Hébreux 1-13
ID
aeb016
Langue
FR
Durée totale
23:22:47
Nombre
23
Références bibliques
Hébreux 13,1-6
Description
1. Hébreux 01v1-3
2. Hébreux 01v4-14
3. Hébreux 02v01-9
4. Hébreux 02v10-18
5. Hébreux 03
6. Hébreux 04v1-16
7. Hébreux 05
8. Hébreux 06v1-20
9. Hébreux 07v1-11
10. Hébreux 07v11-28
11. Hébreux 08v1-13
12. Hébreux 09v1-14
13. Hébreux 09v15-28
14. Hébreux 10v1-21
15. Hébreux 10v19-31
16. Hébreux 10v32-11v7
17. Hébreux 11v08-16
18. Hébreux 11v17-31
19. Hébreux 11v32-12v3
20. Hébreux 12v04-17
21. Hébreux 12v18-29
22. Hébreux 13v01-9
23. Hébreux 13v10-25
Transcription automatique:
…
Nous avons dit dans notre cantique, ta parole à ton Fils lui-même veut sans cesse attacher nos coeurs, dévoilant les gloires suprêmes de la Personne du Saint.
On sait que c'est vrai pour chaque page de la Parole de Dieu, mais surtout pour cette épître aux Hébreux.
J'aimerais prendre un peu de temps, soit pour l'introduction, donc je vais lire juste les versets 1 à 3, et la prochaine fois, Dieu voulant, on va aller plus vite.
Dieu, ayant autrefois, à plusieurs reprises, et en plusieurs manières, parlé au Père par les prophètes, à la fin de ces jours-là, il nous a parlé, dans le Fils, ou en Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses,
par lequel aussi il a fait les mondes, qui étant le resplendissement de sa gloire, et l'empreinte de sa substance, et soutenant toutes choses par la parole de sa puissance,
ayant fait par lui-même la purification des péchés, s'est assis à la droite de la majesté dans les hauts lieux. Jusqu'ici, la parole.
Si on compare des écrits bien connus, comme l'épître aux Éphésiens, qu'on a étudié dans le passé, par exemple, on voit que, selon cet épître, nous sommes placés dans la gloire, en Christ.
Si nous prenons, par exemple, les écrits de Jean, nous voyons que Christ est notre vie, qu'il est en nous, notre vie. Par contre, si nous prenons cet épître aux Hébreux, nous voyons l'emphase, et sur cette pensée-là, une personne nous est présentée, cette personne est dans la gloire.
Cette personne, et nous verrons quelques détails concernant cette personne bénie, il est dans la gloire. Et nos cœurs sont attachés à lui comme il est maintenant dans la gloire.
Ça, c'est le grand sujet de l'épître aux Hébreux. Et j'aimerais d'abord prendre un peu de temps pour quelques pensées d'introduction, ensuite on va voir quelques détails de ces trois versets qu'on a lus ce soir.
D'abord, cette question, qui est l'auteur de cet épître? D'habitude, on sait qui est l'auteur. Si Pierre a écrit une lettre, il signe par son nom. Paul, les treize épîtres qu'on a à côté des Hébreux, signent aussi avec son nom.
Un Jean ne mentionne pas le nom de Jean, mais on sait que Jean est l'auteur. En général, les épîtres donnent l'auteur. Ici, l'auteur n'est pas donné.
Quand même, on voit certains détails. Il est un juif bien connu avec le Septuagint. Ça, c'est la traduction grecque de l'Ancien Testament, qu'il cite souvent. Il est donc familier avec les Grecs Hellénistes, comme on les trouve dans le livre d'Ésaac.
Ensuite, nous voyons qu'il est un Hébreux qui écrit aux Hébreux. Donc, c'est un juif qui s'adresse aux Juifs. Le premier verset souligne cela parce qu'il dit que Dieu a parlé au Père. Donc, il s'identifie avec les Juifs.
Nous voyons aussi, un peu plus loin dans le livre, qu'il n'appartient pas aux apôtres comme les douze qu'on connaît parce qu'il dit, chapitre 2, verset 3,
Comment échapperons-nous si nous négligeons un si grand salut qui, ayant commencé par être annoncé par le Seigneur, c'est le ministère public du Seigneur sur la terre, nous a été confirmé par ceux qui l'avaient entendu.
Donc, ceux qui l'avaient entendu, c'est les apôtres et ceux avec eux. Dieu rend un témoignage avec eux par des signes, des produits, par divers miracles, etc.
Donc ici, l'auteur se place à côté des Juifs qui avaient écouté le message. Au début, ce salut a été annoncé par le Seigneur. Ensuite, cela a été confirmé par ceux qui l'avaient entendu.
En gros, c'est le livre des actes où nous voyons cela. Mais cela donne une indication qu'il n'avait pas connu le Seigneur Jésus sur la terre.
Et c'est aussi un détail important pour le ministère de Paul parce qu'il dit dans 2 Cor. 5, un verset qu'on devrait vraiment soumiller, 2 Cor. 5, verset 16, en sorte que nous désormais ne connaissons personne selon la chair.
Et si même nous avions connu Christ selon la chair, toutefois, maintenant, nous ne le connaissons plus ainsi.
Donc, cela souligne le lien avec Christ dans la gloire. C'est un lien différent comme le Seigneur avait avec ses disciples sur la terre. Là, c'était dans le contexte du judaïsme.
Mais maintenant, la relation avec Christ est différente. Christ dans la gloire et les siens, cela représente une relation différente. Et je pense que cela est confirmé par le verset qu'on a lu dans 2 Cor. 2, verset 3.
Il mentionne dans le verset qu'on a lu tantôt, hébreu 2, les apôtres, il ne les mentionne pas comme des apôtres, il dit, ceux qui nous ont annoncés ou confirmés par ceux qui l'avaient entendu.
Donc, ils sont vus ici comme des témoins. Et cela va ensemble avec cette grande question. Pourquoi l'auteur n'est pas connu et pourquoi il n'y a pas même d'apôtre qui signe une telle lettre?
C'est pour mettre toute l'emphase sur le grand apôtre.
Chapitre 3, au premier verset, c'est ce qu'il dit là. C'est pourquoi Frère Saint, participant à l'appel céleste, considérait l'apôtre et le souverain sacricateur de notre confession.
Donc, on voit ici clairement cet appel céleste, Christ dans la gloire et un appel maintenant de le considérer. C'est lui l'apôtre. Donc, c'est pour cela que l'auteur ne s'adresse pas aux croyants comme apôtres.
Mais ce n'est pas la seule raison. Il se place à côté des croyants. Comme nous l'avons vu dans le chapitre 2, nous, il se place à côté des croyants. On verra plusieurs fois dans l'épître aux épreuves qu'il le fait.
Mais une autre raison pour laquelle il ne s'adresse pas aux croyants ici qu'il adresse comme apôtres, c'est parce qu'il ne parle pas comme apôtre. Dans cet épitre, l'auteur parle comme docteur.
Il prend les écrits de l'Ancien Testament et il présente les détails concernant la personne et le ministère du Seigneur Jésus. Et ainsi, il prend les écrits de l'Ancien Testament un peu comme le psaume 45.
Le psaume 45, je ne vais pas maintenant élaborer le contexte, mais concernant le reste fidèle dans la Grande Tribulation, ils vont chanter ce cantique.
Le premier verset dit « Mon cœur bouillonne d'une bonne parole. Je dis ce que j'ai composé au sujet du roi. Ma langue est le style d'un écrivain habile. Tu es plus beau que les fils des hommes. La grâce est répandue sur tes lèvres. C'est pourquoi Dieu t'a béni à toujours. »
Je pense que ce que l'auteur de l'Épitre aux Hébreux fait, il prend les écrits de l'Ancien Testament et il fait ressortir la beauté de la personne du Seigneur Jésus, qui est appelée le bien-aimé dans le titre du psaume. Un cantique du bien-aimé.
Et ce cantique est aussi une instruction. Je pense que Paul s'identifie avec cet exercice d'être docteur pour instruire et présenter la personne merveilleuse du Seigneur Jésus, du bien-aimé, du roi. Et ainsi sa langue est devenue le style d'un écrivain habile.
L'Esprit Saint dirige sa langue pour parler comme il faut. Il parle de celui qui est plus beau que les fils des hommes.
Ainsi, ce n'était pas nécessaire qu'il se présente comme apôtre. Un apôtre a une autorité que Dieu, que le Seigneur Jésus dans la gloire lui a donnée pour confirmer de nouvelles révélations, comme un Corinthien, Galate, Éphésien.
Là, Paul parle comme apôtre pour que ces nouvelles révélations soient confirmées par l'autorité que Dieu lui a donnée, que le Seigneur Jésus dans la gloire lui a donnée.
Mais ici, il ne parle pas comme apôtre pour confirmer de telles révélations. Il prend les écrits de l'Ancien Testament et il fait un peu comme dans le psaume 45, comme j'ai essayé d'expliquer tantôt, pour présenter la personne du Seigneur.
Donc, il parle comme docteur. Et le docteur n'est pas important, son nom n'est pas mentionné.
Nous savons aussi qu'il était un compagnon de Timothée, parce que le nom de Timothée est mentionné dans le chapitre 13 verset 23.
Ça donne aussi une idée de la date, parce que Timothée s'est converti autour de l'an 50 et l'épître doit avoir été écrit avant que Timothée meure.
On verra d'autres étapes pour la date de l'épître.
Mais je pense que le verset le plus important, qui donne vraiment une clé, c'est 2 Pierre 3, verset 15.
Estimez que la patience de notre Seigneur est salue, comme notre bien-aimé frère Paul aussi vous a écrit, selon la sagesse qui lui a été donnée.
Ainsi qu'il le fait aussi dans toutes ses lettres où il parle de ces choses parmi lesquelles il y en a de difficiles à comprendre, que les ignorants et les malaffermis tordent, comme aussi les autres écritures à leur propre destruction.
Donc, selon ce verset 15, nous voyons que Paul avait écrit aux Juifs.
Comme Pierre, on le sait, dans 1 Pierre 1, dans 2 Pierre 1, il s'adresse aux Juifs dans la dispersion et il s'adresse aux Juifs.
Ici donc, les Juifs chrétiens, dans la dispersion il est vrai.
Mais ici il réfère à une lettre que Paul avait écrite aux Juifs.
Il va être donc cet épître aux Hébreux.
D'ailleurs, c'est intéressant de savoir que Jacques nous a écrit, dès Jérusalem, aux Juifs qui étaient dans la dispersion.
Ils étaient en Galilée, ou plus loin, mais ils étaient persécutés dans la dispersion.
Nous voyons que Pierre s'adresse aux Juifs dans la dispersion.
Il était lui-même dans la dispersion lorsqu'il écrivit.
Et l'épître aux Hébreux vient de la dispersion et s'adresse aux Juifs à Jérusalem et à Judée.
Donc ça c'est juste un peu une comparaison concernant la dispersion des Juifs.
Mais la lettre ici s'adresse aux Juifs, je pense, à Jérusalem.
Et on verra plus tôt, dans l'épître aux Hébreux XIII, les raisons.
Peut-être que je peux juste résumer un peu la situation.
Lorsque cet épître a été écrit, il y avait déjà des rebelles contre l'occupation romaine.
Et le Seigneur avait dit dans Luc XXI que le Temple serait détruit.
Maintenant, à cause de ces rébellions, les Romains ont envoyé une armée pour soumettre les Juifs.
Les Romains avaient déjà occupé le pays, on le sait, mais il y a eu des rébellions.
Lorsque les armées romaines étaient autour de Jérusalem, donc le siège de Jérusalem, les Juifs chrétiens étaient encore là.
Et à ce moment-là, c'était autour de l'année 66-67, ils ont reçu cet épître.
Donc ça veut dire que cet épître doit avoir été écrit autour de l'an 65, 66 au plus tard.
Et là, Dieu dans sa providence a causé que les armées romaines se sont retirées de la ville pour un bout de temps.
Et dans ce temps-là, lorsque les Romains se sont retirés de la ville, les Juifs chrétiens sont tous sortis de Jérusalem.
À cause de l'instruction de cet épître aux Hébreux, surtout aux Hébreux présents, on verra cela en détail.
Et Dieu a donc donné des indications aux Juifs chrétiens de sortir de Jérusalem, parce que le jugement était proche.
Dieu a donné 40 ans aux Juifs comme nation, après la crucifixion du Messie.
Dieu a donné encore 40 ans pour qu'ils se repentent.
Au début des actes, Dieu a offert le salut à toute la nation.
Ils l'ont rejeté et ils ont lapidé Étienne.
Et là, depuis ce moment-là, Dieu donne encore des occasions personnelles, comme à Paul, Sol, de taxe, il s'est converti.
Mais depuis chapitre 7, il n'y a pas une offre pour toute la nation, c'est juste individuel.
Parce que toute la nation était sous le jugement, et ce jugement a été donc accompli dans l'année 70.
Et le temple a été détruit.
Une autre raison pour laquelle le nom de l'auteur n'est pas mentionné, peut-être, c'est que Paul était l'apôtre des nations.
Et il y avait des Juifs à Jérusalem, même des Juifs chrétiens, qui avaient beaucoup d'hésitation à l'égard de l'apôtre.
On voit cela aussi dans le livre des actes.
Et peut-être par sagesse aussi, à l'égard de ces Juifs chrétiens à Jérusalem, il n'a pas donné son nom.
Mais on sait qu'il aimait beaucoup son peuple, et surtout les Juifs chrétiens, romains, 9, 10, 11, 11 mois, tout cela.
D'autres passages confirment qu'il avait un grand amour pour son peuple juif.
Et peut-être pour éviter des préjugés, il n'a pas donné son nom.
C'est un peu comme un chrétien neuf, Paul a toujours essayé de gagner le plus de monde possible.
Et selon cette sagesse-là, peut-être il n'a pas lancé son nom pour ne pas avoir des préjugés.
Mais plutôt il fixe les regards sur la personne qu'il présente.
Il veut fixer les regards sur le nom qui compte. Le nom de Paul ne compte pas dans ce sens-là.
Il n'y a qu'un seul nom qui compte, c'est le nom du Saint-Jésus.
Il voulait vraiment tirer l'attention de tous les croyants sur Christ dans la gloire.
Et on verra maintenant pourquoi.
Vous voyez, à cause de la persécution, déjà acte 7, Étienne était lapidé,
c'était quelques années après le début de l'Église, peut-être la première ou la deuxième année.
Il y a eu déjà là des grandes persécutions, on voit dans l'acte 10 vers 7.
Il y a eu d'autres persécutions, acte 12 sous Hérode.
Mon point c'est que les juifs chrétiens étaient maintenant en danger de retomber dans le judaïsme.
Il y avait parmi eux qui disaient, il y a maintenant la persécution, les romains vont venir,
ils vont nous chattier avec tous les juifs.
Donc c'est mieux pour nous qu'on s'identifie avec les autres juifs au lieu de nous détacher d'eux.
Vous voyez, les autres juifs les considéraient un peu comme des traîtres.
Et pour ne pas être qualifiés comme traîtres, ils étaient en train de considérer,
de renoncer publiquement au christianisme et confirmer qu'ils étaient encore des juifs.
Mais Paul va montrer dans cet épisode que s'il faisait cela, cela implique crucifier Christ une seconde fois.
Donc ils étaient vraiment dans une situation très très difficile.
Ils considéraient de retourner dans le judaïsme.
Ne pas renier le Seigneur dans leur cœur, mais ne plus confesser publiquement le Seigneur.
C'est ça un peu le contraire.
Deuxièmement, pendant cette tribulation, il y en avait qui avaient perdu tout leur bien.
Chapitre 10 nous le montre, chapitre 6 aussi.
Pauvres, peut-être découragés.
Et s'ils voyaient leurs amis et leurs parentés juifs qui allaient au temple,
au temple tout était magnifique, c'était un service magnifique.
Et eux, ces juifs chrétiens, n'avaient rien, n'avaient rien.
Donc peut-être il y en avait qui étaient découragés, qui voulaient quelque chose de visible.
C'est pour ça que dans cet épître, toute l'emphase est placée sur le Seigneur Jésus,
pour qu'on le voit par l'œil de la foi.
Pas attiré par des choses visibles, mais qu'on soit attiré à sa personne.
Et vous comprenez que ce qui est nécessaire pour ces juifs à ce moment-là,
c'est nécessaire pour tous les croyants dans tous les temps,
que nos cœurs soient attachés, nous l'avons exprimé dans l'Eucharistie,
que nos cœurs soient attachés au Seigneur Jésus.
Au lieu de retomber dans le judaïsme ou dans un système religieux,
ça se peut qu'on dise mais c'est cathédrale, c'est beau, une belle chorale,
où il y a beaucoup de choses qui plaisent.
Est-ce qu'on va aller là pour satisfaire nos besoins
ou est-ce qu'on veut s'identifier avec Christ dans la gloire
et accepter la persécution et le mépris et même la haine des gens qui nous entourent.
Je pense qu'on verra cela, il y a cinq passages d'avertissement.
Paul s'adresse aux croyants, il présente Christ,
et cinq fois il tire des conclusions pratiques de ce qu'il enseigne.
Et ce sont des avertissements, cinq fois des avertissements.
La première fois c'est au début du chapitre 2.
Donc, je résume un peu le but de l'épître.
Les juifs chrétiens étaient sous une grande pression par la persécution,
par l'attraction du temple et de la synagogue.
Ils étaient en danger de se conformer extérieurement au système du veille,
comme j'ai expliqué tantôt.
Ils n'allaient pas renier le Seigneur Jésus dans leur cœur,
mais ils allaient s'identifier publiquement avec le temple, avec la synagogue.
Et Paul, mort dans cette épître, s'il faisait cela,
ce serait crucifixioniste la deuxième fois.
Il s'était impressionné par les pensées du judaïsme.
Par exemple, les Indes avaient une grande place dans le judaïsme.
C'est pour cela que, dans le premier chapitre, on verra la prochaine fois,
que Paul donne cette preuve pour montrer que Christ est plus grand que les Indes.
Plus tard, on verra qu'il est plus grand que Moïse.
Pour les juifs, Moïse, c'était vraiment la fin.
La fin, c'est quelque chose.
Il n'y a personne plus grand que Moïse dans le judaïsme.
Mais l'épître nous montre qu'il y a quelqu'un qui est plus grand que Moïse.
Et ainsi, il va montrer aussi tout le service lévitique, la sacrificature lévitique.
Il va montrer que c'était un des piliers du judaïsme,
les Indes, Moïse, et aussi le service sacerdotal.
Et Paul va montrer que Christ et son œuvre sont beaucoup plus grandes que tout le service lévitique.
Et ainsi, il donne donc assez de nourriture et d'encouragement
pour que les juifs chrétiens ne retournent pas au judaïsme.
Donc, j'ai dit qu'il ne voulait plus confesser le Seigneur publiquement.
Mais Paul va montrer dans cette épître que dans ce cas-là,
il perdrait les privilèges et les bénédictions de la foi chrétienne.
On peut comprendre leur situation.
On voit dans les livres des actes que les chrétiens allaient encore au temple, acte 2, acte 3, acte 5.
Même Paul l'a fait dans acte 21.
Mais là déjà, on voit l'intervention du Seigneur pour ne pas être mélangé avec le judaïsme.
On voit que dans l'épître de Jacques, c'était normal pour les croyants d'aller dans la synagogue.
Dans les actes, on voit cela aussi.
Donc, il avait beaucoup d'influence du judaïsme, la loi, la circoncision.
Il y en avait qui étaient zélés pour la loi.
Acte 21 le montre.
Qu'il soit chrétien, il était zélé pour la loi.
Et puis, on peut comprendre, en voyant la grandeur du temple et tous ces services-là,
ils ne voulaient pas être considérés comme des traîtres par les autres.
Donc, voilà le grand danger et la nécessité de cet acte.
Le christianisme est un système pour la foi.
Le judaïsme était quelque chose de visible pour l'homme naturel.
Le christianisme est un service spirituel et invisible.
L'adoration de Christ dans la gloire ne se voit pas dans les rituels.
C'est aussi par rapport à un messie rejeté, tué par son peuple.
En retombant dans le judaïsme, il se plaçait à côté de ceux qui avaient rejeté leur messie.
Donc, ce serait vraiment renier le messie.
Mais, toute l'emphase est sur sa position présente dans la gloire, dans le ciel,
où l'œil physique ne peut pas le voir, seulement l'œil de la foi.
C'est pour ça qu'il parle ainsi de la foi dans Hébreu 11, on verra,
beaucoup concernant la foi.
Donc, quel est le remède qu'il présente ?
Il nous présente Christ dans sa supériorité, dans son excellence, dans sa suprématie,
dans sa splendeur, dans sa majesté, dans sa grandeur.
Il y a beaucoup d'emphase sur sa grandeur.
Il est excellent, plus excellent, meilleur, plus grand, plus haut, etc.
C'est comme dans une petite illustration.
Si un petit enfant joue avec un couteau très dangereux dans sa main,
qu'est-ce qu'on doit faire pour que l'enfant laisse tomber ce couteau ?
Est-ce qu'on doit venir arracher ça ?
Lorsque l'enfant réalise que quelqu'un va arracher ça, il va encore tenir plus ferme.
Ce que l'Esprit de Dieu fait ici par l'apôtre Paul,
ce n'est pas intervenir avec des méthodes de police pour forcer les chrétiens.
Non, il nous présente un objet beaucoup plus attrayant,
comme la mère le fait à ce petit bébé-là pour qu'elle laisse tomber ce couteau dangereux.
Il nous présente quelque chose de meilleur pour que l'enfant laisse tomber ce couteau de toute façon.
C'est la tactique que l'Esprit Saint utilise par l'apôtre Paul ici,
pour présenter quelque chose de meilleur pour que les juifs chrétiens laissent tomber ce judaïsme.
Et vous voyez, c'était très difficile parce que le judaïsme avait été donné par Dieu.
Ce n'est pas quelque chose que Dieu ne pouvait pas donner.
Il l'avait donné.
Mais maintenant, il fallait qu'ils réalisent que ce système, une fois donné par Dieu,
avait rejeté le Fils de Dieu, avait rejeté leur propre Messie.
Et c'est pour cela que Dieu avait rejeté le judaïsme et qu'il l'avait donné au début.
C'est ça qu'on voit dans les évangiles, que le Seigneur Jésus lui-même,
après que les juifs, les leaders et la nation l'avaient rejeté,
il fallait qu'ils rejettent la nation aussi.
Mais pas avant.
Donc, un mot-clé, si vous voulez prendre ça en note.
Un mot-clé, c'est le mot meilleur.
Nous voyons que l'ange Gabriel a dit dans Luc 1, lorsqu'il parlait à Marie,
que le Seigneur Jésus serait grand.
Et on verra au verset 3 qu'il s'est maintenant assis à la droite de la majesté.
Le mot majesté, c'est un mot qui est, dans le grec, lié au mot grand.
La grandeur du Seigneur Jésus est soulignée.
Et par rapport à cela, il est toujours meilleur.
On verra une meilleure espérance, comparée avec l'espérance du système juif,
une meilleure alliance, de meilleures promesses.
Donc, Paul présente ici quelque chose de meilleur.
Il ne dit pas que le judaïsme, ça ne vaut rien.
Dans Hébrus 6, on le verra, il reconnait que c'était donné par Dieu.
Mais il présente quelque chose de meilleur, quelqu'un qui est meilleur.
Et il attache les coeurs à cette personne, beaucoup plus merveilleuse et beaucoup meilleure.
Une meilleure promesse, un meilleur sacrifice, on verra.
Une meilleure possession, une meilleure patrie, une meilleure résurrection.
Tout cela par rapport à cette meilleure personne.
Donc, on va revenir à cela, évidemment, si le Seigneur nous donne l'occasion.
Mais vous comprenez que c'est pour cela que cet Epître a une signification très pratique.
L'appel des chrétiens
L'appel des chrétiens, au moins 14 fois, on a un impératif.
Un impératif, c'est presque comme un commandement.
Et ainsi, il y a beaucoup d'appels pour appeler les croyants
de mettre en pratique cet enseignement et de réaliser leurs responsabilités.
J'aimerais commencer maintenant le premier verset.
On verra dans cet Epître de contrastes énormes.
De contrastes entre le judaïsme et le christianisme.
De contrastes entre ce que Dieu avait donné dans l'Ancien Testament
et l'accomplissement maintenant dans la personne et dans l'œuvre du Seigneur Jésus.
Mais on verra aussi beaucoup de parallèles.
Et c'est pour cela que cet Epître est très difficile à comprendre.
Parce que, quelquefois, on doit voir le parallèle et en même temps le contraste.
Parallèle veut dire quelque chose, par exemple, s'il parle du Seigneur Jésus comme sacricateur,
on trace tout de suite un parallèle avec le sacricateur dans l'Ancien Testament.
Aaron, ou ses descendants.
Mais en même temps, l'auteur Paul nous présente d'énormes contrastes
entre le Seigneur Jésus comme sacricateur, selon l'ordre d'Aaron, et en même temps avec Aaron.
Ensuite, on verra que le Seigneur Jésus est beaucoup plus grand que cet ordre d'Aaron.
Il est maintenant sacricateur, selon l'ordre de l'humain qui sait l'être. On verra cela.
Donc, il faut réaliser souvent des contrastes.
Le premier contraste qu'on voit ici, Dieu a parlé au Père.
Mais verset 2 dit, Il nous a parlé en Fils.
Vous voyez un contraste?
Dieu a parlé dans l'Ancien Testament.
Dieu est le Dieu qui parle.
Et dans cet Epître, Il parle encore.
Chapitre 12, on verra que celui qui a parlé parle maintenant de la gloire.
Et au verset 25, prenez garde que vous ne refugiez pas celui qui parle.
Vous voyez? C'est Dieu qui parle.
Il parle encore, mais Il parle maintenant par Christ dans la gloire.
Et je veux revenir à ça parce que c'est ainsi que Paul parle maintenant, comme représentant de Dieu.
Donc Dieu parle, ça veut dire Dieu révèle ses pensées.
Mais comment est-ce qu'il a révélé ses pensées dans l'Ancien Testament?
A plusieurs reprises, c'était pas fragment, c'était un morceau.
C'était partiel tout le temps.
Mais il y avait toujours une progression.
Une partie ici, une partie là, une partie là, une partie là.
Plusieurs reprises.
Mais aussi en plusieurs manières.
Pierre nous dit que Dieu a parlé par les Saint-Hommes de Dieu.
Et ainsi Dieu a aussi utilisé plusieurs manières.
Il a parlé par les histoires, surtout dans Genève, on voit ça.
Il a parlé par les types.
Il a parlé par les commandements.
Il a parlé de façon différente.
Beaucoup de façons différentes qu'on voit dans l'Ancien Testament.
Et Dieu a parlé de façon différente avec des manières, des outils différents.
Beaucoup de différences que c'est toujours partiel, fragmentaire.
En contraste avec cela, à la fin de ses jours là, il nous a parlé en plus.
Ça c'est un contraste parce que maintenant c'est plus en partie, en morceaux, c'est complet.
Il y a ainsi une continuité.
Dieu a parlé dans le passé et il parle encore.
Mais il y a une différence parce que maintenant il parle et c'est d'une façon complète et parfaite.
Ce que le Seigneur a fait, parce qu'il parle du Fils de Seigneur Jésus,
a confirmé, comme Dieu a parlé dans le Fils, cela a confirmé tout ce que Dieu avait déjà parlé auparavant.
Ce n'était pas que le Seigneur Jésus a dit maintenant, ok, on rejette tout ce que Dieu a dit dans l'Ancien Testament,
moi je dis maintenant quelque chose de nouveau.
Pas du tout.
Le Seigneur Jésus confirme les choses que Dieu a révélées dans l'Ancien Testament.
Matthieu 5 à 7 par exemple.
Mais il continue et il a complété les pensées de Dieu.
La grande différence aussi c'est que Dieu a parlé par des outils.
Il a pris un prophète.
Il a pris une anès avec la langue par exemple.
Il a pris des miracles.
Il a pris des événements.
Il a utilisé beaucoup de moyens.
Mais qu'est-ce que le verset 2 nous dit?
Il nous a parlé en Fils.
Ça veut dire Dieu est là lui-même pour parler.
Vous voyez la différence?
Il a parlé par des hommes dans l'Ancien Testament, par des saints hommes, par des événements, par des outils, quoi que ce soit.
Mais maintenant Dieu parle en Fils.
Dieu parle lui-même.
Directement.
Sans intermédiaire.
Par rapport à ces pensées que Dieu parle, j'aimerais aussi souligner le fait que l'apôtre parle.
Et on verra cela au moins sept fois dans cette pitre.
Mais je mentionne un exemple.
Chapitre 2, verset 5.
Il dit, car ce n'est point aux anges qu'il a assujettis le monde habité à venir dont nous parlons.
Dont nous parlons.
Et ainsi nous verrons sept fois que l'apôtre parle.
Je trouve cela une très belle pensée.
Dieu parle et nous voyons la progression.
Dieu a parlé dans le passé, maintenant dans les derniers jours il a parlé en Fils.
Mais maintenant l'auteur de cette pitre parle.
Cette pitre c'est comme un grand discours.
C'est comme quelqu'un qui donne un long discours.
Et ainsi on peut s'imaginer.
Paul, il s'adresse à ces juifs chrétiens.
Il se place à côté d'eux.
Il ne se place pas au-dessus.
Pas du tout.
Il s'adresse, on a vu cela déjà en chapitre 2, verset 3.
Comment échapperons-nous ?
Il se place à leurs côtés.
Et il les adresse ainsi.
C'est comme un discours.
Donc je trouve cela une belle pensée.
Dieu parle et maintenant il parle par l'apôtre Paul pour encore encourager les croyants en ce moment.
Concernant cette expression, à la fin de ces derniers jours, c'est une expression bien connue dans l'Ancien Testament.
Ça se réfère à l'accomplissement des propices.
Isaïe par exemple, d'autres passages, c'est souvent utilisé une expression semblable.
Mais l'importance pour nous c'est de réaliser que ces derniers jours, on peut voir dans deux étapes.
On peut voir par rapport à la première venue du Seigneur Jésus.
Et on peut la voir par rapport à son retour.
Et entre ces deux, il y a donc l'histoire de l'église.
Et cela est tellement important.
Les prophètes de l'Ancien Testament n'ont pas vu cela.
Ils n'ont pas vu qu'il y ait donc un laps de temps, 2000 même presque, entre la première venue du Seigneur Jésus et son retour.
Mais les deux venues, c'est vraiment dans le contexte des jours, comme il dit, la fin de ces jours-là.
L'autre expression, j'avais une expression, j'ai oublié le premier verset.
Il nous a parlé au Père.
Il parlait, non, il a parlé au Père.
Donc ça c'est donc un résumé de tout ce que Dieu a parlé dans l'Ancien Testament.
C'est pas seulement ici Abraham, Isaac et Jacob, les patriotes.
Ici c'est plus général.
Au Père, ça représente les croyants de l'Ancien Testament.
Je voulais juste mentionner cela.
Ici, dans l'introduction, Paul, l'auteur de l'épître, met beaucoup d'emphase sur la grandeur du Fils.
Et j'aimerais maintenant résumer ces sept points qu'il mentionne du Seigneur Jésus dans sa grandeur.
Les sept points qui commencent par quelque chose de mystérieux.
Dieu l'avait déjà établi héritier de toutes choses avant qu'il crée quelque chose.
Vous voyez au milieu du verset 2, le Fils qu'il a établi.
Donc on a vu, Dieu nous a parlé en Fils.
Ce n'est pas un instrument que Dieu a utilisé, mais il a parlé lui-même.
Dieu lui-même a parlé, mais c'est en Fils.
Parce que là, on touche le mystère de la Trinité.
Ce sont des mystères insondables qui sont impliqués ici.
Le mystère de la Trinité et le mystère de la personne de Christ.
Dieu et homme, en une personne, sont impliqués dans ce verset 2 et 3.
Mais le premier point ici, c'est que Dieu l'a établi héritier de toutes choses.
Avant qu'il crée quoi que ce soit.
Donc avant que Dieu crée le monde, l'univers, il l'avait déjà établi.
Et c'est un mot très fort.
Il l'avait établi, donc déterminé, mis à part, en anglais on dit appointed, Christ comme héritier.
Le mot héritier implique aussi la satisfaction que Dieu trouvait en lui pour lui-même.
Parce que le fait que Dieu l'a établi héritier, c'était aussi pour la satisfaction du cœur de Dieu.
On voit cela dans Galate 4, où Paul explique que les croyants sont maintenant des héritiers.
Et un héritier est pour la satisfaction, pour le bon plaisir du Père.
Donc toutes ces pensées-là sont impliquées ici, par rapport au héritier.
Qu'est-ce que les juifs ont fait ?
Matthieu 21, Marc 12, ils ont dit, voilà, l'héritier, tuons-le !
C'est ça la réponse du peuple.
Et il fallait donc que les juifs chrétiens révisent ce que leur propre nation avait fait avec l'héritier.
Donc ça commence par cette pensée spéciale, l'héritier.
Et ça va ensemble avec la pensée qu'il est fils.
Fils et héritier vont ensemble.
Mais nous verrons plus tard, toute l'emphase dans cet épitre est sur Christ comme fils.
Mais on verra plus tard, chapitre 2, que nous sommes aussi des fils.
Plusieurs fils, ou beaucoup de fils.
Le fils est unique.
Pas de question là-dessus, il est absolument unique.
Mais Dieu voulait avoir plusieurs fils, beaucoup de fils avec lui.
Chapitre 2 montre cela.
Et ainsi nous serons aussi, et nous sommes aussi héritiers avec lui.
Le fils héritier, nous sommes avec le fils héritier, et ainsi des fils et des héritiers, co-héritiers.
Notons de toutes choses, ça c'est une expression très précieuse.
Nous voyons dans l'évangile de Jean, que le Seigneur dit plusieurs fois,
« Mon Père m'aime et m'a donné toutes choses entre mes mains. »
Jean 3, Jean 5, Jean 13, Jean 16, Jean 17.
Plusieurs fois le Seigneur réfère à cela.
Et d'autres passages nous montrent cela aussi.
La deuxième pensée, par lequel aussi il a fait les mondes.
Donc on touche de nouveau au mystère de la Trinité.
Dieu a créé, par le fils, les mondes.
Nous voyons que Dieu est le créateur.
Nous voyons d'autres passages qui mettent l'emphase sur le fait que Christ est le créateur.
Est-ce qu'il y a une contradiction?
Non, il n'y a pas de contradiction.
Parce que Christ est Dieu.
Le fils est Dieu lui-même, comme on a dit déjà ici au début du verset 2.
Non, mais c'est quand même un mystère.
Dieu a créé, mais ici il a dit qu'il l'a fait par le fils.
Et l'autre expression que je voulais souligner, il a fait les mondes.
Ici c'est le mot qu'on connaît par siècle.
Donc ça nous parle aussi du fait que le Seigneur Jésus est en charge, pas seulement de ce vaste univers de l'espoir,
un univers insondable, qu'il est aussi en charge des temps.
Un peu semblable, comme Paul dit dans l'acte 17, au philosophe grec sur l'Arioparle, il dit dans l'acte 17 au verset 30,
Dieu donc ayant passé par-dessus les temps de Lyon-Reims, ordonne maintenant aux hommes de tous, en tous lieux, y se réparer.
Parce qu'il a établi un jour auquel il doit juger en justice la terre habitée par l'homme,
qu'il a destiné à cela, de quoi il a donné une preuve certaine à tous, l'ayant resté dans la mort.
Ici il parle de Christ ressuscité.
Mais avant cela, il nous parle du Dieu créateur,
il nous parle du fait que Dieu, au verset 26, il a fait d'un seul saint,
toutes les races des hommes pour habiter sur toute la face de la terre,
ayant déterminé les temps ordonnés, et les bornes de leur habitation.
On voit ici aussi que Dieu est en charge de l'histoire de l'humanité.
On voit dans ce passage-là, si vous voulez lire depuis le verset 23, 24,
Dieu créateur, il a fait le monde et toutes choses qu'il sent,
il est seigneur du ciel et de la terre, son autorité donc,
il soutient tout, mais aussi il dirige tout, toute l'histoire de l'humanité, les bornes de leur habitation.
Ensuite, Paul le présente comme sauveur, depuis le verset 30,
et s'il est rejeté, ainsi il sera le juge.
On voit ici Christ comme créateur, comme celui qui soutient l'univers,
comme celui qui contrôle l'histoire de l'humanité, comme sauveur et comme juge.
Et ce passage nous aide à comprendre aussi comment, dans Hébreu 1, verset 2,
il est dit, par lequel aussi il a fait les mondes,
si on réalise que le mot les mondes implique aussi la question du temps,
pas seulement l'espace, mais aussi la question du temps.
Il est en contrôle.
Troisième point étant le resplendissement de sa gloire.
Il est, pour ainsi dire, le vase que Dieu a utilisé.
Mais ce vase est tellement merveilleux qu'il reflète la gloire de Dieu.
On ne peut pas dire cela des prophètes qu'on parlait dans l'Ancien Testament,
ou les autres méthodes que Dieu a utilisées pour révéler sa pensée.
Mais ici nous voyons que celui que Dieu a utilisé pour parler,
il est en même temps le resplendissement de sa gloire.
On touche là aussi à ce mystère que plusieurs passages dans la Parole nous montrent en plus de détail,
dans Colossiens 1 et 2, et aussi dans Apocalypse 4, dans Jean 1 aussi.
Beaucoup de passages nous parlent de ce mystère.
Mais ça va encore plus loin que cela.
Il n'est pas seulement le resplendissement de sa gloire,
on pourrait le voir encore comme quelqu'un qui exprime ce que Dieu est,
sans qu'il soit ce Dieu élevé lui-même.
Mais le quatrième point qui suit maintenant, il est l'empreinte de sa substance,
nous montre qu'il est Dieu lui-même.
Et lorsqu'il parle, lorsqu'il se manifeste, il manifeste Dieu.
Et ce verset donc met ensemble ces deux mystères,
le mystère de la Trinité et le mystère de la personne de Christ,
Dieu et homme dans une seule personne.
1 Timothée 3, verset 16 le dit, sans doute le mystère de la piété est grand.
Dieu manifesté en chair.
C'est un mystère, pour la foi.
Jean 1, verset 14, la parole est devenue chair.
Qui peut s'en dire cela? C'est un mystère.
Et ainsi, ce verset souligne donc ce mystère.
Mais celui qui parle est Dieu lui-même.
Et ce Dieu est donc celui qui a révélé tout ce qui est dans le cœur de Dieu.
Parce que tout ce que Dieu voulait révéler, c'est lui qui l'a révélé.
Dans Jean 1, verset 18, on le voit qu'il a révélé le Père.
Et ainsi, on a comparé ces quatre points avec l'arche dans notre testament.
L'arche, on voit le voie de Siphtim,
le voie de Siphtim dans la version grecque est traduite comme la voie incorruptible.
Ça nous parle de l'humanité du Seigneur Jésus.
Une humanité incorruptible.
Il n'était pas touché par le péché.
Incorruptible.
En même temps, ce voie était couverte de deux côtés,
à l'intérieur et à l'extérieur, de l'or pur,
qui nous parle de sa déité.
Et ainsi, on voit dans ces versets qu'on a lus,
quelque chose de Christ comme on le voit dans l'arche.
Son humanité et sa déité.
Mais ça va encore plus loin maintenant.
Au verset 5, nous voyons ce qu'il fait.
Il soutient toutes choses.
Soutenant ici, c'est participer, et ça veut dire qu'il continue à soutenir tout le temps.
Chaque seconde, il soutient toutes choses.
Donc on a vu Dieu, lui a déjà donné cette place d'héritier de toutes choses.
Mais ici, nous voyons sa grandeur comme celui qui soutient toutes choses.
On voit plusieurs références, je pense maintenant à Daniel 5,
que même le souffle de tous les êtres humains est dans sa main.
Il soutient toutes choses, un peu comme on a vu aussi dans l'acte 17,
par la parole de sa puissance.
Dans le psaume 33, nous lisons que Dieu a parlé et la chose a été.
La chose a été, il a commandé et elle s'est tenue là.
La force de sa parole en création.
Mais ici, c'est la même parole ou la même personne qui parle pour soutenir.
Ça implique donc les lois de la nature, les lois de l'univers.
Comment garder tout cela sous contrôle?
C'est lui qui garde tout en contrôle et sous son contrôle.
Une puissance insondable.
Si le Seigneur Jésus arrêtait à soutenir, tout l'univers s'écroulait.
C'est un mystère bien aimé.
Le moment où le Seigneur Jésus était dans la crèche,
où sa mère Marie lui donnait de la nourriture,
il soutenait tout l'univers par la parole de sa puissance qui peut changer cela.
Le moment où les soldats ont crucifié le Seigneur Jésus,
c'est lui qui donnait la force aux soldats de le crucifier.
C'est un mystère qui peut changer cela.
C'est incompréhensible.
Et ça, c'est tout impliqué dans cette expression
soutenant toute chose par la parole de sa puissance.
Maintenant, le sixième point, ayant fait par lui-même la purification,
ayant fait, ce n'est pas ici, peut-être un jour il va accomplir cette œuvre.
Non.
Jean 19, on le dit.
C'est accompli.
Il l'a fait.
C'est accompli.
Ayant fait, il n'y a pas de doute.
C'est accompli.
L'œuvre de la rédemption.
Ce qu'on voit ici, le créateur, celui qui soutient toute chose,
comme on l'a vu tantôt, est aussi le rédempteur.
Et le rédempteur s'ensemble avec sa mort, son sacrifice et sa mort,
mais s'ensemble aussi avec sa réjurrection.
Parce que tout cela est impliqué dans le fait qu'il est le rédempteur.
Sans sa réjurrection, on serait encore perdus.
On serait encore dans nos péchés.
Par lui-même, il n'a pas utilisé des anges
ou des outils comme dans le judaïsme.
Il a fait tout par lui-même.
La purification des péchés.
Ce mot purification est un mot important pour le service lévitique.
On verra plus tard que le service lévitique ne pouvait jamais accomplir les choses.
C'était pour un temps, mais jamais de perfection ou d'accomplissement.
Ici, l'heure est accomplie, la purification est accomplie,
ça a été fait par lui-même et c'est réglé une fois pour toutes.
C'est tout impliqué.
La question des péchés aussi, verset 3 à la fin.
La purification des péchés.
C'est très général ici, cette expression,
mais c'est une très belle expression.
Pour donner une illustration.
Un moment donné, le Seigneur Jésus a touché un lépreux.
Sous la loi, quelqu'un qui touchait un lépreux devenait impur.
Le Seigneur a touché le lépreux.
Est-ce que le Seigneur est devenu impur?
Impossible.
Le lépreux a été guéri.
Donc ça nous montre la puissance de purification.
Et cette puissance qui est illustrée là, dans cette histoire-là,
est présente ici, dans ce verset-là.
Septième point, et on finit par ce septième point.
Il s'est assis à la droite de la majesté dans les hauts lieux.
C'est une accumulation d'expressions pour souligner la grandeur de sa personne.
D'abord, il s'est assis.
Il est vrai que Dieu l'a fait asseoir, verset 13.
Assieds-toi à ma droite.
Dieu lui a donné un commandement.
Mais là, il est vu comme homme aussi.
Mais ici, il est vu dans sa grandeur, la grandeur de sa personne.
C'est lui qui est monté.
C'est lui qui s'est assis.
Il est vrai.
Dieu l'a fait asseoir.
Dieu lui a dit, assieds-toi.
Mais ici, ce n'est pas dit comme ça.
Ici, il est dit, il s'est assis.
C'est pour souligner la grandeur de sa personne.
Et dans ce contexte-là, on peut donc dire,
toute l'emphase ici est sur la grandeur de sa personne.
Et à cause de cette grandeur-là, il pouvait s'asseoir.
Au verset 13, comme j'ai cité tantôt, verset 13,
c'est dans le contexte du millennium.
Dans le millennium, il y aura un homme duquel Dieu dira, assieds-toi à ma droite.
Non, excusez-moi.
Dans le millennium, ce sera vu publiquement que Dieu lui a dit cela.
Mais nous, par la foi, nous savons déjà que Dieu lui a dit, assieds-toi à ma droite.
Mais l'accomplissement public, dans le sens où tout le monde va reconnaître
que le Seigneur Jésus a eu cette place à la droite de Dieu,
ce sera seulement vu dans le millennium.
Mais nous le voyons déjà maintenant par la foi.
Et cette expression-là revient encore quelques fois dans cet épitre.
Et on va revenir à ça.
Mais cinq fois, on a cette expression que le Seigneur Jésus est à la droite.
Ici, c'est à cause de la grandeur de sa personne.
Plus tard, on verra, c'est à cause de la grandeur de son ministère, dans le chapitre 8.
Ou à cause de la grandeur de son sacrifice, l'œuvre accomplie.
Ou à cause de la grandeur de sa mort qu'il a accomplie, dans le chapitre 12.
Donc on va revenir à cette pensée-là plusieurs fois.
Mais chaque fois, c'est un contexte différent.
Mais ici, l'emphase est sur le fait qu'il est suprême, supérieur.
Et à cause de cela, il peut s'asseoir dans la présence de Dieu.
À la droite, ça veut dire une place d'honneur, une place d'autorité, une place de faveur, une place de puissance.
Et le mot « majesté » souligne donc la pensée de la grandeur.
La position qu'il a est une position de grandeur.
On pourrait traduire ce mot comme ça.
Il s'est assis à la droite de la grandeur, dans les hauts lieux.
C'est encore ajouté, dans les hauts lieux.
Donc c'est une accumulation.
D'abord, le repos, il s'est assis.
L'œuvre a été accomplie, il s'est assis.
Mais on verra dans cet épisode, il s'est assis, mais il est très actif.
Ça ne veut pas dire qu'il ne fait rien.
Le Seigneur s'occupe de nous.
On verra dans chapitre 4, il est là sur le trône de la grâce.
On verra plusieurs détails, comment le Seigneur Jésus s'occupe maintenant d'Étienne.
Mais c'est dans cette position-là.
Peut-être on pourrait dire, lorsque Étienne était lapidé, il s'est levé pour recevoir Étienne.
Mais peut-être c'est aussi qu'il attendait encore, en ce moment-là, pour revenir pour le peuple juif.
Et ensuite, il s'est assis.
En tout cas, lorsque Paul a écrit ici, c'était longtemps après la mort d'Étienne.
Et on voit ici que le Seigneur Jésus s'était assis.
Dieu lui a donné cette place d'honneur et de puissance et de gloire, de majesté, dans les hauts lieux.
Ce n'est pas dans le temple de Salomon.
On voit dans le temple de Salomon la gloire de l'Éternel.
Où est la gloire maintenant?
Dans le ciel.
Christ dans la gloire.
La gloire de l'Éternel est là.
Et ainsi, il fallait que les juifs chrétiens voient par l'œil de la foi, en haut, dans les hauts lieux.
Pas dans le temple ou quelque part sur la terre.
Donc, en anglais, on dit « des sectes de tombe ».
Ce verset-là nous prépare pour ce qui va suivre.
Et je dis aussi un principe général.
Souvent, il mentionne un détail.
Il va revenir à cela plus tard.
Donc ici, on a vu déjà sept détails qui sont développés,
mais quelques détails sont développés beaucoup plus tard dans cette pépite.
Par exemple, la question de la purification est développée plus tard.
La question de sa position présente, comme le vrai Métisédèque, est développée plus tard.
Et ce sera souvent le cas, il mentionne un point qui est développé plus tard.
Mais on est impressionné. …
Transcription automatique:
…
L'Épître aux Hébreux
On a parlé déjà de quelques versets, mais c'est peut-être bon de relire le chapitre, ou relire ces versets et puis lire le reste.
L'Épître aux Hébreux, premier chapitre.
Dieu, ayant autrefois à plusieurs reprises et en plusieurs manières parlé au Père par les prophètes, à la fin de ces jours-là nous a parlé dans le Christ qu'il a établi héritier de toute chose, par lequel aussi il a fait les mondes,
qui étant le resplendissement de sa gloire et l'empreinte de sa substance, et soutenant toute chose par la parole de sa puissance,
ayant fait par lui-même la purification des péchés, s'est assis à la droite de la majesté dans les hauts lieux,
étant devenu d'autant plus excellent que les anges, qu'il a hérité d'un nom plus excellent qu'eux.
Car auxquels des anges a-t-il jamais dit, tu es mon fils, moi je t'ai aujourd'hui engendré?
Et encore, moi je lui serai pour père et lui me sera pour fils.
Et encore, quand il introduit le premier-né dans le monde habité, il dit, et que tous les anges de Dieu lui rendent hommage.
Et quant aux anges il dit, qui fait ces anges des esprits et ces ministres d'une flamme de feu?
Mais quant au fils, ton trône, ô Dieu, demeure au siècle des siècles. C'est un secte de droiture que le secte de ton règne.
Tu as aimé la justice et haïs l'inquité. C'est pourquoi ton Dieu t'a loin d'une huile de joie au-dessus de tes compagnons.
Et toi, dans les commencements, Seigneur, tu as fondé la terre et les cieux sont les heures de tes mains.
Eux, ils périront, mais toi, tu demeures. Et ils vieilliront tous, comme la vie, et tu les plieras comme un vêtement.
Et ils seront changés, mais toi, tu es le maire, et tes anges ne cesseront pas.
Et auxquels des anges as-tu jamais dit, assieds-toi à ma droite jusqu'à ce que j'ai mis tes aiguilles pour marcher de tes pieds?
Ne sont-ils pas tous des esprits administrateurs envoyés pour servir en faveur de ceux qui vont hériter du salut?
Donc on a parlé ensemble déjà de l'introduction et on a parlé assez longtemps de l'introduction.
Ensuite, on a parlé de ces sept points concernant la personne bénie de notre Saint Jésus et concernant son œuvre, soit de créateur, soit de la rédemption.
Et on a vu que dans cet épître, l'exercice est de présenter la splendeur de sa personne, son excellence, sa suprématie, pour qu'il soit présenté comme un objet attirant pour nous attirer.
Nous avons vu ces sept points et maintenant, ce soir, on a sept autres points.
Et je voulais donner d'abord les grandes lignes.
C'est remarquable qu'il y a sept citations de l'Ancien Testament que nous avons vues ensemble.
Six concernant Christ et une citation concernant les anges.
J'aimerais d'abord donner ces sept points et ensuite on parlera de quelques détails.
Ce que l'auteur, on a vu, c'est Paul, mais ce que l'auteur mentionne dans ces versets qu'on a vus, versets 4 jusqu'à la fin du chapitre,
son exercice est de montrer que le Seigneur Jésus est plus haut que les anges, plus haut que les anges.
C'est le premier point au verset 4.
Ensuite, nous verrons au verset 7 que son trône, donc le trône du Seigneur Jésus, est au-dessus de tous les autres trônes.
Le mot au-dessus, c'est comme un mot-clé.
Il est plus haut, au-dessus.
C'est un mot-clé pour cet épitre.
Au-dessus des anges, au-dessus de tous les autres trônes.
Au verset 9, il est au-dessus de ses compagnons.
On va voir tantôt c'est qui les compagnons, ses compagnons.
Mais il est au-dessus de ses compagnons.
Au verset 10 à 12, nous verrons que le Seigneur Jésus, qui est le créateur, comme nous avons vu la dernière fois,
est quand même au-dessus de cette création-là.
Et donc, lorsque la première création va disparaître, il va demeurer, parce qu'il est au-dessus de la création.
Au verset 12, nous avons le cinquième point.
Il est au-dessus le temps, au-dessus du temps, au-dessus du temps.
Ça va ensemble avec l'autre pensée, évidemment.
Et là, par rapport à cette pensée-là, il est adressé comme étant le même.
C'est le nom de Dieu.
Dieu est appelé le même.
Et le humble Jésus de Nazareth, il est le même.
C'est le nom de Dieu.
Et dans Hébreu 13, verset 8, nous voyons Jésus-Christ est le même.
C'est son nom. Il est le même.
Donc, même comme homme, Jésus-Christ, il reste le même, mais il reste aussi le même, ce nom de l'éternel.
Mais il reste aussi le même, ce nom de l'éternel.
Le sixième point, il est au-dessus des ennemis, verset 13.
Assieds-toi à ma droite jusqu'à ce que j'ai mis tes ennemis pour marche-pieds, pour pieds-pieds.
Donc, il est au-dessus, de nouveau ce mot clé, au-dessus, plus haut que les ennemis.
Verset 14, encore une fois, il est au-dessus des anges.
Donc, ces sept points, on va discuter un peu ce soir.
Un autre mot clé dans cet épître, c'est le mot plus excellent, verset 4.
Plus excellent, ou meilleur, on pourrait traduire meilleur.
Ce mot revient souvent, et dans la lecture de cet épître, c'est toujours bon de se rappeler que c'est un mot clé qui va nous guider pour montrer un contraste.
Un contraste entre le système judaïque, on en a parlé la dernière fois, et maintenant, ce nouveau système que le Seigneur Jésus a introduit.
Il y a un contraste, et ce contraste est marqué par le mot meilleur ou plus excellent.
Ici, le contraste n'est pas avec le système judaïque nécessairement, mais indirectement, oui, parce que les juifs avaient reçu la loi par la transmise des anges.
Galate 3 démontre que la loi a été donnée par des anges, et aussi Étienne dans Acte 7, Mansonne, le service des anges.
Donc, les anges avaient un service très élevé par rapport au système judaïque.
Mais, la personne qui est présentée ici était au-dessus de ces anges.
C'était important pour les juifs chrétiens à ce moment-là de réaliser cela.
Mais, c'est important pour nous aussi, et on verra plus tard dans cet Épitre, le Seigneur Jésus est plus haut que Moïse, plus haut qu'Aran, plus haut que David, plus haut que Salomon, plus haut que Lévi.
Il y a beaucoup de comparaisons dans cet Épitre qui nous montrent ce contraste, que le Seigneur Jésus est plus excellent, plus élevé, au-dessus de tous.
Et il est dit aussi pourquoi il a hérité d'un nom plus excellent qu'eux.
Ici nous avons le nom.
Et si vous voulez étudier les écritures qui nous parlent du nom du Seigneur Jésus, vous seriez impressionnés.
Son nom, à la naissance, exprime déjà la pensée qu'il est Jéhovah, l'Éternel Sauveur Jésus.
Et en même temps, il est appelé Emmanuel, parce que Dieu est avec nous. Il est Dieu lui-même.
Je donne juste quelques exemples. Dans Philippiens 1, le même mot excellent est utilisé, meilleur.
Lorsque Paul parle de son désir d'être avec Christ qui est beaucoup meilleur.
Mais dans ce même Épitre, il parle dans le deuxième chapitre que ce nom du Seigneur Jésus est au-dessus de tout nom.
Ça m'a frappé, je veux juste mentionner quelques points, ça m'a frappé.
Dans Jean 3, verset 31, le Seigneur est au-dessus de tous.
Dans Acte 26, lorsque Paul donne un résumé de sa rencontre avec le Seigneur dans la gloire, il parle d'une lumière qui était au-dessus de la splendeur du soleil.
Cette lumière, on parle du Seigneur Jésus, il est au-dessus de la splendeur du soleil.
Dans Ephésia 1, nous avons 7 points à la fin du chapitre qu'il est au-dessus de toute autorité, de toute domination, etc.
Il y a 7 points qui sont mentionnés là. Le Seigneur est au-dessus.
Dans Ephésia 4, il est au-dessus de tous les cieux, pas seulement au-dessus des cieux, mais au-dessus de tous les cieux.
Dans Philippia 2, il est dit qu'il est au-dessus de tout nom, de tout nom.
Ici, on a vu dans chapitre 1, verset 9, qu'il est aussi au-dessus de ses compagnons, on parlera de cela.
Et un peu plus loin, dans Hébreu 7, nous voyons qu'il est plus haut que les cieux.
Donc, tous ces versets soulignent la grandeur du Seigneur Jésus. Il est au-dessus de tout.
On a vu déjà au verset 2 que Dieu avait établi Christ comme héritier avant qu'il crée le monde.
Et ici, nous voyons que le Seigneur Jésus a hérité d'un homme plus excellent qu'eux.
Ici, je pense aussi, on voit son humanité.
On ne peut pas séparer l'aspect de la déité de l'humanité du Seigneur Jésus parce qu'elle est la même personne.
Mais peut-être on voit ici l'emphase sur l'humanité.
Et c'est beau de souligner cela, le Seigneur Jésus a hérité quelque chose.
Mais au verset 14, nous voyons les croyants aujourd'hui.
On parlera du service des âmes, mais ensuite, il est dit au verset 14, en faveur des âmes dont servent les croyants qui vont hériter du salut.
Donc, nous aussi, on va hériter quelque chose.
Le salut, donc, dans son aspect futur.
On a déjà le salut de nos âmes, un tiers d'eux, mais ici, c'est un aspect futur.
Et dans ce sens-là, nous allons hériter.
La pensée que nous, comme croyants, allons hériter, c'est une pensée qui revient souvent.
Dans l'apocalypse fin italien, c'est les vainqueurs qui vont hériter.
Donc, on pourrait se poser cette question-là, est-ce que je suis vraiment un vainqueur?
Pour Dieu, il faut être un vainqueur pour pouvoir hériter.
D'autres passages nous montrent que la chair et le sang ne peuvent pas hériter du royaume de Dieu.
C'est impossible.
Dans Chrétien 15, Galate 5, ça nous montre que cet héritage que Dieu veut nous donner n'a rien à faire avec quoi que ce soit de la chair ou de ce que l'homme puisse produire.
Mais on a donc quelque chose en commun avec le Saint-Gilles, ça c'est mon point.
Il va hériter d'un nom plus excellent que les Indes.
Et nous, on va hériter de sa lutte.
Un autre point que je voulais souligner ici, c'est donc la pensée du nom.
J'ai parlé déjà du nom, au-dessus de tout nom.
Et ce nom représente sa personne.
Ça représente ce qu'il est en lui-même.
Ça représente son autorité.
Et dans Jean 20, par exemple, vous donnez un exemple, ce nom est tout suffisant.
C'est un autre aspect de ce nom.
C'est un nom tout suffisant.
Ces choses sont écrites afin que vous croyez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu'en croyant en son nom, vous ayez la vie.
Donc le nom représente sa personne.
C'est par rapport au salut, pour accepter le salut.
C'est par rapport aussi de cette jouissance de la vie éternelle, comme Jean 20 le montre.
C'est tout par lui.
On n'a rien aujourd'hui d'énumé.
Toutes nos bénédictions que nous avons, on ne peut rien détacher de la personne du Seigneur Jésus.
On a tous, par rapport à lui, par rapport à son nom qui est plus excellent que quel autre nom que ce soit.
Si on étudie cela, on verra que le nom du Seigneur Jésus à la base, pour le rassemblement, Matthieu 18, 1 Corinthiens 1, verset 2.
Et on verra aussi que ce nom est important pour un jour de l'huile, 2 Timothée 2, verset 19.
C'est ce nom-là.
Donc vous pouvez étudier cela en détail, mais ça nous montre que le nom est la base.
Le nom du Seigneur Jésus est la base de tout.
Dans l'acte 4, Pierre l'a dit déjà, le salut est un nom qu'un autre.
Il n'y a aucun autre nom par lequel il ne faille être sauvé.
Donc la puissance qui est attachée à ce nom, c'est parce que ce nom appartient au Seigneur Jésus.
C'est lui qui a cette puissance pour donner la vie.
C'est lui qui est le chef, c'est lui qui est le centre du rassemblement, etc.
Ça m'a frappé de voir dans le livre de Malachie, peut-être vous avez lu le dernier livre de l'Ancien Testament,
le nom de l'Éternel, ou mon nom, ou son nom, est mentionné dix fois, dix fois.
Et là le peuple avait méprisé ce nom.
Aujourd'hui, si on lit un tel verset que le Seigneur Jésus a hérité d'un nom plus excellent que les anges,
est-ce que nous apprécions ce nom?
Est-ce que nous sommes indifférents comme les gens d'un temps de Malachie?
Ou est-ce que ça nous touche?
Est-ce que nous sommes heureux que le Seigneur Jésus a ce nom parce qu'il est mon Seigneur?
Quel nom merveilleux!
On chante quelquefois de ce nom.
Et vous pourriez étudier aussi le livre d'Apocalypse pour le nom.
