un temple fait de main.
Mais il habite dans ce tabernacle, il habite en Christ.
Verset 11 à la fin, c'est-à-dire qu'il n'est pas de cette création.
Vous voyez, la venue de Christ, il est entré dans cette création.
Mais pas comme appartenant à cette création, à cette première création.
Le Seigneur est le chef d'une nouvelle création.
Et ainsi il est venu.
Même lorsqu'il était un bébé dans la crèche, il était déjà représentant de cette nouvelle création.
Donc Dieu se manifeste dans ce tabernacle.
Et au verset 12, nous voyons maintenant l'heure de l'expiation.
Si le Seigneur Jésus était venu en chair, seulement, ce ne serait pas suffisant.
Il fallait qu'il se donne un sacrifice, et c'est ça qu'on voit au verset 12.
Ensuite, ayant donné son sacrifice, il présente le saint à Dieu.
On verra cela.
Non avec le saint de bouc et de veau, comme dans le jour de propitiation, mais par son propre saint.
J'aimerais traduire par son propre saint.
Parce que le Seigneur n'est pas entré dans la gloire avec du saint.
Il est venu par son propre saint.
Il a versé son saint, et Dieu a accepté ce saint, et ainsi il a pu entrer dans le ciel.
L'accès était libre.
Le même moment qu'il est mort, on a vu que le voile était déchiré par Dieu.
Dieu a vu la valeur du saint.
On voit ici le résultat immédiatement.
Ensuite, entrer une fois pour toutes.
Donc on voit l'incarnation du Seigneur, le tabernacle, et il est encore dans la gloire, le tabernacle,
où Dieu habite, la Trinité habite en lui.
On voit ici qu'il s'est donné un sacrifice.
Et le saint, il y a beaucoup d'emphase sur le saint dans chapitres 9 et 10.
Le saint c'est pour expier nos péchés.
C'était aussi la preuve qu'il était le substitut.
Il a pris le jugement de Dieu en notre place.
Et il était aussi la propitiation, on va dire, sur la base de son sacrifice.
Dieu peut être propice envers tous.
Le Seigneur est mort pour tous.
Mais il n'était pas le substitut pour tous.
Il était le substitut pour tous ceux qui allaient croire.
Ça c'est quelque chose à réfléchir.
Verset 12.
Avec son propre sang, ou par son propre sang, il est maintenant entré, ça c'est la troisième étape,
il est maintenant dans la gloire, dans les dieux saints,
ayant obtenu une rédemption éternelle.
On voit donc ces contrastes immenses.
Le vieux système était temporaire.
L'accès n'était pas là.
Il y avait toujours un autre sacrificateur.
On a vu cela aussi dans chapitre 7.
Maintenant, un seul sacrificateur, un seul sacrifice,
et il est là pour toujours.
Le mot rédemption, verset 12, veut dire une libération.
C'est pour libérer son peuple qui était sous l'emprise de l'ennemi.
Ainsi on trouve ce mot aussi dans Luc 1 et 2, pour souligner cet aspect de la libération.
Verset 13.
Car si le sang de bouc et de taureau est la cendre d'une génisse,
avec laquelle on fait aspersion sur ceux qui sont souillés,
scintifie pour la pureté de la chair,
là on voit donc l'éprouvision de Dieu dans le désert,
Lévitique 16, le jour de propiation,
Nombre 19, l'eau de butification,
et ça pouvait scintifier d'une façon rituelle, d'une façon cérémonielle.
Ce sang ne pouvait pas purifier l'homme à l'intérieur,
ne pouvait pas effacer les péchés,
pouvait seulement couvrir les péchés,
pouvait seulement purifier d'une façon extérieure, rituelle, cérémonielle.
Tandis que le sang de Christ purifie même la conscience.
Au verset 14, on verra,
purifie votre conscience des heures mortes.
C'est suffisant pour purifier des heures mauvaises.
Est-ce que vous avez déjà fait des heures mauvaises ?
Je pense que chaque être humain a fait des heures mauvaises,
et le sang est nécessaire pour ces heures mauvaises, méchantes.
Mais même comme les juifs étaient sous la loi,
et sous tout cet ordre religieux,
ils pouvaient faire un grand effort pour plaire à Dieu,
et même dans ces efforts-là,
leurs efforts étaient des heures mortes.
Ça ne pouvait jamais produire quelque chose.
Et même de ces heures mortes, il fallait être purifié.
Et même le sang de ce bouc qui présentait
ne pouvait pas purifier la conscience des heures mortes.
C'était impossible.
Ça pouvait courir pour un temps, et puis, après,
si quelqu'un a commis un péché, il fallait un nouveau sacrifice.
Et ainsi, il ne pouvait jamais avoir une conscience purifiée,
une conscience libre, une conscience parfaite.
Verset 9.
Il ne pouvait pas rendre parfait quand la conscience,
parce qu'une seconde après, il pouvait pécher,
et puis tout le processus recommençait,
et il fallait qu'il attende encore pour le grand jour de propitiation,
pour l'année prochaine.
Parce que ce sacrifice était pour enlever même les péchés qu'on ne savait pas,
les péchés d'ignorance.
Mais si quelqu'un avait commis un péché,
il fallait qu'il apporte un sacrifice tout de suite.
Maintenant, j'aimerais encore revenir au verset 12.
Le Seigneur est donc entré une fois pour toutes.
On revient souvent dans cet épitre à cette expression.
Une fois pour toutes veut dire aussi, il est là, continuellement.
Il est là maintenant, il n'a pas besoin de sortir d'entrée, sortir d'entrée.
Il est entré, il reste là, une fois pour toutes.
Et ce que j'ai dit pour le souverain sacrificateur,
si ça s'applique au Seigneur Jésus, ça s'applique aux croyants maintenant aussi.
Nous sommes vus par rapport à lui dans la gloire.
Et on verra cela dans Hébreu 10.
Donc, il est entré, ça veut dire nous avons aussi une libre entrée.
Ça c'est le résultat de toute son œuvre.
Et je soulis encore ce mot rédemption éternelle.
Tantôt j'ai dit ce mot rédemption, ça veut dire libération.
Mais soulions maintenant éternel.
C'est pour toujours.
Vous voyez, en contraste avec le sacrifice sous la loi,
ça pouvait enlever certaines choses, mais seulement pour un temps.
Il y a aussi une référence dans cet épitre à l'alliance éternelle,
en contraste avec la première alliance.
Il y a plus tard aussi une référence à un héritage éternel.
Et je pense même au verset 14 qu'on a lu.
Non, pas au verset 14.
Il y a d'autres passages qui nous parlent donc de ce mot éternel.
Donc les résultats sont là pour toujours.
Au verset 14, j'aimerais encore souligner le sang du Christ.
On a vu dans Romain 3 l'importance du sang appliqué sur le propitiatoire.
Ainsi le Seigneur est le propitiatoire lui-même.
C'est par son sang que ça fonctionne.
C'est sous le regard de Dieu.
Les sirubins qui nous parlent du regard de Dieu.
Tout est selon les pensées de Dieu.
Il est le sacrificateur qui présente ces choses.
Donc Dieu voit tout par rapport à Christ.
Et toutes ces ombres de l'Ancien Testament se sont réalisées en Christ.
Tous les aspects.
Donc c'est vraiment important à comprendre cela.
Tous les détails de l'Ancien Testament, de cet ordre de choses,
étaient des symboles, des ombres.
Mais ces ombres ont été accomplies une fois pour toutes par le Seigneur Jésus.
Là on ne va pas revenir aux ombres.
Ça c'est le grand danger, qu'on revienne sur ces ombres.
Et ça créerait encore une distance entre le peuple et Dieu.
Donc nous devons toujours jouir de ce libre accès et profiter de cela.
Verset 14, par l'esprit éternel.
Tantôt on a vu l'esprit qui est l'auteur de la Bible, il est l'interprète.
Ici nous voyons que le Seigneur Jésus, lorsqu'il s'est donné comme sacrifice,
il l'a fait par l'esprit éternel.
C'est beau de voir ça.
Un homme dépendant de Dieu, il a fait tout cela par l'esprit éternel.
Il s'est offert lui-même.
Ici le mot «offrir» veut dire «se présenter».
Il y a un autre mot dans l'original,
lorsque ça s'applique au sacrifice pour le péché,
qui était brûlé en dehors du cain.
Là il y a un autre mot.
Mais ici c'est pour se présenter comme agréable devant Dieu.
Ainsi le Seigneur Jésus s'est présenté sans tâche.
On a presque fini, mais je veux souligner cette expression «sans tâche».
Le Seigneur était sans tâche, l'incarnation,
sans tâche dans sa vie,
sans tâche même lorsqu'il s'est donné à la croix,
lorsque Dieu a dû se retirer de lui.
Le Seigneur a crié «Pourquoi m'as-tu abandonné?».
Encore là il était sans tâche.
Mais il a porté nos péchés,
et à cause de cela Dieu s'est retiré de lui.
Dieu l'a abandonné,
parce que là il est devenu le sacrifice pour le péché,
comme on verra dans le chapitre 10.
Mais ici il est vu comme un sacrifice qui se présente lui-même.
C'est encore un mystère.
Dans l'Ancien Testament, le sacrificateur présentait le sacrifice.
Ici le Seigneur Jésus est lui-même le sacrifice.
Il est en même temps le sacrificateur qui présente le sacrifice.
Et comme nous l'avons vu, il donne son sang.
Il est en même temps celui qui présente le sang,
avec tous ses effets devant Dieu.
Et ainsi il y a un résultat immédiat, la purification.
Mais j'aimerais maintenant faire une petite application.
Comme le Seigneur Jésus était sans tâche,
Dieu veut que nous soyons sans tâche.
Et notre position en Christ,
Ephésiens 1, verset 4, est sans tâche.
Mais Dieu veut aussi que nous puissions marcher sans tâche,
ici dans ce monde.
Ce serait toute une étude pour voir ces versets dans le Nouveau Testament,
qui nous parlent de cela.
Maintenant l'effet présent de cela,
ou l'application de ce sang,
purifie notre conscience.
Comme je l'ai dit, dans l'Ancien Testament,
le sang a couvert seulement les péchés.
Le sang ne pouvait jamais effacer les péchés.
Mais maintenant, le sang peut enlever les péchés,
et même plus que cela, purifier la conscience.
Aujourd'hui, le Seigneur a encore un service de purification,
mais ce n'est pas par le sang.
Le service que le Seigneur Jésus a présentement,
pour nous purifier par le lavage de la parole.
C'est une purification qui a lieu aujourd'hui dans la gloire.
C'est le Seigneur qui nous prépare pour lui-même dans la gloire.
Et ainsi, il travaille pour nous purifier.
Mais ce n'est pas par la parole, par l'eau de la parole.
Ici, la purification est par le sang, une fois pour toutes.
Et pour quel but?
Pour que vous serviez le Dieu vivant.
Et je finis avec ça.
On a vu, c'est le même mot que le culte au verset 1,
ou au verset 6, ce qui serve Dieu,
qui accomplisse le service à la fin du verset 6.
Ce mot revient souvent dans le contexte du vieil ordre.
Mais ici, le mot « servir » ou « rendre culte »,
c'est dans un nouveau contexte pour servir le Dieu vivant.
Nous avons une relation avec le Dieu vivant.
Le Dieu vivant, tout dépend de lui.
On trouve l'expression 15 fois dans l'Ancien Testament,
15 fois dans le Nouveau Testament.
Le Dieu vivant.
Et vous et moi, on a le privilège de servir le Dieu vivant.
Dans Luc 2, nous voyons un exemple.
Anne, la prophétesse, elle a servi le Dieu vivant.
C'est le même mot « servir ».
Tout le temps, elle venait d'un temple.
Là, on voit un exemple. …
Transcripción automática:
…
On va lire depuis le verset 15. Je pense qu'on a arrêté la dernière fois, on s'est arrêté au verset 14. Je vais le reprendre plus tard.
On va lire depuis le verset 15. Donc Hébreu 9, verset 15.
Et c'est pourquoi il est médiateur d'une nouvelle alliance, en sorte que la mort étant intervenue pour la rançon des agressions qui étaient sous la première alliance, ceux qui sont appelés reçoivent l'héritage éternel qui a été promu.
Car là où il y a un testament, il est nécessaire que la mort du testateur intervienne, car un testament est valide lorsque la mort est intervenue, puisqu'il n'a pas de force tant que le testateur vit.
De là vient aussi la première alliance n'a pas été inaugurée sans du sang, car chaque commandement pour ce qui concerne la loi, ayant été proclamé par Moïse à tout le peuple,
il prit le sang des veaux et des boucs, avec de l'eau et de la laine et de la carlate et de l'huissote, et en prit aspersion sur la ville lui-même et sur tout le peuple, en disant, c'est ici le sang de l'alliance que Dieu vous a ordonnée.
Et de la même manière, il prit aspersion du sang sur les tabernacles aussi et sur tous les ostensibles du service. Et presque toutes choses sont purifiées par du sang, selon la loi. Et sans effusion de sang, il n'y a pas de rémission.
Il était donc nécessaire que les images des choses qui sont dans les cieux puissent purifier par de telles choses, mais que les choses célestes elles-mêmes puissent faire de meilleurs sacrifices que ceux-là.
Car le Christ n'est pas entré dans les lieux saints faits de main, ou puis des vrais, mais dans le ciel même, afin de paraître maintenant pour nous devant la face des dieux.
Ni non plus afin de souffrir lui-même plusieurs fois, ainsi que le Souverain Sacrificateur entre dans les lieux saints chaque année avec un sang autre que le sien, puisque dans ce cas, il aurait fallu qu'il souffre plusieurs fois depuis la fondation du monde.
Mais maintenant, en la consommation des siècles, il a été manifesté une fois pour l'abolition du péché par son sacrifice.
Et comme il est réservé aux hommes de mourir une fois, et après cela le jugement, ainsi le Christ aussi, ayant été offert une fois pour porter le péché de plusieurs, apparaîtra une seconde fois, sans péché, à saluer ceux qui l'attendent. Jusqu'ici pour ce soir.
C'est un passage difficile, mais si vous voulez garder la grande ligne, les grandes lignes, c'est vraiment un sommaire de la beauté de la personne du Seigneur Jésus, puis de son heure.
Dans cet épitre, nous voyons que le Seigneur Jésus est plus grand que les hommes, et aussi qu'il est plus grand que Moïse, Moïse qui était donc l'homme qui représentait vraiment le judaïsme, et il est plus grand que tout le service lévitique.
Donc, dans l'Hébreu, on voit vraiment de grands contrastes. La personne du Seigneur en contraste avec d'autres personnes. L'heure du Seigneur en contraste avec les sacrifices sous la loi. Il y a de grands contrastes.
Mais il y a souvent aussi des parallèles, et c'est ce qui rend les choses difficiles, parce que s'il y a des parallèles entre le Seigneur Jésus et les choses de l'Ancien Testament, ça n'efface pas les contrastes. On doit donc surtout saisir les contrastes.
Pour donner juste un exemple, nous allons voir dans le chapitre 10, une prochaine fois si le Seigneur ne descend pas ici, que nous avons maintenant un libre accès. Chapitre 10, verset 19. Nous avons une pleine liberté pour entrer dans le lieu saint, dans le sang de Jésus.
C'est en plein contraste avec l'Ancien Testament, où cette liberté n'était pas connue comme époque. C'est en même temps un sujet important qu'on voit dans le chapitre aux Hébreux, que les privilèges que les croyants ont aujourd'hui sont des privilèges beaucoup plus grands que les croyants avaient dans l'Ancien Testament.
Le secret est vraiment notre lien avec le Seigneur Jésus, parce que sa place dans la gloire est notre place. On verra cela en plus détail dans le chapitre 10.
Ainsi, il y a des grands contrastes. On a vu le chapitre 3, Moïse, l'apôtre par rapport à l'Ancien Testament, le Seigneur Jésus est l'apôtre par rapport au Nouveau Testament. Aaron, le sacrificateur par rapport à l'Ancien Testament. Christ, le sacrificateur, le grand, le souverain sacrificateur par rapport au Nouveau Testament, selon l'ordre de la Mère qui s'élève.
Maintenant, on a vu que ce n'est pas seulement une question de la grandeur du Seigneur Jésus, mais aussi du fait qu'il a introduit un nouvel ordre de choses.
Par rapport à ce nouvel ordre de choses, on a vu dans le chapitre 8 que Dieu introduit une nouvelle alliance. On a vu littéralement que cette alliance va être conclue avec Israël dans les jours à venir.
Mais le Seigneur Jésus a établi la base pour cette nouvelle alliance. Et nous profitons déjà maintenant des fruits de cette œuvre qu'il a accomplie. On verra surtout dans le chapitre 9 et 10.
Donc, une meilleure personne et aussi un meilleur ordre de choses. Comme on a vu avec Mère qui s'élève, un ordre de choses qui est différent. Un accès direct auprès de Dieu et on verra aussi ce soir une conscience purifiée, sous la loi c'était impossible, et une rédemption éternelle.
C'est vraiment merveilleux. Donc, une nouvelle sacricature comparée avec l'ordre d'avant. Et ça va ensemble avec une nouvelle famille d'adorateurs. Et on verra donc dans le chapitre 10 que nous avons cette liberté d'entrer dans la présence immédiate de Dieu pour adorer.
Dans le chapitre 9, nous voyons d'abord un nouveau sanctuaire. On a parlé de cela la dernière fois. Ce tabernacle terrestre était une image de ce lieu que nous avons maintenant. Mais aussi de grands contrastes.
Comme j'ai dit, dans l'ancien système, l'entrée était vraiment fermée. Dans le nouveau système, l'entrée est ouverte. Parce que Christ est là et on le voit par la foi.
Mais pour tout cela, un sacrifice était nécessaire. Et c'est ça le sujet pour ce soir. On a touché déjà un peu la dernière fois, par exemple, au chapitre 12, avec son propre sang.
Donc, en contraste avec le sang de boucle et de veau, Christ est entré par son propre sang. Ce n'est pas littéralement qu'il a amené son sang dans la gloire, mais c'est ayant versé son sang, l'entrée a été ouverte une fois pour toutes dans les lieux saints. Verset 12.
Résultat, ayant obtenu une rédemption éternelle. Donc là, encore des contrastes, le sang de boucle et de veau. Un contraste avec le sang de Christ et la valeur et le résultat de ce sang versé.
Le sang de Christ, verset 14, il est ajouté aussi qu'il s'est offert par l'Esprit à Dieu. On a vu donc la dernière fois que là, la Trinité est impliquée.
Cette heure de la rédemption, c'est l'heure de Christ, mais c'est par l'Esprit qu'il s'est offert lui-même à Dieu. Offert, ça veut dire qu'il s'est présenté comme un sacrifice.
Les sacrifices dans l'Ancien Testament étaient présentés par le souverain sacrificateur, ou par les sacrificateurs.
Ici, le Seigneur Jésus est le sacrifice, il se donne lui-même, son sang a un meilleur prix, beaucoup meilleur que le sang de ses boucles et du taureau.
En plus, il est le sacrificateur, c'est lui qui présente le sacrifice, c'est lui qui présente ces choses à Dieu, comme sacrificateur.
Et on verra, on l'a vu déjà, mais on verra encore, le Seigneur Jésus est vraiment tout dans cette éthique. Il fait tout, il est tout, tout dépend de lui.
On verra cela aussi au verset 15 avec le médiateur, tout dépend de lui.
Mais avant qu'on arrive au verset 15, j'aimerais encore mentionner au verset 14, il était sans tâche, son œuvre était sans tâche, son sacrifice sans tâche, le résultat, la purification.
Pas une purification des œuvres mortes, les œuvres mortes c'est par rapport au service lévitique, cela ne pouvait pas vraiment introduire des remèdes, c'était des œuvres mortes.
C'est clair, son sang peut purifier des œuvres méchantes, ce n'est pas le sujet ici. Le sujet ici c'est que le sang était nécessaire, même pour ces sacrificateurs qui étaient là tout le temps pour servir Dieu dans le tabernacle, leur service ne pouvait pas vraiment avoir un résultat définitif, c'était impossible.
Maintenant, nous sommes capables de pouvoir servir le Dieu vivant, tel contraste avec ce service lévitique des œuvres mortes. Nous avons le privilège comme croyants, comme chrétiens, de pouvoir servir le Dieu vivant.
Et on verra cela encore, je répète, dans le chapitre 10, lorsqu'on va entrer dans le lieu saint par le sang de Jésus, par le chemin nouveau et vivant, chapitre 10, verset 20.
Donc, par rapport à Christ, c'est le service du Dieu vivant, tout est caractérisé par la vie. Tandis que l'ancien système était marqué par la mort.
Évidemment, on verra aussi tantôt que la mort du Christ était nécessaire. Donc, je ne dis pas qu'on n'a rien à faire avec la mort, mais la mort était le moyen pour introduire ce nouveau système, avec ce nouveau service, avec cette relation avec le Dieu vivant.
Et comme j'ai dit tantôt, tout dépend de lui. Et on voit encore cela au verset 15. C'est pourquoi il est médiateur du nouvel alliance.
Donc, on a parlé de la nouvelle alliance au chapitre 8. Maintenant, le Seigneur est le médiateur, ça veut dire qu'il prend la cause de Dieu sur lui.
Et en même temps, il prend la cause du peuple sur lui, et par application, de nous. Il prend la cause des deux sur nous.
Déjà, Jô, dans l'Ancien Testament, Jô a demandé, c'est intéressant de voir ça dans le chapitre 9, Jô, dans l'Ancien Testament, qu'il a crié à Dieu. Il était dans une grande détresse.
Et au chapitre 9, verset 33, il dit, il n'y a pas entre nous un arbitre qui mettrait sa main sur nous deux.
Donc, Jô réalise qu'il avait besoin d'un médiateur, quelqu'un qui prenait sa cause sur lui, en même temps qu'il prenait la cause de Dieu sur lui, et qui serait impartiel.
Un médiateur est caractérisé par le fait qu'il ne prend pas partie. Il ne prend pas partie pour Dieu, mais, d'un sens, il représente Dieu, mais pas parce qu'il est préjugé.
Un médiateur n'est pas préjugé. Il prend la cause de Dieu sur lui, mais il allait prendre aussi la cause de Jô sur lui, qui mettrait sa main sur nous deux, ça veut dire sur Dieu et sur Jô.
Dans le chapitre 16, verset 21, Jô observe que n'y a-t-il un arbitre pour l'homme auprès de Dieu.
Et pour un fils d'homme vis-à-vis de son ami.
Donc, Jô réalise le désir, même la nécessité d'avoir un arbitre ou un médiateur qui prenait sa cause sur lui.
Et c'est ça qu'on voit maintenant dans livre 9. On sait qu'il y a d'autres passages, vous pourrez vérifier cela dans Galat 3, il y a un médiateur, et dans Intimité 2, Christ, le médiateur entre Dieu et les hommes.
Et ainsi, il prend donc entièrement la cause de Dieu sur lui, on voit cela surtout dans Galat, et il prend la cause de l'homme sur lui, et il réconcilie les deux.
Ça c'est vraiment remarquable, comment le Seigneur fonctionne comme médiateur.
Mais je répète, tout dépend encore de lui. Le sacrifice, on a vu tantôt, le sacrificateur, et maintenant le médiateur.
Et c'est dit d'une nouvelle alliance. Je ne vais pas répéter maintenant ce qu'on a vu dans chapitre 8, mais c'est donc une ordre de choses qui a été introduite sur la base de ce nouveau sacrifice,
et pour réglementer les choses avec Dieu, ou la relation avec Dieu, le peuple avec lui.
Verset 15 continue à dire « En sorte que la mort ait intervenu pour la rançon des transgressions qui étaient sous la première alliance, ceux qui sont appelés reçoivent l'héritage éternel qui a été promis. »
Verset 15 est un verset important, comme verset 14, et peut-être je peux mentionner cela pour que vous puissiez suivre la grande ligne.
Chapitre 9, verset 14 et verset 15 représentent une vérité fondamentale, et cette vérité va être reprise au chapitre 10, verset 14.
« Car par une seule offrande, il a rendu parfait à perpétuité ceux qui sont sanctifiés. »
Chapitre 9, verset 14 parle de la purification de la conscience pour servir le Dieu vivant, et au verset 15 on a vu tantôt de cette rançon qui était nécessaire pour ceux qui sont appelés.
Cette même pensée va être reprise au chapitre 10, verset 14.
« Par ce seul sacrifice, il a rendu parfait. »
C'est la même pensée, purifier la conscience, que la loi ne pouvait jamais faire.
L'ancien système ne pouvait jamais rendre les gens parfaits quant à leur conscience.
Il avait offert un sacrifice, le lendemain il empêchait encore la même procédure.
Tandis que pour nous, Christ s'est offert une fois pour toutes, et toute la question du péché a été réglée.
Même le péché qu'on commettra encore malheureusement, toute cette question a été réglée une fois pour toutes.
C'est ça la grande question.
Et ainsi, il nous a rendu parfait, verset 14.
Donc on va revenir à ça plus tard, Dieu voulant.
Mais c'était nécessaire, cette position de perfection était nécessaire pour pouvoir entrer dans la présence du Dieu.
Donc on reprend maintenant chapitre 9, verset 15, qu'il est médiateur.
Le résultat, en sorte que la mort est intervenue.
Et on va revenir à la nécessité de la mort encore, verset 16, 17, je vous dis maintenant.
Donc on va revenir sur cette nécessité de la mort.
La mort est la base pour que les transgressions puissent être enlevées.
La mort est la base pour introduire les bénédictions.
Donc la mort de Christ est deux choses.
Enlève les transgressions, introduis les bénédictions.
Et on voit ici que par la mort, il y a la rançon des transgressions.
La rançon veut dire la rédemption, vraiment.
Et c'est un mot encore plus fort que ce qu'on a eu au verset 12, ayant obtenu une rédemption éternelle.
Le mot veut dire libération.
Ici, le mot rançon est un peu plus fort encore.
Donc c'est une rédemption, mais par rapport aux transgressions.
Personne ne pouvait se libérer du poids des transgressions.
Si on lit Romains 3, c'est clair.
Tous ont péché et n'atteignent pas à la gloire de Dieu.
Le fardeau des transgressions, personne ne peut enlever ce fardeau.
Mais ici, la mort de Christ a été intervenue et c'était pour la rédemption, pour la rançon des transgressions.
Et ainsi, on voit dans ce contexte, je le dis maintenant, que ce n'est pas juste une question de couvrir les transgressions.
Sous l'Ancien Testament, les péchés, qui étaient aussi des transgressions, parce que les péchés sont devenus des transgressions,
parce que chaque péché n'est pas automatiquement une transgression,
mais sous la loi, les péchés sont devenus transgressions.
Et mon point est maintenant que sous la loi, il y avait donc une provision, c'est le sang des animaux.
Et qu'est-ce que ce sang faisait? Ce sang a couvert les péchés.
Donc Dieu ne voyait plus ces péchés à ce moment-là.
Dieu voyait le sang de l'agneau ou le sang du sacrifice.
En contraste avec le sacrifice de Christ, là, on voit dans cet épître, il y a une purification et ainsi le péché est effacé.
C'est ça le grand contraste.
Le sang de Christ, ce n'est pas juste une question de couvrir, mais le sang de Christ a effacé.
Et c'est pour ça que ce mot est utilisé, la rançon des transgressions.
Les transgressions n'existent plus à cause de cette heure.
On voit aussi les récipients de ce bénéfice.
Ici, donc littéralement dans le contexte, c'est ceux qui étaient sous la première alliance, ceux qui étaient sous la loi,
et qui croient maintenant qu'ils connaissent cette rançon, qu'ils connaissent cette rédemption sur la base de la mort du Christ.
Et ils sont maintenant ceux qui sont appelés, à la fin du verset 15.
Ça fait penser au chapitre 3, saint frère participant de l'appel céleste.
Ce sont des croyants donc appelés.
Et ça s'applique à nous aussi, nous ne sommes pas des juifs, mais nous avons été appelés,
et nous recevrons aussi l'héritage éternel.
L'héritage, c'est tout ce que Dieu a réservé pour les héritiers.
Christ est le grand héritier.
Il partage tout avec nous.
On a vu dans le chapitre 1er que Dieu l'avait déjà établi héritier avant que Dieu commence la création.
Dieu voulait avoir un héritier, Christ, avant qu'il crée le monde.
Et nous avons un lien intime avec Christ.
Donc nous avons une part, un héritage éternel, à cause de son œuvre accomplie.
Et cet héritage a été promis.
La promesse, c'est un mot qui revient 14 fois dans l'Épique aux Hébreux.
Donc, c'est pas le verbe ici, promettre, mais c'est selon la note, la promesse de l'héritage éternel.
Et le mot promesse revient 14 fois, 2 fois 7 dans cette Épique.
Dieu est le Dieu des promesses.
Et Dieu est garant que ses promesses s'accomplissent.
Donc, ceux qui ont été appelés, est-ce que ça s'applique à nous aussi?
Oui, Dieu nous a appelés pour recevoir un héritage éternel, selon sa promesse.
Donc ce sont de merveilleux sujets à utiliser.
La question de l'héritage, la question de la promesse, la question de l'appel de Dieu,
comment il nous a appelés, sont de merveilleux sujets.
Mais je répète, toutes ces choses nous ont été données sur la base de la mort du fils.
Verset 16, c'est maintenant une parenthèse pour expliquer la nécessité de la mort.
Sans la mort du testateur, les héritiers ne peuvent rien recevoir.
C'est connu.
Si ton père a écrit un testament, et puis il te donne sa maison,
aussi longtemps qu'il vit, tu n'auras pas cette maison-là.
Mais s'il meurt, tu auras cette maison, parce qu'il l'a écrit dans son testament.
C'est ça la pensée ici.
Pour être héritier, en réalité, pour jouir de cet héritage,
il faut que la mort du testateur intervienne.
Et je répète, je dis tantôt, la mort enlève donc les enfers,
et la mort introduit les bénédictions.
Ainsi, aussi, la jouissance de l'héritage.
Maintenant, une question compliquée peut-être.
Dans le grec, le mot testament est le même mot qu'alliance.
Dans verset 16 et 17, c'est clair que le mot alliance,
ici, veut dire vraiment un testament.
Mais c'est quand même le même mot dans l'original.
Ça veut dire donc, pour jouir de l'alliance,
pour avoir la joie de ce que l'alliance introduit,
ça prend la mort du testateur.
C'est l'argument.
La mort est absolument nécessaire.
Sans sa mort, on ne peut pas jouir des droits qu'on a, en principe.
On peut seulement jouir de ces choses sur la base de la mort qui est intervenue.
Verset 18.
De là vient aussi la première alliance n'a pas été inaugurée sans du sang.
Donc, même la première alliance a connu le principe de la nécité de la mort.
Le sang nous parle de la mort et que la mort doit intervenir.
Donc, sous la première alliance, ce principe était aussi reconnu.
Verset 19.
À tout le peuple, il prit le sang des veaux et des boucs,
avec de l'eau et de la linge écarlate et de l'isopre,
et en fit aspersion sur le livre lui-même et sur tout le peuple,
en disant, c'est ici le sang de l'alliance que Dieu nous a ordonnée.
Donc, la pensée qu'on a ici,
l'auteur, l'apôtre Paul, évidemment, mais c'est tout un sujet,
ici, trace un parallèle entre l'ancienne alliance et la nouvelle alliance.
C'est quoi le parallèle ?
C'est la question du sang et que c'était nécessaire pour introduire cette alliance.
Ça, c'est le parallèle avec la nouvelle alliance.
Et il donne plusieurs détails.
Il revient même à Exode 24.
On peut voir ça dans Exode 24.
Comment Moïse a fait ces choses.
Lorsque le peuple avait dit,
tout ce que Dieu nous a commandé, nous le ferons.
Ça, c'est sous la première alliance.
Nous voyons au verset 4, qu'il bâtit un hôtel.
Verset 5, ils offrirent des holocaustes et des sacrifices de prospérité.
Et au verset 6, Moïse prit la moitié du sang et le mit dans des bassins.
Et la moitié du sang qu'il asperçant sur l'hôtel.
Il prit le livre de l'alliance.
Il l'eut aux oreilles du peuple et il dit,
tout ce que l'État-maître a dit, nous le ferons et nous écouterons.
Ils étaient sous la peine de mort.
Ils étaient donc placés sous ce que la loi disait.
Faites ceci, vous vivez.
Si vous ne le faites pas, vous êtes sous le jugement de la mort.
Et le sang a confirmé cela.
Verset 8, voici le sang de l'alliance que l'État-maître a faite avec vous,
selon toutes ses paroles.
C'est donc pour confirmer leur responsabilité.
Ils n'ont pas réalisé qu'ils seraient incapables de faire cette loi.
On verra la prochaine fois, chapitre 10,
la seule personne qui était capable, c'était qui?
C'était le Seigneur.
C'est lui qui a fait toute la volonté égale.
On verra cela au chapitre 10.
Mais le peuple ici, pour revenir à Hébreu 9,
c'est intéressant de voir que dans Hébreu 9,
l'auteur ajoute quelques détails qu'on ne trouve pas dans Exode 24.
On va reprendre verset 19, au milieu.
Il prie le sang, Moïse prie le sang des vôts et des bouts.
Le sang, nous parle de la purification judiciaire.
Ça veut dire, le sang était nécessaire pour la purification, selon la loi.
Mais il est dit aussi avec de l'eau.
Dans la Bible, nous voyons que l'eau parle de la purification morale.
Peut-être l'eau était mélangée avec le sang, je ne suis pas sûr.
Ensuite, l'application, la façon dans laquelle Moïse a appliqué ces choses,
avec de la laine et de l'isopre.
L'isopre est une petite laine qui est souvent mentionnée dans la Bible par rapport à l'humilité.
Ou le jugement de soi-même.
L'isopre est donc une petite plante.
Et au bout de cette plante, il avait donc mis cette laine écarlate.
Et avec ça, il pouvait faire l'aspersion sur le livre et sur tout le peuple.
Donc, il était ainsi sous cette alliance solennelle avec Dieu.
Et ensuite, au verset 21, et de la même manière, il fit aspersion du sang sur le tabernacle.
On voit cela dans Lévitique 16.
On dirait qu'Hébreu 9 est un divin commentaire sur Lévitique 16.
Et ça aiderait beaucoup.
On ne peut pas lire Lévitique 16 maintenant.
Mais dans Lévitique 16, on voit que le sang est appliqué sur le tabernacle une fois par année.
Et ici, dans Hébreu, l'auteur fait référence à ça.
Peut-être aussi au début de cette alliance, comme on a vu dans Exode 24.
Mais là, le tabernacle n'était pas un prophète.
Donc, le tabernacle a été construit plus tard.
Et là, on voit, selon cette remarque-là, que l'aspersion du sang a eu lieu.
Mais on sait par la Bible, Lévitique 16, qu'il fait une fois par année.
Peut-être que c'était fait aussi lorsque le tabernacle a été construit.
En fait, on sait que les choses ont été loin avec cette ville précieuse.
Mais peut-être aussi, d'abord, sous l'aspersion de ce sang.
Maintenant, pourquoi le sang est tellement important?
D'abord, on voit que c'est pour introduire cette alliance.
C'est la base pour introduire cette alliance.
C'est ici le sang de l'alliance.
Et comme j'ai dit ainsi, il y a un parallèle avec la nouvelle alliance que Dieu introduit.
C'est sur la base du sang de Christ.
Parallèle, grand contraste en même temps.
La deuxième chose, verset 22, la purification.
Presque toutes choses sont purifiées par du sang.
Puis là, je reviens sur ma remarque-là.
Le sang était donc nécessaire pour purifier.
Mais en réalité, on voit que le sang a seulement couvert le péché.
Il ne les a pas ôtés.
Et la conclusion du verset 22, sans effusion de sang, il n'y a pas de rémission.
C'est un principe dans l'Ancien Testament.
C'est un principe dans le Nouveau Testament.
Sans effusion de sang, il n'y a pas de rémission.
Ça, c'est très serein.
Au verset, chapitre 10, 18, on verra.
Or, là où il y a rémission de ces choses, il n'y a plus d'offrande pour le péché.
Dans l'Ancien Testament, chaque année, cette offrande était présentée.
Chaque année, c'était répété, répété, répété.
Mais maintenant, une fois, la rémission de ces choses a été réalisée,
et il n'y a plus besoin d'une sacrifice.
Il n'y a plus besoin d'une sacrifice pour le péché.
Il y a là le contraire.
Donc, parallèle, contraire.
Donc, pour revenir à Hebreu 9, verset 22,
le sang est nécessaire pour la purification,
même si c'est dans l'Ancien Testament seulement pour couvrir,
mais c'est quand même la pensée de la purification.
Et selon le principe que sans effusion de sang, il n'y a pas de rémission.
Ça, c'est sur le nez.
Il y a des gens aujourd'hui qui ne veulent rien savoir du principe que le sang est nécessaire.
Ils disent que c'est une trilogie de sang.
Ils maîtrisent ça.
Mais selon les pensées de Dieu, c'est le seul moyen pour la rédemption.
Et c'est le sang de son fils.
Verset 23, il y a aussi une question de...
à la fin du verset 22, excusez,
il y a aussi une question de culpabilité.
Voilà le mot « rémission ».
La rémission inclut donc la pensée d'une dette.
Et la dette est remise sur la base du sang qui a été effusé.
Verset 23, il était donc nécessaire
que les images des choses qui sont dans les cieux
puissent purifier par de telles choses,
mais que les choses célestes elles-mêmes
ne fussent pas de meilleurs sacrifices que ceux-là.
Encore ici, nous voyons, il y a des parallèles, il y a des contrastes.
Le principe général, c'est que la purification est nécessaire.
On en a parlé déjà, la purification est nécessaire.
Mais c'est quoi le contraste ?
Dans l'Ancien Testament, les choses qui étaient purifiées,
c'est le tabernacle,
c'est les images des choses qui sont dans les cieux.
Donc les images, c'est le système du tabernacle de Moïse,
c'est les images des choses qui sont dans les cieux.
Les images avaient besoin d'être purifiées par de tels sacrifices,
comme on a vu au verset 19,
le sang des veaux et des boucs,
avec de l'eau et de laine, de laine et calaf et d'une sorte.
Ça c'est le point, ici au verset 23.
Purifiées par de telles choses.
Maintenant le contraste, mais que les choses célestes elles-mêmes
le fussent par de meilleurs sacrifices que ceux-là.
Donc le parallèle, c'est la pensée de la purification.
Le contraste, c'est la façon de la purification
et l'efficacité de la purification.
L'Ancien Testament, la purification devait se répéter.
Avec l'œuvre de Christ, la purification est une fois que tout.
Et la purification n'est pas seulement le tabernacle sur la terre,
la purification, l'œuvre du Seigneur Jésus,
est tellement efficace que les choses célestes elles-mêmes ont été purifiées.
Mais pourquoi ? Pourquoi ces choses avaient besoin d'être purifiées ?
Le ciel.
Satan, avant sa chute, il était dans le ciel.
Et par son péché, il a souillé les cieux.
Et même le livre de Job, on a tantôt, on a fait référence à Job.
Le livre de Job dit que même les cieux ne sont pas purs devant Satan.
Même les cieux.
Par exemple, Job 15, 15 le dit.
Même les cieux ne sont pas purs devant Satan, devant la face de Dieu.
C'est par la chute de Satan, il s'éloigne.
Le ciel n'est plus pur dans ce sens-là.
Et le sacrifice de Christ était nécessaire pour purifier même les choses célestes.
Donc l'œuvre de Christ est tellement grande,
tellement efficace, tellement merveilleuse,
qu'on pourrait lire Colossien par rapport à la propitiation, la rédemption.
Mais je vais continuer dans ce chapitre, parce que de temps avant, verset 24.
Car le Christ n'est pas entré dans les lieux saints dès demain.
Donc, on a vu les choses sur la terre, le tabernacle, les lieux saints sur la terre,
qui étaient les copies du vrai tabernacle.
Et Christ n'est pas entré dans ce tabernacle-là.
Christ est entré dans les copies des vrais lieux saints, dans le ciel.
C'est son argument au milieu du verset 24.
On voit comment Christ est monté et s'est assis à la droite de Dieu.
On a vu cela déjà dans Hebreu 1, verset 3.
Il est dans le ciel même.
Donc, sur la base de son œuvre.
Et ça, c'est le meilleur sacrifice.
Le meilleur sacrifice veut dire, donc,
que ce n'est pas seulement pour purifier les choses sur la terre,
qui sont des copies du sanctuaire céleste.
Non, le sacrifice de Christ a même purifié les choses célestes.
En plus de cela, par le sacrifice de Christ,
il est entré dans le lieu saint une fois pour toutes.
Pas pour entrer chaque année, comme le souverain sacricateur le faisait dans l'Ancien Testament,
mais pour rester maintenant là.
Donc, le raisonnement du verset 24, c'est l'apparition maintenant, au verset 24 à la fin,
pour paraître maintenant pour nous.
On verra, il y a trois apparitions.
Il y a ici l'apparition de Christ dans la gloire,
comme résultat de son œuvre.
On verra au verset 26.
Il a été manifesté une fois pour l'abolition du péché par son sacrifice.
Ça, c'est son œuvre sur la terre.
Ça, c'est sa première manifestation.
Le verset 24 parle de sa deuxième apparition.
Ça, c'est pour paraître maintenant devant la face de Dieu.
Je vais revenir à ça.
La troisième apparition, c'est lorsqu'il va apparaître,
ou va être vu une seconde fois, verset 28,
sans péché, à salut, à souffrir la terre.
Donc, c'est trois apparitions.
Maintenant, on voit au verset 24 que sur la base de l'œuvre de Christ,
il peut paraître maintenant, pour nous, devant la face de Dieu.
D'abord, ces pensées-là, devant la face de Dieu.
Lorsque le souverain Sacrificateur entrait dans l'Ancien Testament,
il entrait d'abord dans une nuée d'un saint.
Et lorsqu'il entrait une deuxième fois avec le saint du bouc,
ou du taureau d'abord, ensuite du bouc,
le lieu saint était donc rempli de ce parfum, de cet enceinte.
Il ne voyait pas la face de Dieu.
Christ est maintenant entré devant la face de Dieu,
dans la présence immédiate de Dieu.
C'est encore un parallèle, c'est encore un contraste.
Ensuite, à la fin du verset 24, il est mentionné afin de paraître maintenant, pour nous.
Il est là pour nous.
Il intercède, le Seigneur, dans la gloire, intercède pour nous.
24 heures par 24 heures, il est là pour paraître dans la présence de Dieu, pour nous.
Donc ça implique son service comme souverain spectateur,
un service qui continue 24 heures par 24 heures.
On a vu cela dans Hébreux 8, versets 1 et 2,
le ministre des lieux saints, du vrai tabernacle.
Et ainsi, le Seigneur est occupé tout le temps.
Il est occupé, là, pour les entraînements de Dieu, mais aussi pour nous.
De deux façons, on a vu au début de cet épitre,
il est là pour intercéder pour nous et pour nous donner ce dont nous avons besoin pour notre voyage à travers le désert.
Mais il est là aussi pour nous, pour nous aider à pouvoir fonctionner comme des vrais adorateurs.
Et c'est ça qu'on verra au chapitre 10.
Le Seigneur veut nous introduire dans la présence de Dieu,
donc il est là déjà, et il nous introduit dans la présence de Dieu.
Ainsi, il est là pour nous.
De deux façons, pour prendre soin de nos besoins,
pour nous introduire dans la présence de Dieu comme adorateurs.
Et cet aspect-là sera développé plus dans le chapitre 10.
Mais il est là pour nous.
Évidemment, il est là pour Dieu aussi, comme j'ai dit,
chapitre 8, versets 1 et 2,
le grand ministre du sanctuaire pour prendre soin des entraînements de Dieu.
Mais dans la présence immédiate de Dieu.
Quel contraste avec l'Ancien Testament ?
Verset 25.
Ni non plus afin de sortir lui-même plusieurs fois,
ainsi que le souverain sacrificateur entre dans les lieux saints chaque année,
avec un saint autre que le saint.
Donc là, encore des parallèles, encore des contrastes.
Dans l'Ancien Testament, le grand jour de l'appropriation,
on voit que le souverain sacrificateur entre avec saint,
mais ce n'est pas son propre saint, c'est le saint d'un animal.
D'abord le taureau, pour sa famille,
pour lui et pour sa famille.
Ensuite le bouc, pour le peuple.
On va revenir au bouc, au verset 26 et au verset 28.
Donc il entre, au verset 25, dans les lieux saints,
chaque année, c'est donc une fois par année,
avec le saint d'un animal.
Tandis que Christ, on a vu cela au verset 12,
que j'ai proposé juste avant,
chapitre 9, verset 12,
Christ, il est dit, est venu avec le saint,
pas avec le saint de bouc et de veau,
mais avec son propre saint, ou par son propre saint.
Donc quel contraste.
Il est entré une fois pour toutes, pas chaque année,
une fois pour toutes, dans les lieux saints.
Vous voyez, verset 12 montre donc le contraste
entre le sacrificateur d'un ancien testament et le saint Jésus,
qui est apparu une fois pour toutes, devant la face du Dieu.
Donc verset 25, sous l'ancien testament,
ce service se répétait.
Et ça veut dire que la perfection n'était jamais là.
Le fait que ce service devait se répéter chaque année
implique que ce n'était jamais absolument parfait.
C'était selon les standards que Dieu avait établis.
Mais ça ne pouvait pas purifier les consciences,
ça ne pouvait pas rendre parfait,
comme on verra une prochaine fois, chapitre 10, verset 14.
Parce que le lendemain, le peuple,
quelqu'un qui péchait, avait de nouveau besoin d'un sacrifice.
Et le sacrifice qui était fait une fois dans l'année
était pour enlever les autres fardeaux
qui n'étaient pas présentés par un sacrifice,
pas réglés par un sacrifice.
Mais pour cela, vous pouvez lire le livre du 16.
C'était pour régler la question du péché,
pour un an.
Avec Christ, la question du péché a été réglée une fois pour toutes.
Verset 26.
Puisque, si c'était le cas,
si le Seigneur avait un service
comme le souverain sacrificateur dans l'ancien testament,
cela avait comme implication
qu'il aurait fallu qu'il souffre plusieurs fois.
Encore une heure là.
Ici, la question de la souffrance.
Est-ce que le souverain sacrificateur a souffert
lorsqu'il est entré dans le lieu saint ?
Non.
Christ a souffert.
Est-ce que l'animal qui est tué souffre ?
L'animal ne réalise pas.
C'est nécessaire pour ce service que Dieu a institué,
mais l'animal ne souffre pas.
Qui peut sonder les souffrances de Christ ?
On a vu cela dans le chapitre 5 déjà.
Qui peut sonder les souffrances de Christ ?
Personne.
Je voulais juste mentionner cela.
Mais l'argument ici,
si Christ était comme le souverain sacrificateur dans l'ancien testament,
il aurait souffri plusieurs fois
comme le souverain sacrificateur entrait chaque année.
Non, ce n'est pas comme ça.
Paul dit, verset 26, à la fin,
« Mais maintenant, en la consommation des siècles »
C'est une remarque importante.
Dieu a attendu 4000 ans.
Dieu a vu l'homme.
Dieu a mis l'homme à l'épreuve dans plusieurs dispensations.
L'homme a toujours manqué.
C'est vrai.
Chaque dispensation, l'homme a manqué.
Dans la plénitude du temps, Dieu a envoyé son Fils.
Dans l'arcade verset 4.
Le temps de mettre l'homme à l'épreuve était fini.
Les 4000 ans étaient accomplis.
Dieu a envoyé son Fils.
Dans la consommation des siècles.
C'est un mot intéressant.
Donc, les voies de Dieu étaient conclues.
Les voies de Dieu étaient maintenant finies.
La consommation.
Et là, le Fils est venu pour régler toute question une fois pour toutes.
Et là, on voit encore ce mot « manifester ».
Il a été manifesté une fois.
C'est pour ça que j'ai utilisé le mot il y a trois apparitions.
Donc, c'est pour ça que j'ai utilisé le mot il y a trois apparitions.
Ce n'est pas dans l'original exactement le même mot là, mais la pensée est là.
Ici, la première apparition, il a été manifesté une fois.
Il n'avait pas besoin de venir et partir, revenir et partir, comme le souverain sacrifiateur.
Il est venu une fois pour toutes.
Il y a beaucoup d'emphase sur cela à travers toutes les pistes.
Et je donne aussi un autre exemple dans 1 Pierre 3, verset 18,
car aussi Christ a souffert une fois.
On parlait tantôt des souffrances.
Il a souffert une fois.
Qui peut sonder la profondeur de ces souffrances ? Personne.
Mais c'était une fois.
Ce n'est pas pour être répété.
Le juste pour les injustes.
Là, on voit la pensée de la substitution.
On va revenir à ça au verset 20.
Afin qu'il nous amène à Dieu.
Pour nous amener à Dieu.
C'est ça que Christ a fait.
Pour nous introduire dans la présence de Dieu.
Ici, au verset 26, il a été manifesté une fois pour l'abolition du péché.
Pour mettre de côté toute cette question du péché.
Comme il a mis de côté la loi de Moïse,
accompli, mais ainsi mis de côté.
La loi était faible.
On a vu cela au chapitre 7, verset 18.
Qu'il y a abrogation du commandement qui a précédé à cause de sa faiblesse et de son inutilité.
Car la loi n'a rien amené à la perfection.
On a vu cela au chapitre 6.
Maintenant, on a ce même mot, mais dans un autre contexte.
L'abolition du péché.
Voilà, c'est le premier bouc.
Le premier bouc est le bouc pour la propitiation.
C'est pour ça que ce jour est appelé le grand jour de la propitiation.
Par le sacrifice de ce bouc, Dieu était propice envers tout son peuple.
Mais, j'ai dit, le sacrifice devait être répété.
Maintenant, par l'œuvre de Christ, il y a l'abolition du péché.
Dieu peut être propice maintenant envers tout le monde.
Cela ne veut pas dire que tout le monde sera sauvé.
Mais Dieu peut être propice.
Dieu a reçu une pleine satisfaction.
Et Dieu pourrait pardonner tout pécheur.
S'il le serait pas.
Donc, l'abolition du péché, cela représente le premier bouc, comme on le voit dans le livre du 16.
Par son sacrifice.
Ça, c'est la propitiation.
Et, il y a maintenant un petit parentage au verset 27.
C'est le principe de la mort.
Comme il est réservé aux hommes de mourir une fois, et après cela le jugement.
Ainsi, le Christ aussi est offert.
Ça, c'est une règle générale.
Et puis, j'aimerais expliquer cela.
Ça implique qu'il n'y a pas de réincarnation dans la Bible.
C'est clair.
Mourir une fois.
Il est manifesté une fois, verset 26.
Il est mort une fois.
Et ainsi, c'est une règle générale pour tous les gens.
Mourir.
Il y a des exceptions.
Énoch et Élie ne sont pas morts.
C'est pour cela qu'il y a des gens qui pensent que c'est eux qui seront les deux pénoins de l'apocalypse.
Ils vont mourir.
Mais, ce n'est pas vraiment la pensée de la parole.
C'est une règle générale.
Il y a des exceptions.
Si le Seigneur vient aujourd'hui, nous sommes aussi une exception.
On ne va pas mourir.
Vous voyez.
La règle générale, c'est qu'il est réservé aux hommes de mourir une fois.
Mais, Christ est mort pour nous.
Nous n'attendons pas la mort.
Nous attendons sa venue.
Ce serait donc une exception.
Mais la règle générale, c'est qu'il est réservé aux hommes de mourir.
Genèse 3.
On voit ça déjà dans Genèse 3.
À cause du péché, de la chute.
Et après cela, le jugement.
Quelle pensée solennelle.
C'est pour cela que la question doit être réglée avant la mort.
Il y a des gens qui pensent, mais on peut prier pour ceux qui sont morts.
Peut-être qu'ils passeront à travers le purgatoire.
Puis, après un milliard d'années, ils seront dans le ciel.
Ça ne marche pas comme ça.
Après cela, le jugement.
Ce serait tout un sujet à étudier, évidemment.
Parce que ça implique le rentrant blanc d'Apocalypse 20.
Verset 28.
Verset 28.
Ainsi le Christ aussi, ayant été offert une fois.
Encore ce mot, une fois.
Pour porter les péchés de plusieurs.
Là, nous voyons son œuvre comme substitut.
Ici, ce n'est pas le premier boucle.
Ici, c'est le deuxième boucle.
Sur le deuxième boucle, les péchés étaient confessés.
Et seulement ceux desquels les péchés étaient confessés, étaient donc purifiés.
Selon les pensées de Dieu, dans l'Égyptique 16.
Ici, verset 28, on a donc la pensée de la substitution.
Christ a pris la place, sous le jugement de Dieu, de ceux qui croient.
Il a porté les péchés de plusieurs.
Pas seulement d'un petit nombre, pas seulement des juifs.
Non, de tous les croyants, juifs et gentils.
Plusieurs, beaucoup, mais pas tous.
L'œuvre était suffisante pour que tous puissent venir.
Mais comme substitut, Christ a souffert.
Il a porté les péchés de ceux qui croient.
On voit cela dans d'autres passages de la Parole.
Et ainsi, il va apparaître une seconde fois.
Sans avoir affaire avec la question du péché.
Parce que la question du péché a été réglée une fois pour toutes.
Donc, c'est un peu difficile, verset 28.
Il apparaîtra une seconde fois sans péché.
Est-ce que cela veut dire que la première fois, c'était avec péché ?
Pas du tout. Le Seigneur était sans péché.
Il n'a pas connu le péché.
Il n'a pas le péché.
Il n'a pas commis le péché.
Mais il a réglé la question du péché, la première fois.
Il a réglé cette question une fois pour toutes.
On a vu cela.
Lorsqu'il va revenir, il va sortir du sanctuaire.
Ce n'est pas par rapport à la question du péché.
Mais c'est pour notre salut.
Est-ce qu'on n'est pas soumis encore ?
Oui.
Mais le mot salut implique ici le corps.
Notre corps a besoin du salut.
Christ va venir comme sauveur.
Philippe 3, verset 21.
Nous attendons Christ comme sauveur.
Il va venir comme sauveur pour transformer notre corps.
Pour le rendre conforme à son corps glorifié.
C'est ainsi qu'on l'attend à salut.
Et puis c'est beau de voir ce mot attendre.
C'est un verbe qui revient sept fois dans le Nouveau Testament.
Et puis ça implique une attente avec expectation.
On attend le Seigneur avec hâte, avec expectation.
On a hâte qu'il vienne.
Et il ne va pas nous mettre à honte.
Il va changer nos corps, comme j'ai dit tantôt.
Et ainsi il va apparaître à salut.
Donc ici c'est pour glorifier nos corps.
Nous avons une place déjà pour entrer dans les lieux saints.
On en verra dans le chapitre 10.
Mais nos corps ont besoin de cette transformation pour être introduits dans le ciel.
Et ainsi le Seigneur va venir comme sauveur.
Il y a aussi là un contraste avec l'Ancien Testament.
Ici je peux mentionner cela.
Dans l'Ancien Testament on voit que le souverain sacrificateur sort après le sacrifice.
On peut le voir dans l'Egyptique 9.
C'est intéressant.
C'est Moïse et Aaron ensemble.
On a vu dans l'Hébreu 3.
Christ est le grand Moïse.
Il est le grand Aaron.
Et dans l'Egyptique on voit que Aaron et Moïse sortaient devant le peuple.
Mais lorsque le Seigneur va venir, il va venir pour nous introduire dans le ciel.
Aussi nos corps, on a vu tantôt.
Nous avons déjà le privilège de pouvoir entrer déjà maintenant.
Mais là nous allons entrer aussi physiquement avec un corps glorifié.
On va entrer dans les lieux saints.
Tandis que dans l'Ancien Testament, Moïse et Aaron pouvaient seulement sortir pour bénir le peuple.
C'est déjà beau là.
Mais le peuple ne pouvait jamais entrer dans les lieux saints.
Vous voyez le contraste ?
Et si vous n'avez pas tout compris, là c'est un chapitre difficile.
Qu'on puisse saisir ces pensées là.
Que l'œuvre de Christ est suffisante pour nous faire entrer dans les lieux saints.
Où il se trouve déjà maintenant à la droite de Dieu.
Et on verra donc plus de détails sur cela dans le chapitre 10.
C'est pour cela que j'ai dit aussi, il y a un lien entre le chapitre 9.
Le chapitre 9 nous parle du grand sacrifice qui est nécessaire pour ouvrir ce sanctuaire pour nous.
Et le chapitre 10 va revenir à ça.
Mais le chapitre 10 va donner encore quelques détails sur la grandeur du sacrifice au début du chapitre.
Donc dans l'Ancien Testament, l'entrée était fermée.
Maintenant sur la base de l'œuvre de Christ, l'entrée est ouverte.
Et on verra, je répète, dans le chapitre 10 encore plus de détails.
Dans l'Ancien Testament, le Saint pouvait seulement couvrir les péchés.
Dans le Nouveau Testament, le Saint a ôté les péchés.
Le Saint de Christ a ôté et effacé nos péchés.
Je pense que j'arrête maintenant.
J'avais à cœur de répéter encore quelques contrastes, mais on a vu déjà beaucoup de contrastes.
Si vous avez des questions, des choses que j'ai oubliées, on a peut-être une minute pour ça.
Mais c'est un chapitre difficile, mais aussi un chapitre très riche, qui nous parle de la grandeur encore de Christ et de son œuvre.
Je ne sais pas si je l'ai mentionné la dernière fois, mais je pense à ça maintenant.
Christ, le mot, le nom Christ revient douze fois.
Christ veut dire celui que Dieu a.
On l'a douze fois dans cette écriture.
Et on verra une autre fois le nom de Jésus.
On en a neuf fois.
Donc, chaque fois que ce nom revient, c'est pour soumiller la grandeur de cette personne.
C'est pour soumiller la grandeur de cette personne.
Il y a peut-être une question.
À la fin de l'Évangile, on mentionnait le suivant de l'Esprit-Saint pour l'abolition du péché.
Oui.
Et à la fin de l'Évangile, on voit que le Seigneur est en train de proposer pour l'Esprit-Saint qu'il laisse pécher le péché.
Oui.
Je suis content que tu poses cette question, parce qu'au verset 26, j'aurais aimé mentionner deux versets.
On sait dans 1 verset 29, lorsque Jean-Baptiste a annoncé le Seigneur Jésus, il a dit,
« Voilà l'Angel de Dieu qui ôte le péché du mort. »
Et ainsi, le Seigneur Jésus a donc accompli ce sacrifice.
Il s'est donné en sacrifice une fois pour toutes.
Et c'est la base nécessaire, même pour, comme le baptiseur le dit, …
Transcripción automática:
…
J'aimerais parler du premier verset jusqu'au verset 21.
Donc je vais lire quelques versets pour commencer.
Peut-être on peut lire le verset, depuis le verset 8.
Et en dit plus haut, tu n'as pas voulu de sacrifice, ni d'offrande, ni de lokos, ni de sacrifice pour le péché,
et tu n'y as pas pris plaisir, lesquels sont offerts selon la loi,
alors il dit, voici, je viens vous faire ta volonté.
Il ôte le premier afin d'établir le second.
C'est par cette volonté que nous avons été sanctifiés par l'offrande du corps de Jésus Christ,
faite une fois pour toutes.
Et tout sacrificateur se tient debout chaque jour, faisant le service,
et offrant souvent les mêmes sacrifices, qui ne peuvent jamais ôter les péchés,
mais celui-ci, ayant offert un seul sacrifice pour les péchés,
s'est assis à perpétuité à la droite de Dieu,
attendant désormais jusqu'à ce que ses ennemis soient mis pour marche-pied de ses pieds.
Car par une seule offrande, il a rendu parfait à perpétuité ceux qui sont sanctifiés.
Et l'Esprit Saint aussi nous en rend témoignage,
car après avoir dit, c'est ici l'alliance que j'établirai pour eux après ces jours-là,
dit le Seigneur, en mettant mes lois dans leur cœur, je les écrirai aussi sur leur entendement.
Il dit, et je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés, ni de leurs iniquités.
Or, là où il y a rémission de ces choses, il n'y a plus d'offrande pour le péché.
Ayant donc, frère, une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints,
par le sang de Jésus, par le chemin nouveau et vivant qui nous a consacrés à travers le voile,
c'est-à-dire sa chair, et ayant un grand sacrificateur établi sur la maison de Dieu,
approchons-nous. J'arrête ici.
Cette épître merveilleuse nous présente la grandeur de la Personne du Seigneur.
Et on pourrait diviser l'épître en trois parties.
D'abord, la présentation de la Personne du Seigneur.
Ça ne veut pas dire que dans le restant de l'épître on ne trouve pas de détails concernant sa Personne,
mais l'emphase au début est sur sa Personne glorieuse.
Ensuite, surtout chapitres 9 et 10, au début, nous parlent de son œuvre, le sacrifice une fois pour toutes.
Donc, sa grandeur dans sa Personne, sa grandeur dans son sacrifice.
Depuis le verset 19 du chapitre 10, nous avons la troisième grande partie de cette épître,
et c'est, on pourrait dire, l'application pratique des vérités qu'on trouve dans cette épître.
Et là, on verra le Seigneur Jésus comme notre grand conducteur.
Il nous conduit pour entrer à travers le voile.
Plus tard, on verra, il nous conduit à travers ce désert.
Et à la fin du chapitre 13, on verra qu'il nous conduit hors du quai.
Donc, dans cette partie pratique qui commence au verset 19,
la mise en pratique de cette vérité merveilleuse, cette épître,
nous allons voir encore la grandeur du Seigneur Jésus comme conducteur.
On a vu que Dieu voulait introduire un nouveau système,
et cela est souligné par la remarque qu'on a lue au verset 9,
la conclusion de l'apôtre au verset 9.
Il ôte le premier afin d'établir le second.
Donc, ça c'est vraiment une clé.
Il met de côté tout le système que Dieu a donné dans l'Ancien Testament,
pour introduire quelque chose de nouveau.
Et ainsi, on a vu dans le chapitre 8, une nouvelle alliance.
Et aussi, dans le chapitre 9 et 10, surtout, on verra avec le verset 19 et 20, un nouveau sanctuaire.
Dans l'Ancien Testament, les gens étaient toujours dehors.
On n'en a eu qu'un.
Lorsque Zacharie était en dedans du Temple pour servir, la multitude était dehors.
Maintenant, on verra, Dieu veut nous avoir dans sa présence, en dedans du vol, dans sa maison, dans sa présence.
Donc, un nouveau sanctuaire, parce que cette liberté n'existait pas par rapport au vieux sanctuaire, où l'entrée était fermée.
Tout cela nécessitait un nouveau sacrifice.
On va revenir à ce sacrifice, ce soir, dans quelques détails.
Et ainsi, sur la base de cette œuvre accomplie, il y a maintenant une famille des sacrificateurs.
Une nouvelle famille.
Donc, tout est nouveau dans cet Épée.
Et, on a encore quelques contrastes, mais je vais commencer par le premier verset,
où Paul dit, car la loi est en l'ombre des biens à venir.
Non, l'image, même des choses.
Donc, la loi était bonne, Paul dit dans Romains 7, sainte et juste, et bonne.
Mais, elle avait seulement une ombre des biens à venir.
Donc, même dans la loi, on peut voir des choses par rapport au nouveau monde que Dieu va introduire dans le Millennium.
Mais, ces choses étaient faibles.
Le mot ombre veut dire une ombre faible.
Ce n'était pas la chose elle-même.
C'est comme une silhouette.
Si on voit un grand baptiste, puis on voit dans l'eau, une silhouette, l'ombre, on voit le dessin.
Mais, on n'a pas la chose même.
Et ainsi, la loi donne une ombre, mais pas la réalité.
Cette ombre ne pouvait jamais, on le voit au premier verset,
ne peut jamais, par le même sacrifice que l'on offre continuellement chaque année, rendre parfait ceux qui s'approchent.
On a vu ces expressions, rendre parfait.
La loi n'a jamais rendu les choses parfaites.
On a vu ça au chapitre 7, verset 19.
La loi ne pouvait pas rendre les choses complètes ou à la perfection.
C'était impossible.
En contraste avec le Seigneur Jésus, qui rend les choses parfaites.
Et même les croyants de l'Ancien Testament, on verra plus tard dans le chapitre 11,
ils attendent maintenant encore pour cette perfection.
Ils attendent maintenant pour atteindre cette perfection dans la résurrection.
On verra cela dans le chapitre 11, verset 40.
Mais par la grâce de Dieu, on voit dans ce chapitre que nous avons atteint maintenant cette perfection.
Pas sur la base de la loi, qui était simplement l'ombre des choses, mais par le sacrifice de Christ.
Donc ce qu'on voit au verset 1 à 4, c'est un résumé pour montrer comment le vieux système était insuffisant.
La loi était bonne, je répète, mais c'était insuffisant pour nous rendre parfaits.
Et ce qui s'approche est une expression qui est utilisée aussi pour ceux qui s'approchent dans l'Ancien Testament.
Mais on verra aussi que c'est maintenant une expression qui s'applique à nous, sous le nouveau testament, dans le nouveau système.
Ceux qui s'approchent maintenant, c'est nous qui avons cette liberté du verset 19.
Donc il ne faut pas se laisser confondre par de telles expressions qui sont les mêmes.
Ceux qui servaient dans l'Ancien Testament s'approchaient.
Mais quelle différence avec nous qui avons cette liberté du verset 19 pour entrer dans le Dieu Saint.
Dans l'Ancien Testament, les choses étaient imparfaites, insuffisantes, par le simple fait que ces choses étaient répétées tout le temps.
Donc si on doit répéter une chose, ça veut dire, par exemple, on est malade, on doit prendre des médicaments, puis ça ne change rien,
donc on continue à prendre des médicaments, mais une fois qu'on est guéri, est-ce qu'on a encore besoin des médicaments? Non.
Donc avec le vieux système, il faisait les choses tout le temps, mais on ne pouvait jamais atteindre la perfection.
La conclusion est donc dite au deuxième verset, autrement n'eût-il pas cessé d'être fait.
Donc s'il avait atteint la perfection, il n'aurait plus besoin de continuer, comme on continue par les médicaments, comme j'ai dit tantôt.
Puisque ceux qui rendent le culte étant une fois purifiés n'auraient plus eu aucune conscience de péché.
Cette expression « rendre le culte », c'est ici donc dans le contexte de l'Ancien Testament, le système lévitique,
mais la même expression « rendre le culte » est aussi appliquée à nous, Philippiens 3, verset 3 par exemple, à nous qui rendons culte par l'esprit.
Donc je répète là, quelquefois la même expression est utilisée, mais en même temps il y a une grande différence.
Si cette expression est utilisée ici dans le contexte verset 2, « rendre le culte » c'est le service lévitique.
Si c'est dit dans Philippiens 3, et aussi dans d'autres passages, comme on a vu la dernière fois, verset 9, verset 14,
« Combien plus le sang du Christ qui par l'esprit éternel s'est offert lui-même à Dieu ?
Sans âge purifiera-t-il votre conscience des heures remortes pour que vous serviez le Dieu vivant ? »
Ici le verbe « servir » a la même pensée qu'ici au verset 2 du chapitre 10, « rendre le culte ».
Donc « servir Dieu » c'est « rendre le culte ». C'est la même expression.
Mais quelle différence au chapitre 9, verset 14, c'est maintenant par rapport au nouveau système.
Sur la base, le sacrifice nouveau dans la présence de Dieu, le Dieu vivant et vrai, c'est « servir dans sa présence ».
Ici, au chapitre 10, verset 2, ça se réfère au service lévitique de l'Ancien Testament.
Et l'auteur montre ici donc l'insuffisance de ce système.
Il y a des parallèles comme l'ombre indique, mais il y a surtout des contrastes comme l'ombre indique aussi.
On a vu cela aussi au chapitre 9, verset 24 par exemple.
Car le Christ n'est pas entré dans des lieux saints faits de main, copie des vrais.
Donc là on voit parallèles et contrastes.
Les lieux saints où le Seigneur est maintenant, c'est la réalité.
Le tabernacle sur la terre était une copie des vrais lieux saints.
Ainsi il y avait donc un lien parallèle, mais aussi un grand contraste.
Maintenant pour revenir au chapitre 10, verset 3, il souligne encore ce point que ces sacrifices ne pouvaient jamais amener la perfection, il dit.
Mais il y a dans ces sacrifices chaque année un acte rémunératif de péchés.
Donc au lieu que ces péchés soient ôtés, par les sacrifices les gens étaient encore rappelés de leurs péchés.
Conclusion, verset 4.
Car il est impossible que le sang de taureaux et de boucs ôte les péchés.
Ce mot impossible est utilisé dix fois dans le Nouveau Testament et c'est très très fort.
Un mot très fort.
Je donne un exemple qu'on connait bien, mais ça donne une idée de ce point.
Romain 8, verset 3, où nous lisons.
Car ce qui était impossible à la loi, en ce qu'elle était faible par la chair, Dieu ayant envoyé son propre fils en ressemblance aux chairs de péché, et pour le péché a condamné le péché dans la chair.
Ce n'est pas mon intention maintenant d'expliquer ce verset, mais juste pour ce mot impossible.
C'est clair que la loi ne pouvait pas rendre parfait.
Ainsi Dieu a envoyé son propre fils pour régler la question du péché.
Pour revenir maintenant aux hébreux 10, ce mot impossible est utilisé donc par rapport au sang de taureaux et de boucs.
Ce sang-là ne peut ôter les péchés.
Mais qu'est-ce qu'il faisait donc?
Ces gens étaient couverts par le sang des taureaux et des boucs.
Le jour de la propitiation, Yom Kippur, ce mot Kippur vient d'un mot kaffar, ça veut dire couvrir.
Comme dans l'arche de Noé, on voit ce même principe.
L'arche de Noé, c'est de bois, de gothère, et puis couvert de quelque chose, de bitumine.
Mais cette couverture, c'est le même mot.
C'est pour couvrir.
Et ainsi le sang des taureaux et des boucs, qu'est-ce que ce sang a fait?
Ce sang a couvert les péchés des croyants de l'Ancien Testament.
Ce sang-là ne pouvait pas ôter les péchés.
Donc à ce moment-là, judiciairement, la question de leur péché était réglée devant Dieu.
Mais moralement, ça prenait quelque chose de plus grand pour ôter ces péchés.
Et ça prenait donc la venue, le sacrifice du Seigneur Jésus pour vraiment ôter les péchés.
Donc tout le service lévitique pouvait faire quelque chose par rapport aux péchés, comme Yom Kippur,
mais seulement couvrir ces péchés pour que les gens soient en règle avec Dieu.
Verset 5 maintenant.
En contraste avec ce vieux système, le Seigneur est venu maintenant, selon la volonté de Dieu.
Donc si vous voulez noter ça comme expression clé, on va parler maintenant de la volonté de Dieu.
La volonté de Dieu ne pouvait pas être accomplie par ce vieux système.
Quoique Dieu les donnait, et dans ce sens-là, c'était fait selon la volonté de Dieu.
Mais la volonté profonde et complète de Dieu, ça prenait un autre sacrifice, comme on verra tantôt.
Ensuite on verra l'œuvre de Christ, le sacrifice de Christ.
Donc je donne maintenant quatre grandes lignes.
D'abord la volonté de Dieu, qui ne pouvait pas être accomplie par le vieux système.
Mais ensuite on va trouver l'œuvre de Christ, qui a accompli toute la volonté de Dieu.
Et les résultats.
Ensuite on verra le témoignage du Saint-Esprit, verset 15.
Le Saint-Esprit rend témoignage de cette réalité, que l'œuvre était efficace, l'œuvre était complète et suffisante,
et l'Esprit-Saint rend témoignage des résultats de cette œuvre.
Le quatrième point qu'on verra, c'est depuis le verset 19, une nouvelle compagnie d'adorateurs.
Nous avons maintenant ce libre accès pour entrer dans les lieux saints.
Est-ce qu'on jouit de cette liberté? Est-ce qu'on jouit de ces privilèges que Dieu nous donne?
Ça c'est une autre question, mais on doit se poser ça aussi.
Mais l'hébreu parle des principes, il ne parle pas de la mesure dans laquelle nous réalisons ces choses.
Quoique cette question est importante évidemment.
Pour revenir au verset 5, ce meilleur sacrifice, qui est donc une provision de Dieu,
l'Ancien Testament ne pouvait pas pouvoir dans ce meilleur sacrifice.
Ça prenait une intervention de Dieu.
Dieu a envoyé son Fils, et c'est lui qui a dit, le Seigneur Jésus lui-même a dit,
en entrant dans le monde.
Donc on pourrait parler de la venue du Seigneur, l'incarnation.
Ce sont tous des sujets à militer par rapport à sa venue.
La parole de Vinicère, le mystère de 1 Timothée 3, verset 16, par exemple.
Il y a beaucoup de sujets, de versets à militer sur cette question de l'incarnation, la venue du Seigneur,
pour faire la volonté de Dieu.
Mais sa venue était en vue d'être le sacrifice.
Sa venue était en vue d'être le sacrifice.
Je donne un détail là-dessus.
Peut-être que vous savez déjà, mais dans Luc 2, nous voyons que le Seigneur Jésus était,
le signe pour les bergers était qu'il voit un bébé enveloppé dans des linges,
dans des morceaux de vêtements.
Et puis, ce qui était probablement le cas, dans cette grotte où le Seigneur Jésus était au début,
avec Marie et Joseph avant qu'il ait une maison à Bethléem.
Dans cette grotte, il y avait probablement, c'était une place où les gens ont mis leurs personnes mortes,
enveloppées de ces linges, de ces morceaux de vêtements.
Et ainsi, on voit déjà là, dans Luc 2, avec l'entrée du Seigneur dans ce monde,
la raison pour laquelle il est venu dans le monde, pour mourir.
Un enfant n'est pas né pour mourir, mais avec le Seigneur Jésus, son entrée était en vue de mourir.
Et c'est ça qu'on voit au verset 5.
Tu n'as pas voulu de sacrifice ni d'offrande, mais tu m'as formé un corps.
Pourquoi il avait besoin d'un corps ?
Dieu ne peut pas mourir, mais le Seigneur Jésus est devenu homme pour pouvoir mourir.
Et ce corps était donc préparé de Dieu, et c'était en vue de ce sacrifice.
Si vous voulez étudier cela en détail, dans l'option 40, on trouve que tu m'as,
ça c'est une citation du septembre, mais dans le texte hébreu c'est un peu différent,
mais les oreilles formées ou préparées, l'emphase ici est sur l'obéissance.
Donc l'oreille, il parle de l'obéissance, dans l'option 40, le Seigneur était venu pour faire la volonté de Dieu, pour obéir.
Et ainsi, dans la version 70, ils n'ont pas traduit oreille, mais corps.
Le corps était donc pour faire la volonté, mais l'emphase était sur l'oreille, l'oreille qui écoute, l'oreille qui obéit.
C'était pour faire la volonté de Dieu.
Si vous comparez cela avec Isaïe 50, je ne peux pas le faire maintenant, mais vous pouvez le faire chez vous,
dans Isaïe 50, nous voyons le Seigneur comme serviteur sur la terre,
il était encore marqué par l'obéissance.
L'oreille était réveillée.
Comme jeune garçon, il y a quelques jeunes ici, mais le Seigneur Jésus était réveillé par son Père.
Le Père céleste l'a réveillé le matin pour l'instruire.
Isaïe 50, on voit comment il était marqué par cette oreille qui était à l'écoute.
Donc, une oreille formée, son corps était formé pour finalement être le sacrifice,
donc son corps marqué par l'obéissance.
Ensuite, dans sa marche pratique, Isaïe 50, un disciple instruit à l'école du Dieu.
Ensuite, l'oreille percée dans Exode 21, nous voyons dans l'image de l'esclave,
qui a dit, j'aime mon maître, ma femme et mes enfants, je ne veux pas partir.
Il avait son oreille percée, ce qui nous parle des souffrances de la croix.
Donc, une oreille formée ou un corps formé, une oreille réveillée,
pour être instruit, et ensuite une oreille percée par rapport à sa mort.
Au verset 6 maintenant, de Hébreu 10,
à la fin du verset 5, tu m'as formé un corps,
j'aimerais faire le lien avec le verset 10, l'offrande du corps de Jésus.
Ça nous montre donc comment le corps du Seigneur Jésus est important.
C'est aussi un sujet, il y a des gens qui pensent que le Seigneur Jésus avait un corps semblable à un corps humain,
mais ce n'était pas tout à fait un corps humain, c'est une fausse doctrine.
Il avait un corps humain dans lequel il pouvait mourir.
Il avait son propre esprit humain, une âme humaine, un corps humain, et ainsi il s'est donné un sacrifice.
Maintenant le verset 6, tu n'as pas pris plaisir aux holocaustes.
Le mot qui est utilisé ici pour plaisir, c'est le même verbe qu'on trouve dans Matthieu 3, verset 17, pour la première fois,
mais encore d'autres fois, celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui j'ai trouvé mon bon plaisir.
C'est le même verbe qu'on a ici au verset 6, tu n'as pas pris plaisir aux holocaustes.
Donc, quel contraste encore, Dieu a trouvé son plaisir dans le Seigneur Jésus lorsqu'il montait du Jourdain.
C'est répété plusieurs fois dans le Nouveau Testament, cette fois on trouve que Dieu a trouvé son plaisir dans le Seigneur Jésus.
Mais Dieu n'a pas pu trouver son plaisir aux holocaustes, malgré le fait que ces holocaustes étaient sacrifiées selon la loi de Moïse.
Donc il faut réaliser ça.
Ce n'était pas que ces holocaustes étaient fautives ou manquaient, mais ces holocaustes en soi ne pouvaient jamais satisfaire le cœur de Dieu.
Malgré le fait que ces holocaustes étaient offertes selon les instructions qu'on voit dans le Livre Vatican, par exemple, et Exode 29, avec l'holocauste continuel.
Le mot holocauste vient d'un mot grec qui veut dire, c'est par rapport à la pensée d'être consumé.
Dans l'hébreu, l'holocauste veut dire ce qui monte.
Donc on a de très belles pensées dans ces détails, dans la loi de Moïse.
Mais tous ces services-là ne pouvaient pas vraiment satisfaire le cœur de Dieu.
Quoiqu'en même temps ces services donnent beaucoup de détails, beaucoup d'ombres, disons, concernant le Seigneur Jésus.
En même temps des contrastes, comme on a vu, des parallèles, des contrastes.
Donc je reviens au verset 6.
Tu n'as pas pris plaisir aux holocaustes.
On a maintenant quatre sortes de sacrifices qui sont mentionnés.
D'abord, le holocauste.
Ensuite, sacrifice pour le péché, qu'on trouve aussi dans Lévitique 4, mais aussi dans Lévitique 16.
Le grand jour de propitiation, par exemple.
Ni au sacrifice, ça c'est un terme général.
On verra plus loin au verset...
Non, c'est plus tôt là, au verset 5.
Tu n'as pas voulu de sacrifice.
Ça c'est une référence au sacrifice de prospérité.
Et l'autre expression, ni d'offrande, c'est une référence à l'offrande de gâteau.
Donc on a ici les quatre sacrifices de Lévitique.
Et en soi ces sacrifices parlaient du Seigneur Jésus,
mais ces sacrifices donnés dans le contexte du service lévitique ne pouvaient jamais satisfaire le cœur de Dieu.
C'est ça qu'on voit maintenant dans ce chapitre.
Mais tu m'as formé encore.
Ça c'est donc le contraste avec ces sacrifices.
Et c'est répété au verset 6.
Dieu ne pouvait pas trouver son plaisir dans ces choses.
Alors j'ai dit verset 7, voici je viens.
Donc le Seigneur entre dans le monde pour obéir, pour être le sacrifice.
Et je note encore au verset 7, il est écrit de moi.
La parole de Dieu est écrite de lui, de plusieurs façons.
Comme le Seigneur l'explique aussi dans Luc 24,
parce qu'il prend des passages de Moïse, des prophètes, des psaumes,
toutes des choses qu'il regarde, il explique aux disciples d'Ammalus.
Donc voilà l'importance de la parole de Dieu.
Voici je viens, il est écrit de moi.
Mais ici c'est plus spécifique, c'est écrit de moi dans le rouleau du livre.
Donc ici probablement le Seigneur réfère au conseil de Dieu.
Dieu avait un conseil qui était aussi mis en écrit dans le rouleau du livre.
Mais évidemment il y a un lien avec la parole écrite que nous avons dans notre main.
Dieu est le grand auteur et il a fait son conseil, son propos,
et cela est écrit dans le rouleau du livre.
Et ainsi nous voyons que c'était déjà planifié,
et on a d'autres passages qui confirment cela,
que le Seigneur vienne sur la terre, que c'était planifié dès avant la fondation du monde.
1 Pierre 1 le dit, l'agneau préconnu avant la fondation du monde.
Donc c'était déjà dans le plan de Dieu, avant la fondation du monde.
Mais en venant, donc lorsque le Seigneur Jésus est venu en effet,
il a dit je viens pour faire ta volonté.
Donc Dieu a vu 4000 ans d'histoire humaine,
Dieu a vu les débâcles, les manques,
et maintenant le Seigneur a dit maintenant moi je viens pour faire au Dieu ta volonté.
Ce serait donc un beau sujet d'étudier ce que la parole dit d'avant du Seigneur Jésus,
et j'aimerais souligner cette expression de moi.
C'est 14 fois dans le Nouveau Testament,
concernant moi, ou quant à moi, ou de moi, dans le texte grec, 14 fois.
Et je les ai vérifiés toutes les fois, c'est par rapport au Seigneur Jésus.
Donc 14 fois cette expression est utilisée, de moi ou concernant moi.
Et l'autre expression pour faire au Dieu ta volonté,
nous voyons dans Jean, 7 fois, la volonté de Dieu par rapport à la vie du Seigneur Jésus.
C'était sa viande pour faire la volonté de celui qu'il avait envoyé.
Pour donner un exemple, 7 fois il y a des références à la volonté de Dieu dans la vie du Seigneur Jésus, dans Jean.
Donc la volonté de Dieu, ce serait un vaste sujet à étudier,
et on verra dans le contexte un peu plus loin, plus direct,
quelle était la volonté de Dieu d'avoir une compagnie d'adorateurs.
Si on prend tout le contexte, la volonté de Dieu ici, dans chapitre 10,
c'est que Dieu voulait avoir beaucoup de fils.
On a vu cela déjà dans Jean, dans chapitre 2.
Je vais juste répéter ce passage,
parce que c'est souvent le cas d'un hébreu,
qu'une pensée est mentionnée et plus tard élaborée.
Dans hébreu 2, verset 10,
Car il convenait pour lui, à cause qu'ils sont toutes choses, et par qu'ils sont toutes choses,
qu'en menant plusieurs fils à la gloire,
il consommât le chef de leur salut par des souffrances.
Donc, quelle était la pensée de Dieu ?
Que plusieurs fils, ou beaucoup de fils, soient amenés à la gloire.
Ça, c'est la volonté de Dieu.
Pour revenir au chapitre 10 maintenant,
la volonté, pour faire la volonté de Dieu,
le Seigneur a fait tout, et ainsi nous sommes sanctifiés, verset 10.
C'est par cette volonté que nous avons été sanctifiés.
Vous voyez le lien maintenant ?
La volonté est vraiment pour que nous soyons sanctifiés,
pour que nous soyons mis à part,
et dans ce contexte, verset 19 et 20,
pour que nous soyons des adorateurs.
Ça, c'est la volonté de Dieu.
Donc, ça c'est juste une parenthèse là,
mais lorsqu'on étudie la parole concernant la volonté de Dieu,
le contexte montre la signification directe.
Ici, c'est donc par rapport au sujet que Dieu voulait avoir une famille d'adorateurs.
Chapitre 2, verset 10 déjà, a indiqué.
Je reviens maintenant au verset 8,
ayant dit, plus haut, tu n'as pas voulu,
de sacrifice, ni offrande, ni de holocauste, ni de sacrifice pour le péché.
Donc, il répète les quatre catégories de sacrifice.
Ceux qui ne pouvaient accomplir son conseil,
c'était impossible,
lesquels sont offerts selon la loi,
il répète encore,
les sacrifices étaient donnés selon la loi,
ce n'était pas la rébellion,
c'était selon la loi,
mais ces sacrifices en soi ne pouvaient pas satisfaire le cœur de Dieu.
Alors, il dit, voici je viens pour faire ta volonté.
Conclusion de l'auteur, et ça c'est donc très important qu'on puisse saisir cela,
il ôte le premier.
Donc, tout l'ordre lévitique est mis de côté,
d'une seule parole.
Pourquoi ?
Cet ordre était insuffisant, insuffisant.
Il introduit le second, un nouvel ordre de choses,
et par rapport au Seigneur Jésus,
qui est venu donc pour faire la volonté de Dieu,
là, tout est parfait,
tout est suffisant,
et ainsi il amène à la perfection.
Ainsi, il introduit une compagnie d'adorateurs,
plusieurs fils, comme on a vu dans chapitre 2, verset 10.
Quel contraste !
C'est pour cela, ce nouveau système,
introduit donc un nouveau sacrifice,
qui ouvre un nouveau sanctuaire,
pour une nouvelle famille de sacrificateurs.
Verset 10.
C'est par cette volonté que nous avons été sanctifiés.
Donc, c'est une position que nous avons maintenant,
pour être en accord avec Dieu.
Dieu nous a mis à part pour Lui-même.
Ce n'est pas ici une question de la sanctification progressive,
dans la pratique de nos vies.
C'est ici une question de la sanctification positionnelle,
donc notre position devant Dieu.
Et nous voyons maintenant l'efficacité de cette œuvre,
par l'offrande du corps de Christ,
nous avons atteint cette sanctification.
Les vieux sacrifices, les sacrifices du vieux système,
ne pouvaient jamais nous rendre parfaits.
Premier verset.
Donc vous voyez le contraste.
Mais maintenant, par l'offrande du corps de Jésus-Christ,
donc quel contraste !
Les autres offrandes répétées, répétées tout le temps,
c'était des sacrifices d'animaux,
maintenant un sacrifice du corps de Jésus-Christ,
quel contraste !
Les autres sacrifices répétés tout le temps,
maintenant une fois pour toutes.
Chaque pensée pourrait être élaborée,
mais je ne veux pas le faire.
Donc c'est clair qu'ayant cette lumière de l'œuvre de Christ,
on ne va pas retourner aux ombres,
si on va maintenant réintroduire ce même système,
comme avec la messe par exemple.
On retourne aux ombres.
Non, on veut garder cette lumière de ce sacrifice accompli une fois pour toutes,
un sacrifice qui ne peut pas être répété,
qui n'a pas besoin d'être répété.
Le corps de Christ, par exemple dans 1 Pierre 2, verset 24,
il est dit spécifiquement qu'il a porté nos péchés dans son corps, sur le bois.
Et ainsi nous sommes sanctifiés une fois pour toutes.
Donc l'œuvre de Christ, une œuvre efficace,
une œuvre incomparable,
et éminente, et parfaite,
il y a beaucoup d'expressions qu'on pourrait utiliser.
Verset 11, tout sacrificateur, maintenant encore un contraste,
tout sacrificateur se tient debout chaque jour,
faisant le service, et offrant souvent les mêmes sacrifices.
On a vu cela aussi au premier verset.
C'était répété tout le temps.
Soit une fois par année, Lévitique 16,
ou chaque jour, le Holocauste continuel par exemple,
le matin à 9 heures, l'après-midi à 3 heures,
c'était souvent les mêmes sacrifices,
qui ne pouvaient jamais ôter les péchés.
Maintenant verset 12, mais celui-ci,
quel contraste, ayant offert un seul sacrifice pour les péchés.
Voilà l'efficacité de cette œuvre.
L'œuvre de Christ est décrite dans ces quelques versets.
On a au moins 7 contrastes.
Et quel est le résultat ?
C'est quoi qui nous montre que l'œuvre a été acceptée,
et que l'œuvre est parfaite,
et n'a pas besoin d'être répétée.
La preuve est donnée au verset 12.
Il s'est assis.
Vous voyez le contraste avec le sacrificateur de l'Ancien Testament au verset 11.
Il se tient debout chaque jour, tout le temps.
Il n'avait pas de siège ou de chaise dans le tabernacle.
Il était toujours en service, toujours debout.
Mais le service du Seigneur Jésus a été accompli,
une fois pour toutes, il s'est assis.
Ça ne veut pas dire qu'il ne fait rien.
On l'a vu dans le chapitre 8.
Le Seigneur Jésus est là, dans le sanctuaire,
pour prendre soin des intérêts de Dieu.
Il est là, à la droite de Dieu.
Sa position est assise.
Et je répète ces 4 ou 5 fois.
C'est tellement beau de voir ça dans l'Hébreu.
Premier chapitre, verset 3.
Il s'est assis à cause de l'œuvre expiatoire qu'il a été accomplie.
Là on voit la perfection de son œuvre, la grandeur.
Il est assis maintenant à la droite de la majesté.
Chapitre 8, nous voyons son office, sa fonction comme serviteur,
son ministre du sanctuaire.
Il est encore là, à la droite de Dieu.
Ici, à cause du sacrifice parfait.
Il est là, à la droite de Dieu.
Et au chapitre 12, plus tard, on verra qu'il est là,
parce qu'il a accompli la course.
Chapitre 12, verset 2.
Et on a vu aussi au premier chapitre déjà,
par rapport au millennium, le Seigneur est vu là, à la droite.
Donc par rapport au monde à venir,
je pense au verset 13 du premier chapitre,
il est vu là aussi, à la droite de Dieu.
C'est sa position qu'il a acquise, à cause de cette œuvre magnifique.
Et maintenant il attend, parce que le temps n'est pas encore venu.
Le nouveau monde n'est pas encore là.
Il attend.
Et la parole nous parle de cette attente, la patience de Christ.
De Thessaloniciens 3, verset 5 par exemple, c'est la patience de Christ.
Il attend jusqu'à ce que ses ennemis soient mis pour marchepied de ses pieds.
Verset 14, il répète d'une autre façon,
car par une seule offrande,
donc une seule offrande, contraste avec les multiples offrandes,
ou avec les différents caractères d'offrandes,
il a rendu parfait, notons maintenant,
le premier verset on a vu, ses sacrifices ne pouvaient jamais rendre parfait.
Maintenant, sans sacrifice, il a rendu parfait,
à perpétuité, c'est encore pour s'ennuyer,
ce n'est pas juste rendu parfait pour aujourd'hui,
et demain on aura besoin de notre sacrifice.
Non, rendu parfait à perpétuité,
ceux qui sont sanctifiés.
C'est encore la même compagnie qu'on a vue au verset 10.
Nous avons été sanctifiés.
Donc c'est notre position qu'il nous a donnée à cause de cette œuvre accomplie.
Donc on a vu la volonté de Dieu, accomplie par le Seigneur Jésus,
l'œuvre de Christ, son sacrifice magnifique et merveilleux,
et toute la suprématie de ce nouveau système par rapport à son sacrifice,
et les résultats.
Maintenant au verset 15, nous voyons le témoignage du Saint-Esprit.
À cause de l'œuvre accomplie, Dieu a pu envoyer l'Esprit-Saint,
et l'Esprit-Saint rend témoignage.
Si on a encore des doutes, on a maintenant encore, en plus,
le témoignage du Saint-Esprit.
Il rappelle, et il rappelle l'Ancien Testament,
c'est un principe qui était déjà mentionné dans l'Ancien Testament,
verset 16, par rapport à la nouvelle alliance,
qui est donc historiquement encore future,
c'est cette alliance que j'établirai pour eux après ces jours-là.
On a vu dans chapitre 8 des Hébreux,
cette alliance, cette nouvelle alliance,
Dieu va conclure avec Israël dans les jours à venir.
Mais nous avons déjà tous les résultats
que Israël va jouir dans le Millennium.
En mettant mes lois dans leur cœur,
je les écrirai aussi sur leur entendement.
Là on voit le principe de la nouvelle naissance,
la nouvelle nature que Dieu donne.
Ensuite, au verset 17, il dit,
je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés,
ni de leur iniquité.
Or là où il y a rémission de ces choses,
il n'y a plus d'offrande pour le péché.
On voit ici donc la rémission des péchés.
La nouvelle nature, la nouvelle naissance,
la rémission des péchés,
que Israël va connaître dans les jours à venir,
Isaïe 53,
et que nous connaissons déjà aujourd'hui.
Et l'Esprit Saint nous rend témoignage de cela,
que nous avons reçu une nouvelle nature,
et que nous avons reçu cette rémission des péchés.
Et qu'ainsi, il n'y a plus besoin de notre sacrifice.
Donc sur la base de ces choses,
la volonté accomplie de Dieu,
l'œuvre de Christ accomplie,
le témoignage du Saint-Esprit,
qu'est-ce qu'on voit maintenant ?
Les activités de cette compagnie d'adorateurs,
au verset 19.
Ayant donc, frère, une pleine liberté.
C'est comme Paul tourne la page maintenant,
c'est un point tournant dans cet épître.
Il montre maintenant les résultats pratiques pour nous.
Ayant une pleine liberté,
l'œuvre accomplie,
le témoignage du Saint-Esprit,
la volonté de Dieu a été accomplie,
et nous sommes sanctifiés,
selon cette volonté-là,
nous avons donc une pleine liberté.
Le mot liberté veut dire nous avons la hargnesse,
nous avons la confiance,
nous ne sommes pas confus,
nous avons cette liberté pour entrer dans les lieux saints.
Ça c'est selon les pensées de Dieu.
Paul en parle d'autres passages,
il parle de cette liberté que nous avons
pour entrer dans la présence de Dieu.
Je donne juste un exemple,
mais il y a plusieurs exemples, évidemment.
Mais Ephésiens 3, verset 12,
où il parle de cette hardiesse,
en qui le Christ Jésus, notre Seigneur,
en qui nous avons hardiesse et accès,
en confiance.
Le mot confiance est encore le même mot
que hardiesse ou liberté, dans l'hébreu.
Cette confiance que nous avons par la foi en lui,
et cet accès, c'est la même pensée,
je ne dis pas le même mot,
mais la même pensée que entrer,
ici, au verset 19, hébreu 10, verset 19,
pour entrer,
donc nous avons cet accès, cette entrée,
pour être dans la présence de Dieu.
Il n'y a aucune entrave, aucun empêchement.
Dans les lieux saints.
Il prend encore la terminologie de l'Ancien Testament,
mais pour voir le contraste.
Sur la terre, le sacrificateur ne pouvait jamais
entrer dans le lieu très saint,
seulement dans la première partie.
Nous avons maintenant la liberté
pour entrer dans les lieux saints,
mais ce n'est pas sur la terre,
c'est maintenant dans le ciel,
parce que les choses, on a vu cela,
les choses célestes étaient simplement
représentées par cette ombre sur la terre.
Donc, cette liberté que nous avons
est par le sang de Jésus.
Notons bien, c'est par son sang.
On a vu cela déjà dans l'hébreu 9,
la dernière fois, verset 12,
non avec le sang de bouc et de veau,
mais avec son propre sang est entré
une fois pour toutes dans les lieux saints.
Donc, il est entré, nous pouvons entrer.
Au verset 14,
« Combien plus le sang du Christ,
qui par l'Esprit éternel s'est offert lui-même à Dieu,
s'entache, purifiera-t-il votre conscience
des œuvres mortes pour que vous serviez le Dieu vivant ? »
Donc, servir le Dieu vivant,
servir le Dieu vivant,
ça va ensemble avec la pensée qu'on a maintenant,
chapitre 10, verset 19,
pour entrer dans les lieux saints.
Mais n'oublions jamais,
c'est par le sang de Jésus.
Si un jour on sera dans le ciel,
peut-être bientôt,
c'est par le sang de Jésus.
Si nous pouvons entrer dans la présence du Dieu,
c'est par le sang de Jésus.
Et je souligne maintenant,
ce nom, Jésus,
qui était tellement méprisé par le monde juif,
est souligné neuf fois dans l'Hébreu.
Juste ce nom-là,
pour souligner la grandeur de sa personne.
Je ne dis pas qu'on doit toujours dire Jésus.
Nous, comme disciples du Seigneur Jésus,
on parle du Seigneur Jésus.
Mais dans cet épitre,
le nom Jésus est souligné de cette façon-là,
dans sa grandeur,
pour placer la grandeur de la personne devant nous.
Le nom méprisé et outragé de Jésus
est ce nom merveilleux que cet épitre nous montre.
Ensuite, par le chemin nouveau.
En contraste avec le vieux chemin,
il y a maintenant un nouveau chemin.
On a vu un nouveau système,
un nouveau sanctuaire,
une nouvelle compagnie qui entre
par un nouveau chemin.
Et ce chemin reste toujours nouveau.
Ce n'est pas seulement aujourd'hui,
ou il y a 2000 ans,
que ce chemin a été nouveau.
Ce chemin garde son caractère nouveau,
être nouveau.
Dans l'original,
il y a un lien avec la pensée d'un sacrifice.
Donc ce chemin est nouveau à cause du sacrifice.
C'est aussi vrai,
ça reste vrai dans ce sens-là.
Et vivant,
c'est par rapport à la vie du Seigneur Jésus,
sa vie en résurrection.
Et ainsi, c'est un chemin vivant.
Sans sa résurrection,
on n'aurait jamais ce chemin-là.
Donc nouveau à cause de son sacrifice,
on a vu cela rendu parfait maintenant.
Et ça garde son caractère nouveau et vivant
par rapport à cette vie à perpétuité.
Qu'il a consacré,
ça c'est encore pour souligner ce nouveau système,
ce nouvel ordre.
Le mot dans l'original,
dédié ou inauguré,
contient l'élément de quelque chose de nouveau.
C'est inauguré, consacré par lui.
Donc par rapport à ce nouvel ordre de choses,
c'est lui qui a consacré ce nouveau chemin.
En allant dans la gloire,
il nous a consacré ce chemin.
À travers le voile.
Dans l'ancien testament, le voile était fermé.
Maintenant, le voile est encore là.
Pour faire la distinction entre le service
dans la première partie et la deuxième partie
où il y a le trône de Dieu.
On adore devant le trône de Dieu.
Mais on a vu dans le chapitre 8,
il y a aussi un service que le Seigneur Jésus fait
comme ministre du sanctuaire.
Et là, il y a donc le voile.
Mais le voile n'est pas là pour barrer l'entrée.
Le voile est là pour nous attirer.
Parce que le voile nous parle de la chair du Seigneur Jésus.
Et ainsi, on entre à travers le voile.
On est attiré pour être dans la présence immédiate de Dieu.
Où le Seigneur Jésus est là maintenant,
couronné de gloire et d'honneur.
Et c'est lui-même qui nous fait entrer, verset 21.
Donc il est le chemin.
Comme il l'a dit, je suis le chemin.
Il est aussi celui qui nous guide.
Il nous introduit, verset 21,
comme le grand sacrificateur.
Il nous introduit.
Juste une remarque sur le mot grain.
Premier chapitre, verset 3,
on a vu le Seigneur Jésus à la droite de la majesté.
Le mot majesté vient d'un mot qui est dans l'origine grain.
On a vu sa grandeur comme sacrificateur pour nos besoins.
Hebreu 4, verset 14.
Un grand souverain sacricateur.
C'est par rapport à nos besoins.
Et si nous entrons, pas pour nos besoins,
pour présenter nos requêtes,
nous avons cette liberté pour venir dans la présence de Dieu.
Hebreu 4, verset 14 à 16.
Mais maintenant, nous avons cette liberté pour venir comme adorateur.
Ça, c'est le contexte du chapitre 10.
Et pour cela, nous avons un grand sacricateur pour nous guider,
pour nous introduire dans la présence immédiate de Dieu.
Et là encore, sa grandeur.
Il y a toujours l'emphase sur sa grandeur.
Plus tard, dans le chapitre 13,
on verra le Seigneur comme notre grand pasteur, le grand berger.
Beaucoup d'emphase sur sa grandeur.
Mais maintenant, comme sacricateur dans la gloire,
il est grand, établi sur la maison de Dieu.
Nous avons vu le chapitre 3.
Nous sommes sa maison.
Mais en même temps, nous sommes dans la maison de Dieu.
C'est un peu confondant peut-être,
mais on a ces deux privilèges.
Nous sommes la maison de Dieu.
Nous sommes dans la maison de Dieu.
Et dans la maison de Dieu, nous avons le Seigneur Jésus
comme le grand sacricateur qui est là pour nous aider.
Et ainsi, nous sommes donc encouragés et appelés pour nous approcher.
Je voulais laisser le restant pour la prochaine fois,
parce que là, on verra le côté pratique.
J'ai dit tantôt, maintenant,
le verset qu'on a vu ce soir nous parle de notre position.
Et cette position est vraie pour chaque croyant.
S'il la réalise ou pas.
Mais depuis le verset 22,
on verra aussi l'emphase sur notre réalisation pratique,
la mesure dans laquelle nous réalisons ces choses,
et aussi l'encouragement dont nous avons besoin pour réaliser les choses.
Il y a toujours une distinction entre la position et la pratique.
Dieu veut évidemment que la pratique soit en accord avec la position.
C'est clair.
Donc, je voulais brièvement résumer quelques points de ce qu'on a vu ce soir.
Et surtout, par rapport à cette nouvelle partie qui commence au verset 19,
c'est quand Paul tourne la page,
un nouveau point de départ.
Mais c'est bâti sur ce qui précède.
C'est bâti sur la personne de Christ.
C'est bâti sur son œuvre.
Et les conséquences de cette œuvre merveilleuse.
On a vu aussi la différence entre libre accès, chapitre 4, verset 14,
pour venir dans la présence de Dieu avec nos requêtes,
et cette liberté que nous avons selon le verset 19,
et aussi le verset 22, on verra la prochaine fois,
pour être dans la présence de Dieu comme adorateur.
Mais j'aimerais encore souligner un mot au verset 19,
« ayant donc ».
Est-ce que nous réalisons que c'est notre privilège ?
Nous avons un souverain sacrificateur.
Nous avons une pleine liberté.
Mais le contexte, l'emphase est sûre dans le privilège d'avoir un tel souverain sacrificateur.
Nous avons.
Et notre position et privilège est donc soulignée dans le verset 19, 20, 21.
Et j'aimerais simplement répéter que ce lieu saint,
où nous pouvons entrer, c'est pour la communion,
pour exprimer la communion ensemble, comme adorateur,
et avec Dieu, nous avons ce libre accès en vertu du sein de Jésus.
On a vu cela.
On a vu que Christ est le chemin.
Il a inauguré le chemin, et il nous fait entrer sur ce nouveau chemin.
Donc, il a la base pour ce chemin, son sacrifice.
Ce chemin est nouveau, en contraste avec l'Ancien Testament.
Ce chemin est ouvert.
On a vu, accès, ça veut dire un chemin ouvert au lieu de fermé.
Et ce chemin garde son caractère nouveau, j'ai mentionné.
Ce chemin est vivant par rapport à la résurrection de Christ.
Il est le fils du Dieu vivant.
Et ainsi, il nous a donné sa vie.
Il est notre vie.
Donc, tout est marqué par la vie.
Tandis que dans l'Ancien Testament, tout était fait selon les ordres.
Il n'y avait pas la vie là-dedans.
Et il est notre précurseur.
On a vu cela dans le chapitre 6 déjà.
Il est déjà entré.
Il est notre précurseur.
Et ainsi, il a inauguré ce chemin.
Où il est entré comme homme maintenant dans la gloire.
Nous, comme rachetés, peuvent suivre.
Et en esprit, on le fait déjà maintenant.
On entre à travers le voile, pour voir la beauté de Christ.
On voit donc sa beauté comme fils du Dieu.
On voit sa beauté comme Jésus.
On a vu cela.
Et c'est pour contempler et ensuite pour adorer.
Donc, je pense que ce chapitre nous attire davantage à la personne merveilleuse du Seigneur Jésus.
Et la prochaine fois, on espère parler plutôt de notre côté pratique.
Comment nous manquons et comment nous sommes encouragés.
De pouvoir persévérer dans ce service d'adorateur.
Et on verra là aussi que cela va ensemble avec notre témoignage dans ce monde où nous vivons.
Est-ce qu'il y a encore des questions ou des points à clarifier ?
Oui, j'ai une question.
C'est une question que j'avais aussi dans ma traduction.
J'étais avec un professeur et je vois que j'avais une étude de moi dans l'œuvre de Jésus.
Je vais faire une histoire par un personnage et par un texte.
Parce que je pouvais lire l'étude de moi dans un texte.
Et j'ai trouvé qu'il y avait des caractéristiques qui devaient être sujettes à cette personne.
Oui, le mot peut indiquer le titre.
Oui, c'est ça.
Et puis ça va ensemble avec ce que j'ai dit, 1 Pierre 1, préconnu dès avant la fondation du monde.
J'ai aussi ce conseil que j'ai besoin d'être heureux de dire, c'est qu'il suffit d'avoir un peu de personnalité.
Et voilà, je suis venu d'avoir un peu de personnalité.
C'est ça, c'est ça.
Mais le passage est vraiment très riche.
Je pense que l'Esprit Saint peut se servir d'un tel passage pour nous rafraîchir et pour nous ramener, ranimer.
C'est un passage qu'on ne sonderait jamais à fond.
C'est comme avec toute la parole de Jésus.
Je veux juste répéter ces quatre points principaux là, juste pour un petit rappel.
La volonté de Dieu, l'œuvre de Christ, le témoignage du Saint-Esprit, et maintenant le privilège que nous avons comme adorateurs.
Ce sont quatre grands thèmes qu'on devrait méditer sur. …
Transcripción automática:
…
On a déjà lu quelques versets que je vais reprendre. On va lire depuis le verset 19.
Livre 10, verset 19. On va lire jusqu'au verset 31.
Ayant donc fait une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints par le sein de Jésus, par le chemin nouveau et vivant qu'il nous a consacré à travers le bois, c'est-à-dire sa chair, et ayant un grand sacricateur établi sur la maison des yeux,
approchons-nous avec un cœur vrai, en pleine assurance de soi, ayant les cœurs par assertion purifiées d'une mauvaise conscience, et le corps lavé d'eau pure.
Retenons la confession de notre espérance sans chanceler, car celui qui a promis est fidèle, et prenons garde l'un à l'autre pour nous exciter à l'amour et au bonheur,
n'abandonnant pas le rassemblement de nous-mêmes, comme quelques-uns ont l'habitude de faire, mais nous exhortant l'un l'autre, et cela d'autant plus que vous voyez et vous approchez.
Car si nous péchons volontairement après avoir reçu de la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché, mais une certaine attente terrible de jugement et l'ardeur d'un feu qui va dévorer les adversaires.
Si quelqu'un a méprisé la loi de Moïse, il meurt sans miséricorde sur la déposition de deux ou de trois témoins, d'une punition tant bien plus sévère, pensez-vous, que sera jugée digne celui qui a poulé au pied le Fils de Dieu,
et qui a estimé proprement le sein de l'alliance par lequel il avait été sanctifié, et qui a outragé l'esprit des grâces. Car nous connaissons celui qui a dit, « A moi la vengeance, moi je rendrai vie de son âme », et encore, « Le Seigneur jugera son peuple ». C'est une chose terrible que de tomber entre la main du Dieu vivant.
Ce passage introduit la troisième division de ce livre merveilleuse. La première partie ne présente à personne le Seigneur Jésus comme il est dans la gloire. La deuxième partie nous présente son œuvre merveilleuse.
Et maintenant, depuis le verset 19 du chapitre 10, nous avons l'application. Nous avons une partie pratique, mais évidemment la parole de Dieu est toujours pratique, mais l'emphase est maintenant sur notre pratique, en vue de cette présentation de la grandeur de la personne et de la grandeur de son œuvre.
Et ainsi, l'auteur tourne une page ici. C'est donc la troisième division qui commence ici.
Et là, nous allons découvrir que le Seigneur Jésus est notre grand conducteur. Dans ce passage que nous avons lu, il est le grand conducteur, comme nous l'avons lu au verset 20 par exemple, que nous pouvons entrer par le chemin nouveau.
Et c'est par lui que nous pouvons nous approcher. Et ainsi, il est le grand conducteur pour nous introduire dans la présence du Dieu, dans le Dieu Saint. Très simplement.
Un peu plus loin dans cette troisième division, nous allons découvrir que le Seigneur Jésus est aussi notre conducteur pour notre marche sur la terre. Dans cet épître, l'épître aux Hébreux, nous sommes dans le désert.
Dans l'Ancien Testament, nous avons le tabernacle qui a été donné au peuple d'Israël. Ce tabernacle était placé sur le sable du désert. Et ainsi, nous sommes dans le désert, sur le sable du désert, et en même temps nous avons ce livre-accès pour entrer dans la présence immédiate du Dieu.
C'est le contexte de l'épître. Nous sommes vus comme un peuple dans le désert. En même temps, nous avons ce livre-accès beaucoup plus proche, devenu beaucoup plus proche que celui dans l'Ancien Testament. Il y a un grand contraste, il y a des parallèles, comme on a vu souvent dans ce livre.
A la fin de cette troisième division, on va découvrir que le Seigneur Jésus est aussi notre conducteur pour nous diriger en dehors du camp. Ce sujet va attendre jusqu'à chapitre 13.
Le grand conducteur. Ici, il est le conducteur pour nous introduire dans la présence de Dieu, pour jouir de cette communion avec Dieu.
J'aimerais mettre un pas sur le petit mot « donc ». Verset 19 ayant « donc » fait. « Donc » présuppose qu'il y a un enseignement précédent. Et bâti sur cet enseignement précédent, il va maintenant arriver à la conclusion.
La conclusion basée sur la personne et l'œuvre de Christ.
On a vu déjà, il faut donner un exemple, dans chapitre 2, que le Seigneur Jésus, verset 10, il est ce grand chef de notre salut, car il convenait pour lui, à cause qu'il sent toutes choses et part qu'il sent toutes choses, que, amenant plusieurs fils à la gloire, il consomma le chef de leur salut par des souffrances.
Vous voyez déjà là la pensée qu'il est conducteur pour nous amener, pour amener plusieurs fils à la gloire.
Et c'est déjà maintenant, comme chapitre 10, 19 nous montre, que le Seigneur Jésus nous amène maintenant dans la gloire. Il y a aussi un aspect futur, il va venir nous chercher et nos corps seront transformés et ainsi il nous introduira dans la présence de Dieu.
Il nous amènera à la gloire. Mais maintenant, à mon point, il est déjà ici le chef, le chef de leur salut.
Donc c'est juste un exemple et ainsi il y a beaucoup d'autres exemples dans les passages qu'on a vus, par exemple à la fin du chapitre 6 aussi, nous voyons que le Seigneur Jésus est entré au verset 19.
Il est maintenant un encre de l'âme sûre et ferme. Il est déjà dans le lieu très saint. Là, au-dedans du voile, c'est Jésus qui est entré comme précurseur pour nous, étant devenu souverain sacrificateur pour l'éternité, selon l'ordre de l'Esprit-Célèbre.
Donc il y a maintenant une personne qui est entrée, il est entré et ainsi il a ouvert la porte pour d'autres qui puissent suivre. C'est ça un peu le raisonnement.
Deuxièmement, on a vu que c'est basé sur son œuvre. Je donne juste un exemple au chapitre 9, verset 14.
Pour le contexte, je lire verset 13.
Donc, c'est un exemple de l'efficacité de l'œuvre de Christ. Nous sommes maintenant capables de servir le Dieu vivant.
Et ainsi, il y a ces deux points. Une personne qui est entrée, un homme, dans la gloire maintenant. C'est vrai, Christ est aussi le Fils éternel. Mais l'emphase est aussi sur le fait qu'il est entré comme un homme dans la gloire. Et ainsi, il a frayé le chemin pour que nous puissions entrer.
Le deuxième point, c'est l'œuvre en contraste avec les sacrifices de l'Ancien Testament qui ne pouvaient jamais rendre celui qui donnait le sacrifice parfait. Maintenant, nous sommes parfaits dans la présence de Dieu. Et ainsi, nous pouvons être dans la présence de Dieu.
C'est pour ça le mot « donc » ici dans verset 19. Ayant fait une pleine liberté. Ce mot « liberté » pourrait être traduit aussi « confiance » et aussi « hardiesse ».
Ça va tout ensemble. C'est une liberté, mais ce n'est pas seulement ces pensées-là. Ça implique aussi la hardiesse, ça implique aussi, comme j'ai dit, la confiance. Mais c'est ici, donc, en principe.
Il ne parle pas ici de notre état spirituel. Ça va venir tantôt au verset 22. Mais il parle ici de l'accès que nous avons maintenant, en principe, à cause de la personne qui est là, à cause de l'œuvre qu'il a accomplie.
Et ainsi, nous avons cette pleine liberté, cette hardiesse, cette confiance. Paul utilise ce mot quelquefois, aussi dans l'Épître aux Évésiens. Jean utilise cet expression dans un Jean plusieurs fois.
Donc ainsi, nous avons ce privilège caractéristique pour le chrétien, pour entrer dans les lieux saints. Pourquoi? Parce que Christ est là. Et nous appartenons à lui. Nous sommes membres de son corps. Nous sommes liés à lui avec des liens inséparables.
Ce n'est pas l'enseignement de l'Épître aux Egrets. On ne voit pas l'unité du corps. L'emphase est ici sur le fait que Christ est notre précurseur, qu'il est notre chef, qu'il est notre conducteur et que nous pouvons le suivre.
Un autre aspect nous avons vu, et on va revenir à ça, il est le souverain sacrificateur, mais nous appartenons à une famille de sacrificateurs. Il est le chef d'une famille de sacrificateurs, de fils sacrificateurs. Et ainsi, nous sommes tout près de lui, qui est le souverain sacrificateur. Vous voyez le lien?
Dans les lieux saints. On voit donc le lieu saint où il y avait la table et le chandelier et l'autel pour faire brûler l'ensemble. Et le lieu très saint où il y avait l'arche. On a accès aux deux.
Le premier lieu souligne le service que le Seigneur Jésus fait maintenant. Hébreux 8, versets 1 et 2, on a vu cela dans le passé. Nous avons un tel souverain sacrificateur qui s'est assis à la droite du trône de la Majesté dans les cieux, ministre des lieux saints.
Il est le vrai tabernacle que le Seigneur a dressé, non pas l'homme. Vous voyez, là, nous avons vu que le Seigneur Jésus est là, le ministre. Il est là pour les intérêts de Dieu. Donc, il prend soin du chandelier, de la table et de l'autel pour faire brûler l'ensemble.
Mais nous avons aussi accès à venir dans la présence de Dieu où il y a l'arche pour contempler la beauté du Seigneur Jésus.
Comme on voit dans l'arche. Ça vaut la peine d'étudier ce chapitre dans l'Exode 25 et suivant pour comprendre un peu cet enseignement. Parce que l'hébreu réfère beaucoup à l'Ancien Testament pour nous montrer l'accomplissement de ces images et aussi pour nous faire jouir vraiment de cette réalité nouvelle qui est la nôtre à cause de leur accompli du Christ.
Donc, on peut entrer pour servir, il est le grand ministre, mais nous pouvons entrer aussi pour co-servir, on peut le dire comme ça, pour servir avec lui dans la présence de Dieu, quoi que nous soyons encore sur la terre.
Et nous pouvons entrer pour être dans la présence directe de Dieu pour contempler le Seigneur Jésus. L'arche, on a vu déjà cet accès dans le chapitre 4, le trône de grâce. C'est l'arche. Et Christ est là. Il est assis sur ce trône.
Maintenant, nous ne venons pas avec nos requêtes comme dans le chapitre 4, nous venons maintenant avec notre adoration, avec notre louange. Et c'est encore Christ.
Donc, je répète, pour pouvoir entrer, ça prend une personne qui est là, ça prend une heure qui a été accomplie. Et si nous pouvons entrer maintenant, comment est-ce qu'on peut l'entrer? En présentant Christ devant Dieu.
Il n'y a rien à nous-mêmes que nous pouvons présenter. On peut seulement présenter Christ. Ce sont des sacrifices agréables devant Dieu, par le Saint de Jésus.
C'est la base. Mais on pourrait traduire aussi « en vertu ». Donc, ça nous montre la puissance de ce Saint. Ce Saint ouvre le ciel. C'est vrai. Ce Saint ôte le péché.
On a vu cela dans le chapitre 9 et aussi dans le chapitre 10, lorsqu'on a parlé de ce sacrifice de Christ. Christ est venu pour faire la volonté de Dieu. Ensuite, on a vu l'œuvre de Christ. Ensuite, on a vu le témoignage de l'Esprit Saint au verset 14 et 15.
L'Esprit confirme maintenant les résultats merveilleux de ce sacrifice. Et ainsi, nous pouvons être des adorateurs qui viennent dans la présence de Dieu avec Christ comme sacrifice.
C'est une question de réponse. On va revenir à ça aussi au verset 22. Approchons-nous. C'est une question de réponse. Une réponse que nous pouvons donner.
Donc, le Saint de Jésus, c'est la base. C'est en vertu de ce Saint que nous pouvons entrer. Et ainsi, on aura toujours cet accès basé sur ce Saint versé de Christ.
Je note ici le Saint de Jésus. C'est une des neuf fois où on trouve ce nom simple, maîtrisé par les juifs, Jésus. Neuf fois dans cet épisode. Lorsque nous parlons du Saint de Jésus, on a le dire Seigneur Jésus.
Mais ici, l'auteur nous présente la personne maîtrisée de Jésus qui a accompli cette œuvre merveilleuse, le Saint de Jésus. Ensuite, il dit par le chemin nouveau au verset 20.
En contraste avec l'Ancien Testament, le chemin était barré. Mais c'est aussi un chemin nouveau parce qu'il y a maintenant un homme dans le ciel. C'était inconnu dans l'Ancien Testament.
Donc, il y a toujours des parallèles. Dans l'Ancien Testament, le souverain sacrificeur pouvait entrer une fois par année. Le contraste est maintenant, nous pouvons tous entrer et tout le temps. C'est un grand contraste.
Il y a aussi un autre contraste parce que c'est maintenant un chemin nouveau. Donc, il y a un parallèle, on peut entrer. En même temps, de grands contrastes.
Et ici, le mot nouveau, dans l'original, implique la pensée que c'est vrai. Et peut-être même une référence au sacrifice, que le sacrifice garde ainsi son efficacité.
On a parlé du Saint de Jésus qui garde son efficacité et ainsi le sacrifice de Christ est la base pour ce chemin nouveau. Et ce chemin reste nouveau. Lorsque nous serons dans le ciel, autour du trône, Apocalypse 4 et 5, on va voir l'agneau immolé.
On va garder toujours cette impression que ce sacrifice est vrai comme si c'était fait aujourd'hui. Ainsi, c'est pour mettre l'emphase sur cette pensée-là. Le chemin nouveau reste nouveau à cause de son sacrifice.
La valeur de son sacrifice sera toujours placée devant nos cœurs. Ce ne sera jamais quelque chose de vieux. Ce sera toujours nouveau et frais dans ce sens-là. Comme on va voir l'agneau immolé.
Comme le dimanche matin, on pense à Christ comme l'agneau et c'est toujours frais, c'est toujours nouveau. Il n'y a aucune pensée d'un rituel ou d'un système religieux. Et ce deuxième mot souligne cela aussi. Le chemin nouveau est vivant.
Peut-être qu'on peut penser à Christ ressuscité parce que sans sa résurrection, il n'y aurait pas de chemin vivant. Il a dit, je suis le chemin, la vérité et la vie.
Sur la base de sa personne, ce chemin-là, sur la base de sa résurrection, nous pouvons profiter de ce chemin. Sans la résurrection du Seigneur, on ne pourrait pas profiter de ce chemin.
Un chemin vivant, on peut penser aussi à l'activité de l'Esprit Saint que nous avons reçue et qui garde ces choses réelles et vivantes. Comme j'ai dit tantôt, ce n'est pas un rituel, c'est vivant en accord avec Dieu.
Un peu comme on voit dans Deux Chrétiens 3 et 4, par exemple, où Paul montre le grand contraste entre la loi de mourir et cette nouvelle alliance que Dieu a introduite sur la base de l'oeuvre accomplie de Christ. Là, tout est vivant. Tout parle de la vie, tandis qu'avec l'autre système, tout parlait de la mort.
Ensuite, il dit au milieu du verset 20 qu'il nous a consacré ou inauguré. Le mot inauguré ou consacré souligne encore le caractère nouveau de ce chemin et que c'est un ordre nouveau, un système nouveau duquel il parle ici.
Ce mot inauguré ou consacré implique ces pensées-là d'un ordre entièrement nouveau. Là, un grand contraste avec l'Ancien Testament.
Et il a consacré ce chemin en allant lui-même dans la gloire. Donc, on voit ici trois choses. Le sacrifice pour le chemin nouveau, la résurrection pour que ce soit un chemin vivant et aussi son entrée dans la gloire pour nous consacrer ce chemin.
Vous voyez cet ordre dans ces paroles? À travers le voile. Et cela est souvent mal compris. On pense, ok, le voile du Temple a été déchiré, donc le voile n'est plus là.
Mais ça c'est le voile du Temple et cela illustre en effet que cet ancien ordre a été mis de côté. Mais dans le contexte de l'Épître aux Hébreux, le voile est encore là, justement pour indiquer cette différence entre le lieu saint et le lieu très saint, comme j'ai dit tantôt.
Le lieu saint, le service pour les intérêts de Dieu. Le lieu très saint pour contempler l'âtre, la personne du Seigneur Jésus et tout ce qui va avec lui. Là, il y a le voile entre les deux. Mais le point, on a un libre accès à travers le voile. Il n'y a aucun obstacle. Le voile n'est pas un obstacle.