Le nom qui est tellement merveilleux, en contraste avec le nom que les gens vont porter pendant la Grande Tribulation pour suivre l'Antéchrist,
le nom des vainqueurs est lié à ce nom du Seigneur Jésus.
En tout cas, c'est un sujet important pour toutes les dispensations, mais surtout pour nous aujourd'hui.
Verset 5.
Auxquels des anges a-t-il jamais dit, Tu es mon Fils?
Donc, il donne ici son premier argument.
Il va montrer maintenant pourquoi le Seigneur Jésus est plus élevé que les anges.
Il va le montrer.
Il a dit déjà au verset 4 qu'il a hérité d'un nom plus excellent que les anges,
mais maintenant il va montrer pourquoi le Seigneur Jésus est plus élevé que les anges.
Et il pose cette question-là.
Auxquels des anges a-t-il jamais dit, Tu es mon Fils?
Il n'y a pas d'anges auxquels Dieu a dit, Tu es mon Fils.
Moi, je t'ai aujourd'hui engendré.
Chaque ange a été créé par Dieu.
Mais il n'y a aucun ange auxquels Dieu a dit, Tu es mon Fils.
Moi, je t'ai aujourd'hui engendré.
Donc ici, c'est une référence à l'incarnation.
On voit ici le Seigneur Jésus.
On parlait de cela la dernière fois un peu.
L'humble bébé dans la crèche.
C'était la première fois que les anges ont vu leur Créateur.
Lorsqu'il était comme petit bébé dans la crèche.
1 Timothée 3 le dit au verset 16 que là les anges ont vu leur Créateur.
C'est bien clair qu'il est au-dessus des anges parce qu'il est leur Créateur.
Donc, le point ici, c'est que cette personne qui est présentée ici est appelée mon Fils.
Mais là vous direz peut-être, oui, mais c'est le Seigneur Jésus comme homme.
Lorsqu'il est né, lorsque l'ange a annoncé à Marie, l'ange Gabriel dans l'Ukraine a annoncé que le Seigneur Jésus serait né,
qu'il serait grand, qu'il aurait le royaume de son père David, etc.
Mais il ne faut pas oublier qu'en même temps il est le Fils qui est dans le sein du Père.
C'est un mystère.
Mais je pense que l'auteur donne ici son premier argument pour montrer que le Seigneur Jésus est au-dessus des anges.
Même lorsqu'on voit le Seigneur Jésus dans la crèche comme un petit bébé, il était en même temps au-dessus des anges.
C'est un mystère, mais c'est vrai. Pourquoi? Parce qu'il était le Créateur des anges.
Dans l'ordre de la Création, les êtres humains sont au-dessous des anges.
Mais lorsque le Créateur entre dans sa création, Colossien 1 l'explique aussi, il faut qu'il soit le premier.
Et ainsi, même comme homme, appelé Fils de Dieu, même comme homme, Fils de Dieu, il était au-dessus des anges.
Donc, pour comprendre ce point-là, il fallait presque lire Jean 1, Colossien 1, pour vraiment saisir cela, ensemble avec Luc 1, l'annonce de l'âme.
Donc ici nous avons le mystère de l'incarnation.
Ensuite, on a une deuxième citation.
Moi, je lui serai pour père, et lui me sera pour fils.
Il y avait donc une relation entre Dieu et ce Fils qui est né.
Le Fils de David, il est le Fils de Dieu. C'est une relation précieuse.
Le Fils de David, c'est donc Salomon.
Et Salomon, le prince de la paix pacifique, est appelé aussi Zédidia, aînée de Jérôme.
Et ainsi, il y avait une relation intime entre le Fils de David et Dieu.
Mais, Salomon, Zédidia, était donc une image du Seigneur Jésus comme homme sur la terre.
Et ainsi, le Seigneur Jésus a joui de la communion avec son père.
Donc, on pourrait dire, verset 5, c'est sa naissance.
Dans sa naissance, au-dessus des anges.
Le verset 5 au début.
Le verset 5 à la fin, nous parle de la vie du Seigneur Jésus.
Sa communion avec Dieu.
Dieu était son père. Il avait la communion avec Dieu.
Vous voyez, d'abord la naissance, ensuite la marche du Seigneur Jésus.
Et dans sa marche, il a joui de cette relation avec Dieu, comme étant son père.
Au verset 6, on va encore un peu plus loin.
Et encore, quand il introduit le premier-né dans le monde habité, il dit que tous les anges de Dieu lui rendent hommage.
Je suggère que dans le temps, on va ici plus loin, on va jusqu'au millénium, lorsque le Seigneur Jésus va revenir pour régner.
Mais en principe, c'est vrai aussi par rapport à la naissance.
Dieu a introduit le premier-né dans le monde habité.
Et là, tous les anges l'ont adoré.
On peut voir cela dans Luc 2.
Tous les anges ont loué Dieu par rapport à la naissance du Seigneur Jésus.
Les anges ont vu lorsque Dieu a ouvert le ciel, trente ans plus tard.
Mais, je pense ici, c'est aussi une référence au début du millénium, lorsque Dieu va introduire publiquement, publiquement, son premier-né dans le monde habité.
Lorsque tous les anges de Dieu lui rendent hommage.
Ici, son règne commence.
Donc, vous voyez aussi l'ordre chronologique, la naissance du Seigneur, sa marche sur la terre.
Ici, son retour, Dieu va l'introduire.
Et pour finir cette pensée-là au verset 8, c'est vraiment le trône dans le temps du millénium.
Et au verset 11, on verra l'état éternel.
Lorsque la première création va disparaître, il est dit tantôt le Seigneur, il demeure.
Il est au-dessus de la première création, il est au-dessus du temps, il demeure.
Voilà, c'est l'introduction de l'état éternel.
Donc, juste pour suivre cette lignée chronologique.
Maintenant, je veux revenir à une expression au verset 6.
Et encore quand il introduit le premier nom.
C'est beau de voir cela.
Bien-aimé, il y a dans cet épître l'emphase sur le Seigneur Jésus.
En même temps, tout le temps, il y a un lien avec les croyants.
Si le Seigneur Jésus est fils, on a vu cela la dernière fois, il est le fils.
Dans cet épître, on verra que nous, les compagnons du verset 9, sommes des fils.
Si nous voyons ici le Seigneur Jésus comme le premier-né, ça veut dire qu'il a une relation avec d'autres,
et nous appartenons à cette race de laquelle il est le premier-né.
Il est le premier d'entre beaucoup d'affaires.
Il est le premier-né de la création, évidemment, on parlait de cela dans Colossien 1.
Il est le premier-né de la résurrection, aussi dans Colossien 1, et ainsi donc le premier-né de la nouvelle création.
Il est aussi le premier-né de beaucoup de fils romaniques, et entre beaucoup d'affaires hébreux d'eux.
Et il est le premier-né des morts, Apocalypse 1.
Donc le Seigneur Jésus est cinq fois le premier-né.
Là, c'est toujours par rapport à son humanité.
On ne peut pas détacher l'humanité de sa déité.
Je l'ai dit, c'est la même personne.
Mais lorsque la Bible parle de lui comme étant le premier-né, l'emphase est sur son humanité.
Et ainsi, il est le premier-né d'une nouvelle race, et nous appartenons à cette race.
Mais lui, il est le premier-né.
Et c'est beau de voir l'équilibre de l'écriture, parce que cinq fois il est appelé le fils unique.
Jean 3, et d'autres places, cinq fois il est appelé le fils unique.
Et ça c'est pour mettre l'emphase sur lui comme le fils éternel.
Il est le fils éternel dans le sein du peuple.
En même temps, il est vu ici comme homme, le premier-né.
Il a toujours la première place.
Comme homme, le premier-né.
En même temps, il est Dieu béni, il est le fils unique.
Un mystère béni.
Mais on peut se réjouir dans le Seigneur Jésus en voyant sa grandeur.
Et lorsqu'on étudie ce passage qu'il est le fils unique, on peut dire, c'est mon Seigneur.
On se réjouit, parce que c'est mon Seigneur.
Au verset 6, je pense qu'il avait encore pensé...
Oui, il a pensé que Dieu introduit.
Comme Dieu a introduit un nouveau roi, David, en Samuel 16,
Dieu aime introduire cet ordre nouveau.
On voit dans cette histoire de David, Dieu introduit un nouveau roi,
qui représentait un nouvel ordre de choses.
Ainsi, Dieu aime introduire ici le premier-né, qui représente un nouvel ordre de choses.
Et ainsi, Dieu aime introduire ce nouvel ordre de choses.
Si vous faites attention, vous allez voir cela souvent.
L'autre expression que j'aimerais souligner, c'est le mot d'habiter.
Le mot d'habiter, ce mot est utilisé, par exemple, dans Luc 2, lorsque le Seigneur Jésus est mort.
L'empereur romain avait donné des ordres, un décret, pour que les Juifs soient inscrits dans leur lieu où leurs ancêtres étaient.
Et ainsi, Joseph, à 10 minutes ou, est allé à Bethléem pour être inscrit.
Et là, le même mot, le mot d'habiter, est utilisé.
Là, c'est sous le contrôle de l'empereur romain.
Même si on lit bien, on voit que Dieu est en contrôle.
Mais ici, le mot d'habiter, ce sera le mot du millenium, où Dieu est publiquement en contrôle.
Dans Luc 2, Dieu est en contrôle, derrière les coulisses, pour ainsi dire.
Mais ici, le début du millenium, Dieu sera en contrôle de ce monde d'habiter, de ce monde où le Seigneur Jésus sera être humain.
C'est un mot intéressant, parce que ce mot, monde d'habiter, dans l'original, fait penser à une maison.
Une maison, ainsi, toute la création sera comme une maison pour Dieu.
Une pensée qu'on trouvera plus tard dans cet épisode.
Maintenant, le verset 7, on a la quatrième citation, la troisième, on a vu au verset 6, que tous les anges de Dieu virent un dommage.
Maintenant, au verset 7, on a la quatrième citation.
Qui fait ces anges des esprits et s'éministre une flamme de feu ?
Donc, Dieu fait ces anges des esprits.
Et puis, cela est dit, c'est une citation qui représente, pour donner un contraste au verset 8,
Mais, quant au Fils, ton trône, oh Dieu, demeure au siècle des siècles.
Il faut comprendre cela, verset 7, les anges ont été faits des esprits.
Mais est-ce que Dieu a fait le Fils, dans ce sens-là ? Non.
Il est Dieu béni. Il est Dieu au-dessus de toute chose.
Et on voit cela, ton trône, oh Dieu, il est Dieu.
Donc, il est au-dessus des anges. Il n'est pas fait comme des esprits ou comme une flamme de feu.
Il est Dieu lui-même.
On a vu, au verset 5, car auquel des anges a-t-il jamais dit, tu es mon Fils ?
Là, on a pensé au Seigneur Jésus dans la crèche.
Donc, son humanité.
Quand même, il est mon Fils.
Mais ici, nous voyons la même personne, au verset 8, il est le Fils.
Donc, cela implique aussi le Fils éternel.
Ton trône, oh Dieu, il est Dieu lui-même.
Demeure au siècle des siècles.
Et c'est un cercle de droiture que le cercle de temps règne.
Voilà, on voit le règne millénaire avec sa droiture.
Ce mot « droiture » revient souvent dans l'Epsaume.
Et c'est un mot qui nous parle aussi du caractère d'honnêteté du Seigneur Jésus, de son règne.
Que tout était vraiment honnête.
Et ainsi, le sceptre de son règne sera marqué par cette honnêteté, par cette droiture.
Et le premier point est que son trône, comme j'ai dit tantôt, est donc au-dessus de tous les autres trônes, parce qu'il est Dieu lui-même.
Et au verset 9, tu as aimé la justice.
Pendant sa vie, il a aimé la justice.
Quel contraste avec le premier Adam, il a préféré se faire séduire par sa femme.
Sa femme s'est fait séduire par le serpent.
Ils n'ont pas aimé la justice.
Mais le Seigneur Jésus était motivé par cet amour.
Il a aimé la justice.
Jusqu'à quel point?
Pour se donner comme sacrifice.
Ainsi, le Seigneur Jésus a aimé la justice.
Il était prêt à se donner en sacrifice.
Pour être fait péché de chrétiens saints.
Afin que nous devinions la justice de Dieu en lui.
Quel amour! Quel dévouement!
Et ainsi, il a haï l'iniquité.
Ce mot veut dire ce qui est sans loi.
Et ce mot est vraiment caractéristique pour notre temps.
Paul parle déjà du mystère de l'iniquité.
De Thessaloniciens 2.
Ca marque nos vœux.
Mais le Seigneur Jésus a haï l'iniquité.
Nous devons être marqués par cela aussi.
Qu'on ne peut pas faire des compromis avec l'iniquité.
Nous vivons dans un temps où le mystère de l'iniquité est là au milieu de la chrétienté.
De Thessaloniciens 2 et d'autres passages nous montrent.
Mais nous devons suivre l'exemple du Seigneur Jésus qui a haï l'iniquité.
Il y a plusieurs pensées au verset 7 que j'ai oublié tantôt.
Mais on va revenir à ça.
Les anges sont des ministres.
Mais le Seigneur Jésus, il a son trône.
Il est roi.
Et c'est beau de voir que le mot sceptre, c'est le même mot qui est utilisé par exemple pour le bâton du berger.
Donc Jacob avait son bâton dans Genève.
Et Moïse avait son bâton.
C'est le même mot dans le grec pour sceptre.
C'est beau de voir ça.
Donc ça veut dire que Jacob et Moïse avaient appris déjà de ces principes.
Ils étaient en accord avec le sceptre de droiture.
Et ainsi nous devons aujourd'hui nous exercer pour être moralement en accord avec ce sceptre.
Une autre expression que j'aimerais souligner au verset 9, c'est pourquoi Dieu, ton Dieu, t'aouine d'une huile de joie au-dessus de tes compagnons.
Donc là, le verset 9 continue la pensée que le Saint Jésus son trône.
Il est au-dessus de tout.
Il est Dieu.
Mais maintenant le verset 9 cite l'option 45 aussi pour dire Dieu, ton Dieu.
Donc là nous voyons déjà qu'il y a une distinction dans la déité.
C'était encore caché dans l'Ancien Testament.
Mais dans le Nouveau Testament, la Trinité s'est révélée.
Et ici le langage de l'Ancien Testament donne de la place déjà pour la vérité de la Trinité qui était en soi cachée dans l'Ancien Testament.
Et le point que j'aimerais souligner, c'est que Dieu aouine le Saint Jésus.
Il t'aouine d'une huile de joie.
Cette référence, ce n'est pas à l'occasion dans les Évangiles où nous voyons que l'Esprit est descendu pour être sur le Seigneur Jésus.
Et dans Acte 10, nous voyons que Pierre dit que le Seigneur Jésus a été ouin.
Donc le moment où l'Esprit Saint est descendu comme une colombe et resté sur sa tête, à ce moment-là, Dieu a ouin le Seigneur Jésus.
C'est la première fois.
Mais, lorsque le Seigneur Jésus avait accompli son œuvre, lorsqu'il est sorti du tombeau et quarante jours plus tard, Dieu l'a exalté, il est monté dans les ciels.
On a vu cela la dernière fois avec cette Troie.
Il s'est assis à la droite de la Majesté.
À ce moment-là, Dieu l'a ouin à nouveau dans la gloire.
Et cette onction, par la grâce de Dieu, nous partageons, pour ainsi dire, cette onction.
Parce que c'est l'Esprit Saint qui ensuite est descendu du ciel.
Et nous sommes donc vus, les croyants sont vus comme des compagnons du Seigneur Jésus.
Littéralement, on pourrait penser aux disciples qui étaient des compagnons du Seigneur Jésus au début.
Comme les deux disciples qui étaient Jean le Baptiseur, ils ont commencé à suivre le Seigneur Jésus, Jean I.
Ils sont devenus ses compagnons, plus ou moins.
Et plus tard, les autres croyants à ce moment-là aussi, comme on voit dans les actes plus tard, ils étaient ses compagnons, ils se sont identifiés avec lui.
Mais aujourd'hui, c'est notre privilège d'être identifiés avec le Seigneur Jésus.
Comme les restes fidèles dans les jours à venir, ils seront aussi ses compagnons.
Et le Seigneur Jésus, il apprécie d'avoir des compagnons dans le temps où il est rejeté sous la terre.
Donc ça c'est notre privilège d'être des compagnons qui ont la même part avec lui.
Quand même, il y a une grande différence parce qu'il est au-dessus.
C'est toujours comme ça.
Si le Seigneur Jésus est le fils des fils, il est au-dessus de nous.
On verra plus tard, le Seigneur Jésus est LE grand sacricateur au-dessus de nous, évidemment.
Mais nous sommes aussi des sacricateurs.
Et ici, nous voyons des croyants comme des compagnons.
Le mot « compagnon » est bien évident, bien clair, il est au-dessus de ses compagnons.
Le mot « compagnon » implique la pensée d'avoir une même part.
Et cette pensée revient au chapitre 3, c'est très beau de voir ça.
C'est pourquoi, très simple, participant, c'est la même pensée.
Au verset 14, nous sommes devenus les compagnons du Christ.
Si du moins, nous retenons ferme jusqu'au bout le commencement de notre assurance.
Et nous verrons, Dieu vous lache, au chapitre 2, sept liens entre Christ et nous.
Donc, il y a des liens intimes entre Christ et nous.
Et de plusieurs façons, Dieu a établi ces liens.
Donc, la pensée que nous sommes des compagnons revient plusieurs fois dans cette épiqueur.
Quel privilège !
Mais il faut toujours penser qu'il est au-dessus de tous.
Au verset 10 maintenant, l'autre citation,
« Toi, dans les commencements, Seigneur, tu as fondé la terre et les cieux sont les œuvres de tes mains.
Eux, ils périront, mais toi, tu demeures. »
Donc, ici, nous voyons le Seigneur Jésus comme le créateur,
qui a créé tout, qui a fondé la terre.
Et maintenant, il dit que ses œuvres vont périr.
Mais, en contraste, tu demeures.
C'est pour souligner de nouveau sa grandeur.
Et comme j'ai dit au début, ça nous montre que le Seigneur Jésus est au-dessus de la première création.
Et verset 11 va un peu plus loin,
« Ils vieilliront tous comme un habit, et tu les plieras comme un vêtement, et ils seront changés, mais toi, tu es le même. »
Là, on doit arrêter, on est mal.
Ici, Paul donne son troisième argument.
Comme humble bébé dans la crèche, il est quand même le fils au-dessus des anges.
Ici, dans le contexte du monde millénaire, son trône au-dessus de tous les autres trônes, il est Dieu lui-même,
et Dieu l'a loin, mais ici, il va encore encore plus loin.
Ici, il montre que le Messie rejeté, si vous lisez le psaume 102, vous voyez le rejet total du Messie dans les premiers versets,
et que Dieu l'a rejeté aussi.
Le peuple l'avait rejeté, mais Dieu l'a rejeté dans un autre sens.
En même temps, ce verset, c'est donc une citation de ce psaume-là, montre que malgré cette réjection, il est le même.
Ça veut dire qu'il est l'éternel lui-même.
C'est pour ça que j'ai dit qu'il est au-dessus du temps, parce qu'il est l'éternel lui-même.
C'est là l'argument du psaume 102 qu'on ne pourrait pas comprendre sans la lumière d'Hébreu 1,
parce qu'Hébreu 1 nous montre maintenant clairement que cette personne qui parle dans le psaume,
qui est l'éternel lui-même, qui est rejeté, il est l'éternel.
Il est le même, parce que le même, c'est un nom de Dieu dans l'Ancien Testament.
Ce nom revient plusieurs fois.
C'est tellement beau de voir que le Messie est rejeté.
Et puis ça c'est l'encouragement pour les juifs chrétiens qui étaient là à Jérusalem, lorsqu'ils l'avaient reçu.
Ils étaient méprisés par leurs compatriotes, par les autres juifs, parce qu'ils s'identifiaient avec le Messie rejeté, le Messie crucifié.
Les autres juifs ne savaient pas que le Seigneur Jésus était ressuscité et maintenant couronné de gloire et d'honneur.
Mais les croyants, ils devraient réaliser que ce Messie rejeté et crucifié, il est l'éternel lui-même.
Et ce verset nous montre cela.
Et ce verset nous montre donc, si on prend le nom le même, si on comprend cela, le même, il ne change pas, il est au-dessus du temps.
Il était là avant la création, il est là après la première création, il est toujours là.
Et c'est lui qui est présenté ici, le même.
Tes anges ne cesseront pas.
Et ce verset, ça vient d'un verset, on le voit dans le Psalm 102, il est mis de côté, il semble que c'est tout pour rien.
Pourtant, tu es le même, tes anges ne cesseront pas.
Il est mort au milieu de ses amis, 33 ans à peu près.
Et ensuite il est dit, tes anges ne cesseront pas.
Pourquoi ? Parce qu'il est Dieu lui-même, il est le même.
Ensuite, au verset 13, auxquels des anges a-t-il jamais dit, assieds-toi à ma droite, jusqu'à ce que j'aime tes ennemis pour marcher pied de tes pieds.
J'ai dit déjà au début, ici, c'est pour montrer que le Saint Jésus est au-dessus des ennemis.
Mais un point que j'aimerais souligner maintenant, c'est qu'il est à la droite de Dieu.
On a vu cela déjà dans le verset 3, la dernière fois.
Il s'est assis à la droite de la Majesté Dernière aux Dieux.
Parce qu'il est Dieu béni.
Il est lui-même capable de monter au ciel et de s'asseoir à la droite de la Majesté Dernière aux Dieux.
Mais ici, l'emphase est sur un autre côté.
Que cet homme rejeté sur ma terre et crucifié, que Dieu a rejeté.
Que cet homme reçoit une place d'honneur et que Dieu peut dire, assieds-toi à ma droite.
Ici, nous voyons donc un autre côté de la médaille.
Ici, l'emphase est sur l'humanité du Seigneur Jésus.
Et Dieu lui dit, assieds-toi à ma droite.
Jusqu'à ce que j'ai mis tes ennemis pour marcher de tes pieds.
Ainsi, le Seigneur Jésus est dans le trône du Père, comme l'explique l'apocalypse 3, dans l'Épître à l'Odyssée.
Il n'est pas encore sur son trône du règne millénaire.
Il reste encore dans le trône du Père.
Jusqu'à ce que tous les ennemis soient mis pour marcher pieds de tes pieds.
Et là, il va être assis sur son trône qu'on a vu tantôt.
Ton trône demeure au siècle des sept.
Dans ce sens-là, c'est encore plus dur.
On voit cela, par exemple, dans Zacharie 6, verset 13.
La branche du Seigneur Jésus est sacricateur et roi en même temps sur son trône.
Ça, c'est l'image millénaire.
Mais le roman n'est pas encore venu.
Ici, il est à la droite de Dieu, dans le trône du Père.
Ce psaume 110 est cité le plus souvent dans le Nouveau Testament.
Le Seigneur l'a cité lui-même, parce qu'il parlait avec ceux qui l'opposaient.
Dans les Évangiles, on peut le lire.
Et ça vaut la peine de relire tous les versets où ce psaume est cité.
Et si nous voyons au début, le psaume 2 est cité.
On verra aussi la prochaine fois, Dieu voulant, que le psaume 8 est cité.
Au chapitre 2, on verra la prochaine fois, Dieu voulant, le psaume 8.
Et là, nous voyons le Seigneur comme homme et Dieu introduit un nouvel ordre de choses avec lui.
Mais le psaume 110 est comme l'apogée.
Et ça, c'est le psaume qui est cité le plus souvent, et surtout dans ces pépites.
Par rapport au fait que le Seigneur est le grand sacrificateur, mais aussi par rapport au fait qu'il est le grand roi.
Verset 14, « Ne sont-ils pas tous des esprits administrateurs ? »
Donc là, il revient à nouveau au fait que les anges sont des ministres.
On a vu cela déjà, qu'ils sont des ministres, au verset 7.
Et là, le mot, c'est vraiment un mot qui nous parle d'un office d'honneur.
Un grand ministre, comme le premier ministre, par exemple, dans notre pays.
Mais le deuxième mot qui est utilisé, le verbe « servir », au verset 14, c'est le même mot qu'on voit avec « diable ».
Donc ça, c'est un service d'humilité.
Donc c'est beau de voir que ces anges, des esprits, des serviteurs imminents, ils ont ici un service d'humilité pour les croyants.
Je l'ai dit tantôt au début, le premier argument, les anges ont vu leur créateur dans la crèche, le bébé dans la crèche.
La crèche était plus élevée qu'eux.
Et maintenant, nous voyons que les anges sont aussi nos serviteurs.
Parce que pourquoi ?
Je répète, l'ordre de la création, c'est nous sommes au-dessous des anges.
Mais par le fait que nous sommes maintenant des compagnons du Fils de Dieu.
Nous sommes associés au Fils de Dieu.
C'est pour cela que les anges sont envoyés pour servir en faveur de ceux qui vont les hériter du salut.
C'est incroyable !
A cause du lien avec le Seigneur, les anges sont devenus aussi nos serviteurs, de la part de Dieu.
C'est Dieu qui est en contrôle parce qu'il les dit « envoyés ».
Donc c'est Dieu qui les envoie, ce n'est pas nous qui pouvons forcer Dieu ou les anges.
Non, c'est Dieu qui les envoie.
Vous avez un point que j'aimerais simplement mentionner, c'est le mot « salut ».
Ce mot « salut » revient sept fois dans cette Écriture.
Et le mot « salut » a une signification importante mais aussi différente.
Ça dépend du contexte.
Ici, le salut est encore futur.
Donc il ne faut pas que vous soyez conclus.
Ça ne veut pas dire que vous n'avez pas encore le salut.
Non, par la grâce de Dieu, nous avons le salut de nos âmes.
Mais le salut, comme c'est présenté ici dans l'Épitre aux Hébreux, c'est encore futur.
Dans cet aspect où le Seigneur Jésus va régner, où tout le mal sera ôté et tout sera sous son contrôle, là c'est encore un aspect futur.
Mais dans le cours de cet Épitre, on verra plusieurs fois ce mot « salut ».
Donc on revient encore sur cette pensée-là.
Mais peut-être juste brièvement, nous sommes identifiés avec un Christ rejeté.
Le Seigneur Jésus est rejeté.
Et nous avons le salut parce que nous sommes identifiés avec Lui.
Et c'est exprimé dans le baptême.
Nous avons le salut aussi parce que Dieu nous a acceptés dans le bien-aimé et rendus agréables dans le bien.
Et dans Éphésiens 2, nous avons le salut dans son plein sens.
Mais nous avons aussi souvent cette pensée-là que Dieu nous garde, que Dieu nous préserve sur nos chemins.
Ça c'est aussi un aspect du salut.
Mais ce n'est pas le sens qui est utilisé ici.
Ici c'est donc un sens futur du salut.
Et nous allons hériter ce salut dans cet aspect-là.
Je réalise qu'il y a beaucoup de choses dans cet Épitre, dans ce chapitre, qui sont dures.
Mais je voulais juste résumer encore brièvement ces sept points que vous puissiez garder sans mémoire.
Sept points pour montrer que le Seigneur Jésus est plus haut, plus haut que les anges.
Son trône est éternel, plus élevé que tous les autres trônes.
Le deuxième point, il est au-dessus de ses compagnons.
Donc quel privilège pour nous de réaliser que nous sommes des compagnons du Fils de Dieu.
Et là je mentionne un point que j'ai oublié tantôt.
Il n'est pas dit dans cet Épitre que nous sommes unis au Fils de Dieu.
Nous sommes unis au Fils de l'homme.
Ça c'est éphésien.
Mais nous sommes des associés ou des compagnons de Dieu.
Parce que ici c'est Dieu qui est présenté.
Dieu est Dieu et nous sommes des créatures.
Là il y aura toujours une distinction.
Et dans ce sens là on ne peut pas être unis à lui.
Mais on est intimement associés à lui.
Qui est Dieu béni sur toutes choses.
Donc ça c'est un point important.
Il est au-dessus de la première création, nous avons vu le quatrième point.
Il est au-dessus du temps.
Il est au-dessus de ses ennemis, au-dessus des anges.
Donc ça nous montre la grandeur du Seigneur Jésus.
Et dans ce passage qu'on a lu ce soir,
Paul suit l'ordre chronologique de la naissance du Seigneur Jésus.
Ça marche sur la terre.
Il voit le retour du Seigneur Jésus.
Il voit le règne millénaire.
Il voit même l'état éternel.
Et nous voyons aussi une extension dans le sens de territoire.
D'abord c'est Israël au verset 5.
Tu es mon fils, moi je t'ai aujourd'hui engendré.
C'est par rapport à Israël.
Au verset 6 à 9, nous voyons tout le monde qui sera soumis à son autorité.
Il va régner sur tout le monde.
Mais à la fin du chapitre, verset 10 et 11 et 12, nous voyons qu'il va régner sur l'univers.
Donc là aussi, un agrandissement.
Comme Isaïe dit, il n'y a pas de fin à son règne.
Ça grandit tout le temps.
Et c'est aussi la pensée ici.
Tu vois un point glorieux,
et là tu vois comment il devient plus grand, plus grand, plus grand.
Si vous voulez encore prendre ça en note,
si vous voulez marquer le mot meilleur en lisant ce chapitre,
vous allez trouver douze fois, je ne l'ai pas vérifié dans le texte français,
mais il y a douze fois ce même mot qu'on a vu au verset 4, plus excellent,
ou souvent traduit par meilleur.
Une meilleure chose, une meilleure espérance, une meilleure alliance,
un meilleur sacrifice, une meilleure possession,
une meilleure patrie, une meilleure résurrection,
quelque chose de meilleur pour nous,
qui est le sein de Christ qui parle mieux que le sein d'Abel.
Donc, cet épitre nous parle beaucoup de la beauté, de la grandeur, de la flandeur du Seigneur Jésus.
Et avec qui qu'on le compare, il est toujours plus grand.
Est-ce qu'il y a encore des questions?
On a mentionné tout à l'heure des exemples de l'intervention des anges comme messager.
Très clairement. Est-ce qu'on aurait des exemples, par exemple, du service des anges pour les chrétiens?
Est-ce qu'il y en aurait, par exemple, des versets qui appuieraient, qui seraient l'appui de ce chapitre 4?
Est-ce que l'histoire de Corneille avec Pierre en actes 10 et 11 serait un exemple?
Il pense, Paul, lorsqu'il était sur le navire, en opère, il parlait d'un ange que Dieu lui avait envoyé.
Donc là, on a quelques exemples comment Dieu avait envoyé un ange.
Et dans Hebrews 13, il réfère encore à la visite des anges.
Mais probablement il y a d'autres exemples, mais ça ne revient pas tout de suite.
Mais de l'autre côté, on doit faire attention, et je l'ai indiqué déjà, mais je n'ai pas élaboré là-dessus.
Aujourd'hui, on parle beaucoup des anges.
C'est dangereux parce que ce n'est pas toujours dans ce sens-là.
C'est souvent détaché de l'enseignement biblique qu'on parle des anges.
Et là, ça devient dangereux parce qu'il y a aussi des anges déçus.
Ce sont des démons.
Puis souvent, c'est ça où on parle des expériences, near-death experience, des expériences proches de la mort.
Mais on ne réalise pas que là, il y a des puissances diaboliques qui opèrent.
Donc, même lorsqu'on parle des anges, on doit toujours faire sûr qu'on parle dans le sens biblique qu'on a vu ce soir.
Ce n'est absolument pas question.
Ce qui est absolument faux, évidemment.
Parce qu'un ange pouvait détruire toute une armée de 185 hommes, soldats.
Un homme.
Donc, ce n'est pas en qui qu'il est.
Oui, les enfants.
Qui représentent, qui sont en même temps dans la présence de Dieu.
Mais l'idée d'un ange gardien n'est pas vraiment dans la Bible.
Mais Dieu, c'est pour ça que j'ai souligné tantôt la pensée que Dieu les envoie.
Dieu a donné des tâches aux anges par rapport aux enfants.
Surtout les enfants des croyants.
Mais on ne va pas aller plus loin que l'écriture.
Si on a une pensée, mais ce n'est pas confirmé dans la parole, c'est mieux qu'on n'en parle pas.
Le culte des anges.
Colossiens 2, oui.
Mais là, ça nous montre déjà qu'ils sont allés trop loin à ce moment-là.
On dirait peut-être que c'est le culte qui est servi par des anges.
Oui, oui.
Pierre, qui a délivré des choses.
Oui, oui.
La technique, c'est ça.
Il y a une chose qui m'intéresse un peu, mais cette année nous avons vu la supériorité.
Oui.
Surtout, peut-être, surtout.
Dans le chapitre 2, on va voir plutôt en ce moment.
Les voyants, j'ai plus qu'à dire.
Oui, oui.
C'est beau que tu le mentionnes, parce qu'on verra beaucoup de contraintes dans cette édition.
Beaucoup de contraintes.
Mais on verra aussi tout le temps les liens avec lui.
Si vous voulez garder sa mémoire, toute l'emphase est sur la personne du Seigneur.
En même temps, il y a tout le temps des liens avec nous.
Mais ça, ce n'est pas l'emphase.
C'est notre privilège quand même. …
Transcription automatique:
…
J'aimerais lire jusqu'au verset 9, exclusivement.
Hébreu 2, verset 1
C'est pourquoi nous devons porter une plus grande attention aux choses que nous avons entendues, de peur que nous ne nous écartions.
Car si la parole prononcée par les anges a été fermée, et si toute transgression et désobéissance a reçu une juste rétribution,
comment échapperons-nous si nous négligeons un si grand salut, qui, ayant commencé par être annoncé par le Seigneur, nous a été confirmé par ceux qui l'avaient entendu.
Dieu rendait un témoignage avec eux par des signes et des prodiges, et par divers miracles et distributions de l'Esprit Saint, selon sa propre volonté.
Car ce n'est point aux anges qu'il a assujetti le monde à lutter à venir, dont nous parlons.
Mais quelqu'un a rendu ce témoignage quelque part, disant, qu'est-ce que l'homme que tu te souviens de lui, ou le pige l'homme que tu lui visites, tu l'as fait un peu moindre que les anges, tu l'as couronné de gloire et d'honneur, et l'as établi sur les heures de ta main.
Tu as assujetti toute chose sous ses pieds, car en lui assujettissant toute chose, il n'a rien laissé qu'il ne lui soit assujetti.
Maintenant, nous ne voyons pas encore que toute chose puisse être assujettie, mais nous voyons Jésus, qui a été fait un peu moindre que les anges à cause de la façon de la mort, couronné de gloire et d'honneur, en sorte que par la grâce de Dieu, il goûte à la mort pour tous. Jusqu'ici.
La dernière fois, ou les deux dernières fois, nous avons vu l'esplendeur du Fils de Dieu, au chapitre premier. Nous avons vu aussi comment il est maintenant au ciel, et Dieu lui a donné une place d'honneur.
Chapitre un, verset trois. Il s'est assis à la droite de la majesté dans les hauts lieux. Et là, nous avons vu aussi sa déité. Donc, c'est un tableau merveilleux de ses beautés. Et la dernière fois, on a vu ses sept points qu'il est plus grand, plus élevé que les anges.
Quel est le lien avec chapitre deux? Le lien, j'aimerais suggérer, c'est le verset cinq. Chapitre deux, verset cinq. Car ce n'est qu'en aux anges qu'il a assujetti le monde d'habiter. Et on se rappelle, on a parlé beaucoup des anges au premier chapitre. Donc, il y a un lien entre ces deux chapitres.
Quelle est la différence? Le premier chapitre souligne la grandeur du Seigneur Jésus comme Fils de Dieu. Tantôt, on va comparer le chapitre deux avec le chapitre huit, mais je le mentionne maintenant comme ça.
Ça implique aussi qu'il est le Fils éternel, mais l'emphase est sur le fait qu'il est le Fils de Dieu. Et là, comme on voit aussi dans l'évangile de Luc, l'emphase est encore sur son humanité. Quoi qu'il soit, en même temps, Dieu bénit sur toute chose.
L'emphase est sur son humanité. Mais, dans le chapitre deux, il est présenté comme Fils de l'homme. C'est quoi la différence? Comme Fils de l'homme, il est lié à toute l'humanité. Il est un homme, quoi qu'il soit, Dieu lui-même bénit sur toute chose. Il est, par son humanité, lié à toute l'humanité.
Et la prochaine fois, Dieu voulant, on verra cette pointe qui nous montre le lien que le Seigneur Jésus a comme Fils de l'homme avec nous. Sur la base de l'oeuvre accomplie, ça sera encore un autre point qu'on va voir.
Mais, l'humanité du Seigneur Jésus est soulignée, pour chapitre deux, et qu'il a aussi comme Fils de l'homme la première place. Il faut qu'il ait toujours la première place, même s'il est présenté ici comme cet humble Fils de l'homme.
Et on va voir où s'invite encore quelques détails de son humilité, comment il s'est humilié.
Un autre contraste, chapitre premier, parle de la gloire actuelle du Seigneur Jésus. Chapitre deux, le verset qu'on a lu, nous parle surtout de sa gloire dans le monde à venir, verset cinq encore, le monde d'habiter à venir.
Ce qui m'a aidé, c'est la chose suivante. On pourrait comparer Hébreu 1 avec Genèse 1. Là on voit Dieu comme Créateur et Adin.
On pourrait comparer Hébreu 2 avec Genèse 2. Et là nous voyons Adin, ensemble avec Ève. Et ainsi, dans le chapitre deux, nous verrons des liens précieux entre le Seigneur Jésus, le vrai Adin, et nous.
Maintenant, peut-être qu'il y aura d'autres détails. Pour comparer les deux chapitres, j'aimerais simplement commencer par le premier verset.
C'est pourquoi nous devons porter une plus grande attention.
Ici, l'auteur Saint-Theron, il a donné une présentation des beautés du Seigneur Jésus, le premier chapitre, et maintenant, c'est comme une mise à point.
On verra dans cet épitre cinq parenthèses. Dans une parenthèse, l'auteur Saint-Theron, pour deux choses, pour expliquer son intention, donc le but qu'il a en écrivant ces mots, pour donner son intention.
Deuxièmement, pour appliquer pratiquement les choses qu'il a présentées aux croyants. Et on se rappelle, en première instance, c'était les chrétiens juifs, les chrétiens hébreux à Jérusalem à ce moment-là.
Et deuxième ligne, c'est l'application à nous. Donc les parenthèses soulignent l'intention de l'auteur et donnent l'application actuelle de la vérité.
Donc l'effet de cette vérité, ou l'effet que cette vérité devrait avoir sur les auditeurs. J'ai dit auditeurs parce qu'on se rappelle, cet épitre est aussi comme un serment, un long serment.
Et j'aime toujours comparer cela avec le psaume 45. L'auteur, l'apôtre Paul, sa langue était le style d'un écrivain habile, du Saint-Esprit, pour présenter les beautés des Christiens.
Et ainsi il parle, vous voyez, il le dit aussi au verset 5, le monde habité à venir dont nous parlons. Donc il parle, il s'adresse aux croyants à Jérusalem.
Mais il est le porte-parole de quelqu'un d'autre qui parle. Parce que c'est Dieu qui parle. Et on a vu cela au premier chapitre. Dieu a parlé dans le passé, au premier verset, mais à la fin des temps, il nous a parlé en fils.
Donc c'est Dieu lui-même qui parle. Et il continue à parler, on verra cela aussi au chapitre 12. Mais Dieu a un porte-parole et c'est l'apôtre Paul, l'auteur de cet épitre, qui parle ici.
Donc je mentionne cela, il y a 5 parenthèses pour vous rappeler, le nombre 5 souligne la responsabilité de l'homme. On a 5 doigts, le nombre 5 souligne la responsabilité.
Et on verra que les dangers sont très urgents et très actuels pour les croyants à ce moment-là, mais pour nous aussi.
Donc il demande une attention spéciale. Il dit au verset 1, nous devons porter une plus grande attention aux choses que nous avons entendues.
De nouveau, on a vu déjà la dernière fois, l'auteur se place à côté des auditeurs, des juifs chrétiens auxquels il s'adresse. Il se place à côté, il ne se place pas au-dessus d'eux, il ne se présente pas comme meilleur qu'eux.
Non, il se place à côté d'eux, réalisant aussi sa responsabilité. C'est quoi le danger de peur que nous nous écartions? On verra au fur et à mesure de cet épitre que les dangers seront de plus en plus grands.
Ici, c'est une indication qu'on soit pris par le courant. Le mot veut dire, écarté, dans l'original, qu'on est pris par le courant d'eau.
Le danger pour les juifs chrétiens, à ce moment-là, était de retourner dans le temple et s'impliquer à nouveau dans le système judaïque et ainsi couler avec le courant.
Tandis que cet épitre a été donné par l'Esprit de Dieu pour des vainqueurs qui montent contre le courant. Vous voyez? Et là, vous comprenez tout de suite aussi l'actualité pour nous aujourd'hui.
Le danger est toujours qu'on va avec le courant en bas, mais l'Esprit de Dieu veut nous encourager et nous fortifier pour que nous puissions monter contre le courant.
Ensuite, au deuxième verset, il dit, car si la parole prononcée par les anges a été ferme, et là il réfère donc à la loi qui a été donnée par l'entremise des anges.
Je mentionne cela pour que vous puissiez voir l'autorité des anges, la grandeur des anges. Dieu s'est servi des anges pour transmettre la loi.
Galat 3, verset 17, il mentionne, et Étienne dans son discours, acte 7, verset 53, il mentionne aussi que la loi a été donnée par l'entremise des anges.
Donc pour soumiller le rôle important des anges. Et ainsi cette parole a été ferme.
Ça c'est donc par rapport à la loi de Moïse.
Il dit, si toute transgression et désobéissance a reçu une juste rétribution, comment échapperons-nous si nous négligeons un si grand salut ?
Aujourd'hui nous vivons dans le temps de la grâce, et nous avons quelquefois la tendance de dire, ok, nous sommes dans le temps de la grâce, et la tendance est de prendre les choses moins sérieuses que sous la loi de Moïse.
Ça devrait être l'inverse.
Sous la loi de Moïse, déjà, la parole était ferme et toute transgression a trouvé une juste rétribution.
Et la grâce ne met pas de côté le gouvernement de Dieu. Le gouvernement de Dieu est toujours là.
Galat 6, verset 8, dit, celui qui seint pour la chair va ricoter pour la chair. Il dit un peu avec un propre mot.
Il souligne, Paul souligne là, l'importance du gouvernement de Dieu.
Et nous qui sommes sous la grâce, qui sommes sous la loi de Christ, Galat 6, nous ne devons pas mépriser le gouvernement de Dieu non plus.
Maintenant, ce grand salut, c'est vraiment une très belle expression.
Vous savez, le mot salut veut dire être délivré des forces hostiles et adverses, et ce mot salut se trouve sept fois dans cette équipe.
Ça m'a frappé. Le nombre 7 nous parle de la perfection et ainsi on trouve sept fois le mot salut dans cette équipe.
Ici, c'est la deuxième fois. On a vu cela au premier chapitre, verset 14, que les anges sont maintenant des esprits administrateurs envoyés pour servir en faveur de ceux qui vont hériter du salut.
Là, c'est le salut futur. Nous allons hériter le salut. Donc ça c'est l'aspect futur du salut.
Mais ici, chapitre 2, verset 3, c'est l'aspect présent du salut. C'est un salut que nous avons actuellement.
Et c'est un grand salut. Et nous ne devons pas négliger ce grand salut.
Pour les juifs, les chrétiens hébreux, le danger était de retourner dans le judaïsme. Et en retournant dans le judaïsme, ils auraient méprisé et négligé ce grand salut.
Ils seraient placés sur la base des œuvres selon la loi. Et là, ce serait toute une déviation.
Mais nous pouvons faire ça aussi. Romain VII, par exemple, et d'autres passages nous montrent le danger que nous pouvons aussi négliger ce grand salut en nous plaçant sur la base de nos propres œuvres.
Pour mériter quelque chose, vous voyez. Les œuvres sont importantes, mais comme résultat du salut.
Donc, on verra encore d'autres aspects du salut. Je m'en somme maintenant seulement verset 10 du même chapitre.
Il convenait pour lui, à cause de qui sont toutes choses et par qui sont toutes choses, que amenant plusieurs fils à la gloire, il consommât le chef de leur salut.
Ici, nous voyons le salut lié au chef du salut. C'est le Seigneur Jésus qui a organisé tout ça. C'est lui qui a effectué tout cela. Il est le chef de notre salut.
Et on verra que ce n'était pas ses souffrances qui l'a implémenté tout cela. Pour revenir maintenant au verset 3, comment échapperons-nous si nous négligeons un si grand salut?
C'est comme un appel. On verra plusieurs fois un appel direct aux auditeurs pour réaliser l'importance de nos bénédictions et de ne pas dévier.
Maintenant, il ajoute 5 points. Excusez-moi, je vais être précis. Plusieurs points. D'abord 3, ensuite 5. Je vais juste répéter cela.
Ce salut a été commencé par être annoncé par le Seigneur. Quand est-ce que le Seigneur Jésus a annoncé ce salut? Je pense que cela réfère aux évangiles, mais nous voyons aussi que c'est immédiatement lié à Christ dans la gloire.
Parce que de la gloire, il a annoncé le salut. Et les juifs, d'un acte 1 à 7, comme nation, ils ont rejeté ce salut. Donc, moi personnellement, j'aurais la tendance de souligner surtout cet aspect-là. Pourquoi?
Parce que dans cet épître, nous voyons déjà Christ dans la gloire. Et de la gloire, il a envoyé ce message du salut. Et les juifs ont rejeté ce message. Mais on peut aussi penser aux évangiles où nous voyons le salut annoncé par le Seigneur.
D'ailleurs, le Seigneur est appelé plusieurs fois dans cet épître. Le Seigneur. C'est important de voir ça aussi. Parce que ce mot implique son humanité et sa déité à la fois.
Le mot qui est utilisé ici est le même mot qu'on trouve dans la traduction grecque du mot Yahweh ou Jehovah dans l'Ancien Testament. Donc, ce nom souligne son autorité et qu'il est en même temps Dieu béni sur toutes choses et son autorité comme Seigneur.
Le deuxième point. Donc, le salut a été annoncé par le Seigneur lui-même. Ça c'est le premier point par rapport au salut. Le deuxième point. Ce salut a été confirmé par ceux qui l'avaient entendu. Vous voyez ce deuxième point?
C'est donc premièrement des apôtres qui étaient avec le Seigneur Jésus. Le Seigneur leur a donné une trace importante. Jean 20 par exemple. Luc 24. Confirmé aussi dans Acte 1.
Et ce mot confirmé, c'est beau de voir ça. C'est un mot qu'on retrouve, un verbe qu'on retrouve sept fois dans le Nouveau Testament. Et je donne un exemple.
Ici, il est dit que ce grand salut a été annoncé par le Seigneur. Ensuite, confirmé. Mais dans Marc 16, nous voyons aussi que le Seigneur Jésus lui-même a confirmé dans la gloire. Acte 16, verset 20.
Christ a confirmé ce message par les miracles. Mais ici, la pensée, c'est que les disciples ou les apôtres ont confirmé ce que le Seigneur Jésus avait déjà annoncé.
Et ainsi, ce mot souligne donc une base qui est ferme. La parole des anges était ferme par rapport à la loi de Moïse, mais la parole du grand salut est encore plus ferme, annoncée par le Seigneur lui-même, confirmée par ceux qui l'avaient entendue.
Et cette fermeté est encore soumise par un troisième point. Dieu rendant témoignage. C'est Dieu qui a rendu témoignage. Et dans l'original, l'emphase est sur le fait que cela a été le cas dans le passé.
Nous voyons au début des actes que Dieu a rendu témoignage par, et maintenant c'est donné les cinq points que je mentionnais tantôt. Les cinq points viennent maintenant au verset 4.
Donc on a ainsi un grand salut annoncé par le Seigneur, confirmé par ceux qui l'avaient entendu, et Dieu a rendu témoignage. Et maintenant, ce témoignage, on verra dans cinq points.
Comment Dieu a rendu témoignage? D'abord, ils sont liés avec eux. Donc, Dieu s'est identifié avec les apôtres. Dieu s'est identifié avec Christ. Dieu a glorifié Christ et Dieu l'a reçu. Il l'a salué dans la gloire. Mais Dieu s'est identifié aussi avec les apôtres sur la terre.
Et il y a un très beau verset dans l'acte 2, verset 22, qui nous souligne cela.
Ici nous voyons donc comment Dieu a confirmé le message du Seigneur Jésus sur la terre, lorsqu'il était encore sur la terre. Et on peut lier cela à ce qu'on a vu dans hébreu 2, verset 3, ayant commencé par être annoncé par le Seigneur.
Mais de la même façon que Dieu a confirmé ce message du Seigneur Jésus sur la terre, de la même façon, il confirme maintenant ce message de la gloire.
Mais le point qu'on doit souligner ici, c'est que cela a eu lieu dans le passé. Dieu rend un témoignage avec eux. Cela réfère au livre des actes, et surtout le début des actes, où nous voyons se produire ces miracles faits par les apôtres.
Un peu plus loin, dans chapitre 4, chapitre 5, nous voyons les mêmes expressions par rapport aux apôtres. Les mêmes expressions sont utilisées ici pour le Seigneur, acte 2, verset 22, et les mêmes expressions sont utilisées un peu plus tard par rapport aux apôtres.
Par exemple, 3, verset 13, le Dieu d'Abraham, Isaac, Jacob, le Dieu... Non, un peu plus loin. En tout cas, je ne voulais pas prendre trop de temps, mais en lisant ce premier chapitre des actes, nous voyons comment Dieu a confirmé par des signes, par des miracles, ce message.
Et Dieu était donc avec les apôtres. Il a confirmé leurs paroles, il a rendu témoignage avec eux. Et c'est beau de voir, de nouveau je réfère à Marc 16, verset 20, le Seigneur dans la gloire, il a coopéré avec les disciples.
Donc, Christ dans la gloire, comme homme, a coopéré, mais ici l'emphase est sur Dieu. Dieu a coopéré, Dieu a rendu témoignage avec eux. Maintenant, ces 5 points, par des signes. Un signe confirme quelque chose, donne une indication, une direction.
Par exemple, nous avons 7 signes dans l'évangile de Jean, avant la mort du Seigneur Jésus. 7 signes qui signifient quelque chose, qui donnent une signification à cette œuvre qu'il a faite.
Le deuxième mot, prodige, c'est un aspect spectaculaire. Et vous comprenez déjà, Dieu ne répète pas ces actes spectaculaires tout le temps. C'était pour introduire une nouvelle dispensation.
Le troisième mot, la troisième expression, divers miracles. Dans l'original, ça veut dire divers puissances. Ici, c'est donc la puissance de l'esprit, la puissance aussi de la part de Christ dans la gloire, qui a opéré par les apôtres.
Comme dans acte 4, verset 30, j'ai retrouvé la référence, acte 4, verset 30, vous voyez les trois expressions par rapport aux apôtres, et aussi dans d'autres textes, d'autres versets.
La quatrième expression, distribution de l'esprit saint. L'esprit a été très actif. On voit cela déjà dans acte 2, et dans tout le livre des actes, mais c'est expliqué d'une façon doctrinaire, doctrinale, dans 1 Corinthiens 12, c'est l'esprit qui distribue.
Dans l'événement 4, c'est Christ dans la gloire qui distribue ses distributions, et c'est beau de voir, ici c'est donc Dieu qui donne ses distributions de l'esprit.
Et le cinquième point, selon sa propre volonté, c'est important. Aujourd'hui il y a des gens qui veulent des signes, des produits, des miracles et des distributions de l'esprit, mais c'est selon leur volonté.
Ici c'est selon la volonté de Dieu. Et deuxièmement, si on comprend le contexte, ici l'auteur, l'année 65 à peu près, il réfère à ces événements comme étant des événements du passé, il faut comprendre ça.
Donc ça veut dire qu'à ce moment-là, les miracles, les signes, les produits avaient déjà cessé. Ça ne veut pas dire que Dieu ne peut pas opérer des miracles, on ne dit pas ça, Dieu est souverain, mais d'une façon pour introduire une nouvelle dispensation, ces signes ont arrêté.
Maintenant verset 5, on commence maintenant cette nouvelle section qui nous parle du fils de l'homme. On a eu donc une parenthèse, verset 1 à 4, c'est comme une parenthèse qui souligne notre responsabilité, qui souligne l'intention de l'apôtre, de l'auteur, pour rafraîchir, pour fortifier, pour édifier les croyants.
Mais maintenant, il parle de nouveau du Seigneur Jésus. Mais ici, il nous parle du Seigneur Jésus comme étant le fils de l'homme. Il dit, car ce n'est pas aux anges qu'il a assujetti le monde habité.
Avenir. Donc, on a souligné déjà, chapitre 1er parle de l'autorité du Seigneur Jésus, sa gloire actuelle. Ici, dans ce contexte, il nous parle du monde habité, avenir, qui sera soumis au Seigneur Jésus. Pourquoi?
Le même monde où le Seigneur Jésus a été rejeté, où le Seigneur Jésus a été crucifié, ce même monde va l'honorer. C'est ça la pensée de Dieu.
Je répète encore une fois, cette terre qui a crucifié le Seigneur Jésus, cette même terre va l'honorer. C'est ça la pensée du verset 5, ici, et le verset suivant.
Le monde habité, avenir, sera assujetti à lui. Ils l'ont rejeté, ils l'ont dit. On ne le veut pas, mais tout ce monde sera assujetti. Le mot qui est utilisé ici implique aussi la pensée d'une maison. Le monde est vu ici comme une grande maison.
Et ainsi, dans le monde avenir, le millenium, toute la terre sera comme une grande maison où Dieu peut habiter. Aujourd'hui, Dieu habite dans l'Église, par l'esprit des Pésiens d'Eau, par exemple. Mais là, Dieu va trouver sa maison sur toute la terre.
Et l'auteur revient plusieurs fois à ce monde avenir, en contraste aussi avec le monde actuel. Je soulis encore dont nous parlons. On a vu cela. Il parle ici avec ce style d'un écrivain habile, dirigé par l'Esprit Saint, pour présenter les beautés du Seigneur Jésus.
Mais quelqu'un a rendu ce témoignage quelque part. Pourquoi il parle ainsi? Ce n'est pas tout à fait clair pour moi, mais nous voyons que c'est une référence au psaume 8. Et il s'avoue la peine de comparer cela brièvement.
D'abord, le psaume 2. J'ai dit déjà que le psaume 2 va en parallèle avec l'Hébreu 1. Parce que le psaume 2 nous parle du Messie qui est appelé par Dieu « Tu es mon Fils ». La même pensée revient dans l'Hébreu 1.
Le psaume 2, verset 7. « L'Éternel m'a dit Tu es mon Fils, aujourd'hui tu t'es engendré ». On a vu cela dans l'Hébreu 1. Ensuite, le Messie qui est en même temps appelé mon Fils, le Fils de Dieu.
Mais, lorsqu'on voit les psaumes qui suivent, on voit que le Messie est rejeté. Le psaume 3, nous parle d'Absalom, et vous savez qu'Absalom a essayé de tuer son propre frère, le roi selon le cœur de Dieu.
Ainsi, le peuple juif va suivre l'antichrist bientôt, et ils seront contre le vrai Messie. Ils vont suivre un homme selon leur propre désir. Et ce processus est décrit dans les psaumes qui suivent, inclusivement le psaume 7.
Et puis, après cela, après ce rejet du Messie, qu'est-ce qu'on voit ? Son but. Là, Dieu introduit le Fils de l'homme.
Verset 4, « Qu'est-ce que l'homme que tu te souviens de lui ? » Ici, l'homme est Enoch, donc l'homme faible, l'homme même pécheur, l'homme faible, comme Enoch dans Genèse 4.
Mais, le Seigneur Jésus a pris la place d'un homme, mais sans péché. Il est aussi le Fils, excusez-moi, le Fils de l'homme, au verset 4. Donc, on voit les deux expressions, l'homme et Enoch, verset 4, le Fils de l'homme, le Fils d'Adam.
Le Seigneur Jésus est le vrai Fils de l'homme. Et nous trouvons cela, par exemple, dans Daniel 7. Dans Daniel 7, nous voyons Dieu sur le trône, l'Ancien des jours.
Et là, à un moment donné, le Fils de l'homme entre. Cela vaut la peine d'étudier Daniel 7. Et là, on voit ce Fils de l'homme. Et Dieu lui donne toute autorité.
Et en même temps, dans le chapitre de Daniel 7, nous voyons que le Fils de l'homme est appelé aussi l'Ancien des jours. Pourquoi ? Parce qu'il est Dieu lui-même. C'est un mystère.
Donc, ici, nous voyons le psaume 8, le Fils de l'homme, et Dieu va soumettre à lui toute la terre.
Premier verset, tu as mis ta majesté au-dessus des cieux, mais un peu plus loin, nous voyons qu'il a mis tout cela, verset 6, tu as mis toute chose sous ses pieds, sous les pieds du Fils de l'homme.
C'est ça le point à saisir. Maintenant, on revient au livre 2. Donc, Dieu introduit le Fils de l'homme après qu'il soit rejeté comme Messie. Et ça m'a fait penser à Jean, premier chapitre.
Dans Jean, l'évangile de Jean, le premier chapitre, nous voyons comment le Seigneur Jésus est introduit. C'est très beau de voir ça, dans ces sept points, mais je souligne maintenant seulement ce point-là.
Les disciples ont dit, par exemple, Jean 1, verset 42, nous avons trouvé le Messie. Ça c'est le Messie du psaume 2. Vous comprenez mon point? Le Messie du psaume 2. Les disciples ont compris que le Seigneur Jésus était le Messie.
Et à la fin de Jean, verset 31, nous lisons, ces choses sont écrites afin que vous croyez que Jésus est le Christ. Les juifs rejetaient le fait qu'il était le Messie.
Mais mon point maintenant, Jean 1, va encore un peu plus loin. Lorsque le Seigneur rencontre Nathanael, Nathanael dit, au verset 50, Rabi, tu es le Fils de Dieu, tu es le Roi d'Israël. C'est encore le psaume 2.
Comme nous avons vu, tu es mon Fils. Mais là, notons bien maintenant, verset 51, Jésus répondit et lui dit, parce que je t'ai dit que je te voyais sous le filier du croix, tu verras de plus grandes choses que celles-ci.
Il lui dit, en vérité, en vérité, je vous dis, désormais vous verrez le ciel ouvert et les anges de Dieu montant et descendant sur le Fils de l'homme. Le Fils de l'homme va régner sur tout l'univers. Tout l'univers, son vide, sera soumis à ses pieds.
Maintenant, on revient à Hebreu 2. On voit ici donc le Seigneur Jésus comme étant le Fils de l'homme. C'est pour souligner son humanité. Ce n'est pas qu'il a adopté une apparence humaine pour apparaître aux hommes.
Donc, il est devenu homme. La parole est devenue chère. Jean 1, verset 14. Il est devenu homme. Complètement, parfaitement. Le nom, le Fils de l'homme, est pour souligner cela. Un homme, comme tous les autres, à part le péché, on doit toujours souligner cela.
Deuxièmement, comme étant le Fils de l'homme, il est lié à toute l'humanité. Et lorsque le Seigneur Jésus se présente comme le Fils de l'homme, par exemple dans Luc, il montre en même temps que la grâce de Dieu qui est introduite par le Fils de l'homme est là donc pour toute l'humanité.
Le Fils de l'homme n'est pas seulement venu pour Israël. S'il était seulement venu comme Messie, cela aurait été limité à Israël. Mais il est venu comme le Fils de l'homme aussi. Et comme Fils de l'homme, il est venu pour toute l'humanité.
Mais il y a encore une autre raison pour laquelle il est introduit ici comme Fils de l'homme. Et c'est ça qu'on va voir maintenant. Comme Fils de l'homme, il pouvait mourir. Il pouvait souffrir et mourir. Comme Dieu, il ne pouvait jamais mourir.
Et là, on va voir encore une différence avec les hommes.
Donc ça vaut la peine d'étudier les passages d'un ancien testament qui nous parle du Fils de l'homme.
Daniel 7 et aussi le psaume 80 qui nous parle de cela. C'est pour souligner son règne universel. Et lorsque les juifs de Saint-Nédrium, Matthieu 26 par exemple, 27, ils ont rejeté le Seigneur Jésus, le Seigneur Pâle, le Souverain Sacrificateur, que le Fils de l'homme va venir, le Fils de l'homme va apparaître.