Le voile ici est pour indiquer cette différence de lieu. Mais c'est aussi pour nous attirer à la personne de Christ parce que dans l'Ancien Testament, l'Exode 26, on voit que le voile parle de Christ, de ses souffrances, de sa personne merveilleuse et il l'explique aussi, c'est-à-dire sa chair.
Donc pour que nous puissions entrer dans la gloire, il faut que Christ soit là. Et ce n'est pas sa chair. Il faut là penser à l'incarnation, sa présuppose, l'incarnation de Christ, sa présuppose sa vie ici sur la terre, sa présuppose sa mort et sa résurrection, sa présuppose aussi qu'il est maintenant dans la gloire.
A travers sa chair, nous pouvons maintenant entrer. Sans que Christ soit là, sans qu'il soit donné lui-même un sacrifice, on ne pourrait pas avoir ce libre accès. Mais si nous pouvons entrer maintenant, et c'est le cas, c'est à travers le voile, c'est à travers sa chair.
Ensuite, le verset 21, « ayant un grand sacrificateur ». Dans l'original, le mot « ayant » n'est pas là, mais c'est pour mettre le lien avec verset 19.
« Ayant » donc faire une pleine liberté, maintenant verset 21, « ayant un grand souverain sacrificateur ». Ça va ensemble. « Ayant » cette liberté va ensemble avec « ayant un grand sacrificateur ».
Maintenant, je veux d'abord souligner le mot « grand ». Le Seigneur Jésus est toujours grand dans cette éthique. Dans le chapitre 1er, il est l'héritier, il est le créateur, il est celui qui soutient tout, il est le sacrifice.
Et maintenant, dans le chapitre 1er, verset 3, on voit qu'il s'est assis à la droite de la majesté. Le mot « majesté » implique cette pensée de grandeur, méga.
Et on a vu dans le chapitre 4, avec notre accès pour venir devant le trône de la grâce, nous avons vu le grand souverain sacrificateur par rapport à nos besoins. Il est là dans la gloire pour prendre soin de nos besoins.
Imaginez-vous, il y a une personne dans la gloire, sous le trône de Dieu, il pense à vous et moi 24 heures par jour, à tous les chrétiens. Il est là pour pouvoir, dans leurs besoins, intercéder un grand souverain sacrificateur.
On a vu un autre exemple de sa grandeur dans le chapitre 7, parallèle avec Melchisére. On verra plus tard, dans le chapitre 13, qu'il est maintenant le grand pasteur. Donc le Seigneur dans la gloire, il prend soin du peuple de Dieu, il est un grand pasteur.
Mais ici, il est un grand sacrificateur. Pourquoi? Vous vous souvenez que j'ai dit, nous sommes une famille de sacrificateurs. Il est le chef, il est le grand sacrificateur. Le Seigneur est toujours le plus grand, c'est évident.
Si nous sommes des sacrificateurs, il faut qu'il soit le grand sacrificateur. Si nous avons un lien avec lui, et c'est le cas, il est toujours plus grand. Et ainsi, l'auteur place toujours le Seigneur Jésus devant nous dans sa grandeur.
Et sacrificateur, c'est ici par rapport à l'adoration. Donc dans le chapitre 4, le sacrificateur c'est pour pouvoir, dans nos besoins, intercéder pour nous. Mais ici, dans le contexte, il est là pour le service de Dieu, pour satisfaire le cœur de Dieu, pour l'adoration.
Et c'est lui qui nous conduit dans l'adoration. Il est le grand sacrificateur. Et Dieu l'a établi sur la maison de Dieu. Nous sommes la maison de Dieu. On a vu cela dans le chapitre 3, verset 6. Nous sommes la maison.
Donc avec l'expression la maison de Dieu, nous avons deux pensées. Ensemble, avec tous les croyants, nous formons la maison de Dieu. On voit cela aussi dans 1 Pierre 2. La maison qui a été construite de pierres vivantes. Ensemble, nous formons une seule maison. La maison de Dieu.
La deuxième pensée, nous sommes aussi la famille qui habite dans cette maison. Et c'est aussi la maison de Dieu. Vous voyez? Donc la maison de Dieu veut dire la maison où Dieu habite et c'est tous les croyants ensemble. C'est la maison de Dieu.
Deuxièmement, c'est la famille qui habite là. Christ est notre vie. Nous sommes dans la présence de Dieu. C'est la maison de Dieu. Et il est le chef, le Seigneur Jésus est le grand souverain sacrificateur établi sur cette maison.
Mais ici, je répète, c'est donc une famille de sacrificateurs, cette maison de Dieu. C'est pour cela que nous avons maintenant cet appel au verset 22. Approchons-nous.
Et en tous ces privilèges qu'on a vus verset 19, 20, 21, il y a maintenant un appel. Approchons-nous. Est-ce que le peuple pouvait s'approcher sous la loi de Moïse? Non oui, il ne pouvait pas s'approcher. Il fallait qu'il se tienne loin, loin de la montagne.
Nous, par contre, sous la grâce, nous pouvons nous approcher. Il y a cinq appels. C'est le premier appel ici pour s'approcher. On verra tantôt aussi verset 23, retenons la confession.
Verset 24, prenons garde l'un à l'autre. Et ensuite, on va voir encore deux autres versets 25, n'abandonnons pas. C'est un autre appel par rapport à notre responsabilité et nous exhortons l'un l'autre. C'est le cinquième.
Je reviens maintenant au premier appel, au verset 22. Approchons-nous avec un cœur vrai. Pourquoi il dit ça? Maintenant, on arrive aux conditions pratiques. On a vu, tous les chrétiens ont ce libre accès. Aucune exception. On ne peut pas dire d'un chrétien qui n'a pas ce libre accès. Tous les chrétiens ont cet accès.
Mais maintenant, verset 22 parle des conditions pratiques qui sont nécessaires. Pour pouvoir approcher, pour utiliser ce libre accès, il faut venir avec un cœur vrai.
David l'a dit dans le psaume 51, que Dieu cherche la vérité dans l'homme intérieur. La vérité dans l'homme intérieur. Ça, c'est le cœur vrai. Dans le psaume 139, à la fin, il dit,
Sends-moi au Dieu, connais mon cœur, éprouve-moi et connais mes pensées, et regarde s'il y a en moi quelquefois de chagrin, et conduis-moi dans la voie éternelle. Ça, c'est un cœur vrai. Un cœur vrai est en accord avec Dieu. Un cœur vrai ne cache rien. Un cœur vrai est transparent.
Un cœur vrai, c'est quelqu'un qui se juge lui-même dans la lumière de Dieu. Un cœur vrai est nécessaire pour pouvoir entrer. Il y a beaucoup d'infos sur le cœur. Ça, c'est la première condition. Parce que le cœur, c'est le centre de notre personnalité. Du cœur sont les issues de la vie. Proverbe 84.
Donc, vous voyez, la condition du cœur est tellement importante, et c'est mentionné en premier, que nous poussions venir avec un cœur vrai. Pas pour faire un rituel. Vous voyez, avec les pharisiens, le Seigneur dit, ce sont des hypocrites. Ils font certaines choses pour être vus des hommes. Mais Dieu voit vraiment l'état de leur cœur.
Donc ici, un cœur vrai veut dire sans hypocrisie, sans prétention. Et les autres éléments que j'ai dit tantôt, le jugement de soi-même, c'est tout impliqué. Un cœur vrai, comme on voit dans Jean 4 avec la femme samaritaine, le Seigneur pouvait parler après, avec elle, de cette adoration.
De l'ensemble avec un cœur vrai. Donc, le cœur est mentionné souvent, soit dans Éphésiens, par rapport à ces vérités merveilleuses que Dieu a révélées par la Côte-Froide, mais aussi dans Deuteronomy 2, que nous avons besoin d'avoir ce cœur pur.
Donc, beaucoup d'emphase, vous pouvez lire dans le Nouveau Testament plusieurs passages qui nous parlent de la condition du cœur. Ça, c'est la première chose. Pas une forme religieuse, mais un état vrai devant Dieu. Ça commence par le cœur.
Deuxièmement, la deuxième condition, en pleine assurance de foi. Pas de doute. Ça présuppose donc qu'on réalise plus ou moins les privilèges qu'on a, et on agit selon ces privilèges qu'on a. On est conscient de cela. On est assuré. Pas de doute.
Et puis, c'est l'assurance de foi. Et j'aimerais maintenant référer à ce qu'on va voir tantôt. La foi va ensemble avec l'espérance, du verset 23. Ça va ensemble avec l'amour, du verset 24, vous voyez.
Dans le Nouveau Testament, c'est souvent comme ça que la foi, l'espérance et l'amour vont entendre. Ce serait aussi une étude pour vous.
D'abord la foi. Parce que le christianisme est un système de foi. La foi est mentionnée en premier, en contraste avec le rituel que Dieu avait donné dans l'Ancien Testament.
Là, le sacrificeur n'avait pas besoin de foi. Il fallait qu'il fasse simplement tout selon les prescriptions. Mais pour nous, le christianisme, c'est d'abord quelque chose de foi.
Et ça va ensemble avec cette pleine assurance de foi. La foi répond à la vérité révélée du Dieu.
La troisième condition ayant les cœurs par aspersions purifiées, une mauvaise conscience. Donc on parlait tantôt déjà de l'état du cœur. Un cœur vrai, maintenant le cœur purifié.
Donc on réalise la valeur du sang. Nos aspersions suggèrent donc que le sang a été appliqué.
Et pour comprendre cela, il faut penser au sacrificateur dans l'Ancien Testament qui était préparé pour le service. Il fallait d'abord qu'il soit aspersé par ce sang, qu'il soit lavé, le corps était lavé, et ainsi qu'il prend encore l'image de l'Ancien Testament et il l'applique aux croyants aujourd'hui.
Les cœurs purifiés, donc c'est une question de la valeur du sang. Dans l'Ancien Testament, c'était extérieur maintenant. Avec le christianisme, c'est d'abord ce qui est intérieur. Dieu connaît les cœurs. Dieu regarde ce qui se passe dans les cœurs et Dieu veut d'abord que le cœur soit en ordre avec lui.
Mais pas seulement le cœur, aussi le corps, ce qui est extérieur. Dans le christianisme, il y a un équilibre entre ce qui est à l'intérieur, le cœur, et ce qui est visible, le corps. Il y a un équilibre dans le christianisme, comme on voit ici.
La quatrième condition est le corps lavé d'eau pure. Le sang est appliqué et ensuite une mauvaise conscience n'est plus là.
Peut-être dans le contexte direct de cet épisode, les croyants hébreux qui ne voulaient pas écouter cet enseignement avaient une mauvaise conscience.
Si on ne veut pas écouter la parole de Dieu, et on sait quand même que c'est la parole de Dieu, on va avoir une mauvaise conscience. Et c'est seulement l'application du sang de l'un et de l'autre qui peut purifier de cette conscience.
Ce n'est pas exactement le même contexte, mais 1 Jean 1, verset 9, dit que si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés, nous purifier de toute iniquité.
C'est donc l'application du sang pour que nous puissions jouir de cette liberté. Il faut toujours voir le contexte. Dieu nous donne cette liberté, verset 19.
Maintenant, les conditions pratiques, c'est avoir ce cœur vrai pour pouvoir approcher, avoir cette assurance, les cœurs purifiés d'une mauvaise conscience par l'application du sang, et le corps lavé par l'application de la parole.
Parce que la parole est l'eau pure. On trouve ça souvent dans la Bible. Le Saint dit aux disciples, vous êtes tous purs, sauf Judas Iscariot. On voit ça dans Jean 15. Et ainsi, tous les disciples étaient purs parce qu'ils étaient lavés par la parole.
Maintenant, dans la gloire, le Seigneur Jésus nous lave par le lavage de la parole pour nous présenter à lui-même lorsqu'il va venir nous chercher. L'eau de la parole dans sa purification pour nous mettre à part pour lui-même.
L'eau souligne donc la purification morale, le sang souligne la purification judiciaire. Pour être dans la présence de Dieu sur une base juste, vous voyez.
Donc, je répète, les cœurs purifiés, c'est pour être dans la présence de Dieu et sur une base légale, sur une base, je veux dire, juste devant Dieu.
Ensuite, on trouve la deuxième exhortation. Donc, la première exhortation, approchons-nous. Sur la base de tout cet enseignement, il y a maintenant un appel pour s'approcher.
Deuxième exhortation, verset 23, retenons la confession. J'ai dit tantôt, nous sommes dans le désert. Nous pourrons entrer dans la présence de Dieu, c'est vrai, tout le temps.
Mais en même temps, il est vrai aussi que nous sommes un peuple dans le désert. Et dans ce désert, nous avons besoin de retenir la confession. Et c'est la confession de notre espérance.
Oui, l'espérance parce qu'on est en route pour le ciel. On a une espérance parce qu'on n'est pas encore là. Mais on a toutes les ressources nécessaires pour nous garder sur ce chemin et pour nous faire arriver là.
Donc, l'espérance, j'ai dit tantôt déjà, va ensemble avec la foi, verset 22. L'assurance de la foi est là. Ensuite, verset 23, cette espérance, il veut ajouter sans chanceler.
Donc, le Seigneur ne veut pas des doutes, on a vu cela. Il ne veut pas non plus qu'il y ait un ralentissement ou qu'on s'affaiblisse. Il veut garder cette espérance réelle.
Retenons la confession de notre espérance parce que nous sommes des pèlerins ici dans ce monde et ainsi nous avons une confession.
Il ajoute un argument, car celui qui a promis est fidèle. Tellement beau. Tout dépend de lui. Car celui qui a promis est fidèle. Donc, cette espérance est basée sur la promesse de celui qui est fidèle.
Et si nous sommes en route, nous avons la certitude que nous allons arriver à notre destination parce que celui qui a promis est fidèle. C'est un autre sujet d'étude, d'étudier les passages où nous voyons la fidélité de Dieu.
Dieu est fidèle qui nous a appelés. Il reste fidèle, il demeure fidèle. Si nous sommes infidèles, il ne peut pas se renier d'ultimité. Il y a beaucoup de passages qui soulignent la fidélité de Dieu.
Tantôt j'ai cité un verset, un verset neuf, où nous voyons la fidélité de Dieu. Il y a ainsi beaucoup de passages qui nous parlent de sa fidélité. Et ainsi nous avons cette garantie d'arriver à notre destination parce que Dieu est fidèle, qu'il nous a appelés.
Troisième exhortation au verset 24. Disons encore un petit mot. Dieu est celui qui a promis. Ce serait aussi beau d'étudier les promesses de Dieu. J'ai dit tantôt qu'on pourrait étudier la fidélité de Dieu, mais aussi les promesses de Dieu.
C'est Dieu qui donne les promesses. Et Dieu est fidèle pour accomplir les promesses. On voit beaucoup à cet égard dans la vie d'Abraham. Et on pourrait encore trouver d'autres exemples, évidemment.
Mais il y a plusieurs références aux promesses. Je donne juste un exemple. Chapitre 6, verset 13. Car lorsque Dieu fit la promesse à Abraham. Ok. Je vais juste lire depuis le verset 1.
Chapitre 6, verset 13.
Donc c'est Dieu qui donne les promesses. C'est vraiment beau d'étudier la parole aussi par rapport à cela. C'est lui qui donne les promesses. C'est lui qui est fidèle pour accomplir les promesses.
Troisième exhortation, verset 24. Prenons garde l'un à l'autre. C'est donc considérons l'un l'autre. Il y a une référence à notre mentalité, à nos pensées.
Prenons garde, ça implique la façon dans laquelle on pense. Est-ce qu'on pense l'un à l'autre ? Ou est-ce qu'on est indifférent ? Considérons, prenons garde l'un à l'autre.
Auquel but ? Pour nous exciter à l'amour. Exciter c'est un mot très fort, pour nous stimuler donc à l'amour. Donc on a maintenant les trois, la foi, l'espérance et l'amour.
Ici l'amour est dans le contexte horizontal. Souvent l'amour est en rapport avec la relation avec Dieu. Ici l'amour est dans le contexte horizontal. Nous nous exciter à l'amour.
Et cet amour s'exprime dans les bonnes oeuvres. C'est des bonnes oeuvres envers les autres. En faisant cela, on sert Dieu en même temps, évidemment. Mais l'emphase dans ce contexte, c'est les unes envers les autres.
Et si cet amour se manifeste dans nos relations fraternelles, c'est l'évidence aussi de cette relation avec Dieu et de cet amour que nous avons envers lui.
Quatrième exhortation, verset 25. N'abandonnons pas le rassemblement de nous-mêmes. Peut-être qu'on sait que ce mot « Epissunagoge » se trouve seulement ici et dans 2 Thessaloniciens 2, verset 1.
Dans 2 Thessaloniciens 2, verset 1, le mot veut dire le rassemblement de nous-mêmes avec le Seigneur lorsqu'il va venir nous chercher. L'enlèvement de l'église.
Ici, ce mot est utilisé pour le rassemblement local, le rassemblement de nous-mêmes. Comme on voit dans les actes, ils étaient ensemble dans la maison et beaucoup d'endroits, on voit les croyants ensemble, ce rassemblement de nous-mêmes.
Mais à cause de cette pression, on a vu, on a mentionné ça quelques fois, la persécution et la pression de la part du système judaïque, il y en avait qui étaient découragés, qui ne voulaient pas se rassembler, c'était trop risquant.
Et ainsi, ils ne voulaient plus venir au rassemblement. L'auteur ici dit, comme quelques-uns ont l'habitude de faire. Il prend ça très très sérieux. On verra un peu plus loin qu'il compare ça avec un péché volontaire.
Donc un péché qui est grave dans les yeux de Dieu, verset 26, car si nous péchons volontairement, ça c'est le contexte. L'auteur prend ça très sérieux. Nous voyons avec l'avis du Seigneur Jésus qu'il avait l'habitude de monter le synagogue, ça va, c'est dans le contexte judaïque.
Évidemment, nous sommes maintenant dans le contexte du christianisme, mais quand même, le Seigneur avait cette habitude, cette coutume. On peut suivre cet exemple, évidemment.
Cinquième exhortation, nous exhortons l'un l'autre. Et le mot veut dire aussi, nous encourageons, nous consolons l'un l'autre. D'abord dans le contexte du rassemblement, comme on voit dans 1 Corinthians 14, parce qu'il parle ici du rassemblement de nous-mêmes.
Mais on voit ça aussi au plus général, Colossiens 3, verset 16 par exemple, où il dit que nous pouvons nous exhorter, nous enseigner à nous exhorter l'un l'autre par des psaumes, des hymnes, des cantiques spirituelles, chantant de nos coeurs à Dieu dans un esprit de grâce.
C'est un encouragement mutuel. Donc, c'est cette cinquième exhortation, on va ensemble avec le rassemblement de nous-mêmes. Et ce rassemblement est important pour une raison, il l'ajoute à la fin du verset 25, et cela d'autant plus que vous voyez le jour approcher.
Le jour, ici, dans le contexte direct, il s'applique à la destruction de Jérusalem. Mais le jour veut dire aussi, le jour de Christ, donc dans un contexte plus éloigné, ça s'applique à nous aussi, parce que nous n'attendons plus l'année 70, on est beaucoup plus avancé dans le temps.
Donc, dans le contexte direct de cet Épitre, lorsque cet Épitre a été envoyé aux croyants à Jérusalem, c'était en vue de cette année 70 où le Temple serait détruit. Mais nous avons aussi besoin de nous encourager l'un l'autre parce que le jour s'approche, le jour, l'avenue du Seigneur, ce jour s'approche.
Et Paul se réfère souvent à ce jour qui vient. Il dit souvent, jusqu'au jour du Christ ou jusqu'au jour du Seigneur, souvent. Verset 26, car si nous péchons volontairement, donc il va maintenant expliquer son exhortation du verset 25.
Il donne des raisons, car si nous péchons volontairement, donc il se place encore, comme souvent, avec les hébreux. Et on a vu déjà quelques fois, les hébreux qui n'étaient pas nés de nouveau étaient aussi inclus.
Ceux qui s'étaient associés aux chrétiens hébreux et qui n'étaient pas nés de nouveau sont aussi impliqués. Ils s'adressent à tous. Mais au verset 32, on n'a pas lu, là on voit qu'il fait en même temps une distinction.
Mais rappelez dans votre mémoire les jours précédents dans lesquels, ayant été éclairés, vous avez enduré un grand combat de souffrance. Et là, il parle donc de la fidélité des vrais croyants qui étaient là. Mais parmi eux, il y en avait qui n'étaient pas vraiment nés de nouveau.
Mais mon point est maintenant, l'exhortation s'adresse à tous. Donc ce n'est pas ici une question, oui mais ça s'adresse seulement aux incrédules, ça ne s'adresse pas aux croyants. Parce que là on manque la force de cette exhortation.
L'exhortation s'adresse à tous en vue de la venue du Seigneur. Ce jour est proche. Il dit que si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les pécher.
Donc je reviens maintenant au contexte direct. Si ces chrétiens hébreux nés de nouveau ou pas nés de nouveau voulaient rester à Jérusalem, ils s'exposaient au jugement de Dieu. Parce que le jugement de Dieu allait tomber sur Jérusalem. Le Seigneur l'avait dit.
Dans Matthieu 12, ils ont rejeté le Seigneur Jésus. Le Seigneur Jésus avait guéri un homme démoniaque, un homme qui était aveugle. Le Seigneur l'avait fait déjà au chapitre 9, mais ici au chapitre 12 il l'a répété.
Et tout le monde croyait que c'était le Messie qui a fait ça. Il était démoniaque, aveugle, nuet et le Seigneur l'a guéri dans Matthieu 12 verset 22. Et même selon l'enseignement des juifs dans ce temps là, ils croyaient que seulement le Messie pouvait faire ça.
Il y avait des parisiens qui ont exorcisé des démons, des démoniaques, mais si quelqu'un était nuet, il ne pouvait pas le faire parce qu'il ne pouvait pas commander le démon de sortir. Donc là il y avait cet enseignement que seulement le Messie pouvait le faire.
Donc ce démoniaque était en plus aveugle et le Seigneur l'a guéri. Donc là verset 23 les foules étaient hors d'elle et disaient celui-ci serait-il le fils de David. C'est normal, ils pensaient que ça doit être le Messie.
Verset 24. Mais les parisiens ayant entendu cela dire, celui-ci ne chasse les démons que par Beelzebub, chef des démons. Donc il déclare que le Seigneur Jésus a fait ça par Beelzebub.
Qu'est-ce que le Seigneur dit? Ça c'est le blasphème contre l'esprit. Verset 31. Il faut lire tout le chapitre évidemment. Et à cause de ce blasphème contre l'esprit, le Seigneur dit il ne sera pas pardonné aux hommes.
À cause de cela, le jugement de Dieu est venu sur Jérusalem dans l'année 70. Ça c'est le contexte. Et pour revenir à Hebreu 10.
Car si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il faut voir maintenant les juifs chrétiens qui étaient là, qui avaient reçu la connaissance de la vérité, mais ils faisaient partie encore comme juifs d'un peuple qui était sous le jugement à cause du blasphème de l'esprit.
Et ainsi l'auteur, donc l'argument est que si nous péchons volontairement, si nous ne voulons pas écouter l'enseignement de Dieu, on reste associé à cette nation qui est sous le jugement de Dieu. Et là il ne reste plus de sacrifice pour les pécher.
Je répète, ce n'est pas une question qu'on puisse perdre le salut, ça c'est pas du tout la pensée. Mais si on n'écoute pas l'enseignement, et on va revenir à ça dans Hebreu 13, sortant vers lui, hors du cain, on va revenir à ça encore, si ces croyants ne voulaient pas écouter, ils se plaçaient sous le jugement de Dieu.
Ça ne veut pas dire que si un vrai croyant était resté à Jérusalem, qu'il aurait perdu le salut à cause du jugement que Dieu allait verser sur Jérusalem. S'il était mort dans ce jugement-là, il n'a pas perdu son salut. C'est ça mon point.
Donc, ici on revient à cette exhortation qu'on trouve souvent dans cet épître. Cinq fois, on a vu dans chapitre 2, il ne faut pas être négligent. Ensuite, dans chapitres 3 et 4, on a vu qu'il ne faut pas s'endurcir.
Dans chapitre 6, la troisième exhortation, c'était encore plus sérieux pour ne pas tomber. Et maintenant, ça devient encore plus urgent.
Et on verra dans chapitre 12, la cinquième parenthèse. Ces parenthèses sont très importantes parce que là, l'auteur applique la vérité qu'il présente. Il présente la vérité et dans ces parenthèses, il applique cela au conscience des hébreux, des chrétiens hébreux, de ceux qui étaient avec eux.
Et de plus en plus, ça devient de plus urgent. Dans chapitre 12, c'est encore plus urgent qu'ici. Mais c'est très urgent. Verset 27, une certaine attente terrible du jugement et l'ardeur d'un feu qui va dévorer les adversaires. C'est très sommonnel.
Et ainsi, ce peuple juif s'est placé sous le jugement de Dieu. Il y aura seulement un changement dans la grande tribulation lorsqu'ils vont crier comme peuple à Dieu. Et le Seigneur a dit, vous ne me verrez plus jusqu'à ce que vous disiez, béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, au nom de l'autre nom, Matthieu 23.
Là, dans la grande tribulation, ils vont se repentir et le Seigneur va revenir. Évidemment, ce sera un reste, mais ce reste sera reconnu par Dieu comme peuple.
Aujourd'hui, Dieu ne s'adresse pas aux nations juives comme telles. Il a fait ça dans l'acte 2 jusqu'à l'acte 7. Mais maintenant, Dieu s'adresse aux individus comme il s'est adressé aussi à nous.
Des païens nous ont appelés pour revenir au contexte ici. Si on n'écoute pas, il y a une certaine atteinte terrible du jugement, de l'ardeur d'un feu qui va dévorer les adversaires. Est-ce qu'on veut être un adversaire? C'est la question qui se pose. Est-ce qu'on veut écouter ou est-ce qu'on veut être un adversaire?
On peut faire des applications aujourd'hui. Si on voit le contexte du chrétiennisme, donc de la société chrétienne, c'est un mouvement comme dans le judaïsme. C'est une rébellion contre l'enseignement de Dieu. Est-ce qu'on veut faire partie d'un tel système ou est-ce qu'on veut écouter l'enseignement de la parole?
On a un choix après. Verset 28. Si quelqu'un a maîtrisé la loi de Moïse, maintenant il donne un exemple même de l'ancien testament qui nous montre comment ce péché est grave.
Si quelqu'un lève sa main pour rebeller contre Dieu, il n'y a pas de sacrifice. Il fallait qu'il soit mis à mort. Vous pouvez lire ça par exemple dans Nombre 15, verset 30. Je vais juste lire le verset pour montrer le point.
Nombre 15, verset 29. Nous voyons que Dieu suppose toujours que le péché soit fait par erreur. Mais au verset 30, l'homme qui aura péché par fierté, ou littéralement qui agira à main levée, donc il lève sa main contre Dieu.
On le voit dans le restant du chapitre avec l'homme qui a ramassé du bois le jour du sabbat. Il a péché par fierté. Il a levé sa main en rébellion contre Dieu. Là, il n'y a pas de remède. C'est ça le point. Il n'y a pas de sacrifice.
Donc, ici l'auteur dit, est-ce que vous voulez vous placer dans cette catégorie-là, vous rebeller contre Dieu? Là, il n'y a pas de remède. C'est ça qu'il veut dire.
Verset 29, si c'était déjà aussi grave sous la loi de Moïse, combien plus grave c'est maintenant sous la grâce? Verset 29, ça c'est l'argument d'une punition. Combien plus sévère pensez-vous que sera jugée digne celui qui a foulé au pied le Fils de Dieu?
Et donc, ici, plusieurs arguments. Quelqu'un qui rebelle, qui ne veut pas écouter l'enseignement de cet épitre aux Hébreux, il a foulé au pied le Fils de Dieu. Donc, il a maîtrisé le Fils de Dieu.
Le Fils de Dieu, on a parlé au début de la personne magnifique qui est présentée dans cet épitre. Est-ce qu'on veut fouler au pied cette personne merveilleuse? Deuxièmement, qui a estimé profond le sang de l'Alliance.
Donc, ça veut dire maîtriser l'œuvre de Christ par laquelle il avait été sanctifié. Donc, ici, c'est pour être mis à part par ce sacrifice.
Ça implique donc que les juifs chrétiens étaient mis à part par ce sacrifice et parmi eux aussi ceux qui prophétaient être chrétiens sans être nés de nouveau. Ils étaient aussi extérieurement mis à part, sanctifiés par ce sacrifice.
Mais en ne pas écoutant l'enseignement de l'auteur ici, de l'Hébreu, il a montré un mépris envers la personne de Christ, un mépris envers son œuvre.
Troisième point qu'il mentionne et qui a outragé l'esprit de grâce. L'esprit de grâce qui habite maintenant au milieu du peuple de Dieu. Donc, une référence au Fils de Dieu, une référence à son œuvre, une référence à l'esprit de grâce qui habite maintenant au milieu du peuple de Dieu.
Il outrageait, comme les juifs, les lieux avaient outragé le Seigneur Jésus dans Matthieu 12. Est-ce qu'on veut faire ça aussi ? L'apôtre nous pose cette question. Non, évidemment pas.
Mais il continue encore son argument. Il y en a qui pensent, verset 29, c'est aussi une référence à la Trinité, Fils de Dieu, par rapport à la sanctification, pense à Dieu, mais Dieu le Père n'est pas vraiment mentionné dans l'Épique aux Hébreux, sauf dans chapitre 12, par rapport à la discipline.
Donc, il y a une référence au Fils de Dieu et à son œuvre, une référence à l'esprit de grâce. Ensuite, verset 30, car nous connaissons celui qui a dit à moi la vengeance. Dieu, c'est très sérieux. C'est Dieu qui fait la vengeance.
Moi, je rendrai vie au Seigneur. Et encore, le Seigneur jugera son peuple. C'est une autre référence. Donc, on a affaire avec ce Dieu-là. …
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Vous pouvez partager un petit aperçu après pour voir la division des chapitres qui nous restent.
On peut commencer avec le verset 8 du chapitre 11.
Pour l'instant, je vais lire jusqu'au verset 16, on verra si on va aller un peu plus loin.
Hébreu 11, verset 8.
Par la foi, Abraham étant appelé, obéit pour s'en aller au lieu qu'il devait recevoir pour héritage.
Et il s'en alla, ne sachant où il allait.
Par la foi, il demeura dans la terre de la promesse, comme dans une terre étrangère,
demeurant sous détente avec Isaac et Jacob, des co-héritiers de la même promesse.
Car il attendait la cité qui a les fondements de laquelle Dieu est l'architecte et le créateur.
Par la foi, Sarah elle-même aussi reçut la force de pender une postérité,
et cela étant hors d'âge, puisqu'elle estima fidèle celui qui avait promis.
C'est pourquoi aussi, d'un seul, et d'un homme déjà amorti,
sont nés des gens qui sont comme les étoiles du ciel, en ombre,
et comme le sable qui est sur le rivage de la mer et qu'elle ne peut se compter.
Tous ceux-ci sont morts dans la foi, ou selon la foi,
n'ayant pas reçu les choses promises, mais les ayant vues de loin et saluées,
ayant confessé qu'ils étaient étrangers et forains sur la terre.
Car ceux qui disent de telles choses montrent clairement qu'ils recherchent une patrie.
Et en effet, s'ils se fussent souvenus de celle d'où ils étaient sortis,
ils auraient eu du temps pour y retourner.
Mais maintenant, ils en désirent une meilleure, c'est-à-dire une céleste.
C'est pourquoi Dieu n'a point honte de savoir d'être appelé leur Dieu,
car il leur a préparé une cité.
C'est ici la lecture de la parole.
J'aimerais commencer à mettre le lien avec ce qui précède.
On a vu, puis vous allez voir ça aussi sur l'aperçu,
qu'on est maintenant dans la troisième partie de l'Épiphétre aux Épreuves,
où nous avons l'application de ce qui précède.
On a vu une présentation de la personne merveilleuse du Seigneur,
la première partie, plus grande que les Indes, plus grande que Moïse, plus grande qu'Aran,
et plus grande que David, etc.
Ensuite, nous avons vu l'œuvre que le Seigneur Jésus accomplit, une fois pour toutes.
Et on a vu que la troisième partie de l'Épiphétre, c'est l'application,
qui commence au chapitre 10 verset 19,
et continue jusqu'à la fin de l'Épiphètre.
Puis là, on voit le Seigneur Jésus comme notre grand conducteur,
parce que dans cet Épiphètre, toute l'emphase est sur lui, toujours.
Et ainsi, il est le grand conducteur pour nous guider, pour nous introduire dans la présence de Dieu.
C'est ça qu'on a vu au chapitre 10, 19 et suivant.
Ensuite, la dernière fois, on a vu que le Seigneur Jésus est aussi notre conducteur pour nous conduire à travers le désert.
Et là, on a surtout besoin de la foi.
On a besoin de la foi pour entrer, mais là, on a vu déjà un mot-clé,
c'est la confiance.
On se rappelle de ça au chapitre 10, verset 19,
ayant donc fait une pleine liberté.
C'est le même mot qu'on a un peu plus loin, au verset 35.
Ne rejetez donc pas loin votre confiance, qui a une grande récompense.
Qu'est-ce que je veux dire avec ça?
Nous avons cette liberté pour entrer,
et nous avons maintenant cette liberté qui implique cette confiance pour notre marche dans le désert.
Et qu'est-ce qu'on a vu aussi, la dernière fois?
Pour cette marche à travers le désert, on a besoin de la patience, de la persévérance pour continuer.
Et ainsi, ce passage qui commence au verset 35 continue jusqu'au chapitre 12, verset 11.
C'est un long passage qui nous parle de ce trajet, de ce voyage à travers le désert,
où nous avons le Seigneur Jésus comme notre grand conducteur.
Et on verra à la fin de cette partie, l'emphase encore sur sa personne,
comme il est maintenant dans le chapitre 12, le chef et le consommateur de la foi.
Il est notre conducteur pour nous guider à travers le désert.
Là, on a besoin de la foi, on a besoin de la persévérance, comme nous avons vu, la patience.
Et c'est pour ça que nous avons devant nous ces exemples de l'Ancien Testament des hommes et des femmes, comme Sarah,
de la foi qui était dirigée par Dieu, par l'Esprit du Dieu, par la foi.
Et plus tard dans cet épitre, à la fin, on verra le Seigneur Jésus comme notre grand conducteur pour nous conduire en dehors du judaïsme, en dehors du camp.
Ce qui est très beau de voir comment ce chapitre ou ce passage se divise.
On a parlé déjà un peu de la foi et de plusieurs prépositions qui sont utilisées.
Et on peut encore souligner que dans le passage qu'on a vu la dernière fois, l'emphase est sur vivre par la foi, que nous pouvons vivre par la foi.
C'est la vie de la foi qui implique donc la persévérance, qui implique cette confiance pour continuer dans cette marche.
Et ensuite on a vu, c'était une partie de ce passage encore, une description de cette foi au chapitre 1, verset 1, qui est l'assurance des choses qu'on espère.
Donc la foi voit en avant, et c'est ça qu'on va voir surtout avec Abraham.
Ensuite, verset 1 dit la conviction de celle qu'on ne voit pas, parce que la foi fixe son regard sur Dieu en haut.
Et ainsi on a dans ce premier verset déjà un résumé de tout le chapitre.
Parce que d'un côté on verra que la foi voit en avant, comme avec les patriarches.
Ils l'ont vu aussi en haut évidemment, comme on a vu avec Énoch.
Mais l'emphase est sur ce côté-là.
Tandis qu'avec Moïse, on verra l'énergie de la foi.
Là on verra avec Moïse et avec la sortie de l'Égypte, cette foi par la foi.
Et c'est surtout par rapport au fait qu'il a vu celui qui est invisible.
Mais qui était réel pour lui.
Tandis que la première partie, on a vu donc d'abord les quatre points de base de la foi.
Au verset 3, la création.
Au verset 4, le sacrifice.
Au verset 5, la marche de la foi avec Énoch.
Et là on voit qu'il a regardé en haut parce qu'il marchait en communion avec Dieu.
Dieu qui est invisible.
Pour sa foi était avec lui. Il a marché avec Dieu.
Et avec Noé la dernière fois, on a vu la conclusion.
La marche de la foi mais surtout comme un témoignage ici sur la terre.
Le témoignage sur la terre.
Énoch représente un peuple céleste.
Noé représente un peuple terrestre.
Comme Israël ou le reste fidèle dans les jours à venir
vont passer à travers la grande tribulation
comme l'arche a passé à travers ces eaux du jugement
et pour être introduit sur une terre, dans un monde renouvelé ou purifié.
Ainsi ce reste fidèle sera introduit par le Seigneur dans le millenium.
Il y a des parallèles là.
Tandis que nous, le peuple céleste, nous serons enlevés de ce monde comme Énoch a été enlevé.
Donc il y a de belles leçons dans ces quatre points de base de la foi.
Mais dans le contexte immédiat de cette épître,
nous avons vu que ces exemples incluent aussi des leçons pratiques pour les croyants.
Parmi les hébreux, donc les croyants juifs dans ce temps-là, à Jérusalem et dans la région de Jérusalem.
Qu'ils puissent mettre leur confiance en Dieu comme celui qui va introduire un nouveau monde.
On a vu, cette création, verset 3, nous parle aussi d'un nouveau monde que Dieu va introduire.
Dieu le Créateur est capable d'introduire un nouveau monde,
de siècles à venir, ou d'autres expressions semblables qui sont utilisées dans l'hébreu.
Et puis les croyants, parmi les hébreux, avaient besoin de mettre leur confiance en Dieu
qui allait les introduire dans ce nouveau monde, dans le futur.
Mais il fallait qu'ils mettent leur confiance en Lui.
Et pour nous c'est la même chose.
Il faut que nous mettions notre confiance en ce Dieu qui va introduire un nouveau monde.
Aujourd'hui les gens parlent du nouvel âge.
Nous avons une meilleure vue.
Nous voyons comment Dieu va introduire un nouvel âge.
Pas un contrepassant comme l'ennemi est en train de le faire.
Mais le vrai nouvel âge que Dieu va introduire, ça c'est le verset 3, l'application.
Le deuxième point de l'application est donc la nécessité de la rédemption.
Sans la rédemption, il n'y a pas de lien avec Dieu.
Et ainsi, le système judaïque, qui était donc devenu un système religieux, sans Dieu,
qui avait rejeté leur propre Messie, ne pouvait pas pouvoir dans ce besoin, dans cette nécessité de la rédemption.
Tandis que les croyants juifs parmi le peuple juif avaient compris que ce sacrifice du Messie était suffisant
et disponible pour eux aussi, un plus excellent sacrifice,
plus excellent que tous les sacrifices qui étaient présentés dans le Temple encore à ce moment-là.
Et pour nous, c'est aussi important qu'on réalise que la rédemption est basée sur ce sacrifice une fois pour toutes du Seigneur Jésus,
un plus excellent sacrifice, plus excellent que ce qui est répété encore aussi dans le monde religieux d'aujourd'hui.
Ainsi, il y a donc des leçons pratiques de ces quatre points de base.
Troisième point, qu'on puisse marcher comme un peuple céleste dans la communion avec Dieu.
Et quatrième point, un témoignage dans ce monde, réalisant qu'on n'appartient pas à ce monde qui est sous le jugement.
Et ainsi, on peut être un témoin, comme Noué a été.
Ça nous amène donc à ces sept points, et j'aimerais encore montrer cela.
Il y a sept fois maintenant, cette expression « par la foi ».
Dans l'original, c'est juste le mot « foi », mais d'une forme spéciale, et ce qui est traduit en français « par la foi ».
Et cette expression, ou ce mot, dans cette forme, revient « sept fois ».
Il ne faut pas inclure verset 13, « tous ceux qui sont morts dans la foi », là c'est une autre préposition.
Là, il y a une préposition qui est utilisée, tandis que dans les sept occasions, on voit juste le mot « foi ».
Verset 8, « par la foi » Abraham.
Verset 9, « par la foi » il demeura.
Verset 11, « par la foi » Sarah, avec Abraham.
Ensuite, le verset 17, « par la foi » Abraham, quatrième occasion.
Verset 20, « par la foi » Isaac.
Ensuite, verset 21, « par la foi » Jacob.
Sixième fois, verset 22, « par la foi » Joseph.
Il y a donc sept fois, « par la foi », avec les patriarches.
Et dans tous ces cas, il y a une leçon pratique pour les juifs chrétiens à ce moment-là, et aussi, évidemment, des leçons pratiques pour nous.
Et les versets qu'on a lus aussi ce soir, 13 à 16, c'est comme une petite parenthèse entre ces sept.
D'abord trois, « par la foi », ensuite quatre, « par la foi ».
Et lorsqu'on va arriver au verset 23, là on voit « par la foi » Moïse.
Ça c'est le premier d'une série de sept aussi, par rapport à la sortie de l'Égypte.
Et là, on voit l'emphase sur la foi qu'il voit en haut.
Donc avec Abraham, les sept fois que j'ai mentionnées, il y a l'emphase sur ce qui est futur.
La foi voit en avant avec Moïse, plus tard on verra, et avec Rahab aussi, à la fin de cette série de sept, « par la foi ».
L'emphase est sur l'énergie de la foi, parce que la foi tire son énergie de Dieu, du Dieu invisible.
La foi voit en haut et tire de Dieu toutes ses ressources.
Donc je vous donnerai cet aperçu tantôt.
Et il y a encore d'autres choses à ajouter plus tard, mais je ne vais pas le faire maintenant.
Donc on veut commencer par le verset 8 maintenant.
On se rappelle, on est dans ce monde, dans un désert, où on a besoin du Seigneur Jésus comme notre grand conducteur,
et il nous dirige à travers ce désert.
Il est notre grand conducteur.
Mais il y a aussi de notre côté le besoin de la foi.
Et là on voit avec Abraham une leçon très spéciale pour nous, des leçons très spéciales.
Quelqu'un a comparé cette foi d'Abraham avec le télescope.
Le télescope voit les choses qui sont très loin, les étoiles, et le télescope les place tout près de nous.
Ça c'est la foi comme télescope.
Et ainsi on a vu la dernière fois, par la foi les croyants voient un autre monde comme déjà présent,
un autre jour comme déjà actuel, et surtout un autre homme, parce qu'ils voient Christ dans la gloire.
Tandis que le système judaïque, le système religieux voit l'homme dans la chair.
Et ainsi Abraham.
Et dans ce contexte là, il faut réaliser où Abraham était.
Abraham était dans l'idolâtrie.
Josué 24 nous montre qu'Abraham était idolâtre.
Et on ne peut pas le faire maintenant, mais si vous voulez lire à la maison Genèse 10 et 11,
vous voyez un tableau de ce monde d'idolâtrie après le déluge.
Et les trois fils de Noé, même Sème et ses descendants étaient impliqués dans ce monde d'idolâtrie.
Et là, Dieu est revenu pour appeler Abraham.
Il a appelé, et Étienne dans Acte 7, c'est vraiment un beau verset pour lire,
lorsque Étienne réfère à cet appel de Dieu, dans Acte 7, il a dit,
au verset 2, « Hommes, frères et pères, écoutez, le Dieu de gloire apparu à notre père Abraham,
lorsqu'il était en Mississippi ».
Donc le Dieu de gloire, lui, est apparu.
Et le chapitre termine avec un homme dans la gloire, le Seigneur Jésus.
Il voyait le ciel ouvert, et là il vit la gloire de Dieu, au verset 55,
et Jésus debout à la droite de Dieu.
Le chapitre termine avec ça, 56, il dit, « Voici, je vois les cieux ouverts,
et le Fils de l'homme debout à la droite de Dieu. »
Donc ce qu'Abraham a vu, la gloire de Dieu, c'est une illustration de ce que le croyant voit maintenant.
Le croyant voit la gloire de Dieu, mais maintenant c'est plus spécifique.
C'est la gloire de Dieu dans une personne, dans un homme, dans le Fils de l'homme.
Et vous et moi, nous avons, selon Hébreux, ce privilège, un ciel ouvert,
nous voyons Christ, là, couronné de gloire et d'honneur.
Hébreux 2, verset 9.
Ça c'est notre privilège, exactement comme Étienne.
Maintenant, pour revenir au chapitre 11, verset 8, « Par la foi, Abraham ».
D'abord ce nom Abraham.
Au début, lorsque Dieu a appelé Abraham, c'était Abraham.
Ça veut dire « Abraham, père élevé » ou « père exalté ».
C'était son premier nom.
Mais ici, dans notre récit, nous voyons que l'auteur utilise déjà le deuxième nom,
l'autre nom qu'Abraham a reçu après, dans Genèse 17.
À quelle occasion est-ce qu'Abraham a reçu ce nom-là ?
Puis ce nom veut dire « Abraham, père d'une multitude ».
Quand est-ce qu'Abraham a reçu ce nom-là ?
Après cette expérience avec Aga, qui est la enfant-fille Isaac,
vous pouvez lire dans Genèse 16,
après qu'Abraham avait 99 ans, donc presque 101,
il ne pouvait plus générer des enfants.
À ce moment-là, Dieu lui a donné ce nom Abraham, père d'une multitude.
À ce moment-là, Dieu a encore reconfirmé ses promesses à Abraham
qu'il allait avoir un fils, pas Sarah.
Donc, notons bien, ce nom est très important.
Et ça nous parle de la foi d'Abraham.
Et puis, dans Romains 4, il y a une belle référence à cette foi qu'Abraham a eue à cette occasion-là.
Donc, il était trop vieux pour générer des enfants,
mais il a mis sa confiance en Dieu.
Romains 4 le dit de cette façon-là.
Peut-être on peut lire verset 16.
Romains 4, verset 16.
Pour cette raison, c'est sur le principe de la foi,
afin que ce soit selon la grâce, pour que la promesse soit assurée à toute la semence,
non seulement à celle qui est de la gloire, mais aussi à celle qui est de la foi d'Abraham,
lequel est père de nous tous.
Verset 17.
Selon qu'il est écrit, j'étais établi père de plusieurs nations.
On verra tantôt aussi, il y a donc ces deux descendances,
comme les étoiles du ciel et comme le sable au bord de la mer.
Il y a deux sortes de descendances d'Abraham.
Il y a déjà une référence à ça dans Romains 3 et aussi ici dans Romains 4.
J'étais établi père de plusieurs nations, devant Dieu qu'il a cru.
Maintenant, le point arrive que je voulais mentionner.
Devant Dieu qu'il a cru, qui fait vivre les morts
et appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient.
Abraham a réalisé qu'il avait affaire avec le Dieu qui avait la puissance de la résurrection.
Ensuite, verset 18.
Qui, contre espérance, crut avec espérance pour devenir père de plusieurs nations.
Selon ce qui a été dit, ainsi sera la semence.
Et n'étant pas faible dans la foi.
Donc on voit d'abord qu'il a cru, verset 17.
Il a cru contre espérance, verset 18, c'est encore plus fort.
Et verset 19 répète, n'étant pas faible dans la foi,
il n'eut pas égard à son propre corps déjà amorti.
C'est ce qu'on a vu aussi dans Hébreu 11 ce soir.
Agé qu'il était d'environ 101 ans.
J'ai dit tantôt 99 ans.
Environ 101 ans, ni à l'état de mort du sein de Sarah.
Vous voyez, Abraham ne pouvait plus générer des enfants.
Il était trop vieux.
Sarah était trop vieille aussi.
En plus, elle avait toujours été stérile.
Donc elle avait passé l'énopause.
Elle avait toujours été stérile.
Donc il y avait deux raisons pour qu'elle ne puisse pas enfanter un enfant.
Pas avoir un enfant.
Mais Abraham n'a pas regardé à ça.
Verset 19 dit, par la foi, il a vu que Dieu était capable
de quand même donner un enfant à Abraham et à Sarah.
Verset 20, il ne forma point de doute sur la promesse de Dieu par incrédulité.
Mais il fut fortifié dans la foi, donnant gloire à Dieu,
étant pleinement persuadé.
Il y a sept points ici avec Abraham.
Ici, verset 21, c'est le septième point.
Étant pleinement persuadé que ce qu'il a promis,
il est puissant aussi pour l'accomplir.
Cette foi d'Abraham inclut, donc, qu'il avait compris
que si Dieu promet quelque chose, il va le faire.
Et plus tard, avec Isaac, on verra peut-être la prochaine fois,
cette foi a impliqué aussi qu'Abraham savait que Dieu était pour ressusciter Isaac.
Si Isaac allait mourir avant qu'il ait un fils,
Dieu était pour le ressusciter afin que Dieu puisse accomplir sa promesse.
Voilà la foi d'Abraham.
Et il a compris la puissance que Dieu a pour accomplir ses promesses.
Et nous avons besoin de la même sorte de foi qu'Abraham avait.
Donc, pour revenir à Hébreu 11, verset 8,
nous voyons donc Abraham avec cette foi,
et nous avons lu aussi qu'il est un père des croyants.
Tous les croyants, dans n'importe quelle génération,
dans n'importe quelle dispensation, sont des fils d'Abraham,
le père des croyants.
Et qu'est-ce qu'on voit ici avec Abraham ?
Il était appelé.
C'est l'appel de Dieu.
C'est un appel irrésistible.
C'est un appel qui est venu et il a obéi.
Et dans l'original, c'est intéressant comment c'est dit.
On pourrait traduire ainsi « étant appelé »
ou « lorsqu'il était appelé, le même moment il obéit ».
Dans l'Ancien Testament, on n'a pas cette impression.
Mais ici, Dieu voit, dans le Nouveau Testament,
Dieu voit les choses toujours du côté de Dieu,
comme Dieu aime voir l'histoire.
Et là, on voit qu'au moment que Dieu l'a appelé,
il a obéi.
C'est très beau de voir ça.
Et c'est une leçon pour nous.
Au moment que Dieu nous parle, est-ce qu'on est prêt à obéir ?
L'appel, c'est le côté de Dieu.
L'obéissance, c'est le côté d'Abraham.
Vous voyez comment ces deux vont ensemble ?
Et ainsi, Dieu veut aussi voir avec nous cette réponse de la foi.
La foi se montre dans cette obéissance.
L'obéissance d'Abraham était donc sa réponse
pour dire oui à ce Dieu qu'il avait appelé.
Donc, on pourrait étudier davantage,
mais je veux juste le mentionner comme sujet d'étude,
la question d'appel, de l'appel de Dieu.
Nous avons un appel saint dans le Nouveau Testament.
On a vu dans Hébreu 3, notre appel est un appel céleste
parce que Christ est dans la gloire
et nous sommes appelés avec un appel céleste.
Nous avons été appelés par un appel saint pour nous mettre à part.
Un appel d'en haut, Philippiens 3.
Et ainsi, il y a plusieurs aspects de cet appel
avec lequel Dieu nous a appelés.
Dieu appelle, et c'est à nous de répondre, d'obéir.
Cette obéissance, cette réponse, c'est très beau.
Ensuite, qu'est-ce qu'on lit ?
Pour s'en aller.
Et à la fin du verset 8, il est répété, il s'en alla.
Le verbe qui est utilisé ici, on pourrait traduire pour sortir.
Parce que dans le contexte, qu'est-ce que ça veut dire ?
Il était pour s'en aller de l'idolâtrie.
Sortir de l'idolâtrie.
Ce même verbe est utilisé lorsque le Seigneur Jésus est sorti
de la maison pour se mettre à la place, Matthieu 13.
Le même verbe est utilisé avec les dix vierges.
Elles sortaient, Matthieu 25.
C'est intéressant d'étudier ça, parce qu'on verra ce même verbe
encore dans le chapitre 13, verset 13.
Sortons donc vers lui hors du cain.
C'est le même verbe sortir, ou s'en aller, ici c'est traduit s'en aller.
Mais sortir, sortir du monde religieux.
Sortir du judaïsme.
Vous dites que c'est négatif, mais par cet appel, ça implique la séparation.
Comme on voit avec Abraham dans Genèse 12,
séparé de sa parenté, séparé du pays de sa naissance,
l'appel de Dieu implique une séparation.
On ne peut pas nier ça.
Et ainsi, ce verbe, s'en aller ou sortir, souligne cela.
Au lieu qu'il devait recevoir, là on voit le but, sa destinée,
où Dieu voulait l'avoir, qu'il devait recevoir pour héritage.
Là, nous avons encore un élément important, la question de l'héritage.
On en a parlé déjà par rapport à Noé.
Noé, on a vu aussi l'idée d'héritage.
Il devint héritier de la justice, qui est selon la foi.
Mais pour Abraham, Dieu avait d'autres plans,
et cet héritage était par rapport au pays promis, le pays de la promesse.
Pour nous, ce serait aussi tout un sujet, pas seulement étudier l'appel de Dieu,
mais aussi la question de l'héritage.
Parce que nous avons maintenant un héritage qui est même au-dessus
de l'héritage que Dieu avait en vue pour Abraham.
Mais ça c'est quelque chose qui appartient uniquement à l'Église.
Cet héritage qu'on voit dans Éphésiens et d'autres passages.
On a parlé déjà de ce verbe « issan ala », l'obéissance.
Il sortit de ce monde religieux et il se mettait en route pour un autre monde,
pour le pays promis.
Et là on a donc une illustration de la leçon pour les juifs chrétiens à ce moment-là.
Sortir du judaïsme, comme on verra dans Hebrews 13, verset 13,
pour s'en aller dans un nouveau monde,
pour être identifié avec un nouveau système principal,
un nouvel ordre de choses.
Et ça ce n'est pas la foi, parce qu'il est dit « ne sachant où il allait ».
Ce n'est donc pas par le raisonnement humain,
ce n'est pas par la science,
ce n'est pas par les émotions ou quoi que ce soit.
« Ne sachant où il allait ».
Et puis là on voit encore la question de la persévérance, de la foi.
Il est parti, il a mis sa foi en Dieu,
mais chaque jour, c'est un long voyage,
il fallait continuer, continuer, persévérer.
C'est encore une leçon pratique pour les chrétiens hébreux à ce moment-là,
c'est aussi une leçon pour nous,
de pouvoir persévérer, qu'on est en route pour continuer.
Mais c'est par cette espérance.
Puis là j'aimerais encore souligner ces trois éléments
qu'on a vus déjà quelques fois dans cet épitre.
La foi, l'espérance et l'amour vont ensemble.
Il a Dieu, il a vu,
mais le Dieu de gloire,
on le connaît dans le Nouveau Testament comme le Dieu qui est amour,
qui est lumière aussi.
Ce Dieu s'est montré à Abraham.
Abraham a compris quelque chose.
Nous avons beaucoup plus de connaissances de ce Dieu qu'Abraham dans ce sens.
Dieu s'est révélé dans la personne du Seigneur Jésus,
donc on le connaît davantage,
mais c'est le même Dieu.
C'est ce Dieu que Rahab a rencontré
lorsqu'elle a vu le peuple de Dieu qui était pour entrer dans son pays.
Rahab, on verra plus tard dans chapitre 11, verset 31,
elle était impliquée dans cette idolâtrie des Canadiens,
mais Dieu avait opéré dans son cœur
et elle avait compris quelque chose de ce Dieu d'amour.
Ainsi Abraham, entouré par ses idoles,
lorsque le Dieu de gloire lui est apparu,
il a saisi que Dieu, le vrai Dieu, représente un ordre de choses tout à fait différent.
Abraham a saisi cela.
Donc là on voit l'amour,
on voit la foi,
et où est-ce qu'on voit l'espérance ?
Parce qu'il voyait le pays en avant.
Il se plaçait dans cette direction.
Là on voit l'élément de l'espérance
et c'est selon la promesse,
comme on verra au verset 9.
Par la foi, il demeurera dans la terre de la promesse,
comme dans une terre étrangère,
demeurant sous détente avec Isaac Jacob,
les faux héritiers de la même promesse.
Donc quelques commentaires ici,
par rapport au verset 9.
On voit ici, ça c'est la deuxième référence,
par la foi.
Et maintenant l'emphase est sur le pèlerinage.
Donc on a vu l'appel, l'obéissance,
par rapport à la foi.
Maintenant on voit la foi et le pèlerinage,
même dans le pays promis.
Il est maintenant arrivé.
Et il reste là, dans le pays promis,
comme quelqu'un qui séjourne.
Au verset 9,
par la foi, il séjourna,
on pourrait traduire,
il séjournait là,
dans la terre de la promesse.
Donc il est maintenant dans le pays promis,
il reste là comme pèlerin,
comme quelqu'un qui séjourne.
Parce que Dieu ne pouvait pas encore
accomplir ses promesses.
Il était dans le pays de la promesse,
mais Dieu ne pouvait pas encore
accomplir toutes ses promesses.
Et puis plus tard on verra
comment Abraham a compris cela.
Maintenant, dans ce passage
que nous étudions maintenant
par rapport à la foi
et la persévérance de la foi,
chapitre 10, 35,
jusqu'à chapitre 12, verset 11,
dans ce passage-là,
on a 7 fois la promesse ou les promesses.
On a encore 7 autres fois
le mot promesse dans cette épître.
Donc 14 fois dans l'épître aux Hébreux,
on a le mot promesse.
C'est beau.
14 fois, 2 fois, 7 fois,
Dieu parle de promesse.
Donc Abraham est maintenant
dans le pays promis.
C'est la terre de la promesse
et il a compris que Dieu était encore
pour accomplir ses promesses
par rapport à ce monde à venir.
Et c'est pour cela que Abraham
est resté là comme étranger.
Il a séjourné là et pour lui,
cette terre de la promesse
était encore une terre étrangère.
Ça veut dire pas de droit.
Il ne pouvait pas bâtir une maison.
Il ne pouvait pas demander quelque chose.
Même pour intérêt de Sarah,
il a dû acheter cette place sépulcre.
Il avait seulement deux choses
dans ce pays promis.
Une tente pour habiter comme étranger.
Donc il a reconnu qu'à ce moment-là,
il ne pouvait pas encore imposer
des droits, quoi que ce soit.
Quoi que c'était le pays de la promesse de Dieu.
Il a réalisé, je suis maintenant
dans le pays promis,
mais il ne pouvait pas encore
faire valoir les promesses
que Dieu lui avait données.
Il était là comme un pèlerin,
comme quelqu'un qui séjourne.
Il est en voyage.
Il est resté là tout le temps
comme un étranger.
Pas de droit.
Il y a beaucoup de leçons pour nous aussi
à cet égard.
Ce monde où nous sommes maintenant,
même le monde christianisé,
ce n'est pas pour nous le pays promis.
Notre pays est en haut.
Notre appel est d'en haut
et on voit dans Philippiens 3, verset 20 aussi,
que notre bourgeoisie,
notre citoyenneté est là.
Donc nous sommes aussi
ceux qui séjournent ici,
ceux qui sont des étrangers.
On n'a pas de droit ici, dans ce monde.
Demeurant, là,
c'est un autre verbe qu'il utilise.
Là, c'est la pensée d'une maison,
mais quand même, on a vu,
c'est dans des tentes,
il demeurait sous des tentes,
comme un vrai pèlerin.
Pas comme l'autre qui était à Sodome
et avait sa maison là.
Non, Abraham restait là comme pèlerin.
Il a gardé ce caractère.
Beaucoup d'applications pour nous,
d'applications pratiques,
et aussi pour les juifs chrétiens
à ce moment-là, comme j'ai dit.
Et maintenant, un point que j'aimerais souligner,
quel impact nous voyons ici,
aussi pour la génération suivante,
il est dit, avec Isaac et Jacob,
les co-héritiers de la même promesse.
Donc, la promesse qu'Abraham avait,
la foi qui avait saisi cela,
il a communiqué ces choses à la prochaine génération.
Et la prochaine génération, Isaac,
a communiqué à la prochaine génération, Jacob.
Donc, on voit ici l'impact moral qu'Abraham avait.
Une belle leçon.
Comment il a pu communiquer ces choses
à la prochaine génération.
Il est vrai, il y a aussi un principe
dans les voies de Dieu.
« Toi et ta maison ».
On se rappelle de ce principe-là.
Actes 16, 31, et d'autres versets soulignent cela.
Mais on voit ici aussi l'impact moral,
l'influence morale qu'Abraham a eue.
Et ça va ensemble, évidemment,
avec le principe de Dieu « Toi et ta maison ».
Verset 10.
« Car il attendait la cité ».
On parlait tantôt de l'espérance,
et cette attente représente aussi cette espérance,
parce que c'est une expectation,
juste pour revenir au chapitre 10, verset 13,
juste pour faire le lien.
Ce mot « attendre », donc dans cette forme-là,
est utilisé seulement deux fois dans ce chapitre.
Et verset 10, verset 13,
où nous voyons le Seigneur Jésus à la droite de Dieu,
« Attendant désormais jusqu'à ce que ses ennemis
soient mis au matché de ses pieds ».
Donc le Seigneur Jésus attend.
Est-ce qu'il a hâte ? Bien sûr.
Mais il attend.
Et le même verbe est utilisé ici,
seulement deux fois dans ce chapitre,
dans la même forme qu'Abraham a eu cette même foi
qui attendait, verset 10,
« Car il attendait la cité ».
Et Dieu veut aussi que nous soyons caractérisés
par une telle attente.
Qu'est-ce qu'il a attendu ?
La cité qui a les fondements.
C'est une belle expression,
en contraste avec Babylone,
Tantôt j'ai dit qu'Abraham sortait d'Ur des Chaldéens.
Ur était une ville tout près de Babylone.
Et Abraham a connu Babylone, évidemment.
Babylone était bâtie sur d'autres principes,
pas selon les principes de Dieu.
On peut dire que Babylone était la contrefaçon de l'ennemi.
Dieu avait en vue d'avoir une cité pour son peuple.
Et Satan a introduit une contrefaçon.
Vous comprenez ?
C'est ça qu'il a fait dans Genèse 10 et 11.
Et c'est ça qu'il fait encore dans nos jours.
Satan est le contrefeuilleur de Dieu.
Mais ici on a donc une référence à la cité que Dieu avait préparée.
Et Abraham, par la foi, attendait cette cité.
Et on va revenir à cette cité encore plusieurs fois.
Aussi au verset 16, on voit Dieu leur a préparé une cité.
Donc là c'est l'emphase encore sur cette cité que Dieu a préparée pour la maison de la foi.
Et dans le chapitre 12 et le chapitre 13, on verra encore des références à cette cité
qui n'est pas exactement l'église, mais quand même une cité céleste.
Et Abraham a vu ça par la foi.
Dans le millennium, lorsque l'église va descendre comme cette ville céleste,
il y aura un lien entre Jérusalem terrestre et Jérusalem céleste.
Abraham, par la foi, a prévu quelque chose de cela par la foi.
Et ça c'est la cité qui a les fondements.
La base, c'est par le Seigneur Jésus.
Matthieu 16, il est le fils du Dieu vivant.
Sans lui, on ne peut pas avoir des fondements.
Il y a d'autres versets qui nous parlent de ce fondement.
C'est un autre sujet d'étude.
Vous voyez, ce sont des mots clés comme le mot foi, comme le mot appel,
comme le mot élection, comme le mot promesse.
Ici, le mot fondement, c'est un mot clé pour nous faire réfléchir sur un principe très important.
C'est Dieu qui met le fondement pour cette cité.
Évidemment, là, il y a un lien avec l'œuvre de Christ, aussi avec les plans de Dieu,
parce qu'on voit maintenant que Dieu est l'architecte.
Là, c'est pour mettre l'emphase sur celui qui a fait les plans.
Dans l'original, ça inclut aussi la pensée d'habileté.
En anglais, on dit skillfulness, quelqu'un qui est très habile pour faire les plans, Dieu.
Mais il est aussi celui qui réalise les plans, le créateur.
Ça veut dire celui qui les met en pratique, le grand constructeur.
Donc, il est l'architecte et il est le constructeur.
C'est beau de voir ça, de cette vue.
En d'autres mots, tout dépend de Dieu.
C'est Dieu qui fait les plans, c'est Dieu qui les réalise, et c'est sur la base de l'œuvre de Christ.
Sans cette œuvre, on ne peut pas avoir de fondement.
Mais les fondements étaient déjà dans les plans de Dieu avant que l'œuvre soit accomplie.
Donc, on voit ici la perfection de l'œuvre de Dieu.
Troisième référence à la foi.
Par la foi, Sarah elle-même.
Et là, encore une autre leçon pratique.
Tantôt, on a vu l'impact, l'influence d'Abraham sur sa famille.
Maintenant, on voit que Sarah était aussi marquée par cette foi.
Ou que la foi d'Abraham a quand même eu un impact sur Sarah.
Dans Genèse 18, on ne voit pas ça.
Elle a ri lorsque Dieu a parlé de cette promesse.
Mais ici, nous voyons quand même que Sarah avait compris quelque chose par la foi et s'est soumise au plan de Dieu.
Et là, peut-être on peut souligner l'aspect subjectif de la foi.
Comment la foi devient quelque chose de pratique pour nous.
Et c'est beau de voir qu'ici l'épouse est avec l'époux dans cet exercice.
C'est aussi une leçon pratique pour nous.
Et Dieu aime voir ainsi que l'époux et l'épouse puissent avoir cet exercice ensemble.
Et peut-être on pourrait souligner avec Sarah l'emphase sur le côté de Dieu.
On peut souligner avec Sarah l'emphase sur le côté subjectif.
Ça veut dire le travail de Dieu réalisé.
Elle reçut la force de fonder une postérité.
Le mot force ici est aussi un mot qui est souvent utilisé par rapport à ce que Dieu fait.
Et c'est pour ça que j'ai dit tantôt avec Sarah, c'est le côté subjectif.
Parce que maintenant on voit cette œuvre de Dieu en elle.
Ce n'est pas ici une œuvre de Dieu pour nous.
Mais maintenant on voit que par la foi il y a en même temps une œuvre de Dieu en nous, en Sarah.
Pour la préparer pour qu'elle puisse devenir cette mère selon les plans de Dieu.
Donc là on a une leçon pratique pour nous aussi, une œuvre de Dieu en nous.
Et on a vu déjà dans Romains 4, or étant hors d'âge,
donc passé de temps en domino-pose,
ensuite on a vu qu'elle était aussi stérile,
donc humainement parlant c'était impossible qu'elle puisse avoir un enfant.
Mais pourquoi elle a agi par la foi,
pourquoi elle était prête pour à cet âge-là encore avoir des relations avec Abraham,
puisqu'elle estima fidèle celui qui avait promis.
C'est très beau de voir ça.
Elle a donc considéré, et c'est le même mot qu'on trouve dans Philippiens 3 par exemple avec Paul,
comment il a estimé Christ.
C'est un verbe qui est utilisé pour un comptable qui calcule, qui estime tout avec soin.
Ainsi Sarah a estimé, calculé que Dieu était fidèle.
Ce serait un autre sujet, la fidélité de Dieu à travers la Bible,
et surtout à travers le Nouveau Testament.
Elle estima fidèle celui qui avait promis.
C'est beau de voir ça.
Là encore la promesse, et le verbe revient moins souvent que le mot promesse comme on a vu tantôt,
mais plusieurs fois on a aussi ce verbe promettre.
Je donne un exemple, chapitre 10, 23, on a vu déjà,
« Retenons la confession de notre espérance sans chancelet, car celui qui a promis est fidèle. »
Vous voyez, là c'est la même pensée.
Celui qui a promis est fidèle.
Les deux choses ensemble, la promesse et la fidélité de Dieu.
Et maintenant c'est la foi de Sarah qui a estimé fidèle celui qui avait promis.
Vous voyez le lien avec chapitre 10, verset 23.
Donc la leçon de Sarah devrait aussi être notre leçon.
Ensuite l'emphase revient sur Abraham, verset 12, c'est pourquoi aussi d'un seul,
c'est maintenant Abraham qui est souligné ici, d'un seul et d'un homme déjà amorti,
amorti, la même expression que nous avons vu dans Romain IV tantôt.
Donc humainement parlant, sans expectation d'avoir un enfant.
C'est de cet homme-là que sont nés des gens qui sont comme les étoiles du ciel en or,
et comme le sable qui est sur le rivage de la mer.
On voit cette génération d'Abraham de ces deux sens.
La descendance terrestre par rapport à Israël, ça va jusqu'au millenium,
et la descendance céleste, les étoiles du ciel.
Et là ça s'est mentionné en premier parce que dans l'hébreu l'emphase est sur le ciel, un peuple céleste.
Le mot ciel est utilisé dix fois dans cette époque.
Donc il y a beaucoup d'emphase sur le ciel, et quelques fois aussi le mot céleste est utilisé.
Et nous appartenons à ce peuple céleste, les étoiles du ciel.
Et on sait que chaque étoile est différente, est différente ainsi, chaque croyant est différent.
C'est très beau de voir ça, que nous sommes comme croyants des étoiles du ciel,
et en même temps descendants d'Abraham, de cet homme qui est présenté ici.
Il est notre père, le père des croyants.
Donc il y a beaucoup de passages dans la Bible qui nous parlent de cette foi d'Abraham.
Mais on va continuer maintenant au verset 13.
Il y a donc ici une parenthèse, on a vu maintenant trois fois par la foi,
et depuis verset 17 jusqu'au verset 22, on verra encore quatre fois par la foi, la foi qui voit en avant.
Il y a maintenant une conclusion, comme une parenthèse qui met une conclusion.
Et là on voit sept points, on va juste essayer de les résumer brièvement, ces sept points.
Donc d'abord en général au verset 13, tous ceux-ci sont morts dans la foi, mais littéralement c'est selon la foi.
La foi était leur standard, ils ont mesuré les choses selon ce standard de la foi.
Et ce standard a gardé son valeur jusqu'à la fin de leur vie.
Maintenant le test est vraiment ça, c'est vraiment un très beau point.
Ici nous voyons ces hommes de la foi par rapport à leur mort.
Au moment de leur mort, ils avaient gardé cette foi.
Ils n'ont pas changé d'idée.
Ce que l'auteur dit, ils auraient eu du temps pour changer d'idée s'ils l'avaient voulu.
Ainsi c'est important que ces quatre références de leur mort sont données,
pour montrer qu'à ce moment-là, ils croyaient encore la même chose.
Ils étaient vraiment des vainqueurs.
Ils n'ont pas changé d'idée.
Ils n'ont pas regretté ce qu'ils ont fait.
C'est une leçon pour nous aussi.
À la fin de leur vie, encore la même fois qu'au début,
n'ayant pas reçu les choses promises.
Humainement parlant, on dirait qu'ils sont fous.
Mais c'est ça la puissance de la foi.
Maintenant c'est cette point que je voulais souligner.
Les ayant vu de loin.
On en parlait de ça, la foi voit en avant.
Comme Moïse, il a vu, le Seigneur lui a montré le pays promis,
il a vu le pays de loin, tout le pays.
Ou Jacob, lorsqu'il a dit, j'attends sur ton salut, dans Genèse 49.
Il a vu ce salut de loin.
Ou Abraham, lorsqu'il a eu cette joie.
Le Seigneur en parle dans Genèse 49.
Abraham a vu le bonjour.
Il s'est fort réjoui.
C'est ça qu'on voit ici.
Le premier point, la foi voit en avant, très loin, et salue ces choses.
Ça veut dire, la foi met sa main sur ces choses et embrasse ces choses.
C'est quelque chose qu'on aime accepter.
La foi salue ces choses.
Comme j'ai dit, Moïse, Abraham, Jacob.
Deuxième point, ayant confessé qu'ils étaient étrangers et forains.
On a vu cela déjà.
Ici, une conclusion.
Ou peut-être une répétition, dans un sens.
Confesser, c'est leur confession dans ce monde.
Ça revient quelquefois dans ce chapitre.
Dans ces chapitres, on a vu cela aussi la dernière fois, au chapitre 10.
Retenons la confession de notre espérance, chapitre 10, verset 23.
Ainsi, on voit cet élément de confession qu'ils étaient étrangers et forains.
Ils n'avaient pas de place ici.
Ils ont séjourné, on a vu cela.
Et le mot forain souligne aussi qu'ils n'étaient pas encore leur propre pays.
Ils n'avaient pas de droit.
Troisième point, au verset 14.
Car ceux qui disent de telles choses montrent clairement.
Ici, on voit leur témoignage.
Ils montrent clairement qu'ils cherchent une autre, excusez, qu'ils cherchent une patrie.
Donc ici, on voit leur témoignage.
Malgré le fait qu'ils habitaient déjà dans le pays promis,
ils savaient qu'ils cherchaient encore quelque chose de notre ordre.
La promesse de Dieu parlait d'un nouveau monde, d'un siècle à venir.
Et puis par la foi, ils ont saisi cela.
Ils ont réalisé qu'à ce moment-là encore, ce n'était pas le temps.
Et ils recherchaient une patrie.
Malgré le fait qu'ils étaient déjà dans le pays promis.
Et le mot patrie veut dire une relation avec le Père.
C'est très touchant de voir ça aussi.
Le lien avec Dieu comme Père, une patrie.
Dieu a des familles.
Éphésiens 3, verset 20, 14 jusqu'au 20, on voit que Dieu a des familles, patria.
Et ici, il a aussi une patrie, un pays qui appartient au Père.
C'est un autre pays.
Donc ils sont maintenant dans le pays promis,
mais ils comprennent que non, ce n'est pas encore le pays comme Dieu veut l'avoir.
Et ainsi, ils rendent un témoignage.
Dans ce temps-là, comme pèlerins et comme étrangers.
Le verset 15 nous montre qu'ils étaient des vainqueurs.
Donc le quatrième point, c'est qu'ils sont des vainqueurs.
Ils avaient le temps retourné, mais ils ne l'ont pas fait.
Donc qu'est-ce que ça veut dire ?
Pratiquement, ils étaient des vainqueurs.
Ils n'ont pas abandonné ces idées.
Ils n'étaient pas fous.
Ils ont continué dans cette foi.
La question d'être vainqueurs est très actuelle pour nous aussi.
Dieu veut que nous soyons des vainqueurs pour continuer sur ce chemin de la foi.
Comme Ruth.
Ruth aurait pu retourner aux idoles, mais elle ne l'a pas fait.
Elle est allée avec Naomi.
Et ainsi, ces patriarches, ils auraient eu du temps pour retourner au pays de leur origine.
Ils n'ont pas pu.
Et ainsi, Dieu veut aussi que nous soyons des vainqueurs.
1 Jean 2, verset 15 à 17, nous parle de ces vainqueurs.
Il y a d'autres passages aussi dans 1 Jean.
1 Jean parle beaucoup de ces vainqueurs.
Si Dieu veut que nous soyons des vainqueurs.
C'est le quatrième point.
Verset 16, le cinquième point.
Mais maintenant, il en désire une meilleure.
Ce mot revient à peu près 15 fois dans cette épître.
Il y a encore d'autres mots qui sont utilisés pour souligner quelque chose de meilleur que Dieu a pour nous.
Mais c'est donc un mot clé.
Dieu a quelque chose de meilleur.
Et ces croyants hébreux, il fallait qu'ils réalisent cela.
Que Dieu a quelque chose de meilleur.
Et ils désirent.
Là, on voit donc un élément en eux.
Ce n'est pas juste une connaissance objective où Dieu va nous donner quelque chose de meilleur.
Non, c'était aussi quelque chose de leur désir, de leur cœur qu'on voit ici au verset 16.
Et qu'est-ce qu'on voit là?
Le mot céleste.
J'ai souligné tantôt l'appel céleste.
Maintenant, il voit le but céleste.
Et là, on revient au verset 10.
Car il attendait la cité qui a les fondements de laquelle Dieu est l'architecte et le créateur.
Là, on voit déjà le côté céleste des promesses de Dieu.
Donc, Dieu va accomplir ses promesses à Abraham.
Abraham va voir les descendants ici sur la terre.
Mais ce sera par rapport au ciel céleste.
Abraham sera avec nous dans le ciel.
Nous appartenons à l'Église, Abraham pas.
Mais on a une part commune.
Et dans ce sens-là, Abraham va jouir du côté céleste de cet appel
tout en étant lié à ses descendants terrestres sur la terre dans le monde du millenium.
Ici, l'emphase est donc sur le côté céleste.
Il désire une meilleure.
Et ainsi, les croyants juifs, il fallait qu'ils désirent cet aspect-là.
Parce que ça va ensemble avec Christ qui est dans la gloire.
L'appel céleste.
Au lieu de se fixer sur le judaïsme terrestre.
Au verset 16 au milieu, il y a le sixième point.
C'est pourquoi Dieu n'a point honte d'eux.
Qu'est-ce que ça veut dire ?
Dieu les honore.
On a vu tantôt, ils ont embrassé les plans de Dieu.
Ils les ont salués.
Ils les ont saisis par la foi.
Maintenant, il est dit, c'est pourquoi Dieu n'a point honte d'eux.
Je pourrais peut-être le traduire très librement comme ça.
C'est pourquoi Dieu ne se gêne pas d'eux.
Dieu n'est pas gêné.
Lorsque quelqu'un parle d'Abraham, Dieu s'identifie avec Abraham.
Lorsque quelqu'un parle d'Isaac, Dieu n'a pas honte de lui.
Il s'identifie avec Isaac.
C'est ça que ça veut dire.
Et le verset continue à dire, savoir d'être appelé leur Dieu.
Peut-être ça va encore plus loin que ça.
Peut-être on peut comprendre cela comme ça.
Il ne se gêne pas de se faire invoquer par eux.
Abraham appelle Dieu et Dieu répond à ça.
Dieu n'a pas honte lorsque Abraham appelle.
La pensée d'invoquer est là.
La même pensée qu'on a, par exemple, pour nous, dans 1 Corinthiens 1, verset 2,
où nous invoquons le nom du Seigneur.
Le même verbe est utilisé ici.
On invoque le nom de Dieu et Dieu ne se gêne pas d'être invoqué.
C'est ça la pensée.
Lorsqu'Abraham est appelé à Dieu, Dieu lui répond.
C'est ici la pensée d'invoquer.
Une leçon pratique nous, 2 Timothée 2, verset 22.
Ça m'a frappé de voir ça.
Qu'est-ce qu'on lit là, dans 2 Timothée 2, verset 22 ?
« Méfie les combattants de la jeunesse et poursuis la justice, la foi, l'amour, la paix,
avec ceux qui invoquent le Seigneur d'un cœur pur. »
Là on a le même verbe, invoquer, ou appeler, avec ceux qui appellent le Seigneur d'un cœur pur,
qui invoquent le Seigneur d'un cœur pur.
Le Seigneur ne se gêne pas.
Si nous appliquons ce principe de 2 Timothée 2,
le Seigneur ne se gêne pas lorsque nous l'invoquons.
C'est ça la pensée.
Et ainsi dans Hébreu 11,
Dieu ne se gêne pas lorsque Abraham et les autres hommes de la foi l'appellent ou l'invoquent.
C'est ça la pensée.
Le septième point,
« Car il leur a préparé une cité. »
Là on voit donc le plan de Dieu.
Dieu avait déjà préparé quelque chose avant qu'il l'invoque,
avant qu'Abraham invoque ou appelle Dieu.
Dieu avait déjà préparé quelque chose pour lui.
Là on voit le conseil et le propos de Dieu,
la souveraineté de Dieu,
mais aussi l'œuvre de Dieu,
parce que le verset dit « Car il leur a préparé une cité. »
Ce n'est pas seulement qu'il a planifié,
il était l'architecte, il est le constructeur,
mais il leur a préparé.
Donc c'était pour eux.
Cette œuvre de Dieu était pour eux. …
Transcripción automática:
…
On va lire depuis le verset 17, hébreu-anglais, verset 17 jusqu'au verset 31.
Par la foi, Abraham, étant éprouvé, a offert Isaac, et celui qui avait reçu des promesses, offrit son fils puni, à l'égard duquel il avait été dit, en Isaac te sera appelé une semence.
Ayant estimé que Dieu pouvait le ressusciter même d'entre les morts, d'où aussi en figure qu'il le reçut.
Par la foi, Isaac bénit Jacob et Isaac à l'égard des choses à venir.
Par la foi, Jacob, mourant, bénit chacun des fils de Joseph, et adora, appuyé sur le bout de son bâton.
Par la foi, Joseph, en terminant sa vie, fit mention de la sortie des fils d'Israël, et donna un ordre touchant ses hommes.
Par la foi, Moïse, étant né, fut caché trois mois par ses parents, parce qu'ils virent que l'enfant était beau, et ils ne craignirent pas l'ordonnance du roi.
Par la foi, Moïse, étant devenu grand, refusa d'être appelé fils de la fille du parent, choisissant plutôt d'être dans l'affliction avec le peuple de Dieu, que de jouir pour un temps des délices du péché.
Estimant l'offre d'ordre du Christ un plus grand trésor que les richesses de l'Égypte, car il regardait à la rémunération.
Par la foi, il quitta l'Égypte, ne crayant pas la colère du roi, car il t'inferme comme voyant celui qui est invisible.
Par la foi, il a fait la pâte et l'aspersion du sein, afin que le destructeur des premiers nés ne les touchât pas.
Par la foi, ils traversèrent la mer Roum, comme une terre sèche, ce que les Égyptiens, ayant essayé, furent engloutis.
Par la foi, les murs de Géricault tombèrent, après qu'on en eût fait le tour sept jours durant.
Par la foi, Pharabe, la prostituée, ne périt pas avec ceux qui n'ont pas cru, ayant reçu le respiant en peur.
Juste quelques mots concernant le contexte.
On a vu dans Hébreu, au début, la grandeur du Seigneur Jésus, ensuite la grandeur de son sacrifice,
et ensuite on a vu que nous avons ce privilège de pouvoir suivre le Seigneur Jésus de trois façons.
D'abord, pour pouvoir entrer dans le Dieu Saint.
On a vu cela dans chapitre 10, que nous pouvons maintenant nous approcher du Dieu.
C'est par le Seigneur Jésus. Il est notre grand conducteur, et c'est lui qui nous introduit dans la présence de Dieu.
On a vu cela dans Hébreu 10, et on a besoin de la foi pour cela, et nous avons aussi la liberté de pouvoir faire cela.
Ensuite, on a vu que nous avons besoin de la foi et aussi de cette liberté pour pouvoir continuer le chemin ici sur la terre,
pour suivre le Seigneur Jésus comme notre conducteur qui nous dirige à travers le désert.
Et là, on a vu à la fin du chapitre 10, qu'on a besoin aussi de la même liberté dont nous avons besoin pour entrer dans la présence de Dieu.
Dans les deux cas, on a besoin de la liberté et aussi de la foi.
Et là, à la fin du chapitre 10, nous avons vu au verset 38, or le juste vivra de foi.
Donc là, nous avons vu comment la foi et la vie vont ensemble.
C'est la vie maintenant, ici dans un monde qui vit dans le mal, qui est marqué par la mort spirituelle.
Nous avons la vie, et par la foi, nous pouvons continuer.
Et ensuite, nous avons vu comment dans Hébreu 11, il y a d'abord les quatre principes de base pour la foi.
On a vu la création, ensuite le besoin du sacrifice, ensuite la marche à travers ce monde comme un peuple céleste, comme on a vu avec Énoch,
et ensuite avec Noé, on a vu un autre principe de la foi.
Donc, ça c'est au début du chapitre 11.
Ensuite, on a vu avec Abraham, la dernière fois, par la foi, Abraham étant appelé obéir.
Ça c'est le verset 8.
Et c'est remarquable que cette expression par la foi revient 18 fois dans ce chapitre.
Dans l'original, c'est très clair, c'est juste un mot, et ça revient 18 fois.
À part d'autres expressions comme selon la foi, ou dans la foi, et par la foi ainsi, on a 18 fois.
Quatre fois ce premier principe de base du chapitre 11, ensuite sept fois par rapport à Abraham et les Patriarches.
Ce qui est remarquable pour eux, c'est que leur foi a vu en avant.
Ils ont vu les choses qui n'étaient pas encore.
Comme le premier verset le dit, la foi est l'assurance des choses qu'on espère.
Ainsi, la foi voit en avant, loin, et puis réalise les choses par la foi.
Donc la foi voit un autre monde.
La foi voit aussi un autre ordre de choses avec Christ, comme le saint.
Et on a vu donc qu'Abraham et Sarah allaient ensemble sur ce que s'appelait la foi.
Et là on a vu une parenthèse verset 13 jusqu'à verset 16.
On a vu sept fois par rapport, c'est comme un résumé, pour dire qu'ils sont aussi morts dans la foi.
Qu'est-ce que ça veut dire?
À un moment donné, ils ont commencé par la foi, et ils l'ont continuée.
Juste pour prendre Abraham comme exemple, il avait 75 ans lorsque le Seigneur l'a appelé.
Lorsqu'il était en Ur des Chaldéens, on peut voir ça, 75 ans.
Il est mort à 175, ça veut dire qu'il a vécu, il a marché par la foi pendant 100 ans de temps.
Et ainsi sa foi a été mise à l'épreuve, on va revenir à ça au verset 17.
Mais il a gardé cette foi, et ainsi il est mort dans la foi.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Il savait à ce moment-là que Dieu était pour accomplir les promesses qu'il avait données.
Même s'il allait mourir, Abraham savait que Dieu était pour accomplir les promesses.
C'est ça le résumé qu'on a vu dans les versets 13 à 16.
Et là, on a vu que c'était aussi le cas avec Sarah, malgré les manquements.
Lorsqu'on lit dans Saint Testament, on voit les manquements des croyants.
Mais ici, dans le Nouveau Testament, l'Esprit de Dieu ne mentionne pas ces manquements-là.
Il mentionne seulement les points qui sont beaux, pour ainsi dire,
et les points qui doivent ressortir, pour souligner le point de cet enseignement.
Et ce qu'on va voir maintenant, verset 17 à 22,
on verra aussi avec le fils d'Abraham, Isaac, ensuite avec Jacob, ensuite avec Joseph,
qu'ils ont dit quelque chose ou ils ont fait quelque chose à la fin de leur vie.
Et là, la foi était encore une réalité.
Donc, ils sont morts dans la foi, ayant gardé la foi.
Et puis, on va voir le point essentiel par rapport à cette foi.
Avec Abraham maintenant, au verset 17,
on a donc encore, par la foi, dans la prière, on a pensé à ça,
que nous pouvons tirer nos ressources de Dieu.
Et c'est ça que Abraham a fait.
Il a tiré ses ressources de Dieu.
Donc, on a vu d'un côté, il a vu en avant,
mais ici, avec cette épreuve du verset 17, il a fait aussi la chose du verset premier,
la conviction de celle qu'on ne voit pas.
Par la foi, Abraham a vu en haut.
Il a vu Dieu et il a voulu obéir.
Donc, verset 17, par la foi, Abraham est un éprouvé.
Il a été mis à l'épreuve.
Ce mot éprouvé est même utilisé par rapport au Seigneur Jésus dans cet Épître.
Je vais juste donner deux exemples, dans chapitre 2, verset 18,
Hébreu 2, verset 18,
car en ce qu'il a souffert lui-même, étant tenté, tenté ou éprouvé,
c'est la même chose dans l'original,
il est à même de secourir ceux qui sont tentés.
Donc, ce verset, dans Hébreu 2, verset 18,
montre clairement que le Seigneur Jésus a été tenté.
Maintenant, chapitre 4, hébreu 4, verset 15,
car nous n'avons pas un souverain-sacrificateur qui ne puisse sympathiser à nos infirmités,
mais nous en avons un qui a été tenté en toute chose, comme nous.
Maintenant, un point très important qui est ajouté, à part le péché.
Qu'est-ce que ça veut dire ?
Avec le Seigneur Jésus, il n'y avait pas de point de contact pour le péché.
En lui, il n'y avait pas de péché.
Comme nous, nous avons la nature pécheresse,
puis là, il y a un point de contact,
et la tentation est ainsi différente pour nous que pour le Seigneur Jésus.
Mais il était quand même tenté, mis à l'épreuve.
Et ça, c'est le même mot qui est utilisé ici dans hébreu 11, verset 17.
C'est l'épreuve de la foi.
Dieu met la foi à l'épreuve.
Il le teste.
Il atteste.
C'est le test de la foi qu'on voit ici, l'épreuve de la foi.
Ici, c'est une épreuve comme aucune autre épreuve.
Évidemment, Abraham a connu d'autres épreuves de la foi.
Mais ici, l'Esprit de Dieu fait ressortir la plus grande épreuve de la foi d'Abraham.
Parce que Dieu l'a demandé, qu'il offre son fils Isaac en sacrifice.
On peut lire cela dans Genèse 22.
Son fils unique.
Et la parole dit ici, et celui qui avait reçu les promesses offrit son fils unique.
Quelques pensées.
Dans l'original, le Verbe souligne qu'il avait reçu ses promesses d'en haut.
Dieu, d'en haut, lui avait donné ses promesses.
Mais maintenant, le test était qu'il offre son fils unique.
Donc, si on comprend l'histoire d'Abraham,
d'abord, il a dû attendre longtemps pour avoir un fils, à peu près 25 ans.
Ce fils était donc le fils de la promesse.
Et en lui, Dieu était pour accomplir ses promesses.
Donc, en Isaac, Dieu allait accomplir toutes les promesses qu'il avait données à Abraham.
La promesse par rapport au pays,
et d'autres promesses que Dieu lui a données dans Genèse 15 par rapport au pays,
Genèse 17, Genèse 22, c'est confirmé par Dieu.
Celui qui avait reçu les promesses offrit son fils unique.
Et pour souligner l'importance de cet acte, il est dit,
Et pour souligner l'importance de cet acte, il est dit,
Dieu ne voulait pas que Abraham choisisse son serviteur, Elieazar, par exemple.
Dieu ne voulait même pas que Ishmael soit ce vase de la promesse.
Dieu voulait que ce soit un fils d'Abraham et de Sarah.
Et on peut voir les détails dans Genèse 17, dans Genèse 21 aussi.
Et puis, lorsque Abraham était trop vieux pour engendrer un fils,
lorsque Sarah était trop vieille pour concevoir de la semence,
Sarah qui, en plus, avait été toujours stérile,
là, dans cette impossibilité, Dieu a donné un fils.
Genèse 21, il est né.
Et là, c'était donc un double ou un triple miracle, ce fils de la promesse.
Et maintenant, qu'est-ce que Dieu demande?
Que Abraham sacrifie ce fils.
On dirait que ça n'a pas de bon sens.
Finalement, après tant d'années, il a ce miracle, ce fils, et maintenant il doit le sacrifier.
Et puis là, on voit donc la grandeur de la foi d'Abraham.
Il réalise que, oui, en Isaac, il aura une semence.
Et selon Galate 3, ça nous réfère au Seigneur Jésus.
Il faut lire Galate 3 pour comprendre cela.
Cette semence est vraiment le Messie, le Seigneur Jésus.
En Isaac, il sera appelé une semence.
Mais c'était donc par Isaac, et en lui, que Dieu avait donné cette promesse.
Pas par une autre ligne.
Et en Isaac, on voit donc cette semence qui sera un jour le centre de tout l'univers du Seigneur Jésus.
Il sera le chef.
Qu'est-ce qu'Abraham a donc dit au verset 19?
Abraham, sa foi a raisonné.
Et c'est beau comment il est dit ici, estimé.
Il a calculé.
Il a vu les pros et les contres, pour ainsi dire.
Et puis il a conclu, s'il fallait qu'il sacrifie son fils, Dieu était pour le ressusciter.
Pourquoi? Parce que Dieu ne peut pas mentir.
Dieu avait donné cette promesse en Isaac, et Abraham a réalisé.
Donc, il n'avait jamais vu quelqu'un ressusciter.
Il n'avait jamais entendu même parler de la résurrection.
Mais par la foi, il a compris que ça prenait la résurrection.
Que Dieu était pour le ressusciter d'entre les morts.
Ce n'est pas seulement à la fin des jours une résurrection générale.
Non, Abraham a compris, Dieu était pour le ressusciter d'entre les morts.
Et cette vérité-là, la résurrection d'entre les morts, est centrale pour le Nouveau Testament.
Et c'est la base du christianisme aussi.
C'est pour ça que c'est tellement important ici que l'auteur Paul, dans l'Épître aux Hébreux, mentionne cela.
Et aussi dans le contexte des premiers chrétiens à ce moment-là, parmi les juifs,
c'était important qu'ils réalisent que leur foi était maintenant liée à un messie,
qu'il était mort, mais ressuscité.
Donc il y a beaucoup de points qu'on pourrait introduire par rapport à cela.
L'importance de la résurrection d'entre les morts.
Et j'ai vérifié cela.
On a deux fois la résurrection d'entre les morts, ici avec Isaac, en figure.
Et à la fin, dans le chapitre 13, verset 21, avec Christ, qu'il a été resté d'entre les morts.
Donc on va voir cela plus tard, dans le chapitre 13, verset 21.
Paul, le Dieu de paix, qui a ramené d'entre les morts, verset 20,
le grand pasteur d'Abreubi, dans la puissance du sang de l'Alliance éternelle, notre Seigneur Jésus.
Donc là, la deuxième fois qu'on a cette expression, la résurrection d'entre les morts.
On l'a dix fois dans Romains, huit fois dans les Actes, et seize fois dans les Évangiles.
Et ensuite encore plusieurs fois dans les Épitres.
Et chaque fois, c'est pour souligner un point très important.
Ce serait tout un sujet.
La résurrection d'entre les morts veut dire que Dieu a fait un choix.
Dieu a laissé tous les autres morts.
Il a choisi juste un seul, c'est le Seigneur Jésus.
Et puis ici, on voit donc la grandeur de la foi d'Abraham,
qu'il a conclue, s'il était pour sacrifier son fils, Dieu était pour le ressusciter.
Et ainsi, par la foi, Abraham a déjà compris l'importance de la résurrection d'entre les morts.
Et c'est pour cela que la parole dit, il a reçu ainsi en figure deux choses.
Premièrement, Abraham était tellement décidé que dans l'original, il est dit, verset 17,
il a offert Isaac.
C'était une détermination dans son cœur.
Il a offert Isaac.
Donc, il avait déjà dit au revoir à Isaac.
Il le voyait déjà mort.
Il l'a mis sur l'autel, on voit ça dans Genèse 22,
et là Dieu a dit « Ad ».
Mais l'acte de la foi, il l'a offert.
Et deuxièmement, la foi d'Abraham se voit donc dans cette estimation que Dieu pouvait le ressusciter,
même d'entre les morts, d'où aussi, en figure, il le reçut.
Le deuxième point que j'aimerais souligner,
lorsque Dieu a donné son fils, Abraham, un père qui donne son fils,
c'est une illustration de Dieu, de notre Dieu et père qui a donné son propre fils.
Là, il n'y avait pas de remplaçant.
Là, il n'y avait pas quelqu'un qui a dit « Ad ».
Là, le Seigneur Jésus était abandonné de Dieu à la croix, les trois heures sombres.
Là, Dieu n'a pas épinglé son propre fils, Romains 8, 32.
Et ainsi, le Seigneur Jésus est devenu la base dans la résurrection.
Il est la pierre, le fondement pour l'Église.
L'Église, acte 2, est placée sur le fondement de la résurrection.
Et nous comme croyants, on est placés sur ce fondement de la résurrection.
Dieu a ressuscité son fils, le Seigneur Jésus, le troisième jour,
et sur ce fondement, nous avons été placés.
Avant qu'on quitte Abraham, je voulais mentionner encore, ce serait aussi une étude intéressante,
Abraham est marqué par quatre hôtels.
Abraham est le grand adorateur.
Il est l'exemple pour les croyants comme adorateurs.
On a vu dans Hébreux 10 que nous pouvons nous approcher de Dieu pour adorer.
En Abraham, nous avons un exemple d'un adorateur.
Et ces quatre hôtels nous parlent donc de cette foi d'Abraham comme adorateur.
Avec Isaac, on pourrait étudier les quatre fontaines, la quatre puits plutôt, qu'il a creusées,
où on voit l'eau de la bénédiction dans le pays.
Et là, on voit Isaac dans le pays de la promesse avec ses quatre puits.
Ce serait toute une étude.
Au verset 21, on va voir Jacob.
Avec Jacob, on va avoir beaucoup d'expérience dans sa vie.
Il a eu beaucoup d'expérience et la discipline de Dieu.
Et avec Jacob, on trouve quatre stèles, quatre piles de pierres.
C'était des points importants dans sa vie, ces quatre stèles, depuis Genèse 28.
Et avec Joseph, dans la Genèse, on trouve quatre vêtements.
Ce serait une étude intéressante aussi de voir ces quatre vêtements de Joseph.
Maintenant, j'aimerais revenir au verset 20.
Par la foi, Isaac bénit.
Maintenant, c'est la prochaine génération.
On a vu déjà, la dernière fois, comment c'est encourageant de voir Abraham a commencé par la foi.
Sarah était avec lui dans sa foi.
On a vu ça au verset 11.
Et ensuite, au verset 13, on a vu qu'ils sont morts dans la foi.
Mais on voit maintenant la prochaine génération.
Puis la prochaine génération, Isaac, a continué dans la foi.
Malgré toutes les faiblesses.
Si on lit la Genèse, on voit beaucoup de faiblesses avec Isaac.
Mais ici, la parole met l'emphase sur un point de la foi.
On voit dans la Genèse qu'Isaac a eu à maîtriser le droit d'Anais.
Le droit du premier-né.
Ensuite, il voulait avoir la bénédiction du premier-né.
Mais il a manqué cette bénédiction du premier-né.
Et puis, Jacob s'est trompé humainement parlant.
Mais plus tard, il a réalisé comment c'était vraiment la main de Dieu
que Jacob aurait cette bénédiction du premier-né.
On voit cela dans Genèse 25 jusqu'à 27.
Et Isaac a donc compris que c'était la main de Dieu
et qu'il était pour bénir Jacob à l'égard des choses à venir.
Juste un petit détail maintenant, une petite parenthèse.
On voit ici qu'il voit déjà le millénium.
On a vu cela aussi avec les quatre points de base.
La création nous fait penser à une nouvelle création par rapport au millénium.
Ce n'est pas encore la nouvelle création de l'Apocalypse 21,
mais comme une nouvelle création comme Isaïe 66 en parle.
Avec le sacrifice, on a vu que ça pointe vers le sacrifice de Christ
qui est la base pour ce nouvel ordre de choses qu'on va voir avec le millénium.
Et ainsi, dans le millénium, il y aura un peuple céleste, Enoch,
un peuple terrestre, Noé.
Et ainsi, pour revenir au verset 20, on voit aussi Isaac,
par la foi, il voit déjà ces choses à venir.
Il voit donc déjà le règne millénaire.
C'est vraiment la foi qui voit ces choses.
Et ainsi, Abraham était marqué par cette foi qui voit les choses selon les pensées du Dieu.
Et Isaac maintenant aussi.
Comme je dis, malgré tous les manquements.
Avec verset 21, nous voyons Jacob.
Par la foi, Jacob mourra, bénit chacun des fils de Joseph.
S'il y a un homme qui a manqué à marcher par la foi, c'était Jacob.
Jacob a toujours fait des efforts pour réaliser les choses dans sa propre force.
Il voulait avoir la bénédiction du premier-né.
Il l'a eue par ses efforts.
Ça c'est donc le côté humain.
On a vu tantôt, du côté du Dieu, c'était le plan du Dieu,
de donner ça au second, selon la grâce.
Pas selon les droits de la nature, mais selon la grâce du Dieu,
il avait choisi déjà Jacob.
Il avait dit ça même avant qu'il soit né.
Et ainsi, Isaac a dû réaliser ça, que c'était vraiment la pensée du Dieu,
que Jacob soit béni.
Maintenant, pour revenir à Jacob lui-même,
ce qu'on voit dans sa vie, il a toujours essayé de régler les choses par sa propre force.
Pas par la foi, par sa propre force.
Et après, beaucoup d'expériences très, très difficiles,
et par ces expériences-là, Dieu l'a formé par la discipline.
Ce serait tout un sujet à étudier.
Comment Jacob a été formé à l'école de Dieu,
pour devenir un vase dans la main de Dieu, comme ici au verset 21.
Il était déjà aveugle.
Il n'avait rien comme homme sur la terre.
Mais il avait la foi.
On voit ça dans Genèse 47.
Il a même béni le Pharaon.
Là, on voit un homme de foi, un grand homme de Dieu.
Et ici, Jacob est même plus grand que Joseph,
parce que Joseph, à ce moment-là, il a voulu interpérer.
Il voulait que Jacob bénisse le premier-né en premier.
Mais Jacob a croisé ses mains.
Il les a dirigées avec sagesse.
On voit ça dans la Genèse.
Et Joseph n'a pas compris tout de suite.
Mais Jacob a agi avec sagesse, selon les pensées de Dieu.
Donc, on voit ici un vase que Dieu a préparé.
Et maintenant, c'est par la foi que Jacob agit.
Pas par des ruses ou par des planifications que lui a voulu faire.
Non, c'était vraiment par la foi, au verset 21.
Et là, il voyait donc les choses plus claires, à ce moment-là, que Joseph, son fils.
Chacun des fils de Joseph.
Joseph, il est maintenant celui qui reçoit une double portion.
Il reçoit donc la bénédiction du premier-né.
Jebin l'avait manqué à cause de ce qu'il avait fait à l'égard d'une des femmes de Jacob.
Ensuite, Simeon et Lévi ont manqué ce droit parce qu'ils ont tué la population de Sichem.
Et Judas a reçu ainsi le droit de l'aîné.
On peut voir ça dans 1 chronique 5.
On voit que selon les plans de Dieu, c'était Joseph qui reçoit la bénédiction du premier-né.
Parce que ça, c'est une double portion.
Et ainsi, Joseph a reçu cette double portion.
On pourrait dire aussi Genèse 49 et d'autres passages.
Et qu'est-ce que la parole ajoute au verset 21?
Chacun des fils de Joseph est adorat.
Tantôt j'ai dit Abraham, un adorateur.
Les quatre hôtels.
On peut dire aussi Isaac, un adorateur, comme on voit dans Genèse.
Et maintenant, après cette vie de tristesse et de discipline,
nous voyons maintenant un homme de Dieu qui adora appuyer sur le bout de son bâton.
Ce bâton qu'il avait utilisé dans son pèlerinage.
Pleinement confiant à Dieu.
Qui marche par la foi.
Qui fait les choses selon la foi.
C'est vraiment l'expérience de la foi.
Donc, pour résumer brièvement avec Abraham, on voit l'épreuve de la foi.
Avec Isaac, nous voyons qu'il s'est soumis aux voies de Dieu.
La foi se soumet aux voies de Dieu.
Il a reconnu qu'il fallait donner cette place du premier nid à Jacob.
Avec Jacob, nous voyons les expériences de la foi.
La souveraineté de Dieu, il se soumet à ça.
Et avec Joseph, nous voyons encore une révérence au Mélanie.
Il voit déjà le peuple dans le pays de la promesse.
Et là, on voit aussi déjà le Mélanie.
Au verset 22, par la foi, Joseph, en terminant sa vie,
fit mention de la sortie des fils d'Israël.
Il ne cherchait pas une place d'honneur en Égypte.
Il parle de la sortie des fils d'Israël.
Ça veut dire l'exode.
Le mot exode, comme on le voit dans notre Bible, la sortie de l'Égypte.
C'est ce mot qui est utilisé ici.
La sortie des fils d'Israël.
Ce mot est utilisé seulement trois fois dans le Nouveau Testament.
Ici, et dans Luc 9, lorsque le Seigneur Jésus était sur la montagne de Transfiguration.
Et Moïse et Élie lui sont apparus.
Quel était leur sujet de discussion?
Ils parlaient de son exode.
Dans notre Bible, c'est dit de sa mort.
Parce que par cette mort, il allait sortir du monde religieux à Jérusalem.
Mais dans l'Original, c'est le même mot, exode ou sortie.
Le Seigneur Jésus était pour sortir de ce monde ou à Jérusalem.
Jérusalem, dans le centre du monde religieux.
Israël était en esclavage en Égypte.
Le peuple était pour sortir de l'Égypte.
Sortir de ce monde.
Et la troisième fois qu'on trouve ce mot, c'est dans 2 Pierre 1, verset 15.
Où Pierre l'utilise par rapport à sa propre mort.
Et il parle de sa sortie, de son exode.
Pierre allait sortir de ce monde.
Et encore par la mort.
C'est la sortie.
Nous, évidemment, on attend l'avenue du Seigneur.
Et là, on va sortir de ce monde aussi, physiquement.
Mais on est déjà sorti de ce monde.
Par la foi, on est sorti déjà de ce monde.
On réalise qu'on n'a pas de place dans ce monde.
On appartient à un autre monde.
C'est pour ça que j'ai dit, en principe, on a déjà le monde du Millenium devant nous.
Évidemment, nous appartenons à un peuple céleste.
Nous verrons ce côté du Millenium du côté céleste.
Mais c'est le même principe.
Cette sortie de ce monde.
Il donna un ordre touchant ses os.
C'est comme un testament qui est donné.
Puis on voit dans l'exode 13, et aussi dans Josué, comment les fils d'Israël ont respecté cet ordre.
Donc, il a vu devant lui ce pays promis.
Et ce pays promis était pour lui plus important que ce grand pays d'Égypte où il régnait.
Quelle foi Joseph avait aussi.
Maintenant, on arrive donc à cette autre série de 7.
On a vu 7 fois par la fois avec Abraham et les Patriarches.
Et maintenant on arrive à Moïse.
Ça va jusqu'à Rahab au verset 31.
Et on va encore 7 fois par la fois.
L'emphase ici est voyant en haut.
Comme j'ai dit, avec Abraham et les Patriarches, ils voyaient en avant.
Mais ils voyaient aussi en haut, évidemment.
Mais l'emphase est sur le fait qu'ils voyaient en avant.
La foi s'est appropriée des choses futures qui n'étaient pas encore là.
Tandis qu'avec Moïse, l'emphase est sur ce qu'il a trouvé en Dieu.
Il s'est approprié des ressources qui sont en Dieu pour qu'il puisse agir avec cette énergie de la foi.
Donc, avec Abraham et les Patriarches, on voit l'emphase sur la persévérance de la foi.
Ils n'ont pas reçu les promesses, ils ont persévéré.
Et ils sont morts dans la foi.
Chacun de ces 4 est mort à garder la foi.
Et là, on voit donc la persévérance de la foi.
Nous avons tous besoin de cette persévérance.
Les premiers chrétiens, à Jérusalem et en Judée, avaient besoin de cette persévérance.
Mais ils avaient aussi besoin de se fortifier en Dieu.
De tirer leurs ressources de Dieu, comme Moïse.
De voir en haut.
Et c'est ça qu'on voit maintenant dans ces 7 points qui suivent.
La foi tire ses ressources en Dieu.
La foi voit en haut.
Et ainsi, on voit cette conviction des choses qu'on ne voit pas.
Parce que la foi voit en haut.
Et comme on a vu dans le verset, je l'ai juste mentionné, au verset 27,
à la fin du verset 27, comme voyant celui qui est invisible.
La foi voyait en haut.
Il tirait toutes ses ressources de Dieu, du Dieu invisible.
Donc verset 23, cette énergie de la foi, on voit d'abord avec les parents de Moïse.
Ici, on a aussi des parents, des jeunes, des enfants, deux générations.
Ici, nous avons deux générations.
Par la foi, Moïse étant né, fut caché trois mois par ses parents.
D'abord, on voit la foi déjà.
Si on lit exode 1, on voit le commandement du roi.
Et puis là, les parents de Moïse auraient pu dire,
non, on ne veut pas avoir d'enfants.
Ça ne vaut pas la peine.
C'est trop difficile.
C'est trop dangereux.
Pas d'enfants.
Comme beaucoup de gens raisonnent dans ce monde aussi.
Pas d'enfants, c'est trop ennuyeux.
C'est trop difficile.
Trop de problèmes.
Trop difficile.
Ça, c'est déjà un élément de foi qu'on voit avec les parents de Moïse.
Mais ça ne s'est pas souligné ici.
Ce qui est souligné, c'est qu'ils l'ont caché par la foi.
Et ainsi, ils étaient des vainqueurs.
Ils étaient plus forts que ce roi.
Le roi avait donné un décret que les garçons soient tués ou mis dans le fleuve.
Non, ils l'ont caché.
Et ainsi, ils l'ont donc, par la foi, été des vainqueurs.
Ce n'est pas ici un appel pour être désobéissant au gouvernement.
Ça, ce n'est pas du tout la pensée.
Ici, la pensée, c'est que la parole de Dieu ou la pensée de Dieu est plus importante que le commandement du roi.
C'est ça qui compte.
Ici, le commandement du roi est en conflit avec Dieu.
Là, on doit choisir Dieu.
Et c'est ça que les parents de Moïse ont fait.
Donc, ce n'est pas un appel pour désobéir au gouvernement.
Mais s'il y a un conflit, là, on doit choisir par la foi ce que Dieu veut qu'on fasse.
Pourquoi ils l'ont fait ça?
Ça s'est donné aussi au verset 23.
Parce qu'ils virent que l'enfant était beau.
Vous voyez, la foi voit les choses.
Il voyait quelque chose dans l'enfant.
Dans acte 7, Étienne dit, il voyait qu'il était divinement beau.
Donc, d'une façon ou d'une autre, ils l'ont reconnu quelque chose.
Ils l'ont reconnu dans ce bébé qui était très spécial.
Mais chaque bébé est spécial, évidemment.
Mais ils l'ont reconnu par la foi que Dieu avait un plan très spécial pour ce bébé.
Mais évidemment, en général, Dieu a un plan pour chaque bébé.
Mais la foi a réalisé, donc la foi des parents de Moïse a réalisé que Dieu voulait se servir de cet enfant plus tard.
Et ils ne craignirent pas l'ordonnance du roi.
On en a parlé déjà.
La crainte de Dieu était plus importante pour eux que la crainte du roi.
Verset 24, on voit maintenant Moïse.
C'est maintenant la prochaine génération.
Comme on l'a vu avec Abraham et Isaac.
C'est maintenant la prochaine génération.
Et qu'est-ce qu'on voit là?
Qu'est-ce qu'on voit là?
Moïse, devenu grand, par la providence de Dieu, il était là au palais.
Et il aurait pu dire, mais maintenant, moi je serais capable d'aider mon peuple parce que Dieu a organisé les choses pour que je sois ici dans le palais.
Non.
Il a réalisé à un moment donné que oui, c'était la main de Dieu, la providence de Dieu.
Mais par la foi, il a pris une position, il a refusé d'être appelé fils de la fille du parent.
Il a refusé l'amitié du monde.
Il ne voulait pas se servir du monde comme étant un ami du monde pour promouvoir les intérêts de Dieu.
Il savait que ça ne marchait pas.
Plus tard, il a aussi été vainqueur par rapport à l'inimité du monde, l'animosité, l'inimité.
Au verset 27, il quitta l'Egypte ne créant pas la colère du roi.
Donc il a vaincu le monde de ces deux façons, l'amitié du monde et aussi l'inimité du monde.
Pour revenir au verset 24, il refusa.
Donc ça c'est quelque chose d'important.
Très fort, il a renié ce lien.
Il voulait plutôt être lié au peuple de Dieu dans la décresse que d'être lié à cette princesse.
Et ainsi il a fait un choix, verset 25 souligne cela.
Donc refuser l'une implique le choix de l'autre chose, verset 25.
Et quel choix ? On dirait mais c'est stupide, ça n'a pas de bon sens.
Choisissant plutôt.
Plutôt veut dire la priorité pour Moïse était qu'il fasse ce choix pour être avec le peuple de Dieu.
Le peuple de Dieu c'était plus important pour lui et c'était un peuple d'esclaves.
Tandis que lui il était au palais.
Donc la foi brille là en Moïse.
Et on pourrait étudier aussi ces versets dans 1 Jean 2, verset 15 à 17,
qui nous parle de ces trois choses que nous devons vaincre comme croyants.
La foi est vainqueur.
Et ainsi on vainc ce monde dans ses aspects.
Dans la convoitise de la chair, la convoitise des yeux et l'orgueil de la vie.
C'est ça qu'on voit avec Moïse, un vainqueur.
Et ainsi nous devons être vainqueurs.
Les premiers chrétiens à Jérusalem devaient être vainqueurs,
pour ne pas être sous l'influence du temple et du judaïsme,
mais pour être placés sous l'influence de Christ maintenant dans la gloire.
Nous devons aussi faire un choix.
Et le choix est d'être dans l'affliction avec le peuple de Dieu.
Le peuple de Dieu était plus important pour lui, malgré le fait que c'était des esclaves,
que d'être là à la cour du Parent.
Que de jouir pour un temps des délices du péché.
On pourrait peut-être écrire même tout un livre pour donner des exemples,
comment le monde est rusé pour présenter les délices du péché.
Mais la foi réalise, non, on n'a rien à faire avec ces délices du péché.
Verset 26, estimant.
Là on voit encore la même façon dans laquelle Abraham a raisonné.
Avec Abraham on a vu aussi une estimation au verset 19,
ayant estimé que Dieu pouvait le résister même dans le flemmord.
Et à ce moment-là j'ai oublié de souligner le mot pouvait.
Dieu pouvait.
Ça souligne la puissance que Dieu a.
Et Abraham s'est rendu compte de cette puissance de Dieu.
Il a estimé.
Maintenant avec Moïse en Égypte, il a aussi estimé.
C'est un autre verbe, mais c'est quand même important.
Il a raisonné, il a calculé, il a estimé.
Ce mot est utilisé souvent d'un Philippien.
Estimer comme un bon comptable.
Il faut estimer les choses et l'échelle de valeurs.
C'est ça qu'on voit avec Moïse.
Il avait une bonne échelle de valeurs.
Il a estimé les choses selon cette bonne échelle.
Et qu'est-ce qu'il a estimé ?
C'est mieux d'avoir l'opprobre du Christ.
Il s'est identifié par la foi avec Christ.
Christ qui n'était pas encore là à ce moment-là.
Mais l'opprobre du Christ, on va revenir à ça dans le chapitre 13, verset 13.
Il s'est identifié avec le peuple de Christ, le peuple de Dieu.
Et ainsi, il a choisi cet opprobre au lieu de ce grand trésor des richesses, les richesses de l'Egypte.
Mais pour lui, l'échelle de ses valeurs de trésor par rapport à Christ, par rapport à Dieu, était plus grande.
Et ainsi, nous devons faire un choix et estimer les choses.
Il est ajouté encore une raison, verset 26 à la fin.
Car il regardait à la rémunération.
Vous voyez, là encore, on voit qu'il a regardé en avant.
Il a regardé la rémunération.
Et ce verbe implique, il a regardé, le focus, il a changé de focus.
Il a vu Pharaon, la maison du Pharaon, l'Egypte, les richesses d'Egypte.
Et là, il a changé de focus, il a vu l'opprobre de Christ, l'état de son peuple dans la misère.
Et la balance a pris cette position-là.
Et il a vu que, finalement, c'était la rémunération.
En faisant ce choix-là, il serait récompensé.
Ce mot récompense, on a vu dans chapitre 10, verset 35, je voulais juste référer à ça.
Ne rejetez donc pas loin votre confiance qu'il y a une grande récompense.
C'est le même mot que rémunération ici.
C'est la récompense que Dieu allait donner.
Et ainsi, la foi voit le Seigneur dans la gloire pour nous.
La foi voit la récompense, la foi voit la fin de la route.
Et là, c'était clair quel choix il devait faire.
C'est donc une grande leçon pour nous aussi.
Verset 27, troisième fois par la foi, il quitta l'Egypte.
Ça, c'est le moment où il avait tué cet Égyptien, comme on voit dans Exode 2.
Ça, c'est un manquement, un grand manquement.
Mais comme j'ai dit tantôt, l'Esprit de Dieu ne résume pas les manquements.
L'Esprit de Dieu fait ressortir la foi.
Parce qu'à ce moment-là, Moïse a quitté l'Egypte par la foi.
Parce qu'il était rejeté par ses propres frères.
Et là, il voyait que le temps n'était pas encore venu.
Et par la foi, il est quitté.
Il a quitté l'Egypte.
Ne crayons pas la colère du roi.
Pourquoi il a pu faire ça? La raison est donnée.
Car il est un ferme.
Ce mot veut dire persévérer, endurer.
Donc là, on voit encore ce point.
Tantôt, j'ai dit Abraham, la persévérance de la foi.
Moïse, on voit l'énergie de la foi.
Il va en haut, il tire ses ressources de Dieu.
Les deux, finalement, vont ensemble.
Il a persévéré, il s'est tenu ferme.
Comme un, comme voyant celui qui est invisible.
Il a tiré ses ressources du Dieu invisible.
Dans 1 Timothée 1, chapitre 6, spécialement, il est dit que Dieu ne se voit pas.
On ne peut pas voir Dieu.
Dieu vit dans une lumière invisible.
Non, inaccessible.
Dans une lumière inaccessible.
Et quand même, par la foi, on peut voir ce Dieu.
La foi voit le Dieu invisible.
Ça semble être un paradoxe, une contradiction.
Mais c'est comme ça que la foi fonctionne.
La foi voit le Dieu invisible.
En contraste avec cela, Israël, plus tard, dans le désert,
voulait avoir le veau d'or pour avoir un Dieu qu'il pouvait voir.
Vous voyez ?
Et c'est ça la tendance de la chair.
La chair veut toujours voir des choses tangibles, visibles.
Tandis que la foi voit des choses comme une réalité qui sont invisibles,
qui ne peuvent pas être touchées,
qui sont en dehors de ce domaine où on vit.
Donc c'est le discernement de la foi.
Et là, le quatrième point, on voit au verset 28.
Par la foi, il a fait la patte.
On pourrait lire l'Exode 12 et d'autres passages dans la Parole qui expliquent la patte.
Qu'est-ce que ça veut dire, vraiment ?
Israël était sous le jugement du Dieu.
Comme toute l'Égypte, il avait seulement un moyen pour être protégé contre le jugement.
C'était la patte.
Et ainsi, Moïse, comme le chef du peuple, comme un grand leader que Dieu avait donné,
c'est lui qui a fait la patte.
Donc ici, c'est ce que vous souveniez, la foi de Moïse.
Dans l'Exode 12, on ne voit pas ça.
Mais ici, on voit l'emphase sur Moïse comme ce chef du peuple qui donne le bon exemple.
Il a fait la patte.
Et ça veut dire que Dieu passait en jugement,
mais là où le jugement était déjà appliqué par le fait que l'agneau était tué
et le sang était mis sur les poteaux,
on prouve que la mort avait été déjà effectuée,
le sacrifice avait été donné,
là Dieu pouvait passer.
Il n'y avait plus besoin de juger.
Le jugement avait été lieu, avait déjà été fait dans le sacrifice de cet agneau.
Et Dieu ne juge pas deux fois.
Donc Dieu pouvait passer.
Ça c'est la patte.
La signification du mot « pâques » veut dire que Dieu pouvait passer.
L'agneau était frappé.
Et ainsi Dieu peut passer.
Il n'a pas besoin de les frapper,
comme ils frappaient les premiers-nés des Égyptiens.
Et ainsi l'aspersion du sang est mentionnée.
Ça c'est la provision que Dieu donnait.
Et c'est tellement important.
Sans l'aspersion du sang, il n'y a pas de rémission du péché.
On l'a vu cela dans l'Hébreu déjà.
« Afin que le destructeur des premiers-nés ne les touchât pas. »
Donc ça veut dire que la foi réalise que ce monde est sous le jugement de Dieu.
Et que ça prend un sacrifice.
Et la foi agit comme Moïse l'a fait au XVIIIe siècle.
Il a fait la patte.
Et dans 1 Chrétien 5 nous voyons une référence.
Cette patte nous parle du Christ.
Christ, notre patte.
Verset 29, c'est le cinquième exemple.
« Par la foi ils traversèrent. »
C'est maintenant collectif.
C'est tout le peuple.
Ce n'est pas seulement Moïse comme un chef.
Mais tout le peuple a traversé la mer rouge.
C'est la délivrance de l'esclavage.
« Et par la foi ils sont entrés dans cette mer pour sortir de l'autre côté. »
Ils passaient à sept.
C'est toute une leçon pour nous aussi.
Comment Dieu veut nous délivrer de l'esclavage pratiquement.
« Ce que les Égyptiens ayant essayé, ils furent engloutis. »
Donc ils se sont placés eux-mêmes sous le jugement de Dieu.
« Verset 30, par la foi les murs de Géricault tombèrent. »
Qu'est-ce que la foi réalise ici ?
Il y avait une puissance là à Géricault.
Géricault était comme la forteresse de l'ennemi.
Toute la puissance de l'ennemi était concentrée là à Géricault.
Personne ne pouvait entrer dans le pays.
Géricault bloquait l'entrée du pays.
Donc c'était la puissance de l'ennemi.
Et qu'est-ce qu'on voit ici ?
Qu'est-ce qu'on voit ici par la foi ?
Les murs de Géricault tombèrent.
Si on lit l'histoire, c'est vraiment intéressant.
Six jours, une fois, ils sont allés autour de la ville.
Pour reconnaître que c'était vraiment une puissance terrible.
Et le septième jour, sept fois.
Donc treize fois.
La treizième fois, Dieu a donné un signe.
Et puis Josué a sonné la trompette.
Puis là, les sacricateurs ont sonné.
Et là, les murailles sont tombées.
Et tous les guerriers de Géricault étaient morts.
C'est la triomphe de la foi de la part du peuple.
Et c'est juste au début de l'entrée du pays.
Et qu'est-ce que ça veut dire ?
Juste une petite parenthèse, mais c'est important.
On n'a pas une description du voyage à travers le désert.
Pourquoi l'hébreu ne mentionne pas cela ?
Parce que l'hébreu, en général, on a vu cela déjà dans le passé,
est une épître pour le désert.
Pourquoi le désert n'est pas mentionné ici dans cette liste ?
Parce que le fait que le peuple était dans le désert n'était pas manque de foi.
Ce n'est pas par la foi qu'il était dans le désert.
Ce n'était pas un manque de foi.