Il va règner. Malgré le fait que les juifs l'ont rejeté. Et déjà l'ange a dit à Marie dans 2 chroniques, il sera grand. Comme homme aussi, il sera grand. Et ça c'est souligné par le fait qu'il était le Fils de l'homme.
Mais le Fils de l'homme s'est humilié. Philippiens 2, nous voyons ces 7 étapes de son humiliation. C'est très beau d'étudier cela dans Philippiens 2. Mais Dieu l'a hautement élevé.
Et ces deux pensées vont revenir aussi dans ce passage. Le Fils de l'homme va régner, mais c'est parce qu'il s'est humilié d'abord.
Maintenant, un contraste avec le premier Adam. J'ai dit tantôt, le Seigneur Jésus est le second Adam. Le premier Adam, il y a donc des parallèles avec le Seigneur Jésus et Adam.
Chef d'une famille. Le premier Adam est le chef de toute l'humanité. Le Seigneur Jésus est le chef d'une nouvelle race. Dans ce passage, il y a un parallèle entre les deux Adam.
Mais il y a aussi un grand contraste. Adam s'est élevé lui-même. Il a transgressé. Et l'antéchrist, que je mentionnais tantôt déjà, l'antéchrist, un descendant du premier Adam, il va se manifester dans le Temple de Dieu comme étant Dieu lui-même.
Il va s'élever. Ça c'est l'homme comme descendant du premier Adam. Mais le Seigneur Jésus, il s'est humilié. Verset 7. Tu l'as fait un peu moindre que les anges.
C'est dans le passé que Dieu l'a fait un peu moindre que les anges. En prenant une place parmi les hommes, le Seigneur Jésus a pris une place moindre que les anges.
On voit cela par exemple. Par le fait que le Seigneur Jésus a pris une place comme homme, il était sous les anges. Pourquoi ? Parce que les anges, selon l'ordre de la création, sont plus élevés que les êtres humains.
Ainsi, le Seigneur Jésus a pris une place au-dessus des anges. Non, au-dessous des anges. Mais, pas seulement en prenant cette place comme homme, ici dans le contexte nous voyons qu'il a fait cela pour encore s'humilier plus, plus loin, pour prendre une place plus basse encore par rapport au souffrant.
Le deuxième point qu'on voit ici au verset 7. Tu l'as couronné de gloire et d'honneur. C'est présentement. Et on va revenir à cela au verset 9. Nous voyons Jésus qui a été fait un peu moindre que les anges à cause de la passion de la mort, couronné de gloire et d'honneur.
Donc, verset 7 est une citation du psaume 8, mais c'est expliqué en détail un peu plus loin. Mais je résume maintenant ces trois points. Le passé, tu l'as fait un peu moindre que les anges. Le présent, couronné de gloire et d'honneur. Le futur, tu l'as établi sur les heures de tes mains.
Ça c'est par rapport au futur. Le monde à venir. Verset 8, tu as assujetti toute chose sous ses pieds. Et puis là, la citation termine et puis l'auteur continue au milieu du verset 8. Car en lui assujettissant toute chose, il n'a rien laissé qu'il ne lui soit assujetti.
C'est beau de voir dans Jean 3, par exemple. Jean 3, verset 35, le Père a donné toute chose aux pieds. Le Seigneur répète cela plusieurs fois dans Jean, que Dieu lui a donné toute chose entre ses mains. Par exemple, chapitre 14, verset 3.
Mais ainsi, le Seigneur Jésus va régner sur toute chose dans le monde à venir. Et Dieu n'a rien laissé qu'il ne lui soit pas assujetti. Pourtant, il y a deux exceptions qui ne sont pas mentionnées ici, mais que j'aimerais mentionner quand même.
La première exception, c'est Dieu lui-même, évidemment. C'est Dieu qui lui a assujetti toute chose, donc Dieu lui-même est accepté. Et cette exception est donnée dans 1 Chrétien 15, verset 20 à 28. Vous voyez que le Fils de l'homme sera soumis à Dieu qui lui a assujetti toute chose.
L'autre exception, c'est l'Église. En disant Ephésiens 1, vous verrez, peut-être qu'on peut juste le faire, juste pour voir ce point-là.
Donc, je répète, juste pour avoir le contexte. Hébreux 2 cite le psaume 8. Le psaume 8 dit que Dieu lui a assujetti toute chose. Maintenant, je dis qu'il y a deux exceptions.
Première exception, Dieu lui-même. Deuxième exception, l'Église. Église 1, verset 22, c'est encore cette citation du psaume 8. Il a assujetti toute chose sous ses pieds et l'a donné pour être chef sur toute chose à l'assemblée qui est son corps.
La plénitude de celui qui remplit tout en tous. Donc, qu'est-ce que ce verset dit? Le Seigneur est chef sur toute chose, donc tout lui est assujetti, mais ainsi Dieu l'a donné à l'Église.
Donc, ça veut dire que l'Église ici, dans ce contexte-là, n'est pas assujettie. L'Église doit être soumise à son époux, Éphésiens 5.
Mais dans ce contexte qu'on voit ici, le Seigneur Jésus qui va régner dans le monde à venir, où tout sera assujetti sous ses pieds, là, l'époux sera à côté de lui. L'époux sera à côté du Seigneur Jésus.
Il ne sera pas assujetti à ses pieds, pas du tout. Il sera à côté de lui. Il va régner avec lui. C'est ça la deuxième exception.
Maintenant, on revient à Hébreu 2, verset 8, au milieu. Mais maintenant, nous ne voyons pas encore que toute chose, lui, soit assujetti. Nous ne le voyons pas encore.
Donc, je répète, c'est clair aussi dans le Nouveau Testament que toute chose, lui, soit assujetti. 1 Pierre 3, verset 22, il dit, toutes les choses sur la terre et dans les cieux, même les anges, lui, sont assujettis.
Le Seigneur dit lui-même, Matthieu 28, après sa résurrection, toute autorité m'a été donnée, dans les cieux et sur la terre. Donc, tout a été assujetti à lui, de la part de Dieu.
Mais, l'auteur dit ici, nous ne voyons pas cela encore. Ce sera pour le monde à venir, son but souligne cela. La rencontre avec Nathanael souligne cela. Ce temps n'est pas encore venu.
Philippians 3, verset 21, c'est un beau verset qui nous dit que le Seigneur Jésus va exercer cette puissance énorme. Il a la puissance d'assujettir toute chose et il va utiliser cette puissance pour changer nos corps, pour transformer nos corps, pour nous donner des corps semblables à lui, son corps glorieux.
Philippians 3, verset 21. Donc, il va utiliser cette puissance aussi en notre faveur, mais pas pour nous soumettre à ses pieds. Nous serons à côté de lui.
Pourtant, aujourd'hui, nous devons prendre une place assujettie, pratiquement. Nous devons lui donner la place d'autorité comme Seigneur. Nous devons lui donner toute autorité. Et dans ce sens-là, nous devons moralement, pratiquement, être assujettis. Mais, dans le monde à venir, nous ne serons pas à ses pieds, nous serons à côté de lui.
Maintenant, le verset 9. J'aimerais souligner que le verset 9 pourrait être le titre de cet épitaphe. Nous voyons Jésus. Nous voyons Jésus. Ça, c'est le privilège du chrétien. Nous ne voyons pas encore toute chose assujettie.
Ça, c'est le monde à venir. Pourtant, nous voyons quelque chose. Nous voyons quelqu'un. Nous voyons une personne qui est plus grande que tout le monde à venir. Parce que tout le monde à venir sera assujetti à lui.
Mais nous voyons quelqu'un qui est plus grand que ce monde à venir. C'est le Seigneur Jésus-Christ. Et on verra, la prochaine fois Dieu voulant, dans 7 points, comment nous sommes liés à lui. Comment il y a un lien entre lui et nous.
Et je mentionne maintenant, une des raisons pour laquelle le Seigneur Jésus a pris la place d'un homme, était pour pouvoir mourir, mais c'était ensuite pour nous avoir avec lui. Et on verra donc cet lien entre nous et lui, la prochaine fois.
Mais je reviens maintenant à cette expression, nous voyons Jésus. Jésus, vous vous rappelez, Jéhovah, Yahweh, Saul. Là, nous voyons encore ce mystère de sa personne. Dieu, Jéhovah, Saul, il était aussi comme bébé qu'il a reçu ce nom.
Donc, son humanité et sa dignité vont ensemble dans ce nom précieux. Comme l'a dit le Christ. Mais nous voyons Jésus. Le nom Jésus revient 9 fois. L'auteur, il aimerait souligner cela.
Il faut réaliser que les juifs ont méprisé ce nom. Et il y avait des temps où si le nom Jésus était mentionné à un juif, il serait choqué, insulté, il ferait toutes sortes de choses pour montrer son indignation.
Mais pour nous, c'est un nom donné. Pour nous, c'est un nom très spécial. Ce nom Jésus revient pour cela 9 fois dans cette vie. Pour souligner la grandeur, ce Jésus de Nazareth que les juifs avaient rejeté, que les romains ont crucifié à la croix.
Et nous sommes aussi coupables comme êtres humains de tout cela. Ce Jésus est maintenant couronné de gloire et d'honneur. Ce Jésus est celui qui va régner sur le monde à venir. Ce Jésus est présenté dans toute sa splendeur dans cette épée.
Et le croyant, nous, c'est de nouveau Paul l'auteur, avec les croyants, nous voyons. Vous voyez ? C'est notre privilège. C'est le privilège chrétien. Les chrétiens peuvent dire cela. Nous voyons. Par la foi évidemment. Non pas par l'œil physique. C'est par la foi que nous voyons Jésus.
Et ainsi on peut dire, l'épître aux hébreux, c'est le ciel ouvert pour nous montrer Christ. Le ciel est ouvert, pourquoi ? Parce qu'il est monté. Dans Luc 24, c'est beau de voir comment le Seigneur a ouvert les écritures, comment il a ouvert les coeurs de ses deux disciples d'Amalus.
Et à la fin du chapitre 24, nous voyons comment le ciel est ouvert. Et nous voyons Christ maintenant dans un ciel ouvert. Il y a donc une communication maintenant entre lui dans la gloire et nous sur la terre.
Comme il y aura une communication entre les cieux et la terre dans le monde à venir, nous avons déjà cette communication et cette communion. Et toutes les bénédictions du monde à venir sont déjà notre privilège. Vous voyez ?
Toutes les bénédictions que le monde à venir va caractériser, nous comme chrétiens, nous avons déjà ces bénédictions parce que nous sommes identifiés avec Christ. Comme on verra la prochaine fois, ces sept liens, d'une façon très spéciale, nous sommes liés à lui.
Et Dieu l'a fait donc un peu moindre que les anges. Pourquoi ? Parce que les anges ne peuvent pas mourir.
Et maintenant j'aimerais souligner un point. J'ai dit que comme être humain, le Seigneur Jésus prend déjà une place au-dessous des anges. Mais Colossiens 1 nous montre que lorsque le Seigneur Jésus entre dans sa propre création, il doit être le premier.
Donc, moralement, à ce moment-là, lorsqu'il est entré dans sa création, même comme petit bébé dans la crèche, il était au-dessus des anges. Il ne faut pas oublier ça. Parce que c'était le créateur en même temps. Il était au-dessus des anges.
Donc c'est peut-être un paradoxe. L'ordre de la création, l'humanité est au-dessous des anges. Mais lorsque le Seigneur Jésus prend la place d'un homme, il est le créateur en même temps. Donc il faut qu'il soit plus élevé que les anges parce qu'il est leur créateur.
Pourtant, ici nous voyons une étape où le Seigneur Jésus a vraiment pris une place plus basse que les anges. Je répète, Colossiens 1 nous montre qu'il était même là comme homme au-dessus des anges parce qu'il est leur créateur.
Mais ici nous voyons qu'il a pris une place au-dessous des anges, plus bas que les anges. Pourquoi? A cause de la passion de la mort. Les anges ne peuvent pas mourir.
Mais déjà Jean le Baptiseur avait dit dans Jean 1, voici l'agneau de Dieu qui hôte le péché du monde. Pour cela il fallait qu'il coûte la mort. Comme le verset 9 dit, il coûta la mort pour tout. C'est l'œuvre qu'il a accomplie. Il a établi la base pour tout.
Mais je veux revenir encore à cette expression, la passion de la mort. Qui peut sonder la passion, la souffrance du Seigneur Jésus? Cela nous est impossible vraiment de pénétrer.
Mais Dieu veut que nous contemplions les souffrances de l'agneau de Dieu. Il y a eu 53, 622, d'autres passages et que nous comprenions qu'il a passé à travers tout cela aussi pour nous. Mais d'abord pour la gloire de Dieu. Vous voyez, lorsqu'il a pris la place comme sacrifié, c'était pour la gloire de Dieu.
Et ainsi Dieu l'a couronné de gloire et d'honneur et c'est encore pour la gloire de Dieu. Il faut réaliser cela. Tout ce que le Seigneur Jésus est, tout ce qu'il fait est toujours pour la gloire de Dieu.
Et Dieu l'a couronné de gloire et d'honneur. C'est un Dieu satisfait. C'est un Dieu qui a été glorifié par le Seigneur Jésus. Un homme a glorifié Dieu et Dieu dit maintenant je veux glorifier cet homme. Vous voyez le point? Un homme a glorifié Dieu.
Ainsi Dieu a glorifié l'homme, Christ Jésus. D'abord en le faisant sortir du tombeau, le jour de la résurrection. Ensuite Dieu l'a honoré et l'a glorifié en lui donnant cette place d'honneur dans la gloire et Dieu va le glorifier dans le monde à venir encore plus.
Dieu le glorifie parce qu'il a glorifié Dieu. Un homme a glorifié Dieu, maintenant Dieu glorifie un homme.
En sorte que par la grâce de Dieu. C'est la grâce de Dieu. Et on va revenir à la grâce de Dieu plusieurs fois, Dieu voulant, si on en a d'autres occasions. La grâce de Dieu c'est un thème magnifique dans le Nouveau Testament.
Dieu est appelé le Dieu de toutes grâces en pierre. Le mot grâce revient huit fois dans cet épître. Au moins dans cette passale mais dans chaque verset c'est répété deux fois le mot grâce.
Encore un mot caractéristique pour cet épître, la grâce de Dieu. C'est par la grâce de Dieu qu'il a fait tout ça. J'ai dit déjà c'était pour la gloire de Dieu mais c'était aussi par la grâce de Dieu.
Il goûta la mort. Qui a goûté la mort pour lui? De Psaume 22, de Psaume 102, nous voyons des détails comment le Saint Jésus a goûté la mort. Mais pas seulement cela, il a goûté la mort pour tout.
C'est le but, le but est donné en même temps. Je pense à un verset qui est très beau, 2 printemps 5, il a souffert pour tout, mais ça veut dire aussi pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes mais pour celui qui pour eux est mort et a été resté.
La pensée a l'air que le Saint Jésus est mort pour tous et pour tout. Mais là il ne faut pas avoir de fausses conclusions. Cela ne veut pas dire que le Saint Jésus est mort pour si la mort des pécheurs perdus qui seront dans l'enfer.
Ici c'est pour soulier la mort dans son efficacité, pour tout. Donc ainsi il a mis la base, comme j'ai dit tantôt, Jean 1, verset 29, pour que le péché soit ôté du monde. La base a été établie par sa mort pour tout.
Si on traduit pour tous, ça veut dire évidemment pour tous ceux qui croient. C'est la qualification, pour tous ceux qui croient. Mais si on lit pour tous en général, ce serait pour soulier que la grâce se montre maintenant envers tous.
Et dans ce sens-là on a 1 Timotée 2, pour tous. Cette œuvre de rédemption a une valeur pour tous, qui s'adresse à tous. Mais comme substitut, c'est limité à ceux qui croient. C'est un point qu'on doit toujours rappeler.
Donc ces versets nous soulignent la souffrance du Seigneur Jésus et la gloire à venir. Le Seigneur l'a dit lui-même, il ne fallait pas que le Fils de l'homme souffre et ainsi entre dans sa gloire.
Les souffrances du Fils de l'homme et ses gloires vont ensemble. Et 1 Pierre 1 nous dit que même les prophètes avaient parlé des souffrances du Seigneur Jésus et les gloires à venir, les gloires et les souffrances.
Parce que les souffrances sont données en plusieurs aspects, qui peut sonder tous les aspects des souffrances du Seigneur Jésus et ainsi qui peut sonder toutes les gloires qui sont le résultat de ces souffrances.
Pour nous c'est encore la même chose. Aujourd'hui les souffrances ainsi la gloire. C'est pour nous le même principe. Et ce n'est pas maintenant le thème, mais c'est une application qu'on peut tirer de cela.
Aujourd'hui nous sommes identifiés aussi avec un Christ qui a souffert. La grande différence, si nous avons peur aux souffrances de Christ, ce n'est pas l'aspect proxiatoire, ce n'est pas l'aspect de l'expiation, ça c'est l'œuvre que Christ a accomplie, c'est seulement lui qui a pu accomplir cela.
Mais si nous nous identifions avec les souffrances de Christ, c'est comme cet témoin qui souffre parce que le témoignage est en souffrance. Vous voyez, dans ce sens là, on voit souvent dans l'Empire que les chrétiens souffrent parce qu'ils s'identifient avec un témoignage, le témoignage de Dieu.
Le témoignage de Dieu est en souffrance et souffre aujourd'hui. Et dans ce sens là, nous pouvons goûter aussi les souffrances, mais pas dans le sens qu'on voit ici, les souffrances, l'œuvre expiatoire dans ce sens là est uniquement limitée à Christ.
Et il compta la mort pour tous, ça c'est donc cet aspect là. Et il le dit aussi, Marc X, le Fils de l'homme n'est pas venu pour être servi, mais pour donner servi un rançon pour plusieurs. Là il ne vit pas pour tous, parce que là c'est la pensée du substitut, ça c'est pour plusieurs.
Si c'est pour tous, c'est pour montrer que l'œuvre est efficace de la part de Dieu, pour que tous puissent venir. …
Transcription automatique:
…
Ensuite, jusqu'à la fin du chapitre,
il veut deux personnes.
Mais nous voyons des vies qui ont été faites un peu moindres que les autres à cause de la passion de la mort,
couronner la gloire et l'honneur,
en sorte que, par la grâce du Dieu, il coûtera la mort pour tous.
Car il convenait pour lui, à cause des qui sont toutes choses,
et par qui sont toutes choses,
qu'en amenant plusieurs fils à la gloire,
qu'il consommât le chef de leur service par les souffrances.
Car il, celui qui s'en supplie, et ceux qui sont sanctifiés, sont tous d'un.
Pourquoi il n'a pas honte de les appeler frères, disant,
j'annoncerai ton nom à mes frères, au milieu de l'assemblée, je chanterai tes noms à moi.
Et encore, moi, je me confierai en lui.
Et encore, me voici, moi et les enfants que Dieu m'a donnés.
Puis donc, les enfants ont pris part au sang et à la chair.
Lui aussi, semblablement, y a participé,
afin que par la mort, il rendit impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort,
c'est-à-dire le diable,
et qu'il délivrera tous ceux qui, par la crainte de la mort,
étaient pendant toute leur vie assujettis à la servitude.
Car certes, il ne prend pas les ordres, mais il prend la semence d'Abraham.
C'est pourquoi il dut, en toutes choses, être rendu semblable à ses frères,
afin qu'il fût un miséricordieux et fidèle souverain sacrificateur
dans les choses qui concernent Dieu,
pour faire proficacement le péché du peuple.
Car en ce qu'il a souffert lui-même,
il est tenté, et il est à même de secourir ceux qui sont tentés.
Puisque c'est la vérité de la parole.
Le premier chapitre nous a montré la grandeur du Seigneur Jésus
comme le Fils de Dieu.
Le deuxième chapitre, la dernière fois, nous avons vu la grandeur du Fils de l'Homme.
Nous avons vu Christ dans le ciel.
C'est le premier chapitre.
Et le deuxième chapitre nous parle du monde à venir.
On a parlé de cela la dernière fois.
Et chaque page de cet Épître nous montre la grandeur de la personne du Seigneur Jésus.
Soit comme Dieu, soit comme homme.
Et comme Dieu, nous avons vu qu'il y a par la grâce de Dieu un lien entre lui et nous.
Le premier chapitre, nous avons vu que nous sommes ses compagnons, le Seigneur.
Il a été loin d'une ville de joie, au-dessus de ses compagnons.
Et dans l'application, nous avons vu que nous sommes ses compagnons.
Mais il est au-dessus de nous.
Mais là, il est vu comme Fils de Dieu.
Mais comme Fils de l'Homme, notre lien avec lui est encore plus intime.
Et ça, c'est vraiment le ministère de l'enfant qui croit.
J'aimerais dire encore quelque chose du verset 9.
Et ensuite donner un résumé dans quelques points du verset qui suit.
Et ensuite parler des quelques détails.
D'abord, le nom Jésus.
Le nom de son humanité, verset 9.
Ce nom revient neuf fois dans l'Épître aux Églises.
Neuf fois juste le nom Jésus.
Lorsqu'on parle du Seigneur Jésus, on aime référer au Seigneur Jésus-Christ.
Et c'est tout à fait correct.
Mais dans le contexte de cette Épître, il faut montrer que cette humble personne,
rejetée par les Juifs, Jésus du Nazareth,
est présentée devant nos yeux avec une grandeur incroyable.
Juste ce nom-là fait résonner notre corps.
Jésus.
Le nom signifie Jérôme saoul.
Et là, on a déjà le mystère de sa personne.
Il est Dieu, Jérôme.
On l'a vu dans le premier chapitre.
En même temps, on le voit ici comme homme, Jésus.
Il a été fait un peu moindre que les anges. Pourquoi ?
Nous avons vu déjà dans le passé que le Seigneur Jésus est le Créateur.
Donc, comme Créateur, il est au-dessus des anges.
Même lorsqu'il est venu comme homme dans ce monde,
le bébé dans la crèche, là à Bethléhem,
les anges étaient soumis à lui.
Il était plus grand que les anges.
Et nous voyons que les anges lui ont servi son mystère sur la terre.
Pourquoi est-ce qu'il a été fait un peu moindre que les anges ?
C'est dit ici à cause de la façon de la mort.
Les anges ne peuvent pas mourir.
Les anges ne peuvent pas se donner un sacrifice pour nous.
Aucun homme ne pouvait satisfaire non plus parce que la race humaine est déchue.
Et ainsi nous voyons que le Seigneur Jésus, Dieu,
Dieu ne peut pas mourir non plus,
mais comme homme, il a pris cette place encore un peu moindre que les anges.
Mais c'est donc par rapport à la mort.
Ensuite, nous voyons, après les souffrances, c'est les gloires.
C'est un thème général dans la Bible.
Les souffrances du Seigneur d'abord, ensuite les gloires qui suivent.
Et on voit ça aussi tout de suite.
Pourronner les gloires et les bonheurs.
Et là, il est encore plus élevé que les anges.
Il est toujours plus élevé que les anges.
Sauf par rapport à sa mort, il était un peu moindre.
La deuxième chose qu'on voit ici, c'est le résultat à la fin du verset 9.
C'est juste pour indiquer, parce que ce verset est tellement riche,
mais juste pour souligner la grâce de Dieu.
C'est la grâce de Dieu qui l'a envoyé.
C'est la grâce de Dieu par laquelle il s'est donné comme sacrifice.
On verra plus tard plus de détails concernant le sacrifice.
Nous le voyons ici comme rédempteur.
Il est le grand créateur du premier chapitre.
Ici, nous le voyons comme rédempteur.
Et par la grâce de Dieu, il a goûté la mort pour tout.
Et là, il y a donc deux aspects.
Colossien 1 explique cela aussi.
Pour réconcilier tout, on n'est pas des universalistes,
mais tout l'univers sera purifié du péché.
Jean 1 verset 21, Jean le baptiseur l'avait dit.
Il dit, voilà, voici l'agneau de Dieu qui ôte le péché du monde,
de l'univers, du cauchemar.
Il goûte à la mort pour tout.
Mais on peut lire aussi pour tous.
L'oeuvre est suffisante pour que tous puissent venir avec repentance.
Mais il faut venir avec repentance.
Les oeuvres se répètent souvent.
Sans la repentance, on ne peut pas avoir de communion avec Dieu.
Ça prend la repentance, ça prend la confession de nos péchés.
Mais ici, nous voyons l'oeuvre de Dieu, la grâce de Dieu.
Il a envoyé son Fils et le Seigneur Jésus a goûté la mort pour tous.
Il a mort pour tous, 2 Corinthians 5.
Romains 3 nous montre cela aussi.
Mais ça demande une réponse de notre part.
Dieu ne nous a pas créés comme des robots.
C'est à nous.
Dieu veut que tous soient sauvés, 1 Timothée 2.
2 Théâtres 3 montre comment Dieu est patient,
une grande patience.
Dieu attend, Dieu attend, Dieu attend,
pour que tous puissent être sauvés.
C'est la grâce de Dieu.
On aura plus de détails sur l'oeuvre du Seigneur Jésus plus tard dans l'Épiphane.
Son sacrifice, l'Holocauste, le sacrifice pour le péché.
Mais ici, on a déjà le noyau.
C'était pour tout, tout l'univers, c'était pour tous.
Maintenant, j'aimerais d'abord donner un petit résumé.
Ensuite, on verra quelques détails.
J'ai déjà dit, cet épître nous parle d'une façon particulière de la grandeur du Seigneur Jésus.
J'aimerais juste mentionner quelques points, un aperçu historique.
C'est beau de voir en sept points comment ces versets que nous avons lus nous parlent.
D'abord, de l'incarnation, au verset où nous avons vu qu'il a participé, au verset 14.
Puis donc, les enfants ont lu part au sang et à la chair, lui aussi, semblablement, il a participé.
Le secret est donné en détail dans Luc 1.
Dans Luc 1, nous voyons comment la Vierge serait sous l'ombre du Saint-Esprit.
Et puis ainsi, elle concevrait cette Semence Sainte.
Dans Luc 1, nous avons déjà un peu un détail là-dessus.
Le Seigneur Jésus n'a pas pris part à notre condition comme pécheur, loin de cela.
Mais il a pris une position comme homme sur la terre.
Il n'était pas Dieu enveloppé dans une forme humaine.
Donc, il est Dieu et en même temps, il est devenu homme, sans participer à la nature pécheresse.
Il a participé à la nature humaine, mais sans participer à la nature pécheresse.
C'est pour cela que ce verset dit « semblablement, il a participé ».
Vous voyez, la Bible est très exacte.
Donc, ça c'est le premier point.
La venue du Seigneur Jésus dans le monde.
Il a participé au sang et à la chair pour pouvoir mourir pour nous.
Il fallait qu'il vive comme un homme pur et juste devant Dieu.
Ensuite, qu'il puisse mourir.
Le deuxième point, nous voyons sa vie sur la terre.
Verset 18, « il a souffert étant tenté ».
Verset 18, « car en ce qu'il a souffert, lui-même étant tenté ».
Au début de son ministère, ou juste avant son ministère public, dans Luc 4, dans Matthieu 4, Marc 1,
nous voyons ses tentations dans le désert.
Ça souligne qu'il était un homme qu'on pouvait mordre.
Mais, à part le péché.
Donc, sa venue dans le monde, sa vie comme un homme sur la terre.
Et maintenant, encore un étage, c'est le troisième point.
Sa confiance en Dieu, verset 13, « moi je me confierai en lui ».
Ce verset exprime l'attitude du Seigneur Jésus.
Une entière dépendance envers Dieu.
Ce verset montre l'humanité parfaite du Seigneur Jésus.
S'il était juste Dieu enveloppé dans une forme humaine, il n'aura pas besoin d'être dépendant de Dieu.
Mais comme un homme parfait, il a exprimé pendant toute sa vie une dépendance.
Son 22, lorsqu'il était sur la scène de sa mère, il a mis sa confiance en Dieu.
Lorsqu'il était là, au début de son ministère, il était dépendant de Dieu et toujours dépendant de Dieu jusqu'à la fin.
Donc, cette confiance en Dieu, c'est le troisième point.
Le quatrième point, le Seigneur Jésus est mort.
Il l'est mentionné déjà pour tout et pour tous.
Donc, sa mort, c'est le quatrième point.
Quelle pensée que le Fils du Dieu est mort pour nous.
Quel amour que nous avons exprimé dans le canticle.
Et sa mort, on l'a vu au verset 9.
On va revenir à ça au verset 10.
Verset 14, pourquoi est-ce qu'il a participé au sang et à la chair?
Afin que par la mort, il rendit impuissant.
Donc, un homme parfait pour pouvoir mourir.
Et par cette mort, il a rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort.
Verset 17, sa mort par rapport au sacrifice qui était nécessaire.
L'heure expiatoire, verset 17.
Pour faire propitiation pour les péchés du corps.
Vous voyez sa mort, les effets de sa mort.
Maintenant, le cinquième point.
C'est quoi le cinquième point?
Donc, on parle de l'ordre historique.
Il est venu dans ce monde.
Il a vécu dans ce monde.
Il a mis sa confiance en Dieu.
Il est mort.
Ensuite, au verset 9, on a vu.
Couronner de gloire et d'honneur.
Il a goûté la mort pour tous.
A cause de la passion de la mort, il était un peu moindre que les gens.
Mais maintenant, couronner de gloire et d'honneur.
C'est le cinquième point.
Ça implique donc sa résurrection.
Ça implique son exaltation.
Comment Dieu l'a couronné.
Maintenant, le Seigneur Jésus, et ça c'est mon sixième point.
Sa position actuelle.
Il est chef.
On va revenir à ça parce que tantôt j'aimerais parler un peu du lien entre lui et nous.
Il est notre chef.
Au verset 10.
Le chef de notre salut.
Il est celui qui sanctifie.
Au verset 11.
Il est celui qui révèle le nom de Dieu.
Verset 12.
Il est notre rédempteur.
On en a parlé déjà.
Verset 14, 15, nous parlons de cela.
Il est celui qui nous soutient.
Maintenant, dans la gloire du Seigneur Jésus, il a beaucoup de rôles,
si je peux utiliser ce mot-là par rapport à lui, pour nous.
Et on va revenir à ses rôles au cours de cette équipe-là.
Maintenant, mon septième point.
Sa grandeur par rapport au monde à venir.
Il est le fils de l'homme qui va régner sur le monde à venir.
Verset 5.
Et les autres versets qu'on a vus la dernière fois.
Dans le monde à venir, il aura la place de roi qui va régner sur tout l'univers.
Maintenant, j'aimerais encore souligner quelques points
de sa grandeur qui sont mentionnés dans ce chapitre.
Il est appelé Christ.
Ça veut dire « oin ».
Et puis on va revenir à ça une autre fois.
Dieu l'a « oin ».
Il est le Christ.
On l'a vu comme fils de l'homme la dernière fois.
On l'a vu ce soir, il est Jésus.
L'humble Jésus de Nazareth, couronné de gloire et d'honneur.
Il est notre chef.
Verset 10.
Chef de notre salut.
Il est, verset 11, celui qui sent qu'il suit.
Il est, verset 17, un miséricordieux et fidèle, souverain, sacrifiable.
Et puis on va revenir, au cours de ces chapitres dans l'Hybré,
on va revenir surtout au fait qu'il est notre chef.
Il nous dirige à travers les airs.
Il nous dirige dans le sanctuaire, on verra ça aussi.
Il nous dirige pour sortir du camp hébréen.
Il est notre chef.
Ici, il est le chef de notre salut.
Le mot « salut » revient sept fois dans ce livre.
C'est très beau de voir ça.
Mais il est notre chef.
Il est notre conducteur.
Mais il est aussi notre souverain sacrificateur.
On verra plus tard, à l'Hybré, par exemple, il est le ministre du sanctuaire.
Il prend soin des intérêts de Dieu.
Mais il est aussi notre grand souverain sacrificateur.
Et on verra cela à deux égards.
Pour nous aider dans les airs,
ce que l'on a vu ce soir, au verset 17,
dans les choses qui concernent Dieu pour faire propitiation pour les péchés du peuple,
c'est par rapport à sa mort.
Donc ici, nous le voyons comme souverain sacrificateur par rapport à sa mort.
Mais au verset 18, nous voyons le Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur
par rapport à notre marche à travers les airs
pour nous secourir, pour secourir ceux qui sont tentés.
Vous voyez la grandeur du Seigneur Jésus,
Christ, Dieu à loin,
il est le fils de l'homme et on a vu qu'il va être glorifié dans le monde à venir.
Et Dieu l'a déjà couronné de gloire et d'honneur.
Et simplement Jésus nous parle de cette immense grandeur de cette personne.
Le chef de notre salut, il est celui qui sympathise notre grand souverain sacrificateur.
Et Dieu voulant, la prochaine fois, on va parler un peu plus en détail du sacrificateur.
Et on verra aussi plus tard, jusqu'au chapitre 7 et 8 même,
beaucoup de détails sur le Seigneur comme sacrificateur.
Ce qui rend ce verset un peu difficile, ce qu'on a vu ce soir,
ici l'auteur danse comme un résumé de beaucoup de sujets qui sont développés en détail un peu plus loin.
Maintenant j'aimerais souligner le lien entre le Seigneur Jésus et nous.
Ici dans l'Hébreu, ce n'est pas le mystère de l'Église comme dans Ephésiens ou dans Colossiens.
Le lien entre Christ dans la gloire et nous, les membres de son corps.
Les liens qu'on trouve dans l'Hébreu sont d'un caractère différent, mais quand même très réel.
Je voulais mentionner sept liens entre le Seigneur Jésus et nous.
Sept liens entre le Seigneur Jésus et nous.
Au verset 12.
Excusez-moi, on va revenir encore au verset 10.
Mais verset 12 nous parle du fait qu'il nous appelle frères.
Et j'ai pensé à ça en premier parce qu'il est le premier-né d'entre beaucoup de frères.
Vous connaissez cette expression, on l'a mentionnée déjà une fois,
cinq fois dans le Nouveau Testament, nous voyons le Seigneur Jésus comme le premier-né d'entre beaucoup de frères.
Il est le premier-né, c'est une position par rapport à nous.
Il est le chef et nous sommes cette génération qui appartient à nous.
Il est le premier-né d'entre beaucoup de frères.
Romain VIII, verset 29, nous parle de cela.
Colossien 1, je répète, par rapport à la création, le Seigneur Jésus est le premier-né.
Plus grand que les anges.
Par rapport à la rédemption, il est le premier-né d'entre les morts.
D'entre les morts.
Cela nous montre sa grandeur.
Et c'est seulement par rapport à sa mort et à sa rédemption que nous avons un lien avec lui.
C'est pour cela que je voulais commencer par cette expression, le premier-né.
Cela veut dire qu'il est premier, en vrai, en position, mais en même temps il a un lien avec nous, les restés.
En contraste avec l'autre nom de Colossien Jésus, l'autre relation, le fils unique, qui revient aussi cinq fois dans le Nouveau Testament.
Le fils unique.
Là, il est, pour le mot dit, unique.
Il n'y a aucune personne qui lui est semblable.
Il est le fils unique dans le sein du Père.
Mais on ne parle pas de cette position-là, cette relation entre le Père et le fils.
Le fils unique est unique et reste unique.
Mais ici nous parlons de sa relation avec nous.
Le premier-né par rapport à la création, nous appartenons à la création.
Nous sommes des créatures.
Nous avons maintenant une relation avec lui.
Par le péché, cette relation a été brisée.
Par la rédemption, cette relation a été restaurée.
C'est cela qu'il est le premier-né d'entre les morts.
Et comme rédempteur, nous avons cette relation maintenant aussi avec lui, comme rédempteur, créateur et rédempteur.
Et ainsi, il est le premier-né d'entre beaucoup de frères.
On va revenir à ça au verset 12.
Il nous introduit dans les secrets de la maison du Père.
Les secrets du Dieu.
On a vu déjà par rapport au monde à venir, dans le verset 6, il est appelé aussi le premier-né dans le monde d'habiter.
C'est par rapport au monde à venir.
Il sera le premier-né.
Mais il aura aussi un peuple qui lui sera soumis, qui sera lié à lui, le peuple d'Israël.
Et ensuite, il est le premier-né de la mort, ou des morts, dans l'apocalypse 1.
Ça nous parle de sa grandeur générale.
Maintenant, c'est cette pointe, au verset 10, le chef de leur salut.
Et on va lire tout le verset.
Il convenait pour lui, à cause qu'ils sont toutes choses, et parce qu'ils sont toutes choses,
qu'en menant plusieurs fils à la gloire, il consomma le chef de leur salut par des sous-parents.
Dans cette équipe, nous verrons que les croyants sont des fils sacrificateurs, qui appartiennent à Christ.
Il est leur chef, il est notre chef.
Et il nous amène à la gloire.
Vous voyez, au verset 10, en menant plusieurs fils à la gloire.
Nous verrons dans cet épisode que déjà maintenant, le Seigneur Jésus nous introduit dans la gloire.
Nous avons un ciel ouvert, un accès immédiat.
Donc il nous amène déjà maintenant à la gloire.
Mais nous sommes aussi en route pour la gloire, pour traverser le désert.
Ce sont deux vérités par rapport à ce verset-là.
Et ainsi, il est notre chef qui amène beaucoup de fils à la gloire.
Deuxième chose, au verset 11,
Et celui qui sanctifie, et ceux qui sont sanctifiés sont tous d'un.
C'est un verset difficile, ils ont la même origine.
Mais Christ est celui qui sanctifie, et nous sommes ceux qui sont sanctifiés.
La sanctification joue un rôle important dans cette équipe.
C'est même un mot clé.
La sanctification veut dire être mis à part pour Dieu.
Comme dans Romain, la justification est centrale.
Dieu nous a déclarés justes, nous a rendus justes devant lui.
Ainsi, dans Hébreu, la sainteté et la sanctification, et sanctifier, sont des thèmes importants.
Donc nous avons un lien avec lui, il est celui qui sanctifie, et nous sommes ceux qui sont sanctifiés.
Et ainsi, nous avons une place dans le sanctuaire avec lui.
Troisième relation, c'est pourquoi il n'a pas honte de les appeler frères.
Dans Jean 20, nous voyons comment le Saint Jésus a pu parler de cela à cause de sa résurrection.
Sur la base, sa résurrection, il a pu dire à Marie, va et raconte mes frères, je montre un verbe.
Mon Dieu est votre Dieu, mon Père est votre Père.
Et ainsi, les deux pouvaient appeler les égyptes mes frères.
Donc mes frères ou frères égyptes, c'est une relation intime entre le Seigneur Jésus et nous.
Mais c'est seulement possible par la base de sa mort et de sa résurrection.
On n'aurait aucun lien avec lui sans sa mort et sa résurrection.
Quatrième point, verset 12, j'annoncerai tant à mes frères, au milieu de l'Assemblée, je chanterai tellement, au milieu de l'Assemblée, il est le centre de l'Assemblée.
Assemblée veut dire une compagnie de ceux qui ont été appelés.
Dieu nous a appelés pour sortir de ce monde.
Les chrétiens hébreux étaient appelés pour sortir du judaïsme.
Une compagnie de ceux qui ont été appelés.
Est-ce que vous réalisez cela, que Dieu nous a appelés.
Nous avons été appelés par un Saint appel et la prochaine fois on verra par un appel céleste.
Nous appartenons à celui qui nous a appelés.
Et il est le centre de l'Assemblée, le centre de cette compagnie de ceux qui ont été appelés.
Là donc, nous avons aussi ce point-là, que nous sommes identifiés avec Christ dans la gloire.
Christ dans la gloire, il est le chef, le notre chef, il est celui qui sanctifie, il est le premier aidant pour beaucoup de frères, il est le centre de l'Assemblée.
Mais nous voyons aussi, par la grâce de Dieu, que nous sommes identifiés avec celui qui s'est identifié avec nous ici sur la terre.
Et les trois autres points nous parlent de cela.
Verset 13. Nous voici, moi et les enfants que Dieu m'a donnés.
Le Saint Jésus a pris place sur la terre.
Et ainsi, il est identifié avec nous, il nous présente à son Dieu et père.
Les enfants que Dieu lui a donnés.
Ensuite, la sixième expression, verset 17.
Verset 16, excusez.
Tous les croyants, les vrais croyants, sont des enfants d'Abraham, même des fils d'Abraham.
Et ainsi, le Seigneur Jésus, il prend avec la main la semence d'Abraham.
Le Seigneur Jésus s'est identifié sur la terre avec la semence d'Abraham.
Ensuite, lorsqu'il parlait avec les parisiens, j'ai envie.
Les parisiens disaient qu'ils étaient des descendants d'Abraham.
Mais là, le Seigneur montre clairement qu'il s'identifie seulement avec les vrais fils d'Abraham.
Les vrais enfants d'Abraham ou la vraie semence d'Abraham.
Ça veut dire les croyants.
Galat 3 nous montre cela en détail.
Romains 4 montre cela que seulement les vrais croyants d'entre les Juifs, seulement les vrais croyants d'entre les nations appartiennent à cette semence d'Abraham.
Et ainsi, ils sont identifiés avec Christ.
Le septième point au verset 17.
À la fin du verset 17.
Afin qu'il fût un miséricordieux et fidèle souverain sacrificateur dans les choses qui concernent Dieu, pour faire confiance pour les péchés du peuple.
Le peuple était ici littéralement Israël.
Et puis, on peut dire seulement ceux qui ont cru.
Ainsi, ça nous parle d'abord de ces Juifs chrétiens à Jérusalem à ce moment-là.
Mais aujourd'hui, on peut dire, ça nous parle de nous.
On l'applique à nous.
Nous sommes maintenant le peuple de Dieu.
Et dans les jours à venir, lorsque nous serons au ciel, sur la terre, il y aura encore un peuple de Dieu.
Les Juifs qui se repentent, le reste fidèle sera ce peuple.
Et nous voyons ici les souffrances du Seigneur Jésus pour ce peuple.
Donc, qu'est-ce qu'on voit ici?
Le Seigneur Jésus s'identifie au peuple de Dieu sur la terre.
Donc, dans ces sept points, nous avons notre identification avec Christ dans la gloire.
Mais nous voyons aussi comment il s'identifie avec nous, dans notre misère.
Il fallait que nous soyons de la semaine d'Abraham.
Ça nous parle de la foi.
Il fallait aussi qu'il souffre pour les péchés, pour la propitiation pour les péchés du peuple.
Maintenant, il y a quatre points qui m'ont frappé dans ce chapitre et dans ces quelques versets qu'on a lus.
C'est l'humanité du Seigneur Jésus.
On a vu dans le chapitre premier sa grandeur comme le Fils de Dieu.
Mais déjà la dernière fois, on a vu que le psonme 8 va un peu plus loin que le psonme 2.
Le psonme 2 nous parle du Fils de Dieu et que le psonme 8 nous parle du Fils de l'homme.
Et ainsi, Hébreu 2 met beaucoup d'emphase sur le Seigneur Jésus dans son humanité.
Dans son humanité, on a vu, c'est ainsi qu'il a pu mourir pour nous.
Mais je veux revenir maintenant au verset 10.
Il convenait pour lui.
C'est Dieu ici.
Selon les plaintes de Dieu.
Il convenait pour Dieu que Christ prenne une place comme homme sur la terre.
Il convenait pour lui à cause de qui sont toutes choses.
Dieu est à l'origine de tout.
Dieu a fait les plaintes.
Et par qui sont toutes choses ?
Dieu est le créateur.
Le grand créateur de ce immense univers.
On ne peut pas s'imaginer la grandeur de Dieu.
Dieu est Dieu et nous sommes des créatures.
On ne peut vraiment pas s'imaginer la grandeur de Dieu.
Mais le point est quand même souligné ici.
Il convenait pour lui à cause de qui sont toutes choses.
Donc, on peut penser à n'importe quelle chose.
Les planètes, les étoiles, les micro-organismes, tous les êtres humains.
On peut penser aux choses dans le passé, aux choses dans le monde à venir.
Tout, tout est pour Dieu.
A cause de la chute de l'homme, à cause de l'oeuvre de Satan.
Ça n'a pas l'apparence que c'est comme ça.
Mais ce verset montre vraiment ce principe.
Tout est ici à cause de Dieu.
Dieu est à l'origine de tout.
Et tout sera aussi pour sa gloire.
Mais le verset 10 nous dit par qui sont toutes choses.
Il est aussi le grand Créateur.
On a vu que ça fit son premier.
Il soutient toutes choses par la parole de sa puissance.
On a vu là aussi le Seigneur Jésus dans sa grandeur comme Créateur.
Donc, pour ce Dieu là, ce grand Dieu, il convenait que le Seigneur Jésus devienne homme.
Pour amener plusieurs fils à la gloire.
Deuxième raison pour son humanité, verset 14.
Il est devenu homme, comme j'ai dit tantôt déjà, pour pouvoir mourir.
Et ainsi pour avoir la victoire sur Satan. Verset 14.
Puis donc les enfants ont eu part au sang et à la chair.
Lui aussi, semblablement, y a participé. On a parlé de cela.
Afin que, par la mort, il rendit impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort.
Donc ici nous voyons l'humanité du Seigneur Jésus pour qu'il puisse avoir la victoire sur Satan.
Pour qu'il puisse rendre impuissant.
Le Seigneur Jésus est entré dans la fosse aux géants.
Où Satan, avec toute sa force, la force de Satan se montre par la mort.
Par la mort, il avait le contrôle sur toute l'humanité.
Le Seigneur Jésus est entré dans la fosse où Satan avait toute la puissance.
Et c'est là qu'il a rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort.
Il est sorti victorieux du tombeau.
A la fin du psaume 22, nous voyons une description de cette victoire.
Les résultats que ça affecte la nation juive, ça affecte les nations, ça affecte le monde à venir.
Les résultats de ces souffrances sont montrés dans le psaume 22 déjà.
Au milieu de ce psaume, un peu plus loin qu'au milieu, nous voyons comment il était abandonné, entouré par tous ses ennemis.
Il a crié, crié à Dieu.
Et là, Dieu l'a répondu.
Et la réponse de Dieu est vue dans la résurrection.
Et dans tout cela, sa mort et sa résurrection, il a rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort.
Nous voyons aussi dans 2 Timothée 1 qu'il a rendu impuissant la mort.
Donc il a rendu impuissant l'outil de Satan, la mort.
Mais ici, il a rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort, Satan.
Vous voyez, donc l'œuvre est vraiment complète.
Il n'a pas seulement annulé l'outil, il n'a pas seulement enlevé l'outil de Satan, la mort.
Il n'a pas seulement annulé la mort de Timothée 1 verset 10, mais il a annulé ou rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort.
Donc le Seigneur a fait un bon travail.
Souvent nous faisons un travail juste la moitié et on est déjà satisfait.
Le Seigneur Jésus a fait un travail complet.
La troisième raison pour laquelle le Seigneur Jésus est devenu homme est mentionnée au verset 17.
Dans cette œuvre de la propitiation, j'aime aussi la termologie, l'œuvre expiatoire.
Cette œuvre est l'œuvre de celui qui est mort.
Oui, il est mort pour rendre impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort.
Mais il a fait plus que cela.
Dans sa mort, il a honoré Dieu.
Dans sa mort, nous avons vraiment cette œuvre expiatoire.
Tout était pour la gloire de Dieu.
Et on verra beaucoup plus d'états là-dessus dans le chapitres 9 et 10.
La quatrième raison pour laquelle le Seigneur Jésus est devenu homme, c'est pour qu'il puisse nous secourir maintenant, verset 18.
Car en ce qu'il a souffert lui-même étant tenté, il est à même de secourir ceux qui sont tentés.
Nous sommes maintenant dans le désert.
Le Seigneur Jésus était dans le désert.
On le voit dans Luc 4, Matthieu 4, les trois tentations.
Et ces trois tentations couvrent vraiment tous les aspects de la vie.
Les tentations par rapport aux choses de la terre.
Avoir faim.
C'est un besoin qui appartient à cette terre.
Il n'y a rien de mal dans avoir faim.
Mais on ne peut pas entrer dans ces livres-là.
Mais ça montre vraiment la victoire que le Seigneur Jésus a eue sur ces tentations.
Il a souffert.
Il n'a pas subi ces tentations.
C'est impossible.
Au chapitre 4, nous verrons cela.
Il était à part péché.
C'était impossible qu'il subisse ces tentations.
Par contre, pour nous, ça peut nous arriver qu'on subisse, qu'on tombe dans une piège.
Mais ici, nous voyons que le Seigneur est là, justement.
Il a souffert dans toutes ses tentations.
Tenté 40 jours.
Satan a utilisé toutes ses ressources.
Toutes.
Il s'est résumé dans ces trois points.
Les choses terrestres.
Les choses du monde.
Et les choses religieuses.
Et avec un genre d'eux, on pourrait dire la convoitise de la chair.
La convoitise des yeux.
Et l'orgueil de la vie.
Le Seigneur Jésus a été exposé à tout.
Il n'a pas manqué. Pas du tout.
Il était victorieux.
Et maintenant, il peut nous aider, nous qui sommes dans ce monde, qui sommes exposés à des tentations.
Vous voyez, ça c'est la quatrième raison pour que le Seigneur soit parfaitement homme.
Un homme parfait, dépendant du Dieu, on l'a souligné déjà.
Il est maintenant dans la gloire.
Mais il peut exactement comprendre ce qui se passe.
Avec Yann, ou avec Valérie, ou avec n'importe qui de nous.
Chacun passe à travers des périodes difficiles, des tentations.
Et le Seigneur, il peut nous secourir.
Il sait exactement, exactement nos besoins.
Le Seigneur n'est pas venu dans le monde comme un homme de trente ans.
Il a été aussi un jeune garçon.
Il connaît les tentations pour un jeune garçon.
Il connaît les tentations pour un jeune homme à l'âge de douze ans.
Il n'a pas cherché sa propre gloire, il a cherché la gloire de son père, Luc II.
Et ensuite, comme homme, nous voyons sa perfection.
Et ainsi, il peut nous aider dans nos tentations.
J'aimerais encore résumer quelques points.
On va revenir au verset 10.
Le mot chef, le chef de leur salut, c'est un mot qui est très beau.
J'ai dit, on va revenir à ce mot chef.
Le Seigneur est le chef pour nous introduire dans la gloire, chapitre 10.
Il est le chef pour nous diriger à travers le désert.
Il est le chef pour nous faire sortir du cain, hébreu 13.
Et le mot chef est quelquefois traduit par prince.
Ou on pourrait traduire leader.
C'est un mot très fort qui souligne encore davantage la grandeur du Seigneur Jésus.
Ce mot est trouvé deux fois dans l'acte.
Dans l'acte 3, verset 15 et 5, verset 31.
Mais je veux juste lire 3, verset 15, parce que c'est vraiment une très belle référence.
Acte 3, verset 15.
Où Pierre parle aux juifs.
Et dans ces 7 points, il y a aussi 7 points, mais je ne vais pas les nommer maintenant.
Il dit au verset 15, et vous avez mis à mort le prince de la vie.
Le prince de la vie.
Ici le mot prince, c'est le même mot que chef, cain, hébreu 2.
Et nous voyons ici donc la grandeur du Seigneur Jésus.
Le prince de la vie.
Quelle expression merveilleuse.
Et il est prince et sauveur.
Chapitre 5, verset 31.
Donc, encore ce point là.
Ensuite, on a déjà mentionné, d'abord la souffrance, ensuite la gloire.
C'est un principe qui revient dans la Bible tout le temps.
Luc 24, le Seigneur dit aux deux disciples d'Emmaüs.
Il dit, vous êtes insensibles.
Ne saviez-vous pas qu'il fallait que le fils de l'homme souffre pour entrer dans sa gloire.
Et dans un caractère, Pierre cite les prophètes de l'Ancien Testament.
Il dit qu'ils ont parlé des souffrances.
Des souffrances.
Les souffrances, plusieurs aspects.
Les souffrances du Seigneur Jésus.
Les souffrances dans la main de l'homme.
Les souffrances à cause de l'oeuvre expiatoire.
Les souffrances quand il était attaqué par Satan.
Des souffrances du Seigneur Jésus.
Et des gloires qui allaient suivre.
Donc, toujours, d'abord les souffrances, ensuite les gloires.
Maintenant, un petit mot pour nous.
Est-ce que vous passez à travers des souffrances ?
C'est pour nous introduire dans la gloire.
Dieu veut nous faire passer à travers des souffrances.
Ce ne sera pas des souffrances pour l'oeuvre de l'appropriation.
C'est impossible.
C'est seulement Christ qui pouvait faire ça.
Mais les souffrances, c'est maintenant pour nous.
Un peuple sur la terre.
Les souffrances maintenant.
Romains 8, 28.
Toutes choses qu'opèrent ensemble pour le bien de ceux qui en ont.
Donc Dieu, il sait ce qu'il fait.
Il dirige notre chemin à travers les souffrances.
Mais on a vu, c'est pour la gloire.
Pour la gloire.
Ça va nous amener à la gloire.
L'autre point, c'est au verset 12.
On a vu déjà quelques points de ce verset 12.
Mais j'aimerais maintenant mentionner deux points.
Le Seigneur révèle le nom de Dieu.
J'annonçais ton nom à mes frères.
Il est l'apôtre qui présente Dieu.
On verra dans Hébreu 3, en plus de détails, le Seigneur comme apôtre.
Il révèle Dieu.
Mais il est aussi le grand sacrificateur.
Et comme sacrificateur, il chante les louanges.
Vous voyez, il nous aide comme ce grand chanteur.
Comme celui qui entend le cantique.
Il donne la réponse.
Et ainsi nous voyons le Seigneur comme apôtre ou prophète qui révèle la pensée de Dieu.
Mais il donne aussi la réponse.
Au milieu de l'assemblée, je chanterai tes louanges.
C'est beau de voir ici le Seigneur au centre de l'assemblée.
On parlait de cela déjà.
Et il nous représente auprès de Dieu.
Il nous introduit dans la présence de Dieu.
Et dans Hébreu 10, nous verrons comment il est même le chemin pour entrer dans la gloire, dans la présence de Dieu.
Ensuite,
on a parlé de la dépendance du Seigneur Jésus au verset 13.
Et j'aimerais maintenant dire aussi comment c'est vraiment important pour nous d'être dépendants de Dieu.
On a la tendance naturelle de mettre notre confiance en Dieu.
C'est la tendance naturelle.
Dans les proverbes, il a dit, confie-toi de tout ton cœur à l'Éternel.
Et ne t'appuie pas sur ton intelligence.
Dans toutes tes voies, connais-le.
Et il dirigera tes sentiers.
C'est la dépendance.
Le Seigneur est notre exemple.
Il a mis sa confiance en Dieu.
Maintenant, c'est à nous de faire cette règle.
Je me confierai en lui.
Le Seigneur est notre modèle.
Ensuite,
il est aussi,
par rapport au témoignage de Dieu.
Voici, moi et les enfants que Dieu m'a donnés.
C'est une citation d'Isaïe 8.
On n'a pas le temps de lire maintenant.
Dans Isaïe 8, nous voyons le résultat fidèle
passant à travers la grande tribulation.
Et même là, il y aura un témoignage pour Dieu.
Mais ce sera par l'identification avec le Messie.
Et Isaïe, là, est l'exemple du Messie.
Isaïe, elle a un type, un exemple, une illustration du Messie.
Ces deux enfants, Chéa-Yashou,
et l'autre nom, le nom difficile, Chéa-Maha-Chazal,
quelque chose de même,
ces deux enfants étaient dans un témoignage.
Maintenant, l'application pour nous pratique.
Aujourd'hui, nous sommes un témoignage.
Dieu nous a ramenés, Chéa-Yashou.
Dieu nous place sur la terre comme un témoignage.
Et là, le Seigneur est identifié avec nous.
Donc, il y a aussi beaucoup de leçons pratiques dans ce chapitre.
Et j'aimerais quand même mentionner cela aussi.
Chaque page de la Bible nous donne toujours des leçons pratiques.
L'autre point, encore, que j'aimerais souligner, c'est celle
Il ne prend pas les ans, mais il prend la semaine d'Abraham.
Est-ce que quelqu'un ici était déjà en train de se noyer une fois?
Je ne sais pas. Peut-être.
Je connais un père, il a crié à Dieu lorsqu'il était en train de se noyer,
puis Dieu l'a sauvé physiquement, mais plus tard.
Puis aussi spirituellement, c'est beau de savoir ça.
Maître à mon point, il nous prend,
il nous tend la main, il nous donne la main.
Il prend la semaine d'Abraham.
C'est ça, la compassion de Dieu.
Il a eu compassion de nous, il nous a étendu sa main.
Et par la grâce de Dieu, nous avons pris cette main.
C'est notre réponse.
Mais c'est beau de voir comment Dieu s'identifie avec ceux qui mettent leur confiance en Dieu.
Il nous éteint sa main, il veut nous prendre sa main.
C'est une pensée à suivre, comment nous pouvons marcher avec Dieu.
Donc on va revenir à ce point du sacrificateur.
Le Seigneur, je mentionne maintenant, le Seigneur est plus grand qu'avant.
On a mentionné l'apôtre, c'est Moïse.
On verra plus tard, chapitre 3.
Le Seigneur est plus grand que Moïse, ce grand Moïse.
Il est aussi plus grand qu'avant, le souverain sacrificateur.
Il y avait un point, ça me choque, j'espère que ça va revenir.
Mais juste ce point maintenant, à la fin du verset 17.
Dans les choses qui concernent Dieu.
Dans les choses qui concernent Dieu.
Cet épître nous parle du travail du Seigneur Jésus, de son œuvre, de tout ce qu'il fait, de tout ce qu'il est, par rapport aux êtres de Dieu.
Dans les choses qui concernent Dieu.
Et j'aimerais poser une question à nous.
Est-ce que les êtres de Dieu nous sont à cœur ?
Est-ce que nous avons à cœur les êtres de Dieu ?
Juste cette question là.
Est-ce que nous avons à cœur les êtres de Dieu ?
C'est juste une application que j'ai faite ici.
Mais le Seigneur Jésus avait toujours à cœur d'abord les êtres de Dieu.
Il a pensé à nous aussi.
Mais lorsqu'il a pensé à nous, même là, il avait d'abord à cœur les êtres de Dieu.
L'autre point que j'avais, ça ne revient pas à ma mémoire.
Mais si vous avez des questions, peut-être que ça va revenir.
J'ai dit qu'on a eu beaucoup de points, c'est beaucoup de matière.
Mais c'est comme une introduction, plus ou moins, à toute étude.
C'est parce que beaucoup de détails qui sont juste indiqués ici, vont être développés plus tard.
Donc si vous n'avez pas tout compris maintenant, il ne faut pas s'inquiéter.
On va revenir à plusieurs points, si le Seigneur le permet, plus tard.
Par exemple, cette question du sacrifice.
Sacrificateur. Mais je ne voulais pas élaborer maintenant, mais je reviens à ça la prochaine fois que je vous parle.
C'est quoi un sacrificateur, c'est ce qu'il y a.
Donc si vous avez encore des questions, des remarques, des choses à ajouter.
Ce chapitre serait bon, même cette vie, ces huit versets, neuf versets qu'on a mis, ce serait bon pour une conférence.
Et même une journée ne serait pas suffisante.
Donc, une heure quand même maintenant, ce n'est pas suffisant pour couvrir tous ces versets.
Mais j'ai juste donné quelques points comme référence, comme introduction. …
Transcription automatique:
…
L'Épique aux Hébreux, chapitre 3
C'est pourquoi Frère Saint, participant à l'appel céleste, considérait l'Apôtre et le Souverain Sacrificateur de notre Confession, Jésus,
qui est fidèle à celui qui l'a établi, comme Maurice aussi l'a été dans toute sa maison.
Castrilla a été jugé digne d'une loi d'autant plus grande que celle de Maurice, que celui qui a bâti la maison a plus d'honneur que la maison.
Car toute maison est bâtie par quelqu'un, mais celui qui a bâti toute chose est Dieu.
Et Maurice a bien été fidèle dans toute sa maison, comme saluteur, en témoignant des choses qui devaient être dites, mais Christ, comme Fils, subit sa maison.
Et nous sommes sa maison, si du moins nous retenons ferme, jusqu'au bout, la confiance et la gloire de l'espérance.