On a vu cela dans Hébreu 3 et 4.
Leur désobéissance, leur manque de foi,
était la cause qu'il était dans le désert pendant 38 ans.
Donc, ce n'est pas mentionné dans ce chapitre.
Ce qui est mentionné maintenant, c'est donc la sortie de l'Égypte
et ensuite l'entrée dans le pays promis par la foi.
Et par la foi, ces murailles tombèrent.
Et ainsi, il faut réaliser aussi pour nous-mêmes.
Nous, on ne peut rien faire contre la puissance de l'ennemi.
L'ennemi est tellement grand, sa puissance est tellement grande,
que seulement Dieu peut agir.
Et il va agir si nous mettons notre confiance en lui.
C'est cela qu'ils ont fait.
Ni par force, ni par puissance, mais par mon esprit.
Et là, cette foi se voit en Rahab.
C'est le septième exemple.
Pas seulement le triomphe de la foi,
c'est maintenant le salut qui va avec la foi.
Rahab, elle a vu le peuple de Dieu,
elle s'est identifiée avec le peuple de Dieu.
On voit plus de détails dans Jacques 2, qui nous parle de cela.
Et dans Jacques 2, nous voyons que Rahab est placé à côté d'Abraham.
Abraham, le père des croyants, en compagnie avec une prostituée.
Oui, parce qu'elle n'était pas vue comme prostituée.
Elle est vue comme un trophée de Dieu.
En Rahab, Dieu avait opéré,
elle a mis sa confiance en Dieu,
et elle voulait être associée au peuple de Dieu.
Avec Abraham, on voit l'amour pour Dieu.
Avec Rahab, on voit l'amour pour le peuple de Dieu.
Ça, c'est le sujet dans Jacques 2.
Et avec Rahab, nous voyons qu'elle a connu ce salut par la foi.
Elle a mis sa confiance en Dieu.
Et on voit aussi le travail de Dieu en Rahab.
C'est évident.
Lorsque les espions sont venus là,
ils ont vu que là, il y avait une femme
qui a mis sa confiance en Dieu et dans le peuple de Dieu,
qui voulait s'identifier avec le peuple de Dieu.
Donc les espions étaient convaincus.
Si Dieu est capable de changer une femme,
en plus prostituée, impliquée dans cette religion des cananéens,
si Dieu est capable de changer cette femme,
il est capable de donner le pays au peuple.
Et c'est ça que l'on voit avec Rahab.
Elle ne périt pas.
Ça, c'est la récompense.
Elle ne périt pas avec ceux qui n'ont pas cru.
La raison, ayant reçu les espions.
Par la foi, elle a reçu ces espions
comme appartenant à ce peuple de Dieu
avec lequel elle voulait s'identifier.
Et dans Jacques 2, nous voyons une autre raison.
La foi de Rahab se voit aussi par le fait
qu'elle les a laissés aller par un autre chemin.
Là, on voit encore une autre preuve de la foi de Rahab.
Donc ces sept points résument cette énergie de la foi.
Par la foi, on peut être vainqueur comme les parents de Moïse.
On peut être vainqueur comme Moïse.
On peut être vainqueur par rapport à l'ennemi.
Le peuple traverse la mer Rouge.
On peut être vainqueur comme Rahab.
C'est par la foi.
Donc ces exemples sont très réels pour nous
parce que, je pense,
toutes les leçons qu'on voit dans ces cas isolés
comme les sept fois avec Abraham et les Patriarches,
les sept fois avec Moïse et le peuple sortant de l'Égypte,
toutes ces leçons sont maintenant des leçons que nous devons réaliser.
L'Esprit de Dieu place ces choses devant nous
pour que nous puissions adopter ces choses
et mettre en pratique ces choses.
Que nous puissions vraiment vivre par la foi
comme Abraham l'a fait, comme Isaac l'a fait,
comme Moïse l'a fait.
C'est ça la perspective de ce chapitre.
Pour que nous puissions tirer de ces leçons
tout ce dont nous avons besoin pour notre marche chrétienne aujourd'hui.
On a besoin de tous ces exemples
dans différentes situations que nous sommes
pour pouvoir continuer dans ce chemin de la foi.
Puis la prochaine fois, j'aimerais donc finir le chapitre 11
et commencer au chapitre 12
parce que là, on va voir encore le Seigneur Jésus.
Il sera présenté comme étant le chef et le consommateur de la foi.
Là on a vu des hommes de la foi et des femmes de la foi
puis là, au chapitre 12, on verra le Seigneur Jésus comme le chef.
La foi vient de lui et il la consomme aussi.
Donc le Seigneur Jésus, notre grand exemple,
notre grand modèle, on verra au début du chapitre 12.
Mais s'il y a encore des questions sur le passage qu'on a lu ce soir,
peut-être on peut prendre deux moments.
Si vous voulez noter encore quelques mots clés
que je voulais souligner à la fin,
c'est la pensée de la séparation, le monde où on est.
On ne peut pas aller avec ce monde,
on ne peut pas aller sans le monde.
C'est la pensée de la séparation.
C'est la pensée de la séparation, le monde où on est.
On ne peut pas aller avec ce monde.
C'est donc le principe de la séparation.
Deuxièmement, on a vu aussi des exemples de la puissance de Dieu,
surtout par rapport à la résurrection.
Et ainsi, les ressources de la puissance de Dieu
sont disponibles pour nous par la foi.
Et troisièmement, le centre de tout, c'est le Seigneur Jésus,
le Fils de la promesse.
Et comme j'ai mentionné à la fin,
on le verra la prochaine fois comme le chef et le consommateur de la foi.
L'Esprit du Dieu veut toujours attirer notre attention vers le Seigneur Jésus,
pour le voir dans sa grandeur.
Et ainsi, il est le Fils de la promesse.
Ainsi, il est la Pâque.
Ainsi, on le voit de plusieurs façons,
même dans ces quelques versets que nous avons lu.
Le Seigneur Jésus est présenté de plusieurs façons.
Et l'Esprit du Dieu fait cela pour attacher nos coeurs davantage au Seigneur Jésus. …
Transcripción automática:
…
Dans l'Épître aux Hébreux, chapitre 11, on lit le verset 32.
Et que dirais-je davantage, car le temps me manquera, si je discours de Gideon, de Barache,
et de François, et de Gertrude, de David, et de Samuel, et des prophètes, qui par la
foi subjugèrent des royaumes accomplir la justice, obtenir les choses promises, fermer
la gueule des lions, éteindir la force du feu, échappèrent aux tranchants de l'épée,
de faibles qu'ils étaient, furent rendus vigoureux, devinrent forts dans la bataille,
furent employés des armées des étrangers.
Les femmes reçurent leur mort par la résurrection, et d'autres furent torturées, n'acceptant
pas la délégence, afin d'obtenir une meilleure résurrection.
Et d'autres furent éprouvés par des moqueries et par des coups, et encore par des liens
et par la prison.
Ils furent lapidés, sillés, tentés, ils moururent, égorgés par l'épée, ils errèrent
ça et là, vêtus de peau de brebis, de peau de chair, dans le besoin, affligés, maltraités,
de quels le monde n'était pas digne, errants dans les déserts, et les montagnes, et les
cavernes, et les trous de la terre.
Et tous ceux-ci, ayant reçu témoignage par la foi, n'ont pas reçu ce qui avait été
promis, Dieu ayant eu rendu quelque chose de meilleur pour nous, afin qu'il ne parvienne
pas à la perfection sans nous.
Chapitre 12 C'est pourquoi, nous aussi, ayant une si
grande nuée de témoins qui nous entoure, rejetant tout fardeau et le péché qui nous
enveloppe si aisément, couvrant avec patience la course qui est devant nous, fixant les
yeux sur Jésus, le chef et le consommateur de la foi, lequel, à cause de la joie qui
était devant lui, a enduré la croix, ayant maîtrisé la honte, et est assis à la droite
du trône de Dieu.
Car considérez celui qui a enduré une telle contradiction de la part des pécheurs contre
d'humains, afin que vous ne soyez pas là, étant découragés dans vos âmes.
Jusqu'ici la lecture.
Cet épître merveilleuse nous présente le Seigneur Jésus.
Neuf fois son nom est répété, Jésus.
Et on a vu dans cet épître d'abord une présentation de sa personne, ensuite de son
heure.
Et ensuite nous avons l'application.
Depuis le chapitre 10, verset 19, on a l'application de tout ce qu'il a fait, ce que ça veut
dire pour nous, les croyants.
Et là, on a vu, le Seigneur Jésus est maintenant notre grand chef, notre grand conducteur pour
nous introduire dans la présence de Dieu.
Dans la présence immédiate de Dieu.
Pour cela, nous avons besoin de la foi.
Ensuite, nous avons vu dans le chapitre 10, verset 32, que les croyants avaient enduré
un grand combat de souffrance.
Chapitre 10, verset 36, car vous avez besoin de patience afin que, ayant fait la volonté
de Dieu, vous receviez les choses promises.
Ils avaient besoin d'endurer.
Et pour cela, ils avaient aussi besoin de la foi.
Et pour nous, c'est la même chose.
Nous avons maintenant le Seigneur Jésus comme ce grand conducteur qui nous conduit à travers
le désert.
En Moïse, autrefois, a conduit le peuple terrestre à travers le désert.
Ainsi, le Seigneur Jésus conduit un peuple céleste.
Nous sommes un peuple céleste qui nous conduit à travers le désert de ce monde.
Il est notre grand conducteur.
Et nous avons besoin de la foi pour le suivre.
Ainsi, nous avons vu, disons, qu'on a besoin de la liberté pour entrer dans les lieux
célestes, dans la présence de Dieu.
Pour cela, on a besoin de la foi.
Et ensuite, nous avons aussi besoin de cette liberté de la foi pour suivre la conduite
du Seigneur Jésus.
Ainsi, nous avons donc, dans le chapitre 10, à la fin du chapitre 10, nous avons vu ce
principe que le juste vivra de foi.
Verset 38.
Et ce principe est ensuite développé dans le chapitre 11, où nous avons vu d'abord
les quatre principes de base de la foi.
Ensuite, nous avons vu par rapport à Abraham, et c'est le patriarche, sept fois par la
foi.
Là, on a vu que la foi est comme un télescope qui voit loin, mais qui réalise les choses
comme si elles sont toutes prêtes.
Ensuite, par rapport à Moïse et jusqu'à l'Arabe, on a vu sept fois encore par la
foi, et c'était comme un rayon X qui voit ce qui est invisible.
C'est pour cela que nous avons vu avec Moïse, voyant celui qui est invisible.
Verset 27.
Dans ce chapitre, nous voyons que la foi croit ce qui est incroyable, la foi voit ce
qui est invisible, et la foi fait ce qui est impossible.
Ils semblent des contradictions, mais par la foi ces choses se réalisent.
Et on a vu que la foi nous lie à un autre monde, le monde où Christ est maintenant
ressuscité et glorifié, exalté.
Nous voyons Jésus.
Chapitre 2, verset 9.
Il est maintenant dans la gloire.
Et ainsi, la foi est maintenant liée à un autre ordre de choses.
Et c'est le mot « meilleur » qui revient bien souvent dans ce chapitre.
Notre foi nous met en contact avec un nouveau monde où Christ est, et il représente un
meilleur ordre de choses.
Donc on est venu maintenant au chapitre 11, verset 32.
Et j'aimerais encore faire le lien avec le verset 31.
Rahab, la prostituée, ne périt pas avec ceux qui n'ont pas cru, ayant reçu les espions
en paix.
Là on voit donc que Rahab a cru par la foi, elle a agi, et le résultat était qu'elle
n'est pas périe avec ceux qui n'avaient pas de foi.
Ici dans le contexte, dans le temps de Rahab, c'était les gens de Jéricho qui n'ont
pas cru.
Mais on a vu que les petits trous hébreux appliquent ces choses aux croyants d'un
temps à l'autre.
Dans ce temps là, les chrétiens hébreux, ils étaient entourés par des gens qui n'avaient
pas cru le Messie.
Le Messie était venu, ils ont rejeté leur propre Messie, ils l'ont crucifié, mais
pas les romains.
Ils l'avaient rejeté, ils n'avaient pas cru.
Tandis que les croyants, parmi les juifs, qui avaient cru vraiment, ils étaient comme
Rahab.
Ils ont mis leur confiance dans le Seigneur Jésus, le Messie rejeté, et ainsi ils ne
sont pas péris.
Parce que le jugement était pour venir, dans l'année 70, Jérusalem était détruite
avec le Temple, et ainsi les croyants, parmi les juifs, n'ont pas péris avec ceux qui
n'ont pas cru.
Et c'est encore un principe qui s'applique aujourd'hui.
On lit dans Jean 3, verset 36, un verset que j'aimerais vraiment souligner.
Qui croit au Fils a la vie éternelle, mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie.
Mais la colère de Dieu demeure sur lui.
Il y avait seulement deux possibilités.
Et ainsi, Rahab, elle a cru, et ainsi elle n'a pas péris avec ceux qui périssaient
dans la destruction de Jérusalem.
Maintenant, pour les croyants, parmi les juifs, dans ce temps-là, ils ont cru, tandis que
les autres juifs, ils n'ont pas cru.
Ils étaient marqués par la désobéissance et ils ont péris dans la destruction de Jérusalem.
Pour l'appliquer à nous aujourd'hui, ceux qui croient aujourd'hui, ils ne périsseront
pas, le Seigneur l'a dit, plusieurs fois d'un genre, tandis que ceux autour de nous
qui ne veulent pas croire, qui désobéissent, ils vont périr.
C'est donc très solennel.
C'est un message qui est très actuel encore aujourd'hui.
Ou bien on met sa confiance dans le Saint Jésus et on sera sauvés, on ne périra pas.
Ou bien on désobéit, parce que ne pas croire veut dire vraiment désobéir au Fils, désobéir
au Saint Jésus, et là on va périr.
C'est terrible.
Le restant du chapitre nous parle de ceux qui étaient dans le pays promis.
On a vu déjà dans Hébreux 3 et 4 que le fait que le peuple était dans le désert
pendant 40 ans, c'était à cause de leur manque de foi, à cause de leur désobéissance.
Donc dans ce contexte de la foi, dans Hébreux 11, l'auteur ne peut pas prendre des exemples
du voyage à travers le désert, parce que là, il y avait un manque de foi.
Là, il y avait aussi la désobéissance, et toutes ces générations ont péri dans le désert.
Tandis que ceux qui avaient la foi, Caleb et Josué, avec la nouvelle génération,
eux sont entrés dans le pays promis, et les gens qu'on voit maintenant depuis l'Evêphée 32
sont des gens qui étaient dans le pays promis.
Même là, ils avaient encore besoin de la foi pour l'appliquer à nous,
pour nous occuper des choses du pays céleste où le Seigneur Jésus se trouve,
le pays promis pour nous.
On a besoin de la foi.
Et c'est ça qu'on voit dans ces 20 chœurs.
Il y a 25 cas différents mentionnés dans cette liste, où on voit des 20 chœurs.
Mais d'abord, il y a 7 personnes qui sont mentionnées au verset 32.
D'abord, 4 juges, Gédéon, Barad, Samson et Jerté.
On pourrait étudier le livre des juges, et on voit là comment Dieu s'est servi de ceux qui étaient faibles,
mais qui avaient la foi, et ils étaient des vainqueurs.
Ensuite, on voit le roi selon le cœur de Dieu, David.
Ensuite, on voit Samuel, le premier des prophètes, et des prophètes.
Donc, 7 groupes sont mentionnés ici par rapport au pays promis.
Ils étaient dans le pays promis, et ils sont mentionnés ici brièvement,
mais l'auteur dit, le temps me manquera si je discouvre Gédéon, etc.
On ne peut pas entrer dans les détails maintenant.
Donc, ça suffit pour nous de voir qu'ils étaient dans le pays promis, et là, ils avaient aussi besoin de la foi.
On a toujours besoin de la foi pour être des vainqueurs.
Et il est dit au verset 33 qu'il part la foi.
Ici, c'est la foi comme instrument.
Ici, nous voyons l'énergie de la foi.
Et par cette foi, ils subuguèrent des royaumes.
Je trouve ça un mot très important, très intéressant aussi,
parce que dans l'original, ça implique la pensée qu'on va trouver dans chapitre 12, verset 1, la course.
On va parler de la course que nous devons courir.
Et dans l'original, subjuguer, c'est un mot composé où il y a cet élément de la course,
et le résultat de ce combat, parce que c'est un combat.
Et par ce combat de la foi, ils ont subjugué des royaumes.
Ils ont accompli la justice.
Là, on voit donc la foi qui opère.
C'est une foi active, et qui va avoir des résultats.
Ils obtiennent les choses promises.
Mais c'était seulement en partie, parce que nous avons vu au verset 39,
qu'ils n'ont pas reçu ce qui avait été promis.
Donc, ce qu'on a ici au verset 33, c'est partiel.
Ce n'était pas encore le plein accomplissement de la promesse de Dieu.
Ça va attendre jusqu'au millenium pour que toutes ces promesses soient élues.
Mais par la foi, ils ont quand même accompli quelque chose.
La justice et aussi les choses promises.
Par exemple, Dieu a dit, « Faites ceci. »
Et puis, dans les juges, on voit qu'il y a eu des victoires.
Et ainsi, ils ont obtenu les choses promises.
Ils fermèrent la guerre des lions.
On peut penser à David.
On peut penser à Daniel.
On peut penser aux serviteurs de David, de Naya, et d'autres, sans doute.
Et ainsi, toute cette liste, il y a dix points qui sont donnés ici,
pour souligner cette foi active qui obtient quelque chose.
Par exemple, « Éteignir la force du feu. »
« Échapper au tranchant de l'épée. »
C'est obtenir quelque chose par la foi.
C'est un résultat. C'est une victoire.
Puis, il y a beaucoup de cas dans l'Ancien Testament qui sont mentionnés dans cette liste, dans ce résumé.
Les faibles qu'ils étaient, furent rendus vigoureux.
Surtout dans les juges, on voit cela.
Et c'est encore, toutes ces leçons sont là pour nous aussi.
Paul dit, « Lorsque je suis faible, je suis fort. »
Donc, nous devons faire la même expérience.
Ces croyants de l'Ancien Testament ont passé à travers certaines expériences.
Ils ont appris certaines choses.
Et ainsi, ces leçons sont pour nous aujourd'hui.
C'est pour ça que ces croyants-là sont cette grande nuée du chapitre 12 verset 1 qui nous encoure.
Ils nous donnent des illustrations. Ils nous donnent des encouragements.
Ils devinrent forts dans la bataille.
Ils firent croyer les armées de l'étranger.
Et les femmes reçurent leur mort par la résurrection.
Il y a dix points dans cette liste où on voit qu'ils ont obtenu quelque chose.
Ensuite, il y a quinze points où on voit apparemment une défaite.
Mais ce n'était pas une défaite.
Par exemple, d'autres furent torturés.
Humainement parlant, ça semble être une défaite.
Ça semble une perte de cause, de la cause. Non?
À travers cela, ils ont été fidèles.
Et aujourd'hui, il y a beaucoup de croyants qui souffrent, qui sont persécutés.
Peut-être que vous souffrez à cause de la famille, des parents, ou quoi que ce soit, qui ne comprennent pas la foi.
Il y a beaucoup de croyants qui souffrent à cause de leur foi.
Et ce qu'on voit ici, au milieu du verset 35, d'autres furent torturés n'acceptant pas la délivrance.
Le monde, on voit cela aussi dans le temps des Macchabées,
le monde leur a offert une délivrance, mais la foi a refusé cette délivrance.
On pense aux premiers chrétiens qui se sont placés devant les lions.
Ils avaient le choix de renier la foi ou d'être jetés devant les lions.
Ils n'ont pas eu la délivrance.
Quand même, ils ont vaincu par la foi.
Même là, dans les souffrances, ils étaient des vainqueurs.
Et la parole dit ici, afin d'obtenir une meilleure résurrection.
Vous voyez le mot « meilleure ».
Par la foi, il attendait la résurrection à venir.
Donc ça veut dire que cette résurrection qu'il attendait est meilleure que la résurrection qu'on voit avec les femmes qui ont reçu leur mort par la résurrection.
Verset 35 au début.
Dans l'Ancien Testament, dans le Nouveau Testament, 3 cas,
ils ont été ressuscités, mais pour mourir plus tard encore.
Tandis que la meilleure résurrection, c'est par rapport au Seigneur Jésus lorsqu'il doit revenir pour accomplir ce qui est dit au verset 40, pour la perfection.
Donc cette meilleure résurrection est encore plus dure.
D'autres versets 36 furent éprouvés par des moqueries, on pense à Jérémie,
et d'autres par des coups, encore par des liens.
On peut penser à Joseph en prison, par la prison aussi, Jérémie.
Ils furent lapidés, un prophète, Zacharie, et probablement Jérémie aussi.
Syllée, semble que Esaïe était tuée par cette façon là, c'est terrible, dans le temps de Manassé.
Tentés, ils moururent, égorgés par l'épée, un prophète dans le temps de Jérémie.
Ils errèrent, ça et là, quand même, ils étaient des vainqueurs.
Et là on voit la persévérance de la foi.
On a donc l'énergie de la foi qui a subjugué des royaumes, etc.
On voit ici la persévérance de la foi, et c'est vraiment ce qu'on a vu au début du chapitre.
La foi est l'assurance des choses qu'on espère, et la conviction de celles qu'on ne voit pas.
Là on voit l'énergie de la foi, elle voit les choses qu'on ne voit pas, et on voit aussi la persévérance.
Parce que la foi voit en avant et réalise les choses qui sont encore futures, comme étant présentes.
Donc, soit l'énergie de la foi, soit la persévérance de la foi, nous avons besoin de deux pour être des vainqueurs.
Et ainsi cette liste continue.
Comme j'ai dit, il y a quinze points, et au verset 38, il le dit, desquels le monde n'était pas digne.
Parce qu'ils appartenaient à un autre monde.
Et dans le temps du Nouveau Testament, on peut lire des remarques de l'apôtre Paul.
Plusieurs places, mais je vais juste donner un exemple, où Paul parle de cela dans 1 Corinthiens 4, verset 13.
Calendrier, nous supplions, nous sommes devenus comme les balayures du monde.
1 Corinthiens 4, verset 13, nous sommes devenus comme les balayures du monde.
Et le rebut de tous, jusqu'à maintenant.
Dans 2 Corinthiens 12, verset 11, il dit, quoi que je ne sois rien.
Vous voyez, la place qu'il a pris, mais il appartenait à un autre monde.
Et il n'était pas digne de ce monde, mais d'un autre monde.
Donc il a subi le mépris, comme le Seigneur Jésus a été méprisé.
Au verset 38, errant dans le désert et les montagnes et les casernes, vous êtes tous de la terre.
Ça, c'est le quinzième point.
On voit ici, donc, comment la foi était mise à l'épreuve.
Et malgré ces cas, où on voit qu'apparemment c'était un désert, il était des vainqueurs.
Le Seigneur veut aussi que nous soyons des vainqueurs, là où nous sommes placés.
Au verset 39 et 40, nous avons la conclusion de tout cela.
Et c'est aussi une partie d'un prochain paragraphe qu'on peut appeler la course de la foi, jusqu'au verset 3 de chapitre 12.
Et plus tard, on verra que la foi est encore éprouvée.
On voit des épreuves de la foi et de la discipline.
Donc il y a beaucoup de sujets par rapport à la foi.
Et je mentionne encore que la foi nous donne la puissance pour persévérer.
La foi est comme une source.
La foi est comme un standard aussi.
On a vu cela dans le chapitre 11 verset 13.
Tous ceux-ci sont morts dans la foi, mais littéralement, je l'ai dit, selon la foi.
Leur standard était la foi.
Ils sont morts, n'ayant pas reçu les choses promises, mais ils ont suivi ce standard de la foi.
Ainsi, nous avons maintenant au verset 39, tous ceux-ci ayant reçu le témoignage.
Nous avons maintenant au verset 39, tous ceux-ci ayant reçu le témoignage.
Il faut voir au verset 2, car c'est par elle, c'est par la foi, que les anciens ont reçu le témoignage.
Donc le témoignage leur a été donné.
Et juste quelques exemples ici qui sont mentionnés.
Verset 4.
Par la foi, Abel offrit à Dieu un plus excellent sacrifice que Cain.
Et par ce sacrifice, il a reçu le témoignage d'être juste.
Une autre personne, Enoch, verset 5, il a été enlevé.
Il n'a pas été tué comme Abel, mais il a été enlevé.
Et qu'est-ce qu'on lit à la fin du verset 5?
Avant son enlèvement, il a reçu le témoignage d'avoir cru à Dieu.
Il marchait avec Dieu.
Donc ainsi, la conclusion est, au verset 39, tous ceux-ci ayant reçu le témoignage par la foi.
La foi était l'instrument par lequel ils ont agi.
Par la foi, on a vu verset 33, toute cette liste-là, du verset 33 jusqu'au verset 38, par la foi, ils ont agi.
C'était par l'instrument de la foi.
Mais ils n'ont pas reçu ce qui avait été promis.
Ça veut dire, le plein accomplissement de ces choses est encore plus dur.
Et la raison est donnée maintenant au verset 40.
Dieu ayant eu en lui quelque chose de meilleur pour nous.
Afin qu'il, c'est l'héros de la foi, de l'ancien testament, il ne parvienne pas à la perfection sans nous.
La raison pour laquelle ils n'ont pas encore eu l'accomplissement de la promesse, du fait promesse, c'est parce que Dieu voulait qu'il attende jusqu'à ce que nous parvêtions à la perfection.
C'est ça le point.
Et Dieu avait quelque chose de meilleur pour nous.
C'est donc les croyants de cette dispensation.
Les croyants depuis acte 2 jusqu'à l'enlèvement de l'église.
Ces croyants-là ont quelque chose en commun avec ces croyants de l'ancien testament.
Et quand même, en même temps, il y a une différence.
Vous pouvez réfléchir là-dessus, mais je donne un exemple.
Un exemple, dans l'Apocalypse, on trouve les 24 anciens dans le ciel, autour du pont.
24 anciens qui représentent les croyants de l'ancien testament et les croyants du nouveau testament, nous.
Lorsqu'on sera enlevé, on sera introduit dans la perfection et là, eux, les croyants de l'ancien testament, seront aussi enlevés de la terre.
Vous pouvez lire dans 1 Thessalonique 4, pour avoir les détails, comment ça se réalisera.
Et aussi dans 1 Chrétien 15, comment tout cela va se réaliser selon le plan de Dieu.
Et ainsi, tous les croyants de l'ancien testament, Adam et Ève, jusqu'à l'enlèvement, seront dans le ciel.
Et Dieu va continuer un autre travail sur la terre, pour avoir encore un autre peuple sur la terre.
Mais, il y a donc quelque chose que nous avons en commun avec ces héros de la foi.
Il y a aussi une différence.
Et cela, on voit dans l'Apocalypse 19.
L'Apocalypse 19, on voit encore les 24 anciens mentionnés pour la dernière fois.
Ensuite, on voit les noces de l'agneau.
Et là, on voit un groupe qui est invité.
On voit l'épouse, les croyants de cette différence.
Et on voit ceux qui sont invités pour la noce.
Ce sont les croyants de l'ancien testament.
Donc, ils vont aussi être là.
Mais, ils ne peuvent pas parvenir à la perfection sans nous.
Lorsque nous serons introduits dans cette perfection, eux seront avec nous.
L'enlèvement, les 24 anciens, ils seront témoins, ils ne seront pas seulement témoins, ils seront invités.
Ils seront invités pour cette noce de l'agneau.
Quelle chose merveilleuse.
Et là, on voit donc une différence.
On voit en même temps aussi que nous avons beaucoup en commun.
Et c'est pour cela qu'on va les retrouver dans chapitre 12, dans cette expression, une si grave nuée.
Tous ces croyants de l'ancien testament, qui sont mentionnés comme une galerie de héros,
sont maintenant comme cette nuée, et qui sont là pour nous encourager.
Cela ne veut pas dire que du paradis ils voient ce qui se passe sur la terre,
mais ce que l'auteur veut présenter devant nous, c'est une grande nuée de témoins,
et pour nous encourager, comme des spectateurs dans les tribunes,
encouragent ceux qui courent.
Ainsi, ces croyants, dans l'ancien testament, qui attendent maintenant dans la gloire,
ils attendent jusqu'à ce que nous soyons là,
ils sont en même temps là pour nous encourager.
Donc, c'est pour cela que le chapitre 12, verset 1, dit c'est pourquoi nous aussi.
Il fait maintenant le lien entre ce qu'il a présenté, de ces croyants de l'ancien testament,
et aussi du temps entre l'ancien testament et le nouveau testament, le temps de Machabée, etc.
C'est pourquoi il fait maintenant l'application pour nous.
Nous aussi.
Donc, cela veut dire que nous devons suivre leur exemple.
Et là, j'aime souvenir trois participants d'abord.
Ayant, nous avons une si grave nuée de témoins.
C'est quelque chose que nous avons.
Ensuite, rejetant, nous devons rejeter quelque chose.
Ensuite, fixant les yeux sur Jésus.
Donc, ce que nous avons, ayant une si grave nuée de témoins,
ce qu'on a vu dans cette liste des croyants de l'ancien testament,
ces héros qui nous encouragent pour marcher maintenant, pour courir maintenant,
ils ont souffert, mais ils étaient des vainqueurs.
Ils sont là pour nous encourager.
Une grave nuée qui nous entoure.
C'est ce que le verset dit ici.
Donc, ils sont tout près de nous.
Et par la foi, c'est très réel.
On peut penser à Abraham, à Moïse, et tous les autres,
et c'est comme s'ils sont tout près de nous.
Donc, par la foi, ils sont présents.
Ils sont témoins.
Le mot témoin implique la pensée de martyr.
Le mot littéral peut être traduit comme martyr.
Ils ont vu, on a vu comme témoins.
Ils ont souffert pour leur témoignage.
Et maintenant, ils sont encore des témoins dans la gloire.
Ils sont dans le paradis, évidemment.
De là, ils sont encore des témoins pour que nous puissions être encouragés.
Mais je répète, ça ne veut pas dire qu'ils voient ce que nous faisons.
Dieu voit ce que nous faisons.
Mais la présentation de ces héros de la foi sert pour nous encourager, pour nous stimuler.
Et ainsi, c'est une nuvée qui nous entoure,
un spectateur, pour ainsi dire, qui nous entoure, pour nous encourager.
C'est ça qu'on a.
Mais on doit aussi faire quelque chose.
On doit rejeter.
Qu'est-ce qu'on doit rejeter?
Le mot, le verbe ici, est utilisé sept fois dans les Écritures.
Et c'est toujours important pour que nous puissions vraiment suivre le Seigneur Jésus.
C'est quoi pour nous?
On doit se poser cette question.
Qu'est-ce que moi, je dois rejeter?
Il y a deux points principaux qui sont mentionnés.
D'abord, tout fardeau.
Ça représente des choses qui ne sont pas nécessairement méchantes.
Ce sont des choses qui nous gênent pour courir.
Ce sont des choses qui nous ralentissent dans notre course.
Si on est placé dans une course, on ne va pas prendre un long manteau.
Et ainsi, il y a des choses qui sont bonnes, comme ce manteau peut être très bon,
mais ce manteau n'est pas utile pour marcher la course.
Et ainsi, on peut avoir des choses qui sont bonnes en soi,
mais qui nous gênent, qui nous ralentissent.
Et ainsi, on doit les rejeter.
Et ça, c'est différent pour chacun de nous.
L'Esprit de Dieu peut vous montrer c'est quoi le fardeau,
ou c'est quoi tout fardeau pour moi.
Mais il y a aussi un autre point, et ça c'est le deuxième point,
le péché, qui nous enveloppe si aisément.
Qu'est-ce que c'est ça?
Dans le contexte de cet Épitre, le péché, l'incrédulité,
et aussi la volonté propre.
Et ça peut nous affecter aussi.
Tantôt, on a vu au verset 31, ceux qui n'ont pas cru.
Donc ça, c'est les incrédules.
Mais les croyants, qui appartiennent à Dieu,
peuvent aussi manquer de foi, manquer d'obéissance.
Et ça, c'est le péché qui nous enveloppe si aisément.
Et je répète, là aussi, ce n'est pas nécessairement la même chose pour chacun de nous,
mais l'Esprit de Dieu peut nous montrer c'est quoi, pour moi, le problème.
Et là, il veut que nous rejetions ce péché.
Dans le contexte de cet Épitre, c'est clairement l'incrédulité,
et, comme j'ai dit, la volonté propre.
Et c'est quelque chose qui nous enveloppe aisément, comme le verset le dit,
qui va facilement ensemble avec nous.
Cet élément se trouve facilement.
On n'a pas besoin de faire un grand effort pour être enveloppé de ce péché-là.
Ça peut être une petite chose.
On résiste à la volonté de Dieu.
On résiste.
Le Seigneur nous montre quelque chose.
Moi, je dis non.
Peut-être que je ne le dis pas fortement,
mais dans mon cœur, je dis non.
Ça, c'est déjà ce péché qui nous enveloppe si aisément.
Et je répète, ça peut être différent pour chacun de nous.
Peut-être qu'il y a quelqu'un qui veut être baptisé, mais dit non.
Je ne sais pas.
Ou on peut l'appliquer à beaucoup de choses.
Donc, c'est pour nous montrer que ça peut être différent pour chacun de nous,
mais c'est un test en même temps pour chacun de nous.
Donc, ayant cette grande nuée pour nous encourager,
nous avons aussi à faire quelque chose.
C'est à rejeter ce qui nous gêne,
ce qui nous empêche à marcher dans cette course.
Ayant fait cela,
donc le jugement de soi-même, ça implique le jugement de soi-même,
ça implique une repentance,
la repentance, comme croyant, on doit se repentir souvent aussi, on a manqué.
Ça implique tout cela.
Mais maintenant, on est encouragé par ce mot courant.
C'est un appel.
Là, on a de nouveau devant nous cet élément de persévérance,
cet élément de continuer avec patience.
Le mot patience veut dire continuer sous un fardeau,
32 fois dans le Nouveau Testament.
Endurer ou patienter, comme verbe, c'est 19 fois.
Donc, c'est quelque chose qui revient souvent.
On a besoin de la patience, on a besoin de cette endurance,
de cette énergie de la foi pour pouvoir continuer, n'est-ce pas?
Est-ce qu'on n'en a pas besoin?
On en a besoin, chaque jour.
Et on pense encore au Seigneur Jésus.
Dans le psaume 16, on lit, il a mis sa confiance en Dieu.
On dit, nous devons mettre notre confiance en Dieu pour pouvoir continuer,
pour pouvoir persévérer la course, courant la course.
Courant, c'est touchant.
On pourrait étudier chaque mot.
Mais je pense au Père qui a couru lorsque le Fils produit derrière vous.
Le Père a couru pour le rencontrer.
C'est le même mot.
On pense à Marie de Magdala, le jour de la résurrection du Saint Jésus.
Elle court vers le Sécurité.
Les deux disciples, Jean et Pierre aussi, ont couru.
Et ainsi, il nous convient de courir.
Paul de Timothée IV, il est dans cette course.
Est-ce que nous prenons ça à l'aise,
ou est-ce qu'on veut vraiment s'engager pour courir dans cette course?
Et le mot « course » veut vraiment dire, dans l'original, un combat.
Donc, cette course n'est pas juste quelque chose qu'on fait pour notre plaisir.
Ça implique un combat intense sur la vie, sur la mort.
Ça implique ce dévouement.
On pense au Seigneur Jésus qui était dans le jardin de Gethsemane.
Cette agonie.
Et ainsi, nous voyons que cette course est vraiment quelque chose qui n'est pas facile.
C'est un combat.
Et on a vu ce combat dans le chapitre 11, verset 33,
« Par la foi et sous le cœur des royaumes ».
Il nous manque de temps pour parler de tous ces passages,
mais ce serait intéressant d'étudier, par exemple, « Combattre le bon combat ».
C'est la même pensée.
C'est cette course qui est un combat, une lutte.
Lutter la bonne lutte.
Combattre le bon combat.
Et ainsi, c'est une question de la foi pour pouvoir la victoire.
La course est pour un but, pour un tri.
Vous pouvez étudier 1 Corinthiens 9.
Là, l'emphase est sur la discipline de soi.
On pourrait étudier Philippiens 3.
On voit le Seigneur Jésus dans la gloire.
Il est notre but.
Et ainsi, dans chaque passage, il y a une emphase différente, un accent différent.
Donc, on voit ici l'endurance, la patience, l'énergie de la foi pour être victorieux.
Et pour arriver là, qu'est-ce qu'on doit faire ?
Fixer les yeux sur Jésus.
Donc, nous avons quelque chose pour nous encourager.
Ensuite, nous devons rejeter quelque chose.
Et c'est un exercice continuel, rejetant.
Et il y a aussi quelque chose, quelqu'un qui est placé devant nous.
Fixant les yeux sur Jésus, c'est continuellement.
On a besoin de le faire continuellement.
Et ce qu'on voit maintenant, fixant ici veut dire, on rejette d'autres choses pour fixer nos regards sur lui.
Donc, la pensée est impliquée dans ce verbe.
Dans ce verbe, on a le verbe « looking away », comme ça veut dire, au lieu de se concentrer sur d'autres choses,
on rejette ces choses dans nos pensées pour regarder vers le Seigneur Jésus.
Pour nous concentrer sur lui.
Fixant les yeux sur Jésus.
Et c'est encore sa personne merveilleuse qui est présentée devant nous.
Jésus, sa personne, son œuvre, ici, le chef qui nous conduit.
Et ainsi, nous avons ce nom neuf fois dans cette Écoute.
Comme chef qui nous conduit.
Et le mot « chef » ici est traduit quelquefois « prince » ou « auteur ».
C'est vraiment le leader.
Il est présenté ici encore dans sa grandeur pour nous diriger.
Il nous attire à lui-même.
Mais vous voyez ce qui est tellement beau.
Il a été dans cette Écoute.
Il est maintenant dans la gloire.
Les autres, les témoins, n'ont pas encore atteint la perfection.
Mais il y a quelqu'un, il y en a un qui a atteint la perfection.
C'est le Seigneur Jésus.
Il est là, assis à la droite du trône de Dieu.
Il a atteint la perfection.
Et ainsi, il est l'encouragement pour nous encore plus grand que l'encouragement de cette nuée de témoins.
Parce que le Seigneur Jésus, il a atteint déjà la perfection.
Et c'est ainsi que nous pouvons atteindre la perfection lorsqu'il va nous chercher.
Et nous avons donc un privilège qui dépasse encore le privilège des héros de la foi.
Parce que les héros de la foi ont couru sans avoir l'exemple du Seigneur Jésus.
Sans avoir cette relation avec le Seigneur Jésus.
Ils avaient une relation avec Dieu, évidemment.
Mais ils ne connaissaient pas encore le Seigneur Jésus dans la gloire.
Nous, nous connaissons le Seigneur Jésus dans la gloire.
Et ainsi, nous fixons nos yeux sur lui, le chef.
Et il est dit aussi, le consommateur de la foi.
Donc il est venu dans la course.
Il a couru.
Il a atteint le but.
C'est ça la pensée d'un consommateur.
La grande nuée n'a pas encore atteint la perfection.
Mais le Seigneur Jésus, il a atteint la perfection.
Il est le consommateur de la foi.
Et ça c'est une pensée qui est développée beaucoup dans l'Épître aux Hébreux.
Depuis chapitre 2 jusqu'à ici, on voit comment le Seigneur Jésus est présenté
comme ayant parcouru ce processus pour atteindre cette perfection.
Ça ne veut pas dire qu'il n'était pas parfait en lui-même.
Il était parfait en lui-même.
Il était sans péché.
Mais il fallait qu'il passe à travers des expériences de l'école de Dieu
pour atteindre ce but comme homme.
Donc ainsi, il est notre exemple, notre modèle, encore plus encourageant que cette nuée du témoin.
Et qu'est-ce qu'on lit maintenant?
Lequel à cause de la joie qui était dans lui.
C'est tellement beau.
Le Seigneur Jésus, pourquoi il est venu dans cette course?
Pourquoi il est venu pour être le chef et le consommateur de la foi?
Parce qu'il voyait quelque chose devant lui.
C'est comme le marchand qui voit cette perle dans Matthieu 13.
Il vend tout ce qu'il avait pour avoir cette perle.
Ainsi, le Seigneur Jésus a vu cette joie devant lui pour avoir l'Église,
cette perle pour lui-même.
Et il s'est donné lui-même pour obtenir cette perle.
C'est juste un exemple.
Le Seigneur Jésus, il a atteint maintenant la gloire.
Donc il est là dans la joie.
Dans le ciel, il y a la joie.
Il est là.
Il est là aussi comme notre exemple, comme notre modèle, comme nous avons vu.
Il est là aussi comme ce grand berger.
Vous voyez le berger.
Qu'est-ce qu'on lit dans Luc 15?
Peut-être que tu peux lire ce soir Luc 15.
Lorsque le berger a trouvé le brebis perdu, il a porté le brebis sur ses épaules.
Et il était plein de joie, plein de joie.
Ainsi, le Seigneur Jésus, il nous voyait.
Il nous voyait dans notre misère.
Mais il voyait plus que cela.
Il voyait le résultat des voies de Dieu, de plein de Dieu.
Pour nous avoir avec lui-même dans la gloire, il a vu cela.
Et à cause de cette joie qui était devant lui, il est venu dans ce monde.
Il a enduré la croix.
De nouveau ce mot enduré.
Il a subi tout cela. Il a persévéré par la joie.
Il a consommé, complété tout.
Il a enduré la croix.
Chaque mot serait une étude en soi.
Par exemple le mot joie.
Je vous encourage d'étudier ce mot joie.
Le Seigneur dit je vous donne ma joie.
Il y a beaucoup de passages qui nous parlent de la joie.
Par la joie nous sommes fortifiés.
La joie est semée pour le juste, etc.
Chaque sujet ici est très encourageant pour nous.
Le mot croix, ce que cela veut dire, ce serait toute une étude.
Là on voit le Seigneur Jésus à la croix.
La meilleure personne à la croix.
C'est là la place que le monde avait décidée pour lui personnellement.
Dieu avait prévu cela.
Donc ce serait tout un sujet étudié.
Là on voit la puissance de Dieu et la sagesse de Dieu.
Christ crucifié.
Donc pensez-y.
Ensuite il est dit ayant méprisé la honte.
Cela ne veut pas dire que le Seigneur Jésus a méprisé la croix.
C'était quelque chose d'horrible pour lui.
Lorsqu'il a anticipé cela dans son âme, dans le jardin le 17ème année,
on voit comme il a prié trois fois « Père, si c'est possible, laisse passer cette coupe de moi ».
Donc c'était quelque chose de terrible.
Il n'a pas méprisé la croix, mais il a méprisé la honte de la croix.
Ce que cela a représenté, humainement parlant.
Donc il a subi tout cela, et là il est aussi un exemple pour nous.
D'un côté le Seigneur Jésus est absolu, unique.
Nous ne pouvons pas entrer dans les souffrances du Seigneur Jésus, là à la croix, dans les trois heures sombres.
Mais le Seigneur Jésus est aussi présenté ici comme quelqu'un qui a souffert pour la bonne cause.
Et dans ce sens-là, nous pouvons suivre son exemple.
Pas par rapport à l'heure expiatoire, mais comme quelqu'un qui a souffert pour la bonne cause, pour la cause de Dieu.
Dans ce sens-là, il est notre modèle pour suivre.
Mais ici, dans le verset 2, l'empare est vraiment sûre qu'il est comme notre objet,
comme celui qui nous attire à lui-même.
Et ayant obtenu donc tout cela, il est dit qu'il est assis à la droite du tronc de Dieu.
Là on voit donc le plein résultat.
Dieu a été satisfait.
Dieu l'a exalté.
Et c'est très beau de voir que le Seigneur Jésus est présenté à la droite de Dieu.
Cinq fois dans cet épitre.
Mais l'expression qui est utilisée ici est littéralement utilisée quatre fois dans cet épitre.
Chapitre 1, verset 3, plus excellent que les anges.
Là on voit sa grandeur d'une façon très spéciale.
Dans cette liste de sept points, dans l'Hébreu 1, verset 2 et 3.
Ensuite son ministère présent dans chapitres 8, verset 1 et 2.
On le voit comme ministre dans les yeux célestes.
Il est le ministre du sanctuaire.
Et là on le voit aussi assis à la droite du tronc de Dieu.
Il est assis.
A cause de son œuvre accomplie dans l'Hébreu 10, verset 12 et 14 à peu près,
nous voyons qu'il est assis à la droite.
L'œuvre a été accomplie.
Il peut s'asseoir.
Maintenant la course est accomplie.
Il a accompli la course et il peut s'asseoir.
Il est assis à la droite du tronc de Dieu.
Cette expression par rapport au Seigneur Jésus, assis, est utilisée sept fois dans le Nouveau Testament.
Donc en perfection.
Il est là et on peut le considérer de plusieurs façons.
Il est merveilleux.
C'est pour cela qu'il est dit au verset 3, considérez celui.
Il y a un appel maintenant pour le considérer, pour analyser.
De ce mot vient notre mot analogie.
Ainsi nous pouvons étudier le Seigneur Jésus.
Dans tous ses détails comme dans cet épître, c'est vraiment merveilleux.
Celui qui a enduré.
Encore une fois, enduré.
Les croyants avaient besoin d'endurer, de persévérance.
Et là le modèle est présenté devant nous.
Il a enduré.
Donc il est là pour nous encourager, pour nous stimuler.
Mais qu'est-ce qu'il a enduré ?
Une telle contradiction de la part des pécheurs.
C'est vraiment un mot très fort.
Ce mot contradiction est utilisé par rapport à l'histoire dans le désert.
Lorsque les douze espions sont revenus, il y avait dix qui ont dit non, on ne va pas y aller.
C'est le pays promis, que Dieu a promis, mais on ne va pas y aller.
Tandis que Joseph et Caleb ont dit on va y aller.
Là il y avait une contradiction.
Ce mot est utilisé quelques fois, mais je veux juste rappeler un verset dans Luc 2.
C'est par rapport à ce que Siméon a dit lorsque le Saint Jésus est né.
Il est présenté là dans le temple par Marie et Joseph.
Et puis Siméon a dit dans Luc 2, lorsqu'il parlait à Marie.
Luc 2, verset 34.
Et Siméon les bénit.
Pas l'enfant, mais Marie et Joseph.
Et dit à Marie, sa mère, voici celui-ci est mis pour la chute et le relèvement de plusieurs en Israël,
et pour un signe que l'on contredira.
Vous voyez, c'est dans l'original le même et aussi en français.
Contradiction, contredire.
Ainsi le Seigneur Jésus était un objet pour être contredit.
Il a enduré cette contradiction.
Pour donner un exemple, lorsque le Seigneur Jésus avait guéri un homme,
qui était aveugle, qui était sourd, nuet,
qui était possédé d'un démon.
Le Seigneur l'a délivré.
Matthieu 12.
Le chef du peuple en dit qu'il a fait cela par B.A.V.D.
C'est un exemple de cette contradiction de la part des pécheurs.
C'est la contradiction de ceux qui n'ont pas cru,
qui étaient désobéissants.
Quelle contradiction.
Mais le Seigneur a continué.
Il a continué.
Donc ainsi nous devons continuer aussi.
Nous devons voir ce que le Seigneur Jésus a fait.
Il est non distant entre lui et nous.
Mais nous pouvons le suivre quand même.
Même s'il y a cette contradiction.
Afin que vous ne soyez pas lasses,
étant découragés dans vos âmes.
Vous voyez le danger, c'est qu'on va lâcher un jour.
Quand on dit merde, ça devient trop.
Ce mot est utilisé pour celui qui est malade.
Dans Jacques 5.
Ce mot « lass » ici implique cet enjeu d'être malade ou faible.
Mais le Seigneur ne veut pas que nous soyons faibles pour être lasses.
Pour lâcher ensuite.
Il ne veut pas que nous soyons découragés.
Au verset 3.
Ce mot « décourager » n'est pas souvent utilisé dans le Nouveau Testament.
Mais, par exemple, les multitudes qui étaient là dans le désert avec le Seigneur.
Le Seigneur voulait leur donner de la nourriture.
Afin qu'ils ne se découragent pas.
Afin qu'ils ne tombent pas à cause du manque de nourriture.
C'est le même mot.
Étant découragés dans vos âmes.
Le Seigneur ne veut pas que nous soyons découragés de cette façon-là.
Et dans vos âmes, qu'est-ce qu'on traite?
J'ai pensé à Matthieu 11 verset 29.
Qu'est-ce que le Seigneur Jésus a dit?
Il a dit, venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés.
Moi, je vous donnerai du repos.
Prenez mon joug sur vous et apprenez de moi.
Et dans ce contexte-là, il dit aussi, vous trouverez le repos pour vos âmes.
Le Seigneur Jésus s'occupe de nos âmes.
Il s'occupe de nos corps pour que nous puissions courir cette marche.
Il s'occupe de nos âmes.
Il s'occupe de notre esprit.
On a vu dans Hebreu 4 comment la parole divise entre l'âme et l'esprit.
Il s'occupe de nous.
Il veut nous encourager.
Donc, cet épître est vraiment présent devant nous.
Un grand encouragement pour continuer dans la foi.
Pour persévérer par la foi.
Pour atteindre le but.
Pour ne pas lâcher.
Pour ne pas être paralysé par quelle raison que ce soit.
Donc, c'est tout un défi qui se place devant nous.
Et le Seigneur donne toutes les ressources nécessaires pour nous encourager.
Il est là dans la gloire.
Et par la foi, on le voit.
Et de là, il nous parle.
De là, il nous encourage.
Il prie pour nous.
Il intercède pour nous, chaque croyant aussi.
Le Seigneur s'occupe de chacun de nous.
Pour que nous puissions continuer dans cette course.
Dans ce combat aussi.
Pour que nous soyons fidèles jusqu'à ce qu'il vienne nous chercher.
Ce passage est très riche, mais on doit arrêter maintenant.
S'il y a encore une question ou quelque chose qui doit être clarifié, s'il vous plaît, ça fera quelques minutes.
Juste une clarification de l'expression « contradiction » dans Hebrews 12, verset 3.
Je réfère spécialement à ce qui s'est passé dans la contradiction de Corée.
Cette expression est utilisée aussi dans Jude, verset 11.
Ce qui est beau dans ce chapitre, c'est qu'après avoir mentionné tous ces noms de tous ces héros de la foi,
c'est qu'après ça, on a remis le chef du Seigneur Jésus.
C'est ça.
Pour le contexte direct dans ce temps-là, pour les chrétiens hébreux,
on a vu cette nuée de témoins, c'est pour encourager.
Ensuite, c'était eux qui étaient les coureurs, les croyants parmi les juifs à ce moment-là.
Mais le plus grand encouragement venait du Seigneur, comme tu dis.
Là, il est présenté comme objet et comme prix final pour cette course.
Il a atteint la gloire de notre prix, si on se plaît, de notre objet.
Et ainsi, nous pouvons courir aussi, comme eux ont couru à ce moment-là.
Tout dépend de lui.
Le Seigneur Jésus.
Qu'est-ce que tu disais?
Ce sont tous ces témoins qu'on dévance aussi.
Le Seigneur s'est un peu inconscient dans le milieu de la foi.
Il voit l'accompagnement parfaitement.
Il a fait de l'effondrement de ces gens-là.
Il a fait de voir que le Seigneur s'introduit à l'expérience de la foi.
C'est beau, parce que lui, il est parfait.
Les héros de la foi n'étaient pas parfaits.
Mais quand même, ils sont un exemple pour nous, un encouragement pour nous.
Tandis que le Seigneur, il était parfait.
Et ce qui est beau aussi dans ce contexte-là, il ne les condamne pas.
On voit le manquement dans l'Ancien Testament,
mais les manquements ne sont pas mentionnés ici dans l'Histoire.
Donc, il prend les choses de la foi vraiment, pour encourager.
Et dans ce sens-là, le Seigneur Jésus est sélectif.
Il prend les choses qui encouragent.
Et aussi dans nos vies, le Seigneur ne veut pas voir les choses qui découragent.
Il veut voir les choses qui encouragent.
C'est ces choses qu'il veut utiliser pour nous stimuler.
Ça ne veut pas dire qu'il ne voit pas les manquements.
Mais il aimerait se concentrer sur ce qui est positif, sur ce qui est beau pour lui.
Donc, on est béni de l'Église, parce qu'il n'est pas concentré sur ce qui est positif.
Les croyants de l'Ancien Testament, les croyants de l'Ancien Testament,
ils sont bénis.
Donc, ils attendaient de satisfaire l'Église.
Donc, on est bénis.
Alors, ça veut regarder à l'Église.
C'est ça que je voulais dire tantôt.
On est plus bénis que les croyants qui ont fait cette course dans l'Ancien Testament.
On est beaucoup plus privilégiés.
C'est pour ça que j'ai dit qu'il faut lire aussi 1 Thessalonique 4
pour voir que nous serons tous avec le Seigneur.
Eux seront avec le Seigneur.
Nous serons avec le Seigneur.
Et il faut lire Apocalypse 4 et 5.
Les anciens autour du trône.
Là, on sera dans la gloire avec le Seigneur.
Et ainsi, ils vont atteindre, ils vont parvenir à la perfection ensemble avec nous.
Mais en même temps, il y aura une différence.
Parce que nous avons un lien plus proche du Seigneur Jésus que eux.
Comme j'ai mentionné, avec la noce de l'Anieau,
nous, on sera plus proche du Seigneur parce que nous, on appartient à l'Épouse.
Tandis que eux, les croyants de l'Ancien Testament,
ils seront les invités.
C'est là qu'on a un en commun. …
Transcripción automática:
…
J'ai de l'eau vers cette table.
Vous n'avez pas encore résisté jusqu'au sein en combattant contre le péché.
Et vous avez oublié l'exhortation qui s'adresse à vous comme à des fils.
Mon Fils ne nécrise pas la discipline du Seigneur.
Et ne perds pas courage quand tu es repris par Dieu.
Car celui que le Seigneur aime, qu'il discipline, est une fouette.
Tout Fils qu'il agrée.
Vous endurez des thèmes comme une discipline.
Dieu agit envers vous comme envers des fils.
Car qui est le fils que le Père ne discipline pas.
Mais si vous êtes sans la discipline à laquelle tous agissent, alors vous êtes des bâtards et non pas des fils.
De plus, nous avons eu les Pères de notre chair pour nous discipliner et nous les avons respectés.
Nous ne serons pas beaucoup plus tôt soumis aux Pères et aux Fils qui nous vivront.
Car cela disciplinait pendant peu de jours, selon qui le trouvait bon.
Mais celui-ci est une discipline pour notre profit, afin que nous participions à sa sainteté.
Or, aucune discipline pour le présent ne semble être un sujet de joie que le péché.
Mais plus tard, elle rend le plus crédible de la discipline à ceux qui s'en exercent en elle.
C'est pourquoi, redressez les mains glacées et les genoux décaillants et faites des centaines de droits à vos Fils,
afin que ceux qui voient Dieu ne se dévoient pas, mais plutôt se guérissent.
Poursuivez la paix avec tous et la sainteté, sans laquelle nul ne verra le Seigneur.
Veillant de peur que quelqu'un ne manque de la grâce du Dieu,
de peur que quelques racines d'amertume bourgeonnantes en haut ne vous trouvent,
et que par elles plusieurs ne soient soumis.
De peur qu'il n'y ait que quelques fornicateurs ou profanes comme Isaïe,
qui pour un seul maître vendissent son droit de premier lieu.
Quand vous savez que, aussi plus tard, désirant hériter de la bénédiction,
il peut rejeter, car il ne trouvera pas lieu à la repentance,
quoi qu'il eût recherché avec l'âme.
Jusqu'ici, la lecture de la parole.
Dans le cantique, nous avons utilisé quelques expressions qui sont vraiment caractéristiques pour cet épître.
Le mot « grandeur » est caractéristique,
parce que cet épître nous présente la grandeur de Christ,
la grandeur de son œuvre,
et aussi sa grandeur comme chef.
On a vu que cet épître se divise en trois divisions,
si on peut diviser ainsi,
l'emphase sur sa personne au début,
ensuite l'emphase sur son œuvre,
ensuite la mise en pratique de l'enseignement,
puis sa conduite.
Donc depuis le chapitre 10-19,
nous avons vu que le Seigneur Jésus est notre chef pour nous introduire dans le lieu présent.
Il est notre chef aussi pour nous faire traverser le désert.
On a vu cela.
Et puis, cette partie qu'on a lue est vraiment la conclusion de cette section-là.
Ça, c'est une longue section.
Ensuite, on verra, au chapitre 13,
que le Seigneur Jésus est notre chef pour nous conduire en dehors du camp,
en dehors du désert.
Et entre ces passages d'enseignement,
il y a souvent, on a vu cela, des parenthèses.
Et ce soir, on commence une nouvelle parenthèse au verset 12.
C'est pour pouvoir redresser la main.
Cette parenthèse est toujours pour rappeler aux croyants leur responsabilité.
On a vu cela au chapitre 2, au chapitre 3, 4,
aussi au chapitre 6, et maintenant encore,
et on a vu cela aussi au chapitre 10,
une parenthèse qui rappelle la responsabilité des croyants.
On a vu aussi que, lorsqu'on a parlé de cette deuxième partie,
que le Seigneur Jésus est notre conducteur pour nous faire traverser le désert,
on a vu le besoin de persévérance.
Et on a vu, ça m'a frappé dans le passé, on a vu cela dans le chapitre 10,
on a besoin de cette persévérance par rapport à l'accès dans le lieu saint,
et on a besoin de cette persévérance pour continuer notre marche à travers le désert.
Et ainsi, on a vu que cette persévérance est vraiment une question de la foi.
La foi pour nous réaliser notre dépendance du Seigneur Jésus comme étant notre chef.
Et ainsi, nous avons vu, à la fin du chapitre 10,
l'importance de la foi, le juste vivra de la foi.
Ensuite, les quatre principes de base de la foi au début du chapitre 11.
Ensuite, la persévérance de la foi, surtout en Abraham et les Patriotes.
Ensuite, l'énergie de la foi, mourir, et ceux qui sont mentionnés dans cette section-là.
Et la dernière fois, nous avons vu la course de la foi.
Et là, nous avons vu encore l'empare du Seigneur Jésus comme étant notre chef,
et le consommateur de la foi.
Et ce soir, nous avons l'épreuve de la foi, verset 4 jusqu'au verset 11.
La foi est mise à l'épreuve, est testée.
Donc, nous avons vu l'exemple du Seigneur Jésus comme notre chef qui a lui-même couru la course de la foi.
On a constaté, au verset 1, que le mot « course » implique la pensée d'un combat.
Et on va revenir au combat, au verset 4.
Donc, la course, c'est un combat spirituel.
Ce n'est pas un athlète, simplement, qui fait son trajet.
Mais c'est pour chaque croyant, maintenant, cette course, pour entrer dans cette course.
Et nous avons vu, le Seigneur Jésus est entré dans cette course, et il l'a accompli.
Et il est maintenant dans la gloire.
Dans le cantique, on a utilisé un autre mot, « suprême ».
Le Seigneur Jésus est suprême à travers toute cette épée.
On a vu sa suprématie.
Il est toujours plus grand.
Il est toujours meilleur que les autres choses qui sont mentionnées.
Plus grand qu'Abraham, qu'il y en a que cela.
Et maintenant, nous voyons sa suprématie parce qu'il est assis à la droite du trône de Dieu.
C'est une autre chose qui est caractéristique pour les épreuves.
Nous voyons le Seigneur Jésus à la droite du trône de Dieu
à cause de la grandeur de sa personne, à cause de l'heure qu'il a accomplie,
à cause de la marche qu'il a accomplie.
Et c'est beau de considérer le Seigneur Jésus.
Juste souligner cela.
On a vu que nous pouvons maintenant fixer nos regards sur lui.
Il y a une grande nuvée de témoins.
Notre attention n'est pas fixée sur ces témoins.
Mais on apprend par ces témoins de la droite.
On a vu cela dans les livres longs.
Mais notre regard est maintenant fixé sur le Seigneur Jésus.
Et on a vu une condition pour cela, c'est de rejeter tout fardeau.
Donc chaque chose qui entrave, ce n'est pas des choses pécheresses.
C'est des choses qui nous entravent dans notre course.
On doit rejeter.
Et surtout le péché, dans le contexte de l'étude posée pour le péché,
c'est l'inclusivité, comme on a vu dans chapitres 3 et 4,
et la volonté propre pour suivre un chemin selon les pensées de l'homme.
Ça c'est le péché qu'on doit rejeter.
Et ce péché nous enveloppe si aisément.
Au lieu de cela, nous devons fixer nos regards sur le Seigneur Jésus.
Et fixant, verset 2, on a vu cela,
c'est de dire, en laissant de côté d'autres choses,
comme la beauté du Temple, comme la beauté d'un système religieux,
quoi que ce soit, il faut rejeter cela dans nos pensées.
Il faut fixer seulement nos regards sur le Seigneur Jésus,
le chef ou le consommateur de la croix.
C'est le secret pour la marque de la croix,
d'avoir fixé les regards sur lui, sur sa personne,
et sur son exemple aussi, parce qu'on a vu, verset 2,
à cause de la joie qui était devant lui, il a enduré la croix.
Là, nous voyons aussi son exemple.
Nous avons vu, il est notre chef, notre leader,
mais il est aussi notre modèle,
et à cause de la joie qui était devant lui, il a enduré la croix,
et en effusé la honte qui est assise maintenant à la croix du compte de Dieu.
Il a atteint le but.
Encore un appel au verset 3, considérer, c'est analyser,
c'est contempler en détail celui qui a enduré une telle contradiction.
Le Seigneur comme modèle, qui a souffert, qui a enduré,
et c'est un autre mot près, enduré,
ça veut dire continuer sous la pression,
continuer sous le fardeau, mais continuer tout droit.
Il a enduré, persévéré.
À la fin du verset 3, afin que vous ne soyez pas l'as étant découragé dans vos âmes.
Et ça introduit donc la prochaine section qu'on a vu ce soir,
l'épreuve de la croix.
Nous sommes entourés par des pécheurs,
et même par un système religieux qui est marqué par le péché,
qu'on a vu, le péché, c'est l'inclinité, la volonté propre.
Ce système peut nous causer aussi à ralentir,
ce système peut nous influencer.
Et ainsi, il dit, vous n'avez pas encore résisté jusqu'au sein,
en combattant contre le péché.
C'est important à comprendre ce que ça veut dire.
Ce n'est pas un appel pour combattre le péché en nous.
Romain 7 nous parle de ce conflit entre la nouvelle nature et le péché, la chair.
Et là, on voit que ce combat, on ne peut pas réussir.
Il faut se remettre à l'esprit.
Et Romain 8, nous voyons que toutes nos ressources sont dans l'esprit.
Dans Galate 5, il y a un combat entre l'esprit et la chair.
Ce n'est pas le combat qu'on trouve ici non plus.
Dans Romain 7, Galate 5, c'est un combat en dedans de nous.
Ici, c'est le combat par rapport aux choses qui sont en dehors de nous.
Et ainsi, il est dit, combattant contre le péché.
On n'est jamais appelé à combattre le péché en nous.
Nous lisons dans Galate 2, verset 20, que nous sommes crucifiés avec Christ.
Et ça, c'est le secret de ce problème.
Et ainsi, nous ne sommes pas appelés à combattre le péché en nous.
Dieu a réglé ce problème.
Et pratiquement, comme je dis, nous devons nous remettre à l'esprit,
comme on voit dans Romain 7, pour être au-dessus de la puissance du péché en nous.
Mais ici, le combat est par rapport au péché, au tout.
Parce que même dans un système religieux, comme on voit dans les Évangiles,
les Sadducéens, les Parisiens, les Scribes,
ils représentaient un système religieux que Dieu avait donné dans le passé,
mais que l'homme avait utilisé pour sa propre gloire.
Et en effet, c'était Satan qui a opéré aussi en même temps, évidemment.
Et là, il y a donc le péché autour des croyants.
Et ils doivent combattre ce défi,
pour ne pas se faire influencer par les Sadducéens, par les Parisiens, par les Scribes, etc.
Ce système qui avait rejeté le Messie était encore là.
Le temps était encore là.
Et puis, pour nous, ce n'est pas exactement la même situation,
comme dans ce temps-là.
Mais les dangers sont encore là, comme les dangers étaient là au début.
Et ainsi, cet appel est aussi pour nous, qu'on combatte contre le péché.
Au verset 5, on voit ici qu'il y avait donc un manquement.
Le début du découragement avait commencé, et ils avaient oublié l'exhortation.
Et ce qui est vraiment remarquable, c'est que si on compare ce passage,
c'est une citation de Proverbe 3, c'est vraiment Salomon qui parle à son fils.
Et c'est vraiment un merveilleux chapitre, Proverbe 3.
Et ce passage est pris de Proverbe 3, mon fils.
Et ici, nous voyons, au verset 5, ce n'est pas Salomon qui s'adresse à nous,
c'est l'Esprit de Dieu qui s'adresse à nous.
Vous avez oublié l'exhortation.
Et le mot exhortation est vraiment un mot qui veut dire, c'est un mot fort.
Littéralement, ça veut dire quelqu'un qui parle à côté,
qui se place à côté, pour nous encourager.
C'est pour ça que ce mot est publié aussi, pour le mot encouragement.
C'est consolation.
Comme le consolateur de l'Esprit Saint nous console,
comme le Seigneur Jésus dans la gloire est le consolateur,
il nous console.
Cette exhortation nous est donnée pour nous encourager, pour nous consoler,
au lieu d'oublier.
L'autre chose que j'aimerais encore souligner, qui s'adresse à vous.
Là, dans l'original, ça implique la pensée, le dialogue.
Ici, c'est donc un père, et on verra aussi plus tard, Dieu vu qu'on perd,
et un père qui s'adresse à son fils.
Il est en train de dialoguer.
C'est très beau de voir ça.
C'est pas juste one way.
C'est pas juste le père qui parle à son fils.
Mais il y a ici donc une interaction.
Et ça, c'est impliqué dans ce mot, il s'adresse.
Dans l'original, c'est dialogue.
Et ainsi, ça présuppose donc cette communion,
cette communication aussi entre le père et son fils,
qu'on voit avec Salomon, avec David aussi,
mais surtout dans ce contexte-là,
Salomon qui parle à son fils dans la Proverbe 3.
Et ainsi, le Seigneur Jésus s'adresse à nous à plusieurs occasions.
Je pense à l'Écriture à la lycée, par exemple.
Il dialogue. Il cherche une réponse.
Il s'adresse à vous comme à tes fils.
Ça, c'est un autre élément.
Donc, il ne faut pas oublier.
Il faut voir l'exhortation.
C'est pour nous encourager, pour nous édifier aussi,
pour nous consoler, pour avoir ce dialogue.
Parce que nous sommes des fils, c'est pour cela.
Nous ne sommes pas juste des esclaves.
Un maître qui donne des ordres à son esclave.
Dans un autre sens, nous sommes aussi des esclaves.
Nous sommes soumis aux maîtres.
Mais dans ce contexte-là, nous voyons la relation entre un père et un fils,
ou entre le père et ses fils.
Un fils est pour le bon plaisir de Dieu.
On voit cela avec le Seigneur Jésus.
Celui-ci est mon fils bien-aimé en qui j'ai trouvé mon bon plaisir.
Et ainsi, Dieu veut avoir des fils.
Dieu a un fils unique, c'est le Seigneur Jésus.
Mais il cherche maintenant à avoir des fils selon l'image du Seigneur Jésus.
Et ce qui m'a frappé, c'est que ce contexte qu'on voit ici,
comme Dieu qui s'adresse à nous,
c'est ici par l'Esprit, par la Parole, qui s'adresse à nous comme étant ses fils.
Quelquefois, le Père s'adresse directement à nous,
mais la Trinité s'occupe de nous.
C'est ça que je voulais souligner.
Nous sommes des fils, selon l'image du Seigneur Jésus.
Galaties 4 nous dit que Dieu nous a envoyé son fils,
l'Esprit de son fils.
C'est beau de voir, parce que Dieu cherche une réponse aussi en nous.
Il a eu un fils sur la terre,
il a eu un fils sur la terre,
il a eu un fils sur la terre,
il a eu un fils sur la terre,
Il a eu un fils sur la terre, le Seigneur Jésus,
et maintenant Dieu veut nous avoir comme étant des fils.
Il a envoyé l'Esprit de son fils.
Et dans Éphésiens 1, nous voyons le Père qui veut avoir des fils,
Éphésiens 1, selon son conseil.
Donc vous voyez, la Trinité est impliquée dans cela,
dans cette question d'avoir des fils.
Et Dieu s'adresse ainsi à nous.
Mon fils, ça nous parle d'une relation.
Comme le Seigneur Jésus était le fils parfait dans cette relation avec le Père,
Dieu s'adresse à nous comme étant ses fils,
mais aussi individuellement.
Mon fils, c'est donc une relation d'amour qui existe entre Dieu et nous.
Et je répète, ça s'applique à la Trinité, le Père, le Fils et l'Esprit Saint.
Ne méprise pas la discipline.
Donc, je veux encore dire, un fils est pour le bon plaisir de Dieu,
pour le bon plaisir du Père, du Seigneur Jésus.
Est-ce qu'il avait besoin de la discipline? Jamais.
Ici, au verset 5, mon fils ne méprise pas la discipline du Seigneur.
Ça ne s'applique donc pas au Seigneur Jésus.
Il n'avait jamais besoin de la discipline.
Il était toujours dans les voies de Dieu.
Jamais il avait besoin de la discipline.
Il était toujours pour le bon plaisir de Dieu.
Et Dieu a toujours trouvé sa satisfaction dans le monde.
Mais, Dieu est en train de nous former selon l'exemple du Seigneur Jésus.
Et Dieu veut nous éduquer.
Le mot discipline, dans notre esprit, le mot discipline est souvent négatif.
Mais, dans l'origine nostre, le mot discipline veut dire éducation, instruction.
Ça implique aussi châtiment, si c'est nécessaire.
Mais c'est pour ce but positif, pour nous éduquer,
pour être des fils pour la joie du cœur de Dieu.
Et puis, pour nous amener à la maturité.
Donc, nous sommes aussi des enfants de Dieu.
Comme enfants de Dieu, nous représentons Dieu dans ce monde.
Dieu est lumière et amour.
Et Dieu nous a donné cette nature divine pour représenter Dieu dans ce monde.
Mais la pensée d'être fils, c'est ce que nous sommes pour la joie du cœur de Dieu.
Pas seulement pour le représenter dans ce monde, comme étant ses enfants,
mais pour satisfaire le cœur de Dieu.
Et ainsi, on a le mot fils plusieurs fois dans ce passage, je pense six fois.
Et pourquoi la discipline?
Donc, je répète, parce que Dieu veut nous former pour l'aimer.
Il veut nous avoir comme le Seigneur Jésus.
C'est vraiment le but.
Une formation spirituelle pour être conforme à Christ.
C'est un standard très élevé, mais Dieu veut nous avoir comme Christ.
En anglais, on dit Christ-like.
Dieu veut voir Christ en nous.
Et ça implique donc, la discipline implique un élément négatif,
le jugement de soi-même.
La discipline implique cette formation, cette éducation, cet enseignement, ces instructions.
Et on verra aussi les résultats de ces disciplines,
pour participer à sa sainteté, pour être en accord avec les standards de Dieu.
Maintenant, il y a quatre points par rapport à cette discipline que j'aimerais soumiser.
Comment on réagit?
Est-ce qu'on maîtrise?
Au verset simple, on ne maîtrise pas.
Donc, il y a un danger qu'on maîtrise la discipline.
On va s'adapter à la discipline.
On va s'adapter à la discipline.
On va s'adapter à la discipline.
On va s'adapter à la discipline.
On va s'adapter à la discipline.
Donc, il y a un danger qu'on maîtrise la discipline.
On voit cela, par exemple, avec les corinthiens.
Les corinthiens étaient exhortés sévèrement par la peau de folle,
mais il y en avait qui, ça ne les dérangeait pas, ça ne leur parlait pas,
ils n'avaient pas une réaction dans leur esprit, dans leur conscience.
Ils étaient en train de mépriser la discipline et l'enseignement.
L'autre danger, c'est qu'on perd courage.
On est comme écrasé.
On voit cela avec les thessaloniciens.
Les thessaloniciens, les jeunes croyants,
sous la pression de leurs circonstances, la persécution,
ils étaient en train de se décourager.
On voit aussi au verset 3 ici, ils sont découragés d'un besoin.
On peut se sentir écrasé sous le poids des épreuves et on perd courage.
Le Seigneur ne veut pas qu'on perde courage.
Il dit clairement, ne perds pas courage.
On pense à Joseph qui a parlé à ses pères au moment où ils étaient découragés.
Ils avaient visité Joseph, ils ne savaient pas encore que c'était Joseph,
mais à un moment donné, ils pensaient qu'à cause de leur péché, du péché,
Dieu avait placé ce poids devant lui.
Ils étaient en prison quelques jours et puis Joseph a gardé un frère,
probablement Simon, je pense, et puis il les encourage.
Il dit, quand tu es repris par lui, c'est ça qu'on voit avec Joseph.
Il a repris ses frères, mais c'était pour leur faire du bien,
comme on voit dans cette histoire qui n'a que 5 ans.
C'est vraiment une histoire très intéressante pour voir comment Joseph a eu la sagesse
pour qu'il puisse apprendre leurs leçons.
Et ainsi Dieu s'occupe de nous avec une sagesse merveilleuse,
pour nous former, pour nous discipliner, pour nous enseigner,
et même si c'est nécessaire pour être repris, pour nous reprendre.
Quand tu es repris par lui, il ne faut pas perdre ton courage.
Repris, c'est un mot plus fort, ça veut dire que Dieu expose les choses,
il montre ce qui n'est pas correct,
pour qu'on soit convaincu dans notre conscience et dans notre cœur,
c'est vraiment faux, il faut corriger ça.
Et là ça amène au jugement de soi-même,
mais cette répréhension c'est fort, mais c'est pour notre bien,
c'est pour nous convaincre de quelque chose qui doit être corrigé et jugé.
Au verset 6, car celui que le Seigneur aime, il a maintenant le motif,
c'est par amour qu'il le fait.
Ici c'est le Seigneur qui s'occupe de nous.
Car celui que le Seigneur aime, il le discipline.
Donc c'est l'éducation que nous avons vue,
et juste brièvement, le mot discipline, on trouve quatre fois dans ce passage,
le mot discipliner ou éduquer, comme verbe, trois fois,
et il y a aussi un mot instructeur qui est utilisé ici,
tout par rapport à cette discipline.
Donc, le Seigneur, il aime, ici c'est Dieu,
le Seigneur c'est, avec astéris, ça veut dire une référence à l'éternel,
celui que le Seigneur aime, parce que c'est une citation de Proverbe 3,
il le discipline.
Et je répète, le Seigneur Jésus, de seule exception,
il n'avait pas besoin d'être discipliné ou d'être fouetté.
Fouetté, ça veut dire être repris, on a vu.
Donc, l'enseignement, la discipline, l'éducation, l'instruction,
et le châtiment fort, plus fort, la répréhension,
c'est nécessaire pour quel but?
Pour nous former, pour être un fils qu'il agrée.
Littéralement, ça veut dire un fils pour qui Dieu peut dire,
Dieu peut dire, bienvenue chez moi, j'aime t'avoir chez moi.
C'est ça la pensée.
Dieu aime nous avoir dans sa présence,
et aime avoir son bon plaisir en nous, en nous recevant chez lui,
en disant, bienvenue chez moi.
Ça c'est la pensée.
Verset 7, vous endurez des peines.
On a parlé de ce verbe, endurer,
que c'est un mot clé dans ce passage-là.
On passe à travers le désert,
il y a des obstacles, il y a des épreuves,
et nous devons endurer, comme le Seigneur Jésus a enduré.
Et ainsi, nous devons aussi endurer la discipline,
parce que c'est pour notre bien.
Dieu agit envers vous comme envers des fils.
Vous voyez, c'est encore répété.
Tout ce qu'il fait avec nous, c'est par rapport à son amour envers nous,
parce que nous sommes des fils,
et il veut nous former selon l'image du Seigneur Jésus.
Car qui est le fils que le Père ne discipline pas?
Donc il parle maintenant de l'expérience de la discipline qui est nécessaire.
Parce que, Verset 8 le dit,
si vous êtes sans la discipline à laquelle tous participent,
alors vous êtes des bâtards et non pas des fils.
Donc la discipline présuppose cette relation d'amour.
On a vu, c'est par amour que Dieu discipline.
Et si on n'a pas de discipline, ça veut dire qu'on n'est pas de fils,
qu'on est des bâtards.
Comme on a vu d'autres passages dans l'Épître aux Épreuves,
par exemple, il y avait une forme de confession sans la réalité.
Là, ce sont des bâtards.
Ils ne connaissent pas cette discipline, parce qu'ils ne sont pas des fils.
Et le mot participer, c'est aussi important à souligner cela.
Si vous êtes sans la discipline à laquelle tous participent,
ce mot est un mot clé dans l'Épître aux Épreuves.
On a vu cela dans Chapitre 1, Verset 9.
On est des associés au Fils de Dieu.
C'est le même mot dans l'original.
On est participants de l'appel céleste, Chapitre 3.
Et on a vu aussi au Chapitre 6, Verset 4,
cette pensée de la participation.
Juste une petite pensée ici, par rapport à cette participation.
Au premier chapitre, on est des associés qui ont une part avec le Fils.
Dans le chapitre 6, on participe, on a quelque chose en commun avec l'esprit.
Ici, on a une part dans la discipline. Pourquoi ?
Parce que le Père cherche quelque chose en nous.
Il cherche à nous former pour que nous soyons comme le Seigneur Jésus.
Ainsi, il y a donc une part par rapport au Père,
une part par rapport au Fils, une part par rapport au Saint-Esprit, Chapitre 6,
et maintenant une part par rapport au Père.
Participation, c'est un mot clé dans cette Épître.
Verset 9, de plus, nous avons eu les Pères de notre chair pour nous discipliner.
Maintenant, il prend l'exemple de cette relation dans la nature,
les Pères selon la chair, et nous les avons respectés.
Il amène maintenant le troisième point.
Le respect nous parle de la soumission.
Et ainsi dit, ne serons-nous pas beaucoup plutôt soumis aux Pères des esprits ?
Donc, la troisième chose par rapport à la discipline, c'est la question de la soumission.
Les Juifs se sont rebellés contre Dieu.
Et il y avait des Juifs, comme on l'a vu du chapitre 6,
qui n'ont pas vraiment accepté l'enseignement de cette Épître.
Ils étaient dans cette classe.
Ils n'étaient pas soumis aux Pères des esprits.
Mais il nous convient donc d'être soumis aux Pères des esprits.
Là, on va profiter de la discipline.
Au lieu de la mépriser, au lieu de perdre courage, on se soumet aux Pères des esprits.
C'est une belle expression.
Parce que le Père, je pense que c'est la seule fois que Dieu est mentionné comme Père dans l'Épître aux Hébreux.
Ça nous montre la grandeur du Père, du Dieu qu'on perd, le Père des esprits.
Ici, les esprits des croyants, évidemment.
Et ils nous forment pour être selon le modèle du Seigneur Jésus, le Fils de son Amour.
Et cette soumission qu'on voit avec le Seigneur Jésus,
la soumission et la bonne attitude que nous pouvons montrer pour profiter de cette discipline.
Et le résultat, nous vivrons.
Cela aura un effet bénéfique.
C'est la vie spirituelle, évidemment.
C'est la joie de la communion avec Dieu.
Donc, la bonne attitude, ça c'est le troisième point.
Et il aborde cet exemple encore au verset 10, car celui-là est discipliné pendant peu de jours.
Donc les parents, selon la chair, ont seulement un contrôle pour un certain temps.
Mais à l'école de Dieu, nous sommes tout le temps sous la discipline du Père.
Tout le temps.
Tout le temps.
Et on a vu l'esprit à une part, le Fils à une part, le Père à une part dans cette formation.
Ce n'est pas pendant peu de jours, mais c'est pour toute notre vie, jusqu'à l'enlèvement.
Une autre différence, selon qui le trouvait bon.
Ils l'ont discipliné comme ce qu'ils pensaient bon.
Peut-être qu'ils se sont trompés.
Non, on peut se tromper, même, ayant de bonnes intentions.
Est-ce que Dieu se trompe? Jamais.
Donc là, il y a un contraste, encore un autre contraste.
Le premier contraste avec les Pères, selon la chair, c'est peu de jours.
Avec Dieu, c'est toute notre vie.
Cette discipline, cette formation, cette éducation.
Et avec Dieu, c'est selon un standard élevé qui est toujours parfait.
Pas seulement selon nos idées, mais selon ces standards qui sont toujours bons.
Celui-ci nous discipline pour notre profit.
Et ainsi, ce sera toujours pour notre profit, parce que Dieu ne se trompe jamais.
Sa discipline est toujours pour notre profit.
La discipline des parents peut manquer.
Ça peut être, dans une circonstance, pas pour notre profit.
Mais avec Dieu, c'est toujours pour notre profit.
Le but de cela, afin que nous participions à sa sainteté.
Dieu cherche à avoir des fils.
On a vu, dans le chapitre 2, que le Seigneur Jésus amène beaucoup de fils à la gloire.
C'est pour, ainsi, jouir de la présence de Dieu.
Et ainsi, déjà maintenant, Dieu veut que nous puissions participer à sa sainteté.
C'est donc pour avoir cette communion.
Dieu nous a donné cette nouvelle nature.
Et ainsi, il nous éduque.
Il nous élève pratiquement pour pouvoir répondre à ces standards de sainteté.
Je pense que c'est la seule fois que ce mot est utilisé
qui souligne donc le caractère, la nature de Dieu.
Et nous, comme étant ses fils, il veut que nous puissions répondre à sa nature.
Et ainsi, il trouve sa joie en nous.
Comme il a trouvé sa joie dans le Seigneur Jésus, il aime trouver sa joie en nous.
Verset 11.
Or, aucune discipline pour le présent ne semble être un sujet de joie.
Mais de tristesse.
Mais plus tard, elle rend le fruit paisible de la justice à ceux qui sont exercés par elle.
Là, c'est le quatrième point.
Le résultat de cet exercice.
Le mot exercice implique cette formation.
C'est pour ça que j'ai dit qu'on est à l'école de Dieu.
De ce mot exercice vient notre mot gymnase.
On est au gymnase de Dieu.
Ici, ce n'est pas pour la pratique physique, mais c'est pour l'exercice spirituel.
Pour nous former à son école.
On est au gymnase de Dieu.
Et Dieu va avoir des résultats.
Il nous élève, on traverse ses classes, au gymnase de Dieu.
Et cet exercice va avoir de bons résultats.
Ici, le quatrième point, c'est un résultat.
On est exercé et le résultat est là.
C'est quoi le résultat?
Elle rend le fruit paisible de la justice à ceux qui sont exercés par elle.
C'est tellement beau.
Dans le psaume 85, on trouve que dans le millenium, la paix et la justice vont s'entrebaiser.
Il y aura donc une communion entre la justice et la paix.
Dans le millenium.
Mais pour le croyant, c'est déjà le cas maintenant.
Pas seulement, positionnellement, on sait positionnellement en Christ,
la paix et la justice sont maintenues,
parce que notre position en Christ est parfaite.
Donc la justice de Dieu a été parfaitement satisfaite et ainsi il peut y avoir la paix.
On trouve cela dans Romains, la paix avec Dieu,
à cause de cette justice que Dieu nous a donnée.
Il nous a justifié.
Mais ici, c'est un résultat d'une œuvre de Dieu en nous.
Pratiquement, ce résultat est là.
Ce fruit paisible de la justice met ces deux éléments ensemble, de la paix et de la justice.
Donc on comprend que c'est le résultat d'une œuvre de Dieu.
C'est comme le fruit de l'esprit, comme on voit dans Galatins.
C'est un travail de l'esprit.
Mais c'est aussi le fruit de la justice, parce que c'est le Père qui opère en nous,
et c'est le Fils qui opère en nous.
Ce fruit de justice, c'est le résultat d'une œuvre de Dieu.
On trouve cette expression par exemple dans Philippiens.
C'est vraiment beau de voir ça, Philippiens 1.
On trouve dans Philippiens 1, verset 6,
que celui qui a commencé en vous une bonne œuvre,
l'achèvera jusqu'au jour de Jésus-Christ.
Et ensuite, Philippiens 1, verset 11, verset 10,
pour que vous discerniez les choses excellentes,
afin que vous soyez purs et que vous ne bronchiez pas,
jusqu'au jour de Christ, verset 11, étant rempli du fruit de la justice.
C'est un résultat semblable.
Et ce résultat est par Jésus-Christ, à la gloire et à la louange de Dieu.
Donc là on voit que c'est par Jésus-Christ qu'il a commencé une œuvre,
qu'il va l'accomplir.
Ici dans l'Hébreu, l'emphase est sur Dieu le Père.
Au Père en nous, il va avoir ce résultat pour sa gloire.
Et ce que Dieu va voir dans le monde à venir, dans le millenium,
cette harmonie entre la justice et la paix,
cette harmonie, il voit maintenant déjà
comme le fruit paisible de la justice produit en nous.
Ça veut dire dans les croyants qui se sont soumis au Père des esprits
et qui sont exercés par ce travail.
Au verset 12, on commence donc cette parenthèse
où Paul applique maintenant l'enseignement aux croyants.
Si on est exercé, ça va se manifester dans ces sept points.
Il y a sept points.
C'est pourquoi redresser les mains lassées et les genoux défaillants.
Il veut nous mettre sur le bon chemin
et il veut nous fortifier pour que nous puissions aller dans la bonne direction.
Et redresser, au lieu que nos mains soient tout faibles,
il veut que nous puissions utiliser nos mains,
le travail, et aussi nos genoux qui nous rappellent la prière.
Au lieu d'avoir des genoux paralysés, défaillants,
il veut que nous puissions utiliser nos genoux pour être des héros de prière,
pour être des combattants comme nous avons vu.
Et ainsi, nos actions, les mains, vont ensemble avec nos prières.
Et les mains, au lieu d'être lassées, sont redressées.
Les genoux, au lieu d'être paralysés, sont maintenant fortifiés.
Le deuxième point, faites des sentiers droits à vos pieds.
Ainsi, notre marche est soulignée.
On va dans la bonne direction.
Un chemin droit.
On pense à cet homme paralytique, en acte 14,
que Paul a guéri, et puis c'était pour qu'il puisse aller ce droit chemin.
Et ainsi, nous avons tous besoin de cette force que Dieu nous donne
pour aller un sentier droit pour nos pieds.
Ce serait tout un sujet à étudier.
Dieu a toujours un sentier droit pour le croyant.
Un sentier droit.
C'est un très beau sujet, mais je ne peux pas l'élaborer maintenant.
Afin que ce qui est voiteux ne se dévoie pas.
Au lieu de perdre le trac, la bonne direction,
il se dévoie, il se dévoie.
Il veut que nous puissions aller tout droit.
Au lieu d'écarter, on va tout droit.
C'est ça la pensée.
Et au lieu d'être défaillant, guéri.
Donc c'est les provisions que Dieu donne pour que nous puissions aller dans la bonne direction
et faire le bon travail.
Le troisième point, au verset 14, poursuivre la paix avec tous.
Poursuivre, c'est le même verbe qu'on trouve avec persécuter.
Quand Paul a persécuté les croyants, c'est le même verbe dans l'original.
Ça veut dire un exercice très, très fort pour poursuivre la paix.
Ici, c'est la paix avec tous.
D'abord les croyants, évidemment.
Que nous puissions être caractérisés par le Seigneur Jésus, le prince de paix.
On trouve le seigneur de paix souvent.
Et ainsi, il veut que cela se manifeste en nous.
Comme la sagesse d'en haut est marquée par cette paix.
Là, le fruit de la justice est marqué aussi par la paix.
C'est un autre exemple. Dans Jacques 3, verset 17, on trouve la sagesse d'en haut.
Et dans chapitre 3, verset 18, il dit que nous pouvons maintenant travailler ainsi.
Le verset m'échoque. Je vais juste le lire.
Or, le fruit de la justice dans la paix, c'est simple pour ceux qui procurent la paix.
Vous voyez, c'est vraiment une pensée semblable à ce qu'on a ici dans Hébreu 12, avec la justice pratique.
Le fruit de l'enseignement de l'esprit, le fruit de l'enseignement de Christ, qui est la sagesse d'en haut,
il y a maintenant un résultat pour Dieu dans notre marche, et ainsi des fruits pour Lui.
Verset 14, poursuivez la paix avec tous.
Quatrième point, la sainteté.
Si c'est donc la sainteté pratique,
on lit dans 1 Chrétien 7 que même dans un couple où un partenaire a été sauvé,
l'autre partenaire est sanctifié, mis à part.
Ce n'est pas cette sainteté, évidemment.
Lorsqu'on parle d'un autre aspect de la sainteté que nous avons positionnellement,
on a vu cela dans Hébreu 10, sur la base de l'œuvre de Christ,
nous avons une position de sainteté devant Dieu, qui est parfaite.
Il ne parle pas de cela non plus.
Ou si on pense à notre futur, lorsque nous serons dans la gloire, dans une sainteté parfaite.
Il ne parle pas de cela non plus.
Il parle maintenant d'une sainteté pratique qui est un processus continuel.
La sainteté, c'est ici un processus, mais aussi une pratique, une pratique de sainteté,
sans laquelle nul ne verra le Seigneur.
Tantôt, on a vu, nous avons fixé nos yeux sur Jésus, le chef, le consommateur de la croix,
nous considérons celui qui a enduré une telle contradiction,
et maintenant nous voyons le Seigneur.
Mais comment s'il y a un élément d'impureté en nous ?
On ne peut pas voir le Seigneur pratiquement.
Le Seigneur l'explique dans Matthieu 5.
Il dit, bienheureux, ceux qui sont purs de corps, parce qu'ils verront Dieu.
Donc cette pureté, ensemble avec cette sainteté pratique,
qui est le résultat de cette œuvre de Dieu qu'on a vue tantôt, le fruit de l'esprit.
Cette sainteté pratique, sans laquelle nul ne verra le Seigneur.
Mais maintenant, en étant soumis à ce travail de Dieu, il y aura cette sainteté pratique,
et là nous voyons le Seigneur, on a la communion avec lui.
Le danger, verset 15, payant de peur que quelqu'un ne manque de grâce.
Ça c'est le cinquième point.
Il ne faut pas manquer de grâce de Dieu.
Et là, le mot manquer veut dire demeurer en arrière.
Si un croyant dit, ok, moi j'ai fait un effort, ça suffit maintenant,
je vais m'asseoir et les autres vont continuer.
Non, là, on est en danger de demeurer en arrière.
On est dans une course, on a vu cela.
La course de la foi, il faut continuer, au lieu de demeurer en arrière.
Et ici, ce danger est par rapport à la grâce de Dieu.
Quelqu'un qui veut retourner dans un système judaïque, dans un système religieux de l'homme,
il manque de grâce.
C'est donc un grand danger, ça c'est le cinquième point,
et qui fait partie de cette parenthèse d'exhortation.
J'aime beaucoup l'expression la grâce de Dieu.
C'est la grâce de Dieu.
Et ce serait tout un sujet aussi à utiliser, la grâce de Dieu,
qu'on trouve dans les actes par exemple,
comment les apôtres ont encouragé les croyants de rester dans la grâce de Dieu.
Je serais tenté d'apporter tout ce passage, mais je pense au Seigneur Jésus, Luc 2.
Le Seigneur Jésus était marqué par la grâce de Dieu, Luc 2, verset 41.
Et ainsi, les premiers croyants étaient marqués par cette grâce de Dieu.
Et cette expression revient souvent dans les actes.
Notre position est une position selon la grâce de Dieu, pas selon un système religieux.
Et ainsi, nous avons besoin de la grâce aussi dans nos interactions.
Au lieu de former un système religieux, le danger est toujours là,
parce que la chair est toujours à nous,
il faut que nous soyons marqués par la grâce de Dieu.
Si ce n'est pas le cas, si on ne donne pas toute la place à la grâce de Dieu,
il y a un danger, un autre danger, pas seulement de rester en arrière,
mais que quelques racines d'amertume vont bourgeonner en haut.
Dans l'Ancien Testament, où cette expression est utilisée la première fois,
c'est dans Deuteronome, dans le message de Moïse au peuple,
et là c'est le danger de l'idolâtrie, qui va causer une racine d'amertume.
Ici, dans le contexte de l'Épître aux Hébreux,
c'est le danger d'un système légaliste, d'un système religieux de l'homme, judaïque,
qui va causer de l'amertume.
Donc, dans les deux cas, il y a le danger,
si on s'expose à ces imprimantes de l'idolâtrie ou d'un système judaïque,
là il y aura donc de l'amertume.
Et c'est très pratique, il y a des croyants qui se placent dans un système très légaliste, sectaire,
et là on voit facilement une racine d'amertume,
et qui va troubler tout le monde.
C'est ça que le verset dit, et que pas plusieurs ne soient souillés.
Je pense que vous avez pratiquement vu cette expérience aussi.
C'est une expérience qui arrive facilement,
et le Seigneur veut nous protéger contre ces choses.
Le sixième point, c'est le verset 16, de peur qu'il y ait quelques fornicateurs.
Si on continue sur un tel chemin, il y aura donc la fornication.
Ici c'est spirituel évidemment, un lien avec le monde, même avec le monde religieux.
C'est la fornication selon les pensées du Dieu.
Et le Seigneur ne veut pas qu'on soit coupable d'une fornication spirituelle.
Et l'apostasie, dans le contexte de l'étude aux Hébreux, le danger était retombé dans le judaïsme.
C'est l'apostasie.
Et cette fornication est donc ce chemin qui mène à l'apostasie.
Le septième point, ou profane, ça veut dire profane, aucun lien avec Dieu.
Aucun intérêt pour les choses de Dieu.
Isaïe n'a pas regardé son droit de féminité, c'est quelque chose que Dieu avait donné,
Dieu avait institué cela, et ainsi les croyants hébreux avaient le droit d'aimer.
On voit cela un peu plus loin au verset 23.
L'assemblée des premiers-nés.
On va revenir à ça la semaine prochaine.
Mais les premiers-nés ont un droit de premier-né.
Mais Isaïe ne connaissait pas ça.
Il était le premier-né, mais il n'était pas intéressé aux pensées du Dieu.
Pour nous, le danger est donc qu'on n'a pas assez d'intérêt pour les pensées du Dieu.
Mais si nous voyons le Seigneur Jésus, le premier-né,
nous aurons de l'intérêt pour la part des premiers-nés.
Et on ne tombera pas dans ce piège-là.
Et qu'est-ce qu'on voit avec Isaïe, qui a rejeté les pensées du Dieu,
qui a maîtrisé les pensées du Dieu,
plus tard, il voulait hériter la bénédiction,
mais c'était trop tard, il s'était enduxé.
Et c'est ça qu'on voit avec les hébreux.
S'ils restaient là, à Jérusalem,
à un moment donné, ce serait trop tard,
ils seraient pris dans la destruction du temple et dans la destruction de la ville.
On a vu déjà dans le passé,
la mort physique ne veut pas dire automatiquement qu'on perd le salut.
Mais la mort physique serait la conséquence des voies de Dieu avec eux en discipline.
Ça peut arriver, on voit cela aussi dans 1 Corinthiens 11.
Si quelqu'un s'endurcit, il ne se corrige pas, il ne se repent pas.
Là, il y a donc, dans les voies de Dieu, même la mort physique.
Ça ne veut pas dire perdre le salut.
Ça, ce n'est pas du tout le cas.
Mais il voulait hériter la bénédiction, il fut rejeté,
car il ne trouva pas lieu à la repentance.
Il n'avait jamais connu la repentance.
Et maintenant, c'était trop tard.
Là, il y a aussi une leçon pour nous.
Les croyants doivent être marqués par la repentance.
Ce serait un autre montré dans ce passage, la repentance.
On voit avec Esaü qu'il était rejeté, il était désapprouvé.
C'est ça que le mot veut dire.
Il ne pouvait pas passer les tests.
Il ne pouvait pas entrer à l'école de Dieu.
Il n'était pas qualifié.
Il était désapprouvé.
Car, pourquoi ?
Car il ne trouva pas Dieu à la repentance.
Donc la repentance est une clé importante.
Par la repentance, on entre dans la présence de Dieu.
Seulement le Seigneur Jésus n'avait pas besoin de repentance.
On a vu qu'il n'avait pas besoin de discipline.
Il n'avait pas besoin de repentance dans ce sens-là.
Nous, on a besoin de la repentance.
Et ce serait un autre sujet clé dans le Nouveau Testament.
Pour que nous puissions être en communion avec Dieu.
Cette repentance est vraiment importante.
Il y a des croyants qui pensent qu'un croyant n'a pas besoin de repentance.
On a besoin de la repentance pour être sauvé.
Puis ça finit.
Non.
Comme croyant, on a souvent besoin de la repentance.
Pour être restauré, pour être gardé aussi dans le bon chemin.
Ici, avec Esaü, il n'y avait pas de repentance.
Il ne cherchait pas de la repentance non plus.
Ce qu'il cherchait, c'était la bénédiction.
Et sans la repentance, il ne pouvait pas avoir la bénédiction.
Malgré le fait que tu cherchais la bénédiction avec l'arme,
on peut être trompé par les larmes.
Ça peut être une bonne façade.
Et ainsi, la prochaine fois, on va voir d'autres choses
qui vont ensemble avec la bonne part que Dieu nous donne.
On est à l'écho de Dieu et il nous introduit dans ce contexte de bénédiction.
Et là, on verra 7 ou 8 points par rapport à cette nouvelle position que Dieu nous a donnée.
Juste un point général.
On a vu déjà les bénédictions du Mélanium.
Dieu veut qu'on les jouisse déjà spirituellement, comme la paix et la justice.
Et ainsi, on verra aussi dans le passage suivant,
des bénédictions qui seront vues dans le Mélanium publiquement.
Dieu nous les donne déjà maintenant.
Ça, c'est vraiment un secret de l'Épître aux Hébreux.
Il nous parle beaucoup du monde à venir avec toutes ces bénédictions.
Et maintenant, spirituellement, ces bénédictions sont déjà à notre part.
Si nous voulons prendre ces leçons à l'école de Dieu, comme nous l'avons vu,
au lieu de mépriser la discipline ou perdre le courage,
si nous sommes soumis et nous sommes exercés,
là, on va aussi jouir de toutes ces bénédictions que Dieu a pour nous.
Et je répète, c'est les bénédictions qu'on trouve dans le monde à venir.
Et c'est encore distingué de toutes les bénédictions que nous avons par rapport à notre position,
comme Ephésien nous le montre.
Donc, l'Hébreu est vraiment très spécial à cet égard,
qui nous présente les bénédictions du monde à venir, déjà, maintenant, aux croyants.
Est-ce qu'il y a encore une question ou un point à discuter ? …
Transcripción automática:
…
Hebreu 12, on va lire le verset 18.
Car vous n'êtes pas venus à la montagne qui fait être touchée,
ni au feu brillant, ni à l'obscurité, ni au ténèbre, ni à la tempête,
ni au son de la trompette, ni à la voix des paroles.
Voix telles que ceux qui l'entendaient prièrent que la parole ne leur fut plus agressée.
Car ils ne pouvaient supporter ce qui était enjoint.
Si même une bête touche la montagne, elle sera lapidée.
Et Moïse, si terrible était ce qui paraissait, dit,
Je suis épouvanté et tout tremblant.
Mais vous, vous êtes venus à la montagne du silence
et à la cité du Dieu vivant, la Jérusalem.
Et à des myriades dans l'assemblée universelle
et à l'assemblée des premiers noms écrits dans les cieux.
Et à Dieu, juge de tous, et aux esprits des justes consommés.
Et à Jésus, médiateur du Nouvel Alliance,
et aux saints d'aspiration qui parlent mieux qu'avec.
Prenez garde que vous ne refugiez pas celui qui parle.
Car si ceux-là n'ont pas échappé,
qui refusèrent celui qui parlait anorak sur la terre,
combien moins échappons-nous
si nous nous détournons de celui qui parle ainsi des cieux,
de quelle la voie ébranla alors la terre.
Mais maintenant, il a promis, disant,
encore une fois, je secourrai non seulement la terre,
mais aussi le ciel.
Or, ce « encore une fois » indique le changement des choses nuables,
comme ayant été fait, afin que celles qui sont immuables demeurent.
C'est pourquoi, recevant un royaume inébranlable,
retenons la grâce par laquelle nous servions Dieu
d'une manière qui lui soit agréable,
avec révérence et avec crainte.
Car aussi notre Dieu est un feu conçu.
Ce qui signifie la parole, la lecture de la parole.
Une expression dans le cantique masrapé du souverain pasteur
« Goûtons la grâce immense ».
Cette épître est une épître qui nous présente cette grâce immense.
Le mot « grâce » revient huit fois dans cette épître
et ça souligne le nouvel ordre que Dieu a introduit.
C'est aussi une épître d'encouragement,
d'exhortation, on verra dans l'épître 13,
mais d'encouragement.
Dieu sait comment encourager.
Dieu est le Dieu d'encouragement.
On le sait dans Deux Chrétiens 1 verset 3.
Il est le Père de miséricorde et le Dieu de toute consolation.
Le mot « consolation » veut dire aussi « encouragement ».
Dieu est le Dieu de tout encouragement.
Et ainsi, cette épître d'encouragement nous présente une personne.
Dieu nous encourage en nous présentant la personne du Seigneur Jésus,
sa perfection, comment il est suprême comparé avec toute autre personne.
On a vu cela dans cette épître.
Comment son œuvre est suprême et merveilleuse et efficace.
On a vu cela dans sa épître 9 et 10.
Et ensuite, on a commencé à voir comment le Seigneur Jésus,
présentement, est notre grand conducteur
sur la base du fait qu'il est la personne la plus grande,
qu'il a accompli une œuvre merveilleuse, l'œuvre la plus grande.
Il est maintenant aussi le plus grand conducteur.
Et cela a trois égards.
Nous avons vu au chapitre 10, il nous introduit dans le ciel.
Déjà maintenant, par la foi, nous avons un accès direct pour être dans la présence de Dieu.
Et c'est par le Seigneur Jésus, ce grand conducteur,
que nous pouvons entrer dans la présence immédiate de Dieu.
On a vu cela dans l'épître 10.
Ensuite, nous avons vu que pour cela, on a besoin de la foi,
pour entrer dans le Dieu Saint, on a besoin de la foi.
Mais on a aussi besoin de la foi pour continuer notre marche ici sur la terre,
comme un peuple qui sert Dieu.
Et là, on a aussi le Seigneur Jésus comme ce grand conducteur qui nous conduit.
Mais là, on a besoin aussi de la foi.
La foi, on l'a vu ensemble avec la patience, l'endurance.
Et on a vu plusieurs qualités de cette foi dans Hébreu 11 spécialement.
On a vu qu'on vit par la foi, on a vu les principes de base de la foi,
quatre principes de base au début de chapitre 11.
On a vu la persévérance de la foi avec Abraham et les Patriarches.
On a vu aussi l'énergie de la foi avec Moïse et ceux de sa génération
qui sont entrés dans le pays promis.
Et nous avons vu notre Seigneur Jésus comme conducteur,
le chef et le consommateur de la foi.
Le mot chef inclut aussi la pensée qu'il est conducteur.
Donc le Seigneur Jésus est notre modèle parfait par rapport à la foi.
Il est venu pour courir cette course de la foi.
Il l'a accompli, on a vu cela.
Il est maintenant dans la gloire, assis à la droite du trône de Dieu.
Il est déjà là.
Nous sommes encore au-dessus.
Il va faire sûr que nous arrivons là aussi.
Il est notre grand conducteur qui va nous amener là,
où il est maintenant dans la gloire.
Mais pour cela, il va aussi permettre des épreuves.
Et la dernière fois, on a vu que la foi est mise à l'épreuve.
C'est le test de la foi.
La foi est mise à l'épreuve.
Et là, on a vu la discipline de la foi.
Dieu nous discipline, c'est toujours un but positif,
pour nous rendre conformes à l'image du Seigneur Jésus, pratiquement.
Pour nous rendre plus forts comme croyants.
Est-ce qu'on a besoin de ces instructions?
Parce que le mot discipline veut vraiment dire instruction.
Une instruction qui vient de Dieu.
Dieu est ici le grand instructeur qui nous enseigne.
Et là, on a vu donc les principes de la discipline.
On a vu que Dieu veut nous avoir comme des fils.
Le Seigneur Jésus est présenté dans cet Épître comme le fils.
Toute l'enfance est sur lui dans cet Épître.
Mais il est vrai aussi que Dieu veut avoir des fils en forme de disciples.
Lui, le premier-né d'entre beaucoup de frères.
Lui, il n'avait jamais besoin de la discipline.
Nous, nous avons besoin de la discipline.
Nous avons vu cela, et que Dieu nous aime.
Nous sommes donc à l'école de Dieu.
C'est Dieu qui nous enseigne, qui nous forme, qui nous discipline,
qui nous reprend, même si c'est nécessaire, nous poète.
Et là, on a vu, juste rappeler, quatre attitudes différentes.
On peut avoir une attitude au verset 5, qu'on méprise la discipline.
C'est une bonne attitude ?
Mépriser la discipline ?
C'est un très bon.
Ou, on peut perdre courage par la discipline.
Ce n'est pas le but non plus.
Dieu veut nous encourager.
Il envoie cette discipline pour nous former, pour nous rendre plus forts.
Donc il ne faut pas perdre courage.
La troisième attitude que nous avons vue, c'est une bonne attitude au verset 9.
C'est qu'à la fin du verset 9, ne serons-nous pas, beaucoup plus tôt, soumis aux pertes de la discipline.
Dieu cherche cette attitude de soumission.
Et ainsi, nous allons vivre, vivre veut dire ici, dans la communion avec Dieu.
En acceptant cette discipline, nous aurons la communion avec Dieu.
Et la quatrième attitude, qui est le résultat de la troisième, est au verset 11, à la fin.
La bonne attitude est qu'on est soumis et qu'on est exercé, exercé par cette discipline.
Et cet exercice, c'est donc un exercice de la foi, va produire quelque chose.
Elle va produire le fruit paisible de la justice.
A la fin du verset 11, on a vu ça.
C'est quatre attitudes.
Donc que le Seigneur nous aide à développer cette bonne attitude.
A mépriser, être écrasé, mais être soumis et être exercé pour ensuite produire ce fruit paisible.
C'est donc aussi quelque chose de la foi.
C'est pour cela que je souligne cela encore.
Parce que, on voit maintenant au verset 12, que l'auteur s'intrompt encore dans son enseignement.
Il a parlé donc beaucoup de la foi.
Et maintenant il arrête au verset 12.
Et il donne un encouragement, mais aussi un avertissement.
Le verset qu'on a lu ce soir au verset.
25.
Prenez garde.
C'est un avertissement.
Et ainsi, en ayant parlé de la nécessité de la foi, des qualités de la foi,
il a parlé aussi de la discipline par rapport à la foi.
Et puis là, j'aimerais encore résumer un peu ce qu'on a vu depuis le verset 12 au verset 17,
pour ensuite voir le lien avec le passage que nous avons lu ce soir.
Dans le verset 12 au verset 17, c'est la première partie de cette parenthèse.
Vous vous rappelez, on a cinq parenthèses dans cet épisode.
Dans une parenthèse, l'auteur arrête son discours.
Il applique l'enseignement aux auditeurs.
C'est comme quelqu'un qui présente un message.
Il arrête et puis fait l'application pratique maintenant.
C'était chapitre 2, chapitre 3 et 4, chapitre 6, chapitre 10, et maintenant au chapitre 12.
Chapitre 12, c'est la parenthèse la plus longue qu'on peut diviser en trois parties.
D'abord, la poursuite de la sainteté, verset 12 à 17.
Je vais résumer ces points.
Ensuite, le passage que nous avons lu ce soir, comment nous sommes venus aux meilleures choses.
La foi nous introduit à un nouvel ordre de choses qui sont de meilleures choses.
Et on verra, Dieu voulant, la prochaine fois, chapitre 13, le début, le restant de cette parenthèse, une marche de pureté.
Et l'enseignement va continuer au verset 8, ou verset 7 peut-être, ça dépend comment on divise.
Mais 7 ou 8, l'enseignement va continuer.
Donc il s'intromet maintenant au verset 12, ayant conclu donc l'exercice de la foi.
Et il va continuer au chapitre 13, verset 8.
Jésus-Christ est le même, il est l'objet de la foi, hier, aujourd'hui et éternellement.
Là, il va continuer son enseignement.
Et maintenant, il s'intromet pour faire les applications.
Donc d'abord, la question de la sainteté.
Dieu est un Dieu saint.
Et l'hébreu met beaucoup d'emphase sur la sainteté.
Comme l'épître romain met beaucoup d'emphase sur la justice du Dieu.
Ce n'est pas des contradictions, mais c'est une différence en emphase.
L'emphase est sur la sainteté du Dieu.
Et la foi va respecter la sainteté du Dieu, va être exercée, comme nous l'avons vu.
Là, il y avait sept dangers qui sont adressés.
Je les répète encore brièvement, les sept dangers.
Le premier danger était la faiblesse, qu'on laisse aller au verset 12.
Mains lassées, genoux détaillants.
Deuxième problème, c'est des sentiers qui ne sont pas droits.
Troisième problème, même une déviation, un manque de direction à la fin du verset 13.
Verset 14, nous voyons aussi un manque de paix.
Donc il faut poursuivre la paix.
Manque de sainteté pratique au verset 14.
Mais surtout au verset 15, manque de grâce.
Et ce manque de grâce va avoir des conséquences graves.
Ça va produire une racine d'amertume.
C'est pour ça que j'ai dit que cette écriture souligne beaucoup la grâce, vive foi.
La grâce est la caractéristique de ce nouvel ordre de choses que Dieu a introduit.
Et si nous ne sommes pas pratiquement en accord avec cette grâce, il va y avoir de l'amertume.
Et cette amertume va produire du fruit, va troubler.
Au lieu d'avoir la paix, va troubler, va souiller.
Et là, cette amertume va aussi introduire d'autres problèmes, comme la fornication.
Ici, l'emphase est sur le lien spirituel avec le monde.
Mais ça peut impliquer aussi le côté physique.
Et ça va ensemble avec Esaü, qui est appelé profane.
C'est donc un autre problème.
Quelqu'un qui n'a aucun intérêt pour les choses du Dieu.
Qui extérieurement a un lien avec le peuple du Dieu, comme Esaü.
Mais dans son cœur, il n'a aucun intérêt pour les choses du Dieu.
C'est grave ça.
Et on a vu que c'était le cas avec les juifs dans ce temps là, malheureusement,
qui représentent cette pensée extérieurement d'une belle religion.
Mais dans le temps où le Seigneur Jésus était sur la terre, les parisiens, c'était des formes religieuses.
Mais il était comme Esaü.
Il n'avait aucune communion avec Dieu.
Ils ne cherchaient pas du tout les intérêts de Dieu.
Ils cherchaient leurs propres intérêts.
Juste comme Esaü.
Et ainsi, ils ont rejeté les pensées du Dieu.
Comme Esaü, comme ces parisiens l'ont fait.
Et ça est un danger pour nous aussi.
Ce qui est arrivé à Esaü, ce qui est arrivé aux parisiens, aux palestiniens, ça peut nous arriver aussi.
Nous ne sommes pas meilleurs.
Et ainsi, nous avons donc besoin d'écouter ces exhortations.
Les exhortations vont remédier les problèmes.
Les exhortations sont aussi sept en nombre.
Redresser.
Faites des sentiers droits.
Deuxièmement, verset 13.
Ensuite, poursuivez la paix. Verset 14.
Quatrièmement, poursuivez la sainteté.
Cinquièmement, il ne faut pas manquer la grâce.
C'est donc des exhortations, des encouragements.
Et ensuite, il y a une exhortation aussi, qu'il n'y ait pas de fornication.
Peur, comme Esaü, et aucun profane.
Mais ils donnent les remèdes pour cela.
Par la grâce, par la foi, ils donnent les remèdes nécessaires.
Et cela introduit maintenant ce passage concernant ces deux systèmes.
Donc ce que l'auteur fait ici, il place les deux systèmes,
l'un représenté ici par Esaü par exemple,
l'autre représenté par la foi,
l'un opposé à l'autre.
Il montre d'abord que ce système a été introduit par Dieu lui-même,
mais que Dieu a maintenant introduit quelque chose de nouveau, qui est différent.
C'est le même Dieu.
Parce que le verset 29 va conclure cela.
Car aussi notre Dieu est un fréquence humaine.
Le Dieu qui a parlé dans le temps de Moïse,
est le même Dieu qui nous parle aujourd'hui.
C'est le même Dieu.
Mais ces méthodes ont changé.
Le système qu'il a introduit a changé.
Là, dans le temps de Moïse, il a introduit un système qui était marqué par sept points.
Juste brèvement.
Une montagne qui ne peut être touchée.
C'est en contraste avec la montagne ici.
On va voir de grands contrastes entre ces deux systèmes.
Le premier point, une montagne qui ne peut être touchée.
Deuxièmement, un feu brûlant.
Pour plus de détails, vous pourriez lire Exodes 19 et 20,
et aussi 2, 3, 4 et d'autres passages dans l'Ancien Testament,
qui donnent plus de détails.
Le deuxième point, un feu brûlant.
Comme la note dit qu'il était tout en feu.
Comme si la montagne était en feu.
C'est épouvantable.
Une vue épouvantable.
Encore pire que ce qu'on a vu la semaine passée avec les deux tours de Manhattan.
A l'obscurité.
Troisième point.
C'est aussi en même temps la façon dans laquelle Dieu s'est révélé dans l'obscurité.
Même Salomon a parlé de cela lorsqu'il a inauguré le Temple.
Il a dit que Dieu habite dans l'obscurité.
C'était une façon dans laquelle la gloire de Dieu s'est manifestée.
Dans l'obscurité.
Quel contraste avec la grâce.
Au ténèbre, quatrième point.
La tempête.
C'est comme un tourbillon.
Une tempête terrible.
Cinquième.
Au son de la trempette.
Et septièmement, la voix de parole.
Il y a sept points qui représentent ce système que Dieu a introduit par rapport à la loi.
Par rapport à la première création.
Et là, c'était tellement terrible que Moïse a demandé au verset.
Il l'a dit au verset 20.
Car il ne pouvait supporter ce qui était enjoint.
Et ensuite, au verset 21.
Moïse a été deux fois tout tremblant.
La première fois, lorsqu'il a vu la gloire de Dieu.
Dans l'exode 3.
Ce n'est pas mentionné là le mot tremblant.
Mais c'est mentionné dans l'acte 7.
Dans le discours d'Étienne.
Il réfère au fait que Moïse était tout tremblant.
Lorsqu'il a vu Dieu dans sa gloire.
Dans cet arbuste.
Mais ici, la deuxième fois, il est tout tremblant.
Parce qu'il voit cette grandeur de Dieu.
Sur la montagne de Sinaï.
Quel contraste maintenant.
Je vais juste mentionner quelques points.
Le contraste entre Sinaï.
Cette montagne qui ne pouvait pas être touchée.
Et la montagne de Sion.
Qu'on voit au verset 22.
Des contrastes énormes.
Même si on considère cela par rapport à l'histoire d'Israël.
Parce qu'Israël va arriver à cette montagne de Sion.
Dans les jours à venir.
Mais la montagne de Sion parle de ce que Dieu fait en grâce souveraine.
Lorsque le peuple avait tout manqué.
Totalement manqué.
Sous le roi Saul.
Il introduit maintenant un nouvel ordre de choses.
Par rapport à David.
Le roi selon le cœur de Dieu.
Et là on voit la grâce souveraine de Dieu.
Mais c'est un exemple de ce que nous avons maintenant.
Nous sommes sous la grâce souveraine de Dieu.
On pourrait lire Ephésiens 2.
Il y a beaucoup d'autres passages qui confirment cela.
Donc peut-être que je peux le résumer ainsi.
Ce que l'on voit aussi dans ce passage.
Qu'on va voir tantôt.
La citation d'Hagée.
Il y a donc des éléments historiques.
Qu'on peut considérer.
Et ces éléments ont aussi une signification prophétique.
Pour les jours à venir.
Lorsqu'Israël sera introduit dans le millenium.
Dans la bénédiction selon la grâce souveraine de Dieu.
Mais ce que cet épître veut dire maintenant.
Nous sommes déjà venus là.
Donc ce qui est futur prophétiquement pour le peuple d'Israël comme nation.
Qui vont aussi avoir leur montagne de Sion.
Nous sommes déjà venus là.
Et les bénédictions du millenium.
Que Israël va avoir dans le millenium.
Nous avons déjà ces bénédictions d'une façon spirituelle.
Déjà maintenant.
C'est un peu la thèse.
Donc juste pour mentionner quelques contrastes.
Sinaï.
Un contraste avec Sion.
La loi qui était donnée à Sinaï.
Un contraste avec la grâce qui est mentionnée.
La grâce qui est mentionnée huit fois dans l'Hebreu.
Ensuite on peut dire aussi ce qui était Dieu.
On a vu cela dans le chapitre 8 par exemple.
Hebreu 8 à 10.
Puis verset 13.
Lorsque Dieu a introduit cette nouvelle alliance.
Il a rendu ancienne la première.
Vous voyez le contraste entre la première qui est devenue ancienne.
Et la nouvelle alliance.
Et la conclusion à la fin du verset 13 du chapitre 8.
Or ce qui devient ancien et qui vieillit est près de disparaître.
Donc l'ordre Dieu va disparaître.
Mais à ce moment-là, lorsque cet épître était écrit.
Les deux étaient ensemble.
Le vieil ordre était là à Jérusalem.
Avec le temple qui était encore sous l'influence de Sinaï.
Et le nouvel ordre était là par rapport à Christ.
Donc ainsi ce qui est vieux en contraste avec ce qui est nouveau.
Et on revient à cela aussi un peu plus loin par rapport à cette expression d'une nouvelle alliance.
Un peu plus loin dans ce chapitre.
Ensuite on peut dire aussi le jugement en contraste avec la délivrance.
Dieu a délivré les juifs croyants à ce moment-là de ce système.
Dieu veut délivrer les croyants aujourd'hui d'un tel système épouvantable.
Et on peut dire aussi qu'il y a un contraste entre l'épouvante, comme même Moïse était épouvanté.
Et la paix que les croyants ont déjà maintenant avec Dieu.
Et j'espère que chacun ici connaît et jouit de cette paix avec Dieu.
C'est un grand privilège.
Donc je voulais mentionner maintenant, j'ai mentionné quelques contrastes.
Je voulais mentionner maintenant, selon les versets qui sont devant nous,
huit points par rapport à ce nouvel ordre de choses.
Le nombre huit, dans la Bible, représente un nouvel ordre de choses.
Et c'est exprimé par le fait que nous sommes venus à, nous sommes venus à la montagne de Sion.
Donc la montagne de Sion représente cette grâce souveraine de Dieu.
Et comme Dieu va manifester cette grâce publiquement dans le monde à venir,
nous sommes venus déjà à cette montagne, un nouveau système de grâce, de la grâce souveraine de Dieu.
Et on a vu aussi que, par rapport à ce nouveau système, on a vu le Melchisedec,
qui représente une royauté de notre ordre.
Il était sacrificateur de notre ordre.
On a vu cela introduit l'adoration, selon un nouvel ordre.
On a vu cela dans l'Apitre 10.
Et ainsi, le mot Sion représente donc cette nouvelle ordre de choses.
Ça m'a frappé de voir que le nom Sion revient sept fois dans le Testament.
La deuxième chose qu'on voit avec ce système, il est dit à la cité du Dieu vivant.
A la cité du Dieu vivant.
Et ça c'est beau de remarquer, on voit juste quelques versets, parce que c'est vraiment encourageant.
On a vu dans Hébreu 11, par rapport à la cité, pour la foi, il y a une cité.
Et Abraham a découvert cela.
Hébreu 11, verset 10.
Car il attendait la cité qui a les fondements.
Là on a vu, c'était en contraste avec Babel de ce temps-là.
Babel qui était basé sur d'autres principes, qui n'avaient pas ces fondements.
Qui n'avaient pas Dieu comme architecte.
Donc là, Abraham par la foi a vu cette cité, et maintenant il attendait la cité qui a les fondements de laquelle Dieu est l'architecte et le créateur.
Ici, on a donc une nouvelle référence.
Ah oui, encore 11, verset 16.
Hébreu 11, verset 16.
Ces croyants, ces patriarches auraient pu retourner à leur ville d'origine.
Ils ne l'ont pas fait.
Verset 16 dit, mais maintenant ils en désirent une meilleure patrie, c'est-à-dire une célèbre.
C'est pourquoi Dieu n'a point honte d'eux, d'avoir d'être appelé leur Dieu, car il leur a préparé une cité.
Donc, il attendait cette cité par la foi, mais c'est aussi vrai que Dieu leur, à tous ses croyants, a préparé une cité.
Si c'était le cas pour les croyants de l'Ancien Testament, c'est aussi le cas pour nous.
Parce qu'on a vu à la fin du chapitre 11, que les croyants de l'Ancien Testament n'atteindront pas la perfection sans nous.
Donc, nous aurons aussi une part dans cette cité célèbre.
Maintenant, au chapitre 12, verset 22, nous avons donc cette cité du Dieu vivant qui s'avance ensemble avec la cité célèbre.
Et nous sommes venus là déjà.
Ce que Abraham attendait, nous sommes venus là. Vous voyez la différence?