C'est pourquoi, comme dit l'Esprit Saint, aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos coeurs, comme dans l'Irritation ou dans la Tentation d'un bébère,
où vos pères m'ont tenté en m'éprouvant et ont vu mes œuvres durant quarante ans.
C'est pourquoi j'ai été indigné contre cette génération, j'ai dit qu'ils s'égarent toujours dans leur cœur, ils n'ont point connu mes vœux.
Ainsi j'ai juré dans ma colère, six ans dans mon repos.
Prenez garde, frères, qu'il n'y ait en quelqu'un de vous un méchant cœur d'incrédulité, parce qu'il abandonne le Dieu vivant.
Mais exhortez-vous l'un l'autre chaque jour, aussi longtemps qu'il est dit, aujourd'hui, afin qu'aucun d'entre vous ne s'endulcisse par la séduction du péché.
Car nous sommes devenus les compagnons du Christ, si du moins nous retenons ferme jusqu'au bout le commencement de notre assurance.
Selon qu'il est dit, aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos cœurs pendant l'irritation.
Car qui sont ceux qui l'ayant entendu l'irriter, mais est-ce que ce ne furent pas tous ceux qui sont sortis d'Egypte par Moïse,
et contre lesquels fut-il imbigné durant quarante ans?
N'est-ce pas contre ceux qui ont péché et dont les corps sont tombés dans le désert?
Et auquel jura-t-il qu'il n'entre pas dans son repos, sinon à ceux qui ont désobéi?
Et nous voyons qu'il n'y furent entrer à cause de l'incrédulité.
Le début du chapitre, je veux aller un peu lentement.
La deuxième partie un peu plus vite parce qu'on va revenir à ça quand même dans le contexte du chapitre 4 pour la prochaine fois.
On a vu donc dans Hébreu 1er chapitre la grandeur du Seigneur Jésus. Il est Dieu béni sur toutes choses.
On a vu dans Hébreu 2 aussi la grandeur du Seigneur Jésus comme fils de l'homme.
Et la dernière fois, nous avons parlé de cette relation que nous avons avec le Seigneur Jésus, donc des liens précieux entre lui et nous.
Et on pourrait dire la conclusion de tout cela, c'est une première conclusion, on verra plusieurs conclusions dans ce chapitre.
C'est pourquoi c'est comme une conclusion de ces deux chapitres.
Frère, Saint, Participant, à l'appel céleste, considéré, l'apôtre et le souverain sacrificateur de notre conversion.
D'abord ce mot frère. Verset 14, nous avons vu que nous sommes devenus les compagnons du Christ.
Donc il y a un lien très intime, comme nous avons exprimé aussi dans notre cantique, entre lui dans la gloire et nous sur la terre.
Mais ici, l'auteur s'adresse aux croyants immédiatement. Dans ce temps-là, les croyants à Jérusalem, et il les appelle frères saints.
Tous les juifs étaient ses frères, selon la chaîne, comme il l'explique aussi dans Romain 9 par exemple, mais ils n'étaient pas tous des frères saints.
Donc il s'adresse ici aux croyants parmi ces chrétiens dévoués.
On verra cela plusieurs fois dans cet épître, que d'un côté il s'adresse à tout le peuple, d'un autre côté il s'adresse aux vrais croyants parmi eux.
Nous avons déjà noté une fois que la sainteté est vraiment le sujet central dans cet épître.
Donc pour avoir rapport avec Dieu, pour avoir la communion avec Dieu, ça prend la sainteté.
Et nous avons vu, chapitre 2 déjà, que c'était au verset 1, car et celui qui saintifie et ceux qui sont saintifiés sont tous d'un.
Nous avons vu la même origine, tout vient de Dieu. Nous avons vu que Christ nous a saintifiés, et nous les croyants sont ceux qui sont saintifiés.
Et ainsi nous sommes aussi des frères saints par la grâce de Dieu.
La deuxième expression, participant, qu'on a ici,
c'est vraiment le, je pense que c'est le même mot qu'on a au verset 14, je vais juste vérifier, c'est le même mot,
donc c'est associer, participant par association.
Nous avons vu cela la première fois, au premier chapitre, que Christ a été oint au-dessus de ses compagnons.
Là on a trouvé ce même mot la première fois.
Donc 1 verset 9, Dieu t'a oint d'une huile de joie au-dessus de tes compagnons.
Et c'est très beau de voir ça. Le Seigneur Jésus, on l'a dit, il est Dieu lui-même, mais il est aussi vu comme homme.
Et Dieu l'a oint au-dessus de ses compagnons.
Nous avons vu ces liens entre lui et nous la dernière fois.
Et c'est vraiment une expression très précieuse d'être, une position très précieuse d'être des compagnons du Seigneur Jésus.
Donc il a quelque chose à partager avec nous et nous sommes associés à lui.
Il a toujours la première place, évidemment, au-dessus de ses compagnons.
Et l'emphase dans cet épître est toujours sur lui.
Lui a été oint.
Si nous pouvons jouir dans cette fonction, c'est la grâce de Dieu, mais l'emphase est toujours sur lui.
Et ainsi, au chapitre 3, toute l'emphase est encore sur lui.
Nous sommes participants, mais ainsi, nous sommes associés à lui, mais toute l'emphase est sur la personne du Seigneur.
Notre attention est demandée pour lui.
Et on retrouve ce mot associé ou participant plusieurs fois dans cet épître.
C'est un mot différent avec communion.
La communion qu'on trouve souvent dans les épisodes de Paul, et dans Jean aussi, est encore plus intime.
Mais quand même, c'est très, très spécial d'avoir une part avec le Seigneur Jésus, être son associé.
Maintenant, l'appel considéré.
Considéré.
L'apôtre est le souverain sacrificateur.
Avant qu'on parle de cela, dans quelle façon nous sommes participants?
Dans quelle façon nous sommes associés?
A l'appel céleste.
Ça vaut la peine de méditer là-dessus.
L'appel de Dieu.
Dieu nous a appelés.
Vous voyez?
Et ainsi, nous voyons dans la Bible, son appel.
Dans 2 Pierre 1, son appel.
Il nous a appelés.
C'est son appel.
Il nous a appelés à la gloire.
Nous sommes en route pour la gloire.
Il nous a appelés aussi par gloire.
Comme il l'a fait avec Abraham.
Abraham a vu la gloire de Dieu.
Le Dieu de gloire.
Et par cette gloire, Abraham a été attiré pour abandonner l'idolâtrie du pays.
Et pour suivre les instructions de Dieu.
Attiré par sa gloire.
Et ainsi, Dieu nous a appelés de la même façon.
Il nous attire la personne du Seigneur Jésus pour sortir de ce monde.
Et pour suivre le Seigneur Jésus.
Quel appel?
C'est un appel irrésistible qu'on voit avec soldats.
Un appel qui ne pouvait pas résister.
Dieu et le Seigneur Jésus dans la gloire l'a appelé.
Il l'a écouté et suivi.
Donc c'est son appel.
C'est aussi appelé un appel saint.
Ou un saint appel.
Saint appel.
On parlait de la sainteté tantôt.
C'est une expression qu'on trouve dans 2 Timothée 1.
Un saint appel.
Dieu nous a mis à part.
En nous appelant.
Il nous a mis à part.
Un saint appel.
C'est aussi un appel d'en haut.
C'est Philippiens 3.
Un appel qui vient d'en haut.
D'une source tout à fait différente.
Ce n'est pas un appel de quelqu'un ici sur la terre.
C'est un appel qui vient d'une autre source.
D'en haut.
C'est la même expression qu'on trouve avec la nouvelle naissance.
La nouvelle naissance veut dire être né d'une nouvelle source.
Littéralement.
Né d'en haut.
Une nouvelle source.
Et ainsi, Dieu par sa grâce nous a fait naître de nouveau.
Une nouvelle source.
Et ainsi, il nous a appelé aussi.
De l'appel d'en haut.
Et ici, nous avons cet appel céleste.
Céleste.
Il y a beaucoup d'emphases sur cela dans cet Épitre.
Souvent, ce mot revient.
Céleste.
C'est l'Épitre 6. On verra.
C'est l'Épitre 11. La cité céleste.
Plusieurs fois.
Et puis, c'est beau de voir dans Jean 3.
Je mentionnerai tantôt Jean 3.
Le Seigneur a dû parler à Nicodème.
Il a nécessité la nouvelle naissance.
Et dans ce chapitre, il parle aussi des choses célestes.
Des bénédictions.
Des choses célestes.
Et le Seigneur est venu donc pour partager ses bénédictions célestes avec nous.
Il est venu du ciel pour pouvoir partager avec nous ses bénédictions célestes.
Et ainsi, on pourrait dire, le ministère de Paul est vraiment marqué par cet appel céleste qu'on voit dans l'Acte.
Dans le livre des Actes.
Plusieurs fois.
Maintenant, cet appel considéré.
Ici, c'est un appel qui s'adresse à notre intelligence spirituelle.
C'est, comment j'expliquerai ça, lié.
En anglais, on dit «mind».
C'est la façon dans laquelle on pense.
C'est notre mentalité.
Et ainsi, tout notre être est vraiment appelé à considérer l'apôtre et le souverain sacrificeur de notre confession.
Plus tard dans cet épître, on verra d'autres verbes qui nous appellent aussi à considérer le Seigneur Jésus.
Mais d'une autre façon.
L'emphase est quelquefois sur le cœur, quelquefois ici sur la façon dans laquelle nous pensons.
Est-ce que le Seigneur Jésus a une telle place dans nos vies qu'il nous impressionne de cette façon-là, comme l'auteur de cet épître veut ici.
Donc, considérer, considère l'apôtre.
En considérant l'apôtre et le souverain sacrificeur, qu'est-ce qu'on va faire ?
On va lâcher tout.
Toutes les autres choses.
Toutes les autres influences.
C'est ça le but de cet épître.
L'auteur voulait que ces juifs chrétiens laissent tomber le judaïsme, laissent tomber une religion terrestre,
laissent tomber ce que l'homme avait fait pour seulement être attaché à la personne du Seigneur Jésus.
Et il est mentionné sous deux points de vue.
Comme apôtre et comme souverain sacrificeur.
Ça c'est important à comprendre.
Ça résume un peu la première partie de l'épître.
Comme apôtre, il révèle les pensées de Dieu.
Comme Moïse, on verra tantôt aussi en parallèle avec Moïse, comme Moïse était l'apôtre de la part de Dieu.
L'apôtre veut dire envoyé.
Dieu avait envoyé Moïse pour faire sortir son peuple de l'Égypte.
Et ainsi le Seigneur Jésus est le grand Moïse, le grand apôtre envoyé de la part de Dieu pour faire sortir son peuple du judaïsme dans ce contexte,
pour les diriger à travers le désert.
Le grand apôtre.
Et l'apôtre va ensemble avec la parole.
La prochaine fois, Dieu voulant, à la fin du chapitre 4, nous verrons l'importance de la parole de Dieu.
Verset 12, 13.
Et nous avons vu au premier chapitre déjà aussi comment le Seigneur Jésus et la parole de Dieu vont ensemble.
L'apôtre qui annonce, qui enseigne.
Et si je ne me trompe pas, on a mentionné aussi le parallèle avec le tabernacle.
Dans le tabernacle, nous voyons d'abord comment Dieu sort.
Exode 25, 26, 27.
Il sort du lieu saint pour rencontrer le peuple autour de l'autel.
Ensuite, le souverain sacrificateur est nécessaire pour faire entrer le peuple dans la présence de Dieu.
Et ainsi, on voit dans l'exode 28, 29, le souverain sacrificateur qui entre.
Dans l'égyptique 16, nous voyons que seulement une fois par année, il entre dans la présence immédiate de Dieu.
Dans le lieu très saint, le souverain sacrificateur.
Et le souverain sacrificateur, donc, fait entrer le peuple, ou les croyants, dans la présence de Dieu.
Le souverain sacrificateur soutient le peuple dans la présence de Dieu.
Maintenant, je veux revenir à une chose qu'on a vue la dernière fois, au chapitre 2, verset 17.
Où nous avons lu, c'est pourquoi il dut en toute chose être rendu semblable à ses frères,
afin qu'il fût un miséricordieux et fidèle souverain sacrificateur dans les choses qui concernent Dieu,
pour faire propitiation pour les péchés du peuple.
Vous voyez, on a vu cela, le Seigneur, dans sa miséricorde, il prend soin du peuple dans leur misère.
Mais, tout en maintenant les droits de Dieu, il est fidèle, fidèle à Dieu, fidèle aussi au peuple de Dieu.
Mais ici, nous voyons le travail du Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur une fois pour toutes.
L'oeuvre de la propitiation.
Vous savez, plus tard dans ce livre, on verra que le Seigneur Jésus était de la tribu du Judas.
Il n'était pas d'une tribu attachée à la sacricature.
La sacricature était seulement pour la tribu de Lévis, seulement une maison, la maison d'Avon.
Et ainsi, le Seigneur Jésus n'était pas littéralement, dans sa vie, un sacrificateur sur la terre.
Sauf, à la fin, par rapport à l'oeuvre de la croix, par rapport à son sacrifice, là, il est devenu aussi sacrificateur.
On verra plus tard dans cet épitre 8 et 9 et 10, son sacrifice, son oeuvre.
Mais on a beaucoup de détails sur lui comme sacrificateur et la chose qu'il a fait sur la terre une fois pour toutes.
Il s'est donné en sacrifice une fois pour toutes.
Mais là, il était aussi le sacrificateur pour les intérêts de Dieu.
Un sacrificateur prend soin des intérêts de Dieu et en même temps des intérêts du peuple de Dieu.
Le sacrificateur fait les deux à la fois.
Il prend soin des intérêts de Dieu et il prend soin des intérêts du peuple.
Et le peuple avait besoin de la propitiation, le sacrificateur, comme nous avons vu au chapitre 2, verset 17.
C'était une fois pour toutes.
Et on verra d'autres détails plus tard et ça va ensemble avec ce qu'on a dans le livre de 17.
C'était donc pour les besoins du peuple par rapport à leurs péchés, la propitiation pour les péchés du peuple.
Est-ce que le Seigneur Jésus fait encore aujourd'hui un travail comme ça, dans la gloire, par rapport aux péchés du peuple ?
Non. On verra cela à la fin du chapitre 4.
Son service actuel n'a rien à faire avec des péchés.
Son service actuel a à faire avec des faiblesses pour soutenir le peuple de Dieu dans leur traversée du désert.
Un peuple marqué par la faiblesse, l'infirmité, a besoin d'être soutenu.
Et le Seigneur Jésus, comme souverain sacrificateur, fait cela.
C'est pour cela que s'appelle considérer l'apôtre qui nous fait connaître le pensée de Dieu
et le souverain sacrificateur qui veut nous soutenir dans la présence de Dieu, qui nous soutient pour traverser le désert.
Nous avons besoin de fixer nos regards sur lui.
Et ainsi on verra à la fin du chapitre 4 que nous pouvons venir avec confiance devant le trône de la grâce.
Avec nos demandes, avec nos requêtes, avec nos besoins.
Il va nous donner du secours. Il est au ciel. Il s'occupe de nous 24 heures par jour.
Il nous donne du support, du soutien qui vient du ciel.
Et là, devant le trône de la grâce, on vient avec des mains vives, avec nos requêtes, pour être remplis par l'humain.
Maintenant, le troisième aspect de son ministère, on verra plus tard dans cet épitre.
Le Seigneur est là aussi comme ministre du sanctuaire, chapitre 8.
Il est là pour prendre soin des intérêts de Dieu.
Donc, je répète, il prend soin de nous, de nos besoins, mais il est là aussi pour prendre soin des intérêts de Dieu.
Et là, on verra, il veut nous introduire comme un peuple dans la présence de Dieu, un peuple d'adorateurs qui vient avec des mains remplies pour adorer.
Et ça, c'est vraiment un aspect important de cet épitre qu'on verra plus tard, après chapitre 7.
Donc, résumer brièvement, le service du Seigneur Jésus comme sacrificateur, une fois sur la terre, par rapport à l'œuvre de la croix, les trois heures sombres, surtout, où il a accompli cette œuvre pour la propitiation des péchés du peuple.
Ensuite, son ministère présent dans la gloire pour prendre soin de nous, et c'est pour cela que nous devons considérer l'apôtre qui révèle les pensées de Dieu, et considérer le souverain sacrificateur, c'est la même personne.
Et ensuite, on verra, il est là aussi pour nous introduire dans la présence de Dieu.
Cela a été indiqué déjà au chapitre 2, verset 10, amenant plusieurs fils à la gloire.
Donc, présentement, le Seigneur nous soutient, il nous amène à travers le désert, il nous amène à la gloire.
Mais, de notre côté, par son esprit, il nous amène aussi à la gloire.
Présentement, par son esprit, nous pouvons, et par ce chemin vivant, comme on a dans le chapitre 10, verset 19, nous pouvons entrer dans la présence immédiate de Dieu.
C'est par son service qu'on peut faire ça.
Il amène plusieurs fils à la gloire. Dans ce sens, il le fait déjà maintenant.
Donc, comment nous avons besoin de considérer cet apôtre et souverain sacrificateur?
Dans l'Ancien Testament, ces deux ministères étaient remplis par deux personnes, Moïse et Aaron.
Le Seigneur Jésus, il a ces deux ministères, l'apôtre qui révèle les pensées de Dieu, et souverain sacrificateur, en une personne.
Comment il est grand.
Ensuite, le verset dit, de notre confession, nous sommes dans le désert.
Dans le ciel, on n'aura plus besoin de confesser.
La confession, ça va ensemble avec le témoignage.
Le témoignage dans le désert.
Et on verra plusieurs fois dans ce chapitre, comment le Seigneur nous soutient dans notre témoignage à travers ce désert.
Pour illustrer cela, le peuple d'Israël était là pour porter les vases, les ustensiles du tabernacle, sur leurs épaules, comme un témoignage pour la gloire de Dieu.
Et ainsi, l'arche était portée sur les épaules des sacrificateurs.
Et les autres choses étaient portées en témoignage.
Le témoignage, ça va ensemble avec la pensée de confession.
Maintenant, la fin du verset 1, et c'est le début du verset 2, Jésus.
Tout cela se résume dans un seul nom, Jésus.
N'est-ce pas merveilleux?
Nous trouvons dans cet épitre Jésus-Christ, peut-être aussi Christ-Jésus, mais on a 9 fois juste le nom Jésus.
Il n'y a pas d'autre épitre dans le Nouveau Testament qui donne ce nom aussi souvent que l'Épitre aux Églises.
Toute cette merveilleuse vérité qu'on a dans ce premier verset, et qu'on a vu déjà au premier chapitre, au deuxième chapitre, se résume et est vue dans une personne, Jésus.
Là, on pense à son humiliation, en même temps, on pense à son élivration, à son exaltation.
Celui qui s'est humilié a été élevé par Dieu.
L'homme de Jésus de Nazareth est aussi le Jésus qui a maintenant un nom au-dessus de tout.
C'est la même personne.
Quel bon nom! On chante quelques fois, quel bon nom!
Et là, il est ajouté au verset 2, qui est fidèle, qui peut se comparer avec le Seigneur Jésus dans sa fidélité.
On a vu, il a un service, il a eu un service sur la terre, par rapport à la question du péché, il a accompli ce service dans sa fidélité.
On aura plus de détails plus tard, chapitre 9, 10.
Quelle fidélité! Lorsqu'on contemple le Seigneur Jésus dans sa marche sur la terre, on est frappé par sa fidélité.
On a vu ce mot aussi au chapitre 2, verset 17.
Miséricordé et fidèle, souverain, sacrificateur.
Cette fidélité est par rapport à une personne, c'est-à-dire par rapport à Dieu, fidèle à celui qui l'a établi.
Dieu l'a établi, Dieu l'a appointé, pour ainsi dire, comme apôtre et souverain, sacrificateur.
Et ainsi, il a une grande responsabilité, le Seigneur Jésus comme apôtre et souverain, sacrificateur, a une grande responsabilité, mais il est fidèle.
Il répond à l'attente de Dieu, il n'a pas décidé Dieu, pour ainsi dire.
Dieu a été pleinement satisfait par le service du Seigneur Jésus sur la terre.
Et ainsi, Dieu est maintenant pleinement satisfait lorsqu'il voit le Seigneur Jésus comme apôtre et souverain, sacrificateur, dans le ciel, parce qu'il est dans le ciel maintenant.
On a vu, c'est le verset clé de cet épitre, 2, nous voyons Jésus.
Où ? Sur la terre ? Non, dans le ciel.
Et là, il est encore ici, chapitre 3, verset 2, dans le ciel.
Et là, il est aussi fidèle dans son service.
Et là, l'auteur compare le Seigneur Jésus avec Moïse.
Mais avant que je parle, je voudrais juste mentionner, comme un sujet d'étude, la fidélité de Dieu.
Ça m'a frappé aussi de voir la fidélité de Dieu.
Lorsque le peuple traverse le désert, on voit un Dieu qui est fidèle.
Un chrétien voit le peuple de Dieu comme témoignage, pour ne pas détendre tout du témoignage, comme témoignage dans le désert, et on voit la fidélité de Dieu.
Dieu est fidèle, qui vous a appelé à la communion de son Fils Jésus-Christ.
Dieu est fidèle, dans le chapitre 10, lorsque le peuple manque, Dieu reste fidèle.
Et ainsi, la fidélité de Dieu tourne à travers le Nouveau Testament.
Et Dieu aime voir une réponse à nos vies, une réponse à fidélité envers nous.
Donc, revenons à Moïse, maintenant.
Moïse est une illustration du Seigneur Jésus, comme apôtre, on a mentionné cela.
Il y a donc des parallèles, parallèles, entre Moïse et le Seigneur Jésus.
Comme Moïse et le Seigneur Jésus.
Le mot « comme » souligne cela.
Comme Moïse, où il a été.
En même temps, il y a des contrastes.
Ça, c'est une clé pour comprendre cet Épître.
L'Épître trace des parallèles avec l'Ancien Testament, en même temps, montre des contrastes évidents.
Ça, c'est une clé à comprendre cet Épître.
Les parallèles, d'un côté, une illustration de l'Ancien Testament, l'âge, ou le sacrifice, ou une personne comme Moïse.
En même temps, les contrastes évidents.
Quels sont les contrastes ?
Vous voyez, Moïse était fidèle, et ainsi le Seigneur Jésus a été fidèle, et il est fidèle maintenant dans son service à la gloire.
Mais Moïse était d'un, toute la maison.
C'est une référence à la tabernacle, ici.
Vous voyez, cette gloire, car celui-là a été jugé digne d'une gloire d'autant plus grande que celle de Moïse,
que celui qui a bâti la maison a plus d'honneur que la maison.
Donc, ici, nous voyons, Dieu est vraiment l'architecte.
Dieu est le constructeur du tabernacle.
Et ainsi, Dieu avait une plus grande gloire que Moïse, qui était fidèle dans la maison.
Et ainsi, le Seigneur Jésus, il est Dieu lui-même, donc il est plus grand que Moïse.
C'est le premier contraste.
Et ça s'est résumé en verset 4, ou verset 4, car toute maison est bâtie par quelqu'un, mais celui qui a bâti toute chose est Dieu.
Dieu est le créateur.
Et ainsi, le tabernacle est aussi une image de la création, la terre, les cieux et le lieu où Dieu habite.
Mais, le tabernacle parle aussi de l'habitation de Dieu.
Comme c'est un thème important dans le Nouveau Testament, l'habitation de Dieu, ou la maison de Dieu, je pense que ce serait aussi un sujet d'étude en soi.
Mais je donne quelques versets.
Intimité 3 nous parle de l'ordre de la maison de Dieu.
Dieu veut que la maison soit en ordre.
Nous voyons ici, dans le passage qu'on a lu, deux aspects dans lesquels nous avons affaire avec la maison.
Je veux attendre juste le deuxième contraste.
Moïse a été fidèle dans toute sa maison, comme serviteur.
C'est le deuxième contraste.
Parallèle, fidèle.
Contraste.
Moïse, serviteur.
Christ, fils.
Verset 6.
Deuxième contraste.
Le Seigneur ouvre sur la maison.
Premier contraste.
Tandis que Moïse, dans la maison.
Deuxième contraste.
Moïse, serviteur.
Serviteur.
Tandis que Christ, fils.
Sur sa maison.
Maintenant, je vais revenir à ces pensées-là.
Qu'est-ce que nous avons à faire avec la maison?
Nous sommes sa maison.
Vous voyez? C'est beau de voir ça.
C'est un autre exemple du lien intime entre le Seigneur et nous.
On a parlé de sept liens la dernière fois, dans le chapitre 2.
Sept liens entre Christ et nous.
Ici, nous avons un lien intime.
Christ est fils.
Sur la maison du Dieu.
Ça souligne son autorité. Il est l'apôtre.
Ça souligne son service.
Il est le souverain salvitateur.
Et il a autorité sur la maison du Dieu.
Mais nous sommes sa maison.
Maintenant, de deux façons.
Comme une maison est construite.
Des pierres ou des matériaux.
Les croyants forment ensemble les matériaux de la maison.
Les pierres de la maison, pour ainsi dire.
Mais, dans un autre sens, les croyants sont aussi la compagnie.
Les personnes qui habitent dans la maison.
Et dans ce sens-là, nous sommes la maison d'Aaron.
Aaron, dans l'Ancien Testament, est souvent mentionné avec sa maison.
Aaron et sa maison.
Et ainsi, le Seigneur Jésus, le vrai souverain salvitateur, est mentionné avec sa maison.
C'est nous, c'est les croyants, sa maison.
Donc, dans ces deux sens, nous sommes sa maison.
On voit cela aussi dans 1 Pierre 2.
Le Seigneur, la pierre vivante.
Nous sommes des pierres vivantes.
Le lien avec lui.
En même temps, nous habitons dans cette maison vivante.
Une compagnie d'adorateurs qui habitent dans cette maison.
C'est beau de voir ça.
Mais tout cela est maintenant lié, pour lui, à notre responsabilité.
Si, du moins, nous retenons ferme, jusqu'au bout, la confiance et la gloire de l'Espérance.
On parlait tantôt de notre confession.
La confession, c'est quelque chose de notre responsabilité.
Le témoignage.
Et ainsi, l'auteur dit ici, si nous retenons ferme.
Parce qu'on traverse le désert, il faut endurer beaucoup de choses.
Beaucoup de tentations.
On va revenir aux tentations au chapitre 4 et même à la fin du chapitre 3.
Beaucoup de combats.
Il faut que nous fermions.
Il faut fixer notre regard sur lui, comme on verra au chapitre 12.
Le chef et le consommateur de la foi, nous devons retenir ferme jusqu'au bout.
Il y a une tendance, on se fatigue, on laisse faire, on laisse tomber les choses.
On doit continuer.
Et on verra, au chapitre 4, l'aide que le Seigneur nous donne pour pouvoir continuer.
Il nous donne de l'aide.
A nous-mêmes, on n'a pas la force.
Il nous donne la force.
Mais nous avons la responsabilité de retenir ferme jusqu'au bout.
C'est notre responsabilité.
En même temps, on réalise, nous ne pouvons pas retenir ferme jusqu'au bout sans son aide.
Il est aussi mentionné par rapport à l'espérance.
C'est l'espérance chrétienne.
Nous sommes en route.
D'un côté, nous avons libre accès, et on verra cela au chapitre 10.
On a libre accès là où le Seigneur Jésus est maintenant, par la foi.
De notre côté, on est en route.
Et voilà l'élément de l'espérance.
Maintenant, je veux dire quelque chose sur la deuxième partie de ce chapitre.
On a vu donc que, ici, c'est comme un résumé, verset 1 à 6.
C'est comme un résumé de la gloire du Seigneur Jésus, de son service aussi, comme apôtre et comme sacrificateur.
Et l'auteur va revenir à ces détails plus tard.
Mais, pour l'instant, ça suffit.
Nous avons été encouragés, fixés nos regards sur lui, considérés l'apôtre et le souverain sacrificateur.
Et maintenant, l'auteur donne plus de détails sur ce dernier point, pour retenir ferme.
Je vais juste vérifier.
Le mot « retenir ferme » revient plusieurs fois dans cet épitre et aussi dans d'autres passages du Nouveau Testament.
C'est vraiment un défi pour le croyant de garder les choses que Dieu vous a confiées.
Retenir ferme.
Et ici, dans le contexte du voyage à travers le désert et les dangers du désert, comme on verra dans la deuxième partie du chapitre.
Et c'est une parenthèse, et je mentionne cela juste pour votre compréhension de cet épitre.
Il y a cinq passages qui soulignent beaucoup notre responsabilité.
Et chaque fois que l'auteur s'interrompt pour agresser notre responsabilité, ça devient de plus en plus sérieux.
La première parenthèse qu'on a vue, c'était au début du chapitre 2.
C'est pourquoi nous devons porter une plus grande attention aux choses que nous avons entendues, de peur que nous ne nous écartions.
Voyez, c'est la première fois que l'auteur a adressé la question de notre responsabilité.
Maintenant, au chapitre 3, verset 7, il adresse à nouveau notre responsabilité.
Et ce passage continue jusqu'au 4, verset 11.
Et on verra que ce passage se divise en trois parties.
Ce soir, on parle seulement de la première partie de cette parenthèse.
Une parenthèse, c'est donc une partie de la parole où l'auteur s'interrompt.
Il continue à parler de la gloire du Seigneur Jésus et de son service.
Mais il s'interrompt maintenant pour adresser la question de notre responsabilité, de la responsabilité du peuple, des croyants, à ce moment-là.
Et si nous disons notre responsabilité, c'est parce que nous appliquons ces choses pratiquement nous-mêmes.
Nous sommes maintenant responsables, le peuple est responsable.
C'est pourquoi, verset 7, comme dit l'Esprit Saint.
Chapitre 4, verset 7, dit que c'était David.
David a parlé, le psaume 95, mais c'est l'Esprit Saint qui a parlé à travers David.
C'est beau de voir ça.
Aujourd'hui.
Aujourd'hui, c'est un mot important dans nos espoirs.
Dieu parle toujours dans ce terme-là, aujourd'hui.
C'est aujourd'hui le jour du salut.
C'est aujourd'hui qu'on doit obéir.
C'est aujourd'hui qu'on doit entendre sa voix, comme croyant.
C'est une belle expression, entendre sa voix.
Entendez sa voix.
Sa voix qui nous parle avec puissance.
On a parlé de l'appel céleste.
Sa voix qui nous dirige, qui veut nous nourrir.
C'est une belle expression des soins de Dieu envers son peuple.
Mais nous devons entendre.
Dieu prend soin de son peuple, sa voix.
Mais nous devons entendre.
Et ainsi, l'appel, n'endurcissez pas vos coeurs.
La déviation commence dans le cœur.
Pourquoi?
Salomon a dit garder votre cœur plus que tout ce que l'on garde.
Car de lui sont les issues de la Proverbe 4, verset 23.
Et c'est donc tout important de garder le cœur dans un bon état.
Ici, nous voyons que le peuple n'a pas gardé le cœur dans un bon état.
Ils se sont endurcis.
Je vais donner trois exemples.
L'auteur réfère à trois exemples ici.
D'abord, Massa et Mériva, la tentation, la provocation.
Ensuite, ils l'ont refusé, ils l'ont demandé de l'eau, ils l'ont tenté Dieu.
C'est Massa et Mériva, dans l'Exode 17.
Mais dans l'Ombre, c'est encore revenu, dans l'Ombre 20.
La deuxième fois, un autre test, c'est par rapport au pays.
Ils étaient en route pour le pays promis.
Ils l'ont refusé d'y aller.
Ils l'ont méprisé, le pays désirable.
Ils l'ont méprisé.
Et la prochaine fois, par rapport au chapitre 4, nous verrons David, que Dieu a appelé encore une autre fois, David, le roi selon le cœur de Dieu.
Ils l'ont rejeté, le roi selon le cœur de Dieu.
Et ainsi, nous voyons tout le temps que le peuple rejette les pensées de Dieu.
C'est un peu comme Étienne.
Si vous voulez lire le discours d'Étienne dans Acte 7.
Acte 7 est vraiment un merveilleux chapitre, mais très solennel.
Parce qu'Étienne montre comment le peuple s'est endurci tout le temps.
En Égypte, dans le désert, dans le pays et sous le ministère du Sénégal.
Tout le temps, ils se sont endurcis.
Nous ne sommes pas meilleurs en nous-mêmes.
Ce serait notre tendance aussi de nous endurcir, de provoquer et de tenter Dieu.
Ces péchés, je vais résumer tantôt dix points.
Ces péchés nous caractérisent facilement.
C'est pour cela que nous devons apprendre ces leçons-là.
Pour qu'on se tienne tout près du Seigneur Jésus.
Pour qu'on se fixe nos regards vraiment sur lui.
Pour ne pas tomber dans de telles pièges.
Donc, ils ont tenté Dieu, ils ont éprouvé Dieu, verset 9.
Ensuite, verset 10, ils s'égarent toujours dans leur cœur.
De nouveau le cœur.
Ils n'ont point connu mes voix.
Dans un des psaumes, le psaume 103, il est dit que Dieu a fait connaître ses voix à Moïse.
Parce que Moïse a compris les voix de Dieu.
Mais le peuple a seulement vu les actes de Dieu.
Ils n'ont pas connu vraiment ses voix.
Les voix de discipline et de gouvernement.
Et Dieu veut que nous connaissions ses voix.
Que nous puissions nous soumettre à sa discipline, à son gouvernement.
Et qu'on ne s'endurcisse pas.
Et l'auteur applique cela au croyant, verset 12.
Prenez garde, Prêtre.
Prenez garde.
C'est un appel prêt.
C'est un appel prêt.
Prenez garde.
C'est un appel prêt, direct, à nous aussi.
Prenez garde.
Ensuite, qu'il n'y ait en quelqu'un de vous un méchant corps.
Donc il résume l'histoire d'Israël.
Maintenant il dit, mais quant à vous, soyez attentifs.
Qu'il n'y ait en quelqu'un de vous un méchant corps.
D'incrédulité.
Il y a deux mots clés.
L'incrédulité, au verset 12.
Il s'est répété au verset 19.
Et la désobéissance, au verset 18.
Maintenant, je voulais juste oublier cette expression.
Le méchant corps d'incrédulité, parce qu'il abandonne le Dieu vivant.
Abandonne le Dieu vivant.
Si je ne me trompe pas, on a quinze fois le Dieu vivant dans l'Ancien Testament.
Quinze fois le Dieu vivant dans le Nouveau Testament.
C'est pratiquement le même.
Le Dieu vivant.
Il s'est révélé à ce peuple, même dans le désert, où la mort régnait.
Dieu s'est fait connaître comme le Dieu vivant.
Et dans le Nouveau Testament, nous connaissons le Dieu vivant.
Le premier verset, où le Seigneur Jésus parle de son Église, de son Assemblée.
Il parle du Dieu vivant.
Matthieu 16.
Matthieu 16, verset 16.
Et ainsi, quinze fois dans le Nouveau Testament, le Dieu vivant.
Et notre espérance est donc dans ce Dieu vivant.
C'est ce Dieu vivant qui a ressuscité la mort, qui s'est révélé dans le Seigneur Jésus.
Le Dieu vivant est vrai.
Donc ce serait un autre sujet d'étude, le Dieu vivant.
Il mentionnait tantôt la fidélité de Dieu, qui serait tout un sujet d'étude.
Ici, le Dieu vivant est un autre sujet d'étude.
Verset 13.
Mais exhortez-vous.
C'est une belle expression.
Nous avons besoin d'être exhortés.
Mais le Verbe comme tel veut dire aussi, encouragez-vous.
Nous avons le privilège d'avoir le Saint-Esprit qui habite en nous.
Le Saint-Esprit est appelé le Consolateur.
C'est le même mot.
Il nous console, il nous exhorte, il nous encourage.
Le Seigneur dans la gloire, il est notre Consolateur, notre Avocat, notre Gendeur.
C'est le même mot.
Il prend soin de nous.
Nous avons le privilège d'être un instrument de bénédiction les uns pour les autres,
de nous encourager.
Comment nous avons besoin d'être encouragés?
Ça me frappe souvent.
Nous avons souvent besoin d'être encouragés.
Mais ici nous avons cette pensée-là,
que nous puissions être un encouragement les uns pour les autres.
Et cela, chaque jour.
Chaque jour.
On a besoin d'être encouragés chaque jour.
Aussi longtemps qu'il est dit, aujourd'hui.
Aussi longtemps qu'on soit dans le désert.
Afin qu'aucun d'entre vous ne s'indulcisse par la séduction du déchiré.
Ça c'est une pensée solennelle.
Cette séduction, toujours par rapport au vieil homme.
Mais si nous ne nous jugeons pas,
si nous ne marchons pas dans la lumière,
si nous ne nous encourageons pas,
nous avons aussi ce danger d'être pris par cette séduction du péché.
Comme ce sera le cas tantôt avec l'antéchrist, l'homme du péché.
Comme Paul avait dit dans Colossiens 2,
que les chrétiens ne se fassent pas dévier par cette séduction.
La philosophie émotionnelle, la forme de séduction.
Ephésiens 4 mentionne la séduction par rapport au vieil homme.
C'est un mot très fort.
Verset 14.
Quand nous sommes devenus les compagnons du Christ.
On a vu cela au premier verset.
Quel privilège nous avons d'être frères,
saints et participants à l'appel céleste.
Et ainsi nous sommes, c'est le même mot,
compagnons, associés à Christ.
Compagnons du Christ.
Qui est dans la gloire, nous sur la terre.
Quel lien précieux entre lui et nous.
De nouveau notre responsabilité.
Si du moins nous retenons ferme jusqu'au bout.
Cela m'a frappé souvent.
Nombre 25.
Juste à la fin du voyage dans le désert,
39ème année, nous sommes tombés devant les idoles de Baal Théon.
Toute une séduction.
Toute une histoire.
Et puis le chef était responsable aussi,
comme on voit dans nombre 25.
C'était à la fin.
Donc nous devons tenir ferme jusqu'au bout.
Qu'est-ce qu'on doit tenir ferme ?
Notre assurance.
C'est un mot qu'on va voir aussi dans le chapitre 11, verset 1.
Par rapport à la foi.
La foi donne l'assurance.
Mais ici le peuple était marqué par manque de foi.
Manque de foi.
Ils n'avaient pas d'assurance.
Ils étaient découragés.
Ils se sont rebellés.
Ils se sont endurcis.
Ils se sont irrités.
Je voulais juste résumer ces expressions-là.
Ils se sont endurcis.
Cela revient souvent.
Ils l'ont provoqué d'eux.
On l'a vu aussi dans le verset 8.
C'est encore au verset 15.
L'irritation.
C'est un mot semblable.
Provocation.
Irritation.
Ensuite, ils l'ont tenté Dieu.
Ils l'ont essayé Dieu.
C'est très grave.
Ils l'ont mis à l'épreuve.
Verset 9.
Ils l'ont été...
Ils se sont égarés.
Verset 10.
Donc, manque de connaissance.
C'est pour ça que je dis,
ils n'ont pas vraiment compris les voies de Dieu.
Ils ont seulement vu ses actes.
Tandis qu'ils ont connu les voies de Dieu.
Ils étaient ignorants.
Verset 10.
Ils n'ont pas connu mes voies.
Verset...
18.
Je l'ai mentionné aussi un peu avant, je pense.
Cette incrédulité.
On l'a vu deux fois.
Incrédulité.
On va revenir à ça au chapitre 4 aussi.
Par incrédulité, ils l'ont rejeté, ce pays promis.
Ils ne voulaient pas rentrer.
Par incrédulité.
Il y a même pas parlé de déissance aussi.
Verset 12.
Nous avons un autre mot.
Abandonner.
C'est très grave.
Abandonner.
Et on a parlé au verset 13 de la séduction.
Du péché.
Et finalement, à la fin du chapitre, verset 18, la déjeuner.
Donc, ce sont des dangers qui nous guettent aussi.
Notre responsabilité est grave.
Je passe à Esaïe 6.
Esaïe a vu la sainteté de Dieu.
Trois fois saint.
Saint, saint, saint.
On revient ensemble à l'archéologie.
Et dans le même chapitre, Dieu a dû renvoyer Esaïe.
Pour fermer leurs oreilles.
Pour qu'ils s'endurcissent.
Ils ne s'endurcissent pas.
C'est le gouvernement de Dieu.
Dieu a envoyé cet esprit d'endurcissement.
A cause du fait qu'ils ne voulaient pas écouter.
C'est très grave.
Si Dieu doit envoyer un esprit d'endurcissement.
Comme avec le pharaon.
Le pharaon a pu écouter.
Il s'est endurci.
Ensuite, Dieu l'a endurci.
C'est très grave.
On voit cela dans Romain 1.
Avec les nations.
Après, le déluge.
On voit cela avec Israël.
Isaïe 6.
On voit cela avec la profession chrétienne.
Deux thessaloniciens.
Et aussi d'autres passagers.
Qui nous parlent de cette endurcission.
De cette désobéissance.
Et tous ces détails qu'on a vus.
C'est très grave.
Mais le point pour nous.
Ce n'est pas juste pour critiquer ces gens-là.
C'est facile. Critiquer Israël.
Parce qu'ils l'ont manqué.
Mais pour notre instruction.
Un chrétien dit cela.
Nous soulignons cela beaucoup.
Toutes ces choses leur sont arrivées.
Pour nous instruire.
Pour nous encourager.
Pour nous exhorter.
Pour que nous ne tombions pas dans cette pièce-là.
Donc, quel appel.
De ce début.
Mais le secret est vraiment.
Plus qu'on est attaché.
Seigneur Jésus dans la gloire.
Plus on sera gardé.
Contre toutes ces erreurs.
C'est une remarque technique.
Mais cette parenthèse.
Est interrompue.
Au verset 7.
Jusqu'au verset 11.
C'est une sous-parenthèse.
Comme dit l'Esprit Saint.
Cette pensée termine.
Ainsi je jurerai dans ma colère.
S'ils entrent dans mon repos.
Donc ça c'est la première sous-parenthèse.
Ensuite au verset 12.
Il continue ce qu'il dit au verset 7.
C'est pourquoi.
Puis là on va.
Continuer.
Prenez garde.
Vous voyez ça c'est la continuation de la pensée.
C'est pourquoi.
Prenez garde.
Ensuite un peu plus loin.
Après ces encouragements.
Ils s'interrompent encore dans une sous-parenthèse.
Au verset 16.
Car qui sont ceux qui l'ayant entendu.
L'imitaire.
Donc ils s'interrompent encore une fois.
Une petite parenthèse.
Au verset 19.
Et donc la prochaine fois.
Chapitre 4.
Premier verset.
Il continue la pensée générale.
De cette parenthèse.
Mais c'était juste une remarque un peu technique.
Est-ce que vous avez encore des questions ?
Ou des remarques.
Pour ajouter au sujet ?
Peut-être une.
Comme j'en ai mentionné au début.
Je lève la tête.
Pour concilier quelques aspects.
Un appel par le doigt.
Est-ce qu'on peut mettre un parallèle à l'épée de pierre ?
Un appel par la doigt.
C'est ça.
De pierre en face.
Par la doigt.
Et d'autres épées de fondement.
C'est aussi pour la doigt.
Parce qu'on avoue pour la doigt.
Encore deux fois.
Vous voyez comment cette épée est très pratique pour nous.
Ce n'est pas juste une leçon d'histoire.
L'esprit nous parle.
L'esprit nous parle.
Dieu a parlé à ce peuple.
Aujourd'hui, l'esprit nous parle.
Il nous a encouragés. …
Transcription automatique:
…
L'Épître aux Hébreux, chapitre 4, et on se rappelle, c'est au milieu d'un passage d'exhortation.
Il y a cinq passages d'exhortation dans l'Épître aux Hébreux, et on était au milieu de la deuxième parenthèse, qui commence au chapitre 3, au milieu du verset 6.
Donc la dernière fois, on a fini chapitre 3, on continue chapitre 4, puis la parenthèse continue jusqu'au verset 12 et 13, concernant la parole de Dieu.
Ensuite, il continue le sujet du Souverain Sacrificateur, qu'il avait commencé au chapitre 3.
L'apôtre, le Seigneur Jésus comme apôtre et Souverain Sacrificateur, nous avons vu comme apôtre, il était plus grand que Moïse, qui était comme un apôtre au milieu d'Israël.
Ensuite, il compare le Seigneur Jésus avec Aaron, il va montrer qu'il est plus grand qu'Aaron.
Il y a aussi des parallèles, comme on verra plus tard dans cette étude.
Donc, lorsqu'on compare l'Ancien Testament, il y aura toujours des parallèles, des similitudes, il y aura aussi des contrastes, parce que le Seigneur est plus élevé, il est supprimé.
Donc, hébreux 4, craignons donc qu'une promesse ayant été laissée d'entrer dans son repos, quelqu'un d'entre vous paraisse ne pas l'atteindre.
Car nous aussi, nous avons été évangélisés de même que ceux-là, mais la parole qu'ils entendirent ne leur servit de rien, n'étant pas mêlée avec la foi dans ceux qui l'entendirent.
Car nous, qui avons cru, nous entrons dans le repos, comme il a dit. Ainsi, je jurais dans ma colère, qu'ils entrent dans mon repos, bien que les œuvres aient été faites dès la fondation du monde.
Car il a dit ainsi quelque part, touchant le septième jour, et Dieu se reposa de toutes ses œuvres au septième jour.
Et encore, dans ce passage, s'ils entrent dans mon repos, puis donc qu'il reste que quelques-uns y entrent, et que ceux qui auparavant avaient été évangélisés ne sont pas entrés à cause de leur désobéissance,
encore une fois, il détermine un certain jour, disant à David, si longtemps après, aujourd'hui, comme il a été dit auparavant, aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos cœurs.
Car si Jésus leur avait donné le repos, ils n'auraient pas parlé après cela d'un autre jour.
Il reste donc un repos sabbatique pour le peuple de Dieu, car celui qui est entré dans son repos, lui aussi s'est reposé de ses œuvres, comme Dieu s'est reposé des siennes propres.
Appliquons-nous donc à entrer dans ce repos-là, afin que personne ne tombe en imitant une semblable désobéissance.
Car la parole de Dieu est vivante et opérante et plus pénétrante qu'aucune épée à deux tranchants, et atteignant jusqu'à la division de l'âme et de l'esprit, des jointures et des moelles, et elle discerne les pensées et les intentions du cœur.
Il n'y a aucune créature qui soit cachée devant lui, mais toutes choses sont nues et découvertes aux yeux de celui à qui nous avons affaire.
Étant donc un grand souverain sacrificateur qui a traversé les cieux, Jésus, le fils de Dieu, tenant ferme notre confession.
Car nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse sympathiser à nos infirmités, mais nous en avons un qui a été tenté en toutes choses comme nous, à part le péché.
Approchons-nous donc avec confiance du trône de la grâce, afin que nous recevions miséricorde et que nous trouvions grâce pour avoir du secours au moment opportun.
C'est vraiment un merveilleux chapitre, mais aussi très solennel.
J'aimerais rappeler quelques points du contexte.
On a vu donc que le peuple est dans le désert, et dans nos cantiques on avait pensé aussi au danger du désert, la détresse que le peuple peut même expérimenter dans le désert.
Mais on a vu la dernière fois qu'il y a des ressources.
Il y a des ressources en Dieu lui-même, verset 12 du chapitre 3.
Le Dieu vivant.
Et ça m'a frappé toujours en lisant le psaume 42 et 43, que dans un tel contexte, c'est le contexte de la grande tribulation, où le peuple sera donc persécuté en dehors du pays,
aussi dans un désert, littéral, mais aussi spirituellement.
Ils vont se fier au Dieu vivant.
Ils vont mettre leur confiance en le Dieu vivant.
Et c'est ça que nous devons faire aussi.
Nous sommes testés.
On verra cela.
Nous sommes mis à l'épreuve de plusieurs façons.
Parce que le désert nous met à l'épreuve.
Nous pouvons avoir une belle confession.
Vous avez vu cela la dernière fois, au chapitre 3.
Premier verset.
C'est pourquoi Frère Saint, participant à l'appel céleste, considérait l'apôtre et le souverain sacrificateur de notre confession.
Et puis il veut donc que nous puissions retenir cette confiance jusqu'au bout.
C'est là, au milieu du verset 6, où cette parenthèse commence.
Si du moins nous retenons ferme jusqu'au bout la confiance et la gloire de l'espérance.
C'est l'ensemble avec cette confession.
Dieu veut que nous gardions cette confession.
Mais on sera mis au test.
Et là, on a vu donc ces dix points selon lesquels le peuple a été infidèle, a manqué.
Ils se sont endurcis.
Ils ont provoqué Dieu, deuxièmement.
Et deuxièmement, ils ont même tenté Dieu, c'est très solennel, mis Dieu au test.
Si Dieu était vraiment au milieu d'eux.
Ils l'ont prouvé.
Ils étaient aussi marqués par l'ignorance.
Ils étaient marqués par le fait qu'ils se sont errés.
Est-ce qu'on peut dire en français comme ça, ils se sont égarés.
Et, pas seulement l'ignorance, on a vu aussi la question de la désobéissance et l'incrédulité.
L'incrédulité, 3,19.
Et aussi un cœur qui, au verset 12,
Prenez garde frère qu'il n'y ait en quelqu'un de vous un méchant cœur d'incrédulité en ce qu'il abandonne le Dieu vivant.
Donc on parle ici d'un peuple qui a confessé d'être le peuple de Dieu.
Mais dans le désert, il était mis à l'épreuve.
On voit cela dans le livre des noms.
Et qu'est-ce qu'on voit graduellement ?
Ils ne pouvaient pas tous entrer dans le pays.
Ça ne veut pas dire que tous étaient perdus pour toute l'éternité.
Un chrétien, 10, nous montre clairement que Dieu ne pouvait pas les soutenir dans le désert.
Ils l'ont manqué.
Donc il avait un manque de détermination, un manque à plusieurs égards.
Et on voit dans ce chapitre ici quel manque c'était.
Et aussi un élément de déception, verset 3, la séduction du péché.
Et on a vu que le peuple était marqué par fraude quelquefois.
Et la désobéissance.
Donc il y avait au moins 10 éléments où il avait vraiment manqué.
Maintenant ce chapitre se continue.
Cette pensée-là qui nous parle de la responsabilité se continue maintenant au chapitre 4.
Donc, révisons maintenant.
Nous sommes maintenant un peuple de Dieu dans le désert.
Nous sommes mis à l'épreuve.
Qu'est-ce qui se passe dans nos cœurs ?
Est-ce que nos cœurs s'endurcissent comme leurs cœurs, verset 8 ?
C'est une citation du psaume 40, 95.
Et vous savez peut-être que le quatrième livre du psaume nous parle du voyage dans le désert.
Parallèle avec nombre.
Et puis ça nous parle aussi des voies de Dieu avec son peuple.
Et nous avons donc vraiment à tirer des leçons de cela.
Parce que nous ne sommes pas meilleurs.
Ça peut nous arriver aussi qu'on s'endurcisse.
Ça peut nous arriver qu'il y a un méchant cœur d'incrédulité.
On n'est pas au-dessus de cela.
C'est ça que je veux dire.
Même comme croyant, ça peut nous arriver.
Ou les autres choses, l'ignorance, la désobéissance, l'incrédulité, tous ces éléments-là.
Ça peut nous arriver, ça peut m'arriver.
C'est pour cela que je dois mettre ma confiance dans ce Dieu vivant, verset 3, verset 12.
Ensuite, je devrais aussi apprécier le fait que je suis un compagnon du Christ.
Vous voyez au chapitre 3, verset 14, c'est un autre privilège que nous avons.
Nous sommes devenus les compagnons du Christ.
Le mot « compagnon » se retrouve un total de cinq fois dans cet épitre.
Donc, nous avons une part avec Christ.
Celui que Dieu a loin, le loin de Dieu, nous avons une part avec lui.
Quel privilège.
Mais nous passons à travers le désert.
Est-ce que nous réalisons que nous sommes des compagnons du Christ?
L'autre ressource, par rapport à cela, j'aimerais souligner l'appel céleste.
Parce que si nous sommes des compagnons du Christ, c'est un Christ glorifié.
L'épitre aux Hébreux met beaucoup d'emphase sur cela.
Nous sommes liés à un Christ, pas seulement ressuscité, mais aussi glorifié.
Nous sommes ensemble avec cet appel céleste et qu'il est l'apôtre.
Toute l'emphase est mise sur lui.
Dans tout l'épitre, toute l'emphase est mise sur lui.
Oui, il est vrai.
Nous sommes des compagnons du Christ.
Et les chrétiens hébreux, à ce moment-là, à Jérusalem, il fallait qu'ils réalisent cela.
Pour qu'ils se détachent de la religion du judaïsme.
Et ainsi, nous devons réaliser tout le temps nos immenses privilèges en ayant ce lien avec Christ dans la gloire.
Donc, de grands privilèges.
Mais avec chaque privilège, il y a des responsabilités.
Et c'est pour cela qu'on voit ce mot aujourd'hui.
Le mot aujourd'hui, par exemple, au verset 15 du chapitre 3, souligne l'aspect de notre responsabilité.
Et ça se répète souvent.
Il y a aussi la pensée de chaque jour.
On a vu cela au chapitre 3, verset 13.
Exhortez-vous l'un l'autre chaque jour.
Et on pourrait traduire aussi, encouragez-vous.
Donc, nous pouvons nous consoler, encourager, mais aussi exhorter.
Est-ce qu'on fait cela?
Dans cette lumière-là, de nos privilèges, là on réalise aussi nos responsabilités.
Et ce sujet continue maintenant dans le chapitre 4.
On verra encore des ressources et encore des responsabilités qui vont ensemble avec cela.
Une autre ressource que nous avons donc, c'est la ressource de la foi.
On verra cela au chapitre 4, verset 2.
Mais avant qu'on arrive là, j'aimerais parler du premier verset.
Quatre premiers versets.
Créons donc une promesse, ayant été laissé d'entrée dans son repos,
quelques d'entre vous paraissent ne pas l'atteindre.
Je pense qu'on doit vraiment mettre l'emphase sur son repos.
Dans le contexte de l'épître aux Hébreux, c'est par rapport à Dieu donc, au repos de Dieu.
Ce n'est pas ici une question du repos pour ma conscience.
C'est important.
Mais ce n'est pas la question ici.
C'est présupposé déjà que j'ai ce repos de la conscience.
A cause de l'oeuvre accomplie du Seigneur Jésus.
On verra plus tard, chapitre 8, 9 et 10, l'importance de son oeuvre.
Et à cause de cette oeuvre, je peux avoir une conscience, je peux avoir la paix avec Dieu.
Ce n'est pas non plus le repos par rapport aux circonstances.
Je pense à ce que le Seigneur a dit.
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés.
Prenez mon jour et je vous donnerai du repos.
C'est merveilleux et vous trouverez du repos pour vos âmes.
C'est merveilleux mais ce n'est pas le même contexte qu'on a ici.
Ici, l'emphase est sur le repos de Dieu.
Dieu cherchait un repos.
Maintenant, c'est quoi exactement le repos que Dieu cherche?
Dans l'Ancien Testament, c'est par rapport au pays promis.
Donc Dieu avait promis un pays pour Abraham et ses descendants.
Dieu allait donner ce pays et on voit que par rapport à cela, Dieu aurait son repos ensemble avec le peuple.
Juste lire Deuteronome 3 verset 20.
Deuteronome 3 verset 20.
Jusqu'à ce que l'Éternel ait donné du repos à vos frères comme à vous, et qu'eux aussi possèdent le pays que l'Éternel, votre Dieu, leur donne au-delà du Jour d'In.
Cette pensée est répétée encore une fois dans Deuteronome, un peu plus tard, dans chapitre 12.
Si vous connaissez le contexte du chapitre 12, vous savez déjà que c'était par rapport à l'endroit que Dieu allait choisir pour y habiter.
Dans Deuteronome 12, nous avons cette pensée-là au verset 9.
Car jusqu'à présent, vous n'êtes pas encore entrés dans le repos.
Vous étiez encore dans le désert. Le repos serait l'autre côté du Jour d'In, dans le pays promis, dans l'héritage que l'Éternel, ton Dieu, te donne.
Et mon point c'est maintenant, le repos pour le peuple, ce serait aussi le repos pour Dieu.
Donc, il faut lire à la maison tout le chapitre 12, vous allez voir là, c'était l'endroit que Dieu allait choisir, et là Dieu aurait son repos.
Mais on devrait aussi avoir le psaume 132, parce que c'est seulement, comme on l'a lu soit dans l'Hebreu 4, c'était seulement par David que Dieu a encore parlé de ce repos.
Donc le peuple est entré dans le pays sous Jésus, ils n'ont pas eu ce repos, on voit que même dans le livre des juges, ils n'ont pas joui de ce pays, donc ils n'ont pas connu le repos.
Ensuite, sous David, il répète, dans le psaume 132, et voilà où on trouve donc ton repos. Verset 8.
Lève-toi Éternel pour entrer dans ton repos, toi et l'âge de ta force.
Donc là on a vraiment le repos de Dieu. Lorsque Dieu aurait sa place au milieu du peuple, l'arche, qui nous parle du trône de Dieu, au milieu de son peuple, dans le lieu que Dieu allait choisir, selon le Deutéronome 12.
Et verset 13, car l'Éternel a choisi Sion, il a désiré pour être son habitation. Verset 14, c'est ici, mon repos à perpétuité, ici j'habiterai car je l'ai désiré.
Donc, ces écritures nous montrent clairement le repos de Dieu, selon ses promesses à son peuple, où Dieu allait habiter là et se reposer.
Le repos, vraiment, nous parle de la satisfaction. Dieu aurait vraiment sa satisfaction en étant au milieu du peuple.
Lorsque le peuple allait jouir du pays promis, Dieu allait jouir de cela aussi. Ce serait son repos.
Donc Dieu aurait sa place au milieu du peuple, le peuple allait jouir de cette communion avec Dieu, Dieu avait sa part, le peuple avait leur joie dans le pays.
Ça c'est le repos de Dieu, son repos. Et on voit dans ce passage, ils ne sont pas entrés dans ce repos.
Maintenant, juste pour résumer, brièvement le passage qu'on a lu, parce que j'aimerais avoir encore un peu de temps pour la parole et pour le Christ comme sacrificateur.
On voit que Dieu a reposé d'abord à cause de la création. Verset 4, Dieu se reposa de toutes ses heures au septième jour. C'était le premier repos.
Dieu était satisfait, on voit cela clairement à la fin de Genèse 1, au début de Genèse 2. Lors de la création étant accomplie, Dieu était satisfait, Dieu a pu se reposer.
Mais là, ce repos a été gâché par la chute de l'homme, Genèse 3. C'est pour cela que le Seigneur, dans Gen 5, verset 17, dit, mon père travaille et moi je travaille. Pourquoi?
A cause du péché, le repos de Dieu a été disturbé, intrompu. Et seulement sur la base de l'heure accomplie du Seigneur Jésus, Dieu a trouvé du repos.
On sait que le Seigneur Jésus, dans Gen 19, lorsqu'il a dit, c'est accompli, il a baissé sa tête, le repos était là. Pas avant ça. C'est sur la base de l'heure de Christ.
Donc on a vu maintenant, la pensée de Dieu était d'avoir son peuple avec lui dans son pays. Et on pourrait dire, ce qu'on a lu dans Deuteronome, on pourrait vérifier aussi dans Jésus-Christ, ce qu'on a lu dans Psalm 132 après, c'est vraiment des illustrations de ce qui va se passer dans le millenium.
Dans le millenium, cette pensée d'un repos va se réaliser. Mais Dieu nous a donné ces images pour que nous puissions entrer en esprit déjà dans ce repos-là.
Et puis là, ça c'est tout par rapport à Christ. Parce que Christ est dans la gloire. Il est dans le pays promis. Pour le chrétien, le pays promis, c'est là où Christ se trouve à la droite de Dieu, dans les lieux célestes, Ephésiens 1, 2.
Et là, c'est le repos. En esprit, nous pouvons déjà entrer là, pour jouir de ce repos-là. Mais nous sommes encore dans le désert. Et vous voyez, c'est pour ça que ça nous teste, ça nous sonde.
Est-ce que nous avons vraiment à cœur de mettre notre confiance en Christ, en la gloire, de jouir de notre relation avec lui, de jouir de ce repos qui existe dans ce sang-là?
On voit dans l'histoire du peuple sur la terre, ils n'ont jamais connu ce repos. Ni sous Jésus-Christ, où ils sont entrés dans le pays. Ni sous David, quoique David parle de ce repos, comme on l'a vu dans le psaume 132, clairement.
Même sous David, ils n'ont pas vraiment jouit de cela, selon le témoignage du psaume 95 aussi. Donc, ça veut dire que ce repos est encore à venir.
Verset 8. Car si Josué leur avait donné le repos, ils n'auraient pas parlé après cela de notre jour.
Conclusion, il reste donc un repos sabbatique pour le peuple de Dieu.
Et ça nous montre que dans ce contexte, le repos est un repos futur. Et je répète, présentement, par la foi, en esprit, nous entrons déjà dans ce repos, parce que Christ est là dans la gloire, il s'est assis, il est en repos.
Et nous pouvons entrer par notre esprit dans cela. Mais l'accomplissement des promesses de Dieu et des pensées de Dieu aura lieu dans les millénaires.
Maintenant, j'aimerais encore revenir au verset 2. Pourquoi est-ce que le peuple n'a pas pu jouir de ce repos? Parce qu'il n'avait pas de foi.
Verset 2 le dit clairement. Mais la parole qu'il entend dire, c'était une parole qui a annoncé une bonne nouvelle. Au verset 2, au début, car nous aussi nous avons été évangélisés de même que ceux-là.
Donc, ça veut dire, nous avons reçu une bonne nouvelle. Et maintenant, c'est Paul qui parle. Je suppose que Paul est l'auteur de cet épitre.
Il se joint aux chrétiens hébreux, là à Jérusalem. Il dit, nous aussi, comme nous avons vu au chapitre 2, nous, nous avons été évangélisés. Nous avons reçu une bonne nouvelle.
Et cette bonne nouvelle, dans cet épitre, est par rapport à un Christ récité et glorifié. Mais qu'est-ce qu'il dit du peuple dans le passé, au milieu du verset 2?
Mais la parole qu'il entend dire ne leur servit de rien, n'étant pas mêlée avec de la foi dans ceux qui l'entendent dire. C'était le cas dans Nombre. Même le témoignage des espions, ils n'ont pas accepté.
Le témoignage de la bonté du pays promis, Nombre 13 et 14, on voit cela. Ils n'ont pas accepté cela. Ils n'avaient pas de foi. Maintenant, pour les chrétiens hébreux, à ce moment-là, ils avaient besoin de la foi, justement.
La religion juive était tout autour, le Temple était là. Il fallait qu'ils fixent le regard sur le Seigneur dans la gloire. Et ça prend la foi. Et pour nous, c'est exactement la même chose. Ça prend la foi pour nous aussi.
Donc, on voit ici la ressource qu'on a, la parole. Et on verra encore les ressources que nous avons dans la parole. Mais ici, c'est vraiment une belle ressource pour nous aider. Mais ça prend la foi de notre part, notre confiance dans cette parole.
Comme on a vu dans le chapitre 3, que nous devons mettre notre confiance dans ce Dieu vivant. Pas dans nos efforts ou dans nos prétentions. Non. Mettre notre confiance simplement en Lui.
Juste une petite parenthèse. Dans cet épître, nous voyons aussi que le Seigneur Jésus est toujours plus grand que les grands hommes de Dieu qui sont mentionnés de l'Ancien Testament.
Dans le texte grec, on lit si Jésus leur avait donné le repos. Parce que dans le texte grec et dans l'hébreu aussi, c'est le même mot. Jésus et Jésus.
Et là, c'est beau de voir Jésus. Nous parlons du Seigneur Jésus. Mais le Seigneur Jésus est plus grand que Jésus. Et ainsi, il est aussi plus grand que David. L'homme selon le coeur de Dieu est une image du Seigneur Jésus.
Il typifie le Seigneur Jésus. Mais le Seigneur Jésus, lui, le fils de David, est le vrai David. L'homme selon le coeur de Dieu. Donc le Seigneur Jésus est toujours plus grand que tous les hommes de Dieu de l'Ancien Testament.
Et on voit cela à travers l'Épître. Et ainsi, on verra plus tard aussi, l'œuvre du Seigneur Jésus est plus grande que tous les sacrifices de l'Ancien Testament. C'est une autre pensée.
Maintenant, j'aimerais souligner trois verbes. On va continuer maintenant au verset 11. Peut-être que je peux lire encore verset 10. Juste pour résumer ce qu'on a vu.
Car celui qui est entré dans son repos, lui aussi s'est reposé de ses heures comme Dieu s'est reposé des siennes propres. Donc comme Dieu s'est reposé des heures de la création, ainsi Dieu a aussi trouvé le repos par rapport à la rédemption.
Comme nous avons vu, l'heure de la croix. Et là Dieu a accepté le Seigneur dans la gloire. Il s'est assis là, encore, la question du repos. Et Dieu veut que nous puissions entrer dans cela.
Donc la création était marquée par ce repos. La rédemption est marquée par ce repos. L'œuvre étant accomplie. Et ainsi ce repos nous parle de la satisfaction que Dieu trouve dans cela.
Maintenant, il fait une conclusion. Donc verset 11 à 13, c'est la conclusion de cette longue parenthèse qui nous parle de la responsabilité du peuple dans les airs.
Et là il y a un mot au début du verset 11. Appliquons-nous. Appliquons-nous. J'aimerais souligner cela. Il y a trois appels ici par rapport à la parole. Appliquons-nous. On va revenir à ça.
Ensuite on verra au verset 14, tenons ferme. A la fin du verset 14, tenons ferme. Ça c'est par rapport au grain souverain sacrificateur. Tenons ferme notre confession.
Vous vous rappelez, on a parlé de la confession, qu'on ne devrait pas lâcher, qu'on devrait être réel dans notre confession. Dieu teste la confession, si c'est réel. Et la parole va tester cela. On verra cela au verset 11 et 12.
La parole nous teste, nous sonde, et le souverain sacrificateur est là pour nous aider. Justement pour que nous puissions tenir ferme cette confession.
Appliquons-nous. Tenons ferme. Et le troisième appel au verset 16, approchons-nous donc. Trois verbes qui donnent un appel. Vous pouvez aussi ajouter à ça le premier verset qu'on a vu ce soir.
Croyons donc qu'une promesse ayant été laissée d'entrer dans ce repos. Donc il faut craindre dans ce sens-là de ne pas tomber dans un piège. Mais ces trois verbes que je mentionne maintenant sont très positifs.
Appliquons-nous. Tenons ferme. Approchons-nous. Appliquons-nous ensemble avec la parole. Tenons ferme ensemble avec le souverain sacrificateur. Approchons-nous ensemble avec le trône de la grâce. Trois ressources merveilleuses.
Donc d'abord, appliquons-nous à entrer dans ce repos-là. C'est pour ça que j'ai dit tantôt, en esprit, nous pouvons déjà entrer dans ce repos. Dans le monde autour de nous, tout est en chaos, tout est en désordre. Il n'y a pas de repos.
Et nous avons vu, ce repos dans Hebreu 4 n'est pas le repos de Matthieu 11 ou de Romain 5, l'heure accomplie de Christ et nous avons la paix avec Dieu, ça donne du repos.
Ou le repos dans nos circonstances, Philippe 4, avec la porte. Non, ici, le repos nous parle de Christ et là où il se trouve, où tout est en repos et Dieu veut qu'on puisse entrer en esprit déjà là.
C'est vraiment l'appel céleste. Et maintenant il continue, afin que personne ne tombe en imitant une semblable désobéissance. On a vu donc la désobéissance du peuple dans le passé, chapitre 3, verset 6, jusqu'à maintenant, 4, verset 10, on a vu ces éléments de désobéissance, d'incrédulité, d'endurcissement.
L'appel est maintenant, appliquons-nous à entrer dans ce repos-là, voir Christ et fixer nos regards sur lui, comme on verra plus tard dans Hebreu 12, verset 2, afin qu'on ne tombe pas dans ce piège en imitant une semblable désobéissance. Vous voyez le contexte?
Maintenant, la parole, j'ai dit, est une grande ressource, comme la parole qui nous parle du pays, qui nous parle de Christ, mais ici nous voyons un autre élément de la parole. La parole nous sonde. La parole est comparée ici avec une épée, au verset 12, une épée.
Ici, ce n'est pas une épée pour attaquer l'ennemi. Épée 16, on attaque l'ennemi. L'épée n'est pas pour attaquer un autre frère ou une autre soeur. L'épée est ici pour me sonder, pour m'examiner. C'est ça l'épée de la parole.
Ce n'est pas pour attaquer l'ennemi. Ce n'est pas pour attaquer quelqu'un du peuple de Dieu. C'est pour analyser, m'analyser, moi. C'est la parole qui me sonde maintenant, au verset 12.
Et cela, c'est par rapport à tout ce qui est en moi. Vous voyez, on aura tantôt le souverain sacrificateur par rapport à nos circonstances autour de nous. Il nous aide, il sympathise avec nos faiblesses, mais il ne peut jamais sympathiser avec un péché en moi.
L'orgueil, ou la paresse, ou l'amertume, quoi que ce soit, il ne peut pas sympathiser avec ça. Mais la parole montre cela. La parole nous sonde.
Et puis, c'est ce point qu'on peut peut-être résumer brièvement. D'abord, c'est la parole de Dieu. On voit au verset 13, aucune créature qui soit cachée devant lui.
Ici, on voit comment la parole de Dieu, verset 12 au début, est identifiée avec Dieu lui-même. Comme nous avons vu au chapitre 3, l'esprit et la parole vont ensemble.
Ensuite, les qualités de la parole vivantes, c'est la parole de Dieu qui nous donne la vie.
Regarde verset 18, verset 23, nous voyons que c'est comme une semence, une semence qui donne la vie, qui produit la vie, qui soutient la vie. La parole de Dieu est vivante. C'est merveilleux de voir ça.
Chaque de ces sept qualités de la parole, on pourrait étudier en détail, mais je veux simplement mentionner ces sept points et vous pouvez étudier pour vous-même les détails.
Opérante, ça nous parle de son efficacité. C'est efficace. Si Dieu parle, ça va avoir un effet. Et ainsi, il veut que nous puissions appliquer cette parole à nous-mêmes, comme une parole qui est vivante.
Elle donne la vie. Même dans les circonstances du désert, où tout parle de la mort, où les israélites sont tombés, sauf Caleb et Josué, imaginez-vous pendant presque 40 ans, ils ont vu comment chaque jour, il y avait, quelqu'un a calculé une fois, disons une centaine de morts.
Chaque jour, dans le peuple de Dieu, je ne me rappelle plus exactement le nombre, mais un bon nombre de gens mouraient chaque jour. Puis ces gens-là, comme Josué et Caleb, Eliezer, le fils d'Aaron, étaient témoins de cela.
Mais ils ont continué dans le désert. Ils étaient soutenus par cette parole de Dieu qui est vivante, qui donne la vie, même dans le contexte du désert et de la mort.
Elle est opérante. Si je vois ça, je pense toujours à 1 Thessalonicien 2, verset 13, juste comme un encouragement pour voir l'efficacité de la parole de Dieu.
1 Thessalonicien 2, verset 13, où nous voyons comment Paul a parlé aux thessaloniciens, qu'ils parlaient de la parole de Dieu. C'est tellement beau de voir ça.
1 Thessalonicien 2, verset 13, c'est pourquoi aussi nous nous rendons sans cesse grâce à Dieu de ce qu'ayant reçu de nous. La parole de la prédication qui est de Dieu, vous avez accepté, non la parole des hommes, mais ainsi qu'elle est véritablement la parole de Dieu.
Vous savez peut-être qu'en l'apocalypse, le Seigneur Jésus lui-même est appelé la parole de Dieu. Ainsi nous voyons ici que les croyants avaient reçu la parole de Dieu et qu'est-ce qu'il dit après?
Laquelle aussi opère en vous qui croyez. Là vous voyez l'efficacité de la parole de Dieu. C'est une parole qui opère, qui produit. C'est efficace.
Là on pourrait donner d'autres exemples évidemment, mais on va continuer. La troisième pensée au chapitre 4, hébreu 4, verset 12, plus pénétrante qu'aucune épée.
On voit le Seigneur Jésus dans l'apocalypse 1, verset 16, l'épée qui sort de sa bouche, ça pénètre, ça sonde. Il dit, je connais vos heures. A chaque assemblée, je connais vos heures. Il dit ça.
C'est la parole de sa bouche. C'est comparé avec une épée qui sonde, qui pénètre.
On pourrait lire le psaume 139. Si vous voulez prendre ça en note, vous pouvez lire ça chez vous à la maison.
A la fin, David dit, sonde-moi au Dieu, connais mon cœur, éprouve-moi et connais mes pensées. Et regarde s'il y a en moi quelques voies de chagrin. Et conduis-moi dans la voie éternelle.
Il a appliqué cette parole sur lui pour que tout soit éliminé. Si quelqu'un a un tumeur, le spécialiste avec ses outils, on peut comparer avec un couteau, va éliminer ce tumeur.
Et ainsi, la parole de Dieu va éliminer s'il y a de l'amertume ou un tumeur spirituel. La parole de Dieu nous aide d'un côté radical pour enlever ça, mais c'est pour notre guérison, c'est pour notre bien.
Ça c'est le but toujours. Et elle atteint, comme on voit aussi dans le psaume 139, devant Dieu qui est omniprésent, qui est omniscient, elle atteint même jusqu'à la division de l'âme et de l'esprit.
Où nous ne pouvons pas vraiment discerner la différence entre l'âme et l'esprit, même si on réussit à comprendre, à saisir l'enseignement de la parole concernant l'âme et l'esprit, la différence entre les deux.
Même si on réussit à comprendre ça, pour appliquer cela maintenant dans nos propres vies, pour voir la différence entre l'âme et l'esprit, c'est toute une tasse, on ne pourrait pas réussir.
Mais la parole va faire cela. Donc la parole expose tout, la parole va enlever ce qui n'est pas bon, et ça va ensemble avec la pensée du jugement de soi-même.
Comme dans le psaume 139, on pourrait lire 1 Corinthiens 11, que Paul dit que chacun s'examine. Nous devons nous examiner. Mais c'est par la parole de Dieu qu'on s'examine.
Ce n'est pas par les pensées de l'homme, non. C'est par la parole de Dieu qu'on s'examine.
Et on voit ici comment la parole pénètre et fait la division de l'âme et de l'esprit, des jointures et des moelles. Donc les choses qui sont même dans le secret, qu'on ne connaît pas, tout est discerné par la parole de Dieu et même divisé.
Donc, en vue de ce, de cette confession s'il est nécessaire, en vue d'une guérison.
Le sixième point, elle discerne les pensées. Verset 12. Elle discerne les pensées.
Puis là, dans l'original, elle critique les pensées. Donc ici, la parole est comme un juge qui sonde, qui critique, qui discerne, comme un vrai juge, sans préjugé, sans être préjugé.
Nous sommes souvent préjugés. Là, on ne peut pas vraiment juger, on ne peut pas vraiment discerner les pensées, les intentions du corps qui peut sonder le corps.
On ne peut pas même sonder les secrets de notre propre corps. Là, on ne peut pas discerner les intentions du corps de quelqu'un d'autre non plus.
Paul explique clairement, dans 2 chrétiens, 1 chrétien 4, qu'on ne peut pas juger les intentions du corps. Mais Dieu, par sa parole, il le fait.
C'est pour cela que Paul avait le désir, dans 2 chrétiens 5, de se placer déjà dans la lumière du jugement, du tribunal du Christ.
Il parle là du tribunal du Christ et tous devront comparaître devant le tribunal du Christ. Mais Paul voulait déjà se placer dans cette lumière-là. Pourquoi?
Plus qu'on est dans la lumière de Dieu, plus proche qu'on est de lui. Et là, tous ces éléments, on va jouir de cela.
Etant dans la lumière de Dieu, où on ne cache rien, où on est transparent, on aura aussi la joie de la communion avec Dieu.
Donc la parole offerte pour enlever les empêchements, pour qu'il y ait cette transparence, pour que nous puissions jouir de la communion avec Dieu, mais aussi de la communion les uns avec les autres.
Et du cœur sont les issues de la vie. Si notre cœur est en ordre, tant mieux. Mais s'il y a des choses cachées dans le cœur, il faut que ce soit réglé.
Les issues de la vie viennent du cœur. Seulement on le dit dans Proverbe 4, verset 23.
Septième point, au verset 13, il n'y a aucune créature qui soit cachée devant Dieu. C'est pour cela que j'ai dit, tout est ouvert. C'est comme un livre ouvert.
Nous sommes comme un livre ouvert. Mais c'est beaucoup mieux que nous ouvrons le livre de nos vies et de nos cœurs devant Dieu.
Que nous puissions laisser pénétrer cette parole, comme David le prit dans l'Op. 139.
On voit dans l'Op. 51 comment il est traversé à travers des exercices très profonds, très profonds. Dans l'Op. 32 aussi, lorsqu'il a fait sa confession.
C'était des exercices très profonds. Mais Dieu s'est servi de cela pour restaurer la communion.
Et à la fin du verset 13, il a dit, toutes choses sont nues et découvertes aux yeux de celui à qui nous avons appel.
Donc, ce septième point conclut cette pensée-là que tout est exposé, tout est ouvert et découvert devant lui.
Mais donne aussi ce point de la comptabilité. Nous avons des comptes à rendre. La pensée au verset 13 à la fin, aux yeux de celui à qui nous avons affaire.
Je veux dire, nous avons des comptes à rendre. Et on peut dire, mieux qu'on rende compte maintenant, mieux que tout de suite.
Au lieu de cacher des choses, c'est mieux de rendre compte tout de suite. Nous sommes responsables. Nous devons rendre compte à Dieu.
Dieu nous a créés ainsi. Romains 1 à 3 nous explique cela. Un animal, un chien ne peut pas rendre compte.
Dieu ne l'a pas créé pour pouvoir rendre compte. Mais Dieu a créé chaque être humain pour pouvoir rendre compte.
Cela veut dire, si nous avons fait quelque chose qui n'est pas correct, nous devons rendre compte.
C'est pour cela que j'ai dit, Paul marchait tout le temps dans la lumière de ce tribunal, pour qu'il n'y avait rien dans sa vie qui n'était pas confessé ou réglé.
Maintenant, la deuxième ressource, on a dans le Souverain Sacrificateur, au verset 14. Et puis, c'est par rapport aux choses autour de nous.
Donc, nous avons que la parole de Dieu nous sonde, révèle ce qui est dans nos cœurs. Il révèle les secrets. C'est pour notre bien.
Comme j'ai dit, le médecin, le spécialiste avec son couteau, c'est pour notre bien. Mais le grand Souverain Sacrificateur est là pour nous aider avec les choses autour de nous.
Ayant donc, j'aime beaucoup cette expression, ayant donc, c'est quelque chose que nous avons, et ce n'est pas vraiment quelque chose, c'est quelqu'un. Est-ce que vous l'avez vu?
Ayant donc, un grand Souverain Sacrificateur. Donc, nous comme croyants, nous avons le privilège d'avoir un tel Souverain Sacrificateur, qui est grand.
C'est cinq fois dans cet épître que nous avons ce mot, grand, au moins ce mot dans l'original. Il y a un autre mot dans le chapitre 7, aussi traduit par grand.
Souverain Sacrificateur, on a vu cela déjà, l'appel céleste, c'est lié à l'apôtre et le Souverain Sacrificateur, 3 verset 1.
Donc, la parole va ensemble avec Christ comme apôtre, mais maintenant nous avons Christ comme grand Souverain Sacrificateur.
Ici, selon l'ordre d'Aaron. J'ai dit tantôt, le Seigneur est plus grand qu'Aaron, mais il y a aussi des similitudes. Il est comme Aaron, plusieurs regards.
Aaron portait les noms du peuple sur ses épaules, sur sa poitrine, c'est une illustration de ce que le Seigneur fait maintenant, comme le grand Souverain Sacrificateur.
Il nous porte sur ses épaules et sur son cœur, devant la présence de Dieu. Et ainsi, il y a d'autres parallèles, évidemment.
Mais là, avec le Souverain Sacrificateur, nous allons voir aussi 7 points.
D'abord, il est grand, comme j'ai dit, plus grand qu'Aaron.
La grandeur du Seigneur Jésus, c'est un sujet important dans cette Écriture, pour attirer les croyants au Seigneur Jésus.
L'homme de Nazareth, Jésus, 9 fois, il est appelé Jésus, 9 fois dans cette Écriture.
Cet homme de Nazareth, il est le grand Souverain Sacrificateur.
Deuxièmement, donc, on verra plus tard les qualités du Sacrificateur.
Et je répète, des parallèles avec Aaron, quoique le Seigneur soit plus grand qu'Aaron, mais aussi des contrastes avec Aaron.
On verra cela plus tard.
Et on verra aussi que le Seigneur Jésus est maintenant un Sacrificateur selon un nouvel ordre, l'ordre de Melchizedek.
L'autre point qui a traversé les cieux, donc ça nous parle de sa grandeur, qui a traversé les cieux.
Comme le Souverain Sacrificateur dans l'Ancien Testament venait de l'extérieur, le parvis,
ensuite il entrait dans le lieu saint, ensuite il entrait dans le lieu très saint.
Et ainsi le Seigneur Jésus a traversé les cieux.
Comme le Souverain Sacrificateur allait à travers le lieu saint, c'est une image des cieux,
il est allé dans la présence directe de Dieu, et puis l'arche était là dans le lieu très saint,
et ça nous parle de la présence immédiate de Dieu.
Donc ainsi le Seigneur Jésus a traversé les cieux.
Un peu comme on voit dans l'Éphésien 4.
Dans l'Éphésien 4 nous voyons comment le Seigneur Jésus est descendu,
et maintenant au verset 10 nous lisons celui qui est descendu, l'Éphésien 4, 10,
est le même que celui qui est aussi monté au-dessus de tous les cieux.
C'est remarquable.
Vous voyez, il a traversé les cieux, hébreu 4, mais il est monté au-dessus de tous les cieux,
l'Éphésien 4, verset 10.
Donc ça nous montre vraiment sa grandeur.
Et on verra plus tard aussi dans hébreu 7 et 9 d'autres références,
et dans hébreu 10 on verra comment le Seigneur Jésus est entré dans le lieu très saint.
Nous pouvons maintenant entrer aussi.
Donc on verra cela plus tard.
Troisième point, son nom, Jésus.
Comme je l'ai dit tantôt, neuf fois, simplement son nom.
Oui, lorsque nous parlons du Seigneur Jésus, on ne dit pas Jésus, on dit Seigneur Jésus.
Parce qu'il est quand même Seigneur.
Mais ici l'emphase est sur sa personne.
Ici l'emphase est sur son humanité, Jésus.
Même ce nom-là implique aussi qu'il était Dieu lui-même.
Jéhovah, sauve, l'Éternel, Jéhovah, l'Enfant-Esprit-Saint, sauve.
Ça c'est le nom de Jésus.
Donc même là on a la pensée qu'il est Dieu lui-même.
Mais l'emphase est ici sur son humanité.
Tandis qu'avec le quatrième point, son nom, le Fils de Dieu, l'emphase est sur sa déité.
Et c'est la même personne.
Le Fils de Dieu. Quelle grandeur. Il est présenté ici dans toute sa grandeur.
Encore cet appel, tenant ferme.
Donc je répète, l'appel ici, tenant ferme, ça va ensemble avec ces immenses privilèges que nous avons, et aussi les responsabilités qui vont avec.
Parce que si nous avons un privilège d'avoir le Seigneur Jésus ainsi, ayant donc, ça veut dire que nous avons aussi des responsabilités.
Tenant ferme notre confession.
Donc la confession, c'est par rapport à l'huile dans la gloire maintenant.
Nous sommes dans le désert, mais nous confessons Christ.
Comme notre maître, comme notre souverain sacrificateur, nous confessons le Seigneur Jésus.
Et nous avons vu l'importance de la confession, que Dieu veut nous tester à cet égard.
Mais la confession va ensemble avec l'appel céleste.
Ensuite, il continue les qualités du souverain sacrificateur.
Verset 15, car nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse sympathiser à nos infirmités.
Mais nous en avons un qui a été tenté en toutes choses, comme nous, à part le péché.
C'est un verset difficile.
C'est vraiment difficile.
Juste quelques pensées.
Si nous avons des tentations autour de nous, par exemple, la maladie,
ce sont des circonstances qui nous affectent, ou on a faim.
Certains peuvent se servir de cela pour que nous soyons mécontents, que nous allons nous plaindre.
Et ainsi, ça devient un péché.
Donc, si on a faim, ce n'est pas un péché, c'est une faiblesse.
Mais si on murmure, dans ce cas-là, ça devient un péché.
Maintenant, pour comprendre vraiment pourquoi le Seigneur Jésus était tenté, quand même à part le péché.
Tandis que lorsque nous parlons de tentation, on a souvent l'impression que ça va ensemble avec le péché.
Il y a un verset qui explique cela dans Jacques, et puis c'est vraiment important qu'on puisse comprendre cela.
Dans Jacques 1, il y a deux versets qui nous parlent de ces tentations-là.
Et dans Jacques 1, verset 2, nous lisons,
«Estimez-le comme une parfaite joie, mes frères, quand vous serez en butte à diverses tentations,
sachant que l'épreuve de votre foi produit la patience.»
Donc, en d'autres mots, Jacques dit ici,
«Si vous êtes persécuté, comme ici les chrétiens étaient persécutés,
si tu perds ton emploi, si tu tombes en balade,
estimez-le comme une parfaite joie.»
Pourquoi?
«Sachant que l'épreuve de votre foi produit la patience.»
Dieu est en train de nous enseigner.
Nous sommes à l'école de Dieu, et Dieu se sert de ces circonstances,
donc des circonstances difficiles, mais il se sert de cela pour nous aider, pour nous enseigner.
Ça, c'est le côté de Dieu.
Dieu envoie ces choses-là pour nous mettre à l'épreuve, mais c'est pour notre bien.
Maintenant, un peu plus loin, verset 13, qu'est-ce qu'on voit là?
C'est le même mot, verset 13,
«Que nul, quand il est tenté, ne dise, Je suis tenté par Dieu.
Car Dieu ne peut être tenté par le mal, et Lui ne tente personne.
Mais chacun est tenté, étant attiré, amorcé par sa propre convoitise.
Puis la convoitise ayant conçu enfin le péché,
et le péché étant consommé, produit la mort.»
Ici, nous voyons le côté de Satan.
Satan veut se servir des mêmes circonstances.
On perd un emploi, on tombe malade.
Pour Dieu, c'est pour nous enseigner, pour nous faire du bien.
Romans 8, verset 28,
«Toutes choses qu'on perd pour le bien de ceux qui aiment Dieu.»
Mais Satan, il veut servir de ces circonstances pour nous faire murmurer,
pour qu'on se révolte contre Dieu.
Donc là, c'est le côté de Satan.
Et là, Jacques dit, «Mais Dieu ne tente pas ainsi.»
Donc si Dieu envoie des tentations,
c'est d'une façon tout à fait différente que la façon dans laquelle Satan envoie des tentations.
Vous voyez la différence?
Maintenant, la grande différence avec nous et le Seigneur,
comme Hébreu 4 le dit maintenant,
à part le péché.
Donc le Seigneur Jésus était tenté,
il était exposé à la faim, à la maladie,
les choses qui étaient autour de lui,
les choses difficiles,
mais cela n'avait jamais un effet en lui-même,
parce qu'en lui, il n'y avait pas la nature pécheresse,
il n'y avait pas de point de contact pour ces choses.
Tandis que pour nous, on a cette nature,
même comme croyant, on a encore cette nature pécheresse en nous,
et Satan veut faire un appel à cette nature pécheresse.
Mais avec le Seigneur, il ne pouvait jamais faire ça.
Il y a des passages, Romains 8, verset 3 par exemple,
qui expliquent ça en détail.
Le Seigneur Jésus a pris la même position que nous,
on a vu cela aussi dans Hébreu 2,
il était dans la même position,
mais pas tout à fait dans la même condition,
parce que pour lui, c'était à part le péché.
Donc ce serait vraiment un sujet à étudier.
1 Jean 3 nous montre que cette nouvelle nature ne peut pas pécher,
comme le Seigneur Jésus ne pouvait pas pécher.
2 Corinthiens 5 le dit, en lui il n'était pas de péché,
il n'a jamais commis de péché, 1 Pierre 2,
en lui il n'était pas de péché,
donc le Seigneur n'a rien à faire avec le péché.
Ça c'est le contraste avec nous.
Pourtant, il est entré dans des circonstances semblables,
il a connu la fin, comme nous,
comme le peuple de Dieu dans le désert,
Pourquoi ?
Pour qu'il puisse, justement, sympathiser.
C'est ça qu'on voit ici, ça c'est le cinquième point dans la liste.
Il peut sympathiser, il n'est maintenant plus dans le désert,
il est dans la gloire, il a fini la course,
on verra cela dans le chapitre 12,
le Seigneur était dans la course, il a fini, il est dans la gloire.
Et maintenant, de la gloire, il est là,
dans le trône, on verra au verset 16,
de la gloire, il soutient le peuple ici dans le désert.
C'est pour ça que c'est dit, le Seigneur est comme le souverain sacrificateur
qui porte nos noms sur ses épaules,
et de la gloire, il nous soutient,
il nous donne la force,
de la gloire, il nous donne ce dont nous avons besoin,
il prend soin de nous.
Et ainsi, il peut sympathiser à nos infirmités,
il était dans des circonstances semblables,
mais la seule différence, à part le péché,
il n'avait pas la nature pécheresse en lui,
ce serait la blasphémie de le passer.
Le Seigneur n'avait rien à faire avec cela,
mais quand même, il était très proche de nous,
pour pouvoir sympathiser avec nous maintenant.
C'est de la gloire qu'il dit à Paul,
lorsque Paul a prié trois fois,
Seigneur, enlève cette écharpe,
ma grâce te suffit.
Le Seigneur savait exactement ce dont Paul avait besoin.
Il a dit, ma grâce te suffit.
Ainsi, il le dit à nous, ma grâce te suffit.
Il le dit par sympathie.
Il est tout près de nous, lorsqu'il dit ça,
parce qu'il ressent ces choses exactement,
parce qu'il était dans des semblables circonstances.
Donc, il nous sympathise, il sympathise avec nous,
avec nos jeunes qui sont ici,
avec ceux qui sont beaucoup plus vieux.
Les adultes, le Seigneur était aussi un adulte.
Il était un enfant, ce matin,
Abdel en parlait de Luc II,
lorsque le Seigneur avait douze ans.
Il sympathise avec les jeunes qui ont douze ans,
même ceux qui sont plus jeunes,
parce que le Seigneur était aussi plus jeune.
Il connaît exactement les circonstances de chaque âge,
et peut sympathiser avec nous dans de telles circonstances.
Donc, ce serait un sujet encore pour étudier plus profondément.
Les autres points sont par rapport au tronc de la grâce,
parce que le Seigneur Jésus est maintenant au tronc de la grâce.
Il est là comme souverain sacricateur.
Et je lis ça donc d'un côté avec lui comme souverain sacricateur,
parce qu'il est assis sur le tronc de la grâce.
Et de l'autre côté, je le mentionne aussi comme un point séparé.
Ça va ensemble avec le troisième verbe.
Approchons-nous donc avec confiance.
Approchons-nous.
Ici, le tronc de la grâce.
Le tronc était un tronc de jugement.
Vous savez, l'arche de Dieu,
lorsque l'arche était autour de Jéricho,
les murailles sont tombées.
L'ennemi ne pouvait pas résister à l'arche de Dieu.
C'est une image, c'est une illustration de cette vérité-là.
Le tronc de Dieu est un tronc de jugement.
Le tronc de Dieu est maintenant un tronc de grâce.
Pourquoi?
On lit dans Romain 3, que ce tronc est devenu
le mot m'échappe maintenant, c'est juste jésus
propitiatoire.
Dieu a présenté Christ pour propitiatoire.
Donc, étant justifié gratuitement par sa grâce,
par la rédemption qu'il y a dans le Christ Jésus,
lequel Dieu a présenté pour propitiatoire.
C'est un mot difficile, mais ce mot veut dire
le couvercle de l'arche qui était sur l'arche.
Avec les deux chérubins, les chérubins voyaient
le sang qui était appliqué sur le couvercle.
Ça, c'est le propitiatoire.
Ainsi, Dieu est devenu propice envers le peuple.
Et là, nous avons un libre accès.
Donc, le tronc nous parle du jugement,
mais Dieu a été satisfait de cette œuvre,
il a accepté le sang du sacrifice,
et Dieu peut montrer la grâce maintenant.
Maintenant, ce tronc de la grâce est devenu
le centre de l'administration.
Le tronc nous parle de l'autorité, d'un royaume,
du centre de l'administration.
Maintenant, le centre de l'administration,
c'est ce tronc-là, mais c'est marqué par la grâce.
Nous vivons dans le temps de la grâce.
Ce tronc-là sera marqué une autre fois par jugement.
Le même tronc va encore appliquer des jugements.
Mais envers le croyant,
ayant le Seigneur Jésus comme souverain sacricateur,
ce tronc nous donne ce dont nous avons besoin,
selon la grâce de Dieu.
Qu'est-ce qu'il donne?
La miséricorde par rapport à nos circonstances.
Donc ça, c'est le sixième point.
Par rapport au sacricateur, il donne la miséricorde
parce que c'est lui qui administre.
Il est assis sur le tronc de la grâce.
Il maintient les droits de Dieu.
Il administre la grâce, la miséricorde,
pour nos circonstances.
Et le septième point, afin que nous trouvions grâce
pour avoir du secours au moment important.
C'est merveilleux de voir ça.
Nous n'avons pas mérité cela.
Nous sommes un peuple qui manque dans le désert.
Pourtant, les ressources qui sont disponibles là,
c'est la grâce.
C'est le Seigneur, le grand administrateur sur ce tronc,
qui nous donne cela grâce en grâce,
comme nous avons dans Jean 1.
Donc les ressources immenses qui sont là
et juste pour le moment important.
Vous voyez, il veut nous aider.
Comme le Seigneur Jésus a reçu l'aide de la part de Dieu
lorsqu'il était ici sur la terre.
Maintenant, c'est lui qui nous donne l'aide de la part de Dieu
pour nous soutenir comme un peuple dans le désert.
On pourrait étudier par rapport aux tentations,
on pourrait étudier, si vous voulez le faire vous-même,
dans Luc 4, dans Matthieu 4,
les tentations dans le désert.
Et là, on voit comment le Seigneur Jésus
était tenté par le diable.
On parlait de cela aussi dans Jacques 1.
Et comment il était parfait.
Quand même, dans Luc 4, nous voyons le Seigneur comme notre modèle
et ainsi le Seigneur veut que nous puissions apprendre de lui.
Comme lui a été tenté, même par le diable,
que nous puissions résister.
Ce serait aussi un sujet en soi.
Mais mon point, c'est que le Seigneur,
comme étant la parole de Dieu vivant,
nous donne ce dont nous avons besoin
si nous voulons juger nous-mêmes.
Et ensuite, comme souverain sacricateur,
assis sur le trône,
il nous donne toutes les ressources nécessaires
par rapport à nos circonstances.
Donc nous avons ici vraiment les ressources
dont nous avons besoin.
Et nous avons seulement à faire trois choses.
Appliquons-nous.
Deuxièmement, nous allons faire
tenons ferme notre confessement.
Et troisièmement,
approchons-nous donc avec confiance.
Ça veut dire avec liberté,
avec, en anglais on dit,
ça veut dire, on a toute liberté de le faire.
On verra plus tard,
comme sacricateur, comme fils,
sacricateur, nous pouvons entrer,
avec confiance,
dans la présence de Dieu,
comme adorateur.
Mais ici, nous voyons
que nous pouvons entrer et nous approcher
avec nos besoins.
Vous voyez la différence?
Ici, au début de l'Épître aux Hébreux,
qui nous parle d'un peuple qui traverse le désert,
c'est un peuple qui connaît beaucoup de besoins.
Et maintenant, le Seigneur dit mais.
Approche-toi.
Si tu as des besoins,
si tu as besoin d'apprendre la patience,
approche-toi du trône de la grâce
pour recevoir ce dont tu as besoin.
Si tu as besoin d'autre chose,
et chaque croyant a différent,
donc chaque croyant a besoin d'autre chose.
Les ressources sont là.
Il faut s'approcher.
Donc, c'était juste un résumé bref de chapitre 4.
Et si le Seigneur nous laisse encore ici,
on pourrait continuer une autre fois avec chapitre 5.
Et là, on verra encore quelques détails du Seigneur Jésus
comme le souverain sacricateur.
Mais là, on va voir aussi un nouvel élément.
Il est selon un ordre différent, mais qui s'évèque.
Ça veut dire que cet ordre ne peut pas être remplacé par quelque chose d'autre.
Si vous avez encore des questions,
des choses à clarifier,
peut-être que ça a du temps pour cela.
Quel est le Dieu qui nous parle
quand celui qui est entré dans son repos,
Lui aussi, qui est reposé de ses œuvres?
Lui aussi, c'est qui?
Lui aussi, c'est Dieu.
Comme j'ai expliqué dans Genèse 2,
on voit comment Dieu s'est reposé.
Et là, c'est une image du repos du millénaire,
qui est encore à venir.
Parce que quelqu'un m'a dit,
si Lui aussi s'est reposé de ses œuvres,
comme Dieu s'est reposé de ses œuvres.
Dans ce cas-là, Lui,
ça peut s'appliquer à Jésus-Christ,
le grand leader.
Comme j'ai dit tantôt,
le Seigneur Jésus s'est reposé
lorsqu'il a accompli l'œuvre de la croix.
Donc c'est pour ça que je l'ai lié
et à la création et à la rédemption.
Parce que dans ces deux cas,
Dieu a connu le repos
après la création et après la rédemption.
Donc le Lui,
ici dans chapitre 4, verset 10,
je passe, ça s'applique à celui qui entre.
Donc si nous pouvons maintenant entrer par la foi,
nous jouissons sans repos.
Comme j'ai essayé d'expliquer là,
c'est vraiment une question du repos de Dieu.
Et si par la foi nous entrons,
nous aussi nous reposons.
C'est ça la pensée.
Oui, absolument.
Ça va tout ensemble.
C'est pour ça qu'on doit prendre tout le contexte ensemble.
Et c'est pour ça que j'ai souligné la question de la foi.
C'est par la foi que nous pouvons faire.
Et c'est par rapport aux intérêts de Dieu,
sans repos,
par rapport au pays promis.
Donc pour nous c'est par rapport à Christ maintenant dans la gloire.
Souvent on est concentré sur nous-mêmes,
on pense seulement à notre repos, à notre bien.
Mais ici le contexte est vraiment le repos de Dieu,
ses intérêts.
Si nous entrons dans cela,
Dieu a aussi son repos en même temps.
Mais je confesse, j'avoue, c'est un passage très difficile.
Ça nous rend confus facilement.
Mais moi j'avais à cœur d'éliminer un peu la confusion,
mais je ne suis pas sûr si j'ai réussi.
C'est correct ?
Merci beaucoup pour votre attention.
Merci à vous. …
Transcription automatique:
…
On lit l'Épitre aux Hébreux dans l'attitude du psaume 45.
Ce psaume 45 nous présente le Bien-Aimé.
Et ainsi, c'est le langage de l'amour, de l'affection.
Et dans cet Épitre, nous voyons le Seigneur comme le Bien-Aimé dans sa grandeur.
Et nous aimons le connaître davantage, comme on voit par exemple dans l'Antiquité quantique, l'Épitre 5.
Donc, que nous puissions lire et étudier avec cette attitude d'affection et d'émerveillement.
Ébreu 5, car tout souverain sacrificateur pris d'entre les hommes est établi pour les hommes dans les choses qui concernent Dieu,
afin qu'il offre et des dons et des sacrifices pour les péchés, étant capable d'avoir de l'indulgence pour les ignorants et les errants,
puisqu'il est aussi lui-même enveloppé d'infirmité.
Et à cause de cette infirmité, il doit offrir pour les péchés, comme pour le peuple, ainsi aussi pour lui-même.
Or, nul ne s'arroge cet honneur, mais seulement s'il est appelé de Dieu, ainsi que le plus harant.
De même, le Christ aussi ne s'est pas glorifié lui-même pour être fait souverain sacrificateur,
mais celui-là l'a glorifié qui lui a dit, « Tu es mon Fils, moi je t'ai aujourd'hui engendré. »
Comme il dit aussi, dans un autre passage, « Tu es sacrificateur pour l'éternité, selon l'ordre de Melchisébé,
qui durant les jours de sa chair, ayant offert avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort,
et ayant été exaucé à cause de sa piété, quoi qu'il suffise, a appris l'obéissance par les choses qu'il a souffertes,
et ayant été consommé, il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent, l'auteur du salut éternel,
et étant salué par Dieu, souverain sacrificateur, selon l'ordre de Melchisébé.
Au sujet duquel nous avons beaucoup de choses à dire et qui sont difficiles à expliquer, puisque vous êtes devenus paresseux à écouter.
Car lorsque vous devriez être des docteurs vu le temps, vous avez de nouveaux besoins qu'on vous enseigne quels sont les premiers rudiments des oracles de Dieu.
Et vous êtes devenus tels que vous avez besoin de lait et non de nourriture solide.
Car quiconque use de lait est inexpérimenté dans la parole de la justice.
Car il est un petit enfant, mais la nourriture solide est pour les hommes faits,
qui par l'effet de l'habitude ont les sens exercés à discerner le bien et le mal.
Jusqu'ici la lecture de la parole.
On rappelle que cet épître nous présente la grandeur du Seigneur Jésus.
La grandeur dans sa personne, plus grande que Moïse, plus grande qu'Aran, plus grande que Jésus-Christ, etc.
Ensuite, la deuxième partie de l'Hybride nous présente la grandeur de son sacrifice.
Et la troisième partie nous le présente comme le grand conducteur qui nous conduit dans la présence de Dieu,
qui nous conduit à travers le désert, qui nous conduit en dehors du camp.
Donc ces trois divisions de l'épître, la grandeur de la personne, la grandeur de son sacrifice,
et la grandeur de son ministère résument un peu cet épître.
Ici, on est au milieu de cette présentation du Seigneur Jésus comme sacrificateur.
On a vu que l'épître a commencé avec une présentation du Seigneur Jésus comme apôtre, celui qui présente la parole de Dieu.
Et même dans la gloire, aujourd'hui, le Seigneur Jésus est le grand apôtre parce que c'est par lui que Dieu communique ses pensées,
révèle ses pensées, par son esprit aussi, évidemment.
Et on a vu, chapitre 3, verset 1, que le Seigneur a ses deux ministères, considéré l'apôtre et le souverain sacrificateur.
On a vu l'apôtre sur l'ensemble et le mourir.
Donc ce n'est pas l'apôtre que Dieu révèle ses pensées.
On a vu au premier chapitre que le Seigneur Jésus est l'apôtre de Dieu, de la part de Dieu, mais il est Dieu lui-même aussi.
Donc on a vu sa grandeur de cette façon-là.
Chapitre 2 a commencé par parler déjà du souverain sacrificateur.
Et je résume brièvement, le Seigneur est souverain sacrificateur de trois façons.
Sur la terre, à la croix, une fois pour toutes.
Il était souverain sacrificateur par rapport à l'œuvre pour les péchés.
On verra plus tard, par le fait que le Seigneur Jésus était de la tribu du Juda, qu'il ne pouvait pas fonctionner comme sacrificateur sur la terre pendant sa vie.
Donc, il était dans sa vie souverain sacrificateur, mais seulement à la croix.
Ça va ensemble avec chapitre 2, versets 17 et 18.
Et il y a plusieurs références encore à cela dans cette épître.
Ensuite nous avons vu que le Seigneur Jésus est sacrificateur présentement, selon l'ordre d'avant.
Mais il est aussi selon l'ordre de Melchisedec.
Si je dis selon l'ordre d'avant, il faut me corriger, parce que le Seigneur Jésus exerce la sacrificature selon l'image d'avant.
Mais la position du Seigneur Jésus est la position de Melchisedec.
Un ordre nouveau, mais il a beaucoup de ressemblances pratiquement avec le service d'avant.
On verra donc quelques détails de cela ce soir dans chapitre 5, et plus tard aussi chapitre 7.
On a vu la dernière fois, à la fin du chapitre 4, le ministère présent du Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur,
qui sympathise à nos infirmités, verset 15.
On a vu qu'il ne peut pas sympathiser avec nos péchés.
Il est mort pour nos péchés, une fois à la croix, son service sur la terre.
Maintenant, dans la gloire, il sympathise avec nous, mais c'est avec nos infirmités.
Et on a vu qu'une infirmité peut nous amener au péché.
Le Seigneur peut nous aider afin qu'on ne pèche pas.
Et si une infirmité amène au péché, ce n'est pas la faute du Seigneur, c'est notre faute.
Maintenant, au chapitre 5, on verra encore des similitudes, des parallèles entre Aaron et le Seigneur,
mais aussi des contrastes très remarquables.
Donc, si j'ai dit que le Seigneur exerce aujourd'hui la sacrificature selon Aaron,
ce n'est vraiment pas selon l'ordre d'Aaron, mais c'est selon les illustrations qu'on a d'Aaron.
Bien qu'en même temps, il y ait de grandes différences.
Et ensuite, plus tard, on verra plus de détails sur l'ordre de Melchizedek,
qui est déjà mentionné dans ce chapitre, mais développé dans le chapitre 7.
Et on verra pourquoi.
Donc, le premier verset, tout souverain sacrificateur pris d'entre les hommes est établi pour les hommes.
Aaron était pris d'entre les hommes, et ainsi le Seigneur Jésus a été pris d'entre les hommes.
Il était homme comme vous et moi, à part le péché, on a vu cela la dernière fois.
Quand même, il y a un grand contraste.
Parce que Dieu a dit de cet homme, tu es mon fils, verset 5, au milieu du verset 5.
Vous voyez le contraste?
Dieu n'a jamais dit à Aaron, tu es mon fils.
Moi, je t'ai aujourd'hui engendré.
Jamais.
Donc, d'un côté, oui, le Seigneur Jésus a été pris d'entre les hommes.
Il était homme comme vous et moi, à part le péché.
D'un autre côté, il y a un contraste très remarquable.
Il n'y a aucun sacrificateur comme Aaron et ses descendants, auxquels Dieu a dit, tu es mon fils.
Moi, je t'ai aujourd'hui engendré.
Et on verra encore un autre contraste, un peu plus loin, au verset 10,
étant salué par Dieu, souverain sacrificateur.
Ce n'était jamais le cas avec Aaron.
Mais c'est le cas avec le Seigneur Jésus.
Et on voit ici le lien avec ce nouvel ordre, selon l'ordre de Melchizedek.
Au milieu du premier verset, il est dit, établi pour les hommes, dans les choses qui concernent Dieu.
Donc, on voit ici, un sacrificateur est entre les hommes et Dieu.
Il est établi pour les hommes, pour prendre les besoins, les causes de l'homme sur lui.
Mais il est établi aussi dans les choses qui concernent Dieu.
Donc, dans ce sens-là, il est comme un intermédiateur.
Il est entre Dieu et les hommes.
Et ce que nous voyons avec le Seigneur Jésus,
parfaitement homme pour prendre la cause de l'homme sur lui,
parfaitement Dieu pour prendre les intérêts de Dieu sur lui.
À la fin du premier verset, afin qu'il offre des dons et des sacrifices pour les péchés.
Le mot qu'il a utilisé ici, le verbe, afin qu'il offre, c'est un verbe qui revient souvent.
Et il y a donc un parallèle, comme Aaron a offert des dons et des sacrifices,
le Seigneur Jésus a offert un don et un sacrifice.
Voilà en même temps un contrat.
Le Seigneur n'a pas donné un sacrifice pour quelqu'un d'autre,
il s'est donné lui-même un sacrifice.
Quel contrat ? On verra cela dans les chapitres 9 et 10, une fois pour toutes.
Ici, les sacrifices, vous voyez, à la fin du premier verset,
afin qu'il offre des dons et des sacrifices pour les péchés.
C'est déjà une référence à ce service interminable qui continue tout le temps.
Chaque année, le souverain sacrificateur devait présenter un sacrifice pour le péché,
le grand jour de la propitiation.
Ce n'était jamais parfait, parce que le lendemain, quelqu'un pouvait pécher,
puis il fallait recommencer tout.
Donc, il y a de grands contrats, parce qu'on verra plus tard que l'œuvre du Seigneur Jésus était une fois pour toutes.
Pour offrir des dons, on peut penser aussi, par exemple, au gâteau qui était présenté.
Dans l'Églétique II, nous voyons un exemple de cela.
Ce gâteau qui nous parle de la vie du Seigneur Jésus.
Ainsi, on voit dans ce service aronique, beaucoup de détails, quand même, qui nous parlent du Seigneur Jésus.
Donc, c'est peut-être un peu compliqué.
D'un côté, il y a des parallèles.
D'un côté, il y a des choses, même dans le service d'Aaron, qui nous parlent du Seigneur Jésus.
De l'autre côté, il y a de grands contrastes.
Verset 2.
Etant capable d'avoir de l'indulgence pour les ignorants et les errants.
Donc, le sacricateur était un homme, et ainsi, il pouvait avoir de l'indulgence pour les autres hommes.
Mais le Seigneur Jésus, comme homme, pouvait aussi avoir de l'indulgence.
Mais il était sans péché.
On a vu cela au chapitre 4, verset 15.
À part le péché.
Il était comme nous, à part le péché.
Et comme homme, il pouvait être indulgent pour les ignorants et les errants.
Ça, c'est un thème important dans l'Épître aux Hébreux.
Dans l'Épître aux Hébreux, si quelqu'un pèche, soit il est supposé d'être ignorant ou errant, il y aura des remèdes.
Soit, et on verra cela la prochaine fois au chapitre 6, c'est avec la propre volonté, sachant ce qu'il fait, et là, il n'y aura pas d'autre sacrifice.
Donc, je veux garder cet élément-là pour la prochaine fois au chapitre 6.
On voit cet élément-là, je veux juste le mentionner.
Si quelqu'un fait cela, il n'est pas seulement errant, mais il pèche vraiment.
C'est la rébellion, verset 6 du chapitre 6, qui sont tombées, soit renouvelées encore à la repentance.
Crucifiant pour eux-mêmes le Fils de Dieu et l'exposant à leur peuple.
À la croix, le Seigneur Jésus a prié, Père, pardonne-leur, parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font.
Ils étaient ignorants, selon cette prière du Seigneur Jésus, et errants.
Là, Dieu peut encore avoir de l'indulgence et utiliser la patience, mais si quelqu'un rejette ce sacrifice du Seigneur Jésus,
si quelqu'un s'endurcit, il sait qu'il rejette cette heure du Seigneur Jésus, il est au courant de cela.
Là, il n'y a plus de sacrifice.
Ça, la pensée de l'Épiscope.
Maintenant, au milieu du verset 2, pourquoi le souverain-sacrificateur pouvait être indulgent, puisqu'il est aussi lui-même enveloppé d'infirmité.
Vous voyez, il est un homme comme les autres hommes, et comprend la situation du pécheur.
Mais là, quel contraste avec le Seigneur Jésus.
Le Seigneur Jésus était un homme comme vous et moi, mais il n'était pas enveloppé d'infirmité.
Il pouvait être indulgent envers les ignorants et les errants, mais il n'était pas enveloppé d'infirmité.
Verset 3, à cause de cette infirmité, il va offrir pour les péchés.
Notons maintenant, comme pour le peuple, ainsi aussi pour lui-même.
Quel contraste avec le Seigneur Jésus.
Parallèle, il a offert pour les péchés, et on verra plus tard, une fois pour toutes.
Voilà un parallèle.
Pour le peuple.
On a vu cela déjà au chapitre 2, verset 17.
Mais là, quel contraste.
Pas pour lui-même.
Dans l'Évitique 16, nous voyons que le Souverain Sacrificateur a offert pour lui-même.
Il a aussi offert pour lui-même lorsqu'il a été inauguré dans son service, l'Évitique 9, par exemple.
Mais le Seigneur Jésus n'avait pas besoin de sacrifice pour lui-même.
Quel contraste.
Verset 4.
Or, nul ne s'arrange cet honneur.
C'est clair ici.
L'auteur veut établir ce point-là.
Un homme peut être appelé de Dieu, mais il ne peut pas réclamer ce service pour lui-même.
Aaron ne pouvait pas un jour dire à Moïse, moi je vais être sacrificateur, ça me convient.
Non, il fallait qu'il soit appelé de Dieu.
Voilà le parallèle avec le Seigneur Jésus.
Le Seigneur Jésus était appelé de Dieu.
Verset 5.
Mais en même temps, quel contraste.
Comme j'ai dit déjà au début, Dieu n'a jamais dit à Aaron, tu es mon fils, moi je t'ai aujourd'hui entendu.
Jamais.
Donc, un appel de Dieu, mais en même temps un contraste énorme.
Verset 5.
De même, le Christ aussi ne s'est pas glorifié lui-même pour être fait souverain sacricateur,
mais celui-là l'a glorifié, qui lui a dit, tu es mon fils.
Il y a deux choses que j'aimerais souligner ici.
Le Seigneur Jésus est fils éternel dans le sein du Père, mais ça ne serait pas le sujet ici.
Ici, l'emphase est mise sur son humanité.
Comme homme, il est appelé fils de Dieu.
Tu es mon fils.
Et l'ange Gabriel a dit déjà dans Luc 1, il sera grand, il sera le fils de Dieu, il sera grand.
Donc il faut distinguer entre le fils éternel, comme dans Jean, le fils unique,
et ici le fils dans le temps.
C'est un sujet très difficile à comprendre, on ne peut pas vraiment le saisir.
Mais l'emphase ici, c'est sur le fait que le Seigneur Jésus était dans cette relation avec Dieu comme homme.
Et Dieu l'a vu comme homme aussi, comme mon fils.
Mais ça ne met pas de côté, ni sa déité, ni le fait qu'il avait cette relation éternelle entre le Père et le Fils.
Ce sont des mystères pour notre intellect, mais ce sont des réalités pour la foi.
Ça nous amène à adorer le Seigneur Jésus.
Donc sa grandeur, sa dignité est soulignée ici, comme homme.
Ensuite, au verset 6, il est dit, comme il dit aussi dans un autre passage,
« Tu es sacrificateur pour l'éternité, selon l'ordre de l'être qui cédait. »
Donc ce qu'on voit ici, l'auteur prend le psaume 2,
qui est cité aussi par Paul, par exemple, dans l'acte 13, comme un verset clé pour comprendre la position du Seigneur Jésus.
Ensuite, il ajoute une autre pensée du psaume 110,
où nous voyons que le Seigneur Jésus n'est pas seulement entre les dômes,
mais qu'il est sacrificateur selon un ordre nouveau, qui dépasse entièrement l'ordre d'avant.
Et on verra plus tard, chapitre 7, plus de détails là-dessus.
Donc le Seigneur est présenté ici, déjà, comme unique dans son service comme sacrificateur.
Je souligne ici, pour l'éternité.
« Tu es sacrificateur pour l'éternité. »
Et on revient encore à cette pensée de l'éternité, au verset 9, un salut éternel.
Il y a beaucoup d'emphases sur l'éternité dans cette Église.
Une rédemption éternelle, 13 verset 21,
et ici, « Il est sacrificateur pour l'éternité. »
Personne sur la terre pouvait être sacrificateur pour l'éternité.
Aaron était sacrificateur pour un temps.
Donc, c'est un nouvel ordre, selon l'ordre de Melchisédech.
Ça représente un caractère unique.
C'est un ministère qui ne peut pas être transmis à quelqu'un d'autre.
Ça appartient au Seigneur seul, unique, et c'est éternel.
C'est un ministère éternel.
Il aura ce ministère pour toute l'éternité.
Ensuite, le verset 7, qui durent les jours de sa chair.
Donc, peut-être je peux dire ceci.
D'abord, on voit son office par rapport à sa grandeur.
Tu es mon fils, tu es sacrificateur.
C'est son office qui va ensemble avec la grandeur de sa personne.
Mais ensuite, au verset 7, on voit l'expérience de ce sacrificateur,
ce qu'il a expérimenté ici dans les jours de sa chair,
qui nous montre aussi sa grandeur, beaucoup plus grande qu'Aaron.
Durant les jours de sa chair, on a des détails dans l'évitation 2.
J'ai mentionné les gâteaux qui sont présentés là, comme sacrifice.
Là, on voit des détails des jours de sa chair, sa souffrance en détail.
Mais ici, nous avons des références à la réalité,
comme le Seigneur Jésus a souffert dans sa vie.
Et maintenant, ayant affaire, c'est le même verbe qu'on a eu au premier verset,
qu'il offre et des dons et des sacrifices.
Donc, ça veut dire que ce que le Seigneur a offert ici à Dieu,
avec de grands cris et avec larmes, avait une grande valeur à Dieu, une grande valeur.
Comme Dieu a vu le Seigneur Jésus dans le jardin de Gethsemane,
où nous voyons ces grands cris et ces larmes des jeunes, ça a eu une grande valeur.
Mais ici, l'auteur trace la ligne encore plus loin, jusqu'à la croix.
Si on lit le psaume 22, là nous voyons ces grands cris et ces larmes.
C'est clair, le Seigneur Jésus était l'homme de douleur, Isaïe 53.
On le voit souvent en pleurant dans les évangiles.
Mais je pense ici, l'emphase est mise vraiment sur l'œuvre de la croix.
Le Seigneur a prévu cela, il y a un beau verset dans Luc 12, verset 50,
qui nous donne un peu de détails de ces souffrances intenses.
Luc 12, verset 50.
Moi, j'ai à être baptisé d'un baptême et combien suis-je à l'étroit jusqu'à ce qu'il soit accompli.
Vous voyez, c'est dans les jours de sa chair que le Seigneur Jésus a expérimenté ces souffrances intenses.
Mais ces souffrances-là ne sont pas encore les souffrances expiatoires, de l'heure expiatoire.
Cette heure expiatoire était seulement les trois heures sombres de la croix.
Donc on a ici peut-être une référence d'abord à Gethsemane, où le Seigneur Jésus a souffert par anticipation.
Il a vu les souffrances qui seraient sa part, il a souffert par anticipation.
Ensuite, on peut penser aux trois heures à la croix, les premières heures, donc 1, 2 et 3.
Et le Seigneur a souffert sous la main de l'homme et sous l'attaque de l'ennemi.
Mais ici, il y a aussi une référence à ces souffrances à la croix dans les trois heures sombres, où Dieu l'a abandonné.
Et dans le psaume 22, le Seigneur Jésus crie, comme ici, avec de grands cris,
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné, te tenant loin de mon salut ? »
Des paroles de mon rugissement.
« Mon Dieu, je crie du jour, mais tu ne réponds point, et de nuit il n'y a point de repos pour moi. »
Ça, c'est les trois heures sombres.
Mais qu'est-ce qu'on lit ensuite ?
Des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort.
Et on répète, surtout le psaume 22, mais aussi le psaume 53 donne des détails.
Et ensuite, l'auteur continue.
« Ayant été exaucé à cause de sa fiété. »
Exaucé, on voit cela déjà dans le psaume 22, verset 20.
Il crie encore, « Délivre mon âme de l'épée, mon unique lafate du chien.
Sauve-moi de la gueule du lion. »
Ensuite, au milieu du verset 21, « Tu m'as répandu dans les cornes des bûches. »
Donc Dieu a exaucé.
Il l'a exaucé à cause de sa fiété, comme ici, Hébreu le dit.
Et ensuite, psaume 22, verset 24.
« Car il n'a pas méprisé ni rejeté l'affliction de l'affligé.
Il n'a point caché sa face de lui.
Mais quand il a crié vers lui, il l'a écouté. »
Donc, ça veut dire qu'après les trois heures sombres, Dieu a quand même répandu.
Et le Seigneur Jésus était conscient de cela, clairement.
Lorsqu'il a reposé sa tête, il savait que Dieu l'avait répandu.
Donc maintenant, ce mot « à cause de sa piété ».
Le mot « piété », la note dit « crainte ».
Mais le mot « piété » veut dire, vraiment, être dans la crainte de Dieu.
Réaliser la présence de Dieu, tout le temps.
Ce mot est utilisé souvent dans Timothée.