Par la foi, nous sommes venus là.
Parce que l'œuvre a été accomplie et Dieu nous a introduits dans ce nouvel ordre de choses.
A cause du fait que Christ a introduit ce nouvel ordre de choses par sa résurrection, par le fait qu'il est maintenant monté dans le ciel.
Nous sommes introduits dans ce nouvel ordre de choses et ainsi nous sommes venus à la cité du Dieu vivant.
Il est vrai aussi lorsqu'on compare cela avec le chapitre 13, verset 14, lorsqu'on verra à ce moment-là Christ comme le conducteur pour nous conduire en dehors du temps.
C'est le reprise verset 14 quand nous n'avons pas ici de cité permanente, mais nous recherchons cet avenir.
Ce n'est pas en conflit avec 12, verset 22, que nous sommes venus à la cité du Dieu vivant.
Parce que là c'est par la foi une réalité.
Tandis que dans le chapitre 13 nous nous voyons sur la terre et là c'est encore quelque chose à venir.
Nous sommes en dehors du temps et nous recherchons ce qui est à venir.
C'est l'exercice de la foi pour être identifié avec cette cité qui va venir.
Qui va être manifestée publiquement.
Et par la foi nous appartenons déjà à cette cité du Dieu vivant.
Il n'est pas seulement l'architecte, mais cette cité est caractérisée par ce Dieu vivant.
Tout parle de lui, le Dieu vivant.
La résurrection, on peut penser à cela.
La vie éternelle que nous avons reçue.
C'est la cité du Dieu vivant.
Et nous sommes venus déjà là.
Nous avons une relation avec ce Dieu vivant.
Matthieu 16, le Seigneur parle la première fois dans le Nouveau Testament de ce Dieu vivant.
On trouve le Dieu vivant souvent dans l'Ancien Testament, mais on le trouve aussi souvent dans le Nouveau Testament.
Et le Dieu vivant a donné son Fils.
Le Père a donné cette relation à Pierre, à Matthieu 16.
Et ainsi le Seigneur a pu parler de cela, qu'il allait bâtir son assemblée sur ce roc.
Parce qu'il est le Fils du Dieu vivant.
C'est appelé ici la Jérusalem célèbre.
On se souligne encore que nous avons affaire avec un système céleste.
Jérusalem va avoir sa place sur la terre.
Et dans l'Apocalypse, nous voyons une chose merveilleuse.
On voit la Jérusalem céleste, qui est appelée la nouvelle Jérusalem par rapport à l'État éternel.
Et nous verrons la Jérusalem terrestre dans le Millenium.
Et même dans l'État éternel, il y aura un lien entre ces deux Jérusalem.
Le troisième point, il est dit au verset 22, a des myriades d'anges.
Les anges ont eu un rôle important par rapport à la transmission de la Loi.
Salaf et d'autres places confirment cela.
Et dans ce nouveau système, nous voyons que les anges ont encore une place.
On a vu aussi, dans Hébreu 1, que même ces anges là, tellement puissants, sont maintenant serviteurs des croyants.
C'est incroyable. Ces anges sont vus comme envoyés par Dieu comme serviteurs pour les croyants.
Et c'est une multitude myriade d'anges.
Une grande, très grande multitude, qui est appelée aussi l'Assemblée universelle.
C'est un mot dans l'original.
Ensuite, quatrième point, verset 23, à l'Assemblée des Premiers Noms.
Là, nous voyons les croyants qui ne rejettent pas, comme Isaïe, les pensées de Dieu.
Isaïe avait le droit de premier nom, il l'avait rejeté.
Ici, sont inclus, évidemment, les juifs chrétiens à ce moment-là.
Mais ça implique aussi tous les croyants de cette différentiation.
Donc, depuis Acte 2, jusqu'à l'enlèvement de l'Église, il y a cette Assemblée des Premiers Noms.
Nous sommes liés aux Premiers Noms. Le Seigneur Jésus est le Premier Nome.
Et nous sommes une compagnie de Premiers Nés.
C'est vraiment très spécial.
Ça souligne la valeur que nous avons pour le corps de Dieu.
Ça souligne aussi le lien que nous avons avec le Seigneur Jésus, le Premier Né.
Comme j'ai dit tantôt, il est le Fils, nous sommes des Fils.
Il est le Premier Né, nous sommes des Premiers Nés.
Et il est dit de cette compagnie qu'elle est écrite dans les cieux.
Donc, l'Assemblée des Premiers Nés écrite dans les cieux.
Nous sommes un peuple céleste.
Nous sommes ici sur la terre.
Nos noms sont écrits dans les cieux.
Et ainsi nous sommes très, très privilégiés.
Selon le Conseil de Dieu, nos noms sont écrits dans les cieux.
On pourrait parler longuement là-dessus, mais je vais continuer maintenant
avec le centre de tout cela, qui habite là.
C'est le prochain point.
J'ai mentionné quatre points, donc on arrive au cinquième.
Dieu, Juge de tout.
Dieu est le centre de tout.
Et il est Juge de tout.
Le mot Juge implique aussi la pensée qu'il règne avec justice.
Un juge, on peut penser quelqu'un qui condamne quelqu'un ou qui déclare quelqu'un injuste.
Mais ce n'est pas seulement cela qui est inclus avec ce mot Juge.
Cela inclut aussi la pensée que Dieu gouverne avec justice.
C'est lui qui habite dans cette cité du Dieu divin.
Ensuite, il est dit que nous sommes venus aux esprits des justes transformés.
Sixième main.
Septième main à Jésus.
Je veux dire encore quelque chose sur les esprits des justes transformés.
Nous sommes venus aux esprits des justes transformés.
Parce que ces justes transformés sont encore en attente.
Ils attendent encore, comme on l'a vu dans le chapitre 11, verset 40.
Ils attendent la perfection jusqu'au moment où nous serons introduits dans la perfection.
Mais nous sommes déjà venus à ces esprits des justes.
On a vu des exemples de ces esprits des justes dans le chapitre 11.
Plusieurs exemples.
Et ainsi nous sommes dans le bien de ce que Dieu a introduit à travers ces esprits des justes transformés.
Qui, par la foi, appartiennent aussi à ce nouveau système.
C'est un peu compliqué, mais ce que je veux dire c'est ceci.
Comme croyant, Moïse appartenait déjà à ce nouveau système de la foi.
Il avait, par exemple, le privilège d'entrer dans le lieu très sain pour communiquer avec Dieu, pour recevoir des communications de Dieu.
Ainsi, comme individu, comme croyant, il avait déjà une part dans ce nouveau système.
Mais comme celui qui a été le chef du peuple dans les voies de Dieu à ce moment-là,
il était en rapport avec un système, on a vu, qui était marqué par ces sept points épouvantables.
Et ainsi, on a vu dans l'Hebreu, beaucoup de parallèles et des contrastes.
Les contrastes sont toujours plus grands que les parallèles.
Mais pour revenir à ce point-là, nous sommes venus aux esprits des justes consommés.
Dans le monde à venir, ces justes auront une place d'honneur, comme on a vu dans le chapitre 11.
Là, ils avaient déjà une place d'honneur pour nous, comme héros de la foi, et leur récompense dans le monde à venir.
Mais par la foi, nous sommes déjà venus à ces esprits des justes consommés.
Le septième point, c'est à Jésus. Nous sommes venus à Jésus.
Mediateur du Nouvel Allemand.
Deux choses ici, d'abord le nom du Seigneur Jésus.
Neuf fois dans cet Épître, il est mentionné avec ce nom Jésus.
Il est le Seigneur Jésus, c'est vrai, il est le Seigneur Jésus-Christ, il est Jésus-Christ, il est le Christ Jésus.
Mais il est appelé neuf fois Jésus, pour souligner la grandeur de sa personne.
Ce Jésus qui a été jeté d'or, comme on verra dans le chapitre 13.
Ce Jésus a été celui en qui Dieu a trouvé son bon frérot.
Et la grandeur de sa personne est soulignée par ce nom, méprisé.
Il a été méprisé par rapport à ce nom.
Mais dans cet Épître, c'est un nom d'honneur, neuf fois.
Et il est médiateur.
Et ça me fait encore penser à ces contrastes.
Si vous voulez faire ça à la maison, on a vu quelques contrastes tantôt entre Sinaï et Sion.
Et ainsi il y a des contrastes en Galate 4, la deuxième partie de Galate 4, nous mentionne.
Et dans Galate, nous voyons aussi la question de médiateur.
Et là, dans Galate 4, vous allez voir les contrastes entre esclaves et libres, entre la chair et la promesse.
Entre ce qui est vieux et ce qui est nouveau, comme aussi en hébreu.
Entre Sinaï et Sion.
Entre Jérusalem terrestre et Jérusalem céleste.
Entre la chair et l'esprit. Beaucoup de contrastes.
Mais ce qu'on voit maintenant, c'est pas le point.
Galate montre aussi beaucoup de contrastes, mais parle aussi de Jésus comme de médiateur.
Et ainsi, dans hébreu 12, où nous sommes maintenant, verset 24, nous voyons Jésus comme médiateur.
Il est entre Dieu et les hommes.
Et c'est lui qui a introduit cette nouvelle alliance.
C'est par lui que Dieu introduit cette nouvelle alliance.
Il est le médiateur.
Et le mot nouvelle, ici, c'est pas seulement un nouvel ordre de choses,
qui représente une différence de caractère ou de nature.
Mais ici, le mot nouvelle veut dire ce qui est prêt, ce qui vient de commencer.
Ainsi, le Seigneur avait versé son sang à Jérusalem.
C'est le mot maintenant qui était déchiré.
Le voile était déchiré.
Et ainsi, Dieu a introduit ce nouvel ordre de choses sous la base du sang versé.
Et là, le Seigneur Jésus est devenu le médiateur d'une nouvelle alliance.
Le mot alliance, on a vu plusieurs fois ce lien entre Dieu et son peuple.
Cette nouvelle alliance va être implémentée publiquement avec Israël au début du monde à venir.
Jérémie 31-33 nous parle de cela et d'autres passages.
Mais nous sommes déjà dans le bien de ces choses.
Comme nous avons vu tantôt avec Sion, prophétiquement, publiquement, c'est encore futur.
Mais nous entrons déjà dans le bien de ces choses.
Vous êtes venus à la montagne de Sion.
Et ainsi, il est dit ici, vous êtes venus à Jésus, médiateur d'une nouvelle alliance.
Cela veut dire que les biens qu'Israël va jouir par la nouvelle alliance sont déjà nos biens.
C'est vraiment merveilleux.
Et à part cela, nous avons encore d'autres bénédictions qu'Israël ne va jamais avoir dans le millenium,
qui sont déjà notre bien maintenant.
Mais ça, ce n'est pas le sujet des brûles.
Le huitième point, au sang d'Aspersion, qui parle mieux qu'Abel.
Donc, ce nouvel ordre de choses, un nouveau système que Dieu a introduit dans sa grâce, est basé sur le sang.
C'est le huitième point.
Le sang d'Aspersion.
Le sang de Christ.
Et de ce sang, il est dit, ça parle mieux qu'Abel.
Le sang d'Abel a demandé la vengeance.
On peut voir ça dans Genèse 4.
Il a été tué par son frère.
Et ainsi, les juifs avaient tué le Messie, le propre Messie.
Comme Caïn avait tué son frère Abel.
Les juifs, cette génération-là, je ne parle pas des juifs qui vivent aujourd'hui,
mais cette génération-là avait crié son sang sur nous et sur nos enfants.
Ils avaient tué leur propre Messie.
Mais, maintenant le contraste.
Il y avait donc un parallèle entre Abel et le Saint-Jésus.
Il y avait aussi un contraste.
Le contraste, c'est que le sang d'Abel demande la vengeance.
Le sang de Christ a été aspergé en gras.
Et ce sang parle mieux.
Ce sang introduit maintenant ce nouvel ordre de choses.
Et par rapport à ce sang, Christ parle encore.
Il parle maintenant du ciel.
Et voilà l'importance de l'avertissement qui va suivre maintenant.
Si c'est vrai que ce sang parle mieux,
ça veut dire aussi que celui qui a donné son sang, il parle maintenant.
Il a commencé à parler dans Acte II, d'une nouvelle façon.
Il est maintenant dans la gloire.
Il a parlé aux juifs dans les évangiles.
Ils l'ont rejeté.
À la croix, le Saint-Jésus a prié « Père, pardonne-leur » parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils pensent.
Et maintenant, il parle encore.
On voit cela dans Acte II jusqu'à Acte VII.
Il a parlé à toute la nation.
Et les chefs l'ont rejeté.
Mais il a continué à parler.
Saul de Tarsus l'a rencontré.
Il parle encore.
Il parle encore aujourd'hui.
Il parle aux gens qui ont perdu de leur parenté dans cette attaque à New York.
Il parle encore en grâce à beaucoup aujourd'hui.
C'est celui qui parle encore.
Et maintenant le point.
Si les gens avaient refusé celui qui parlait en jugement,
qui parlait par rapport à l'introduction du vieux système,
Dieu parlait à ce moment-là.
Et s'ils l'ont refusé, comment ?
Et c'est ça le raisonnement maintenant.
Ils échapperont si on rejette celui qui parle maintenant en grâce.
On a la tendance de penser que si Dieu parle en grâce,
c'est moins solennel, c'est moins sérieux.
Non, c'est encore plus sérieux.
Parce que Dieu a parlé en jugement.
Ils l'ont rejeté.
Il a parlé par rapport à ce système de la loi,
un système épouvantable.
Maintenant Dieu parle en grâce.
Et si on rejette ce Dieu qui parle en grâce,
si on rejette Christ dans la gloire,
comme les juifs comme nations ont fait dans actes 2 à 7,
qu'est-ce qu'ils vont faire ?
Qu'est-ce qu'il y aura après ?
Le jugement.
Si on refuse à écouter celui qui parle en grâce maintenant,
il y aura le jugement.
Et son raisonnement est si ceux-là n'ont pas échappé,
qui a parlé dans le temps de Louis,
et qui refusèrent celui qui parlait en oracle sur la terre,
combien moins échapperons-nous
si nous nous détournons de celui qui parle ainsi des cieux.
Maintenant il faut faire attention.
L'auteur, je pense à Podpole,
il s'inclut maintenant dans cette compagnie.
Combien moins échapperons-nous si nous nous détournons.
Ça veut dire donc qu'il se place à côté de ces croyants hébreux,
à ce moment-là,
qui étaient en danger de retourner dans le judaïsme,
de faire la même chose qu'Isaïe avait fait,
vendre son droit de premier-né.
Ils étaient en danger de faire ça.
Et son point est maintenant,
si vous faites ça,
combien moins échapperons-nous
si nous nous détournons de celui qui parle ainsi des cieux.
Si on rejette la grâce du Seigneur Jésus qui parle maintenant du ciel,
ça veut dire le jugement.
Et ce jugement est venu dans l'an 70,
alors que Jérusalem et le temple ont été détruits.
Mais ce jugement va venir encore dans la grande tribulation aussi,
et c'est là où c'est intéressant de voir le lien avec ce qui suit,
au verset 26.
« Duquel la voix ébranla »
Donc quelle puissance il y a dans cette voix.
Cette voix a parlé et elle a ébranlé alors la terre.
Si Dieu parle, il fait ébranler la terre.
C'était dans le passé.
Mais maintenant, il a promis, disant encore une fois,
je secourrai non seulement la terre, mais aussi le ciel.
C'est une citation d'Ager,
qui a parlé lorsque le deuxième temple était en train d'être reconstruit.
Et là, il parle pour encourager les juifs à ce moment-là,
pour continuer ce travail.
Et il parle aussi des jugements qui vont venir,
pour introduire donc le monde à venir.
Parce que ce temple sera reconstruit selon les instructions d'Édouard.
Avant que cela arrive, encore une fois,
je secourrai non seulement la terre, mais aussi le ciel.
En jugement, Dieu va faire ça.
Ça c'est le contexte direct d'Ager.
Mais il y a aussi des applications.
On peut dire que cela a eu lieu dans l'année 1970, en principe.
Et les choses qui sont passées la semaine passée,
nous montrent comment c'est grave si Dieu secoue.
Les choses ont secouru, mais pas l'intervention de l'homme.
Mais Dieu l'a permis.
Et là, on peut s'imaginer un peu comment c'est grave si Dieu intervient en jugement
et secourait non seulement la terre, mais aussi le ciel, en jugement.
Et ça fait penser, maintenant aussi, à la fin du millénaire,
lorsque Dieu va encore, on peut voir ça dans 2, 3,
lorsque les cieux et la terre passeront par le feu,
lorsque Dieu va introduire cet état éternel.
Mais le point est maintenant que dans ce passage,
nous appartenons déjà à quelque chose qui est éternel.
C'est pour ça qu'on verra dans le chapitre 13 une alliance éternelle.
Nous appartenons déjà à un ordre de choses qui est éternel,
que Dieu a déjà introduit.
Mais ceux qui rejettent cette grâce,
ils s'exposent au jugement maintenant, comme dans l'année 70,
ou dans la Grande Tribulation, ou après le millénaire.
Verset 27 indique le changement des choses muables.
Les chrétiens, les juifs chrétiens, avaient expérimenté ça.
Ils avaient changé d'ordre de choses.
Les choses muables, par rapport au judaïsme,
ils avaient laissé en arrière.
Et ils étaient introduits maintenant,
ils étaient venus à ce nouvel ordre de choses que nous avons vu.
Et nous aussi, nous sommes venus à ce nouvel ordre de choses
où les choses sont immuables par rapport à Christ.
Les choses sont éternelles.
Nous appartenons déjà à cette nouvelle création,
à ce nouvel ordre de choses, où les choses sont éternelles.
Comment nous sommes venus ?
Verset 28, c'est pourquoi, maintenant une conclusion,
donc un avertissement, prendre garde verset 25,
et maintenant encore une conclusion.
Recevant un royaume inébranlable,
retenons la grâce, notant bien.
Nous appartenons à un système qui est marqué par la grâce,
et nous avons maintenant une grande responsabilité,
notamment, à retenir cette grâce,
par laquelle nous servons Dieu,
d'une manière qui lui soit agréable.
C'est bon, le Seigneur Jésus est le ministre du sanctuaire,
il sert Dieu.
Mais nous servons maintenant, par la grâce, ce Dieu.
Et Dieu cherche que nous servions d'une manière qui lui soit agréable.
On verra cela aussi dans le chapitre 13, verset 21.
Pour faire sa volonté présente en vous,
il opère en nous ce qui est agréable.
Donc Dieu veut que nous puissions être en accord avec lui,
pour servir ce Dieu,
ici c'est par rapport à l'adoration, premièrement,
mais aussi pour vivre d'une façon qui soit agréable devant lui,
avec révérence et crainte.
Ces deux mots sont très intéressants.
Révérence, c'est le même mot qu'on a piété dans le chapitre 5, verset 7.
Le Seigneur Jésus était marqué par cette révérence,
par cette piété, lorsqu'il était sur la terre.
Et maintenant Dieu veut que nous soyons marqués par cette piété,
par cette piété, par cette révérence.
Et la deuxième expression avec crainte,
en anglais on a un beau mot pour ça,
or, c'est avec ce grand respect,
c'est une crainte de révérence.
Et la conclusion continue encore avec cette constatation verset 29,
car aussi notre Dieu est un feu consumant.
J'ai dit tantôt, Dieu n'a pas changé de caractère.
Il est le même Dieu.
Et envers ceux qui rejettent ses pensées dans le passé,
il a montré qu'il est un Dieu qui est un feu consumant.
On peut penser à ce qui est passé avec les fils d'Aaron, par exemple,
ou d'autres occasions, Corée et sa compagnie,
qui ont été consumés par ce feu.
Mais nous avons affaire avec le même Dieu.
Les standards de la sainteté de Dieu n'ont pas changé,
lorsqu'il a introduit cette grâce.
Cette grâce maintient encore davantage les standards de la sainteté de Dieu.
Et ainsi, cette conclusion que nous sommes pour recevoir un royaume inébranlable,
et que nous devons retenir la grâce,
ensemble avec ce caractère de Dieu, Dieu est lumière,
Dieu ne peut pas compromettre ses standards.
Et on a, comme j'ai dit, on a la tendance, quand on parle de la grâce,
de penser que Dieu compromet un peu ses standards.
Jamais. Il est un feu consumant.
Donc nous sommes avertis ici d'être en accord pratiquement avec ce Dieu
qui maintient ses standards élevés.
Et quel privilège que nous avons vu que Dieu nous a introduit déjà dans un tel système
où nous sommes dans sa présence, où il nous montre cette grâce souveraine,
où il nous met ensemble avec le Fils, etc.
Nous sommes très bénis.
Peut-être que j'ai oublié quelque chose ou qu'il y a un point que vous aimeriez encore toucher un peu.
Évidemment, c'est juste un aperçu qu'on a fait ce soir,
mais c'est vraiment un chapitre difficile, mais aussi encourageant de plusieurs façons.
Je crois que c'est juste.
Je sais qu'on s'est renseigné pour la première fois, il y a un certain nombre d'étudiants
qui sont venus chez nous car avant ils étaient chers.
Oui, parce qu'il y a un certain nombre d'étudiants qui sont venus.
Oui.
C'est un bon point que le premier-né a aussi un double droit.
Et ainsi nous avons comme premier-né un double droit, une double bénédiction.
C'est tout ce qu'il y a d'échevillé aussi.
Oui, oui.
L'autre point, si j'ai bien compris, c'est de penser, comme je le disais tout à l'heure, terrain et soleil.
Les terrains, il y en a parce qu'il y a beaucoup de terrain.
Il y a aussi dans l'éternité, parce qu'il y a beaucoup de terrain.
Oui.
Ce qu'on voit dans l'Apocalypse 21 par rapport à l'état éternel, peut-être qu'on peut juste tourner là,
nous voyons la Nouvelle Jérusalem au verset 2.
Donc là on parle de l'état éternel.
On ne parle pas de la parenthèse qui est donnée plus tard pour donner plus de détails sur Jérusalem pendant le millennium.
Parce que là, je vais mentionner cela aussi au verset 10.
Au milieu du verset 10, il me montre la Sainte Cité Jérusalem.
Là, il n'est pas mentionné Nouvelle Jérusalem mais la Sainte Cité Jérusalem.
La Sainte Cité Jérusalem descendant du ciel d'auprès de Dieu, ayant la gloire de Dieu.
Là, c'est la cité céleste pendant le millennium.
Et là, elle aura donc un lien avec la terre par les portes, les douze portes qu'on voit.
Et aussi en lisant le restant de ce chapitre jusqu'au début du chapitre 22 verset 5,
nous voyons beaucoup de détails sur comment il y a un lien entre la terre et le ciel.
Par exemple, verset 26, on lui apportera la gloire et l'honneur des nations.
Ça, ça vient de la terre.
Donc, il y aura un lien entre la Jérusalem céleste et la Jérusalem terrestre.
Il ne donne pas tous les détails concernant la Jérusalem terrestre,
parce que ces détails là, on a dans les prophètes comme Jacques XIV et d'autres passages.
Maintenant, pour ta question, pour revenir au verset 2,
Apocalypse 21 verset 2,
« Je vis la sainte cité, nouvelle Jérusalem, descendant du ciel d'auprès de Dieu,
préparée comme une épouse ornée pour son mari,
et jouis une grande joie venant du ciel,
disant, voici, l'habitation du Dieu est avec les hommes,
et il habitera avec eux,
et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux, leur Dieu. »
Donc, je dois avouer que là, dans ce contexte là,
il n'est pas mentionné la Jérusalem terrestre.
Donc là, il faut que je me corrige, ce n'est pas mentionné simplement.
Pour moi, c'était juste un raisonnement.
La fonction que Jérusalem va avoir dans le millenium,
avec le lien avec la Jérusalem céleste,
peut-être que ce sera aussi le cas dans l'état éternel,
mais ce n'est pas mentionné comme ça.
Il est simplement dit que l'habitation du Dieu est avec les hommes.
Franchement, c'est tout.
Donc là, tu as raison, il n'y aura pas cette fonction,
la même fonction de Jérusalem terrestre qu'elle va avoir dans le millenium,
on ne voit pas ça ici dans l'état éternel.
Et pourquoi pas ?
Parce que là, il est dit, l'habitation du Dieu est avec les hommes.
Là, les différences entre les nations ne seront plus là.
Comme ce ne sera pas le cas dans le millenium,
ce ne sera plus le cas dans l'état éternel.
Donc dans ce sens là, Jérusalem n'est pas mentionné.
Mais peut-être que Jérusalem aura quand même une place,
mais pas comme dans le millenium.
Mais ça, c'est toujours par rapport au millenium.
C'est ça, ce n'est pas mentionné.
Et ainsi, moi j'ai des amis juifs qui mettent beaucoup d'emphase sur le fait que
l'alliance du Dieu était une alliance éternelle,
donc c'est aussi pour l'état éternel. …
Transcripción automática:
…
Puis c'est vraiment le Seigneur Jésus qui nous enseigne qu'on apprend de lui, comme le 2ème couplet le dit, en prenant son jour sur nous, et il nous conduit aussi, le 3ème couplet, il nous conduit.
Dans livre 13, on va dire jusqu'au verset 10, que l'amour fraternel demeure, n'oubliez pas l'hospitalité, car par elle, quelques-uns, à leur insu, ont logé des anges.
Souvenez-vous des prisonniers, comme si vous étiez liés avec eux, de ceux qui sont maltraités, comme étant vous-mêmes aussi dans le corps, que le mariage soit tenu en honneur à tous égards.
Que votre conduite soit sans avarice, et sans comptant de ce que vous avez présentement, car lui-même a dit, je ne te laisserai point, et je ne abandonnerai pas.
En sorte que, plein de confiance, nous vivons, le Seigneur est mon aide, et je ne craindrai point, que ne sera l'homme.
Souvenez-vous de vos conducteurs, qui vous ont annoncé la parole de Dieu, et considérant l'issue de leur conduite, imitez leur foi.
Jésus-Christ est le même hier, et aujourd'hui, et éternellement. Ne soyez pas séduits par des doctrines diverses et étrangères, car il est bon que le corps soit affermi par la grâce, non par les viandes, lesquelles n'ont pas profité à ceux qui y ont marché.
Nous avons un hôtel, dont ceux qui servent le tabernacle n'ont pas le droit de manger.
Le restant du chapitre que j'aimerais garder pour une autre fois, si le Seigneur nous donne encore une occasion, parce que, on peut donner un aperçu du chapitre dans son ensemble, mais je voulais quand même élaborer quelques points du début du chapitre.
Et garder ces grands sujets, notre position hors du coin, et aussi le Seigneur Jésus comme notre grand pasteur de trébuches pour la prochaine fois.
Donc, ce qui m'a frappé dans cet épitre, de nouveau, c'est la question de la foi. C'est par la foi que nous voyons le Seigneur Jésus maintenant, couronné de gloire et d'honneur, chapitre 2 verset 9.
C'est par la foi que nous comprenons qu'il a accompli cette œuvre merveilleuse, expliquée dans chapitres 8 et 9.
Et c'est par la foi que nous entrons dans les conséquences de cette œuvre.
On a vu dans hébreu 10, verset 19 et suivant, que le Seigneur Jésus est ce grand conducteur. On a dit dans notre cantique qu'il nous conduit. Il est le grand conducteur qui nous conduit dans la présence du Dieu.
C'est par la foi que nous entrons dans ces choses. C'est par la foi que nous puissions donner une réponse et être guidés par le Seigneur Jésus.
Ensuite, nous avons vu dans ce livre merveilleux comment le Seigneur Jésus est notre grand conducteur pour nous conduire à travers le désert, pour nous conduire dans ce monde.
Et là, nous avons vu donc la marche de la foi. On a vu plusieurs choses par rapport à la foi à la fin du chapitre 10.
Mais pour cette marche, on a besoin de la foi et de la patience.
Ensuite, on a vu dans le chapitre 11 beaucoup d'aspects de la foi et aussi le combat de la foi au début du chapitre 12.
Et ensuite, l'épreuve de la foi. Chapitre 12, verset 4 à 11.
Parce que notre foi est mise à l'épreuve. Si nous marchons par la foi, cette foi sera mise à l'épreuve. C'est inévitable.
Et là, on a vu que c'est une grande parenthèse qu'on commence.
Chapitre 12, verset 12, qui termine au verset 7 du chapitre 13.
C'est une très longue parenthèse. Nous avons vu dans le passé déjà que les parenthèses sont pour faire une pause,
pour nous faire réaliser le but de l'enseignement, pour nous faire réaliser aussi dans quelle mesure nous avons encore à apprendre des leçons,
pour mettre en pratique cet enseignement. Et ensuite, il nous prend à la main pour nous enseigner encore d'autres choses.
Et on verra donc la prochaine fois du roulant, le restant du chapitre 13, nous verrons le Seigneur Jésus comme notre grand conducteur pour nous conduire hors du camp.
Et là, il y aura aussi toute l'emphase sur la grandeur de sa personne.
Juste pour donner un exemple, verset 13, chapitre 13, verset 13.
Ainsi donc, sortons vers Jésus.
Chapitre 2, verset 9, nous voyons Jésus.
Toute l'emphase est sur Jésus. Il est dans la gloire, mais il est aussi notre conducteur ici sur la terre.
Et ainsi, toute l'emphase est mise sur la grandeur de sa personne.
Il devient le centre du rassemblement. Il nous attire à lui-même.
Ainsi donc, et ça c'est la réponse de la foi, sortons vers lui.
Donc avant qu'on arrive là, j'aimerais encore suggérer que cet enseignement s'adresse vraiment à la foi.
On a vu les preuves de la foi, et ensuite cette parenthèse s'ouvre pour nous poser des questions.
Est-ce que nous sommes vraiment dirigés par la foi?
Et là, on a vu le sujet de la sanctification dans chapitre 12, verset 12.
Et des encouragements pour redresser les mains lassées, les genoux défaillants, pour continuer par la foi, etc.
Ensuite, nous avons vu la dernière fois ce merveilleux système de la grâce auquel nous appartenons.
Et là, nous avons vu, par exemple, huit caractéristiques spécifiques, parce que c'est un système de nouvel ordre.
Et à la fin, nous avons regardé en avant, au verset 28, c'est pourquoi, recevant un royaume inébranlable.
Donc, nous avons cela déjà par la foi, et il y a aussi un élément futur là-dedans, un élément actuel, et en même temps un aspect futur.
Retenons la grâce, je vais revenir à la grâce à un taux, par laquelle nous servions Dieu d'une manière qui lui soit agréable, avec révérence et avec règne.
Car aussi, notre Dieu est un feu consumant.
Donc là, il y a cette deuxième partie de la parenthèse qui se termine là, par rapport à ce nouvel ordre de choses auquel nous sommes venus.
Donc, la poursuite de la sanctification, versets 12, 12 à 17.
Ensuite, où nous sommes venus, pas à la montagne qui nous peut être touchée, mais nous sommes venus à la montagne de Sion, verset 22.
Et là, on a vu ces huit caractéristiques de ces meilleures choses.
On a vu dans le passé qu'il y a beaucoup d'emphase dans l'Épître aux Hébreux aux meilleures choses.
Et la dernière partie de cette grande parenthèse qui nous parle donc de notre marche pratique, commence au verset 1, chapitre 13, jusqu'au verset 7.
Et on peut dire que c'est la marche pure, c'est la simplicité de la vie de la foi.
Encore la foi qui se manifeste dans cette saintité de la vie chrétienne.
Et ces instructions sont très simples et en même temps d'une profondeur très grande.
La première instruction, on verra au moins cette instruction dans verset 1 à 6.
Ensuite, on va voir au verset 7 encore de nouveau toute l'emphase sur la personne du Seigneur Jésus.
Et au verset 8, il y a donc le début de cette dernière partie du chapitre qui introduit encore le Seigneur Jésus dans sa grandeur.
Que l'amour fraternel demeure.
Est-ce qu'on a besoin d'être rappelé de ce principe?
Si on pense aux croyants à ce moment-là qui ont reçu cet Épître, ils étaient sous beaucoup de pression, la persécution.
Il y avait donc des gens qui avaient la tendance de retourner dans le judaïsme officiellement.
Et il y avait donc des dangers que cet amour fraternel ne fonctionne plus.
Il dit simplement, l'auteur dit simplement que l'amour fraternel demeure.
Pour continuer ce verbe demeurer, on trouve souvent dans l'Épître des gens, mais aussi dans l'Évangile selon Jean.
C'est le défi de demeurer attaché à la personne du Seigneur Jésus.
Demeurer en lui, continuer dans la communion avec lui, dans la dépendance, dans l'obéissance.
Ce c'est demeurer. Ici, que l'amour fraternel demeure.
On verra plusieurs aspects de l'amour dans ces premiers versets.
Ici c'est l'amour fraternel pour commencer.
Ce c'est l'amour parmi les chrétiens.
Et l'ennemi est très rusé, il veut introduire toutes sortes d'obstacles pour que cet amour s'éteigne.
Mais le Seigneur avait déjà dit que les disciples seraient connus par le fait qu'ils s'aiment.
Dans Jean 13, on voit des enseignements à cet égard de la part du Seigneur.
Et ici on disait, c'est une instruction très simple, mais pour mettre cela en pratique, ça prend beaucoup de grâce.
On va revenir à la grâce bientôt.
Donc pour cette marche pure dans la sainteté de la foi chrétienne, il y a d'abord ce besoin de cet amour fraternel.
Ce qui m'a frappé, c'est de voir le mot, dans l'original c'est philadélphie.
Philadélphie, peut-être que vous le savez.
Et ce mot, ce substantif, revient 8 fois dans l'original.
Et ça va encore ensemble avec ce nouvel ordre.
La dernière fois j'ai dit, le nombre 8 représente un nouveau début, un nouveau commencement dans la Bible.
Et ça représente un nouvel ordre de choses par rapport à la résurrection du Seigneur Jésus, par rapport à la nouvelle création.
Et cette nouvelle création est donc marquée par cet amour fraternel, par philadélphie.
Je donne un exemple, Romains 12, verset 20.
Il y a beaucoup d'instructions pratiques aussi dans Romains 12.
Il dit au verset 20, « Si donc ton ami a faim, donne-lui à manger. Si il a soif, donne-lui à boire. Car en faisant cela, tu en passeras des charbons de feu sur sa tête. »
Non, ce n'est pas ce verset-là que j'ai cherché.
Mais c'est une explication quand même de cet amour.
C'est le verset 10, si je m'excuse.
« Quant à l'amour fraternel, soyez plein d'affection les uns pour les autres. »
Donc là, de nouveau, philadélphie.
« Soyez plein d'affection les uns pour les autres. »
Parce que cet amour, ce n'est pas l'amour agapé, c'est l'amour philio, ça veut dire l'amour d'affection.
C'est tout un sujet en soi, mais ici, de nouveau, cet enseignement « Quant à l'amour fraternel, soyez plein d'affection les uns pour les autres. »
Et ainsi, il y a beaucoup de passages dans le Nouveau Testament qui nous parlent de cet amour fraternel.
On a vu aussi à la conférence, lorsqu'on a étudié 1 Thessalonique 4, cet amour.
Et il y a aussi quelques références dans 1 Pierre et dans 2 Pierre.
Et on trouve ensuite philadélphie dans l'Apocalypse.
Ensemble, dans son ensemble, c'est huit fois que nous trouvons ce mot philadélphie, l'amour fraternel.
Ça appartient à ce nouvel ordre de choses.
Dieu nous a introduit dans ce nouvel ordre de choses, maintenant il veut que nous puissions manifester cet amour fraternel.
Dans ce monde actuel, où il y a la haine, la deuxième instruction, n'oubliez pas l'hospitalité.
Et dans l'original, ce mot veut dire l'amour pour les étrangers.
Donc de nouveau, cet amour philio, cette affection.
D'abord une affection fraternelle pour ceux qu'on connaît, pour les chrétiens qu'on connaît.
Et ensuite, une affection, un amour pour ceux qu'on ne connaît pas mais qui sont aussi des chrétiens, qui viennent nous visiter par exemple.
C'est aussi une affection qui ne va pas être oubliée.
N'oubliez pas l'hospitalité.
Ça c'est la deuxième instruction.
Et c'est remarquable, là il y a encore un motif qui est donné.
On ne sait pas s'il réfère ici à l'Ancien Testament, où les croyants ont reçu des anges, comme par exemple Manoah, l'épouse de Manoah, les parents de Samson, et d'autres exemples.
Ou s'il se réfère aux croyants dans ce temps-là, qui ont reçu des anges, qui les ont logés sans savoir que c'étaient des anges.
On peut aussi comprendre que le mot ange, dans l'original, veut dire messager.
Et ainsi, cette hospitalité veut dire donc l'affection envers ceux qu'on ne connaît pas, mais qui viennent nous apporter un message de la part de Dieu.
C'est aussi une pensée qui peut être inclue dans tout cela.
Et ça fait penser aussi à l'enseignement que le Seigneur a donné dans Matthieu 25, où il parle de ses frères qui étaient donc maltraités, puis là il y en avait qui les avaient visités en prison.
Et là il a dit, ils ont fait cela à moi-même.
Donc ça c'est vraiment beau de voir ça.
Ces actes, cette hospitalité, cet amour, cette affection pour les étrangers, on fait cela par amour pour le Seigneur.
La troisième instruction au verset 3, souvenez-vous des prisonniers.
Maintenant, ce verbe souvenir, ce verbe exact n'est pas trouvé souvent dans le Nouveau Testament.
Mais je donne un exemple, chapitre 2, verset 6.
Mais quelqu'un a rendu ce témoignage quelque part, disant, qu'est-ce que l'homme que tu te souviennes de lui?
Qu'est-ce que l'homme que tu te souviennes de lui?
Ou le fils de l'homme que tu visites.
C'est une citation du Psalm 8.
Là on voit que Dieu se souvient de l'homme.
Ici, dans ce contexte-là, c'est le Seigneur Jésus.
Ici, dans Hébreu 13, verset 3, c'est dans le contexte horizontal, souvenez-vous des prisonniers.
Donc là, on ne doit pas oublier nos frères et sœurs qui souffrent encore pour leur croix.
Vous voyez, de nouveau, c'est l'homme, le fils de l'homme.
On peut donner beaucoup d'exemples dans le Nouveau Testament, où on voit les croyants qui étaient mis en prison.
Dans les actes, beaucoup d'occasions pour référer à ces problèmes.
On peut donner des exemples, par exemple, dans le texte de l'Évangile.
On peut donner des exemples, par exemple, dans le texte de l'Évangile.
On peut donner des exemples, par exemple, dans le texte de l'Évangile.
On peut donner des exemples, par exemple, dans le texte de l'Évangile.
On peut donner des exemples, par exemple, dans le texte de l'Évangile.
Ici, les croyants sont donc encouragés à se souvenir des prisonniers.
Puis, dans le contexte immédiat, c'est encore les croyants qui sont persécutés qui doivent se souvenir des autres croyants qui étaient sous beaucoup de pression, qui étaient même mis en prison.
On a vu cela aussi dans le chapitre 10 et au chapitre 6, comment ils ont souffert à ce moment-là.
Et, humainement parlant, on oublie facilement.
Et on a donc besoin de cet enseignement.
Souvenez-vous des prisonniers.
Puis, d'un côté, on sait Dieu n'oublie pas. Il se souvient.
Mais, maintenant, c'est aussi à nous.
Souvenez-vous des prisonniers.
Et là, il a donné encore une raison, une motivation, comme si vous étiez lié avec eux.
Donc, on doit se placer à côté d'eux, en esprit, encore par la foi.
On réalise tels et tels frères, telles et telles sœurs sont en prison à cause du nom de Christ.
Et, dans notre esprit, on s'identifie avec eux comme si nous étions liés à côté d'eux.
Ça, c'est vraiment l'attitude du Seigneur Jésus.
Isaïe 63, je donne un exemple de l'Ancien Testament, où nous voyons cette sympathie que Dieu a montrée envers son peuple.
Lorsqu'Israël était affligé en Égypte, il a dit, dans Isaïe 63, verset 8,
Certainement, ils sont mon peuple, des fils qui ne mentiront pas.
Et il est devenu leur sauveur.
Certains, dans toute leur détresse, il a été en détresse.
Et l'ange de sa face les a sauvés.
Dans son amour et dans sa miséricorde, il les a rachetés, il s'est chargé d'eux.
Et il les a portés tous les jours d'autrefois.
Ok, là, on dirait, mais nous ne sommes pas comme Dieu, on ne peut pas aider le peuple de Dieu de cette façon-là.
C'est vrai, mais moi j'aimerais simplement souligner la première partie du verset 9.
Dans toute leur détresse, il a été en détresse.
Il s'est identifié avec eux dans leur détresse.
Et je pense, le verset qui est devant nous maintenant, hébreu 13, verset 3,
souvenez-vous des prisonniers comme si vous étiez liés avec eux.
De même façon, nous pouvons sympathiser avec nos frères et soeurs.
Et là, il y a une raison spéciale, à cause de la vérité du corps de Christ.
Nous sommes liés avec tous les membres.
Donc, dans 1 Corinthians 12, nous voyons cela.
Si un membre souffre, tout le corps souffre.
Tout le corps souffre.
Vous connaissez ce verset.
Et je pense, sur la base de cette vérité-là, il peut donner cette instruction-là.
Souvenez-vous des prisonniers comme si vous étiez liés avec eux.
Ces prisonniers-là souffrent, mais ils sont membres du corps.
C'est une vérité qui n'est pas développée dans l'Écriture aux Hébreux, la vérité du corps de Christ.
Mais évidemment, cette vérité était déjà là, était déjà enseignée par l'apostropose,
Paul, avant cette Écriture aux Hébreux, ou dans le même temps.
Cette vérité était connue, et a été montrée par le Seigneur le moment que Paul a été appelé de la gloire.
Pourquoi, Saul, pourquoi me persécutes-tu?
Le Seigneur Jésus, dans la gloire, s'identifie avec les croyants ici sur la terre.
Ils sont membres de son corps.
Mais, de notre point de vue, c'est aussi vrai que les croyants sont membres du même corps, donc moi je suis membre.
Vous voyez, la vérité, donc, du point de vue de Christ, il est lié à tous.
Mais de notre point de vue, nous sommes aussi liés à tous les autres, et en même temps avec Christ dans la gloire.
Donc ainsi, nous sommes liés intimement les uns aux autres.
Et ainsi, cette instruction, souvenez-vous des prisonniers comme si vous étiez liés avec eux.
En esprit, on peut s'identifier avec eux qui souffrent pour leur foi.
Et s'ils souffrent, nous souffrons aussi, selon 1 Corinthians 12.
Un membre souffre, tout le corps souffre.
La deuxième partie du verset 3 donne encore un autre détail.
Souvenez-vous de ceux qui sont maltraités.
Donc, je répète simplement le début du verset 3.
Souvenez-vous des prisonniers.
Maintenant, souvenez-vous de ceux qui sont maltraités, comme étant vous-même aussi dans le corps.
Donc, souvent ensemble, les deux parties vont bien ensemble, évidemment.
S'ils sont en prison, souvent ils étaient aussi maltraités.
Et nous sommes aussi dans un corps physique, donc on peut comprendre si on touche notre corps, ça fait mal, on peut comprendre cela.
Mais en même temps, comme j'ai dit tantôt, il y a aussi cette vérité du corps spirituel.
On est membre l'un de l'autre.
Maintenant, la quatrième instruction au verset 4.
Que le mariage soit tenu en honneur, à tous égards, et le lit sans souillure.
Là aussi, on a deux parties de l'instruction.
La première partie, que le mariage soit tenu en honneur, à tous égards.
Dans notre société, nous avons besoin d'être rappelés de cette instruction.
Mais c'était nécessaire pour tout le temps.
Même dans ce temps-là, que le mariage soit tenu en honneur.
Nous ne savons pas quel défi était placé devant les croyants à ce moment-là.
Mais nous connaissons la chair. La chair est en nous.
Et ainsi, nous réalisons que cette instruction est nécessaire pour tous les temps.
Et là, en honneur.
Pour voir, par la foi encore, ce mariage du point de vue de Dieu.
Comme Dieu a donné le mariage. Jeunesse 2.
Avant la chute, nous voyons comment Dieu a institué le mariage.
Et par la foi, l'auteur veut maintenant que nous puissions garder cet institut en honneur, à tous égards.
Même si le monde rejette ces principes de Dieu.
Et même si la chair a la tendance aussi de transgresser.
Nous devons, par la foi, retourner à la pensée de Dieu.
Que le mariage soit tenu en honneur.
Et puis là, à tous égards, physiquement, spirituellement, c'est une question de corps, âme et esprit.
Et à tous égards, que ce soit tenu en honneur.
La pureté, ça va ensemble avec ce principe général que j'ai dit.
C'est la pureté de la marche chrétienne qu'on voit ici aussi dans le contexte du mariage.
Et le lit sans souillure.
Le lit, dans l'original, le mot veut dire l'accouplement.
Et sans souillure, donc sans aucune influence du péché.
Puis on peut dire, si on exclut le Seigneur de ces choses, on tombe dans des pièges.
Donc on doit introduire le Seigneur par la foi dans ce contexte-là aussi.
Et là, il y a aussi un avertissement.
Si nous marchons par la foi, on réalise aussi par la foi que Dieu est là.
Dieu voit tout.
Nous pouvons cacher les choses devant Dieu.
On peut cacher nos pensées.
On peut cacher même des actes qui ne sont pas corrects.
Mais il est dit, Dieu jugera les fornicateurs et les adultères.
Donc, si c'est en général dans le mariage, il y aurait une question d'adultère.
Si c'est une question en dehors du mariage, puis une relation sexuelle, c'est la fornication.
C'est la fornication.
Puis les deux aspects sont exclus, selon les pensées de Dieu, de la vie chrétienne.
Dieu jugera les fornicateurs et les adultères.
Donc c'est un appel pour nous.
Et c'est aussi des dangers.
Dans 1 Corinthien 6, il est dit, huilez la fornication.
Et notre chair est faible, et ainsi nous devons huiler.
Huilez la tentation.
La tentation se présente de beaucoup de façons aujourd'hui dans notre société.
Et on doit toujours garder le contexte, pourquoi ces instructions, pour que nous puissions marcher par la foi,
et que nous puissions donner toute la place au Seigneur Jésus, notre grand conducteur, comme on verra tantôt.
La cinquième instruction, c'est au verset 5.
Que votre conduite soit sans avarice.
Maintenant, il y a une autre forme d'amour.
Au verset 4, il y a donc l'amour dans le contexte du mariage, ou la déviation.
Mais dans verset 5, nous voyons l'amour de l'argent.
Et là, il veut que notre conduite soit sans avarice.
Ça veut dire sans amour, et c'est encore le même, sans affection pour l'argent.
On doit travailler avec l'argent, on n'a pas le choix.
Il faut utiliser l'argent comme moyen, mais sans mettre notre affection dans l'argent.
Notre affection est dirigée vers le Seigneur, et dirigée vers nos frères et sœurs, et dirigée vers nos frères et sœurs qui souffrent.
Et aussi, notre affection, c'est dans le contexte du mariage, etc.
Mais verset 5, cette affection pour l'argent, c'est une déviation.
Et dans, il y a des instructions, dans Ephésiens par exemple, où nous voyons...
Donc verset 5 souligne un autre danger, une autre instruction qui est aussi nécessaire que nous.
Il y a des convertissements, on tombe facilement dans de tels pièges.
Et là, il veut que nous soyons contents.
Ça c'est juste l'opposé à la convertissement.
Ici, c'est donc pas la convoitise comme dans le contexte sexuel, ici c'est la convoitise dans le contexte financier, dans le contexte de l'argent.
Et là, quelle est la remède ?
Quelle est la remède étant content ?
Étant satisfait, dirais-je.
Il y a plusieurs beaux versets qui nous parlent de cela.
Je voulais juste lire un verset dans 1 Timothée 6.
1 Timothée chapitre 6, verset 6.
A la fin du verset 5, il est dit, la piété...
Il y en a qui pensent, qui estiment que la piété est une source de gain, non ?
Dans le verset 6, la piété avec le contentement est un grand gain.
Quand nous n'avons rien à porter dans le monde, il est évident que nous n'en pouvons rien emporter.
Donc la piété avec le contentement est un grand gain.
Ça c'est ce contentement duquel Hebreu 13 parle.
Que votre conduite soit sans avarice, ça c'est le côté négatif.
Le côté positif, le remède est content de ce que vous avez présentement.
Ça exclut aussi le désir de vouloir devenir riche, comme on le dit dans 1 Timothée 6.
Ceux qui veulent devenir riches, verset 9, tombent dans la tentation et dans un piège,
et dans plusieurs désirs insensés et pernicieux qui plongent les hommes dans la ruine et la perdition.
Car c'est une racine de toutes sortes de maux que l'amour de l'argent.
Ce que quelques-uns ayant ambitionné, ils se sont égarés de la foi et se sont transversés eux-mêmes de beaucoup de douleurs.
Donc ce n'est pas ici pour pointer le doigt envers quelqu'un.
C'est pour nous qu'on réalise que la chair est en nous, qu'on est faible en nous-mêmes,
et qu'il y a des tentations, des convoitises qui se placent devant nous, puis on peut tomber facilement.
C'est pour cela que nous devons fixer nos regards sur le Seigneur Jésus, marcher par la foi.
Ça implique aussi le jugement de soi-même, évidemment.
Et puis on met toute notre confiance en Lui, comme il est dit à la fin du verset 5.
Mais j'aimerais encore donner un autre exemple, Philippian 4, où Paul parle de ses besoins,
et il explique aussi dans Philippian 4, c'est vraiment très beau, je vais juste vraiment lire ce verset,
comment il était satisfait.
Puis là, c'était un apôtre qui était en prison, et il dit au verset 11,
ça va bien ensemble avec les cantiques que nous avons chantées pour apprendre du Seigneur Jésus sous son jour.
Dans Philippian 4, verset 11, il dit,
« Non que je parle ayant égard à des privations, car moi j'ai appris à être content en moi-même dans les circonstances où je me trouve. »
Donc cet enseignement, il l'a appris pratiquement, ce n'est pas juste une connaissance théorétique,
c'est le résultat de ses expériences à l'école de Dieu.
Il dit, « J'ai appris à être content en moi-même dans les circonstances où je me trouve. »
Ça veut dire qu'il n'est pas contrôlé par les circonstances, il ne voit que ses besoins, non.
Il voit le Seigneur Jésus dans tout cela, et c'est pour cela qu'il est content en lui-même.
Parce qu'il dit au verset 12, « Je sais être abaissé, je sais aussi être dans l'abondance en toutes choses et à tous égards.
Je suis enseigné aussi bien à être rassasié qu'à avoir faim, aussi bien à être dans l'abondance qu'à être dans les privations.
Je puis toutes choses en Celui qui me fortifie. »
Donc, par la foi, il se remet au Seigneur, à Celui qui me fortifie.
Quel exemple pour nous ?
Ça revient ensemble avec cet enseignement d'un hébreu 13, verset 5, « Etant content de ce que vous avez présentement. »
Et dans les évangiles, le Seigneur donne beaucoup d'exemples par rapport au danger de l'amour pour l'argent.
Maintenant, encore un encouragement au verset 5, « Car Lui-même a dit. »
Notons bien, Lui-même, c'est le Seigneur qui parle ici.
Comme on l'a vu avec Paul, Paul a vu le Seigneur, il a introduit le Seigneur dans ses circonstances.
Ainsi, il était dépendant du Seigneur, il n'était pas dépendant des circonstances.
Et ici, dans le chapitre 13, verset 5, de nouveau, c'est le Seigneur qui est introduit, Lui-même.
On va revenir à ça au verset 8.
« Lui-même a dit. Je ne te laisserai point et je ne t'abandonnerai point. »
Quelle promesse s'était donnée à Josué.
Josué avait peur. Moïse était pour partir.
Et là, Josué serait le successeur, il serait le guide du peuple, le conducteur du peuple.
Et là, le Seigneur lui donne cet encouragement. « Je ne te laisserai point. »
Je pense répéter encore deux fois dans l'histoire de Josué.
Conclusion, pour nous, au verset 6.
« En sorte que, plein de confiance, nous disions. »
Je veux encore résumer.
La cinquième instruction était que votre conduite soit sans avarice, sans l'affection pour l'argent,
étant content de ce que vous avez présentement.
Ça, c'est une instruction très importante, étant content de ce que vous avez présentement.
Et là, nous avons vu que les ressources sont dans le Seigneur, car Lui-même a dit « Je ne te laisserai point. »
Puis là, la prochaine instruction est donc « En sorte que, plein de confiance, nous disions. »
Le Seigneur est mon aide. Nous mettons notre confiance en Lui.
Le Seigneur est mon aide. Et je ne craindrai point. Que me fera l'homme?
Ça, c'est une autre citation. Et ça m'a frappé beaucoup.
C'est penser que le Seigneur est mon aide.
Dans Genèse 2, après la création d'Adam, Adam cherchait une campagne pour lui être en aide.
Puis Dieu lui donne cette campagne.
Ça, c'est par rapport à la création.
Mais ce qui m'a frappé beaucoup, c'est de voir que dans Exode 15,
où on voit le peuple sorti de l'Égypte, l'autre côté de la mer rouge,
où ils chantent ce cantique avec Moïse, c'est le premier cantique dans la Bible.
Le cantique basé sur la rédemption.
Là, ils disent « L'Éternel est ma force. »
Et ce mot « ma force » est aussi traduit souvent « mon aide ».
Et ainsi, on trouve cette même racine du mot, par exemple, dans le temps de Samuel,
lorsqu'il a lâché la pierre et le nézer.
« Jusqu'ici, le Seigneur, l'Éternel, nous a aidés. »
« Mon aide. »
Donc ainsi, cet exercice est réel.
C'était réel dans la vie de Moïse et du peuple racheté.
C'était une réalité dans la vie de Samuel.
Je donne encore un exemple.
Un chronique douze.
C'est vraiment frappant de voir cela dans la vie de David.
Comment il a expérimenté cela.
Un chronique douze.
Il y a plusieurs références à l'aide que David a reçues, mais je vais juste lire le verset dix-huit.
Un chronique douze, verset dix-huit.
« L'Esprit revêtit à Massaï, qui est le Seigneur. »
« L'Esprit revêtit à Massaï, qui est le Seigneur. »
« L'Esprit revêtit à Massaï, qui est le Seigneur. »
« L'Esprit revêtit à Massaï, chef des principaux capitaines. »
« Nous sommes à toi, David, et avec toi, fils d'Isaïe. »
« Paix, paix à toi, et paix à ceux qui t'aiment. »
« Car ton Dieu t'aime. »
Et David les a reçus et les a établis chefs de banque.
Mon point est maintenant ici.
Là, de la tribu de Benjamin, et le roi actuel, Saul, était le roi de la tribu de Benjamin.
Mais là, de la même tribu, il y en a qui sont venus à David et qui ont dit ici, « Car ton Dieu t'aime. »
Ils ont constaté que Dieu a aidé à David et c'est pour cela qu'il voulait être à son côté.
Il ne voulait plus être avec le roi Saul.
Donc c'est une leçon pour nous aussi.
Dans Hébreu, on verra la prochaine fois avec la question du quai.
Le quai, c'est comme le roi Saul et son armée.
Mais David est comme le Seigneur Jésus, en dehors de ce quai.
Puis là, nous verrons aussi la prochaine fois que chaque croyant va faire une décision.
Est-ce qu'on veut continuer avec Saul ou est-ce qu'on veut s'identifier avec le roi selon le cœur de Dieu, dans Dieu t'aime.
Et ainsi, cette question de l'aide, ce serait aussi un sujet pour étudier avec plus de passage, mais je vais arrêter maintenant là-dessus.
Et la deuxième pensée du verset 6, hébreu 13, verset 6 de Seigneur est mon aide.
Et je ne craindrai point.
Donc on met sa confiance en lui, puis là, on n'a pas besoin d'avoir peur.
Je ne craindrai point.
Qui a appris cela ?
C'est le père des croyants qui a appris ce principe, c'est Abraham.
Si Abraham a dû apprendre ce principe, je vais juste lire Genèse 15, verset 1.
Après ces choses, la parole de l'Éternel fut adressée à Abraham dans une vision, disant, Abraham ne craint point.
Moi je suis ton bouclier, ta très grande récompense.
Très grande récompense.
Si Abraham a dû apprendre cela, il est le père de tous les croyants.
Qu'est-ce que ça veut dire ?
Que nous, tous les croyants, nous devons apprendre la même leçon.
Il y a beaucoup de versets qui nous parlent de ne pas avoir peur, de ne pas craindre.
Je donne juste un exemple.
L'Éternel est ma lumière et mon salut.
De qui aurais-je peur ?
L'Éternel est la force de ma vie.
De qui aurais-je peur ?
Qu'est-ce que ça veut dire ?
La foi met sa confiance en Dieu.
Et là, toutes nos ressources sont là.
Mais c'est encore pour la foi.
Maintenant, je vais continuer au verset 7.
Donc on a vu ses instructions pour la simplicité de la vie de la foi, la pureté de la vie chrétienne.
Ça termine maintenant cette parenthèse qui nous parle de notre pratique.
Et maintenant il va continuer son enseignement au verset 7.
On peut dire le verset 7 est peut-être aussi encore le dernier verset de cette parenthèse.
Mais j'aime croire que c'est maintenant le début d'un nouveau passage.
Souvenez-vous de vos conducteurs qui vous ont annoncé la parole de Dieu.
En considérant l'issue de leur conduite, imiter leur foi.
On a vu dans cet épître que le Seigneur Jésus est notre grand conducteur.
Et la prochaine fois Dieu voulant, au verset 20, nous verrons encore le Seigneur Jésus comme ce grand pasteur des brebis.
La grandeur de notre conducteur.
On verra aussi comment le Seigneur Jésus est celui qui nous conduit hors du camp.
Ça c'est le Seigneur.
Mais il se sert des instruments.
Et ainsi il se servit d'abord des conducteurs qui étaient déjà décédés.
Qui ne vivaient plus à ce moment-là sur la terre.
Et ainsi cet appel.
Souvenez-vous de vos conducteurs qui vous ont annoncé la parole de Dieu.
Les douze disciples, les douze apôtres.
Probablement à ce moment-là il y en avait déjà qui étaient décédés.
Au moins Jacques, on sait par acte 12, Jacques était déjà décédé à ce moment-là.
Étienne, un autre conducteur, mais il n'était pas des douze apôtres.
Mais aussi un conducteur, Étienne était mis à mort, acte 7.
Et ainsi sans doute il y avait d'autres conducteurs qui avaient été déjà mis à mort.
Mais l'appel est donné ici au verset 7.
Souvenez-vous de vos conducteurs.
Ça ne veut pas dire qu'on ne va pas se souvenir du Seigneur.
Notre grand conducteur, ce n'est pas du tout la pensée.
J'aime beaucoup ce verset dans 2 Timothée 2, verset 8.
Souviens-toi de Jésus-Christ.
Résisté dans la mort de la Sainte Mère de David selon mon Évangile, etc.
Donc cet appel, souviens-toi de Jésus-Christ, est toujours réel pour nous.
Et d'autres passages aussi qui nous appellent à nous souvenir de Lui.
Ça m'a touché beaucoup de voir dans le discours de Paul à Éphèse, aux anciens d'Éphèse,
comment il dit plusieurs fois là, mais je donne un exemple,
où il parle de son exemple et il dit au verset 31,
c'est pourquoi veuillez vous souvenir que durant 3 ans je n'ai cessé nuit et jour d'avertir chacun de vous avec larmes.
Et aussi au verset 25-35, je vous ai montré en toutes choses qu'en travaillant ainsi,
il nous faut secourir l'Éphèse et nous souvenir des paroles du Seigneur Jésus,
qui lui-même a dit qu'il est plus heureux de donner que de recevoir.
Donc il y a deux références.
La première référence est de se souvenir de l'exemple de la peau de Paul.
La deuxième référence est de se souvenir des paroles du Seigneur Jésus, qui lui-même a dit.
Et ainsi donc dans Hébreu 13, s'il a dit souvenez-vous de vos conducteurs,
ça ne veut pas dire qu'on va maintenant oublier les autres instructions.
Non, ça s'ajoute, cette instruction est tout à fait en accord avec les autres instructions que nous avons lues.
Et souvenez-vous de vos conducteurs, on va le faire parce que ces conducteurs ont fait exactement ce que Paul a dit dans l'acte 20,
ils ont suivi aussi exactement les paroles du Seigneur Jésus.
Ainsi, on peut se souvenir de tel conducteur.
D'ailleurs, un petit détail, c'est beau ici, si on comprend que Paul était l'auteur d'Hébreu,
il ne cherche pas une place pour ça, ce serait tout un sujet à étudier, pourquoi ce nom n'est pas mentionné,
il respecte donc quand même les douze apôtres.
Il y en a qui pensent qu'il y avait un conflit entre Paul et les autres apôtres, ce n'est pas du tout vrai.