Et nous voyons aussi dans les psaumes d'autres mots qui sont utilisés,
où nous voyons cette attitude de piété du Seigneur Jésus,
qui est très remarquable dans les psaumes.
Maintenant, j'aimerais encore soumier « de la mort ».
Donc, Dieu était capable de le sauver de la mort,
mais il fallait qu'il passe à travers la mort.
Donc ici, j'aimerais suggérer la résurrection du Seigneur Jésus est aussi impliquée.
La réponse de Dieu était démontrée dans la résurrection.
Mais comme j'ai dit tantôt, le Seigneur la savait déjà.
À la fin des trois heures sombres, lorsqu'il a reposé sa tête,
il savait que Dieu l'avait exaucé.
Mais dans la résurrection, Dieu a donné la preuve publique de cela.
Et nous voyons comment Dieu a apprécié la vie du Seigneur Jésus, sa piété.
Donc, une vie qui était tellement dévouée aux intérêts de Dieu,
que Dieu ne pouvait pas se taire.
Il fallait que Dieu réponde à un tel homme.
À cause de sa piété.
Maintenant, il y a une expression difficile à comprendre.
« Quoiqu'il fût fils ».
Donc, je pense que ça souligne le point.
Oui, le Seigneur Jésus était le fils éternel.
Il est co-égal avec le Père.
Mais ça, ce n'est pas le sujet ici.
Comme j'ai dit tantôt, « Tu es mon fils »,
« Tu es mon fils », c'est pour souligner le bon plaisir que Dieu a trouvé dans le Seigneur Jésus comme homme.
Et comment Dieu a pris à vue tout cela, sa piété.
Comment Dieu a eu son bon plaisir en lui, lorsqu'il a considéré sa piété.
Et « Quoiqu'il fût fils », ça va aussi ensemble avec le verset 8, la question de l'obéissance.
Il est dit « Quoiqu'il fût fils, il a appris l'obéissance par les choses qu'il a souffert ».
Donc, nous avons ici quelques versets qui nous présentent la perfection du Seigneur Jésus dans son humanité.
Et pour comprendre maintenant le sujet de l'obéissance,
Paul souligne ici que le Seigneur Jésus était le Fils éternel.
Et que comme fils, il était habitué à donner des ordres.
Le créateur de l'univers, on a vu cela, chapitre 1, verset 3 déjà.
Donc, pour une telle personne, être dans une position où il a dû obéir, c'est un changement radical.
Au lieu de donner des ordres, il fallait qu'il obéisse.
Mais maintenant, il faut faire attention.
Ce n'est pas parce que le Seigneur Jésus avait la tendance de désobéir.
Ce n'est pas du tout la suggestion.
La suggestion ici, c'est qu'il a pris une place où il fallait qu'il obéisse.
Comme homme, il fallait qu'il obéisse à Dieu.
C'est ça le point qu'on a vu déjà plusieurs fois.
Et l'auteur met l'emphase sur cela.
On pense à Isaac.
Abraham a pris son fils pour le sacrifier.
On ne lit aucun mot de proteste de la part d'Isaac.
Isaac a simplement obéi.
Et ainsi, le Seigneur Jésus a toujours obéi.
Plus que deux, il dit, ne savez-vous pas que je dois être dans les affaires de mon Père.
Il a toujours obéi, toujours cherché les intérêts de Dieu.
Mais je répète, comme Dieu, le Fils, le Fils est en elle.
Il est égal au Père.
Dans l'Évangile de Jean, chapitre 5, par exemple, il mentionne cela, il montre cela clairement.
Ça, ce n'est pas le sujet ici.
C'est le point qu'il a pris, malgré le fait qu'il soit Fils éternel,
malgré le fait qu'il soit aussi comme homme appelé Fils de Dieu,
il a pris une place d'obéissance, pour obéir.
Mais je répète, pas pour avoir l'idée qu'il a dû apprendre à obéir,
parce qu'il avait la tendance à désobéir, non.
Dans une position de soumission, il a toujours obéi.
Même par les choses qu'il a souffertes, comme ils le disent.
Le Seigneur a souffert beaucoup.
On ne peut pas vraiment entrer dans tous les détails de ses souffrances.
Mais la parole de Dieu nous invite d'étudier ses souffrances.
Mais il y a un domaine où nous ne pouvons pas entrer,
et ça c'est les trois heures sombres, la croix.
Mais dans les autres détails des souffrances du Seigneur Jésus,
l'Esprit de Dieu veut nous introduire dans ces choses,
dans les psaumes, dans les Évangiles,
pour que nous puissions comprendre davantage les choses que le Seigneur Jésus a souffertes.
Et c'était pour la gloire de Dieu.
Le Seigneur a souffert pour la gloire de Dieu.
Et ensuite, ayant été consommé,
donc il a commencé un chemin d'obéissance,
dès la crèche jusqu'à la croix,
mais il a complété ce chemin d'obéissance,
et consommé, rendu parfait.
Maintenant, il est vu comme homme dans la perfection.
Et on verra plus tard, par exemple, dans Hebreu 12,
que le Seigneur Jésus a atteint cet état de perfection,
il est dans la gloire,
et on a vu déjà le chapitre 2, verset 9,
couronné de gloire et d'honneur.
Il a atteint ce but.
Mais ici, il est dans ce chemin-là,
pour arriver là.
Et c'était donc un processus.
Mais je répète, il n'y a aucune pensée là,
que le Seigneur Jésus avait la tendance de manquer.
Non. Dans ce chemin, dans ses tests, dans ses épreuves,
dans ses souffrances, il était toujours parfait.
Toujours parfaitement obéissant,
et toujours parfait, parfait.
De quelque façon, on l'étudie, toujours parfait.
Mais il a atteint la perfection,
il a atteint le but final de ce chemin-là.
Ça, c'est la pensée de consommer.
Il est devenu, pour tous ceux qui Lui obéissent,
l'auteur du salut éternel.
Maintenant, c'est notre tour d'obéir.
Et nous pouvons Lui obéir,
comme il a obéi à Dieu,
comme on obéit à Dieu,
nous pouvons Lui obéir par la foi.
Il y a un verset intéressant dans Jean 3, verset 36,
qui croit au Fils à la vie éternelle.
Qui ne croit pas au Fils, ou qui désobéit au Fils,
ne verra pas la vie,
mais la colère de Dieu demeure sur lui.
Donc, la question d'obéissance
est vraiment une question de foi,
comme Jean 3, verset 36, le montre et d'autres passages.
Et nous pouvons maintenant suivre l'exemple du Seigneur Jésus.
Mais je répète, pas pour ensuite souffrir comme Lui,
comme il a souffert à la croix.
Non.
Là, il est unique, et là, il a fait pour tous, une fois pour toutes.
Mais nous suivons le Seigneur Jésus,
et ce sera aussi un chemin de souffrance.
Et il est notre grand conducteur,
et c'est ce qu'on voit dans chapitres 11, 12 et 13, plus tard, en détail.
Il est devenu l'auteur du salut éternel.
Ici, ce n'est pas le mot auteur, comme on trouve dans chapitre 12,
le prince ou l'auteur,
mais il est devenu la cause de notre salut éternel.
Et le mot salut, je pense, revient cette fois dans cet épique.
Le mot salut, c'est un mot très riche.
C'est le salut pour le temps,
mais ici, c'est le salut éternel.
Donc, l'effet définitif de ce salut.
Le salut vu dans cette dimension éternelle.
Maintenant, j'aimerais encore revenir au verset 10,
étant salué par Dieu.
Donc, nous voyons ici les expériences du Seigneur Jésus,
à l'école de Dieu,
durant les jours de sa chair,
il a souffert,
au jet sémané, il a souffert,
à la croix, il a souffert,
mais il a toujours montré l'obéissance,
dans les choses qu'il a souffert.
Il a toujours eu à coeur les rêves de Dieu,
sa piété.
Et ainsi, Dieu l'a exaucé.
On a vu cela.
Il atteint maintenant le but,
la fin du chemin.
Il est maintenant consommé.
Et dans cette nouvelle position que le Seigneur Jésus a prise,
il est devenu pour nous,
tous ceux qui lui obéissent,
l'auteur du salut éternel,
à cause d'un salut éternel,
qui est notre part, déjà, maintenant.
Ce n'est pas qu'on doit encore faire beaucoup d'efforts
pour atteindre ce salut éternel.
Nous l'avons reçu par la foi.
Maintenant, il revient encore
à la position actuelle du Seigneur Jésus au verset 10,
étant salué par Dieu,
souverain, sacricateur,
selon l'ordre de Melchisére.
C'est cette position merveilleuse
que le Seigneur Jésus occupe présentement.
Et cette position sera expliquée plus tard en détail.
Donc, je répète, c'est une position éternelle,
une position unique.
Cela représente l'excellence du Seigneur Jésus,
sa suprématie.
Mais on aura beaucoup plus de détails au chapitre 7.
J'aime le mot « saluer ».
Donc, Dieu l'a glorifié.
Dans Jean 17, le Seigneur Jésus a prié
que Dieu le glorifie.
Il a dit « Je t'ai glorifié sur la terre,
et Père, glorifie-moi maintenant avec la gloire
que j'avais avec toi,
même avant la fondation du monde. »
Ici, on voit aussi comment Dieu a glorifié
le Seigneur Jésus en saluant.
Donc, il faut simplement,
il faut voir le Seigneur entre dans le ciel.
Il monte dans la gloire, l'ascension.
Et voilà, la porte du ciel s'ouvre.
Dieu est là pour saluer un homme.
Il est Dieu lui-même béni sur toutes choses.
Mais Dieu a salué un homme ici dans le ciel.
Il a dit « Assieds-toi à ma droite. »
Dieu l'a salué.
Et ici, comme souverain sacrificateur.
Dans quel contraste on a vu cela déjà
avec Aaron et les autres souverains
sacrificateurs sur la terre ?
Selon l'ordre de Mephistophèle,
maintenant, il y a une parenthèse
au sujet duquel nous avons
beaucoup de choses à dire.
Et on verra plus tard, depuis chapitre 7,
premier verset, jusqu'au chapitre 10, verset 18.
C'est quatre chapitres presque.
Il y a beaucoup de détails sur le Seigneur Jésus
comme souverain sacrificateur
selon l'ordre de Mephistophèle.
Donc, Paul veut dire encore beaucoup de choses.
Mais il s'intrompt pour ainsi dire.
Pourquoi est-ce qu'il s'intrompt ?
Pourquoi il ne peut pas simplement continuer ?
À cause de la condition spirituelle
des croyants auxquels il s'adresse.
Parce qu'il dit, au verset 11,
ces choses sont difficiles à expliquer.
Pourquoi elles sont tellement difficiles ?
Parce que vous êtes devenus paresseux à écouter.
Donc, il adresse ici l'état spirituel.
Dans cet état-là, il ne pouvait pas
s'approprier de ces choses.
Ça nous montre la sagesse de l'apôtre,
dirigée par l'Esprit Saint, évidemment.
Il n'étale pas ici toutes ces beautés du Seigneur Jésus.
Il atteint.
Il veut d'abord adresser l'état spirituel
de ceux qui écoutent.
Parce que j'ai dit déjà au chapitre 2,
c'est comme un discours, un long discours,
plus long que ce soir.
Et il s'adresse aux croyants comme il les aimerait.
Il s'adresse aussi aux croyants aujourd'hui.
Ils réalisent leur condition spirituelle devant Dieu
et ils travaillent maintenant pour remédier
à cette condition-là, pour que ça s'améliore d'abord.
Et ensuite, ils seront capables de recevoir cet enseignement.
Et ainsi, il y a beaucoup de sagesse dans cela.
Nous avons cinq passages qui sont appelés quelquefois
les avertissements.
On a vu chapitre 2, 1 à 3.
C'est le premier avertissement.
Ensuite, on a vu chapitre 3, au milieu du verset 6,
jusqu'au 4.13.
On a mentionné cela la dernière fois.
Deuxième, une deuxième parentèle
pour adresser la condition spirituelle des croyants.
Ici, troisième parentèle.
Et ça se continue jusqu'à la fin du chapitre 6.
Et on verra la prochaine fois comment Paul distingue là
entre des auditeurs qui n'étaient pas nés de nouveau
et des auditeurs qui étaient nés de nouveau.
Ils distinguent. On verra cela au chapitre 6.
Mais il met beaucoup d'emphase ici sur leurs conditions spirituelles.
Ce n'est pas comme à l'école.
À l'école, un professeur enseigne simplement.
Et ça n'a rien à faire avec la condition morale des étudiants.
C'est juste une question d'intellect.
Mais ici, ce n'est pas seulement une question d'intellect.
C'est une question aussi de notre état spirituel.
Et malheureusement, il doit dire ici, vous êtes devenus paresseux.
Donc, il ne faisait pas de progrès.
C'était stagnant.
C'est un peu comme dans l'épître aux Galates.
Les Galates, ils ont bien couru.
Paul dit à un moment donné, il dit, vous avez bien couru.
Qui vous a arrêté ?
Qui est celui qui vous a arrêté ?
Et là, nous voyons, c'était l'égalisme.
Et j'aimerais repérer à ce passage-là,
parce qu'au chapitre 4, il dit d'un côté,
il compare cet état-là avec quelqu'un qui est l'héritier,
mais il n'est pas encore capable d'administrer son héritage.
Il est sous le contrôle des tuteurs et des curateurs
jusqu'à l'époque fixée par le Père.
Donc, ce passage, il compare avec une condition charnelle.
Les croyants des Galates étaient dans une telle condition.
Et c'est pour ça que Paul dit dans Galate 4, verset 19,
Mes enfants, pour l'enfantement desquels je travaille de nouveau,
jusqu'à ce que Christ ait été formé en vous.
Paul cherchait leur progrès spirituel.
Et il a travaillé beaucoup.
Un autre exemple, Colossien 1.
Colossien 1, dans chapitre 2, nous voyons tous les dangers.
Et l'injurance et les dangers a causé comme un ralentissement
dans la croissance des Colossiens.
Et Paul priait pour eux, comme ce frère qui était au milieu d'eux aussi, et papa.
Il priait beaucoup pour finalement présenter,
Colossien 1, verset 28,
afin que nous présentions tout en parfait en Christ.
À quoi aussi je travaille, combattant selon son opération
qui opère en moi avec puissance.
Car je veux que vous sachiez quel combat j'ai pour vous
et pour ceux qui sont allés au lycée
et tous ceux qui n'ont point vu mon visage dans la chair.
Afin que leur cœur soit contrôlé.
Donc Paul a vraiment à cœur la condition spirituelle des croyants.
Et dans ce contexte nous devons voir aussi Évreux 5 ici.
Paul réalise, si la condition spirituelle n'est pas bonne,
je ne peux pas donner cet enseignement concernant le Seigneur Jésus
comme le grand mépris s'était.
Alors il faut d'abord qu'il soit prêt à recevoir cet enseignement.
Verset 12, car lorsque vous devriez être des docteurs, vu le temps,
vous avez de nouveaux besoins qu'on vous enseigne.
Quels sont les premiers rudiments, les oracles de Dieu.
Donc un contraste entre cet enseignement qu'il veut donner
et le fait qu'il avait encore besoin de retourner aux premiers rudiments,
les oracles de Dieu.
On verra au chapitre 6 quelques détails là-dessus.
Au milieu du verset 12, il vous est devenu tel que vous avez besoin de lait
et non de nourriture solide.
Car quiconque use de lait est inexpérimenté dans la parole de la justice.
Maintenant il faut comprendre, la parole de la justice,
c'est la parole qui nous parle de Christ dans la gloire,
qui nous parle de Christ dans son ministère comme le grand mur qui s'élève.
C'est la parole de la justice.
Mais les croyants, là, les hébreux,
ne pouvaient pas encore manger cette nourriture solide.
Cette nourriture solide, verset 14,
est pour les hommes faits,
qui par le fait de l'habitude ont l'essence exercée à discerner le bien et le mal.
Donc les hommes faits, on a vu dans Colossien,
c'est la maturité spirituelle.
Et dans cette condition spirituelle,
on peut recevoir cet enseignement de Paul.
C'est pour cela qu'il avait à coeur, dans les vitres aux galas,
qu'il soit né de nouveau,
mais il était déjà né de nouveau,
mais qu'il y ait un travail de Dieu pour que Christ soit formé en eux.
Paul avait vraiment un amour pour les croyants,
pour qu'ils puissent faire des progrès.
Et nous avons tous besoin de faire des progrès.
Mais j'aimerais dire quelque chose sur cette question du lait, au verset 12.
Donc le lait va ensemble avec les orates de Dieu, les rudiments.
Et ainsi, dans le contexte de l'épitrose de lait,
peut dire vraiment les principes que Dieu a établis dans le judaïsme.
Et on verra cela au chapitre 6.
Dieu ne met pas de côté des principes de base qu'il a établis,
par exemple la question de la repentance, ou la foi, ou la résurrection.
Mais Dieu ajoute beaucoup plus à cela.
Et c'est cela l'enseignement de l'épitrose hébreue.
Donc on verra, d'un côté Dieu met de côté le judaïsme,
comme religion qui a rejeté le Messie.
Mais le judaïsme, comme Dieu a établi au début par Moïse,
est comparé avec le lait.
C'est une forme de nourriture.
Dieu a commencé par ça.
Mais Dieu veut aller beaucoup plus loin.
Et c'est ça qu'on voit dans l'épitrose hébreue.
Donc ça c'est le contexte direct.
Le lait nous parle ici des principes du judaïsme qu'on verra au début du chapitre 6.
C'était bon en soi, mais Dieu avait maintenant de meilleures choses.
Dans 1 Corinthien 3, Paul dit aux Corinthiens qu'ils avaient besoin du lait.
Là, Paul souligne cela parce qu'il parle de leur état charnel.
Et à cause de leur état charnel, ils ne pouvaient pas faire des progrès.
Et ils avaient besoin d'être nourris par le lait.
Le lait, là, peut dire la nourriture spirituelle pour un jeune croyant.
Mais dans 1 Pierre 2, nous avons encore le lait.
Et là, c'est vraiment très beau.
1 Pierre 2, verset 2.
On met de côté la médisance, l'hypocrisie.
Est-ce qu'on le fait en pratique?
Et là, Pierre dit que nous devons être désirants.
Nous devons désirer, comme un petit bébé, le lait de sa mère.
Il compare cela avec le lait intellectuel de la parole de Dieu.
Le lait, la parole de Dieu, est toujours bon.
Mais il faut avoir un désir.
Et ainsi, un petit bébé qui a ce désir, là, c'est bon de prendre ce lait-là.
Et nous devons, même quand on a fait des progrès à l'école du Dieu,
comme Jean l'explique dans 1 Jean 2, les pères, les jeunes et les petits, les bébés,
nous devons tous avoir ce désir pour le lait.
Donc, il faut réaliser cela.
Le lait, dans la parole de Dieu, est la nourriture pour le bébé.
Et là, il n'y a pas de mal, ça c'est bon.
Mais si un bébé reste toujours un bébé, là il y a un problème.
C'est ça le point.
Si un bébé reste un bébé, il y a un problème.
Il faut faire la croissance.
Mais la condition spirituelle, ici, avait besoin d'être améliorée.
Et on verra, Paul donne les remèdes pour que cette condition s'améliore.
Ainsi, il travaille pour les Galates.
On a vu cela, Galate 4.
Ainsi, il présente les choses aux Corinthiens pour qu'ils jugent les empêchements
Par la jalousie, par la propre volonté, par la sagesse de ce monde,
il restait sur le niveau d'un petit bébé.
Et Paul ne pouvait que donner du lait.
Mais ce n'est pas bon.
Il veut qu'on fasse des progrès.
Mais il ne faut pas conclure maintenant que 1 Pierre 2 dit la même chose.
1 Pierre 2 souligne le désir qu'on devrait avoir tous pour cette parole.
Quand un jeune bébé a un désir,
nous devons tous, âgés et jeunes, avoir ce désir pour le lait de la parole de Dieu.
Je pense aux deux disciples d'Hémorrus, dans Luc 24.
Ils étaient dans ce besoin-là, comme on voit ici.
Ils avaient besoin d'être enseignés.
Et quel était le moyen que le Seigneur a utilisé?
Il fallait qu'ils s'attachent à sa personne.
C'est quoi pour nous le moyen pour améliorer cette condition-là?
C'est l'attachement à sa personne.
Qu'est-ce que le Seigneur a fait dans la maison des deux disciples d'Hémorrus?
Il a pris la place de l'hôte dans la maison.
Il a rompu le pain, ce n'est pas la fraction du pain, c'est un repas.
Il a pris la place du chef de la maison.
Et tout d'un coup, ils l'ont vue, ses mains percées,
et là, ils ont réalisé, c'est le Seigneur.
Et là, ils ont réalisé que leur cœur avait commencé à brûler en dedans d'eux.
Donc, le Seigneur se présente dans sa beauté.
Ça, c'est le seul remède.
Lorsqu'on présente à nous-mêmes la personne du Seigneur Jésus,
dans sa grandeur, dans sa beauté, ils sont 45.
Le reste qu'il y a, il sera dans la grande tribulation,
beaucoup de troubles, beaucoup de peines, beaucoup de plaintes.
Ils sont 42, 43, 44.
Ils voient le Seigneur par la foi, touché.
Pour nous, c'est le seul remède.
Nous devons fixer le regard sur le Seigneur, comme l'Apitre 12 le dit tout le temps.
Être attaché à sa personne, nous serons capables d'accepter cet enseignement.
Donc, Paul est très sage comme docteur.
Il s'adresse d'abord à la condition spirituelle.
Il sait, si ça s'améliore, là je peux continuer pour donner cet enseignement,
comme on verra dans le chapitre précédent et suivant.
Encore un mot sur les bébés.
Éphésiens 4, lorsqu'on a étudié Éphésiens 4,
on a vu que c'est l'effort de l'ennemi pour garder les croyants sur ce niveau d'un bébé.
Pourquoi ? Parce que là, un bébé peut être balotté par tout vent de doctrine, facilement.
Tandis qu'un homme fait, il sait où il se tient,
comme on a vu dans Colossiens 1.
Il sait ce qu'il doit faire.
Et l'ennemi ne peut pas facilement le détourner.
À la fin du verset 14, mais la nourriture solide est pour les hommes faits.
Donc, je répète, la nourriture solide, dans le contexte lépitrose-hébreu,
veut dire les choses par rapport à Christ, comme il est maintenant dans la gloire,
ça va ensemble avec la parole de la justice,
Dieu l'a couronnée de gloire et d'honneur,
nous voyons la beauté du Seigneur Jésus,
tandis que le lait va ensemble avec le début,
et pas seulement cela, va ensemble avec les principes que Dieu avait établis dans le judaïsme.
Par exemple, Jean le Baptiseur, il y a beaucoup de bonnes choses que Jean le Baptiseur a présentées,
mais on ne va pas rester sur ce niveau-là, on va avancer.
Maintenant, j'aimerais donc dire un mot sur la perfection.
On a parlé de la perfection par rapport au Seigneur Jésus consommé.
Maintenant, au verset 15,
il y a la nourriture solide,
la nourriture solide,
la nourriture solide,
la nourriture solide,
la nourriture solide,
la nourriture solide,
la nourriture solide,
au verset
les hommes faits.
Là, nous avons donc un état spirituel
qui est souvent traduit comme parfait,
ou dans l'original ici, dans le chapitre 5, verset 14,
les hommes faits,
c'est les hommes parfaits, dit le drame,
ou qui ont atteint le but.
Maintenant donc, c'est pour ça que j'aimerais dire un mot sur la perfection.
On verra plus tard, dans chapitres 9 et 10,
que nous sommes parfaits par l'œuvre de Christ.
L'œuvre accomplie de Christ nous a rendus parfaits devant Dieu.
Il y a d'autres passages dans la parole qui nous montrent
que nous serons parfaits lorsque nous serons dans la gloire.
Il n'y a aucune question là-dessus.
Lorsque nous serons avec le Seigneur, nous serons parfaits.
Mais Dieu cherche un état spirituel qui est conforme à ses pensées.
Et ça, c'est la question de la maturité, comme j'ai mentionné,
dans Colossiens 1, verset 28,
et d'autres passages nous parlent de cette maturité spirituelle.
Les hommes faits, et dans l'original,
sont ensemble avec la pensée de la perfection.
Et il y a un verset dans 1 Corinthiens 2,
qui dit, Paul parle là, il dit,
nous parlons la sagesse de Dieu parmi ceux qui sont parfaits.
Là, ça veut dire ceux qui ont une attitude spirituelle.
Donc ce que j'aimerais résumer ici,
les hommes faits, ce n'est pas l'avenir où nous serons dans la gloire.
Ce n'est pas ici pour montrer notre position en Christ qui est parfait.
Non, c'est ici une attitude spirituelle,
la croissance spirituelle,
mais aussi une attitude spirituelle pour recevoir les pensées de Dieu.
C'est ça le point à saisir.
Comme Paul dit dans 1 Corinthiens 2,
nous parlons la sagesse de Dieu au milieu de ceux qui sont parfaits.
Je le dis avec un propre mot,
mais là ça veut dire ceux qui ont une attitude spirituelle qui est bonne.
Les jeunes croyants avec nous,
peuvent avoir une bonne attitude,
et dans ce sens-là, être parfaits.
Une bonne attitude pour recevoir la parole de Dieu.
C'est ça la question.
Si nous sommes plus avancés, il faut garder cette attitude.
Une bonne attitude pour recevoir la parole de Dieu.
Et ainsi, on va faire des progrès.
Et ainsi, on aura aussi les sens exercés pour discerner.
Ça nous parle donc d'entraînement exercé,
veut dire, il y a une éducation,
il y a des efforts pour être éduqué, entraîné,
il y a aussi une référence aux habitudes.
Par habitudes, on devient exercé.
Lorsqu'on s'occupe des choses de Dieu,
on entraîne davantage dans les pensées de Dieu.
Et ainsi, on aura donc pratiquement une condition spirituelle,
et aussi une matérité, comme nous avons vu,
pour discerner le bien et le mal.
Et dans le contexte, on verra donc le bien,
c'est par rapport aux choses de Christ,
comme il les mène pendant la gloire,
la parole de la justice, la nourriture solide,
tandis que le mal, c'est par rapport à ceux qui voulaient
s'attacher au judaïsme, que Dieu avait mis de côté.
Donc le discernement est très important,
un discernement spirituel.
Ça prend aussi ces pensées-là.
Être dans la présence de Dieu.
Comme on verra plus tard dans cet esprit,
les croyants sont dans la présence immédiate de Dieu.
Et lorsque nous sommes dans la présence de Dieu,
nous voyons les choses comme Dieu les voit.
Ça, c'est aussi impliqué ici.
Et sans exercer, nous sommes ici sur la terre,
dans le désert, mais en même temps,
nous avons libre accès au sanctuaire,
et nous aimons voir les choses comme les Sérubins les voient, par exemple.
Les Sérubins maintiennent toujours les droits de Dieu,
la gloire de Dieu, si Dieu veut que nous soyons
en accord avec ses pensées,
pour discerner ses pensées.
Et on verra donc la prochaine fois,
le restant de cette parenthèse,
qui souligne donc l'importance de se détacher du judaïsme
comme religion charnelle qui avait rejeté le Messie,
et de notre côté, s'attacher davantage au Seigneur Jésus,
et on verra, à la fin du chapitre 6, comment il... …
Transcription automatique:
…
Hebrews 6, 1er verset
C'est pourquoi, laissant la parole du commencement du Christ, avançons vers l'état d'homme fait,
ne posant pas de nouveau le fondement de la repentance des œuvres mortes et de la foi en Dieu,
de la doctrine des abusions et de l'imposition des mains, et de la résurrection des morts et du jugement éternel.
Et c'est ce que nous ferons, si Dieu le permet.
Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, et qui ont goûté du dent céleste,
et qui sont devenus participants de l'Esprit Saint, et qui ont goûté la bonne parole de Dieu,
et les miracles du siècle à venir, et qui sont tombés, soient renouvelés encore à la repentance,
crucifiant pour eux-mêmes le Fils de Dieu, et l'exposant à leur feuille.
Car la terre qui boit la pluie qui vient, qui vient souvent sur elle,
et qui produit des herbes utiles pour ceux pour qui elle est aussi laborée,
reçoit de Dieu de la bénédiction.
Mais si elle porte des épines et des chardons, elle est réprouveuse et traite de la malédiction,
et sa faim est d'être brûlée.
Nous sommes persuadés, dans ce qui vous concerne, bien-aimés, de choses meilleures,
et qui tiennent au salut, quoique nous parlions ainsi.
Car Dieu n'est pas injuste pour oublier votre heure et l'amour que vous avez montré pour son nom,
ayant servi les saints et les servants encore.
Mais nous désirons que chacun de vous montre la même diligence pour la pleine assurance de l'espérance jusqu'au bout,
afin que vous ne deveniez pas paresseux, mais imitateurs de ceux qui, par la foi et par la patience,
périssent de ce qui avait été promis.
Car lorsque Dieu fit la promesse à Abraham, puisqu'il n'y avait personne,
puisqu'il n'avait personne de plus grand par qui jurer,
il jura par lui-même, disant, certes, en bénissant, je te bénirai, et en multipliant, je te multiplierai.
Et ainsi Abraham, ayant eu patience, obtint ce qui avait été promis.
Car les hommes jurent par quelqu'un qui est plus grand qu'eux,
et le serment est pour eux un terme à toute dispute, pour rendre ferme ce qui est en eux.
Et Dieu, voulant en cela montrer plus abondamment aux héritiers de la promesse l'instabilité de son conseil,
est intervenu par un serment, afin que, par deux choses innuables, dans lesquelles il était impossible que Dieu mentisse,
nous ayons une ferme consolation, nous qui nous sommes enfuis pour saisir l'espérance proposée,
laquelle nous avons comme une encre de l'âme sûre et ferme,
et qui entre jusqu'au-dedans du voile où Jésus est entré comme précurseur pour nous,
et étant devenu souverain sacrificateur pour l'éternité, selon l'ordre de mes petits élèves.
Jusqu'ici, j'en ai plus de la parole.
Ce chapitre est un chapitre très difficile.
C'est un chapitre où il y a beaucoup de confusion et de dissension.
J'aimerais, avec l'aide du Seigneur, simplement tracer quelques lignes dans ce chapitre.
Et d'abord, pour nous, c'est important de comprendre que l'auteur de cet épitre s'interrompt quelques fois pour donner des avertissements.
Donc, il enseigne. C'est vraiment un enseignant qui parle dans cet épitre. C'est comme un non-serment.
Et il s'interrompt quelques fois, cinq fois, pour appliquer ce qu'il a dit, et puis pour avertir.
On a vu cela au chapitre 2, verset 1 à 4. On a vu cela au chapitre 3, verset 7 jusqu'au 4, verset 13. C'est une parenthèse plus longue.
Et la dernière fois, on a vu que le troisième avertissement commence au chapitre 5, verset 11.
Lorsque l'auteur Paul, évidemment, a introduit ce beau sujet de Christ comme souverain sacrificateur selon l'ordre de Melchizedek, il s'interrompt.
Donc, on a vu déjà qu'il a présenté la grandeur de Christ, plus grand que les anges, plus grand que Maurice, plus grand qu'Aaron.
Et maintenant, il va parler du Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur, pas seulement selon l'exemple d'Aaron, il est beaucoup plus grand qu'Aaron, mais selon l'ordre qui est préfiguré dans l'Ancien Testament par Melchizedek.
Et la prochaine fois, Dieu voulant, au chapitre 7, on va parler en détail de ce Melchizedek.
Mais ici, au chapitre 5, verset 11, Paul voulait dire beaucoup de choses, mais il a dit qu'ils sont difficiles à expliquer.
Pourquoi étaient ces choses difficiles à expliquer aux auditeurs ou à ceux qui ont reçu cette lettre?
Puisque vous êtes devenus paresseux à écouter.
Maintenant, il faut se rappeler le contexte.
Il y avait donc les Juifs à Jérusalem, en Judée, qui étaient persécutés.
On voit cela déjà dans l'Épître de Jacques.
Ils ont subi beaucoup de persécutions et ils étaient dans un état difficile, dans une condition difficile, dans une situation difficile, plutôt.
Et dans cette situation difficile, ils considéraient la possibilité de retourner au judaïsme.
Ils étaient des croyants qui ont confessé le bon nom du Saint Jésus, mais à cause de toute cette pression, ils voulaient pour un temps retourner au judaïsme.
Pour, ça c'était la pensée, pour après la persécution, revenir au christianisme.
Et puis, ça c'est le sujet un peu du chapitre 6, pour montrer que cette pensée était vraiment impossible.
Et on verra pourquoi.
Donc, chapitre 5, verset 12, nous voyons l'avertissement.
Ils étaient devenus paresseux et ils étaient stagnants.
Au lieu de progresser, il dit dans le temps, vous auriez dû être des docteurs, mais au lieu de pouvoir enseigner d'autres, au lieu de pouvoir aider d'autres, vous avez besoin, de nouveau, qu'on vous enseigne quels sont les premiers rudiments, les oracles de Dieu.
Donc, l'ABC, les principes de base.
Et ensuite, il explique, ils n'avaient pas la capacité de recevoir la nourriture solide.
La nourriture solide va ensemble avec Christ dans la gloire.
Cet épisode nous présente Christ dans la gloire.
La nourriture solide est par rapport à cette nouvelle vérité, que Christ, il est maintenant un homme dans la gloire.
Dans le judaïsme, cela était inconnu, évidemment.
Et même selon ce que les juifs connaissaient dans les évangiles, ils ne connaissaient pas un Christ glorifié.
C'était inconnu.
Mais, dans le restant du Nouveau Testament, spécialement par le ministère de Paul, nous voyons comment Christ est maintenant dans la gloire.
Il y a maintenant un lien entre lui et nous sur la terre.
Mais pour entrer dans ces vérités-là, cette parole de la justice, etc., il fallait être des hommes faits.
Cela veut dire la maturité spirituelle.
Il ne faut pas confondre cela avec notre position en Christ.
Notre position en Christ est parfaite.
Personne ne peut ajouter à ça.
Personne ne peut améliorer cette position-là.
Ce serait la peine de penser cela.
Ce n'est pas donc que la position comme telle qu'ils avaient comme croyants n'était pas bonne.
Le problème était leur condition spirituelle.
Ils n'étaient pas capables d'accepter cet enseignement.
Ils n'avaient pas le sens exercé à discerner le bien et le mal.
Maintenant, ça c'est le contexte historique pour les juifs chrétiens dans ce temps-là.
Mais il faut aussi appliquer cela à nous aujourd'hui.
Qu'est-ce qu'on dirait de notre condition?
Est-ce que nous sommes capables d'entrer dans cet enseignement de l'Épiscope aux Hébreux?
Ou l'enseignement du nouveau testament par Paul, par Jean, par Pierre?
Ils nous parlent tous du Seigneur Jésus.
Où est-ce qu'on a besoin?
Est-ce qu'on retourne au judaïsme comme on voit au chapitre 6 au début?
Malheureusement, dans l'histoire de l'Église, nous voyons que ce n'était pas seulement un problème pour les juifs chrétiens qui voulaient retourner au judaïsme.
C'est devenu un problème majeur dans l'histoire de l'Église.
Prenons le premier verset maintenant.
C'est pourquoi, laissant la parole du commencement du Christ, avançons.
Paul voulait avancer vers l'état d'enfaite.
Il voulait les prendre à la main et les faire avancer.
C'est l'exercice de Paul.
Si vous voulez lire Colossiens 1 et 2, par exemple, vous allez voir l'exercice de Paul pour que les croyants puissent grandir.
Est-ce que nous avons besoin de grandir?
Est-ce qu'on peut dire, à un moment donné, non, moi j'ai maintenant atteint le niveau là, le niveau plus haut, j'ai plus besoin de grandir.
Non.
Si on pense de même, ce serait faux et ce serait stagné.
Ce serait vraiment le début d'un regret, d'une veste.
Et Paul voulait prendre les croyants pour qu'ils puissent avancer, pour qu'ils puissent faire des progrès.
Pierre le dit dans 2 Pierre 3, croissez dans la grâce, dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ.
Et si vous voulez lire Colossiens 1 et 2, Gala 4 par exemple, Paul dit, c'est un autre exemple,
que son exercice était comme une mère qui allait enfanter un enfant.
Pas seulement ça, la mère voulait que l'enfant grandisse.
Est-ce que vous avez jamais vu une mère qui a un petit bébé, elle veut que le bébé reste comme ça, de même?
Vous avez jamais vu une mère de même?
Ma part, ma part.
Une mère veut que l'enfant grandisse, parce qu'elle sait que si l'enfant ne grandit pas, ça va aller mal.
Et ainsi pour le croyant, si on ne fait pas des progrès, à l'école de Dieu, ça va aller mal.
C'est pour ça que Paul prend les croyants, il veut les faire avancer.
Et dans l'original, le mot avançant veut dire, on pourrait traduire comme ça, soyons portés vers l'état d'enfant.
Donc il y a un élément là de la dépendance, que Dieu nous aide.
Plus loin, on verra aussi l'emphase sur notre côté, verset 11 par exemple, chapitre 6.
Nous désirons que chacun de vous montre la même diligence.
Il faut que nous soyons diligents.
Mais de notre côté, nous devons aussi réaliser que ça prend une heure de Dieu.
Et avançons, le mot avançons implique cet aspect là.
Ça prend aussi un travail de Dieu.
Pour avancer vers l'état d'enfant.
Mais, ne posant pas de nouveau le fondement de la repentance, ce n'est pas ici pour retourner vers le judaïsme.
Le judaïsme connaissait aussi la repentance, le principe de la repentance.
Jean le Baptiseur avait parlé de la repentance.
La repentance des œuvres mortes, et ensemble avec cela, la nécessité de la foi en Dieu.
Non, Paul ne voulait pas poser un tel fondement.
C'était déjà posé une fois pour toutes, ça suffit.
Il voulait maintenant avancer, pas retourner, pas reculer, avancer.
Ou verser deux, de la doctrine des adoptions.
C'était donc les façons dans lesquelles, selon la loi juive, les choses devaient être lavées.
Beaucoup d'instructions dans la loi de Moïse.
Ou l'imposition des mains.
Comme pour bénir, ou pour s'identifier avec les sacrifices qui allaient être offerts.
Comme on le voit dans Exode, Levitique.
Non, ce n'est pas ça que Paul voulait présenter.
Ou même, par rapport aux choses à venir, la résurrection des morts et du jugement éternel.
Notons bien ici, il ne parle pas de la résurrection d'entre les morts.
Ça c'est nouveau.
Christ a été resté d'entre les morts.
Ça c'est quelque chose de nouveau.
Ça appartient au christianisme.
Le judaïsme connaissait le principe de la résurrection des morts.
Comme on voit avec Marthe dans Jean XI, lorsque le Seigneur allait réciter Lazare.
Marthe ne comprenait pas vraiment le principe de la résurrection d'entre les morts.
Mais le christianisme est basé sur ce principe là.
La résurrection d'entre les morts.
Donc c'est un niveau plus élevé que le judaïsme.
Et le jugement éternel, c'est clair, le judaïsme connaissait ça.
Mais par rapport aux choses à venir, nous avons beaucoup plus d'instructions qui vont beaucoup plus loin que juste cette pensée là.
Donc Paul ne veut pas que les croyants retournent à ce niveau là.
Mais je répète, malheureusement dans l'histoire de l'église, on voit qu'à beaucoup d'égards, les églises sont retournées à ce fondement là.
Au lieu d'être attachées à Christ dans la gloire et prendre cette nourriture solide pour les hommes faits.
Vers cette fois, c'est ce que nous ferons.
Maintenant il faut comprendre ce que Paul dit ici.
Avançons vers cette première.
Donc nous voulons avancer, si Dieu le permet.
Donc il souligne le besoin de l'aide de Dieu, d'être dépendant de Dieu.
Comme je l'ai suggéré déjà au début.
Mais nous devons avancer, si Dieu le permet.
Dieu veut nous aider, ça c'est clair.
Mais Paul a réalisé la dépendance de Dieu pour cela.
Maintenant verset 4.
Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés.
Maintenant il va donner quelques points qui soulignent les privilèges que les croyants avaient.
Je répète maintenant.
Les croyants à Jérusalem, en Judée, à ce moment là, les vrais croyants étaient éclairés.
Le mot éclairé revient encore une fois au chapitre 10 verset 32.
Et là c'est clair que ça s'applique aux vrais croyants.
Chapitre 10 verset 32.
Mais rappelez dans votre mémoire les jours précédents dans lesquels ayant été éclairés.
Vous avez enduré un grand combat de souffrance.
Vous voyez, ils étaient éclairés.
Un peu comme on voit dans 2 Corinthians 4.
Nous voyons comment le Dieu de gloire nous a illuminés par la foi.
Deux jeunes hommes qui ont goûté du don céleste.
Souvent dans le passé j'ai pensé que c'était seulement goûter.
Mais ça ne veut pas dire qu'ils l'avaient mangé.
Mais si on compare par exemple chapitre 2 verset 9.
Que le Seigneur Jésus a goûté la mort.
Est-ce que ça veut dire qu'il a juste touché un peu?
Non.
C'était vrai pour lui.
Ainsi, toutes les passages qu'on voit, ce mot qui est utilisé, goûter.
Par exemple 1 théâtre 2 verset 3.
Que nous pouvons goûter la bonté du Dieu.
C'est vraiment s'approprier de ces choses.
Donc ici il parle des croyants qui avaient goûté le don céleste.
Donc ça veut dire qu'au début ils ont connu Christ dans la gloire.
Ils ont réalisé les privilèges qu'ils avaient par rapport à un Christ glorifié.
Ils l'ont goûté.
Ils se sont appropriés de cela.
Et ils se sont identifiés avec l'Esprit du Dieu.
Devenus participants.
Comme on l'a vu dans chapitre 3 verset 1 et 14.
Participants de Christ.
Chapitre 1 verset 9 aussi.
Participants de Christ.
Donc un lien intime avec Christ.
Un lien intime avec l'Esprit du Dieu.
Quatrième point.
Qui ont goûté la bonne parole du Dieu.
Ici c'est le même verbe qu'au début.
Goûter du don céleste.
Et maintenant goûter la bonne parole du Dieu.
La bonne parole du Dieu c'est encore par rapport à Christ dans la gloire.
La position céleste du Seigneur Jésus.
C'est la bonne parole du Dieu.
Et les miracles du siècle à venir.
On sait que dans les actes on trouve ces miracles.
C'est vraiment le siècle à venir ou le monde à venir.
Ça veut dire des miracles qu'on verra aussi au début du Mélanie.
Mais les croyants au début dans les actes ont vu ces miracles.
Et ensuite qu'est-ce que le verset signifie?
Qu'ils sont tombés.
C'est là la confusion.
Un croyant ne peut pas perdre son salut.
Ça c'est clair.
Et le passage n'enseigne pas qu'un croyant peut perdre son salut.
Le Seigneur a dit clairement.
Mes brebis écoutent ma voix et moi je les connais.
Et elles me suivent.
Et je leur donne la vie éternelle.
Et elles ne périront jamais.
Personne ne les ravira demain.
Le Seigneur a dit cela clairement.
Il y a beaucoup d'autres passages qui montrent clairement.
Un croyant ne peut pas perdre le salut.
Ça c'est pas le point ici.
Qu'est-ce que Paul veut dire ici?
Un croyant peut stagner.
Un croyant peut retomber dans le judaïsme, dans un système religieux.
Il peut nier pratiquement les liens qu'il a avec Christ dans la gloire.
Vous voyez si on dit que ce passage s'applique à ceux qui professent le nom de Christ,
mais ne sont pas vraiment nés de nouveau.
On limite ce passage.
Mais ce passage parle aux croyants pour nous avertir,
pour vraiment nous sonder.
Est-ce que nous sommes vraiment identifiés avec Christ dans la gloire?
Est-ce qu'on veut avancer avec lui?
Ou est-ce que nous sommes stagnants?
Ou est-ce que nous sommes stagnants?
Est-ce que nous sommes satisfaits avec ce que nous font?
Nous sommes satisfaits avec l'état de l'Église?
Tomber ici, je veux dire, juste un exemple, dans 1 Chrétien 9 et 10,
on voit l'histoire du peuple dans le désert.
Dans 1 Chrétien 9, Paul applique ce principe à lui-même, de ce combat.
Il court, dans Hebreu 12, on va revenir à la course plus tard,
Dieu voulant qu'il nous laisse encore ici, qu'il nous donne une autre occasion.
Mais Paul était dans la course.
Il dit au verset 26,
Paul ne voulait pas enseigner ici qu'il pouvait perdre son salut.
Il ne voulait pas être disqualifié.
Il avait couru dans la course, il avait prêché, il avait dit à d'autres gens,
mais venez avec nous, courons avec Christ.
Puis là, à un moment donné, il fait quelque chose qui n'était pas correct,
et là il serait disqualifié pour continuer dans la course.
Et c'est ça l'exemple qu'il donne dans le chapitre 10.
Est-ce que vous pensez que tous ces croyants qui sont sortis de l'Égypte,
qui sont tombés dans le désert, comme on voit dans le chapitre 10,
ils étaient tous sous la nuée, tous traversés la mer, baptisés pour mourir,
ils ont mangé la même viande spirituelle,
ils ont bu le même breuvage spirituel, verset 4,
mais ils sont tombés. Pourquoi ?
Ils ont convaincu, combattu, ils sont devenus idolâtres, verset 7,
ils se sont rebellés, ils ont commis la fornication spirituelle, verset 8,
et même physique, verset 9.
Il dit, ne tentons pas non plus le Christ comme quelques-uns d'eux l'ont tenté,
et ont péri par les serpents.
Pourquoi le Seigneur a permis cela, qu'ils tombent dans le désert ?
Parce qu'ils avaient rejeté les pensées du Dieu.
On voit cela clairement dans l'ombre 13.
Les douze espions sont revenus, leur rapport était clair,
Dieu nous a promis ce pays, mais les dix ont dit non,
ça n'a pas de bon sens, on ne peut pas y aller avec ces géants-là.
Donc ils n'avaient pas de foi, ils ne voulaient pas accepter les pensées du Dieu,
tandis que Josué et Calème, ils sont allés de l'avant.
Ils ne sont pas tombés dans le désert.
Les restants, à cause de leur désobéissance, sont tombés dans le désert.
Je répète la question, est-ce que cela veut dire que tous ces gens-là n'étaient pas nés de nouveau ?
Non, le point c'est que Dieu ne pouvait plus les maintenir comme témoignages.
Il avait abandonné les témoignages du Dieu, il avait abandonné la pensée du Dieu.
Ils se sont rebellés, c'est pour cela qu'ils sont tombés dans le désert.
Ici dans les Russies, c'est le même contexte.
Pour revenir au contexte général, Jérusalem serait assiégée par les Romains.
Jérusalem serait détruite l'année 1970.
Dieu ne voulait pas que ces chrétiens juifs retournent au judaïsme.
Ils seraient morts, ils seraient tués dans cette situation-là, avec la destruction du temple.
Le Seigneur voulait que les croyants sortent, on verra plus tard dans l'Hivre XIII, qu'ils sortent du cain.
Au lieu de retourner, ça c'est le contexte.
Donc un croyant peut retourner au judaïsme, il peut retourner au cain, mais là il ne va pas faire des progrès.
Il s'expose au jugement du Dieu, mais ça ne veut pas dire qu'il peut perdre son salut.
Ça c'est un point très important à comprendre.
Le point du verset 7, ah oui, revenons encore au verset 6.
Si on fait cela, comme ces croyants ont dit, ok, on va retourner au judaïsme, après la persécution, on va retourner au chrétainisme.
Non, si vous faites cela, c'est impossible d'être renouvelé encore à la repentance.
Vous ne pouvez pas encore passer à travers cette repentance, parce qu'en faisant cela, vous crucifiez pour vous-même le Fils du Dieu.
En retournant au judaïsme, ils ont exposé à l'autre ordre le Fils du Dieu, avec cette pensée-là.
Et maintenant, les versets qui suivent, il explique encore, la terre qui doit la pluie, donc ça c'est la bénédiction qui vient d'en haut,
comme Christ est maintenant dans la gloire, il veut baigner son peuple ici sur la terre, il donne la pluie, comme on voit au verset 4, 5.
Qu'est-ce qu'on fait avec cette pluie-là?
Est-ce qu'on est de la bonne terre qui va produire des herbes utiles, ou est-ce qu'on va produire des herbes, comme il dit au verset 8, des épines, des chardons?
Si on rejette ce lien que nous avons avec Christ dans la gloire, si on retourne dans un système religieux, on porte des épines et des chardons,
on s'expose au jugement du Dieu, je répète, ça ne veut pas dire qu'on peut perdre son salut, mais on s'expose au jugement du Dieu.
Au lieu de recevoir la bénédiction de Dieu, à la fin du verset 7.
Donc si, ça c'est un principe du gouvernement de Dieu, si nous obéissons, si nous faisons ce que Dieu nous dit, il va nous bénir.
Ça ne veut pas dire qu'on n'aura pas de persécution, non, ça je ne dis pas qu'il y aurait de la persécution, mais il serait béni à travers tout cela.
Tandis que s'il voulait éviter la persécution, il n'aurait pas ses fruits pour la gloire de Dieu, et dans le gouvernement de Dieu, ce serait la malédiction.
En se plaçant encore sous la loi de Moïse, il se plaçait sous la malédiction de la loi.
Il faut lire Galate 3 là-dessus, pour comprendre comment c'était sérieux de retourner au judaïsme.
Verset 9, il faut encourager les croyants, il dit, nous sommes persuadés en ce qui vous concerne, bien aimer, c'est beau de voir cela, bien aimer.
Il va parler maintenant de trois choses qui sont tellement beaux, l'amour et aussi l'espérance et la foi, on verra dans les versets qui suivent.
Nous sommes persuadés en ce qui vous concerne, bien aimer, de choses meilleures et qui tiennent au salut.
On a le mot salut sept fois dans cet épisode.
Le salut qui vient de Dieu.
Paul était convaincu que les croyants auxquels il s'agressait, ils voulaient suivre cet enseignement au lieu de retourner au judaïsme et rejeter cet enseignement.
Mais il fallait qu'ils les avertissent.
C'est comme si on marche avec un petit enfant à côté du canal, on tient la main et on dit, tiens ma main forte, si tu tombes, tu tombes dans l'eau et tu vas mourir.
C'est un avertissement.
Et si Paul a averti les croyants, ça ne veut pas dire qu'ils vont suivre ce chemin-là, mais il les avertit de ne pas suivre ce chemin-là.
Et puis il ne dit pas que si l'enfant tombe dans l'eau, il va se jeter dans l'eau pour sauver l'enfant. Il ne dit pas ça.
Parce qu'autrement il enlèverait la force de l'avertissement.
Donc il donne l'avertissement dans toute sa force pour que les croyants soient vraiment convaincus de suivre cet enseignement.
Il ne parle pas de ce que Dieu peut faire encore dans sa grâce, même si on est désobéissant. Il ne parle pas de cela.
Et cet amour des croyants hébreux était sincère.
Et on a beaucoup de preuves en lisant cet épitre que leur amour était sincère.
Et Paul les recommande ici. Ils ont montré l'amour pour son nom.
Et en servant les saints, il les serva encore.
Mais il était en danger d'arrêter.
Et en suivant l'enseignement de cet épitre, on voit que les avertissements deviennent de plus en plus sérieux.
Chapitre 10, on verra que les avertissements sont encore plus forts.
Chapitre 12, encore plus forts.
Parce que Paul avait vraiment peur qu'il ne saisisse pas cet enseignement.
Donc de plus en plus il enseigne et en même temps il avertit encore plus fort.
Mais il réalise quand même leur amour qui était là et il les recommande.
Deuxièmement au verset 11, nous désirons que chacun de vous montre la même diligence pour la pleine assurance de l'espérance.
Ici nous avons l'espérance.
On sait que souvent l'amour, l'espérance et la foi vont ensemble.
Vous pourriez étudier là le Nouveau Testament, c'est vraiment éduquant de faire ça.
L'amour, l'espérance et la foi vont ensemble.
Mais ici c'est pour souligner maintenant le point de la diligence, le zèle spirituel.
Est-ce que nous avons du zèle ou est-ce qu'on va dire, oh, quelqu'un d'autre peut le faire.
Moi je prends un break.
Ou est-ce qu'on veut vraiment avoir cette diligence.
Ce n'est pas facile.
Mais Dieu va récompenser cette diligence, ce zèle spirituel.
Voilà, on a vu déjà ce zèle spirituel, cette diligence va ensemble avec le travail de Dieu.
Si on veut avancer, on a vu ce premier verset et surtout au verset 3, si Dieu le permet, on rélit.
On a besoin de l'aide du Seigneur.
Et les deux vont toujours ensemble.
Mon désir de servir Dieu, c'est un bon désir.
Votre désir de servir Dieu, c'est un bon désir.
Mais on a besoin de son aide.
Les deux vont ensemble.
Et cette diligence est ici par rapport à la pleine assurance de l'espérance.
De nouveau, ça va ensemble avec la réalisation que nous sommes attachés à Christ dans la gloire.
Et que nous pouvons maintenant continuer jusqu'au bout.
Ne pas lâcher mi-chemin, mais continuer jusqu'au bout.
Parce qu'on a cette espérance.
Et cette espérance au verset 18, on verra encore quelques détails, qu'on ne peut pas se tromper.
Si on met sa confiance en Dieu, il est notre espérance, le Seigneur dans la gloire est notre espérance, on ne va pas se tromper.
On verra cela dans quelques versets plus loin.
Verset 12.
Afin que vous ne deveniez pas paresseux.
Qu'est-ce qu'on a vu au verset 5, verset 11 ?
Qu'est-ce qu'on a dit ?
Puisque vous êtes devenus paresseux.
Il veut les encourager maintenant.
Il veut qu'ils montrent du zèle spirituel, une diligence.
Et ensuite, ils peuvent imiter ceux qui par la foi et par la patience, héritent ce qui avait été promis.
Ça c'est l'exemple des croyants, comme j'ai dit tantôt, Caleb, Josué.
Par leur foi, par leur patience, ils sont entrés dans le pays.
Dieu les a récompensés.
On peut penser à Abraham aussi.
Abraham a dû patienter beaucoup.
Il a donné une promesse, ça a pris 25 ans avant que la promesse soit accomplie.
Son fils est né.
Ensuite, Dieu a dit à Abraham, donne-moi ton fils, sacrifie-le.
Et Abraham a compris que Dieu allait le restituer, si Dieu avait demandé qu'il le sacrifie vraiment.
Donc Abraham a connu cette patience et cette confiance en Dieu.
Maintenant, c'est notre tour.
À ce moment-là, ceux qui ont reçu cet épître, aujourd'hui c'est nous.
Est-ce que nous voulons imiter ceux qui par la foi et par la patience ont hérité ce qui avait été promis?
Donc je répète, il y a un autre élément qui s'ajoute, c'est la patience.
L'amour, l'espérance, la foi et maintenant un nouvel élément, la patience.
Ça veut dire continuer, continuer.
Le mot ici implique l'onganité.
Donc avoir beaucoup de patience et de ne pas se venger.
Si quelqu'un fait quelque chose, je ne vais pas me venger, je mets ma confiance en Dieu.
C'est cette patience-là que nous voyons en Caleb et Jésus et surtout aussi en Abraham.
Et ainsi ils ont hérité ce qui avait été promis.
Maintenant, il va parler de la promesse, verset 13.
Et maintenant on va voir trois choses.
La promesse, verset 13.
Ensuite le serment qui confirme la promesse.
Et ensuite une ferme consolation par l'espérance proposée à la fin du verset 18.
Donc la promesse, est-ce que la promesse est suffisante?
Bien sûr, si Dieu donne une promesse, c'est suffisant.
Dieu fit la promesse à Abraham puisqu'il n'avait personne de plus grand par qui jurer, il jura par lui-même.
Donc la promesse est confirmée par un serment.
Certes, en bénissant, je te bénirai et en multipliant, je te multiplierai.
C'est pour bénir.
On n'a pas le temps maintenant de vérifier cela.
Il y a plusieurs occasions où Dieu a juré par lui-même.
On comprend, si quelqu'un doit jurer aujourd'hui devant les autorités, c'est parce qu'on jure par quelqu'un qui est plus grand.
C'est par Dieu, il est plus grand que nous.
Et puis là, on confirme notre parole par le serment d'une autorité plus grande.
Mais Dieu, par rapport à Dieu, est-ce qu'il y a une autorité plus grande que Dieu lui-même? Non.
Donc Dieu a juré par lui-même.
C'est pour confirmer la bénédiction.
Et ainsi, au verset 15, Abraham ayant eu patience, on a parlé de la patience,
c'est encore la même pensée, la longue annuité, obtient ce qui avait été promis.
Je dis que cela a pris 25 ans.
Verset 16, car les hommes jurent par quelqu'un qui est plus grand qu'eux, et le serment est pour eux un terme à toute dispute.
Pour rendre ferme ce qui est convenu.
Donc c'est encore pour confirmer, si Dieu a promis quelque chose, il va l'accomplir.
Termes de dispute.
Verset 17, et Dieu voulant en cela montrer plus avant d'un moment aux héritiers de la promesse,
l'imitabilité de son conseil.
Donc ça veut dire, si Dieu avait donné une telle promesse, cette promesse ne pouvait pas être changée.
Si Dieu avait un tel plan, le mot conseil, veut dire plan, ou propos, si Dieu s'était proposé cela, il ne pouvait pas changer cela.
Ça nous parle de cette imitabilité de Dieu.
Dieu ne peut pas agir d'une façon croche, c'est impossible.
Verset 17, à la fin, donc Dieu confirme cela par un serment.
Et on va revenir au serment aussi plus tard, par rapport à l'ordre de Melchizedek.
C'est pour ça qu'Anse, il parle aussi en beaucoup de détails d'un serment.
Parce qu'on verra plus tard, chapitre 7, que le Seigneur Jésus est maintenant un sacrificateur sans ordre de Melchizedek.
Par rapport à ce serment de Dieu.
Verset 18, afin que par deux choses immuables, et la promesse et le serment, dans lesquels il était impossible que Dieu mentisse.
Dieu ne peut pas mentir, s'il donne une promesse.
Et c'est encore confirmé par le serment.
Nous ayons une ferme consolation.
Le mot consolation ici veut dire aussi encouragement.
Dans la prière, je pense, notre frère a utilisé ce mot, encourager.
Le Seigneur veut nous encourager.
Il veut donner une ferme consolation, un ferme encouragement.
Pourquoi? Pour qu'on puisse aller dans ce chemin-là, comme on a dit tantôt.
Il veut qu'on avance.
C'est pour ça qu'il encourage.
Nous qui nous sommes enfuis.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Le contexte juif maintenant.
Qu'est-ce que Pierre a dit dans Acte II?
Le Seigneur avait prié à la croix, « Père, pardonne-leur. »
Et par cela, Dieu allait leur donner une ville de refuge.
« Sauvez-vous de cette génération perverte. »
Ils étaient coupables comme nation de la mort de leur Messie.
Si on lit les évangiles, on voit que c'est vraiment meurtre.
Les gentils étaient aussi coupables, évidemment.
Mais sur la base, la prière du Seigneur Jésus, « Père, pardonne-leur, parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font. »
Dieu, dans sa grâce, a donné la possibilité de la ville de refuge.
Dans l'Ancien Testament, nous voyons que si quelqu'un avait tué quelqu'un par accident, il fallait qu'il aille à la ville de refuge.
Autrement, le vengeur pourrait le tuer.
Mais s'il se rendait à la ville de refuge, il serait en sécurité.
Et ainsi, les Juifs, qui étaient donc coupables de la mort du Seigneur Jésus,
à cause de la prière du Seigneur Jésus, Dieu ne les voyait pas comme meurtriers,
mais comme coupables d'avoir tué quelqu'un,
ils avaient la possibilité, le peuple juif avait la possibilité de la ville de refuge.
Et cette ville de refuge, on voit ici, dans Hébreux 6 verset 18,
« Nous qui nous sommes enfuis. »
Les Juifs, dans Acte 2, « Sauvez-vous de cette génération perverse. »
Ils sont entrés dans la ville de refuge, dans l'Assemblée, dans l'Église.
Et ensuite, beaucoup d'autres se sont réfugiés là, comme on voit dans le livre des Actes,
pour saisir l'espérance proposée.
Mais dans ce contexte-là, vous comprenez,
s'ils voulaient maintenant sortir de l'Église, sortir de la ville de refuge,
ils seraient sous le jugement de Dieu, malgré le fait qu'ils étaient de vrais croyants.
Ils se plaçaient sous le jugement de Dieu,
quant à ces voix gouvernementales pour cette terre et pour ce monde.
C'est pour ça qu'il fallait rester dans la ville de refuge,
pour saisir l'espérance proposée.
La ville de refuge nous met en contact avec le monde à venir.
C'est pour ça qu'il y a une espérance proposée.
Et aussi, on voit dans les détails de l'Enfant-Sacrificement,
qu'ils étaient en sécurité,
et seulement après la mort du Souverain Sacrificateur, ils pouvaient sortir de la ville.
Verset 19, « laquelle nous avons comme une encre de l'âme ».
Cette sécurité, cette sécurité par rapport à l'encre.
Quelquefois, on rencontre des gens qui n'ont pas l'assurance du salut.
Et ils sondent les écritures, ils se posent des questions.
On pourrait dire qu'ils mettent l'encre en eux-mêmes.
Ils mettent l'encre dans leur propre bateau.
Ainsi, on n'aura jamais l'assurance.
Mais qu'est-ce que l'auteur veut dire ici?
Christ est notre encre.
Et nous devons nous identifier avec lui.
Il est l'encre de l'âme.
Et il est allé déjà dans la gloire.
On parlait tantôt de la gloire.
Il est entré dans la gloire.
Et il est là, notre encre.
Donc, c'est solide, c'est stable.
Ça parle de cette sécurité.
Malgré le fait que l'élément de l'espérance est là encore,
parce que nous ne sommes pas là encore.
Il est allé avant nous, comme le précurseur.
On verra tantôt.
Et cette encre est sûre et ferme.
Pas de doute.
C'est la stabilité qui entre jusqu'au-dedans du voile.
Vous voyez le lien avec le ciel?
Dans le judaïsme, il ne pouvait pas entrer au-dedans du voile.
Mais dans le christianisme, on peut entrer jusqu'au-dedans du voile
parce que qui est là?
Jésus est là.
C'est l'un des neuf passages où nous voyons juste le nom de Jésus.
Jésus est présenté ici dans toute sa beauté,
dans toute sa magnificence, dans sa suprématie.
Jésus suffit pour vous, pour moi.
Il est là.
Il est entré comme précurseur.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Si quelqu'un entre comme précurseur, ça veut dire que les autres vont suivre.
Si je mets ma confiance en lui, l'encre qui est déjà là,
dans le précurseur, ça veut dire que moi je vais aller là aussi.
Je mets ma confiance en lui, il est là comme précurseur.
Et ça veut dire que moi je vais être là aussi.
Et il est là au-dedans du voile,
dans le lieu très saint, comme souverain sacrificateur.
Pas comme Aaron qui pouvait entrer seulement une fois par année.
Il est là tout le temps, pour l'éternité.
Parce qu'il est là selon l'ordre de Melchizedek.
C'est à la fin.
Donc nous avons beaucoup de choses merveilleuses par rapport au Seigneur Jésus.
Il confirme, il est vraiment la promesse de Dieu par rapport à lui.
Le conseil de Dieu est par rapport à lui.
L'immutabilité du conseil de Dieu est par rapport à lui.
Et ainsi, Dieu veut nous donner une ferme consolation pour qu'on puisse avancer.
Et pour qu'on puisse rester dans la ville de refuge.
Et qu'on puisse aussi jouir du lien que nous avons avec Christ dans la gloire.
L'encre de l'âme sûre et ferme au-dedans du voile.
On verra plus loin que le Seigneur Jésus veut nous introduire pratiquement aussi dans le lieu très sain.
Comme grand sacrificateur, il veut nous introduire là aussi pour que nous puissions jouir la communion avec Dieu déjà maintenant.
Ça c'est déjà impliqué ici dans cette phrase.
Il est là.
Ça veut dire que mon coeur est là.
Ça veut dire que ma joie est là.
Et ainsi nous sommes attachés à Christ qui est là.
Quoi que nous soyons encore ici sur la terre.
Et il est là pour prendre soin de nous parce qu'il est le souverain sacrificateur.
Donc la prochaine fois Dieu voulant, on va parler plus en détail de son service comme souverain sacrificateur.
Et deuxièmement, on va parler aussi de cet ordre de Melchizedek.
Mais je souligne maintenant l'expression pour l'éternité.
On a vu cela au chapitre 5 verset 6.
Comme il dit aussi dans un autre passage, tu es sacrificateur pour l'éternité selon l'ordre de Melchizedek.
Ainsi nous voyons donc la suprématie de cet ordre de sacrificature que le Seigneur Jésus a maintenant dans la gloire.
Est-ce qu'il y a des questions parce que le passage est très difficile, surtout le début là.
On peut facilement avoir des malentendus et je ne dis pas que ce que j'ai dit c'est le dernier mot.
Mais mon exercice était d'essayer de présenter ce passage comme quelque chose qui peut nous encourager,
qui peut nous motiver pour aller de l'avant, pour avancer, pour grandir,
pour faire des progrès, il faut produire du fruit, comme on a vu au verset 7.
Le Seigneur Jésus.
Qu'est-ce que vous m'entendez en termes de jugement des dieux?
Parce que j'ai ce que vous êtes en train de dire, pas du gouvernement des dieux sur la terre,
en termes de jugement de ton bien.
La discipline.
Exact.
Parce que les croyants ne peuvent pas être exposés au jugement de cette façon-là.
Mais s'il est désobéissant, il s'expose au jugement des dieux dans sa voie gouvernementale, dans sa discipline.
C'est ça que je voulais dire.
Qu'est-ce qu'on doit entendre?
Justement, j'essaie de revenir à ce qu'on a entendu du passage à Jésus-Christ.
Cette parole du commencement, qu'est-ce qu'on doit entendre?
C'est bon, tu poses la question parce que j'avais voulu dire quelque chose là-dessus, mais j'ai oublié.
Dans Jean 4, le Seigneur parle à la femme samaritaine.
Il lui dit, le salut vient des juifs.
Et ainsi, le commencement du Christ, ça parle de sa vie sur la terre.
Ça implique aussi le ministère de Jean le Baptiseur qui avait annoncé l'avenue du Christ.
Mais c'est par rapport au judaïsme.
Tandis que l'exercice de Paul, et l'enseignement de Paul, ça va beaucoup plus loin.
Ça va maintenant, c'est par rapport à Christ dans la gloire.
Et c'est pour ça qu'il dit, on laisse la parole du commencement du Christ.
On veut avancer vers l'état d'enfait.
C'est par rapport à Christ dans la gloire.
C'est comme ça que je les vois.
En fait, dans les Évangiles, ils vont plus loin que les Évangiles.
C'est ça.
Puis si on rencontre quelquefois des croyants qui disent, pour moi c'est l'Évangile là.
Puis ça finit.
Non, ça ne finit pas.
C'est pas suffisant.
L'Évangile est très riche et puis on va toujours retourner à l'Évangile.
Mais on a besoin des Épitres pour comprendre notre lien avec Christ dans la gloire,
qui n'est pas entenu dans les Évangiles.
C'est pour ça qu'on a vraiment besoin de comprendre ce point-là.
Peut-être un mot à souligner encore pour notre sécurité.
A la fin du verset 19, au début du verset 19,
laquelle nous avons.
Ce serait intéressant de voir tout ce que nous avons dans cet Épitre.
Puis ça aide pour notre sécurité.
Nous avons un grand souverain sacricateur.
On a vu ça dans le chapitre 4.
Ici, nous avons une encre de l'âme.
On a vu, c'est encore pour nous aider, pour nous donner l'assurance et la solidité.
Et plus loin, on verra le chapitre 8.
Nous avons un tel qui est ministre du sanctuaire.
Chapitre 10, verset 19.
Nous avons la confiance pour un fait.
Nous avons une nuée de témoins.
Chapitre 12, verset 1.
Et ainsi, nous avons un autel.
Chapitre 13.
Nous avons un autel.
Donc, il y a beaucoup de choses que nous avons.
C'est pour confirmer ce que nous sommes comme chrétiens
et ce que nous pouvons jouir comme chrétiens.
Nous avons.
Ce n'est pas qu'un jour on va l'avoir.
Non, nous avons.
Et vous comprenez, il y a beaucoup de détails.
Mais moi, je voulais limiter la grande ligne
pour qu'on puisse, avec l'aide du Seigneur,
saisir un peu la grande ligne du chapitre.
Il faut peut-être, je peux ajouter à ça,
il faut prendre d'abord le contexte de toutes les titres.
Et on voit qu'il s'adresse aux croyants, en général.
Deuxièmement, il faut aussi prendre tout l'enseignement de la Bible
qui montre que la Bible n'enseigne pas
que le croyant peut perdre son salut.
Donc, il faut toujours garder l'enseignement global de la Bible
si on veut interpréter un tel chapitre.
Et puis, le contexte direct.
Le contexte direct, c'est qu'il voulait retourner dans le judaïsme
à cause de la pression des persécutants.
Et on peut l'appliquer à nous.
Il y a des tendances, tout le temps,
et des tentations pour nous aussi.
C'est plus facile d'aller à l'église
ou avoir les choses organisées comme dans l'église catholique.
C'est beaucoup plus facile.
Mais c'est encore un choix qu'on doit faire.
Est-ce qu'on va s'identifier avec Christ dans la gloire
avec toutes les ressources que nous avons avec lui,
par le Saint-Esprit, par la parole,
ou est-ce qu'on va se tourner vers un système de langue?
C'est un choix que nous devons faire.
Et puis, là, c'est aussi toujours la question
qu'est-ce qu'on veut avancer,
qu'est-ce qu'on veut faire de progrès spirituel.
Les oeuvres mortes du premier verset,
je ne l'ai pas mentionné, mais je le vois maintenant.
Les oeuvres mortes, on les voit aussi,
on s'applique au 10, verset 14,
ce sont les oeuvres qui se font sous la loi.
Non, c'est un peu plus loin.
Mais les oeuvres mortes peuvent dire que ces oeuvres,
même si ce sont des oeuvres qui sont sous la loi,
ne peuvent pas sauver, ne peuvent pas les justifier.
Donc moi je peux faire un effort sous la loi qu'on vise,
je peux faire toutes les instructions de la loi,
mais ce sont quand même des oeuvres mortes.
Ça ne peut pas m'aider comme chrétien.
Mais j'espère que ce chapitre-ci soit quand même un encouragement pour nous
pour avancer et poursuivre le Seigneur Jésus
et pour mettre notre confiance en lui jusqu'à qu'il vienne. …
Transcription automatique:
…
En hébreu, chapitre 7
Car, ce même qui cédait, roi de Salène, sacricateur du Dieu très haut, qui alla au-devant d'Abraham lorsqu'il revenait de la défaite des rois,
et qui le bénit, auquel aussi Abraham donna pour part la digne de tout, premièrement étant interprété roi de justice, et puis aussi roi de Salène,
c'est-à-dire roi de paix, sans père, sans mère, sans généalogie, n'ayant ni commencement de jour, ni fin de vie, mais assimilé au Fils de Dieu, demeure sacricateur à perpétuité.
Mais considérez combien grand était celui à qui même Abraham donna une digne du butin, lui le patriarche.
Et ceux d'entre les fils de Lévi qui reçoivent la sacricateur ont bien un commencement de dimmer le peuple selon la loi, c'est-à-dire leur frère, bien qu'il soit sorti des reins d'Abraham,
mais celui qui ne tire pas généalogiquement son origine d'eux a digné Abraham et a béni celui qui avait les promesses. Or, sans contredit, le moindre est béni par celui qui est plus excellent.
Et ici, des hommes qui meurent reçoivent des dignes, mais là, celui de qui il est rendu témoignage qu'il vit, et pour ainsi dire, Lévi-même, qui reçoit des dignes, a été dimmé en Abraham, car il était encore dans les reins sans père, quand même qu'il s'est décalé au-devant de lui.
Si donc la perfection était par la sacricateur lévitique, car c'est en relation avec elle que le peuple a reçu sa loi, quels besoins était-il encore que notre sacricateur se levât selon l'ordre de Lévi-même, et qui ne fut pas nommé selon l'ordre d'Abraham ?
On va arrêter ici. Je vous propose, pour la prochaine fois, de lire le restant du chapitre 7, parce que le chapitre se divise en deux parties.
La première partie qu'on a lue ce soir nous parle de l'ordre de Melchizedek. Et le restant du chapitre, on va voir dans sept points la grandeur, la qualité de cette sacricateur.
L'ordre selon Melchizedek, ensuite la qualité supérieure de cette sacricateur.
Maintenant, j'aimerais encore montrer le lien avec ce qu'on a vu dans le passé.
Si vous voulez voir dans hébreu 5, l'auteur, sans doute Paul, a commencé déjà à parler de Melchizedek.
Dans le chapitre 6, tu es sacricateur pour l'éternité selon l'ordre de Melchizedek.
C'est une citation du psaume 110, et peut-être que vous le savez, mais ce psaume est cité le plus souvent dans le Nouveau Testament.
C'est donc un psaume très important, le psaume 110.
Et là, nous avons déjà lu de Melchizedek.
Ensuite, ce qu'on a vu au verset 10, est un salué par Dieu, souverain sacricateur.
Il parle ici, on l'a vu dans le passé, il parle ici du Seigneur Jésus, qui est maintenant salué, qui a été salué de la part de Dieu comme souverain sacricateur selon l'ordre de Melchizedek.
On va se rappeler, il parle ici de Christ glorifié, Christ qui a été reçu dans le ciel, et qui a été salué par Dieu lui-même.
Puis là, au verset 11, il dit au sujet duquel nous avons beaucoup de choses à dire.
Mais là, il s'arrête. Pourquoi ?
On a vu, c'était à cause de la condition spirituelle des auditeurs, des hébreux.
Et là, il a donc parlé encore, dans une parenthèse, de leurs responsabilités.
On a parlé de cela la dernière fois dans le chapitre 6.
Et à la fin du chapitre 6, nous avons vu que le Seigneur Jésus est dans la gloire, il est notre espérance, il est l'encre de l'âme, au verset 19, chapitre 6, verset 19, sûr et ferme.
Il est entré comme précurseur, ça veut dire donc, un précurseur, ça veut dire d'autres vont suivre.
Et ainsi, nous avons vu que le Seigneur est maintenant dans la gloire, comme précurseur, parce que nous allons suivre.
Et il est là pour l'éternité, selon l'ordre de Melchizedek.
Donc là, il revient sur son point du chapitre 5, verset 10 et 11.
Et là, il va maintenant continuer sur cette question du Melchizedek.
Pourquoi ? Pour montrer la grandeur de la personne du Seigneur Jésus.
De deux façons, comme roi et comme sacrificateur.
C'est un nouvel élément.
On a vu déjà dans le passé, le Seigneur est plus grand que les anges.
Les anges dans le système judéique avaient une grande place.
C'était beaucoup respecté.
Nous avons vu que le Seigneur Jésus est plus grand que tous les anges, aussi dans le Millenium, chapitre 2.
On a vu qu'il est plus grand que Moïse.
On a vu qu'il est plus grand qu'Aaron.
Ainsi, le Seigneur est présenté ici comme le prêtre Melchizedek.
Ce Melchizedek, roi de Salem, qu'on met dans le chapitre 7, verset 1,
sacrificateur du Dieu Très Haut.
J'ai vérifié qu'il y a 51 références au Dieu Très Haut.
C'est peut-être une bonne idée de lire ce passage dans Genèse 14.
Genèse, chapitre 14.
Pour avoir une idée de qui on parle ici.
Genèse 14.
C'est la première guerre qui est mentionnée dans la Bible.
Et pourquoi?
Parce que Lot était impliqué.
Et nous voyons dans ce chapitre que Abraham a fait des démarches pour libérer Lot.
Il a été pris comme captif.
Et Abraham, avec d'autres gens, sont allés pour le libérer.
Ensuite, nous lisons verset 16.
Genèse 14, verset 16.
Il ramena, donc il c'est Abraham.
Il ramena tout le bien.
Et ramena aussi Lot, son frère, et son bien, et aussi les femmes et le peuple.
Et comme il s'en revenait, après avoir frappé Kédor-la-Homère, le roi qui était avec lui.
Le roi de Sodome sortit à sa rencontre dans la vallée de Chavé, qui est la vallée du roi.
Donc il allait rencontrer le roi de Sodome, qui voulait lui offrir quelque chose.
Mais avant qu'il rencontre le roi de Sodome, Dieu a envoyé un autre roi.
Verset 18.
Roi de Salem.
Et on lit là, il fit apporter du pain et du vin.
Or, il était sacrificateur du Dieu très haut, et il le bénit.
Donc ça veut dire, Mekhisédek a béni Abraham.
Il dit, béni soit Abraham de par le Dieu très haut, possesseur des cieux et de la terre.
Verset 20.
Et béni soit le Dieu très haut, qui a livré tes ennemis entre tes mains.
Et Abraham lui donna la digne de tout.
Ensuite, il rencontre le roi de Sodome. Verset 21.
Le roi de Sodome dit à Abraham, donne-moi les personnes et prends les biens pour toi.
Et Abraham dit au roi de Sodome, j'ai levé ma main vers l'éternel, le Dieu très haut, possesseur des cieux et de la terre.
Vous voyez, Dieu avait préparé Abraham pour rencontrer le roi de Sodome.
Pour donner une bonne réponse, une bonne confession, qu'il ne voulait pas être enrichi par le roi de Sodome.
Il ne peut rien recevoir de lui. Pourquoi pas?
Parce qu'il avait rencontré le roi sacrificateur qui représentait le Dieu très haut.
Le Dieu très haut, c'est le nom de Dieu pour le millennium.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Dans le monde à venir, et l'hébreu nous parle beaucoup de ce monde à venir.
Le Seigneur va régner et toute la terre sera sous son autorité.
Et ainsi, le Seigneur Jésus sera le vrai roi de paix.
Le mec qui s'édeque veut dire roi de justice.
Salem veut dire paix.
Jérusalem veut dire ville de la paix.
Et ainsi, le Seigneur Jésus va régner comme le vrai mec qui s'édeque dans le millenium.
Donc ici on a une belle image.
Dans les jours à venir, après l'enlèvement de l'église, les juifs seront dans une position difficile, comme Abraham ici.
Mais Dieu va intervenir et ainsi ils seront bénis et introduits dans le règne du Dieu très haut.
Le Dieu très haut, comme on voit dans l'Option 91, et aussi le Dieu tout-puissant.
Dieu, le Dieu tout-puissant, s'est montré à Abraham.
On voit cela dans Genèse 17 par exemple.
Dans chapitre 17, nous voyons comment un homme qui ne pouvait plus avoir des enfants, a quand même eu un enfant plus tard.
Par sa femme qui ne pouvait pas avoir des enfants de toute façon parce qu'elle était stérile et trop âgée.
Vous voyez, c'est le Dieu tout-puissant qui est intervenu.
Et ainsi, c'est le Dieu tout-puissant qui va aussi aider le reste fidèle dans les jours à venir, dans la grande tribulation,
pour ensuite les introduire dans ce royaume merveilleux, ce millenium, ce règne de paix, de justice et de paix.
Ce sera le Dieu tout-puissant qui va faire cela.
Maintenant, ceci est donc l'aspect prophétique.
Ces choses, comme on voit ici dans Genèse 14, sont comme une illustration de la prophétie, des événements prophétiques.
Mais dans Hébreu 7, l'auteur prend ces choses pour maintenant parler du Seigneur Jésus, de ce qu'il est pour nous aujourd'hui.
Donc il prend les mêmes éléments, par exemple le pain et le vin.
On pourrait parler de cela, comment il apporte le pain et le vin pour soutenir son peuple.
Aujourd'hui, le Seigneur Jésus, comme le vrai roi sacrificateur, il apporte du pain et du vin pour soutenir son peuple.
Il bénit son peuple.
Et c'est beau de voir qu'en tant que sacrificateur, il est entre Abraham et Dieu.
De la part de Dieu, il a béni Abraham.
Mais de la part d'Abraham, il a aussi parlé à Dieu, pour parler en bien à Dieu.
Béni soit Dieu très haut, au verset 20.
C'est donc de la part d'Abraham.
C'est vraiment très beau de voir ces éléments.
Ce mot « salem », pour revenir maintenant à Hébreu 7, verset 1, se trouve quatre fois dans la Bible.
Ici, une fois dans Genèse 14.
Une fois dans le tome 76.
Et deux fois dans Hébreu 7.
Et maintenant, j'aimerais souligner un point.
Melchizedek, son nom est interprété au verset 2.
Lequel aussi Abraham donna pour part la digne du tout.
Premièrement étant interprété roi de justice.
Ça prend d'abord un fondement de justice.
Dieu a établi la justice par l'heure du Seigneur Jésus.
En d'autres mots, le Seigneur Jésus a répondu à toutes les exigences de la justice de Dieu.
Dieu a trouvé une pleine satisfaction dans l'heure du Seigneur Jésus.
Et ainsi, la justice pouvait être établie.
S'il y a la justice, là, il peut y avoir aussi la paix.
C'est la deuxième pensée.
Puis aussi, roi de Salem, c'est-à-dire roi de paix.
Ce sera le cas dans le monde à venir.
Vous voyez, il y aura donc cette justice qui va être établie sur la terre.
Un roi règnera en justice.
Ils y seront deux.
Et ainsi, il y aura de la paix.
On ne peut pas avoir la paix sans la justice.
Aujourd'hui, les gens veulent la paix.
Mais sans la justice de Dieu, ça ne marcherait jamais.
D'abord la justice, ensuite la paix.
Maintenant, qu'est-ce que ça veut dire pour nous?
Nous appartenons au royaume de Dieu.
Présentement, Romain XIV, verset 17, nous dit,
le royaume de Dieu n'est pas manger et boire,
mais justice et paix et joie dans le Saint-Esprit.
Et ainsi, nous voyons les mêmes éléments aujourd'hui déjà.
Nous avons dit, le monde à venir, là, ces éléments de justice et de paix
seront établis officiellement, publiquement,
mais dans la grâce de Dieu.
Dans la grâce de Dieu, nous appartenons déjà au royaume de Dieu.
Et ainsi, cette justice est là pour nous.
Nous avons été classés sur cette base la justice
et ainsi, nous pourrons jouir de la paix.
L'épître aux Romains explique cela en détail.
Et dans ce royaume, nous sommes des disciples du Seigneur Jésus
et dans le monde à venir, nous allons régner avec le Seigneur Jésus.
Une autre chose que j'aimerais souligner, c'est
les deux éléments, roi et sacrificateur, sont ensemble ici dans Melchizedek.
Dans la loi de Moïse, nous voyons clairement
qu'aucune personne ne pouvait être roi et en même temps sacrificateur.
C'était absolument interdit.
Ici, par contre, nous avons cette pensée.
Parce que c'était vraiment la pensée de Dieu qu'il y ait un roi
qui soit en même temps sacrificateur.
Maintenant, dans le monde à venir, ce sera le cas.
Je vais juste lire un verset dans Zacharie.
Zacharie.
C'est l'avant-dernier prophète dans l'Ancien Testament.
Zacharie, chapitre 6.
Dans Zacharie, chapitre 6,
Zacharie a vu ses visions qui nous parlent de ce que Dieu va faire dans les jours à venir.
Et aussi dans ce millenium, ce règne de paix, il y aura un homme, verset 12.
Voici un homme.
On lit maintenant Zacharie 6, verset 12.
Ainsi parle l'Éternel de Jérémie en disant, voici, il demande l'attention,
voici un homme dont le nom est Germes.
Il germera de son propre Dieu.
Il bâtira le temple de l'Éternel.
Lui, il bâtira le temple de l'Éternel.
Il portera la gloire et il s'assiera et il dominera sur son trône.
Et il sera, notons bien maintenant, il sera sacrificateur sur son trône.
Donc, il dominera sur son trône, c'est le roi.
Deuxièmement, il sera sacrificateur sur son trône.
Et troisièmement, le conseil de paix sera entre eux deux.
C'est peut-être aussi le service de prophète qu'on voit que le Seigneur a.
Mais en tout cas, on voit ces deux éléments ensemble ici, le roi et le sacrificateur.
Ce sera le cas dans le Millenium.
Maintenant, on va revenir à Hebreux 7.
Si le Seigneur Jésus est déjà maintenant le vrai Melchizedek.
On a vu cela dans Hebreux 5.
Dieu l'a salué selon l'ordre de Melchizedek.
S'ouvrir un sacrificateur selon l'ordre de Melchizedek.
Ça veut dire qu'il est sacrificateur maintenant dans la gloire.
Il est roi selon les pensées de Dieu.
Qu'est-ce que ça veut dire pour nous aujourd'hui?
Que Dieu veut nous bénir déjà maintenant.
Dieu ne veut pas attendre jusqu'à ce que le Millenium commence.
Dieu veut nous introduire déjà spirituellement dans ce bonheur qu'on voit ici.
Sous l'autorité du Seigneur Jésus comme étant ce vrai roi sacrificateur.
Nous sommes très, très bénis.
Que avant que Dieu établisse cela publiquement sur la terre.
Nous avons déjà ce bonheur dans nos cœurs par le Saint-Esprit.
Et ce n'est pas seulement un avant-goût.
Nous avons la meilleure part.
Une part qui est meilleure comparée avec ceux qui vont jouir de cela dans le temps où le Millenium sera établi.
Ce nom très haut est le nom de Dieu pour le Millenium.
Et c'est le Dieu tout-puissant qui va accomplir toutes les promesses qu'il a données à Abraham.
Dieu est garant pour l'accomplissement de cela.
Mais nous pouvons connaître déjà le Seigneur Jésus comme le prêtre méfiais d'être aujourd'hui.
Maintenant on va voir trois choses qui nous montrent comment le Seigneur Jésus comme le prêtre méfiais d'être est plus grand qu'Aaron.
Donc dans le contexte, on se rappelle, l'Hivre nous montre la grandeur du Seigneur Jésus.
Plus tard, on va voir son sacrifice est plus grand que tous les sacrifices de l'un d'entre nous.
On verra cela dans l'Hivre 9 et 10.
Plus tard, on va voir qu'il est notre grand conducteur.
Mais ici, l'Empereur est encore sur sa personne qui est plus grande que toutes les personnes que Dieu a utilisées dans l'Ancien Testament.
Donc verset 3 nous montre que dans Genèse 14, il n'est pas mentionné que Melchizedek avait un père ou une mère.
Il était sans généalogie.
Cela ne veut pas dire que, littéralement, il n'avait pas de père ou de mère.
Mais cela a été donné comme cela, déjà inspiré par l'Esprit de Dieu, lorsque Moïse a écrit Genèse, pour, comme il dit ici au verset 3, pour être assimilé au Fils de Dieu.
Il est donc une image, un type du Seigneur Jésus, une illustration de ce qu'on trouve dans le Seigneur Jésus.
Et là, il demande notre attention, au verset 4, considérer combien grand était celui à qui même Abraham donna une dîme du butin.
On a vu déjà au verset 2 qu'il donnait la dîme de tout, verset 2, au milieu.
Ici, au verset 4, Abraham donna une dîme du butin.
Le mot butin, ici, veut dire la meilleure part du butin, dans l'original.
Donc, Abraham donna une dîme et c'était de la meilleure partie du butin.
Notons bien qu'Abraham a donné donc une dîme, ça veut dire une dixième, à Melchizedek.
Et ainsi, nous voyons que Melchizedek était plus grand qu'Abraham.
Et ça, c'est le premier point.
Melchizedek était plus grand qu'Abraham.
Premier point.
Par le fait qu'Abraham a donné une dîme du butin.
Un peu plus loin, il développe cet argument, au verset 9 et 10, pour ainsi dire, Lévis même, qui reçoit des dîmes.
Et selon la loi, Lévis, ou les Lévites, reçoivent des dîmes.
Selon la loi, pour la sacrificature, selon l'ordre d'Aaron, ils reçoivent des dîmes.
Mais en Abraham, ici, dans Genèse 14, en Abraham, lorsqu'il était encore dans les reins de son père, Lévis, ou les Lévites, a donné des dîmes.
Vous voyez l'argument ?
C'est pour montrer que Abraham, mais aussi ses descendants, comme Lévis, sont placés inférieurs, comparés avec Melchizedek.
C'est là l'argument.
Aussi Abraham, mais aussi les Lévites.
Toute la sacrificature lévitique est donc d'un ordre inférieur, comparé avec Melchizedek.
Ça, c'est le premier argument, vu par le fait qu'il donne des dîmes, pas Melchizedek.
Le deuxième argument, c'est au verset 6.
Ce n'est pas seulement que Melchizedek a dîmé Abraham, mais il l'a béni aussi.
Ça, c'est le deuxième argument.
Donc, j'aimerais revenir, mais je vais mentionner les trois arguments en ligne.
Le fait que Melchizedek a béni Abraham est une preuve que Melchizedek était plus grand qu'Abraham.
Vous voyez ?
Ça, c'est l'argument au verset 7.
Sans contredit, le moindre est béni par celui qui est le plus excellent.
Le troisième élément, c'est au verset 8.
Les Lévites reçoivent des dîmes selon la loi, mais ils meurent.
Verset 8.
Ici, des hommes qui meurent reçoivent des dîmes.
Il parle donc ici des Lévites qui, selon la loi, dans le contexte de la sacrificature, selon l'ordre d'Aaron, reçoivent des dîmes.
Mais à la fin du verset 8, mais là, celui de qui il est rendu témoignage qu'il vit.
Donc, qu'est-ce que ça veut dire ?
Que les hommes, selon l'ordre d'Aaron, ils meurent, mais le Seigneur Jésus, selon l'ordre de Melchizedek, roi et sacrificateur, il vit.
Ici, ce n'est pas comme fils de Dieu.
Il vit comme Dieu, évidemment.
Dieu ne peut pas mourir.
Mais ici, il est vu aussi comme homme dans cette capacité de sacrificateur selon l'ordre de Melchizedek.
Il vit.
C'est la vie de la résurrection qu'on voit ici.
Le Seigneur Jésus vit.
C'est la vie de la résurrection.
Ça nous montre la puissance de cette sacrificature.
Au-dessus de la puissance de la mort.
Donc, ces trois éléments nous montrent quoi ?
Que l'ordre de Melchizedek est supérieur comparé avec l'ordre d'Aaron.
Et la prochaine fois, comme j'ai dit, on va voir que la qualité du service, la qualité de la sacrificature de Melchizedek est plus élevée que la qualité de la sacrificature selon l'ordre d'Aaron.
Maintenant, peut-être on peut parler de quelques détails encore.
On a parlé déjà dans le verset 2 de cet ordre.
D'abord la justice, ensuite la paix.
On a aussi parlé du fait que le Seigneur Jésus est roi et sacrificateur dans une même personne.
Ça c'est aussi exceptionnel.
C'était inconnu dans la loi et même interdit par la loi.
Mais maintenant j'aimerais souligner le verset 4.
Considérer combien grand était celui à qui même Abraham donna une ligne du butin.
Ici nous voyons que Melchizedek typifie le Seigneur Jésus.
On a vu cela au verset 3 déjà.
Donc Melchizedek, la grandeur de Melchizedek est expliquée ici pour montrer quoi ?
Pour montrer la grandeur du Seigneur Jésus.
Plus on voit la grandeur de Melchizedek, mieux on comprend la grandeur du Seigneur Jésus.
Comme fils sacrificateur maintenant.
Lorsque l'ange a parlé à Marie dans Luc 1, verset 32, il a dit, il sera grand.
Il sera grand.
Et si on veut donner un titre à ce livre, l'Épître aux Hébreux,
on peut dire que c'est une porte ouverte dans le ciel.
Mais c'est aussi pour montrer la grandeur du Seigneur Jésus.
La grandeur, et comme nous avons chanté notre cantique,
la parole nous montre la personne du Seigneur Jésus pour attacher nos cœurs davantage à sa personne.
Sa grandeur est montrée de plusieurs façons.
Juste pour donner un exemple.
On a vu dans le chapitre 4 qu'il est un souverain sacrificateur.
Non.
4, verset 14 dit, ayant donc un grand souverain sacrificateur.
Et ainsi cette pensée de sa grandeur revient.
Aussi plus tard, on verra dans le chapitre 10, la grandeur du Seigneur Jésus
comme grand sacrificateur, souverain sacrificateur, pour nous introduire dans la présence de Dieu.
Dans le chapitre 4, nous avons vu, c'est pour nous soutenir dans notre marche à travers le désert.
Et plus tard, on verra, c'est aussi comme conducteur pour nous introduire dans la présence de Dieu.
Sa grandeur, notons bien maintenant l'argument.
Il est plus grand qu'Abraham, on a vu cela.
Mais si on réalise qu'Abraham, son grand père, son petit enfant, Jacob, plus tard,
on lit dans Genèse 47, que Jacob a béni le pharaon.
Donc imaginez-vous, le pharaon de l'Egypte, un grand roi, a été béni par le patriarche Jacob.
Et au verset 7, on a lu, sans contredit, le moindre est béni par celui qui est plus excellent.
Donc qu'est-ce que cela veut dire?
Selon les standards de Dieu, Jacob était plus excellent que le pharaon, le roi d'Egypte.
Et dans ce contexte-là, Abraham, qui était le grand-père de Jacob,
était inférieur comparé avec Melchisére.
Donc combien grand Melchisére doit être?
Vous voyez l'argument?
Tellement grand!
C'est donc pour souligner la grandeur de Melchisére comme image du Seigneur Jésus.
Donc cela nous aide à comprendre la grandeur du Seigneur Jésus.
Pas seulement plus grand qu'Abraham ou que Jacob,
qui était déjà plus grand que le pharaon selon les pensées vieilles,
mais encore plus grand que toute autre personne.
L'autre point que j'aimerais souligner maintenant,
donc on a répété, la grandeur de Melchisére se montre par le fait qu'il a reçu des dînes d'Abraham.
Deuxièmement, qu'il a béni Abraham.
Maintenant on veut parler de cela.
Il a béni Abraham.
On l'a déjà vu dans Genèse 14.
Comme sacrificateur, il était aussi intermédiaire.
Il était entre Dieu et Abraham.
Donc ce deuxième aspect,
comme sacrificateur, Melchisére a béni Dieu.
Cela veut dire qu'il a adoré Dieu,
a parlé en bien de Dieu, de la part d'Abraham.
Cet élément n'est pas développé ici dans ce contexte-là.
Ce qui est développé ici, c'est le fait qu'il a béni Abraham de la part de Dieu.
Et là, l'argument est, sans contredit,
le moindre est béni par celui qui est plus excellent.
Donc ce principe, qu'Abraham a été béni par Melchisére,
montre que Melchisére était plus grand selon les pensées de Dieu
que selon les pensées de Dieu qu'Abraham.
Vous voyez ?
Maintenant, le mot « excellent », « plus excellent ».
Dans l'original, ce mot revient douze fois.
Douze fois.
C'est plus ce que dit l'Oise.
Douze fois dans cet épitaphe.
Plus excellent ou meilleur.
On voit ici la suprématie,
ou la supériorité du Seigneur Jésus.
Comme le vrai Melchisére, il est plus excellent, même qu'Abraham.
Ou même qu'Aaron, ou le sacrificateur lévitique.
Plus excellent.
On a vu dans le chapitre 1, verset 4, un nom plus excellent que les anges.
On a vu au chapitre 6, la dernière fois, au verset 9,
mais nous sommes persuadés en ce qui vous concerne, bien-aimés,
de choses meilleures et qui tiennent au salut,
quoi que nous parlions ainsi.
Vous voyez ?
Des choses meilleures.
C'est le même mot ici, plus excellent.
Et le chapitre 7, verset 19,
parle d'une meilleure espérance.
Par laquelle nous approchons de Dieu.
Au verset 22,
une meilleure alliance.
C'est la nouvelle alliance, on va revenir à ça plus tard.
C'est une meilleure alliance.
C'est aussi appelé une alliance éternelle, dans le chapitre 13,
mais ici une meilleure alliance.
Et ainsi, au chapitre 8, verset 6,
maintenant Christ a obtenu un ministère d'autant plus excellent.
Vous voyez ?
Plus excellent que le ministère de Moïse.
Au chapitre 8, verset 6,
maintenant Christ a obtenu un ministère d'autant plus excellent
qu'il est médiateur d'une meilleure alliance.
Et ainsi, ça continue encore plusieurs fois,
chapitre 9, chapitre 10, chapitre 11,
plusieurs fois, nous parle de ces choses qui sont plus excellentes,
tout ce qui est en rapport avec le Seigneur Jésus.
Et ainsi, même les croyants de l'Ancien Testament,
même les croyants comme Abraham,
dans le chapitre 11, à la fin,
juste pour donner un autre exemple, verset 40,
verset 39 déjà,
« Tous ceux ayant reçu témoignage par la foi n'ont pas reçu ce qui avait été promis,
Dieu ayant eu en vue quelque chose de meilleur pour nous,
afin qu'il ne parvienne pas à la perfection sans nous. »
Quelque chose de meilleur, Dieu avait en vue pour nous.
Meilleur que Abraham et Isaac même ont connu.
Donc, ce mot plus excellent, pour revenir maintenant au chapitre 7, verset 7,
« Sans contredit le moindre est béni par celui qui est plus excellent. »
C'est vraiment un mot clé pour cette épître.
Maintenant, j'aimerais faire une application,
une leçon pratique.
S'il est vrai que nous sommes tellement bénis,
Dieu nous a bénis,
comme Abraham était béni de la part de Dieu,
par ceux qui s'aidaient,
Dieu nous a maintenant bénis par le Saint Jésus.
Quelle est notre réponse?
C'est ça la question.
Et ça m'a frappé beaucoup de voir cette pensée-là.
Ici, nous voyons ce qui est moindre est béni par celui qui est plus excellent.
Et la parole est très exacte.
Vous connaissez l'histoire, j'ai mentionné tantôt,
que le Pharaon a été béni par Jacob,
et qu'ainsi Jacob était plus grand que le Pharaon, selon les pensées de Dieu.
Mais vous connaissez l'histoire de Siméon.
Siméon qui entrait dans le temple lorsque Marie et Joseph
entraient dans le temple avec le bébé, le Saint Jésus, comme bébé.
Et nous lisons dans Luc 2 que Siméon les bénit.
La parole ne dit pas que Siméon a béni le bébé.
Pourquoi pas?
Parce que le bébé, le Seigneur Jésus, était plus grand que Siméon.
Siméon ne pouvait pas bénir le Seigneur Jésus.
Dans ce sens-là, il a béni les parents, dans Luc 2, verset 34.
Maintenant, le point que j'aimerais amener,
si nous avons reçu ces bénédictions merveilleuses de la part de Dieu,
nous pouvons donner une réponse.
Ils sont attrapés de voir dans Luc 24.
Dans Luc 24, lorsque l'œuvre était accomplie par le Seigneur Jésus,
lorsqu'il récitait le premier jour de la semaine,
comme aujourd'hui c'est le premier jour de la semaine,
nous lisons dans Luc 24, verset 50.
Luc 24, verset 50.
« Il les mena d'or jusqu'à Bétanie, et levant ses mains en haut, il les bénit. »
Vous voyez, là nous voyons ce Melchisédech.
Le Seigneur Jésus a béni les disciples, à ce moment-là.
Donc on a vu, il va bénir le peuple d'Israël dans le Millennium,
il va bénir les nations, mais nous avons déjà maintenant cette bénédiction.
Il nous a bénis déjà maintenant, comme resté, comme exalté,
parce que le ministère de Paul va encore plus loin.
À ce moment-là, nous voyons le Seigneur Jésus comme ressuscité.
Et verset 51.
« Il arriva quand les bénissants y furent séparés. »
C'est vraiment un verset qui nous aide à comprendre.
Ici nous voyons le Seigneur comme le grand sacricateur.
On verra la prochaine fois, Dieu voulant, que de la tribu de Judas,
qui n'avait pas de sacricateur, mais ici nous voyons le Seigneur Jésus,
de la tribu de Judas, comme sacricateur, qui a béni les disciples.
Pourquoi ? Ici il est sacricateur selon l'ordre de Melchisédech.
C'est ça qu'on voit ici.
« En les bénissant, ils furent séparés. »
Et ainsi, le Seigneur, de la gloire, il nous bénit aujourd'hui.
Il est élevé dans le ciel, et il nous bénit comme ce grand sacricateur, Melchisédech.
Mais maintenant, encore un point.
Qu'est-ce qu'on voit au verset 53 ?
« Ils retournèrent avec une grande joie. »
Verset 53.
« Ils étaient continuellement dans le temple, louant et bénissant Dieu. »
Qu'est-ce qu'on voit ici ?
« Ils donnent une réponse. »
« Ils bénissent Dieu. »
Et ça c'est l'autre élément que j'ai mentionné.
Ce n'est pas développé dans Hébreux 7.
Mais on a vu que dans Genèse 14, Abraham a béni Dieu par l'intermédiaire de Melchisédech.
Et aujourd'hui, nous avons cette place de pouvoir louer et bénir Dieu,
mais c'est par le Seigneur Jésus qui est notre grand Melchisédech.
Maintenant, je souligne encore ce point au verset 8.
L'ordre de Melchisédech est plus élevé que l'ordre de Lévi.
Pourquoi ?
Il reçoit des dîmes, pas seulement selon la loi, mais des dîmes même d'Abraham.
Il est donc plus grand qu'Abraham, on a vu cela.
Il a béni Abraham, et maintenant vers sa vie, celui de qui il est rendu témoignage qu'il vit.
Là, comme j'ai mentionné déjà, nous voyons le Seigneur comme ressuscité,
comme dans Luc 24 aussi, tantôt.
Et c'est encore pour souligner l'ordre de Melchisédech est plus élevé que l'ordre d'Aaron.
Parce que selon l'ordre d'Aaron, tous ses Lévis sont morts.
Verset 10.
Non, verset 11.
C'est là où j'aimerais arriver maintenant, c'est la conclusion.
Si donc la perfection était par la sacricature lévitique,
quel besoin était-il encore que notre sacricateur se leva selon l'ordre de Melchisédech ?
C'est clair.
Si la perfection était atteinte par la sacricateur lévitique, on n'aurait plus besoin de notre ordre.
Mais ça c'est exactement l'argument ici.
L'ordre de Melchisédech est plus excellent que l'ordre d'Aaron.
Et maintenant pour revenir à la parenthèse.
Qu'est-ce que la parenthèse dit ?
Car c'est en relation avec elle que le peuple a reçu sa loi.
Et plus tard on verra que la loi n'amène rien à la perfection.
La loi ne peut pas amener à la perfection.
On verra cela plus tard.
Plusieurs fois ça va revenir.
La loi ne peut pas amener à la perfection.
Donc ici Dieu introduit un nouvel ordre de choses qui amène à la perfection.
C'est ça l'argument.
Le mot perfection veut dire aussi accomplissement.
C'est pour souligner qu'avec l'ordre du Seigneur Jésus, les choses sont complètes, parfaites, selon les standards de Dieu.
C'est très beau de voir dans la vie du Seigneur Jésus.
Dans Jean IV par exemple, il a dit, ma viande, ma nourriture, c'est que je fais la volonté de Dieu, que je l'accomplisse.
C'était sa nourriture.
Pour accomplir la volonté de Dieu.
C'est cette perfection qu'on voit ici.
Un autre détail, dans Jean XVII, il en a parlé, qu'il avait complété l'heure que le Père lui avait donnée.
Le Seigneur a complété l'heure.
Ça me frappe souvent.
Si nous pensons à nous-mêmes, on commence quelque chose, mais est-ce qu'on va aller jusqu'à la perfection dans ce sens-là?
L'accomplissement de ce qu'on a commencé.
Avec le Seigneur, nous voyons cet accomplissement, cette qualité selon laquelle il a complété les choses.
Et ça c'est la pensée ici au verset 11.
Si donc la perfection était par la sacrificature lévitique.
La sacrificature lévitique ne pouvait pas amener l'accomplissement des choses, ou la perfection, ou compléter les choses.
C'était impossible.
A cause de cet ordre inférieur, les gens mourraient.
Et on verra 7 points la prochaine fois, selon lesquels cet ordre était inférieur en qualité, comparé avec l'ordre de Melchizedek.
Ce mot, perfection, maintenant, dans Jean XIX.
Le Seigneur répète souvent qu'il voulait accomplir ce que la Parole avait dit.
Je donne juste un exemple dans Jean XIX, verset 28.
C'est beau de voir comme juste un exemple de ce principe.
La perfection ou l'accomplissement pour amener les choses à la perfection.
C'est par le Seigneur Jésus.
Ce n'est pas par la sacrificature lévitique.
Et dans Jean XIX, verset 28.
Donc ici, il est au moment où presque tout était accompli.
Mais il manquait encore quelque chose.
Et c'est pour cela qu'il a dit, j'ai soif, pour accomplir l'écriture.
Ensuite, qu'est-ce qu'on voit au verset 30?
Quand donc Jésus eut pris le vinaigre, il dit, c'est accompli.
Et ce verbe accomplir, comme verset 28, mais aussi verset 30 maintenant.
C'est accompli, nous montre clairement que l'oeuvre a été complètement accomplie.
Rien ne pouvait être ajouté, l'oeuvre était complète.
Ayant baissé la tête, il remit son esprit.
L'oeuvre était complète.
Là, le Seigneur pouvait baisser sa tête.
Avant, jamais.
Il ne pouvait jamais baisser sa tête pour reposer sa tête.
L'oeuvre n'était jamais accomplie avant.
Et maintenant, c'est accompli.
Il a trouvé ce repos, il a baissé sa tête, il remit son esprit.
C'était une preuve de cette perfection.
Cette perfection, maintenant pour revenir à Hebreu 7, verset 11.
Cette perfection a été amenée par le Seigneur Jésus.
Accomplie.
Ce n'est pas selon l'ordre de Lévi, ou la sacrifice de Lévi,
mais selon cet ordre de Melchisédech.
Et ainsi, l'argument, c'est que si le Seigneur Jésus est sacrificateur selon l'ordre de Melchisédech,
il n'y aura jamais un autre pour remplacer.
Cet ordre ne se remplace pas.
Vous voyez, il a amené la perfection.
Tout est maintenant parfait.
Et ainsi, cet ordre ne sera jamais remplacé par quelque chose d'autre.
C'est donc pour encore souligner la grandeur de notre Seigneur Jésus.
Et c'est cette contraste, on verra la prochaine fois, dis-vous-le.
Encore un détail, à la fin du verset 11.
Quel besoin était-il encore que notre sacrificateur se leva, selon l'ordre de Melchisédech?
Se lever, ici, on a vu dans Jacary Tanto que le germe s'est surgit.
Et ce mot, se lever, implique cette pensée-là.
J'aimerais donner deux exemples.
Dans Luc 1, dans Luc, l'évangile de Luc.
Premier chapitre.
Luc 1, verset 78.
Luc 1, verset 78, où Jacary parle de la connaissance du salut qu'il a donné à son peuple dans la rémission de péché.
Dans la rémission de péché.
Par les entrailles de miséricorde de notre Dieu, selon lesquelles l'Orient d'en haut nous a visités.
Et dans la note, l'Orient veut dire levé ou levin.
Et ainsi, dans les sept âges, il rendait ainsi le germe.
Le mot germe, qu'on a vu aussi dans Jacary 6, ça va ensemble avec ce mot se lever.
Et l'Orient d'en haut.
Donc quelque chose de nouveau s'est levé et c'est par rapport à ce nouvel ordre de choses par le Seigneur Jésus comme ce vrai même qui s'est élevé.
Et dans Acte 3, verset 26.
Acte 3, verset 26, Pierre parle aux Juifs, là, après la résurrection du Seigneur Jésus et après son ascension.
A vous premièrement, Dieu, ayant suscité son serviteur, l'a envoyé pour vous bénir en détournant chacun de vous de vos méchanceries.
Quel grâce de la part de Dieu.
Mais c'était par le fait que Dieu a suscité son serviteur.
Dans l'original, ce mot suscité est se lever dans l'ensemble.
Le germe se lève, mais est aussi suscité par Dieu.
Chapitre 13 pour finir, Acte 13, verset 33.
Disons aussi verset 32, Acte 13, verset 32, et nous vous annonçons, c'est Paul qui parle ici, nous vous annonçons la bonne nouvelle.
Et cette bonne nouvelle est encore annoncée aujourd'hui, n'est-ce pas?
Nous vous annonçons la bonne nouvelle quant à la promesse qui a été faite au Père, que Dieu l'a accomplie envers nous, leurs enfants, ayant suscité Jésus.
Comme aussi il est écrit dans le psaume 2, Dieu mon Fils, moi je t'ai aujourd'hui engendré.
Et dans le contexte, ça veut dire, ce n'est pas seulement l'incarnation, ça implique aussi la résurrection du Seigneur Jésus,
et la place exaltée que Dieu lui a donnée, qu'on a vu, Dieu a suscité Jésus.
C'est ça, le mot se lever, comme on a vu dans Hébreu 7, verset 11.
Il n'y a pas besoin d'un autre sacrificateur qui se lève, qui sera suscité avec la suscitation du Seigneur Jésus,
avec le fait que le Seigneur s'est levé, et maintenant s'est levé même dans la gloire,
il n'y aura jamais besoin d'un autre sacrificateur selon le nom qu'il s'est nommé.
Il est ce sacrificateur, et avec lui tout est parfait, tout est correct, tout est réglé.
Tout est accompli comme nous l'avons vu, la perfection a été introduite par lui,
et ainsi tout est réglé à pleine satisfaction du coeur de Dieu.
Mais nous avons vu, dans Luc 24, maintenant c'est à nous de donner une réponse.
Est-ce qu'on répond à ça, est-ce que nos coeurs se réjouissent dans le Seigneur Jésus,
qui est ressuscité, qui a pris la place, notre place sous le jugement de Dieu.
Est-ce qu'on se réjouit, est-ce qu'on va le servir aussi avec enthousiasme,
comme ces premiers chrétiens l'ont fait.
Ça c'est maintenant le défi pour nous aujourd'hui.
Plus on est impressionné par la grandeur du Seigneur Jésus,
mieux on va être capable de servir Dieu par l'aide qu'il nous donne.
Est-ce qu'il y a encore des questions ou des choses qui doivent être planifiées ?
Une question plus simple, souvent on utilise la bénédiction.
Le mot bénir veut dire quoi ?
Le mot bénir veut dire littéralement parler en bien.
Donc bénir veut dire parler en bien de Dieu.
Souvent on utilise des termes qui ne parlent pas d'habitude.
C'est bon de réussir.
Peut-être l'exemple qui est très clair, c'est dans 1 Corinthians 10.
Ça nous aide aussi à comprendre les deux côtés.
1 Corinthians 10, verset 16.
La coupe de bénédiction que nous bénissons, n'est-elle pas la communion du sang du Christ ?
Maintenant le point.
La coupe de bénédiction, ça nous parle de bénédiction de la part de Dieu.
Dieu nous bénit.
Mais de notre part, et ça c'est l'élément que j'ai dit tantôt,
ce n'est pas développé dans les recettes,
mais de notre part, nous pouvons bénir Dieu.
Nous pouvons bénir aussi cette coupe.
La coupe de bénédiction que nous bénissons.
Nous parlons en bien de cette coupe devant Dieu.
C'est ça la pensée.
Donc si je peux vous laisser avec un peu de devoir,
chercher tous les versets qui nous parlent de l'excellence du Seigneur Jésus, de sa suprématie,
ce serait un bon devoir.
Toutes les passages qui nous parlent de son excellence et de sa supériorité. …
Transcription automatique:
…
On avait parlé du verset 11 déjà, mais on va commencer la lecture au verset 11.
Hébreu 7, depuis le verset 11 jusqu'à la fin du chapitre.
Si donc la perfection était par la sacrificature lévitique, car c'est en relation avec elle que le peuple a reçu sa loi,
quel besoin était-il encore qu'un autre sacricateur se leva selon l'ordre de Melchiséle et qui ne fut pas nommé selon l'ordre d'avant ?
Car la sacricature étant changée, il n'y a aussi pas nécessité un changement de loi.
Car celui à l'égard duquel ces choses sont dites appartient à une autre tribu dont personne n'a été attaché à l'autel.
Car il est évident que Notre Seigneur a surgi de Judas, tribu à l'égard de laquelle Moïse n'a rien dit concernant les sacricateurs.
Et cela est encore bien plus évident si, à la ressemblance de Melchiséle, un autre sacricateur se lève,
qui n'a pas été établi selon la loi d'un commandement charnel, mais selon la puissance d'une vie impérissable.
Car ce témoignage lui est rendu tué sacricateur pour l'éternité, selon l'ordre de Melchiséle.
Car il y a abrogation du commandement qui a précédé à cause de sa faiblesse et de son inutilité.
Car la loi n'a rien amené à la perfection et introduction d'une meilleure espérance par laquelle nous approchons de Dieu.
Et en tant que cela n'a pas eu lieu sans serment, car ceux-là sont devenus sacricateurs sans serment,
mais celui-ci l'est devenu avec serment par celui qui a dit de lui le Seigneur a juré et ne se repentira pas,
tu es sacricateur pour l'éternité selon l'ordre de Melchiséle.
C'est d'une alliance d'autant meilleure que Jésus a été fait le garant.
Et ceux-là étaient plusieurs sacricateurs parce que la mort les empêchait de demeurer,
mais celui-ci parce qu'il demeure éternellement à la sacrificature qui ne se transmet pas.
De là vient aussi qu'il peut sauver entièrement ceux qui s'approchent de Dieu par lui,
étant toujours vivant pour intercéder pour eux.
Car un tel souverain sacricateur nous convenait,
saint, innocent, sans souillure, séparé des pécheurs et élevé plus haut que les cieux,
qui n'est pas journellement dans la nécessité comme les souverains sacricateurs d'offrir des sacrifices,
d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, car cela il l'a fait une fois pour tous,
c'est un offert lui-même.
Car la loi établit pour souverain sacricateur des hommes qui sont dans l'infirmité,
mais la parole du serment, qui est après la loi, établit un fils qui est consommé pour l'éternité.
Il suffit d'arrêter la parole.
Nous avons vu dans l'Épique aux Hébreux que l'auteur nous présente une personne beaucoup plus grande
que n'importe quel personnage de l'Ancien Testament, même plus grande qu'Abraham, même plus grande que Moïse.
Et nous avons vu la dernière fois, au chapitre 7, le début, qu'il est selon un nouvel ordre,
il est roi sacricateur.
On a vu, selon la loi de Moïse, un sacricateur ne pouvait pas être roi et un roi ne pouvait pas être sacricateur.
Il y a même là une exception, pas officielle mais inofficielle,
Salomon, lorsqu'il a inauguré le Temple, le roi d'Irèle, a quand même fonctionné comme un sacricateur
et ainsi il a été une image vraiment du Seigneur Jésus comme on le trouve ici, comme roi sacricateur.
Et on a vu donc la dernière fois que dans le Melchizedek, nous avons une image de l'Ancien Testament
qui nous parle du Seigneur Jésus comme roi sacricateur et qui représente un nouvel ordre,
un ordre qui met de côté l'Ancien Ordre selon la loi de Moïse.
On a vu plusieurs détails concernant sa grandeur et il est dit au verset 7 qu'il est plus excellent.
Maintenant, le verset 11 et les versets qui suivent nous parlent de l'insuffisance,
de système selon la loi qui est insuffisant, qui ne pouvait jamais satisfaire le cœur de Dieu
et qui ne pouvait pas produire un sacricateur comme le Seigneur Jésus.
A la fin du chapitre, nous voyons les perfections du Seigneur Jésus comme fils sacricateur.
Donc, verset 11, on constate clairement que la perfection n'était pas avec la sacricateur lévitique.
Qu'est-ce que ça veut dire la perfection?
Dans le contexte de l'Épître aux Hébreux, la perfection veut dire une conscience,
et on verra cela dans le chapitre 10 surtout, une conscience pure pour être dans la présence de Dieu.
Avec l'Ancien Ordre, si quelqu'un pouvait amener un sacrifice selon la loi de Moïse,
il pouvait peut-être avoir une mauvaise pensée deux minutes après qu'il s'apprenait encore un autre sacrifice.
Tandis qu'avec le sacrifice parfait, comme on verra dans le chapitre 9 et 10 de l'Épître aux Hébreux,
il y a un état de perfection qui compte devant Dieu pour toujours.
Le sacrifice était parfait une fois pour toutes et le résultat était parfait une fois pour toutes.
On va revenir à ça donc plusieurs fois.
Tandis qu'avec la sacrificature lévitique, cette perfection n'était pas là, pas du tout.
Et c'est pour cela qu'il avait besoin d'un autre sacrificateur.
Donc le raisonnement est, si la perfection était déjà là avec la sacrificature lévitique,
il n'aurait pas besoin d'un autre sacrificateur.
Mais vu le fait que la perfection n'était pas là, il y avait donc le besoin d'un autre sacrificateur.
À la fin du verset 11, le mot «autre» là, c'est un sacrificateur différent, un sacrificateur d'un nouvel ordre.
Il faut vraiment comprendre cela parce que le mot «autre» peut dire quelqu'un du même ordre,
une autre personne du même ordre.
Non, ça ce n'est pas la pensée ici.
C'est un autre sacrificateur qui représente un autre ordre de choses.
Ça c'est la pensée ici.
Et c'est beau de voir à la fin du verset 11 qu'il se leva selon l'ordre de l'homme qui s'est aidé.
Donc selon ce nouvel ordre.
Et «se lever» ici, c'est un mot, une caractéristique pour le Seigneur Jésus.
C'est vraiment très beau de voir ça.
Ce mot est utilisé plusieurs fois dans le Nouveau Testament par rapport à l'avenue du Seigneur Jésus.
Maintenant au verset 12.
«Car la sacrificature étant changée, il y a aussi par nécessité un changement de loi.»
Donc, quel est le point ici?
On a vu donc, la perfection n'était pas là par la sacrificature lévitique.
Et cette sacrificature lévitique était avec la loi.
Car c'est en relation avec elle que le peuple a reçu sa loi.
Donc, si l'un n'est plus bon, l'autre n'est plus bon non plus.
Et verset 12 constate donc que la sacrificature a été changée.
Ça veut dire un nouvel, excusez-moi, un nouveau sacrificateur selon un nouvel ordre.
Si Dieu introduit un nouveau sacrificateur, un autre sacrificateur selon ce nouvel ordre,
ça prend donc effectivement un changement de la loi.
Ça c'est son argument.
Et le mot changement ici au verset 12, c'est un changement radical.
C'est un changement total.
C'est un changement permanent.
Ça veut dire, avec ce changement d'un ordre de choses,
Dieu a introduit un nouvel ordre qui est permanent.
Et ce mot changement veut dire un changement radical.
C'est intéressant de voir que ce mot est utilisé par exemple dans chapitre 11, verset 5,
par rapport à l'enlèvement, par la foi et non,
qu'il a été enlevé pour qu'il ne vive pas la mort.
Il ne fut pas trouvé parce que Dieu l'avait enlevé.
Car avant son enlèvement, il a reçu le témoignage d'avoir pu à Dieu.
Le mot enlèvement ici, c'est le même mot que changement ici.
Donc ça peut nous aider à comprendre que c'est vraiment un changement radical.
Et dans Hébreu 12, verset 27, il est dit, encore une fois,
qui indique le changement des choses muables comme ayant été faites,
afin que celles qui sont immuables demeurent.
Vous voyez, un changement radical.
C'est le même mot qui est utilisé ici dans Hébreu 12, verset 27.
Un changement radical, final, définitif, permanent.
Verset 13.
Car celui à l'égard duquel ces choses sont dites appartient à une autre tribu.
Donc maintenant, il donne le pourquoi.
Pourquoi ça prenait un changement de loi aussi, avec l'introduction d'un nouveau sacricateur?
Parce que selon la loi de Moïse, il y avait les sacricateurs de la maison d'Aaron.
Et seulement les descendants d'Aaron pouvaient être souverains sacricateurs.
Et sa maison, les sacricateurs aussi.
Et c'est clair que le Seigneur Jésus est d'une autre tribu.
C'est la tribu judaïque.
Donc personne n'a été attaché à l'hôtel.
C'est clair.
Le mot hôtel, ici, représente tout le système judaïque.