Et on voit avec Pierre, dans 2 Pierre 3, que Pierre répère à Paul qu'il avait écrit une lettre aux croyants,
auxquels Pierre avait aussi écrit une lettre, donc il y avait une bonne communion.
Souvenez-vous de vos conducteurs, et puis là il y a trois raisons pour lesquelles ils disent cela,
qui vous ont annoncé la parole de Dieu.
Donc, il faut se souvenir de ce qu'ils ont laissé comme message, ils vous ont annoncé la parole de Dieu.
La deuxième exhortation par rapport aux conducteurs qui ne vivent plus à ce moment-là,
c'est considérant l'issue de leur conduite.
Il faut contempler et évaluer, pas leur conduite mais l'issue de leur conduite,
donc ça veut dire la direction de leur conduite.
C'était aussi des hommes, avec des mains en commun, mais leur conduite était marquée par la foi.
On comprend encore, c'est une question de la foi, ces conducteurs ont marché par la foi,
et la direction de leur conduite, l'issue de leur conduite, c'est ça qu'on doit suivre.
Et ensuite, la troisième exhortation, imiter leur foi.
Il n'est pas dit imiter leur façon de faire, imiter leur conduite même, imiter leur foi.
C'est là la troisième instruction du verset 7.
Et c'est très pratique pour nous aussi.
Ce n'est pas la façon dans laquelle ils parlaient ou agissaient qu'on va imiter,
imiter leur foi, le moteur de leurs actions, la foi.
Donc, ça souligne encore une fois l'importance de la foi.
Et puis, je vais revenir à ça la prochaine fois du roulant, mais je vais quand même mentionner ce point-là.
Le mot conducteur, il veut dire quelqu'un qui conduit, leadership, qui donne la direction,
et c'est un mot qui revient pas mal souvent dans le Nouveau Testament.
Et on voit au verset 17, « Oubliez-vous à vos conducteurs ».
Là, c'est un appel aux croyants à se soumettre aux conducteurs qui vivaient à ce moment-là.
Donc, on va revenir à ça la prochaine fois du roulant.
Et aussi au verset 24, « Saluez tous vos conducteurs ».
On va laisser ça pour plus tard, mais j'avais à cœur encore de lire un verset concernant ce mot conducteur,
comme on voit cela dans le Nouveau Testament, deux places.
Mathieu 2, verset 6, et là, ça s'applique au Seigneur Jésus.
Mathieu 2, verset 6, c'est une citation de l'Ancien Testament, de la prophétie de Michée.
« Et toi, Bethléem, terre du Juda, tu n'es nullement la plus petite parmi les gouverneurs du Juda,
car de toi sortira un conducteur qui pètera mon peuple d'Israël. »
Ici, c'est donc le Seigneur Jésus lui-même qui est le conducteur pour son peuple.
Ici, c'est pour son peuple terrestre, pour son peuple d'Israël.
L'autre verset, on voit la pensée du conducteur, c'est dans Luc 22.
Puis là, c'est clair que ça se réfère au Seigneur Jésus aussi, dans Luc 22.
Au verset 26, il parle de ceux qui veulent être grands.
Mais il dit que le plus grand parmi vous soit comme le plus jeune, et celui qui conduit comme celui qui sert.
Voilà, celui qui conduit.
C'est dans l'original, encore, le même mot, et aussi en français, on voit le lien, celui qui conduit.
C'est le Seigneur Jésus.
Et il a été celui qui sert.
Verset 27, car lequel est le plus grand, celui qui est à table ou celui qui sert?
N'est-ce pas celui qui est à table?
Or, moi, je suis au milieu de vous comme celui qui sert.
Donc, il a pris une place d'humilité.
Lui, le vrai conducteur, il a pris une place d'humilité.
Et ainsi, Paul, un conducteur aussi, a pris une place d'humilité.
Il n'a pas même mentionné son nom.
C'est juste une suggestion, là.
Mais, souvenez-vous de vos conducteurs.
Le contexte du verset 17 nous montre que ça s'applique à ceux qui étaient déjà délogés pour être avec Christ.
Mais, il fallait donc se rappeler de ces trois choses.
Annoncer la parole de Dieu, considérer l'issue de leur conduite et imiter leur foi.
Mais, ça nous montre quand même l'importance de conducteurs.
Mais, ces conducteurs-là, il fallait qu'ils suivent l'exemple du Seigneur Jésus, le vrai conducteur.
Et qu'ils se placent ainsi comme serviteurs au milieu du peuple de Dieu.
Pas pour rayer sur le peuple de Dieu, comme des leaders aujourd'hui, dans l'histoire de l'Église, en fait.
Mais pour être au milieu du peuple de Dieu, pour les diriger en les servant.
C'est ça la pensée du Dieu.
Maintenant, au verset 8, Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui et éternellement.
C'est comme un bijou au milieu de cette épître.
Puis là, j'aimerais souligner, ici, l'emphase est sur l'humanité du Seigneur Jésus.
Lorsqu'on a étudié le début de cette épître, dans le chapitre 1, verset 12, nous avons vu,
Hebreu 1, verset 12, à la fin du verset 12, « Mais toi, tu es le même, et tes ans ne cesseront point. »
Là, on a vu, c'est une citation du Psalm 102, que le Seigneur Jésus, il est l'éternel.
C'est quelque chose que les témoins de Jehovah contestent.
Mais, c'est un des passages du Nouveau Testament qui nous montre que le Seigneur Jésus est l'éternel.
Et c'est exactement ça que les juifs contestaient.
Et encore aujourd'hui, ils ne veulent pas croire que le Seigneur Jésus est l'éternel.
Et qu'il est le Messie.
Ici, nous voyons donc l'emphase sur lui comme étant l'éternel lui-même.
Tandis que dans le chapitre 13, tout en gardant ce point de vue-là du premier chapitre, l'emphase est sur le Seigneur Jésus comme il est maintenant.
Jésus, l'homme humble de Nazareth, il est aussi le Christ, il est le Messie, malgré le fait que les juifs le rejettaient comme Messie.
Il est aussi Christ, c'est-à-dire «oint».
Et maintenant, dans la gloire, Dieu l'a «oint».
Donc, on a vu dans Hébreu 2, il est dans la gloire, couronné de gloire et d'honneur, il est le Christ, «oint» par Dieu.
Cet humble homme de Nazareth, Jésus, son nom veut dire l'éternel sauve ou est salu.
Là, on voit déjà un aspect de son humanité et de sa déité.
Ensemble, dans ce nom Jésus, un nom merveilleux, «Christ», un titre on pourrait dire que Dieu lui a donné, il a «oint», il est dans la gloire, mais il est le même.
Il est l'éternel, comme on a vu dans le chapitre 1er, il est le même, il va continuer et ainsi tout dépend de lui.
C'est ça que j'aimerais suggérer.
Tout dépend de sa personne.
Il est le même, hier, aujourd'hui et éternellement.
Si on regarde ses actions dans le passé avec Israël, si on voit sa position actuelle dans le ciel, si on regarde en avant le millenium, si on voit l'éternité à venir, tout dépend de lui.
Maintenant, il faut faire attention, il y a des croyants qui prennent ce verset-là pour dire, ok, donc, tout ce que le Seigneur Jésus a fait pendant sa vie, ça ne change pas, on doit faire ces choses encore exactement de la même façon.
C'est une fausse conclusion, ça c'est une conclusion humaine.
Et ça semble être vrai, basé sur ce verset-là, mais c'est une conclusion qu'on ne peut pas suivre.
Le fait que le Seigneur Jésus est le même ne veut pas dire qu'il agit toujours de la même façon.
Même dans son ministère sur la terre, il a changé d'approche.
Dans les actes, on voit qu'il a changé d'approche.
Comparer acte 2 avec acte 10 par exemple, les croyants parmi les juifs ou les croyants de la maison de Corneille, il n'a pas agi de la même façon.
Et ainsi, on doit faire attention de ne pas tirer de fausses conclusions de cette vérité merveilleuse.
On peut être d'accord, tout dépend de lui, il est le même.
Et puis, tout de suite il parle donc de ces dangers, ne soyez pas séduits ou déviés par des doctrines diverses et étrangères.
Il est ce roc qui ne change pas, mais nous on peut le changer, nous on peut être séduits et tirés de lui par des doctrines diverses et étrangères.
Donc là, il y a toujours des dangers et je voulais terminer donc avec cette ressource que nous avons dans le Seigneur Jésus qui est le même.
Et ces ressources sont par rapport à la grâce.
Il a dit, donc le côté négatif, ne soyez pas séduits par des doctrines diverses et étrangères, c'est donc des déviations.
En contraste avec cela, quelle est notre ressource? Car il est bon que le cœur soit affermi par la grâce.
Pourquoi le cœur? Parce que le cœur est le centre de notre être humain.
Si le cœur est en ordre avec Dieu, tout sera correct.
Le cœur va aussi diriger ma volonté, mes affections, mes émotions et mon intelligence.
Donc il faut que le cœur soit vraiment affermi ou fortifié ou confirmé.
Ce serait un mot très intéressant et étudié, ça revient huit fois dans le Nouveau Testament, confirmé ou affermi.
Encore par rapport à ce nouvel ordre de choses, huit fois.
Mais ce que moi j'aimerais faire maintenant, c'est juste résumer brèvement la grâce.
Donc on n'a pas besoin d'être nourri par les viandes, par des rituels, comme c'était encore le cas dans le judaïsme, et on va revenir à ça la prochaine fois.
Non, nous avons toutes nos ressources en Jésus-Christ, qui est le même.
Et ainsi nous avons besoin d'être affermis par la grâce, pas par des doctrines diverses qui semblent être correctes, mélange du judaïsme avec le christianisme par exemple, ou quoi que ce soit.
Non, notre cœur confirmé, affermi par la grâce.
Et cette grâce se trouve huit fois dans l'hébreu.
C'est remarquable, juste brièvement.
Chapitre 2, verset 9, dans la grâce de Dieu, il a souffert, le Seigneur Jésus.
Dans chapitre 4, verset 16, le trône de la grâce, nous voyons le Seigneur Jésus assis.
Puis de là, nous recevons la grâce pour avoir du secours au moment opportun.
C'est pour notre cheminement, c'est la troisième fois.
Ensuite, chapitre 10, verset 29, l'esprit de grâce.
On ne doit pas offenser ou mépriser l'esprit de grâce.
Là on voit donc l'esprit en rapport avec le temps de la grâce où nous vivons.
L'esprit est un esprit de grâce.
On ne va pas mépriser.
Ensuite, la dernière fois, on a vu donc, chapitre 12, verset 15, le danger qu'on manque de la grâce de Dieu.
La grâce de Dieu est là, c'est disponible.
Mais le danger pour nous est qu'on manque de cette grâce, pratiquement.
C'est pour ça qu'on a vu, ça c'est donc le... …
Transcripción automática:
…
C'est parti, parce qu'il y a beaucoup de points à couvrir, donc on va juste résumer les points.
Je vais vous expliquer quelques détails, c'est très riche.
Je voulais juste lire, pour commencer, le verset 20 et 21.
Or, le Dieu de paix, qui a ramené d'entre les morts le grand pasteur d'Ébreuville,
dans la puissance du sang de l'alliance éternelle, notre Seigneur Jésus,
vous rende accompli en toute bonheur au Père sa volonté, faisant en vous ce qui est agréable devant lui, par Jésus Christ,
auquel soit la gloire aux siècles des siècles. Amen.
Maintenant, je vais commencer par le verset 10, mais je veux d'abord dire quelques mots concernant l'Épitre dans son ensemble.
On a vu dans cet Épitre une présentation de la personne merveilleuse de notre Seigneur Jésus.
Et comme nous avons exprimé dans le cantique, la parole nous présente cette personne merveilleuse.
Ensuite, nous avons vu aussi la grandeur de son œuvre, surtout par rapport au sacrifice pour le péché, mais aussi l'Holocauste.
On va revenir encore à cette œuvre par rapport à la pensée qu'on verra tantôt, du sacrifice de prospérité, du sacrifice de la paix.
Ensuite, nous avons vu l'application pratique de ces vérités que l'auteur nous présente dans cet Épitre.
À trois égards, on a vu la première application, c'est que nous avons un libre accès dans le ciel même. Pourquoi ?
Parce que Dieu a reçu Christ. Dieu l'a couronné de gloire et d'honneur. Hébreux 2.9, nous voyons Jésus couronné de gloire et d'honneur.
Et ainsi, Dieu nous a ouvert le ciel. Il a ouvert le ciel pour le Seigneur Jésus, on verra tantôt, rejeté sur la terre, mais reçu dans le ciel.
Donc nous avons ce libre accès maintenant. Nous avons vu dans chapitre 10, 19 et suivant, que nous avons maintenant le Seigneur Jésus comme le grand conducteur.
Il nous conduit, justement, dans le ciel. Dans ce sens-là, on est encore sur la terre, mais le ciel a été ouvert et le Seigneur nous conduit pour voir dans le ciel sa gloire.
Et pour être des adorateurs dans la présence de Dieu. On a vu cela dans chapitre 10.
Ensuite, nous avons vu à la fin du chapitre 10 et aussi chapitres 11 et 12, que nous sommes sur la terre.
Et pour le croyant, le monde est un désert. Et là, nous avons besoin du Seigneur Jésus encore comme conducteur, pour nous conduire comme il a conduit par Moïse Israël à travers le désert.
Dieu nous conduit par le Seigneur Jésus maintenant à travers ce monde. Un grand conducteur.
Et nous avons vu que le Seigneur Jésus a accompli la course lui-même. Il est notre modèle parfait. Il est maintenant dans la gloire.
Mais ce soir, nous voyons le Seigneur Jésus encore sous un autre aspect, aussi comme conducteur.
Et c'est remarquable que c'est dans un chapitre qui mentionne les conducteurs parmi les croyants, trois fois.
Là, nous voyons le Seigneur Jésus comme le grand conducteur qui nous conduit en dehors du camp.
On a vu la dernière fois donc, un peu, que le Seigneur Jésus est le même, verset 8.
Hier, aujourd'hui et éternellement, ce verset est souvent mal interprété. On a vu dans Hébreu 1 que le Seigneur Jésus est le même parce qu'il est Dieu.
Ici, nous le voyons aussi comme homme. Et il est le même en personne. Mais ça ne veut pas dire que ses façons de faire sont toujours les mêmes.
Et ensuite, on a vu au verset 9, la dernière fois, qu'il y a un avertissement, ne soyez pas séduits par des doctrines diverses et étrangères.
L'ennemi est toujours là pour nous influencer par des doctrines diverses et étrangères.
Au lieu de cela, il est bon que le cœur soit affirmé. Le cœur, c'est le centre de notre être. C'est le centre qui doit être en ordre.
Si le centre est en ordre, tout va être en ordre. Si le cœur est en ordre, l'intelligence, les émotions, la volonté sera en ordre aussi.
Et ce cœur a besoin d'être affirmé ou fortifié par la grâce. On a noté la dernière fois que cette grâce est vraiment caractéristique pour ce nouvel ordre de choses.
On n'est pas sous la loi d'Louise, on est sous la grâce. Ça ne veut pas dire qu'on n'est pas sous aucune loi, on est sous la loi de Christ, mais c'est marqué par la grâce.
Et cette grâce s'ensemble donc avec ce nouvel ordre de choses que Dieu a introduit à cause de cette œuvre que le Seigneur Jésus a racontée.
Et à la fin du verset 9, il y a une référence au judaïsme, les viandes lesquelles n'ont pas profité à ceux qui y ont marché.
Il continue maintenant cette référence au verset 10 pour tracer le contraste entre ces deux systèmes.
Si j'utilise le mot système, ça ne veut pas dire qu'on veut rabaisser la qualité du christianisme, c'est juste pour comparer le judaïsme comme système avec le christianisme comme un système que Dieu a donné.
Et ainsi nous avons ces deux au verset 10.
Nous avons un autel.
Ce serait intéressant d'utiliser tous les passages d'un nouveau testament où nous avons, ça c'est le privilège chrétien, les droits que les chrétiens ont maintenant selon les pensées de Dieu.
Nous avons, dans cet épitre il dit nous avons une bonne conscience, on le verra peut-être au verset 18.
Nous avons, c'est la pratique chrétienne qui va ensemble avec la position chrétienne.
Une position chrétienne selon les privilèges chrétiens que Dieu donne, c'est nous avons.
Qu'est-ce que nous avons ? Un autel.
Qu'est-ce que ça veut dire ? Est-ce que c'est un autel dans l'église ? Est-ce que c'est un autel comme Israël avait dans le désert ? Non.
L'autel est vraiment une référence à Christ.
C'est lui qui a été le sacrifice qui a été offert sur l'autel, mais il a été l'autel aussi.
On peut voir cela dans l'Ancien Testament, dans les images de l'Ancien Testament, que l'autel nous parle d'une personne divine qui est à la fois une personne humaine, le Seigneur Jésus.
Dieu est homme dans une seule personne.
Et c'est sur cet autel que le sacrifice a été offert.
Donc l'autel nous parle de Christ dans sa capacité pour porter, pour soutenir le don qui a été présenté là.
Et le Seigneur est les deux. Il est l'autel et il est le sacrifice.
Et dans ce verset, c'est le sacrifice de prospérité, le sacrifice qui parle de la paix, de la communion que Dieu a maintenant avec nous.
Et nous avons un autel dont ceux qui servent le tabernacle, ça c'est une référence au judaïsme que Dieu avait donné d'ailleurs.
Mais ce judaïsme avait rejeté leur propre messie qui est venu.
Les siennes ne l'ont pas accepté et ainsi Dieu a maintenant rejeté ce judaïsme qui avait rejeté son messie.
En contraste avec cela, nous avons, c'est le christianisme.
Nous avons un autel et ce n'est pas seulement ce que le Seigneur Jésus a fait dans le passé, mais cet autel nous parle des résultats pour nous aujourd'hui.
Une communion que nous pouvons avoir maintenant avec Dieu qui est appelé le Dieu de paix verset 20.
Que nous pouvons avoir avec le Seigneur Jésus qui est maintenant dans la gloire.
Il est le grand sacricateur dans cet épître et que nous avons les uns avec les autres.
Cet autel est le centre de cette communion basée sur ce sacrifice une fois pour toutes et maintenant nous pouvons avoir cette communion comme je dis tantôt.
Mais ceux qui appartiennent au tabernacle, ceux qui servent le tabernacle.
Le tabernacle parle de cet ancien système, est utilisé 7 fois dans cet épitre, dans ce sens là.
Le mot tabernacle est utilisé 3 fois pour indiquer le nouveau système.
Donc il faut toujours lire avec beaucoup de soin pour voir quelle référence est faite.
Par exemple le mot servir, au verset 20, qui serve le tabernacle.
C'est quelques fois aussi utilisé pour les chrétiens aujourd'hui.
Donc il faut toujours lire avec beaucoup de soin, beaucoup d'attention pour savoir si ça se réfère à l'ancien système comme ici, qui serve le tabernacle.
Ou si les mots réfèrent à ce nouveau système.
En tout cas ce vieux système là, ceux qui servent là n'ont pas le droit de manger.
Le manger c'est un autre privilège, parce que vous voyez ce sacrifice de prospérité ou de paix était aussi un repas.
Et ce repas était donc partagé avec Dieu, avec le sacrificateur, celui qui a offert le sacrifice avec une part.
Tous ceux qui étaient purs parmi le peuple, parmi la famille sacerdotale, mais aussi parmi le peuple, avaient donc en principe une part dans ce sacrifice.
C'est ça qu'on voit ici au verset 10.
Nous avons le droit de manger, mais eux qui servent le tabernacle n'ont pas le droit de manger de cet hôtel,
qui va ensemble avec le nouvel ordre de choses, les nouvelles bénédictions que Dieu donne basées sur cette heure accomplie.
C'est une grande différence.
Mais ce qui était difficile pour les croyants à ce moment là, lorsque l'Épitre a été écrite, les deux systèmes étaient là à la fois, à Jérusalem.
Il y avait les vrais croyants, les chrétiens, en même temps il y avait le judaïsme qui fonctionnait encore en toute forme.
Donc les deux étaient là à ce moment là, et il fallait faire un choix.
Pour nous c'est clair maintenant, nous appartenons à ce nouveau système, nous avons un hôtel.
Et maintenant on va voir une parenthèse, verset 11 jusqu'au verset 14, on va parler de plusieurs détails.
Ensuite ce privilège que nous avons, on va continuer au verset 15, offrons donc par lui sans cesse à Dieu un sacrifice louant.
Là on va voir que l'hôtel des reins, comme dans l'Ancien Testament, était lié à l'hôtel pour faire brûler l'incense, les deux hôtels vont ensemble.
L'hôtel qui présente le sacrifice que Dieu a accepté, va ensemble avec l'hôtel qui fait brûler l'incense pour l'adoration, pour glorifier Dieu, ce qu'on trouve au verset 15.
Mais entre ces deux versets il y a donc cette parenthèse des versets 11, 12, 13 et 14.
Et c'est vraiment important de pouvoir suivre le raisonnement.
Au verset 11 il réfère au sacrifice qui était offert pour le péché.
Les cordes de ces animaux là, qui étaient donc offerts un sacrifice pour le péché, le sang est porté pour le péché, le sang est porté dans le Dieu Saint, mais leur corps était brûlé hors du cain.
Donc là on voit donc deux choses.
Le sacrifice pour le péché, ce n'est pas donc le sacrifice du verset 10 de Prospérité, mais maintenant il parle du sacrifice pour le péché, comme on voit dans l'Évitique 4, dans l'Évitique 16.
Il y a deux choses qui sont mentionnées.
Le sang est porté dans le Dieu Saint, comme l'œuvre de Christ a été acceptée dans le ciel même, et Christ peut maintenant, il est assis dans la gloire, c'est basé sur ce sacrifice.
Il a ôté le péché.
Mais la deuxième chose, le corps de ce sacrifice était brûlé hors du cain.
Là, dans ce contexte là, le cain était un lieu pur.
Dans l'Ancien Testament, on voit par exemple, dans l'Ombre, que ceux qui étaient impurs, il fallait qu'ils partent du cain.
Et que Moïse et le chef, il fallait qu'ils fassent attention qu'aucune personne impure soit au milieu du cain.
Donc, soit les lépreux, soit ceux qui étaient impurs par des associations mauvaises, quoi que ce soit, on voit dans l'Ancien Testament qu'ils étaient hors du cain.
Ici, dans le verset 11, le cain parle d'un lieu pur parce que Dieu habitait là.
On peut voir ça clairement dans l'Évitique et dans l'Ombre.
C'est expliqué clairement, le cain était pur parce que Dieu était là.
Mais, ce qu'on voit maintenant au verset 12, ce cain est devenu un système religieux qui a rejeté le seul pur.
L'homme pur et juste, le Seigneur Jésus, a été rejeté de ce cain là.
Donc, dans le verset 12, il y a un changement dans ce sens là que le cain, qui était le cain d'Alain, c'est un testament pur, où Dieu habitait, est devenu maintenant un système impur,
qui a rejeté le seul et unique, donc la seule et unique personne qui était pure, le Seigneur Jésus.
Verset 12, c'est pourquoi aussi Jésus, afin qu'il sanctifia le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte.
Donc, la porte veut dire la ville a jeté dehors le Seigneur Jésus, comme on voit dans les Évangiles.
C'est vrai aussi, dans sa grandeur, comme on voit dans Jean, il est sorti lui-même.
Mais, le système comme tel l'a rejeté.
Mais, il y a quelques détails que je veux mentionner ici.
Il y a le résultat de cette œuvre en même temps.
Quoique, selon la responsabilité de l'homme, c'était un système, le judaïsme est devenu un système qui a rejeté le propre Messie.
On voit qu'à travers cela, Dieu a accompli ses plans.
Les hommes uniques ont crucifié le Seigneur Jésus, mais c'était selon le plan de Dieu.
Dieu a ainsi accompli son plan.
Le verset 12, c'est pourquoi aussi Jésus.
C'est encore une fois le nom Jésus qui revient neuf fois dans cette épître, dans toute sa sainticité, de telle grandeur.
C'est pourquoi aussi Jésus, afin qu'il sanctifia le peuple.
Ici, le peuple, c'est les vrais croyants, c'est le peuple du Dieu.
Ce n'est pas le peuple juif comme tel, mais c'est les vrais croyants, par son propre Saint.
Donc le mot sanctifier, je ne peux pas entrer dans tous les détails, mais juste mentionner cela.
C'est un mot clé pour cette épître.
Ça revient sept fois.
Sanctifier, mettre à part.
Ça c'est une pensée clé pour l'épître que je veux.
Dieu veut donc mettre à part un peuple pour lui-même.
Sur la base de ses sacrifices du Seigneur Jésus.
Notons aussi, par son propre Saint, en contraste avec les sacrifices comme on a vu dans chapitres 7 et 9,
au lieu que le Seigneur Jésus amène un sacrifice pour lui-même, comme les sacrificateurs dans l'Ancien Testament,
il s'est donné lui-même un sacrifice.
Et c'est souligné ici par le fait qu'il est mentionné par son propre Saint.
Je pense que le mot Saint revient 21 fois dans cette épître.
Et c'est aussi un mot clé.
Mais ici c'est son propre Saint.
Ce n'est pas le Saint d'un animal.
Le sacrificateur a offert un animal pour le peuple ou pour lui-même.
Et le Saint, ce n'est pas son propre Saint.
Avec le Seigneur Jésus, nous voyons qu'il s'est offert lui-même.
Et il a fait couler son propre Saint, le Saint de Christ.
Ce serait aussi une étude en soi, d'étudier tous les passages qui nous parlent du Saint, du Seigneur Jésus, du Saint de l'agneau.
Ensuite, il a souffert.
Qui peut sonder les souffrances du Seigneur Jésus?
On peut penser à ces animaux qui étaient sacrifiés dans l'Ancien Testament.
Dans l'Ancien Testament, des milliers d'animaux, des sacrifices qui étaient nécessaires.
Est-ce que ces sacrifices ont souffert?
Ils ont été tués dans un coup.
C'était fini.
Mais le Seigneur Jésus a souffert des souffrances insondables.
C'est impliqué dans ce verbe ici.
Il a souffert.
Ensuite, hors de la porte.
La porte nous parle de l'autorité.
Dans Matthieu 16, le Seigneur Jésus parle des portes, d'une hadès.
Ça représente le système de Satan et sa puissance, son autorité.
Il ne peut pas prévaloir l'Église qu'il faut bâtir.
Mais ici, la porte parle donc d'un système religieux qui a jeté dehors le Seigneur Jésus.
C'est l'autorité religieuse.
On voit cela dans les Évangiles.
Je donne juste un exemple.
Dans Matthieu 12, le Seigneur Jésus a convaincu la multitude qu'il était vraiment le Messie.
Il a donné beaucoup de preuves qu'il était le Messie.
Mais à ce moment-là, il a guéri un homme qui était aveugle.
Il ne pouvait pas parler. Il était muet.
Et il possédait un mauvais esprit.
Le Seigneur a guéri cet homme.
Il délivrait ce mauvais esprit.
La multitude était convaincue que c'était le Messie.
Les chefs du peuple ont dit qu'il avait fait cela par Béelzebub.
Donc là, nous voyons comment ce peuple était sous l'influence du méchant.
Et sous cette influence, ils l'ont jeté dehors le Seigneur Jésus.
La porte nous parle donc de l'autorité.
Et les chefs, dans leur autorité, ils ont décidé de le jeter dehors.
Comme ils l'ont fait plus tard avec Étienne.
On le voit dans l'acte 7.
Et ce serait aussi un mot important d'étudier les passages qui nous parlent de la porte.
Ici, ce système a rejeté le Messie.
Et il est hors de la porte.
Mais là, deux pensées.
La première pensée, hors du cain, verset 11.
Et hors de la porte, les deux vont ensemble.
Vous comprenez ?
Hors du cain, hors de la porte.
Et là, il y a deux choses.
La première chose, c'est là où le Seigneur Jésus a subi le jugement.
Hors du cain, c'était la place où ces animaux étaient brûlés.
Ça parle du jugement.
Et hors du cain, c'était une place pure où ce jugement était exécuté.
Hors du cain, c'est la seule place sûre et certaine pour le croyant.
Parce que là, le jugement a été exécuté.
Le Seigneur Jésus a subi le jugement de Dieu.
Et hors du cain est la seule place de sécurité.
Là, le jugement a été exécuté.
Vous voyez, la ville serait encore pour être brûlée.
Quarante ans après la mort du Seigneur Jésus, la ville de Jérusalem et le temple ont été brûlés, détruits.
Parce qu'ils ont rejeté leur propre Messie.
Et là, ils ont subi le jugement de Dieu.
Le Seigneur avait annoncé cela.
Vous pouvez lire cela dans Luc 21.
Lorsque vous allez voir la ville entourée des armées, là, il faut fuir.
Et c'était une indication pour les croyants qui ont reçu l'Épître aux Hébreux.
Lorsque les armées romaines sont venues, autour de l'année 65, ils ont assiégé la ville.
Puis là, les armées se sont retirées.
Puis là, les croyants sont partis.
Aussi de la Judée. Pas seulement de la ville, mais aussi de la Judée.
Environ cent mille personnes sont allées de l'autre côté du Jourdain, dans une ville, Pella.
Et là, ils sont restés jusqu'après la destruction de la ville et du temple.
Donc, hors du quai et hors de la porte.
Hors du quai, le jugement a été exécuté là.
C'est la seule place où on peut être en sécurité.
Hors de la porte veut dire aussi, en dehors de ce système religieux,
qui était encore sous le jugement de Dieu, qui allait subir le jugement de Dieu.
Maintenant, verset 13.
Ainsi donc, sortons vers lui.
Il y a maintenant la conclusion de ces deux arguments.
Pour aller à la seule place sûre et certaine où le jugement a été exécuté,
il faut sortir hors du quai et aussi hors de la porte.
C'est ça l'appel maintenant au verset 13.
C'est maintenant un appel volontaire.
Le Seigneur Jésus a été jeté dehors, mais pour le croyant, au verset 13,
le fait que le Messie a été jeté dehors,
veut dire, moi je ne peux pas rester au milieu d'un système qui a rejeté mon propre Messie.
Il faut que je parte.
C'est ça un peu le raisonnement du verset 13.
Il n'est pas jeté dehors, mais il part de lui-même.
On voit cela déjà avec Moïse dans exode 33.
Dans exode 32, le peuple avait introduit un idole, le Vaudor.
Tout le camp est devenu impur.
Moïse ne pouvait pas revenir là.
Et ainsi Moïse a placé l'attente d'assignation pour être réuni en dehors du camp.
C'est une illustration pour nous de ce principe-là.
Moïse a compris tout de suite, je ne peux pas m'identifier avec le camp dans son péché.
Il faut être dehors, en dehors du camp, pour être réuni avec Dieu,
pour avoir la communion avec Dieu.
Et là, il y avait seulement deux personnes à ce moment-là.
On va parler de l'application tantôt.
À ce moment-là, il y avait juste deux personnes qui étaient en dehors du camp.
C'est Moïse et Jésus.
Et ainsi, Moïse a fait la bonne conclusion.
Maintenant, le verset 13 nous présente un appel pour faire la même conclusion.
Ainsi donc, sortons vers lui.
On peut parler d'Abraham qui est sorti de l'île de la Cré, Genèse 12.
On peut parler de Babylone, Apocalypse 18.
Sortez mon peuple.
Mais pour nous, l'appel aujourd'hui est aussi, sortons vers lui, hors du camp.
On voit ce principe par exemple avec les dix vierges.
Elles sont sorties à la rencontre de l'époux, Matthieu 25.
Le Seigneur Jésus, il fait sortir les brebis dans Jean X.
Sortir du judaïsme.
Là, on voit une illustration de cela.
Dans Jean X, le Seigneur Jésus a fait sortir les brebis de la bergerie.
Pour que lui soit le berger qui n'a pas besoin d'une bergerie.
Il est le berger, il attire les brebis à lui-même.
Et il est suffisant.
Il n'a pas besoin d'un système religieux pour attirer les gens.
Il est suffisant.
Et ainsi, il s'est souligné vers lui.
Sortons, ça c'est maintenant l'appel qui s'adresse à nous.
A faire cette conclusion-là.
A sortir.
Mais ce n'est pas seulement négatif.
Ce n'est pas pour dire, OK, il faut se séparer du judaïsme.
Il faut se séparer de l'idolâtrie.
Il faut se séparer de ça, et de ça, et de ça.
C'est vrai.
Mais l'emphase est sur une personne qui nous attire.
C'est qui?
Vers lui, le Seigneur Jésus.
Il est cette personne qui nous attire.
Tire-moi, les pauvres disent dans Cantiques des Cantiques.
Et nous allons suivre.
Nous courrons après toi.
C'est une puissance attractive que nous avons dans le Seigneur Jésus, ici.
Et ce serait beau de voir dans le Nouveau Testament, et aussi dans l'Ansagestement,
tous les passages qui nous parlent de ce principe.
Qu'il nous appelle pour le suivre.
Qu'il nous attire.
Venez à moi, vous qui êtes fatigués et chargés.
Venez à moi, il est le centre.
Ou ceux qui ont soif.
Venez à moi, vous qui avez soif et buvez.
J'en sais.
Pierre en parle, 1 Pierre 2.
Si vous avez goûté que le Seigneur est bon.
Approchez de lui.
Nous pouvons nous approcher de lui.
Nous pouvons venir à lui.
Nous pouvons sortir vers lui.
Nous pouvons aller vers lui.
Parce qu'il nous attire.
Mais c'est hors du camp.
Le Seigneur Jésus n'a pas de place dans le camp.
Maintenant je veux donc venir à ce point de l'application.
Parce que nous ne sommes pas dans le judaïsme.
Et le judaïsme a été mis de côté par Dieu dans ce jugement dans l'année 70 en principe.
Mais le judaïsme est encore autour.
Ça existe encore aujourd'hui comme système religieux.
Mais nous voyons que le camp a été imité dans la chrétienté.
Et pour faire l'application actuelle pour nous aujourd'hui,
nous devons donc comprendre que les mêmes principes du camp religieux du temps du Seigneur Jésus,
ces mêmes principes ont été imités par la chrétienté.
Et ainsi l'appel reste valable pour nous aujourd'hui encore, sortant vers lui.
On ne peut pas s'identifier avec, même si c'est un système religieux avec toutes les bonnes doctrines,
mais si on se réunit parce qu'on a les bonnes doctrines,
ce n'est pas la base qu'on voit ici.
Ou si nous sommes dans un système religieux qui a imité le judaïsme,
et qu'est-ce que c'est, juste pour donner deux exemples,
Dieu est dehors, l'homme est important, et il n'y a pas un accès direct vers Dieu.
Avec le judaïsme, il y avait donc le besoin d'un médiateur.
Mais nous avons vu dans cette épître que le Seigneur Jésus a ouvert l'accès.
Nous n'avons pas besoin de médiateur, sauf lui, parce que tout ce que nous pouvons faire, c'est par lui.
On va voir ça au verset 15.
Mais nous avons un accès direct.
Et s'il y a donc un système religieux où nous avons besoin d'un prêtre pour s'approcher de Dieu,
c'est comme un système, comme on le voit dans le judaïsme,
il s'est imité, le judaïsme est imité.
Là, on n'a pas de place non plus.
Donc l'emphase ici est sur la personne du Seigneur Jésus.
Sortons vers lui.
Pour quelque chose qu'on va imiter de ce système religieux dans ce temps-là,
le Seigneur n'aura pas de place.
Il faut qu'il ait toute la place.
Il faut qu'il ait la seule place.
C'est un grand défi pour nous.
Sortons vers lui hors du cas.
Quel privilège en même temps.
Mais ça va ensemble avec une grande responsabilité,
qu'on voit à la fin du verset 13, au début du verset 14,
portant son autre rôle.
Portant son autre rôle.
Ça va être un grand privilège d'un côté,
d'avoir la communion avec le Seigneur Jésus de cette façon-là.
Ça va être aussi avec l'opprobre de la part du monde religieux.
Et on voit cela encore aujourd'hui avec les juifs chrétiens
qui sont persécutés par les chefs religieux.
Tout le temps.
Ça existe encore aujourd'hui.
L'opprobre tout de suite.
Mais si nous voulons être fidèles au Seigneur Jésus,
on sera prêts à payer le prix,
pas par notre propre force, mais par la force qu'il nous donne.
Portant son autre rôle.
L'opprobre revient plusieurs fois dans cet épitre,
mais je ne veux pas prendre trop de temps maintenant
pour parler de chaque mot.
Je veux juste résumer en dix points
les privilèges de la communauté des croyants qui est en dehors du camp.
La première chose est au verset 12.
Et vous allez voir sur la liste que je vais donner ces points-là.
Vous pouvez encore étudier après avec cette liste.
Le premier point donc, c'est un peuple sanctifié, verset 12.
Un peuple mis à part.
Le deuxième point, c'est au verset 13, sortant vers lui.
J'ai essayé d'expliquer ça un peu.
Le Seigneur, le centre attractif.
Le troisième point, c'est la conséquence de sortir vers lui.
C'est portant son opprobre.
Parce que cette position n'est pas respectée
et appréciée par le monde religieux.
Maintenant le verset 14.
Car nous n'avons pas ici des cités permanentes.
Un peuple de pèlerins.
Ça c'est le quatrième point.
Nous sommes un peuple de pèlerins.
Les juifs, à ce moment-là, les juifs chrétiens qui habitaient à Jérusalem,
il fallait qu'ils réalisent cela.
Nous n'avons pas ici des cités permanentes.
Ils étaient dans une cité, Jérusalem.
Mais cette cité était pour être détruite.
Et c'est pour ça que l'auteur dit
nous n'avons pas ici des cités permanentes.
Mais nous recherchons celle qui est à venir.
Là on a vu aussi dans le passé que nous recherchons une autre patrie.
Ici c'est une cité qui est à venir.
On a vu au chapitre 12 que cette cité est déjà là.
Nous avons un lien avec cette cité, déjà maintenant.
Mais dans le temps, cette cité est encore à venir.
Et nous appartenons déjà à cette cité qui est encore à venir.
Et c'est pour cela que nous sommes des pèlerins.
Nous sommes en route pour le ciel.
Nous sommes des étrangers aussi.
Nous n'avons pas de cité permanente ici.
Donc ça c'est le quatrième point.
Le cinquième point est maintenant au verset 15.
Puis là on a donc la parenthèse qui est maintenant terminée.
Et le verset 15 va ensemble avec le verset 10.
Le verset 10 qui est parlé du privilège chrétien.
Nous avons un autel.
Et là on a vu notre communion avec Dieu, les uns avec les autres, la communion avec Christ.
Et maintenant, par rapport à cela, ce cinquième point, c'est l'adoration.
Offrons donc par lui sans cesse à Dieu.
Chaque mot est important.
Offrons donc, c'est un appel.
Et de tels appels, je pense qu'il y en a 14 dans cet épitre qu'on appelle optative.
C'est des choses qui sont placées comme un appel, mais en même temps un désir.
Et ainsi, nous sommes appelés à offrir, et c'est un désir de nos coeurs.
Offrons donc.
Le Père cherche des adorateurs, et nous pouvons maintenant donner une réponse.
Offrons donc.
Ce mot offrir est le même verbe qui est utilisé pour le Seigneur Jésus lorsqu'il s'est offert à Dieu en sacrifice.
Et ici, ce même verbe est donc utilisé pour les sacrifices de louanges que nous pouvons offrir à Dieu.
Deuxième chose, par lui.
Nous n'avons rien sans lui.
Nous ne pouvons rien faire sans lui.
Le Seigneur le dit aussi dans Jean 15, verset 4.
«Séparé de moi, vous ne pouvez rien faire.»
Et ainsi, même si nous voulons offrir ce sacrifice de louanges, nous n'avons pas la capacité en nous-mêmes.
C'est par lui.
Et il va nous qualifier, il va nous aider.
Il est ce grand conducteur, qu'on a vu au chapitre 10, qui nous conduit dans la présence de Dieu.
Il est le grand sacrificateur, le ministre du sanctuaire.
Tout ce qui se fait dans le ciel est par lui.
Et ainsi, nous avons ce service d'adoration par lui.
Mais c'est un service qui est sans cesse, et qui devrait être sans cesse.
C'est une réponse à cette heure merveilleuse.
Une réponse qui va continuer pour toute l'éternité.
Ça m'a frappé ce matin.
Sans cesse, que nous allons adorer.
Sans cesse.
Ici, sur la terre, notre adoration est souvent intrompue, par quelle raison que ce soit.
Mais dans le ciel, ce sera sans cesse.
Mais le défi est placé déjà devant nous, que ce soit déjà maintenant.
Sans cesse.
Une adoration qui continue sans cesse.
Et si nous voyons le peuple de Dieu à travers le monde, avec les 24 zones d'heures différentes,
on peut s'imaginer aussi, littéralement, que aujourd'hui, ce sacrifice de louanges continue 24 heures par jour.
Même si nous manquons, à un moment donné, il y en a d'autres qui vont continuer.
Et ainsi, ce sacrifice de louanges continue déjà maintenant sur la terre.
Sans cesse.
Ça, c'est la grâce de Dieu, évidemment.
Il a dit, offrons donc, par lui, sans cesse, à Dieu.
Cette expression « à Dieu », selon le texte grec, utilisée huit fois.
Parce que, oui, le nombre huit va ensemble avec le nouvel ordre que Dieu a introduit.
Nous avons maintenant ce libre accès pour venir dans la présence de Dieu.
Offrir à lui un sacrifice.
Mais c'est maintenant un sacrifice de louanges.
Ce sacrifice va ensemble avec le verset 10.
Nous avons un hôtel.
Sur cet hôtel sont offerts maintenant les sacrifices de prospérité, de louanges.
On peut comparer cela avec la table du Seigneur, dans 1 Cor. 10.
Mais c'est quand même un contexte un peu différent.
Puis là, on aurait la tendance de penser à ça une fois par semaine.
Ici, c'est quelque chose de constant.
Il y a quand même un lien avec 1 Cor. 10, par rapport à l'idée de l'hôtel.
Parce que l'hôtel est la table qui nous parle de la communion.
La communion avec Dieu.
La communion avec les membres du peuple de Dieu.
Mais il y a aussi ce lien, comme j'ai dit tantôt, avec l'hôtel, pour faire brûler l'incense.
Ce service d'adoration sans cesse à Dieu.
Les deux vont ensemble.
Louanges.
Louanges, c'est un mot, je ne sais pas combien de temps ça revient,
mais ici c'est présenté comme un sacrifice.
Donc, une louange, ce n'est pas juste quelque chose de répété ou qu'on a appris,
ou un formulaire, une formule qu'on dit.
Mais c'est vraiment quelque chose qui va ensemble avec un sacrifice,
qui nous coûte quelque chose.
Donc ça prend un effort spirituel.
Ça prend vraiment de l'énergie.
On pense à Abraham qui a dû monter 3 jours avant qu'il ne sacrifie, dans Genèse 22.
C'est un effort.
Et ainsi, ce sacrifice de louange nous parle de cet effort spirituel qui est nécessaire.
Mais c'est aussi quelque chose d'audible, c'est-à-dire le fruit des lèvres
qui confesse son nom ou qui bénisse son nom.
Donc là on voit que ce qui est dans le cœur doit être entendu aussi par la bouche.
Les deux vont ensemble.
Ça m'a frappé encore cette semaine, vendredi on avait une étude sur le salut.
On avait par exemple le verset dans Romain X,
ce qu'on croit au cœur et ce qu'on confesse par la bouche.
Les deux vont ensemble.
Ici, ce qui est dans le cœur, l'adoration, la reconnaissance,
vont ensemble avec ce qui est dit par la bouche, les lèvres.
Vous voyez, les deux vont ensemble, on ne doit pas les séparer.
Donc le cinquième point est ce service d'adoration.
Un peuple en dehors du cain, mis à part et marqué par ce sacrifice de louange.
Le sixième point, ce peuple est marqué aussi par le verset 16,
n'oubliez pas la bienfaisance et de faire part de vos biens.
Là il y a une communion pratique dans les choses de la vie.
Car Dieu prend plaisir à de tels sacrifices, là encore sacrifices,
pour aider ceux qui sont dans les besoins, pour avancer l'œuvre de Dieu,
de quelle façon qu'on puisse le voir, il y a ces deux mots,
la bienfaisance et faire part, la communion pratique dans les biens matériels.
Ça représente aussi la disposition du cœur qui fait ce service.
Et le résultat est, Dieu prend plaisir à de tels sacrifices.
Et ce mot, « prendre plaisir », ça se trouve douze fois dans le Nouveau Testament,
ça veut dire quelque chose qui est agréable, qui est acceptable devant Dieu.
Ça c'est le sixième point, ces sacrifices matériels.
Au verset 17, nous avons maintenant une nouvelle pensée, c'est le septième point.
Cette communauté de croyants en dehors du cain, des conducteurs,
on a vu au verset 8, le grand conducteur c'est le Seigneur Jésus.
Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui, éternellement.
Mais il se sert de certains croyants qui ont des dons spécifiques qu'il a donnés,
pour conduire le troupeau.
Obéissez à vos conducteurs et soyez soumis.
Surtout dans ce temps-là, l'impression qu'on a en lisant cet Épitre,
c'est que les conducteurs étaient en accord avec l'auteur de cet Épitre.
Moi je pense que c'était Paul, mais on ne peut pas le prouver.
Et les conducteurs à Jérusalem, en Judée, étaient en accord avec l'enseignement de Paul.
Mais il y avait probablement un mouvement très fort,
peut-être aussi par les croyants qui étaient autrefois des parisiens,
un mouvement très fort pour introduire des choses qui appartenaient encore à ce vieux système.
Et ainsi, il fallait que tout le monde écoute les conducteurs que Dieu a donnés,
comme Jacques, mais Jacques était déjà mort à ce moment-là,
et d'autres qui étaient parmi eux.
Car ils veillent pour vos âmes.
Donc ces conducteurs eux-mêmes étaient soumis à Dieu, évidemment,
mais ils avaient un rôle important pour conduire le troupeau,
et ils avaient une grande responsabilité, ils veillent pour vos âmes.
Ce n'est pas des conducteurs qui sont là sur un trône pour être servis,
c'était des conducteurs qui avaient vraiment des soins pour le troupeau,
pour le bien-être des croyants.
Ils veillent pour vos âmes, comme ayant à rendre compte,
ils sont aussi responsables devant Dieu.
Ils doivent rendre compte, et c'est un principe important,
que chacun qui a un rôle, dans quelque façon que ce soit, est responsable.
Il doit rendre compte, afin qu'il fasse cela avec joie.
Donc ici, conduire avec joie, mais probablement incluant la pensée de rendre compte avec joie,
et non en gémissant.
Donc il veut que la bonne condition soit là, avec le troupeau, pour être conduit,
afin que les conducteurs soient heureux en donnant cette conduite.
Et si c'était autrement, cela ne vous serait pas profitable.
En d'autres mots, s'ils ne veulent pas écouter,
ce ne sera pas profitable, ni pour les conducteurs, ni pour le troupeau non plus.
Donc le septième point, c'est la relation entre le troupeau et les conducteurs,
ou les anciens, n'importe quel mot on veut l'utiliser, ça existe aussi aujourd'hui,
et il faut y avoir une bonne communion, une bonne relation entre les deux.
Ce n'est pas des leaders, comme dans le clergé,
c'est ici des relations spirituelles entre ceux qui ont un don de leadership et ceux qui suivent.
Au verset 18, on a un autre point, 18 et 19,
là on voit qu'il y a la prière réciproque, priée pour nous,
évidemment l'auteur priait aussi pour ceux qui ont reçu cet épître,
car nous croyons que nous avons une bonne conscience,
c'est un des versets que j'ai dit, nous avons, ici c'est pratiquement, nous avons une bonne conscience.
Donc une bonne position va aller ensemble avec une bonne condition,
et cette condition on voit ici par cette bonne conscience.
En contraste avec les leaders, comme j'ai mentionné tantôt parmi les juifs,
qui avaient rejeté le Messie, c'était impossible qu'il ait une bonne conscience.
Désirant de nous bien conduire en toutes choses, un conducteur va aussi se conduire bien lui-même.
Verset 19, mais je vous prie d'autant plus instantanément de faire cela,
afin que je vous sois rendu plutôt.
Si on pense que c'est l'apôtre Paul qui écrit,
on peut comprendre qu'il avait un désir de revoir ses croyants,
mais aussi que moralement il soit rendu, qu'il y ait donc un lien de communion.
Dans les actes on voit que cette communion a été intrompue,
par des malentendus et aussi par l'influence du judaïsme,
et ici, si c'est l'apôtre Paul qui veut avoir cette pleine communion avec le peuple de Dieu.
Maintenant on arrive aux merveilleux versets 20 et 21.
On pourrait prendre toute une étude juste pour ces deux versets.
Mais vous allez voir, ces deux versets représentent les points 9 et 10 que je vous ai mentionnés.
D'abord, notre développement sous la main de Dieu, pour faire la volonté de Dieu,
et à la fin du verset 21, pour rendre gloire au Seigneur Jésus et à Dieu.
C'est l'adoration encore, ça c'est le dixième point.
Le Dieu de paix, verset 20, va ensemble avec ce sacrifice du père Cédis.
Nous avons un autel aussi, qui est marqué par le sacrifice de prospérité,
qui va ensemble avec ce Dieu de paix.
Ce Dieu de paix est vraiment une merveilleuse expression pour Dieu,
qu'on trouve sept fois dans le Nouveau Testament.
Mais ça va ensemble aussi avec le roi de paix, dans Hébreu 7, le Seigneur Jésus, le roi de paix.
Le prince de paix, dans Isaïe, ça va ensemble aussi avec le Seigneur de paix,
une expression qu'on trouve une fois, je pense, dans le Nouveau Testament.
Et on pourrait aussi penser à d'autres expressions pour Dieu.
Il n'est pas seulement le Dieu de paix, mais aussi le Dieu d'amour, etc.
Mais ce Dieu de paix, c'est important, parce que c'est lui qui donne cette paix.
Ce Dieu de paix, ce n'est pas seulement pour avoir la paix avec Dieu, un Dieu trois fois saint et juste,
mais aussi le Dieu de paix qui nous donne la paix dans les circonstances difficiles.
Donc ce Dieu de paix, c'est le premier point.
Tantôt, j'ai complété cette liste de dix points, et je parle maintenant seulement de versets 20 et 21.
Là, il y a beaucoup de points importants.
Le premier, c'est le Dieu de paix. C'est la personne lui-même qui est la base de tout.
Ensuite, ce qu'il a fait, qui a ramené d'entre les morts, ça nous parle donc de la résurrection,
comment Dieu a ramené d'entre les morts le Seigneur Jésus.
Donc ça, c'est un point important.
Le christianisme est basé sur le fait que Dieu a ramené d'entre les morts le Seigneur Jésus.
Le judaïsme n'avait pas cette base-là.
Ensuite, on pourrait parler de la résurrection, on pourrait parler aussi de l'expression d'entre les morts.
C'est très important.
Mais on voit que cette expression est aussi utilisée par rapport à Moïse,
parce que Moïse a conduit le peuple à travers la mer Rouge.
À Isaïe 63, on voit que Dieu l'a monté de la mer.
Ainsi, Moïse a là aussi une image du Seigneur Jésus,
qui est monté d'entre les morts, mais avec tout un peuple.
Donc le Seigneur Jésus, ramené d'entre les morts, a maintenant tout un peuple, c'est vous et moi.
Nous appartenons à ce peuple de Dieu.
Tous les croyants appartiennent à ce peuple de celui qui a été ramené d'entre les morts.
Ensuite, le grand pasteur des brebis.
On pourrait parler du Seigneur Jésus comme le bon berger.
Le mot pasteur est le même que berger.
Et le Seigneur est toujours grand.
On a vu dans cette épître sa grandeur un peu.
Comment il est grand.
Toujours l'emphase sur la grandeur du Seigneur Jésus.
Le grand souverain sacricateur, le grand ministre du sanctuaire, etc.
Ici, il est le grand pasteur ou le grand berger.
Comme bon berger, le Seigneur Jésus est présenté comme celui qui a donné sa vie pour les brebis.
Ainsi, sa bonté est soulignée.
Mais aujourd'hui, il est dans la gloire.
Aujourd'hui, ce qui est souligné, c'est sa grandeur actuelle, la position qu'il a dans la gloire, dans le ciel.
On voit sa grandeur.
Et par rapport au monde à venir, il est appelé le chef.
Un pierre cinq.
Le chef berger.
Il va rayer, il va être le chef public visible sur la terre.
Il est le chef pasteur.
Un pierre cinq.
Mais maintenant, dans la gloire, il est le grand pasteur des brebis.
Et nous, vous et moi, nous sommes ces brebis.
Tous les croyants appartiennent à ce troupeau, à ces brebis.
Mais tout cela est aussi basé sur quelque chose.
On a parlé du sang déjà.
C'est en vertu de son sang.
Ici, le sang du Seigneur Jésus est lié à la pensée d'une alliance.
L'alliance nous parle de l'engagement que Dieu a.
Dieu s'engage.
L'alliance nous parle donc de cet engagement de Dieu.
Sous la loi de Moïse, le peuple a complètement manqué.
Donc, ça ne peut pas parler de cette alliance-là.
Ça parle d'une nouvelle alliance.
On a vu cela dans le chapitre 8.
Cette nouvelle alliance.
Et ça m'a frappé.
Cette alliance est appelée une nouvelle alliance, appartenant à une nouvelle autre.
Cette alliance est appelée une nouvelle alliance.
Mais là, c'est un mot différent.
Ce que vous voyez, c'est frais.
C'est nouveau dans le sens que ça garde sa fraîcheur.
Ce mot est utilisé une fois pour l'alliance.
Et on a vu plusieurs fois, c'est une meilleure alliance.
Une meilleure alliance qui est basée sur l'œuvre de Christ,
qui va ensemble avec ce saint qu'il a offert.
C'est une meilleure alliance qui n'est pas basée sur la responsabilité de l'homme,
mais qui est basée sur ce que Christ a accompli.
Et ainsi, tout ce qui est nécessaire a été pourvu et Dieu a été satisfait.
Et c'est une alliance éternelle.
C'est la seule fois, je pense, que cette expression « alliance éternelle » est utilisée.
Donc, c'est un autre sujet d'étude, alliance.
Ensuite, « notre Seigneur Jésus ».
Ici, il n'est pas appelé Jésus comme tantôt.
Au verset 12, il est mentionné comme étant « notre Seigneur Jésus ».
Donc, c'est pour mettre l'emphase sur son autorité.
Ce Jésus rejeté par le judaïsme, il est Seigneur.
Et il est Seigneur de tout.
S'il n'est pas Seigneur de tout, il n'est pas Seigneur du tout.
Vous voyez ce que ça veut dire?
Donc, c'est très important de reconnaître notre Seigneur Jésus
et de lui respecter dans ses droits.
Verset 21, vous rendre à compter.
Donc, le Dieu de paix qui travaille est notre Seigneur Jésus.
Les deux vont ensemble.
Il travaille maintenant.
Il nous prépare pour quelque chose.
Et le mot qui est utilisé ici est vraiment très beau.
C'est « ajuster ».
On a besoin d'être ajusté.
Ça implique aussi la pensée de perfectionnement
et ainsi rendre accompli.
Ça, c'est le but ultime.
Vous vous dites peut-être, mais je suis déjà accompli dans le Christ.
J'ai une position parfaite.
Dieu m'a accepté.
On ne peut rien ajouter.
C'est vrai. Amen.
Mais nous sommes ici encore sur la terre.
Et il y a donc toute une formation nécessaire.
Et ce verset prépare à cette formation actuelle.
Nous sommes à l'école de Dieu.
Il nous forme.
Et il veut nous rendre accomplis.
C'est un processus.
Et ce processus est en vue de faire toute bonne œuvre.
Donc, les deux vont ensemble.
Dieu est en train de nous former.
Mais en nous formant, il veut aussi que nous fassions de bonnes œuvres.
En toute bonne œuvre.
Donc, ce n'est pas ici les bonnes œuvres pour accomplir, pour gagner notre salut.
Titre 3 dit clairement, ce n'est pas basé sur des actes de justice que nous ayons accomplis.
Non, c'est impossible.
Le salut est basé sur l'œuvre de Christ.
Il parle ici de bonnes œuvres qui sont le résultat de ce salut que nous avons reçu.
Et en faisant ces bonnes œuvres, nous faisons sa volonté.
Ça c'est important aussi.
Ce n'est pas ma volonté en faisant de bonnes œuvres.
C'est pour faire sa volonté.
La volonté est aussi un mot clé pour cet épitre.
Le Seigneur est venu pour faire la volonté de Dieu.
Et ainsi, il veut que nous fassions la volonté de Dieu.
La volonté de Dieu pour avoir accès, pour avoir la communion avec Dieu où il est.
Mais aussi pour représenter Dieu ici sur la terre.
Pour faire sa volonté.
Et là, on voit que ce travail de Dieu continue en nous.
Même lorsqu'on fait de bonnes œuvres.
C'est un peu comme cette adoration du verset 15.
Offrons donc sans cesse à Dieu un sacrifice d'ouvrage, mais c'est par lui.
Ici au verset 21, que nous pouvons accomplir toute bonne œuvre pour faire sa volonté.
Mais c'est en même temps, lui qui travaille en nous, faisant en vous ce qui est agréable.
C'est bien sûr, on veut faire ce qui est agréable devant Dieu, comme le verset 16.
Car Dieu prend plaisir à de tels sacrifices.
Mais c'est en même temps, par lui qui travaille en nous.
Il donne l'énergie, il donne la volonté.
Philippiens 2, 12, nous parle de cela.
Tout dépend de Dieu.
Il nous donne l'énergie, il nous donne la volonté.
Pourtant, nous sommes 100% responsables pour nous-mêmes.
C'est le mystère.
Donc d'un côté, tout dépend de Dieu.
Mais si on dit, tout dépend de Dieu, moi je n'ai rien à faire.
Non, moi je suis 100% responsable en même temps, pour faire sa volonté.
Et ensuite, l'œuvre de Dieu, il travaille en nous, ce qui est agréable devant lui.
Par Jésus Christ, et encore par Jésus Christ, comme nous l'avons vu tantôt.
Auquel soit la gloire.
A Christ, mais aussi à ce Dieu de paix.
Auquel soit la gloire.
Cette fois, cette expression, au siècle des siècles, est utilisée dans cette équipe.
La gloire, aussi, cette fois.
Au moins, si je ne me trompe pas, ok.
Le mot gloire est utilisé cette fois, dans cette équipe.
Au siècle des siècles, je suis moins sûr là-dessus.
Mais c'est une des doxologies du Nouveau Testament.
Ce serait une autre étude à faire.
Tous les passages qui nous parlent de ces actions de grâce que nous pouvons faire.
Et bien aimé, c'est la même chose qu'on a vu tantôt.
Déjà maintenant, sans cesse, nous pouvons offrir un sacrifice de gloire.
Et ici au verset 21, par lui, par Jésus Christ.
Et en même temps, auquel soit la gloire au siècle des siècles.
Cette adoration continue.
Il est digne de recevoir cette gloire.
Au verset 22, il y a la conclusion.
Or, je vous exhorte.
Ça m'a frappé beaucoup.
Le verbe exhorter est utilisé, je pense, je n'ai pas marqué ici, 20 fois.
Mais 18 fois par l'apôtre Paul.
Si on inclut hébreux.
Le mot exhortation est utilisé 29 fois dans le Nouveau Testament.
Et 24 fois par Paul.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Paul utilise beaucoup cette expression.
C'est pour encourager.
Je pense dans la prière, on utilisait ce mot encouragement ou encourager.
C'est ça que Paul dit ici.
Ou l'auteur, je m'excuse, l'auteur dit ici, je vous exhorte.
Ou, on peut plutôt dire, traduire, je vous encourage, frère.
Il a écrit cet épître pour encourager, pour consoler, mais aussi pour exhorter.
Parce qu'il avait besoin de changer d'idée quelquefois.
Supporter la parole d'exhortation.
24 fois, si on inclut hébreux, c'est utilisé par l'apôtre Paul.
Car ce n'est qu'en peu de mots que je vous écris.
C'est quand même un long épître, mais il pourrait encore donner beaucoup d'autres arguments.
Mais ces arguments qu'il a donnés étaient suffisants.
Et ainsi, il dit, c'était peu de mots.
Mais on comprend qu'il aurait pu continuer encore longtemps.
Et on a vu aussi une fois, c'est comme une présentation qu'il donne.
C'est comme s'il nous parle.
Et ainsi, on est limité à saisir.
Un moment donné, il faut arrêter.
Ici, le moment est venu qu'il arrête.
Mais il dit, je vous exhorte, frère, supportez la parole d'exhortation.
Et ça nous est adressé aussi.
C'est comme un appel pour se faire exhorter, pour se faire corriger, si c'est nécessaire.
Et à la fin, nous voyons encore une remarque qui nous aide à comprendre que peut-être c'était la pause forte qu'il écrit.
Parce qu'il dit, sachez que notre frère Timothée a été... …