Donc le service, les sacrificateurs, tout s'est capté, s'est mis ensemble par ce mot hôtel.
Et on verra plus tard, dans le chapitre 13, verset 10, que maintenant ce nouveau système auquel nous appartenons,
c'est aussi résumé par ce mot hôtel.
Livre 13, verset 10.
Nous avons un hôtel, dont ceux qui servent le tabernacle n'ont pas le droit de manger.
Vous voyez? Nous avons un hôtel. Nous aussi.
Mais c'est un autre hôtel.
C'est un hôtel qui appartient à une nouvelle ordre de choses.
Qui ne va pas ensemble avec le vieil ordre.
Vous voyez toujours ce contraste.
Pour revenir maintenant à Hebrews 7, il dit,
Il est évident que notre Seigneur, c'est beau, est-ce qu'on se rappelle?
Melchizedek était roi, sacrificateur.
Le Seigneur Jésus est vraiment, selon ce nouvel ordre, et il est et roi, et sacrificateur.
Son nom, Seigneur, représente ce côté-là, cet aspect-là.
Il est roi.
Notre Seigneur.
Il est le roi des rois.
Et cela a été, vous pouvez vérifier ça dans l'Ancien Testament, Genèse 49, verset 10.
Jacob avait déjà parlé de cela.
Que de Judas, il y aurait quelqu'un qui se lève pour être ce roi.
Dans Michée, chapitre 5, verset 2, il y a une belle référence.
Son origine est de l'ancienneté.
Parce qu'il est Dieu lui-même aussi.
Et il serait né à Bethléem.
De la tribu de Judas.
Bethléem était dans le territoire de Judas.
Et on voit dans une autre prophétie, Zacharie 6, verset 13,
que le Seigneur Jésus, dans le Millennium, il sera roi et sacrificateur sur le trône de Dieu.
Et ainsi, dans le Millennium, ce sera accompli sur la terre.
Mais pour nous, le Seigneur Jésus est dans le ciel.
Il est assis sur le trône du Père.
On voit ça souvent dans l'Hébreu.
Il est assis maintenant.
Il a tous les droits.
Toute autorité, il est le vrai roi.
Et en même temps, il est donc le sacrificateur duquel on parle maintenant.
Et le mot « surgit » ici, souligne encore, comme la note l'indique aussi, qu'il s'est levé.
Et c'est le mot, dans l'Ancien Testament, qui est utilisé pour le germe.
Le germe qui nous parle donc d'un nouveau début que Dieu a introduit.
C'est une nouvelle puissance.
Une puissance de vie, comme on voit aussi dans ce chapitre qu'on a lu.
Et cette puissance de vie est vraiment bien captée par ce mot « surgir ».
C'est donc une nouvelle puissance que l'Ancien Ordre ne pouvait jamais produire.
Jamais !
Ça implique aussi la puissance de la résurrection, comme on verra dans la verse 8.
Avec le Seigneur, il y a la vie.
Comme on voit aussi avec Mephistophèle, déjà, l'image du Seigneur Jésus.
On a vu la dernière fois qu'il vit.
Il demeure, verset 3, il demeure sacrificateur à percuter.
Et au verset 8, mais là, celui de qui il est rendu témoignage qu'il vit.
Donc, l'emphase est sur cette vie.
Une nouvelle puissance.
Et ça va ensemble avec ce mot « surgir ».
Verset 15, cela est encore bien plus évident si, à la ressemblance de Melchisédech, un autre sacrificateur se lève.
Donc ici, l'emphase est sur le sacrificateur.
Verset 14 souligne le fait que le Seigneur est roi, mais il est sacrificateur selon ce nouvel ordre.
Et là, j'aimerais souligner que le nom « Melchisédech » est utilisé huit fois.
Pourquoi je souligne cela huit fois ?
Le nom revit, dans la Bible, parle d'un nouvel ordre.
On voit cela, par exemple, dans le psaume 8.
Le psaume 8 introduit le Seigneur Jésus comme le fils de l'homme qui représente ce nouvel ordre des choses.
Et ainsi, « Melchisédech » est aussi mentionné huit fois dans le Nouveau Testament et seulement dans l'Écriture aux Épreuves.
Et de nouveau, un autre sacrificateur.
Donc, il représente un autre ordre, comme nous l'avons déjà vu.
Il se lève.
Il se lève.
Il a surgi de cette tribu-là, de Judas, et il se lève.
Et on a vu cela aussi au verset 11.
Il se lève.
Cela nous parle encore de cette énergie qu'il a.
Et cela inclut donc la pensée de la résurrection.
Avant sa résurrection, le Seigneur Jésus n'était pas sacrificateur dans ce sens-là.
On a vu, dans le chapitre 2, que le Seigneur Jésus était seulement sacrificateur par rapport à l'œuvre de la propitiation à la croix.
Mais ici, il est sacrificateur dans une nouvelle vie, comme le verset 16 le dit, une vie impérissable, interminable.
Cette vie ne peut pas être terminée.
Qu'est-ce que cela veut dire aussi?
Que maintenant, le Seigneur Jésus, comme on a la gloire, il ne peut pas mourir.
Et c'est aussi beau de voir que nous avons reçu cette vie, nous comme croyants, notre corps peut encore mourir,
mais cette nouvelle vie que nous avons reçue par la grâce ne peut pas mourir.
Comme le Seigneur Jésus dans la gloire, comme homme, c'est évident, comme Dieu il ne peut pas mourir,
mais comme homme, il pouvait mourir sur la terre.
Mais comme homme glorifié dans le ciel, l'homme ressuscité, il a maintenant cette puissance d'une vie impérissable, il ne peut pas mourir.
C'est selon la puissance d'une vie impérissable.
Donc, on souligne encore cette puissance qui est en lui.
Le fils du Dieu vivant, Matthieu 16, et dans Romains 1, verset 4, il est appelé aussi fils de Dieu,
et l'emphase est mise sur cette puissance qui s'est manifestée dans sa résurrection.
Là, nous voyons cette puissance de vie, une puissance impérissable.
Pierre le dit aussi que c'était impossible que le prince de vie soit gardé par les liens de la mort.
C'était impossible.
Voilà le contraste.
À la fin, j'espère résumer encore quelques points de ce contraste.
Ce contraste ici entre l'ancien ordre marqué par la mort, marqué par un commandement charnel,
le nouvel ordre est selon cette puissance d'une vie impérissable.
Le nouvel ordre est selon cette puissance d'une vie impérissable.
Et là, il cite de nouveau ce psaume 110, verset 17,
car ce témoignage lui est rendu tu et sacrificateur pour l'éternité, selon l'ordre de Melchizedek.
Il faut toujours voir, ce passage est cité à peu près 4-5 fois dans l'Hébreu,
chaque fois dans un autre contexte, chaque fois il y a un emphase sur un autre élément.
Ici, l'emphase est sur l'expression pour l'éternité.
C'est pour soigner donc qu'il n'y aura pas de fin à cet ordre.
Verset 18, car il y a abrogation du commandement qui a précédé.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Abrogation veut dire une mise de côté.
On voit cela aussi à la fin du chapitre 8, je vais juste lire ce verset 13,
en disant une nouvelle, il a rendu ancienne la première force qui devient ancienne et qui vieillit et près de disparaître.
Donc, il y a l'abrogation de l'autre ordre pour introduire un nouvel ordre des choses.
Et je répète, on a vu un nouveau sacricateur, ça implique aussi une nouvelle loi, un nouveau commandement,
ça implique, et puis on verra cela dans le chapitre 8, cette nouvelle loi, c'est la nouvelle alliance.
Donc, on va garder cet élément-là pour le chapitre 8, la prochaine fois.
Ensuite, on verra le chapitre 9, s'il y a une nouvelle sacricature, un nouveau sacricateur, et une nouvelle loi, une nouvelle alliance,
c'est clair qu'il y a avec cela aussi une nouvelle sphère où il travaille.
Il ne travaille pas sur la terre comme Aaron l'a fait, il travaille en elle-même, et on verra cela au chapitre 9.
Et là, on verra aussi que pour tout cela, il avait besoin d'un nouveau sacrifice.
Le sacrifice, selon la loi de Moïse, ne pouvait jamais être suffisant pour mettre la base pour ce nouvel ordre des choses.
Ça a pris le sacrifice parfait du Seigneur Jésus, une fois pour toutes.
C'est ce qu'on va voir dans les chapitres 9 et 10.
Sur cette nouvelle base, on verra aussi qu'avec ce sacrificateur, il y a une compagnie de sacrificateurs, c'est vous et moi.
Les croyants sont des fils sacrificateurs ensemble avec le Fils, le sacrificateur.
C'est tellement beau de voir comment nous sommes les compagnons du Fils de Dieu.
On a vu cela déjà dans Hébreu 1.
Et ainsi, il y a donc une nouvelle compagnie attachée à cette merveilleuse personne, une nouvelle famille d'adorateurs.
On verra cela aussi au chapitre 10.
Notons maintenant au verset 18, il y a deux éléments qui sont soumillés par rapport à cet ancien ordre.
Il y avait la faiblesse et l'inutilité.
La faiblesse, ce mot est quelquefois traduit par maladie.
Cela veut vraiment dire qu'il n'y avait pas de force.
Comme Romain Sainte dit, nous n'avions pas de force non plus.
Pourquoi est-ce que ce vieux système était faible?
Parce que l'homme était faible.
L'homme était sans force.
C'est illustré dans l'homme important, dans l'acte 4, lorsque Pierre et Jean montaient au temple,
ils ont rencontré ce mendiant qui était là.
Il ne pouvait pas se lever.
C'est important.
C'est une illustration de ce vieux système.
Dieu l'a remplacé par quelque chose de tout nouveau.
On voit cela dans cet homme.
Il pouvait se lever.
Il a mis sa foi dans le Seigneur, dans la gloire.
C'est le grand changement.
Au lieu de mettre sa confiance dans la loi de Moïse, dans tous ses commandements,
il a mis sa confiance dans le Seigneur, dans la gloire.
Et ce n'est pas lui qui l'a pu marcher.
Et pour nous, c'est exactement la même chose.
Le fait que nous sommes des croyants qui peuvent maintenant marcher pour la loi du Dieu,
c'est parce que nous avons mis notre confiance dans le Seigneur, dans qui il y a toute puissance.
Donc, par rapport à lui, aucune faiblesse.
Par rapport à lui, pas d'inutilité.
Le mot inutilité veut dire sans profit.
Ce vieux système ne pouvait pas profiter.
On n'avait pas de profit à tirer de ce vieux système.
Et entre parenthèses, la conclusion est donc donnée pour enlever chaque doute,
car la loi n'a rien amené à la perfection.
C'est un mot très solennel.
Il y a des croyants qui veulent prêtre à Dieu, ils se mettent sous la loi de Moïse.
Ici, la loi, il est constaté que la loi n'a rien amené à la perfection.
Dans Galates 3, nous lisons, si quelqu'un se place sous la loi de Moïse, qu'est-ce qu'il fait ?
Il se place sous la malédiction.
La malédiction, c'est très solennel.
Dans Romains 8, nous voyons que tout ce système était faible parce que nous étions faibles.
Nous ne pouvions jamais produire quoi que ce soit de bon pour Dieu.
Et là, Dieu a pris l'initiative.
C'est ça qu'on voit dans l'Hébreu.
Tout dépend de Dieu.
Mais, en contraste avec ce constat, le Seigneur, lui, il a amené tout à la perfection.
Ça, c'est clair.
Si la loi n'a rien amené à la perfection, c'est le Seigneur qui a amené tout à la perfection.
Ça, c'est vraiment un résumé de toutes les pistes aux Hébreux.
C'est la perfection.
Et on a vu au verset 11, déjà, cette remarque.
Si donc la perfection n'était pas la sacrature lévitique, non, on a vu, ce n'était pas le cas.
Et ici, la loi ne pouvait pas amener cette perfection.
Mais de notre côté, c'est le Seigneur qui a amené, qui a introduit cette perfection.
Et ainsi, sur la base du sacrifice, une fois pour toutes, Dieu nous a acceptés.
Et aux yeux de Dieu, nous sommes parfaits.
Ça ne veut pas dire qu'on ne peut plus pécher.
Mais la position que Dieu nous a donnée, c'est une position de perfection.
Comme on voit aussi dans d'autres écrits, surtout dans Ephésiens,
Dieu nous a rendus agréables dans le bien-être.
C'est sûr, là-bas, ce sacrifice merveilleux, Dieu nous voit en lui.
Là, il y a la perfection.
Il y a d'autres passages dans la Parole qui soulignent clairement que la loi ne peut pas produire cette perfection.
Dans l'Acte XIII, par exemple, lorsque Paul a commencé son premier voyage missionnaire,
il a parlé dans les synagogues, là,
et à la fin de l'Acte XIII, il mentionne cela clairement,
que par la loi de Moïse, on ne peut pas recevoir cette perfection.
C'est impossible.
Donc ça, c'est un côté négatif.
L'abrogation de ce système-là, la mise de côté, parce que ce système ne pouvait jamais produire la perfection.
Le côté positif, c'est l'introduction, et notons maintenant, d'une meilleure espérance.
Vous voyez, ici, c'est ce nouvel ordre de choses qui a été introduit.
J'aime cette ancienne introduction.
Vous connaissez l'histoire de David, lorsque Samuel est venu pour roindre un des fils de Jesse, comme roi, au lieu de Saul.
Et, finalement, ils l'ont appelé David.
Ainsi, Samuel a introduit David dans la maison.
Il était loin, au milieu de ses frères.
C'est vraiment une pensée touchante.
Et ici, nous voyons comment Dieu a introduit, avec le Seigneur Jésus, le vrai David.
Il a introduit un nouvel ordre de choses.
Et c'est ici appelé une meilleure espérance.
Pourquoi espérance?
Parce qu'on est encore sur la terre.
On est encore dans un monde qui rejette le Seigneur Jésus.
C'est pour cela que nous avons toujours cet élément d'espérance.
Dans l'épître aux Hébreux, on est en route.
On est dans le désert.
Et c'est pour cela qu'on a besoin de l'espérance.
Le mot revient plusieurs fois.
On a vu, par exemple, le chapitre 6, verset 18.
Nous, à la fin du verset 18, nous qui nous sommes enfuis pour saisir l'espérance proposée.
Et ça revient tout le temps dans cette épître.
Nous sommes en route et c'est pour cela que nous avons besoin d'une espérance.
Mais c'est une meilleure espérance.
Pourquoi meilleure?
Comparons cela avec la situation d'Israël dans le désert.
Leur espérance était qu'ils arrivent à un moment donné dans le pays promis.
C'était le pays des canins.
C'était leur espérance.
Mais nous avons une meilleure espérance.
C'est par rapport à Christ et maintenant, dans la gloire, une meilleure espérance.
Je vous invite d'étudier l'épître aux épreuves simplement par rapport à ce mot meilleur.
Quelquefois, c'est traduit plus excellent.
On a vu le chapitre 1er, un nom plus excellent.
Dans l'original, c'est le même mot qu'on a ici avec meilleur.
Un meilleur nom.
Ainsi, ce nouveau système que le Seigneur Jésus a introduit est meilleur.
Meilleur.
Cela revient au moins douze ou treize fois dans ses poupées.
Et à la fin du verset 19, par laquelle nous approchons de Dieu.
Voilà le résultat.
Ici, nous avons un ordre de choses et nous pouvons nous approcher de Dieu.
Sous l'ancien ordre, c'était impossible.
Même le souverain sacrificateur, est-ce qu'il pouvait entrer dans le lieu saint?
Non.
Jamais.
Une fois par année.
Et puis, on verra cela au chapitre 10, 9 et 10.
C'était jamais sans le sang.
Il fallait qu'il apporte le sang du sacrifice pour pouvoir entrer, pour pouvoir s'approcher de Dieu.
Seule exception, ce n'est pas pour vous confondre, mais c'est vraiment une belle exception, c'est Moïse.
Moïse pouvait toujours avoir accès pour s'approcher de Dieu.
Pour être même dans la présence de l'âge.
On voit cela dans l'exode 25, déjà, le nombre 7.
Qui représente donc cet ordre de choses qui ne pouvait jamais produire la perfection.
Quant à sa personne, quant aux privilèges qu'il avait pour entrer dans la présence de Dieu.
Il représente vraiment, il est vraiment l'image de nos privilèges.
Nous avons ce libre accès.
Nous pouvons être dans la présence de Dieu tout le temps.
Donc, ce n'est pas pour vous confondre, mais c'est juste pour montrer la richesse de l'apport de Dieu.
Que d'un côté, il y a des grands contrastes.
Mais il y a aussi des parallèles.
Comme Moïse pouvait être dans la présence de Dieu tout le temps.
Nous, par la grâce de Dieu, nous pouvons nous approcher de Dieu tout le temps.
On voit ce libre accès.
Romains 5, verset 2.
C'est peut-être bon de lire ce verset.
Romains 5, verset 2.
Parce que c'est quelque chose que chaque croyant doit vraiment saisir.
Et nous pouvons nous réjouir dans cela.
Romains 5, premier verset.
Vous voyez ce libre accès.
Sur la base, cette œuvre accomplie est maintenant sous le principe de la foi.
Nous avons paix avec Dieu.
Et nous sommes justifiés.
Et ainsi, nous avons ce libre accès.
Et dans Éphésiens 2, verset 18, il a même dit que nous avons cet accès.
C'est par l'Esprit, un libre accès au Père.
Et en même temps, le même verset dit, c'est par le Seigneur Jésus.
Tous nos privilèges, nous avons par le Seigneur Jésus.
C'est un autre verset à lire, Éphésiens 2, verset 18.
Qui nous parle de cette approche, de cet accès que nous avons maintenant.
Et puis là, nous voyons la Trinité dans un seul verset.
Par rapport à cela.
Ainsi, nous pouvons nous approcher de Dieu.
Verset 20.
Ajoute maintenant un autre élément.
Donc, je veux maintenant résumer un peu.
On a vu, l'ancien ordre était temporaire, pour un temps.
Il ne pouvait pas continuer tout le temps.
Tandis que ce nouvel ordre que Dieu a introduit, selon l'image de Melchizedek,
est un ordre permanent, définitif.
On a vu cela au verset 12.
Ensuite, nous avons vu que par rapport à la loi de Sinaï,
il n'y avait pas de perfection.
Ça prenait d'autres éléments.
Et on a vu cela avec le Seigneur Jésus,
qui est venu selon les promesses de Dieu,
qui est le vrai David,
qui est venu de la tribu de Juda, que Dieu avait déjà indiqué dans l'Ancien Testament.
Le troisième point que nous avons vu,
et on parle de cela encore,
c'est un fils que le Seigneur Jésus a,
comme le sacrificateur et comme le roi,
selon l'ordre de Melchizedek.
Nous avons vu que ça va ensemble avec la grandeur de cette personne.
Donc, le point que j'aimerais souligner maintenant,
c'est que sous l'Ancien Ordre,
le souverain sacrificateur avait un fils,
et son fils serait le prochain sacrificateur.
Et ainsi, c'était par succession qu'il avait cet office.
Tandis qu'avec le Seigneur Jésus,
il a aussi cet office de sacrificateur et aussi de roi.
Mais c'est à cause de cette personne merveilleuse,
c'est à cause de sa grandeur personnelle
qu'il a cet office.
Ce n'est pas parce qu'il descend de notre sacricateur.
Vous voyez, dans l'histoire d'Israël,
on a eu des sacricateurs corrompus, méchants même,
qui avaient cet office,
mais leur personne n'était pas en accord avec cet office.
Tandis qu'avec le Seigneur Jésus, il a cet office,
mais c'est parce qu'il est cette personne merveilleuse.
L'autre contraste, on a vu cela,
Dieu a mis de côté ce vieil ordre pour introduire un nouvel ordre,
et ce nouvel ordre va ensemble avec un serment.
Vous voyez, c'est donc un autre élément qui souligne.
Il va citer encore ce psaume 110, verset 20,
et on entend que cela n'a pas eu lieu sans serment,
car ceux-là sont devenus sacricateurs sans serment.
Ce sont les sacricateurs selon la loi de Moïse,
les descendants d'Aaron.
Il était sacricateur par succession,
comme descendant sans serment.
Le Seigneur Jésus est sacricateur par serment, verset 21.
Il est devenu avec serment,
par celui qui a dit de lui, le Seigneur a juré,
il ne se repentira pas.
Donc c'est de nouveau une citation du psaume 110,
et maintenant l'emphase est sur ce serment.
Le Seigneur a juré, il ne se repentira pas.
Cela veut dire, il ne changera pas d'idée.
Dieu, à cet égard-là, ne peut pas se repentir,
ne peut pas changer d'idée.
On a quelques passages dans l'Ancien Testament,
et c'est confondant pour nous,
où nous disons que Dieu s'est repenti.
C'était seulement dans des cas où Dieu avait dit qu'il allait juger,
là il a vu la repentance dans les cœurs du peuple,
n'importe quelle personne,
et Dieu s'est repenti après.
Mais si c'est une question du conseil de Dieu,
de son propos,
comme on voit avec Néophysédèque,
Dieu ne peut pas se repentir.
Il faut vraiment voir ça.
Si Dieu se repent, c'est dans ses voies,
et seulement s'il y a un changement de corps dans les hommes.
Mais si c'est une question des propos de Dieu,
de ses conseils, il ne peut se repentir.
La première fois que Dieu a juré,
c'est dans Genèse 22,
lorsque Abraham a donné le sacrifice de son fils.
Dieu a juré qu'il allait bénir ses descendants,
et que par lui, par sa descendance,
la bénédiction viendrait à toutes les nations.
Ça c'est la bénédiction que Dieu avait promis,
sur la base du sacrifice que Dieu a juré.
Dans Psalm 95,
lorsque le peuple a manqué dans le désert,
a rejeté les plans de Dieu,
il voulait même retourner en Égypte,
Dieu a juré que cette génération-là
ne serait jamais dans le pays promis.
On a vu cela dans Hébreux 3 et 4.
Mais ici nous voyons la solution.
Si Dieu a juré la première fois pour donner la bénédiction,
et la deuxième fois il a juré qu'il ne pouvait pas donner cette bénédiction,
à cause de leur manquement,
ici nous voyons la clé.
Dieu a juré une autre fois,
c'est par rapport à Christ,
le sacrificateur pour l'éternité,
selon l'ordre donné qu'il s'était.
Et c'est seulement sur la base de son sacrifice,
et sur la base de sa personne,
que nous pouvons jouir de la bénédiction de Dieu.
Il y a une autre fois, dans Ésaïe 45,
où Dieu a juré,
et ce sera le cas dans le Millenium,
tout genou va se plier devant lui.
Dieu a juré,
et tous vont confesser son nom.
Ils vont plier leur genou devant lui.
Dieu va ainsi accomplir ses pensées,
dans le Millenium.
Verset 22,
c'est d'une alliance d'autant meilleure
que Jésus a été fait le garant.
Vous voyez encore le contraste,
on a vu la loi,
qui ne pouvait jamais produire la perfection,
le Seigneur Jésus,
il est maintenant le garant
de cette nouvelle ordre des choses.
Une nouvelle alliance,
une nouvelle loi,
et de nouveau,
meilleure, vous voyez,
c'est d'une alliance d'autant meilleure.
On a vu une meilleure espérance,
maintenant on a une meilleure alliance.
Je vais revenir aux détails dans le chapitre 8,
que Jésus a été fait le garant.
D'abord, j'aime souligner ici,
le nom Jésus.
Ce nom revient neuf fois.
Il y a d'autres fois où c'est Jésus-Christ,
par exemple,
mais le seul mention de son nom Jésus,
c'est neuf fois dans sa poupée.
Et chaque fois, c'est pour souligner
sa grandeur,
Jésus de Nazareth.
Jésus qui nous parle de son humanité,
de son humiliation, de son abaissement,
mais en lui, il y a toute cette grandeur,
toute cette beauté.
Il est le garant maintenant
pour ce nouvel ordre des choses.
Moïse ne pouvait jamais être le garant
par rapport à l'ancien ordre.
Lorsque Moïse est descendu de la montagne,
qu'est-ce qu'il a dû faire?
Il a cassé les deux tables d'avant.
Moïse ne pouvait pas être le garant
de ce vieil ordre,
parce que le peuple avait déjà manqué
tout au début.
Mais le Seigneur Jésus, il est le garant.
Il va garantir toutes les pensées de Dieu
par rapport à ce nouvel ordre des choses.
De nouveau, on voit tout dépend de lui.
Ça souligne que le Seigneur Jésus
est responsable pour cet ordre des choses.
Cet ordre ne peut jamais manquer.
Et le Seigneur est responsable
que ça va continuer pour la gloire de Dieu
et aussi pour notre bien.
Jamais.
Encore un autre contraste, verset 23.
On a vu la loi et l'ordre de la sacricature
sous la loi, c'était sans serment.
L'ordre de la sacricature du Seigneur Jésus,
avec serment.
Dieu a juré.
Maintenant, un autre contraste.
Sous la loi, il y avait plusieurs sacrificateurs.
On pourrait traduire beaucoup de sacrificateurs
parce que la mort les empêchait de demeurer.
Mais celui-ci, verset 24,
parce qu'il demeure éternellement.
Ce mot est vraiment encore un mot spécial.
On a vu avec Melchizedek,
il demeure sacrificateur à perpétuité.
Verset 3.
Maintenant, nous voyons le Seigneur Jésus,
il demeure.
Il demeure éternellement.
Comme la parole de Dieu demeure.
1 Pierre 1, c'est mentionné.
Et un autre détail,
juste une petite parenthèse.
Si nous faisons la volonté de Dieu,
1 Jean 2, verset 17, dit,
parce que nous demeurons éternellement.
Ainsi, nous sommes ensemble avec le Seigneur Jésus
qui demeure éternellement.
Et maintenant, il a dit,
il a la sacrificature qui ne se transmet pas.
Comme nous avons vu tantôt,
le Seigneur Jésus ne peut plus mourir maintenant.
L'heure est accomplie.
Il n'a plus besoin de la mort.
Il a une vie impérissable qui ne peut pas se terminer.
Ainsi, cette sacrificature ne se transmet pas.
C'est une sacrificature intransmissible.
Il n'y a pas de succession.
Comme l'autre ordre, le vieil ordre,
de père en fils,
une succession continuelle.
Et dans l'histoire de l'Église,
on a imité cela, cette succession humaine.
Tandis que, si nous comprenons bien notre position
en rapport avec Christ,
il n'y a pas de succession d'un fils.
Il n'y a pas de succession d'un fils.
Et dans la parole de Dieu,
nous avons une succession morale.
Mais ça, c'est tout un sujet.
Cette sacrificature ne se transmet pas.
Quelle grandeur!
Verset 25.
De là vient aussi qu'il peut sauver entièrement.
Et nous arrivons maintenant à un point important dans cet épitre.
Verset 25, jusqu'à la fin du chapitre,
souligne la perfection que nous avons dans la Seigneur Jésus.
Et notre position, par rapport à lui,
est une compagnie d'adorateurs
qui peut maintenant avoir ce libre accès,
comme nous l'avons vu,
dans la présence de Dieu.
Et verset 25 dit d'abord,
il peut sauver.
Ça ne veut pas dire que notre salut n'est pas parfait.
Le moment que nous avons cru,
nous étions sauvés dans ce sens-là,
le salut des âmes,
mais nous sommes encore dans le désert.
Dans le désert, il y a toutes sortes de dangers
et nous avons besoin de son aide pour nous sauver entièrement,
d'une façon complète, jusqu'à l'achèvement.
On est en route pour l'agoire.
Et c'est lui qui est garant qu'on arrivera là.
Ceux qui s'approchent de Dieu.
On en a parlé déjà et on verra dans le chapitre 10,
en plus de détails, cette approche,
selon ce nouveau chemin que nous avons,
un chemin vivant et vrai.
Et notons maintenant au verset 25,
notre approche est par lui.
C'est toujours le cas.
C'est par lui.
Toutes nos bénédictions peuvent être séparées de lui.
Toutes nos bénédictions, la joie de ces bénédictions dépend de lui.
C'est par lui que nous nous approchons de Dieu.
Ensuite il dit, étant toujours vivant.
On a vu le contraste.
L'ancien ordre, la mort, intervenait tout le temps.
Et on avait cette succession.
Maintenant, on n'a plus de succession
et le Saint Jésus est toujours vivant.
C'est un autre mot clé qui revient souvent dans cet épisode.
Mais il est vivant pour intercéder pour eux.
Et là, il y a donc un nouvel élément qui s'ajoute.
On a vu d'abord, chapitre 2 et surtout chapitre 4,
l'intercession du Saint Jésus par rapport à nos infirmités.
Nous sommes un peuple faible qui continue à travers le désert
et nous avons besoin d'être soutenus.
Mais ici, il tourne la page pour ainsi dire.
Ici, c'est pour souigner que Dieu avait à coeur d'avoir une compagnie d'adorateurs.
Verset 26 souligne cela.
Un tel souverain sacrificateur nous convenait.
Ici, nous sommes vus comme fils d'une famille sacerdotale.
Donc ici, ce n'est pas l'emphase sur nos besoins.
Nous sommes un peuple pauvre et manquant dans le désert.
Ici, l'emphase est sur le fait que nous avons un appel très élevé.
Dieu voulait nous avoir comme fils d'une famille sacerdotale.
Une compagnie très élevée.
Une position merveilleuse.
Et c'est pour cela que Dieu dit, voilà, pour une telle compagnie,
j'ai un souverain sacrificateur spécial.
Un tel souverain sacrificateur.
On a vu sa grandeur, Melchizedek, sa grandeur.
Mais ici, au verset 26, ça souligne notre position élevée.
Ce n'est pas ce que nous sommes en nous-mêmes, c'est ce que nous sommes par rapport à Lui.
Nous avons une dignité.
Cette dignité est par rapport à Lui.
Et c'est pour cela que Dieu dit ainsi, ça vous convient.
C'est un standard très élevé.
Comme on l'a vu dans le chapitre 2, verset 10, il convenait à Dieu,
à cause qui sont toutes choses et par qui sont toutes choses,
que, amenant plusieurs fils à la gloire, il consommât les chefs de leurs salutes par des souffrances.
Ça convenait à Dieu.
Ici, les sacrificateurs, excusez-moi, les fils sont en route pour le ciel.
Et Dieu nous voit comme des fils.
Dans sa présence, il donne ce grand souverain sacrificateur pour nous soutenir dans ce service.
Pas seulement par rapport à nos besoins, mais ici pour nous soutenir,
pour que nous puissions fonctionner comme des sacrificateurs, comme des adorateurs.
On va élaborer cela au chapitre 8, lorsqu'on va voir le Seigneur Jésus comme le ministre des lieux saints
et du vrai tabarnak, au chapitre 8, verset 1 et 2.
Un tel souverain sacrificateur.
Et Dieu dit, ce souverain sacrificateur, je vous donne,
parce que vous avez besoin de lui pour ce service sacerdotal.
Et là, il y a encore l'emphase sur sa personne, il est saint.
Ce mot est souvent utilisé dans l'Ancien Testament,
qui caractérise Dieu vraiment.
Donc, il est saint par rapport à Dieu.
Il représente le caractère de Dieu.
Et par application, nous avons le privilège de pouvoir représenter Dieu maintenant dans ce monde.
Innocent, c'est par rapport à ceux qui l'entourent.
Le Seigneur Jésus est pur et saintable, mais ici innocent.
Ce mot revient seulement deux fois dans le Nouveau Testament.
L'autre fois, c'est dans Romains 16, verset 18, par rapport à nous, que nous devons être innocents.
Ensuite, sans souillure.
La loi de Moïse donnait des instructions pour que les sacrificateurs puissent être sans souillure pour pouvoir servir.
C'était une pureté rituelle ou ritualiste.
Ici, c'est une pureté inhérente.
C'est une pureté que le Seigneur Jésus a dans sa personne, sans souillure.
Et dans la position que nous avons devant Dieu par le Seigneur Jésus, nous sommes maintenant aussi sans souillure.
Et ça, c'est l'application à nous.
Mais le Seigneur Jésus est ce grand souverain sacrificateur qui est présenté devant nos coeurs dans cette perfection.
Il est séparé des pécheurs.
Ça ne veut pas dire qu'il n'a pas d'intérêt pour les pécheurs, mais il est séparé.
Il n'a rien à faire avec le péché.
Ça a été réglé une fois pour toutes.
Il est maintenant séparé des pécheurs.
Il est maintenant dans la gloire.
Dans le ciel, il n'y a aucune pensée du péché.
Il est élevé, vous voyez, à la fin du verset 26, élevé plus haut que les cieux.
Ça souligne encore la grandeur du Seigneur Jésus.
Élevé plus haut que les cieux.
Un homme que Dieu a élevé ainsi.
C'est formidable.
Et il y a d'autres passages dans la parole.
Vous pouvez lire, par exemple, Philippiens 2.
Dieu lui a donné un nom au-dessus de tout nom.
On pourrait lire Éphésiens 4, où nous voyons que le Seigneur Jésus est descendu,
ensuite il est monté pour qu'il soit au-dessus de toute chose.
Mais ici, il est élevé plus haut que les cieux.
C'est pour souligner la grandeur formidable du Seigneur Jésus.
Ensuite, au verset 27, qui n'est pas journellement dans la nécessité,
comme les souverains sacricateurs, d'offrir des sacrifices.
Encore un contraste.
Les sacricateurs de l'Ancien Ordre avaient besoin d'offrir des sacrifices.
Des sacrifices d'abord pour leur propre péché.
C'est impensable pour le Seigneur Jésus,
qui était toujours sans péché, pur, à part le péché,
qui n'a pas connu le péché.
Quel contraste.
Ensuite, à la fin du verset 27,
car cela il a fait une fois pour toutes.
Il a offert un sacrifice pour le péché.
Une fois pour toutes.
Et on verra cela chapitres 9 et 10 spécialement.
J'aimerais souligner maintenant un détail.
Une fois pour toutes, cette expression au verset 27,
ça m'a frappé beaucoup.
Ça revient souvent dans cet épitre.
Une fois pour toutes.
Et l'autre expression, pour l'éternité,
je voulais le dire tantôt, mais je l'ai oublié.
Ça va ensemble avec cette expression-là.
Une fois pour toutes.
Et l'autre expression, pour l'éternité.
Pour l'éternité se trouve sept fois dans l'épitre aux Hébreux.
Sept fois dans l'épitre aux Hébreux.
Et 28 fois en total dans le Nouveau Testament.
Donc, ça souligne encore la perfection du Seigneur Jésus.
Ici au verset 27, il a dit une fois pour toutes.
On va revenir à ça dans le chapitre 9 et 10.
Mais qu'est-ce qu'il ajoute là?
C'est un offert lui-même.
Les sacricateurs ont amené un sacrifice.
Un bouc, un agneau ou d'autres animaux plus grands ou plus petits.
Mais le Seigneur Jésus a amené un sacrifice.
C'était lui-même.
Il s'est offert lui-même.
Ça c'est très touchant.
Et la pensée est là aussi qu'il s'est présenté à Dieu en sacrifice.
Ça s'inclut dans le mot « offert ».
Quel sacrifice?
Verset 28.
La loi établit pour souverains sacricateurs des hommes qui sont dans l'infirmité.
De nouveau un contraire.
Mais la parole du serment.
On n'a pas l'Ègle du serment.
La parole du serment qui est après la loi.
Dans le psaume 110.
Beaucoup plus tard.
Après la loi.
Établit un fils.
Après la loi.
Ça ne veut pas dire que Dieu n'avait pas pensé à ça avant.
Évidemment, dans le plan de Dieu, la pensée d'avoir un fils consommé pour l'éternité était là tout le temps.
Même avant que Dieu donne la loi de mourir.
C'est peut-être un peu confondant.
Je répète.
Lorsque Dieu a donné la loi de mourir.
Ça ne veut pas dire que Dieu n'avait pas encore cette pensée.
Dès l'éternité, il avait la pensée d'envoyer son fils.
Mais dans le temps, c'est venu après la loi.
Comme le psaume 110.
Beaucoup plus tard.
Après la loi.
Et ainsi, Dieu a établi un fils.
Après la loi.
Et ça implique aussi, comme nous l'avons vu, après avoir mis de côté le principe de la loi.
De mourir.
Il a établi un fils.
Ce n'est pas seulement un nouvel ordre que Dieu a établi.
C'est beau de voir ça ici.
Il a établi un fils.
C'est Dieu qui a présenté ce fils.
C'est Dieu qui l'a introduit, comme nous l'avons vu.
Et on a vu, tout dépend de lui.
C'est donc pas seulement un nouvel ordre de choses.
C'est une nouvelle personne que Dieu a introduite.
Il a dit ici qu'elle est consommée pour l'éternité.
C'est pour souligner maintenant la perfection que le Seigneur Jésus a comme homme.
On a vu déjà.
Il ne pouvait pas pécher.
Il était toujours parfait.
Mais il a parcouru tout ce chemin.
Il a fini.
On a vu cela aussi dans Hebreu 5.
Par rapport à l'obéissance.
Il a vécu sur la terre.
Il a fini tout ce trajet.
Et il est arrivé maintenant à la fin.
Et ces pensées-là sont résumées par le mot « consommer ».
Et ce mot « consommer » revient souvent aussi.
Comme l'autre pensée « pour l'éternité ».
Ça souligne ce qu'on a vu.
C'est final.
C'est définitif.
C'est complet.
Il n'a rien ajouté pour l'éternité.
Répété sept fois dans cet épitre.
Donc, nous sommes liés à cette personne merveilleuse.
Et on va revenir souvent dans cet épitre.
Si Dieu donne encore l'occasion à cela.
Cette perfection merveilleuse.
C'est notre position ensemble avec Lui.
J'aimerais répéter quelques points.
Donc, un nouvel ordre qui amène la perfection.
Le vieil ordre ne pouvait jamais amener à la perfection.
Ensuite, nous avons vu que Dieu a introduit quelqu'un de la tribu du Judas.
Pas un descendant d'Aaron ou de Lévi.
Un rapport avec l'homme selon le cœur de Dieu, David.
Les promesses que Dieu a données dans sa grâce souveraine.
Un autre contraste.
Ensuite, on a vu qu'il fallait que ce soit à la ressemblance de Melchizedek.
On a vu la dernière fois.
Pourquoi ?
Melchizedek qui donc représente ce nouvel ordre des choses.
Qui n'a pas connu la mort.
Dans l'histoire, évidemment, il est mort comme un homme.
Comme chaque homme.
Mais la parole ne l'émancèle pas.
Pour que Melchizedek pouvait être une illustration du Saint-Jésus.
Et ainsi, Dieu introduit ce nouvel ordre par rapport à Melchizedek.
On a vu, selon la puissance d'une vie impérissable.
C'est la vie de la résurrection.
Cette puissance que le Seigneur Jésus a par rapport à cela.
Mais il est aussi le fils du Dieu vivant.
On a vu aussi une meilleure espérance.
Et ensuite, on a vu un accès direct.
Et quel privilège.
Et cela sera encore souligné souvent dans cet épître.
Ce libre accès que nous avons.
Parce que l'œuvre a été accomplie.
Mais on revient toujours à cela.
C'est par lui.
Tout ce que nous avons, c'est par lui.
Donc, Dieu voulant, la prochaine fois on pourra continuer au chapitre 8.
Qui donne un résumé.
Mais je pense, à la fin du chapitre 7.
C'est vraiment important qu'on puisse saisir.
Deux choses.
Ce que le Seigneur Jésus est.
Et ce qu'il a fait.
Et sur la base de ce qu'il est, sa personne.
Sur la base de ce qu'il a fait.
Dieu nous voit maintenant comme une compagnie d'adorateurs.
Une compagnie avec une dignité à cause de notre relation avec lui.
Et une compagnie de sacricateurs qui peut être maintenant.
Tout le temps dans la présence immédiate de Dieu.
Quel privilège nous avons.
Est-ce qu'on fonctionne aussi pratiquement comme adorateurs.
Pour adorer ce Dieu merveilleux.
Pas seulement le dimanche matin.
Lorsqu'on pense à lui, nous pouvons toujours être des adorateurs.
Il y a beaucoup de choses pratiques à tirer aussi d'un tel chapitre.
Pour nous stimuler, pour nous encourager à fonctionner comme des sacricateurs.
Qui sont dans la présence de Dieu tout le temps.
Même à l'ouvrage, on peut penser à ces choses.
Et on peut rendre grâce à Dieu.
N'importe quelle place.
A l'école, nous avons ce libre accès.
Pas seulement pour présenter nos requêtes, pour nos besoins.
Mais aussi ce libre accès pour venir comme sacricateurs, comme adorateurs.
Est-ce qu'il y a encore des questions, des choses qui doivent être soulignées.
C'est un chapitre merveilleux, mais c'est assez difficile en même temps.
L'expression de l'Esprit, c'est la vérité.
C'est la vérité.
C'est ce qu'il faut faire.
C'est ce qu'il faut faire.
Oui.
Et ça souligne donc d'un côté sa grandeur.
Mais ça souligne aussi la position merveilleuse que Dieu nous a donnée, réservée pour nous.
Qui nous voit comme une compagnie tellement élevée.
Qui donne une telle personne, une telle compagnie.
Le coeur de Dieu ne serait pas satisfait pour nous donner Aaron par exemple.
Dieu ne serait pas satisfait pour nous donner Aaron.
Dieu est seulement satisfait en nous donnant un tel souverain sacré-capable.
Et ça va bien ensemble avec le verset 4 que nous avons vu, hébreu 7, verset 4, la dernière fois.
Considérer combien grand était celui-ci. …
Transcription automatique:
…
Hébreu 8, le premier verset.
Or, la somme de ce que nous disons, c'est que nous avons un tel souverain sacricateur
qui s'est assis à la droite du trône de la Majesté dans les cieux,
ministre des lieux saints et du vrai tabernacle, le Seigneur adressé, non pas l'homme.
Car tout souverain sacricateur est établi pour offrir des dents et des sacrifices,
c'est pourquoi il était nécessaire que celui-ci aussi eût quelque chose à offrir.
Si donc il était sur la terre, il ne serait pas sacricateur puisqu'il y a ceux qui offrent des dents selon la loi,
lesquelles servent la figure et l'ombre des choses célestes.
Comme Moïse, quand il allait construire le tabernacle, a été averti divinement,
car prend garde, dit-il, à faire toute chose selon le modèle qui a été montré sur la montagne.
Pour maintenant, Christ a obtenu un ministère d'autant plus excellent
qu'il est médiateur d'une meilleure alliance qui est établie sur de meilleures promesses.
Car si cette première alliance avait été irréprochable, il n'eût jamais été cherché de lieu pour une seconde,
car en censurant, il leur dit, voici, les jours viennent, dit le Seigneur,
et je conclurai pour la maison d'Israël et pour la maison de Juda une nouvelle alliance,
non selon l'alliance que j'ai faite avec leurs frères au jour où je les pris par la main pour les tirer du pays d'Égypte,
car ils n'ont pas persévéré dans mon alliance, et moi je les ai délaissés, dit le Seigneur,
car c'est ici l'alliance que j'établirai pour la maison d'Israël après ce jour-là, dit le Seigneur.
En mettant mes lois dans leur entendement, je les écrirai aussi sur leur cœur,
et je leur serai pour Dieu, et ils me seront pour eux.
Ils m'enseigneront point chacun de son constat bien, et chacun son faire, disant qu'on est le Seigneur,
car ils me connaîtront tous, depuis le plus petit jusqu'au plus grand d'entre eux.
Car je serai clément à l'égard de leurs injustices, et je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés, ni de leur iniquité.
En disant une nouvelle, il a rendu ancienne la première,
pour ce qui devient ancien et qui vieillit, et prêt de disparaître.
Jusqu'ici la lecture de la parole.
Ce chapitre commence la deuxième partie de l'Épiphosé brûle.
Ce qu'on a vu jusqu'à ce moment-là, nous avons vu la grandeur du Seigneur Jésus,
et un peuple qui traverse le désert.
Le Seigneur est plus grand que les anges, plus grand qu'Aaron, plus grand que Moïse, plus grand que Jésus, plus grand que David, plus grand que Salomon,
et ainsi l'emphase était sur sa personne.
Et le chapitre commence par ce mot or, la somme.
Donc il donne ici une conclusion.
C'est un sommaire, et aussi la conclusion de ce que nous disons.
On a dit déjà, c'est comme l'auteur est en même temps un orateur.
Il donne un message, et c'est un long message, mais c'est un message très intéressant, et très encourageant.
On a vu le contexte était pour les juifs à ce moment-là, les juifs chrétiens, je veux dire, qui étaient en danger de retourner dans le judaïsme.
Et en présentant la personne du Seigneur Jésus, l'auteur, mais plutôt l'Esprit-Saint par l'auteur, voulait fixer le regard sur le Seigneur qui est maintenant dans la gloire.
C'est clair que nous avons besoin de cela aussi.
Nous devons fixer nos regards sur Christ dans la gloire.
Mais nous sommes un peuple dans le désert.
Surtout en chapitres 3 et 4, nous avons vu un peuple dans le désert, et nous avons vu que le Seigneur Jésus soutient son peuple pour la marche à travers le désert.
On a vu ainsi le Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur.
On a vu la dernière fois, il n'était pas de la tribu de Lévis, donc il ne pouvait même pas fonctionner comme sacrificateur sur la terre.
Mais on a vu à la fin du chapitre 2, il a une exception.
Lors de la croix, là, le Seigneur Jésus était le sacrifice, et on en parlera plus tard dans le chapitre 9 et 10.
Mais il était aussi le sacrificateur qui a présenté son sein à Dieu.
Et ainsi, on l'a vu dans l'Hybre 2 déjà comme sacrificateur, une fois pour toutes.
Comme il était le sacrifice une fois pour toutes, il était aussi à ce moment-là, sur la terre, un sacrificateur une fois pour toutes.
Ensuite nous avons vu le Seigneur Jésus est le sacrificateur, le grand souverain sacrificateur, pour soutenir un peuple qui est dans le désert.
On a vu cela dans l'Hybre 4.
Le Seigneur nous soutient, le Seigneur nous guide, le Seigneur est tout ce dont nous avons besoin.
Donc, il pourvoit dans nos besoins, il pourvoit dans les besoins d'un peuple de pèlerins.
Et il leur donne du secours, un secours qui vient du ciel.
Pour cela, il faut donc relire le chapitre 4 à la fin, surtout.
Ce qu'on va voir maintenant, dans le chapitre 10 plutôt, mais c'est ici le point tournant, on tourne la page ici, pour ainsi dire.
Maintenant, il va parler du Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur, pas seulement à l'égard de nos besoins, des besoins d'un peuple sur la terre.
Il va maintenant présenter le Seigneur Jésus comme un souverain sacrificateur qui est convenable.
On a vu cela à la fin, la dernière fois, verset 26 du chapitre 7.
Car un tel souverain sacrificateur nous convenait.
Dieu voulait avoir des fils pour lui-même.
Et c'est pour eux que Dieu donne un tel souverain sacrificateur.
Pas seulement pour les soutenir dans le désert, mais pour les introduire dans la présence de Dieu.
Dieu cherche une compagnie de fils.
Et ainsi, le Seigneur Jésus est le grand conducteur pour amener cette compagnie de fils dans la présence de Dieu.
On a vu cela déjà dans Hebreu 2, verset 10, amenant plusieurs fils à la gloire.
Vous voyez, c'est un des buts du ministère du Seigneur Jésus pour amener plusieurs fils, ou beaucoup de fils, à la gloire.
Pas seulement pour les soutenir pour le voyage à travers le désert, c'est inclus aussi.
Mais pour qu'ils soient là pour la satisfaction du cœur de Dieu.
Donc Dieu voulait avoir des fils.
Et ils sont vus ensemble avec le Fils.
Et on a vu plusieurs de ces aspects-là, de cette pensée-là.
Je voulais juste résumer.
On a vu le premier chapitre, Christ, un, par Dieu, au-dessus de ses compagnons.
Mais ça veut dire qu'on a vu, Christ a une relation avec nous, nous sommes ses compagnons.
Ensuite, nous l'avons vu comme fils sur la maison de Dieu, Hebreu 3.
Ça veut dire, nous sommes sa maison.
Ça veut dire, nous sommes des fils qui appartiennent à cette maison.
On a vu le Seigneur Jésus comme héritier de toutes choses.
Nous sommes co-héritiers avec lui.
Ainsi, nous voyons le Seigneur Jésus comme souverain sacrificateur.
Ici, au chapitre 7, verset 26.
Pour une compagnie de sacrificateurs, nous les croyons, nous sommes des fils, sacrificateurs.
Et ainsi, il nous convenait un tel souverain sacrificateur.
Chapitre 7, verset 26.
Il est le premier né entre beaucoup de frères.
Voilà, encore une fois, la relation entre lui et nous.
Il est celui qui sanctifie, nous sommes ceux qui sont sanctifiés.
Et maintenant, on va voir sur le chapitre 8, il est le ministre pour la satisfaction du corps de Dieu.
Pas maintenant pour nos besoins, mais pour les intérêts de Dieu dans le ciel.
Verset 1 et 2.
Et ainsi, nous sommes vus comme serviteurs avec lui.
Nous sommes déjà dans la présence de Dieu et nous servons Dieu avec le Seigneur Jésus.
On verra cela en détail, chapitre 10, verset 19.
Ayant donc fait une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints par le sang de Jésus.
C'est par lui, et on verra une autre fois, chapitre 13, 15.
C'est par lui que nous pouvons offrir des offrandes.
Donc, nous sommes aussi des ministres, comme le Seigneur Jésus.
Il y a donc un lien intime entre lui et nous. C'est toujours le cas.
Ce que je voulais souligner maintenant, il y a beaucoup de sujets importants dans cet épisode.
On a vu des sujets importants par rapport à sa personne.
Il est la meilleure personne.
Et ainsi, nous avons vu, hébreux 1 et 2, des aspects de sa personne.
Mais ici, nous voyons le Seigneur Jésus comme celui qui introduit un nouvel ordre de choses.
Et cet ordre est meilleur.
On a vu cela au verset 6, par exemple.
Une meilleure alliance, de meilleures promesses.
Et l'emphase est maintenant sur un nouveau système que le Seigneur Jésus introduit.
Pour avoir ce nouveau système, ça prend un nouveau sacrifice.
C'est ça qu'on va voir, chapitres 9 et 10.
Un nouveau sacrifice est nécessaire pour qu'un nouvel ordre de choses puisse être établi.
Et ce nouvel ordre de choses est aussi un meilleur ordre.
On a vu cela déjà un peu par rapport à Melchizedek, la dernière fois et l'avant-dernière fois.
Là, on a vu des contrastes énormes entre ce qui est temporaire, ce qui est permanent,
entre la loi de Sinaï et les promesses que Dieu a faites à David.
On a vu beaucoup de contrastes la dernière fois.
Maintenant, j'aimerais juste résumer quelques points, et on va revenir à ça.
On voit une nouvelle sacrificature, chapitre 7, selon l'ordre de Melchizedek.
Ça va ensemble avec ce nouveau système que Dieu allait introduire.
Ainsi, nous allons voir tantôt, dans le chapitre 8, une nouvelle alliance,
une nouvelle relation entre Dieu et son peuple.
Chapitre 9, on verra un nouveau sanctuaire, et chapitre 10 aussi, qui est maintenant ouvert, un livre accès.
Dans l'Ancien Testament, c'était fermé.
Seulement une fois par année, c'était ouvert, mais seulement pour le grand souverain sacrificateur.
Donc, c'est ça qu'on va voir au chapitre 9.
Et au chapitre 10, nous allons voir, pas seulement ce livre accès, mais une compagnie d'adorateurs.
Nous appartenons à cette famille de fils adorateurs, qui ont cette liberté pour venir dans la présence de Dieu.
Et c'est par le Seigneur Jésus, s'il est notre grand leader, qui nous introduit dans la présence de Dieu.
Ensuite, à la fin de l'Épître, on verra le Seigneur Jésus comme le grand conducteur pour nous conduire à travers le désert.
Chapitre 11, à la fin du chapitre 10 déjà, chapitre 11, chapitre 12, une partie,
et nous allons voir le Seigneur Jésus comme le grand conducteur qui nous conduit hors du camp.
Ça c'est tout un sujet, mais ça c'est seulement au chapitre 13.
Donc les trois grandes divisions de cette Épître, la meilleure personne, chapitre 1 à 7, un meilleur système, chapitre 8 à 10,
et un meilleur conducteur qui nous introduit dans la présence de Dieu à la fin du chapitre 10,
qui nous conduit à travers le désert, qui nous conduit hors du camp, le meilleur conducteur.
C'est trois grandes divisions de l'Épître aux épreuves.
Chapitre 8, le premier verset, on a déjà mentionné la Somme, donc Paul, l'auteur, supposons que c'est Paul, je pense,
il résume en quelques mots ce qu'il a présenté jusqu'à ce moment-là.
Il est l'orateur qui parle, et il dit ici, c'est que nous avons un tel souverain sacrifice.
C'est très beau de voir ça, nous avons, et ça vaut la peine de voir ici dans cette Épître,
tout ce que nous avons, c'est un bien que nous avons déjà maintenant.
Ce n'est pas un jour que peut-être on va avoir le salut.
On a vu cela déjà la dernière fois, nous avons le salut.
Et ainsi nous avons un tel souverain sacrifice.
Et ainsi, il y a beaucoup de choses que nous avons déjà maintenant.
C'est vraiment très beau dans cette Épître.
On a vu cela, par exemple, à la fin du chapitre 6, nous avons un ancre, chapitre 6, verset 19, nous avons un ancre de l'âme.
Par rapport à Christ qui est maintenant dans la gloire, nous avons un ancre de l'âme.
Donc, quelque chose qui est solide.
Lorsque nous sommes encore dans ce monde avec toutes ces insécurités et toutes ces tentations,
nous avons cet ancre, cette sûreté par rapport au Seigneur Jésus.
Nous avons vu aussi dans le chapitre 4, nous avons le Seigneur Jésus comme souverain sacrifice pour nos besoins.
Ici nous avons, mais maintenant, j'ai dit, c'est le point tournant.
Il parle maintenant du Seigneur Jésus dans un autre aspect.
Un tel souverain sacrifice.
L'emphase est maintenant, non pas sur ce qu'il fait pour nous, l'emphase est encore sur la grandeur de sa personne,
et en relation avec cela, sur ce nouvel ordre qu'il a introduit.
Donc on doit souligner chaque mot ici.
Nous avons, c'est notre bénédiction, c'est un bien présent et permanent.
Un tel, c'est pour souligner comment il est spécial, comment il est différent, comment il est merveilleux,
comment il est supérieur souverain sacrificeur, ça veut dire, donc, il est le chef de tout cet ordre, de tout cet ordre.
Et ensuite nous voyons qu'il s'est assis.
C'est beau de voir dans la parole, il est assis, c'est sa position actuelle.
Il est dit aussi dans la parole, que Dieu l'a assis.
Dieu l'a fait asseoir.
Ici il est dit, il s'est assis.
Donc ça veut dire, par lui-même.
On a vu cela aussi au premier chapitre de l'Écriture aux livres.
Il y a un verset qui dit, il est à la droite du trône, ou il est là, dans la gloire.
Mais ici l'emphase est sur le fait qu'il est assis.
C'est une position qui implique que l'œuvre a été accomplie.
Il n'a rien à être ajouté.
Vous comprenez?
S'il ne pouvait pas s'asseoir, ça veut dire que l'œuvre n'était pas complète.
Vous voyez les sacricateurs dans l'Ancien Testament?
Est-ce qu'ils pouvaient s'asseoir?
Est-ce que vous avez vu déjà des modèles du tabernacle?
Est-ce que vous avez vu une chaise dans le tabernacle?
Non, il n'y avait pas de chaise.
Le service continuait tout le temps.
Jamais parfait, jamais complet.
Ici il n'y a pas seulement une chaise.
Ici il y a un trône.
Un trône.
Et le Seigneur est assis là, à la droite.
Donc je mets l'emphase sur cette expression « assis ».
Il s'est assis, c'est ce qu'il pouvait faire après cette œuvre qui était accomplie.
Et il est assis, ça souligne sa position actuelle,
le repos que l'œuvre a été accomplie une fois pour toutes.
À la droite, ça implique le côté de faveur.
Il est là et en lui la faveur de Dieu s'exprime.
La droite nous parle du privilège.
Il est là privilégié.
La droite nous parle aussi de l'autorité qu'il a.
Dieu a délégué toute l'autorité au Seigneur Jésus.
On voit cela dans 1 Pierre 3, verset 22.
Il est là aussi, à la droite.
Il a toute autorité, tout lui est soumis, aussi les anges.
Donc toutes ces pensées-là sont impliquées par l'expression « à la droite ».
Une position officielle par rapport au gouvernement,
parce que c'est le trône, à la droite du trône.
Le trône, ce n'est pas par rapport au gouvernement.
Le trône, c'est par rapport à l'administration.
Et ainsi le Seigneur Jésus sera assis sur le trône, verset 13, verset 6.
Le sacrificateur et le roi, les deux ensemble.
Sous l'ancienne alliance, le sacrificateur ne pouvait pas être roi,
le roi ne pouvait pas être sacrificateur.
Mais avec ce nouvel ordre de choses que Dieu a introduit à cause de l'œuvre accomplie du Seigneur Jésus,
il y a maintenant cette position.
Il y a un roi et un sacrificateur.
On a vu cela avec Melchizedek, roi, sacrificateur.
Et là, l'expression trône nous souligne donc le gouvernement, l'administration.
Ensuite, il ajoute encore une pensée « de la majesté ».
Ici, toutes les pensées qu'on a eues sont encore renforcées par le fait que c'est « de la majesté ».
Et ça souligne la gloire de Dieu.
Le mot « majesté » implique la pensée de grandeur, de quelque chose qui est méga, qui est grand, qui est excellent.
Mais je pense que ça inclut la pensée de la nuvée de Shekinah.
On sait que Dieu, dans l'Ancien Testament, s'est manifesté par la nuvée de Shekinah.
Par exemple, à la sortie du peuple d'Israël de l'Égypte, la nuvée est allée en avant.
La nuvée les a protégés. La nuvée était là.
Et ça nous parle de la gloire de Dieu.
Cette nuvée a rempli le tabernacle.
Lorsque le tabernacle était prêt, la nuvée a rempli le tabernacle, exode 40.
Ensuite, Dieu a commencé à parler à Moïse, Levitique 1, verset 1.
Ensuite, plus tard, sous les jours de Salomon, la nuvée a rempli le temple qui était inauguré à ce moment-là.
C'est très beau.
Plus tard, à cause de l'infidélité du peuple, qu'est-ce qui s'est passé ?
La nuvée s'est levée et la nuvée est partie.
Dans quelques étapes, lentement, la nuvée s'est éloignée.
D'abord du sanctuaire, ensuite du temple, ensuite de la ville, s'est éloignée et dans la gloire.
Mais, Ézéchiel a vu cette gloire.
Ézéchiel était tout près de Dieu.
Il a vu, dans Ézéchiel 1 par exemple, comment cette gloire de la Chiquina était par rapport au trône, par rapport au gouvernement.
Il a vu ces chats, quatre chats pour ainsi dire, qui portent le trône et sur le trône, Dieu lui-même, mais vu dans la ressemblance d'un homme, Ézéchiel 1.
C'est encore cette gloire qu'il a pu voir.
Maintenant, cette gloire est revenue dans la personne du Seigneur Jésus.
Sa gloire était vue, la gloire de Dieu était vue dans le Seigneur Jésus.
Dans Jean 1, il dit, il a tabernaclé, il a habité, mais littéralement, il a tabernaclé au milieu de nous et nous avons vu sa gloire.
C'était la gloire de Dieu, c'était encore la majesté de la Chiquina qui était là.
Mais, les juifs l'ont crucifié, il a été rejeté par toute l'humanité.
Et maintenant, il est dans le ciel.
Et là, on voit cette gloire, cette majesté est là, par rapport à la personne du Seigneur Jésus.
Et nous, vous et moi, nous avons ce libre accès, nous voyons le Seigneur Jésus couronné de gloire et d'honneur.
Donc, toute cette majesté, toute cette splendeur, comment il est suprême, est présenté dans ces quelques mots, dans ce verset.
Et notons bien aussi, c'est dans les cieux.
Tantôt, je parlais sur la terre, par rapport à Israël, les choses étaient sur la terre.
Par rapport au christianisme, les choses sont dans les cieux.